par Tyler Durden Lundi, 24/06/2019 - 02:00 Écrit par Giulio Meotti via le Gatestone Institute,
La "francité" disparaît et est remplacée par une sorte de balkanisation d'enclaves ne communiquant pas entre elles ... ce n'est pas une bonne recette.
Plus les élites françaises avec leurs revenus disponibles et leurs loisirs culturels se cloîtrent dans leurs enclaves, moins il est probable qu’elles comprendront l’impact quotidien de l’immigration de masse et du multiculturalisme.
Les "classes supérieures globalisées" (bourgeoises bohémiennes) "remplissent les" nouvelles citadelles "- comme dans la France médiévale - et votent en masse pour Macron. Ils ont développé "une manière unique de parler et de penser ... qui permet aux classes dominantes de se substituer à la réalité d'une nation soumise à un stress sévère et de mettre à mal la fable d'une société aimable et accueillante". - Christophe Guilluy, Crépuscule des élites, Yale University Press, 2019.
"En ce qui concerne la France en 2019, on ne peut plus nier qu'une transformation capitale et hasardeuse, un" Grand commutateur ", est en préparation", a déclaré le fondateur et président de l'Institut Jean-Jacques Rousseau, Michel Gurfinkiel. Il pleurait "le décès de la France en tant que pays distinct, ou du moins en tant que nation occidentale et judéo-chrétienne qu’elle avait été présumée jusqu’à présent". Un article de couverture récent de l'hebdomadaire Le Point l'a appelé "le grand bouleversement".
Commutation ou bouleversement, les jours de la France tels que nous les connaissions sont comptés: la société a perdu son centre de gravité culturel: l’ancien mode de vie s’estompe et est sur le point de disparaître. La "francité" est en train de disparaître et d'être remplacée par une sorte de balkanisation d'enclaves ne communiquant pas entre elles. Pour le pays le plus touché par le fondamentalisme islamique et le terrorisme, ce n’est pas une bonne recette.
Le commutateur français devient également géographique. La France apparaît désormais partagée entre "ghettos pour les riches" et "ghettos pour les pauvres", selon une analyse de la carte électorale du plus grand journal français, Le Monde. "Dans le secteur le plus pauvre, 6 ménages nouvellement installés sur 10 ont une personne née à l'étranger", note Le Monde. Une sorte d'abîme sépare désormais la France périphérique - petites villes, banlieues et zones rurales - de la métropole mondialisée des "bourgeois bohémiens" ou "bobos". Plus les élites françaises avec leurs revenus disponibles et leurs loisirs culturels se cloîtrent dans leurs enclaves, moins il est probable qu’elles comprendront l’impact quotidien de l’immigration de masse et du multiculturalisme.
Un récent sondage européen a reflété ces "deux Frances qui ne se croisent pas et ne se parlent pas", a observé Sylvain Crepon de l'Université de Tours en analysant le succès du parti du Rassemblement national de Marine Le Pen lors des récentes élections au Parlement européen. Le Pen et le président Emmanuel Macron, les deux lauréats du scrutin, parlent à des groupes sociologiques complètement différents. En banlieue parisienne - Aulnay-sous-Bois, Sevran, Villepinte et Seine-Saint-Denis - le rallye national d'extrême droite connaît un essor fulgurant. Dans les villes, Le Pen est largement en retard: elle a terminé cinquième à Paris, troisième à Lille, quatrième à Lyon. Selon Crépon:
"[Ces] villes seront protégées du vote du Rassemblement National par leur structuration sociologique. Cela rend hommage au discours populiste qui diagnostique une élite déconnectée. Cette vision soutient l'idée d'une rupture sociologique, qui n'est pas complètement faux".
D'un côté de cette pause se trouvent des villes telles que Dreux, que Valeurs Actuelles a baptisée "la ville qui préfigure la France de demain":
"D'un côté, une ville royale avec le vestige d'une histoire croyant que tout est en train de changer [millénariste]; de l'autre, les villes imprégnées de trafic de drogue et de l'islam. Les bourgeois du centre-ville votent pour Macron, le 'petits blancs' pour Le Pen".
De l'autre côté, c'est Paris. "Toutes les métropoles du monde connaissent le même sort. C’est là que naissent les richesses et que l’alliance des" vainqueurs de la mondialisation "et de leurs" serviteurs ", des immigrants venus au service des nouveaux maîtres du monde, garde leurs enfants , apportent leurs pizzas ou travaillent dans leurs restaurants ", écrit le commentateur social distingué Èric Zemmour dans Le Figaro. Il écrit désormais que "Paris est une ville mondiale, pas vraiment une ville française".
Les "classes supérieures globalisées [bourgeoises bohémiennes]", selon l'un des auteurs français les plus respectés. Christophe Guilluy, remplissent les "nouvelles citadelles" - comme dans la France médiévale - et votent en masse pour Macron. Ils ont développé "une manière unique de parler et de penser ... qui permet aux classes dominantes de se substituer à la réalité d'une nation soumise à un stress sévère et de mettre à mal la fable d'une société aimable et accueillante". Guilluy a été critiqué par certains médias français pour avoir abordé cette réalité.
Le récent mouvement des "gilets jaunes" - dont les manifestants protestent tous les samedis à Paris et dans toue la France depuis des mois contre les réformes du président Macron - est un symbole de cette division entre la classe ouvrière et les progressistes embourgeoisés.
Le parti de Marine Le Pen a remporté plus de deux fois plus de département électoral que Macron. Le Pen s'est imposé dans les zones dépressives et désindustrialisées du nord, du centre-sud et de l'est de la France qui ont donné naissance aux gilets jaunes.
"Depuis mon arrivée en France en 2002, j'ai vu le pays mener à bien une révolution culturelle", écrivait récemment Simon Kuper dans le Financial Times.
"Le catholicisme est presque mort (seulement 6% des Français assistent maintenant à la messe), mais pas aussi complètement que son" église "rivale de longue date, le communisme. La population non blanche n'a cessé de croître".
Macron, explique Kuper, est le symbole de "une nouvelle société individualisée, mondialisée et irréligieuse".
La fuite de la France du catholicisme est si évidente qu'un nouveau livre, L'archipel français: Naissance d'une nation multiple et divisée, de l'inspecteur Jérôme Fourquet, a décrit l'échec culturel de la société française comme une "ère postchrétienne": Le déplacement de la société française de sa matrice catholique est devenu presque total. Le pays, déclare Fourquet, est en train de mettre en œuvre sa propre déchristianisation. Et il n'y a qu'un seul substitut puissant à l'horizon. Selon une nouvelle étude universitaire, il existe déjà aujourd'hui autant de musulmans que de catholiques parmi les 18-29 ans en France; et les musulmans représentent 13% de la population des grandes villes de France, soit plus du double de la moyenne nationale.
Parfois, les sentiments de solidarité des communautés musulmanes semblent avoir tiré parti de cette fragmentation en créant leurs propres "ghettos de charia". Un rapport de l'Institut Montaigne, "The Islamist Factory", a détaillé la radicalisation de la société musulmane française. Au lieu de l'intégration, de l'assimilation et de l'européanisation, les extrémistes musulmans en France recherchent le multiculturalisme, la séparation et la partition. Les enclaves d'immigrés aux confins des villes françaises, affirme dans son livre La fracture, Gilles Kepel, fomentent "une rupture des valeurs avec la société française et une volonté de le subvertir". "Les gens ne veulent pas vivre ensemble", a déclaré Gérard Collomb, ancien ministre français de l'Intérieur, dans des propos rapportés par Valeurs Actuelles.
Cette "fracture" a été relevée dans la même publication: "Quatre garçons sur dix de Seine-Saint-Denis ont des prénoms arabo-musulmans". Le sondeur Jérôme Fourquet a révélé dans une nouvelle étude que "18% des nouveau-nés en France portent un nom arabo-musulman".
Une femme frappée par une bande en plein Paris durant la Fête de la musique (vidéo)
13:04 24.06.2019
Des vidéos filmées dans la nuit du samedi 22 juin près de la cathédrale Notre-Dame et du musée du Louvre dévoilent des violences commises lors de la Fête de la musique: des jeunes s’affrontent, une femme est violemment prise à partie. Le Daily Mail dévoile des séquences exclusives.
Le 22 juin, la Fête de la musique a été le théâtre de nombreuses violences. Le Daily Mail a partagé en exclusivité des vidéos filmées près de la cathédrale Notre-Dame et du musée du Louvre qui dévoilent l’«anarchie», comme le décrit le quotidien, pendant un concert de rap près de la rue de Rivoli.
«Les voyous étaient incontrôlables et donnaient des coups de poing et des coups de pied à volonté», a déclaré une étudiante de 22 ans. «Il n’y avait pas de police nulle part et les affrontements se poursuivaient sans cesse. Nous n’avions nulle part où nous échapper car toutes les entrées de la station de métro les plus proches étaient bloquées par la foule. C’était terrifiant.»
Une vidéo filmée par un témoin montre des affrontements entre des groupes de jeunes, le média soulignant que dans un poste de police situé à proximité du centre des Halles aucun agent n'a semblé réagir à ces troubles.
D’autres séquences mettent en évidence une bagarre lors de laquelle une femme a été prise à partie.
Le journal a souligné qu’Emmanuel Macron et Anne Hidalgo figurent parmi ceux qui présentent régulièrement cet événement comme une «célébration de la vie parisienne». Toutefois, la Fête de la musique est annuellement émaillée de violences.
Dans la nuit du 22 juin, une femme, agressée physiquement à Nice après la Fête de la musique, a été retrouvée dans un état critique, quasiment dénudée et «baignant dans une mare de sang», a annoncé le procureur de la République.
FRANCE - DES FRANÇAISES VEULENT POUVOIR EXPOSER LEUR DÉCOLLETÉ
Des femmes défendent sur Twitter le droit de s'habiller aussi léger qu'elles le souhaitent sans censure.
24.06.2019, 14h03
S'habiller comme elles veulent sans essuyer de commentaires; au moment où une vague de chaleur s'abat sur l'Europe, des Françaises mènent un nouveau front sur Twitter et préviennent les censeurs: #JeKiffeMonDécolleté.
Le 18 juin, @c3celineb, poste un message sous la photo de sa poitrine, moulée dans un débardeur rayé: «Donc, d'après un type croisé tout à l'heure, ceci est un décolleté de sale pute » et ajoute: «Mec, mes seins et moi on t'emmerde bien fort». Le message de Céline b - qui ne compte que 440 abonnés sur Twitter - est «aimé» plus de 4700 fois et retweeté plus de 1000.
Quelque jours plus tard, Zohra Bitan, une chroniqueuse de la radio RMC, engagée à gauche, repère le message et lance le cri de ralliement: «En attendant la canicule et en guise de résistance à la police vestimentaire qui tente des percées ça et là #JeKiffeMonDecollete» annonce-t-elle en invitant les autres femmes à poster des photos du leur.
Elle se fend également d'une mise au point: «Un décolleté est une liberté, égarer son regard dedans est une liberté aussi... ça s'arrête là... c'est clair ? #JeKiffeMonDecolete» «Liberté, Egalité, Décolleté» ajoute-t-elle encore, relayée depuis samedi par des milliers de messages et de clichés. «#JeKiffeMonDécolleté Parce que je suis une femme libre parce que nos grand-mères se sont battues pour la liberté» écrit Marie D'Ange.
Poitrines en bikini, en nuisette, moulée sous un tee-shirt, naissance des seins ou base du cou, des milliers de filles et de femmes de tous âges ont répondu à l'appel. Même l'ancienne ministre de droite Nadine Morano a posté un pudique décolleté - orné d'une croix - pour soutenir le mouvement.
Celui-ci est d'autant plus notable qu'il survient simultanément avec la résurgence du débat sur le burkini, ce maillot de bain couvrant défendu par des associations islamistes, que des militantes radicales ont relancé ce weekend dans une piscine publique de Grenoble (sud-est) au nom de la lutte contre la discrimination. Le burkini a été interdit dans l'espace public au nom de la laïcité.
La bataille du décolleté est la dernière illustration d'une tendance affirmée sur Twitter depuis l'irruption du mouvement #MeToo, en octobre 2017, suite aux révélations sur le producteur américain Harvey Weinstein, rapidement suivi en France et au Canada de #BalanceTonPorc, sur le harcèlement, en milieu professionnel ou dans la rue.
En juillet 2018, une étudiante de 22 ans, Marie Laguerre, met en ligne sur le réseau la vidéo d'un homme la giflant après l'avoir insultée. Cette agression devient rapidement emblématique du harcèlement subi par les filles et plus d'un millier viennent témoigner sur une plateforme en ligne créée par la victime.
La France s'est dotée en 2018 d'une loi pénalisant le harcèlement de rue.
Le surpoids et le diabète de type 2 favorisent la dégénérescence cérébrale
le 24 juin 2019
Dans un précédent billet de ce blog il était question des gènes allèles codant pour la clathrine et la conclusion était que l’abus d’alimentation industrielle riche en sucre aggravait la situation génétiquement préexistante du diabète de type 2 sans apporter de preuves irréfutables bien que ce billet ait été inspiré d’un article scientifique publié dans une revue à comité de lecture.
Revenons sur l’homéostase centrale et périphérique du glucose et son mécanisme. Après un repas, le taux de glucose circulant augmente et les cellules beta du pancréas sécrètent de l’insuline, une hormone qui va provoquer l’entrée du glucose sanguin circulant dans les cellules des organes cibles que sont le foie, les tissus adipeux, les muscles ainsi que le cerveau. Lorsque la concentration sanguine du glucose diminue les cellules alpha du pancréas sécrètent alors du glucagon qui a pour rôle de provoquer le relâchement dans le sang du glucose intracellulaire.
