12 Juin 2019,
par Seppi
Glané sur la toile 353
C'est un superbe fil de M. Alexandre Carré sur le désherbage, dont voici le premier élément :
- voir photo d'esclaves (blanc) dans les champs -
Nous reproduirons aussi celui-ci :
- voir photo d'esclaves (noirs) dans les champs -
Et dire qu'il y a des gens qui font la promotion de l'agriculture dite « biologique » en Afrique...
Ne manquez pas la petite vidéo sur un robot désherbeur : impressionnant. Et vous savez quoi ? Il applique des mini-doses d'herbicides... de ces herbicides dont la bien-pensance réclame l'interdiction...
Il manque cependant une autre vidéo. Par exemple celle-ci, sur le désherbage manuel en « bio ».
http://seppi.over-blog.com/2019/06/expliquer-le-desherbage-avec-un-tableau-les-sarcleuses.html
C'est l'humour du jour !
RépondreSupprimerAdapté des théories trisomiques de Greta !
HAHAHA !
Abeilles : « Envoyé spécial est au journalisme ce que le sirop de glucose est au miel de fleurs sauvages »
RépondreSupprimer12 Juin 2019
par Seppi
Nous avons « emprunté » notre titre à M. Pierre Walid Aoun, auteur d'un fil Twitter très informatif dans lequel nous irons également piocher.
Il est d'une grande justesse. Les annonces ont été tonitruantes : nous allions voir un grand moment de catastrophisme et de désinformation dans l'Envoyé Spécial du 6 juin et sa séquence de 28 minutes et demie sur « Un monde sans abeilles ».
Nous avons eu le catastrophisme et la désinformation, mais dans un emballage assez quelconque. De la bien petite ouvrage... sauf bien sûr pour les effets de caméra comme une introduction dans un muséum d'histoire naturelle où trônerait la dernière abeille à côté du dodo, suivie d'un paysage de forêts de conifères dépouillés, ou encore d'une branche fichée dans le fond d'un oued desséché et craquelé... Rien à voir avec les abeilles... tout à voir avec le sensationnalisme.
Mais nous avons aussi eu des éléments qui, débarrassés de la gangue propagandiste, sont assez intéressants.
- voir clip sur site -
Une mortalité en hausse constante et un monde bientôt sans abeilles ?
Le chapô de l'article sur FranceTVInfo nous promettait un vaste panorama :
« La mortalité des abeilles est en hausse constante et certains anticipent déjà un monde où elles seraient en voie de disparition. Elevages d'abeilles reines, drones pollinisateurs… quelles solutions pour les remplacer ? Un reportage d'"Envoyé spécial". »
Première phrase et première erreur ou désinformation : s'il y a bien des problèmes de mortalité, le nombre de colonies est remonté en France en 2016-2017 au niveau qu'il avait en 1994-2004, selon les déclarations de ruches.
- voir clip sur site -
Mais curieusement – ou peut-être pas quand on connaît les dessous de l'apiculture française et sa désorganisation – ce nombre est en baisse selon les statistiques de la FAO, évidemment fondées sur des données fournies par les autorités françaises...
- voir clip sur site -
Le nombre de colonies est en revanche en augmentation constante dans le monde.
(Source : FAOSTAT)
Voici deux autres graphiques encore :
- voir graphique sur site -
La preuve par deux apiculteurs sinistrés (l'hiver 2017-2018)
Il suffisait de se renseigner un peu – oh, pas chez les prêcheurs d'apocalypse – pour apprendre que l'abeille est une espèce domestique et que leur situation dépend dans une large mesure... des apiculteurs.
Idem pour des petits détails comme la disparition du chocolat avec la disparition des abeilles. En réalité, les fleurs du cacaoyer sont toutes petites et si tortueuses que seuls de très petits insectes et des fourmis minuscules peuvent y pénétrer et participer à leur pollinisation.
Mais dans ce genre d'œuvre audiovisuelle – au sens du droit d'auteur, sans connotation qualitative – on préfère l'anecdote, de préférence martelée. Deux apiculteurs – bien implantés dans le paysage médiatique (voir par exemple ici et, pour FranceTVInfo, ici et ici) – sont donc convoqués à la barre du tribunal médiatique.
« Mes ruches sont pleines de pesticides, mes abeilles crèvent ! » ? Qu'en sait-il précisément ? Où sont les preuves ? Comment se fait-il que le problème allégué de pesticides ne se traduit pas de la même manière partout ? Etc.
RépondreSupprimerM. Pierre Walid Aoun apporte des précisions dans son fil Twitter – extrait ci-dessous.
La suite mérite lecture !
Notez que cette œuvre audiovisuelle qui se veut reportage et emprunte beaucoup à la fiction a réussi l'exploit de ne mentionner à aucun moment les causes principales des problèmes de l'apiculture – Varroa destructor, Nosema ceranae, virus, disettes et famines... et apiculteur. Et l'exploit de ne donner la parole à aucun expert...
L'exploit aussi de laisser entendre que la mortalité constatée par deux apiculteurs à la sortie d'un hiver non précisé (en fait 2017-2018, l'hivernage suivant ayant été beaucoup plus favorable en Bretagne) est représentative d'une situation pourtant considérablement meilleure (même si les pertes hivernales avaient été élevées). À 04:30, la voix off articule cependant le chiffre de 30 % de pertes, mais que vaut cette information face à l'exaspération youtubée de l'un des apiculteurs qui a perdu six ruches sur sept et le discours de l'autre ?
Les coupables, c'est les pesticides... ben voyons !
On trouve donc un coupable, au moins présumé : « on trouve notamment euh... de la propargite ».
- voir clip sur site -
Il nous semble que la seule substance trouvée selon cette analyse est la propargite, le doigt cachant le mot « autres » dans la ligne suivante. Curieux !
La propargite n'est pas approuvée en France comme pesticide agricole et ne semble pas avoir été utilisée depuis bien longtemps. De plus, elle est « relativement sûre pour les abeilles » ou « non toxique », ou encore à faible risque.
Pour les responsables, il faut donc chercher ailleurs... Mais quel téléspectateur comprendra qu'en fait, il a été berné par cette séquence, avec le concours d'apiculteurs qui sont certes de bonne foi, mais obnubilés – ou intoxiqués par le discours ambiant – par les pesticides ?
« Un appel à l'aide qui restera sans réponse »...
Phrase suivante : « L'État a débloqué 3 millions d'euros en guise de soutien... ». Difficile de faire mieux en guise de déclarations contradictoires...
C'est suivi d'une nouvelle critique : « ...mais aucune enquête toxicologique n'a été faite sur leurs ruchers ». Admettons... c'est « sur leurs ruchers ».
Le fait est, cependant, qu'outre les institutions et instances déjà existantes, les autorités ont mis en place, en février 2018, un Observatoire des Mortalités et des Affaiblissements de l'Abeille Mellifère (OMAA) en régions Bretagne et Pays de la Loire dans le cadre d’une phase expérimentale qui se déroulera jusqu’au 31 juillet 2019. Selon le premier bilan d'étape, les mortalités massives aiguës avec suspicion d’intoxication en sortie d'hivernage 2017-2018 ont porté sur... 6 % des cas déclarés ; c'est en accord avec les nombreuses observations faites par ailleurs qui attribuent un rôle minoritaire aux pesticides dans la mortalité des abeilles.
On ne sort décidément pas de la médiocrité et du dilettantisme : pour produire la séquence, on a cherché dans les archives, notamment de FranceTVInfo ; on est allé chez des personnages aux opinions bien arrêtées, sans chercher plus loin ; on a pris grand soin de ne pas interroger les gens qui savent, dans la recherche et l'administration ; on a occulté des éléments importants et même proféré de gros mensonges ; et on a produit une énième version d'une histoire qui tourne en boucle.
La charmante île de Malte
RépondreSupprimerLa première séquence se termine par un discours halluciné, contre les pesticides évidemment – « lutter, résister pour éviter à tout prix un monde sans abeilles... » Et un autodafé de ruches mortes ; bien sûr la nuit pour que ce soit plus impressionnant ; et avec, une fois de plus, la pique « anti-système » : « les autorités sanitaires ne leur ont donné aucune consigne ».
Transition... Musique guillerette, image plutôt touristique... Nous sommes à Malte, ou plutôt l'île de Gozo, « un endroit où l'on essaie de résister à l'extinction des abeilles, un sanctuaire au milieu de la Méditerranée, une île au climat tempéré. Sur ce petit caillou escarpé, peu d'agriculture intensive, et moins de pesticides ».
Bingo ! L'Éden pour les abeilles ! Sauf que Malte est le plus gros utilisateur de pesticides à l'hectare agricole utilisé de l'Union Européenne avec quelque 10 kg, entre trois et quatre fois plus que la France !
- voir clip sur site -
M. Ermanno De Chino, loin d'essayer « de résister à l'extinction des abeilles », fait du business. Il élève des reines – et non pas des « rennes » comme le laisse entendre la voix off – pour les expédier par la poste pour « repeupler » les ruches en Europe.
- voir clip sur site -
La vision de cette activité est évidemment idyllique. Aucune allusion au risque de diffuser aussi les parasites et maladies à travers l'Europe, ni à la question de la génétique des abeilles et de la possible pollution ou disparition des races locales.
Cette partie est cependant fort intéressante et informative. Elle mérite d'être vue.
Conclusion : « Ermanno a rencontré le succès. Mais seul, face à la menace d'extinction des abeilles, il nourrit peu d'espoirs […] » Toujours ce prêchi-prêcha millénariste... Non, Ermanno n'est pas seul ! Il y a aussi des éleveurs de reines en France.
Californie, amandiers et « business » de la pollinisation
La partie sur les abeilles et les amandiers est un classique. Cela se laisse voir... Mais les service de pollinisation sont aussi un business en France...
« Mais depuis vingt ans, les États-Unis sont touchés par le syndrome d'effondrement des colonies avec des taux de mortalité pouvant atteindre 70 %. Devenue rare, l'abeille se fait chère »...
Oui, ils sont « touchés »... mais le syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles – qui répond à des symptômes précis chez les spécialistes – est en train de... s'effondrer. Pour le premier trimestre de 2018, il a concerné 77.800 colonies sur 425.000 perdues. Selon l'Environmental Protection Agency, les pertes attribuées au CDD ont chuté d'environ 60 % des pertes totales en 2008 à 31,1 % en 2013, et n'ont pas été mentionnées dans le rapport initial sur les pertes de 2014-2015.
Mais le syndrome d'effondrement des colonies est incontournable dans le discours sur la disparition des abeilles...
Et, pour les mortalités de ce printemps, cet article pointe vers des dommages plus importants causés par... Varroa destructor.
Haro sur le diflubenzuron, le chlorantraniliprole et le propiconazole
RépondreSupprimerBien sûr, le discours se recentre vite sur les pesticides. « Chaque année pourtant, 85.000 tonnes de pesticides sont épandus en Californie... sur les amandiers et les autres cultures. Des produits soupçonnés d'intoxiquer les abeilles. Dans cet État, 34 % des colonies ont disparu cette année. Pas de quoi déstabiliser les producteurs d'amandes qui préfèrent faire venir des abeilles de tout le pays plutôt que de changer leur mode de culture. »
La dernière phrase est un sophisme. Les abeilles sont indispensables à la pollinisation des amandiers – quel que soit le mode de culture – et les producteurs font venir des ruches de tout le pays – contre monnaie sonnante et trébuchante ainsi qu'il est dit dans le reportage – parce que les abeilles californiennes ne suffisent pas.
Retour vers les pesticides avec une transition ... « Mais Bret [Adee, le plus grand apiculteur étas-unien avec près de 100.000 ruches] est inquiet pour l'avenir. Que deviendra-t-il si ses abeilles continuent de mourir ? Comment les protéger ? Pour qu'un monde sans abeilles ne soit pas ne soit pas notre monde de demain, un laboratoire scientifique cherche à élucider le mystère de l'effondrement des colonies d'abeilles [...] »
Des chercheurs de l'Université de Columbus de l'Ohio « ont eu l'idée d'observer l'effet des pesticides sur les larves d'abeilles »... Quelle phénoménale sagacité !
Dans leurs recherches, donc, ils ont trouve que le diflubenzuron, à haute dose, tuait 90 % des larves. Mais leur expérience, en laboratoire selon des modalités hautement artificielles, reflète-t-elle les conditions de terrain. Notons par ailleurs que l'utilisation du diflubenzuron a tendance à diminuer dans les amandiers ; selons leurs indications.
- voir graphique sur site -
En tout cas, ce n'est pas « une première piste pour expliquer la mort des colonies d'abeilles » comme le prétend la voix off. Il suffit d'un peu de matière entre les deux oreilles : si tel était le cas, les ruches seraient décimées après le service de pollinisation dans les amandiers.
Mais là encore, la séquence est intéressante : elle illustre comment se font certaines recherches en laboratoire... et comment elles peuvent être interprétées. Qui peut penser que les abeilles butinant sur des amandiers vont toutes avoir une goutte de mélange de chlorantraniliprole et de propiconazole, à la dose qui sort du pulvérisateur, sur le dos et mourir à la tâche ?
La « chute » est intéressante : éviter les « effets cocktails »... un champ de manœuvre quasi illimité pour la mouvance anti-pesticides.
Des drones pollinisateurs ?
La séquence de quelque trois minutes est plaisante et intéressante. Mais on ne nous dit pas comment a été collecté le pollen qui est épandu par le drone…
http://seppi.over-blog.com/2019/06/abeilles-envoye-special-est-au-journalisme-ce-que-le-sirop-de-glucose-est-au-miel-de-fleurs-sauvages.html
D'ailleurs, y a t-il encore des attardés mentaux qui regardent télé-merdes ?
SupprimerLe cadre prédit le risque d'agents pathogènes des espèces en voie de disparition
RépondreSupprimerpar Melanie Greaver Cordova,
Université Cornell
12 juin 2019
Il y a quatre ans, plus de 200 000 antilopes saïga en voie de disparition sont tombées mortes dans les steppes steppiques reculées d'Asie centrale au cours du pire épisode de mortalité massive de cette espèce.
La Dre Wendy Beauvais, chercheuse postdoctorale au Collège de médecine vétérinaire, faisait partie de l'équipe qui a identifié la cause du décès - une bactérie mortelle dans le sang du troupeau, déclenchée par des facteurs environnementaux - et a utilisé la saiga comme étude de cas pour développer un cadre pour évaluer rapidement et hiérarchiser les risques futurs des agents pathogènes pour la faune.
"En général, de tels événements sont susceptibles d'être rares et de se limiter à de petites zones géographiques", a déclaré Beauvais, "mais leur impact pourrait être dévastateur pour des espèces menacées telles que la saiga."
Le nouveau cadre s'inspire de celui mis au point par l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE), qui évalue le risque que des agents pathogènes du bétail se lancent dans la faune, en particulier les espèces menacées. Ils examinent le caractère aléatoire inhérent, les variations naturelles et le manque général de connaissances sur de tels cas.
Le document de Beauvais dans la Royal Society Open Science, «Évaluation rapide des risques de maladies infectieuses pour les espèces sauvages», ajoute des éléments clés à ce cadre: le mouvement saisonnier des animaux et leurs interactions avec les autres lorsqu'ils traversent le monde.
"La saiga a ce cycle de vie extrême où elle migre sur de longues distances", a déclaré Beauvaisb. "Ils se trouvent également dans une région éloignée. Comprendre le type de contact qu'ils ont avec d'autres animaux et la manière dont les maladies infectieuses pourraient se propager est donc très difficile."
Les interactions entre le saiga et d'autres animaux - comme le bétail et les chevaux en liberté - sont assez rares, ce qui en accroît l'importance car, s'ils contractent une maladie infectieuse, ils ne sont peut-être pas immunisés. "Cela les rend particulièrement vulnérables", a déclaré Beauvais.
Le cadre initial de l'OIE est fréquemment utilisé pour examiner le risque d'importation ou d'exportation d'animaux à des fins commerciales. Après avoir pris en compte les mouvements saisonniers et les interactions interspécifiques, Beauvais et ses collègues ont découvert que la brucellose (bactérienne) et la fièvre aphteuse (virale) étaient les deux maladies les plus susceptibles de se transmettre entre bétail et faune.
RépondreSupprimerLes propriétaires, les agences locales et les défenseurs de l'environnement peuvent utiliser le nouveau cadre pour surveiller à la fois le bétail et la faune, comme la saiga, afin de prédire la propagation des maladies infectieuses. Beauvais prévoit que les résultats de l'étude seront particulièrement utiles pour les groupes de conservation ainsi que pour les acteurs locaux.
"J'espère qu'ils seront un peu plus ciblés en ce qui concerne les questions qu'ils posent et les maladies dont ils doivent être conscients chez les animaux d'élevage", a déclaré Beauvais. Le cadre pourrait également être utilisé avec d'autres espèces, notamment le caribou et le bison, qui, à l'instar de la saïga, sont des espèces migratrices vivant dans des zones reculées.
