- ENTREE de SECOURS -



dimanche 30 juin 2019

CAVALE SANS PITIE - Michael Madsen, Jeff Wincott, Victoria Snow

https://www.youtube.com/watch?v=NaLti8Ie-zg

38 commentaires:

  1. Brève. Crise climatique : nuages de très haute altitude au dessus de Paris.


    le 30 juin 2019


    Cette photo a été prise par Bertrand Kulik le 21 juin 2019 et publiée sur le site Spaceweather.com car il s’agit d’une information intéressante pour plusieurs raisons. D’abord les nuages noctilucents (ou noctulescents) sont normalement invisibles au sud d’une latitude de 50 degrés nord dans l’hémisphère nord. Ce sont des nuages de très haute altitude – entre 75 et 85 kilomètres d’altitude – formés de cristaux de glace d’une taille inférieure à 0,1 micron. Il faut deux facteurs pour que de tels nuages de glace se forment. D’une part il est requis qu’il existe une température inférieure à moins 120 °C pour que ces cristaux se forment, ce qui est le cas à de telles altitudes, et d’autre part il faut qu’il existe aussi des « foyers de condensation » du peu de molécules d’eau présentes, environ mille fois moins que l’air le plus sec trouvé à la surface de la Terre, en particulier au Sahara. Ces foyers de condensation sont des entités moléculaires ionisées qui vont agréger progressivement les rares molécules d’eau présentes.

    D’où proviennent ces « foyers de condensation » ? Essentiellement des rayons cosmiques qui ionisent les molécules d’oxygène et d’azote. La présence de tels nuages au dessus du nord de la France indique donc que le bombardement cosmique est suffisamment intense pour provoquer la formation de ces derniers et donc d’une densité importante de ces foyers de condensation. Cette observation signifie d’une part que l’activité magnétique solaire est au plus bas et d’autre part que ces nuages de très haute altitude augmentent significativement l’albedo de l’atmosphère terrestre (cf. la note en fin de billet). En d’autres termes l’observation de tels nuages dans une zone aussi méridionale est un mauvais présage pour l’évolution à venir du climat. Comme l’ont prédit de nombreux spécialistes du Soleil, le climat va se refroidir dans les prochaines années. Il faut ajouter qu’il y a quelques jours des nuages noctilucents ont été également observés depuis le nord de la Floride et du Texas. Il y a vraiment de quoi s’inquiéter car ici resurgit l’hypothèse de Svensmark exposée dans un billet de ce blog (lien) qui a été torpillée par l’IPCC.

    Les esprits aveuglés par la propagande climatique ayant trouvé l’argument de la vague de chaleur actuelle sur l’Europe pour renforcer leur opinion au sujet du changement climatique trouveront que cette brève est une « fake-news », pourtant il n’en est rien. La NASA elle-même vient d’admettre que finalement c’est bien le Soleil qui agit de manière prépondérante sur le climat, ce qui fera l’objet d’un prochain billet sur cette rubrique.

    Source : https://www.perspectaweather.com

    Lien : https://jacqueshenry.wordpress.com/2018/02/03/crise-climatique-le-role-preponderant-mais-indirect-de-lactivite-magnetique-solaire-sur-le-climat-terrestre-est-incontestable/

    Note. L’albedo d’une surface, une grandeur comprise entre 0 et 1, est la mesure du pouvoir réfléchissant de la lumière. Si on n’arrive pas à voir les nuages noctilucents pendant le jour ce n’est pas une raison pour nier que ces derniers n’entravent pas la pénétration vers la surface de la Terre de l’énergie solaire. Dans le cas de la photo illustrant ce billet ces nuages sont éclairés par le Soleil « par en dessous » puisque le Soleil est sous la ligne d’horizon et ils réfléchissent cette lumière vers l’observateur situé à la surface de la Terre. Donc, durant la journée, ces mêmes nuages réfléchissent aussi vers l’espace une partie de l’énergie solaire incidente et par conséquent moins d’énergie solaire atteint la surface de la Terre.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/06/30/breve-crise-climatique-nuages-de-tres-haute-altitude-au-dessus-de-paris/

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    1. Effectivement, l'incidence solaire joue un rôle important sur les degrés reçus par les planètes autour du soleil mais, l'incidence des éruptions du soleil sur la fréquence des éruptions volcaniques sous marines et sous océanique de notre planète n'a jamais été prouvée !

      Ainsi donc, même dans les hivers les plus froids (attendus), certaines côtes continueront de bénéficier de températures clémentes magmatiques !

      Doit-on s'attendre à 'revivre' ce qu'ont vécu nos ancêtres en matières de froids glacials ? Non ! Non parce que aujourd'hui nous avons de l'électricité, nous avons des serres et des moyens de transport pour aller vivre en pays chauds !

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  2. Avec G. Bush et son '11 Septembre' on croyait avoir touché le fond de la connerie des hologrammes de soucoupes volantes mais, avec son FAUX adversaire (ObamasquéÔhéÔhé !) arriva l'estocade finale, le coup du père François, le couteau dans le dos, le traître blanc comme neige ! Le 'cash for clunker' payez pour détruire les belles voitures américaines au profit de merdes asiatiques ! Puis, le programme des 'énergies gratuites' ! GRA-TUI-TES ! Des éoliennes de 250 m de haut qui tuent des milliards d'oiseaux et d'abeilles chaque jour, font un bruit mortel, détruisent les paysages et, bien sûr: NE RAPPORTENT RIEN ! Rien de chez rien ! Pas plus que les 'panneaux solaires' à la con !

    Alors, pour 'la question chemtrails'... ne vous attendez pas à ce que le gros con vous en explique plus !

    (...) "La géo-ingénierie est nécessaire pour les industries agricoles de notre pays et maintient des millions d'Américains employés chaque année. Nos efforts en matière de technologie de haute altitude à micro-ondes à HAARP combinés avec les innovations dans la technologie d'ensemencement des nuages introduites par l'industrie du carburéacteur donne au peuple américain un niveau de contrôle sur les éléments sans précédent dans l'histoire de l'humanité. Les scientifiques américains se rapprochent rapidement les possibilités qui seront non seulement contre le changement climatique, mais aussi de mettre fin aux ouragans et typhons catastrophiques. (...)

    'maintient des millions d'Américains employés chaque année' à TUER plus d'américains !
    'contre le changement climatique' ! AUCUN HUMAIN NE PEUT CHANGER 1 DEGRÉ SUR TERRE ! C'est le magma (centre ferrique de la Terre en fusion) qui maintient une température vivable 365 jours par an. Des millions (milliards ?) de sources chaudes volcanique sous marines et sous océaniques réchauffent en permanence des milliards de kilomètres cubes d'eau emportés par les courants qui vont réchauffer les côtes.

    Notons que PERSONNE n'a été admis à 'jeter un œil' sur les produits chargés dans les avions sans immatriculation ! qui décollent de terrains militaires !

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  3. Enregistrements climatiques Clickbait: chaud en France mais enneigé au Canada et au Colorado


    June 30th, 2019


    Les nouvelles d’aujourd’hui sont remplies de «record de chaleur» en France - peu importe, c’est peut-être le plus chaud depuis que les thermomètres ont commencé à mesurer, mais il faisait plus chaud auparavant. Même si c’est réel, ce n’est qu’un détail technique, car nous n’avons commencé que récemment. Tout au plus, ce ne peut être que le plus chaud des 130 dernières années, et nous savons qu'il faisait tout aussi chaud à l'époque médiévale, plus chaud il y a 7 000 ans, plus chaud il y a 130 000 ans, et ainsi de suite, plus chaud pendant la plus grande partie de la vie sur Terre.

    La chaleur record en France est un moment de clickbait insignifiant dans l’histoire du climat qui s'attaque au psychisme humain à court terme. Comme une amnésie collective, nous oublions que la Révolution française n’était qu’un instant dans l’histoire géologique. Il s’agit donc de la pire vague de chaleur en Europe depuis… 2003 ?

    Mais est-ce même un vrai record (à court terme) ? Nous ne savons pas si les archives historiques françaises ont été ajustées, refroidies, soumises à des déplacements de site non comptabilisés, ou mesurées à l'aide de thermomètres électroniques super sensibles qui n'existaient pas en 1896. Mais nous savons quand les plus grands météorologistes français ont écrit un livre sceptique, il a été licencié. Si les données sont altérées, quelles sont les chances qu'un expert français reconnu puisse prendre la parole ? C’est la seule certitude dans le débat sur le climat: remettez en cause la propagande et dites adieu à votre carrière.

    Il faisait 44 degrés à Toulouse en 1923. Tout ce qu’il faut, c’est un peu plus de tarmac à l’aéroport, quelques bâtiments de plus qui bloquent la brise et le même jour à 44 degrés enregistrerait facilement comme 46 degrés aujourd’hui, surtout avec une sonde électrique.

    Record de chaleur apporte record… neige…

    Au cours de la même semaine, Beartoothpass, à la frontière entre le Montana et le Wyoming au Canada, a été fermé pendant cinq jours en raison de la neige en été. Le Colorado a accueilli l’été avec 2 pieds de neige, après le cinquième mois de mai le plus froid de son histoire. C’est 40 fois plus de neige que la normale pour cette période de l’année. Il y aura tellement de neige qu'il fera skier le 4 juillet. Il neige aussi en Mongolie. Il a neigé à Yellowstone pour le solstice d'été. Il y avait des glaçons à Alice Springs cette semaine et la saison des monts Hotham a commencé à neiger - au moins, c’est au moins l’hiver. Avez-vous entendu parler du rhume ?

    James Murphy, nouvel Américain

    Ce qui nous amène à la récente tempête de neige du solstice d'été dans les Rocheuses du Colorado. Le 21 juin, une tempête de neige inhabituelle a laissé tomber jusqu'à 20 pouces de neige (50,8 cm) sur certaines parties du Colorado, ce qui s'ajoute à une saison de neige déjà importante. Depuis janvier, la quantité totale de neige dans le Colorado a été supérieure de 750 % à la normale. La neige récente a gonflé ce nombre à plus de 4 000 % au-dessus de la normale. Une grande partie de ce pourcentage est due au fait que la neige est normalement complètement absente en juin et que les températures anormalement froides de cette année ont permis de préserver de grandes quantités de neige qui sont tombées plus tôt dans l’année.

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  4. FERMÉ pendant cinq jours en été ! 25 juin

    Beartooth Pass sur l'US-212 dans le Montana est actuellement fermé en raison de la neige, de la neige et de vents violents. Il est fermé depuis 5 jours. Le Pass est fermé le jeudi 20 juin 2019 à 19h30 et est actuellement fermé au moment de la rédaction de cet article (10h30).