Ces deux mécanismes de régulation pancréatique sont complétés par un contrôle central de l’homéostase du glucose par l’hypothalamus en réponse à l’insuline et à une hormone, la leptine, sécrétée par les tissus adipeux. Chez un individu ayant un poids normal le taux de leptine permet de réduire la sensation de faim. Enfin des neurones sensibles à l’insuline complètent ce tableau en agissant sur le « système nerveux autonome » constitué des nerfs sympathiques et para-sympathiques agissant en particulier sur le foie et le pancréas. Cette régulation est donc d’une finesse extrême car elle est essentielle pour un bon fonctionnement général de l’organisme. Toute perturbation de cette régulation va avoir des effets en cascade désastreux.
Dans l’état actuel des connaissances, une sur-alimentation provoque une sécrétion de leptine telle que les neurones sensibles au sucre perdent progressivement cette sensibilité. Le taux de glucose sanguin a alors tendance à augmenter et son contrôle n’est, progressivement, plus assuré par le seul pancréas.
Le métabolisme général se trouve lui aussi déréglé et l’excès de glucose est utilisé dans la cellule pour produire de l’acétate, le précurseur idéal de la synthèse d’acides gras qui à leur tour vont être stockés dans des tissus adipeux qui se développent et ne servent plus que comme des impasses métaboliques provoquant un surpoids qui va aggraver à son tour toute une série de troubles dans l’ensemble de l’organisme, en particulier des mécanismes d’inflammation systémiques, c’est-à-dire qui se répandent dans tout l’organisme dont en particulier, nous le verrons ci-dessous, au niveau du cerveau. L’athérosclérose est l’exemple le mieux documenté de ces effets secondaires pathologiques. Ces perturbation dites d’intolérance au glucose affectent dans le monde entre 20 et 35 % des adultes et jusqu’à 17 % des enfants en surpoids. Aux USA plus de 45 % de la population est en surpoids …
La difficulté pour un médecin traitant réside dans le fait que l’augmentation du taux de glucose sanguin dans le sang à jeun est un processus multifactoriel résumé dans le diagramme ci-dessous (où NFG est l’acronyme de « normal fasting glucose », glucose sanguin normal à jeun, et IFG l’acronyme de « impaired fasting glucose » ou taux de glucose anormal) :
Des études récentes ont rassemblé des données reliant le diabète de type 2, le surpoids et l’obésité avec le dysfonctionnement du cerveau et c’est alarmant pour ne pas dire terrifiant. La perturbation de l’homéostase du glucose dans l’organisme a un effet direct sur la « santé » du cerveau comme le résument les deux diagrammes ci-dessous, plus parlants qu’un long discours :
- voir tableau sur site -
Note explicative. La neurogenèse, bien que très discrète chez l’adulte, joue néanmoins un rôle non négligeable dans le maintien de l’intégrité des fonctions de l’hippocampe. Cette neurogenèse est contrôlée par un facteur de croissance d’origine cérébrale appelé Brain-Derived Neurotrophic Factor (BDNF). Ce facteur stimule la production et la différenciation des cellules neuronales de l’hippocampe. L’hippocampe est une région du cerveau située sous le cortex qui est déterminante dans la consolidation de la mémoire de court-terme dite instantanée vers une mémoire de long-terme. Dans les maladies neuro-dégénératives telles que la maladie d’Alzheimer la perturbation de ce mécanisme de consolidation de la mémoire est l’un des premiers symptômes notés par le praticien.
La conclusion de cette étude ayant rassemblé plus de un millier d’articles et de revues est évidente, le surpoids et la perturbation de l’homéostase du glucose sont des facteurs centraux de la dégénérescence du cerveau. Sachant que dans la plupart des pays de l’OCDE les projections font état de plus de 40 % de personnes en surpoids ou pathologiquement obèses (indice pondéral corporel supérieur à 25) en 2030 il est terrifiant de constater que les habitudes sédentaires et une nourriture trop abondante et trop riche en sucre va « zombifier » tout un pan des générations à venir. Réjouissant n’est-il pas ?
Source et illustrations : Frontiers in Neuroendocrinology, vol. 53, Avril 2019
« Sugar in mind : Untangling a sweet and sour relationship beyond type A diabetes », Nicolas Cherbuin & Erin I. Walsh
Oregon: la police recherche 11 sénateurs républicains - cachés pour empêcher le vote sur la réduction de 80 % des émissions de carbone
June 24th, 2019
Des soldats de l’État ont été convoqués pour que les sénateurs républicains de l’Oregon reviennent voter sur un projet de loi sur les changements climatiques, mais les 11 sénateurs se trouvent dans des lieux secrets apparemment inter-États. Aucun vote ne peut avoir lieu sur quoi que ce soit sans qu'au moins un de ces sénateurs soit présent à la Chambre pour voter.
Oregon Standoff, onze sénateurs en fuite. … Les sénateurs républicains de l’Oregon se cachent après le vote sur le changement climatique face à la menace des milices ABC News USA.
Onze républicains ont refusé de se rendre au travail jeudi et se sont cachés en signe de protestation contre le projet de loi HB2020, qui établit un plafond de carbone, afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Les industries qui émettent du gaz carbonique - centrales électriques, fabricants, etc. - devraient acheter une «allocation» pour chaque tonne émise, ce qui réduirait l'incitation à produire du gaz carbonique.
L'objectif du projet de loi est de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 80 % d'ici 2050 par rapport aux chiffres de 1990.
C’est une question de démocratie: d’un côté, si les Oregon ont voté pour cette coupe draconienne, ils devraient l’obtenir. De l'autre, les républicains sont furieux et veulent une solution démocratique - un scrutin à l'échelle de l'État. La législation est un tel désastre pour une grande partie des électeurs de l’Oregon que les républicains estiment que c’est leur seule option. C’est une version d’un filibuster.
Alors, donnons aux gens un vrai débat, un vrai vote et mettons fin au débat maintenant. De quoi les démocrates ont-ils peur ?
La démocratie sur les rochers: Pourquoi un groupe de sénateurs des États-Unis sont traqués par la police BBC
La gouverneure démocrate Kate Brown a alors autorisé la police d’État à tenter de les localiser.
… Les prix de l'essence et du diesel devraient augmenter. Les républicains estiment que ces changements affecteront de manière disproportionnée les habitants des zones rurales de l'Oregon, tels que les ouvriers agricoles et les bûcherons. Ils soutiennent que le plan devrait être soumis à un vote à l'échelle de l'État afin que «chaque Oregonian ait voix au chapitre». Les démocrates détiennent 18 des 30 sièges du sénat, mais 20 sénateurs doivent être présents pour qu'un vote ait lieu.
C’est la deuxième fois qu’ils sortent récemment - remportant des concessions sur les lois sur les armes à feu et la vaccination après un autre incident le mois dernier.
D'autres boycotts auraient également eu lieu ailleurs, notamment par les démocrates du Wisconsin en 2011.
Les sénateurs sont condamnés à payer 500 USD (390 £) chacun pour chaque jour d'absence. Une collecte de fonds en ligne destinée à payer leurs amendes a jusqu'à présent permis de récolter près de 38 000 dollars US (30 000 £) ce dimanche.
Les démocrates ont déjà fait la même chose en organisant une grève de cinq jours sur le «redécoupage». Le fil Twitter où l'action est: @Oregon_GOP. Ce compte Twitter pèse lourd sur le sarcasme, appelant des photos d’enfants et de manifestants pacifiques «des milices lourdement armées». Beaucoup de gens ne comprennent pas la satire, y compris AOC, qui a ressenti le besoin de crier: «Ce sont des gens qui protestent pacifiquement - d’où leurs affiches et non pas des armes à feu».
Apparemment, le coût par famille de HB2020 est de l’ordre de 600 dollars par an, ce qui est exactement le même prix que ce que les familles australiennes payaient il y a deux ans pour l’énergie solaire et éolienne. (Nous payons plus maintenant).
Où étaient nos députés conservateurs ? Voter pour plus.
C'est dans les forêts qu'il y a le plus d'oxygène, c'est aussi là où il y a le plus de végétation. Mais, malgré cela, il y a de l'oxygène abondant en mers comme dans les déserts là où il y n'y a pas d'arbre ! Cà alors !
C'est parce qu'il y a les vents continuels qui portent ces gaz à faire le tour de la Terre. C'est aussi les mers et les océans (plus de 75 % de la superficie de notre planète) qui relâchent des milliards de fois plus de gaz continuellement que ne le font les humains, les animaux et l'industrie additionnés. C'est pourquoi sur terre (moins de 25 % de la superficie de notre planète) il y a des gaz qui ne sont produits ni par les humains, ni par les animaux ni par les industries.
C'est-à-dire aussi que si ni les humains, ni les animaux, ni les industries n'étaient présents sur Terre il y aurait EXACTEMENT LE MÊME VOLUME DE GAZ QU'IL Y A A PRESSENT !
Repérez les drapeaux de la race des sexes dans les junkets climatiques
June 24th, 2019
Le fleuve de sauce des changements climatiques est si vaste et si rapide qu'il attire les autres religions du Grand Gouvernement dans le courant. Un peu comme un effet de Bernoulli de la bureaucratie. Le vide du bon sens est nul. Ou un non-sens qui coule rapidement attire plus de non-sens.
Les anthropologues du futur étudieront les réunions de la CCNUCC
Ici, deux membres du clan des états profonds se rendent à Bonn pour une liaison conjointe. La secte climatique effectue une poignée de main féministe-autochtone comme test de rang social. L'Australie passera-t-elle?
Les questions de genre en tête du sommet sur le climat à Bonn Graham Lloyd, l'Australien
Les responsables australiens participant aux discussions sur le changement climatique en Allemagne discutent de la façon dont le pays s'attaque au réchauffement de la planète en s'attaquant aux problèmes des femmes et des peuples autochtones.
Le Canadien prouve sa valeur aux autres personnes à la charge de Big-Gov (mais pas aux contribuables canadiens):
Dans des questions écrites à l'Australie sur sa réaction au changement climatique, le Canada a demandé si les connaissances autochtones ou traditionnelles étaient prises en compte lors de l'élaboration de politiques nationales ou de la mise en œuvre de mesures pour lutter contre le changement climatique.
Cela donne à l'Australien un laissez-passer gratuit pour se vanter d'avoir brandi le même drapeau inutile devant un Dieu imaginaire qui détruit de préférence les maisons de mères autochtones célibataires. Si l’Australien échouait à l’épreuve, le Canadien se vanterait à la maison de son progrès, et il saura également qu’il ne faut pas s’asseoir à côté de l’Australien dans le bar ni l’inviter à prendre un verre après le dîner. Le Canadien ne peut pas vraiment perdre - à moins que les électeurs découvrent:
"La participation des Australiens autochtones au Fonds de réduction des émissions est en train de donner naissance à une industrie du carbone indigène, qui offre toute une gamme d'avantages non liés au carbone, tels qu'un flux de revenus indépendant et une augmentation de l'emploi des autochtones", a déclaré le gouvernement.
L'Australien passe, mettant tous les bons mots dans une phrase autrement dénuée de sens. Personne ne dit qu’augmenter le coût de l’énergie réduirait l’emploi des autochtones, pas plus que les autochtones vivant dans des logements reculés risquent davantage de mourir s’ils n’ont pas les moyens d’acheter du chauffage et de la climatisation. Les préoccupations réelles concernant les peuples autochtones seraient négatives. C’est le drapeau du Grand Gouvernement qui fait la différence.
Le deuxième test est le score anti-old-white-men: Dans la deuxième partie de la poignée de main, le junketee australien est testé sur le drapeau de genre:
L'Australie a également été priée de fournir plus de détails "sur les mesures que l'Australie a appliquées au niveau national pour intégrer les considérations de genre dans ses politiques relatives au changement climatique".
Naturellement, les vieux fermiers blancs ne sont jamais les premières victimes des changements climatiques. Leur durée de vie plus courte que celle des féministes de carrière est sans importance, de même que leur santé mentale ou leur suicide dû au stress financier provoqué par le climat. S'occuper des hommes ne rapporte aucun point au statut de membre d'un clan:
Le gouvernement fédéral a déclaré que "l'élan national en faveur de l'égalité des chances signifie que les politiques australiennes en matière de climat s'inscrivent dans un contexte qui prend en compte et met en œuvre les mesures prises pour lutter contre les inégalités entre les sexes".
Si le climat fait plus mal aux hommes qu'aux femmes, aux mines, à l’agriculture, à la construction et à la foresterie plus que le travail à l’intérieur principalement choisi par les femmes, les junketees payés continueront de dire que les femmes doivent être mieux payées pour prendre moins de risques.
Et quand les gelées augmenteront, le clan des grands gouvernements se contentera de réserver des hôtels plus chauds.
Les scientifiques découvrent de nouveaux rôles antiviraux pour les neurones olfactifs chez les poissons
24 juin 2019 par l'Université du Nouveau-Mexique
Il existe des milliers de virus dans nos divers environnements qui affectent notre vie quotidienne de différentes manières. Un grand nombre de ces virus infectent les humains en entrant et en exploitant la voie nasale. Les scientifiques de l'Université du Nouveau-Mexique mènent des recherches pour comprendre comment le système immunitaire et les neurones olfactifs présents dans le nez travaillent ensemble pour arrêter rapidement l'entrée de virus dans d'autres organes essentiels du corps.
Par exemple, des virus respiratoires tels que les virus de la grippe, des rhinovirus et neurotropes, tels que les rhabdovirus, sont connus pour infecter d'abord le nez, puis pénétrer dans le cerveau ou d'autres organes. Un autre bon exemple est le virus de la grippe, qui infecte également d'abord la cavité nasale puis se propage aux poumons. La compréhension de la manière dont les neurones et les cellules immunitaires travaillent ensemble pour enrayer l'infection dans les poumons ou le cerveau est un aspect essentiel du contrôle des infections.