L'événement de saiga en 2015 souligne le fait que toutes les épidémies chez les animaux sauvages ne proviennent pas de maladies infectieuses transmises par le bétail. Mais, comme Beauvais l'a noté, ils représentent toujours un risque. en plus de leurs conclusions concernant la brucellose et la fièvre aphteuse, elle et ses collaborateurs ont publié une liste de maladies à risque modéré avec le document.
"Les maladies infectieuses sont vraiment un problème d'élevage", a déclaré Beauvais. "Il s'agit de contrôler et de signaler les maladies chez les animaux d'élevage et de partager des informations afin que les propriétaires et les entités gouvernementales puissent s'attaquer aux problèmes ensemble."
https://phys.org/news/2019-06-framework-endangered-species-pathogen.html
La prophylaxie homéopathique, c’est nouveau, ça vient de sortir.
RépondreSupprimerle 12 juin 2019
Il y a plus de 30 ans au cours d’un dîner auquel j’avais été convié chez des amis, je fis la connaissance de Christian Boiron, l’héritier de la plus importante usine de médicaments homéopathiques de France et il me déclara, connaissant mon cursus universitaire, qu’il gagnait de l’argent en vendant du glucose, de l’eau et de l’alcool. Il avait donc une haute opinion de l’efficacité de l’homéopathie. Aux USA comme dans de nombreux autres pays européens l’homéopathie est toujours considérée comme une alternative efficace à l’allopathie et, bien qu’aucune évidence scientifique n’ait jamais pu être avancée pour prouver l’efficacité de cette « médecine alternative » elle reste toujours très populaire, à tel point que des médecins peu scrupuleux proposent l’homéopathie comme une alternative à la vaccination. Cette thérapie consiste à proposer aux patients un traitement consistant à ingérer de fortes doses de vitamine C. Parallèlement ce traitement est supposé « réparer » les dégâts de la vaccination qui est pour ces mêmes médecins la cause principale de l’autisme. Il s’agit dans les pays anglo-saxons, Canada, USA, Grande-Bretagne et Australie de la thérapie CEASE ( cease-therapy.com ). Divers extraits homéopathiques sont ajoutés à la vitamine C et le traitement « orthomoléculaire » ainsi formulé permet au cerveau de l’enfant de se régénérer. Aux Etats-Unis plus de 2000 enfants suivent un tel traitement, ça laisse rêveur.
La « prophylaxie homéopathique » prétend que les « nosodes », un terme regroupant des extraits dilués de tissus humains (ou animaux) infectés par des bactéries ou des virus pathogènes, sont une alternative aux vaccins. Pris oralement ils sont considérés comme plus efficaces que ces derniers. La FDA (aux USA) n’a jamais approuvé ce type de traitement qui est supposé être la panacée pour consolider le système immunitaire des enfants non vaccinés. On ne peut que constater tristement que la rougeole, considérée depuis le début des années 2000 comme éradiquée de part et d’autre de l’Atlantique Nord, a fait un retour inattendu dans ces pays pourtant considérés comme à la pointe du confort sanitaire et médical. La population semble ignorer que la médecine est une science, elle s’enfonce aujourd’hui dans un obscurantisme inquiétant.
Source partielle : The Guardian
Lire aussi l’article paru sur le site Contrepoints ce 12 Juin 2019 :
https://www.contrepoints.org/2019/06/12/346618-le-scandale-du-remboursement-de-lhomeopathie?utm_source=Newsletter+Contrepoints&utm_campaign=883dea8e17-Newsletter_auto_Mailchimp&utm_medium=email&utm_term=0_865f2d37b0-883dea8e17-113560105&mc_cid=883dea8e17&mc_eid=f88419e9a8
https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/06/12/la-prophylaxie-homeopathique-cest-nouveau-ca-vient-de-sortir/
Les scientifiques et la voix de leurs maîtres
RépondreSupprimermai 30, 2019
L’Institut national de recherche agronomique français publie des pamphlets de propagande destinés au grand public ; il faut bien montrer que l’on travaille dans le sens des modes ambiantes, c’est à dire sustainable, healthier, carbon free and pesticide free. C’est ce dernier thème qui interpelle car le but énoncé est sans équivoque possible : « Vers une agriculture sans pesticides chimiques » (brochure en anglais pour être enfin lue au-delà de l’hexagone). À ce sujet on n’oubliera pas non plus que deux initiatives constitutionnelles feront l’objet d’un vote en Suisse, l’une visant à ne plus subventionner les agriculteurs utilisant des pesticides de synthèse, l’autre à les interdire totalement ainsi que l’importation de denrées alimentaires produites avec de tels moyens horriblement artificiels.
Il faudrait s’attendre que les raisons de viser à ce but soient discutées et pesées avant d’exposer des stratégies et des plans d’action pour l’atteindre.
Que nenni ! une fois encore, la question du pourquoi n’est plus posée, comme c’est le cas avec les « transitions » de toutes sortes et avec le « sauvetage » du climat. Le prix Nobel de chimie 2017 décrète de manière parfaitement didactique : « On ne doit plus brûler d’énergies fossiles[1]. Parce qu’il le faut ». Comme le dit si bien ma petite fille de 4 ans : « c’est comme ça ! »
Une forte réduction allant jusqu’à l’élimination des pesticides de synthèse est adoptée comme un axiome; ça ressemble plutôt à un acte de foi, destructrice comme trop souvent.
Voilà un document très officiel d’une institution d’un État membre de l’UE. Les rédacteurs de ce prospectus se sont mis aux ordres d’oukases politiques décrétés on ne sait où ni comment. Ce sont des apparatchiks, comme il y en a beaucoup trop dans de telles institutions, sans liberté académique ni réelles responsabilités, mais seraient-il capables de les assumer ? On ne se préoccupe donc que d’organiser ce démantèlement et de se répartir des mandats de R&D.
La gestion du risque n’a plus aucune importance, même s’il ne sert à rien de diminuer à grands frais un risque minime et déjà suffisamment maîtrisé sauf à entretenir les anxiétés et les suspicions. Les considérations économiques ne doivent plus compter, le portemonnaie des Européens repus en supportera les conséquences. Et aucune mise en dépendance géopolitique qu’un défaut d’autosuffisance de notre continent pourrait entraîner ne semble déranger personne.
Arrêt du nucléaire, bannissement des OGM, élimination de la chimie de synthèse (pas seulement en agriculture), interdiction de la téléphonie 5G, des moteurs diesel : devant chaque indication de simple danger, il faut répondre par la renonciation. Le risque n’a plus de limite tolérable car personne ne veut en endosser la responsabilité. Les baby-boomers (mes contemporains), leurs enfants et petits-enfants ne savent pas pourquoi ils sont [encore] prospères et en si bonne santé ; il ne leur reste que la pantophobie.
J’ai entendu je ne sais où qu’il y aurait une loi de psychologie sociale qui dit que l’énormité des scandales et des récriminations va en proportion inverse de la gravité du problème présenté. Les performances de l’enseignement et de la formation professionnelle sont défaillantes, on ne s’en préoccupe que du bout des lèvres. Par contre, un loup en liberté dans une bergerie ou des nanogrammes de glyphosate dans le pipi, ça c’est de la plus haute importance.
À force de n’accepter plus aucun risque – sauf la certitude de rester abruti – il n’y aura plus aucun progrès possible. C’est le but des écolocrates qui dictent leur agenda à tout le reste de la classe politique et médiatique. Ils ne savent pas ce qu’ils font, ce n’est pas une raison de leur pardonner.
[1] Prière de m’expliquer comment brùle-t-on des énergies ?
https://blog.mr-int.ch/?p=5254
Le « lundi sans viande » : foodtechs et lobby anti-viande, même combat ?
RépondreSupprimer21 mai 2019
Environ 500 « célébrités » ont signé le 8 janvier dernier une tribune publiée dans Le Monde dans laquelle elles s’engagent à bannir de leur alimentation chaque lundi la viande et le poisson. « Nous pensons que chaque personne peut faire un pas significatif dans ce sens pour l’un ou l’autre des motifs suivants : la sauvegarde de la planète, la santé des personnes, le respect de la vie animale », expliquent-elles. « Les moralisateurs de notre assiette » titre le journal La France agricole.
« Sauver la planète » nous demandent ces gens qui consomment chaque jour l’équivalent de ce que gagne par mois un smicard, un retraité ou un chômeur. Il est facile de savoir ce qu’est la vie des célébrités : les magazines people sont consacrés à leurs us et coutumes, à leurs dépenses. La vie rêvée, enviée pour les lecteurs de ces magazines. Célébrités qui ne se déplacent qu’en avion, transport écologique s’il en est, qui mangent dans les restaurants des « chefs », qui sont les consommateurs des vins de grands crus, qui sont les raisons d’être de l’industrie de la mode et du luxe, qui skient à Megève, qui mangent les viandes maturées de bovins Angus, Waigu ou Kobé. Ils ne mangent certes pas le burger fait de viandes de vaches laitières de réforme pour part importées d’Allemagne, inconsommables autrement que hachées menu, ce qui pour des raisons de coût est maintenant la viande de 54% des français. Et ces célébrités sur-nourries dont le seul problème est de garder la ligne voudraient que le prolo sacrifie son burger du lundi pour sauver la planète ! Mais le prolo sait bien que ce n’est pas sa planète, qu’il a juste le droit d’essayer d’y survivre, lui et son gilet jaune. « De nombreux Français aimeraient bien, eux, manger de la viande mais n’en ont pas les moyens », a d’ailleurs taclé Ségolène Royal, ex-ministre de l’Écologie.
Mais alors de quoi s’agit-il ? Que signifie ce lundi proclamé sans viande ? Pourquoi si nous sommes responsables ne devrions-nous plus manger de viande les lundis ?
C’est très simple. C’est une pure offensive commerciale des foodtechs, les entreprises de technologies alimentaires. Le repas français est structuré autour de la viande. Si pour toutes ces bonnes raisons – la sauvegarde de la planète, la santé des personnes, le respect de la vie animale, vous décidez de ne pas manger de viande ce lundi, qu’est-ce que vous allez faire ? Et bien vous allez chercher un substitut de la viande, un ersatz, quelque chose qui en tiendra lieu. Quoi de plus évident que d’en profiter pour essayer un de ces burger végans garanti sans viande animale et fait de farine de pois ? Vous aurez la conscience en paix, vous aurez sauvé votre repas et en plus vous aurez payé moins cher que pour de la viande animale.
Pour le foodtechs ce lundi sans viande est exactement l’équivalent de la distribution d’échantillons gratuits. Sauf qu’en plus vous payez l’échantillon (un peu moins cher quand même que la viande animale)…
Comme avertit Paul Aries : Le véganisme n’est pas en effet la poursuite du végétarisme et du végétalisme sous un autre nom; c’est une véritable idéologie politique qui sape les frontières entre les espèces tout en servant de cheval de Troie aux biotechnologies alimentaires comme les fausses viandes industrielles. Les véganes étant discrédités par leurs excès, les foodtechs ont fait porter leur message par des hérauts populaires, les célébrités, dont en première ligne les actrices de cinéma. Si Juliette Binoche ou Isabelle Adjani le dit, ça porte mieux que si c’est un végane. On peut s’assimiler, on aimerait s’assimiler, on aimerait être Juliette Binoche ou Isabelle Adjani. Ce sont des « influenceuses ». Ceci-dit Juliette Binoche est peut-être végane.
Pour les foodtechs le remplacement de la viande animale par de la « viande » non animale (voir mes articles dans le journal Les zindignés) est un enjeu économique énorme. Le capital ne s’y trompe pas. Les investissements ont augmenté de plus de 60 %, à 1,5 milliard de dollars, en 2018. Toutes les entreprises commercialisant des nouvelles denrées alimentaires, comme les alternatives végétales à la viande, ou les insectes, deviennent aussi de nouvelles stars. Certaines grosses levées de fonds ont eu lieu début 2019, comme celle de la start-up française Ynsect qui a réuni en janvier dernier 110 millions d’euros. « Il n’y a pas de ralentissement dans cette catégorie, au contraire », affirme un analyste. En décembre, l’anglo-néerlandais, Unilever, a acheté aux Pays-Bas « De Vegetarische Schlager » (Le Boucher Végétarien), avec qui il avait noué des relations commerciales depuis 2016. Unilever vend déjà près de 700 produits végétariens sous le label « V-Label » de l’Union végétarienne européenne, au sein de marques comme Knorr ou Ben & Jerry’s. Danone, a en 2017, finalisé le rachat de WhiteWave, un des grands groupes vegan aux Etats- Unis, pour la coquette somme de 12,5 milliards de dollars. Le groupe Nestlé s’apprête à commercialiser son premier hamburger végétal. Il s’appellera « l’Incroyable Burger ». Pour le géant suisse, la vague végane sera un marché tout à fait substantiel, estime le directeur de Nestlé aux Etats-Unis. « La moitié des consommateurs aux Etats-Unis recherchent plus de produits végétaux et 40 % souhaitent manger moins de viande », selon le groupe. Signe des temps, dans un de ses récents numéros la respectable revue The Lancet propose de ne plus manger que 100 g de viande une fois par semaine.
RépondreSupprimerLa start-up américaine Beyond the Meat produit des steaks et des saucisses à base de plantes et vient de faire une entrée fracassante à Wall Street, l’action s’envolant de 163%. Fondée en 2009 par Ethan Brown cette start-up est soutenue par Leonardo DiCaprio, Bill Gates et Tyson Foods, le numéro un de la viande aux Etats-Unis.
Pour fabriquer ses produits Beyond Meat a recours aux petits pois, aux fèves ou au soja et utilise des technologies sophistiquées pour approcher au plus près le goût, la couleur, l’odeur et la texture de la viande. Avec l’arrivée de cette start-up végane en Bourse, les investisseurs reconnaissent que « ce n’est pas un marché de niche mais un mouvement d’ampleur et une grosse opportunité financière. L’industrie de la viande à base de plantes prospère et les consommateurs n’en ont jamais assez ».
Vaches et moutons broutent au pré de l’herbe qu’ils transforment miraculeusement en viande que nous mangions. Par amour des animaux, plutôt que de les manger, nous nous sommes mis aussi à manger des végétaux. Voilà comment l’humanité devient herbivore. Schafe können sicher weiden JS Bach BWV 208 (Les moutons pourront paître en toute sécurité).
https://bluescarnivore.wordpress.com/2019/05/21/le-lundi-sans-viande-foodtechs-et-lobby-anti-viande-meme-combat/
Pourquoi l'arche de Noé ne fonctionne pas
RépondreSupprimer11 JUIN 2019
par l'Université du Vermont
La stratégie d'une arche de Noé échouera. Au sens le plus brutal, telle est la conclusion d'une première étude du genre qui permet de savoir quelles espèces marines ont la capacité de survivre dans un monde où les températures augmentent et les océans deviennent acides.
Des vestiges deux sur deux, voire de taille moyenne, ont peut-être peu de chance de persister sur une planète à climat modifié. Pour de nombreuses espèces, "nous aurons besoin de grandes populations", déclare Melissa Pespeni, biologiste à l'Université du Vermont, qui a dirigé la nouvelle étude sur la réaction de centaines de milliers de larves d'oursins à des expériences où leur eau de mer était modérément ou extrêmement acide.
L'étude a été publiée le 11 juin 2019 dans les Actes de la Royal Society B.
Relief rare
Pespeni et son équipe ont été surpris de découvrir que les rares variations dans l'ADN d'une petite minorité d'oursins étaient très utiles à la survie. Ces variantes génétiques rares sont "un peu comme avoir un manteau d'hiver parmi cinquante vestes légères lorsque le temps est au-dessous de vingt dans le Vermont", dit Pespeni. "C'est ce manteau qui te permet de survivre." Lorsque les conditions de l'eau étaient rendues extrêmement acides, la fréquence de ces variantes rares augmentait chez les larves. Ce sont ces gènes qui permettent à la prochaine génération d'oursins de modifier le fonctionnement de diverses protéines, comme celles utilisées pour la fabrication de leurs coquilles dures mais faciles à dissoudre et la gestion de l'acidité de leurs cellules.
Cependant, le maintien de ces rares variantes dans la population, plus d'une autre variation génétique nécessaire, plus courante et permettant de réagir à une gamme de niveaux d'acide dans l'eau, nécessite de nombreux individus.
"Plus la population sera nombreuse, plus la variation sera rare", a déclaré Reid Brennan, chercheur postdoctoral au laboratoire UVM de Pespeni et auteur principal de la nouvelle étude. "Si nous réduisons la taille des populations, alors nous aurons moins de fourrage pour l'évolution - et moins de chances d'avoir la variation génétique rare qui pourrait être bénéfique."
