- ENTREE de SECOURS -



mardi 1 juin 2021

#14 HOLD-UP, ITW Grand Format : Serge Rader

https://odysee.com/@holdup_ledoc:9/Serge-Rader-V1:8 

20 commentaires:

  1. Serge Rader, interviewé de Hold-up, est décédé. Un « héros des temps modernes », selon Pierre Barnérias


    FranceSoir
    mar., 01 juin 2021 19:24 UTC



    Pharmacien et "lanceur d'alerte", Serge Rader a passé la dernière partie de sa carrière à éveiller les consciences au sujet de la santé, des médicaments et de l'industrie pharmaceutique. Il avait réussi à fédérer des milliers de pharmaciens afin d'évoquer les sérieuses dérives et problèmes liés à ces industries et ces laboratoires.

    Lors de multiples vidéos, et dans plusieurs ouvrages, il critiquait le rôle des laboratoires, comme des médicaments.

    Parmi eux, il a notamment participé à la rédaction de "Le racket des laboratoires", ainsi que de "Vaccins, oui ou non ?"

    Considéré par les médias mainstream comme un « complotiste », il avait pris part avec d'autres, au documentaire Hold-up de Pierre Barnérias.

    Il n'avait pas froid aux yeux et c'est en partie pour cela qu'il a été vilipendé pour ses propos et positions. Il y a quelques semaines, il était parti en Guadeloupe pour y assurer un court remplacement en officine. À ce moment-là, il avait donc un test PCR négatif. Puis, il aurait attrapé le covid-19 là-bas, et été hospitalisé à l'hôpital de Pointe-à-Pitre. Guéri du virus, il s'apprêtait à sortir des salles blanches quand une infection nosocomiale l'y aurait ramené. Seulement quelques jours plus tard, il y décède d'un accident cardio-vasculaire, à l'âge de 68 ans.

    Un proche nous déclare : "les circonstances de son décès restent questionnables, car je vois mal Serge attraper le covid-19, ne pas se soigner à temps et ne pas avoir sur lui des comprimés adéquats." Même officiellement, la cause du décès n'est pas le covid-19. Pourtant, on trouve sur les réseaux sociaux des personnes qui s'emparent de ce funeste événement pour prôner la vaccination. Ces moments doivent être ceux du recueillement et de l'apaisement, et non pas de quelconques vindictes ou invectives...

    Pierre Barnérias a eu souvent l'occasion de discuter avec lui, et le décrit comme "un chercheur de vérité n'aimant pas les injustices, traquant les médicaments tueurs." Il rajoute : "quand on voit les casiers judiciaires des sociétés pharmaceutiques qui nous fourguent des produits, on ne peut que se poser des questions." Enfin, "c'est un héros des temps modernes".

    Son entretien avec Pierre Barnérias pour Hold-Up :

    https://fr.sott.net/article/37345-Serge-Rader-interviewe-de-Hold-up-est-decede-Un-heros-des-temps-modernes-selon-Pierre-Barnerias

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  2. Covid-Arnaque - Plus de la moitié de la population a une immunité naturelle


    Réseau International
    dim., 30 mai 2021 19:07 UTC


    Lorsqu'un médecin en exercice et professeur à la faculté de médecine de l'Université Johns Hopkins, qui détient également une maîtrise en santé publique, déclare que « la moitié des Américains ont une immunité naturelle », il y a quelque chose qui ne va vraiment pas avec le récit officiel des NIH (Instituts américains de la santé), du CDC et de l'OMS.

    Voici les proclamations émises par le Dr Marty Makary concernant l'immunité collective, en particulier par rapport au type d'immunité nettement inférieur qui se produirait après les vaccinations Covid extrêmement dangereuses et mortelles.

    Un professeur de la Johns Hopkins School of Medicine a déclaré qu'il y a un consensus général pour rejeter le fait que plus de la moitié de tous les Américains ont développé une immunité naturelle contre le coronavirus et qu'il constitue « l'un des plus grands échecs de notre leadership médical actuel ».

    Le Dr Marty Makary a fait ces commentaires lors d'une récente interview, notant que « l'immunité naturelle fonctionne » et qu'il est erroné de vilipender ceux qui ne veulent pas du vaccin parce qu'ils se sont déjà rétablis du virus.

    Makary a critiqué « le CDC le plus lent, le plus réactionnaire et le plus politique de l'histoire américaine » pour ne pas avoir clairement communiqué les faits scientifiques sur l'immunité naturelle par rapport au type d'immunité développé par les vaccins.

    « Il existe plus de données sur l'immunité naturelle que sur l'immunité vaccinée, car l'immunité naturelle existe depuis plus longtemps », a souligné Makary. (source : « La moitié des Américains ont une immunité naturelle »)

    Soyons très clairs, le seul moyen de sortir de toute pandémie, même de cette arnaque pandémique fabriquée de manière visible, est que l'humanité dans son ensemble acquière une immunité collective contre les divers agents infectieux associés à l'arme biologique COVID-19 méticuleusement bio-ingénierie.

    Le corps humain a évolué au cours des millénaires pour devenir le bio-organisme de lutte contre les micro-organismes pathogènes le plus sophistiqué et le plus efficace au monde. Une grande partie de cette réponse immunitaire efficace s'est développée en raison de tous les nouveaux microbes qui ont émergé depuis l'avènement de la révolution industrielle.

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  3. Pandémie de grippe espagnole de 1918

    Examinons de près la grippe espagnole de 1918 qui a tué plus de 100 de millions de personnes dans le monde. Ce fléau mondial était également un génocide mondial bien planifié.
    Tout d'abord, ce n'est pas la grippe espagnole qui a causé tant de morts ; ce sont les traitements médicaux standardisés qui ont causé le taux de mortalité extraordinaire. Du point de vue médical, l'utilisation hautement inappropriée de l'aspirine et de la morphine a créé le climat parfait de ce qu'il ne faut PAS faire avec ces patients atteints de la grippe espagnole. Et les médecins le savaient grâce à leurs observations cliniques, mais ils ont quand même prescrit les plans de traitement mortels. Cela semble familier, n'est-ce pas ?!?!

    L'essentiel ici, en ce qui concerne l'évolution de la pandémie de grippe espagnole, est que finalement toute la population mondiale a atteint l'immunité collective. Parce que chaque personne sur la planète a finalement été exposée à l'agent d'infection primaire, elle a produit les anticorps nécessaires qui ont servi de défense naturelle à toute exposition future.

    « Pandémie COVID-19 » de 2020

    Avançons rapidement jusqu'en mai 2021.

    Ce qui a vraiment changé avec le système immunitaire du corps, à part le fait qu'il a été mis à l'épreuve pendant un siècle supplémentaire par des expositions infectieuses, ce qui en fait une machine encore meilleure pour lutter contre les maladies... comme jamais auparavant dans l'histoire de l'humanité.