En 2014, des scientifiques de l'UNM, dirigés par Irene Salinas, professeure agrégée de biologie, ont étudié la truite arc-en-ciel et découvert que les poissons avaient un système immunitaire nasal contenant des virus qui provoquaient de fortes réactions immunitaires dans l'organe olfactif. En regardant de plus près les données de cette étude, ils ont remarqué que l'expression de certains gènes de récepteurs olfactifs et de gènes neuronaux était également altérée dans l'organe olfactif à la suite d'une infection virale.
"Cette observation nous a fait penser que les neurones réagissaient peut-être aussi au virus", a expliqué Salinas. "Les expériences suivantes ont consisté à examiner différents types de neurones olfactifs chez la truite exposée au virus. Bientôt, nous avons remarqué qu'un type de neurone sensoriel olfactif, les neurones cryptographiques, disparaissait très rapidement après la transmission du virus au nez. Un examen approfondi de ce phénomène ont révélé que les neurones cryptographiques mouraient rapidement dès qu'un récepteur qu'ils expriment, TrkA, interagissait avec le virus. "
Le laboratoire de Salinas du département de biologie de l'UNM étudie actuellement si les réponses antivirales trouvées chez le poisson se produisaient également chez la souris afin de mieux traduire les résultats en infections humaines potentielles. Ils continuent également de travailler sur la truite et le poisson zèbre, car les modèles de poisson offrent plusieurs avantages par rapport aux modèles de souris pour étudier cette interaction neuro-immune rapide.
Cette étude intitulée "Les neurones sensoriels olfactifs induisent des réponses immunitaires antivirales ultrarapides de manière dépendante de TrkA" a été publiée récemment dans les Actes de la National Academy of Sciences (PNAS) de Sepahi, et al. et faisait partie de la thèse de doctorat de Ali Sepahi. La recherche est financée à la fois par la National Science Foundation (NSF) et le Department of Agriculture des États-Unis (USDA).
Sepahi a rejoint le laboratoire Salinas en 2013 en tant que doctorat. L'étudiant et sa thèse portent sur différents aspects de l'immunité nasale des poissons et de la communication neuro-immune sous la supervision de Salinas. Sepahi a obtenu son doctorat en 2018 et travaille maintenant comme chercheur postdoctoral à la faculté de médecine de l'Université du Michigan. Ses recherches actuelles portent principalement sur l'immuno-oncologie et l'immunologie des muqueuses chez le modèle souris.
Trois autres membres du laboratoire de Salinas, dont la diplômée Aurora Kraus, la chercheuse postdoctorale Elisa Casadei et la étudiante de premier cycle Cecelia Kelly, sont également coauteurs de l’étude. L'étude représente cinq années de travail qui a impliqué la mise au point de nombreux nouveaux tests en laboratoire, la truite n'ayant jamais été utilisée pour l'étude des interactions neuro-immunes.
Le laboratoire de Salinas s'est également associé à l'électrophysiologiste spécialiste des poissons, Mar Huertas, de la Texas State University. Les recherches ont révélé que les poissons peuvent sentir les virus déclenchés par les réactions électriques des neurones olfactifs. Les signaux ont ensuite été envoyés au bulbe olfactif du système nerveux central. Ensuite, les chercheurs ont demandé si l'activation neuronale observée correspondait à une réponse immunitaire contre le virus et ils ont trouvé que la réponse était oui.
"Le point le plus remarquable de la réponse immunitaire était qu'elle était extrêmement rapide, sans minutes, une échelle de temps que les immunologistes négligent habituellement", a déclaré Salinas. "La réponse immunitaire était fascinante, car elle pouvait être enregistrée non seulement dans l'organe olfactif, où le virus venait juste d'être livré, mais également dans le système nerveux central, où le virus n'était pas présent du tout."
Ces découvertes ont révélé l'existence d'une collaboration neuro-immune entre la périphérie (organe olfactif) et le SNC (bulbe olfactif) contre les virus. Il a également montré que des réponses immunitaires dans le SNC peuvent se produire même s’il n’ya pas d’infection active, mais en réponse à des stimuli pathogènes distants.
Christopher Alan Johnston, professeur associé au département de biologie de l'UNM et co-auteur du document, a produit des protéines recombinantes virales qui ont permis à l'équipe d'identifier la partie du virus qui interagit réellement avec les neurones olfactifs de truite.
Une dernière preuve de l'importance des neurones sensoriels olfactifs dans la défense antivirale chez les poissons provient d'un système de modèle animal différent: le poisson zèbre. Dans ce cas, l'équipe de Victoriano Mulero de l'Université de Murcia, en Espagne, a contribué à la mise au point d'un nouvel outil: un poisson zèbre dans lequel les neurones de la crypte ont été éliminés à l'aide d'un promédicament dans l'eau. La comparaison du poisson-zèbre avec les neurones cryptographiques et ceux sans neurones cryptés a montré qu'en l'absence de neurones cryptés, le poisson zèbre succombait plus facilement à une infection par le rhabdovirus.
"Je suis fasciné par les points communs entre le système nerveux et le système immunitaire", a déclaré Salinas. "Nous utilisons le poisson comme modèle car son système olfactif est assez similaire à celui des souris et des humains. Cependant, les poissons offrent un avantage certain: leur organe olfactif est situé à la surface et nous permet donc de réaliser des dissections faciles et des expériences in vivo très rapides comme ceux dans ce document qui sont très difficiles à effectuer chez les souris ".
Les recherches de Salinas portent sur l'immunité muqueuse, en particulier l'immunité nasale et son évolution chez les vertébrés. Les surfaces muqueuses sont à l'interface entre les hôtes et l'environnement. L'épithélium olfactif est une surface muqueuse qui présente une caractéristique unique: les neurones sont directement exposés à l'environnement. Cela signifie que les neurones, qui ne sont généralement pas directement exposés aux agents pathogènes, interagissent constamment avec les microbes de l'organe olfactif. Les neurones olfactifs se trouvent également à une étape du SNC, le tissu cible final de nombreux virus nuisibles tels que la rage ou la grippe.
"Les résultats montrent vraiment à quel point l'immunité nasale est importante pour que le système soit exempt de tout agent pathogène du SNC. La réaction du cerveau, et donc de notre comportement, semble être influencée par les signaux que notre nez envoie au cerveau en réponse au danger (comme les virus) , "a déclaré Salinas, qui fait également partie du Centre d'immunologie théorique et évolutive (CETI) de l'UNM. "Ce concept fascinant doit être approfondi."
En outre, ces résultats pourraient avoir des implications importantes pour la conception des vaccins nasaux destinés à la pisciculture et à l'homme, selon l'équipe. La traduction de ces résultats en santé humaine nécessite un examen minutieux sur des modèles de mammifères, projet en cours au laboratoire de Salinas.
Le 2500 % d'extensibilité du nanogénérateur établit un nouveau record
par Lisa Zyga, Phys.org LE 24 JUIN 2019
En s’étirant comme un élastique à plus de 25 fois sa longueur initiale, un nouveau nanogénérateur a établi un nouveau record d’étirement. L'étirement de 2500% du nanogénérateur triboélectrique représente une augmentation significative par rapport aux meilleures valeurs précédentes d'environ 1000%. De plus, l'appareil est le premier nanogénérateur triboélectrique entièrement fabriqué avec l'impression 3D.
Les chercheurs, dont Kaushik Parida, Gurunathan Thangavel et Pooi See Lee à la Nanyang Technology University et l’Alliance Singapour-HUJ pour la recherche et les entreprises (SHARE), ont publié leurs résultats sur le nanogénérateur triboélectrique très extensible et entièrement imprimé en 3D dans un numéro récent de Nature Communications.
Les nanogénérateurs triboélectriques (TENG) récupèrent l'énergie des mouvements mécaniques ambiants, tels que le tapotement des doigts, et ont des applications potentielles en tant que dispositifs électroniques portables. Rendre les TENG étirables est difficile car les deux couches principales - la couche triboélectrique et le conducteur - ont généralement des propriétés élastiques différentes et ont donc tendance à se séparer après des étirements répétés.
Dans le cadre de la nouvelle étude, les chercheurs ont utilisé le même matériau élastique (polyuréthane acrylate ou PUA) comme base de la couche triboélectrique et de la matrice polymère du conducteur. Pour augmenter la conductivité, les chercheurs ont également ajouté des particules de métal liquide et des paillettes d'argent au conducteur. Lorsque le nanogénérateur subit un étirement extrême, les liaisons hydrogène dans la PUA se cassent et se réforment de manière réversible pour prendre en charge l’étirement souhaité. En même temps, les enveloppes de particules de métal liquide se cassent et libèrent un métal liquide conducteur afin de créer une connexion entre les paillettes d'argent séparées dans la matrice de PUA, permettant ainsi au dispositif de conserver une conductivité élevée.
Les chercheurs ont également démontré que le nanogénérateur pouvait être divisé en plusieurs parties et qu'il retrouvait néanmoins presque complètement ses performances d'origine après un processus de cicatrisation de 24 heures de chauffage.
Le nanogénérateur est également le premier dans lequel tous les composants ont été imprimés à l'aide d'une imprimante 3D. Auparavant, seule la couche triboélectrique était imprimée en 3D, car la plupart des matériaux élastomères avaient une extensibilité limitée lorsqu’ils étaient fabriqués en impression 3D.
Grâce à son extensibilité et à sa conductivité élevées, ainsi qu'à la facilité de fabrication grâce à l'impression 3D, le nanogénérateur a des applications potentielles en tant que récupérateur d'énergie pour de petits appareils électroniques portables auto-alimentés, comprenant des LED et des capteurs.
Les scientifiques développent un blé prêt au climat qui peut survivre à la sécheresse
par l'Université de Sheffield 24 juin 2019
Selon une nouvelle étude, les plantes de blé conçues pour avoir moins de pores microscopiques - appelés stomates - sur leurs feuilles, sont mieux à même de survivre à la sécheresse associée à la dégradation du climat.
Des scientifiques de l'Institute for Sustainable Food de l'Université de Sheffield ont découvert que le fait d'ingérer du blé panifiable à réduire le nombre de stomates aide la culture à utiliser l'eau plus efficacement, tout en maintenant les rendements.
L'agriculture représente 80 à 90% de l'utilisation d'eau douce dans le monde et, en moyenne, il faut plus de 1 800 litres d'eau pour produire un seul kilogramme de blé. Cependant, à mesure que le climat se raréfie et que les ressources en eau deviennent de plus en plus variables, les agriculteurs devront produire plus de nourriture que jamais pour nourrir une population croissante.
Comme la plupart des plantes, le blé utilise des stomates pour réguler son apport en dioxyde de carbone lors de la photosynthèse, ainsi que la libération de vapeur d'eau. Lorsque l’eau est abondante, l’ouverture stomatique aide les plantes à réguler la température par refroidissement par évaporation, ce qui est similaire à la transpiration.
En période de sécheresse, les plants de blé ferment normalement leurs stomates pour ralentir les pertes en eau. Toutefois, il a été constaté que le blé avec moins de stomates conserve encore mieux l'eau et peut l'utiliser pour se refroidir.
Au cours de l'étude, publiée dans le Journal of Experimental Botany, les scientifiques ont cultivé le blé dans des conditions similaires à celles attendues en cas de dégradation du climat, avec des niveaux plus élevés de dioxyde de carbone et moins d'eau. Par rapport au blé conventionnel, les plantes modifiées utilisent moins d’eau tout en maintenant la photosynthèse et le rendement.
La recherche s'appuie sur les travaux de l'Institute for Sustainable Food visant à développer du riz apte au climat, qui a révélé que le riz avec moins de stomates consommait 40% moins d'eau que les races conventionnelles et qu'il était capable de survivre à la sécheresse et à des températures de 40 ° C.
Julie Gray, professeure de biologie moléculaire végétale à l'Institute for Sustainable Food, a déclaré: "Le blé est un aliment de base pour des millions de personnes dans le monde - mais à mesure que les sécheresses extrêmes deviennent plus fréquentes, les agriculteurs sont confrontés à la perspective d'une baisse des rendements.
"Développer un blé qui utilise l'eau de manière plus efficace nous aidera à nourrir notre population croissante tout en utilisant moins de ressources naturelles, ce qui rendra nos systèmes alimentaires plus résilients face au changement climatique."
Dans une autre étude publiée dans Plant, Cell and Environment, les scientifiques de l'institut ont également découvert que les plantes conçues pour avoir moins de stomates sont moins sensibles aux maladies. Ils espèrent pouvoir reproduire ces résultats dans des cultures telles que le blé et le riz.
L’Institute for Sustainable Food de l’Université de Sheffield réunit une expertise multidisciplinaire et des installations de recherche de classe mondiale pour contribuer à la sécurité alimentaire et à la protection des ressources naturelles dont nous dépendons tous.
(...) il faut plus de 1 800 litres d'eau pour produire un seul kilogramme de blé. Cependant, à mesure que le climat se raréfie et que les ressources en eau deviennent de plus en plus variables, (...)
Il pourrait en falloir 150 000 km3 QUE CE SERAIT LA MÊME CHOSE ! L'eau absorbée... n'est pas conservée ! Cà alors ! (Imaginez un kilo de blé avec 1, 800 tonne d'eau ! HAHAHAHA !). Et pour faire un poisson, il faut combien d'eau ? HAHAHAHAHAHAHA ! Plus con que çà il n'y a pas ! Et, çà se dit 'scientifique' !!! Crachez en l'air et vous aurez la réponse !
IL NE MANQUE PAS UNE GOUTTE D'EAU SUR NOTRE PLANÈTE DEPUIS DES MILLIARDS D'ANNÉES !
Depuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit.
Des scientifiques cartographient un immense aquifère d'eau douce sous-marin au nord-est des États-Unis
21 JUIN 2019 par Columbia University
Dans une nouvelle étude du sous-sol marin au large de la côte nord-est des États-Unis, des scientifiques ont fait une découverte surprenante: un aquifère gigantesque composé d’eau relativement douce piégée dans des sédiments poreux situés sous l’océan salé. Il semble que ce soit la plus grande formation de ce type jamais trouvée dans le monde.