En d’autres termes, certains organismes pourraient persister dans un monde soumis au changement climatique parce qu’ils sont capables de changer leur physiologie - pensez à transpirer davantage; certains pourront migrer, peut-être plus au nord ou en amont. Mais pour beaucoup d'autres, leur seul espoir est d'évoluer, sauvé par le potentiel de changement qui attend de rares segments d'ADN.
Adaptation rapide
Les oursins pourpres que l'équipe UVM a étudiés dans leur laboratoire du Vermont font partie des populations naturelles qui s'étendent de Baja, Californie à l'Alaska. Situés dans les récifs rocheux et les forêts de varech, ces créatures piquantes sont un en-cas de prédilection pour les loutres de mer - et une espèce clé pour façonner la vie dans les zones intertidale et subtidale. En raison de leur grand nombre, de leur étendue géographique et de la diversité de leurs conditions de vie, les oursins présentent une "variation génétique permanente", ont noté les scientifiques. Cela rend les oursins violets susceptibles de survivre dans le rude avenir d'un océan acidifié - et de bons candidats pour comprendre comment les créatures marines peuvent s'adapter à des conditions qui changent rapidement.
Il est bien entendu que la hausse des températures mondiales moyennes est un facteur fondamental de l'extinction imminente à laquelle sont confrontés un million d'espèces ou plus, comme l'indique un rapport récent de l'ONU sur la biodiversité. Mais ce ne sont pas uniquement les moyennes qui augmentent. Ce sont peut-être les moments les plus chauds - ou les plus acides - qui testent les limites d'un organisme et contrôlent sa survie. Et, comme l’écrit l’équipe UVM, "les mécanismes génétiques permettant une adaptation rapide à des conditions extrêmes ont rarement été explorés".
RépondreSupprimerMonnaie dans la mer actuelle
La nouvelle étude utilisait une expérience innovante de "sélection sur une seule génération" qui avait commencé avec 25 oursins adultes capturés dans la nature. Chaque femelle a produit environ 200 000 œufs à partir desquels les scientifiques ont pu extraire l’ADN de piscines d’environ 20 000 larves survivantes qui vivaient dans des conditions d’eau différentes. Ce très grand nombre d'individus a clairement montré aux scientifiques que les oursins violets possèdent un patrimoine génétique qui leur permet de s'adapter à une eau de mer extrêmement acide. "Cette espèce d'oursin va bien se porter à court terme. Ils peuvent réagir à ces conditions de faible pH et avoir la variation génétique nécessaire pour évoluer", déclare Reid Brennan, de l'UVM. "Tant que nous faisons notre part pour protéger leurs habitats et maintenir leurs populations importantes."
Mais relever le défi féroce du changement climatique rapide peut coûter très cher. "Nous espérons que l'évolution se produira et il est surprenant et passionnant que ces variantes rares jouent un rôle aussi puissant", a déclaré Melissa Pespeni, professeure assistante au département de biologie de l'UVM et experte des écosystèmes océaniques. "Cette découverte a des implications importantes pour la persistance à long terme des espèces. Ces rares variantes sont une sorte de monnaie que les enfants doivent dépenser", dit-elle. "Mais ils ne peuvent le dépenser qu'une fois."
https://phys.org/news/2019-06-noah-ark-wont.html
(...) La stratégie d'une arche de Noé échouera. Au sens le plus brutal, telle est la conclusion d'une première étude du genre qui permet de savoir quelles espèces marines ont la capacité de survivre dans un monde où les températures augmentent et les océans deviennent acides. (...)
SupprimerLa métaphore est ridicule ! Le conte de l'idiot qui veut sauver chaque espèce et met dans sa barque les poissons est dans l'objectif de les faire crever plutôt que de les laisser dans l'eau (idem pour mettre une antilope et un lion côte à côte dans sa barque !)
Mais pour en revenir au 'réchauffement des océans' ! il ne s'agit pas de la Terre rapprochée du soleil mais bien des éruptions volcaniques permanentes au fond des océans ! Ce sont là des eaux a des centaines ou milliers de degrés qui sortent des sources chaudes qui tapissent les planchers maritimes. Des millions de tonnes de produits et gaz toxiques qui se répandent dans les courants pourtant poissonneux !
La chaleur océanique sous les tropiques ou l'équateur n'a jamais fait fuir les poissons !!
La non-qualification de Melissa Pespeni, biologiste à l'Université du Vermont, prête à sourire.
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"Les espèces vivant dans les océans ne sont pas menacées par l’homme. Leur multiplication est si rapide et leurs moyens d’échapper aux pêcheurs si grands qu’aucune espèce n’est réellement menacée."
Effectivement, la truite pond 500 000 œufs qui donneront env. 250 000 truites femelles qui pondront chacune 500 000 œufs qui...
Oursin 200 000 œufs, Esturgeon, etc.
Le Canada peut-il continuer d'exister: les défis géopolitiques ?
RépondreSupprimerPAR DIGITALMANAGMENT
1ER MARS 2019
Il y a toujours des forces opérant sur tout ce qui existe. Vous pouvez les diviser en deux catégories: les forces centrifuges qui provoquent sa désintégration et les forces centripètes qui le maintiennent ensemble. Idéalement, ces forces sont en équilibre, mais avec le changement, seule constante, les ajustements deviennent inévitables. Les forces qui existaient au moment de créer le Canada sont déséquilibrées, car ce n’est pas le même pays géographiquement. Le principe de base que j'ai enseigné aux étudiants en géopolitique est que la géographie est la scène sur laquelle se joue l'histoire. Vous pouvez étudier l'histoire ou la géographie séparément, mais ils ne fonctionnent efficacement que s'ils sont étudiés ensemble.
La carte montre l'orientation naturelle nord / sud du continent représentée par les quatre flèches plus fines pointant vers le sud. De gauche à droite, ils indiquent les montagnes Rocheuses, les grandes plaines, le bassin des Grands Lacs et les Appalaches. Les deux flèches pointant vers le nord indiquent les grands bassins versants du Mackenzie à l'ouest et les systèmes Churchill-Nelson qui s'étendent du nord à l'Arctique.
- voir carte sur site -
La frontière entre le Canada et les États-Unis traverse ces régions naturelles. Idéalement, si une frontière politique doit survivre, elle doit coïncider avec une frontière physique. Par exemple, il n’existe en Europe que quatre frontières depuis plus de 100 ans. Ceux-ci sont
La France et l'Espagne, la division physique naturelle des Pyrénées.
Suisse, les Alpes.
Les Pays-Bas, ils l'ont créé hors de la mer et les envahisseurs sont facilement inondés.
Espagne / Portugal. Il faut voir cette frontière pour comprendre son efficacité en tant que barrière physique. L'Espagne est le deuxième pays après la Suisse en termes d'altitude moyenne.
La frontière internationale entre le Canada et les États-Unis suit généralement une ligne de partage des eaux. C'est une hauteur de terre qui sépare les bassins de drainage des eaux qui s'écoulent dans différents océans. C'est évident dans les Grands Lacs et le fleuve Saint-Laurent, mais moins évident dans les Prairies plates. Juste à l'est de Winnipeg, la ligne de partage des eaux sépare les eaux qui se dirigent de l'est vers l'océan Atlantique de celles qui se dirigent vers le nord de l'océan Arctique. Juste au sud de Winnipeg se trouve la ligne de partage des eaux qui sépare les eaux qui coulent au sud du golfe du Mexique.
Cette séparation du Canada et des États-Unis par les limites des eaux n’est pas un hasard. Dans l’est, les gens qui ne voulaient pas faire partie de la nouvelle république se sont formés aux États-Unis et ont traversé le fleuve Saint-Laurent pour créer le jeune pays du Canada. Parce qu’ils étaient favorables à la monarchie et à l’Empire britannique, ils ont été appelés Loyalistes de l’Empire-Uni. À l’ouest, ils ont établi la frontière en 1670, lorsque Charles II a cédé l’ensemble des terres arrivant de la baie d’Hudson à la Compagnie de la Baie d’Hudson. (C’est l’une des bizarreries de l’histoire - pour une raison quelconque. La baie d’Hudson a été nommée en l'honneur de Henry Hudson, mais sans le nom possessif propre «Hudson’s». La société est enregistrée légalement sous le nom de Compagnie de la Baie d’Hudson). J'ai assisté à une conférence sur le commerce de la fourrure à Calgary il y a des années, lorsqu'un universitaire a fait ce commentaire. Un membre de la Première nation a crié: «Qui lui a donné la permission de le faire?» La réponse a été une surprise tout aussi grande. Les puissances coloniales européennes croyaient que si un groupe de personnes ne savait ni lire ni écrire, elles ne possédaient pas les compétences et les outils nécessaires pour former une civilisation.
RépondreSupprimerLe Canada s'est formé dans la moitié est de la nation actuelle et la même situation s'est produite aux États-Unis. Le degré avec lequel cela domine la pensée est dans la terminologie que nous utilisons. Les Canadiens se réfèrent au centre du Canada, qui est en fait le centre du pays avant l’ajout de l’ouest. Les Américains se réfèrent à Chicago comme une ville du Midwest alors qu’elle se trouve au centre de l’est. Il porte ce nom lorsque les montagnes des Appalaches constituaient la frontière entre l'Amérique orientale et occidentale.
Les deux pays se sont étendus vers l'ouest avec une variété d'ajouts, y compris un territoire acheté, des terres gagnées après un conflit et un simple squat. Chaque nouvelle région avait une géographie et une histoire différentes et une grande partie avait une population autochtone. Ils les ont ignorés lorsque les frontières, y compris le Canada et les États-Unis, se sont superposées. Le compromis, qui a créé plus de problèmes avec le temps, a indiqué que la frontière n’existait pas pour eux car un accord avait été conclu avec la reine Victoria.
Il existe deux méthodes pour établir des limites. Ils suivent des caractéristiques physiques naturelles telles que des rivières, des lacs, des montagnes ou un littoral océanique, ou sont géométriques, généralement droits et principalement de latitude et de longitude. Les frontières internes aux États-Unis et au Canada sont presque toutes des lignes droites géométriques qui ignorent les variations naturelles.
Une des rares frontières naturelles au Canada est la moitié sud de la frontière Alberta / Colombie-Britannique. Tous les autres sont une ligne droite géométrique qui suit la latitude ou la longitude. Un seul d'entre eux était basé sur une réalité naturelle, à savoir la limite nord des provinces des Prairies à 60 ° de latitude. Le gouvernement de l'époque avait encore du bon sens et a statué qu'une région politique ne peut se maintenir que s'il existe une base agricole. Thomas Jefferson a expliqué,
"L'agriculture ... est la première en termes d'utilité et devrait être la première en ce qui concerne le respect."
"Les activités de l'agriculture [sont] la voie la plus sûre pour la richesse et le meilleur préservateur de la morale."
Ils ont jugé que l'agriculture n'était pas possible au nord du 60e parallèle à cause du manque de sol. Le pergélisol, sol gelé en permanence, empêchait l'agriculture dans le peu de sol qui existait autour de Hay River. Ils ont appelé toutes les régions situées au nord des 60 ° et les ont placées sous le contrôle du gouvernement fédéral.
Cette situation perdure jusqu'à ce que l'un de ces groupes autochtones, les Inuits, décide de déterminer leur survie. Il est ironique qu’ils aient été reconnus parce que c’est le gouvernement fédéral qui les a créés, une action à laquelle nombre d’entre eux se sont opposés. L’opposition était fondée sur le fait qu’ils ne constituaient pas un seul groupe culturel. Bien sûr, on en a parlé en tant que groupe unique lorsque les Européens les ont appelés Eskimos. Si vous êtes intéressé par l’histoire des peuples autochtones circumpolaires et leurs contacts avec les Européens au Canada, je vous recommande le livre de Rene Fossett intitulé «Pour vivre sans être dérangé». Ils ont acquis une certaine autonomie en 1999 lorsque la Loi sur les accords sur les revendications territoriales du Nunavut a créé le Nunavut.
RépondreSupprimerNotez que la limite est à la fois latitude et physique au large de la côte. J'ai été brièvement impliqué dans l'établissement de la frontière terrestre parce qu'ils voulaient utiliser la limite des arbres, qui se situe approximativement le long de la ligne choisie. C'était une division historique entre les Eskimos et le peuple Denai, les noms collectifs étant donnés à ceux de chaque côté. Ils sont des ennemis historiques. Les Eskimos sont entrés dans les zones de conflit et les Denai quittent la forêt boréale pour chasser le caribou de la toundra. Le problème avec la limite forestière comme limite physique est qu’elle évolue avec le changement climatique au fil du temps. Par exemple, il a parcouru au moins 200 km entre 1772, lorsque Samuel Hearne l’a mise sur sa carte, et en 1972, quand un chercheur moderne l’a identifiée. Ils ne pouvaient pas se mettre d'accord sur cette partie de la frontière, il a donc fallu imposer le gouvernement fédéral.
- voir carte sur site -
Nunavut
Ils ont enfreint les règles lors de l'établissement du Nunavut. Il n’y a pas de sol dans cette vaste région qui, avec ses 1 750 000 km², en fait le 18e plus grand pays du monde. C'est à peu près la même taille que le Soudan, le plus grand pays d'Afrique.
Par ailleurs, la carte de Hearne est précieuse en raison des revendications territoriales des autochtones. Le concept de propriété privée de la terre par chaque citoyen n'existait pas avant la création de l'Amérique. Les avocats et les universitaires soutiennent que Magna Carta concernait la propriété privée de la terre. Ce n'était rien de la sorte. C'était un groupe de puissants propriétaires terriens féodaux mécontents de la façon dont le roi les traitait. Ils se moquaient bien des paysans vivant sur leurs terres sans aucun droit. Cela continue aujourd'hui. Cinq personnes possèdent près de la moitié de la Grande-Bretagne, dont deux sont la reine et son fils Charles. Un autre est le duc de Westminster qui possède une grande partie de la ville de London.
- voir carte sur site -
Hearne’s Carte de son voyage de Churchill (en bas à droite) le long de la limite des arbres jusqu’au lac Arathapascow (aujourd’hui le lac Athabasca) jusqu’à Coppermine. Notez les régions aborigènes: Indiens du Nord, Indiens Arathapascow, Indiens Castors, Indiens Copper et Indiens Dog Rib’d.
Au fil des ans, de nombreuses propositions ont été faites pour redéfinir les frontières internes du Canada. Par exemple, un sénateur de la Colombie-Britannique a proposé de supprimer le parallèle de 60 ° et d’étendre les provinces du sud jusqu’à la côte arctique. Notez que la province qui en profite le plus est la Colombie-Britannique, car elle se combinerait ensuite avec le territoire du Yukon. C'est la seule partie du Canada située au nord du 60e parallèle avec des forêts et des pâturages allant jusqu'à l'océan Arctique. Ce changement n'est plus possible avec le développement du Nunavut.
Parmi les autres frontières problématiques en ce qui concerne la géographie et les transitions démographiques, citons les provinces maritimes. Celles-ci n'incluent pas Terre-Neuve-et-Labrador. On les appelle les provinces de l'Atlantique lorsque les deux groupes sont combinés. Je ne suis pas en faveur de la création de plus grands pays ou de plus grandes unités administratives, mais une représentation à peu près égale est requise. Les pères fondateurs aux États-Unis se sont attaqués à cette question en rendant le Congrès proportionnellement représentatif et le Sénat avec une représentation égale à deux sénateurs par État. Ils ont également créé un système électoral à deux niveaux, avec le vote populaire et le collège électoral. Ce dernier a été créé pour éviter que les États les plus peuplés ne dominent et dictent les États plus petits. Au Canada, nous n’avons pas de système représentatif raisonnable parce que notre Sénat est nommé par nomination et qu’il n’a effectivement aucun pouvoir. Nous ne votons pas pour le Premier ministre et certaines provinces, comme l’Île-du-Prince-Édouard (Î.-P.-É.), sont illogiques en tant qu’unités politiques représentatives. Avec une population de 142 907 habitants (2016), elle compte moins de 33 villes canadiennes, mais elle compte quatre députés et quatre sénateurs. À titre de comparaison, l'Île-du-Prince-Édouard s'étend sur 5 660 km2 et l'Île de Vancouver, sur 32 134 km2, avec 775 347 habitants en 2016. Mais il ne s'agit pas uniquement du nombre d'habitants, car l'Île-du-Prince-Édouard dispose de trois niveaux de gouvernement, ce qui signifie probablement plus de 50% de la population travailler pour l'un des niveaux.
