Sur une vidéo devenue virale, des forces de l'ordre gazent les clients d'un café lors de l’acte 31
15:27 16.06.2019
Le samedi 15 juin s’est révélé électrique dans la Ville rose que les Gilets jaunes avaient symboliquement nommé «capitale nationale de la contestation» pour leur acte 31. Une vidéo, devenue virale, montre les forces de l’ordre gazer la terrasse d'un café toulousain.
Une semaine après Montpellier, capitale des Gilets jaunes pour l’acte 30, Toulouse a pris le relais pour un 31e samedi de mobilisation qui a été émaillé d’incidents et d’interpellations.
Juste après le départ du cortège de la station de métro Jean-Jaurès, les forces de l’ordre ont fait usage de lacrymogènes pour le disperser.
D’autres incidents ont été signalés et filmés à quelques mètres du métro, dans le café Le Cardinal. D’après des vidéos devenues virales sur Twitter, des policiers et des CRS ont fait irruption sur la terrasse, aspergeant même les personnes qui ne portaient pas de gilets jaunes de gaz lacrymogène.
Peu après, le témoignage d’un serveur, comme l’annonce la légende du tweet, est apparu sur le Net.
Selon la préfecture de Haute-Garonne, la manifestation toulousaine a rassemblé «quelques centaines» de personnes. 17 interpellations et deux blessés légers pour des blessures à l’arcade sourcilière et un hématome au ventre ont été signalés.
Quelque 7.000 personnes ont manifesté en France à l'occasion du 31e samedi de mobilisation des Gilets jaunes, soit le total le plus faible depuis le début du mouvement, a déclaré le ministère de l'Intérieur. Les Gilets jaunes étaient 950 dans la capitale et 200 à Marseille, selon le décompte des autorités. Ce mouvement avait réuni 10.300 personnes le 8 juin et 9.500 la semaine précédente.
Un technicien s’est-il fait virer après avoir parlé à Castaner des violences policières ?
15:24 16.06.2019
Suite à l’échange au sujet des violences policières contre les Gilets jaunes entre Christophe Castaner et un technicien ayant travaillé pour l’Armada Rouen, ce dernier n’y travaille plus, informe LCI. Comme motif de fin de contrat, son ancien chef a indiqué non-respect de la discipline au travail.
Après avoir interrogé le ministre de l’Intérieur sur les violences policières contre des Gilets jaunes sur son lieu de travail, un technicien employé comme sous-traitant dans la société Scorpion à Rouen n’est plus autorisé à y exercer son activité professionnelle, relate la chaîne LCI.
Dans le cadre de l’Armada Rouen, Christophe Castaner visitait le PC sécurité de la société qui réalise des émissions radio consacrées à l’événement, le 9 juin, lorsque le technicien son s’est approché du ministre pour lui poser des questions concernant les violences policières envers les Gilets jaunes.
Le témoignage de la personne concernée a été publié sur la page Facebook du groupe Rouen dans la rue:
«Il y a eu la visite de Castaner dimanche, j’ai pris mon courage à deux mains pour l’interpeller et lui parler, je lui ai dit "une pensée pour nos éborgnés". Suite à cet échange, ses RG personnels ont relevé mon identité, mes intentions et presque toute ma vie...».
En commentant la discussion avec l’homme d’État, le technicien a cité les propos de ce dernier:
«Voilà, j’étais en état de stress lors de l’échange je ne me souviens pas de tous ses mots par cœur. Il m’a fait un serment à la con sur ses CRS qui en prennent plein la gueule tous les weekends etc. Bref du grand Castaner. Puis il m’a dit "et vous, vous cautionnez ces abrutis de Gilets jaunes qui s’amusent à casser du flic tous les weekends". Dommage qu’il n’y ait pas eu de caméra à ce moment-là».
L’interdiction d’accès à son lieu de travail a résulté de tout cela, indique le jeune homme: «Le service de sécurité de l’Armada qui m’interdit l’accès au PCI via la demande de Castaner! Je suis auto-entrepreneur et j'étais à ce moment en prestation».
Interrogé par la chaîne, le patron de l’employé Pascal Bovin a dénoncé le fait que la mission du technicien avait pris fin à la demande du ministre de l’Intérieur, en soulignant que ce dernier n’avait reçu «aucune pression du ministère».
Le gérant de la société a motivé la fin de coopération avec le technicien par la violation des règles de discipline de travail:
«Dimanche dernier, il était au studio, en poste. Quand il a appris la venue de Christophe Castaner, son comportement aurait changé. Puis il est sorti du studio - il a donc quitté son poste - pour interpeller le ministre. Notre studio est situé dans une zone sécurisée par la police. Dans ces conditions, il était difficile de le laisser dans cet environnement. Après ce qui s'est passé, nous lui avons dit que nous ne pouvions plus lui faire confiance et il a tout à fait compris».
Bien que le chef d’entreprise ait estimé qu’interpeller le ministre «ne se fait pas sur le temps de travail», le technicien s’en est indigné en précisant qu’il s’est fait «virer comme une m... du poste que j’occupais» et le considère comme un «licenciement abusif !».
Macron accueilli par des sifflets au Stade de France (vidéo)
12:29 16.06.2019
Accompagné par deux dirigeants du rugby français, le Président de la République a essuyé des sifflets au Stade de France avant la finale du Top 14.
Avant le coup d’envoi de la finale du Top 14, qui opposait Toulouse à Clermont au Stade de France, Emmanuel Macron, accompagné par Bernard Laporte, président de la Fédération française de rugby, et Paul Goze, celui de la Ligue nationale, a été hué par une partie des 80.000 spectateurs présents:
Le Figaro affirme cependant que les «sifflets nourris» du public «ont semblé davantage dirigés vers Bernard Laporte et Paul Goze». Quoi qu’il en soit, M.Macron a été respecté sur la pelouse, les joueurs fidjiens des deux équipes s’agenouillant à son passage.
Pour sa part, le pilier sud-africain du Stade Toulousain Maks Van Dyk a profité de l’occasion pour demander au Président de lui accorder la nationalité française. «Banco, on lance la procédure», a répondu Emmanuel Macron en souriant.
En défiant les USA, un pays membre de l’UE lance un réseau 5G avec l’aide de Huawei
14:47 16.06.2019
Washington a demandé à ses alliés européens de refuser à Huawei l'accès à leurs marchés 5G, mais certains font la sourde oreille. L’un des plus grands opérateurs de télécommunications au monde vient de lancer son premier réseau 5G dans 15 villes espagnoles en utilisant les technologies de la société chinoise.
Vodafone, l’un des plus grands opérateurs de télécommunications au monde, a lancé son premier réseau 5G dans 15 villes espagnoles, dont Madrid et Barcelone, en utilisant les technologies de la société chinoise Huawei, a relaté Xinhua.
Small toy figures are seen in front of a displayed Huawei and 5G network logo in this illustration picture, March 30, 2019
Pourquoi l'accord entre l'opérateur russe MTS et Huawei effraie les USA
Le déploiement a eu lieu malgré les pressions américaines sur les États membres de l'Union européenne visant à interdire à Huawei de participer à la mise en place de réseaux 5G. Le directeur général de Vodafone, Nick Read, a critiqué ces exigences, affirmant que le fait d’abandonner Huawei retarderait de deux ans environ la création du réseau.
Selon Vodafone Espana, le réseau mobile 5G couvre 15 grandes villes nationales, notamment Madrid, Barcelone, Valence et Séville. «Environ la moitié des habitants de ces villes pourront bénéficier de ce réseau sophistiqué et extrêmement rapide de téléphonie mobile, qui ne cessera de s'étendre au fil des prochains mois», a annoncé l’agence chinoise.
Vodafone Espana couvre également le plus grand nombre de villes en Europe à ce jour, a noté le média, précisant que Huawei avait été le principal fournisseur d'équipements pour ce projet. Les deux sociétés travaillent en étroite coopération depuis plus de dix ans.
Huawei: risque pour la sécurité nationale ou cible de la guerre économique ?
Les pays de l'UE ont globalement été réticents à répondre aux demandes des États-Unis concernant Huawei. Des fuites dans les médias laissent à penser que le Royaume-Uni, l’un des alliés les plus proches de Washington, a décidé de permettre à Huawei de participer à des systèmes de réseau 5G non essentiels. La France a déclaré qu'elle n'interdirait pas les opérateurs de recourir à Huawei, mais qu’elle ne s'opposerait pas non plus à ce qu'ils renoncent volontairement à une collaboration. La Hongrie a quant à elle farouchement défendu son droit d'utiliser les équipements de Huawei dans son réseau mobile de cinquième génération.
Donald Trump a signé le 15 mai un décret interdisant aux entreprises américaines d'utiliser du matériel de télécommunication fabriqué par des entreprises présentant un risque pour la sécurité nationale, ce qui revient à interdire aux groupes américains de faire affaire avec Huawei.
Reuters a rapporté le 19 mai que Google ne fournirait plus de logiciels, de matériel informatique et de services techniques à Huawei à l'exception des services disponibles en open source. Les entreprises Intel et Broadcom ont aussi mis fin à leur coopération avec le géant chinois de l’informatique.
par Tyler Durden Samedi, 15/06/2019 - 18h30 Écrit par Ryan McMaken via le Mises Institute,
Le sans-abrisme d'aujourd'hui est souvent imputé à la "gentrification" et au "néolibéralisme". Lorsque ces termes sont utilisés dans le contexte du logement urbain, cela signifie généralement que trop de liberté de marché rend le logement inabordable pour une grande partie de la population. Ainsi, on nous dit que le capitalisme est le principal coupable que nous trouvons maintenant dans de nombreuses grandes villes, de Boston à Los Angeles.
Mais il y a beaucoup plus à l'histoire.
Depuis l'ère progressiste, les agences gouvernementales - du gouvernement fédéral au niveau inférieur - ont été au premier plan en matière de subventions, de réglementations et de planification du développement des villes, de manière à ce que le logement dans les centres-villes soit plus rare et plus coûteux pour les ménages qui n'en font pas partie. millionnaire hipster-millionnaire que tant d’urbanistes et de politiciens s’efforcent d’attirer.
Alors que la demande croissante de logements sur un nombre déterminé de kilomètres carrés augmentera effectivement le prix des terrains et des logements, divers types d’interventions gouvernementales rendent le logement plus coûteux qu’il ne le serait autrement. Et parfois, par le biais d'ordonnances de zonage et d'autres réglementations, les villes interdisent en grande partie les types de logements dont les résidents à faible revenu ont le plus besoin.
Pour mieux comprendre pourquoi le sans-abrisme est un problème récurrent dont le nombre semble en augmentation, il est utile d’examiner les origines de ce qui est à présent le mode opératoire normalisé pour les villes: la planification urbaine centralisée. Alors que les ménages et les personnes à très faible revenu font depuis longtemps partie du paysage urbain aux États-Unis et en Europe, les responsables municipaux ont souvent par le passé reconnu que les quartiers à faible revenu devaient tout simplement être tolérés. Bien que les réformateurs se soient souvent plaints de la nature impure et prétendument immorale de ces lieux, le manque de pouvoir du gouvernement - et la résistance de propriétaires privés - ont empêché les responsables municipaux d’abolir les quartiers des villes qui fournissaient des logements. Ce logement - aussi sub-optimal soit-il - était préférable au sans-abrisme.
Les progressistes et l'idée de l'urbanisme
Ces communautés à faible revenu ont commencé à rencontrer une opposition plus organisée au cours de l'ère progressiste, bien qu'il ne soit pas difficile de comprendre pourquoi l'idée de planification urbaine telle que nous la connaissons a été adoptée pour la première fois par Progressives. Vers la fin du XIXe siècle, la situation dans de nombreuses villes américaines a consterné de nombreux progressistes de la classe moyenne. Les quartiers urbains à faibles revenus manquaient souvent d'infrastructures d'assainissement adéquates. Ils étaient sales. Les taux d'homicides étaient probablement plus élevés qu'aujourd'hui dans de nombreuses zones urbaines.
Une grande partie du problème était imputée à la "congestion" ou au "surpeuplement", ce que nous appelons aujourd'hui parfois simplement "densité".
Selon Steven Conn dans son livre Americans Against the City,
Pour les progressistes de toutes les grandes villes, la foule était le fléau à éliminer. "C’est le surpeuplement qui engendre le crime et le vice", a exhorté un écrivain, qui a insisté sur le fait que les habitants de ces régions ne sont pas intrinsèquement mauvais, mais qu’ils le sont par leur environnement.
Cependant, dans de nombreux endroits, les réformistes ont exagéré l’attracisme de ces lieux. Après tout, bon nombre de ces "bidonvilles" comprenaient des familles multigénérationnelles et des résidents de longue date qui ont déployé de réels efforts pour maintenir un certain niveau de sécurité et de stabilité dans la communauté. Beaucoup de bidonvilles étaient en réalité des quartiers de pensions de famille. Ils étaient bondés et mal à l'aise. Mais ce n'étaient pas non plus des bidonvilles.
Des "solutions" communes progressives aux problèmes affirmés des taudis peuvent être trouvées dans un rapport de 1911 d'une commission de la ville de New York sur la congestion. Les recommandations comprennent:
Réguler la hauteur des immeubles locatifs.
Limiter l'occupation du terrain.
Fournir un espace pour les parcs, les terrains de jeux et le centre de loisirs.
Réglementer l'occupation maximale des unités résidentielles [dans le cadre d'un effort visant à supprimer les pensions de famille].
Localiser les usines de manière plus délibérée et rationnelle.
La plupart de ces recommandations assumaient un rôle beaucoup plus important pour l'État dans la réglementation, l'inspection et la prescription de changements dans l'utilisation actuelle de l'espace. Avec ce nouveau type de planification urbaine, les gouvernements auraient besoin de beaucoup plus d'inspecteurs du logement, de commissions de zonage et d'un appareil juridique nécessaire pour assurer le respect des règles.
D'autres villes ont fait de même et "entre 1907 et 1916, la moitié des cinquante plus grandes villes du pays ont commandé ou publié des plans de ville complets pour lutter contre le surpeuplement".
Conn conclut: "C'est ainsi que la planification urbaine est arrivée dans la ville progressive." Et avec le zonage et de nombreux autres mandats qui ont progressivement éliminé les unités de logement à faible revenu existantes, tout en empêchant la construction de nouvelles unités pour les remplacer.
Il n’est pas surprenant que l’idée selon laquelle les acteurs du secteur privé ne devraient pas être autorisés à décider par eux-mêmes de ce qui a été construit dans la ville et de quel endroit est inhérent à ces nouveaux idéaux. Dans l’esprit progressiste, une trop grande liberté du secteur privé avait engendré la "congestion" que Progressives cherchait à abandonner et à réformer. Cette activité de marché devait être remplacée par les décisions des urbanistes.
Les réformateurs progressistes ont toutefois été limités dans la poursuite de ces objectifs en raison d'un manque de financement et de l'opposition politique des propriétaires et des résidents du logement ciblé pour la réforme. Après tout, si le logement devait être réglementé par de nouvelles règles d'occupation et des modifications obligatoires de la densité, cela entraînerait à la fois une hausse des prix et une suppression forcée des logements existants.
Les propriétaires sont également opposés aux réformes, car les logements à loyer modique ne valent souvent la peine que si un grand nombre de clients payants sont concentrés dans un espace relativement petit.
Bien sûr, les propriétaires privés étaient disposés à faire acheter leur propriété par le gouvernement. Et beaucoup de villes étaient désireuses de démolir les quartiers "brûlés". Mais les fonds publics étaient souvent rares. Comme l'a noté Colin Gordon, les gouvernements locaux ne pouvait pas surmonter les obstacles omniprésents au réaménagement: les intérêts privés n’étaient pas incités à faciliter la politique publique et les intérêts publics n’avaient pas les moyens d’acquérir ou de rassembler des propriétés privées.
Les choses ont toutefois changé avec l'avènement du New Deal et la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Ce qui avait été principalement une initiative locale visant à réduire la densité et à "nettoyer" les quartiers à faible revenu à l'époque progressiste est devenu un mouvement national dans le cadre du New Deal. La loi nationale sur le logement de 1937, par exemple, a mis en place un système de prêts et de subventions aux autorités locales du logement. Malheureusement, ces efforts visaient principalement le réaménagement et non la production de nouvelles unités. En fait, l'utilisation des fonds fédéraux pour le réaménagement d'unités de logement "a nécessité le dégagement d'un nombre égal de propriétés" flétries "."
Le réaménagement subventionné par le gouvernement s’est accéléré en vertu de la Loi fédérale sur le logement de 1949 qui a mis des fonds fédéraux à la disposition du réaménagement de vastes zones plutôt que de la simple suppression de conditions de taudis discrètes. En vertu de la nouvelle loi, les sociétés de réaménagement locales pourraient acheter et défricher des zones touchées par la brûlure avec de l'argent fédéral, vendre le terrain à des promoteurs privés et utiliser le produit de la vente pour couvrir les coûts de réaménagement.
Des "intérêts privés menacés ou déplacés par des plans de réaménagement urbain" se sont opposés, mais
Les tribunaux fédéraux et des États ont toujours maintenu que l'objectif public général du réaménagement l'emportait sur les revendications de propriétaires individuels et que la revente de propriétés défrichées à des promoteurs privés constituait un usage public approprié.
Au fil du temps, le nouvel esprit de rénovation urbaine, propulsé par la législation fédérale et les fonds fédéraux, a entraîné une guerre contre les «quartiers touchés par la brûlure», le terme «brûlure» se révélant très flexible. En effet, tous les quartiers ou villes que les urbanistes considéraient comme générant trop peu de recettes fiscales, ou tout simplement peu attrayants, visaient un rachat, un nivellement et un réaménagement financés par le gouvernement.