L’aquifère s’étend du rivage au moins du Massachusetts au New Jersey et s’étend de manière plus ou moins continue sur environ 50 milles jusqu’à la lisière du plateau continental. Si on le trouve à la surface, cela créerait un lac couvrant environ 15 000 milles carrés (3.884.982,16 ha). L'étude suggère que de tels aquifères sont probablement situés sur de nombreuses autres côtes dans le monde et pourraient fournir de l'eau désespérément nécessaire aux zones arides qui risquent maintenant de s'épuiser.
Les chercheurs ont utilisé des mesures innovantes des ondes électromagnétiques pour cartographier l’eau, qui est restée invisible aux autres technologies. "Nous savions qu'il y avait de l'eau fraîche là-bas dans des endroits isolés, mais nous ne connaissions ni l'étendue ni la géométrie", a déclaré l'auteur principal Chloe Gustafson, Ph.D. candidat à l'observatoire de la Terre Lamont-Doherty de l'Université Columbia. "Cela pourrait devenir une ressource importante dans d'autres régions du monde." L'étude paraît cette semaine dans la revue Scientific Reports.
Les premières traces de l'aquifère sont apparues dans les années 1970, lorsque des entreprises ont foré du pétrole sur les côtes, mais ont parfois atteint de l'eau douce. Les trous de forage ne sont que des piqûres d'épingle dans le fond marin, et les scientifiques ont débattu pour savoir si les gisements d'eau étaient simplement des poches isolées ou quelque chose de plus grand. Depuis environ 20 ans, Kerry Key, coauteur de l’étude, maintenant géophysicien de Lamont-Doherty, a aidé les sociétés pétrolières à mettre au point des techniques permettant d’utiliser l’imagerie électromagnétique des fonds marins pour la recherche de pétrole. Plus récemment, Key a décidé de voir si une technologie de ce type pourrait également être utilisée pour rechercher des gisements d’eau douce. En 2015, lui et Rob L. Evans, de la Woods Hole Oceanographic Institution, ont passé 10 jours sur le navire de recherche Lamont-Doherty, Marcus G. Langseth, effectuant des mesures au sud du New Jersey et sur l'île de Martha's Vineyard, dans le Massachusetts, où des trous de sédiments riches en eau.
Ils ont largué des récepteurs sur le fond marin pour mesurer les champs électromagnétiques situés au-dessous, ainsi que le degré de perturbation des perturbations naturelles telles que les vents solaires et les éclairs. Un appareil remorqué derrière le navire a également émis des impulsions électromagnétiques artificielles et enregistré le même type de réactions du sous-sol. Les deux méthodes fonctionnent de manière simple: l’eau salée est un meilleur conducteur d’ondes électromagnétiques que l’eau douce, de sorte que l’eau douce se démarque comme une bande de faible conductance. Les analyses ont indiqué que les dépôts ne sont pas dispersés; ils sont plus ou moins continus, partant du rivage et s'étendant loin dans le plateau continental peu profond - dans certains cas, jusqu'à 75 milles. Pour la plupart, ils commencent à environ 600 pieds au-dessous du fond de l'océan et fond à environ 1 200 pieds.
La cohérence des données des deux zones d'étude a permis aux chercheurs d'inférer avec un degré de confiance élevé que les sédiments d'eau douce couvrent en permanence non seulement le New Jersey et une grande partie du Massachusetts, mais également les côtes situées entre Rhode Island, le Connecticut et New York. Ils estiment que la région contient au moins 670 milles cubes d'eau douce. Si de futures recherches montrent que l'aquifère s'étend plus au nord et au sud, il rivaliserait avec le grand aquifère Ogallala, qui fournit des eaux souterraines vitales à huit États des grandes plaines, du Dakota du Sud au Texas.
L’eau a probablement pénétré sous les fonds marins de deux façons différentes, selon les chercheurs. Il y a quelque 15 000 à 20 000 ans, vers la fin du dernier âge glaciaire, une grande partie de l'eau du monde était emprisonnée dans des glaces profondes. en Amérique du Nord, il s'étendait sur le nord du New Jersey, Long Island et la côte de la Nouvelle-Angleterre. Les niveaux de la mer étaient beaucoup plus bas, exposant une grande partie de ce qui est maintenant le plateau continental sous-marin américain. Lorsque la glace a fondu, les sédiments ont formé d'immenses deltas de rivières au sommet du plateau, et de l'eau fraîche s'est retrouvée piégée dans des poches éparses. Plus tard, le niveau de la mer a augmenté. Jusqu'à présent, le piégeage de cette eau "fossile" était l'explication courante de toute eau douce trouvée sous l'océan.
Mais les chercheurs disent que les nouvelles découvertes indiquent que l'aquifère est également alimenté par les eaux de ruissellement souterraines modernes. Alors que l'eau des précipitations et des masses d'eau s'infiltre dans les sédiments du littoral, elle est probablement pompée vers le large par la pression montante et décroissante des marées, a déclaré Key. Il a comparé cela à une personne qui pressait de haut en bas une éponge pour aspirer de l'eau des côtés de l'éponge. En outre, l'aquifère est généralement le plus frais près du rivage et se salit de plus en plus loin, suggérant qu'il se mélange progressivement à l'eau de mer au fil du temps. L'eau douce terrestre contient généralement moins de 1 partie par millier de sel, ce qui correspond à la valeur trouvée sous la mer près de la terre. Au moment où l'aquifère atteint ses limites extérieures, il atteint 15 parties pour mille. (L'eau de mer typique est de 35 parties pour mille.)
Si l'eau des parties extérieures de l'aquifère devait être retirée, elle devrait être dessalée pour la plupart des utilisations, mais le coût serait bien moindre que le traitement de l'eau de mer, a déclaré Key. "Nous n'avons probablement pas besoin de faire cela dans cette région, mais si nous pouvons montrer qu'il y a de grands aquifères dans d'autres régions, cela pourrait potentiellement représenter une ressource" dans des régions comme le sud de la Californie, l'Australie, le Moyen-Orient ou l'Afrique saharienne, a-t-il déclaré. Son groupe espère élargir ses enquêtes.
La probabilité de l'existence de bassins d'eau stagnante sous les mers & océans est de l'ordre de une sur 150 milliards de chance ! Car, il ne faut pas confondre l'eau qui s'infiltre continuellement au fond des mers & océans par des galeries et des poches d'eau stagnante qui ne pourraient s'évacuer malgré les milliards de tremblements de terre que notre planète subit.
C'est donc très certainement le volume galérique qui est pris en compte dans le volume d'eau attiré par le centre de notre planète et le volume d'eau chauffé/bouilli qui remonte à la surface.
Notons que c'est tous les jours aussi que les propos de scientifiques sont déformés par les journalistes pour faire croire en des âneries plus grosses qu'eux !
Les ordres étant «disproportionnés», des gendarmes auraient désobéi au commissaire de Nice lors de l’acte 19
16:45 24.06.2019
Les ordres du commissaire de Nice pour la manifestation interdite des Gilets jaunes du 23 mars étaient «disproportionnés», affirment des gendarmes dans un rapport que s’est procuré Mediapart. Ils ont confié avoir refusé de participer à la charge au cours de laquelle la militante pacifique Geneviève Legay a été blessée.
Mediapart a pris connaissance du rapport des gendarmes qui ont refusé d’obéir au commissaire de Nice, Rabah Souchi, responsable des opérations du 23 mars 2019 à Nice, ville où avait eu lieu une manifestation interdite des Gilets jaunes. Au cours d’une charge, Geneviève Legay, militante d’Attac de 73 ans, avait été gravement blessée.
Les ordres, envoyés à toute «la hiérarchie et jusqu’à la Direction générale de la gendarmerie», ont été «disproportionnés face à la menace (foule calme)», indique le rapport qui présente un compte rendu de ces instructions.
Un officier de police chargé du maintien de l’ordre a expliqué à Mediapart que lors d’une situation comme celle du 23 mars, «une vague de refoulement suffit», les forces de l’ordre n’ont pas recours aux armes, les matraques sont rangées, les boucliers restent en position «latérale».
Lorsqu’il a été ordonné d’avoir recours à la force pour évacuer la place Garibaldi, les manifestants n’étaient pas menaçants, ce qui a également été confirmé par le commissaire Souchi qui n’a fait qu’évoquer «la présence d’un groupe d’une cinquantaine de personnes en attente» et «discutant dans le calme».
Un capitaine à la tête d’un escadron a ainsi décidé de ne pas engager ses hommes. Contacté par Mediapart, l’ancien commandant du Centre national d’entraînement des forces de gendarmerie de Saint-Astier, le général Bertrand Cavallier, a qualifié ce geste de «preuve de courage intellectuel et d’esprit de responsabilité»:
«Cette décision a été fondée puisque, hélas, cet usage de la force s’est avéré disproportionné, puisque la charge a causé des blessures graves sur une manifestante qui n’était pas du tout agressive.»
Selon la conclusion du compte rendu, cet escadron de gendarmerie n’a pas eu recours aux LBD et n’a blessé aucun manifestant.
Geneviève Legay a été hospitalisée après l'acte 19 pour «hémorragie méningée frontale gauche, hématome occipital droit, hématome cérébelleux droit, fracture de l'os rocher droit, fracture de l'os pariétal droit, fracture médico-sphénoïdale». L’enquête préliminaire en lien avec le dossier a été confiée à Hélène P., compagne du commissaire Rabah Souchi, qui a elle-même pris part aux opérations du maintien de l’ordre le 23 mars. De plus, si, au départ, le procureur de Nice avait affirmé qu’aucun heurt ne s’était produit entre les policiers et Mme Legay, il a par la suite démenti ses propos. L’avocat de la militante a demandé le dépaysement du dossier, sa requête devra être examinée le 10 juillet par la Cour de cassation.
MEXIQUE - L'ARMÉE À LA FRONTIÈRE POUR STOPPER LES MIGRANTS
Suite à l'accord convenu avec Washington, l'armée mexicaine a déployé 15'000 militaires à la frontière pour empêcher l'immigration illégale. La migration clandestine n'est pas considérée comme un crime donc les personnes sont mises à disposition des autorités migratoires.
24.06.2019, 22h00
Le Mexique a déployé près de 15'000 policiers et militaires à sa frontière avec les Etats-Unis, a annoncé lundi le ministre de la Défense, Luis Cresencio Sandoval. Cette opération fait suite à l'accord conclu avec Washington pour freiner l'immigration illégale.
«Nous avons un déploiement total, entre la Garde nationale et les membres de l'armée, de près de 15'000 hommes dans le nord du pays», a déclaré le ministre lors d'une conférence de presse en compagnie du président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador.
Interrogé sur la possibilité pour l'armée et la Garde nationale -composée de militaires et de policiers fédéraux- non seulement d'intercepter des migrants pendant leur traversée du territoire mexicain mais aussi de les arrêter lorsqu'ils tentent de traverser la frontière avec les États-Unis, le ministre à répondu par l'affirmative.
«Délit administratif»
«Considérant que la migration (clandestine) n'est pas un crime, mais un délit administratif, nous les arrêtons et les remettons à la disposition des autorités» migratoires, a indiqué M. Sandoval.
Une photo prise par un journaliste de l'AFP pendant le week-end à la frontière avec les Etats-Unis a suscité une vague de critiques contre le gouvernement. Le document montre deux femmes, accompagnées d'une fillette, arrêtées par des membres de la Garde nationale au moment où elles s'apprêtent à franchir le Rio Bravo, qui sépare Ciudad Juarez, au Mexique, de la ville d'El Paso, aux Etats-Unis.
Les forces de l'ordre procèdent régulièrement à des arrestations de migrants clandestins sur le territoire mexicain. Il était jusque-là extrêmement rare que ces interpellations aient lieu aux abords de la frontière avec les Etats-Unis.
Frontière avec le Guatemala
Le ministre de la Défense mexicain a également précisé que 6500 hommes étaient déployés à la frontière sud avec le Guatemala. Cela doit permettre d'empêcher le passage de milliers de migrants d'Amérique centrale qui cherchent à rejoindre les Etats-Unis, fuyant la violence et la misère dans leur pays.
Fin mai, le président américain Donald Trump avait menacé d'imposer des tarifs douaniers sur tous les produits mexicains importés aux Etats-Unis si Mexico ne freinait pas cette vague de migrants. Le 7 juin, les deux pays sont parvenus à un accord.
Outre le déploiement d'hommes aux frontières du pays, Mexico s'est engagé à accélérer le retour dans leur pays des migrants, dans l'attente que soit traitée leur demande d'asile aux Etats-Unis. Un premier bilan doit être établi sous 45 jours. (ats/nxp)
Voitures électriques supérieures aux voitures à essence ? Les taux de propriété disent pas pour une décennie
par Tyler Durden Lun., 24/06/2019 - 14:01 Écrit par Mike Shedlock via MishTalk,
Un "Hatchet Job" présumé du NYT a suscité la réaction d'un nid de frelons chez les amateurs de Tesla et d'EV. Réexaminons.
- voir graphique sur site -
Hier, j'ai posté un casse-tête majeur lié aux voitures électriques: heures d'attente pour la recharge, puis une heure pour charger
Mon article contenait des extraits de l'article L.A. à Las Vegas et retour en voiture électrique du New York Times: 8 heures de conduite; 5 plus branchés.
Une réaction furieuse s'ensuivit.