RépondreSupprimerÀ mesure que le pays s'étendait vers l'ouest, les dirigeants politiques ont pris conscience du potentiel d'un vaste arrière-pays fournissant de la nourriture et des matières premières à l'est. L'un des meilleurs moyens de lier ces régions et d'exploiter les ressources consistait à utiliser un chemin de fer. Il est devenu la petite barre de renforcement en acier d'un Canada en expansion. Cependant, les routes et les voies ferrées vont dans les deux sens, et progressivement, de plus en plus de personnes ont migré vers l'ouest ou sont venues directement d'Europe vers l'ouest. Beaucoup de ces personnes avaient un état d'esprit différent avec une vision plus américaine de la prise de risque et un désir de liberté individuelle et moins de gouvernement. Une nouvelle vision occidentale s’est développée qui a atteint son apogée avec un mouvement vers le séparatisme occidental sous le pouvoir croissant du gouvernement fédéral de Pierre Trudeau. Entre l'ancien et le plus jeune Trudeau, la dynamique a complètement changé. Le chemin de fer n'était plus important pour les passagers ou le fret. À l'origine, le goulot d'étranglement à Lakehead, qualifié de hauteur de terre par les commerçants de fourrures, devenait une frontière entre l'est et l'ouest. Presque tout le grain et les produits expédiés d'ouest en est étaient maintenant acheminés vers l'ouest ou le sud. En réalité, les deux moitiés du pays se sont retournés, de sorte que les forces sont maintenant comme sur la nouvelle carte.
- voir carte sur site -
RépondreSupprimerLe terme utilisé pour désigner l’idée autour de laquelle ils créent un pays est une raison d’être. Pour l'Amérique, c'est la suprématie de l'individu. Qu'est-ce que c'est pour les Canadiens? À l’origine, c’était un groupe de personnes qui ne voulaient pas être américaines. Une raison d’être négative est-elle une raison adéquate? La réponse à cette question a fait l’objet d’une attention croissante alors que le pays changeait de géographie et de démographie et que les forces naturelles continuaient de peser de tout leur poids et imposaient des réalités. La question ne va pas disparaître et nécessitera une véritable remise en question, car le changement se poursuit inévitablement.
https://drtimball.ca/2019/can-canada-continue-to-exist-the-geopolitical-challenges/
Les faux journalistes sont le vrai problème
RépondreSupprimerJune 12th, 2019
Dans le dernier sondage Pew mené auprès de 6 000 Américains, 50% considèrent que les nouvelles inventées sont un «très gros problème», à égalité avec les crimes violents et l'inégalité des revenus. Malheureusement, 46% ne réalisent pas que le «changement climatique» est une fausse nouvelle.
Il n’est pas surprenant que plus de républicains que de démocrates s’inquiètent pour les fausses nouvelles. Dans la différence la plus "cruelle" - alors que beaucoup de gens pensent que les fausses nouvelles proviennent de politiciens - 60% des républicains blâment les journalistes eux-mêmes, contre 20% des démocrates.
Beaucoup d'Américains disent que les nouvelles inventées sont un problème critique qui doit être résolu
Pew Research (lien de cache Google car le lien approprié ne fonctionnait pas).
Une forte majorité des républicains et des indépendants à tendance républicaine (62%) affirment que l'actualité inventée est un très gros problème dans le pays aujourd'hui, contre moins de la moitié des démocrates et des indépendants à tendance démocratique (40%). Les républicains enregistrent également une plus grande exposition aux nouvelles inventées. Environ la moitié des républicains (49%) affirment le rencontrer souvent, 19% de plus que les démocrates (30%).
L'une des différences les plus nettes, cependant, réside dans le fait de blâmer la création de nouvelles et d'informations inventées. Les républicains sont près de trois fois plus susceptibles que les démocrates de dire que les journalistes en créent beaucoup (58% contre 20%).
Les républicains accusent également davantage les groupes activistes, avec environ les trois quarts (73%) de ces groupes créant beaucoup, soit près du double du taux des démocrates (38%).
Pew Survey, confiance dans les médias. 2019
…
Les nouvelles sont tellement fausses que les gens vérifient les faits eux-mêmes et annulent les abonnements
Les fausses informations signifient que près de 90% des personnes sensibilisées à la politique vérifient elles-mêmes les faits (c.-à-d. 70% des non-initiés à la politique). Mais la moitié des personnes qui ne sont pas intéressées par la politique ne font qu'annuler l'actualité. La plupart des gens vont également arrêter de recevoir des nouvelles d'un point de vente spécifique. La confiance dans les médias américains est en baisse depuis des années, en particulier avec les républicains.
Voici une statistique légèrement déroutante:
En outre, environ huit adultes sur dix aux États-Unis (79%) estiment que des mesures devraient être prises pour limiter les informations inventées, par opposition à 20% qui y voient une communication protégée.
La bonne nouvelle est que 12% seulement pensent que le gouvernement devrait régler le problème. (Phew). Un peu plus de la moitié des Américains pensent que les journalistes devraient.
Pour mémoire, les plus grandes préoccupations des citoyens américains étaient la toxicomanie (70%) et le caractère abordable des soins de santé (67%).
http://joannenova.com.au/2019/06/republicans-trust-in-media/
Marine Le Pen renvoyée en correctionnelle pour le partage d’images d’exactions de Daech
RépondreSupprimer15:28 12.06.2019
Ayant partagé sur son compte Twitter en 2015 des clichés montrant des scènes de violences commises par le groupe terroriste Daech*, la leader du Rassemblement national a été renvoyée en correctionnelle, informe l’Agence France-Presse.
La présidente du Rassemblement National, Marine Le Pen, a été renvoyée en correctionnelle pour avoir diffusé en décembre 2015 des photos d'exactions du groupe djihadiste Daech* sur son compte Twitter, informe l’AFP, se référant à une source judiciaire.
Une juge d'instruction de Nanterre a rendu une ordonnance concernant Mme Le Pen sur la base d'un article du code pénal punissant la diffusion de messages violents susceptibles d'être vus par un mineur, a indiqué cette source.
Le 16 décembre 2015, Mme Le Pen avait diffusé sur le réseau social une série de photos de propagande de Daech*, en réponse au journaliste Jean-Jacques Bourdin qu'elle accusait d'avoir «fait un parallèle» entre ce groupe terroriste et le RN (alors FN). En-dessous des clichés, elle avait écrit: «Daech, c'est ça!».
Les photos montraient un soldat syrien écrasé vivant sous les chenilles d'un char, un pilote jordanien brûlé vif dans une cage et une photo du journaliste américain James Foley, le corps décapité avec la tête posée sur le dos.
Le parquet de Nanterre avait lancé le jour même deux enquêtes visant Mme Le Pen, ainsi que le député RN Gilbert Collard qui avait diffusé des images similaires le même jour. Ce dernier a été renvoyé en correctionnelle pour la même infraction fin mars.
Plus tôt, le 19 décembre, le parquet de Nanterre avait requis ce renvoi pour les deux élus, après trois ans d'instruction.
*Organisation terroriste interdite en Russie
https://fr.sputniknews.com/france/201906121041416677-marine-le-pen-renvoyee-en-correctionnelle-pour-le-partage-dimages-dexactions-de-daech/
SupprimerMontrer des scènes de tabassages de gilets jaunes peut vous amener à... !
Des donateurs de la cagnotte de l’ex-boxeur condamné pour violences auditionnés par la police
RépondreSupprimer16:32 12.06.2019
Des dizaines de donateurs ont été convoqués par la police le 11 juin pour être questionnés sur la cagnotte ouverte sur la plateforme Leetchi qui avait rapporté jusqu'à 130.000 euros à l'ex-boxeur arrêté en marge d'une manifestation des Gilets jaunes.
Une enquête pour «abus de confiance» a été ouverte à Paris le 9 mai après la plainte de participants à la cagnotte de soutien à l'ex-boxeur Christophe Dettinger qui accusent Leetchi d'avoir «détourné les fonds», et des souscripteurs ont été contactés pour témoigner, a-t-on appris mardi de source judiciaire.
Les autorités françaises cherchent également à comprendre les raisons qui ont poussé de nombreux donateurs à soutenir Christophe Dettinger, filmé en train de frapper deux gendarmes lors de l'acte 8 des Gilets jaunes le 5 janvier à Paris.
Ainsi, des dizaines de donateurs anonymes ont été convoqués par la police ce mardi 11 juin. RTL a réussi à contacter une certaine Catherine qui avait versé 50 euros en janvier dernier.
«Un mail qui s'appelle urgent: convocation police judiciaire. Je ne vois pas le lien entre savoir pourquoi j'ai participé et la raison d'abus de confiance. Nous, on a voulu aider une famille de façon anonyme, pas promouvoir la violence et casser du flic», a-t-elle confié.
Par ailleurs, ceux qui ne peuvent venir témoigner se sont vus adresser deux questions auxquelles ils doivent répondre par écrit: «Pour quelles raisons avez-vous souscrit un don à la cagnotte Leetchi en soutien à Christophe Dettinger ?» et «À quelle date avez-vous souscrit et quel était le motif de la cagnotte sur le site ?».
Toujours est-il que cette procédure contre les donateurs est une simple démarche d'enquête, a assuré une source judiciaire.
La cagnotte avait été créée en soutien à Christophe Dettinger, condamné en février à un an de prison ferme, aménageable en semi-liberté, et 18 mois de sursis avec mise à l'épreuve.
Juste après la diffusion de la vidéo en janvier, les dons avaient afflué, atteignant en deux jours 130.000 euros selon Leetchi, 145.000 euros selon les Dettinger. Mais le 8 janvier, la plateforme, vivement critiquée jusqu'au sein du gouvernement qui dénonçait une apologie de la violence contre les forces de l'ordre, a fermé la cagnotte et bloqué l'argent.
https://fr.sputniknews.com/france/201906121041417122-des-donateurs-de-la-cagnotte-de-lex-boxeur-condamne-pour-violences-auditionnes-par-la-police/
Des chercheurs russes ont découvert comment voir la composition du pétrole de manière écologique
RépondreSupprimer17:25 12.06.2019
Une méthode proposée par l’étude d’une équipe de chercheurs russes permet de déterminer la composition moléculaire du pétrole en le dissolvant dans de l’eau lourde. Ce procédé qui n’utilise pas de composants agressifs est écologique et devrait aider dans le traitement des fractions légères du pétrole, telles que l'essence.
Une équipe de chimistes provenant des principales universités de Russie ont trouvé un moyen de «dissoudre» le pétrole dans l’eau lourde en augmentant la pression et la température de l’environnement à l’aide d’un procédé spécifique. Cette procédure devrait permettre d’examiner rapidement et avec peu de dépenses la composition du pétrole, lequel varie d’un gisement à l’autre et est difficile à analyser. De la même manière, elle est par ailleurs censée instaurer de nouvelles méthodes de traitement ainsi que d’extraction des hydrocarbures, a annoncé le service de presse de l’Institut de physique et de technique de Moscou (MFTI).
À l’aube de l'ère pétrolière, la majeure partie de l’extraction concernait le pétrole léger, qui était relativement facile à traiter. Au fil du temps, ses réserves ont pourtant diminué pour laisser place à l’extraction d’un pétrole de plus en plus lourd. L’extraction des fractions de ce dernier, telles que l'essence, exigent déjà beaucoup plus d’efforts. C’est la méthode de l'hydrocraquage du fioul qui est le plus souvent utilisée à cette fin: elle consiste notamment à déchiqueter les molécules d'hydrocarbures, qui le constituent. Or, le procédé est coûteux et exige de connaître en détails les particularités moléculaires du pétrole qui varient selon les gisements.
Les auteurs de l’étude proposent d’obtenir plus d’informations concernant la composition moléculaire du pétrole à l’aide d’un échange isotopique. La source d’isotopes d'oxygène et d'hydrogène la plus pratique et la plus sûre est l’eau. Normalement, l'huile ne s'y dissout pas, formant un film à la surface. Or, l’expérience proposée par les chercheurs apporte un nouveau regard sur ce procédé sans avoir recours à des substances agressives.
Les scientifiques ont chauffé des échantillons de pétrole jusqu’à 360°C en y ajoutant de l'eau lourde (où l'hydrogène était remplacé par du deutérium) et de l'oxygène lourd, (où l'oxygène 16O était remplacé par du 18O). Le chauffage a été effectué pendant une heure à une pression correspondant à celle de plus de 300 atmosphères.
Ils ont ensuite comparé les spectres de l'échantillon du pétrole d'origine et de celui-ci après la réaction. Ainsi, il a été possible d’établir de manière fiable la structure des composés qui faisaient partie de l’échantillon de pétrole. Selon les auteurs, ce procédé permet également d’étudier d'autres composés organiques complexes de la même manière. Plus important encore, sans utiliser de composants agressifs et dangereux, la méthode rend possible d'obtenir des informations précises sur la structure des molécules, même lorsqu'il est impossible d'isoler une substance pure et d'établir sa structure à l'aide d'autres méthodes.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201906121041417824-des-chercheurs-russes-ont-decouvert-comment-voir-la-composition-du-petrole-de-maniere-ecologique/
Un cauchemar de guerre commerciale provoque un enfer logistique pour les ports de Los Angeles
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 06/12/2019 - 10:25
La guerre commerciale du président Trump a créé un cauchemar logistique pour les importateurs américains dans les ports du sud de la Californie.
Marisa Bedrosian Kosters, cadre chez un détaillant de carrelages et de pierres en céramique basé à Anaheim, en Californie, comme tout autre détaillant quand elle a entendu parler de la guerre commerciale de l'année dernière, a stimulé la demande en commandant un produit supplémentaire pour dépasser les droits de douane et autres droits, a rapporté La Gazette.
Mais lorsque ses nouveaux carreaux, emballés dans des conteneurs de 40 pieds, en provenance de la province centrale du Guangdong en Chine, ont atteint le port de Long Beach, elle a dit que ses conteneurs rencontraient des difficultés logistiques.
La guerre commerciale a forcé les importateurs américains à se retirer en même temps; cela a créé un afflux massif de conteneurs au port de Long Beach. D'énormes goulets d'étranglement au port se sont formés au cours de la deuxième moitié de 19 heures, qui a coûté à Kosters des milliers de dollars en coûts supplémentaires facturés par les terminaux.
La Gazette a déclaré que son centre de distribution de carreaux d'une superficie de 389 000 pieds carrés «débordait» de carreaux, car elle devait commander davantage de produits pour faire avancer les tarifs. Elle doit maintenant faire face à des stocks record.
"Il n'y a pas d'espace à l'intérieur", dit-elle. "Nous n'avons nulle part où mettre les matériaux."
Kosters a déclaré que sa situation troublée avait été déclenchée par la guerre commerciale: "Nous devons en importer davantage car il y a beaucoup d'incertitude quant au pays ciblé par la suite".
Les tarifs ont l'impact le plus important sur les ports de Los Angeles et de Long Beach, les ports à conteneurs les plus actifs du pays, qui traitent chacun environ 47,5% du commerce conteneurisé des États-Unis avec la Chine. Mais ce ne sont pas seulement les ports qui subissent la pression de la guerre commerciale: le camionnage, les chemins de fer, l'entreposage, la construction, la fabrication et l'agriculture ont également été touchés. Environ un million d'emplois liés au commerce international dans une région de cinq comtés sont également en cause alors que la guerre commerciale continue de s'intensifier.
Le chaos commercial a "vraiment gâché les opérations de la chaîne d'approvisionnement", a déclaré Eugene Seroka, directeur exécutif du port de Los Angeles. "Nous avons beaucoup de cargaison qui arrive et qui reste en place."
"Les conteneurs sont empilés haut. Les lignes de camions sont longues. Et les entrepôts sont remplis à craquer."
Il y a tellement d'accumulation de stocks dans le complexe d'entreposage et de distribution du sud de la Californie, le plus grand au monde, qu'il y a moins de 1% de postes vacants, contre 5% à 7% en moyenne, a-t-il ajouté.
La guerre commerciale a laissé les entreprises américaines dans l'incertitude quant à l'avenir en réduisant les investissements, a déclaré Seroka.
"Il reste beaucoup d'argent sur la touche", a-t-il déclaré. "Achetez-vous plus de camions ? Engagez-vous plus de personnes ? Construisez-vous un autre entrepôt ? Investissez-vous dans la technologie numérique ?"
RépondreSupprimer"Peu de sociétés souhaitent à ce stade investir dans la chaîne d'approvisionnement, sans savoir où elles vont à l'avenir."
Dans les deux ports, les importations conteneurisées en provenance de Chine ont augmenté en été et en automne, à la suite de la guerre commerciale, puis ont chuté de 12% au cours des quatre premiers mois de cette année, en glissement annuel.
Sur la même période, les exportations vers la Chine se sont effondrées de 27,4%.
Maintenant, Trump a menacé de geler les droits de douane sur 300 milliards de dollars d’exportations chinois si le dirigeant chinois Xi Jinping ne le rencontrait pas au sommet du G20 d’Osaka en 2019 au Japon. Si la réunion ne se déroule pas, cela pourrait signifier qu'une guerre commerciale généralisée serait en cours, déclencherait une récession commerciale mondiale et entraînerait de graves perturbations dans les ports de la Californie.
"Les emplois sont une source de préoccupation", a déclaré Mario Cordero, directeur exécutif du port de Long Beach. "Nous avons 10 000 dockers. S'ils ne sont pas appelés à travailler, ils ne gagnent pas d'argent."