    À quoi ça sert ?

    Il y a toujours des variantes qui découlent de tout micro-organisme pathogène contagieux (COVID-19 N'EST PAS CONTAGIEUX mais ils veulent nous faire croire qu'il l'est).

    De même, ces variantes bio-conçues continueront à muter en fonction de l'environnement interne de l'individu et de l'environnement ambiant dans lequel il vit.

    Le corps humain est extrêmement adaptable et réactif à toute menace pesant sur son existence ; sinon, très peu d'entre nous seraient en vie aujourd'hui. Le système immunitaire s'est progressivement affiné au fil des siècles d'expositions pour faire face à ces multiples menaces.

    Cependant, les gouvernements nationaux et les autorités sanitaires voudraient nous faire croire que nous avons tous besoin de ce qui est essentiellement un faux vaccin pour prévenir un cas de Covid alors qu'en réalité, notre immunité naturelle fera parfaitement l'affaire.

    C'est aussi pourquoi la communauté mondiale des nations a été contrainte et forcée, soudoyée et extorquée, menacée et intimidée pour qu'elle retire tous les traitements efficaces contre le COVID-19.

    La seule façon dont un vaccin peut être imposé au public, en particulier celui qui est classé par la FDA comme « autorisation d'utilisation d'urgence » UNIQUEMENT, est qu'il n'existe aucun plan et/ou protocole de traitement COVID-19 efficace.

    « Je ne connais pas une histoire plus grande dans le monde » en ce moment que l'ivermectine

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  4. Conclusion

    Tout comme l'opération bioterroriste de la grippe espagnole a utilisé un vaccin contaminé pour propager cette pandémie bio-ingénierie, l'arme biologique COVID-19 est utilisée de la même manière aujourd'hui.

    En fait, l'élite du pouvoir qui commet l'OPÉRATION COVID-19 utilise le même plan de jeu. Voir : « La grippe espagnole de 1918 était vraiment une attaque bioterroriste contre l'humanité ».

    Par conséquent, il incombe à la race humaine de réagir très différemment cette fois-ci. Chaque individu doit faire tout ce qui est nécessaire pour défendre sa souveraineté personnelle en protégeant son corps et son esprit de chaque assaut qui est livré pendant LA GRANDE COVID-ARNAQUE

    Comme l'estimé et courageux professeur Johns Hopkins le recommande vivement : « S'il vous plaît, ignorez les directives du CDC » - Johns Hopkins Prof

    Notes:

    - Vaccins - La plus ancienne arnaque-
    L'hécatombe post vaccinale s'étend dans le monde-
    Le vaccin Moderna et le SM-102-
    Le vaccin Covid. Sourds, aveugles, morts cérébrales : 5 640 décès et 780 000 effets secondaires-
    Le vaccin est la pandémie-
    Covid-Arnaque. Le SYSTÈME D'ARME QUATERNAIRE est activé avant chaque explosion d'un foyer de coronavirus-
    L'ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon : je vous garantis que les vaccins à ARNm COVID causeront des « réactions indésirables graves » et des « morts massives »-
    Forum économique mondial : « soit la piquouse, soit les sanctions disciplinaires »-
    Les vaccins sont dangereux, tant pour les personnes en bonne santé que pour celles souffrant de maladies chroniques préexistantes
    « Bis repetita. La « Grippe Espagnole » de 1918 était une pandémie mondiale provoquée par Rockefeller et l'armée américaine »
    « Covid-Arnaque. L'HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS »

    https://fr.sott.net/article/37340-Covid-Arnaque-Plus-de-la-moitie-de-la-population-a-une-immunite-naturelle

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  5. Les e-mails de Fauci révèlent la ruée vers le contrôle des dommages après que ZeroHedge a mis en lumière la théorie artificielle du COVID-19


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 01 JUIN 2021 - 19:22


    En janvier 2020, lorsque l'Organisation mondiale de la santé a insisté sur le fait que COVID-19 n'était pas transmissible entre humains, et le Dr Anthony Fauci a déclaré que le risque pour le public américain lié au virus était "faible", des responsables des National Institutes of Health se démenaient pour contrôler les dommages après qu'une étude controversée – et maintenant retirée – ait suggéré qu'il y avait des « insertions » de type VIH incluses dans le SRAS-CoV-2.

    L'étude, "Similarité étrange d'inserts uniques sur la protéine de pointe 2019-nCoV avec le VIH-1 gp120 et Gag", a posé que les segments de l'ARN du virus n'avaient aucun lien avec d'autres coronavirus tels que le SRAS, et semblaient plutôt être plus proches du VIH. .

    Spécifiquement:

    Pour étudier plus en détail si ces inserts sont présents dans tout autre virus corona, nous avons effectué un alignement de séquences multiples des séquences d'acides aminés de la glycoprotéine de pointe de tous les coronavirus disponibles (n = 55) [voir le tableau S.File1] dans NCBI refseq (ncbi.nlm .nih.gov) cela inclut une séquence de 2019-nCoV [Fig.S1]. Nous avons constaté que ces 4 insertions [inserts 1, 2, 3 et 4] sont uniques au 2019-nCoV et ne sont pas présentes dans les autres coronavirus analysés.

    ...

    Nous avons ensuite traduit le génome aligné et constaté que ces inserts sont présents dans tous les virus Wuhan 2019-nCoV, à l'exception du virus 2019-nCoV de Bat en tant qu'hôte [Fig.S4]. Intrigués par les 4 inserts hautement conservés uniques au 2019-nCoV, nous voulions comprendre leur origine. À cette fin, nous avons utilisé l'alignement local 2019-nCoV avec chaque insert comme requête contre tous les génomes de virus et considéré les hits avec une couverture de séquence de 100 %. Étonnamment, chacun des quatre inserts s'alignait avec de courts segments des protéines du virus de l'immunodéficience humaine-1 (VIH-1).

    Le journal maintenant retiré a suscité l'intérêt de plusieurs journalistes, dont Zero Hedge (dont le compte Twitter a été interdit un jour après que nous ayons mis à jour notre couverture de l'article, affirmant que nous avions "doxé" un scientifique chinois dans un rapport précédent).

    Grâce à une récente demande de la Freedom of Information Act (FOIA) pour les e-mails de Fauci, nous savons maintenant que les National Institutes of Health étaient non seulement au courant du rapport indien, mais discutaient activement de la manière de le gérer.

    Un e-mail du 31 janvier d'Issam Ahmed de l'AFP demande à l'immunologiste des NIH, le Dr Barney Graham, de commenter :

    "Un contact m'a dit que vous voudriez peut-être donner un avis sur cet article qui vient d'être mis en ligne. Cela suggère que le nouveau coronavirus a quatre inserts similaires au VIH-1 et ce n'est pas une coïncidence", lit-on dans l'e-mail.

