- ENTREE de SECOURS -



mercredi 5 juin 2019

Électricité : l’incompréhensible déni de réalité

Les énergies renouvelables ne parviendront jamais à remplacer les énergies pilotables. Faut-il attendre un blackout pour s’en rendre compte ?


Par Michel Negynas.
5 JUIN 2019


Contre l’avis de la Cour des comptes, des Académies des Sciences et des Technologies, des sociétés savantes de Physique et de Chimie, de la Fédération des ingénieurs et scientifiques de France (un million d’inscrits), des Commissions d’experts comme la Commission Percebois et  Grandil, malgré la faillite patente de l’Energiewende allemande, malgré la fronde contre la taxation de l’énergie, nos gouvernements persistent et signent : on remplacera des centrales nucléaires et à charbon, pilotables à la demande, par des éoliennes et des panneaux solaires produisant de manière aléatoire.

Les éoliennes et les panneaux solaires (les ENR) sont un surinvestissement qui ne sert à rien puisqu’il faut de toute façon d’autres centrales, pilotables à la demande, pour assurer l’alimentation du réseau les nuits d’hiver sans vent, c’est-à-dire au maximum des besoins. Cette situation n’est pas rare. Nous la connaissons presque chaque hiver, parfois pendant plusieurs jours, et sur toute l’Europe. Le stockage ne sera jamais une solution. Ce n’est même pas une question d’innovation technologique, c’est une question d’ordre de grandeur de l’énergie à fournir : à titre d’exemple, nos stations hydrauliques en totalité ne représentent que quelques heures de stockage de consommation à la pointe.

POURQUOI CETTE PERSISTANCE DANS L’ERREUR ?

Sur le plan environnemental, ces énergies, intermittentes et aléatoires, sont contre-productives :

-  Pas de réduction de gaz carbonique en France où l’électricité est déjà dé-carbonée. Au contraire, à terme, bien plus de recours à des centrales au gaz, seules capables de compenser les fluctuations à très court terme de l’éolien et du solaire. Cette particularité minimise même fortement les gains en émission pour un réseau alimenté en énergie fossile, par suite du très mauvais rendement de centrales contraintes à des marches chaotiques, loin de leur optimum.  

-  Utilisation inutile de millions de tonnes de silicium, béton, acier, cuivre, terres rares, et surtout résines impossibles à recycler.

-  Danger pour les animaux volants, nuisance pour les riverains.

-  Dégradation des paysages à grande échelle.

Sur le plan financier, pour que ce soit rentable, il faudrait que le coût complet de ces ENR (investissement plus exploitation) et les surcoûts associés (lignes électriques supplémentaires, équipements de stabilité du réseau) soit inférieur au coût marginal des centrales classiques (coût du KWh supplémentaire produit par rapport à une situation sans ENR) puisqu’elles sont un surinvestissement non indispensable. De plus, l’obligation pour le réseau d’acheter tout KWh produit par les ENR même s’il n’en n’a pas besoin diminue la production des autres centrales, donc augmente fatalement leurs coûts, et obère leur rentabilité.

Les subventions aux ENR étant généreuses, tous les producteurs abandonnent les programmes de centrales classiques pour profiter de cette manne. Si on continue comme cela, on n’aura plus d’ENR (une éolienne dure 20 ans, et personne ne veut les remettre à niveau en fin de vie, voir l’Allemagne) et on n’aura plus non plus de centrales classiques. Alors que le régulateur du réseau électrique européen (ENTSOE) tire déjà la sonnette d’alarme sur un risque de manque de capacités, tous les États européens annoncent qu’ils vont arrêter des centrales classiques… cherchez l’erreur.

L’ÉLECTRICITÉ, UNE FUTURE DENRÉE RARE ?

La France faisait un peu figure d’exception avec un prix du KWh inférieur de moitié à l’Allemagne. La programmation pluriannuelle de l’énergie (en consultation) prévoit de copier le programme allemand : 3 fois plus d’éolien, 5 fois plus de solaire. Logiquement, le prix de notre électricité s’alignera sur le prix allemand : il doublera.

Lorsqu’on pose la question au gouvernement de l’utilité de l’éolien et du solaire (cela a été fait à plusieurs reprises, lors de la consultation en 2018, ou à travers de lettres ouvertes), la réponse est toujours la même : pour diversifier les sources, en cas de risque systémique sur le nucléaire. Sauf que secourir une filière qui tourne comme une horloge depuis quarante ans par une filière dont la production est aléatoire, c’est évidemment absurde.

Les explications embarrassées des membres du gouvernement et des institutions gérant l’énergie en France sur la dernière augmentation sont bizarres. En réalité, le prix garanti par l’État est issu d’une équation surréaliste, où interviennent les prix du pétrole et du gaz, alors que notre électricité est à 85 % dé-carbonée. Le ministre de l’Écologie fustige les coûts d’EDF : ils ne représentent que 26 % du prix payé par le consommateur. Ce sont les coûts du réseau qui augmentent : les éoliennes et le solaire conduisent à installer des kilomètres de câbles car leur production n’est pas en général sur les lieux de consommation. Et la variabilité et l’absence d’inertie conduit à ajouter des dispositifs pour stabiliser le réseau.

Il faut bien entendu payer les subventions aux ENR ; c’était la CSPE qui s’en chargeait, la contribution carbone devait lui succéder. On ne sait plus très bien maintenant comment on va financer un doublement de l’éolien et un triplement du solaire (au bas mot, 120 milliards d’euros, d’après la Cour des comptes).

Mais il y a encore plus drôle, si l’on peut dire. Tous les producteurs se jettent sur les subventions aux ENR, et délaissent les centrales classiques pourtant indispensables. Les autorités du réseau prennent peur. Qu’à cela ne tienne. On va subventionner celles-ci également, via la possibilité pour elles de « vendre des capacités garanties ». C’est ce que le président de la Commission de Régulation de l’Électricité nomme pudiquement, « préserver la sécurité ». Une insécurité qui découle uniquement du développement injustifié et contre-productif des ENR. L’obligation pour les producteurs non EDF d’acheter des « capacités » va augmenter leurs coûts et baisser leur compétitivité. Les hausses de prix du tarif garanti servent aussi sans doute à les protéger.

En France, la seule libéralisation possible du marché de l’électricité aurait consisté à vendre les centrales d’EDF aux enchères. On ne peut en effet considérer un marché comme réellement concurrentiel si un producteur représente 85 % de la production. Mais dans les conditions actuelles, il est douteux qu’il se soit trouvé des preneurs.

Un tel déni collectif de réalité n’avait, à ma connaissance, jamais été atteint, alors que la problématique peut parfaitement être comprise par un enfant de 12 ans.

73 commentaires:

  1. Une électricité pour les riches, une bougie pour les pauvres.

    Primo, Le gaz carbonique n’est pas un poison !

    mardi 21 avril 2015

    https://huemaurice5.blogspot.com/2015/04/le-co2-nest-pas-un-poison.html

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    EFFET de SERRE - GAZ CARBONIQUE et OXYDE d'AZOTE

    samedi 23 novembre 2013

    https://huemaurice5.blogspot.com/2013/11/effet-de-serre-gaz-carbonique-et-oxyde.html

    Secundo, les mers & les océans relâchent des milliards de milliards de fois plus de gaz dans l'atmosphère.

    Tertio, TOUS les gaz se recyclent

    Conclusion: C'est une escroquerie (de plus) que de faire payer l'air.

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  2. Amérique - Dumb, Dumber et Dumbest


    Par Donald Jeffries
    Garder l'irréel
    5 juin 2019


    Je retire complètement les gants ici. J'ai déduit que les Américains collectivement sont assez crédules et naïfs. J’ai invoqué des comparaisons avec le film Idiocracy de Mike Judge. Mais il est temps de simplement le dire comme il se doit: la majorité des Américains d’aujourd’hui sont stupides.

    Cela n'inclut pas le nombre croissant de personnes «éveillées», mais inclut certainement les «réveillés» nouvellement inventés, qui semblent dormir plus profondément que le dupe américain moyen. Ironiquement, bon nombre de ces Américains «réveillés» sont «fous comme des fous» mais leur colère est exclusivement concentrée sur Donald Trump. Ils pensent que s'ils peuvent le faire partir, les choses vont revenir à la normale. "Normal" est le type de corruption continue que j'ai décrite dans Hidden History.

    Mon évaluation sombre a des preuves scientifiques à l'appui. Même des sources traditionnelles rapportent que les scores de QI dans le monde ont diminué depuis des décennies. Selon certaines estimations, le QI baisserait d'environ 7 points pour chaque génération suivante née après 1975. Ces études étaient centrées sur la Norvège ou d'autres régions du monde occidental. Je pense que le QI américain moyen, si tant est qu'il y en ait eu une, a diminué plus fortement que cela.

    Il y a beaucoup de facteurs ici. L'augmentation de la consommation d'aliments transformés, d'agents de conservation toxiques, de produits à base d'OGM et le stress constant auquel le monde moderne est soumis ont tous contribué. Les films et les émissions de télévision insipides et offensants, les médias malhonnêtes dirigés par l'État et les systèmes scolaires publics mal dirigés ont joué un rôle encore plus crucial dans la lutte contre la foule. La propagande sans arrêt - vraiment un lavage de cerveau - a transformé de nombreux Américains en moutons irréfléchis et irréprochables, dépourvus d’empathie et de boussole morale.

    Considérez tout ce que les Américains ont permis au cours des trente dernières années. Ils sont tombés amoureux de "l’invasion" du non-sens du Koweït et étaient prêts à envoyer leurs enfants mourir dans un endroit qu’ils n’auraient pas pu localiser sur une carte la semaine précédente. Ils ont également évoqué la ligne médiatique dominante selon laquelle Saddam Hussein était un fou «brutal», alors qu’ils n’auraient pas pu l’identifier auparavant. Ils sont tombés amoureux de la lignée des bébés dans les incubateurs de la fillette en pleurs et n’ont pas lâché cligner des yeux quand elle a été exposée en tant que fille de l’ambassadeur du Koweït faisant pression pour la guerre.

    Assez d’Américains ont acheté la charade obséquieuse de Bill Clinton «Je sens votre douleur» pour l’élire président deux fois. Ils ont ignoré le nombre croissant de cadavres et la corruption scandaleuse qui a commencé dans l'Arkansas pendant son mandat de gouverneur, aussi minutieusement que l'ont fait les grands médias traditionnels.

    Nous avons traversé une de ces lignes morales importantes dans le sable lorsque la majorité des Américains sont restés silencieux devant des blindés qui ont démoli une maison (répandue dans les médias comme un "complexe") et ont versé à l'intérieur du gaz mortel interdit par la Convention de Genève, tuant des civils cela comprenait un grand nombre d'enfants. Ce qui s’est passé à Waco aurait dû aboutir à des accusations de mise en accusation contre Bill Clinton, suivies d’inculpations pénales. Au lieu de cela, l'inventeur de la politique d'identité a été réélu et a continué de recueillir près de 100% du soutien d'Hollywood.

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  3. Les Américains ont accepté la théorie ridicule de la bombe d’engrais magique à Oklahoma City, et se sont réjouis de l’exécution, en un temps record, du pigeon Timothy McVeigh. Ils ont avalé la théorie de la mort accidentelle selon laquelle «JFK Jr. était imprudent» en 1999, et personne n'a exposé la vérité sur ce dernier assassinat de Kennedy jusqu'à ce que j'aie enquêté et écrit à ce sujet dans Hidden History.

    Le 11 septembre 2001, nous avons franchi une ligne sur laquelle il sera très difficile de s’éloigner. Jusque-là, aucune tour à ossature d'acier ne s'était effondrée après l'incendie. Ce jour-là, trois personnes ont fait, y compris le bâtiment 7, qui n'a été touché par aucun avion. Depuis lors, aucun bâtiment n'a été construit. Une journée magique en effet, qui a dévoilé la nouvelle stupidité collective des Américains alors qu’ils regardaient fixement leurs écrans de télévision alors qu’un «expert» militaire après qu’un «expert» militaire leur avait dit que les «terroristes» avaient agi de la sorte et que rien ne serait jamais arrivé. être le même.

    La majorité des Américains ont accepté que dix-neuf Arabes fous, qui n'étaient certes pas qualifiés pour piloter des avions, exécutaient ce complot terroriste sans faille, menés par le nouvel imbécile, Oussama Ben Laden, de son repaire de cavernes secret. L'odieux et inconstitutionnel Patriot Act fut rapidement adopté, pratiquement aucune personnalité publique ne s'y opposant, et le département inconstitutionnel Homeland Security fut créé. Les «zones de liberté d'expression» ont fait fureur, sans aucune protestation en dehors du monde des «théoriciens du complot».

    Avant le 11 septembre, la majorité des Américains acceptaient les résultats de l'élection présidentielle douteuse de 2000, qui comportait la première mention répandue de «chads pendants» et de suggestions de fraude électorale. J'ai exposé la longue histoire de la corruption électorale américaine dans Hidden History. L'urne a perdu toute signification qu'il y a longtemps. Même s'ils ont compté les votes honnêtement, aucun candidat honnête n'est jamais autorisé à se présenter à la présidence d'un parti «opposé». Comme Huey Long l'a dit avant de le tuer, vous avez le choix entre Tweedledee et Tweedledum.

    Dubya Bush, malgré de graves carences en tant que politicien, a été élu deux fois par le peuple américain. Il a continué à démanteler ce que certains d'entre nous appelons America 1.0, un travail que Bill Clinton a accompli. Les passages illégaux illimités à partir de la frontière sud, l’élargissement des programmes pour les travailleurs Visa, la cupidité sans précédent des entreprises et l’affaiblissement accru des syndicats ont contribué à une disparité criante de la richesse, à une baisse des salaires et des avantages sociaux des pauvres et de la classe ouvrière.

    L'élection de Barack Obama a représenté un couronnement politiquement correct. Le mantra «Sentez votre douleur» de Bill Clinton a trouvé tout son sens dans l’élection d’un homme à moitié noir avec peu d’histoire personnelle et un secret monumental entourant son passé. L’élection d’Obama a pour la première fois mis en lumière le fossé culturel désormais énorme dans le pays. La moitié de l’Amérique était ravie de voir quelqu'un qui n'était pas blanc élu président, sans autre raison que le fait qu'il ne soit pas blanc. Toute critique d'Obama, qui a continué la guerre ignoble sans pitié, les politiques sociales de ses prédécesseurs, a été immédiatement qualifiée de «raciste».

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  4. Obama a provoqué la colère de ce segment de la population qui a souscrit à la rhétorique populiste de Donald Trump. De nombreux indépendants comme moi ont été attirés par les commentaires souvent révolutionnaires de Trump. De toute évidence, à mi-parcours de son premier mandat, Trump a encore divisé le pays et est devenu un paratonnerre pour tous les discours politiques. Les mêmes personnes qui aimaient Obama pour leur non-blanc et rien d'autre, méprisent Donald Trump parce qu'il ressemble tellement aux vieux Blancs qui dirigeaient ce pays.

    Ceci est simplement un échantillon de la tyrannie que les Américains ont autorisée, tout récemment. J'aurais pu mentionner le cadeau d'entreprise ultime, alors que, malgré tous les sondages, 95% d'entre eux se sont opposés à ce que les plus grandes banques, celles dites «trop grandes pour faire faillite» par les médias gérés par l'État, aient été sauvées par les contribuables après la crise économique de 2008 . Si les banques veulent être renflouées, les Américains resteront polis. Il n'y aura pas de jaquettes dans les rues d'Amérique 2.0.

    Un mouvement comme le Brexit ne serait pas possible en Amérique, car une majorité de nos citoyens adhèrent encore au récit collectif, qu'il n'y a pas de complot et que nos dirigeants sont fondamentalement des gens honnêtes et bien intentionnés. L'Islande a jeté ses banquiers en prison. J’ai essayé d’amener les Américains à comprendre même la nature contrefaite de notre système bancaire fractionnaire criminel, mais la plupart ne s’y intéressent pas.

    Je vis dans l'un des comtés les plus riches du pays. Nos routes sont de qualité Tiers Monde et nos réseaux électriques sont une blague. L'électricité sort ici par vent léger ou par simple pluie. De nombreux membres du Congrès empruntent les mêmes routes que moi et pourtant, ils ne font rien pour les améliorer. Notre infrastructure n'a pas été mise à jour efficacement depuis les années Eisenhower. Au moins Trump a parlé de cela, mais encore une fois rien n'a été fait. C’est ce que nos médias dirigés par l’État font.

    Ce n’est pas agréable d’appeler des gens stupides. Après tout, vous vous appelez essentiellement supérieur et élitiste. Mais que pouvez-vous dire de plus à propos des personnes qui ont adhéré à la théorie du complot «collusion russe» sanctionnée par les grands médias et dirigée par les médias? Les mêmes Américains qui ne peuvent pas accepter que le 11/9 était un "travail intérieur" croient que "les Russes" ont en quelque sorte "piraté" notre élection et nous ont nié toute opportunité merveilleuse que la présidence d'Hillary Clinton aurait représentée.

    Nous connaissons les faits sur le manque d’intelligence dans notre pays depuis assez longtemps. Toutes ces interviews de «personnes dans la rue», réalisées par tous, de Jay Leno à Mark Dice, «théoricien du complot», démontrent trop clairement à quel point l'Américain moyen est ignorant. Beaucoup d'Américains semblent se délecter de leur stupidité.

    Si le film de Mike Judge, Idiocracy, est à présent perçu comme une prophétie malheureuse, que prouve l’énorme popularité du film Dumb and Dumber ?

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  5. Reprinted with the author’s permission.

    Donald Jeffries [send him mail] is the author of the best seller "Hidden History: An Expose of Modern Crimes, Conspiracies, and Cover-Ups in American Politics," published in November 2014 by Skyhorse Publishing. Author of the 2007 sci-fi/fantasy novel "The Unreals," which has been described as a cross between The Wizard of Oz and The Twilight Zone, and compared to A Confederacy of Dunces and classic Russian literature. A second edition of "The Unreals" was published in February 2015 by Pocol Press. Long time JFK assassination researcher. Marketing more fiction and nonfiction, including a book about bullying and the social hierarchy, and a book about the Natalee Holloway case. His latest book is Survival of the Richest.

    https://www.lewrockwell.com/2019/06/donald-jeffries/america-dumb-dumber-and-dumbest/

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  6. Les pirates informatiques ont une emprise sur Baltimore


    Arnaud Lefebvre
    5 juin 2019


    Plusieurs villes américaines luttent contre les pirates informatiques. Baltimore a rejoint ce mois-ci Atlanta, San Diego et Newark sur la liste des villes des Etats-Unis touchées par des attaques de ransomware ou logiciel de rançon.

    Au début du mois de mai, des pirates informatiques ont pénétré environ 10.000 ordinateurs du gouvernement de Baltimore. Les hackers ont ensuite réclamé une rançon d’environ 100.000 dollars en bitcoins pour libérer les machines. Il s’agit d’une attaque dite « de ransomware », lors de laquelle les pirates informatiques déploient des logiciels malveillants pour bloquer l’accès à un système informatique jusqu’à ce que le propriétaire paie une rançon.

    Par conséquent, les services publics de Baltimore, ville de 620.000 habitants située dans l’État du Maryland, sont en grande partie paralysés. Le gouvernement municipal refuse de payer la rançon. Les systèmes de messagerie électronique et les plates-formes de paiement du gouvernement infectés sont donc hors ligne.

    Cette situation risque de peser lourdement sur les finances de la ville. Les spécialistes craignent que d’autres attaques contre les gouvernements aient lieu prochainement.

    Manque de protection

    Les cybercriminels ont réclamé à Baltimore une rançon de treize bitcoins pour déverrouiller tous les systèmes saisis. Cela correspond à un montant de 100.000 dollars. Dans leur note, les hackers de Baltimore menacent d’augmenter la rançon si la ville ne paie pas dans les quatre jours. Toutes les informations contenues dans les ordinateurs seront supprimées définitivement si les autorités ne paient pas cette somme dans les dix jours.

    Le maire Bernard Young, en poste depuis début mai, a catégoriquement refusé et a chargé des spécialistes de restaurer les systèmes.

    Cependant, les coûts de cette opération sont élevés. Certains systèmes informatiques doivent être complètement reconstruits. Le conseil municipal souhaite également installer des mesures de sécurité supplémentaires lors de la restauration. Les autorités de Baltimore ont estimé que l’attaque pourrait coûter au moins 18,2 millions de dollars en revenus perdus et retardés et en coûts de restauration des systèmes infectés.