"Moins nous avons de fret, moins il y a de travailleurs logistiques, d'entrepôts. Que vous soyez camionneur ou employé de bureau ou que vous travailliez dans le secteur manufacturier, les tarifs s'appliquent à l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement."
Une guerre commerciale à part entière serait absolument dévastatrice pour l'économie de la Californie.
"Cela n'aura pas d'effet catastrophique sur l'économie de la Californie du Sud", a déclaré O'Connell. "Mais si vous êtes une entreprise qui a du mal à faire des affaires avec la Chine, cela pourrait être dévastateur."
Des experts en logistique ont déclaré à The Gazette que les pressions tarifaires se propageraient à d’autres ports de la côte ouest.
"La chaîne d'approvisionnement a besoin de beaucoup de travail", a déclaré Weston LaBar, PDG de la Harbour Trucking Association, qui représente plusieurs centaines d'entreprises de camionnage locales. "Nous constatons à présent nombre des problèmes identiques à ceux que nous avons rencontrés lors du blocage complet de la fin de 2014 et du début de 2015."
LaBar a déclaré que les tarifs douaniers constituaient une menace pour la chaîne d'approvisionnement complexe de fabrication soutenue par les ports.
"Ainsi, par exemple, la Chine importe de la ferraille provenant des États-Unis et la recycle en dalle d'acier. Une entreprise sidérurgique de Los Angeles l'importe en Chine et la transforme en acier laminé pour l'industrie aérospatiale", a-t-il déclaré.
"Maintenant que cette entreprise de Los Angeles, à cause des tarifs chinois, a dû s'approvisionner en acier au Brésil. Mais il est impossible de limiter la quantité d'acier de dalle pouvant être importée du Brésil. Et des centaines de fabricants dans tout le pays envisagent des licenciements en raison de ces tarifs. "
Comme la guerre commerciale s'intensifie, les travailleurs les moins économiquement protégés en souffriront, a prédit O'Connell, expert en commerce de Beacon Economics.
"Les camionneurs sont payés à la charge et moins de charges ont un impact sur leurs revenus", a-t-il déclaré. "Et les ouvriers d'entrepôt de Los Angeles et de l'Inland Empire jusqu'à la vallée de San Joaquin sont pour la plupart temporaires."
RépondreSupprimer"Ils sont envoyés au travail par des agences d'intérim sur demande, et ils sont renvoyés chez eux lorsque le nombre de boîtes diminue."
Malgré des discussions sur le remaniement de nombreuses chaînes d'approvisionnement allant de la Chine au Vietnam, en passant par la Malaisie, le Bangladesh ou l'Afrique de l'Ouest, il a déclaré: "À quelle vitesse pouvez-vous construire une nouvelle usine de fabrication et transférer tous vos fournisseurs de composants dans un cluster situé dans un nouveau pays ? frapper un mur au Vietnam où le secteur des transports - avec des routes et des ports inadéquats - est débordé ".
Trump a déclaré que sa guerre commerciale ramènerait le secteur manufacturier aux États-Unis. Mais beaucoup de dirigeants d'entreprise ne croient pas le président.
Alors que l'économie américaine ralentit l'été avec la menace d'une guerre commerciale généralisée, le cycle économique est devenu vulnérable aux chocs, et ce sont eux qui peuvent déclencher une récession.
https://www.zerohedge.com/news/2019-06-12/trade-war-nightmare-causes-logistical-hell-los-angeles-ports
Pour d'innombrables Américains, vivre dans leurs véhicules est devenu "la nouvelle norme"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 06/12/2019 - 15:50
Créé par Michael Snyder via le blog The End of The American Dream,
Encore une fois ce soir, un nombre incalculable d'Américains vont dormir dans leurs véhicules, et le problème s'aggrave d'année en année. Selon le ministère du Logement et du Développement urbain, la population des sans-abri aux États-Unis a atteint 552 830 personnes en 2018, mais beaucoup pensent que le nombre réel est en réalité beaucoup plus élevé. Parce que pour compter avec précision les sans-abri, vous devez d'abord les trouver et beaucoup d'entre eux ne veulent pas être retrouvés. Mais même si les chiffres du HUD sont exacts, le nombre élevé de sans-abri est toujours une tragédie nationale et un pourcentage élevé de ces Américains sans abri vivent dans leurs véhicules.
Puisqu'ils peuvent se déplacer si facilement, il peut être extrêmement difficile de compter ceux qui vivent dans leurs véhicules. Mais nous avons quelques chiffres, et ils sont vraiment alarmants.
Une enquête menée dans la région de Seattle l'année dernière a révélé que le nombre de personnes vivant dans leurs véhicules avait augmenté de 46% au cours des 12 derniers mois. Et selon un rapport qui vient de paraître, environ 16 500 personnes vivent actuellement dans leurs véhicules à Los Angeles. Ce qui suit provient du Los Angeles Times…
Il y a deux ans, Los Angeles a commencé à expérimenter une solution de rechange aux abris pour sans-abri, appelée parking sécurisé, offrant aux personnes vivant dans leur voiture un endroit sûr où dormir la nuit.
Le premier site ayant rapidement été considéré comme un succès, la Los Angeles Homeless Services Authority a accepté de financer neuf lots supplémentaires dans le cadre du programme pilote, avec des promesses d’agrandissement.
Plus tôt cette année, avant la publication de nouvelles données montrant plus de 16 500 personnes vivant dans leurs véhicules, les autorités ont demandé aux prestataires de tout le pays de les aider à concrétiser cette promesse.
Beaucoup de ceux qui vivent dans leurs véhicules ne se considèrent même pas comme des sans-abri.
En fait, si vous leur demandiez s'ils étaient sans abri, certains d'entre eux le nieraient ouvertement. Par exemple, Matthew Bodo, âgé de 21 ans, vivait dans son véhicule depuis près de deux ans alors qu'il fréquentait un collège en Californie, et pendant ce temps, il «était fortement en désaccord avec l'idée de s'appeler sans abri»…
Matthew Bodo, 21 ans, a été sans abri pendant près de deux ans alors qu'il fréquentait le Foothill College de la communauté de Los Altos Hills en Californie du Nord. Il travaillait 14 heures par jour comme voiturier pour Tesla, garant la voiture des employés, mais ne pouvait satisfaire à l’obligation faite par de nombreux propriétaires de disposer que son revenu mensuel atteigne trois fois le loyer mensuel.
«Au début, j'étais complètement et totalement gêné», dit Bodo. «À l'époque, je n'étais pas du tout d'accord avec le fait de me considérer sans-abri parce que je pensais qu'une voiture pouvait être considérée comme une maison, mais maintenant je la vois comme une seule et même chose.»
Beaucoup de gens ne le réalisent pas, mais le sans-abrisme est devenu une véritable épidémie chez les étudiants américains. Il suffit de vérifier ces chiffres…
RépondreSupprimerUn sondage mené auprès de près de 86 000 étudiants l'automne dernier par le Hope Center for College, Community and Justice a révélé que l'itinérance touchait 18% des répondants fréquentant des collèges de deux ans et 14% de ceux fréquentant des établissements de quatre ans.
Dans le seul État de Californie, environ 399 000 étudiants de collèges communautaires ont déclaré avoir «vécu une période d'itinérance l'année précédente» et 20% d'entre eux ont indiqué qu'ils avaient dormi dans leur véhicule.
Alors, que fait le gouvernement de l'État de Californie pour résoudre cette crise ?
Eh bien, ils viennent d’adopter un projet de loi «exigeant que tous les collèges communautaires de l’État fournissent un parking sûr où les étudiants sans-abri puissent dormir dans leur voiture pendant la nuit».
Eh oui, ça devrait régler le problème.
Bien sûr je suis facétieux. Ce dont les Américains sans abri ont vraiment besoin, c'est d'un toit permanent au-dessus de leur tête, car il est extrêmement difficile d'opérer dans notre société sans un.
Les Américains sans abri qui vivent dans leurs véhicules ne comptent souvent pas comme étant officiellement «au chômage» et ont souvent beaucoup de difficulté à recevoir des prestations du gouvernement car ils ne disposent pas d'adresse postale permanente.
Quand une personne est sans abri, il peut vraiment sembler qu’elle a «complètement quitté la carte», et redresser la situation lorsque vous êtes totalement à court de ressources peut être extrêmement difficile à faire.
En plus du nombre croissant d’Américains qui vivent dans leurs véhicules parce qu’ils n’ont plus d’options, la RV Industry Association indique qu’un million d’Américains vivent à plein temps dans leurs véhicules de camping.
Bien sûr, beaucoup d'Américains habitent leur véhicule de plaisance par choix, mais d'autres le font parce qu'une maison traditionnelle n'est pas une alternative abordable pour le moment.
Ces dernières années, les coûts de logement ont augmenté beaucoup plus rapidement que les salaires, ce qui a obligé un nombre croissant d'Américains à descendre dans la rue. Selon un rapport publié plus tôt cette année, le salarié américain moyen ne peut pas se permettre d'acheter une maison «dans plus de 70% du pays»…
Même avec la hausse des salaires et la baisse des taux hypothécaires, les Américains ne peuvent se payer une maison dans plus de 70% du pays. Selon un rapport d’ATTOM Data Solutions, sur un total de 473 comtés américains analysés dans un rapport, 335, le prix médian des maisons indiqué était plus élevé que ce que les salariés moyens pouvaient se permettre. Parmi eux se trouvent les comtés qui incluent Los Angeles et San Diego en Californie, ainsi que les comtés de Miami-Dade en Floride et de Maricopa en Arizona.
Tant que les choses ne changeront pas, le nombre d'Américains dormant dans leurs véhicules continuera à augmenter.
Et au lieu d'essayer de résoudre les problèmes fondamentaux, beaucoup de nos législateurs ont décidé qu'il était beaucoup plus facile d'adopter des lois qui interdisaient de dormir dans des véhicules…
RépondreSupprimerUn récent sondage réalisé par le Centre national de droit sur le sans-abrisme et la pauvreté (NLCHP), qui suit les politiques dans 187 villes, a révélé que le nombre d'interdictions de résidence des véhicules avait plus que doublé au cours de la dernière décennie.
«Tout comme les interdictions de camper et de dormir en plein air, les restrictions imposées à la vie dans les véhicules à l’échelle de la ville risquent de ne laisser aucun endroit licite où les sans-abri pourraient vivre dans une communauté», a déclaré le NLCHP dans un rapport récent. «Les interdictions qui permettent la mise en fourrière de véhicules, ou qui entraînent une mise en fourrière découlant de contraventions impayées ou autres mesures d’exécution de ces interdictions, peuvent faire perdre un abri, un moyen de transport et des effets personnels aux personnes sans abri - sans aucune option réaliste de les récupérer ou de les remplacer leur."
Des lois comme celles-là sont très immorales.
Comment pourriez-vous dormir la nuit si vous saviez que vous emportez le seul abri qu'une famille puisse avoir ?
Nous aimons imaginer les sans-abri comme des hommes plus âgés décoiffés, mais la vérité est qu'un pourcentage important des sans-abri en Amérique aujourd'hui sont des familles avec enfants.
Ce soir, des milliers et des milliers de familles américaines vont à nouveau se blottir dans leurs véhicules et essayer de dormir. Beaucoup d’entre eux espèrent désespérément un avenir meilleur, mais la vérité est que l’Amérique devient de plus en plus froide et sans cœur, jour après jour.
https://www.zerohedge.com/news/2019-06-12/countless-americans-living-their-vehicles-has-become-new-normal
L'administration Obama purge 12 ans de discours sur la crise de l'immigration, quelques heures avant l'inauguration de Trump
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 06/12/2019 - 17:05
Quelques heures avant l'entrée en fonction du président Trump, l'administration Obama s'est démenée pour supprimer 12 ans de transcriptions couvrant des centaines de discours du site Web Immigrations and Customs Enforcement (ICE), selon Jason Hopkins du Daily Caller.
Une archive Internet Wayback Machine capture de la page «Discours et témoignages» de la fin de la soirée du 19 janvier 2017 (via la Sunlight Foundation)
Selon une étude réalisée par la Sunlight Foundation, une organisation non partisane prônant la transparence du gouvernement, 190 comptes rendus de transcription sur le site Web de l'ICE ont été supprimés le 18 janvier et tard dans la soirée le 19 janvier 2017. Des déclarations faites par de hauts responsables de l'ICE sur des sujets controversés en matière d'immigration tels que les villes sanctuaires, E-Verify, le traitement des détenus et d'autres questions ont été incluses dans les suppressions rapportées. -Appel quotidien
"En quelques clics de souris, l’accès à une ressource Web du gouvernement fédéral contenant 12 années de sources primaires sur l’histoire de ICE a été perdu", a écrit la Sunlight Foundation, ajoutant que des discours datant de 2004 étaient inclus dans la purge.
L'appelant a noté que les discours de l'ancien directeur par intérim de l'ICE, Thomas Homan, figuraient "clairement sur la liste des suppressions", notamment un discours prononcé en février 2016 devant la Commission du Sénat sur la magistrature du Sénat dans lequel Homan avait évoqué le fait que "Crise mineure non accompagnée" était sous l'administration Obama. aux prises avec une gestion à la frontière sud.
Un autre exemple cité par l'appelant était une transcription de mai 2016 dans laquelle Homan expliquait pourquoi les villes-sanctuaires (et les comtés et états) mettaient "le public en danger", selon le rapport.
La Sunlight Foundation a proposé le commentaire suivant pour expliquer la purge: "Il n'est pas inconcevable qu'une administration démocrate sortante veuille éviter de préserver ces positions publiques pour un examen plus approfondi", ajoutant: "La suppression de la collection de discours ICE représente la perte d'une source de l'histoire des débuts de la CIE, remontant à sa création sous l'administration George W. Bush en 2003. "
https://www.zerohedge.com/news/2019-06-12/obama-admin-purged-12-years-speeches-immigration-crisis-hours-trump-inauguration
Le parti 'démocrate' EST un parti ANTI Démocratie (comme le parti républicain).
SupprimerÉtat de surveillance omniprésent: 1984 d'Orwell n'est plus une fiction
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 13/06/2019 - 00:05
Écrit par John Whitehead via le Rutherford Institute,
«Il fallait vivre - vivait, d'habitude devenue instinctive - en supposant que tous les sons que vous émettiez étaient entendus et, sauf dans l'obscurité, chaque mouvement scruté.» - George Orwell, 1984
Marchez prudemment: la fiction de George Orwell est devenue un manuel d'opération pour l'état de surveillance omniprésent et moderne.
Cela fait 70 ans qu'Orwell - mourant, frappée par la fièvre et la toux sanglante - et décidée à mettre en garde contre l'ascension d'une société dans laquelle les abus de pouvoir et les manipulations de masse sont monnaie courante - décrit le développement inquiétant de la technologie omniprésente, du fascisme et totalitarisme en 1984.
Qui aurait pu prédire que 70 ans après Orwell aurait écrit les derniers mots de son roman dystopique, "Il aimait Big Brother", nous ne tiendrions pas compte de son avertissement et ne voudrions plus aimer Big Brother.
"Pour le futur ou le passé, à un moment où la pensée est libre, où les hommes sont différents les uns des autres et ne vivent pas seuls - à un moment où la vérité existe et où ce qui est fait ne peut être annulé: à partir de l'âge de l'uniformité, de l'âge de la solitude, de l'âge de Big Brother, de l'âge de la pensée double - salut! »- George Orwell
1984 représente une société mondiale de contrôle total dans laquelle les gens ne sont pas autorisés à avoir des pensées qui ne sont en aucune manière en désaccord avec l’Etat corporatif. Il n'y a pas de liberté personnelle et la technologie de pointe est devenue le moteur d'une société de surveillance. Des mouchards et des caméras sont partout. Les gens sont soumis à la police de la pensée, qui traite avec quiconque est coupable de crimes de pensée. Le gouvernement, ou "parti", est dirigé par Big Brother qui apparaît partout sur des affiches avec les mots: "Big Brother vous surveille".
Nous sommes arrivés, bien en avance sur notre calendrier, dans le futur dystopique imaginé non seulement par Orwell, mais aussi par des écrivains de fiction tels que Aldous Huxley, Margaret Atwood et Philip K. Dick.