Pendant tout ce temps, les représentants du gouvernement ont affirmé qu’ils augmentaient l’offre de logements pour les familles américaines. Comme l'a noté Walter Thompson:
La suppression des bidonvilles a été la clé de la revitalisation des centres-villes et a tenu bon pendant plusieurs décennies le siècle dernier. Dans son état de l'Union de 1949, le président Harry Truman a salué le "déblayage des taudis" comme une arme permettant de lutter contre la pénurie de logements dans le pays après la Seconde Guerre mondiale. Comme le disait l'éditorial de San Francisco Chronicle de 1945, "on ne peut carrément rien faire pour améliorer les conditions de logement ici jusqu'à ce que beaucoup de personnes se soient évaporées".
Mais la rénovation urbaine n'a amélioré que les conditions pour certaines personnes. Dans son article intitulé "Pas de place à l'auberge: la politique du logement et les sans-abri", Todd Swanstrom note "Il est bien documenté que les programmes de rénovation urbaine des années 50 et 60 ont détruit plus de logements qu'ils n'en ont remplacés".
En effet, comme le décrit Gordon, la politique fédérale était "résolue à améliorer le parc de logements sans l'augmenter".
Oui, les unités détruites au bulldozer dans les bidonvilles ont été remplacées par des unités de meilleure qualité. Mais ils ont rarement été remplacés par suffisamment d’unités pour remplacer celles qui avaient été démolies.
Les urbanistes étaient heureux de montrer les nouveaux projets brillants pour lesquels ils avaient utilisé l'argent du gouvernement pour le réaménager. Mais invisibles étaient les ménages qui ne pouvaient tout simplement pas se permettre des unités dans les nouveaux bâtiments.
Après tout, les pauvres qui vivaient dans les bidonvilles y vivaient précisément parce que c’était un logement bon marché et à loyer modique. Les réformateurs ont admis qu’il n’existait pas de "réponse rapide" pour expliquer ce que deviendraient les familles déplacées. Mais peu de réformateurs semblaient très troublés par cela. Alors, comme maintenant, ce qui importait vraiment aux réformateurs était peut-être de pouvoir prétendre qu'ils faisaient quelque chose. Et puis, vivre dans les bidonvilles était évidemment une mauvaise chose. Mais comme Swanstrom le suggère de manière très pragmatique: "ces logements [dans les bidonvilles] ont pu être offensants par rapport aux normes de la classe moyenne, mais ils étaient néanmoins meilleurs que de vivre dans la rue".
Mais beaucoup de réformateurs ont ignoré ce peu de sagesse et ont insisté pour que la politique du logement s'articule autour de la planification urbaine centralisée, des mandats anti-bidonvilles et du réaménagement qui favorise le développement commercial urbain, là où le développement résidentiel a déjà été.
Pendant ce temps, des politiques fédérales ont été introduites lors du New Deal et lors de réitérations ultérieures d'une politique sociale fédérale expansionniste qui encourageait plus de dépenses dans les banlieues que dans les villes. Les programmes fédéraux conçus pour augmenter le nombre de maisons unifamiliales de banlieue se sont multipliés avec de nouvelles créations fédérales telles que Fannie Mae et de nouveaux programmes d'assurance prêt hypothécaire. Les subventions fédérales ont également encouragé la construction de nouvelles autoroutes hors de la ville et la construction d'infrastructures de banlieue. Les dollars dépensés pour subventionner les banlieues ont donc largement dépassé ceux dépensés pour subventionner la construction de nouveaux logements dans les centres-villes. Combinées aux politiques anti-taudis, les politiques et les habitudes de dépenses fédérales ont eu pour effet de drainer les villes du centre - et leurs quartiers - de la capitale, tout en démolissant les logements restants.
Dans les années 1980, alors que l'itinérance devenait un sujet de recherche fréquent, certains spécialistes ont commencé à reconnaître que la politique fédérale de rénovation urbaine avait jeté les bases de la montée de l'itinérance au cours de cette décennie. Il s'est avéré que le grand plan du gouvernement fédéral visant à niveler les maisons flottantes et les hôtels résidentiels au nom de "villes" embellissant "ne permettait pour la plupart que de détruire le seul logement que la population à très faible revenu pouvait se permettre. Privés de leurs unités dans les bidonvilles, ces personnes ont fini par vivre dans des villes-tentes et des cartons.
Aujourd'hui, peu de choses ont changé pour ceux qui ont les revenus les plus bas. Les options qui leur étaient offertes dans le monde d'avant les années 50 ont disparu et n'ont jamais été remplacées.
Grâce à la persistance de la mentalité progressiste dans les villes, le zonage, le "réaménagement" et un contrôle centralisé des nouvelles constructions restent la norme. La "densité" est la nouvelle "congestion" et l'attitude des urbanistes reste la même. Ils déplorent le manque de logements abordables tout en bloquant les efforts pour construire davantage de logements. Dans le même temps, ils resserrent les contrôles sur les internats modernes et tentent d'autres tentatives du secteur privé visant à fournir des logements abordables. Les planificateurs imposent des restrictions de hauteur et des contrôles de densité. Ils créent des tailles minimales arbitraires pour les unités. Dans de nombreux États et villes, la définition du "fléau" reste flexible, permettant aux gouvernements d'éliminer davantage les anciens logements, à la discrétion des urbanistes.
De plus, les anciennes méthodes de rénovation urbaine persistent sous des formes actualisées. La législation en matière de financement progressif (TIF) ne vise pas le logement à faible coût, mais le nouveau développement commercial. Souvent, ce développement est construit là où il y avait autrefois des logements "inesthétiques" (mais abordables). Sa destruction est encouragée par la politique du gouvernement. La politique fiscale fédérale et la politique hypothécaire continuent de détourner des capitaux des logements locatifs urbains vers les logements unifamiliaux de banlieue.
Cependant, les centres-villes restent le lieu le plus pratique pour la construction et la préservation de logements à très faible revenu. En effet, les ménages aux revenus les plus bas doivent être proches des zones les plus denses où se développent le transport en commun et l'accès à l'emploi. En détruisant l'écosystème urbain des logements à très faible revenu, les gouvernements ont laissé à beaucoup de ces personnes peu de possibilités, si ce n'est de vivre dans des voitures, des ruelles et des trottoirs. Ceci, bien sûr, est beaucoup plus dangereux que de vivre dans un hôtel résidentiel en ruine avec des toilettes fonctionnelles dans le couloir et une porte verrouillable sur la pièce.
Mais même si les administrations municipales autorisaient le secteur privé à reconstruire librement, il faudrait probablement des décennies pour créer l'infrastructure de logement nécessaire pour répondre aux besoins de logements dans les centres-villes. Nous continuons de vivre avec les ruines d’un renouveau urbain raté, et nous en avons la preuve dans les villes-tentes et les latrines de fortune que nous voyons maintenant dans les espaces publics.
(...) "C’est le surpeuplement qui engendre le crime et le vice", a exhorté un écrivain, qui a insisté sur le fait que les habitants de ces régions ne sont pas intrinsèquement mauvais, mais qu’ils le sont par leur environnement. (...)
C'est pourquoi LES FRONTIÈRES SONT NÉCESSAIRES ! Chacun chez soi et tout ira bien.
SCIENCE-FICTION - LE CRASH-TEST DU FUTUR S'EST DÉROULÉ À VAUFFELIN (BE)
Un véhicule à conduite autonome contre un taxi aérien électrique: la sécurité devra tenir compte de passagers qui pourraient être couchés...
PAR VINCENT DONZÉ 16.06.2019, 13h31
Il n'y a jamais de vrai conducteur dans un crash-test: c'est évidemment le rôle d'un mannequin. Mais pour celui réalisé vendredi au Centre de tests dynamiques (DTC) de Vauffelin (BE), il n'y avait pas non plus de faux conducteur, puisqu'il s'agissait d'un démonstration avec des véhicules complètement autonomes.
Pour ses 25 ans, le DTC a effectué des démonstrations de conduite avec des systèmes d'aide, ainsi qu'une collision devant ses invités, dont l'analyse interviendra plus tard. Il s'agissait pour cet anniversaire de faire passer un message futuriste.
- voir clips sur site -
Le même crash-test mais vu sous un autre angle
«Nous supposons que la sécurité pourra être considérablement améliorée grâce aux nouvelles technologies», disent les experts, même s'il apparaît peu probable que le nombre d'accidents diminue de manière significative dans la phase initiale.
Mesure du pouls
Caméras périphériques, capteurs de stationnement, mesure du pouls au volant, freinage d'urgence automatique, système d'alerte de changement de voie: dans la voiture intelligente, la réalité dépasse la fiction!
Un dernier angle... pour la route
«Les voitures se stationnant seules sont du passé, les voitures de demain rouleront de manière complètement autonome et s'empareront de l'espace aérien», prévoient les ingénieurs du DTC. C'est la collision entre deux véhicules futuristes de ce type qui a été organisée vendredi: un véhicule à conduite autonome contre un taxi aérien électrique.
Mise en réseau
«Grâce à ces nouvelles libertés, l'intérieur des automobiles peut être redessiné», détaillent les ingénieurs confrontés à de nouveaux défis pour les systèmes de retenue, par exemple pour les passagers allongés...
Conclusion du DTC: «La mise en réseau et la numérisation jouent un rôle de plus en plus important dans l'industrie automobile», la connectivité étant un critère grandissant dans le choix d'une marque. (Le Matin)
Le problème avec les 'ingénieurs de l'IA' est QU'ILS N'ONT RIEN COMPRIS ! Ils osent lancer des voitures sur le marché sans avoir vu le vol de milliers d'oiseaux qui se croisent à toute vitesse SANS JAMAIS S'ENTRECHOQUER !!
ÉTATS-UNIS - «RÉCOLTER LE COTON»: UNE EMPLOYÉE SCOLAIRE DÉMISSIONNE
Une assistante scolaire a quitté son emploi, dans l'Oregon, suite à la plainte d'une mère pour des propos racistes lancés à un groupe d'élèves dont la plupart étaient métissés. Les faits sont survenus à l'école Linwood, à Milwaukie.
16.06.2019
Estimez-vous heureux de ne pas être en train de «récolter le coton ou de nettoyer ma maison»: c'est la remarque raciste que l'employée d'une école élémentaire américaine a lancée à un groupe d'enfants turbulents dont elle avait la charge, rapportent des médias locaux.
L'assistante scolaire de l'école Linwood à Milwaukie, dans l'Oregon, avait été suspendue après la plainte d'une mère d'élève. Elle a finalement démissionné à la suite de ces commentaires faisant explicitement référence à la période de l'esclavage, a annoncé le district scolaire jeudi.
L'employée, chargée de surveiller les récréations et la pause déjeuner, avait réprimandé des élèves qui faisaient trop de bruit pendant le repas, les menaçant de relever leurs noms et de prévenir leurs parents.
Jasmyn Spencer et sa mère ont dénoncé les propos de l'employée (crédit: KPTV)
Mais le ton était monté et l'assistante avait alors dit au groupe d'élèves, dont beaucoup étaient noirs, qu'ils pouvaient s'estimer heureux qu'elle ne les oblige pas à «récolter le coton et nettoyer sa maison», a affirmé l'une des élèves, Jasmyn Spencer, métisse âgée de onze ans.
C'est la mère de Jasmyn, Syreeta Spencer, qui a prévenu l'école après cet incident, se disant «choquée» et très «en colère». «Nous comprenons que des mots puissent blesser nos élèves, et cela a été le cas en l'occurrence», a affirmé le district scolaire dans un communiqué, exprimant ses profonds regrets.
L'employée a elle aussi demandé pardon. «Il n'y a tout simplement pas d'excuse à mes propos, et je reconnais que ce que j'ai dit était blessant et insultant», a-t-elle écrit. ban/la (afp/Le Matin)
AMÉRIQUE DU SUD - L'ARGENTINE ET L'URUGUAY SONT PRIVÉS D'ÉLECTRICITÉ
Une panne d'électricité a plongé l'Argentine et l'Uruguay dans le noir. Les deux pays partagent un système d'interconnexion électrique centralisé.
Les habitants de Montevideo, la capitale de l'Uruguay, se sont réveillés dans le noir.
16.06.2019, 15h34
L'Argentine et l'Uruguay sont privés d'électricité par une panne massive sur l'ensemble de leur territoire depuis dimanche matin, d'après les autorités et les entreprises de distribution énergétique des deux pays.
«A 07H07 (10H07 GMT) le système argentin d'interconnexion (SADI) a subi un arrêt total qui s'est traduit par une panne massive d'électricité dans tout le pays et a également touché l'Uruguay», a indiqué le Secrétariat à l'Energie d'Argentine dans un communiqué cité par la presse locale.
«Les causes sont en train d'être étudiées», a-t-il ajouté, précisant que le service commençait à être rétabli dans certaines régions et que la «remise en service totale» pourrait «prendre plusieurs heures».
A Buenos Aires, au milieu d'une matinée dominicale pluvieuse, les rues étaient peu animées même si quelques supermarchés et d'autres commerces étaient ouverts, fonctionnant grâce à des générateurs.
En Uruguay, seuls quelques feux de circulation marchaient à Montevideo où l'éclairage public était totalement éteint.
«Défaillance massive»
Plus tôt, les compagnies électriques d'Argentine et d'Uruguay ont signalé «une défaillance massive du système d'interconnexion» qui a privé de courant les deux pays. D'après la société Edesur Argentina, la totalité du territoire des deux pays était touchée par cette panne géante, qui concernait aussi «des pays limitrophes» selon Edenor.
L'uruguayenne UTE a quant à elle tweeté qu'à «07H06 (10H06 GMT), un mauvais fonctionnement du réseau argentin a touché le système interconnecté, privant de service tout le territoire national, et plusieurs provinces du pays voisin».
Un peu plus d'une heure après le début de la panne, UTE a précisé que «le service électrique est déjà rétabli dans certaines villes côtières et les efforts se poursuivent pour remettre en route la totalité du service».
L'Argentine, qui compte 44 millions d'habitants, et l'Uruguay - 3,4 millions - partagent un système d'interconnexion électrique centralisé sur le barrage binational de Salto Grande, situé à 450 km au nord de Buenos Aires et à 500 km au nord de Montevideo. (afp/nxp)
Voici le top 5 des meilleurs smartphones qui coûtent moins de 500 euros
15:45 16.06.2019
Ces cinq smartphones sont sur la liste des meilleurs portables au monde et coûtent moins de 500 euros, annoncent les auteurs d’un classement publié par Business Insider.
Alors que les modèles phares d’Apple ou de Samsung coûtent en moyenne 1.000 euros, Business Insider a décidé de présenter son classement des meilleurs smartphones coûtant beaucoup moins cher.
Si vous n’avez pas peur de sacrifier certaines options et de choisir un modèle plus ancien, de nombreux téléphones sont accessibles pour la moitié moins que le prix d’un iPhone XS.
Au premier rang se place le Motorola Moto G7, qui ne coûte que 240 euros (270 dollars), dont la qualité de l’écran est presque similaire aux alternatives plus chères et qui résiste à l’eau.
Arrive ensuite l’iPhone 7 à 400 euros (450 dollars), lui aussi résistant à l’eau. Business Insider a estimé que ce modèle vieux de trois ans possédait certains avantages indéniables, dont le même processeur que le modèle de base de l’iPad et par conséquent une multitude d’options.
Le Razer Phone 2 occupe la troisième place et dispose de 8GB de Ram, soit plus que ses concurrents.
Le Samsung Galaxy 9 se place au 4e rang grâce à son écran doté d’une matrice active OLED et à sa caméra de très bonne qualité.
Enfin, le Google Pixel, qui se classe 5e, offre l’avantage de prendre de bonnes photos de nuit. Ce smartphone a aussi un écran OLED.
Dans un monde en réchauffement, le soja et le maïs bon marché peuvent nous surprendre
June 17th, 2019
De nouvelles recherches montrent que la catastrophe climatique imminente met le monde en danger de produire trop de maïs et de soja. Les gens ne savent pas ce que c'est que mourir de faim ! H / t to gaz carbonique Science
Qiao et al ont découvert que lorsque les températures sont augmentées de 2 ° C «catastrophiques» et que le gaz carbonique est porté à 700 ppm inimaginables, le maïs (ou maïs) augmente considérablement son rendement de 25%. Atteint à la fois par les températures élevées et par le gaz carbonique supplémentaire, le rendement du soja a encore augmenté de 31%.
Cela signifie vraisemblablement que les prix des cultures chuteront et que le maïs et le soja pourraient dominer votre jardin. (Veillez donc à installer un panneau solaire pour contrôler ces nouvelles herbes!)
La rumeur que les densités d'éléments nutritifs vont tomber - s'est avéré être faux. L'augmentation de la température a augmenté la teneur en huile des deux cultures. Et la combinaison de temps plus chaud et de gaz carbonique a également augmenté la plupart des nutriments. Les deux cultures avaient plus de phosphore, de potassium, de fer et de zinc. Il y avait une diminution statistiquement minime du calcium dans le maïs, si petit qu'il pourrait ne pas être là. Le manganèse dans le soja est le seul minéral qui ait définitivement diminué. Pour l'homme, il n'y a apparemment personne sur Terre qui souffre d'une carence clinique en manganèse due à un régime alimentaire. Pas trop préoccupant alors.
Le maïs aime le temps chaud. Mais le soja aime le gaz carbonique supplémentaire. Cela pourrait avoir quelque chose à voir avec le maïs étant une plante C4 avec des gènes chauds récemment développés pour utiliser le gaz carbonique et le soja étant l’une des anciennes plantes classiques sur C3 et nécessitant une mise à niveau.