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  6. Graham transmet immédiatement la correspondance au Bureau des communications et des relations gouvernementales (OCGR), en disant "C'est une question à laquelle nous ne voulons pas répondre sans une contribution de haut niveau, mais nous voulions que vous soyez au courant de la controverse croissante."

    Deux jours plus tard, Jennifer Routh OCGR répond, disant à Graham: "OCGR va envoyer une note au journaliste pour refuser, notant que le document n'est pas évalué par des pairs. Veuillez nous faire savoir si vous recevez des demandes similaires."

    Ce même dimanche matin, Fauci est en boucle – avec Sir Jeremy Farrar transmettant l'article de Zero Hedge après avoir mentionné comment le directeur de l'Organisation mondiale de la santé, Tedros Adhanom, et le chef de cabinet de l'organisation étaient en « conclave » – apparemment sur la façon de gérer le récit – notant « S'ils ne tergiversez [conneries avec le public], j'apprécierais un appel avec vous plus tard ce soir ou demain pour réfléchir à la manière dont nous pourrions aller de l'avant."

    « Avez-vous une minute pour un appel rapide ? » Fauci répond, après avoir qualifié le journal indien de "vraiment bizarre".

    Bien sûr, l'article indien a été rapidement retiré par ses auteurs, et l'idée que le COVID-19 aurait pu être fabriqué par l'homme a été rendue radioactive - pendant un certain temps.

    - voir doc sur site -

    En avril de l'année dernière, le Dr Luc Montagnier - lauréat du prix Nobel de médecine en 2008 pour avoir « découvert » le VIH comme cause de l'épidémie de sida - a affirmé que le SRAS-CoV-2 est un virus manipulé qui a été accidentellement libéré d'un laboratoire à Wuhan, en Chine.

    « Avec mon collègue, le bio-mathématicien Jean-Claude Perez, nous avons soigneusement analysé la description du génome de ce virus à ARN », explique Luc Montagnier, interrogé par le Dr Jean-François Lemoine pour le podcast quotidien de Pourquoi Docteur, ajoutant que d'autres ont déjà exploré cette piste :

    Des chercheurs indiens ont déjà tenté de publier les résultats des analyses qui ont montré que ce génome de coronavirus contenait des séquences d'un autre virus, … le virus VIH (virus du sida), mais ils ont été contraints de retirer leurs conclusions car la pression du grand public était trop forte. .

    L'intrigue s'est encore épaissie alors qu'une étude de scientifiques chinois publiée en mai 2020 a révélé que le nouveau coronavirus utilise la même stratégie pour échapper aux attaques du système immunitaire humain que le VIH.

    Puis, en juin dernier, l'ancien chef du MI-6, Sir Richard Dearlove, a déclaré qu'il pensait que COVID-19 était un virus d'origine humaine qui contient des sections «insérées» qui se sont accidentellement échappées d'un laboratoire chinois,

    Puis, en juin dernier, l'ancien chef du MI-6, Sir Richard Dearlove, a déclaré qu'il pensait que COVID-19 était un virus artificiel qui contient des sections «insérées» qui se sont accidentellement échappées d'un laboratoire chinois, selon The Telegraph.

    Mais Sir Richard, 75 ans, a souligné un article scientifique publié cette semaine par une équipe de recherche norvégienne-britannique qui prétend avoir découvert des indices dans la séquence génétique de Covid-19 suggérant que des éléments clés ont été "insérés" et n'ont peut-être pas évolué naturellement.

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  7. Intitulée « Une étiologie historique reconstruite du pic SARS-CoV-2 », la nouvelle étude, vue par The Telegraph, suggère que le virus est « un virus remarquablement bien adapté à la coexistence humaine » et est susceptible d'être le résultat d'un Expérience en laboratoire de Wuhan pour produire des « virus chimériques de haute puissance ».

    L'article conclut : « Désormais, ceux qui maintiendraient que la pandémie de Covid-19 est née d'un transfert zoonotique doivent expliquer précisément pourquoi ce récit plus parcimonieux est faux avant d'affirmer que leurs preuves sont convaincantes, surtout lorsque, comme nous le montrons également, il sont des erreurs déroutantes dans leur utilisation des preuves. » -Le télégraphe

    Le gouvernement australien a annulé la poursuite du développement d'un vaccin COVID-19 en décembre 2020 après que plusieurs participants à l'essai ont eu des tests faussement positifs pour le VIH.

    Plus récemment, deux virologues européens ont déclaré avoir trouvé des « empreintes digitales » génétiques qui prouvent que le COVID-19 a été créé par l'homme.

    Le professeur britannique Angus Dalgleish - mieux connu pour avoir créé le premier "vaccin contre le VIH" au monde, et le virologue norvégien Dr Birger Sørensen - président de la société pharmaceutique Immunor, qui a publié 31 articles évalués par des pairs et détient plusieurs brevets, ont écrit qu'en analysant le virus l'année dernière, le couple a découvert des "empreintes digitales uniques" sous la forme de "six inserts" créés grâce à la recherche sur le gain de fonction à l'Institut de virologie de Wuhan en Chine.

    Ils concluent également que « le SRAS-Coronavirus-2 n'a « aucun ancêtre naturel crédible » et qu'il est « au-delà de tout doute raisonnable » que le virus a été créé via une « manipulation en laboratoire ».

    Nous ne pouvons qu'imaginer ce que le NIH et Fauci disent maintenant à propos de cette théorie.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/fauci-emails-reveal-damage-control-scramble-after-zerohedge-spotlights-man-made-covid-19

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  8. 117 employés intentent une action en justice contre l'hôpital du Texas pour avoir mandaté le vaccin COVID-19


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 01 JUIN 2021 - 17:20
    Rédigé par Jack Phillips via Epoch Times,


    Plus de 100 employés de l'hôpital méthodiste de Houston ont déposé une plainte contre leur employeur pour avoir exigé que tous les membres du personnel reçoivent un vaccin COVID-19 afin de conserver leur emploi.

    Disant que les vaccins COVID-19 sont expérimentaux et qu'ils ne veulent pas être des «cobayes», les 117 employés ont fait valoir devant le tribunal qu'il était illégal pour leurs employeurs de les obliger à prendre les vaccins.

    "Methodist Hospital oblige ses employés à être des 'cobayes' humains comme condition de maintien dans l'emploi", indique leur procès (pdf). Ils ont écrit que le mandat de vaccination COVID-19 de l'hôpital "exige que l'employé se soumette à une expérimentation médicale comme condition préalable à l'alimentation de sa famille".