    Été dans le Colorado lorsque vous faites de la randonnée à 12 000 pieds. @ 10isaacsmith #hiking #adventure #colorado # été pic.twitter.com/v3Hx8I36WJ

    - Carole Smith (@ welivegreen2011) le 24 juin 2019

    C'est tellement sage # 9wx #CoWx #Colorado pic.twitter.com/Tw0AmjNuP6

    - Erin Powell (@erinepowell) le 23 juin 2019

    h / t ClimateDepot, Lance, Andrew V

    http://joannenova.com.au/2019/06/clickbait-climate-records-hot-in-france-but-snowpacked-in-canada-and-colorado/

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    1. Voir: ventusky.com

      Notez que ces effets de chaleurs sont soit pris en zones désertiques (la terre sèche ou pierres retiennent beaucoup la chaleur), soit en zones urbaines où la concentration de bâtiments ajoutée à l'asphalte des routes...

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  5. Conseils au programme national des sciences de l'environnement


    June 29th, 2019


    Malheureusement, cette enquête se termine le samedi dimanche à 17h00 HNE. Un jour pour y aller maintenant. [Correction: le jour était mauvais, allez-y. h / t Eric Worrall].

    Toutes mes excuses à ceux qui auraient aimé envoyer une soumission. J'espère que j'ai couvert beaucoup en votre nom.

    Les programmes nationaux des sciences de l'environnement souhaitent obtenir des informations en retour et définir les priorités de la recherche environnementale dans un programme spécifique. Ce financement est de 145 millions de dollars, entre autres, ils financent David Karoly au CSIRO. Le formulaire promet un reçu et une réponse au format PDF.

    NESP sollicite vos commentaires

    L'achèvement du programme national des sciences de l'environnement (NESP) est prévu pour 2021. La planification d'un futur programme de recherche sur l'environnement destiné à réussir le NESP a débuté. Les détails d'un futur programme sont soumis aux décisions du gouvernement.

    Les commentaires sur les aspects clés du PNCE aideront à éclairer la conception et l’administration d’un programme futur. Une enquête est maintenant disponible via le centre de consultation en ligne du Département. L'enquête se terminera le 30 juin 2019.

    Consultation sur le programme national des sciences de l'environnement
    h / t Darren Nelson

    -------------- o -----------------

    6. Quels ont été les obstacles à la participation [à la recherche du PNCE] ?

    1. Les données et méthodes ne sont pas toujours accessibles au public.
    2. Il est difficile d’obtenir des recherches publiées dans certaines revues nécessitant un paiement.

    3. Les communiqués de presse annoncent parfois des nouvelles qui ne sont même pas publiées. Cela signifie qu’il est très difficile pour des commentateurs indépendants d’évaluer ou de répondre à ces médias.

    4. Les communiqués de presse sont souvent trompeurs, omettent des informations essentielles, des perspectives ou simplement exagèrent l'effet ou l'importance.

    5. La recherche avec des résultats peu pratiques n'a souvent pas de communiqué de presse, pas de publicité. Ex: histoires d'échecs de modélisation.

    7. Que changeriez-vous pour rendre un futur programme plus facile à engager ?

    Transparence

    La recherche financée par le gouvernement devrait être librement disponible et transparente - le papier fini (ou les pré-impressions), les méthodes complètes et les données complètes. Tout cela devrait être en ligne et facile à trouver dès le jour où un communiqué de presse est publié.

    Le communiqué de presse doit permettre une discussion et une réponse publiques sur le site ou sur le diffuseur public. Pourquoi n'y a-t-il pas un endroit où le public peut discuter des résultats et poser des questions ?

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  6. De préférence, ceci devrait être à l'université - et maintenu sous FOIA - avec les réponses des chercheurs et une obligation pour le public de publier toutes les questions et réponses. Ce site ne devrait pas pouvoir simplement supprimer des questions qui dérangent pour les cacher.

    8. Selon vous, quels sont les facteurs clés pour permettre aux personnes qui effectuent une recherche de la faire reconnaître et comprendre correctement par les chercheurs?
    Les facteurs clés sont:

    1. Civilité et respect.
    2. Financement pour reproduire et vérifier les résultats.

    1. Dans toute l'Australie, les gens sont souvent ridiculisés pour avoir même posé une question. Les appels et les brimades empêchent efficacement les gens de discuter de sujets scientifiques importants. «Denier» n’est pas un terme scientifique, et pourtant David Karoly a eu recours à cela. (par exemple, https://newmatilda.com/2016/07/07/one-nation-cancelled-an-interview-because-we-called-them-climate-deniers/) même si les autres participants au programme NESP n'utilisent pas le terme , ils l'encouragent tacitement en restant silencieux pendant que d'autres commentateurs le font.

    2. Sans financement, les audits de volontaires se produisent uniquement avec l'autofinancement ou des dons.

    9. Selon vous, quels sont les obstacles qui empêchent les chercheurs d’avoir besoin de faire reconnaître le projet de recherche et de le comprendre correctement par les chercheurs ?

    Les universités n'autorisent pas la liberté d'expression ni la diversité des points de vue. Le radiodiffuseur financé par l'État ne le fait pas non plus. «The Conversation», financé par les universités, n’est pas non plus utilisé par de nombreux contribuables, même titulaires d’un diplôme universitaire.

    10. Quels sont, selon vous, les facteurs clés pour une conception de recherche réussie qui réponde aux besoins des utilisateurs de la recherche ?

    1. Incitations à reproduire, auditer ou vérifier les recherches. Où sont-ils ? Le financement scientifique incite les chercheurs à trouver un problème qui nécessite davantage de subventions, plutôt que de résoudre un problème ou de constater qu'il n'y a pas de problème et qu'aucune autre subvention n'est requise.

    2. Les données doivent être gérées par un groupe indépendant de ceux qui l'utilisent pour étudier. (Voir le modèle de recherche médicale en particulier aux États-Unis). Les modifications apportées aux données doivent être entièrement documentées et approuvées avant acceptation. Les données brutes doivent être stockées séparément, archivées en permanence et être disponibles.

    Les Australiens ont besoin de modèles climatiques qui fonctionnent. Très peu de recherches semblent être axées sur la validation des modèles actuels ou la réplication de la recherche. Les modèles actuels ont été financés pour trouver une crise due au gaz carbonique, mais pas pour prédire le climat. Si les modèles qui échouaient étaient supprimés, il y aurait une incitation à les corriger, et il pourrait en résulter des modèles utilisant des facteurs solaires efficaces, tels que les facteurs de champ magnétique solaire, UV / IR ou de vent solaire. Jusque-là, les modèles climatiques semblent condamnés à répéter le même cercle sans espoir, qui n'a pas réduit la sensibilité au climat depuis 30 ans.

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  7. Considérons les conseils de David Karoly aux producteurs de mangues. Les agriculteurs plantent des arbres adaptés à un climat plus chaud, mais ne réalisent pas que de nombreux scientifiques - en particulier les astrophysiciens et les experts de l’énergie solaire, prédisent un arbre plus froid. Les producteurs de mangues ne sont pas avertis que les projections des modèles climatiques ont des résultats lamentables en termes d'échec: à l'échelle locale, régionale ou continentale, 98% des modèles climatiques ne peuvent expliquer pourquoi le réchauffement planétaire a ralenti pendant des années. il manque toujours un endroit (c'est la seule empreinte digitale qui, selon eux, comptait, jusqu'à ce qu'ils ne puissent pas la trouver). Les modèles n’ont pas prédit ni expliqué la pause, la cause ou les mouvements climatiques historiques à long terme. Les mesures de satellites, les changements de couverture nuageuse, 3 000 bouées océaniques, 6 000 forages, 1 000 marégraphes et 28 millions de ballons météorologiques, en fonction de la température ou de l'humidité, ne permettent pas de détecter le réchauffement prédit par les modèles. Dans les océans, le réchauffement n’est pas statistiquement significatif, le niveau des mers a commencé à monter trop tôt, pas assez vite, pas plus vite, pas plus que prévu. L'Antarctique était censé se réchauffer plus rapidement que quasiment n'importe où, mais ils avaient totalement tort. Le vaste océan austral refroidit sans se réchauffer. La partie de l'Antarctique où le réchauffement est le plus évident se situe au sommet d'une chaîne de volcans. David Karoly n’a-t-il pas le devoir de donner aux agriculteurs toute l’incertitude et une perspective plus large ?

    Les références scientifiques complètes sont énumérées au bas de cette page. Par exemple, Anagnostopoulos 2010, Koutsoyannis 2008, Previdi 2014, Christy 2010, Fu 2011, Paltridge 2009, Karl 2006 et bien d'autres.

    Plus Michael Beenstock, Daniel Felsenstein, * Eyal Frank et Yaniv Reingewertz, (2014) Emplacement du marégraphe et mesure de l'élévation du niveau de la mer, Statistiques environnementales et écologiques, mai 2014

    Nils-Axel Mörner (2014) Création de la composante de niveau de la mer Eustatique dans la mer de Kattaegatt, perspectives mondiales sur la géographie (GPG). Société américaine des sciences et de l'ingénierie, volume 2, 2014, www.as-se.org/gpg

    11. Quels obstacles avez-vous rencontrés qui empêchent une conception réussie de la recherche répondant aux besoins des utilisateurs de la recherche ?

    Demandez au professeur Peter Ridd. Sans réplication, ce n’est pas de la science. Les problèmes qu'il a rencontrés sont endémiques à la plupart des institutions académiques. Cela est évident grâce au nombre d’universités australiennes qui ont pris la défense de son droit de parler librement, c’est-à-dire. zéro.

    Demandez au Bureau australien de météorologie pourquoi ils n’expliqueront pas leurs méthodes de manière à ce que leurs ajustements puissent être intégralement répliqués. Voir cette page pour les citations exactes de leur admission.

    Puisque le travail sur les nomenclatures est la base de la recherche sur le climat, pourquoi les chercheurs de NEST ne soulignent-ils pas la nature profondément non scientifique et les problèmes rencontrés dans les travaux sur les nomenclatures ?

    12. Quels sont les obstacles aux projets qui traversent différentes institutions / groupes ou disciplines pour répondre à de grandes questions ?

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  8. La culture de l'intolérance et du dénigrement, selon laquelle les chercheurs sont licenciés, expulsés, déplacés, révoltés et menacés de carrière empêchera effectivement les personnes disposant des connaissances pertinentes de s'exprimer ou d'être invité à partager leurs connaissances.

    Une culture où la connaissance interdisciplinaire est rejetée comme automatiquement fausse. Lorsque les lauréats du prix Nobel de physique sont qualifiés de «négateurs», la culture est véritablement toxique et l'opinion extérieure n'est pas seulement importune, mais méprisée. . Les chercheurs du PNCE ne font rien pour régler ce problème national.

    Les lois de la physique et des mathématiques sont les mêmes dans tous les domaines de la science. Pourquoi prétendons-nous que seul un expert en climatologie peut vérifier les calculs mathématiques et physiques de la recherche climatologique?

    Des milliers d'ingénieurs et de géologues sont sceptiques quant aux principales conclusions du GIEC. Lefsrud et Meyer 2012

    Ces ingénieurs, en particulier, possèdent une expertise interdisciplinaire dans les boucles de rétroaction, les systèmes compliqués et l'analyse mathématique, domaine dans lequel les chercheurs en environnement ont une formation limitée.