Le maïs et le soja bénéficient du réchauffement des températures et du gaz carbonique. Graphique. 2019
- voir tableau sur site -
eT = température élevée eTgaz carbonique = T et gaz carbonique élevés Contrôle = les plantes pauvres qui doivent se débrouiller avec une température normale et du gaz carbonique.
L'augmentation de la concentration de gaz carbonique et de la température associée risquent d'avoir une incidence sur la production agricole. Cette étude a examiné les effets de la température élevée seuls et en combinaison avec l'enrichissement en gaz carbonique sur le rendement en grain et la qualité du soja (Glycine max) et du maïs (Zea mays) cultivés au cours d'une saison de croissance quinquennale de Mollisol. Les plantes ont été cultivées dans des chambres à ciel ouvert avec le contrôle ambiant, une augmentation de 2,1 ° C de la température de l'air (eT) et de l'eT avec une concentration de gaz carbonique de 700 ppm dans l'atmosphère (eTegaz carbonique). Bien que eTegaz carbonique mais pas eT ait augmenté le rendement moyen en grains de soja de 31%, eTegaz carbonique et eT ont également augmenté le rendement en maïs d'environ 25% par rapport au témoin ambiant. En outre, eT et eTegaz carbonique n'ont pas eu d'incidence significative sur les protéines des céréales des deux espèces, mais ont constamment augmenté les concentrations d'huile dans les grains des deux espèces, l'eTegaz carbonique augmentant davantage. L'eT a augmenté la concentration de Fe dans les grains par rapport au traitement témoin, mais a diminué la concentration de Ca, tandis que les concentrations relatives de P, K, Mn et Zn variaient selon les espèces cultivées. L'augmentation de gaz carbonique augmentait l'effet eT sur la concentration en Fe, mais diminuait l'effet sur la concentration en Ca. Les résultats suggèrent que la sélection des cultures est importante pour maximiser les avantages de rendement et maintenir la qualité du grain afin de faire face aux taux de gaz carbonique et de température élevés des futurs changements climatiques dans cette région tempérée où la température est proche ou inférieure à la température optimale pour la production de cultures.
RÉFÉRENCE
Qiao, Y et al (2019) Les concentrations élevées en gaz carbonique et en température augmentent la concentration en huile de grain, mais leurs effets sur le rendement en grain diffèrent entre le soja et le maïs cultivés dans une région tempérée, Science de l'environnement total, volume 666, 20 mai 2019, pages 405 à 413.
La prophétie 2017 de Russie Expert concernant la menace nucléaire de Russiagate se réalise
par Tyler Durden Dim, 16/06/2019 - 22:50 Écrit par Caitlin Johnstone via Medium.com,
Le New York Times a publié un rapport de source anonyme intitulé “U.S. Escalade des attaques en ligne sur le réseau électrique russe "sur le" placement de logiciels malveillants potentiellement invalidants dans le système russe à une profondeur et avec une agressivité jamais essayée auparavant ", qui pourrait potentiellement" plonger la Russie dans l'obscurité ou affaiblir ses forces armées ", Reportage officiel anonyme: «Nous faisons les choses à une échelle que nous n'avions jamais envisagée il y a quelques années».
De toute évidence, il s’agit là d’une nouvelle et sérieuse escalade dans la série d’étapes sans cesse croissante qui ont été franchies dans le cadre d’une nouvelle guerre froide entre les deux superpuissances nucléaires de la planète. Si des responsables anonymes du Kremlin avaient révélé aux médias russes que Moscou intensifiait ses cyber-agressions contre le réseau énergétique américain, cela constituerait sans aucun doute un acte de guerre de la part de la classe politique / des médias des États-Unis et de ses alliés, avec des demandes immédiates. représailles.
Pour mettre cela en perspective, le New York Times a rapporté l'année dernière que le Pentagone faisait pression pour que la Nuclear Posture Review des États-Unis inclue la stratégie de représailles contre les cyberattaques russes sur les réseaux électriques américains.
Donc, ça fait assez peur. Ce qui est encore plus effrayant, c’est l’information selon laquelle le temps enseveli dans les 21ème et 23ème paragraphes de son rapport:
«Deux responsables de l’administration ont déclaré croire que M. Trump n’avait pas été informé en détail des étapes à suivre pour placer des« implants », un logiciel pouvant être utilisé pour la surveillance ou pour attaquer, à l’intérieur du réseau russe.
«Le Pentagone et les responsables des services de renseignement ont expliqué qu'ils hésitaient beaucoup à entrer dans les détails avec M. Trump à propos d'opérations menées contre la Russie, craignant pour sa réaction - et la possibilité qu'il puisse la contredire ou en discuter avec des responsables étrangers, comme il l'avait fait en 2017 lorsqu'il a mentionné opération sensible en Syrie au ministre russe des Affaires étrangères.
"Etant donné que la nouvelle loi définit les actions dans le cyberespace comme apparentées aux activités militaires traditionnelles au sol, dans les airs ou en mer, aucun exposé de ce type ne serait nécessaire", ont-ils ajouté.
Dans un article intitulé "Le Pentagone maintient Trump dans le noir au sujet de ses cyberattaques contre la Russie", Peter Wade de Rolling Stone a décrit cette révélation choquante comme suit:
«De nouvelles lois, promulguées l’année dernière par le Congrès, permettent à une telle« activité militaire clandestine »dans le cyberespace de se poursuivre sans l’approbation du président. Donc, dans ce cas, ces nouvelles lois protègent les intérêts américains… en gardant le président en place à l'écart de la boucle. Quel temps (effrayant) pour être en vie. "
Donc, Trump est un peu dans une impasse maintenant. L’escalade a déjà été mise en place, ce qui entraînera probablement une réaction égale de la part de Moscou si elle n’est pas réduite. Réduire cette réduction signifierait une nouvelle vague d’alarmisme criant de la classe politique / des médias sur la théorie du complot qui ne mourra pas, peu importe les preuves montées contre elle: Trump est une marionnette contrôlée du Kremlin. Il s’efforce de préparer le dossier de sa réélection en 2020.
Stephen F Cohen, professeur émérite d’études russes à l’Université de New York et à l’Université de Princeton et l’un des plus grands experts américains en matière de relations américano-russes, prévient depuis des années que cela se produira exactement. Dans une interview accordée à Democracy Now en avril 2017, Cohen avait averti que le fait de faire pression sur un président américain pour ne jamais reculer face à l'escalade d'une confrontation entre les superpuissances nucléaires pourrait avoir des conséquences potentiellement désastreuses si le conflit montait dans une situation similaire à la crise des missiles à Cuba. encore.
"Je pense que c'est le moment le plus dangereux dans les relations russo-américaines, du moins depuis la crise des missiles à Cuba", a déclaré Cohen. "Et sans doute, c'est plus dangereux, parce que c'est plus complexe. Par conséquent, nous - et en attendant, nous avons à Washington ces accusations - et, à mon avis, des accusations sans fait qui prétendent que Trump a été en quelque sorte compromise par le Kremlin. Donc, à ce pire moment dans les relations américano-russes, nous avons un président américain qui est politiquement paralysé par le pire imaginable - c’est sans précédent. Arrêtons-nous et réfléchissons. Aucun président américain n'a jamais été accusé, essentiellement, de trahison. C’est ce dont nous parlons ici, ou que ses associés ont commis une trahison. "
"Imaginez, par exemple, John Kennedy lors de la crise des missiles à Cuba", a déclaré Cohen.
«Imaginez si Kennedy avait été accusé d'être un agent secret du Kremlin soviétique. Il aurait été estropié. Et la seule façon dont il aurait pu prouver qu’il ne l’était pas, c’était d’avoir lancé une guerre contre l’Union soviétique. Et à cette époque, l'option était la guerre nucléaire.
Il est rare que les gens prennent le temps de réfléchir profondément au fait particulièrement important que notre espèce est à deux doigts de l’annihilation totale au cours de la crise des missiles de Cuba. Nous avons appris longtemps après que tout était fini que la seule raison pour laquelle un sous-marin soviétique à armement nucléaire ne se déchargeait pas de sa charge utile sur la marine américaine et provoquait un échange nucléaire à grande échelle entre les États-Unis et l'URSS était le fait que l'un des trois hommes dans le sous-besoin pour autoriser l'utilisation de l'arme se dressa contre les deux autres et refusa. Cet homme s’appelait Vasili Arkhipov et il est responsable du fait que vous et tous ceux que vous aimez existaient aujourd’hui. Si vous êtes curieux, il existe un bon documentaire PBS sur l’événement.
Le président Kennedy échangeait constamment avec les Soviétiques au cours de la crise des missiles à Cuba, et nombre de choses auraient pu être catastrophiques au cours de cet échange si Kennedy n'avait pas fait certaines concessions à certains moments et ne savait pas se retenir au lieu de faire pression. vers l'avant. Il a fait une série de démarches diplomatiques impossibles dans le climat actuel paranoïaque et propice aux fuites, notamment en rappelant secrètement les missiles américains Jupiter de leur position en Turquie à la demande de Khrouchtchev.
Malgré tout l'indignation des libéraux lorsqu'un républicain réputé prononce l'expression «État profond», il est intéressant de noter que le commandant en chef s'est retrouvé dans une situation où il est à la merci d'un collectif de bellicistes qui avancent des programmes préexistants contre un pays qu’ils perçoivent comme une menace géostratégique pour l’hégémonie américaine. Cela pose la question, qui est vraiment en charge ?
La machine de guerre américaine est la force militaire la plus puissante de l'histoire de la civilisation et l'alliance des nations qu'elle soutient est fonctionnellement le plus puissant empire que le monde ait jamais connu. Parce que tant de pouvoir dépend du comportement de ce moteur de guerre gigantesque, il est considéré par ceux qui ont le pouvoir réel comme trop important pour être laissé à la volonté de l'électorat et trop important pour être laissé à la volonté du commandant en chef élu. -Chef. C’est la raison pour laquelle les Américains sont les peuples les plus propagandisés au monde. C’est pourquoi l’hystérie russe fait rage dans leur psychisme depuis trois ans et c’est pourquoi nous courons tous un risque de plus en plus grand de mourir dans un holocauste nucléaire.
MISE À JOUR: Trump semble maintenant pouvoir nier que ce qui se passe est rapporté par les sources du New York Times. Il est peu probable que le Times fabrique une histoire en tissu, donc si Trump le nie, alors les sources mentent sur ce qu'elles font dans leurs propres emplois supposés, ou Trump est toujours gardé dans l'ignorance, ou Trump est juste en train de mentir.
"Croyez-vous que le New York Times en échec vient de raconter que les États-Unis augmentent considérablement les cyberattaques contre la Russie", a déclaré Trump sur Twitter.
«Il s’agit d’un acte de trahison virtuel de la part d’un grand journal qui recherchait désespérément une histoire, quelle qu’elle soit, même si c'était mauvais pour notre pays. AUSSI, PAS VRAI ! Tout va avec nos médias Corrupt News aujourd'hui. Ils feront ou diront tout ce que cela prendra, sans même penser aux conséquences! Ce sont de vrais lâches et sans aucun doute, L'ENNEMI DU PEUPLE ! "
Curieux et curieux.
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(...) «De nouvelles lois, promulguées l’année dernière par le Congrès, permettent à une telle« activité militaire clandestine »dans le cyberespace de se poursuivre sans l’approbation du président. Donc, dans ce cas, ces nouvelles lois protègent les intérêts américains… en gardant le président en place à l'écart de la boucle. Quel temps (effrayant) pour être en vie. " (...)
Un État dans l'État. Depuis toujours, les merdias et religions ont semé la dictature*, la terreur et la mort, aujourd'hui, faute de personnes compétentes (ils recherchent l'IA ! Hahaha !) seul l'argent est roi (avec les armes de plus en plus sophistiquées adaptées aux nouveaux terrains urbains !).
* Rappelez-vous le '11-9' où le Pentagone a été 'attaqué' par un 'avion' qui a plié ses ailes et baissé la queue pour se faufiler entre les bureaux dans un trou de 3 m de large !!! HAHAHAHAHA !
Les décès liés au climat se situent à des niveaux historiquement bas
Les rapports bénéfices-coûts des politiques de suppression du carbone sont catastrophiques.
Par Marlo Lewis Jr. Un article de Foundation for Economic Education 17 JUIN 2019
Depuis les années 20, les concentrations atmosphériques de gaz carbonique sont passées d’environ 305 ppm (parties par million) à plus de 400 ppm.
Le dernier argument des politiciens, experts et activistes progressistes est que les États-Unis ne peuvent pas faire l’économie des billions de dollars nécessaires pour « résoudre la crise climatique » parce que le réchauffement climatique est une menace existentielle. Comme l’a dit le sénateur Bernie Sanders, « on ne peut pas aller trop loin sur la question du changement climatique. L’avenir de la planète est en jeu, OK ? »
RAPPORT BÉNÉFICES-COÛTS ABYSSAL
Même si les changements climatiques étaient aussi terrifiants que le sénateur Sanders l’imagine, cette posture n’est qu’une mascarade. Les décideurs publics et privés disposent de ressources limitées. Celles qui sont allouées à l’action pour le climat ne sont plus disponibles pour honorer des versements hypothécaires, financer les frais de scolarité, la recherche médicale, produire de la nourriture, ou construire une flotte navale.
Les décideurs prudents ne se contentent donc pas d’examiner les coûts des propositions des politiques, mais comparent également les différents rapports bénéfices-coûts des dépenses concurrentes. Il se trouve que ces rapports bénéfices-coûts des politiques de suppression du carbone sont catastrophiques.
Par exemple, selon l’économiste Benjamin Zycher, de l’American Enterprise Institute, selon une estimation prudente, les seules dépenses directes du secteur de l’électricité dans le cadre du Green New Deal coûteraient 490,5 milliards de dollars annuels, soit 3 845 dollars par ménage et par an.
Pourtant, même l’élimination complète des émissions de gaz à effet de serre aux États-Unis n’éviterait que de 0,083 à 0,173 °C du réchauffement planétaire dans 70 ans ; un impact politique trop faible pour affecter de façon perceptible les régimes météorologiques, le rendement des cultures, les populations d’ours blancs ou toute autre condition environnementale dont les gens se préoccupent.
Le « bénéfice » climatique au cours des 10 prochaines années serait encore plus faible. Pourtant, au cours de cette période, Zycher estime que le coût économique annuel du programme du secteur de l’électricité du Green New Deal serait d’environ 9 billions de dollars. Il n’est pas sage de dépenser autant pour un résultat aussi dérisoire.
PAS D’URGENCE PLANÉTAIRE
L’interprétation apocalyptique du changement climatique est une doctrine politique et non une découverte scientifique, comme le démontrent l’économiste danois Bjorn Lomborg dans une récente série de tweets, et John Christy, spécialiste de l’atmosphère à l’Université de l’Alabama, dans un nouvel article intitulé « Falsifying Climate Alarm ».
Dans ses tweets, Lomborg critique un éditorial du prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz, qui préconise de dépenser des billions de dollars chaque année pour combattre le changement climatique, qu’il désigne comme « notre Troisième Guerre mondiale ». À titre de preuve, Stiglitz affirme qu’au cours des dernières années, les dommages causés par les intempéries ont coûté à l’économie américaine 2 % du PIB, un chiffre non étayé.
Lomborg remet les pendules à l’heure. Les assurances Aon Benfield estiment qu’entre 2000 et 2017, les dommages liés aux intempéries ont coûté aux États-Unis environ 88 milliards de dollars par an, soit 0,48 % du PIB, et non 2 %. Plus important encore, les phénomènes météorologiques extrêmes sont une caractéristique naturelle du système climatique de la Terre. La grande majorité de ces dommages aurait eu lieu avec ou sans changements climatiques. « Stiglitz croit-il qu’il n’y a pas de mauvais temps sans changement climatique ? » interroge Lomborg.
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Aux États-Unis, les ouragans sont la principale cause des dommages causés par les intempéries. Ils ont généré des dépenses plus importantes au cours des 120 dernières années mais pas en raison d’un changement à long terme des conditions météorologiques. Une fois les pertes historiques ajustées pour tenir compte de l’augmentation de la population, de la richesse et de l’indice des prix à la consommation, les dommages causés par les ouragans aux États-Unis ne montrent aucun changement depuis 1900.
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On s’accorde généralement à dire que les trois dernières décennies ont été les plus chaudes que l’on a mesuré historiquement. Pourtant, au cours de cette période, les dommages causés par tous les phénomènes météorologiques extrêmes ont diminué en pourcentage du PIB mondial. En d’autres termes, bien que la population ait augmenté, et que beaucoup plus de choses soient exposées au danger, l’impact économique relatif des conditions météorologiques extrêmes diminue. Il est difficile de concilier cette tendance avec l’affirmation que notre civilisation est une civilisation « précaire ».
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Lomborg fournit un argument encore plus révélateur dans un tweet précédent. Depuis les années 1920, les concentrations atmosphériques de gaz carbonique sont passées d’environ 305 ppm à plus de 400 ppm, et les températures moyennes mondiales ont augmenté d’environ 1°C. Pourtant, à l’échelle mondiale, le risque individuel de mourir des suites de catastrophes liées aux intempéries a diminué de 99 %.
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Stiglitz affirme que nous ne pouvons pas nous permettre d’économiser des billions de dollars pour atténuer les changements climatiques car « nos vies et notre civilisation telles que nous les connaissons sont en jeu, tout comme elles l’étaient pendant la Seconde Guerre mondiale ». Lomborg note que dans la littérature scientifique, on estime que le changement climatique non contrôlé coûtera entre 2 et 4 % du PIB mondial en 2100. Ce n’est pas la fin du monde, surtout si l’on considère que malgré le changement climatique le revenu mondial par habitant en 2100 devrait être 5 à 10 fois plus élevé qu’aujourd’hui.