    Pour leur attaque, les pirates ont utilisé un ransomware appelé RobinHood , un programme malveillant qui rend impossible l’accès aux données du serveur sans clé numérique. Le virus RobbinHood exploite une vulnérabilité du code des systèmes Microsoft appelé EternalBlue. EternalBlue a été développé par l’agence américaine du renseignement NSA (American National Security Agency).

    Mais la ville de Baltimore aurait également pris des précautions insuffisantes. L’administration n’aurait pas réussi à effectuer les mises à jour requises. Selon Tyler Moore, professeur agrégé de cybersécurité à l’université de Tulsa, ces corrections auraient pu « considérablement limiter » les dégâts.

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  7. Baltimore n’est pas la première ville à être la cible d’une cyberattaque. En 2017, le ransomware WannaCry a infecté des dizaines de milliers d’ordinateurs dans 74 pays, dont la Russie, la Turquie, l’Allemagne, le Vietnam et les Philippines. Selon la société de sécurité informatique Recorded Future, plus de 170 cyberattaques ont été perpétrées aux États-Unis au cours des cinq dernières années.

    Stratégie rentable

    « Nous sommes face à un problème en augmentation exponentielle », a déclaré Katie Moussouris, fondatrice et directrice générale de Luta Security. Selon les experts, ce type d’attaque peut non seulement avoir des conséquences financières dévastatrices, mais peut également conduire à des situations mettant la vie des personnes en danger. Toute agence dépendant d’enregistrements numérisés pourrait être menacée, y compris les services d’urgence, les services d’eau, les services de santé, les systèmes de vote et l’éducation publique.

    Par conséquent, selon Moussouris, les villes devraient commencer à consacrer davantage de ressources à l’embauche d’experts en sécurité et pour implémenter des mesures de sécurité.

    « Dans les années à venir, les cybercriminels répéteront leurs tentatives auprès des gouvernements jusqu’à ce qu’ils en trouvent une instance vulnérable », a déclaré Tyler Moore. « Les attaquants ont découvert une stratégie rentable. »

    Selon Moore, certaines victimes choisissent de payer malgré toutes les objections éthiques et le manque de garanties en matière de rétablissement de l’accès des systèmes.

    Selon un rapport, les cyber-attaquants auraient collecté des millions de dollars en rançon ces dernières années.

    « Les grandes métropoles telles que Baltimore peuvent construire des murs de sécurité plus solides, mais les autorités locales ne disposent pas toujours des moyens financiers pour le faire », a souligné Hannah Quay-de la Vallée, technologue au Centre pour la démocratie et la technologie.

    « Ceux qui ne veulent pas payer pour mettre à niveau les systèmes en paieront le prix d’une manière ou d’une autre », a déclaré Alan R Shark, directeur exécutif de Public Technology Institute.

    « Baltimore a pris la bonne décision en refusant de payer, mais la crise peut durer des mois », a encore averti Avi Rubin, professeur d’informatique à l’université Johns Hopkins.

    https://fr.express.live/les-pirates-informatiques-ont-une-emprise-sur-baltimore/

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  8. Pékin fait sa première victime dans la guerre commerciale contre les USA


    12:29 05.06.2019


    Les autorités chinoises ont ouvert une enquête sur le plus grand service de livraison américain, FedEx, accusé de violer les droits et les intérêts des consommateurs chinois. Cette démarche fait suite à une plainte de la compagnie Huawei frappée par des sanctions sévères de la Maison-Blanche.

    Selon les observateurs, les Chinois comptent montrer qu'ils n'ont pas l'intention de subir les coups de Washington et sont prêts à riposter. L'arsenal chinois renferme des punitions potentiellement «terribles» pour les États-Unis, écrit le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

    Le géant américain du secteur de l'expédition FedEx est ainsi accusé par Pékin d'enfreindre les droits et les intérêts légitimes des clients chinois en transgressant des lois et des normes chinoises réglementant ce domaine d'activité.

    «Ces derniers temps, la compagnie FedEx effectuait des livraisons en Chine à de mauvaises adresses, ce qui a porté un grave préjudice aux droits et aux intérêts des consommateurs et a enfreint les procédures de travail du secteur des livraisons de la Chine. Le département chinois compétent a décidé de mener une enquête», rapporte l'agence de presse Xinhua.

    L'enquête sur la société logistique a été initiée par Huawei, devenue la cible de Washington dans sa guerre commerciale contre Pékin. Les Chinois ont accusé FedEx d'avoir envoyé plusieurs colis à leur siège aux États-Unis au lieu de les livrer directement dans les bureaux asiatiques de Huawei. Il était question d'importants documents commerciaux. Huawei ne comprend pas pourquoi le service d'expédition américain a agi ainsi. Se référant aux enregistrements de suivi des colis, la compagnie affirme que FedEx aurait cherché à modifier les itinéraires de deux autres colis du Vietnam adressés aux représentations asiatiques de la compagnie pour les renvoyer aux États-Unis.

    FedEx a présenté des excuses publiques pour ce «traitement incorrect» des colis de Huawei en affirmant que le changement d'adresse était dû à une erreur. De plus, la compagnie s'est dite prête à collaborer avec l'enquête chinoise.

    La version en ligne du Quotidien du Peuple souligne qu'en Chine, personne ne dépasse le cadre de la primauté du droit et remarque que l'enquête montrera si ces colis ont été «livrés par accident» ou «interceptés».

    L'histoire de FedEx constitue un nouvel épisode retentissant de la guerre commerciale qui s'intensifie entre Washington et Pékin. Et il ne faut pas s'attendre à ce que la confrontation entre les deux plus grandes puissances économiques s'arrête là. Vendredi dernier, le ministère chinois du Commerce a annoncé qu'il préparait une liste des «entreprises étrangères non fiables». De cette manière, Pékin contre-attaque après que le département américain du Commerce a inscrit Huawei sur liste noire.

    «Les compagnies, les organisations et les personnes étrangères qui ne se soumettent pas aux règles du marché, s'écartent de l'esprit du contrat, décrètent des embargos ou cessent d'assurer les livraisons aux compagnies chinoises pour des raisons non commerciales et portent sérieusement atteinte à leurs intérêts et droits légitimes, seront inscrites sur la liste des entreprises non fiables», a déclaré le porte-parole du ministère du Commerce Gao Feng. Sans préciser quels pays et entreprises concrètement seront concernés par cette décision.

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  9. «Il est évident que cette liste vise principalement les fournisseurs de Huawei, Intel, Qualcomm, ARM… en tout cas elle vise les compagnies non américaines, plus exactement les entreprises européennes, sud-coréennes et japonaises, qui pourront essayer de décider dans quelle mesure elles doivent respecter les règles américaines», analyse Andrew Polk, économiste chez Trivium China, dont les propos sont rapportés par le site Rappler. Selon ce dernier, les entreprises se retrouveront dans une situation où elles devront choisir entre les États-Unis et la Chine.

    De son côté, le quotidien Global Times indique que la nouvelle liste «servira de facteur dissuasif créant une barrière de protection autour des compagnies chinoises». «La Chine est prête à mener une longue guerre économique et commerciale contre les USA», souligne l'éditorial du journal.

    Au sujet de l'enquête ouverte sur FedEx, Andreï Karneev, directeur adjoint de l'Institut de l'Asie et de l'Afrique affilié à l'Université d’État Lomonossov de Moscou, a noté que les Chinois n'avaient pas choisi cette société américaine par hasard mais pour sa popularité. En agissant ainsi, les autorités chinoises veulent montrer publiquement et avant tout à leur propre population qu'elles ne craignent pas les États-Unis et qu'elles sont à même de riposter.

    «C'est typique de la Chine: ne pas perdre la face, montrer qu'elle ne tend pas constamment aux Américains tantôt une joue, tantôt l'autre, mais qu'elle les punit également. En même temps, elle le fait pour éviter une grave escalade susceptible d'entraîner des événements très négatifs. Je trouve que c'est la raison pour laquelle ils ont choisi un épisode pas très marquant. Dans le même temps, c'est une sorte de satisfaction psychologique pour les Chinois. Nous avons aussi tapé les Américains sur le nez, laissant entendre que la prochaine fois nous pourrons utiliser quelque chose de plus terrifiant», a déclaré l'expert à Nezavissimaïa gazeta.

    Il rappelle que les Chinois disposent de plusieurs autres punitions plus «terribles» pour les Américains. Notamment l'interdiction totale d'exporter des terres rares aux USA - dont ces derniers dépendent sérieusement - ou encore la vente d'obligations du Trésor américain.

    Les experts admettent que l'épisode de FedEx ait pu être déclenché par Pékin pour faire de la place à la compagnie chinoise Alibaba Group, géant mondial du commerce en ligne. Toutefois, Andreï Karneev est sceptique quant au fait que cela ait pu constituer un motif pour les autorités chinoises.
    «Si c'était le cas, Pékin agirait autrement. Quand ils cherchent à s'emparer d'un marché ou d'un segment de marché, ils agissent au contraire de manière non publique, en douceur et lentement», précise l'expert.

    Et d'ajouter que dans les conditions de la tension actuelle, le gouvernement chinois agit de sang-froid sans céder à la panique.

    «Actuellement, la Chine s'efforce de créer au niveau international l'impression suivante: regardez, les Américains agissent comme un éléphant dans un magasin de porcelaine, transgressent les règles, alors que nous protégeons la liberté du commerce, nous luttons contre le protectionnisme, nous sommes opposés à commettre des infractions au profit de nos compagnies. Je pense que les allusions au sujet d'Alibaba ne sont pas très justes. Du moins, je serais très étonné s'il s'avérait que tout cela a été organisé pour cette compagnie», reconnaît Andreï Karneev.

    Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur de l'article repris d'un média russe et traduit dans son intégralité en français.

    https://fr.sputniknews.com/presse/201906051041346740-pekin-fait-sa-premiere-victime-dans-la-guerre-commerciale-contre-les-usa/

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    1. La Chine a TOUT CE QU'ELLE VEUT sous la main et même plus en comptant toute l'Afrique agricole qu'elle a développé.

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  10. Au Texas, le mouvement anti-vaccins se porte bien !


    le 5 juin 2019


    Le Docteur Peter Hotez du collège de médecine de l’Université Baylor a déclaré dans une interview au Washington Post au début du mois de mai de cette année qu’au Texas plus de 64000 enfants scolarisés n’étaient pas vaccinés et que plus de 300000 autres enfants scolarisés à la maison ne l’étaient pas non plus. Immédiatement, il fut invectivé par le représentant (député au parlement du Texas) républicain Jonathan Stickland l’accusant de sorcellerie ! Hotez est pourtant pédiatre et spécialiste des vaccins et il ne reçoit aucune aide financière des industriels produisant des vaccins. Outre ses activités de pédiatre il a focalisé ses travaux de recherche sur le développement potentiel de vaccins dirigés contre les maladies tropicales « oubliées » par les grands groupes pharmaceutiques et ceci à titre strictement gratuit.

    Stickland a répondu au WP en affirmant qu’il n’était pas contre la vaccination mais qu’il respectait le choix des parents et leur droit de ne pas faire vacciner leurs enfants, tout en soulignant que ces dits parents devaient prendre leurs responsabilités, ajoutant que le gouvernement de l’Etat du Texas ou l’administration fédérale devaient également prendre leurs responsabilités.

    Aux USA 17 Etats laissent le libre choix aux parents pour des raisons personnelles ou « philosophiques » et pratiquement tous les Etats accordent des exemption pour des raisons religieuses. Le mouvement anti-vaccins a de ce fait pris de l’ampleur et malgré que 760 cas de rougeole déclarés ont alarmé la population dont 15 au Texas depuis le début de l’année 2019, ni le gouvernement fédéral ni les autorités des Etats ne semblent s’alarmer.

    Hotez a enfoncé le clou en déclarant dans un Tweet que la situation devenait dangereuse dans certaines villes comme Austin ou encore Plano. Dans certaines écoles publiques de trop nombreux enfants non vaccinés représentent un réel danger car ce qui est appelé l’ « immunité de groupe » n’est plus assurée. Ces campagnes anti-vaccins, rapprochées à une augmentation de la mortalité infantile aux USA est bien le signe d’une régression de la société américaine. Ce sont des faits, ils n’on rien à voir avec le pseudo anti-américanisme dont je suis parfois accusé sur ce blog.

    Source : Washington Post. L’Université Baylor est une université privée baptiste située dans la ville de Wako au Texas.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/06/05/au-texas-le-mouvement-anti-vaccins-se-porte-bien/

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    1. Particularité surprenante, TOUS les vaccins contiennent maintenant de l'aluminium (qui est PROUVÉ) donne la maladie d'Alzheimer (comme les miels où des quantité record ont été relevées !) en plus des chemtrails QUOTIDIENS qui répandent des tonnes de nano-particules d'aluminium !
      Bientôt, seuls les fruits & légumes cultivés en serres fermées seront comestibles !

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  11. Alimentation bio: «60 millions de consommateur» met en garde contre les «promesses» marketing

    NOURRITURE Le magazine a effectué des tests sur les produits alimentaires bios, et tout n’est pas parfait

    20 Minutes avec AFP
    le 05/06/19 à 11h55


    Il faut être exigeant avec les critères du bio. — ROMUALD MEIGNEUX/SIPA

    Le magazine 60 Millions de consommateurs, dans son hors-série de juillet-août consacré au « meilleur du bio », met en garde contre les « montagnes de promesses » du secteur qui est « loin d’être sans failles », après un banc d’essai de 130 produits. Déplorant qu’un produit arborant le label AB coûte bien plus qu’un produit conventionnel, le magazine dénonce « l’argument marketing de poids » qu’est devenu le précieux sésame.

    « A l’heure où les scandales alimentaires s’enchaînent, le logo fait figure de Graal. Pourtant il est loin d’être sans failles », souligne la rédactrice adjointe du magazine, Christelle Pangrazzi, citant plusieurs dérives, comme l’exploitation de travailleurs immigrés dans les champs ou l’utilisation de l’huile de palme, autorisée malgré le fait que sa culture participe à la déforestation. Or, « en optant pour le bio, le consommateur devrait avoir la garantie d’acheter responsable d’un point de vue aussi bien nutritionnel qu’écologique ou éthique ».

    5 % des achats alimentaires en France

    Selon les chiffres révélés mardi par l’Agence Bio, le bio représente désormais 5 % des achats alimentaires des Français, avec près de 10 milliards d’euros de chiffre d’affaires. Celle-ci note également le renforcement du poids de la grande distribution, qui commercialise désormais la moitié des produits bio, alors que jusqu’à l’an passé, les commerces spécialisés menaient la danse.

    Parmi les 130 produits testés par le magazine, quelques-uns sont emblématiques : le lait, les céréales du petit-déjeuner, la pâte à tartiner, les pommes, mais aussi le vin, la viande ou le poisson. Le magazine pointe plusieurs points à améliorer : l’utilisation des engrais et pesticides, l’exploitation intensive, l’impact carbone négatif des fruits hors saison, le fait que certains fruits et légumes bio soient vendus sous plastique…

    Il rappelle également que « manger exclusivement bio est une utopie, pour des raisons économiques, mais aussi parce que toutes les denrées ne sont pas disponibles ».

    https://www.20minutes.fr/economie/2533615-20190605-alimentation-bio-60-millions-consommateur-met-garde-contre-promesses-marketing

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    1. Le bio c'est quoi ? Ce sont (par exemple:) des fruits & légumes qui n'ont reçu AUCUN traitement contre les maladies et présences d'insectes ravageurs ! Et donc, comme TOUTES les plantes attrapent DES maladies, ce qui consomment du 'bio' consomment DES maladies !

      Vous avez aimé la vache folle ? la diarrhée porcine, la grippe aviaire, le mildiou, phylloxera, oïdium, myxomatose, etc ? Le must c'est 'AB' ! HAHAHAHAHA !

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  12. Attention aux "montagnes de promesses" du bio, prévient 60 Millions de consommateurs


    Mercredi 05 Juin 2019 - 12:52


    Le magazine 60 Millions de consommateurs met en garde contre les "montagnes de promesses" du secteur qui n'est pas sans failles

    Le secteur bio est "loin d'être sans faille": c'est l'avertissement lancé mercredi par le magazine 60 Millions de consommateurs, après un banc d'essai de 130 produits.

    Déplorant qu'un produit arborant le label AB coûte bien plus qu'un produit conventionnel, le hors-série de l'été dénonce "l'argument marketing de poids" qu'est devenu le précieux sésame.

    "A l'heure où les scandales alimentaires s'enchaînent, le logo fait figure de Graal. Pourtant il est loin d'être sans failles", souligne la rédactrice adjointe du magazine, Christelle Pangrazzi, citant plusieurs dérives, comme l'exploitation de travailleurs immigrés dans les champs ou l'utilisation de l'huile de palme, autorisée malgré le fait que sa culture participe à la déforestation.

    Or, ajoute-t-elle, "en optant pour le bio, le consommateur devrait avoir la garantie d'acheter responsable d'un point de vue aussi bien nutritionnel qu'écologique ou éthique".

    Selon les chiffres révélés mardi par l'Agence Bio, le bio représente désormais 5% des achats alimentaires des Français, avec près de 10 milliards d'euros de chiffre d'affaires.

    L'Agence Bio note également le renforcement du poids de la grande distribution, qui commercialise désormais la moitié des produits bio, alors que jusqu'à l'an passé, les commerces spécialisés menaient la danse. La vente directe conserve 12% de parts de marché en 2018 (+12,8%).

    Etant donné le poids du secteur côté consommateur, "l'heure n'est plus aux montagnes de promesses, si bio soient-elles", conclut Mme Pangrazzi.

    - Dérives -

    Parmi les 130 produits testés par le magazine: le lait, le muesli, la pâte à tartiner, les pommes, mais aussi le vin, la viande ou le poisson.

    Ainsi, certains œufs et laits contiennent plus de polluants en bio que leurs homologues conventionnels, ou bien encore des huiles d'olive bio recèlent des plastifiants, notamment des phtalates.

    Enfin, précise le magazine, "gâteaux, pâtes à tartiner ou plats préparés bio renferment tout autant de sucres, de gras et de sel que des produits non-bio".

    Le magazine, édité par l'Institut national de la consommation (INC), pointe également plusieurs points à améliorer: l'utilisation des engrais et pesticides, l'exploitation intensive, l'impact carbone négatif des fruits hors-saison, la vente sous plastique de certains fruits et légumes bio etc.

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  13. En outre, ajoute le hors-série, "rien n'interdit à l'agriculteur (bio) de s'installer sur un sol contaminé ou à proximité d'une source de pollution (dioxines, PCB)".

    Une assertion que la Fédération nationale de l'agriculture biologique (FNAB) a relevé mercredi matin: "alors que le label bio impose aux paysans et paysannes des exigences fortes de production, leurs animaux, leurs fruits, leurs légumes sont exposés à la pollution qui nous entoure, plus que des animaux élevés en batterie ou des fruits et légumes hors sol", indique t-elle dans une déclaration à l'AFP.

    "La lutte contre la pollution de l'air, des sols et de l'eau doit devenir une priorité du gouvernement pour nous assurer à tous un environnement sain et durable".

    "Ce n'est pas aux paysans et paysannes biologiques de faire les frais de la pollution générée par d'autres, le principe pollueur-payeur doit s'appliquer", explique Guillaume Riou, président de la FNAB cité dans le texte, qui, par ailleurs, ne répond pas aux autres critiques de 60 Millions de consommateurs.

    Enfin, le magazine rappelle que "manger exclusivement bio est une utopie, pour des raisons économiques, mais aussi parce que toutes les denrées ne sont pas disponibles".

    http://www.francesoir.fr/actualites-france/60-millions-de-consommateurs-attention-aux-montagnes-de-promesses-du-bio

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  14. Vers des informations toxicologiques plus intuitives


    le 13 décembre 2018
    par Thoughtscapism


    Notre présentation s'intitulait: «Naviguer dans le paysage des risques» par
    Alison Bernstein, PhD & Iida Ruishalme, MSc


    La semaine dernière, j'ai eu le privilège d'assister à une conférence sur la science des risques à la Nouvelle-Orléans et d'organiser une table ronde en compagnie de la neuroscientifique Alison Bernstein de SciMoms. Nous avons été aimablement invités à parler de notre approche en matière de communication des risques par le Center for Food Integrity.