    13. Quels sont les moyens potentiels d'encourager et de soutenir des projets transdisciplinaires de grande envergure pour répondre à de grandes questions ?

    Premièrement: Reconnaître que la science a besoin de la liberté de parole: annoncer son nom et punir sa carrière d’empêcher les dénonciateurs de s’exprimer. L’intimidation n’améliore pas les découvertes scientifiques, elle protège les impasses et les mauvaises idées.

    Deuxièmement: nous devons reconnaître que la science repose sur des méthodes entièrement publiées et sur la réplication des résultats.

    Troisièmement: cette science est basée sur la logique et la raison. Par exemple: Un consensus est un argument fallacieux de la part de l'autorité ou de la popularité. Les preuves sont des observations à partir d'instruments et non des résultats d'essais de modèles. Si les modèles ne sont pas validés, ne prédisez pas les observations, vous devez les modifier, pas les observations. Où sont les institutions scientifiques qui défendent ces principes fondamentaux ? Les chercheurs du PNCE ne font rien pour corriger les idées fausses sur des sujets dans lesquels ils se spécialisent. S'ils ne parleront pas, qui le fera ?

    Quatrièmement: les conclusions scientifiques nécessitent un audit formel - un examen par deux pairs anonymes et non rémunérés ne sera jamais accepté en comptabilité financière. Lorsque des milliards de dollars dépendent de conclusions scientifiques, pourquoi acceptons-nous des normes aussi basses ?

    Cinquièmement: payons des personnes extérieures à la profession pour vérifier le travail et trouver les failles. Si les preuves sont «accablantes», ils n’en trouveront aucune, mais l’argent ne sera pas gaspillé, car la recherche sera considérée comme transparente et les réponses seront disponibles pour tous. Pour le moment, l’audit est laissé aux volontaires.

    14. Dans quelle mesure les activités dirigées par les autochtones suivantes sont-elles importantes pour parvenir à une meilleure intégration des peuples autochtones dans un futur programme et de meilleurs résultats pour les peuples autochtones ?
    Autres commentaires sur les activités proposées par les autochtones.

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  9. Les peuples autochtones et l'environnement seront mieux servis dans un pays où la science est rigoureuse et non soumise au politiquement correct, à l'intimidation ou à la mode.

    15. Voulez-vous ajouter quelque chose à propos des forces et des faiblesses du programme actuel et des suggestions pour un programme futur ?

    Le fait que le programme actuel ne repose ni sur des principes scientifiques ni sur une adhésion rigoureuse à la logique et au raisonnement constitue une faiblesse majeure.

    Même si les chercheurs ne produisent pas d'illusions dans leurs publications, il ne suffit pas qu'ils restent silencieux lorsque les autres le font.

    Tous les chercheurs financés par des fonds publics devraient être obligés de signaler les raisonnements fallacieux dans leur domaine et d'aider les journalistes à rendre compte sans omissions qui intéressent les citoyens australiens.

    Les chercheurs qui restent silencieux soutiennent tacitement les erreurs ou les mensonges par omission.

    Your response ID is ANON-2H8E-PZFC-A

    http://joannenova.com.au/2019/06/advice-to-the-national-environmental-science-program/#more-65019

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  10. Les chauve-souris au secours de la recherche sur le cancer !


    le 29 juin 2019

    Les chauve-souris, outre le fait que ce sont les seuls mammifères capables de voler, ont une espérance de vie démesurément longue si on considère leur taille et leur poids comparés à d’autres mammifères. Elles ont envahi tous les continents à l’exception des régions arctique et antarctique et elles sont les seconds mammifères du monde de par leur diversité. Une autre caractéristique des chauve-souris est leur formidable adaptation à toutes sortes d’agents pathogènes dont en particulier des virus mortels tels que celui de la rage ou de la fièvre Ebola. Enfin, pour souligner ces particularités les chauve-souris semblent indemnes de cancers. Parmi toutes les chauve-souris en captivité répertoriées dans le monde – des dizaines de milliers – il n’y a eu que 5 cas de cancers avérés alors qu’elles ont une espérance de vie en moyenne 3,5 fois plus longue que d’autres mammifères du même poids et dont beaucoup ne sont pas du tout à l’abri d’un cancer. Le record de longévité d’une chauve-souris est de 30 ans.

    Je me permets de glisser ici une anecdote vécue à propos de chauve-souris. Il y avait, quand j’habitais là-bas, un restaurant à Port-Vila (Vanuatu) – « l’Houstalet » – tenu par un Français qui proposait au menu de la roussette (Pteropus conspicillatus qui fait partie des grands chiroptères) cuite dans ses ailes et non vidée au préalable. Je n’ai jamais osé goûter à ce mets car le patron avait pour animal de compagnie une roussette femelle qui m’avait adopté. Chaque fois que j’allais boire un verre ou bavarder avec des amis je prenais cette créature contre moi, elle avait appris à se tenir la tête en haut, et elle me léchait le cou en me regardant avec ses grands yeux un peu jaunes pleins de douceur … Selon le patron du restaurant elle avait plus de 20 ans.

    Mais revenons au propos de ce billet. Une équipe de biologistes de l’Ecole de Médecine de Singapour s’est intéressée à la chauve-souris pour tenter d’expliquer pourquoi elle était aussi résistante à toute forme de cancer et également pourquoi elle avait une espérance de vie aussi démesurément longue. Ils se sont penché sur des cultures de cellules de Pteropus alecto, un cousin de la roussette du Vanuatu, appelé aussi renard noir volant, commun en Indonésie. Si on met en contact des cellules de Pteropus en culture un puissant inhibiteur de la topoisomérase, enzyme qui provoque des cassures de l’ADN double-brin, comme de l’etoposide ou de la doxorubicine, l’etoposide étant utilisé pour traiter certaines formes de cancers chez l’homme, ces cellules semblaient remarquablement résistantes à cet agent. L’explication fut trouvée en constatant l’abondance dans ces cellules d’une forme phosphorylée d’histone H1. Cette même activité enzymatique spéciale consistant à transférer un phosphate sur ces protéines (les histones) intimement associées à l’ADN nucléaire était présente dans ces cellules avec des activités spécifiques beaucoup plus élevées que pour des cellules humaines ou murines en culture. De même, ces cellules étaient étrangement résistantes à une forte, mais non létale, irradiation avec des rayons gamma pour la même raison.

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  11. Il restait à expliquer pourquoi les chauve-souris vivent aussi longtemps et l’explication trouvée réside dans le fait que ces cellules de chauve-souris disposent d’un mécanisme incroyablement efficace pour se débarrasser de tout produit d’origine intra-cellulaire ou d’origine artificielle, on dit xénobiotiques. En effet les cellules originaires de chauve-souris possèdent un taux anormalement élevé d’un transporteur membranaire fonctionnnant dans une seule direction, de l’intérieur de la cellule vers l’extérieur, in vivo vers le liquide interstitiel. Il s’agit du transporteur ABC, acronyme de ATP Binding Cassette transporter, et dans le cas de celui impliqué dans l’expulsion – on peut appeler le processus ainsi – de la doxorubicine il s’agit du transporteur ABCB1. L’implication de ce type de transporteur dans certaines formes de cancer résistants aux traitement chimiothérapique avait déjà été observé. En effet sa biosynthèse, dans ces cancers, se trouve dérégulée et les cellules cancéreuses deviennent insensibles à tout traitement curatif.

    Cette observation a permis d’expliquer en partie la longévité inattendue des chauve-souris : elles sont capables d’éliminer très efficacement toute substance pouvant provoquer une mort cellulaire prématurée car la chauve-souris surexprime cette forme de transporteur. Naturellement ce processus de transport consomme beaucoup d’énergie, il faut donc que les mitochondries soient capables de suppléer à cette demande en énergie, en d’autres termes que les cellules soient en bonne santé.

    Ce qui intrigua aussi ces biologistes de Singapour est l’apparente immunité des chauve-souris à toutes sortes de virus. Encore une fois ce même transporteur est activé par la présence d’un virus, que ce soit ceux de la rage, d’Ebola, de la fièvre de Marburg, du SARS et de bien d’autres, et les cellules expulsent aussi ces virus à l’aide du même transporteur.

    Quand on songe que les éoliennes installées à tort et à travers dans les pays développés tuent des millions de chauve-souris, il ne nous reste que les yeux pour pleurer la disparition de ces mammifères incroyablement divers et riches en enseignements – au moins pour les biologistes – qui pourraient améliorer la condition humaine …

    Source : https://doi.org/10.1038/s41467-019-10495-4

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/06/29/les-chauve-souris-au-secours-de-la-recherche-sur-le-cancer/

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  12. La construction du plus grand aéroport au monde est achevée – photos


    15:30 30.06.2019


    La Chine a construit un aéroport gigantesque, qui devrait être inauguré à la veille du 70e anniversaire de la fondation de la République populaire. Des milliards d'euros ont été investis dans les infrastructures.

    La construction du plus grand aéroport international au monde, nommé Daxing, s’est achevée près de Pékin, ont annoncé les autorités de la ville. Ce projet a été supervisé personnellement par le Président Xi Jinping.

    L’aéroport se situe à 46 kilomètres au sud du centre du pays et occupe une superficie d’un million de mètres carrés (100 ha ou 10 km x 10 km).

    Le responsable du chantier, Li Jianhua, a plus tôt expliqué à Sputnik que Daxing n’était pas seulement un aéroport, mais aussi le plus grand hub de transport au monde dont la construction a coûté près de 400 milliards de yuans (environ 15 milliards d'euros).

    Pour le moment, un seul terminal, en forme de «phœnix d’or», devrait être inauguré le 30 septembre à la veille du 70e anniversaire de la fondation de la République populaire de Chine par Mao Zedong.

    Ce nouvel aéroport est supposé atténuer la pression qui pèse sur celui de Pékin, actuellement surchargé.

    Il devrait être pleinement opérationnel en 2025, avec quatre pistes d'atterrissage, une capacité de 72 millions de passagers et de près de deux millions de tonnes de fret par an.

    Son toit, d'un seul tenant, représente la superficie de 25 terrains de football. Des ouvertures dans la toiture permettent d'amener la lumière du jour jusqu'aux niveaux les plus bas de la structure.

    L'architecte anglo-irakienne Zaha Hadid, décédée en 2016, a participé à la création de ce design.

    https://fr.sputniknews.com/societe/201906301041554954-construction-plus-grand-aeroport-monde-est-achevee--photos/

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  13. L'anti-rides


    samedi 29 septembre 2012


    Pourquoi le secteur de l'emploi est si mauvais, si faible, si peu productif et que les investisseurs s'éloignent de ce bassin nauséabond pour délocaliser leurs savoirs et leurs structures ? La raison est bien sûr de la politique tenue chez les Dirigeants. "Pourquoi se trompent-ils, pourquoi échouent-ils alors qu'ils se disent sortis de 'grandes écoles' ?" C'est justement là que vous vous trompez en posant la question (!), eux, ils ne se trompent pas. Eux, ils calculent, ils réfléchissent, et donc, si la situation actuelle est ce qu'elle est, c'est qu'ils l'ont voulu. Oui, vous ne rêvez pas, vous avez bien lu et, vous ne faites même pas partie du chapeau de ceux qui vont s'en sortir ! Comment je le sais ? Parce que vous avez posé la question et avez été étonné de la réponse.