1: Les véhicules électriques sont supérieurs de 3 000 façons
2: Comparaison Tesla - Lecteur Robjay
"Quelle histoire biaisée! Je possède une batterie longue portée Tesla modèle 3 d'un an (325 km). En un an, je n'ai attendu qu'une seule fois pendant 10 minutes pour obtenir un chargeur Tesla. Chaque station de suralimentation Tesla dispose d'au moins 8 chargeurs. I continuera de payer 10,02 $, au taux le plus élevé, pour recharger complètement ma voiture à batterie de 325 km. Je conduirai en sachant que j’aide l’environnement. Je profiterai d’une voiture spectaculaire et performante avec des caractéristiques uniques, y compris la sécurité, aussi vous adhérez à la conduite appropriée. "
3: Hit Piece - Lecteur Davetech
"Ouais ... donc l'article original du NYT Reporter est ce que nous appellerions généralement un" Hit Piece "... conçu pour tenter de montrer des choses (VE) sous un mauvais jour. La plupart des gens conduisent (trajet moyen) moins 35 miles par jour (aller-retour). Un meilleur titre pourrait être: "Les propriétaires de voitures fonctionnant à l'essence ne peuvent pas recharger à la maison ... ou au travail ... ou à un chargeur de destination ... Les propriétaires de voitures à essence sont donc obligés de passer des heures tirant dans les stations d'essence malodorantes et pompant de l'essence, au lieu de quelques secondes chaque nuit à la maison. "
4: Les acheteurs muets - Lecteur Martin Archer
"Toute personne si bête qu’elle conduira un Bolt au lieu d’une Tesla devrait être obligée d’attendre, même si un chargeur est disponible."
5: Test of Time - Lecteur RWG
"En tant que propriétaire du modèle 3, nous avons effectué un trajet de 13 000 km de l'Oregon au Maryland, et vice-versa. Aucun problème de chargement et avec la portée de 310 km, il est agréable de faire une pause toutes les 3 à 5 heures. Nous avons parcouru un moment de détente en cross-country. Vos opinions sont claires et nettes, mais ne résistent pas à l’épreuve du temps. "
6: Arrête de haïr le futur - Reader Carlos
"Je vous recommande de cesser de détester un avenir proche même si vous ne l'aimez pas."
L'avenir est à venir
Ce qui est curieux à propos de tout cela, c’est que j’ai répété à maintes reprises que les voitures électriques étaient l’avenir du futur. J'aurais dû répéter le message.
Je ne déteste pas du tout l'avenir. Mais je ne peux pas ignorer le présent.
Taux de propriété Aux États-Unis, il y a 3,4 voitures électriques pour 1 000 habitants.
Les ventes cumulées mondiales de véhicules légers rechargeables légaux sur les routes ont atteint 2 millions d'unités à la fin de 2016 [1], 3 millions en novembre 2017 et le chiffre d'affaires de 5 millions atteint en décembre 2018. Ventes de voitures particulières rechargeables réalisées une part de marché de 2,1% des ventes de voitures neuves en 2018, en hausse par rapport à 1,3% en 2017 et à 0,86% en 2016. Le marché du PEV se déplace vers les véhicules à batterie entièrement électrique. Le ratio global entre les VEB et les VEHP est passé de 56:44 en 2012 à 60:40 en 2015 et est passé à 69:31 en 2018.
En décembre 2018, la Chine disposait du plus grand stock de plug-ins légaux autoroutiers avec plus de 2 millions de voitures particulières construites dans le pays. La Chine domine également le déploiement du bus électrique plug-in, avec un stock atteignant 343 500 unités en 2016 sur un stock mondial d'environ 345 000 véhicules. En septembre 2018, les États-Unis comptaient un million de voitures plug-in, la Californie étant le plus grand marché régional américain de plug-ins, avec 537 208 voitures plug-in vendues jusqu'en décembre 2018. Plus d'un million de plug-ins de passagers légers enregistré en Europe jusqu'en juin 2018, la Norvège étant le pays leader avec plus de 296 000 unités enregistrées à la fin de 2018. La Norvège a la plus forte pénétration du marché par habitant au monde et la plus grande part de marché du segment des plug-ins au monde. 49,1% des ventes de voitures neuves en 2018. En 2018, 10% de toutes les voitures particulières circulant sur les routes norvégiennes étaient des plug-ins.
Test mathématique 3,4 véhicules pour 1 000 habitants, soit un taux de possession de 0,34%. Et plus de la moitié de ce chiffre provient de la Californie, ce qui les incite davantage à les rendre abordables.
Pour être juste, le calcul est biaisé parce qu'il inclut un nombre considérable de personnes qui ne sont pas en âge de conduire, de personnes handicapées, etc.
Nous pouvons améliorer cela en examinant les groupes de population.
Population par rapport à la population en âge de travailler
- voir graphique sur site -
Il y a environ 329 millions de personnes aux États-Unis. De ce nombre, il y a environ 207 millions de personnes âgées de 15 à 64 ans.
207 millions est donc un meilleur point de départ que 329 millions en tant qu’âge potentiel de la voiture.
207/328, c'est 63%, mais beaucoup de personnes de plus de 64 ans conduisent toujours. 63% est sur le côté bas.
Population par catégorie d'âge
- voir graphique sur site -
70% de la population a entre 20 et 79 ans. Il y a des personnes âgées de 18 à 19 ans qui possèdent une voiture et un certain nombre de personnes âgées de plus de 79 ans qui conduisent encore.
70% des 329 millions, 230 millions
Après 64 ans, les gens pourraient s’en tirer plus facilement avec une voiture que deux, mais c’est au moins un groupe d’âge très raisonnable.
70% est probablement sur le haut.
Une méthode encore plus efficace pour calculer l’utilisation de la propriété et du pourcentage d’EV consiste à examiner le nombre de conducteurs sous licence.
"En 2009, 87% de la population en âge de conduire (16 ans et plus) avait un permis. On compte 685 conducteurs pour 1 000 habitants. En 1960, quelques années seulement après que tous les États eurent exigé un permis de conduire, il n'y en avait que 487. pour 1000 habitants. "
Tous ces chiffres sont similaires, mais utilisons plutôt 685 conducteurs pour 1 000 habitants comme meilleure représentation de ce qui se passe. Le nombre se situe entre 63% et 70%, de sorte que tous les chiffres sont liés de manière réaliste.
Pourcentage de véhicules électriques par conducteur licencié Aux États-Unis, il y a 3,4 voitures électriques rechargeables pour 685 conducteurs licenciés.
(3,4 / 685) * 100 = 0,49%
À peine 0,49% des conducteurs immatriculés possèdent un véhicule rechargeable, ce qui inclut les véhicules hybrides!
En Californie, grâce aux incitations supplémentaires, il y a 13,2 voitures électriques rechargeables pour 685 conducteurs licenciés. Ce pourcentage est un "énorme" 1,9%.
Réalité de base Si les véhicules électriques étaient si bien supérieurs, leur utilisation dépasserait certainement 0,49%.
Qu'on le veuille ou non, le public ne croit pas que les véhicules électriques soient supérieurs, compte tenu du prix. Il n'y a pas d'autre conclusion possible.
Nous pouvons débattre de la commande, mais le haut de la liste doit être le coût initial par rapport aux véhicules à essence, le manque de stations de recharge, les longs trajets, etc.
Maintenant comparons ce que j'ai dit.
Quand les véhicules électriques ont-ils un sens ? Actuellement, nulle part, du point de vue des coûts. Les gens achètent des véhicules électriques ou hybrides sur la croyance douteuse qu'ils agissent pour l'environnement.
Pour ceux qui conduisent très rarement et pour ceux pour qui la marche, les transports en commun ou Uber est une option viable, aucune voiture, quelle qu'elle soit, n'a de sens économique. Cependant, pour ceux qui exigent la commodité d'avoir une voiture, les points mentionnés ci-dessous s'appliquent.
Si et quand le coût d'un véhicule électrique ne dépasse pas celui d'un véhicule à essence (essence, assurance, durée de vie du véhicule, coûts de maintenance), les véhicules électriques deviennent pratiques pour ceux qui conduisent rarement, voire jamais, à plus de 150 milles avant un arrêt prolongé connu qui arrive aussi d'avoir un chargeur. Pour la plupart, la station de charge doit être à la maison ou au travail.
Tant que les batteries ne se rechargent pas aussi vite ou presque aussi vite qu’un véhicule à essence ou que des stations de remplacement de batterie soient disponibles, les véhicules électriques n’auront aucun sens pour un grand pourcentage de conducteurs.
1-Revisited: "Nulle part, du point de vue des coûts," est très précis. À un taux de 0,49%, le public accepte. Même avec les incitations de la Californie, le taux n'atteint que 1,9%. Le reste du pays a un taux d'acceptation risible de 0,25%.
En 2018, le taux d'insertion pour les ventes de voitures neuves n'était que de 2,1%, principalement en Californie.
2-Revisited: "Pour ceux qui conduisent rarement, acheter une voiture de toute sorte n'a pas de sens économique." Ma déclaration était exacte
3-Revisited: Si et quand le coût d’un VE n’est pas supérieur à celui d’un véhicule à essence (prise en compte de l’essence, assurance, durée de vie de la voiture, frais d’entretien), les VE deviennent pratiques pour ceux qui conduisent rarement, voire jamais 150 milles ou plus avant un arrêt long connu qui arrive aussi d'avoir un chargeur. Pour la plupart, la station de charge doit être à la maison ou au travail.
Mes déclarations originales sont exactes. Ceux qui exigent le confort d'une voiture, en particulier ceux qui font de fréquents trajets courts, les véhicules électriques sont une option. Une Tesla pour les voyages de courte distance n'a pas de sens.
Les lecteurs pourraient souligner que rouler sur la distance indiquée par le NYT est une erreur, mais le point a été manqué: il ne faut pas conduire sur de longues distances à moins d'être prêt à subir les conséquences subies par l'auteur du NYT.
Une Chevrolet Bolt 2019 bénéficie d'une autonomie "maximale de 238 milles en charge complète". C'est certainement pathétique et les propriétaires de Tesla ont raison de rire. Je n'achèterais pas de Bolt, mais certaines personnes le font. S'ils le font, ils ne devraient pas essayer de parcourir de longues distances.
4-Revisited: "Tant que les batteries ne se rechargent pas aussi vite ou presque aussi vite qu'un véhicule à essence ou qu'il existe des stations d'échange de batterie facilement disponibles, les véhicules électriques n'auront aucun sens pour un grand pourcentage de conducteurs."
C’est exactement ce que j’avais déclaré à l’origine, mais j’ai mis l’accent sur «un pourcentage élevé». La déclaration est tout à fait exacte.
J'aurais pu ajouter que je pense que cela se produira.
Dans le corps de l'article, j'ai déclaré: "Pour beaucoup, il nous reste dix ans avant que des stations de chargement ou d'échange ultra-rapides et facilement disponibles ne soient disponibles."
C'est certainement exact, surtout parce que j'ai dit "plusieurs", pas la plupart. Cependant, "la plupart" peut très bien être précis.
Prévisions de vente de véhicules électriques Veuillez tenir compte des prévisions de ventes de véhicules électriques et de l'infrastructure de charge requise jusqu'en 2030 par l'Institut d'innovation électronique de la Fondation Edison.
- voir graphique sur site -
Points clés EEI / IEI
Le stock de véhicules électriques (c.-à-d. Le nombre de véhicules électriques sur la route) devrait atteindre 18,7 millions de personnes en 2030, contre un peu plus d'un million à la fin de 2018. Cela représente environ 7% des 259 millions de véhicules (voitures et véhicules utilitaires). camions légers) devrait être sur les routes américaines en 2030.
Il a fallu 8 ans pour vendre 1 million de véhicules électriques. Nous prévoyons que le prochain million de véhicules électriques sera sur la route dans moins de trois ans - d’ici le début de 2021.
Les ventes annuelles de véhicules électriques dépasseront 3,5 millions de véhicules en 2030, représentant plus de 20% des ventes annuelles de véhicules en 2030. Comparées à nos prévisions pour 2017, les ventes de véhicules électriques devraient s'élever à 1,4 million en 2025 contre 1,2 million.
Environ 9,6 millions de ports de charge seront nécessaires pour prendre en charge 18,7 millions de véhicules électriques en 2030. Cela représente un investissement important dans l'infrastructure de chargement des véhicules électriques.
Mish vs EEI / IEI Selon les prévisions EEI / IEI, 7% des 259 millions d’attentions sur les routes américaines en 2030 seront électriques.
Supposons que les prévisions soient décalées d'un facteur 7. Si c'est le cas, le pourcentage devient 49%.
Mes propres prévisions sont de 50%, je ne suis donc pas un ours VE accusé. En fait, je suis peut-être un optimiste fou.
Ce qui s’est passé est qu’un grand nombre de propriétaires de Tesla et d’EV défendent leurs achats. Nombre de ces propriétaires sont des êtres humains autoproclamés, supérieurs sur le plan environnemental, qui veulent sauver le monde des maux causés par des voitures moins chères mais polluantes.
Ces défenseurs de l'environnement ignorent que le charbon brûle pour produire de l'électricité (environ 30%), l'extraction du lithium, les coûts d'infrastructure et le coût de l'électricité si et quand nous en arrivons à 50%.
Coût d'environnement en spirale du lithium Commentaires de Wired sur le coût en spirale de la dépendance au lithium dans l'environnement
La demande de lithium augmente de manière exponentielle et son prix a doublé entre 2016 et 2018. Selon le consultant Cairn Energy Research Research, l'industrie du lithium ionique devrait passer de 100 gigawattheures (GWh) de production annuelle en 2017 à près de 800 GWh en 2027.
«L'un des plus gros problèmes environnementaux causés par notre appétit sans fin pour les appareils les plus récents et les plus intelligents est la crise croissante des minéraux, en particulier ceux nécessaires à la fabrication de nos batteries», déclare Christina Valimaki, analyste chez Elsevier.
En Amérique du Sud, le plus gros problème est l’eau.
Comme ce fut le cas au Tibet, il est également possible que des produits chimiques toxiques fuient des piscines d’évaporation dans les réserves d’eau. Ceux-ci comprennent les produits chimiques, notamment l'acide chlorhydrique, qui sont utilisés dans la transformation du lithium en une forme pouvant être vendue, ainsi que les déchets qui sont filtrés de la saumure à chaque étape. En Australie et en Amérique du Nord, le lithium est extrait de la roche par des méthodes plus traditionnelles, mais nécessite toujours l'utilisation de produits chimiques pour pouvoir être extrait sous une forme utile. Des recherches menées au Nevada ont révélé des impacts sur le poisson jusqu'à 150 milles en aval d'une opération de traitement au lithium.