Ironiquement, dans la littérature sur les parcours socio-économiques (SSP), le plus riche est celui qui dispose du libre marché et des combustibles fossiles.
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Source : Keywan Rhiahi et al. 2017. « Ce monde[SSP5] fait de plus en plus confiance aux marchés concurrentiels, à l’innovation et aux sociétés participatives pour produire un progrès technologique rapide et le développement du capital humain comme la voie du développement durable… Dans le même temps, la poussée en faveur du développement économique et social s’accompagne de l’exploitation d’abondantes ressources en combustibles fossiles et de l’adoption de modes de vie à forte intensité de ressources et d’énergie dans le monde entier ».
Le nouvel article de John Christy, publié par la Global Warming Policy Foundation, résume deux de ses récentes études évaluées par des pairs. En 2017, Christy et son collègue spécialiste de l’atmosphère Richard McKnider ont examiné 37,5 années de données satellitaires dans la troposphère mondiale (atmosphère globale). Christy et McNider ont tenu compte des effets de réchauffement d’El Ninõ et des effets de refroidissement des émissions d’aérosols volcaniques.
La tendance sous-jacente au réchauffement de l’effet de serre – la ligne noire (e) de la figure ci-dessous – est de 0,095 °C par décennie, soit environ le quart du taux prévu par l’ancien scientifique de la NASA James Hansen, dont le témoignage au Congrès a lancé le mouvement du réchauffement planétaire en 1988.
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Christy et McNider estiment que lorsque les concentrations atmosphériques de gaz carbonique doubleront, le réchauffement de la planète atteindra 1,1 °C – une quantité appelée « réponse climatique transitoire ». Christy commente à ce sujet :
« Ce chiffre n’est pas très alarmant. Si l’on effectue le même calcul sur les modèles climatiques, on obtient un chiffre de 2,31°C, ce qui est très différent. La réaction des modèles au dioxyde de carbone est deux fois plus forte que dans le monde réel. Les données indiquent donc que la fourchette consensuelle de la sensibilité climatique est incorrecte. »
En 2018, Christy et l’économiste Ross McKitrick ont entrepris de tester l’exactitude des modèles climatiques. Ils ont examiné les projections des modèles dans l’atmosphère entre 9000 et 12 000 mètres, sous les tropiques de 20°N à 20°S. L’atmosphère se réchauffe le plus rapidement dans cette partie de l’atmosphère dans presque tous les modèles utilisés par le Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat comme le modèle du Centre climatique canadien, présenté ci-dessous.
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En 102 simulations, le réchauffement moyen dans la partie « point chaud » de l’atmosphère tropicale est de 0,44°C par décennie, soit 2°C sur la période 1979-2017. « Cependant, le réchauffement du monde réel est beaucoup plus faible ; environ un tiers de la moyenne du modèle », rapporte Christy.
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Christy résume les résultats des tests :
« Vous pouvez aussi facilement voir la différence dans les taux de réchauffement : les modèles se réchauffent trop vite. L’exception est le modèle russe, qui est beaucoup moins sensible au dioxyde de carbone et qui donne donc des projections pour la fin du siècle qui sont loin d’être alarmantes. Les autres sont déjà faux, et leurs prévisions pour 2100 ne sont pas fiables. Si un ingénieur construisait un avion et disait qu’il pouvait voler sur 600 milles, qu’il manquait de carburant à 200 milles et qu’il s’écrasait, il ne dirait pas : « Hé, j’étais quand même à un tiers de la fin ». On ne fait pas ça en ingénierie et en vraie science. Un facteur de trois est énorme dans le système du bilan énergétique. C’est pourtant ce que nous voyons dans les modèles climatiques. »
Des déclarations comme celles qui suivent sont de plus en plus courantes dans les médias populaires, les revues universitaires et le discours politique : « La preuve que le changement climatique anthropique est une menace existentielle pour notre mode de vie est incontestable ». Ce n’est pas du tout le cas.
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Traduction par Aurélien Chartier pour Contrepoints de Climate-Related Deaths Are at Historic Lows, Data Show
L'être humain ou animal n'a JAMAIS IMPACTÉ LE CLIMAT de notre planète !
Seules sont les manifestations de sources chaudes maritimes et océanique qui - depuis les planchers des bassins - réchauffent plus ou moins les courants et donc aussi l'atmosphère côtier.
Les changements de températures n'ont provoqué AUCUN décès depuis des milliers d'années. Les hausses de chaleurs aux déserts ou baisses des températures d'hiver en hémisphère Nord sont combattables par les moyens de préserver la vie et de leur répartition dans la population.
Les températures évoluent mille fois par jour sans qu'il y ait de mort ! De plus 10°C le matin on peut avoir 25 ou 30 l'après-midi SANS QU'IL N'Y AIT DE DÉCÈS ! Idem pour l'hiver ou l'été. Ces 'changements climatiques' s'appellent DES SAISONS !
Les mers & les océans émettent des milliards de fois plus de gaz que toute l'humanité, l'animalerie et industries comprises ! ET NOUS NE SOMMES PAS MORTS ! Çà alors !
Gilets jaunes : les forces de l'ordre mettent le feu aux parasols d'un café à Toulouse (VIDEOS)
16 juin 2019, 18:06
Le 15 juin à Toulouse, les forces de l'orde ont très rapidement montré les muscles, chargeant les manifestants dès le début. Plus tard, les CRS et autres forces anti-émeute ont fait montre du même zèle en chargeant sans ménagement une terrasse.
Dans le cadre de l'acte 31 des Gilets jaunes, les forces de l'ordre ont chargé sur une terrasse d'un café, Les Américains, place du Président Thomas Wilson à Toulouse ce 15 juin.
Des images de l'incident ont été publiées, sur Twitter. Selon les images, des palets de grenades lacrymogènes ont vraisemblablement causé un début d'incendie de parasols. Un employé du café intervient avec un extincteur.
On voit également un policier arroser copieusement de sa «gazeuse» des personnes présentes sur la terrasse, parmi lesquelles des «street medics» et des vidéastes. Ensuite, tandis que les canons à eau entrent en action, des CRS (bande jaune sur le casque), expulsent ensuite sans ménagement le public, là aussi à coup de gazeuse, au cri de : «Allez, circulez !»
Plus tôt, dans un autre bar situé non loin, Le Cardinal, une autre charge policière avait eu lieu.
L'un des serveurs a témoigné de la violence de l'intervention au micro de RT France. «[Les forces de l'ordre] se sont fait insulter», a-t-il expliqué. «Et ils ont chargé sur moi alors que j'avais des tasses à la main et que je travaillais», détaille-t-il, faisant état de plusieurs coups de matraques. «J'ai des coups sur la tête [...] un de mes collègues s'est pris un coup de matraque dans la jambe», a-t-il affirmé.
Plus d'un millier de Gilets jaunes se sont rassemblés le 15 juin à Toulouse avant d'être dispersés par les forces de l'ordre, qui ont chargé dès le départ du cortège. Comme à Montpellier la semaine dernière, un appel avait été lancé sur les réseaux sociaux pour faire de Toulouse la «capitale» nationale du mouvement pour ce 31e acte.
Lire aussi : Gilets jaunes : une journée tendue à Toulouse (IMAGES)
«Liberté pour Julian Assange» : des Gilets jaunes affichent leur soutien au lanceur d'alerte (VIDEO)
16 juin 2019, 14:05
En marge de l’acte 31 des Gilets jaunes à Paris, des manifestants ont exprimé leur solidarité envers Julian Assange. Le fondateur de Wikileaks, incarcéré au Royaume-Uni et menacé d'extradition vers les Etats-Unis, doit être jugé en février 2020.
Le 15 juin, en marge de l’acte 31 des Gilets jaunes à Paris, des manifestants ont tenu à exprimer leur soutien au fondateur de Wikileaks. «Liberté pour Julian Assange», pouvait-on ainsi lire sur une banderole. La veille, le tribunal londonien de Westminster avait annoncé que l'audience chargée de statuer sur l'éventuelle extradition de Julian Assange vers les Etats-Unis aurait finalement lieu en février 2020.
Ce n’est pas la première fois que des Gilets jaunes ou sympathisants du mouvement affichent leur solidarité avec Julian Assange. Le 13 avril, un rassemblement en soutien au lanceur d'alerte s'était tenu devant le siège du journal Le Monde afin de réclamer la libération de l'Australien et de demander aux médias ayant utilisé les informations de WikiLeaks de le soutenir.
Plusieurs dizaines de Gilets jaunes avaient par ailleurs fait le déplacement à Londres en mai dernier pour participer à un rassemblement devant le tribunal de Westminster, où l'extradition vers les Etats-Unis de Julian Assange avait été discutée lors d'une première audience. Réfugié pendant près de sept ans à l'ambassade d'Equateur à Londres, où il a bénéficié de l'asile politique, Julian Assange, 47 ans, en a été extrait le 11 avril par la police britannique avec l'aval de Quito. Il a été immédiatement placé en détention puis condamné à une peine de 50 semaines de prison le 1er mai pour violation des conditions de sa liberté provisoire.
Washington accuse l'Australien de 47 ans d'espionnage et a formellement requis son extradition le 11 juin. Les Etats-Unis lui reprochent d'avoir mis en danger certaines de leurs sources lors de la publication en 2010, par WikiLeaks, de 250 000 câbles diplomatiques et d'environ 500 000 documents confidentiels portant sur les activités de l'armée américaine en Irak et en Afghanistan.
En retrait(e) politique depuis deux ans, Marion Maréchal est revenue sur le devant de la scène médiatique depuis les européennes. L'ex-député frontiste assure pourtant ne pas vouloir revenir dans le jeu électoral à moyen terme. Et à long terme ?
Peut-on parler de Marion-Maréchal-mania ? En retrait du jeu politique depuis la présidentielle de 2017, se lançant en 2018 dans un projet entrepreneurial lié à une école, l'Issep, l'ancien député FN du Vaucluse Marion Maréchal est, depuis les élections européennes, devenue l'égérie d'une certaine droite.
Alors qu'elle soutient mordicus ne pas vouloir revenir à court et moyen terme dans le combat politique, les médias lui font les yeux doux. LCI a organisé la première grande interview de la nièce de Marine Le Pen le 2 juin. Depuis, les commentateurs s'emballent sur un éventuel retour de Marion Maréchal. BFM TV ou Causeur font partie des privilégiés ayant eu droit à leur entretien exclusif. La presse audiovisuelle et écrite s'est également rendue en nombre à la conférence de presse de la directrice de l'Issep le 14 juin.
Pourquoi cette fascination soudaine pour celle qui ne possède plus de mandat électoral depuis 2017 et s'est très officiellement éloignée de ses responsabilités au sein du Rassemblement national ?
Pour comprendre l'engouement autour de Marion Maréchal, sans doute faut-il comprendre le personnage. Son retrait politique en 2017 en avait surpris plus d'un, y compris dans son propre camp. Elue députée à seulement 23 ans en 2012, elle semblait logiquement promise à une longue carrière politique. Reste que cette retraite anticipée a aussi provoqué une certaine frustration pour ses soutiens. Ceux-ci pouvaient voir en elle la meilleure représentante de sa famille politique en 2022, après l'échec de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle de 2017. L'actuelle présidente du RN avait été fortement critiquée en interne pour le débat raté de l'entre-deux tours face à Emmanuel Macron. Marion Maréchal, par sa jeunesse et sa fraîcheur politique, pouvait représenter l'avenir naturel du RN.
A regarder de plus près, Marion Maréchal veut briser les codes et tenter d'introduire un style macroniste dans l'univers du Rassemblement national et des mouvements qui gravitent autour de ce dernier. En se retirant de la vie politique et en ouvrant son école de sciences politiques, elle a choisi de tisser un réseau d'entrepreneurs et d'associatifs, avec plus ou moins de succès. A Sputnik, elle déclarait récemment qu'ils étaient une centaine à avoir accepté un partenariat avec l'école «de sensibilité conservatrice». Elle espère d'ailleurs doubler prochainement le nombre de ses partenaires et donc son réseau.
Un lobbying pour s'imposer naturellement à droite
Ce réseau-là pourrait être précieux dans le cadre d'un retour. Sa (sur-)médiatisation récente semble aussi concorder avec un constat directement lié aux européennes. Après leur déroute électorale, Les Républicains sont en décomposition totale.
Marion Maréchal répète à l'envi que «l'alliance LR/RN est inévitable». Cette alliance, elle le confesse par ailleurs, est «une course de fond.» Elle critique en outre ouvertement les positionnements ambigus de la droite, évoque une stratégie pour le Rassemblement national, etc. Autant d'indices qui laissent entendre qu'elle cherche à se poser comme l'artisan de cette alliance, qui doit mener à l'émergence d'une nouvelle droite. Une droite qui serait «et libérale, et conservatrice», comme Emmanuel Macron a souhaité faire un consensus autour du «et gauche, et droite».
Autour d'elle, on semble s'activer pour organiser son retour. Son père, Samuel Maréchal, ex-dirigeant des jeunes du FN, et son ancien conseiller parlementaire Arnaud Stephan, ont créé une association nommée Alliance pour la France. Cette organisation veut faire «se rencontrer des personnalités de droite». L'objectif : créer les conditions pour battre Emmanuel Macron en 2022. Ils soutiennent que Marion Maréchal n'est pas associée à cette initiative. Mais, dans le même temps, Marion Maréchal répète que le projet auquel elle se destine dépassera le cadre d'un seul parti... et donc du RN.
En attendant de revenir, Marion Maréchal distille avec soin plusieurs idées au gré de ses entretiens dans la presse, laissant entrevoir une amorce de programme. Et ce dernier semble bel et bien conçu pour rassurer une partie de l'électorat d'une droite plus «modérée» que le RN : elle refuse l'idée du Frexit, propose que la France soit «la plus exemplaire possible sur le plan économique», en réduisant la dette, ou développe des idées conservatrices sur le plan sociétal. Enfin, Marion Maréchal n'est plus Maréchal-Le Pen. En coupant le cordon, elle semble également vouloir faire tomber le cordon sanitaire tendu entre la droite et le parti dont elle est issue, et qu'elle semble aujourd'hui vouloir dépasser.
La très macroniste qui ne sait que faire et que dire n'a JAMAIS parlé du problème migratoire !
A savoir que: Lorsque vous mettez 10 000 personnes autour d'un robinet il y a de l'eau pour tout le monde mais, quand vous mettez 20 ou 30 000 personnes... là, il y a un gros manque d'eau ! Pourquoi ? Parce qu'en dessous les pied se trouve la nappe phréatique continuellement alimentée en eau propre par galeries depuis la mer ou l'océan en passant par le four magmatique.
Et, si la répartition est bonne tout va bien mais s'il y a concentration il y a problème !
Les nappes se remplissent à LEUR vitesse et, si le pompage est supérieur au remplissage...
D'ailleurs, elle fait partie de ceux qui sont farouchement opposés à l'instauration de la 2 ème Démocratie au monde après la Suisse ! Elle crie vive la dictature ! vive la raie publique ! vive les chemtrails !
Sur une vidéo devenue virale, des forces de l'ordre gazent les clients d'un café lors de l’acte 31
RépondreSupprimer15:27 16.06.2019
Le samedi 15 juin s’est révélé électrique dans la Ville rose que les Gilets jaunes avaient symboliquement nommé «capitale nationale de la contestation» pour leur acte 31. Une vidéo, devenue virale, montre les forces de l’ordre gazer la terrasse d'un café toulousain.
Une semaine après Montpellier, capitale des Gilets jaunes pour l’acte 30, Toulouse a pris le relais pour un 31e samedi de mobilisation qui a été émaillé d’incidents et d’interpellations.
Juste après le départ du cortège de la station de métro Jean-Jaurès, les forces de l’ordre ont fait usage de lacrymogènes pour le disperser.
D’autres incidents ont été signalés et filmés à quelques mètres du métro, dans le café Le Cardinal. D’après des vidéos devenues virales sur Twitter, des policiers et des CRS ont fait irruption sur la terrasse, aspergeant même les personnes qui ne portaient pas de gilets jaunes de gaz lacrymogène.
Peu après, le témoignage d’un serveur, comme l’annonce la légende du tweet, est apparu sur le Net.
Selon la préfecture de Haute-Garonne, la manifestation toulousaine a rassemblé «quelques centaines» de personnes. 17 interpellations et deux blessés légers pour des blessures à l’arcade sourcilière et un hématome au ventre ont été signalés.
Quelque 7.000 personnes ont manifesté en France à l'occasion du 31e samedi de mobilisation des Gilets jaunes, soit le total le plus faible depuis le début du mouvement, a déclaré le ministère de l'Intérieur. Les Gilets jaunes étaient 950 dans la capitale et 200 à Marseille, selon le décompte des autorités. Ce mouvement avait réuni 10.300 personnes le 8 juin et 9.500 la semaine précédente.
https://fr.sputniknews.com/france/201906161041442970-sur-une-video-devenue-virale-des-forces-de-lordre-gazent-les-clients-dun-cafe-lors-de-lacte-31/
Quand les attentats sont commis par les 'forces de l'ordre' et les meurtres par leurs supérieurs hiérarchique !...
SupprimerUn technicien s’est-il fait virer après avoir parlé à Castaner des violences policières ?
RépondreSupprimer15:24 16.06.2019
Suite à l’échange au sujet des violences policières contre les Gilets jaunes entre Christophe Castaner et un technicien ayant travaillé pour l’Armada Rouen, ce dernier n’y travaille plus, informe LCI. Comme motif de fin de contrat, son ancien chef a indiqué non-respect de la discipline au travail.