    C'était génial ! Alison et moi-même avons enfin eu la chance de nous rencontrer en personne, mais aussi de présenter ce que nous avions appris sur les messages qui fonctionnent sur les réseaux sociaux (voir notre série: Risque en perspective), ainsi que sur ceux qui ne le sont pas. Entre de nombreuses sessions intéressantes, allant des craintes alimentaires au risque radiologique en passant par les suppléments et l'atténuation des changements climatiques, Alison m'a également présenté les beignets frais, les tomates vertes frites et d'autres produits essentiels de la Nouvelle-Orléans.

    Pour notre présentation, l’une des choses dont nous avons parlé est le succès varié de notre infographie pour la pièce Mesures de la toxicité. Dans l'article, nous avons souligné la distinction selon laquelle les informations sur la toxicité aiguë (telles que la DL50) concernent principalement les accidents, les meurtres et les suicides, alors que les effets chroniques graduels préoccupent davantage le public. Celles-ci sont mieux reflétées par les limites d'ingestion chronique, qui sont définies de manière à éviter ces effets.

    Nous avons parlé de ce que ces métriques peuvent et ne peuvent pas nous dire. Nous avons souligné qu'ils ne nous disent rien sur les risques pour les consommateurs, car vous devez tenir compte des expositions réelles par rapport à ces limites pour évaluer les risques.

    Nous avons établi des tableaux de mesures de toxicité pour accompagner l'article, en gardant à l'esprit que les médias sociaux favorisent fortement les messages visuels. Avec les infographies, nous voulions préciser que toute substance peut causer de graves dommages si la dose est suffisamment élevée et, de la même manière, atteindra des niveaux auxquels nous nous attendons à ce qu’il n’y ait pratiquement aucun impact.

    - voir tableau sur site -

    Infographie aiguë tox corrigée Infographie chronique tox corrigée

    Maintenant, chaque fois que vous publiez une infographie, vous savez que de nombreuses personnes ne liront pas l'article d'accompagnement. Nous devons donc essayer de les rendre suffisamment cohérentes et claires pour qu'elles se tiennent seules. Ces tables ont suscité de nombreuses discussions, ce qui pourrait être leur point fort, et beaucoup les ont appréciées et partagées. Mais on peut aussi se demander s’ils travaillent bien seuls, et la réaction des gens à leur égard m’a appris plusieurs choses, dont je voudrais discuter certaines d’entre elles.

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  15. Tout d'abord, les gens aiment leur café! Ils n'accepteront rien, suggérant que le café pourrait comporter des risques. (Non, les valeurs du tableau ne suggèrent pas que nous devrions abandonner le café - ou que nous devrions prendre l'habitude de boire du plomb ou du cyanure d'hydrogène à la place)

    café oh l'humanité

    Deuxièmement, la relation entre les limites d'ingestion réglementaires (utilisées dans le tableau chronique) et le risque pour le consommateur n'est pas très claire pour beaucoup de gens. Lorsque nous pensons au mot «acceptable» dans son sens quotidien, cela ressemble plutôt à un score de test médiocre, pas à une valeur cent ou mille fois inférieure aux niveaux où des dommages mineurs pourraient survenir.

    Considérant que ces limites sont également évoquées dans les actualités liées à la santé, il s'agit d'un très grand point de malentendu. En entendant qu'il existe une limite «acceptable» pour une substance, les gens présument vite que le franchissement de cette limite doit nous conduire en territoire dangereux.

    café incorrect

    Beaucoup ne croient tout simplement pas que la limite quotidienne de caféine pourrait être correcte. Je comprends qu’il soit déroutant d’entendre que sa propre consommation est mille fois plus élevée que le mot "acceptable" - parler d’un problème problématique de "discours scientifique"

    Le fait que la caféine soit multipliée par mille pour obtenir les effets souhaités par beaucoup d’entre nous, et que de telles doses ne menacent pas réellement la santé de la plupart des gens, montre à quel point ces «limites acceptables» peuvent être conservatrices. Leur objectif est de définir un niveau où il est très peu probable que des populations particulièrement à risque (telles que les enfants, les femmes enceintes) subissent des effets indésirables, même si leur consommation est constante tout au long de la vie.

    Le pouvoir des visuels

    Ayant pris conscience à quel point ces limites acceptables peuvent être illusoires, j'ai été frappée par un graphique très simple que j'ai vu sur une diapositive lors d'une excellente présentation à la conférence sur les risques de toxicologie intuitive et de craintes alimentaires irrationnelles par Mme Angela Bearth. Ses recherches ont abouti à des conclusions encourageantes, notamment dans son article intitulé Informer les consommateurs sur l’évaluation scientifique des risques liés aux additifs alimentaires:

    Il semble que l'information des consommateurs sur des sujets complexes liés à la sécurité des aliments, tels que l'évaluation scientifique des risques liés aux additifs alimentaires, soit possible, et l'utilisation d'une vidéo d'information soigneusement développée est une stratégie efficace pour informer les consommateurs.

    … Et cette vidéo (en allemand) comprenait un graphique sur la recherche du niveau sans effet indésirable (NOAEL) de l'aspartame. À côté de la DSENO, il y avait un obstacle à la limite acceptable - cent

    - voir tableau sur site -

    … Et cette vidéo (en allemand) comprenait un graphique sur la recherche du niveau sans effet indésirable (NOAEL) de l'aspartame. À côté de la DSENO se trouvait un obstacle pour la limite acceptable - cent fois inférieure. Si simple, si élégant. Pourquoi n'y avais-je pas pensé ? Une approche visuelle simple rendrait les informations plus intuitives. Étant un peu à court de compétences en réalisation de vidéos, j'ai décidé d'y aller avec une infographie.

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  16. guide de visite NOAEL ADI

    Lors de la définition de la limite, des facteurs tels que la vitesse de décomposition (le potentiel d'accumulation), les aliments sur lesquels on la trouve et la quantité d'aliments que les gens ont tendance à manger sont pris en compte. Pour un compte rendu détaillé de la détermination des marges de sécurité, veuillez consulter le document d’Alison où elle utilise les limites de café et de glyphosate comme exemples, ou la page de l’EPA sur la fixation des limites de tolérance aux pesticides et des guides similaires pour les pays de l’OCDE. Notez que, en fonction de la région et de la classe de substances, les noms des limites varient (les valeurs courantes comprennent l’apport journalier acceptable, la dose de référence et l’apport journalier tolérable) - pour en savoir plus sur les mesures de la toxicité dans notre article.

    Limites réglementaires vs réalité ?

    En plus du niveau limite, j'ai décidé d'examiner des données réelles sur le type de niveaux de trace réellement trouvés. J'ai choisi les résidus de pesticides, car ils sont l'un des principaux suspects du sentiment de risque exagéré: ils ne sont pas familiers, ils sont artificiels et imposés. Nous avons donc tendance à les considérer avec une prudence exagérée. En conséquence, de nombreux consommateurs s'inquiètent d'une proportion disproportionnée de résidus de pesticides.

    L'une des solutions consiste à examiner divers aliments et leurs niveaux de résidus typiques - comme le fait Steve Savage ici, dans la base de données annuelle des résidus de pesticides de l'USDA. Des informations détaillées sont également disponibles sur le régime californien d’essai des pesticides, qui échantillonne des milliers de produits alimentaires chaque année. Ils ont tendance à constater qu'environ 40% des aliments testés ne contiennent aucun résidu détectable et que dans la partie restante, les résidus ont tendance à tomber bien en dessous de 10% de la limite. (La limite est déjà 100 à 1000 fois inférieure à un niveau pour lequel on ne s'attend toujours à aucun effet.)

    Ajouté: De même pour l'Europe, comme analysé par l'EFSA, des tests annuels révèlent qu'environ la moitié des échantillons sont exempts de résidus et que plus de 96% tombent en dessous des limites maximales de résidus (LMR), qui sont souvent fixées à des niveaux encore plus bas que la dose journalière admissible (DJA), en tenant compte du fait que les agriculteurs sont souvent en mesure d'utiliser les pesticides à des niveaux où les résidus restent bien plus faibles.

    Quelques pour cent des cas en Europe, ainsi que ceux en Californie, présentent soit des niveaux supérieurs à la limite, soit un type de résidu de pesticide non approuvé. Les deux régulateurs notent que la plupart du temps, cela n'indique pas de risque pour la santé - à de rares exceptions près, comme en 2013, lorsque des tapis de cactus importés du Mexique en Californie avaient été découverts avec des niveaux potentiellement nocifs d'organophosphates. (Ils ont ensuite été retirés des ventes et les importations surveillées.)

    En regardant au-delà de la limite acceptable que nous devons dépasser avant même d’attendre des effets, ce manque de préoccupation pour la santé n’est pas si surprenant. Je voulais également essayer de rendre ces informations plus intuitives, et je pense que l’approche la plus pertinente serait de regarder nos expositions moyennes réelles - combien finissons-nous par absorber dans notre alimentation ?

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  17. Je connais au moins deux études qui ont fait ce type d'estimation, une danoise examinant les expositions cumulatives aux pesticides de début d'année et une américaine en 2011. Ces études portaient respectivement sur 25 et 10 résidus les plus couramment détectés. Ni l'un ni l'autre n'a trouvé que les expositions des consommateurs dépassaient la limite acceptable. Le scientifique en moi ne se sentait pas à l'aise sans laisser au moins un peu d'incertitude, cependant, alors j'ai choisi d'aller avec «plus de 99,9% du temps, nos expositions sont en dessous de la limite acceptable." Cette infographie est beaucoup plus encombrée par rapport à la premier… mais c'est un début.

    - voir tableau sur site -

    barres de résidus de pesticides

    MISE À JOUR: Essayer de rendre le grossissement plus clair, échangé des flèches pour un triangle. Sources: Document d'évaluation de l'exposition aux États-Unis et document danois sur le risque cumulé.

    Les deux études ont révélé que les expositions les plus élevées se situaient autour de 2% de la limite et que la majorité d'entre elles étaient même inférieures à 0,5%. En fait, l'étude américaine a révélé que dans presque la moitié des cas, nous sommes exposés à moins de 0,001% de la valeur acceptable. limites. Même avec une évaluation combinée, supposant que ces résidus pourraient représenter ensemble plus de risque, le journal danois constate que les consommateurs atteignent de manière cumulative environ 16% de la limite d'absorption acceptable.

    MISE À JOUR: Je ne pouvais pas m'empêcher de penser à vouloir améliorer le graphique de résidus, et j'ai décidé d'essayer une approche différente, ici:

    sécurité des pesticides au carré

    En utilisant des zones, il est plus facile de garder tous les différents niveaux visibles (la comparaison visuelle des zones au lieu des hauteurs peut sous-estimer quelque peu les valeurs pour le spectateur, mais je pense qu’elle est utile quand même, car les différences sont toujours énormes, mais cela apporte les niveaux à une forme qui est plus facilement visible à un coup d'oeil.

    nul

    Le risque zéro n'existe pas, mais nos propres choix de styles de vie simples peuvent atténuer de loin les risques les plus importants.

    Je suis encore en train de digérer les informations et les matériaux supplémentaires que j'ai accumulés lors de la conférence sur les risques et j'espère qu'ils pourront m'aider à mieux communiquer les risques. Quand je pense à l’anxiété qui règne dans de nombreux domaines qui présentent des risques très minimes, j’ai vraiment envie de pouvoir trouver un moyen de rendre l’information tangible de manière à dissiper toute peur inutile et à aider le public à se prendre mieux.

    Je veux que les parents, les grands-parents et tous les consommateurs inquiets ou soucieux de leur santé sachent qu'ils contrôlent leur bien-être: il n'y a aucune menace invisible à manger beaucoup de fruits et de légumes, ce qui, avec l'exercice régulier, est le seul secret le plus efficace pour vivre une vie longue et en bonne santé

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  18. logo de base

    Pour en savoir plus sur certaines préoccupations communes concernant les substances en agriculture et en médecine, vous pouvez trouver des articles dans Agriculture et OGM et Vaccins et santé.

    https://thoughtscapism.com/2018/12/13/toward-more-intuitive-toxicology-information/?fbclid=IwAR3IgqEn2zNKJ6W4agiUrUHyN5PvzH6vnk37qZnQbWvoW4jCkcakMzPyuTs

    -------------------------------

    Article en complément de:

    99.99% of the pesticides we ingest are produced by the plants themselves
    Sunday, December 2, 2018
    https://huemaurice5.blogspot.com/.../9999-des-pesticides...

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    1. Rappel que nous sommes TOUTES et TOUS issus de la terre et que 100 % de notre corps est constitué par elle.
      Ainsi pareillement que pour les plantes:

      99,99 % des pesticides que nous ingérons sont produits par les plantes elles-mêmes

      dimanche 2 décembre 2018

      https://huemaurice5.blogspot.com/2018/12/9999-des-pesticides-que-nous-ingerons.html

      notre corps contient et se défend de lui-même tous les jours contre des milliards d'ennemis.

      Or, ce qui attise la faiblesse animale en élevages est le fait que les aliments sont... 100 % (ou presque) recomposés ! Transformés, malaxés, additionnés et qu'ils sortent totalement de leur contexte naturel ! (pareillement pour nous !! car NOUS n'avalons pas (la plupart) des fruits et des légumes tels quels ou ne consommons pas de viandes crues !

      C'est pour cela que des défenses tendent à disparaître de notre nourriture et que nous avons besoin de vaccins, de remèdes pour recomposer les éléments qui nous manquent !

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  19. PODCAST. Les plantes sont-elles intelligentes ?

    SCIENCES Plusieurs scientifiques plaident pour que soit reconnue la capacité des plantes de s’adapter, de communiquer et de souffrir

    Romain Gouloumes
    le 03/06/19


    Vous ne verrez plus la fougère et les autres plantes du même œil.

    La communauté scientifique se déchire sur la reconnaissance d’une forme d’intelligence chez les plantes.

    Partisans du oui, les auteurs Stefano Mancuso et Peter Wohlleben mettent en évidence les facultés des végétaux à s’adapter à de nouvelles situations, communiquer entre eux et même partager.

    Le grand public se prend de passion pour cette question en dévorant leurs ouvrages, devenus des best-sellers, «La Vie secrète des arbres» et «La Révolution des plantes».

    Le 16e épisode de Sixième Science, le podcast de vulgarisation scientifique de «20 Minutes» et «Sciences et Avenir», fait un point complet sur la question.

    Qui n’a pas été interpellé en rayon par la couverture du best-seller La Vie secrète des arbres ou de son rival La Révolution des plantes ? Leurs auteurs Peter Wohlleben et Stefano Mancuso appellent à la reconnaissance d’une troisième forme d’intelligence, juste après celle du règne animal et de l’être humain. D’après eux, les végétaux sont capables de communiquer entre eux et de s’adapter intelligemment à leur environnement. Pire, les plantes souffriraient quand on les coupe.

    Des graines de savoir plein ses mains, Loïc Chauveau plantera à qui mieux mieux dans cet épisode de Sixième Science. Le spécialiste environnement du magazine Sciences et Avenir signe avec Rachel Mulot, un dossier intégralement consacré au monde des plantes. Foncez tête bêchée nous écouter.

    https://www.20minutes.fr/podcast/2529543-20190603-podcast-plantes-elles-intelligentes

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    1. Les tournesols suivent le déplacement du soleil, les plantes carnivores sont à réaction rapide

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  20. Monsieur Cuisine Connect de Lidl: après la cohue, il est revendu plus cher sur Leboncoin


    Mercredi 05 Juin 2019 - 12:53


    Après les cohues dans les magasins Lidl pour le lancement d'un nouveau robot cuiseur, en début de semaine, certains sont déjà disponibles sur Le Bon Coin. Des "petits malins" tentent en effet de revendre le robot pour le triple du prix d'origine, alors même que le Monsieur Cuisine Connect n'est pas en rupture de stock.

    Gare aux arnaques ! Les magasins Lidl ont défrayé la chronique lundi 3 en lançant un nouveau robot cuiseur, le Monsieur Cuisine Connect. L'appareil intelligent vendu en magasin à 359 euros a créé un engouement sans précédent, certains supermarchés ont ainsi été dévalisés en seulement quelques minutes.

    Depuis les clients malheureux qui n'ont pas été assez vifs pour acheter ce robot craignent la rupture de stock. C'est donc tout naturellement que certains se sont tournés vers le site de petites annonces Le Bon Coin.

    Là, des robots Monsieur Cuisine Connect sont effectivement déjà mis en vente par des clients de Lidl qui ont pu s'en procurer lors de la cohue.

    A voir aussi: Le lancement du robot cuiseur Lidl frôle l'émeute (vidéo)

    Mais ces "petits malins" ne les ont visiblement pas achetés pour s'en servir: les robots cuiseurs sont ainsi disponibles mais plus chers qu'en magasin avec des prix allant de 400 à 1.000 euros.

    Certains vendeurs peu regardants assurent même que le Monsieur Cuisine Connect est déjà en rupture de stock, ce qui n'est pas le cas.

    La directions de Lidl a d'ailleurs réfuté cette information et a assuré à ses clients que les magasins seraient prochainement réapprovisionnés. Au total, le groupe a indiqué avoir des stocks suffisants pour encore 15 semaines.
    "S'il y a des ruptures de stock dans certains magasins, nous prendrons les noms des personnes intéressées et ils auront leur Monsieur Cuisine quand nous serons réapprovisionnés. Il ne faut surtout pas l'acheter sur Leboncoin! On ne peut pas empêcher certains d'en acheter cinq et après d'aller les revendre au prix fort sur internet. Mais je peux vous assurer qu'à 500 euros ou plus ils vont leur rester sur les bras, ils n'en vendront pas", a fait savoir Michel Biero, directeur exécutif achats et marketing de Lidl en France, à BFMTV.

    http://www.francesoir.fr/societe-faits-divers/monsieur-cuisine-connect-de-lidl-apres-la-cohue-il-est-revendu-plus-cher-sur

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  21. Comment les alliés ont garanti une 2e guerre mondiale


    par Tyler Durden
    Mer., 06/05/2019 - 02:00
    Écrit par Serban V.C. Enache via Hereticus Economicus:


    En tant que jeune conseiller du Trésor britannique, John Maynard Keynes a prédit avec succès un autre grand conflit en Europe après ce qui s'est passé lors de la prétendue paix de Versailles. En prévision de la conférence, Keynes a fait valoir qu'il serait préférable que l'Allemagne ne perde aucune réparation, au maximum 2 millions de livres sterling. Il était en faveur d'un pardon général des dettes de guerre, y compris pour la Grande-Bretagne. Enfin, il a demandé au gouvernement américain de lancer un vaste programme de crédit afin de rétablir rapidement la prospérité de l’Europe. Mais les Alliés ont argumenté différemment, et voici ce sur quoi ils insistaient à l'article 231 du traité de Versailles sur la dette de guerre (1919).

    «Les gouvernements alliés et associés affirment et l'Allemagne accepte la responsabilité de l'Allemagne et de ses alliés pour avoir causé tous les dommages et pertes auxquels les gouvernements alliés et associés ont été victimes à la suite de la guerre qui leur a été infligée par l'agression du L'Allemagne et ses alliés. "

    Comparons les froids sentiments de Versailles à la paix de Westphalie de 1648, qui mit fin à la guerre de Trente ans.

    Article I: «[…] Et cette paix doit être si honnête, sérieusement protégée et nourrie que chaque partie favorise l'avantage, l'honneur et le bénéfice de l'autre… Un quartier fidèle doit être renouvelé et s'épanouir pour la paix et l'amitié, et s'épanouir à nouveau. "

    Article II: «Des deux côtés, tous devraient être oubliés et pardonnés à jamais. Ce qui depuis le début des troubles, peu importe comment et où, d’un côté ou de l’autre, s’est produit en termes d’hostilité, de sorte que ni pour cette raison, ni pour aucune autre raison ou prétexte, ne doivent commettre ou permettre à se produire, toute hostilité, hostilité, difficulté ou obstacle à l’égard des personnes, du statut, des biens ou de la sécurité lui-même, ou par l’intermédiaire d’autres personnes, secrètement ou ouvertement, directement ou indirectement, sous le couvert de l’autorité de la loi, ou par la loi. violence au sein du Royaume ou ailleurs, et les traités antérieurs contradictoires ne devraient pas s’y opposer. Au lieu de cela, tous, à partir d’ici et d’ici, avant et pendant la guerre, les insultes, les actes de violence, les hostilités, les dommages et les coûts, sans égard à la personne ou à la question, devraient être complètement mis de côté. afin que tout, quoi que l'un puisse exiger de l'autre en son nom, soit oublié dans l'éternité. "

    Keynes a décrit la conférence de Versailles comme un affrontement des valeurs et des conceptions du monde parmi les principaux dirigeants: «les traditions cyniques de la politique de puissance européenne [vs] la promesse d'un ordre plus éclairé». Keynes considérait Woodrow Wilson comme le créateur du jeu.