    "Il faut apprendre à marcher avant de vouloir courir" C'est-à-dire qu'il faut d'abord copier les autres avant de se lancer soi-même. Il faut apprendre à écrire à l'école, à faire des lignes de 'a', puis des lignes de 'b', etc, etc. Après, après vous pourrez écrire gros, penché, serré, peu importe, vous savez écrire. Vous avez appris. "Alors dans quoi investir ?" Vous posez encore cette question ? Je vous ai dit qu'il faut apprendre à marcher avant de vouloir courir, c'est-à-dire qu'il faut d'abord copier. "Copier qui ?" Ceux qui sont riches.
    Bernard Arnault, première fortune de France, secteur luxe. Gérard Mulliez n°2 avec "Auchan, Décathlon, Leroy-Merlin, Norauto" etc, secteur distribution. Secteur difficile et peu recommandable par les temps qui viennent. Liliane Bettencourt "L'Oréal", c'est tout dire. Donc, résultat: faites comme eux (!), investissez dans le luxe car les riches seront bien les derniers à disparaître.

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    Le mal dominant
    Le meurtre est quelque chose qui doit se passer en silence.
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    Il ne faut pas se leurrer sur la carrière de certains tels ou tel riche et de son accession au sommet, ils ont commencé comme simple petit voleur, arnaqueur et maquereau, puis, fortune faite ont eut des rabatteurs, des gens du milieu. L'important pour eux était toujours de se faire bien voir. D'en 'jeter plein les yeux', de se faire respecter. Si nous prenons l'exemple du luxe, l'on ne peut qu'être émerveillé par le travail soigné de tel ou tel meubles, bijoux, maroquinerie, mais toujours plutôt horrifié par le prix sur l'étiquette ! Pourquoi le luxe est-il si cher ? Pour la bonne et simple raison qu'il ne doit appartenir qu'aux gens riches. Le luxe est la seule façon de se différencier des autres. Regardez l'artisan qui conçoit toute ces richesses qu'il expose en vitrine, est-il riche ? Est-il 'multi-milliardaire' ? Non. Voyez les sculpteurs africains qui font de merveilleuses statuettes, les orfèvres vénézuéliens, les tisseurs des plus belles draperies tentures, sont-ils riches ?

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  14. C'est pourquoi aujourd'hui l'or est cher (mais pourrait l'être plus !) et ne devrait qu'appartenir aux riches, mais voilà, les époques ont changé, il y a aujourd'hui les 'nouveaux riches' (comme il y a aussi les 'nouveaux pauvres'), ceux qui sont arrivés et veulent jouer dans la cour des grands. Ceux qui dérangent les patrimoines, les "enfants de choeurs de l'arnaque", les "tombés du camion", ceux-là, n'ont pas de morale et prêts à dénoncer n'importe qui pour tenter encore de se faufiler dans ce panier d'anguilles, de crabes, de requins et de maquereaux. C'est ce qui se passe avec les lingots d'or fourrés de tungstène. Combien y en a t-il en circulation et dans les coffres ? Çà, ça s'appelle "du gros mauvais sang à se faire" ! Si cette bénigne affaire de Manhattan n'avait pas été dénoncée... l'arnaque aurait continué. Continuée jusqu'à l'arnaque officielle de "la montagne d'or de la Banque Nationale" ! Prendre des vessies pour des lanternes. Le troupeau. Les pigeons. Et tout le bla-bla-bla qui ne doit appartenir qu'aux gens riches. Faire parler d'eux (en bien), être envier mais demeurer inaccessibles.

    Regardez les récits de croyance où le 'héros-du-jour' parle de pêcheurs: "Vous n'avez qu'à vous baisser pour tuer l'autre". N'est-ce pas là la phrase employée par les dirigeants ?

    Regardez l'image de la femme décrite comme en faute d'avoir levé le bras pour cueillir une pomme (!), n'est-ce pas là une attitude symbolique de l'accusée de tous les maux ? d'en soustraire son égalité à la dépendance (esclavagisme) du mâle dominant ?

    Pourtant "la reine de France" est... toute ridée malgré ses produits miracles 'anti-rides' !!

    https://huemaurice5.blogspot.com/2012/09/lanti-rides.html

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  15. Collomb sur les Gilets jaunes mutilés: «Ça pose des problèmes sur notre technique de maintien de l’ordre»


    17:20 30.06.2019


    Au micro du Grand Rendez-vous, l’ancien ministre français de l’Intérieur, qui a quitté son poste à quelques semaines du début de la mobilisation des Gilets jaunes, a répondu à des questions relatives aux mutilations et à l’usage des LBD.

    Gérard Collomb, maire de Lyon et prédécesseur de Christophe Castaner, invité au Grand Rendez-vous sur Europe 1 en ce 30 juin, a reconnu, prié de commenter la polémique sur la violence policière, que des cas d’usage disproportionné de la force existaient.

    «Maintenir l’ordre dans des circonstances pareilles c’est quelque chose d’extrêmement compliqué. Donc je ne veux pas porter de jugement, mais c’est vrai qu’il y a eu des cas où l’on voyait bien un usage disproportionné de la force», tout en soulignant que c’était à l’IGPN d’établir s’il y a eu des cas de violences policières.

    Évoquant le sujet de l’usage des lanceurs de balles de défense (LBD), M.Collomb estime que leur utilisation exige «une formation adaptée».

    Or, vu le nombre de manifestants dans certaines villes, «il n’y avait pas toujours des gens aptes à pouvoir utiliser ce genre d’armes» qui sont dangereuses, «si l’on s’en sert sans formation».

    Interrogé sur une trentaine de Gilets jaunes mutilés, recensés notamment par David Dufresne, M.Collomb a répondu que cela posait «un problème sur notre technique de maintien de l’ordre».

    Et d’expliquer que pendant l’opération de Notre-Dame-des-Landes il avait quotidiennement peur que quelqu’un ne soit tué ou grièvement blessé.

    https://fr.sputniknews.com/france/201906301041557516-collomb-sur-les-gilets-jaunes-mutiles-ca-pose-des-problemes-sur-notre-technique-de-maintien-de/

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  16. « Ils ont décidé de tuer le bio », un article hallucinant dans Marianne


    30 Juin 2019
    par Seppi



    Ces derniers temps, le/la bio a eu une large couverture médiatique, en partie en raison de la controverse interne à la filière sur la question de la conformité du chauffage des serres au catéchisme – voir « Agriculture biologique : ça chauffe ! ».

    La controverse a été largement externalisée par les biotollahs qui entendent faire interdire, en France, le chauffage des serres au nom du respect de la saisonnalité des productions et de la frugalité énergétique – le « respect des cycles naturels » et une « utilisation responsable de l’énergie » comme c'est joliment dit dans la réglementation européenne.

    Avec, semble-t-il, de petits arrangements – vous savez, les principes... Une pétition demande au Ministre de l'Agriculture de la Drôme France de soutenir une règle « limitant le recours au chauffage des serres à la production de plants et au maintien hors gel, garantissant ainsi que la production reste de saison. »

    Dans le Marianne du 14 juin 2019, M. Périco Légasse s'est lancé dans la bagarre avec « Le scandale des tomates sous serre – ils ont décidé de tuer le bio » (le début ici).

    C'est une diatribe hallucinante.

    « Les eurocrates en sont persuadés, on peut produire des tomates bio sans qu'elles voient jamais le soleil. Ils viennent d'apposer le sigle AB à ces fruits produits sous serre, malgré un bilan carbone problématique. »

    Ce chapô est tout simplement faux : les « eurocrates » n'y sont pour rien et n'ont pris aucune initiative récemment ! Si « eurocrates » désigne la Commission Européenne et ses fonctionnaires, c'est aussi raté. Le dossier des règles de l'agriculture biologique a été clos avec le règlement (UE) 2018/848 du Parlement Européen et du Conseil du 30 mai 2018 relatif à la production biologique et à l’étiquetage des produits biologiques, et abrogeant le règlement (CE) no 834/2007 du Conseil, âprement négocié entre le Parlement et le Conseil et, à l'intérieur de chaque instance, entre porteurs d'intérêts contradictoires.

    Du reste, il serait fort improbable que l'on produise un jour des tomates sans soleil, comme on le fait clandestinement pour le cannabis.

    Le premier paragraphe, et nous arrêterons là (il a été scindé dans la version électronique) :

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  17. « C'était écrit. A partir du moment où le consommateur prenait conscience des enjeux alimentaires, où l'agriculture durable devenait une priorité pour sauver la planète, se ravisant soudain, ceux-là mêmes qui dénigraient le bio, le tournaient en dérision, lui reprochaient d'être une niche à bobos, se sont fait un devoir de le récupérer. Quand la lubie de quelques illuminés devient une part de marché, la machine à engranger les profits se met en marche. Pris d'un accès de lucidité financière, ils s'expriment la main sur le cœur, avec la même ferveur que des résistants de la dernière heure, pour dire tout le bien qu'ils pensent du bio, alors que les crachats dont ils ont maculé cette idée vingt ans durant ne sont pas secs. Céréaliers, semenciers, petits et grands distributeurs, syndicalistes et banquiers agricoles (ce sont les mêmes), politiciens férus de mondialisation, technocrates euro pervertis, tous fossoyeurs de l'agriculture française et tisseurs de corde pour paysans ruinés, les voici aujourd'hui nous expliquant l'urgence à changer les codes de production. Dernier exemple en date, parmi d'autres, la décision, validée par Bruxelles, d'accorder le label bio à des tomates cultivées sous serre. Sous prétexte de lutter contre la concurrence des tomates toxiques que l'Espagne du sud et le Maroc déversent chaque année par millions de tonnes dans les rayons de nos grandes surfaces, la solution serait donc de galvauder -un peu -le bio, pour le rendre plus compétitif, c'est-à-dire accessible aux masses n'ayant pas les moyens de se le payer. Ainsi, ces visionnaires sociaux s'empressent-ils de taxer d'intégrisme les tenants d'une éthique stricte quant à la signification des valeurs de l'agriculture biologique et de la signification précise du concept. Quelle aubaine ! Alors qu'ils ont fait fortune en important des denrées illicites provenant de pays voyous, type minerai de viande roumaine, avec les ravages économiques et sanitaires que l'on sait, les voici se prévalant des maux dont ils sont responsables pour venir au secours du consommateur. Un consommateur gavé de malbouffe, grâce à une logique mercantile enrichissant au passage leurs complices du lobby pharmaceutique, si heureux des milliards de dollars que leur rapportent le diabète, l'obésité et certains cancers, dont ils prétendent défendre les intérêts pour mieux se sucrer encore. Car la perversité de la tomate bio sous serre est idéale pour faire d'une pierre deux coups: on propose une formule permettant aux pauvres d'accéder au bio, et en plus on fait passer ceux qui dénoncent le stratagème pour des salauds. Margaret Thatcher adepte de la lutte des classes ... Que le fioul nécessaire au chauffage des serres ait un bilan carbone quatre fois supérieur à un aller-retour en camion entre l'Andalousie et la Lorraine n'entre pas en ligne de compte. Le bio est déjà assez fastidieux comme ça, si en plus il faut faire de l'écologie, où va-t-on ? Nous n'allons pas priver les compagnies pétrolières de la joie de participer à la démocratisation du bio et à la multiplication des tomates en toute saison puisque la serre chauffée, se substituant au soleil, permet d'en produire en permanence. Non aux méchants écolos qui veulent nous empêcher de servir une salade de tomates au réveillon! Le cynisme néolibéral prouve sa capacité à s'adapter à tout. »

    Et le cynisme médiatique ?

    http://seppi.over-blog.com/2019/06/ils-ont-decide-de-tuer-le-bio-un-article-hallucinant-dans-marianne.html

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    1. Les trisomiques de Bruxelles vont-ils bientôt interdire les haies qui coupe le vent aux plants de tomate ?