Après avoir interrogé le ministre de l’Intérieur sur les violences policières contre des Gilets jaunes sur son lieu de travail, un technicien employé comme sous-traitant dans la société Scorpion à Rouen n’est plus autorisé à y exercer son activité professionnelle, relate la chaîne LCI.
Dans le cadre de l’Armada Rouen, Christophe Castaner visitait le PC sécurité de la société qui réalise des émissions radio consacrées à l’événement, le 9 juin, lorsque le technicien son s’est approché du ministre pour lui poser des questions concernant les violences policières envers les Gilets jaunes.
Le témoignage de la personne concernée a été publié sur la page Facebook du groupe Rouen dans la rue:
«Il y a eu la visite de Castaner dimanche, j’ai pris mon courage à deux mains pour l’interpeller et lui parler, je lui ai dit "une pensée pour nos éborgnés". Suite à cet échange, ses RG personnels ont relevé mon identité, mes intentions et presque toute ma vie...».
En commentant la discussion avec l’homme d’État, le technicien a cité les propos de ce dernier:
«Voilà, j’étais en état de stress lors de l’échange je ne me souviens pas de tous ses mots par cœur. Il m’a fait un serment à la con sur ses CRS qui en prennent plein la gueule tous les weekends etc. Bref du grand Castaner. Puis il m’a dit "et vous, vous cautionnez ces abrutis de Gilets jaunes qui s’amusent à casser du flic tous les weekends". Dommage qu’il n’y ait pas eu de caméra à ce moment-là».
L’interdiction d’accès à son lieu de travail a résulté de tout cela, indique le jeune homme: «Le service de sécurité de l’Armada qui m’interdit l’accès au PCI via la demande de Castaner! Je suis auto-entrepreneur et j'étais à ce moment en prestation».
Interrogé par la chaîne, le patron de l’employé Pascal Bovin a dénoncé le fait que la mission du technicien avait pris fin à la demande du ministre de l’Intérieur, en soulignant que ce dernier n’avait reçu «aucune pression du ministère».
Le gérant de la société a motivé la fin de coopération avec le technicien par la violation des règles de discipline de travail:
«Dimanche dernier, il était au studio, en poste. Quand il a appris la venue de Christophe Castaner, son comportement aurait changé. Puis il est sorti du studio - il a donc quitté son poste - pour interpeller le ministre. Notre studio est situé dans une zone sécurisée par la police. Dans ces conditions, il était difficile de le laisser dans cet environnement. Après ce qui s'est passé, nous lui avons dit que nous ne pouvions plus lui faire confiance et il a tout à fait compris».
Bien que le chef d’entreprise ait estimé qu’interpeller le ministre «ne se fait pas sur le temps de travail», le technicien s’en est indigné en précisant qu’il s’est fait «virer comme une m... du poste que j’occupais» et le considère comme un «licenciement abusif !».
https://fr.sputniknews.com/france/201906161041443731-un-technicien-sest-il-fait-virer-apres-avoir-parle-a-castaner-des-violences-policieres/
Macron accueilli par des sifflets au Stade de France (vidéo)
RépondreSupprimer12:29 16.06.2019
Accompagné par deux dirigeants du rugby français, le Président de la République a essuyé des sifflets au Stade de France avant la finale du Top 14.
Avant le coup d’envoi de la finale du Top 14, qui opposait Toulouse à Clermont au Stade de France, Emmanuel Macron, accompagné par Bernard Laporte, président de la Fédération française de rugby, et Paul Goze, celui de la Ligue nationale, a été hué par une partie des 80.000 spectateurs présents:
Le Figaro affirme cependant que les «sifflets nourris» du public «ont semblé davantage dirigés vers Bernard Laporte et Paul Goze». Quoi qu’il en soit, M.Macron a été respecté sur la pelouse, les joueurs fidjiens des deux équipes s’agenouillant à son passage.
Pour sa part, le pilier sud-africain du Stade Toulousain Maks Van Dyk a profité de l’occasion pour demander au Président de lui accorder la nationalité française. «Banco, on lance la procédure», a répondu Emmanuel Macron en souriant.
https://fr.sputniknews.com/france/201906161041442963-macron-sifflets-stade-de-france-video/
En défiant les USA, un pays membre de l’UE lance un réseau 5G avec l’aide de Huawei
RépondreSupprimer14:47 16.06.2019
Washington a demandé à ses alliés européens de refuser à Huawei l'accès à leurs marchés 5G, mais certains font la sourde oreille. L’un des plus grands opérateurs de télécommunications au monde vient de lancer son premier réseau 5G dans 15 villes espagnoles en utilisant les technologies de la société chinoise.
Vodafone, l’un des plus grands opérateurs de télécommunications au monde, a lancé son premier réseau 5G dans 15 villes espagnoles, dont Madrid et Barcelone, en utilisant les technologies de la société chinoise Huawei, a relaté Xinhua.
Small toy figures are seen in front of a displayed Huawei and 5G network logo in this illustration picture, March 30, 2019
Pourquoi l'accord entre l'opérateur russe MTS et Huawei effraie les USA
Le déploiement a eu lieu malgré les pressions américaines sur les États membres de l'Union européenne visant à interdire à Huawei de participer à la mise en place de réseaux 5G. Le directeur général de Vodafone, Nick Read, a critiqué ces exigences, affirmant que le fait d’abandonner Huawei retarderait de deux ans environ la création du réseau.
Selon Vodafone Espana, le réseau mobile 5G couvre 15 grandes villes nationales, notamment Madrid, Barcelone, Valence et Séville. «Environ la moitié des habitants de ces villes pourront bénéficier de ce réseau sophistiqué et extrêmement rapide de téléphonie mobile, qui ne cessera de s'étendre au fil des prochains mois», a annoncé l’agence chinoise.
Vodafone Espana couvre également le plus grand nombre de villes en Europe à ce jour, a noté le média, précisant que Huawei avait été le principal fournisseur d'équipements pour ce projet. Les deux sociétés travaillent en étroite coopération depuis plus de dix ans.
Huawei: risque pour la sécurité nationale ou cible de la guerre économique ?
Les pays de l'UE ont globalement été réticents à répondre aux demandes des États-Unis concernant Huawei. Des fuites dans les médias laissent à penser que le Royaume-Uni, l’un des alliés les plus proches de Washington, a décidé de permettre à Huawei de participer à des systèmes de réseau 5G non essentiels. La France a déclaré qu'elle n'interdirait pas les opérateurs de recourir à Huawei, mais qu’elle ne s'opposerait pas non plus à ce qu'ils renoncent volontairement à une collaboration. La Hongrie a quant à elle farouchement défendu son droit d'utiliser les équipements de Huawei dans son réseau mobile de cinquième génération.
Donald Trump a signé le 15 mai un décret interdisant aux entreprises américaines d'utiliser du matériel de télécommunication fabriqué par des entreprises présentant un risque pour la sécurité nationale, ce qui revient à interdire aux groupes américains de faire affaire avec Huawei.
Reuters a rapporté le 19 mai que Google ne fournirait plus de logiciels, de matériel informatique et de services techniques à Huawei à l'exception des services disponibles en open source. Les entreprises Intel et Broadcom ont aussi mis fin à leur coopération avec le géant chinois de l’informatique.
https://fr.sputniknews.com/international/201906161041443466-en-defiant-les-usa-un-pays-membre-de-lue-lance-un-reseau-5g-avec-laide-de-huawei/
Les sans-abri et l'échec du renouveau urbain
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 15/06/2019 - 18h30
Écrit par Ryan McMaken via le Mises Institute,
Le sans-abrisme d'aujourd'hui est souvent imputé à la "gentrification" et au "néolibéralisme". Lorsque ces termes sont utilisés dans le contexte du logement urbain, cela signifie généralement que trop de liberté de marché rend le logement inabordable pour une grande partie de la population. Ainsi, on nous dit que le capitalisme est le principal coupable que nous trouvons maintenant dans de nombreuses grandes villes, de Boston à Los Angeles.
Mais il y a beaucoup plus à l'histoire.
Depuis l'ère progressiste, les agences gouvernementales - du gouvernement fédéral au niveau inférieur - ont été au premier plan en matière de subventions, de réglementations et de planification du développement des villes, de manière à ce que le logement dans les centres-villes soit plus rare et plus coûteux pour les ménages qui n'en font pas partie. millionnaire hipster-millionnaire que tant d’urbanistes et de politiciens s’efforcent d’attirer.
Alors que la demande croissante de logements sur un nombre déterminé de kilomètres carrés augmentera effectivement le prix des terrains et des logements, divers types d’interventions gouvernementales rendent le logement plus coûteux qu’il ne le serait autrement. Et parfois, par le biais d'ordonnances de zonage et d'autres réglementations, les villes interdisent en grande partie les types de logements dont les résidents à faible revenu ont le plus besoin.
Pour mieux comprendre pourquoi le sans-abrisme est un problème récurrent dont le nombre semble en augmentation, il est utile d’examiner les origines de ce qui est à présent le mode opératoire normalisé pour les villes: la planification urbaine centralisée. Alors que les ménages et les personnes à très faible revenu font depuis longtemps partie du paysage urbain aux États-Unis et en Europe, les responsables municipaux ont souvent par le passé reconnu que les quartiers à faible revenu devaient tout simplement être tolérés. Bien que les réformateurs se soient souvent plaints de la nature impure et prétendument immorale de ces lieux, le manque de pouvoir du gouvernement - et la résistance de propriétaires privés - ont empêché les responsables municipaux d’abolir les quartiers des villes qui fournissaient des logements. Ce logement - aussi sub-optimal soit-il - était préférable au sans-abrisme.
Les progressistes et l'idée de l'urbanisme
Ces communautés à faible revenu ont commencé à rencontrer une opposition plus organisée au cours de l'ère progressiste, bien qu'il ne soit pas difficile de comprendre pourquoi l'idée de planification urbaine telle que nous la connaissons a été adoptée pour la première fois par Progressives. Vers la fin du XIXe siècle, la situation dans de nombreuses villes américaines a consterné de nombreux progressistes de la classe moyenne. Les quartiers urbains à faibles revenus manquaient souvent d'infrastructures d'assainissement adéquates. Ils étaient sales. Les taux d'homicides étaient probablement plus élevés qu'aujourd'hui dans de nombreuses zones urbaines.
Une grande partie du problème était imputée à la "congestion" ou au "surpeuplement", ce que nous appelons aujourd'hui parfois simplement "densité".
RépondreSupprimerSelon Steven Conn dans son livre Americans Against the City,
Pour les progressistes de toutes les grandes villes, la foule était le fléau à éliminer. "C’est le surpeuplement qui engendre le crime et le vice", a exhorté un écrivain, qui a insisté sur le fait que les habitants de ces régions ne sont pas intrinsèquement mauvais, mais qu’ils le sont par leur environnement.
Cependant, dans de nombreux endroits, les réformistes ont exagéré l’attracisme de ces lieux. Après tout, bon nombre de ces "bidonvilles" comprenaient des familles multigénérationnelles et des résidents de longue date qui ont déployé de réels efforts pour maintenir un certain niveau de sécurité et de stabilité dans la communauté. Beaucoup de bidonvilles étaient en réalité des quartiers de pensions de famille. Ils étaient bondés et mal à l'aise. Mais ce n'étaient pas non plus des bidonvilles.
Des "solutions" communes progressives aux problèmes affirmés des taudis peuvent être trouvées dans un rapport de 1911 d'une commission de la ville de New York sur la congestion. Les recommandations comprennent:
Réguler la hauteur des immeubles locatifs.
Limiter l'occupation du terrain.
Fournir un espace pour les parcs, les terrains de jeux et le centre de loisirs.
Réglementer l'occupation maximale des unités résidentielles [dans le cadre d'un effort visant à supprimer les pensions de famille].
Localiser les usines de manière plus délibérée et rationnelle.
La plupart de ces recommandations assumaient un rôle beaucoup plus important pour l'État dans la réglementation, l'inspection et la prescription de changements dans l'utilisation actuelle de l'espace. Avec ce nouveau type de planification urbaine, les gouvernements auraient besoin de beaucoup plus d'inspecteurs du logement, de commissions de zonage et d'un appareil juridique nécessaire pour assurer le respect des règles.
D'autres villes ont fait de même et "entre 1907 et 1916, la moitié des cinquante plus grandes villes du pays ont commandé ou publié des plans de ville complets pour lutter contre le surpeuplement".
Conn conclut: "C'est ainsi que la planification urbaine est arrivée dans la ville progressive." Et avec le zonage et de nombreux autres mandats qui ont progressivement éliminé les unités de logement à faible revenu existantes, tout en empêchant la construction de nouvelles unités pour les remplacer.
Il n’est pas surprenant que l’idée selon laquelle les acteurs du secteur privé ne devraient pas être autorisés à décider par eux-mêmes de ce qui a été construit dans la ville et de quel endroit est inhérent à ces nouveaux idéaux. Dans l’esprit progressiste, une trop grande liberté du secteur privé avait engendré la "congestion" que Progressives cherchait à abandonner et à réformer. Cette activité de marché devait être remplacée par les décisions des urbanistes.
L'essor du renouveau urbain d'après-guerre
RépondreSupprimerLes réformateurs progressistes ont toutefois été limités dans la poursuite de ces objectifs en raison d'un manque de financement et de l'opposition politique des propriétaires et des résidents du logement ciblé pour la réforme. Après tout, si le logement devait être réglementé par de nouvelles règles d'occupation et des modifications obligatoires de la densité, cela entraînerait à la fois une hausse des prix et une suppression forcée des logements existants.
Les propriétaires sont également opposés aux réformes, car les logements à loyer modique ne valent souvent la peine que si un grand nombre de clients payants sont concentrés dans un espace relativement petit.
Bien sûr, les propriétaires privés étaient disposés à faire acheter leur propriété par le gouvernement. Et beaucoup de villes étaient désireuses de démolir les quartiers "brûlés". Mais les fonds publics étaient souvent rares. Comme l'a noté Colin Gordon, les gouvernements locaux ne pouvait pas surmonter les obstacles omniprésents au réaménagement: les intérêts privés n’étaient pas incités à faciliter la politique publique et les intérêts publics n’avaient pas les moyens d’acquérir ou de rassembler des propriétés privées.
Les choses ont toutefois changé avec l'avènement du New Deal et la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Ce qui avait été principalement une initiative locale visant à réduire la densité et à "nettoyer" les quartiers à faible revenu à l'époque progressiste est devenu un mouvement national dans le cadre du New Deal. La loi nationale sur le logement de 1937, par exemple, a mis en place un système de prêts et de subventions aux autorités locales du logement. Malheureusement, ces efforts visaient principalement le réaménagement et non la production de nouvelles unités. En fait, l'utilisation des fonds fédéraux pour le réaménagement d'unités de logement "a nécessité le dégagement d'un nombre égal de propriétés" flétries "."
Le réaménagement subventionné par le gouvernement s’est accéléré en vertu de la Loi fédérale sur le logement de 1949 qui a mis des fonds fédéraux à la disposition du réaménagement de vastes zones plutôt que de la simple suppression de conditions de taudis discrètes. En vertu de la nouvelle loi, les sociétés de réaménagement locales pourraient acheter et défricher des zones touchées par la brûlure avec de l'argent fédéral, vendre le terrain à des promoteurs privés et utiliser le produit de la vente pour couvrir les coûts de réaménagement.
Des "intérêts privés menacés ou déplacés par des plans de réaménagement urbain" se sont opposés, mais
Les tribunaux fédéraux et des États ont toujours maintenu que l'objectif public général du réaménagement l'emportait sur les revendications de propriétaires individuels et que la revente de propriétés défrichées à des promoteurs privés constituait un usage public approprié.
Au fil du temps, le nouvel esprit de rénovation urbaine, propulsé par la législation fédérale et les fonds fédéraux, a entraîné une guerre contre les «quartiers touchés par la brûlure», le terme «brûlure» se révélant très flexible. En effet, tous les quartiers ou villes que les urbanistes considéraient comme générant trop peu de recettes fiscales, ou tout simplement peu attrayants, visaient un rachat, un nivellement et un réaménagement financés par le gouvernement.
Pendant tout ce temps, les représentants du gouvernement ont affirmé qu’ils augmentaient l’offre de logements pour les familles américaines. Comme l'a noté Walter Thompson:
La suppression des bidonvilles a été la clé de la revitalisation des centres-villes et a tenu bon pendant plusieurs décennies le siècle dernier. Dans son état de l'Union de 1949, le président Harry Truman a salué le "déblayage des taudis" comme une arme permettant de lutter contre la pénurie de logements dans le pays après la Seconde Guerre mondiale. Comme le disait l'éditorial de San Francisco Chronicle de 1945, "on ne peut carrément rien faire pour améliorer les conditions de logement ici jusqu'à ce que beaucoup de personnes se soient évaporées".
RépondreSupprimerMais la rénovation urbaine n'a amélioré que les conditions pour certaines personnes. Dans son article intitulé "Pas de place à l'auberge: la politique du logement et les sans-abri", Todd Swanstrom note "Il est bien documenté que les programmes de rénovation urbaine des années 50 et 60 ont détruit plus de logements qu'ils n'en ont remplacés".
En effet, comme le décrit Gordon, la politique fédérale était "résolue à améliorer le parc de logements sans l'augmenter".
Oui, les unités détruites au bulldozer dans les bidonvilles ont été remplacées par des unités de meilleure qualité. Mais ils ont rarement été remplacés par suffisamment d’unités pour remplacer celles qui avaient été démolies.