    «Lorsque le président Wilson a quitté Washington, il jouissait d'un prestige et d'une influence morale inégalés dans le monde. […] Les peuples ennemis se sont fiés à lui pour exécuter le pacte conclu avec eux. et les peuples alliés l'ont reconnu non pas comme vainqueur mais presque comme prophète. En plus de cette influence morale, les réalités du pouvoir étaient entre ses mains ».

    En 1919, Keynes écrivit dans The Conséquences économiques de la paix dans lequel il critiquait le traité de Versailles et ses auteurs, tout en prévoyant avec précision ses graves effets socio-économiques et politiques: inflation élevée, stagnation et revanchisme.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-06-04/how-allies-guaranteed-2nd-world-war

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  22. Le Venezuela se voit saisir 20 tonnes de son or, selon Bloomberg



    14:37 05.06.2019


    En raison du non-respect présumé des termes d’un accord financier conclu entre Caracas et Deutsche Bank, l’institution financière a pris le contrôle de 20 tonnes d’or vénézuélien déposées en garantie de prêt, affirme Bloomberg.

    Deutsche Bank a saisi 20 tonnes d’or déposées par le Venezuela à titre de garantie pour un prêt, relate Bloomberg, citant deux sources proches du dossier.

    En 2016, Caracas a emprunté 750 millions de dollars auprès de Deutsche Bank, une opération financière dans laquelle l’or a servi de garantie au prêt, affirme Bloomberg. En échange, 20 tonnes du métal jaune ont été déposées dans les coffres de l’institution financière allemande. L’accord devait expirer en 2021, mais le Venezuela a manqué de verser des intérêts, entrainant la saisie de l’or, indique une source anonyme citée par l’agence.

    Deutsche Bank s’est pour l’instant refusée à tout commentaire.

    Touché par les sanctions américaines, le Venezuela est confronté ces dernières années à une grave crise économique. La situation économique tendue, accompagnée d’une récession brutale, d’une hyperinflation et d’un déficit croissant de biens de première nécessité, s’est considérablement aggravée avec les troubles politiques.

    https://fr.sputniknews.com/economie/201906051041349065-le-venezuela-se-voit-saisir-20-tonnes-de-son-or-selon-bloomberg/

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    1. L'escroqueriebôche ! Les intérêts ? = 20 t. d'or !!

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  23. Protéger notre infrastructure énergétique des cyberattaques


    par Nancy W. Stauffer,
    Institut de technologie du Massachusetts
    5 juin 2019


    Presque chaque jour, les titres de nouvelles annoncent une nouvelle violation de la sécurité, le vol de numéros de cartes de crédit et d’autres informations personnelles. Bien que le vol de sa carte de crédit puisse être ennuyeux et dérangeant, la sécurité de l’infrastructure physique, y compris des systèmes énergétiques, est une préoccupation beaucoup plus importante mais moins reconnue.

    "Avec un vol de carte de crédit, vous devrez peut-être payer 50 $ et obtenir une nouvelle carte de crédit", explique Stuart Madnick, professeur John Norris Maguire des technologies de l'information à la Sloan School of Management, professeur de systèmes d'ingénierie à la School of Engineering et directeur fondateur du consortium sur la cybersécurité au sein du consortium MIT Sloan. "Mais avec les attaques d'infrastructure, de réels dommages physiques peuvent se produire et la récupération peut prendre des semaines, voire des mois."

    Quelques exemples démontrent la menace. En 2008, une cyberattaque présumée a détruit un oléoduc en Turquie, l’éteignant pendant trois semaines. en 2009, le ver informatique malveillant Stuxnet a détruit des centaines de centrifugeuses iraniennes, perturbant ainsi le programme d'enrichissement en combustible nucléaire de ce pays; et en 2015, une attaque a détruit une partie du réseau électrique ukrainien - pour seulement six heures - mais les postes électriques du réseau ont dû être exploités manuellement pendant des mois.

    Selon Madnick, pour que l'attaque réussisse, les adversaires doivent avoir la capacité, l'opportunité et la motivation. Lors d'incidents récents, les trois facteurs se sont alignés et les attaquants ont paralysé les principaux systèmes physiques.

    "La bonne nouvelle est que, du moins aux États-Unis, cela n'a pas encore été fait", a déclaré Madnick. Mais il pense que "ce n’est que la motivation qui manque". Avec une motivation suffisante, les attaquants du monde entier pourraient, par exemple, détruire tout ou partie du réseau électrique interconnecté du pays ou arrêter le flux de gaz naturel à travers les 2,4 millions de kilomètres de pipeline que compte le pays. Et même si les installations d'urgence et les réserves de carburant peuvent faire fonctionner les choses pendant quelques jours, il faudra probablement beaucoup plus de temps pour réparer les systèmes endommagés ou explosés par les assaillants.

    "Ce sont des impacts énormes qui affecteraient notre vie quotidienne", a déclaré Madnick. "Et la plupart des gens ne voient pas le radar. Mais espérer que cela n'arrivera pas, ce n'est pas vraiment une façon sûre de vivre." Il croit fermement que "le pire est à venir".

    Le défi pour l'industrie

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  24. Assurer la cybersécurité des systèmes énergétiques est un défi croissant. Pourquoi ? Les installations industrielles actuelles font largement appel aux logiciels de contrôle des installations, plutôt qu'aux dispositifs électromécaniques traditionnels. Dans certains cas, même les fonctions critiques pour la sécurité sont presque entièrement implémentées dans un logiciel. Dans une installation industrielle typique, des dizaines de systèmes informatiques programmables répartis dans toute l'usine permettent de contrôler localement les processus, par exemple en maintenant le niveau d'eau dans une chaudière à un certain point de consigne. Ces dispositifs interagissent tous avec un système "de supervision" de niveau supérieur qui permet aux opérateurs de contrôler les systèmes locaux et le fonctionnement général de l'installation, sur site ou à distance. Dans la plupart des installations, ces systèmes informatiques programmables ne nécessitent aucune authentification pour pouvoir modifier les paramètres. Compte tenu de cette configuration, un cyberattaquant qui accède au logiciel dans le système local ou le système de supervision peut causer des dommages ou une interruption du service.

    L'approche traditionnelle utilisée pour protéger les systèmes de contrôle critiques consiste à les «espacer», c'est-à-dire à les séparer de l'internet public afin que les intrus ne puissent pas les atteindre. Mais dans le monde actuel de haute connectivité, un intervalle d'air ne garantit plus la sécurité. Par exemple, les entreprises font souvent appel à des entrepreneurs ou vendeurs indépendants pour entretenir et surveiller du matériel spécialisé dans leurs installations. Pour effectuer ces tâches, l'entrepreneur ou le fournisseur doit avoir accès à des données opérationnelles en temps réel, c'est-à-dire des informations généralement transmises sur Internet. En outre, des besoins commerciaux légitimes, tels que le transfert de fichiers et la mise à jour de logiciels, nécessitent l’utilisation de clés USB, qui peuvent compromettre par inadvertance l’intégrité de l’espace aérien, laissant une centrale vulnérable aux cyberattaques.

    À la recherche de vulnérabilités

    Les entreprises s'emploient activement à renforcer leur sécurité, mais généralement après un incident quelconque. "Nous avons donc tendance à regarder à travers le rétroviseur", explique Madnick. Il souligne la nécessité d'identifier et de réduire les vulnérabilités d'un système avant qu'un problème ne survienne.

    La méthode traditionnelle d’identification des cyber-vulnérabilités consiste à créer un inventaire de tous les composants, à examiner chacun d’eux pour identifier les vulnérabilités éventuelles, à les atténuer, puis à agréger les résultats pour sécuriser le système global. Mais cette approche repose sur deux hypothèses de simplification essentielles, explique Shaharyar Khan, membre du programme de conception et de gestion de systèmes du MIT. Il suppose que les événements s'exécutent toujours dans une seule direction linéaire. Ainsi, un événement provoque un autre événement, ce qui entraîne un autre événement, etc., sans boucles de rétroaction ni interactions, ce qui compliquerait la séquence. Et cela suppose que comprendre le comportement de chaque composant isolément suffit à prédire le comportement de l'ensemble du système.

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  25. Mais ces hypothèses ne valent pas pour les systèmes complexes - et les systèmes de contrôle modernes dans les installations énergétiques sont extrêmement complexes, utilisent beaucoup de logiciels et sont composés de composants hautement couplés qui interagissent de nombreuses manières. En conséquence, dit Khan, "le système global présente des comportements que les composants individuels ne font pas", propriété que la théorie des systèmes appelle émergence. "Nous considérons que la sécurité et la protection sont des propriétés émergentes des systèmes", a déclaré Khan. Le défi consiste donc à contrôler le comportement émergent du système en définissant de nouvelles contraintes, une tâche qui nécessite de comprendre comment tous les facteurs en interaction au travail - des personnes aux équipements en passant par les réglementations externes et plus encore - affectent en définitive la sécurité du système.

    Pour développer un outil analytique à la hauteur de ce défi, Madnick, Khan et James L. Kirtley Jr., professeur de génie électrique, se sont d'abord tournés vers une méthodologie appelée Système et processus théoriques des accidents, développée il y a plus de 15 ans par Nancy Leveson, professeure au MIT d’aéronautique et d’astronautique. Sur la base de ce travail, ils ont développé "Cybersafety", une méthode d'analyse spécialement conçue pour l'analyse de la cybersécurité de systèmes de contrôle industriels complexes.

    Pour appliquer la procédure de cybersécurité à une installation, un analyste commence par répondre aux questions suivantes:

    Quel est le but principal du système analysé? c'est-à-dire, que devez-vous protéger? Répondre à cette question peut sembler simple, mais Madnick note: "Étonnamment, lorsque nous demandons aux entreprises ce que sont leurs" joyaux de la couronne ", elles ont souvent du mal à les identifier."

    Compte tenu de cet objectif principal, quel est le pire qui puisse arriver au système ? Définir l'objectif principal et les pires pertes possibles est essentiel pour comprendre l'objectif de l'analyse et la meilleure allocation des ressources pour l'atténuation.

    Quels sont les principaux dangers susceptibles d’entraîner cette perte ? Par exemple, avoir des escaliers mouillés dans une installation est un risque; que quelqu'un tombe dans les escaliers et se casse la cheville est une perte.

    Qui ou qu'est-ce qui contrôle ce risque ? Dans l'exemple ci-dessus, la première étape consiste à déterminer qui ou quoi contrôle l'état des escaliers. La prochaine étape consiste à demander qui ou quoi contrôle ce contrôleur. Et puis, qui ou quoi contrôle ce contrôleur ? En répondant à cette question de manière récursive et en mappant les boucles de rétroaction entre les différents contrôleurs, on obtient une structure de contrôle hiérarchique chargée de maintenir l'état des escaliers dans des conditions acceptables.

    Compte tenu de la structure de contrôle complète, l'étape suivante consiste à demander: Quelles actions de contrôle pourraient être prises par un contrôleur qui seraient dangereuses compte tenu de l'état du système? Par exemple, si un attaquant corrompt les informations en retour fournies par un capteur de clé, un contrôleur ne saura pas l’état actuel du système et risque par conséquent de prendre une action incorrecte, ou peut entreprendre les actions correctes mais au mauvais moment ou dans le mauvais ordre. dont pourrait conduire à des dommages.

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  26. Protéger notre infrastructure énergétique des cyberattaques
    Vue d'ensemble de l'analyse de la cybersécurité: Cette figure résume les étapes qu'un analyste effectue pour effectuer une analyse de la cybersécurité. Crédit: Massachusetts Institute of Technology

    S'appuyant sur une compréhension désormais approfondie du système, l'analyste émet l'hypothèse suivante d'une série de scénarios de perte découlant d'actions de contrôle non sécurisées et examine la manière dont les différents contrôleurs peuvent interagir pour émettre une commande non sécurisée. "A chaque niveau de l'analyse, nous essayons d'identifier les contraintes sur le processus contrôlé qui, si elles étaient violées, entraîneraient le système dans un état non sécurisé", a déclaré Khan. Par exemple, une contrainte pourrait imposer que la pression de vapeur à l'intérieur d'une chaudière ne doit pas dépasser une certaine limite supérieure afin d'empêcher la chaudière de se rompre en raison d'une surpression.

    "En affinant continuellement ces contraintes tout au long de l'analyse, nous sommes en mesure de définir de nouvelles exigences garantissant la sécurité et la sûreté de l'ensemble du système", a-t-il déclaré. "Ensuite, nous pouvons identifier des étapes pratiques pour imposer le respect de ces contraintes par le biais de la conception du système, des processus et procédures, ou de contrôles sociaux tels que la culture de l'entreprise, les exigences réglementaires ou les incitations à l'assurance."

    Études de cas

    Pour démontrer les capacités d'analyse en matière de cybersécurité, M. Khan a choisi une centrale à turbine à gaz de 20 mégawatts, une petite installation dotée de tous les éléments d'une centrale électrique à grande échelle. Dans une analyse, il a examiné le système de contrôle de la turbine à gaz, en se concentrant en particulier sur la manière dont le logiciel contrôlant la vanne de régulation de carburant pourrait être modifié pour provoquer des pertes au niveau du système.

    L'analyse de la cybersécurité a abouti à plusieurs scénarios de pertes liées à des turbines impliquant des incendies ou des explosions, des pannes catastrophiques d'équipements et, finalement, une incapacité à générer de l'électricité.

    Par exemple, dans un scénario, l'attaquant désactive le système de protection numérique de la turbine et modifie la logique du logiciel qui commande la vanne de régulation de carburant pour maintenir la vanne ouverte lorsqu'elle doit être fermée, empêchant ainsi le carburant de s'écouler dans la turbine. Si la turbine est alors soudainement déconnectée du réseau, elle commencera à tourner plus vite que sa limite de conception et se brisera, endommageant les équipements à proximité et causant des dommages aux travailleurs de la région.

    L’analyse de Cybersafety a révélé la source de cette vulnérabilité: une version mise à jour du système de contrôle avait supprimé un assemblage de boulon mécanique de secours assurant une protection de la "survitesse" de la turbine. Au lieu de cela, la protection de survitesse a été entièrement mise en œuvre dans le logiciel

    Ce changement était logique du point de vue des entreprises. Un dispositif mécanique nécessite une maintenance et des tests réguliers, tests qui soumettent la turbine à des contraintes si extrêmes qu'elle échoue parfois. Toutefois, étant donné l’importance de la cybersécurité, il pourrait être judicieux de rétablir le verrou mécanique en tant que dispositif de sécurité autonome - ou du moins d’envisager des systèmes de protection électronique contre les survitances en tant que dernière ligne de défense.

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  27. Une autre étude de cas s'est concentrée sur les systèmes utilisés pour fournir de l'eau réfrigérée et de la climatisation aux bâtiments desservis. Une fois encore, l’analyse de la cybersécurité a révélé plusieurs scénarios de perte; dans ce cas, la plupart avaient une cause commune: l'utilisation d'entraînements à fréquence variable (EFV) pour ajuster la vitesse des moteurs entraînant les pompes à eau et les compresseurs.

    Comme tous les moteurs, le moteur entraînant le compresseur du refroidisseur a certaines vitesses critiques auxquelles une résonance mécanique se produit, provoquant des vibrations excessives. Les VFD sont généralement programmés pour ignorer ces vitesses critiques lors du démarrage du moteur. Mais certains EFV sont programmables sur le réseau. Ainsi, un attaquant peut interroger un VFD sur la vitesse critique du moteur connecté, puis lui ordonner de l'entraîner à cette vitesse dangereuse, en l'endommageant de façon permanente.

    "C'est un type d'attaque simple; il ne nécessite pas beaucoup de sophistication", a déclaré Khan. "Mais il pourrait être lancé et causer des dégâts catastrophiques." Il cite des travaux antérieurs réalisés par Matthew Angle '07, MEng '11, Ph.D. 16, en collaboration avec Madnick et Kirtley. Dans le cadre d'une étude menée en 2017 sur les cyberattaques sur les systèmes de contrôle industriels, Angle a mis au point un kit de test moteur à l'échelle du laboratoire équipé d'un VFD complet avec code informatique bien connu des chercheurs. En modifiant simplement quelques lignes de code clés, ils ont provoqué l'explosion de condensateurs du VFD, projetant de la fumée s'échappant dans la cour derrière leur laboratoire MIT. Dans un environnement industriel avec des VFD de taille normale, une cyberattaque similaire pourrait causer des dommages structurels importants et éventuellement nuire au personnel.

    Compte tenu de ces possibilités, l'équipe de recherche recommande aux entreprises d'examiner attentivement la "fonctionnalité" de l'équipement dans leur système. Bien souvent, le personnel de l'usine n'est même pas conscient des capacités offertes par son équipement. Par exemple, ils peuvent ne pas se rendre compte qu'un variateur de fréquence entraînant un moteur dans leur usine peut fonctionner en sens inverse en modifiant légèrement le code informatique qui le contrôle - une cyber-vulnérabilité évidente. La suppression de cette vulnérabilité nécessiterait l'utilisation d'un VFD avec moins de fonctionnalités. "Une bonne ingénierie pour éliminer ces vulnérabilités peut parfois être qualifiée à tort de retour en arrière, mais il peut être nécessaire d'améliorer la sécurité de l'usine", explique Khan. Une analyse complète de la cybersécurité d'un système ne soulignera pas seulement ces problèmes, mais guidera également le placement stratégique de capteurs analogiques et d'autres boucles de rétroaction redondantes qui augmenteront la résilience du fonctionnement du système.

    Relever le défi

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  28. Tout au long de leurs recherches sur la cybersécurité, Khan, Madnick et leurs collègues ont découvert que les vulnérabilités peuvent souvent être attribuées au comportement humain, ainsi qu’aux décisions en matière de gestion. Dans un cas, une entreprise avait inclus le code d'accès par défaut pour son équipement dans le manuel de l'opérateur, disponible au public sur Internet. D'autres cas concernaient des opérateurs connectant des clés USB et des ordinateurs portables personnels directement au réseau de l'usine, rompant ainsi le vide et introduisant même des logiciels malveillants dans le système de contrôle de l'usine.

    Dans un cas, un travailleur de nuit a téléchargé des films sur un ordinateur de l’usine à l’aide d’une clé USB. Mais souvent, de telles actions ont été entreprises dans le cadre de tentatives désespérées visant à remettre en service une usine en cours de fermeture. "Dans le grand schéma des priorités, je comprends que mettre l'accent sur la remise en service de l'usine fait partie de la culture", a déclaré Madnick. "Malheureusement, ce que les gens font pour maintenir leur usine en activité la met parfois plus à risque."

    La mise en place d'une nouvelle culture et d'un nouvel état d'esprit nécessite un engagement sérieux en faveur de la cybersécurité tout au long de la chaîne de gestion. Les stratégies d'atténuation vont probablement nécessiter une réingénierie du système de contrôle, l'achat de nouveaux équipements ou la modification des processus et procédures pouvant entraîner des coûts supplémentaires. Compte tenu des enjeux, la direction doit non seulement approuver de tels investissements, mais également instiller un sentiment d'urgence dans leurs organisations pour identifier les vulnérabilités et les éliminer ou les atténuer.

    Sur la base de leurs études, les chercheurs ont conclu qu’il était impossible de garantir qu’un système de contrôle industriel ne verrait jamais ses défenses de réseau violées. "Par conséquent, le système doit être conçu de manière à résister aux effets d'une attaque", a déclaré Khan. "L'analyse de la cybersécurité est une méthode puissante car elle génère un ensemble d'exigences - non seulement techniques, mais également organisationnelles, logistiques et procédurales - susceptibles d'améliorer la résilience de tout système énergétique complexe face à une cyberattaque."

    https://techxplore.com/news/2019-06-energy-infrastructure-cyberattack.html

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    1. Tout ce qui se transporte est piratable ! La télécommande d'ouverture de portières voiture, comme celle qui sert à enclencher l'alarme est piratable !

      Vous ressortez du supermarché: Plus de voiture !
      Vous rentrez chez vous: Vous avez été cambriolé avec neutralisation de l'alarme !
      Votre compte en banque est vidé ! (ou mensuellement par des petits retraits dont vous ne vous souciez pas et ne savez pas à quoi ils correspondent !).