Dans le Salar de Hombre Muerto d’Argentine, les habitants affirment que les activités de traitement au lithium ont contaminé des cours d’eau utilisés par les humains et le bétail ainsi que pour l’irrigation des cultures. Au Chili, des affrontements ont eu lieu entre des sociétés minières et des communautés locales. Selon eux, les mines de lithium laissaient le paysage envahi par des montagnes de sel abandonné et des canaux remplis d’eau contaminée d’une couleur bleue.
«Comme tout processus minier, il est envahissant, il détruit la nappe phréatique et pollue la terre et les puits locaux», a déclaré Guillermo Gonzalez, expert en batteries au lithium de l'Université du Chili, dans une interview accordée en 2009. "Ce n'est pas une solution verte - ce n'est pas une solution du tout."
Voilà pour l'idée de zéro pollution.
À propos de Tesla Pour couronner le tout, les propriétaires de Tesla font mieux que ce qu'ils prétendent malgré des batteries qui explosent spontanément, des systèmes de navigation automatisés risibles, des accidents de peinture, des travaux de peinture médiocres, des pare-chocs qui tombent et une myriade d'autres problèmes signalés que personne ne voit sur toute autre voiture existante.
Acceptation publique Les réclamations concernant des travaux de hache sont faites par des personnes qui ne savent pas lire, ne comprennent pas les arguments avancés et ignorent les coûts d’achat d’une voiture. Le groupe comprend également ceux qui croient à tort que les véhicules électriques ne polluent pas et que Teslas n’éclate pas.
L'acceptation du public est l'endroit où le caoutchouc rencontre la route. Aux États-Unis, cela représente 2% des ventes de voitures neuves, principalement en Californie.
Si vous le construisez, ils viendront Un ami qui habite à Washington vient de me dire ceci: "Même ici, sur la côte Est, ville sans escale de DC à NYC, il est difficile de" remplir "une voiture électrique. Tant que l'infrastructure électrique n'est pas construite, aucune chance."
Bingo
Il est beaucoup plus probable que cela se produise que EEI / IEI car je m'attends à un déploiement plus rapide. Quoi qu'il en soit, deux choses doivent se passer.
Charge vraiment pratique que le public accepte.
Les coûts de propriété initiaux sont proches des voitures à essence, également acceptées par le public.
Les États doivent construire l'infrastructure. Imaginez 30% de partage EV sur l’infrastructure existante. Des heures d'attente, sauf à la maison, pourraient bien être la norme.
Le fait que les immeubles en copropriété et les appartements n’ont probablement pas de station de recharge.
"Duh, charge à la maison". Oui en effet.
Vous allez suspendre le cordon d'alimentation par la fenêtre d'un immeuble de 13 étages ?
Des images choquantes avant et après révèlent une terrible vérité sur les échecs généralisés des cultures américaines en 2019
par Tyler Durden Lun., 24/06/2019 - 13:14 Publié par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Des pluies torrentielles martèlent le cœur de l'Amérique depuis des mois et, à ce stade, de vastes étendues de terres agricoles situées au centre du pays ne sont que boue. À la suite de la pluie sans fin et des inondations sans précédent dont nous avons été témoins, des millions d'acres de terres agricoles ne seront plus rien plantés en 2019, ce qui constitue une crise nationale majeure. Mais la plupart des agriculteurs ont pu planter des semences dans des conditions déplorables et espèrent maintenant désespérément que quelque chose se développera réellement. Malheureusement, ferme après ferme, ce qui sort du sol a l'air absolument épouvantable. Même si les conditions météorologiques sont idéales pour le reste de l'été, il est impossible que beaucoup de ces champs soient prêts avant que le premier gel ne se produise. Comme vous le verrez ci-dessous, la vérité est que nous sommes potentiellement confrontés aux échecs de récolte les plus répandus de toute l’histoire des États-Unis.
Il s’agit de l’actualité la plus importante aux États-Unis jusqu’à présent cette année, et les principaux médias commencent enfin à comprendre la gravité de la situation à laquelle nous sommes confrontés. Considérez simplement la citation suivante d'un article récent de Quartz…
Les histoires à travers le Midwest sont déchirantes. En parcourant le hashtag # NoPlant19, on trouve des dizaines de messages sur des agriculteurs regardant des champs détrempés ou du matériel agricole en train de sombrer dans la boue. Il est probable que beaucoup verront leurs récoltes dévastées cette année et les prix mondiaux des céréales pourraient grimper.
David Blanchflower sur les échecs de l'économie du travail Mais bien sûr, une image vaut mille mots, alors permettez-moi de partager une photo avant et après qu'un couple de paysans de l'Indiana, Kyle et Tori Kline, a récemment partagé sur Facebook ...
- voir photos sur site -
Selon Tori, le maïs était presque au-dessus de la tête de Kyle à la même époque l’année dernière, mais il est à peine sorti du sol…
«Ces deux images en disent long sur la crise à laquelle les agriculteurs américains sont confrontés ce printemps. Kyle mesure environ 6 pi 3 po et le maïs était presque au-dessus de sa tête. La plupart du maïs dans notre région a de la chance d'être hors du sol, sans parler du genou au sol. C’est un élément de réflexion pour ceux qui pensent que les agriculteurs sont «riches», «gourmands» ou autres. C’est la raison pour laquelle les prix des denrées alimentaires et de l’essence vont augmenter au cours de l’été. Je prie pour ceux qui n’ont pas ou n’ont toujours pas acquis leurs récoltes - pour leur sécurité et leur santé mentale. Cette année sera mémorable. "
Pensez-vous que le maïs sera prêt lorsque la récolte aura commencé ?
Et bien sûr, les Klines sont loin d'être les seuls. Partout au pays, les agriculteurs sont confrontés à des rendements considérablement réduits ou à une récolte nulle.
Permettez-moi de partager quatre autres photos extrêmement inquiétantes avant et après que TD Hale a récemment publiées sur Facebook…
Maintenant que vous avez vu ces images, commencez-vous à comprendre pourquoi un si grand nombre d’entre nous ont prévenu que la production agricole aux États-Unis allait être bien inférieure cette année?
Le maïs n'est pas censé pousser dans la boue, mais en raison des conditions climatiques horribles, de nombreux agriculteurs du centre du pays n'avaient absolument aucun choix en la matière. Par exemple, le cultivateur de maïs Scott Labig a avoué qu'il avait «honte» de ce que les conditions météorologiques cauchemardesques lui imposaient de faire…
Labig faisait quelque chose qu'il n'avait jamais fait dans sa carrière. Quelque chose que son père et son grand-père n'ont jamais fait non plus à leur époque, travaillant sur ce même territoire depuis le siècle dernier.
«J'ai honte de la façon dont je plante du maïs aujourd'hui», a confié Labig à Campbell au téléphone. "C'est terrible."
Il mettait des graines dans la boue. Comment les choses pourraient-elles réellement pousser dans ce pétrin?
Si vous ne vivez pas au centre du pays, vous aurez peut-être de la difficulté à saisir la véritable portée de ce à quoi nous sommes potentiellement confrontés.
Si les agriculteurs ne cultivent pas notre nourriture, nous ne mangeons pas. Ce n'est pas un exercice, et les mauvaises récoltes généralisées vont avoir des conséquences dramatiques pour nous tous dans les mois à venir. Les prix des aliments vont beaucoup plus haut, et je vous exhorte à vous préparer pendant que vous le pouvez encore.
Selon John Newton, l'économiste en chef de la Fédération des bureaux agricoles américains (American Farm Bureau Federation), nous n'avons jamais eu à faire face à «rien de ce genre depuis que je travaille dans l'agriculture». Nous sommes déjà vraiment dans un territoire sans précédent et il ne faudra pas beaucoup de temps pour faire de 2019 une catastrophe nationale complète et totale.
Si le temps est absolument parfait pour les prochains mois, 2019 sera toujours une année horrible pour les agriculteurs du centre du pays.
Mais si la pluie ne s’arrête pas, si la chaleur est trop forte ou si un gel très dur se produit très tôt, nous pourrions être confrontés à un cauchemar national dépassant ce que la plupart d’entre nous osaient même imaginer.
Et devine quoi ? Au cours du week-end, le centre du pays a été frappé par des tempêtes encore plus violentes…
Des centaines de personnes étaient privées d'électricité dans le Missouri et à Kansason dimanche, alors que des tempêtes se sont abattues sur la région, ce qui a poussé les responsables à avertir les automobilistes de rester en dehors des routes car des avertissements d'inondation soudaine étaient en vigueur.
Jusqu'à 8h45, heure centrale, un avertissement d'inondation soudaine était en vigueur dans les villes de Trenton, Bethany et Gallatin, dans le Missouri, selon le National Weather Service, alors que ces avertissements étaient en vigueur jusqu'à 8h30, heure centrale, à Saint Joseph, Atchison et Savane.
Juste au moment où vous pensez que cette crise ne peut pas s'aggraver, c'est le cas.
S'il vous plaît partagez cet article avec votre famille, vos amis et ceux que vous aimez. Les gens doivent comprendre ce qui se passe là-bas.
Nous sommes littéralement en train de regarder une crise nationale massive se dérouler sous nos yeux, et je ferai de mon mieux pour continuer à vous tenir au courant.
Couverts d’un filet, des défenseurs des poissons s'érigent à Paris contre la pêche (vidéo)
23:07 24.06.2019
Afin de rappeler le risque de disparition des poissons, un happening pour l’abolition de la pêche a eu lieu à Paris le 24 juin. Une manifestante a expliqué à Sputnik l’importance de la fin de la pêche et du refus de consommer du poisson.
Un happening visant à protéger les poissons et les animaux aquatiques a eu lieu ce lundi 24 juin à Paris, réalisé par l’association Vegan Impact. Dans un commentaire accordé à Sputnik, une militante du mouvement a évoqué le risque élevé d’extinction des poissons dans l’océan vers 2050, ainsi que le chiffre des animaux marins tués par an, s’élevant à 1.000 milliards de spécimens.
Des participants à l’événement, peints de bleu et de vert, qui se sont allongés sur le trottoir, couverts d’un filet de pêche, représentaient des créatures marines en train de mourir d’asphyxie sous les rayons du Soleil. D’autres manifestants tenaient des images présentant des faits sur la pêche mondiale.
Cette manifestation appelle à arrêter de manger du poisson pour préserver la nature, en prenant en considération que 95% des créatures marines sont concernées par la pêche, a expliqué la militante interviewée.
Cette forme artistique de manifestation appelant à l’abolition de la pêche est née en 2017 à l’initiative de l’association suisse Pour l’égalité animale (PEA). La première manifestation a eu lieu le 25 mars 2017 dans le cadre de la Journée mondiale pour la fin de la pêche.
On dit 'filet de sardines' et pas 'sardines enfilées' ! Hahahaha !
Une truite pond plus de 500 000 œufs d'où sortiront env. 250 000 femelles qui pondront à leur tour 500 000 œufs chacune d'où sortiront... Suffit de protéger les œufs contre les prédateurs. Il y a des parcs à poissons en mer où il y a DES milliards de poissons. Les poissons NE PEUVENT PAS MANQUER !
Le taux moyen d’imposition des sociétés à statut fiscal spécial est très bas. Mais cela va changer avec la version cantonale de la réforme fédérale de la fiscalité des entreprises.
#fiscalité #fiscalité des entreprises #fribourg
Les entreprises à statut fiscal spécial sont majoritairement sises dans l'agglomération de Fribourg.
Le 30 juin prochain, les Fribourgeois se prononceront sur la version cantonale de RFFA, le paquet liant la réforme fédérale de la fiscalité des entreprises au renforcement de l’AVS qui a été adopté en votation populaire en mai dernier. Mais ils ignorent probablement que leur canton est le champion suisse des cadeaux fiscaux accordés aux personnes morales.
>> À lire aussi:Fiscalité des entreprises: Fribourg confirme sa réforme
Dans une brève étude, le Credit Suisse estime que le taux effectif de l’impôt sur le bénéfice des entreprises à statut fiscal spécial s’est élevé en moyenne à moins de 5% entre 2012 et 2014. «Cette situation s’explique les exonérations fiscales que nous avions accordées sous l’ère de l’arrêté Bonny en faveur des zones économiques en redéploiement», explique à Bilan Georges Godel, conseiller d’Etat en charge des finances.
De 8% à 13,72% dès 2020 ?
Dans une interview publiée récemment dans le tri-hebdomadaire La Gruyère, il a affirmé le taux moyen d’imposition de ce type de société atteint désormais 8%. Avec la réforme présentée au peuple à la suite d’un référendum lancé par l’association altermondialiste Attac-Fribourg et soutenu par la base du parti socialiste, celui-ci grimpera à 13,72% dès 2020. Ce taux est légèrement inférieur à celui voté dans les cantons de Vaud (13,79%) et de Genève (13,99%). Et les niches fiscales prévues par le droit fédéral ne seront introduites que de manière modérée avec des réductions d’impôts limitées à 20% du bénéfice.
«Comme je représente les intérêts de plusieurs multinationales étrangères installées dans le canton de Fribourg, j’avais exprimé les préoccupations de mes clientes au Conseil d’Etat et les sérieux risques qui découleraient d’une fiscalité trop forte», affirme Daniel Schafer, associé et avocat fiscaliste chez Lenz & Staehelin. «Le taux retenu de 13,72% constitue aujourd’hui un très bon compromis, analyse-t-il, même si on aurait pu espérer un taux se situant entre 12% et 13%, notamment de manière à renforcer encore plus l’attractivité du canton de Fribourg.»