      Durant des milliers d'années ils ont TOUS mangé bio (sans traitement, sans engrais) et tous les gens crevaient à 40 ans malgré la non pollution ! Par contre, depuis que les scientifiques ont trouvé des remèdes contre les maladies des plantes et étudié ce que mangeaient les plantes ils ont pu apporter l'engrais exact à chaque plante (% de NPK).

      Ce n'étaient donc plus des plantes malades et rachitiques que les consommateurs achetaient mais des bons et beaux fruits et légumes qui font des centenaires !

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  18. Cela a «pour but que les gens s’en aillent»: de Rugy sur le gazage brutal des écologistes pont de Sully


    18:17 30.06.2019


    «On n’est pas au temps des manifestations», considère le ministre français de la Transition écologique qui justifie l’évacuation des manifestants écologistes survenue le 28 juin sur le pont de Sully. Pour sa part, Christophe Castaner a demandé au préfet un rapport.

    Interrogé à l’antenne de BFM TV sur s’il «était choqué» par les images tournées le 28 juin à Paris et montrant des CRS gazer au visage des activistes du mouvement écologiste Extinction Rebellion pour les déloger du point de Sully, le ministre français de la Transition écologique François de Rugy a conseillé de voir la vidéo «en entier».

    Il a avoué s’être dans un premier temps posé des questions après avoir visionné une vidéo, mais après avoir vu l’enregistrement dans son intégralité, il attire l’attention sur le fait que «d’abord les CRS appellent les manifestants à débloquer» le passage sur le pont.

    «Des manifestants très radicaux»

    «Honnêtement, je pense qu’on n’avait pas besoin ces derniers jours d’ajouter encore des problèmes de circulation. Ce sont des manifestants d’ailleurs très radicaux d’une organisation qui s’appelle Extinction Rebellion», souligne-t-il avant que la présentatrice n’attire son attention sur le fait qu’ils étaient «pacifiques».

    «Vous savez, les choses pacifiques qui conduisent à bloquer une ville ou des ponts […], et ensuite quand vous leur demandez pacifiquement de dégager la voie – c’est ce qu’on fait les forces de l’ordre avec des haut-parleurs – que bien évidemment ils refusent, qu’ensuite ils essaient de les enlever», poursuit-il, avant de déplorer que les CRS ont dû être mobilisés pour prendre les personnes une par une.

    «Ça se finit avec l’utilisation en effet de gaz qui ont pour but que les gens s’en aillent», argumente-t-il, ajoutant que les manifestants s’enchaînaient les uns aux autres, employant cette technique «dite non violente, mais tout à fait bloquante».

    Et d’appeler à agir pour le climat, pointant pourtant qu’«on n’est plus au temps des manifestations».

    Castaner exige des explications

    Pour sa part, le ministre français de l’Intérieur, Christophe Castaner, a demandé au préfet de police de Paris de lui faire un rapport sur les modalités de l’évacuation de cette manifestation, informe l’AFP.

    «À la demande du ministre, une inspection technique CRS a été déclenchée et un rapport a été demandé au préfet de police sur les modalités de gestion de cette opération de maintien de l'ordre rendue nécessaire pour rétablir la circulation au cœur de Paris», indique la place Beauvau citée par l’agence.

    Les événements en question se sont déroulés le 28 juin vers 13h00. Alors que les manifestants bloquaient le pont de Sully à Paris et, assis par terre et s’enchaînant les uns aux autres, refusaient de quitter les lieux, des CRS les ont gazés directement au visage et ont traîné par terre des activistes.

    https://fr.sputniknews.com/france/201906301041556634-cela-a-pour-but-que-les-gens-sen-aillent-de-rugy-sur-le-gazage-brutal-des-ecologistes-pont-de-sully/

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  19. Zuesse: La guerre civile maintenant en Amérique


    par Tyler Durden
    Lun., 07/01/2019 - 00:05
    Écrit par Eric Zuesse via le blog The Saker,


    L'Amérique n'est contrôlée que par ses plus riches, et ils contrôlent fermement les deux partis politiques.

    Cependant, maintenant qu’ils ont le contrôle, ils se battent amèrement les uns contre les autres. Ils sont des deux côtés.

    Selon l'économiste Mann, la guerre commerciale pourrait ramener la croissance américaine à 1% en 2020
    En ce qui concerne la politique étrangère et la politique intérieure, les milliardaires du Parti républicain détestent en particulier l’Iran et surtout tout progressisme.

    En revanche, en ce qui concerne la politique étrangère et la politique intérieure, les milliardaires du Parti démocrate détestent particulièrement la Russie et acceptent un certain progressisme.

    (Ils doivent faire ces derniers pour qu'ils puissent être considérés comme des libéraux et donc tolérés ou même admirés par les électeurs du parti démocrate. Cela est nécessaire pour eux, car, par exemple, les électeurs du parti démocrate seraient tout aussi rebelles envers un politicien financés par des fronts pour les frères conservateurs Koch, car les électeurs du Parti républicain seraient rebutés par un politicien financé par des fronts pour le libéral George Soros - et tout le monde sait que les milliardaires financent les principaux politiciens, ce n'est pas un fait totalement caché. Soros et les autres milliardaires libéraux peuvent prétendre être «animés du public», ce qui leur est nécessaire pour pouvoir faire appel aux libéraux, mais les frères Koch et les autres milliardaires conservateurs déclarés n'ont pas besoin de faire cette prétention pour faire appel à des libéraux. conservateurs.)

    En fait, tous les milliardaires sont des conservateurs, car ils doivent l'être pour pouvoir appeler un pays comme l'Amérique «démocratique» au lieu de «dictatorial», et ils ont besoin de ce mythe de la «démocratie» américaine pour empêcher une révolution dépouillez-les de leur pouvoir.

    (Aucun milliardaire américain ne qualifie l'Amérique de «dictature», alors même qu'elle le sait et chacun le sait, puisqu'ils sont collectivement les dictateurs ici et qu'ils ne se mêlent pas du tout à la politique s'ils ne veulent pas rester en poste. Plus un individu est riche, plus il a tendance à être conservateur, et les milliardaires sont les plus riches de tous, de sorte qu'ils sont tous conservateurs, même les libéraux milliardaires sont conservateurs, car sinon l'individu fomenterait une révolution, et aucun d’entre eux ne fait une telle chose - contre quoi se révolteraient-ils, sinon eux-mêmes ? Ils peuvent prétendre être progressistes, mais seulement prétendre. De plus, chaque étude montre que plus un homme est riche, plus il est impliqué dans la politique. Les personnes pauvres sont les moins impliquées dans la politique, et c’est l’une des raisons pour lesquelles les États-Unis sont une dictature, une dictature exercée par les plus riches et dirigé une «aristocratie», par opposition à une «démocratie».)

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  20. La première étude scientifique sur le point de savoir si les États-Unis sont une dictature ou une démocratie a été publiée en 2014 et a révélé que l’Amérique est une dictature et que ses plus riches la contrôlent. Les chercheurs ont découvert que seules la richesse et la participation politique déterminaient si les politiques gouvernementales souhaitées par une personne étaient adoptées et mises en œuvre par les politiques gouvernementales. En outre, «les préférences de l’Américain moyen ne semblent avoir qu’un impact minime, presque nul, statistiquement non significatif sur la politique publique». Par conséquent, les désirs du public sont en réalité ignorés par le gouvernement américain. Cela ne répond pas à ce que le public veut; il répond uniquement à ce que veulent les super-riches politiquement impliqués - les personnes qui financent principalement la politique. Et ces milliardaires contrôlent également, voire possèdent, tous les principaux médias d’information, et leur propagande filtre donc des réalités telles que le pays est une dictature, pas de démocratie du tout.

    Dès le premier instant où il est devenu président, Barack Obama avait pour objectif de renverser et de remplacer le gouvernement syrien. La raison en était jamais claire, mais certains pensaient que c'était parce que la Syrie était alliée à l'Iran, et d'autres pensaient que c'était plutôt parce que la Syrie est alliée à la Russie. Lorsque le démocrate Obama a négocié et signé le pacte multinational dans lequel l'Iran garantissait qu'il ne produirait aucune bombe nucléaire et que les États-Unis et ses alliés mettraient fin à leurs sanctions contre l'Iran, il est devenu évident qu'Obama ne haïssait pas réellement l'Iran (que le républicain Trump le fait clairement). Obama envahissait la Syrie parce qu'elle était alliée à la Russie et non pas à l'Iran. Son successeur, le républicain Donald Trump, est tout aussi anti-iranien qu'Obama était anti-russe. Alors que le parti républicain déteste particulièrement l'Iran, le parti démocrate déteste particulièrement la Russie. Et c’est parce que leurs milliardaires le font - les démocrates détestent le plus la Russie et les républicains détestent l’Iran le plus. C’est la plus grande différence entre les deux parties.

    La principale différence personnelle entre Obama et Trump (mis à part qu'Obama était intelligent et que Trump ne l'était pas) est qu'Obama était un menteur beaucoup plus habile que Trump. Par exemple, il a réussi à enchaîner Vladimir Poutine jusqu’en 2012 en espérant que le «rapprochement avec la Russie» d’Obama n’était pas simplement un stratagème. Le 26 mars 2012, Obama a informé Dimitri Medvedev de dire à Poutine: «Sur toutes ces questions, mais en particulier sur la défense antimissile, cela peut être résolu, mais il est important pour lui [le nouveau Président Poutine] de me laisser de la place. C'est ma dernière élection. Après mon élection, j'ai plus de flexibilité. "

    Cependant, tout était un mensonge. Le fait est que, déjà, Obama prévoyait déjà, dès 2011, de renverser le gouvernement neutraliste voisin de la Russie, en Ukraine, et de le remplacer par un régime farouchement anti-russe aux portes de la Russie, qu'il était déjà envisagent d’intégrer l’OTAN alors que seuls 30% environ des Ukrainiens souhaitent que leur pays rejoigne l’OTAN. Mais Poutine n'avait aucun moyen de savoir qu'Obama prévoyait cela. Et immédiatement après le coup d’Etat d’Obama en février 2014 en Ukraine, environ 60% des Ukrainiens voulaient soudainement que l’Ukraine adhère à l’OTAN. (C’est parce que le nouveau régime Obama a propagé la haine contre la Russie.)