      C'est pourquoi les dictateurs font tout pour supprimer l'argent liquide et vous ruiner du jour au lendemain en accusant 'des pirates' ! et maintiennent (par de FAUX affichages) le prix de l'or 'toujours au même prix' alors que son prix réel devrait être cent fois plus haut car: IL N'Y A PLUS D'OR !
      Il n'y a qu'un cube de 20,50 m d'arête dans le monde !

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  29. Comment les bouches des profondeurs océaniques alimentent les proliférations massives de phytoplancton


    5 juin 2019
    par l'Université de Stanford


    Des chercheurs de l'Université de Stanford affirment avoir découvert une autoroute aquatique permettant aux nutriments du ventre de la Terre d'atteindre les eaux de surface au large des côtes de l'Antarctique et de stimuler la croissance explosive d'algues microscopiques.

    Leur étude, publiée le 5 juin dans la revue Nature Communications, suggère que les sources hydrothermales - des ouvertures dans le fond de la mer qui projettent des flux brûlants de fluides riches en minéraux - pourraient affecter la vie près de la surface de l'océan et le cycle global du carbone plus que prévu.

    Mathieu Ardyna, chercheur postdoctoral et auteur principal de l'étude, a déclaré que la recherche fournissait la première preuve observée de la présence de fer dans les profondeurs de l'océan Austral transformant les eaux de surface normalement anémiques en points chauds pour le phytoplancton - les minuscules algues qui alimentent la chaîne alimentaire marine - emprisonnant le gaz carbonique de l’air et produisant une quantité énorme de l’oxygène que nous respirons. "Notre étude montre que le fer provenant des sources hydrothermales peut se répandre, traverser des centaines de kilomètres de haute mer et permettre au phytoplancton de se développer dans des endroits très inattendus", a-t-il déclaré.

    Kevin Arrigo, professeur de science du système terrestre et auteur principal de l'article, a qualifié les résultats de "importants parce qu'ils montrent à quel point les profondeurs et les océans de surface peuvent être intimement liés".

    Fleurs mystérieuses

    Le phytoplancton a besoin de fer pour se développer, ce qui limite son abondance dans de vastes étendues de l'océan où les concentrations de nutriments sont faibles. Toutefois, lorsque les conditions sont favorables, le phytoplancton peut également se développer de manière explosive et s’épanouir sur des milliers de kilomètres carrés en quelques jours.

    C'est ce qu'Ardyna a remarqué récemment en examinant les données enregistrées en 2014 et en 2015 par une flotte de robots flottants équipés de capteurs optiques dans l'océan Austral. À plus de 1 300 km des côtes de l'Antarctique et à 1 400 km du continent africain, deux proliférations d'une ampleur inattendue se sont produites dans une région connue pour ses graves pénuries de fer et ses faibles concentrations de chlorophylle, un indicateur des populations de phytoplancton.

    Des fleurs massives dans cette région ne pourraient être possibles qu'avec un afflux de fer. Ardyna et Arrigo ont rapidement écarté les sources les plus communes de l'océan, notamment les plateaux continentaux, la fonte des glaces de mer et la poussière atmosphérique, qui étaient tout simplement trop éloignés pour avoir beaucoup d'influence.

    Cela les a amenés à soupçonner que le nutriment devait jaillir d'en bas, probablement à partir d'une série d'évents hydrothermaux qui parsèment une dorsale médio-océanique à 750 milles de l'endroit où les énormes fleurs étaient apparues de manière inexplicable. Pour tester leur hypothèse, ils ont recruté une équipe internationale de collaborateurs spécialisés dans divers aspects de l'océanographie et de la modélisation.

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  30. "On sait depuis longtemps que les bouches hydrothermales créent des oasis de vie uniques et profondes", a déclaré Ardyna. Jusqu'à récemment, les scientifiques croyaient généralement que ces effets nutritifs restaient assez locaux. Cependant, de plus en plus de preuves tirées de simulations informatiques de la dynamique des océans ont laissé entendre que le fer et d’autres éléments essentiels à la vie rejetés par les bouches hydrothermales pourraient en fait alimenter les proliférations planctoniques dans des zones beaucoup plus vastes.

    Cependant, les mesures directes ont fait défaut.

    Dans l'océan Austral, c'est en partie à cause de son éloignement, du froid extrême et d'une mer agitée, ce qui rend difficile l'étude de près ou la collecte de données précises. "Vos capteurs doivent être au bon endroit au bon moment pour voir ces fleurs", a déclaré Ardyna. "Les satellites peuvent sous-estimer l'intensité ou les manquer complètement à cause d'une mauvaise couverture ou d'un mélange important de la colonne d'eau, ce qui pousse le phytoplancton trop profondément pour que les satellites puissent le voir."

    Indices de l'espace, robots flottants

    Pour suivre le flux de particules provenant des évents situés sur la dorsale océanique, les scientifiques ont analysé les données de satellites de mesure de la chlorophylle et de bouées autonomes chargées de capteurs, appelées flotteurs Argo. Lorsqu'elles plongent et dérivent le long des courants océaniques, certaines de ces bouées détectent la chlorophylle et d'autres variables de substitution pour la biomasse de phytoplancton. "Les flotteurs nous fournissent des données précieuses et uniques, couvrant une grande partie de la colonne d'eau jusqu'à 1 000 mètres de profondeur au cours d'un cycle annuel complet", a déclaré Ardyna.

    Les scientifiques ne pouvaient pas mesurer directement le fer dans l’eau, mais ont plutôt analysé les mesures de l’hélium recueillies lors de campagnes scientifiques dans les années 90. La présence d'hélium signale les eaux influencées par des sources hydrothermales, qui acheminent de grandes quantités d'hélium primordial sous la croûte terrestre.

    Les données relatives à la chlorophylle, au phytoplancton et à l'hélium suggèrent qu'un puissant courant faisant le tour de l'Antarctique s'empare des éléments nutritifs provenant des orifices de ventilation. Deux branches du courant turbulentes et en mouvement rapide transportent ensuite les nutriments vers l’Est pendant un mois ou deux avant de les servir comme un banquet à un phytoplancton sous-alimenté. Parallèlement à l'arrivée du soleil printanier qui fait que le phytoplancton a besoin de photosynthèse, la livraison déclenche une prolifération massive qui peut probablement absorber et stocker des quantités importantes de carbone de l'atmosphère, a déclaré Arrigo, également professeur des sciences de la Terre Donald et Donald M. Steel. .

    Au fil du temps, les fleurs se déplacent vers l’est en direction de la course autour de l’Antarctique et s’effacent de plus en plus par les créatures de la mer les dévorent. "Nous pensons que ces points chauds sont soit consommés, soit exportés vers les eaux profondes", a déclaré Ardyna.

    Chaque floraison ne dure qu'un peu plus d'un mois, mais les mécanismes qui les déclenchent sont probablement plus répandus dans l'océan mondial que ne le pensaient les scientifiques.

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  31. "Les bouches hydrothermales sont dispersées sur tout le fond de l'océan", a déclaré Ardyna. Connaître les voies qui amènent leurs nutriments dans les eaux de surface aidera les chercheurs à effectuer des calculs plus précis sur les flux de carbone dans les océans de la planète. "Il reste beaucoup à faire pour révéler d'autres points chauds potentiels et quantifier l'impact de ce mécanisme sur le cycle du carbone."

    https://phys.org/news/2019-06-deep-ocean-vents-fuel-massive-phytoplankton.html

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    1. C'est la 'découverte' la plus con de l'histoire ! La 'découverte' de 'bouches hydrothermales' au fond des océans ! Whôaah !
      Et en plus (parce que ce n'est pas fini !!): Les courants marins qui transporteraient des éléments !! Çà alors ! Qui y aurait pensé ? Hahahaha !

      (...) Des chercheurs de l'Université de Stanford affirment avoir découvert une autoroute aquatique (...)

      http://joannenova.com.au/2017/12/do-40000-volcanoes-matter/#more-56139

      https://huemaurice5.blogspot.fr/2017/12/est-ce-que-40-000-volcans-sont.html

      https://huemaurice5.blogspot.fr/2015/03/les-volcans-sous-marins-finalement-pris.html

      https://huemaurice5.blogspot.fr/2018/01/la-terre-est-une-planete-froide.html

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  32. Ohio House demande instamment au gouvernement fédéral de désigner un organisme terroriste étranger, un cartel de drogue mexicain


    par Tyler Durden
    Mer., 06/05/2019 - 21:45
    Écrit par Jennie Taer via SaraCarter.com,


    Les cartels mexicains exploitent une épidémie d’opioïdes généralisée qui tue près de 130 Américains chaque jour et l’Ohio, comme d’autres États, se trouve à l’épicentre de leurs stocks de stupéfiants.

    L'État prend des mesures pour se défendre.

    Cette question a été soulignée lors d'une audition la semaine dernière avec le comité de justice pénale de l'Ohio House, qui envisage d'adopter simultanément le projet de résolution 10 de la Chambre des députés pour exhorter le gouvernement fédéral à désigner plusieurs des cartels de la drogue mexicains, des organisations terroristes étrangères. Actuellement, les cartels de la drogue sont classés dans les organisations criminelles transnationales. Il lui faudrait toujours demander l’adoption de l’ensemble de la législature de la Ohio House.

    Résolution de la maison 10:

    RÉSOLU, Que nous, membres de la 133ème Assemblée générale de l'État de l'Ohio, exhortons respectueusement le gouvernement fédéral à désigner les cartels de la drogue opérant depuis le Mexique en tant qu'organisations terroristes étrangères, afin que le gouvernement puisse utiliser les moyens appropriés pour atténuer et éventuellement éliminer opérations des cartels;

    Dans l'Ohio et dans tout le pays, des familles et des communautés ont été déchirées, tandis que les principaux cartels de la drogue mexicains, tels que Sinaloa et Jalisco Nueva Generacion, ont amassé des milliards de dollars grâce à la mort et à la dépendance des Américains.

    «Les cartels de drogue mexicains ne transportent pas d’avions dans les bâtiments, mais ils expédient de manière agressive du poison dans nos communautés», a expliqué Heidi Riggs au comité de la justice pénale de l’Ohio House la semaine dernière. Riggs, une mère qui a perdu sa fille Marin en raison d'une dépendance à l'héroïne, est maintenant un défenseur de la lutte contre l'épidémie. Malheureusement, Marin est décédée deux semaines après son vingtième anniversaire des suites d'une overdose d'héroïne. Marin s'est battue longtemps et avec acharnement pour vaincre sa dépendance, mais la drogue a pris le contrôle ultime et a revendiqué sa vie comme dommage collatéral d'un problème plus grave.

    Riggs a témoigné aux côtés de la journaliste d'investigation Sara A. Carter et de l'ancien agent spécial de la Drug Enforcement Administration, Derek Maltz, qui a passé toute sa carrière à lutter contre les cartels et les organisations terroristes.

    Maltz a passionnément transmis son message au comité.

    "En fin de compte, l'Ohio est inondé de crimes, de drogues, de violences alimentées par les cartels de drogue mexicains", a-t-il déclaré.

    «Les cartels profitent de ces toxicomanes. Si vous souhaitez déclarer un groupe une organisation terroriste, il suffit de consulter le site Web du département d’État: il doit s'agir d’une organisation étrangère. Vérifier. L'organisation doit s'engager dans le terrorisme. Vérifier. L’organisation, ou l’activité terroriste, doit menacer la sécurité des États-Unis ou la sécurité nationale. Vérifier. Désignation attendue depuis longtemps à Washington, mais ils sont endormis. "

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  33. Les chemins du trio se sont croisés l’année dernière lors de la production du documentaire Not In Vein, qui porte à la fois sur la toxicomanie et le trafic de stupéfiants de l’autre côté de la frontière. Ils espèrent pousser pour un réel changement. Le film a été produit par The Dark Wire Investigation Foundation, une association à but non lucratif de Carter, et en collaboration avec la Full Story Foundation, basée dans l’Ohio.

    Leur dernière demande est que l'État de l'Ohio désigne les cartels mexicains des organisations terroristes étrangères (FTO) dans l'espoir de créer un précédent au niveau national.

    "Je l'appelle une action terroriste."

    Ohio est un point de départ important. En 2017 seulement, l'État du Midwest s'est classé deuxième pour le nombre de décès liés aux opioïdes, selon le Centers for Disease Control. «Cet état a été qualifié de point zéro pour l'épidémie d'héroïne et d'opioïdes. La DEA a identifié Dayton et Columbus comme les principaux points de distribution des cartels », a déclaré Carter.

    Selon Carter, les cartels mexicains considèrent des États comme l'Ohio, la Géorgie ou la Virginie «comme un marché potentiel pour attirer de plus en plus de toxicomanes, infiltrer les systèmes scolaires, gagner leur argent et le ramener au Mexique, et continuer à perpétuer cette horrible épidémie, Poursuit-elle. J'appelle cela une action terroriste.

    Selon la DEA, c’est le marché idéal, avec une augmentation sans précédent de la demande entre 2013 et 2015. Les cartels mexicains ont répondu à cette demande en augmentant leur production d’héroïne de 169%. Dans «Not in Vein», un documentaire produit par Sara A. Carter, Chris Farrell, directeur des enquêtes et des recherches au sein du groupe de surveillance gouvernemental Judicial Watch, précisons simplement que les cartels fonctionnent exactement comme Walmart. "Walmart ne manque jamais de lait, le cartel ne manque jamais de drogue", a déclaré Farrell.

    La recherche de la prochaine dose

    Dans de nombreux cas, les sociétés pharmaceutiques ont des patients accrochés. Après tout, Purdue Pharma a été accusé d'avoir «mal étiqueté» le stupéfiant hautement toxicomanogène OxyContin, considéré comme un «médicament miracle» prétendant avoir «peu de risque de dépendance ou d'abus». Mais même dans ce cas, une fois que les patients ont épuisé les ordonnances, ils font tout et n'importe quoi pour leur prochaine dose. Les pilules de rue ou l’héroïne illicites sont la deuxième option la plus facilement disponible et la moins chère. Et c’est la plus grande source d’euphorie, selon les toxicomanes qui ont parlé à SaraACarter.com.

    Ashley Evans est une survivante de la dépendance à l'héroïne. C’était une drogue qui prenait le contrôle de sa vie et elle l’appelait «le diable». L’histoire d’Evans est décrite dans «Not in Vein», paru l’année dernière. Evans a déclaré à Carter que sa dépendance l'avait amenée à consommer de l'héroïne alors qu'elle était enceinte de sa fille Olivia. Miraculeusement, Olivia est née en bonne santé et sa mère l’a maintenant après plusieurs mois de séparation alors que Ashley suivait un traitement.

    Cette drogue satanique est introduite dans notre pays par les cartels mexicains. Ils le cultivent en grande quantité dans les champs mexicains et le transportent à travers notre frontière sud. Pour faire face à la demande de drogues plus fortes et plus fortes, les cartels mélangent des drogues telles que l'héroïne et la méthamphétamine avec du fentanyl, un opioïde synthétique extrêmement puissant. Les cartels mènent ces opérations au-delà de l'hémisphère occidental, obtenant du fentanyl de Chine.

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  34. Appelez les cartels par leur nom

    Dans une interview accordée à Hill.TV, Uttam Dhillon, directeur par intérim de la DEA, a qualifié les cartels mexicains de «la plus grande menace pénale à laquelle les États-Unis sont actuellement confrontés». Aujourd'hui, les cartels mexicains sont classés dans la catégorie «organisations criminelles transnationales étrangères», et Chris Farrell a déclaré dans «Not in Vein», la désignation «ne coupe pas le problème». «Vous donnez un choix au gouvernement mexicain, il peut coopérer et nous aider à les combattre, en tant que tels: organisations terroristes, ou nous pouvons le faire nous-mêmes », a expliqué Farrell.

    Les critères légaux sont bien définis. Selon le département d’État américain, l’organisation doit être étrangère, elle doit «se livrer à une activité terroriste» et constituer une menace pour notre sécurité nationale. Derek Maltz a dit exactement cela dans son témoignage de jeudi. "Il est attendu depuis longtemps pour cette désignation à Washington, mais ils dorment, ils ne le font pas et les gens meurent", a déclaré Maltz.

    Il est temps d’appeler les cartels par leur vrai nom les organisations terroristes et d’allouer les ressources nécessaires aux niveaux fédéral et régional pour anéantir leurs opérations.

    Cliquez ici pour en savoir plus sur «Not in Vein»:
    http://notinveinusa.com

    https://www.zerohedge.com/news/2019-06-05/ohio-house-urges-feds-designate-mexican-drug-cartels-foreign-terrorist-organization

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  35. Des choses effrayantes cachées dans vos lampadaires ?


    par Tyler Durden
    Mer., 06/05/2019 - 19:05
    Écrit par Laura Valkovic via LibertyNation.com,


    Est-ce que vos lampadaires vous surveillent ?

    Une partie du paysage urbain si bénigne et banale que les citadins peuvent ne même pas remarquer, les lampadaires sont utiles pour illuminer une route et rien d’autre - ou du moins que vous ne le pensiez. Les gens de nos jours sont habitués à l'idée de caméras de vidéosurveillance, même cachées, mais les réverbères ont tendance à se fondre dans le décor. C'est peut-être pour cette raison qu'ils trouvent de nouvelles fonctions dans le monde moderne, avec son zèle pour la surveillance. Ces appareils apparemment inoffensifs peuvent héberger des microphones et des caméras, en passant par la reconnaissance faciale et la transmission Wi-Fi 5G obligatoire de facto.

    Des lampadaires à LED sont installés dans les villes et les lieux publics du monde entier, en partie à cause de leurs propriétés économiques et économes en énergie. Les nouvelles installations comprennent une large gamme de capteurs conçus pour capturer des données sur l'activité du public. Chuck Campagna, PDG de la société d’éclairage Amerlux, a déclaré au New York Times: «Nous ouvrons un tout nouveau domaine en matière d’applications et de services d’éclairage, notamment la sécurité vidéo et la sécurité publique, la gestion du stationnement, la maintenance prédictive, etc.

    «Nous considérons l'éclairage extérieur comme l'infrastructure idéale pour construire un tout nouveau réseau», a ajouté Hugh Martin, directeur général de la société Sensity, qui a installé l'éclairage intelligent à l'aéroport de Newark.

    "Nous avons pensé que vous souhaitiez utiliser ce réseau pour collecter des informations sur les gens et la planète."

    Éclairage dans une ville intelligente

    En avril 2018, Singapour a annoncé qu'elle lancerait un programme pilote de «lampadaire en tant que plate-forme», dans lequel une variété de capteurs, y compris des caméras associées à la technologie de reconnaissance faciale, serait associée à l'éclairage des rues. GovTech, le département en charge du projet, a déclaré à Reuters que cette technologie serait utilisée pour effectuer des «analyses de masse» et aider aux enquêtes sur le terrorisme. Selon l’ancien haut fonctionnaire de la ville, Peter Ong, l’objectif est de relier chaque lampadaire à un réseau de capteurs. En octobre, il a été annoncé que Singapore Technologies Engineering (STENGG) avait remporté l'appel d'offres pour la fourniture de la technologie. Un programme similaire de lampadaire intelligent commencerait à Hong Kong, où 50 lampes seront installées d'ici juin. Le design du lampadaire de Hong Kong contient certes des caméras de surveillance, mais il n’est pas clair si elles seront également associées à des programmes de reconnaissance faciale.

    Les lampadaires intelligents de STENGG sont simplement conçus pour être un fil conducteur dans un réseau Internet des objets plus étendu, dans lequel pratiquement tous les objets sont connectés à un réseau partagé. Dans le cadre d'un tel système, les lampadaires sont tellement plus que de simples illuminateurs de rue; ce sont des dispositifs polyvalents utilisés pour surveiller le paysage urbain. La conception comprend des capteurs environnementaux, un hotspot Wi-Fi, un écran d’infodivertissement, un radar pour la surveillance des véhicules et, bien sûr, des équipements pour «la sécurité publique et la surveillance du trafic». Naturellement, cet aspect du réseau est minimisé; Une vidéo promotionnelle pour le système Internet des objets WISX de la société ne mentionne pas du tout la surveillance de la population, pas plus que la brochure du gouvernement de Hong Kong.

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  36. Singapour est un pays prospère mais réputé pour sa discipline sociale très contrôlée. Les pays occidentaux autoriseraient-ils l'implantation de cette technologie potentiellement invasive dans toutes les rues ?