>> À lire aussi:Le scénario ?scal qui hante les Genevois Cette réforme est importante pour le canton de Fribourg en raison du rôle important joué les sociétés à statut fiscal spécial, lequel est plus conséquent qu’en moyenne suisse. Au nombre d’environ 1800, elles emploient quelque 3000 collaborateurs. Selon les calculs du Conseil d’Etat, leurs gains représentent 65% des bénéfices générés par l’ensemble des personnes morales et leur part dans les recettes tirées de l’impôt sur le bénéfice atteint 20%.
«Sous réserve du vote populaire cantonal du 30 juin prochain, le danger de voir des entreprises étrangères quitter Fribourg pour un autre canton voire pour un pays étranger est relativement faible. Cela dit, la plupart de ces sociétés, dont certaines paient des impôts selon le régime ordinaire, attendent avec impatience le sort du vote avant de se prononcer définitivement», explique Daniel Schafer.
Cette réforme prévoit aussi des mesures sociales pour un montant de 30 millions de francs, dont 22 millions de francs sont financés par les entreprises: augmentation des allocations familiales à 240 francs par enfant, soutien accru à l’accueil extra-familial et à la formation professionnelle, hausse des aides pour le paiement des primes-maladie.
Pourquoi devrait-on interdire aux chefs d'entreprise d'avoir assez d'argent pour construire d'autres entreprises qui créent xxx emplois ? De quel droit interdire à quelqu'un d'être riche ? Tout le monde cherche à être riche ! Tout le monde !
Des agriculteurs indiens sèment des OGM dans le cadre d'une manifestation de « satyagraha », de désobéissance civile
25 Juin 2019 par Seppi Rédaction de l'Alliance pour la Science*
Quelque 1.500 agriculteurs se sont réunis aujourd'hui [10 juin 2019] en Inde pour semer illégalement des plantes génétiquement modifiées (GM) interdites par le gouvernement qui, selon eux, pourraient améliorer leurs moyens de subsistance et aider à réduire l'utilisation de pesticides.
Les agriculteurs se sont massés dans un champ à Akot, un village du Maharashtra, où ils ont semé symboliquement du brinjal (aubergine) Bt résistant à des parasites et du cotonnier résistant à un herbicide en violation de la réglementation gouvernementale, selon l'organisation de producteurs Shetkari Sanghatana, une organisation d'agriculteurs à l'origine de la manifestation de protestation populaire.
Lalit Patil Bahale, l'agriculteur qui a mis son champ a disposition pour la manifestation, a qualifié l'action de « satyagraha » – un terme forgé par le héros de l'indépendance indienne, le Mahatma Gandhi, pour ses campagnes de désobéissance civile non violente contre les lois injustes de l'époque coloniale.
L'action intervient après la découverte que des agriculteurs de l'État d'Haryana avaient semé du brinjal Bt, malgré un moratoire gouvernemental imposé en 2010 par le ministre de l'environnement de l'époque, Jairam Ramesh, à la demande de groupes anti-OGM.
Les agriculteurs qui cultivaient du brinjal Bt illégalement à Haryana ont vu leurs cultures détruites par les autorités. Shetkari Sanghatana a répondu qu’il soutenait « le droit des agriculteurs d'utiliser les semences de leur choix ».
Les agriculteurs réunis à Akot ont exigé que le gouvernement indemnise les agriculteurs de Haryana dont les plantations ont été détruites, et ont juré que « par solidarité, les participants vont collecter des fonds pour aider tous ceux qui pourraient être touchés de la même manière ».
Les agriculteurs scandent : « Liberté d'accès à la technologie – Nous voulons, nous voulons la liberté d'accès à la technologie – nous allons la prendre, nous allons la prendre. »
Un peu plus tôt, des militants anti-OGM avaient demandé à la police d'assister au rassemblement et d'arrêter les agriculteurs qui manifestaient. Rajesh Krishnan, de la Coalition pour une Inde sans OGM, a déclaré que « toute action de ce type constituerait une violation criminelle de la loi sur la biosécurité des OGM et serait confrontée à une action de la police, à des amendes ou à des arrestations, selon qu'il convient ».
Selon certaines informations, la police serait arrivée mais serait repartie sans procéder à des arrestations, et les semences GM auraient été mises en terre sans entrave sous le regard des agriculteurs.
De nombreux agriculteurs indiens citent en exemple le Bangladesh voisin, où des dizaines de milliers de petits exploitants ont adopté le brinjal Bt, ce qui leur permet de réduire considérablement l'utilisation de pesticides.
« Une douzaine de plantes GM, telles que le maïs, le soja et le cotonnier, sont utilisées dans le monde entier, et des millions de personnes et d'animaux les consomment depuis 20 ans », a déclaré Anil Ghanwat, président de Shetkari Sanghatana. « Il n'y a aucune preuve d'impact négatif sur la santé des êtres humains ou des animaux. »
« Contrairement à ce qu'on prétend, les OGM ne polluent pas l’environnement, mais réduisent en réalité l’utilisation de pesticides qui nuisent à de nombreux insectes utiles. Les OGM améliorent réellement la biodiversité et, en réduisant les pertes de récoltes, réduisent la nécessité de cultiver davantage de terres. »
Le groupe a également indiqué qu'une décision avait été prise de déployer des campagnes similaires de désobéissance civile à travers le pays dans les jours et les semaines à venir.
Sachant que TOUT ce qui nous entoure est 100 % OGM et que les abeilles, le vent, la pluie n'ont pas attendu l'arrivée de l'homme sur Terre avec ses laboratoires pour transformer la nature, les indiens (qui ont le droit de manger comme tout le monde) s'en remettent à l'intelligence des laboratoires qui - contrairement à la pluie, au vent ou aux abeilles - ne fabriquent pas n'importe quoi avec n'importe quoi et n'importe où - réfléchissent, étudient, analysent, testent tout avant d'annoncer une nouveauté.
Nous voulons des coquelicots : un ad hominem boomerang !
25 Juin 2019 par Seppi
C'est trop beau pour le laisser à des fils Twitter.
L'Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (ANSES) vient d'engager Mme Sophie Le Quellec au poste de directrice de la communication et des relations institutionnelles.
Dans son communiqué de presse, l'ANSES décrit brièvement le parcours de sa nouvelle directrice. On y trouve notamment :
« […] Après une première expérience dans le conseil, en tant que directrice d’études auprès d’entreprises du secteur agricole, puis après avoir suivi un cursus de formation en communication institutionnelle au Celsa, elle rejoint en 2002 l’agence de communication et de relations publiques i&e.
Chez i&e puis Burson-Marsteller i&e, où elle évolue jusqu’au poste de directeur conseil, elle se spécialise dans le domaine de la santé et en particulier dans les sujets de santé publique, de santé environnementale ou encore d’innovation médicale. Elle conseille et accompagne notamment l’Afsset, l’Agence de la biomédecine et le ministère en charge de l’écologie sur des orientations de communication institutionnelle, des campagnes de santé publique (don d’organes, don de gamètes) et des actions de concertation (Etats généraux de la bioéthique 2009, Assises nationales des risques naturels 2013, Rencontres nationales santé environnement 2013). »
Avez-vous bien lu : « ...agence de communication et de relations publiques » ? Il y a un gros mot pour désigner ce genre d'entreprise ! À Bruxelles, Burson Cohn & Wolfe Sprl – anciennement Burson-Marsteller Sprl – est une des trois premières entreprises de « lobbying » !
Il n'en fallut pas plus pour l'entreprise de lobbying Nous voulons des coquelicots – incorporée sous forme d'association loi 1901 à la suite, prétendument, d'une initiative issue d'une génération spontanée, mais au site Internet enregistré, comme c'est bizarre, au nom de Générations Futures, une autre entreprise de lobbying incorporée... (bis).
Notre fil se déroule à partir d'un gazouillis :
« Recruter pour sa com' une ex-lobbyiste issue d'un cabinet impliqué dans de sombres affaires industrielles, l'@Anses_fr l'a fait! Nous vous invitons à prendre votre + belle plume pour féliciter l'agence, @RogerGenet et @sophielequellec. »
- voir tableau sur site -
Le fil nous mène à « Une lobbyiste à l’Anses » sur le site à l'enseigne de Nous voulons des coquelicots, mais propriété de Générations Futures. En voici un morceau de lâcheté :
« […] Or elle a travaillé pendant quatorze ans, de 2002 à 2016, pour une agence de com et de lobbying appelée i&e, intégrée depuis 2012 dans la transnationale du lobbying Burson-Marsteller.
Burson-Marsteller a défendu les intérêts du Nigeria dans sa guerre atroce contre le Biafra entre 1967 et 1970. Les intérêts de General Motors, attaqué dans les années 70 par l’écologiste Ralph Nader. Les intérêts de l’Argentine fasciste après le coup d’Etat militaire de 1976. […]
- voir tableau sur site -
La liste est longue... Torquemada se livre sans retenue au sophisme du déshonneur par association... Insistons : l'opprobre déversé à grands seaux sur Burson-Marsteller doit nécessairement éclabousser Mme Sophie Le Quellec !
« Les intérêts du régime indonésien après le grand massacre commis par ses militaires sur des manifestants désarmés le 12 novembre 1991, à Dili (Timor-Oriental). »
Wikipedia, lui-même peu amène avec toutes ces choses que l'altermonde adore haïr, écrit pourtant :
« Après le massacre, en 1991 à Santa Cruz, de manifestants du Timor oriental par les forces d'occupation indonésiennes, le gouvernement indonésien a sollicité les services de Burson-Marsteller "pour aider le pays à améliorer le respect des droits de l’homme dans le pays et l'image associée à son environnement", selon la revue Far Eastern Economic Review. »
Contribuer à l'amélioration du respect des Droits de l'Homme ne peut que vous faire condamner par la Sainte Inquisition anti-pesticides* (* de synthèse).
Mais revenons à cette opération de démolition publique. La porte-parole d'une autre association, Alerte aux Toxiques – dont le site comporte une page de recommandations de vins bio et biodynamiques du Sud-Ouest – s'est fendue d'une « belle » lettre de félicitations.
Extrait :
« Mais vu l'expérience acquise dans les entreprises de renommée où vous avez été employée ; qui ont marqué durablement les esprits grâce à leur participation à des conflits abominables, des coups d'état militaires qui ont permis l’avènement du fascisme ou encore des catastrophes sanitaires et qui ont respectivement tué des milliers de personnes, je dois avouer que j'ai retrouvé la sérénité. Je suis certaine qu'ajoutée à vos compétences et vos qualités, vous serez largement à la hauteur de votre mission pour discréditer la recherche indépendante et saboter toutes les réglementations qui pourraient protéger notre santé au détriment des profits des actionnaires des firmes de l'industrie chimique. »
Quelle escalade ! Voilà que les entreprises ont participé « à des conflits abominables, des coups d'état militaires qui ont permis l’avènement du fascisme [...] » Au prochain coup, les entreprises « de renommée » auront été les protagonistes exclusifs de ces conflits, coups d'État, etc.
Vous aurez relevé dans le communiqué de presse de l'ANSES que Mme Sophie Le Quellec – qui a donc travaillé pour des entreprises infréquentables selon un diktat activiste – a conseillé de très honorables entités de l'administration française, et même le ministère de l'écologie/environnement.
Mais il y a mieux.
La fiche de la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique (HATVP) est ici. Oui, Biocoop est (ou a été) un client de Burson-Marsteller i&e. Et l'objet des relations lobbyiste-client de lobbyiste (employons les gros mots...) a bien été « Participation de Biocoop aux ateliers des Etats généraux de l'alimentation ».
La très vertueuse Biocoop – soutien des Coquelicots (et de Générations Futures) – qui défend ses intérêts avec le concours de la très dévergondée Burson-Marsteller i&e, c'est quand même ballot, non ?
Et faisons nôtre, avec une petite modification, la prose des amateurs de papavéracées :
« Amis, nous vous faisons toute confiance pour adresser vos plus vives félicitations au siège de l’ANSES des Coquelicots. Nous pensons, mais vous êtes seuls juges, que l’humour est encore la meilleure manière d’exprimer notre dégoût. »
Quand M. Robin Mesnage, ex de l'équipe de l'infameuse étude sur les rats de Gilles-Éric Séralini, utilise une étude mise en place pour vérifier indirectement la première...
24 Juin 2019 par Seppi
Quand M. Robin Mesnage, ex de l'équipe de l'infameuse étude sur les rats de Gilles-Éric Séralini, utilise une étude mise en place pour vérifier indirectement la première…
...et bien, nous sommes ravi !
« Relationship between faecal microbiota and plasma metabolome in rats fed NK603 and MON810 GM maize from the GMO90+ study » (relation entre le microbiote fécal et le métabolome plasmatique chez des rats nourris avec du maïs génétiquement modifié NK603 ou du maïs MON810 de l'étude GMO90 +) est de Robin Mesnage, Caroline I. Le Roy, Martina Biserni, Bernard Salles et Michael N. Antoniou. C'est – ou plutôt ce sera – publié dans Food and Chemical Toxicology.
Nous sommes ravi qu'il y ait eu une collaboration entre le laboratoire Toxalim (Université de Toulouse, INRA, INP, UPS) et le King's College de Londre.
Le résumé :
Points forts
• Nous avons évalué les effets du maïs génétiquement modifié NK603 et MON810 sur le microbiote intestinal du rat.
• La composition du microbiote fécal a été associée aux taux de métabolites plasmatiques.
• Aucune différence dans la composition du microbiote n'a pu être attribuée à la consommation de MON810 ou de NK603.
• La consommation de maïs NK603 traité ou non avec du Roundup au cours de la culture a montré des effets comparables.
Résumé (nous découpons...)
Les problèmes de sécurité liés à la consommation d'aliments dérivés de plantes génétiquement modifiées (GM) restent un sujet controversé.