    Ils ont contesté la réception de vaccins «expérimentaux à ARNm COVID-19» tels que ceux fabriqués par Pfizer et Moderna.

    "Pour la première fois dans l'histoire des États-Unis, un employeur oblige un employé à participer à un essai de vaccin expérimental comme condition de maintien dans l'emploi", indique le procès.

    Les plaignants ont cité une lettre – incluse dans le procès – du PDG et président de Houston Methodist, Marc Boom, qui aurait demandé aux employés de « veuillez consulter la politique des ressources humaines qui décrit les conséquences du non-respect d'ici le 7 juin, notamment la suspension et éventuellement la résiliation.

    Pendant ce temps, au sommet du procès, une citation présumée de David Bernard, PDG d'une branche méthodiste de Houston, a été incluse. Bernard aurait déclaré à un employé que « la vaccination à 100 % est plus importante que votre liberté individuelle. … Tout le monde [sic] d'entre vous est remplaçable. Si vous n'aimez pas ce que votre [sic] fait, vous pouvez partir et nous remplacerons votre place.

    Un porte-parole de Houston Methodist a contesté la citation dans une déclaration à Epoch Times, affirmant le 30 mai que Bernard « n'avait PAS dit cela à cet employé mécontent », et qu'il « avait du respect pour tous ses employés – nous sommes une organisation fondée sur des valeurs. avec le respect comme l'une de nos valeurs fondamentales. Le porte-parole n'a pas commenté la lettre de Boom.

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  9. Le procès a également affirmé que les employeurs mandatant les vaccins COVID-19 sont problématiques car « il y a beaucoup » que la Food and Drug Administration (FDA) « ne connaît pas ces produits même si elle les autorise pour une utilisation d'urgence, y compris leur efficacité contre l'infection, la mort et la transmission du SRAS-CoV-2, le virus qui serait à l'origine de la maladie COVID. » La FDA a approuvé une autorisation d'utilisation d'urgence pour les vaccins fabriqués par Moderna et Pfizer en décembre 2020 et a donné l'autorisation d'urgence pour le vaccin de Johnson & Johnson au début de 2021.

    Le procès a été déposé par Jared Woodfill, un avocat de la région de Houston, qui a déclaré à ABC News que le mandat méthodiste de Houston violait le Code de Nuremberg de 1947, écrit après la chute du régime nazi en Allemagne.

    «Pour promouvoir son entreprise et augmenter ses bénéfices au détriment des autres prestataires de soins de santé et de la santé de leurs employés, les défendeurs annoncent au public qu'ils« exigent que tous les employés et médecins salariés reçoivent un vaccin COVID-19 ». les employés sont forcés de servir de « cobayes » humains pour augmenter les profits des accusés », a déclaré Woodfill, ajoutant qu'il s'agissait d'une violation « grave et flagrante » de la loi du Texas et du Code de Nuremberg, un ensemble de principes d'éthique de la recherche relatifs à l'homme expérimentation.

    Houston Methodist, a affirmé l'avocat, a forcé les employés à se faire vacciner pour "promouvoir son entreprise" au détriment de la "santé de ses employés". Il a noté que la plupart des plaignants dans la poursuite ne sont pas des prestataires de soins de santé.

    Boom a publié une déclaration après le dépôt de la plainte, affirmant que 99% des près de 30 000 employés de l'hôpital ont reçu un vaccin COVID-19.

    « Nous soutenons fièrement nos employés et notre mission de protéger nos patients.

    "Il est regrettable que les quelques employés restants qui refusent de se faire vacciner et donnent la priorité à nos patients réagissent de cette manière", a déclaré Boom, selon un porte-parole du système hospitalier. « Il est légal pour les établissements de santé d'imposer des vaccins, comme nous l'avons fait avec le vaccin contre la grippe depuis 2009. »

    Une réponse juridique complète de Houston Methodist n'a pas encore été déposée.

    Le porte-parole méthodiste de Houston a également inclus un lien vers la Commission fédérale pour l'égalité des chances en matière d'emploi (EEOC) le 28 mai ayant publié des directives mises à jour suggérant que les employeurs peuvent faire vacciner leurs employés.

    Selon les directives de l'agence publiées le 28 mai, les lois de l'EEOC «n'empêchent pas un employeur d'exiger que tous les employés entrant physiquement sur le lieu de travail soient vaccinés contre le COVID-19, tant que les employeurs se conforment aux dispositions d'aménagement raisonnable de l'ADA et du titre VII. du Civil Rights Act de 1964 et d'autres considérations relatives au TEE.

    "D'autres lois, ne relevant pas de la compétence de l'EEOC, peuvent imposer des restrictions supplémentaires aux employeurs."

    La poursuite a été déposée devant un tribunal d'État du comté de Montgomery, au Texas, et allègue un renvoi injustifié ainsi qu'une violation de l'exception d'ordre public de la doctrine de l'emploi à volonté.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/117-employees-file-lawsuit-against-texas-hospital-mandating-covid-19-vaccine

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  10. Un initié de Facebook siffle la censure des vaccins


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    2 juin 2021


    Le 24 mai 2021, Project Veritas a publié une interview vidéo1 avec deux dénonciateurs d'initiés Facebook – un technicien de centre de données et un ingénieur d'installation de centre de données – qui ont présenté des documents internes montrant comment la plate-forme de médias sociaux supprime la science et les faits médicaux au nom de lutter contre « l'hésitation vaccinale ».

    Facebook a récemment déployé un test bêta conçu pour censurer les informations négatives sur les vaccins – quelle que soit leur véracité et leur véracité – dans le but de déployer éventuellement ce programme de censure dans tous les pays, dans autant de langues que possible.

    Les documents prouvent que Facebook travaille au nom de Big Pharma et en coordination avec les Centers for Disease Control des États-Unis et l'Organisation mondiale de la santé pour protéger et diffuser le faux récit selon lequel les vaccins COVID-19 sont sûrs et efficaces pour tout le monde. La plateforme cache même des publications dans lesquelles les personnes qui ont consciencieusement reçu les clichés parlent de leurs effets néfastes.

    Réticence à la vaccination Commentaire Rétrogradation

    Selon les documents internes, Facebook teste en version bêta un nouvel algorithme qui classe les utilisateurs qui publient des informations contre-récitatives sur les vaccins dans les niveaux « hésitation au vaccin » (VH). Les utilisateurs se voient secrètement attribuer un «score VH» qui dicte si leurs publications et commentaires seront supprimés, rétrogradés ou laissés seuls, qu'ils soient ou non exacts. Selon le projet Veritas :2

    "L'initié … a révélé que le géant de la technologie effectuait le" test "sur 1,5% de ses 3,8 milliards d'utilisateurs en mettant l'accent sur les sections de commentaires sur les" pages de santé faisant autorité. "" Ils essaient de contrôler ce contenu avant même qu'il ne le fasse. sur votre page, avant même que vous ne la voyiez », l'initié [a dit] …

    L'objectif déclaré de cette fonctionnalité est de « réduire considérablement l'exposition des utilisateurs » aux commentaires VH. Un autre objectif du programme est de forcer une "diminution de l'engagement d'autres commentaires VH, y compris la création, les mentions J'aime, les rapports [et] les réponses".