    Vincent Chong, directeur général de STENGG, a déclaré que la société avait été embauchée pour permettre l’éclairage urbain intelligent dans des villes canadiennes, américaines, britanniques, néo-zélandaises et israéliennes, ainsi que pour d’autres projets d’infrastructures à travers le monde.

    Surveillance urbaine

    Il n’est pas nécessaire de créer un réseau intelligent complet pour installer la technologie de surveillance dans les lampadaires. Dès 2007, l’idée de fixer des caméras aux lampadaires était à l’étude au Royaume-Uni; en 2010, un système de microphones a été déployé sur des lampadaires dans plusieurs villes britanniques. Les microphones très puissants ont été conçus pour capter les voix en colère ou en détresse et les sons suspects, ce qui permet à la caméra liée d’agrandir automatiquement le zoom sur la source du bruit.

    Une technologie similaire a été utilisée dans plusieurs villes américaines, notamment à New York, qui permettait de fixer des microphones aux réverbères des quartiers à forte criminalité. Les capteurs ShotSpotter ne capteraient que les bruits suspects, tels que des coups de feu ou des cris, puis enverraient une alerte au service de police. Bien que les données semblent avoir été peu fiables, elles n’ont pas empêché la police d’essayer de les utiliser comme preuves dans des procès pénaux.

    «Il y a quelques problèmes qui se posent», a déclaré Katie Higgins, défenseure publique adjointe du comté de Monroe, qui travaillait pour le compte de Silvon Simmons, un homme jugé pour avoir tiré sur un policier en 2016, sur la base des enregistrements de ShotSpotter.

    «Le premier est qu’il a été conçu pour être un outil d’enquête pour la police, pour la prévenir des coups de feu possibles et lui permettre de réagir pour savoir s’il existe des témoins civils ou d’autres preuves de tir. Mais il n'a pas été conçu pour servir de preuve principale (dans un procès). "

    Le juge dans l'affaire a apparemment accepté, après avoir jugé les enregistrements trop «peu fiables» pour pouvoir être utilisés comme élément de preuve clé pour condamner un homme.

    En 2017, San Diego est devenue peut-être la ville américaine la plus investie dans l'éclairage de surveillance, en s'associant à General Electric pour installer des caméras, des microphones et des capteurs dans plus de 3 000 lampadaires. D'autres lieux, de même que des agences fédérales, ont commandé du matériel d'enregistrement destiné à être installé dans des lampadaires. Immigration and Customs Enforcement (ICE) et la Drug Enforcement Administration (DEA) américaine ont acheté de tels dispositifs, rapports Quartz, sur la base de documents de passation des marchés publics.

    Christie Crawford, propriétaire de Cowboy Streetlight Concealments, auprès duquel la DEA achète de l'équipement, a déclaré:

    «Nous faisons des dissimulations de réverbères et des boîtiers de caméras. En gros, il y a des entreprises qui construiront des dissimulations pour le gouvernement et c’est ce que nous faisons. Ils spécifient ce qui est le mieux pour eux, et nous le faisons. Et c’est à peu près tout ce que je peux probablement dire… Je peux vous dire ceci: les choses sont constamment surveillées. Peu importe si vous conduisez dans la rue ou si vous rendez visite à un ami, si le gouvernement ou les forces de l’ordre ont une raison de mettre en place une surveillance, il existe une excellente technologie pour le faire. "

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  37. Solution urbaine ou outil de tyrannie ?

    Enfin, l’Internet sans fil 5G sera bel et bien déployé en 2019. Alors que les connexions Wi-Fi précédentes, telles que la 4G, étaient optionnelles à la maison, un résident pouvait choisir d’acheter le Wi-Fi ou non. transporter des émetteurs 5G. En raison de la fréquence élevée et de la courte portée des ondes millimétriques de la 5G, il est nécessaire de placer les émetteurs à intervalles réguliers pour maintenir le signal en marche. Vous n'aurez plus le choix si vous voulez un signal wifi constant dans votre résidence; il sera effectivement obligatoire pour tous les citadins car les signaux électromagnétiques seront envoyés dans les maisons depuis la rue. Compte tenu de la nature non testée de la technologie 5G, certaines personnes souhaiteront peut-être un peu plus de contrôle sur leur exposition que cela.

    Les lampadaires intelligents sont-ils la prochaine grande solution pour la planification urbaine et la gestion des villes, ou un mécanisme pratique pour la surveillance publique ? Il semble presque ridicule de penser que les lampadaires pourraient être le prochain outil de tyrannie le plus utile, mais leur banalité et leur placement régulier dans les rues en font un moyen idéal de surveiller, et donc de contrôler, de larges pans de la population mondiale.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-06-04/frightening-stuff-hidden-your-streetlights

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  38. Sommes-nous confrontés à une catastrophe alimentaire mondiale ?


    par Tyler Durden
    Mer., 06/05/2019 - 17:45
    Écrit par F.William Engdahl via New Eastern Outlook,


    Non, ce n'est pas du tout une approbation des scénarios apocalyptiques de l'AOC ou de la célèbre jeune climatologue suédoise Greta. Il s’agit toutefois de catastrophes météorologiques inhabituelles dans plusieurs régions en pleine croissance, des États-Unis à l’Australie, aux Philippines et au-delà, susceptibles d’affecter considérablement la disponibilité et les prix de la nourriture au cours de l’année à venir. Cela pourrait avoir des implications politiques majeures en fonction de l'évolution du reste de la saison de croissance.

    Etats-Unis Midwest gorgés d'eau

    Selon le dernier rapport daté du 20 mai du National Agricultural Statistics Service (NASS) du département de l'Agriculture des États-Unis, les cultures de maïs et de soja sont bien en deçà des niveaux de croissance normaux des semis en cette période de la saison des semis. Ils rapportent que seulement 49 % de toute la superficie de maïs prévue aux États-Unis a été plantée, contre 78 % à la même époque l'an dernier. De ce nombre, 19 % seulement sont encore sortis du sol, contre 47 % en mai 2018. En ce qui concerne le soja, à peine 19 % des cultures ont déjà été plantées, contre 53 % une année auparavant. La superficie cultivée en riz est tombée à 73 %, contre 92 % il y a un an dans les six États américains producteurs de riz. Bien sûr, si les conditions météorologiques s'amélioraient considérablement, les chiffres de la récolte finale pourraient s'améliorer. Il est tout simplement trop tôt pour prédire.

    Les États-Unis sont de loin le premier producteur mondial de soja, avec 34% de la production mondiale de soja et 42% des exportations mondiales avant les batailles commerciales de la Chine. Les États-Unis sont également le premier producteur mondial de maïs ou de maïs, presque le double de la Chine, le deuxième. Un grave échec de la récolte de ces deux cultures pourrait avoir une incidence importante sur les prix mondiaux des denrées alimentaires, sans compter le fait regrettable que presque tout le soja et le maïs américains sont des cultures OGM. Ils sont principalement utilisés dans l'alimentation animale.

    Un des principaux facteurs de la perturbation de la saison de croissance dans le Midwest américain est le fait que les précipitations ont été les plus abondantes au cours des 12 derniers mois depuis que le gouvernement américain a commencé à tenir des statistiques en 1895, selon les centres nationaux d'information sur l'environnement de la NOAA aux États-Unis. Les chutes de neige record suivies de pluies anormalement fortes en sont la raison.

    Il est à noter qu'un El Niño du Pacifique fort était en jeu en 2015-2016 et qu'un nouveau El Niño a été confirmé l'hiver dernier, un peu plus tôt que la normale. Précisément comment cela a affecté le temps actuel n'est pas encore clair. El Niño est le réchauffement périodique de l'océan Pacifique équatorial oriental et central.

    Connecté à l'activité solaire et non à des facteurs anthropiques, il peut modifier les conditions climatiques mondiales en quelques mois, offrant ainsi la possibilité d'un temps plus chaud, froid, humide ou sec dans certaines parties du monde. Ils se produisent par cycles tous les plusieurs années, généralement tous les deux à sept ans, et il est à noter qu’il existe un phénomène El Nino confirmé, bien que relativement faible, qui devrait atteindre son sommet ce mois de mai. En avril, la NOAA estimait que les conditions actuelles d'El Niño se poursuivraient dans l'hémisphère Nord au printemps 2019 (~ 80% de chances) et en été (~ 60% de chances).

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  39. Australie et Philippines: grave sécheresse

    Alors que la région agricole du Midwest américain est saturée d’eau, d’autres régions du monde souffrent de la sécheresse, notamment l’Australie, l’un des principaux producteurs de céréales. Pour la première fois depuis 2007, l'Australie est obligée d'importer du blé, principalement du Canada. L'année dernière, la sécheresse a entraîné une réduction de 20% des récoltes. Le gouvernement a délivré un permis d'importation en vrac pour remédier à la situation. La récolte actuelle de blé est estimée à 16 millions de tonnes, soit la moitié de ce qu'elle était il y a deux saisons. L'Australie est, ces dernières années, le cinquième pays exportateur mondial de blé.

    En plus du manque de céréales, les Philippines connaissent une sécheresse majeure depuis février 2018, qui dévaste la récolte de riz actuelle. Bien que le pays ne figure pas parmi les plus grands producteurs de riz au monde - l'Inde, la Thaïlande, le Vietnam et le Pakistan totalisant environ 70% de ses exportations de riz -, il a un impact politique important sur le pays en difficulté.

    La Corée du Nord est un autre pays touché par une grave sécheresse. Depuis 1982, les précipitations sont les plus faibles depuis le début de l'année. Selon les médias, une «grave sécheresse a persisté dans toutes les régions» du pays. Les précipitations moyennes enregistrées depuis janvier ne représentent que 42,3 % de la précipitation annuelle moyenne de 5 pouces. Cela survient alors que le pays connaît des pénuries alimentaires importantes. Les données sont probablement politisées, mais l’effet des sanctions internationales n’aide en rien.

    Bien que ces lacunes importantes ne soient toujours pas un motif de déclaration d’urgence mondiale, elles ont notamment lieu au même moment où la République populaire de Chine est au cœur de la pire infestation de peste porcine africaine mortelle touchant l’ensemble de la population porcine de Chine. L'USDA estime que pas moins de 200 millions de porcs doivent être abattus cette année pour que la contagion soit maîtrisée. La Chine est le plus grand producteur de porc du monde

    Bien que ces lacunes importantes ne soient toujours pas un motif de déclaration d’urgence mondiale, elles ont notamment lieu au même moment où la République populaire de Chine est au cœur de la pire infestation de peste porcine africaine mortelle touchant l’ensemble de la population porcine de Chine. L'USDA estime que pas moins de 200 millions de porcs doivent être abattus cette année pour que la contagion soit maîtrisée. La Chine est de loin le premier producteur mondial de porcs, avec quelque 700 millions d’euros. Comme si cela ne suffisait pas, le pays est touché par un fléau de légionnaires d'automne qui pourrait dévaster des cultures telles que le maïs ou le soja à travers la Chine.

    Tout cela ne tient pas compte des différentes zones de guerre dans le monde, du Yémen à la Syrie, en passant par la Syrie, où la production agricole a été dévastée par la guerre.

    La Russie, nouvelle puissance céréalière ?

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  40. Les difficultés actuelles des cultures ou d’éventuelles pertes de production pourraient être un avantage majeur pour la Russie, pays qui, depuis l’imposition des sanctions américaines et européennes en 2014, est devenu au cours des trois dernières années le premier exportateur mondial de blé, dépassant de loin le Canada et les États-Unis. Selon les estimations, en ce qui concerne les récoltes 2019/2020, la Russie exportera 49,4 millions de tonnes de blé, chiffre record, soit environ 10% de plus que l'année précédente. L'année dernière, la Russie a représenté 21% des exportations mondiales totales de blé, contre environ 14% pour les États-Unis et à peu près la même chose pour le Canada.

    Les sanctions occidentales contre la Russie ont eu pour effet intéressant de forcer le gouvernement à prendre des mesures pour devenir autosuffisant en matière de production alimentaire. Le gouvernement a interdit les plantations ou les importations d'OGM en 2016 et dispose de sols de terre noire parmi les plus productifs de la planète. Au moins à court terme, la Russie est bien placée pour intervenir pour remédier aux divers problèmes de récolte sur les marchés mondiaux des céréales.

    S'il est peu probable qu'on lui demande de vendre du grain aux États-Unis, si cela se produisait, ce serait une ironie historique majeure. Au cours des mauvaises récoltes soviétiques du début des années 1970, le secrétaire d'État Henry Kissinger a orchestré, avec la complicité de Cargill et du cartel du grain, la vente de tonnes de céréales à l'URSS à des prix énormément gonflés dans ce que l'on a appelé le Grand Grain. Vol qualifié, faisant grimper les prix des céréales dans les bourses de Chicago à des sommets depuis 125 ans. Combiné au choc des prix du pétrole de 400 % de l'OPEP entre 1973 et 1974, dans lequel la diplomatie sournoise du même Kissinger a joué un rôle central, la nourriture et le pétrole ont été à l'origine de la forte inflation des années 1970, et non des revendications salariales des travailleurs américains ou européens. comme on nous a dit.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-06-05/do-we-face-global-food-disaster

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    1. Aujourd'hui, l'Afrique se nourrit 'seule' grâce à l'intervention chinoise pour en développer un agriculture productive et exportatrice.
      C'est désormais l'agriculture utile qui prime et plus celle des subvention pour jeter la marchandise en décharges !

      Voir:

      Où les voitures invendues du monde vont mourir

      mercredi 3 mai 2017

      https://huemaurice5.blogspot.com/2017/05/ou-les-voitures-invendues-du-monde-vont.html

      Exemple de production pour faire croire !
      Des milliers (millions ?) de véhicules à jeter !

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  41. Un sondage a révélé que plus de citoyens américains s'inquiétaient de la "fausse nouvelle" au terrorisme, au racisme et au changement climatique


    par Tyler Durden
    Mer., 06/05/2019 - 15:10


    Un nouveau sondage du Pew Research Center a révélé que les Américains considèrent les fausses informations comme une menace plus grande que le terrorisme, les crimes violents, les changements climatiques, le racisme et l’immigration clandestine.

    Le sondage a également révélé que 68 % des adultes américains déclarent que les nouvelles inventées "ont une influence considérable sur la confiance des Américains dans les institutions gouvernementales", tandis que 54 % affirment que cela a un impact majeur sur la confiance entre compatriotes américains et 51% la capacité des dirigeants politiques à faire le travail.

    - voir graphique sur site -

    À qui la faute ? Selon les personnes interrogées, les dirigeants politiques et les militants sont plus responsables des fausses informations que les journalistes, mais ils estiment que la responsabilité première du problème est de la responsabilité des médias. Ils ont également déclaré que le problème s'aggraverait avec le temps.

    - voir graphique sur site -

    La grande majorité des Américains disent qu'ils rencontrent parfois ou souvent des informations inventées. En réponse, beaucoup ont modifié leurs habitudes de consommation d'informations, notamment en vérifiant les faits et en modifiant les sources vers lesquelles ils se tournent.

    En outre, environ huit adultes sur dix aux États-Unis (79 %) estiment que des mesures devraient être prises pour limiter les informations inventées, par opposition à 20 % qui y voient une communication protégée. -Banc

    Près de quatre Américains sur dix (38%) ont déclaré avoir «souvent» eu connaissance d'actualités et d'informations inventées, tandis que 51% ont répondu «parfois». En réponse, les Américains ont changé leurs nouvelles et leurs habitudes technologiques.

    Environ 78 % des personnes interrogées déclarent avoir vérifié les informations, tandis que 63% n’ont plus rien à en dire. 52 % déclarent avoir changé leur façon d'utiliser les médias sociaux, tandis que 43 % ont réduit leur consommation globale d'informations.

    L'inquiétude suscitée par les nouvelles inventées a également affecté la manière dont les adultes américains interagissent les uns avec les autres. La moitié déclare avoir évité de parler à quelqu'un parce qu'elle pensait que cette personne apporterait des informations inventées à la conversation.

    Dans l'environnement numérique, la moitié des consommateurs d'informations sur les réseaux sociaux ont cessé de suivre une personne qu'ils connaissaient parce qu'ils pensaient que cette personne publiait des informations et informations inventées, et le même pourcentage a cessé de suivre une agence de presse pour cette raison. -Banc

    Les républicains plus concernés que les démocrates

    Selon l'enquête, les républicains expriment un plus grand scepticisme quant à la couverture de fausses informations par les démocrates, ont tendance à en vouloir davantage aux journalistes, et considèrent généralement les fausses nouvelles comme un problème plus vaste.

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  42. - voir graphique sur site -

    Une forte majorité des républicains et des indépendants à tendance républicaine (62 %) affirment que l'actualité inventée est un très gros problème dans le pays aujourd'hui, contre moins de la moitié des démocrates et des indépendants à tendance démocratique (40 %). Les républicains enregistrent également une plus grande exposition aux nouvelles inventées. Environ la moitié des républicains (49 %) affirment le rencontrer souvent, 19% de plus que les démocrates (30 %).

    L'une des différences les plus nettes, cependant, réside dans le fait de blâmer la création de nouvelles et d'informations inventées. Les républicains sont près de trois fois plus susceptibles que les démocrates de dire que les journalistes en créent beaucoup (58 % contre 20 %).

    Les républicains accusent également davantage les groupes activistes, avec environ les trois quarts (73 %) de ces groupes créant beaucoup, soit près du double du taux des démocrates (38 %). Les dirigeants politiques et leur personnel, cependant, occupent une place de choix dans les rangs des partis - la moitié ou plus des partis disent créer beaucoup. Et alors que les membres des deux partis affirment que les médias d'information sont les premiers responsables de la résolution de la situation, ce sentiment est nettement plus répandu parmi les républicains (69 %) que les démocrates (42 %). -Banc

    La satire n'est pas un gros problème

    Pew a également posé des questions sur les distinctions entre cinq types d’informations; 'Fake News', altération de vidéos / images, informations de dernière heure non vérifiées, informations factuelles biaisées et satire d'un problème ou d'un événement.

    L’enquête a révélé que 67 % des personnes interrogées affirment que les fausses informations conçues pour induire en erreur génèrent une grande confusion quant aux faits de base des problèmes actuels, tandis que 63 % affirment la même chose à propos des fausses vidéos / images. Parmi les personnes interrogées, 79 % et 77 %, respectivement, disent qu'il faudrait faire quelque chose pour restreindre ce type de contenu.

    Vingt-quatre pour cent des sondés ont déclaré que Satire causait «beaucoup de confusion», tandis que 48% ont déclaré que cela causait «une certaine confusion» et 27% n'en ont pas dit grand-chose.

    - voir graphique sur site -

    Autres résultats clés (via le centre de recherche Pew)

    Les Américains estiment que les divisions politiques dans le pays constituent le principal obstacle à la résolution du problème de l'information inventée. Près des deux tiers (64%) considèrent ces divisions comme un très grand défi. Entre 41% et 44% des répondants citent la capacité de gagner de l’argent grâce aux nouvelles inventées, à la technologie numérique, au manque d’effort du public et à la faible sensibilisation à l’actualité, comme de très grands obstacles à la recherche d’une solution.

    Les Américains voient beaucoup d’informations et informations inventées autour de deux thèmes principaux: la politique et les élections (73%), les divertissements et les célébrités (61%). La politique et le divertissement dépassent de loin les quatre autres sujets abordés.

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  43. Dans une conclusion connexe, les Américains affirment que les nouvelles et les événements nationaux sont beaucoup plus nombreux que les événements locaux. Environ six répondants sur dix (58%) affirment que beaucoup d’informations inventées sont créées au sujet de problèmes nationaux, contre 18% qui disent la même chose des problèmes locaux.

    Environ la moitié des Américains (49%) considèrent la quantité d'actualités et d'informations inventées dans cette catégorie lorsqu'il s'agit d'identifier de très gros problèmes liés à l'information du public. Un pourcentage similaire (51%) considère que la capacité du public à distinguer les faits des opinions est un très gros problème, contre 37% qui considèrent que les journalistes insèrent leur propre point de vue dans la couverture comme un très gros problème quant à la manière dont le public reste informé.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-06-05/more-people-worried-about-fake-news-terrorism-racism-and-climate-change-poll

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    1. Faut dire que lorsque des Congressistes parlent de 'Démocratie' américaine alors que les USA est une république...

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  44. Un mystérieux dessin apparaît dans un champ de céréales du Val-d’Oise (photo)


    20:05 05.06.2019


    Un pilote d’avion a repéré d’immenses figures tracées dans un champ de blé à Baillet-en-France. Le cercle de culture est apparu ce week-end.