"Si liberté signifie quelque chose, cela signifie le droit de dire aux gens ce qu'ils ne veulent pas entendre." - George Orwell
Tout comme Big Brother d’Orwell en 1984, le gouvernement et ses sociétés d’espionnage surveillent désormais chacun de nos mouvements. Tout comme dans A Brave New World de Huxley, nous formons une société d'observateurs qui «se voient priver de leur liberté, mais… en jouissent plutôt, car ils sont distraits de tout désir de se rebeller par la propagande ou le lavage de cerveau. Comme dans The Handmaid's Tale d'Atwood, on apprend maintenant à la population à «connaître sa place et ses devoirs, à comprendre qu'elle n'a aucun droit réel, mais qu'elle sera protégée jusqu'à un certain point si elle se conforme et qu'elle pense si mal qu'elle-même accepter leur destin et ne pas se rebeller ou fuir. "
Et, conformément à la vision sombre et prophétique d'un état policier dystopique de Philip K. Dick - qui est devenue la base du thriller futuriste de Steven Spielberg, Minority Report -, nous sommes maintenant piégés dans un monde dans lequel le gouvernement voit tout, sait tout et tout. - puissants et si vous osez sortir des sentiers battus, des équipes de police SWAT vêtues de noir et des unités précédant le crime vont craquer quelques crânes pour mettre la population sous contrôle.
Ce qui semblait autrefois futuriste n'occupe plus le domaine de la science-fiction.
RépondreSupprimerIncroyablement, les diverses technologies naissantes utilisées et partagées par le gouvernement et les entreprises - reconnaissance faciale, scanners d'iris, bases de données volumineuses, logiciels de prévision du comportement, etc. - sont intégrées à un réseau informatique complexe et imbriqué visant à suivre nos mouvements, à prédire nos pensées et en contrôlant notre comportement, les visions dystopiques des écrivains du passé deviennent rapidement notre réalité.
Notre monde est caractérisé par une surveillance généralisée, des technologies de prévision du comportement, des fouilles de données, des centres de fusion, des voitures sans conducteur, des domiciles à commande vocale, des systèmes de reconnaissance faciale, des cybugs et des drones, ainsi qu'une police prédictive (pré-crime) visant à capturer les criminels avant ils peuvent faire des dégâts.
Les caméras de surveillance sont partout. Les agents du gouvernement écoutent nos appels téléphoniques et lisent nos courriels. Le politiquement correct - une philosophie qui décourage la diversité - est devenu un principe directeur de la société moderne.
«Les gens dorment paisiblement dans leur lit la nuit uniquement parce que des hommes brutaux sont prêts à commettre des actes de violence en leur nom.» - George Orwell
Les tribunaux ont supprimé les protections du quatrième amendement contre les perquisitions et les saisies abusives. En fait, les équipes SWAT qui bousculent les portes sans mandat de perquisition et les agents du FBI agissant en tant que police secrète chargée d'enquêter sur les citoyens dissidents sont des événements courants dans l'Amérique contemporaine. Et la vie privée et l’intégrité corporelle ont été complètement éviscérées par l’opinion selon laquelle les Américains n’ont aucun droit sur ce qui se passe dans leur corps lorsqu’ils rencontrent des responsables gouvernementaux, qui sont autorisés à perquisitionner, saisir, dépouiller, balayer, espionner, enquêter, fouiller , Taser, et arrêter une personne à tout moment et pour la moindre provocation.
«Les créatures à l'extérieur regardaient de cochon à homme, et d'homme à cochon, et de cochon à homme à nouveau; mais il était déjà impossible de dire lequel était lequel. ”- George Orwell, Animal Farm
Nous sommes de plus en plus dirigés par plusieurs sociétés liées à l'État policier.
Ce que beaucoup ne réalisent pas, c'est que le gouvernement ne fonctionne pas seul. Ça ne peut pas. Le gouvernement a besoin d'un complice. Ainsi, les besoins de plus en plus complexes du gouvernement fédéral en matière de sécurité, en particulier dans les domaines de la défense, de la surveillance et de la gestion des données, ont été satisfaits au sein du secteur des entreprises, qui s'est révélé être un puissant allié qui dépend à la fois de la croissance et de sa croissance. de dépassement de gouvernement.
En fait, Big Tech s'est marié avec Big Government et est devenu Big Brother, et nous sommes maintenant gouvernés par le Corporate Elite, dont les tentacules se sont répandus dans le monde entier. Par exemple, USA Today rapporte que cinq ans après les attentats terroristes du 11 septembre, le secteur de la sécurité intérieure était en plein essor au point d’éclipser le chiffre d’affaires annuel d’entreprises matures comme le cinéma et le secteur de la musique. Ces dépenses de sécurité pour des sociétés privées telles que Google, Amazon, Microsoft et autres devraient dépasser le billion de dollars dans un avenir proche.
Le gouvernement dispose maintenant d'arsenaux technologiques si sophistiqués et invasifs que toute protection constitutionnelle est nulle et non avenue. Sous l'impulsion de la NSA, qui s'est montrée peu soucieuse des limites constitutionnelles ou de la vie privée, le «complexe industriel / de sécurité» - un mariage d'intérêts gouvernementaux, militaires et corporatifs visant à maintenir les Américains sous surveillance constante - en est venu à dominer le marché. gouvernement et nos vies. Avec une taille trois fois supérieure à celle de la CIA, représentant un tiers du budget du renseignement et dotée de son propre réseau d'espionnage mondial, la NSA espionne depuis longtemps les Américains, qu'elle ait ou non toujours été autorisée à le faire.
RépondreSupprimerArgent, pouvoir, contrôle. Les motivations qui alimentent la convergence des méga-entreprises et du gouvernement ne manquent pas. Mais qui paie le prix? Le peuple américain, bien sûr.
Orwell a compris ce que beaucoup d'Américains, pris dans leur drapeau politique, ont encore du mal à accepter: il n'existe pas de gouvernement organisé pour le bien du peuple. Même les meilleures intentions des membres du gouvernement cèdent inévitablement à la volonté de conserver à tout prix le pouvoir et le contrôle sur les citoyens. Comme l'explique Orwell:
Le parti cherche le pouvoir entièrement pour lui-même. Le bien des autres ne nous intéresse pas; nous nous intéressons uniquement au pouvoir, au pouvoir pur. Quelle puissance pure signifie que vous allez comprendre maintenant. Nous sommes différents des oligarchies du passé en ce sens que nous savons ce que nous faisons. Tous les autres, même ceux qui nous ressemblaient, étaient des lâches et des hypocrites. Les méthodes utilisées par les nazis allemands et les communistes russes nous ont été très proches, mais ils n'ont jamais eu le courage de reconnaître leurs propres motivations. Ils ont prétendu, peut-être même cru, avoir pris le pouvoir à contrecoeur et pour un temps limité, et que juste au coin de la rue se trouvait un paradis où les êtres humains seraient libres et égaux. Nous ne sommes pas comme ça. Nous savons ce que personne ne prend jamais au pouvoir dans l’intention de le renoncer. Le pouvoir n'est pas un moyen; c'est une fin. On n'établit pas une dictature pour sauvegarder une révolution; on fait la révolution pour établir la dictature. Le but de la persécution est la persécution. L'objet de la torture est la torture. L'objet du pouvoir est le pouvoir. Maintenant, vous commencez à me comprendre.
"Plus une société s'éloigne de la vérité, plus elle déteste ceux qui la parlent."? George Orwell
Comment changez-vous la façon de penser des gens ? Vous commencez par changer les mots qu'ils utilisent.
Dans les régimes totalitaires - a.k.a. États policiers - où la conformité et la conformité sont imposées à la fin d'une arme chargée, le gouvernement dicte quels mots peuvent ou ne peuvent pas être utilisés. Dans les pays où l'État policier se cache derrière un masque de bienveillance et se déguise en tolérance, les citoyens se censurent, surveillant leurs paroles et leurs pensées pour se conformer aux diktats de l'esprit de masse.
La littérature dystopique montre ce qui se passe lorsque la population est transformée en automates sans cervelle.
Dans Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, la lecture est interdite et les livres brûlés afin de supprimer les idées divergentes, tandis que les divertissements télévisés sont utilisés pour anesthésier la population et la rendre facilement pacifiée, distraite et contrôlée.
Dans Brave New World de Huxley, la littérature sérieuse, la pensée scientifique et les expérimentations sont interdites en tant que subversives, tandis que la pensée critique est découragée par le recours au conditionnement, aux tabous sociaux et à une éducation inférieure. De même, les expressions d'individualité, d'indépendance et de moralité sont considérées comme vulgaires et anormales.
RépondreSupprimerEt dans Orwell en 1984, Big Brother supprime tous les mots et toutes les significations indésirables et inutiles, allant même jusqu'à réécrire de manière routinière l'histoire et punir les «crimes de pensée». Dans cette vision dystopique de l'avenir, la Police de la Pensée fait office d'observatrice Big Brother, tandis que le ministère de la Paix s'occupe de la guerre et de la défense, le ministère de l'Abondance des affaires économiques (rationnement et famine), du ministère de l'Amour en charge du maintien de l'ordre (torture et lavage de cerveau) et du ministère de la Vérité avec des nouvelles, du divertissement, de l'éducation et de l'art (propagande). Les devises de l'Océanie: la guerre, c'est la paix, la liberté, l'esclavage et l'ignorance, c'est la force.
Tous trois, Bradbury, Huxley et Orwell, possédaient un talent étrange pour réaliser l'avenir, mais Orwell était celui qui comprenait le mieux le pouvoir du langage de manipuler les masses. Big Brother d’Orwell s’appuyait sur Newspeak pour éliminer les mots indésirables, effacer les mots restants de signification non orthodoxe et rendre toute pensée indépendante non approuvée par le gouvernement totalement inutile. Comme le psychologue Erich Fromm l’illustre dans son postulat de 1984:
Le mot libre existait toujours dans Newspeak, mais il ne pouvait être utilisé que dans les déclarations suivantes: "Ce chien est exempt de poux" ou "Ce champ est exempt de mauvaises herbes". Il ne pouvait pas être utilisé dans son ancien sens de "politiquement libre" ou "intellectuellement libre", car la liberté politique et intellectuelle n'existait plus en tant que concepts ....
Nous en sommes maintenant au moment où OldSpeak (où les mots ont un sens et où les idées peuvent être dangereuses) et Newspeak (où seul est autorisé ce qui est «sûr» et «accepté» par la majorité). L'élite du pouvoir a clairement indiqué ses intentions: elle poursuivra et poursuivra en justice tous les mots, toutes les pensées et toutes les expressions qui défient son autorité.
C'est le dernier maillon de la chaîne policière.
«Tant qu'ils ne seront pas conscients, ils ne se révolteront jamais et qu'après, ils ne pourront pas devenir conscients.» - George Orwell
Les Américains ont été conditionnés à accepter des incursions de routine sur leurs droits à la vie privée. En fait, la dépendance aux appareils à écran, notamment les téléphones cellulaires, a créé un effet de ruche où la population non seulement regardait, mais était également contrôlée par des robots AI. Cependant, à un moment donné, l’idée d’un État de surveillance totale surveillant chacun de ses mouvements aurait été odieuse pour la plupart des Américains. Tout cela a changé avec les attaques du 11 septembre. Comme le fait remarquer le professeur Jeffrey Rosen: «Avant le 11 septembre, l'idée que les Américains accepteraient volontairement de vivre leur vie sous le regard d'un réseau de caméras de surveillance biométriques, les scrutant dans des bâtiments gouvernementaux, des centres commerciaux, des métros et des stades, aurait semblait impensable, un fantasme dystopique d’une société qui avait renoncé à la confidentialité et à l’anonymat. "
Réduit à une population déchaînée - muette face aux élus qui refusent de nous représenter, impuissante face aux brutalités policières, impuissante face aux tactiques militarisées et à la technologie qui nous traitent comme des combattants ennemis sur un champ de bataille et nue face à la surveillance du gouvernement qui voit et entend tout, nous n’avons plus nulle part où aller.
RépondreSupprimerEn quelque sorte, nous sommes passés d’un pays où la vie privée règne en maître à un pays où rien n’est à l’abri des regards indiscrets du gouvernement. À la recherche de soi-disant terroristes et extrémistes qui se cachent parmi nous - le proverbial "aiguille dans une botte de foin", a déclaré un responsable, le groupe a décidé de surveiller tous les aspects de notre vie, des appels téléphoniques aux courriels, en passant par l'activité Internet. et les transactions par carte de crédit. Une grande partie de ces données est alimentée par des centres de fusion répartis dans tout le pays, qui collaborent avec le Department of Homeland Security pour évaluer la menace pesant sur chaque citoyen, y compris les écoliers. Ce sont des centres de renseignement régionaux et d'état qui collectent des données sur vous.
"Grand frère vous regarde."? George Orwell
Où que vous alliez et quoi que vous fassiez, vous êtes surveillé, surtout si vous laissez une empreinte électronique. Lorsque vous utilisez votre téléphone portable, vous laissez une trace de la date à laquelle l'appel a été passé, de qui vous avez appelé, de sa durée et même de l'endroit où vous vous trouviez à ce moment-là. Lorsque vous utilisez votre carte de guichet automatique, vous laissez une trace de l'endroit et du moment où vous avez utilisé la carte. Il y a même une caméra vidéo dans la plupart des endroits équipée d'un logiciel de reconnaissance faciale. Lorsque vous utilisez un téléphone portable ou conduisez une voiture avec GPS, vous pouvez être suivi par satellite. Ces informations sont partagées avec les agents du gouvernement, y compris la police locale. Et toutes ces informations jadis privées sur vos habitudes de consommation, votre localisation et vos activités sont maintenant transmises au gouvernement américain.
Le gouvernement dispose de ressources presque inépuisables pour suivre nos mouvements: dispositifs d'écoute électronique, caméras de circulation, systèmes biométriques, cartes d'identification radiofréquence, satellites et surveillance Internet.
La technologie de reconnaissance vocale permet maintenant au gouvernement de procéder à une écoute massive au moyen de systèmes informatiques sophistiqués. Les appels téléphoniques peuvent être surveillés, l'audio converti en fichiers texte et stocké indéfiniment dans des bases de données informatiques. Et si des mots "menaçants" sont détectés, aussi stupide ou stupide soit-il, le dossier peut être signalé et attribué à un agent du gouvernement pour une enquête plus approfondie. Les gouvernements fédéral et étatiques, travaillant à nouveau avec des sociétés privées, surveillent votre contenu Internet. Les utilisateurs sont profilés et suivis afin de les identifier, les cibler et même les poursuivre.
Dans un tel climat, tout le monde est suspect. Et vous êtes coupable jusqu’à ce que vous puissiez prouver votre innocence. Pour souligner ce changement de perception du gouvernement vis-à-vis de ses citoyens, le FBI utilise ses pouvoirs étendus pour enquêter sur des individus ou des groupes, qu'ils soient ou non soupçonnés d'activités criminelles.
"Rien ne t'appartenait à part les quelques centimètres cubes à l'intérieur de ton crâne."? George Orwell
RépondreSupprimerVoici ce que beaucoup de gens ne comprennent pas, cependant: ce n’est pas seulement ce que vous dites ou ce que vous faites qui est surveillé, mais comment vous pensez que cela est suivi et ciblé. Nous avons déjà vu cela se jouer aux niveaux fédéral et fédéral avec une législation sur les crimes motivés par la haine qui sévit contre les pensées et expressions dites «haineuses», encourage l'autocensure et réduit la liberté du débat sur divers sujets.
Dites bonjour à la nouvelle police de la pensée.
Le gouvernement utilise la surveillance totale de l’Internet par le gouvernement, aussi omniprésente que Dieu, pour prédire et, surtout, contrôler la population, ce qui n’est pas aussi farfelu que l’on pourrait le penser. Par exemple, la NSA est en train de concevoir un système d’intelligence artificielle conçu pour anticiper chacun de vos mouvements. En résumé, la NSA transmettra une grande quantité d'informations qu'elle collecte à un système informatique appelé Aquaint (l'acronyme signifie Advanced QUestion Answering pour INTelligence), que l'ordinateur peut ensuite utiliser pour détecter des modèles et prédire le comportement.
Aucune information n'est sacrée ou épargnée.
Tout, des enregistrements et journaux de téléphone portable aux courriers électroniques en passant par les SMS, les informations personnelles postées sur les sites de réseaux sociaux, les relevés de carte de crédit, les enregistrements de circulation de la bibliothèque, l'historique des cartes de crédit, etc., est collecté par la NSA et partagé librement. avec ses agents criminels: la CIA, le FBI et le DHS. Un chercheur de la NSA a en fait quitté le programme Aquaint, "citant des préoccupations quant aux dangers de placer une arme aussi puissante entre les mains d'une agence très secrète avec peu de responsabilité."
Ainsi, nous assistons, au nom dit de sécurité et d’efficacité, à la création d’un nouveau système de classes comprenant les observés (Américains moyens comme vous et moi) et les observateurs (bureaucrates gouvernementaux, techniciens et sociétés privées). ).
Clairement, l'ère de la vie privée en Amérique est terminée.
«Si vous voulez une image du futur, imaginez une botte frappant un visage, pour toujours.» - Orwell
Alors, où en sommes-nous ?
Nous nous trouvons maintenant dans la position peu enviable d'être surveillés, gérés et contrôlés par notre technologie, qui ne relève pas de nous, mais de notre gouvernement et de nos dirigeants. C’est la leçon «fait étranger à la fiction» qui nous est quotidiennement infligée.