Les urbanistes étaient heureux de montrer les nouveaux projets brillants pour lesquels ils avaient utilisé l'argent du gouvernement pour le réaménager. Mais invisibles étaient les ménages qui ne pouvaient tout simplement pas se permettre des unités dans les nouveaux bâtiments.
Après tout, les pauvres qui vivaient dans les bidonvilles y vivaient précisément parce que c’était un logement bon marché et à loyer modique. Les réformateurs ont admis qu’il n’existait pas de "réponse rapide" pour expliquer ce que deviendraient les familles déplacées. Mais peu de réformateurs semblaient très troublés par cela. Alors, comme maintenant, ce qui importait vraiment aux réformateurs était peut-être de pouvoir prétendre qu'ils faisaient quelque chose. Et puis, vivre dans les bidonvilles était évidemment une mauvaise chose. Mais comme Swanstrom le suggère de manière très pragmatique: "ces logements [dans les bidonvilles] ont pu être offensants par rapport aux normes de la classe moyenne, mais ils étaient néanmoins meilleurs que de vivre dans la rue".
Mais beaucoup de réformateurs ont ignoré ce peu de sagesse et ont insisté pour que la politique du logement s'articule autour de la planification urbaine centralisée, des mandats anti-bidonvilles et du réaménagement qui favorise le développement commercial urbain, là où le développement résidentiel a déjà été.
Pendant ce temps, des politiques fédérales ont été introduites lors du New Deal et lors de réitérations ultérieures d'une politique sociale fédérale expansionniste qui encourageait plus de dépenses dans les banlieues que dans les villes. Les programmes fédéraux conçus pour augmenter le nombre de maisons unifamiliales de banlieue se sont multipliés avec de nouvelles créations fédérales telles que Fannie Mae et de nouveaux programmes d'assurance prêt hypothécaire. Les subventions fédérales ont également encouragé la construction de nouvelles autoroutes hors de la ville et la construction d'infrastructures de banlieue. Les dollars dépensés pour subventionner les banlieues ont donc largement dépassé ceux dépensés pour subventionner la construction de nouveaux logements dans les centres-villes. Combinées aux politiques anti-taudis, les politiques et les habitudes de dépenses fédérales ont eu pour effet de drainer les villes du centre - et leurs quartiers - de la capitale, tout en démolissant les logements restants.
Implications pour aujourd'hui
RépondreSupprimerDans les années 1980, alors que l'itinérance devenait un sujet de recherche fréquent, certains spécialistes ont commencé à reconnaître que la politique fédérale de rénovation urbaine avait jeté les bases de la montée de l'itinérance au cours de cette décennie. Il s'est avéré que le grand plan du gouvernement fédéral visant à niveler les maisons flottantes et les hôtels résidentiels au nom de "villes" embellissant "ne permettait pour la plupart que de détruire le seul logement que la population à très faible revenu pouvait se permettre. Privés de leurs unités dans les bidonvilles, ces personnes ont fini par vivre dans des villes-tentes et des cartons.
Aujourd'hui, peu de choses ont changé pour ceux qui ont les revenus les plus bas. Les options qui leur étaient offertes dans le monde d'avant les années 50 ont disparu et n'ont jamais été remplacées.
Grâce à la persistance de la mentalité progressiste dans les villes, le zonage, le "réaménagement" et un contrôle centralisé des nouvelles constructions restent la norme. La "densité" est la nouvelle "congestion" et l'attitude des urbanistes reste la même. Ils déplorent le manque de logements abordables tout en bloquant les efforts pour construire davantage de logements. Dans le même temps, ils resserrent les contrôles sur les internats modernes et tentent d'autres tentatives du secteur privé visant à fournir des logements abordables. Les planificateurs imposent des restrictions de hauteur et des contrôles de densité. Ils créent des tailles minimales arbitraires pour les unités. Dans de nombreux États et villes, la définition du "fléau" reste flexible, permettant aux gouvernements d'éliminer davantage les anciens logements, à la discrétion des urbanistes.
De plus, les anciennes méthodes de rénovation urbaine persistent sous des formes actualisées. La législation en matière de financement progressif (TIF) ne vise pas le logement à faible coût, mais le nouveau développement commercial. Souvent, ce développement est construit là où il y avait autrefois des logements "inesthétiques" (mais abordables). Sa destruction est encouragée par la politique du gouvernement. La politique fiscale fédérale et la politique hypothécaire continuent de détourner des capitaux des logements locatifs urbains vers les logements unifamiliaux de banlieue.
Cependant, les centres-villes restent le lieu le plus pratique pour la construction et la préservation de logements à très faible revenu. En effet, les ménages aux revenus les plus bas doivent être proches des zones les plus denses où se développent le transport en commun et l'accès à l'emploi. En détruisant l'écosystème urbain des logements à très faible revenu, les gouvernements ont laissé à beaucoup de ces personnes peu de possibilités, si ce n'est de vivre dans des voitures, des ruelles et des trottoirs. Ceci, bien sûr, est beaucoup plus dangereux que de vivre dans un hôtel résidentiel en ruine avec des toilettes fonctionnelles dans le couloir et une porte verrouillable sur la pièce.
Mais même si les administrations municipales autorisaient le secteur privé à reconstruire librement, il faudrait probablement des décennies pour créer l'infrastructure de logement nécessaire pour répondre aux besoins de logements dans les centres-villes. Nous continuons de vivre avec les ruines d’un renouveau urbain raté, et nous en avons la preuve dans les villes-tentes et les latrines de fortune que nous voyons maintenant dans les espaces publics.
https://www.zerohedge.com/news/2019-06-15/homelessness-and-failure-urban-renewal
(...) "C’est le surpeuplement qui engendre le crime et le vice", a exhorté un écrivain, qui a insisté sur le fait que les habitants de ces régions ne sont pas intrinsèquement mauvais, mais qu’ils le sont par leur environnement. (...)
SupprimerC'est pourquoi LES FRONTIÈRES SONT NÉCESSAIRES ! Chacun chez soi et tout ira bien.
SCIENCE-FICTION - LE CRASH-TEST DU FUTUR S'EST DÉROULÉ À VAUFFELIN (BE)
RépondreSupprimerUn véhicule à conduite autonome contre un taxi aérien électrique: la sécurité devra tenir compte de passagers qui pourraient être couchés...
PAR VINCENT DONZÉ
16.06.2019, 13h31
Il n'y a jamais de vrai conducteur dans un crash-test: c'est évidemment le rôle d'un mannequin. Mais pour celui réalisé vendredi au Centre de tests dynamiques (DTC) de Vauffelin (BE), il n'y avait pas non plus de faux conducteur, puisqu'il s'agissait d'un démonstration avec des véhicules complètement autonomes.
Pour ses 25 ans, le DTC a effectué des démonstrations de conduite avec des systèmes d'aide, ainsi qu'une collision devant ses invités, dont l'analyse interviendra plus tard. Il s'agissait pour cet anniversaire de faire passer un message futuriste.
- voir clips sur site -
Le même crash-test mais vu sous un autre angle
«Nous supposons que la sécurité pourra être considérablement améliorée grâce aux nouvelles technologies», disent les experts, même s'il apparaît peu probable que le nombre d'accidents diminue de manière significative dans la phase initiale.
Mesure du pouls
Caméras périphériques, capteurs de stationnement, mesure du pouls au volant, freinage d'urgence automatique, système d'alerte de changement de voie: dans la voiture intelligente, la réalité dépasse la fiction!
Un dernier angle... pour la route
«Les voitures se stationnant seules sont du passé, les voitures de demain rouleront de manière complètement autonome et s'empareront de l'espace aérien», prévoient les ingénieurs du DTC. C'est la collision entre deux véhicules futuristes de ce type qui a été organisée vendredi: un véhicule à conduite autonome contre un taxi aérien électrique.
Mise en réseau
«Grâce à ces nouvelles libertés, l'intérieur des automobiles peut être redessiné», détaillent les ingénieurs confrontés à de nouveaux défis pour les systèmes de retenue, par exemple pour les passagers allongés...
Conclusion du DTC: «La mise en réseau et la numérisation jouent un rôle de plus en plus important dans l'industrie automobile», la connectivité étant un critère grandissant dans le choix d'une marque. (Le Matin)
https://www.lematin.ch/suisse/crashtest-futur-s-deroule-vendredi-vauffelin/story/10834759
SupprimerLe problème avec les 'ingénieurs de l'IA' est QU'ILS N'ONT RIEN COMPRIS ! Ils osent lancer des voitures sur le marché sans avoir vu le vol de milliers d'oiseaux qui se croisent à toute vitesse SANS JAMAIS S'ENTRECHOQUER !!
ÉTATS-UNIS - «RÉCOLTER LE COTON»: UNE EMPLOYÉE SCOLAIRE DÉMISSIONNE
RépondreSupprimerUne assistante scolaire a quitté son emploi, dans l'Oregon, suite à la plainte d'une mère pour des propos racistes lancés à un groupe d'élèves dont la plupart étaient métissés.
Les faits sont survenus à l'école Linwood, à Milwaukie.
16.06.2019
Estimez-vous heureux de ne pas être en train de «récolter le coton ou de nettoyer ma maison»: c'est la remarque raciste que l'employée d'une école élémentaire américaine a lancée à un groupe d'enfants turbulents dont elle avait la charge, rapportent des médias locaux.
L'assistante scolaire de l'école Linwood à Milwaukie, dans l'Oregon, avait été suspendue après la plainte d'une mère d'élève. Elle a finalement démissionné à la suite de ces commentaires faisant explicitement référence à la période de l'esclavage, a annoncé le district scolaire jeudi.
L'employée, chargée de surveiller les récréations et la pause déjeuner, avait réprimandé des élèves qui faisaient trop de bruit pendant le repas, les menaçant de relever leurs noms et de prévenir leurs parents.
Jasmyn Spencer et sa mère ont dénoncé les propos de l'employée (crédit: KPTV)
Mais le ton était monté et l'assistante avait alors dit au groupe d'élèves, dont beaucoup étaient noirs, qu'ils pouvaient s'estimer heureux qu'elle ne les oblige pas à «récolter le coton et nettoyer sa maison», a affirmé l'une des élèves, Jasmyn Spencer, métisse âgée de onze ans.
C'est la mère de Jasmyn, Syreeta Spencer, qui a prévenu l'école après cet incident, se disant «choquée» et très «en colère». «Nous comprenons que des mots puissent blesser nos élèves, et cela a été le cas en l'occurrence», a affirmé le district scolaire dans un communiqué, exprimant ses profonds regrets.
L'employée a elle aussi demandé pardon. «Il n'y a tout simplement pas d'excuse à mes propos, et je reconnais que ce que j'ai dit était blessant et insultant», a-t-elle écrit. ban/la (afp/Le Matin)
https://www.lematin.ch/faits-divers/recolter-coton-employee-scolaire-demissionne/story/24354164
A savoir que l'esclavage aux États-Unis comme en Afrique ne comprenait PAS QUE DES NOIRS !
SupprimerET OUI ! L'esclavage existait en Europe bien avant la colonisation africaine ! L'esclavage existait en Afrique bien avant la colonisation européenne !
La Martinique comptait plus d'esclaves blancs que d'esclaves noirs !
AMÉRIQUE DU SUD - L'ARGENTINE ET L'URUGUAY SONT PRIVÉS D'ÉLECTRICITÉ
RépondreSupprimerUne panne d'électricité a plongé l'Argentine et l'Uruguay dans le noir. Les deux pays partagent un système d'interconnexion électrique centralisé.
Les habitants de Montevideo, la capitale de l'Uruguay, se sont réveillés dans le noir.
16.06.2019, 15h34
L'Argentine et l'Uruguay sont privés d'électricité par une panne massive sur l'ensemble de leur territoire depuis dimanche matin, d'après les autorités et les entreprises de distribution énergétique des deux pays.
«A 07H07 (10H07 GMT) le système argentin d'interconnexion (SADI) a subi un arrêt total qui s'est traduit par une panne massive d'électricité dans tout le pays et a également touché l'Uruguay», a indiqué le Secrétariat à l'Energie d'Argentine dans un communiqué cité par la presse locale.
«Les causes sont en train d'être étudiées», a-t-il ajouté, précisant que le service commençait à être rétabli dans certaines régions et que la «remise en service totale» pourrait «prendre plusieurs heures».
A Buenos Aires, au milieu d'une matinée dominicale pluvieuse, les rues étaient peu animées même si quelques supermarchés et d'autres commerces étaient ouverts, fonctionnant grâce à des générateurs.
En Uruguay, seuls quelques feux de circulation marchaient à Montevideo où l'éclairage public était totalement éteint.
«Défaillance massive»
Plus tôt, les compagnies électriques d'Argentine et d'Uruguay ont signalé «une défaillance massive du système d'interconnexion» qui a privé de courant les deux pays. D'après la société Edesur Argentina, la totalité du territoire des deux pays était touchée par cette panne géante, qui concernait aussi «des pays limitrophes» selon Edenor.
L'uruguayenne UTE a quant à elle tweeté qu'à «07H06 (10H06 GMT), un mauvais fonctionnement du réseau argentin a touché le système interconnecté, privant de service tout le territoire national, et plusieurs provinces du pays voisin».
Un peu plus d'une heure après le début de la panne, UTE a précisé que «le service électrique est déjà rétabli dans certaines villes côtières et les efforts se poursuivent pour remettre en route la totalité du service».
L'Argentine, qui compte 44 millions d'habitants, et l'Uruguay - 3,4 millions - partagent un système d'interconnexion électrique centralisé sur le barrage binational de Salto Grande, situé à 450 km au nord de Buenos Aires et à 500 km au nord de Montevideo. (afp/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/argentine-luruguay-prives-delectricite/story/24250214
Après les actes terroristes démontrés au Venezuela, c'est au tour de l'Argentine et de l'Uruguay d'y passer !
RépondreSupprimerA quand leurs arrivées en Europe ?
Voici le top 5 des meilleurs smartphones qui coûtent moins de 500 euros
RépondreSupprimer15:45 16.06.2019
Ces cinq smartphones sont sur la liste des meilleurs portables au monde et coûtent moins de 500 euros, annoncent les auteurs d’un classement publié par Business Insider.
Alors que les modèles phares d’Apple ou de Samsung coûtent en moyenne 1.000 euros, Business Insider a décidé de présenter son classement des meilleurs smartphones coûtant beaucoup moins cher.
Si vous n’avez pas peur de sacrifier certaines options et de choisir un modèle plus ancien, de nombreux téléphones sont accessibles pour la moitié moins que le prix d’un iPhone XS.
Au premier rang se place le Motorola Moto G7, qui ne coûte que 240 euros (270 dollars), dont la qualité de l’écran est presque similaire aux alternatives plus chères et qui résiste à l’eau.
Arrive ensuite l’iPhone 7 à 400 euros (450 dollars), lui aussi résistant à l’eau. Business Insider a estimé que ce modèle vieux de trois ans possédait certains avantages indéniables, dont le même processeur que le modèle de base de l’iPad et par conséquent une multitude d’options.
Le Razer Phone 2 occupe la troisième place et dispose de 8GB de Ram, soit plus que ses concurrents.
Le Samsung Galaxy 9 se place au 4e rang grâce à son écran doté d’une matrice active OLED et à sa caméra de très bonne qualité.
Enfin, le Google Pixel, qui se classe 5e, offre l’avantage de prendre de bonnes photos de nuit. Ce smartphone a aussi un écran OLED.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201906161041443926-voici-le-top-5-des-meilleurs-smartphones-qui-coutent-moins-de-500-euros/
Dans un monde en réchauffement, le soja et le maïs bon marché peuvent nous surprendre
RépondreSupprimerJune 17th, 2019
De nouvelles recherches montrent que la catastrophe climatique imminente met le monde en danger de produire trop de maïs et de soja. Les gens ne savent pas ce que c'est que mourir de faim !
H / t to gaz carbonique Science
Qiao et al ont découvert que lorsque les températures sont augmentées de 2 ° C «catastrophiques» et que le gaz carbonique est porté à 700 ppm inimaginables, le maïs (ou maïs) augmente considérablement son rendement de 25%. Atteint à la fois par les températures élevées et par le gaz carbonique supplémentaire, le rendement du soja a encore augmenté de 31%.
Cela signifie vraisemblablement que les prix des cultures chuteront et que le maïs et le soja pourraient dominer votre jardin. (Veillez donc à installer un panneau solaire pour contrôler ces nouvelles herbes!)
La rumeur que les densités d'éléments nutritifs vont tomber - s'est avéré être faux. L'augmentation de la température a augmenté la teneur en huile des deux cultures. Et la combinaison de temps plus chaud et de gaz carbonique a également augmenté la plupart des nutriments. Les deux cultures avaient plus de phosphore, de potassium, de fer et de zinc. Il y avait une diminution statistiquement minime du calcium dans le maïs, si petit qu'il pourrait ne pas être là. Le manganèse dans le soja est le seul minéral qui ait définitivement diminué. Pour l'homme, il n'y a apparemment personne sur Terre qui souffre d'une carence clinique en manganèse due à un régime alimentaire. Pas trop préoccupant alors.
Le maïs aime le temps chaud. Mais le soja aime le gaz carbonique supplémentaire. Cela pourrait avoir quelque chose à voir avec le maïs étant une plante C4 avec des gènes chauds récemment développés pour utiliser le gaz carbonique et le soja étant l’une des anciennes plantes classiques sur C3 et nécessitant une mise à niveau.
Le maïs et le soja bénéficient du réchauffement des températures et du gaz carbonique. Graphique. 2019
- voir tableau sur site -
eT = température élevée
eTgaz carbonique = T et gaz carbonique élevés
Contrôle = les plantes pauvres qui doivent se débrouiller avec une température normale et du gaz carbonique.