    Un pilote de l’aéroclub d’Enghien-Moisselles a découvert le 1er juin un dessin géant tracé dans un champ de blé de la commune de Baillet-en-France, dans le Val-d’Oise. Une photo montrant la figure prise depuis les airs a été partagée sur le compte Facebook de l’aéroclub.

    Le cercle de culture formé d'épis couchés est apparu à proximité du sanctuaire Notre-Dame-de-France.

    Selon le magazine La France agricole, un promeneur a également signalé la figure au gardien du sanctuaire. Christiane Aknouche, maire de la commune, a informé la gendarmerie et a essayé de contacter l’agriculteur concerné, mais sans résultat.

    Les origines du phénomène restent pour l’instant inconnues. Entre temps, le champ attire les curieux qui souhaitent voir de leurs propres yeux l’étrange dessin.

    https://fr.sputniknews.com/france/201906051041356919-un-mysterieux-dessin-apparait-dans-un-champ-de-cereales-du-val-doise-photo/

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    1. L'idiotie des 'crops-circles' qui sont de piétiner des champs prêts à moissonner pour créer des 'dessins', des sigles nazi ou autre est uniquement fait pour présenter le résultat sur YT !

      Ces attardés-mentaux s'adonnent de nuit à tracer des arcs de cercle à la ficelle et piquets.

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  45. Vous êtes en état d'arrestation: comment l'État policier comprime notre droit de dire la vérité au pouvoir


    Par John W. Whitehead
    L'Institut Rutherford
    6 juin 2019


    «L’histoire montre que les gouvernements cherchent parfois à réglementer nos vies avec finesse, finesse, minutie et exhaustivité. De notre temps et de notre lieu de résidence, les lois pénales se sont développées de manière si exubérante et couvrent un comportement tellement innocent que presque n'importe qui peut être arrêté pour quelque chose. Si l'État pouvait utiliser ces lois non pas aux fins prévues, mais pour faire taire ceux qui expriment des idées impopulaires, il ne resterait plus grand-chose de nos libertés du Premier Amendement et peu nous séparerait des tyrannies du passé ou des fiefs malins de notre époque. . La liberté de parler sans risquer une arrestation est «l’une des principales caractéristiques qui distinguent une nation libre». - Le juge Neil Gorsuch, dissident, Nieves v. Bartlett (2019)

    Ce que le Premier Amendement protège - et exige une république constitutionnelle saine -, ce sont les citoyens qui exercent régulièrement leur droit de dire la vérité devant le pouvoir.

    Ce que les architectes de l'État policier veulent, ce sont des citoyens soumis, dociles, coopératifs, obéissants et dociles qui ne parlent pas en retour, ne contestent pas l'autorité du gouvernement, ne dénoncent pas les actes répréhensibles du gouvernement et ne sortent pas du rang .

    Pour ceux qui refusent d'accepter docilement la tyrannie brutale de l'État policier, le danger est bien réel.

    Nous vivons à une époque où «nous, le peuple» sommes à la merci de flics militarisés, armés et immunisés, qui ont un pouvoir discrétionnaire presque absolu pour décider qui est une menace, ce qui constitue une résistance et à quel point ils peuvent traiter les citoyens avec qui ils étaient. nommé pour «servir et protéger».

    Ainsi, ceux qui cherchent à exercer leurs droits de premier amendement lors de contacts avec la police constatent de plus en plus que la liberté d'expression n'existe pas.

    C’est la douloureuse leçon à tirer de chaque incident dans lequel une personne est arrêtée et inculpée du nombre croissant d’accusations d’outrage (allant de la résistance à l’arrestation à l’ingérence, en passant par la conduite désordonnée, l’obstruction et le non-respect d’un ordre de la police) chaque fois qu'un citoyen exprime son mécontentement envers le gouvernement, conteste ou même conteste l'autorité des pouvoirs en place.

    Le simple fait d'oser questionner, contester ou hésiter lorsqu'un flic rend une ordonnance peut vous inculper de résistance à l'arrestation ou à une conduite désordonnée, la liberté d'expression peut être condamnée.

    En fait, se faire accuser ou arrêter est maintenant le meilleur scénario pour rencontrer des policiers qui sont autorisés à agir dans l'hypothèse où leur parole est la loi et qu'il n'y a pas de place pour aucune forme de désaccord ni même de question.

    Le pire des scénarios consiste à se faire fouiller, frapper, taser, attaquer, fouiller, saisir, dépouiller, maltraiter, tirer ou tuer par la police.

    Cet état d'esprit selon lequel quiconque porte un uniforme du gouvernement (soldat, policier, gardien de prison) doit être obéi sans poser de questions est un signe révélateur de l'autoritarisme qui fait son chemin vers le totalitarisme

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  46. La raison est la suivante:

    Faites exactement ce que je dis, et nous nous entendrons bien. Ne me questionnez pas et ne répondez en aucune façon. Vous n'avez pas le droit de vous opposer à quoi que ce soit que je puisse dire ou demander, ni demander des éclaircissements si mes demandes sont peu claires ou contradictoires. Vous devez m'obéir en toutes circonstances sans hésitation, peu importe que mes ordres soient arbitraires, déraisonnables, discriminatoires ou racistes flagrants. N'importe quoi autre que l'observance servile parfaite immédiate sera étiqueté comme résistant à l'arrestation et vous exposera à la possibilité d'une réaction violente de ma part. Cette réaction pourrait vous blesser gravement, voire entraîner la mort. Et je ne subirai aucune conséquence. C’est votre choix: se conformer ou mourir.

    En effet, comme le dit l'officier Sunil Dutta du département de police de Los Angeles:

    Si vous ne voulez pas vous faire tirer dessus, casser une bombe au poivre, frapper avec une matraque ou le jeter au sol, faites ce que je vous dis. Ne discutez pas avec moi, ne m'appelez pas de noms, ne me dites pas que je ne peux pas vous arrêter, ne dites pas que je suis un cochon raciste, ne menacez pas de me poursuivre en justice et de prendre loin mon badge. Ne me criez pas dessus et payez mon salaire, et ne pensez même pas à marcher agressivement vers moi.

    Ce n'est pas l'attitude de quelqu'un qui comprend, et encore moins respecte, la liberté d'expression.

    Là encore, il ne peut y avoir de liberté de parole pour les citoyens lorsque le gouvernement parle dans un langage de force.

    Quel est ce langage de force ?

    Police militarisée. Escouades anti-émeute. Équipement de camouflage. Uniformes noirs. Véhicules blindés. Arrestations massives. Spray au poivre. Gaz lacrymogène. Des matraques Les fouilles à nu Caméras de surveillance. Gilets de kevlar. Drones Armes mortelles. Des armes moins que mortelles sont déchaînées avec une force meurtrière. Des balles en caoutchouc. Canons à eau. Grenades assourdissantes. Arrestations de journalistes. Tactiques de contrôle des foules. Tactiques d'intimidation. Brutalité. Outrage aux accusations du policier.

    Ce n'est pas le langage de la liberté. Ce n'est même pas le langage de la loi et de l'ordre.

    Malheureusement, c’est ainsi que le gouvernement à tous les niveaux - fédéral, étatique et local - réagit maintenant à ceux qui choisissent d’exercer leur droit de premier amendement de parler librement.

    Récemment, en fait, la Cour suprême des États-Unis a rendu une décision protégeant la police contre les poursuites intentées par des personnes arrêtées pour de faux accusations de «mépris du flic» (résistance à l'arrestation et ingérence, comportement désordonné, obstruction et non-respect d'un ordre de la police) qui résultent d’activités licites du Premier Amendement (filmer la police, poser une question à la police, refuser de parler à la police).

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  47. Dans l’affaire Nieves v. Bartlett, la Cour a décidé par 6-3 de rejeter l’affaire Russell Bartlett, un résident de l’Alaska qui avait été arrêté lors d’un festival en plein air pour conduite désordonnée et avoir résisté à l’arrestation après avoir refusé de se faire interroger par la police. d'interroger d'autres participants sur leur consommation d'alcool. Au cours d’une fête de camping, Bartlett a exercé son droit de Premier Amendement de s’abstenir de parler à un soldat de l’état qui surveillait l’événement pour la consommation d’alcool chez les mineurs. Bartlett est ensuite intervenu après avoir observé un autre soldat interroger un autre campeur d'une manière qu'il jugeait inappropriée. À un moment donné, l'un des soldats aurait fait trébucher Bartlett, puis l'a forcé à terre, menacé de le calmer s'il résistait et l'a arrêté pour conduite désordonnée et avoir résisté à une arrestation. Les accusations ont par la suite été rejetées. Bartlett a poursuivi en justice, affirmant qu'il avait été arrêté en représailles pour avoir contesté l'autorité des Troopers. Bien que la Cour ait reconnu que les personnes avaient le droit de ne pas subir d’arrestation de représailles suite à des activités licites du Premier Amendement, elle a statué que si la police avait une cause probable pour l’arrestation, elle ne pouvait pas poursuivre en justice pour violation de la liberté de parole, à moins de prouver que n'a pas été arrêté pour les mêmes actions.

    Une autre affaire dont la Cour suprême est actuellement saisie, Ogle c. State of Texas, concerne la poursuite d'un homme du Texas condamné à un an de prison et à une amende de 4 000 dollars US pour avoir envoyé des courriels à la police en les critiquant pour n'avoir pas répondu à ses demandes d'assistance. . Scott Ogle a été accusé d’avoir envoyé des plaintes au bureau du shérif, y compris un courrier électronique indiquant que les fonctionnaires «pissaient» contre la Constitution. La loi du Texas en vertu de laquelle Ogle a été accusé prévoit que l'envoi de messages électroniques "gênants", "alarmants" ou "harcelants" constitue un crime. La loi est tellement vaste qu'elle pourrait être utilisée pour punir une critique négative d'un restaurant publiée en ligne ou des publications caustiques sur Facebook.

    Dans une autre affaire, un rappeur a été accusé de menaces terroristes après avoir publié une chanson critiquant la police sur Facebook et YouTube. En refusant d’entendre l’affaire Knox c. Pennsylvanie, la Cour suprême a ouvert la voie aux individus qui s’exprimaient dans une expression politique ou artistique controversée et impopulaire, en critiquant la police, par exemple, d’être qualifiés de terroristes et d’être poursuivis et réprimés par le gouvernement. La police surveillait activement la présence des médias sociaux du rappeur Jamal Knox («Mayhem Mal») quand elle avait découvert la chanson intitulée «F ** k the Police» et avait accusé Knox et son partenaire de rap de multiples chefs de menaces terroristes et d'intimidation de témoins.

    Ces cas témoignent d’une prise de conscience croissante de la situation de la liberté de parole en Amérique: c’est un mensonge.

    Si nous n'avons plus le droit de demander à un recenseur de quitter notre propriété, si nous n'avons plus le droit de demander à un policier d'obtenir un mandat de perquisition avant d'oser franchir notre porte, si nous n'avons plus le droit de se tenir devant la Cour suprême en portant une pancarte de protestation ou de demander à un élu de faire connaître son point de vue, si nous n'avons plus le droit de protester contre des lois injustes en exprimant notre opinion en public ou sur nos vêtements ou devant un organe législatif, alors nous n'avons pas la liberté d'expression.

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  48. Ce que nous avons à la place, c’est un discours réglementé, contrôlé, censuré, et c’est un tout autre match.

    Rappelez-vous que la liberté tacite inscrite dans le Premier amendement est le droit de défier les agents du gouvernement, de penser librement et de débattre ouvertement des problèmes sans être muselé ou traité comme un criminel.

    Les lois de protestation, les zones de liberté d'expression, les zones de bulles, les zones d'intrusion, les lois anti-intimidation, les politiques de tolérance zéro, les lois sur les crimes motivés par la haine et une foule d'autres maladies légalistes imaginées par les politiciens et les procureurs visent un seul objectif: décourager la dissidence et rappeler la population que la résistance à la tyrannie de l'État policier est vaine.

    Armés par la police, les procureurs, les tribunaux et les assemblées législatives, les accusations de «mépris du flic» sont devenues un moyen supplémentaire de punir ceux qui refusent d'être muselés.

    Deyshia Hargrave, enseignante en arts du langage en Louisiane, a été jetée à terre, menottée et arrêtée pour avoir pris la parole au cours d'une période de commentaires publics lors d'une réunion du conseil scolaire.

    Fane Lozman a été arrêté pour avoir évoqué la corruption du gouvernement lors d'un débat public lors d'une réunion du conseil municipal à Palm Beach County, en Floride.

    Dan Heyman, un journaliste du Public News Service, a été arrêté pour avoir interrogé de manière «agressive» Tom Price, secrétaire du Département de la santé et des services sociaux lors d'une rencontre au West Virginia State Capitol.
    La professeure d'université, Ersula Ore, a été frappée au sol et arrêtée après s'être opposée à la "manière irrespectueuse" montrée par un policier du campus qui l'avait arrêtée au milieu de la rue et lui avait demandé de montrer sa carte d'identité.

    L’avocate de Philadelphie, Rebecca Musarra, a été arrêtée pour avoir exercé son droit de garder le silence et pour avoir refusé de répondre aux questions posées par un agent de police lors d’un contrôle routinier. (Remarque: elle a coopéré de toutes les autres manières en fournissant une licence et un enregistrement, etc.)
    Des cas comme ceux-ci sont devenus typiques de la nature bipolaire de la vie dans l'État policier américain d'aujourd'hui: vous pouvez avoir des droits distincts et protégés sur papier, mais osez les exercer et vous vous exposez à des amendes, des arrestations, des blessures et même la mort. .

    C’est le prix malheureux de l’exercice actuel des libertés.

    Pourtant, ce ne sont pas de nouveaux développements. Nous faisons le tour de ce trou de drainage particulier depuis un certain temps maintenant.

    En fait, il y a près de 50 ans, Lewis Colten a été arrêté à l'extérieur de Lexington, dans le Kentucky, pour avoir interrogé la police et avoir conseillé son ami lors d'un contrôle routier. Colten était l'un des quelque 20 étudiants d'université qui s'étaient rendus à l'aéroport Blue Grass pour manifester contre la première dame, Pat Nixon. À sa sortie de l’aéroport, la police a arrêté l’une des voitures dans le cortège motorisé de Colten parce qu’elle portait une plaque d’immatriculation périmée et hors d’État. Colten et les autres conducteurs se sont également garés sur le bord de la route.

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  49. Craignant la violence de la part de la police, Colten est sorti de son véhicule et est resté à proximité tandis que la police a remis à son ami Mendez un billet et s'est arrangée pour remorquer sa voiture. La police a demandé à plusieurs reprises à Colten de partir. À un moment donné, un soldat d'État a déclaré: «Ce n'est pas votre affaire. . . Remontez dans votre voiture et avancez et dégagez la route. "

    Insistant sur le fait qu’il souhaitait organiser un transport pour son ami Mendez et les occupants de la voiture Mendez, Colten ne s’est pas éloigné et a été arrêté pour avoir enfreint le code de conduite désordonnée du Kentucky.

    Colten a ensuite contesté son arrestation en tant que violation du droit à la liberté d’expression de son droit au Premier amendement et a porté l’affaire jusqu’à la Cour suprême américaine, qui a pris le parti de la police.

    Bien que la Cour ait reconnu que Colten n’intervenait ni ne désobéissait à aucune réglementation de la circulation, la majorité avait affirmé que Colten «n’avait pas le droit constitutionnel d’observer la délivrance d’un titre de circulation ou d’engager la conversation avec le responsable de la publication».

    L’essentiel de la Cour suprême: protéger la police des inconvénients, de la gêne ou des alarmes est plus important que de protéger un discours qui, selon l’estime du gouvernement, n’a «aucune valeur sociale».

    Alors que la décision elle-même n'était pas surprenante pour un pouvoir judiciaire qui a tendance à marcher de pair avec la police, la dissidence du juge William O. Douglas est un puissant rappel que, dans une société libre, le gouvernement existe pour servir la population et non l'inverse. autour.

    Soulignant que le discours de Colten était calme, non pas turbulent, dépourvu de «mots combatifs» et ne comportait aucun acte manifeste, bagarre ou comportement désordonné dans le sens normal des mots, Douglas contesta l'idée que le simple fait de parler à un représentant du gouvernement En l'occurrence, la police - un droit inscrit dans le Premier amendement, soit dit en passant -, Colten était perçue comme une source d'inconfort et d'ennui pour la police.

    Dans une défense passionnée de la liberté d'expression, Douglas a déclaré:

    Depuis quand devons-nous nous attendre, Américains, à nous soumettre à l'autorité et à exprimer notre respect et notre respect à ceux qui nous représentent? La théorie constitutionnelle veut que nous, les peuples, sommes les souverains, que les agents d’État et fédéraux ne soient que nos agents. Nous qui avons le dernier mot, pouvons parler doucement ou avec colère. Nous pouvons chercher à contester et à ennuyer, car nous n'avons pas besoin de rester dociles et silencieux. La situation aurait pu indiquer que les techniques de Colten étaient mal adaptées à la mission à laquelle il était affecté, que la diplomatie aurait été plus efficace. Mais au niveau constitutionnel, le discours ne doit pas nécessairement être un sédatif; cela peut être perturbateur.

    C’est un paragraphe bourré de pouvoir, rempli de vérités importantes que les pouvoirs en place préféreraient que nous oublions rapidement: nous, le peuple, sommes les souverains. Nous avons le dernier mot. Nous pouvons parler doucement ou avec colère. Nous pouvons chercher à contester et à agacer. Nous n'avons pas besoin de rester dociles et calmes. Notre discours peut être perturbateur. Cela peut provoquer une dispute. Cela peut être provocateur et stimulant. Nous n'avons pas à nous soumettre à l'autorité ni à parler avec révérence aux représentants du gouvernement.

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  50. En théorie, bien entendu, «nous, les citoyens» avons, en vertu de la Constitution, le droit de répondre au gouvernement.

    La Constitution n'exige pas que les Américains soient serviles ou même civils envers les représentants du gouvernement.

    La Constitution n'exige pas non plus l'obéissance (bien qu'elle insiste sur la non-violence).

    En fait, la Cour suprême des États-Unis l’a conclu dans l’arrêt City of Houston v. Hill en annulant une ordonnance municipale interdisant les sévices verbaux à l’encontre des policiers, qui étaient inconstitutionnellement excessifs et criminalisaient les propos protégés.

    Malheureusement, la réalité brutale de notre époque est très différente des idéaux énoncés dans la Déclaration des droits: répondre, en particulier lorsque la police est impliquée, peut vous faire tuer.

    Le gouvernement ne veut pas que nous nous souvenions de nos droits, sans parler de nos tentatives d'exercer ces droits de manière pacifique et légale. Et il ne veut absolument pas que nous participions aux activités du Premier Amendement qui défient le pouvoir du gouvernement, révèlent la corruption du gouvernement, exposent ses mensonges et encouragent les citoyens à faire face aux nombreuses injustices du gouvernement.

    Nous sommes dans le pétrin, les gars.

    La liberté ne signifie plus ce qu’elle a fait jadis.

    Non seulement nous n’avons plus la domination sur nos corps, nos familles, nos biens et notre vie, mais le gouvernement continue de détruire les quelques droits qui nous restent pour parler librement et penser par nous-mêmes.

    Si le gouvernement peut contrôler la parole, il peut contrôler la pensée et, à son tour, il peut contrôler l'esprit des citoyens.

    Les lois de protestation, les accusations de mépris des flics et toutes les autres violations factices utilisées par les flics et les procureurs pour étouffer le mécontentement et dissuader quiconque de contester l'autorité du gouvernement sont destinées à envoyer un message fort: dans l'État policier américain, vous faites partie des le troupeau, marchant au rythme des ordres du gouvernement, ou vous êtes un paria, un suspect, un criminel, un fauteur de troubles, un terroriste, un radical, un révolutionnaire.

    Pourtant, en muselant les citoyens, en supprimant les soupapes à vapeur constitutionnelles qui permettent aux gens de s'exprimer, de faire entendre leurs griefs et de contribuer à un dialogue plus large qui aboutira, espérons-le, à un monde plus juste, le gouvernement crée un climat dans lequel la violence devient inévitable.

    Quand il n'y a pas de soupape de vapeur - quand personne ne veut entendre la population, parce que les représentants du gouvernement se sont éloignés si loin de leurs électeurs - la frustration grandit, la colère monte et les gens deviennent plus instables et plus désespérés pour forcer la conversation.