    Système d'évaluation à deux niveaux pour le contenu des vaccins

    Le contenu du vaccin est évalué en fonction de sa capacité perçue à « décourager la vaccination dans certains contextes, contribuant ainsi à l'hésitation ou au refus de la vaccination ». Selon un document « Borderline Vaccine Framework », le contenu du vaccin est « hiérarchisé… en fonction des dommages potentiels et du contexte requis pour évaluer les dommages ». Les cotes sont divisées en trois niveaux principaux :3

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  11. Découragement explicite de la vaccination COVID
    Alarmisme, critique
    Découragement indirect des vaccins – Cela comprend féliciter les personnes qui ont refusé le vaccin, « histoires choquantes » qui peuvent dissuader les gens de se faire vacciner, promouvoir des alternatives à la vaccination ou « suggérer que l'immunité naturelle est meilleure que de se faire vacciner », en minimisant les risques de COVID naturel -19, exprimant des objections personnelles ou un scepticisme à l'égard du vaccin, et même « discussion ou débat neutre »
    Selon l'endroit où votre commentaire se situe dans ces niveaux, votre publication ou commentaire sera soit supprimé, soit «rétrogradé» à des degrés divers. Comme l'a noté le journaliste d'investigation et fondateur de Project Veritas, James O'Keefe, dans une interview à Fox News :4

    "Ce qui est remarquable à propos de ces documents privés... c'est que" Niveau 2 "[violation] dit même si les faits sont vrais... vous serez ciblé et rétrogradé - vos commentaires seront ciblés et rétrogradés."

    Bien qu'il ne soit pas clair qui a approuvé ce test bêta, les auteurs répertoriés du programme de « rétrogradation des commentaires d'hésitation au vaccin » sont l'ingénieur logiciel senior Joo Ho Yeo5 ; le data scientist Nick Gibian6 qui, selon LinkedIn, travaille sur la désinformation en matière de santé et le harcèlement civique ; l'ingénieur logiciel Hendrick Townley, qui déclare que ses principaux intérêts sont « d'exploiter la technologie et la compréhension technique pour renforcer nos institutions démocratiques et résoudre les problèmes politiques urgents »7 ; Amit Bahl, spécialiste de l'apprentissage automatique et des données,8 et chef de produit Matt Gilles.9

    Une nouvelle forme d'interdiction de l'ombre

    La stratégie de rétrogradation des commentaires actuellement testée en version bêta est très similaire à l'interdiction fantôme, où un utilisateur a été secrètement banni - ce qui signifie qu'aucun de ses abonnés ne peut réellement voir ses messages - mais il continue de publier parce qu'il ne sait pas que le contenu est n'étant pas diffusé.

    Des documents internes révèlent que cette stratégie de suppression réduit actuellement les commentaires « réticents au vaccin » de 42,5% au sein du groupe test.
    Dans le cadre de ce système de suppression d'informations à deux niveaux, vous ne saurez pas si vos publications ou commentaires sont supprimés et ne peuvent pas être vus par les autres utilisateurs, et dans quelle mesure votre publication ou commentaire est supprimé. En général, cependant, les documents internes révèlent que cette stratégie de suppression réduit actuellement les commentaires « réticents au vaccin » de 42,5 % au sein du groupe test.

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  12. Facebook supprime activement la science qui sauve des vies

    Maintenant, un exemple de commentaire « hésitant au vaccin » n'est pas simplement « Je ne sais pas si je veux le vaccin ». Il comprend également des commentaires tels que « J'ai vu une étude selon laquelle une personne est décédée après avoir reçu le vaccin » et des expériences personnelles telles que « Douleur atroce après mon deuxième vaccin ! Je tremblais tellement, presque jusqu'à des convulsions.

    Facebook censure et met même des étiquettes de « fausses nouvelles » sur les données obtenues directement du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), qui est géré conjointement par les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis et la Food and Drug Administration des États-Unis.

    Ceci malgré une politique publique visant à « supprimer le contenu qui répète … de fausses informations sur la santé … qui sont largement démystifiées par les principales organisations de santé telles que l'Organisation mondiale de la santé et le CDC ».

    Ils justifient cela en déclarant que les données du VAERS et d'autres résultats d'études ne peuvent être communiqués que si un « contexte complet » est fourni. Mais comme l'a noté le dénonciateur, c'est un terme très ambigu. Qu'est-ce que le contexte complet ? Faut-il publier une étude entière pour qu'elle soit contextuelle ?

    En dernière analyse, il est clair que Facebook supprime et censure activement la science, les faits médicaux et les expériences personnelles de première main, et ce faisant, ils mettent le monde entier en danger. En supprimant des informations cruciales sur les risques vaccinaux, ils éliminent toute possibilité de consentement éclairé car il est impossible de comprendre les risques.

    Ils font la promotion d'une ignorance qui peut, et je crois fermement, tuera littéralement bon nombre de leurs utilisateurs. Et, puisque Facebook admet ouvertement coordonner sa censure avec le CDC et l'OMS, on peut probablement en dire autant de ces deux organisations. Comme le dit l'un des dénonciateurs à O'Keefe :

    « [Zuckerberg veut] construire une communauté où tout le monde se conforme – pas où les gens peuvent avoir un discours et un dialogue ouverts sur les décisions les plus personnelles, privées et intimes. Le récit [est] d'obtenir le vaccin, le vaccin est bon pour vous, tout le monde devrait le recevoir. Si vous ne le faites pas, vous serez désigné comme un ennemi de la société. »

    Facebook est passé de Digital Town Square à Digital Jail

    Le deuxième dénonciateur, un ingénieur des installations du centre de données, a déclaré que Facebook "interdit désormais aux gens d'avoir un dialogue ouvert sur les problèmes qui affectent leur sécurité personnelle". Il compare la plate-forme à un partenaire abusif qui ne permet pas à son conjoint de parler à ses amis et à sa famille de ce qui se passe à huis clos.

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  13. Ironiquement, une vidéo divulguée du même dénonciateur montre le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, à la mi-juillet 2020, exprimant sa propre hésitation face au vaccin lors d'une vidéoconférence.