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  21. Obama a gagné l'Ukraine en tant qu'ennemi de la Russie; c’est comme si Poutine s’était opposé à un coup d’Etat au Mexique et que soudain les Mexicains s’étaient enragés contre les États-Unis, mais c’était un démocrate, pas un républicain. Et le républicain Trump est aussi hostile à l'Iran qu'Obama à la Russie. Ce ne sont pas des gouvernements étrangers qui s’immiscent dans la politique étrangère de l’Amérique; Israël le fait peut-être, et peut-être l'Arabie saoudite, et peut-être les EAU, mais les 585 milliardaires de l'Amérique le sont certainement. Et ils sont alliés avec ces trois pays du Moyen-Orient. Lorsque les États-Unis imposent des sanctions à un pays afin de détruire l’économie de la nation cible, cette dernière est officiellement un "ennemi", c’est parce qu’elle est alliée ou tout au moins amicale avec la Russie, l’Iran ou les deux. Les 585 milliardaires américains contrôlent la politique étrangère des États-Unis, mais ne sont pas d’accord sur le fait que leur principal ennemi est l’Iran (si le milliardaire est républicain) ou la Russie (si le milliardaire est démocrate).

    Par exemple: si le prochain président est Biden, conquérir la Russie sera le principal objectif de la politique étrangère, mais si le prochain président est Trump, conquérir l'Iran le sera.

    * * *

    Investigative historian Eric Zuesse is the author, most recently, of They’re Not Even Close: The Democratic vs. Republican Economic Records, 1910-2010, and of CHRIST’S VENTRILOQUISTS: The Event that Created Christianity.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-06-30/zuesse-civil-war-now-america

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    1. Avec de l'argent, les riches peuvent acheter n'importe qui ! ou, s'il ne veut pas c'est: une balle dans la tête ! (une balle on ne l'a voit pas venir).

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  22. Choses Libres Et Personnes Libres


    par Tyler Durden
    Dim, 06/30/2019 - 21:10
    Rédigé par Richard Salsman via l'Institut américain de recherche économique,


    Comme le disent les politiciens d’aujourd’hui, si fort et sévèrement, que des denrées telles que l’alimentation, le logement, les soins de santé, l’emploi, la garde des enfants, un environnement moins polluant, les transports, la scolarité, les services publics et même les études universitaires devraient être «gratuites», ou subventionnées personne ne demande pourquoi de telles revendications sont valables.

    Doivent-ils être acceptés aveuglément sur la foi ou affirmés par une simple intuition (sentiment) ? Cela ne semble pas scientifique. Toutes les revendications cruciales ne doivent-elles pas passer les tests de logique et de preuve ?

    Les gestionnaires d'actifs pensent que les fonds d'intervalle sont la nouveauté

    En règle générale, une réclamation de billet de faveur reçoit des éloges conditionnels: «Cela sonne bien, mais c’est probablement trop coûteux.» J’imagine que les proposants de billet de faveur aiment entendre ce compliment, ce qui les incite également à proposer des cadeaux supplémentaires. En ce qui concerne les avertissements de coûts, j’imagine que les proposants de billet de faveur aiment savoir comment d’autres vont travailler sur la comptabilité et localiser le financement nécessaire, d’autant plus qu'il a déjà été démontré que les gouvernements démocratiques peuvent, presque sans limite, taxer, emprunter, imprimer de la monnaie, donner mandat dépenses privées, ou nationaliser les industries. Ces mesures nuisent-elles à la prospérité? Oui, mais cela ne concerne pas les promoteurs de billets de faveur.

    Pourquoi le billet de faveur prétend-il «sonner bien» à tant de gens ? Cela ne me semble pas très bon. Pourquoi pas? Parce qu'ils semblent méchants, même sans cœur. Pourquoi? Parce qu’ils sont illibéraux, donc fondamentalement inhumains. J'espère que je ne suis pas le seul à reconnaître que les cadeaux promis ne sont pas des cadeaux de la nature ou de la manne du ciel, mais des choses produites par de vrais êtres humains qui choisissent d'employer leur esprit et leur corps. À qui appartiennent les produits et services de ces esprits et de ces corps ? Qui devrait déterminer si et comment les biens ou services devraient être créés, échangés, investis, consommés ou légués ? En effet, à qui appartiennent ces esprits et ces corps ?

    Une devise de plus en plus populaire aujourd'hui est «mon corps, mon choix». Bonne devise. Que diriez-vous aussi de «mon esprit, mon choix ?» «Mon entreprise, mon choix ?» Mon argent, mon choix ? »Pourquoi ne pas promouvoir une liberté de choisir et d’agir dans tous les aspects de nos vies précieuses, pas seulement quelques aspects ?

    Affirmer que les soins de santé est «un droit humain fondamental» et devrait être «gratuit» revient à prétendre que les consommateurs de soins de santé ont le «droit» d'obliger les producteurs de soins de santé à fournir. N’est-il pas évident que cela viole les droits et libertés des producteurs de soins de santé ? Comment, en logique (ou en morale), peut-on prétendre avoir «le droit de violer les droits?» Les médecins, infirmières, hôpitaux, sociétés pharmaceutiques et fabricants d'instruments médicaux n'ont-ils pas de droits? Bien entendu, le principe ne diffère pas si l’échange est financé par des ressources saisies de force par des parties non liées. Le principe n'est pas inapplicable simplement parce que ceux qui saisissent sont élus à la majorité démocratique. Il ne semble rien "juste" d’une société de tiers faite pour payer des choses qu’elle ne reçoit pas, de sorte que les autres puissent obtenir quelque chose pour rien. Pourtant, la politique est jugée «socialement juste».

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  23. De même, revendiquer un diplôme universitaire est un «droit humain fondamental» qui devrait être «gratuit» revient à revendiquer que les consommateurs d’enseignement supérieur ont le «droit» d’obliger leurs producteurs à le leur fournir. Cela ne viole-t-il pas les droits des professeurs et des administrateurs des collèges ? Ne doivent-ils pas être payés pour la valeur qu'ils fournissent ? Quel aspect de leur caractère ou de leur travail leur convient particulièrement bien à la servitude professionnelle, ou pire, à la dépendance abjecte à l'égard des bonnes grâces des fonctionnaires de l'État ? Encore une fois, l’illogisme du «droit de violer les droits» n’est pas modifié en faisant payer la facture à des tiers.

    Imaginez que le coton soit aussi «un droit humain fondamental» à être «gratuit». Les producteurs de coton sont privés de la liberté et des fruits de leur propre travail. C'était une croyance implicite dans l'esprit des propriétaires d'esclaves de plantations dans le sud des États-Unis au 19ème siècle. C'est aussi une croyance vile.

    Dans un système de gouvernement constitutionnel libre et capitaliste, il faut une justice égale sur le plan juridique, et non un traitement juridique discriminatoire; rien ne justifie de privilégier un groupe par rapport à un autre, y compris les consommateurs par rapport aux producteurs (ou inversement). Chaque individu (ou association) doit être libre de choisir et d’agir, sans recourir à des moochings ou à des pillages. L’approche des freebies en matière de campagne politique et d’élaboration de politique incite férocement à se moquer et, en élargissant la taille, la portée et le pouvoir du gouvernement, institutionnalise également le pillage.

    Alors que les politiciens envisagent (et appliquent) des politiques qui nous éloignent du capitalisme pour un socialisme accru, il n’est peut-être pas surprenant que nous voyions aussi une promesse de billet de faveur omniprésente et sans vergogne. N’oubliez pas que le socialisme signifie la propriété publique (par l’État) des moyens de production - des moyens qui incluent la terre, le travail et le capital. La propriété et le contrôle de l’État sur le travail et ses fruits ne sont pas très éloignés de la propriété des travailleurs en tant que tels - c’est-à-dire des personnes. La propriété des humains par les humains est pire que «illibérale» ou inhumaine; c’est la définition même de l’esclavage. L’affaire socialiste est étayée par son principe de répartition (tiré de Karl Marx, dans Critique du programme Gotha, 1875), selon laquelle les membres du collectif doivent contribuer à la somme des ressources «en fonction de leurs capacités» tout en prélevant les mêmes sommes » selon les besoins », une formule moralement douteuse et économiquement insoutenable qui sépare la productivité tout en engendrant de plus en plus de pauvreté, de privation et de victimisation, tant réelles qu'imaginaires.

    Dans les années 1940, Harley Lutz, professeur de finances publiques à Princeton, écrivait pour la première fois qu’il n’existait «pas de déjeuner gratuit», un adage utilisé par la suite et souvent par des économistes du marché libre. Il capture le sens commun de la question, mais pas tout à fait sa moralité. Oui, les déjeuners doivent être préparés avant de pouvoir être consommés ou distribués - ce qui confirme la loi des marchés de Say contre les keynésiens - mais qui devrait décider des questions de consommation et de distribution ?

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  24. Selon J.B. Say, le producteur est de droit de décider de ce qu’il faut faire de son produit (Traité sur l’économie politique, 1803); J.S. Mill, au contraire, a déclaré que, si les lois de la production sont scientifiques et économiques, celles de la distribution et de la consommation sont arbitraires et politiques (Principles of Political Economy, 1848). Les producteurs travailleront toujours, a-t-il dit, mais ils devraient sinon rester muets sur ce qui est fait de leur produit. Marx a accepté. Il n’est donc pas étonnant que Say soit resté pro-capitaliste toute sa vie, tandis que Mill virait au socialisme.

    Les dirigeants politiques doivent respecter à la fois les prouesses productives et les droits des producteurs. Tout comme les déjeuners devraient être laissés libres de payer pour le déjeuner, les responsables du déjeuner devraient être libres de produire et d'échanger à leur guise, et même d'offrir un déjeuner, par charité ou par philanthropie. Au lieu de cela, de nombreux dirigeants politiques aujourd'hui s'opposent ouvertement à la mentalité de «moqueries», qui consiste à «quelque chose pour rien». C’est illibéral, indigne et indigne d’une société constitutionnelle avancée.