Nous ne tarderons pas à regarder en arrière le passé, à une époque où nous pourrions parler à qui nous voulions, acheter ce que nous voulions, penser ce que nous voulions sans que ces pensées, paroles et activités ne soient suivies, traitées et stockées par des sociétés géantes telles que Google, vendues à des agences gouvernementales telles que la NSA et la CIA, et utilisées contre nous par la police militarisée avec son armée de technologies futuristes.
Pour être un individu aujourd’hui, pour ne pas se conformer, pour avoir un minimum d’intimité et pour vivre hors de la portée des regards errants du gouvernement et des espions technologiques, il ne suffit pas d’être un rebelle, mais un rebelle.
Même lorsque vous vous révoltez et prenez position, il y a rarement une fin heureuse qui vous attend. Vous êtes rendu un hors la loi.
RépondreSupprimerAlors, comment survivez-vous dans l'état de surveillance américain ?
Nous sommes à court d'options.
Comme je l'explique clairement dans mon livre intitulé Battlefield America: La guerre contre le peuple américain, nous devrons bientôt choisir entre le plaisir de soi (distractions offertes par les médias, les politiciens, les conglomérats sportifs et l'industrie du divertissement, etc) et l'auto-préservation sous la forme d'une vigilance renouvelée face aux menaces qui pèsent sur nos libertés et d'un engagement actif dans l'autogouvernance.
Pourtant, comme Aldous Huxley l'a reconnu dans Brave New World Revisited:
«Seuls les vigilants peuvent conserver leurs libertés et seuls ceux qui sont constamment et intelligemment sur place peuvent espérer se gouverner efficacement par des procédures démocratiques. Une société dont la plupart des membres passent une grande partie de leur temps, non pas sur place, pas ici et maintenant et dans leur avenir calculable, mais ailleurs, dans les autres mondes sans rapport du sport et du feuilleton, de la mythologie et du fantasme métaphysique, aura du mal à résister aux empiétements de ceux qui le manipuleraient et le contrôleraient. "
https://www.zerohedge.com/news/2019-06-11/omnipresent-surveillance-state-orwells-1984-no-longer-fiction
Un plan de Dems pour tenir les artilleurs responsables des tirs en masse
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 06/12/2019 - 22:25
Et après ? Dems va-t-il faire pression pour que General Motors soit tenu responsable des dommages résultant d'accidents de la route impliquant une Chevette de 1987 ? Mardi, Dems a présenté à la Chambre et au Sénat un projet de loi qui responsabiliserait les fabricants d’armes à feu pour crimes impliquant une arme à feu, rapporte le Daily Caller.
S'il était adopté, le projet de loi abrogerait la loi adoptée en 2005 qui prévoyait des protections pour les fabricants d'armes à feu dans la loi fédérale. Sans surprise, les législateurs de Californie et du Connecticut semblaient être à la tête de la plainte: Adam Schiff, président du House Intelligence Committee et l'un des sacs de boxe préférés du président Trump, a tweeté que les victimes de violences par armes méritaient de comparaître devant le tribunal. "
Le sénateur RIchard "Da Nang Dick" Blumenthal, sénateur du Connecticut et autre porte-parole de Trump, est l'un des coauteurs du projet de loi. Depuis qu'il est originaire du Connecticut, où Adam Lanza a assassiné 20 enfants à la Sandy Hook Elementary School en 2012, Blumenthal est depuis longtemps l'une des voix les plus fortes du contrôle des armes à feu à Washington.
Au cours de ses commentaires devant les journalistes mardi, il a expliqué que le projet de loi ne constituait pas un produit parfaitement légal, mais que, comme le disait Schiff, le plan ne ferait que donner à ceux qui ont été tués par des individus dérangés, "All we Grâce à cette proposition, les victimes d'actes de violence armée se retrouvent devant les tribunaux », a déclaré Blumenthal, un co-sponsor du bikk du Sénat.
La NRA, la NSSF (Fondation nationale du tir sportif) se sont vivement opposées au projet de suppression des protections contre la responsabilité des fabricants d'armes.
"C’est comme si on accusait Ford ou General Motors d’avoir utilisé leurs voitures avec négligence", a déclaré Lawrence Keane, vice-président des affaires gouvernementales à la NSSF, au Daily Caller News Foundation. "Il est faux de tenir le pistolet ou toute autre industrie pour responsable de l'utilisation abusive criminelle de produits non défectueux vendus légalement."
Ce n’est pas la première fois que Dems poursuit son plan visant à paralyser l’industrie américaine de fabrication d’armes, comme le raconte le DC.
La première mesure de Schiff visant à abroger les protections de responsabilité du fabricant d’armes à feu a été introduite en 2013 et a été répétée au moins deux fois depuis. Aucune des mesures adoptées.
La loi sur la protection du commerce licite des armes, qui a été adoptée en 2005 et promulguée par l'ancien président George W. Bush, a bloqué les actions civiles contre les marchands de munitions et d'armes à feu, les constructeurs ou les groupes de commerce pour des crimes impliquant des armes à feu, comme une fusillade dans une école.
https://www.zerohedge.com/news/2019-06-12/dems-push-plan-hold-gunmakers-liable-mass-shootings
SupprimerLa télé, les radios et les journaux (les merdias) SONT RESPONSABLES DES PLUS GRANDS CRIMES ET ESCROQUERIES DANS LE MONDE ! SUPPRIMONS-LES !
Regardez: le Skydeck Ledge de la tour de Chicago craque sous les pieds des visiteurs
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 06/12/2019 - 20:05
Pendant un bref instant, quelques touristes singulièrement malchanceux ont vécu l'une des expériences les plus uniques de la Windy City: Vivre à la terreur de craindre d'être submergé par plus de 100 histoires.
Selon CBS News Chicago, la couche de verre protectrice sur le Skydeck de la Willis Tower s'est brisée lundi en milliers d'éclats, terrifiant un groupe de touristes - même si personne n'a jamais été vraiment en danger. Quelque chose de similaire s'est passé en mai 2014; encore une fois, personne n'a été blessé ou jamais vraiment en danger.
Un porte-parole de la Willis Tower a déclaré que la couche protectrice avait fait ce qu'elle était censée faire, bien qu'il n'ait pas expliqué exactement ce qui, selon eux, avait provoqué le bris du verre. Le porte-parole a comparé la vitre à "un film de protection d'écran" sur un smartphone, affirmant qu'elle était destinée à éviter les égratignures sur la vitre de la terrasse d'observation de la tour Willis, et a déclaré que celui-ci avait été remplacé tard lundi.
Mais le fracas avec la mort imminente semblait assez réel pour terrifier certains petits enfants, a déclaré un témoin.
"Il y avait une femme avec deux enfants et ils avaient l'air vraiment pâles et effrayés parce que le sol venait de craquer", a déclaré Jesus Pintado.
"J'ai peur des hauteurs en général, alors quand j'ai vu cela se produire, j'étais comme si de rien n'était", a déclaré le témoin Karly Pintado.
Les responsables municipaux contactés par CBS ont confirmé que les ingénieurs de l'immeuble traitaient le problème (parce que, soyons honnêtes, le budget de la ville ne prévoit pas d'argent pour cela).
En 2014, les autorités ont fermé les quatre boîtes d'observation du Skydeck après l'apparition de fissures dans le revêtement.
Lors de l'ouverture de l'exposition en 2009, les ingénieurs ont déclaré que le sol, composé de trois couches de verre d'un demi-pouce d'épaisseur, avait été conçu pour contenir cinq tonnes.
Regardez une vidéo des fissures ci-dessous:
https://www.zerohedge.com/news/2019-06-12/tourists-terrified-after-protective-glass-under-willis-tower-skydeck-shatters
NON DRAGUÉ DEPUIS 40 ANS IL A 3 m DE MERDE AU FOND !
RépondreSupprimerINTEMPÉRIES EN CRUE, LE RHIN INONDE LES RIVES
En raison des fortes pluies de ces derniers jours, des inondations sont survenues près de Widnau (SG) et de Lustenau, en Autriche.
En crue, le fleuve charrie une grande quantité de bois flottant.
12.06.2019, 17h22
Le Rhin alpin, partie du fleuve située entre les Grisons et le lac de Constance, est en crue, suite aux fortes pluies de ces derniers jours. Ses rives ont été inondées près de Widnau (SG) et de Lustenau (A). Voies pédestres et cyclistes ont été fermées.
L'ensemble du Rhin alpin est placé sous alerte 3 depuis mercredi matin, indique le service binational de régulation du Rhin alpin. La situation météorologique est en train de se calmer, mais une deuxième vague de crue est attendue en raison de la fonte accélérée des neiges, selon les prévisions.
L'accès au Rhin a été fermé près de Widnau. Les exploitants agricoles ont été informés. A Kriessern (SG), les services d'entretien du fleuve sont à l'oeuvre pour extraire le bois flottant.
Un barrage a été partiellement rompu le long du bras mort du Rhin entourant Diepoldsau (A). Cet incident ne met toutefois pas en danger la protection contre la crue. Les pompiers autrichiens sont prêts à intervenir si la situation se détériore. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/rhin-crue-grisons-constance/story/27844318
Trashing the Constitution Again
RépondreSupprimerPar Andrew P. Napolitano
13 juin 2019
Alors que la classe politique et les médias regardaient de près le président Donald Trump alors qu'il commémorait le 75e anniversaire du jour J au Royaume-Uni et en France la semaine dernière, puis que nous observions tous les progrès de la guerre tarifaire, Trump avait commencé avec le Mexique , le ministère de la Justice tentait discrètement de persuader un juge fédéral de Chicago d’abandonner ses principes fondamentaux en matière de citoyenneté et de détermination de la peine.
Le DOJ a déposé une requête demandant à un juge fédéral de retirer à un citoyen américain la nationalité américaine d'un certain Iyman Faris. Faris, né au Pakistan, est un citoyen américain naturalisé depuis 1994. En 2001, il a plaidé coupable d'avoir conspiré pour faire sauter le pont de Brooklyn et a été condamné à 20 ans de prison fédérale. Ses compagnons «conspirateurs» étaient des agents du FBI prétendant être des terroristes étrangers et nationaux disposés à travailler avec lui.
En d'autres termes, il n'y avait pas de véritable complot. Pourtant, les procureurs fédéraux ont convaincu Faris et ses avocats que si les cassettes de surveillance enregistrées par le FBI à propos de Faris étaient montrées à un jury, elles contribueraient probablement à un verdict de culpabilité.
L’affaire Faris est l’une des nombreuses affaires survenues au cours des mois qui ont immédiatement suivi la tragédie du 11 septembre, au cours desquelles des agents fédéraux ont trouvé aux États-Unis des personnes vulnérables portant des noms de famille au Moyen-Orient et les ont séduites dans des intrigues inexistantes. Autrement dit, le gouvernement fédéral a créé de faux crimes et les a ensuite résolus.
Si vous croyez - comme le dit la jurisprudence anglo-américaine depuis 600 ans - que le crime est un préjudice, Faris, qui n'a causé aucun préjudice, n'est pas un criminel. Il est victime de tactiques du FBI similaires à celles utilisées sur le candidat Trump en 2015 et 2016.
Si vous croyez que formuler des pensées sur la commission d'un crime, pensées générées par des agents du FBI, l'ont amené à croire qu'elles partageaient ces pensées - comme le dit la jurisprudence anglo-américaine moderne, c'est criminel - alors Faris est coupable de complot en vue de commettre des actes de terrorisme. .
Je soutiens depuis des années que le gouvernement ne devrait pas créer le crime simplement pour éliminer ceux qu'il hait et craint de la rue. Mon argument a parfois trouvé un écho, mais le gouvernement continue sur cette voie périlleuse. Néanmoins, 18 ans après le plaidoyer de culpabilité de Faris, nous n’avons plus à nous demander si Faris est réellement coupable d’un crime. Nous sommes maintenant confrontés à l'impensable question de savoir s'il peut être puni pour un crime qui ne s'est pas encore produit.
La peine de 20 ans de Faris est maintenant presque achevée, puisqu’aujourd’hui purge habituellement 85% de son incarcération dans le système fédéral. Pourtant, les mêmes autorités qui ont inventé son soi-disant crime ont maintenant fait valoir devant un juge fédéral que Faris devrait être déchu de sa citoyenneté américaine et déporté ou - pire encore - maintenu en prison pour une durée indéterminée, même s'il aura bientôt purgé sa peine.
Le gouvernement peut-il s'en tirer comme ça ?
La réponse courte: non. La réponse plus longue est que le MJ Trump, qui devrait se méfier des dangers des faux crimes et des coupes constitutionnelles, a abandonné sa fidélité professée aux principes premiers.
RépondreSupprimerQuels sont ces principes ? C’est un terrain vierge et dangereux sur lequel l’administration Trump cherche à marcher. En vertu de la législation en vigueur, la citoyenneté naturalisée ne peut être perdue que par renonciation volontaire, volontaire, explicite et intentionnelle, ou par le gouvernement, prouvant l’existence d’une fraude présumée et intentionnelle perpétrée sur le gouvernement afin d’obtenir la citoyenneté.
La Cour suprême a encore renforcé ces principes de citoyenneté naturalisés en 2017, dans une affaire que les autorités fédérales ont choisi de ne pas aborder lorsqu'elles ont déposé leur demande de radiation de la citoyenneté de Faris ou de son maintien au-delà de sa peine.
Aucune loi n'autorise le retrait de la citoyenneté par crainte d'un préjudice futur ou pour un comportement survenu après l'octroi de la citoyenneté, et le ministère de la Justice le sait bien. Il n’existe pas non plus de loi autorisant une incarcération au-delà de la peine prononcée une fois la peine purgée. Le Congrès pourrait certes prévoir dans la loi le retrait de la citoyenneté et l’expulsion des personnes nées à l’étranger reconnues coupables de certains crimes, mais ces dispositions ne pourraient s’appliquer qu’aux crimes commis après que le Congrès a expressément prévu les peines encourues lorsqu’elles sont déclarées coupables.
De plus, le gouvernement ne peut pas demander à un juge d’augmenter la peine d’un crime commis après la perpétration de ce crime, sans violer les garanties d’une procédure régulière. Et l'exécutif ne peut à lui seul renforcer ou menacer d'améliorer une peine à tout moment et pour quelque raison que ce soit.
En vertu de la doctrine de la séparation des pouvoirs - qui fait partie intégrante de la Constitution - seul le Congrès peut imposer des sanctions en cas de violation de la loi fédérale, et non de l'exécutif ou du juge.
En vertu de la doctrine de la séparation des pouvoirs - qui fait partie intégrante de la Constitution - seul le Congrès peut imposer des sanctions en cas de violation de la loi fédérale, et non du pouvoir exécutif ou du pouvoir judiciaire.
Et en vertu des principes de base d'une procédure régulière en Amérique, les gens ne sont pas punis pour ce que le gouvernement craint de faire. Constitutionnellement, ils ne peuvent être punis que pour des crimes pour lesquels ils ont été légalement reconnus coupables - des crimes jadis réels, mais malheureusement, dans l'Amérique orwellienne post-11 septembre, de faux crimes également.
Les États-Unis sont nés d'un acte de sécession politique violente de la Grande-Bretagne. Cette violence a commencé intégralement après que Thomas Jefferson a expliqué dans la Déclaration d'indépendance non seulement que nos droits à une procédure régulière sont naturels - il les a qualifiés d '"inaliénables" - mais également que les colons en ont assez d'être accusés par la Couronne pour "des infractions présumées "Qui étaient" étrangers à notre Constitution. "
Le jour où nous agissons pour punir les citoyens - citoyens ou non - à cause de ce que le gouvernement craint de faire, c'est le jour où toute liberté sera perdue. Et le jour où le gouvernement punit d'une manière non conforme à la loi, c'est le jour de l'abolition du gouvernement.
Reprinted with the author’s permission
https://www.lewrockwell.com/2019/06/andrew-p-napolitano/trashing-the-constitution-again/
75 groupes conservateurs s'opposent à l'idée d'une "taxe sur le carbone" après que Mitt Romney ait été "examiné"
RépondreSupprimer12 juin 2019
Michael Bastasch
Des dizaines de groupes conservateurs ont signé une lettre ouverte opposée au projet de loi «n'importe quelle taxe sur le carbone» que le Congrès pourrait examiner.
La lettre intervient après que le sénateur républicain de l'Utah, Mitt Romney, a déclaré aux journalistes qu'il "examinait" une facture de taxe sur le carbone.
"Une taxe sur le carbone augmente le coût de tout ce que les Américains achètent et réduit leur salaire net", ont écrit des groupes conservateurs.
Soixante-quinze groupes conservateurs ont signé une lettre publique au Congrès s'opposant aux journées «n'importe quelle taxe sur le carbone» après que le sénateur républicain de l'Utah, Mitt Romney, aurait ouvertement envisagé de soutenir une facture de taxe sur le carbone.