    "Je veux juste m'assurer que je partage une certaine prudence à ce sujet parce que nous ne connaissons tout simplement pas les effets secondaires à long terme de la modification fondamentale de l'ADN et de l'ARN des gens", a déclaré Zuckerberg à son équipe, faisant référence aux vaccins COVID-19 en cours de développement. .

    Comme l'a noté O'Keefe, les propres mots de Zuckerberg violeraient désormais la politique publique et les règles d'expression de son entreprise.

    La défense de la santé des enfants poursuit Facebook pour censure

    Dans des nouvelles connexes, Children's Health Defence (CHD) a poursuivi Facebook en août 2020, accusant l'entreprise, son PDG, Zuckerberg, et plusieurs organisations de vérification des faits de "censurer des publications de santé publique véridiques et d'avoir frauduleusement présenté et diffamé l'organisation de la santé des enfants". 10 Tel que rapporté par The Defender, 25 mai 2021 : 11

    "La plainte12 allègue que Facebook a des" conflits insidieux "avec l'industrie pharmaceutique et les agences de santé, et détaille des allégations factuelles concernant le CDC, la Fondation CDC et les relations et collaborations étendues de l'Organisation mondiale de la santé avec Facebook et Zuckerberg, remettant en question la collaboration de Facebook avec le gouvernement dans une campagne de censure.

    Facebook censure la page de CHD, ciblant les informations factuelles sur les vaccins, la 5G et les agences de santé publique. Le 10 février, le président de CHD, Robert F. Kennedy, Jr., a détrôné Instagram, propriété de Facebook, sans préavis ni explication.

    Les avocats de la défense de la santé des enfants attendent la décision de la juge Susan Illston après que les accusés ont déposé une requête en rejet dans le cadre du procès du CHD alléguant une censure parrainée par le gouvernement, un faux dénigrement et une fraude par fil.

    Le gouverneur de Floride signe une loi pour réprimer la censure

    Il semble qu'une action en justice soit le seul moyen de freiner la censure qui est devenue incontrôlable, et la Floride, mon État d'origine, ouvre la voie avec une toute nouvelle législation, SB 7072,13 pour tenir les sociétés de médias sociaux responsables de leur censure. . Tel que rapporté par NBC News, 24 mai 2021 : 14

    « Le gouverneur de Floride Ron DeSantis… a déclaré que le projet de loi… réprime… la « censure » des réseaux sociaux tout en protégeant la capacité des Floridiens à accéder aux plateformes de réseaux sociaux. "L'une de leurs missions principales semble être de supprimer les idées qui sont soit gênantes pour le récit, soit avec lesquelles ils sont personnellement en désaccord", a déclaré DeSantis…

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  14. DeSantis… et d'autres ont accusé les sociétés de médias sociaux de censurer la pensée conservatrice en supprimant des publications ou en utilisant des algorithmes qui réduisent la visibilité des publications…

    Le projet de loi impose également de lourdes sanctions financières aux plateformes de médias sociaux qui suspendent les comptes des candidats politiques. Le projet de loi imposerait aux entreprises une amende de 250 000 $ par jour pour le faire…

    Le procureur général de la Floride peut intenter une action contre les entreprises technologiques qui violent la loi, en vertu de la loi de Floride sur les pratiques commerciales déloyales et trompeuses, et les plateformes de médias sociaux qui ont enfreint la loi antitrust ne pourront pas contracter avec une entité publique, a déclaré DeSantis.

    Le projet de loi permet également aux utilisateurs privés d'intenter des poursuites pour certaines violations, avec des dommages-intérêts légaux totalisant jusqu'à 100 000 $ par réclamation prouvée ou dommages réels, plus des dommages-intérêts punitifs « si des facteurs aggravants sont présents ».

    Facebook nuit également aux utilisateurs d'autres manières

    Comme détaillé dans « Harvard Professor Exposes Surveillance Capitalism », qui présente une interview de Shoshana Zuboff, auteur du livre « The Age of Surveillance Capitalism », les plateformes de médias sociaux gratuites ne sont pas gratuites. Vous payez avec vos données personnelles.

    Ainsi, non seulement Facebook et d'autres sociétés de médias sociaux suppriment votre liberté d'expression - souvent à la demande de représentants du gouvernement, ce qui est illégal - ils volent également vos données personnelles et les utilisent pour vous contrôler et vous manipuler.

    Leur fonction principale n'est pas réellement de vous permettre de communiquer avec les autres. Leur fonction principale est la surveillance, la collecte de données et l'ingénierie sociale. En d'autres termes, vous êtes la marchandise, et non l'inverse. Ils ont besoin de vous bien plus que vous n'en avez besoin.

    Des entreprises comme Facebook, Google et des tiers de toutes sortes ont le pouvoir, et utilisent ce pouvoir, de cibler vos démons intérieurs personnels, de vous déclencher et de profiter de vous lorsque vous êtes le plus vulnérable pour vous inciter à l'action qui les sert, commercialement ou politiquement.

    Votre existence entière - même vos humeurs changeantes, déchiffrées par un logiciel de reconnaissance faciale - est devenue une source de revenus pour les personnes morales car vous êtes intelligemment manœuvré pour faire (et généralement acheter) ou penser quelque chose que vous n'avez peut-être pas fait, acheté ou pensé autrement.

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  15. Les expériences massives de Facebook, dans lesquelles ils ont utilisé des indices subliminaux pour voir s'ils pouvaient rendre les gens plus heureux ou plus tristes et affecter le comportement du monde réel hors ligne, ont prouvé qu'en manipulant le langage et en insérant des indices subliminaux dans le contexte en ligne - ils peuvent changer le monde réel comportement et les émotions du monde réel, et que ces méthodes et pouvoirs peuvent être exercés « en contournant la conscience de l'utilisateur ».

    D'autres technologies, telles que les systèmes de sécurité numériques, utilisent des microphones cachés pour espionner vos conversations privées. Tous ces flux de données, provenant de téléphones portables, d'ordinateurs, d'appareils « intelligents » et de caméras vidéo dans les espaces publics ajoutent aux capacités de modélisation prédictive en constante expansion qui, en fin de compte, sont utilisées pour vous contrôler et vous manipuler.

    Nous avons besoin de nouvelles lois

    Comme l'a noté Zuboff, la raison pour laquelle nous nous trouvons dans cette situation effrayante est qu'il n'y a pas de lois en place pour restreindre ce tout nouveau type de capitalisme de surveillance. En effet, la seule raison pour laquelle il a pu prospérer au cours des 20 dernières années est qu'il n'y a pas eu de lois contre lui, principalement parce qu'il n'a jamais existé auparavant.