    Bien sûr, il est possible que les libérés-prometteurs se trompent uniquement parce qu’ils sont myopes ou parce qu’ils ne connaissent pas l’économie de base. Dans l’affirmative, ils pourraient lire Economics in One Lesson (1946) de Henry Hazlitt, qui expliquait «la différence entre une bonne et une mauvaise économie»:

    «Le mauvais économiste ne voit que ce qui frappe immédiatement à l'œil nu; le bon économiste regarde aussi au-delà. Le mauvais économiste ne voit que les conséquences directes d'un cours proposé; le bon économiste se penche également sur les conséquences plus longues et indirectes. Le mauvais économiste ne voit que ce que l'effet d'une politique donnée a été ou sera sur un groupe particulier; le bon économiste demande également quel sera l’effet de la politique sur tous les groupes. »

    Si les politiciens d’aujourd’hui savaient au moins ce que savait Hazlitt, cela les dissuaderait peut-être de faire preuve d’une si courte vue, mais est-ce que cela les dissuaderait d’être des prometteurs libérés ? Le problème est bien plus profond que l’économie, car les libéraux-prometteurs, tout en s'adressant aux nécessiteux, croient à tort qu’ils occupent les hauteurs morales; En vérité, ils traitent avec des aliments qu’ils n’ont pas produits et le pire des nombreux coûts qu’ils nous imposent est celui de la liberté perdue.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-06-30/free-things-and-unfree-people

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    1. C'est le but des lobbyistes: imposer la merde, le mal et dire "C'est pour votre bien" ! Exemple le bio, les éoliennes, les panneaux solaires, l'éthanol, interdire les désherbants, taxer l'air, l'eau, la terre ! etc, etc !

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  25. Faire rage contre l'algorithme: Google et la technologie persuasive


    par Tyler Durden
    Dim, 06/30/2019 - 16:20
    Écrit par Binoy Kampmark via Oriental Review,


    "Le fondateur de Netscape a déclaré qu'un logiciel allait dévorer le monde".

    Tristan Harris, Centre de technologie humaine, 25 juin 2019

    Les monstres et les titans partagent le stade de la mythologie à travers les cultures comme les réalisations nécessaires de l'imagination humaine. De la grotte de pierre à la demeure urbaine, le thème est ininterrompu; gardés dans l'imaginaire, ces créatures remplissent assez innocemment des fonctions bénignes. Le problème ici est la tendance humaine à réaliser de telles créatures. Ils prennent la forme d'ingénierie sociale et d'utopie. Folie liée, de tels projets et entreprises finissent par se corrompre et se dégrader. Le monstre est né et l’affreuse vérité se dégage: camp de concentration, état de surveillance, newspeak, armées de censure.

    Les géants de la technologie de l’époque actuelle sont les utopistes modernes, cédant à la faim et aux intérêts humains en les façonnant. Une entreprise nous donne l'archétype. C'est Google, qui a la particularité d'être à la fois nom et verbe, entité et action. Le pouvoir de Google est démesurément vaste, un étalement terrifiant qui privilégie la transparence tout en l’absence et la conservation des informations tout en en régulant la portée. C’est aussi une entité qui est devenue au-delà d’un simple référentiel de recherches et de données, une tentative visant à induire un changement de comportement de la part des utilisateurs.

    Google donne toujours l’impression que ses utilisateurs sont en tête, autonomes, indépendants dans un pays verdoyant de ébats numériques. L'idée que la société elle-même favorise un tel changement, mettant en avant des modifications de comportement, est mise de côté. Il n'y a pas de Svengalis à Googleland, car nous sommes tous libres. Gratuit, mais nécessitant une assistance dans le chaos et le multitâche.

    Les gens ont ce que la société appelle des «micro-moments», ceux-là, comme l'économiste du comportement Dan Ariely décrit comme «des moments mobiles sur le pouce» où les décisions sont prises par un utilisateur alors qu'il est engagé, simultanément, dans une série de tâches: livre, choix de voyage à faire, horaires de travail à respecter. Tandis qu'Ariely écrit plus largement du point de vue de l'omniprésente spécialiste du marketing numérique, le langage utilisé est purement googléléien, et associe une part de persuasion et une part d'imposition. “Voulez-vous développer une stratégie pour façonner vos décisions de consommation ?”, Demande Google. «Commencez par comprendre les micro-moments clés de leur parcours.» Comprenez-les; nourrir leur esprit; leur tenir la main.

    La dépendance à Google engendre ce qui ne peut plus être considéré comme retardant, mais stimulant. Une génération grandit sans bibliothèque de recherche sur papier, sans liste de classiques prêts à l'emploi et sans moyen de parcourir des enregistrements sans avoir recours à ces fichues clés numériques. Des débats sont inévitables (certains polluent déjà l’espace numérique) sur le point de savoir si cela est nécessairement une condition à déplorer. Embrassez l'amnésie numérique! Pour Google, c'est exister.

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  26. Ce qui est indéniable, c’est que le moyen de trouver des informations - instantané, débordant, désespérément rapide - a créé des utilisateurs qui habitent un espace qui guide leur pensée, leur anticipation, leur cajolerie et leur adaptation. Une forme d'alphabétisation, pourrait-on bien dire, est remplacée par une autre: l'imbécile de Google est sur nous.

    Compte tenu de la nature de ces effets, il n’est pas étonnant que les politiciens trouvent Google menaçant leur métier moisi et rouillé. La réserve du politicien est une communication saine ou malsaine; le succès aux prochaines élections dépend de l’idée que les électeurs comprennent et approuvent ce qui leur a été transmis (qu’il s’agisse de faits, qu’ils soient factuels ou non, qu’ils soient mensongers ou non, n’est pas pertinent: l’homme politique veut convaincre pour gagner).

    L'ancien moteur de recherche titan fournit quelque chose d'un obstacle à cet égard. D'une part, il offre aux classes politiques les moyens de toucher un public mondial, un moyen de faire entendre leur voix et de promouvoir le prochain stratagème déréglé dans l'esprit de l'apparence politique. Mais que se passe-t-il si le message est bloqué, trouvant des retards dans les moyens de ce que l’on appelle «l’optimisation des moteurs de recherche» ? Est-ce que Google est à blâmer ou à éliminer la banalité de l'homme politique ?

    Les politiciens américains pensent avoir une réponse. Ils sont les seuls autorisés à contrôler le récit et à diffuser le mensonge. Ces derniers temps, ils ont essayé de tracer un chemin auquel ils ne sont pas habitués: réglementer les industries autrefois considérées comme des sentinelles de la liberté, des promoteurs de la liberté. Leurs plaintes ont tendance à manquer de cohérence. D'un côté, ils trouvent divers algorithmes de Google problématiques (préférence pour les sites de droite, gruau conspirateur comme dommageable), mais leur biais est méchant et biaisé. Si ces algorithmes avaient conduit à des termes de recherche favorables (conformiste, constant, inconditionnel, anti-Trump), la matière serait un non-starter. Notre message, diraient-ils, est de sortir.

    Cette semaine, le Comité du commerce, des sciences et des transports du Sénat américain a tenté de donner un sens, plutôt accusateur, à la «technologie persuasive». Nanette Byrnes nous en fournit une définition: «L’idée que les ordinateurs, les téléphones portables, les sites Web et d’autres technologies pourraient être conçues pour influencer le comportement et même les attitudes des gens». Le pape reste résolument catholique.

    L’audience du comité a présenté des opinions telles que celles du sénateur John Thune (R-SD), qui souhaitait utiliser les procédures pour élaborer un projet de loi qui «exigerait que les plateformes Internet donnent aux consommateurs la possibilité de s’engager sur la plateforme sans que l’expérience ne soit façonnée par des algorithmes». . ”Le sénateur est heureux d’accepter que l’intelligence artificielle« permette aux automatismes d’afficher du contenu pour optimiser l’engagement », mais voit un diable en marche, car« les algorithmes d’intelligence artificielle peuvent avoir un inconvénient inattendu et peut-être même dangereux ». Cela revient à vouloir un Grand Prix de Formule 1 sans voitures rapides et une compétition d’athlétisme au ralenti.

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  27. Maggie Stanphill, directrice de Google User Experience, faisait face aux sénateurs. Son témoignage était formulé avec des mots plus proches de la brillance d'une brochure de voyage assortie d'une pincée de cocaïne. "L'Initiative sur le bien-être numérique de Google est l'un des principaux objectifs de l'entreprise. Elle vise à fournir à nos utilisateurs des informations sur leurs habitudes et outils numériques afin de soutenir une relation intentionnelle avec la technologie." Google crée simplement des produits qui améliorent la vie de ceux qui les utilisent. " La société a fourni un accès qui «a démocratisé les informations et fourni des services à des milliards de personnes dans le monde». Lorsqu'on lui a demandé si Google faisait sa part dans le domaine de la persuasion, Stanphill était sans équivoque. "Nous n'utilisons pas de technologie persuasive."

    Le thème de la session était clair: les tas de choses et de contenu sont bons, mais doivent être appropriés. Dans Information Utopia, où Adam et Eve numériques fonctionnent encore nus, la méchanceté ne sera pas autorisée. Si les gens veulent rechercher un contenu qui est «négatif» (cette horrible nature arbitraire continue de paraître), ils ne devraient pas être autorisés à le faire. Les bâillonner et s'assurer que les termes populaires recherchés sont blanchis de toute importation offensante ou dangereuse. Imposer aux techniciens la responsabilité de contrôler le négatif.

    Le sénateur Brian Schatz (D-Hawaii) s'est plaint de ces sociétés «laissant ces algorithmes se déchaîner […], laissant les humains nettoyer le désordre. Les algorithmes sont amoraux. »Tristan Harris, cofondateur et directeur exécutif du Center for Humane Technology, a parlé de la concurrence entre entreprises pour utiliser des algorithmes qui« permettent de prédire avec plus de précision ce qui va retenir les utilisateurs le plus longtemps ». Le temps passé à chercher des termes ou, dans le cas de YouTube, à regarder une vidéo, concentrez-vous sur «toute la fourmi de l'humanité» vers «Crazytown». Pour Harris, «la technologie pirate les faiblesses humaines». La morale? Ne donnez pas aux gens ce qu'ils veulent.

    La rage contre l’algorithme et la conviction qu’aucune impulsion comportementale n’a lieu dans la technologie de recherche sont mal placées sur plusieurs fronts. À un certain niveau, tous acceptent le fonctionnement de tels modes de récupération des informations. Le désaccord survient quant à leurs conséquences, une concession, effectivement, à l'utilisateur de Google en tant qu'imbécile. Stanphill fait preuve d’hypocrisie en présumant que la technologie de persuasion n’est pas une fonction du travail de Google (ce qui est bien le cas, compte tenu de l’intention de la société d’améliorer la «relation intentionnelle avec la technologie»). Dans son témoignage, elle a parlé de la création de «produits avec confidentialité, contrôle et transparence pour les utilisateurs, et nous construisons une relation durable avec l'utilisateur, ce qui est primordial». Les Sénateurs, à leur tour, craignent que les utilisateurs, dégradés par des encouragements dans leurs intérêts de recherche, sont incapables de créer leurs propres esprits fragiles.