    Comme John F. Kennedy l'avait averti en mars 1962, «ceux qui rendent impossible une révolution pacifique rendront inévitable une révolution violente».

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  51. Comme je le souligne dans mon livre Battlefield America: La guerre contre le peuple américain, le gouvernement rend inévitable une révolution violente.

    https://www.lewrockwell.com/2019/06/john-w-whitehead/youre-under-arrest-how-the-police-state-muzzles-our-right-to-speak-truth-to-power/

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  52. Mueller remue le pot


    Judge Andrew P. Napolitano
    le 6 juin 2019


    La semaine dernière, l'avocat spécial Robert Mueller - qui avait été chargé par le ministère de la Justice deux ans plus tôt, d'enquêter sur la nature et l'étendue des tentatives de la Russie d'influencer le résultat de l'élection présidentielle de 2016 et de déterminer, le cas échéant, si le Les Russes avaient des collaborateurs américains consentants dans la campagne Trump. Ils sont venus devant les caméras et ont annoncé sa démission. Il a également souligné certaines de ses conclusions et l'a fait de manière à rassembler les démocrates de la Chambre dans leur marche vers la destitution.

    Depuis sa déclaration de neuf minutes et sa démission qui a suivi, il a été salué par de nombreux électeurs de la classe politique opposés au président Donald Trump et durement condamné par ce dernier. Il a même été critiqué par son ami de longue date et ancien patron, le procureur général William Barr. Loué et critiqué pour quoi?

    Voici la trame de fond.

    Lorsque Mueller a rencontré des obstacles au cours de son enquête, il a demandé et obtenu l'autorisation du ministère de la Justice pour élargir son enquête. Les barrages routiers consistaient en des tentatives du président lui-même pour interférer avec le travail de Mueller afin de tenir les agents du FBI de Mueller à distance. En raison de ce comportement, le président, qui à l'origine n'était pas personnellement l'objet de l'enquête du FBI, est devenu un sujet de l'enquête de Mueller.

    Le rapport de Mueller à Barr nous a appris que, s'il existe des preuves de la collaboration de membres de la campagne Trump avec les Russes, il n'y a pas suffisamment de preuves pour établir un complot. Nous avons également appris que Trump s’engageait personnellement dans dix ou onze - selon la façon dont vous les comptez - dans le but d’interférer dans l’enquête de Mueller. Chacune de ces tentatives d'ingérence constitue un crime d'entrave à la justice. Ce crime consiste en toute tentative matérielle - réussie ou non - d'entraver une enquête fédérale à des fins de corruption. Ainsi, un avocat qui dépose des requêtes demandant à un juge d'empêcher les agents du FBI de violer les droits constitutionnels de son client interfère avec une enquête fédérale, mais dans un but légitime - et non corrompu.

    Pourtant, lorsque le sujet d’une enquête criminelle ordonne à ceux qui le travaillent pour lui de mentir à des agents du FBI ou de falsifier des documents qui vont bientôt entrer dans les mains du FBI - ce que Mueller a constaté que Trump l’a fait - constituent une tentative d’ingérence but corrompu. Le but corrompu n'est pas la revendication de droits protégés par la Constitution. Plutôt, il tient les forces de l'ordre à l'écart de la personne qui a ordonné les tromperies.

    Lorsque les forces de l'ordre fédérales découvrent des preuves d'obstruction à la justice de la part du président, deux questions se posent immédiatement. La première demande si le président peut être poursuivi pour ces actes, comme le ferait toute autre personne, et la seconde demande si ces actes sont des infractions impénétrables.

    Nous savons que l'entrave à la justice prononcée par le président est une infraction impénétrable, car le président Richard Nixon et le président Bill Clinton - qui ont tous deux chargé leurs collaborateurs de mentir aux agents du FBI et de falsifier les preuves - en étaient accusés. Les accusations ont été portées sur des articles de destitution. Dans ces cas, la Chambre des représentants ou son comité judiciaire ont estimé que le libellé constitutionnel approprié qui constitue le fondement de la procédure de destitution - "crimes et délits graves" - comprend l’entrave à la justice.

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  53. Lorsque Mueller a fait ses adieux, il a insisté sur le fait que cette question - si l'obstruction de la justice par Trump justifiait une mise en accusation - est clairement examinée par la Chambre. Il n'a pas soutenu que la question de savoir si Trump empêchait la justice de faire obstruction était un problème, car son rapport de 448 pages exposait des preuves non équivoques de l'obstruction de Trump.

    Ensuite, Mueller a abordé la question de savoir si le président pouvait ou non être inculpé pendant qu'il était encore au pouvoir. Sur cette question, il a choisi de ne pas arriver à une conclusion, mais de laisser à son patron, le procureur général, le soin de le faire. Il a fait cela en sachant bien que le procureur général - qui venait d'être nommé à son poste par Trump - avait officiellement déclaré qu'il ne défendait pas le président en exercice. Mueller a toutefois déclaré publiquement que la raison de son hésitation personnelle à accuser le président était un mémorandum légal daté d'octobre 2000 du MJ. Elle a proposé que l'accusation d'un crime par un président en exercice compromettrait sa capacité à remplir ses obligations constitutionnelles et ne devrait donc pas être entreprise.

    Mais l’avis de 2000 n’est que l’un des trois que le MJ a commandés à l’ère moderne. Sur les trois, deux disent que le président ne devrait pas être accusé dans l'exercice de ses fonctions et un dit qu'il pourrait être accusé. Personne ne dit qu'il ne peut pas être accusé.

    En d'autres termes - et c'est sans doute ce qui a provoqué l'ire de Trump -, Mueller a révélé dans son adieu que, si l'on en croit l'avis du MJ de 2000, il existe de nombreuses preuves qui auraient inculpé le président Donald Trump pour entrave à la justice.

    J'ai fait valoir dans cette chronique et ailleurs que la déférence de Mueller à l'égard de l'opinion du MJ de 2000 est mal placée. Nous le savons parce que, deux mois après sa promulgation, les procureurs fédéraux ont menacé de mettre le président Clinton en accusation pour obstruction à la justice le lendemain de son départ. Clinton a choisi de faire face à la menace alors qu'il était encore au pouvoir et a demandé à ses avocats de négocier des plaidoyers avec les procureurs. Ils ont négocié un plaidoyer dans lequel il a plaidé coupable devant un juge fédéral nommé par Clinton. Le plaidoyer concernait des violations de l'éthique dans lesquelles il avait admis avoir menti à la cour.

    Question: Qu'est-ce que vous appelez une menace de la part des procureurs fédéraux de demander la mise en accusation du président et la négociation des plaidoyers? Réponse: Une poursuite du président.

    Où tout cela nous laisse-t-il ?

    Les malheurs juridiques de Trump sont derrière lui. La destitution est un processus politique qui ne peut être entrepris avec succès que par le sentiment général du public. Je doute qu'il existe un tel sentiment aujourd'hui.

    http://www.judgenap.com/post/mueller-stirs-the-pot

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  54. SHOW BUSINESS - UN ALGORITHME POUR PRÉDIRE LA CARRIÈRE DES ACTEURS

    Des chercheurs britanniques ont analysé le parcours de millions de comédiens et obtenu des résultats surprenants.
    En 40 ans de carrière et 44 rôles crédités sur IMDB, Leonardi DiCaprio n'a pas encore connu une année avec au moins cinq rôles. Elle devrait donc encore pouvoir venir. Brad Pitt a depuis 32 ans eu 80 rôles et son année la plus prolifique a été 1989 (6 crédits), soit en début de carrière, mais cela n'a pas été suivi par une baisse des rôles.


    MICHEL PRALONG
    06.06.2019, 06h48


    Si l'on pouvait deviner à l'avance quel acteur ou quelle actrice allait connaître une carrière à succès, cela se saurait et les producteurs miseraient à chaque fois sur le bon cheval. Mais la gloire semble répondre à un principe d'incertitude absolu.

    Vraiment ? Pour en avoir le cœur net, des mathématiciens de la Queen Mary University de Londres ont décidé de passer les carrières des acteurs au peigne fin, raconte ZME Science. Ils ont pour cela analysé le parcours de tous les acteurs référencés dans la base de donnée Internet Movie Database (IMDB), de 1888 à 2016. Ce qui représente tout de même 1 512 472 acteurs et 896 029 actrices.

    Ils ont décidé de définir le succès d'une carrière non pas à la quantité de récompenses reçues ou de salaires perçus, mais au nombre de rôles joués, que ce soit au cinéma ou à la télévision. Soit un critère de production plutôt que de gloire. Mais il est essentiel dans ce métier car la première constatation que les scientifiques ont faite, c'est qu'il y avait une disproportion énorme entre le nombre de rôles à offrir et la quantité d'acteurs. Ainsi, le taux de chômage dans la profession est de 90% et seul 2% des acteurs peuvent vivre de leur métier.

    Des carrières surtout éphémères

    Autre statistique ahurissante que révèle cette étude publiée mardi dans «Nature», 69% des acteurs et 68% des actrices ont une carrière qui ne dure... qu'un an! Et les femmes durent généralement bien moins longtemps que les hommes dans ce milieu. Pour ceux qui résistent, le constat du nombre d'emplois correspond à une certaine logique de l'industrie cinématographique, c'est-à-dire que plus on a de rôles, plus on a de chances d'en avoir encore. Il est évident que les producteurs vont plutôt miser sur un acteur connu et qui a du succès que sur un anonyme. Sauf que, analyse l'étude, un pic de popularité peut survenir pour de multiples raisons, arbitraires et imprévisibles, qui peuvent ne rien devoir au talent de l'acteur mais plutôt à un effet de mode.

    Les mathématiciens ont en outre découvert que les carrières sont le plus souvent composées d'une alternance entre périodes de forte activité et d'autres sans emploi ou presque. Et que celles-ci ont tendance à être regroupées, c'est-à-dire que plus un acteur travaille une année, plus il a de chances de le faire l'an prochain et inversement. Une différence notable existe ici encore entre les sexes: les actrices qui n'ont plus de rôles pendant quelques temps ont bien moins de chances qu'un homme d'en retrouver un. Et que les carrières prolifiques sont extrêmement rares: très peu de comédiens dépassent les 100 rôles.

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  55. Très peu d'élus

    Vu la volatilité de la profession, les scientifiques ont décidé de focaliser leur attention sur les acteurs confirmés pour savoir s'il était possible de déterminer une sorte de pic de carrière en terme de quantité. Ils ont pour cela limité leur recherches aux comédiens qui ont duré au moins 20 ans et qui ont eu une année avec un minimum de cinq rôles. Ce qui ne représente qu'une toute petite fraction du total et révèle une fois de plus une énorme discrimination des femmes dans le métier, puisque ne sont concernés que 15 357 acteurs (1,02%) et... 5904 actrices (0,65%)!

    Puis ils ont recherché l'année incroyable, soit celle avec le plus de rôles. Alors qu'une autre étude a montré qu'un scientifique pouvait publier sa contribution la plus fameuse à n'importe quel stade de sa carrière, chez les acteurs, leur année la plus prolifique a tendance à se produire dans le premier cinquième de celle-ci. Ce qui est encore davantage le cas avec les actrices. En allant plus loin, les mathématiciens ont également constaté que cette année pouvait quasi être prédite car elle est, dans la majorité des cas, précédée d'un nombre croissant d'emplois. Elle constitue alors un pic, puis le nombre de rôles diminue. Encore une fois, on ne parle que de quantité, pas d'importance ou de qualité des rôles.

    Vérifié à 85%

    Leur algorithme prédisant si un acteur avait déjà atteint son pic de carrière ou s'il était encore à venir s'est vérifié dans 85% des cas. Il n'a pas fonctionné notamment pour les acteurs qui, après avoir eu passage à vide, font une retour retentissant. L'algorithme avait, dans leur cas, prédit que leur année incroyable était déjà passée alors qu'une avec encore plus de rôles est survenue ensuite. Des situations que les chercheurs estiment toutefois rares. En conclusion, ils espèrent que leurs travaux contribuent à élaborer une forme de science du succès et qu'ils intéressent les professionnels du spectacle. Certains acteurs verront-ils des portes s'ouvrir car leur année incroyable est encore devant eux ? (Le Matin)

    https://www.lematin.ch/loisirs/cinema/algorithme-predire-carriere-acteurs/story/23974595

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    1. Plus con que çà tu meurs !

      Après les menaces explicites faites aux comédiennes et comédiens de - dernièrement - ne se rendre aux obsèques d'une des comédiennes (Anémone) qui avait osé dire la vérité sur ce milieu, et qui mettaient en balance leur vie de spectacle ou la porte !

      Rappel qu'il n'EXISTE PAS de mauvais comédiens ou de mauvaises comédiennes ! Il n'existe que des metteurs-en-scène qui obligent telle ou telle personne à s'exprimer ainsi et pas autrement ou elle est virée du plateau sinon du casting dès le début.

      Pourquoi y a t-il des films bons où les actrices et acteurs sont parfaits alors que ces mêmes actrices ou acteurs apparaissent mauvais dans d'autres ? Tout est du metteur-en-scène !

      De plus, le metteur-en-scène qui achète les droits (Producteurs) peut se permettre de changer/modifier le scénario 'à son goût' !!! Ce qui est un irrespect pour le scénariste !

      Combien de fois avez-vous lu un livre puis vu le film tiré du livre et qui ne correspondait en rien au livre ?

      C'est comme çà qu'à longueur de journée vous pouvez visionner des m... sur YT !

      C'est LA mafia.

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  56. Une nouvelle note de politique ne montre aucune preuve d'augmentation accélérée du niveau de la mer


    5 juin 2019
    Par communiqué de presse:


    Une nouvelle note de politique générale du Heartland Institute montre qu’il n’ya aucune preuve d’accélération de la montée du niveau de la mer dans le monde depuis les années 1920 et conclut que les préoccupations du Groupe intergouvernemental sur le changement climatique (GIEC) sur cette question sont «sans fondement».

    The Policy Brief, intitulé «L'élévation du niveau de la mer dans le monde: une évaluation des données», rédigé par M. Craig Idso, président du Centre pour l'étude du dioxyde de carbone et du changement planétaire, par M. David Legates, professeur de climatologie au département MS Fred Singer, de la géographie à l’Université du Delaware, est tiré d’un chapitre du Climate Change Reconsidered II: Fossil Fuels, rapport du groupe international non gouvernemental sur les changements climatiques (NIPCC).

    Selon le cinquième rapport d'évaluation du GIEC, «il est très probable que le taux d'élévation du niveau mondial moyen de la mer au XXIe siècle sera supérieur au taux observé entre 1971 et 2010 pour tous les scénarios de trajectoire de concentration représentative (RCP) en raison de l'accélération du réchauffement perte de masse due aux glaciers et aux inlandsis. "

    Cependant, Idso, Legates et Singer affirment que «l'élévation du niveau de la mer est un domaine de recherche récemment dominé par les modèles informatiques. Alors que les chercheurs qui travaillent avec des ensembles de données construits à partir de marégraphes côtiers à long terme signalent généralement un taux linéaire lent d'élévation du niveau de la mer, les informaticiens assument un forçage anthropique important et adaptent leurs modèles pour rechercher ou prédire une accélération du taux d'élévation. "

    Ils notent que les tendances locales du niveau de la mer «varient considérablement, car elles dépendent non seulement de la tendance globale moyenne, mais également des mouvements tectoniques des terres adjacentes. Dans de nombreux endroits, le mouvement vertical des terres, vers le haut ou vers le bas, dépasse la très lente tendance mondiale du niveau de la mer. Par conséquent, à certains endroits, le niveau de la mer augmente beaucoup plus vite que le taux mondial et à d’autres endroits, le niveau de la mer baisse. ”

    Par exemple, à Stockholm, en Suède, l'élévation du niveau de la mer est «négative en raison du mouvement vertical vertical des terres». Les problèmes d'intrusion d'eau autour de la baie de Chesapeake en Virginie et au Maryland ne sont pas non plus dus à l'élévation du niveau de la mer, mais à l'affaissement du sol. (l’enfoncement de la surface terrestre) de l’activité humaine telle que l’épuisement des eaux souterraines.

    Au lieu d'une montée accélérée du niveau de la mer, les auteurs ont constaté que «les meilleures données disponibles» montrent que «les preuves de tout changement récent du niveau de la mer au-delà de la variation naturelle sont insuffisantes». Ils soulignent que si les effets négatifs de la prétendue hausse accélérée au niveau de la mer, telle qu'une perte de surface, devaient être visibles n'importe où, ce serait très probablement dans les petites îles et les atolls coralliens de l'océan Pacifique. Toutefois, les recherches indiquent que nombre de ces îles et atolls sont en train d’augmenter. Simplement, ils «ne sont pas inondés par la montée des mers en raison du changement climatique anthropique».

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  57. Les craintes d'une montée accélérée du niveau de la mer causée par le changement climatique anthropique sont mal placées et dépassées. En outre, les responsables des politiques dans les villes et les États côtiers ne devraient pas invoquer cette peur pour plaider en faveur de politiques visant à limiter ou à éliminer les émissions de dioxyde de carbone.

    Les documents suivants fournissent plus d'informations sur l'affaissement du sol, l'élévation du niveau de la mer et le changement climatique.

    Hausse globale du niveau de la mer: évaluation des données

    https://www.heartland.org/publications-resources/publications/global-sea-level-rise-an-evaluation-of-the-data

    Craig Idso, président du Centre d'études sur le dioxyde de carbone et les changements planétaires, David Legates, professeur de climatologie au département de géographie de l'Université du Delaware, et S. Fred Singer passe en revue les recherches récentes pour déterminer s’il existe une quelconque preuve d’une telle accélération, puis examine les affirmations selon lesquelles les îles et les atolls de coraux sont inondés par la montée des mers.

    https://wattsupwiththat.com/2019/06/05/new-policy-brief-shows-no-evidence-of-accelerated-sea-level-rise/

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    1. Depuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit.

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  58. ÉLECTROMÉNAGER : 6 ACHATS SUR 10 SERVENT À REMPLACER UN ÉQUIPEMENT EN PANNE


    par ANTON KUNIN
    05/06/2019


    81% des Français déclarent avoir une bonne image de la réparation.

    En matière de durabilité, les fabricants d’équipements électroménagers ont encore des progrès à faire. En France, 59% des achats correspondent au remplacement d’un équipement en panne, souvent trop coûteux voire impossible à réparer faute de pièces détachées.

    Les appareils les moins réparables sont les centrales vapeur et les robots multifonction

    Faire réparer un lave-linge, un lave-vaisselle ou un aspirateur en panne au lieu d’en acheter un nouveau, tous les consommateurs ou presque en rêvent. Mais, malgré un certain progrès accompli par les fabricants sur la durabilité, ce n’est pas toujours possible. Selon le dernier « Baromètre SAV » de Fnac Darty, toutes catégories d’appareils électroménagers confondues, 59 % des achats se font suite à une panne. La part de ces achats grimpe même à 72 % dans la catégorie des lave-vaisselles.

    L’étude de Fnac Darty nous apprend par exemple que les aspirateurs balais tombent en panne 4 fois plus souvent que les aspirateurs traineaux, et ont une durée de vie moyenne 20 % plus courte. Mais les vrais « mauvais élèves » sont les fabricants des centrales vapeur et des robots multifonction. Face à l’impossibilité de les réparer, faute de pièces détachées, bien souvent leurs fabricants sont obligés de les échanger contre des neufs tout simplement. L’échange concerne en effet 30 % des pannes de centrales vapeur et 25 % des pannes de robots multifonction.

    Le principal frein à la réparation est son coût

    Bonne nouvelle cependant : Fnac Darty parvient à résoudre plus de la moitié des dysfonctionnements sans changement de pièces. Les téléviseurs LCD s’y prêtent tout particulièrement, plus des deux tiers des pannes étant résolues sans changement de pièces.

    Le problème du coût de la réparation est, quant à lui, toujours d’actualité. Fnac Darty nous apprend que 51% des Français se déclarent prêts à faire réparer leurs produits si le montant de la réparation est inférieur à 25% du prix du neuf. Par ailleurs, 91% affirment qu’ils feraient davantage réparer leurs appareils électroménagers si le coût de la réparation était moins élevé, et 86% le feraient s’ils étaient mieux informés sur la présence de réparateurs près de chez eux.

    http://www.economiematin.fr/news-reparabilite-appareils-equipements-electromenagers

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    1. L'obsolescence programmée et contrôlée par satellites sur TOUS les véhicules (après l'an 2000) et TOUS l'électroménager et moyens de com. C'est donc du 100 % pour eux !

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