    Google et Facebook étaient les seuls à savoir ce qu'ils faisaient. Le réseau de surveillance s'est développé dans l'ombre, à l'insu du public ou des législateurs. La bonne nouvelle est qu'il n'est pas trop tard pour reprendre à la fois notre vie privée - et notre liberté d'expression en ligne - mais nous avons besoin d'une législation qui traite de la réalité de l'ensemble de l'étendue et de la profondeur de ces systèmes dans leur intégralité. Comme l'a noté Zuboff :16

    « Le choix de transformer n'importe quel aspect de sa vie en données doit appartenir aux individus en vertu de leurs droits dans une société démocratique. Cela signifie, par exemple, que les entreprises ne peuvent pas revendiquer le droit à votre visage, ou utiliser votre visage comme matière première gratuite pour l'analyse, ou posséder et vendre des produits informatiques qui dérivent de votre visage…

    Tout ce qui est fait par les humains peut être défait par les humains. Le capitalisme de surveillance est jeune, à peine 20 ans en gestation, mais la démocratie est ancienne, enracinée dans des générations d'espoir et de contestation.

    Les capitalistes de la surveillance sont riches et puissants, mais ils ne sont pas invulnérables. Ils ont un talon d'Achille : la peur. Ils craignent les législateurs qui ne les craignent pas. Ils craignent les citoyens qui exigent une nouvelle voie à suivre alors qu'ils insistent sur de nouvelles réponses aux vieilles questions : qui saura ? Qui décidera qui sait ? Qui décidera qui décide ? Qui écrira la musique et qui dansera ?

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  16. Comment protéger votre confidentialité en ligne

    S'il ne fait aucun doute que nous avons besoin d'un tout nouveau cadre législatif pour réduire le capitalisme de surveillance et la censure, en attendant, il existe des moyens de protéger votre vie privée en ligne et de limiter les « données comportementales excédentaires » collectées à votre sujet. (Pour l'instant, vous ne pouvez pas faire grand-chose contre la censure en ligne, à part encourager les législateurs de votre État à y remédier, comme la Floride vient de commencer à le faire.) Pour protéger votre vie privée, envisagez de prendre les mesures suivantes :17

    - voir cadre sur site -

    Sources and References

    1, 2 Project Veritas May 24, 2021
    3 Project Veritas May 24, 2021, Image 4 and 8
    4 Fox News May 25, 2021
    5 Pulse
    6 LinkedIn, Nicholas Gibian
    7 LinkedIn, Hendrick (Henry) T.
    8 LinkedIn, Amit Bahl
    9 LinkedIn, Matt Gilles
    10, 11 The Defender May 25, 2021
    12 Children’s Health Defense Case 3:20-cv-05787-SI
    13 Florida Senate SB7072: Social Media Platforms
    14 NBC News May 24, 2021
    15 Florida Senate SB7072: Social Media Platforms, line 567-578
    16 New York Times January 24, 2020 (Archived)
    17 Medium March 17, 2017

    https://www.lewrockwell.com/2021/06/joseph-mercola/facebook-insider-blows-whistle-on-vaccine-censorship/

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  17. Les bloqueurs des acides biliaires hypocholestérolémiants augmentent le risque de déclin mental

    Une étude choquante révèle qu'une classe de médicaments hypocholestérolémiants largement prescrits qui se lient à la bile sont associées à un risque accru de démence chez les hommes. L'antidote est la vitamine C.


    Par Bill Sardi
    2 juin 2021


    Pour la première fois, des chercheurs médicaux ont établi un lien entre des irrégularités dans la décomposition du cholestérol en bile et le développement de la démence (oubli, réflexion, avoir un « moment adulte) ».

    Depuis plus de 40 ans, les médecins prescrivent une classe de médicaments hypocholestérolémiants qui se lient à la bile, la bile étant composée de cholestérol. Les médicaments qui tentent d'abaisser les taux de cholestérol circulant sont maintenant associés à la plaque bêta-amyloïde dans le cerveau.

    Ces résultats ont été principalement observés chez les hommes. La pratique pharmacologique consistant à abaisser les taux de bile avec l'utilisation de médicaments liant la bile (chélateurs des acides biliaires) peut altérer la signalisation dans le cerveau, ce qui peut à son tour expliquer la démence chez les hommes adultes.

    Les chercheurs ont également découvert que des concentrations sériques plus élevées d'acide biliaire sont associées à une diminution des dépôts d'amyloïde dans le cerveau et à une atrophie cérébrale plus lente (rétrécissement) chez les hommes.

    L'utilisation de médicaments chélateurs de la bile était également corrélée à de faibles taux sanguins de vitamine D. La bile aide au métabolisme de la vitamine D provenant de sources alimentaires. Ce rapport révolutionnaire est publié dans PLOS MEDICINE, le 27 mai 2021.

    Liants d'acide biliaire

    Les liants d'acides biliaires sont utilisés depuis les années 1970 pour réduire les taux de cholestérol circulant.

    Les médicaments chélateurs des acides biliaires se lient au cholestérol dans l'intestin, empêchant la réabsorption. Les médicaments impliqués sont : Cholestyramine {Questran, Prevalite}, Colestipol {Colestid}, Colesevelam {Welchol}).

    Les acides biliaires représentent la principale voie de dégradation du cholestérol (catabolisme) et représentent environ 50 % du renouvellement et de l'élimination quotidiens du cholestérol.

    Les acides biliaires, produits dans le foie, facilitent la digestion et l'absorption des graisses dans l'intestin grêle et régulent l'homéostasie du cholestérol. Au cours de la dernière décennie, cependant, il est devenu clair que les acides biliaires ne sont pas simplement des détergents digestifs. La bile a des fonctions en dehors du tube digestif.

    Cofacteurs de la bile

    Les nutriments jouent un rôle dans le métabolisme du cholestérol en bile. La vitamine C, l'acide aminé taurine, l'oxygène, un dérivé de la niacine (nicotinamide adénine dinucléotide phosphate (NADPH), la choline et la bétaïne (triméthylglycine) sont nécessaires pour convertir le cholestérol en bile.

    La bile, produite dans le foie et stockée dans la vésicule biliaire, est transportée hors du foie par les acides aminés glycine et taurine.

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  18. Vitamine C, bile et calculs biliaires

    Dans les années 1970, le chercheur slovaque Emil Ginter a démontré que la transformation du cholestérol en bile est contrôlée par la vitamine C.

    Des doses élevées d'acide ascorbique stimulent de manière significative la transformation du cholestérol en acides biliaires chez le cobaye et diminuent la concentration plasmatique de cholestérol chez l'homme.

    La thérapie à la vitamine C pour le cholestérol élevé a été évitée pendant plus de cinq décennies.

    La vitamine C est également un préventif contre les calculs biliaires. Les animaux carencés en acide ascorbique développent plus fréquemment des calculs biliaires de cholestérol.