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  28. La nature des informations gérées dans l'expérience numérique n'est pas, comme le montrent Google, YouTube et des sociétés similaires, un cas d'élargissement des connaissances mais de réaffirmation des hypothèses existantes. La chambre d'écho se hérisse de confirmations et non de défis, avec le confort des préjugés plutôt que l'inconfort de l'apprentissage de l'artillerie lourde. Mais les élus sur la Colline et les cyberutopistes continuent de se débattre et de se débattre dans la jungle numérique, perçue comme une utopie de l'information à la hauteur de tous. Pour les géants de la technologie de pointe, c’est assez simple: le spectacle qui attire l’attention, des surprises sur les sièges et des téléchargements à profusion.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-06-30/raging-against-algorithm-google-and-persuasive-technology

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  29. Un co-fondateur de Wikipédia dévoile "la déclaration d'indépendance numérique"


    par Tyler Durden
    Samedi, 29/06/2019 - 21h30
    Écrit par Larry Sanger,


    L'humanité a été utilisée avec mépris par de vastes empires numériques. Ainsi, il est maintenant nécessaire de remplacer ces empires par des réseaux décentralisés d'individus indépendants, comme dans les premières décennies d'Internet. Notre participation étant volontaire, personne ne doute de notre droit de faire ce pas. Mais si nous voulons persuader le plus grand nombre de personnes possible de s’unir et de rendre possibles les réseaux réformés, nous devons déclarer nos raisons de vouloir remplacer les anciens.

    Nous déclarons que nous avons des droits numériques inaliénables, des droits qui définissent la manière dont les informations que nous possédons individuellement peuvent ou ne peuvent pas être traitées par des tiers, et parmi ces droits figurent la liberté d'expression, la confidentialité et la sécurité. Puisque l'architecture centralisée propriétaire d'Internet à l'heure actuelle a amené la plupart d'entre nous à abandonner ces droits, même à contrecœur ou cyniquement, nous devrions exiger un nouveau système qui les respecte correctement. La difficulté et les divisions de la réforme globale signifient que cette tâche ne doit pas être entreprise à la légère. Pendant des années, nous avons approuvé et même célébré l’entreprise, car elle a tiré profit de notre communication et de notre travail sans rémunération. Mais plus récemment, il est apparu très clairement qu'un animus insensible, secret, contrôlant et exploitant guidait les réseaux centralisés d'Internet et les sociétés qui les sous-tendaient.

    Facebook présente ses plans pour un nouveau portefeuille numérique et une crypto-monnaie

    La longue série d'abus dont nous avons été victimes fait de notre droit, voire même de notre devoir, le remplacement des anciens réseaux. Pour montrer quel train d’abus nous avons subis de la part de ces sociétés géantes, soumettons ces faits à un monde candide.

    Ils ont pratiqué la modération interne en accord avec les idées de leurs dirigeants sur ce qui permettra de maximiser les profits, plutôt que de permettre à la modération d’être exercée plus démocratiquement et par des membres aléatoires de la communauté.

    Ils ont banni, interdit l'ombre, étranglé et démonétisé les utilisateurs et le contenu sur la base de considérations politiques, exerçant ainsi leur énorme pouvoir d'entreprise pour influencer les élections au niveau mondial.

    Ils ont adopté des algorithmes pour les flux d'utilisateurs qui mettent en évidence le contenu le plus controversé, rendant la discussion civique plus émotive et irrationnelle et permettant aux puissances étrangères d'exercer une influence non méritée sur les élections à l'échelle mondiale.

    Ils ont exigé un accord sur des conditions de service impossibles à comprendre pour les utilisateurs ordinaires et qui sont excessivement vagues, de manière à leur permettre de défendre juridiquement leurs pratiques d'exploitation.

    Ils ont commercialisé des données privées auprès des annonceurs d'une manière à laquelle personne ne pouvait donner son accord.

    Ils n'ont pas fourni de moyens clairs de se retirer de tels programmes de marketing.

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  30. Ils ont soumis les utilisateurs à de telles conditions et à une surveillance même lorsque les utilisateurs les paient pour des produits et services.

    Le contenu et le comportement des utilisateurs sont basés sur des données de manière sophistiquée et dérangeante, ils en apprennent parfois davantage sur leurs utilisateurs que leurs utilisateurs ne le savent à leur sujet. ils ont profité de ces informations cachées mais personnelles.

    Ils ont évité d'utiliser un cryptage de bout en bout solide lorsque les utilisateurs ont le droit de s'attendre à une confidentialité totale afin de conserver l'accès à leurs données.

    Ils ont amassé des quantités stupéfiantes de données utilisateur tout en ne respectant pas les règles de sécurité, telles que le cryptage; ils ont ouvert ces données par inadvertance ou délibérément aux attaques illégales et à la surveillance gouvernementale.

    Ils ont injustement bloqué des comptes, des publications et des moyens de financement pour des motifs politiques ou religieux, préférant la loyauté de certains utilisateurs à d'autres.

    Ils ont parfois été trop disposés à coopérer avec des gouvernements despotiques qui contrôlent à la fois l'information et surveillent leur peuple.

    Ils n'ont pas réussi à fournir aux utilisateurs des options adéquates et souhaitables pour orienter leur propre expérience de leurs services, préférant manipuler les utilisateurs à des fins lucratives.

    Ils n'ont pas réussi à fournir aux utilisateurs des outils adéquats pour la recherche de leur propre contenu, les obligeant plutôt à utiliser des interfaces insultantes et inadéquates à cette fin.

    Ils ont exploité des utilisateurs et des volontaires qui contribuent librement à l’information sur leurs sites en ne les rendant accessibles à des tiers que par le biais d’interfaces de programme d’application payantes et de conditions de service contraires à la vie privée, en omettant de rendre ces données gratuites et libres, et en interdisant les utilisateurs à anonymiser leurs données et se désinscrire facilement.

    Ils n'ont pas réussi à fournir les outils adéquats, et parfois aucun, pour exporter les données utilisateur dans une norme de données commune.

    Ils ont créé des silos artificiels pour leur propre bénéfice; ils n'ont pas réussi à fournir les moyens d'incorporer un contenu similaire, diffusé ailleurs, dans le cadre de leur interface, obligeant les utilisateurs à rester au sein de leurs réseaux et à les couper de leur famille, de leurs amis et de leurs associés qui utilisent d'autres réseaux.

    Ils ont profité du contenu et de l'activité des utilisateurs, souvent sans partager aucun de ces bénéfices avec les utilisateurs.

    Ils ont traité les utilisateurs avec arrogance comme une ressource fongible à exploiter et contrôler plutôt que d'être traités avec respect, comme des partenaires libres, indépendants et divers.

    Nous avons prié et plaidé, nous nous sommes plaints et avons eu recours à la loi. Les dirigeants des entreprises doivent bien connaître ces plaintes courantes. mais ils ne les reconnaissent publiquement que rarement et à contrecœur. Les mauvais traitements continuent, montrant que la plupart de ces cadres ne sont pas des gérants de la confiance du public.

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  31. La garantie la plus fiable de notre vie privée, de notre sécurité et de notre liberté d'expression ne réside dans aucune entreprise, organisation ou gouvernement, mais bien dans l'accord libre entre des individus libres d'utiliser des normes et des protocoles communs. Le vaste pouvoir exercé par les réseaux sociaux du début du XXIe siècle, qui met gravement en péril nos droits numériques, montre que nous devons créer de nouveaux réseaux décentralisés - à l’ancienne - qui rendent impossibles des concentrations de pouvoir aussi dangereuses.

    Par conséquent, nous déclarons notre soutien aux principes suivants.

    Principes des réseaux sociaux décentralisés
    Nous, les individus libres, devrions pouvoir publier nos données librement, sans avoir à répondre à aucune entreprise.

    Nous déclarons que nous possédons légalement nos propres données; nous possédons les droits légaux et moraux de contrôler nos propres données.

    Les publications qui apparaissent sur les réseaux sociaux devraient pouvoir être diffusées, comme les e-mails et les blogs, à partir de nombreux services indépendants que nous contrôlons individuellement, plutôt que de bases de données contrôlées exclusivement par des entreprises ou de tout référentiel central.

    De même que personne n'a le droit d'écouter des conversations privées à la maison sans raisons extraordinairement bonnes, le droit des utilisateurs à la vie privée doit également être préservé contre toute surveillance par des criminels, des entreprises et des gouvernements; Par conséquent, pour le contenu privé, les protocoles doivent prendre en charge un cryptage de bout en bout fort et d'autres pratiques de confidentialité performantes.

    Comme dans le cas du système de noms de domaine Internet, les listes de flux utilisateur disponibles doivent être restreintes par des normes techniques et des protocoles, jamais en fonction de l'identité ou du contenu de l'utilisateur.

    Les applications de médias sociaux doivent permettre aux utilisateurs, à leur seule discrétion, de saisir les données dont elles ont besoin pour qu'elles soient distribuées par tous les autres éditeurs conformément aux normes et protocoles généraux en vigueur, tout comme le sont les courriers électroniques et les blogs, aucun éditeur n'étant privilégié par le réseau ci-dessus un autre. Les applications avec des normes idiosyncratiques violent les droits numériques de leurs utilisateurs.

    Par conséquent, les applications de médias sociaux doivent regrouper les publications de plusieurs sources de données indépendantes, déterminées par l’utilisateur et dans un ordre déterminé par ses préférences.

    Aucune société, ou petit groupe de sociétés, ne devrait contrôler les normes et les protocoles des réseaux décentralisés, pas plus qu’une marque, un propriétaire, un logiciel propriétaire ou un emplacement Internet ne leur serait associé, ce qui constituerait une centralisation.

    Les utilisateurs doivent s'attendre à pouvoir participer aux nouveaux réseaux et à bénéficier des droits énumérés ci-dessus, sans compétences techniques particulières. Ils doivent pouvoir contrôler très facilement la confidentialité, à la fois fine et grossière, avec la plupart des messages privés chiffrés automatiquement, et utiliser des outils de contrôle des flux et des résultats de recherche faciles à utiliser pour les non-techniciens.

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  32. Nous estimons qu'adhérer à ces principes revient à revenir aux pratiques plus saines et meilleures de l'Internet antérieur et qui étaient, après tout, le fondement de la brillante montée de l'Internet. Quiconque s'oppose à ces principes s'oppose à Internet lui-même. Nous nous engageons donc à coder, à concevoir et à participer à des réseaux nouveaux et améliorés qui suivent ces principes, et à éviter les réseaux plus anciens, contrôlants et bientôt obsolètes.

    Par conséquent, nous, les soussignés d’Internet, publions solennellement et déclarons que nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour créer des réseaux sociaux décentralisés; que le plus grand nombre possible d'entre nous distribuons, discutons et signons leurs noms sur ce document; que nous souscrivions à la déclaration de principes précédente sur la décentralisation; que nous jugerons les entreprises de médias sociaux selon ces principes; que nous montrerons notre solidarité à la cause en abandonnant les réseaux abusifs si nécessaire; et que nous, utilisateurs et développeurs, défendrons la cause d'un Internet plus décentralisé.

    Sign the petition here...

    https://www.zerohedge.com/news/2019-06-29/wikipedia-co-founder-unveils-declaration-digital-independence

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    1. Toutes ces revendications sont justes mais sont impossible à développer en dictatures.
      Seule la Démocratie permettra à l'humain de s'exprimer.

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