Abstrait
RépondreSupprimerL'augmentation de la concentration de gaz carbonique et de la température associée risquent d'avoir une incidence sur la production agricole. Cette étude a examiné les effets de la température élevée seuls et en combinaison avec l'enrichissement en gaz carbonique sur le rendement en grain et la qualité du soja (Glycine max) et du maïs (Zea mays) cultivés au cours d'une saison de croissance quinquennale de Mollisol. Les plantes ont été cultivées dans des chambres à ciel ouvert avec le contrôle ambiant, une augmentation de 2,1 ° C de la température de l'air (eT) et de l'eT avec une concentration de gaz carbonique de 700 ppm dans l'atmosphère (eTegaz carbonique). Bien que eTegaz carbonique mais pas eT ait augmenté le rendement moyen en grains de soja de 31%, eTegaz carbonique et eT ont également augmenté le rendement en maïs d'environ 25% par rapport au témoin ambiant. En outre, eT et eTegaz carbonique n'ont pas eu d'incidence significative sur les protéines des céréales des deux espèces, mais ont constamment augmenté les concentrations d'huile dans les grains des deux espèces, l'eTegaz carbonique augmentant davantage. L'eT a augmenté la concentration de Fe dans les grains par rapport au traitement témoin, mais a diminué la concentration de Ca, tandis que les concentrations relatives de P, K, Mn et Zn variaient selon les espèces cultivées. L'augmentation de gaz carbonique augmentait l'effet eT sur la concentration en Fe, mais diminuait l'effet sur la concentration en Ca. Les résultats suggèrent que la sélection des cultures est importante pour maximiser les avantages de rendement et maintenir la qualité du grain afin de faire face aux taux de gaz carbonique et de température élevés des futurs changements climatiques dans cette région tempérée où la température est proche ou inférieure à la température optimale pour la production de cultures.
RÉFÉRENCE
Qiao, Y et al (2019) Les concentrations élevées en gaz carbonique et en température augmentent la concentration en huile de grain, mais leurs effets sur le rendement en grain diffèrent entre le soja et le maïs cultivés dans une région tempérée, Science de l'environnement total, volume 666, 20 mai 2019, pages 405 à 413.
https://doi.org/10.1016/j.scitotenv.2019.02.149
http://joannenova.com.au/2019/06/in-a-warming-world-we-may-get-overun-by-cheap-soy-and-corn/#more-64760
La prophétie 2017 de Russie Expert concernant la menace nucléaire de Russiagate se réalise
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 16/06/2019 - 22:50
Écrit par Caitlin Johnstone via Medium.com,
Le New York Times a publié un rapport de source anonyme intitulé “U.S. Escalade des attaques en ligne sur le réseau électrique russe "sur le" placement de logiciels malveillants potentiellement invalidants dans le système russe à une profondeur et avec une agressivité jamais essayée auparavant ", qui pourrait potentiellement" plonger la Russie dans l'obscurité ou affaiblir ses forces armées ", Reportage officiel anonyme: «Nous faisons les choses à une échelle que nous n'avions jamais envisagée il y a quelques années».
De toute évidence, il s’agit là d’une nouvelle et sérieuse escalade dans la série d’étapes sans cesse croissante qui ont été franchies dans le cadre d’une nouvelle guerre froide entre les deux superpuissances nucléaires de la planète. Si des responsables anonymes du Kremlin avaient révélé aux médias russes que Moscou intensifiait ses cyber-agressions contre le réseau énergétique américain, cela constituerait sans aucun doute un acte de guerre de la part de la classe politique / des médias des États-Unis et de ses alliés, avec des demandes immédiates. représailles.
Pour mettre cela en perspective, le New York Times a rapporté l'année dernière que le Pentagone faisait pression pour que la Nuclear Posture Review des États-Unis inclue la stratégie de représailles contre les cyberattaques russes sur les réseaux électriques américains.
Donc, ça fait assez peur. Ce qui est encore plus effrayant, c’est l’information selon laquelle le temps enseveli dans les 21ème et 23ème paragraphes de son rapport:
«Deux responsables de l’administration ont déclaré croire que M. Trump n’avait pas été informé en détail des étapes à suivre pour placer des« implants », un logiciel pouvant être utilisé pour la surveillance ou pour attaquer, à l’intérieur du réseau russe.
«Le Pentagone et les responsables des services de renseignement ont expliqué qu'ils hésitaient beaucoup à entrer dans les détails avec M. Trump à propos d'opérations menées contre la Russie, craignant pour sa réaction - et la possibilité qu'il puisse la contredire ou en discuter avec des responsables étrangers, comme il l'avait fait en 2017 lorsqu'il a mentionné opération sensible en Syrie au ministre russe des Affaires étrangères.
"Etant donné que la nouvelle loi définit les actions dans le cyberespace comme apparentées aux activités militaires traditionnelles au sol, dans les airs ou en mer, aucun exposé de ce type ne serait nécessaire", ont-ils ajouté.
Dans un article intitulé "Le Pentagone maintient Trump dans le noir au sujet de ses cyberattaques contre la Russie", Peter Wade de Rolling Stone a décrit cette révélation choquante comme suit:
«De nouvelles lois, promulguées l’année dernière par le Congrès, permettent à une telle« activité militaire clandestine »dans le cyberespace de se poursuivre sans l’approbation du président. Donc, dans ce cas, ces nouvelles lois protègent les intérêts américains… en gardant le président en place à l'écart de la boucle. Quel temps (effrayant) pour être en vie. "
Donc, Trump est un peu dans une impasse maintenant. L’escalade a déjà été mise en place, ce qui entraînera probablement une réaction égale de la part de Moscou si elle n’est pas réduite. Réduire cette réduction signifierait une nouvelle vague d’alarmisme criant de la classe politique / des médias sur la théorie du complot qui ne mourra pas, peu importe les preuves montées contre elle: Trump est une marionnette contrôlée du Kremlin. Il s’efforce de préparer le dossier de sa réélection en 2020.
Stephen F Cohen, professeur émérite d’études russes à l’Université de New York et à l’Université de Princeton et l’un des plus grands experts américains en matière de relations américano-russes, prévient depuis des années que cela se produira exactement. Dans une interview accordée à Democracy Now en avril 2017, Cohen avait averti que le fait de faire pression sur un président américain pour ne jamais reculer face à l'escalade d'une confrontation entre les superpuissances nucléaires pourrait avoir des conséquences potentiellement désastreuses si le conflit montait dans une situation similaire à la crise des missiles à Cuba. encore.
RépondreSupprimer"Je pense que c'est le moment le plus dangereux dans les relations russo-américaines, du moins depuis la crise des missiles à Cuba", a déclaré Cohen. "Et sans doute, c'est plus dangereux, parce que c'est plus complexe. Par conséquent, nous - et en attendant, nous avons à Washington ces accusations - et, à mon avis, des accusations sans fait qui prétendent que Trump a été en quelque sorte compromise par le Kremlin. Donc, à ce pire moment dans les relations américano-russes, nous avons un président américain qui est politiquement paralysé par le pire imaginable - c’est sans précédent. Arrêtons-nous et réfléchissons. Aucun président américain n'a jamais été accusé, essentiellement, de trahison. C’est ce dont nous parlons ici, ou que ses associés ont commis une trahison. "
"Imaginez, par exemple, John Kennedy lors de la crise des missiles à Cuba", a déclaré Cohen.
«Imaginez si Kennedy avait été accusé d'être un agent secret du Kremlin soviétique. Il aurait été estropié. Et la seule façon dont il aurait pu prouver qu’il ne l’était pas, c’était d’avoir lancé une guerre contre l’Union soviétique. Et à cette époque, l'option était la guerre nucléaire.
Il est rare que les gens prennent le temps de réfléchir profondément au fait particulièrement important que notre espèce est à deux doigts de l’annihilation totale au cours de la crise des missiles de Cuba. Nous avons appris longtemps après que tout était fini que la seule raison pour laquelle un sous-marin soviétique à armement nucléaire ne se déchargeait pas de sa charge utile sur la marine américaine et provoquait un échange nucléaire à grande échelle entre les États-Unis et l'URSS était le fait que l'un des trois hommes dans le sous-besoin pour autoriser l'utilisation de l'arme se dressa contre les deux autres et refusa. Cet homme s’appelait Vasili Arkhipov et il est responsable du fait que vous et tous ceux que vous aimez existaient aujourd’hui. Si vous êtes curieux, il existe un bon documentaire PBS sur l’événement.
Le président Kennedy échangeait constamment avec les Soviétiques au cours de la crise des missiles à Cuba, et nombre de choses auraient pu être catastrophiques au cours de cet échange si Kennedy n'avait pas fait certaines concessions à certains moments et ne savait pas se retenir au lieu de faire pression. vers l'avant. Il a fait une série de démarches diplomatiques impossibles dans le climat actuel paranoïaque et propice aux fuites, notamment en rappelant secrètement les missiles américains Jupiter de leur position en Turquie à la demande de Khrouchtchev.
Malgré tout l'indignation des libéraux lorsqu'un républicain réputé prononce l'expression «État profond», il est intéressant de noter que le commandant en chef s'est retrouvé dans une situation où il est à la merci d'un collectif de bellicistes qui avancent des programmes préexistants contre un pays qu’ils perçoivent comme une menace géostratégique pour l’hégémonie américaine. Cela pose la question, qui est vraiment en charge ?
La machine de guerre américaine est la force militaire la plus puissante de l'histoire de la civilisation et l'alliance des nations qu'elle soutient est fonctionnellement le plus puissant empire que le monde ait jamais connu. Parce que tant de pouvoir dépend du comportement de ce moteur de guerre gigantesque, il est considéré par ceux qui ont le pouvoir réel comme trop important pour être laissé à la volonté de l'électorat et trop important pour être laissé à la volonté du commandant en chef élu. -Chef. C’est la raison pour laquelle les Américains sont les peuples les plus propagandisés au monde. C’est pourquoi l’hystérie russe fait rage dans leur psychisme depuis trois ans et c’est pourquoi nous courons tous un risque de plus en plus grand de mourir dans un holocauste nucléaire.
RépondreSupprimerMISE À JOUR: Trump semble maintenant pouvoir nier que ce qui se passe est rapporté par les sources du New York Times. Il est peu probable que le Times fabrique une histoire en tissu, donc si Trump le nie, alors les sources mentent sur ce qu'elles font dans leurs propres emplois supposés, ou Trump est toujours gardé dans l'ignorance, ou Trump est juste en train de mentir.
"Croyez-vous que le New York Times en échec vient de raconter que les États-Unis augmentent considérablement les cyberattaques contre la Russie", a déclaré Trump sur Twitter.
«Il s’agit d’un acte de trahison virtuel de la part d’un grand journal qui recherchait désespérément une histoire, quelle qu’elle soit, même si c'était mauvais pour notre pays. AUSSI, PAS VRAI ! Tout va avec nos médias Corrupt News aujourd'hui. Ils feront ou diront tout ce que cela prendra, sans même penser aux conséquences! Ce sont de vrais lâches et sans aucun doute, L'ENNEMI DU PEUPLE ! "
Curieux et curieux.
* * *
Le meilleur moyen de contourner la censure d'Internet et de vous assurer de voir ce que je publie est de vous abonner à la liste de diffusion de mon site Web, qui vous enverra une notification par courrier électronique pour tout ce que je publie. Mon travail est entièrement supporté par les lecteurs, donc si vous avez aimé cet article, n'hésitez pas à le partager, à m'aimer sur Facebook, à suivre mes ébats sur Twitter, à jeter de l'argent dans mon chapeau sur Patreon ou Paypal, à acheter certains de mes produits sucrés, à acheter mon nouveau livre Rogue Nation: Aventures psychonautiques avec Caitlin Johnstone, ou mon précédent livre Woke: Un guide de terrain pour Utopia Preppers. Pour plus d'informations sur qui je suis, où je me trouve et ce que j'essaie de faire avec cette plate-forme, cliquez ici. Tout le monde, plates-formes racistes exclues, a la permission de republier ou d’utiliser gratuitement tout ou partie de ce travail (ou tout ce que j’ai écrit) de quelque manière que ce soit.
https://www.zerohedge.com/news/2019-06-16/russia-experts-2017-prophecy-about-nuclear-threat-russiagate-coming-true
Supprimer(...) «De nouvelles lois, promulguées l’année dernière par le Congrès, permettent à une telle« activité militaire clandestine »dans le cyberespace de se poursuivre sans l’approbation du président. Donc, dans ce cas, ces nouvelles lois protègent les intérêts américains… en gardant le président en place à l'écart de la boucle. Quel temps (effrayant) pour être en vie. " (...)
Un État dans l'État. Depuis toujours, les merdias et religions ont semé la dictature*, la terreur et la mort, aujourd'hui, faute de personnes compétentes (ils recherchent l'IA ! Hahaha !) seul l'argent est roi (avec les armes de plus en plus sophistiquées adaptées aux nouveaux terrains urbains !).
* Rappelez-vous le '11-9' où le Pentagone a été 'attaqué' par un 'avion' qui a plié ses ailes et baissé la queue pour se faufiler entre les bureaux dans un trou de 3 m de large !!! HAHAHAHAHA !
Les décès liés au climat se situent à des niveaux historiquement bas
RépondreSupprimerLes rapports bénéfices-coûts des politiques de suppression du carbone sont catastrophiques.
Par Marlo Lewis Jr.
Un article de Foundation for Economic Education
17 JUIN 2019
Depuis les années 20, les concentrations atmosphériques de gaz carbonique sont passées d’environ 305 ppm (parties par million) à plus de 400 ppm.
Le dernier argument des politiciens, experts et activistes progressistes est que les États-Unis ne peuvent pas faire l’économie des billions de dollars nécessaires pour « résoudre la crise climatique » parce que le réchauffement climatique est une menace existentielle. Comme l’a dit le sénateur Bernie Sanders, « on ne peut pas aller trop loin sur la question du changement climatique. L’avenir de la planète est en jeu, OK ? »
RAPPORT BÉNÉFICES-COÛTS ABYSSAL
Même si les changements climatiques étaient aussi terrifiants que le sénateur Sanders l’imagine, cette posture n’est qu’une mascarade. Les décideurs publics et privés disposent de ressources limitées. Celles qui sont allouées à l’action pour le climat ne sont plus disponibles pour honorer des versements hypothécaires, financer les frais de scolarité, la recherche médicale, produire de la nourriture, ou construire une flotte navale.
Les décideurs prudents ne se contentent donc pas d’examiner les coûts des propositions des politiques, mais comparent également les différents rapports bénéfices-coûts des dépenses concurrentes. Il se trouve que ces rapports bénéfices-coûts des politiques de suppression du carbone sont catastrophiques.
Par exemple, selon l’économiste Benjamin Zycher, de l’American Enterprise Institute, selon une estimation prudente, les seules dépenses directes du secteur de l’électricité dans le cadre du Green New Deal coûteraient 490,5 milliards de dollars annuels, soit 3 845 dollars par ménage et par an.
Pourtant, même l’élimination complète des émissions de gaz à effet de serre aux États-Unis n’éviterait que de 0,083 à 0,173 °C du réchauffement planétaire dans 70 ans ; un impact politique trop faible pour affecter de façon perceptible les régimes météorologiques, le rendement des cultures, les populations d’ours blancs ou toute autre condition environnementale dont les gens se préoccupent.
Le « bénéfice » climatique au cours des 10 prochaines années serait encore plus faible. Pourtant, au cours de cette période, Zycher estime que le coût économique annuel du programme du secteur de l’électricité du Green New Deal serait d’environ 9 billions de dollars. Il n’est pas sage de dépenser autant pour un résultat aussi dérisoire.
PAS D’URGENCE PLANÉTAIRE
L’interprétation apocalyptique du changement climatique est une doctrine politique et non une découverte scientifique, comme le démontrent l’économiste danois Bjorn Lomborg dans une récente série de tweets, et John Christy, spécialiste de l’atmosphère à l’Université de l’Alabama, dans un nouvel article intitulé « Falsifying Climate Alarm ».
Dans ses tweets, Lomborg critique un éditorial du prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz, qui préconise de dépenser des billions de dollars chaque année pour combattre le changement climatique, qu’il désigne comme « notre Troisième Guerre mondiale ». À titre de preuve, Stiglitz affirme qu’au cours des dernières années, les dommages causés par les intempéries ont coûté à l’économie américaine 2 % du PIB, un chiffre non étayé.
Lomborg remet les pendules à l’heure. Les assurances Aon Benfield estiment qu’entre 2000 et 2017, les dommages liés aux intempéries ont coûté aux États-Unis environ 88 milliards de dollars par an, soit 0,48 % du PIB, et non 2 %. Plus important encore, les phénomènes météorologiques extrêmes sont une caractéristique naturelle du système climatique de la Terre. La grande majorité de ces dommages aurait eu lieu avec ou sans changements climatiques. « Stiglitz croit-il qu’il n’y a pas de mauvais temps sans changement climatique ? » interroge Lomborg.
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
Aux États-Unis, les ouragans sont la principale cause des dommages causés par les intempéries. Ils ont généré des dépenses plus importantes au cours des 120 dernières années mais pas en raison d’un changement à long terme des conditions météorologiques. Une fois les pertes historiques ajustées pour tenir compte de l’augmentation de la population, de la richesse et de l’indice des prix à la consommation, les dommages causés par les ouragans aux États-Unis ne montrent aucun changement depuis 1900.