"Nous nous opposons à toute taxe sur le carbone", ont écrit des groupes conservateurs, menés par Américains pour la réforme fiscale, dans une lettre publiée en ligne lundi matin.
Bien que la lettre ne vise pas spécifiquement Romney, elle vise à avertir les républicains que leur base conservatrice n’est pas en faveur de la taxation des émissions de dioxyde de carbone. (CONNEXES: Mike Bloomberg consacre 500 millions de dollars à la fin de l’industrie du charbon et à l’influence des élections de 2020)
Seuls quelques législateurs du GOP ont soutenu la législation sur la taxe sur le carbone, mais certains groupes ont de plus en plus fait pression pour que les républicains soutiennent une taxe sur le carbone comme moyen de lutter contre le réchauffement de la planète.
Les grandes entreprises, y compris les sociétés pétrolières et gazières, ont de plus en plus adopté une taxe sur le carbone. Les propositions exactes varient, mais les partisans poussent souvent les taxes sur le carbone en échange de réductions d'impôts ailleurs, de moins de réglementations ou d'un bouclier de responsabilité contre les poursuites liées au changement climatique.
Le sénateur américain Mitt Romney (R-UT) a parlé lors de la conférence de presse de la loi "Tobacco to 21", qui ferait passer l'âge minimum pour acheter des produits du tabac et des cigarettes électroniques à 21 ans, à Capitol Hill, à Washington, aux États-Unis, le 8 mai 2019. REUTERS / Aaron P. Bernstein.
Le sénateur américain Mitt Romney (R-UT) a parlé lors de la conférence de presse de la loi "Tobacco to 21", qui ferait passer l'âge minimum pour acheter des produits du tabac et des cigarettes électroniques à 21 ans, à Capitol Hill, à Washington, aux États-Unis, le 8 mai 2019. REUTERS / Aaron P. Bernstein.
Romney a récemment confié à E & E News qu'il "examinait" la législation relative à la taxe sur le carbone présentée par le sénateur démocrate Chris Delaware - la même législation co-parrainée par l'ancien sénateur Arizona du GOP, Jeff Flake, en 2018.
"Les impôts n'ont jamais été mon intention, mais nous verrons ce qu'il a à dire", a déclaré Romney. "J'aimerais beaucoup que nous réduisions nos émissions de carbone au niveau mondial, et nous verrons si cela pourrait aider.
Les remarques de Romney ont suscité une vive réaction de la part des activistes conservateurs opposés aux taxes sur le carbone, qui vont frapper durement les Américains de la classe ouvrière et qui ne font que très peu, voire rien, pour lutter contre le réchauffement climatique.
RépondreSupprimer"Il n'est pas surprenant qu'un homme avec un ascenseur de voiture dans son garage envisage de supporter une taxe qui nuirait au travailleur tout en profitant aux changeurs de l'argent des temples financiers de Wall Street", Dan Kish, membre distingué de l'Institut for Energy Research (IER), a déclaré à la Daily Caller News Foundation.
Le bureau de Romney a déclaré que Romney ne s’était engagé dans aucune législation visant à taxer les émissions de gaz carbonique. Même si Romney souscrivait à une telle politique, cela irait à l’encontre de son parcours à la présidentielle de 2012, où il s’est élevé contre la «guerre contre le charbon» de l’administration Obama.
"Le sénateur Romney écoute et discute avec plusieurs de ses collègues de diverses propositions, et il ne s’est jamais engagé dans une législation", a déclaré à TheDCNF, la porte-parole de Romney, Liz Johnson.
Americans for Tax Reform Le fondateur et président Norquist s'exprime lors d'un entretien sur scène avec le rédacteur en chef de The Atlantic, au Atlantic Economy Summit, à Washington
Americans for Tax Reform Le fondateur et président Grover Norquist (à gauche) s'exprime lors d'un entretien sur scène avec le rédacteur en chef de The Atlantic, Derek Thompson, lors du Sommet sur l'économie atlantique à Washington, le 18 mars 2014. REUTERS / Jonathan Ernst.
Même avec l'appui du GOP, un projet de loi sur la taxe sur le carbone ne devrait pas être adopté par le Congrès ni par le président Donald Trump. Les militants conservateurs voient toutefois dans la législation sur la taxe sur le carbone un attrait permanent pour les républicains modérés cherchant à obtenir des points politiques avec les libéraux.
«Une taxe sur le carbone augmente le coût de tout ce que les Américains achètent et réduit leur salaire net. Une taxe sur le carbone augmente le pouvoir, le coût et l'intrusion du gouvernement dans nos vies », ont écrit lundi les groupes conservateurs aux législateurs.
Jusqu'à présent, les projets de loi sur la taxe sur le carbone parrainés par GOP n'ont été nulle part au Congrès. Le projet de loi présenté par Coons et Flake lors du dernier congrès n'avait que peu de succès et un projet de loi sur la taxe carbone soumis par l'ancien représentant de la Floride, Carlos Curbelo, a fait long feu après avoir perdu sa candidature à la réélection de 2018.
https://site-qui-refuse-les-commentaires-vrais
Proposition du Royaume-Uni: réduction de 75% des salaires pour lutter contre le changement climatique
RépondreSupprimer12 juin 2019
James Delingpole - Le parti de l’opposition ouvrière britannique, qui a une chance réelle de remporter les prochaines élections britanniques, envisage sérieusement une proposition de groupe de réflexion visant à réduire radicalement les heures de travail et les salaires afin de réduire l’empreinte carbone de chacun.
Prévoyez une semaine de travail de 10 heures avec une réduction de salaire de 75% sous Travail
Martine Berg Olsen
Lundi 10 juin 2019 7:54
Le parti travailliste envisage de créer une semaine de travail de 10 heures et de réduire les salaires de 75% pour lutter contre le changement climatique. Le rapport radical intitulé Les limites écologiques du travail du groupe d’autonomie indique que, si les émissions actuelles de carbone ne sont pas réduites, il y aurait une "diminution sans précédent de l’activité économique".
Selon lui, la semaine de travail durable serait probablement «bien inférieure à 10 heures par semaine».
Le chancelier fantôme John McDonnell, qui a déjà soutenu une semaine de travail de quatre jours, a déclaré: "Il s'agit d'une contribution essentielle au débat croissant autour du temps libre et de la réduction de la semaine de travail." Leo Murray, conseiller du ministre du Trésor, Clive Lewis, a déclaré : 'J'aime ça prendre beaucoup.'
Lewis avait déjà soutenu un autre rapport controversé du groupe sur la réduction de la semaine de travail.
…
En savoir plus: https://metro.co.uk/2019/06/10/plan-10-hour-working-week-75-paycut-labour-9878450/
Le rapport complet, «Les limites écologiques du travail», est disponible ici.
Sous le thème "autres considérations", les auteurs du rapport craignent que la réduction proposée ne soit pas assez profonde, car les personnes travaillant moins longtemps pourraient être plus productives pendant leur travail, ce qui annulerait une partie des "avantages" écologiques de l'environnement. une semaine de travail plus courte.
Ce n'est pas une proposition marginale. Le chancelier fantôme John McDonnell, qui a salué la proposition, est une figure importante du parti travailliste et a de grandes chances d’être nommé responsable du système bancaire et de l’économie britanniques après les prochaines élections.
Le rapport évite des questions qui pourraient intéresser certains travailleurs, comme par exemple la manière dont les travailleurs britanniques déjà pauvres en carburant sont censés chauffer leur maison et nourrir leur famille avec 75% moins d’argent, et comment ils sont censés payer leurs hypothèques et leurs factures (peut-être toutes les hypothèques seront pardonnées ?), mais je doute que les politiciens considérant cette proposition de politique radicale aient personnellement vécu la vraie faim, la pauvreté ou le froid
https://site-qui-refuse-les-commentaires-vrais
Étude: le méthane d'origine animale est un point essentiel dans le climat mondial
RépondreSupprimer12 juin 2019
Via No Tricks Zone: Agrobiologiste et chercheur scientifique, le docteur Albrecht Glatzle, auteur de plus de 100 articles scientifiques et de deux manuels, a publié des recherches qui montrent:
"... il n’existe aucune preuve scientifique, que ce soit, du bétail domestique pouvant représenter un risque pour le climat de la Terre" et "le potentiel de réchauffement des émissions de GES anthropiques [gaz à effet de serre] a été exagéré".
Le bétail domestique et son rôle présumé dans le changement climatique
Abstrait:
«Notre principale conclusion est qu'il n'y a pas besoin d'émissions anthropiques de gaz à effet de serre (GES), et encore moins d'émissions d'origine animale, pour expliquer le changement climatique. Le climat a toujours changé et même le réchauffement actuel est probablement dû à des facteurs naturels.
Le potentiel de réchauffement des émissions anthropiques de GES a été exagéré et les effets bénéfiques des émissions de gaz carbonique d'origine humaine sur la nature, l'agriculture et la sécurité alimentaire mondiale ont été systématiquement supprimés, ignorés ou au moins minimisés par le GIEC (Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat). autres agences des Nations Unies.
En outre, nous exposons d’importantes lacunes méthodologiques dans les instructions et les applications du GIEC et de la FAO (Organisation pour l’agriculture et l’alimentation) visant à quantifier la part artificielle des émissions d’émissions autres que le gaz carbonique et les gaz à effet de serre provenant d’agro-écosystèmes.
Cependant, jusqu’à présent, ces erreurs fatales se sont inexorablement propagées dans la littérature scientifique.
Enfin, nous n'avons pu trouver d'empreinte digitale claire sur les animaux domestiques, ni dans la répartition géographique du méthane ni dans l'évolution historique de la concentration moyenne en méthane atmosphérique. "
viande de boeuf de bétail de vaches
Points clés:
1. «Pour obtenir une part effective des émissions provenant des écosystèmes gérés par l'homme, il faut soustraire les émissions de base des écosystèmes natifs respectifs ou des écosystèmes gérés avant le changement climatique de celles des agro-écosystèmes actuels (Figure 1). 4) L'omission de cette correction entraîne une surestimation systématique des émissions de gaz à effet de serre autres que le gaz carbonique produites par l'exploitation. Les publications scientifiques ne prennent généralement pas cette considération en compte, car les émissions de CH4 et de N2O provenant de l'exploitation sont systématiquement interprétées à un niveau de 100% comme une source supplémentaire de GES anthropiques, tout comme le gaz carbonique issu des combustibles fossiles. Comme les directives du GIEC [2007] mentionnées sont prises pour référence ultime, cette grave déficience méthodologique se propage dans la littérature scientifique. ”
2. «Les zones de fumier concentrent l'azote ingéré des endroits disséminés dans le pâturage. Nichols et al. [2016] n’ont pas trouvé de différence significative entre les facteurs d’émission des parcelles et le reste du pâturage, ce qui signifie que la même quantité d’oxyde nitreux est émise, que l’herbe passe ou non de l’intestin du bétail. Cependant, le GIEC et la FAO considèrent à tort que tout l'oxyde nitreux qui s'échappe du fumier est né du bétail et donc d'origine humaine. ”
RépondreSupprimer3. «Entre 1990 et 2005, la population bovine mondiale a augmenté de plus de 100 millions de têtes (selon les statistiques de la FAO). Pendant ce temps, la concentration de méthane atmosphérique s'est complètement stabilisée. Ces observations empiriques montrent que l'élevage n'est pas un acteur significatif du budget mondial du méthane [Glatzle, 2014]. Cette appréciation a été corroborée par Schwietzke et al. [2016] qui a suggéré que les émissions de méthane provenant de l'industrie des combustibles fossiles et des infiltrations géologiques naturelles ont été de 60 à 110% supérieures à ce que l'on pensait auparavant. "
4. «Si l’on examine la distribution mondiale des concentrations moyennes de méthane mesurée par ENVISAT (Environmental Satellite) [Schneising et al., 2009] et la distribution géographique de la densité animale domestique, respectivement [Steinfeld et al., 2006], la relation entre les deux critères a été trouvée [Glatzle, 2014]. ”
5. «Bien que les estimations les plus récentes d'émissions mondiales de méthane annuelles par le bétail soient 11% plus élevées que les estimations précédentes [Wolf et al., 2017], nous ne voyons toujours pas d'empreinte discernable du bétail dans la distribution mondiale de méthane (Figure 6). "
6. «L'idée d'une contribution considérable de l'élevage au budget global du méthane repose sur des calculs théoriques ascendants. Même dans des études récentes, par exemple [Mapfumo et al., 2018], seules les émissions par animal sont mesurées et multipliées par le nombre d'animaux. Les interactions écosystémiques et les lignes de base dans le temps et dans l'espace sont généralement ignorées [Glatzle, 2014]. Bien qu'un certain nombre de publications, telles que l'excellent rapport le plus récent de FCRN (Food Climate Research Network) [2017], discutent en détail des potentiels de séquestration écosystémiques et des sources naturelles de GES, elles ne tiennent pas compte des émissions de base des écosystèmes natifs respectifs. évaluer les émissions anthropiques de GES autres que le gaz carbonique provenant d'écosystèmes gérés. Cela implique une surestimation systématique du potentiel de réchauffement, en particulier en supposant que le climat est très sensible aux émissions de GES. »
8. «La colonne des chefs de la LA [Zwick, 2018], malgré l'hypothèse d'un impact majeur du méthane sur le réchauffement de la planète, est arrivée à la conclusion:« Lorsque le méthane est placé dans un contexte plus large que réducteur, nous avons tous pour arrêter de blâmer le bétail («vaches») pour le changement climatique »"
7. «Nous n'avons pu trouver d'empreinte digitale sur les animaux domestiques, ni dans la répartition géographique du méthane ni dans l'évolution historique de la concentration de méthane atmosphérique. En conséquence, dans les sciences, la politique et les médias, l’impact des émissions anthropiques de GES sur le climat a été systématiquement surestimé. Les émissions de GES provenant du bétail ont généralement été interprétées isolément de leur contexte écosystémique, ignorant leur importance négligeable au sein de la balance globale. Il n’existe aucune preuve scientifique, que ce soit, que le bétail domestique pourrait représenter un risque pour le climat de la Terre. "
https://site-qui-refuse-les-commentaires-vrais
Les moustiques-péteurs et les fourmis-péteuses se comptent par millions de milliards dans le monde !
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RépondreSupprimerBUDGET AUTO : POSSÉDER UNE VOITURE COÛTE DE PLUS EN PLUS CHER
par MARIE-EVE WILSON-JAMIN
12/06/2019
88% des Français surveillent de très près leurs dépenses liées à leur véhicule
Posséder une voiture en France coûte de plus en plus cher et certains renoncent à leurs loisirs pour s'offrir un véhicule, indipensable pour 73% des personnes interrogées.
Le budget auto des Français augmente et plombe certains ménages français, selon l’étude barométrique annuelle Les Français et l’automobile, réalisée par le cabinet Kantar pour le compte du site spécialiste Aramisauto.
Si elle est indispensable pour plus de 70% des Français, la voiture coûte cher
Premier constat, la voiture est jugée indispensable par 73% de la population. Mais dans le même temps, 88% des 1 000 personnes interrogées déclarent surveiller de très près les dépenses liées à leur véhicule. Et pour cause, ce serait l'un des postes les plus importants avec le logement et l'alimentation, selon l'Insee. Pour rappel, le budget de l’automobiliste a augmenté jusqu'à 12,7% en 2018 d’après le baromètre annuel de l'Automobile Club Association, quand l’inflation s’établissait à 1,8%.
Si les citadins peuvent plus facilement s'en passer, dans les zones périurbaines et rurales, dépourvues de transports en commun, le véhicule personnel est considéré comme indispensable par, respectivement, 87% et 95% des habitants. Et cette dépendance a des conséquences. Avec la hausse des frais liés à la voiture (carburant, entretien, contrôle technique) 50% des sondés doivent changer leurs habitudes et parfois renoncer à leurs trajets. D'autres automobilistes tenteront d'en limiter au maximum le kilométrage.
29% renoncent aux loisirs pour s'offrir une voiture
Quant à l'achat d'un véhicule, là aussi, pour certains les efforts sont grands : 29% avouent avoir dû réduire leurs loisirs, leurs sorties, et les achats de vêtements, Si 51% expliquent descendre en gamme pour pouvoir s’offrir ce "luxe", 38% optent pour une occasion récente. Enfin, 44% envisagent le low-cost comme une Dacia.
Au final, la prime à la conversion, mise en place en 2018, est donc considérée comme une aide financière très appréciée pour ceux qui veulent choisir un nouveau véhicule plus respectueux de l’environnement. Selon le cofondateur d’Aramisauto, Guillaume Paoli, « C’est un vrai succès, et un vrai engagement financier » : 11% des ventes du site sont liées à la prime à la conversion dont 88% concernent des ménages non imposables.
http://www.economiematin.fr/news-budget-auto-voiture-coute-cher