    Bile et œstrogène

    Les femmes développent des calculs biliaires différemment des hommes. La grossesse, les contraceptifs oraux et le traitement hormonal substitutif contribuent tous à la formation de calculs biliaires. Les œstrogènes augmentent le risque de maladie de la vésicule biliaire ou de chirurgie.

    En effet, les œstrogènes et la progestérone augmentent la conversion du rapport cholestérol/bile dans la vésicule biliaire, entraînant une sursaturation et une bile plus épaisse.

    La bile est un agent important dans l'élimination des œstrogènes et de ses métabolites par le foie. Moins il y a de bile, plus l'élimination des œstrogènes est lente à la fin du cycle mensuel d'une femme. Les femmes présentent alors des symptômes tels que des crampes, une sensibilité mammaire, une rétention d'eau et de l'acné.

    Autres maladies associées à un flux biliaire anormal

    La bile est également cruciale pour une bonne absorption des vitamines liposolubles A, D, E et K et du cholestérol. Ces médicaments liant la bile peuvent empêcher l'absorption de l'acide folique et des vitamines liposolubles A, D, E et K. Des études chez l'animal suggèrent que le calcium et le zinc peuvent également être épuisés en prenant une classe de ces médicaments (cholestyramine).

    Le problème du mauvais écoulement de la bile est aggravé par l'ablation chirurgicale de la vésicule biliaire, qui est un entrepôt et un « pistolet à eau » pour la bile.

    Il y a des centaines de milliers de chirurgies d'ablation de la vésicule biliaire chaque année en raison de calculs ou de symptômes causés par une bile épaisse et boueuse.

    Il y a d'autres conséquences néfastes qui émanent de l'utilisation chronique de liants d'acides biliaires.

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  19. L'acide biliaire entraîne moins d'inflammation intestinale et améliore la fonction intestinale/barrière (intestin qui fuit). La production et le flux sains d'acides biliaires réduisent le risque de fuite intestinale.
    Et encore un autre lien – – l'intolérance au gluten et la maladie cœliaque sont associées à une prévalence accrue de calculs biliaires.
    Une autre anomalie qui émane d'un mauvais flux biliaire est l'urticaire chronique. Peu de médecins font le lien entre

    L'acide biliaire entraîne moins d'inflammation intestinale et améliore la fonction intestinale/barrière (intestin qui fuit). La production et le flux sains d'acides biliaires réduisent le risque de fuite intestinale.

    Et encore un autre lien – – l'intolérance au gluten et la maladie cœliaque sont associées à une prévalence accrue de calculs biliaires.
    Une autre anomalie qui émane d'un mauvais flux biliaire est l'urticaire chronique. Peu de médecins font le lien entre l'urticaire et une mauvaise circulation biliaire.

    La bile boueuse et épaisse peut entraîner une urine foncée, des selles de couleur claire, des selles grasses/nauséabondes, de faibles niveaux de vitamine D, de calcium et de vitamine K et des démangeaisons généralisées.
    Ceci est un autre exemple de médecins vantant les médicaments d'ordonnance à l'exclusion de la thérapie vitaminique.

    https://www.lewrockwell.com/2021/06/no_author/cholesterol-lowering-bile-acid-blockers-increase-risk-for-mental-decline/

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  20. Vaccin obligatoire : comment Macron va le mettre en place


    Éric Verhaeghe
    Le courrier des stratèges
    mar., 01 juin 2021 21:40 UTC


    Le vaccin obligatoire n'était pas pour la France avait juré ses grands dieux Emmanuel Macron à l'automne. Mais peu à peu, selon la technique du curiaçage, on comprend qu'il y mettra le temps qu'il faudrait, mais l'obligation vaccinale s'imposera de fait.

    Voici les ruses et astuces que le pouvoir exécutif utilise ou va utiliser pour préparer cette décision à laquelle les Français sont largement opposés.

    Macron avait expliqué qu'il était hostile au vaccin obligatoire. Mais, fidèle à une habitude de mensonge utilisé comme technique ordinaire de gouvernement (qu'il a théorisée par le « en même temps », qui aurait à dire tout et son contraire), le Président laisse filer une stratégie de petits pas pour faire le contraire de ce qu'il avait promis. Voici comment va se mettre en place le vaccin obligatoire en France.

    Le vaccin obligatoire par le curiaçage

    Pour mettre en place le vaccin obligatoire, Emmanuel Macron ne sortira pas de son chapeau l'un de ses flashs totalitaires, comme celui qu'il a utilisé pour le pass sanitaire, où une mesure venue de nulle part est brutalement imposée sans crier garde. Pour le vaccin obligatoire, il a choisi de recourir au curiaçage (la technique utilisée par le dernier des Curiaces pour combattre les Horaces, à savoir passer à l'offensive étape par étape, petit pas par petit pas).

    En l'espèce, l'offensive a commencé depuis plusieurs mois, avec l'annonce d'un renoncement à l'obligation vaccinale. Après cette promesse ferme et claire de la fin novembre 2020, Macron a fait le choix d'avancer masqué et de préparer progressivement l'opinion à un revirement de dernière minute.

    L'instrumentalisation de la science

    Pour opérer ce revirement, Macron compte bien s'appuyer sur la voix des scientifiques (qu'il a foulée aux pieds sur la question du pass sanitaire), qui eux-mêmes procèdent par curiaçage. Ainsi l'Académie Nationale de Médecine a-t-elle opéré hier un premier curiaçage en demandant l'obligation de vaccination pour certaines professions et pour les enfants.

    Cette mesure n'est sanitaire qu'en apparence, puisque le COVID ne menace pas les enfants, et puisque le vaccin n'a qu'un effet de moyenne durée (quelques mois au plus). L'objectif est évidemment de banaliser, dans les esprits, l'obligation vaccinale pour justifier plus facilement sa généralisation dans quelques mois.

    Et voici comment des scientifiques, qui sont souvent des ayatollahs du Big Pharma (grâce auxquels ils arrondissent régulièrement leurs fins de mois), se prêtent volontiers au jeu de la politique : en « installant » la question de la vaccination obligatoire dans le débat public.

    La marginalisation progressive des réfractaires

    L'autre volet du curiaçage en cours consiste à marginaliser progressivement tous ceux qui ne sont pas vaccinés. Entre le pass sanitaire pour le passage des frontières, le cahier de rappel obligatoire dans les restaurants, et les campagnes publiques pour la vaccination obligatoire, ceux qui auront échappé au vaccin seront très isolés, et même privés d'une vie normale.

    Finalement, il restera possible, pendant quelques mois, d'échapper au vaccin. Mais la punition sera celle d'un bannissement d'un grand nombre de lieux publics.

    https://fr.sott.net/article/37346-Vaccin-obligatoire-comment-Macron-va-le-mettre-en-place

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