- voir graphique sur site -
On s’accorde généralement à dire que les trois dernières décennies ont été les plus chaudes que l’on a mesuré historiquement. Pourtant, au cours de cette période, les dommages causés par tous les phénomènes météorologiques extrêmes ont diminué en pourcentage du PIB mondial. En d’autres termes, bien que la population ait augmenté, et que beaucoup plus de choses soient exposées au danger, l’impact économique relatif des conditions météorologiques extrêmes diminue. Il est difficile de concilier cette tendance avec l’affirmation que notre civilisation est une civilisation « précaire ».
- voir graphique sur site -
Lomborg fournit un argument encore plus révélateur dans un tweet précédent. Depuis les années 1920, les concentrations atmosphériques de gaz carbonique sont passées d’environ 305 ppm à plus de 400 ppm, et les températures moyennes mondiales ont augmenté d’environ 1°C. Pourtant, à l’échelle mondiale, le risque individuel de mourir des suites de catastrophes liées aux intempéries a diminué de 99 %.
- voir graphique sur site -
Stiglitz affirme que nous ne pouvons pas nous permettre d’économiser des billions de dollars pour atténuer les changements climatiques car « nos vies et notre civilisation telles que nous les connaissons sont en jeu, tout comme elles l’étaient pendant la Seconde Guerre mondiale ». Lomborg note que dans la littérature scientifique, on estime que le changement climatique non contrôlé coûtera entre 2 et 4 % du PIB mondial en 2100. Ce n’est pas la fin du monde, surtout si l’on considère que malgré le changement climatique le revenu mondial par habitant en 2100 devrait être 5 à 10 fois plus élevé qu’aujourd’hui.
Ironiquement, dans la littérature sur les parcours socio-économiques (SSP), le plus riche est celui qui dispose du libre marché et des combustibles fossiles.
- voir graphique sur site -
Source : Keywan Rhiahi et al. 2017. « Ce monde[SSP5] fait de plus en plus confiance aux marchés concurrentiels, à l’innovation et aux sociétés participatives pour produire un progrès technologique rapide et le développement du capital humain comme la voie du développement durable… Dans le même temps, la poussée en faveur du développement économique et social s’accompagne de l’exploitation d’abondantes ressources en combustibles fossiles et de l’adoption de modes de vie à forte intensité de ressources et d’énergie dans le monde entier ».
QUID DU RÉCHAUFFEMENT ?
RépondreSupprimerLe nouvel article de John Christy, publié par la Global Warming Policy Foundation, résume deux de ses récentes études évaluées par des pairs. En 2017, Christy et son collègue spécialiste de l’atmosphère Richard McKnider ont examiné 37,5 années de données satellitaires dans la troposphère mondiale (atmosphère globale). Christy et McNider ont tenu compte des effets de réchauffement d’El Ninõ et des effets de refroidissement des émissions d’aérosols volcaniques.
La tendance sous-jacente au réchauffement de l’effet de serre – la ligne noire (e) de la figure ci-dessous – est de 0,095 °C par décennie, soit environ le quart du taux prévu par l’ancien scientifique de la NASA James Hansen, dont le témoignage au Congrès a lancé le mouvement du réchauffement planétaire en 1988.
- voir graphique sur site -
Christy et McNider estiment que lorsque les concentrations atmosphériques de gaz carbonique doubleront, le réchauffement de la planète atteindra 1,1 °C – une quantité appelée « réponse climatique transitoire ». Christy commente à ce sujet :
« Ce chiffre n’est pas très alarmant. Si l’on effectue le même calcul sur les modèles climatiques, on obtient un chiffre de 2,31°C, ce qui est très différent. La réaction des modèles au dioxyde de carbone est deux fois plus forte que dans le monde réel. Les données indiquent donc que la fourchette consensuelle de la sensibilité climatique est incorrecte. »
En 2018, Christy et l’économiste Ross McKitrick ont entrepris de tester l’exactitude des modèles climatiques. Ils ont examiné les projections des modèles dans l’atmosphère entre 9000 et 12 000 mètres, sous les tropiques de 20°N à 20°S. L’atmosphère se réchauffe le plus rapidement dans cette partie de l’atmosphère dans presque tous les modèles utilisés par le Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat comme le modèle du Centre climatique canadien, présenté ci-dessous.
- voir graphique sur site -
En 102 simulations, le réchauffement moyen dans la partie « point chaud » de l’atmosphère tropicale est de 0,44°C par décennie, soit 2°C sur la période 1979-2017. « Cependant, le réchauffement du monde réel est beaucoup plus faible ; environ un tiers de la moyenne du modèle », rapporte Christy.
- voir graphique sur site -
Christy résume les résultats des tests :
« Vous pouvez aussi facilement voir la différence dans les taux de réchauffement : les modèles se réchauffent trop vite. L’exception est le modèle russe, qui est beaucoup moins sensible au dioxyde de carbone et qui donne donc des projections pour la fin du siècle qui sont loin d’être alarmantes. Les autres sont déjà faux, et leurs prévisions pour 2100 ne sont pas fiables. Si un ingénieur construisait un avion et disait qu’il pouvait voler sur 600 milles, qu’il manquait de carburant à 200 milles et qu’il s’écrasait, il ne dirait pas : « Hé, j’étais quand même à un tiers de la fin ». On ne fait pas ça en ingénierie et en vraie science. Un facteur de trois est énorme dans le système du bilan énergétique. C’est pourtant ce que nous voyons dans les modèles climatiques. »
Des déclarations comme celles qui suivent sont de plus en plus courantes dans les médias populaires, les revues universitaires et le discours politique : « La preuve que le changement climatique anthropique est une menace existentielle pour notre mode de vie est incontestable ». Ce n’est pas du tout le cas.
—
Traduction par Aurélien Chartier pour Contrepoints de Climate-Related Deaths Are at Historic Lows, Data Show
https://www.contrepoints.org/2019/06/17/346892-les-deces-lies-au-rechauffement-se-situent-a-des-niveaux-historiquement-bas
L'être humain ou animal n'a JAMAIS IMPACTÉ LE CLIMAT de notre planète !
SupprimerSeules sont les manifestations de sources chaudes maritimes et océanique qui - depuis les planchers des bassins - réchauffent plus ou moins les courants et donc aussi l'atmosphère côtier.
Les changements de températures n'ont provoqué AUCUN décès depuis des milliers d'années. Les hausses de chaleurs aux déserts ou baisses des températures d'hiver en hémisphère Nord sont combattables par les moyens de préserver la vie et de leur répartition dans la population.
Les températures évoluent mille fois par jour sans qu'il y ait de mort ! De plus 10°C le matin on peut avoir 25 ou 30 l'après-midi SANS QU'IL N'Y AIT DE DÉCÈS !
Idem pour l'hiver ou l'été. Ces 'changements climatiques' s'appellent DES SAISONS !
Les mers & les océans émettent des milliards de fois plus de gaz que toute l'humanité, l'animalerie et industries comprises ! ET NOUS NE SOMMES PAS MORTS ! Çà alors !
Parce que TOUS LES GAZ SE RECYCLENT
Gilets jaunes : les forces de l'ordre mettent le feu aux parasols d'un café à Toulouse (VIDEOS)
RépondreSupprimer16 juin 2019, 18:06
Le 15 juin à Toulouse, les forces de l'orde ont très rapidement montré les muscles, chargeant les manifestants dès le début. Plus tard, les CRS et autres forces anti-émeute ont fait montre du même zèle en chargeant sans ménagement une terrasse.
Dans le cadre de l'acte 31 des Gilets jaunes, les forces de l'ordre ont chargé sur une terrasse d'un café, Les Américains, place du Président Thomas Wilson à Toulouse ce 15 juin.
Des images de l'incident ont été publiées, sur Twitter. Selon les images, des palets de grenades lacrymogènes ont vraisemblablement causé un début d'incendie de parasols. Un employé du café intervient avec un extincteur.
On voit également un policier arroser copieusement de sa «gazeuse» des personnes présentes sur la terrasse, parmi lesquelles des «street medics» et des vidéastes. Ensuite, tandis que les canons à eau entrent en action, des CRS (bande jaune sur le casque), expulsent ensuite sans ménagement le public, là aussi à coup de gazeuse, au cri de : «Allez, circulez !»
Plus tôt, dans un autre bar situé non loin, Le Cardinal, une autre charge policière avait eu lieu.
L'un des serveurs a témoigné de la violence de l'intervention au micro de RT France. «[Les forces de l'ordre] se sont fait insulter», a-t-il expliqué. «Et ils ont chargé sur moi alors que j'avais des tasses à la main et que je travaillais», détaille-t-il, faisant état de plusieurs coups de matraques. «J'ai des coups sur la tête [...] un de mes collègues s'est pris un coup de matraque dans la jambe», a-t-il affirmé.
Plus d'un millier de Gilets jaunes se sont rassemblés le 15 juin à Toulouse avant d'être dispersés par les forces de l'ordre, qui ont chargé dès le départ du cortège. Comme à Montpellier la semaine dernière, un appel avait été lancé sur les réseaux sociaux pour faire de Toulouse la «capitale» nationale du mouvement pour ce 31e acte.
Lire aussi : Gilets jaunes : une journée tendue à Toulouse (IMAGES)
https://francais.rt.com/france/63021-gilets-jaunes-forces-ordre-mettent-feu-parasols-cafe-toulouse-videos
Après avoir mis le feu à une gargote parisienne qui voulait se refaire faire sa terrasse à l'œil (proprio Sylverstein ?), les revoilà à Toulouse !
Supprimer«Liberté pour Julian Assange» : des Gilets jaunes affichent leur soutien au lanceur d'alerte (VIDEO)
RépondreSupprimer16 juin 2019, 14:05
En marge de l’acte 31 des Gilets jaunes à Paris, des manifestants ont exprimé leur solidarité envers Julian Assange. Le fondateur de Wikileaks, incarcéré au Royaume-Uni et menacé d'extradition vers les Etats-Unis, doit être jugé en février 2020.
Le 15 juin, en marge de l’acte 31 des Gilets jaunes à Paris, des manifestants ont tenu à exprimer leur soutien au fondateur de Wikileaks. «Liberté pour Julian Assange», pouvait-on ainsi lire sur une banderole. La veille, le tribunal londonien de Westminster avait annoncé que l'audience chargée de statuer sur l'éventuelle extradition de Julian Assange vers les Etats-Unis aurait finalement lieu en février 2020.
Ce n’est pas la première fois que des Gilets jaunes ou sympathisants du mouvement affichent leur solidarité avec Julian Assange. Le 13 avril, un rassemblement en soutien au lanceur d'alerte s'était tenu devant le siège du journal Le Monde afin de réclamer la libération de l'Australien et de demander aux médias ayant utilisé les informations de WikiLeaks de le soutenir.
Plusieurs dizaines de Gilets jaunes avaient par ailleurs fait le déplacement à Londres en mai dernier pour participer à un rassemblement devant le tribunal de Westminster, où l'extradition vers les Etats-Unis de Julian Assange avait été discutée lors d'une première audience. Réfugié pendant près de sept ans à l'ambassade d'Equateur à Londres, où il a bénéficié de l'asile politique, Julian Assange, 47 ans, en a été extrait le 11 avril par la police britannique avec l'aval de Quito. Il a été immédiatement placé en détention puis condamné à une peine de 50 semaines de prison le 1er mai pour violation des conditions de sa liberté provisoire.
Washington accuse l'Australien de 47 ans d'espionnage et a formellement requis son extradition le 11 juin. Les Etats-Unis lui reprochent d'avoir mis en danger certaines de leurs sources lors de la publication en 2010, par WikiLeaks, de 250 000 câbles diplomatiques et d'environ 500 000 documents confidentiels portant sur les activités de l'armée américaine en Irak et en Afghanistan.
https://francais.rt.com/international/63019-liberte-pour-julian-assange-gilets-jaunes-affichent-leur-soutien-au-lanceur-alerte-video
Que révèle la «mode» Marion Maréchal ?
RépondreSupprimer15 juin 2019, 20:28
En retrait(e) politique depuis deux ans, Marion Maréchal est revenue sur le devant de la scène médiatique depuis les européennes. L'ex-député frontiste assure pourtant ne pas vouloir revenir dans le jeu électoral à moyen terme. Et à long terme ?
Peut-on parler de Marion-Maréchal-mania ? En retrait du jeu politique depuis la présidentielle de 2017, se lançant en 2018 dans un projet entrepreneurial lié à une école, l'Issep, l'ancien député FN du Vaucluse Marion Maréchal est, depuis les élections européennes, devenue l'égérie d'une certaine droite.
Alors qu'elle soutient mordicus ne pas vouloir revenir à court et moyen terme dans le combat politique, les médias lui font les yeux doux. LCI a organisé la première grande interview de la nièce de Marine Le Pen le 2 juin. Depuis, les commentateurs s'emballent sur un éventuel retour de Marion Maréchal. BFM TV ou Causeur font partie des privilégiés ayant eu droit à leur entretien exclusif. La presse audiovisuelle et écrite s'est également rendue en nombre à la conférence de presse de la directrice de l'Issep le 14 juin.
Pourquoi cette fascination soudaine pour celle qui ne possède plus de mandat électoral depuis 2017 et s'est très officiellement éloignée de ses responsabilités au sein du Rassemblement national ?
Pour comprendre l'engouement autour de Marion Maréchal, sans doute faut-il comprendre le personnage. Son retrait politique en 2017 en avait surpris plus d'un, y compris dans son propre camp. Elue députée à seulement 23 ans en 2012, elle semblait logiquement promise à une longue carrière politique. Reste que cette retraite anticipée a aussi provoqué une certaine frustration pour ses soutiens. Ceux-ci pouvaient voir en elle la meilleure représentante de sa famille politique en 2022, après l'échec de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle de 2017. L'actuelle présidente du RN avait été fortement critiquée en interne pour le débat raté de l'entre-deux tours face à Emmanuel Macron. Marion Maréchal, par sa jeunesse et sa fraîcheur politique, pouvait représenter l'avenir naturel du RN.
A regarder de plus près, Marion Maréchal veut briser les codes et tenter d'introduire un style macroniste dans l'univers du Rassemblement national et des mouvements qui gravitent autour de ce dernier. En se retirant de la vie politique et en ouvrant son école de sciences politiques, elle a choisi de tisser un réseau d'entrepreneurs et d'associatifs, avec plus ou moins de succès. A Sputnik, elle déclarait récemment qu'ils étaient une centaine à avoir accepté un partenariat avec l'école «de sensibilité conservatrice». Elle espère d'ailleurs doubler prochainement le nombre de ses partenaires et donc son réseau.
Un lobbying pour s'imposer naturellement à droite
Ce réseau-là pourrait être précieux dans le cadre d'un retour. Sa (sur-)médiatisation récente semble aussi concorder avec un constat directement lié aux européennes. Après leur déroute électorale, Les Républicains sont en décomposition totale.
Marion Maréchal répète à l'envi que «l'alliance LR/RN est inévitable». Cette alliance, elle le confesse par ailleurs, est «une course de fond.» Elle critique en outre ouvertement les positionnements ambigus de la droite, évoque une stratégie pour le Rassemblement national, etc. Autant d'indices qui laissent entendre qu'elle cherche à se poser comme l'artisan de cette alliance, qui doit mener à l'émergence d'une nouvelle droite. Une droite qui serait «et libérale, et conservatrice», comme Emmanuel Macron a souhaité faire un consensus autour du «et gauche, et droite».
Autour d'elle, on semble s'activer pour organiser son retour. Son père, Samuel Maréchal, ex-dirigeant des jeunes du FN, et son ancien conseiller parlementaire Arnaud Stephan, ont créé une association nommée Alliance pour la France. Cette organisation veut faire «se rencontrer des personnalités de droite». L'objectif : créer les conditions pour battre Emmanuel Macron en 2022. Ils soutiennent que Marion Maréchal n'est pas associée à cette initiative. Mais, dans le même temps, Marion Maréchal répète que le projet auquel elle se destine dépassera le cadre d'un seul parti... et donc du RN.
RépondreSupprimerEn attendant de revenir, Marion Maréchal distille avec soin plusieurs idées au gré de ses entretiens dans la presse, laissant entrevoir une amorce de programme. Et ce dernier semble bel et bien conçu pour rassurer une partie de l'électorat d'une droite plus «modérée» que le RN : elle refuse l'idée du Frexit, propose que la France soit «la plus exemplaire possible sur le plan économique», en réduisant la dette, ou développe des idées conservatrices sur le plan sociétal. Enfin, Marion Maréchal n'est plus Maréchal-Le Pen. En coupant le cordon, elle semble également vouloir faire tomber le cordon sanitaire tendu entre la droite et le parti dont elle est issue, et qu'elle semble aujourd'hui vouloir dépasser.
Bastien Gouly
https://francais.rt.com/france/63012-que-revele-mode-marion-marechal
La très macroniste qui ne sait que faire et que dire n'a JAMAIS parlé du problème migratoire !
SupprimerA savoir que: Lorsque vous mettez 10 000 personnes autour d'un robinet il y a de l'eau pour tout le monde mais, quand vous mettez 20 ou 30 000 personnes... là, il y a un gros manque d'eau ! Pourquoi ? Parce qu'en dessous les pied se trouve la nappe phréatique continuellement alimentée en eau propre par galeries depuis la mer ou l'océan en passant par le four magmatique.
Et, si la répartition est bonne tout va bien mais s'il y a concentration il y a problème !
Les nappes se remplissent à LEUR vitesse et, si le pompage est supérieur au remplissage...
D'ailleurs, elle fait partie de ceux qui sont farouchement opposés à l'instauration de la 2 ème Démocratie au monde après la Suisse ! Elle crie vive la dictature ! vive la raie publique ! vive les chemtrails !