Nous rapportons ici une analyse de la composition du microbiote fécal chez les rats Wistar de l'étude GMO90 +, qui ont été nourris pendant 6 mois avec du maïs NK603 tolérant le glyphosate (avec ou sans application de Roundup) ou du maïs MON810 génétiquement modifiée avec la toxine Bt, en comparaison avec les lignées isogéniques non GM les plus proches.
Nous avons d’abord intégré les données de composition du microbiote fécal avec les résultats de la métabolomique plasmatique afin de comprendre quelles espèces bactériennes peuvent influencer le métabolisme de l’hôte.
Coriobacteriaceae et Acetatifactor ont permis de prédire de manière significative le profil métabolique plasmatique chez les mâles, alors que Bifidobacterium et Ruminococcus étaient capables de prédire les métabolites plasmatiques chez les femelles.
Nous avons ensuite étudié les différences de composition du microbiote fécal entre les groupes de rats nourris avec du maïs génétiquement modifié MON810 ou NK603 par rapport à leurs lignées isogéniques. La richesse des communautés bactériennes n'a pas été altérée par les régimes testés. Il n'y avait aucune différence statistiquement significative dans l’abondance des taxons dans le microbiote fécal des rats que nous pussions attribuer à la consommation de MON810 ou de NK603.
Nous montrons que la consommation des variétés de maïs GM NK603 et MON810 largement cultivées, même jusqu’à 33% de l’alimentation totale, n’a aucun effet sur le statut du microbiote fécal par rapport aux lignées quasi isogéniques non génétiquement modifiées. »
Les canicules d’avant la canicule au cours du XXe siècle
Canicule : quelques précédents météorologiques survenus au XXe siècle.
Par Jo Moreau. Un article de Belgotopia 25 JUIN 2019
Nous sommes abreuvés d’avertissements affolés devant l’épouvantable canicule qui nous attend la semaine prochaine, alimentée par notre inaction devant le thermostat climatique, pourtant dénoncée par notre future doctoresse honoris causa et ses suiveuses.
Je me suis penché sur quelques précédents météorologiques survenus au XXe siècle, dont le début est caractérisé par une succession d’étés chauds et secs, et je vous en livre quelques exemples spectaculaires ici.
ANNO 1900
Janvier est doux et printanier. Février connait un véritable ouragan sur toute la France, avec des vents atteignant 180 km/h.
Le mois de juillet est le plus chaud à Paris depuis 1859. Longue période de fortes chaleurs avec des températures atteignant 40 degrés à Châteaudun. Paris manque d’eau.
Londres : on relève des cas d’insolation.
Cette période sera suivie de violents orages.
Plusieurs tornades en Belgique.
En octobre, nouvel épisode de chaleur exceptionnelle à Paris. Le 26 octobre inondations en Angleterre. Violentes tempêtes en Angleterre les 20, 27, 29 décembre et grandes inondations le 31 décembre.
ANNO 1911
L’été a été si sec en juillet et août qu’en Flandre, des centaines de personnes font la queue avec des seaux devant les fontaines publiques. En France, juillet août et septembre sont très chauds et les températures dépassent fréquemment 35°. On dénombra 40 000 morts dus à cette canicule, aussi bien des personnes âgées que des enfants en bas âge. Les premières vraies averses de pluie surviennent le 20 septembre.
La canicule a également sévi en Angleterre.
En septembre, violente tempête sur la côte belge.
ANNO 1921
Après la sécheresse qui a commencé à l’automne 1920, le 1er janvier 1921 la vague de douceur se poursuit : 19,4° à Bordeaux, 16,5° à Châteauroux, et s’aggrave en février. Mars et avril sont toujours exceptionnellement secs et ensoleillés.
Du 14 au 17 avril, il neige fréquemment sur presque toute la France – un orage déverse 20 cm de grêle sur le Languedoc dans la soirée du 14 avril.
En juin, la sécheresse devient dramatique, aucune goutte de pluie n’est observée dans l’Oise, la Somme et le Languedoc-Roussillon ; à Paris, c’est le mois de juin le plus sec depuis 1810, une vague de chaleur exceptionnelle se produit entre le 24 et le 28 juin ; le 28 juin, un orage de grêle ravage les Deux-Sèvres avec des grêlons de 125 grammes.
Un été caniculaire s’abat sur la Lorraine. Le déficit de pluie atteint des records. Les récoltes s’annoncent faibles ; les prés, pâturages et parcs sont « grillés » comme les arbres qui « se laissent déplumer » par le vent brûlant.
Juillet reste extrêmement sec, absolument sans pluie dans la Beauce, le pays de Caux et la Picardie ; du 22 mai au 11 juillet, il ne tombe que 2 mm à Paris.
Cette sécheresse concerne également les Pays-Bas et l’Angleterre (le débit de la Tamise est réduit au 1/10eme de la moyenne) – La sécheresse perdure en Angleterre. On y dénombre de nombreux décès dus à la chaleur. Record de chaleur depuis 40 ans.
Aux USA, les températures élevées perdurent depuis août 1920, avec des températures mensuelles supérieures de 3,4° (F) supérieures à la moyenne. Le mois de mars vit une température supérieure à 10,8° (F)
Le 13 juillet, on observe également une chaleur torride et un maximum de 44,8° aurait été mesuré à Bourg (il s’agit de la valeur non officielle la plus élevée mesurée à l’ombre, en France). Le vent déclenche des incendies en Champagne et le village de Loisy-sur-Marne est totalement détruit.
La vague de chaleur atteint son maximum les 28 et 29 juillet où l’on mesure des températures supérieures à 38° sur les trois quarts de la France (40 à 42° à Vesoul, Besançon, Albertville, Bourg en Bresse et Moulin)
Le 29 juillet, véritable « sirocco » en Lorraine. Les fils téléphoniques sont distendus par la chaleur.
En août, la grande sécheresse en Europe, combinée avec des températures élevées, est la cause d’une fonte rapide des glaciers alpins.
Le déficit de pluie atteint des records. Début août, les mirabelles se font rares et comme la terre des jardins des maraîchers est brûlée, les légumes « ont pour ainsi dire disparu. Un pied de salade très dure se paie à des prix inconnus. On n’arrive presque plus à obtenir le bouquet nécessaire au pot-au-feu », peut-on lire dans les comptes-rendus de l’époque. Les prés, pâturages et parcs sont « grillés » comme les arbres qui « se laissent déplumer » par le vent brûlant.
Octobre est le plus chaud et le plus sec depuis 1757. Une vague de chaleur exceptionnelle se produit du 1er au 20 octobre. Au cours de la première semaine, les températures dépassent partout les 30° -le 5 octobre, on atteint même 36° dans les Basses Pyrénées.
Le 4 novembre 1921 voit enfin le retour de la pluie, mettant fin à la sécheresse mais le beau temps dominera pratiquement jusqu’à Noël.
Après qu’un véritable ouragan ait balayé les Flandres et toute la Belgique dans la journée du 7 novembre, de l’air glacial envahit tout le pays entre le 11 et le 14 novembre
Du 4 au 7 décembre, les gelées restent très fortes. Les 28 et 29 décembre, sont à l’inverse très doux, les températures dépassent 15° sur presque tout le pays.
L’année 1921 aura été la plus chaude et la plus sèche à Paris depuis le début des observations météo (1851) ; au total, il ne tombe que 270 mm d’eau contre 625 mm en moyenne. L’insolation fut également très élevée avec 2314 h de soleil contre 1650 h en moyenne.
ANNO 1934
USA : Pratiquement l’ensemble du pays subit une sécheresse sévère. En juin, on relève des températures supérieures à 100°F (38°C)dans 48 états. Le Texas, l’Oklahoma et le Kansas sont l’objet d’une véritable catastrophe, qui provoque l’exode majoritairement définitif de 3 millions d’ habitants vers des cieux plus cléments.
Chine : vague de chaleur inhabituelle. Dans certains endroits, on relève des températures de 40 à 45° entraînant de nombreux décès. Les récoltes sont ruinées.
France : vague de chaleur torride et sécheresse au printemps et en été. Mi-avril, la température atteint près de 30°. Mi-septembre, 36° à Clermont-Ferrand. En décembre, la température moyenne est supérieure de 5° à la normale.
Australie : sécheresse catastrophique, la majorité des forêts sont détruites.
Afrique du Sud : sécheresse sur tout le pays. Mort d’environ 10 millions de moutons.
Belgique : tornade dans la région du Centre. Plusieurs maisons détruites à Binche, où un train déraille, soufflé par les rafales.
Je vous épargne les années ultérieures, dont plusieurs ne furent pas tristes non plus !
Les canicules ne sont nullement dues au 'rapprochement excessif du soleil durant l'été' mais seulement aux éruptions sous marines et sous océaniques durant cette saison où elles sont plus remarquées qu'en hivers appelés 'hiver doux'.
D'où ces montées de chaleur magmatique qui viennent s'ajouter à la saison et qui sont transportées par les vents.
Le niveaux des fleuves baissent. Pourquoi ?
Comme toutes terres arides, elles aspirent l'eau encore plus vite que un peu humides. C'est pourquoi l'eau des fleuves et rivières (comme celle des lacs) a tendance à migrer hors de leur lit vers ces terrains secs où de larges fentes lui facilitent sa circulation.
Meotti: Le suicide de la France
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 24/06/2019 - 02:00
Écrit par Giulio Meotti via le Gatestone Institute,
La "francité" disparaît et est remplacée par une sorte de balkanisation d'enclaves ne communiquant pas entre elles ... ce n'est pas une bonne recette.
Plus les élites françaises avec leurs revenus disponibles et leurs loisirs culturels se cloîtrent dans leurs enclaves, moins il est probable qu’elles comprendront l’impact quotidien de l’immigration de masse et du multiculturalisme.
Les "classes supérieures globalisées" (bourgeoises bohémiennes) "remplissent les" nouvelles citadelles "- comme dans la France médiévale - et votent en masse pour Macron. Ils ont développé "une manière unique de parler et de penser ... qui permet aux classes dominantes de se substituer à la réalité d'une nation soumise à un stress sévère et de mettre à mal la fable d'une société aimable et accueillante". - Christophe Guilluy, Crépuscule des élites, Yale University Press, 2019.
"En ce qui concerne la France en 2019, on ne peut plus nier qu'une transformation capitale et hasardeuse, un" Grand commutateur ", est en préparation", a déclaré le fondateur et président de l'Institut Jean-Jacques Rousseau, Michel Gurfinkiel. Il pleurait "le décès de la France en tant que pays distinct, ou du moins en tant que nation occidentale et judéo-chrétienne qu’elle avait été présumée jusqu’à présent". Un article de couverture récent de l'hebdomadaire Le Point l'a appelé "le grand bouleversement".
Commutation ou bouleversement, les jours de la France tels que nous les connaissions sont comptés: la société a perdu son centre de gravité culturel: l’ancien mode de vie s’estompe et est sur le point de disparaître. La "francité" est en train de disparaître et d'être remplacée par une sorte de balkanisation d'enclaves ne communiquant pas entre elles. Pour le pays le plus touché par le fondamentalisme islamique et le terrorisme, ce n’est pas une bonne recette.
Le commutateur français devient également géographique. La France apparaît désormais partagée entre "ghettos pour les riches" et "ghettos pour les pauvres", selon une analyse de la carte électorale du plus grand journal français, Le Monde. "Dans le secteur le plus pauvre, 6 ménages nouvellement installés sur 10 ont une personne née à l'étranger", note Le Monde. Une sorte d'abîme sépare désormais la France périphérique - petites villes, banlieues et zones rurales - de la métropole mondialisée des "bourgeois bohémiens" ou "bobos". Plus les élites françaises avec leurs revenus disponibles et leurs loisirs culturels se cloîtrent dans leurs enclaves, moins il est probable qu’elles comprendront l’impact quotidien de l’immigration de masse et du multiculturalisme.
Un récent sondage européen a reflété ces "deux Frances qui ne se croisent pas et ne se parlent pas", a observé Sylvain Crepon de l'Université de Tours en analysant le succès du parti du Rassemblement national de Marine Le Pen lors des récentes élections au Parlement européen. Le Pen et le président Emmanuel Macron, les deux lauréats du scrutin, parlent à des groupes sociologiques complètement différents. En banlieue parisienne - Aulnay-sous-Bois, Sevran, Villepinte et Seine-Saint-Denis - le rallye national d'extrême droite connaît un essor fulgurant. Dans les villes, Le Pen est largement en retard: elle a terminé cinquième à Paris, troisième à Lille, quatrième à Lyon. Selon Crépon:
"[Ces] villes seront protégées du vote du Rassemblement National par leur structuration sociologique. Cela rend hommage au discours populiste qui diagnostique une élite déconnectée. Cette vision soutient l'idée d'une rupture sociologique, qui n'est pas complètement faux".
RépondreSupprimerD'un côté de cette pause se trouvent des villes telles que Dreux, que Valeurs Actuelles a baptisée "la ville qui préfigure la France de demain":
"D'un côté, une ville royale avec le vestige d'une histoire croyant que tout est en train de changer [millénariste]; de l'autre, les villes imprégnées de trafic de drogue et de l'islam. Les bourgeois du centre-ville votent pour Macron, le 'petits blancs' pour Le Pen".
De l'autre côté, c'est Paris. "Toutes les métropoles du monde connaissent le même sort. C’est là que naissent les richesses et que l’alliance des" vainqueurs de la mondialisation "et de leurs" serviteurs ", des immigrants venus au service des nouveaux maîtres du monde, garde leurs enfants , apportent leurs pizzas ou travaillent dans leurs restaurants ", écrit le commentateur social distingué Èric Zemmour dans Le Figaro. Il écrit désormais que "Paris est une ville mondiale, pas vraiment une ville française".
Les "classes supérieures globalisées [bourgeoises bohémiennes]", selon l'un des auteurs français les plus respectés. Christophe Guilluy, remplissent les "nouvelles citadelles" - comme dans la France médiévale - et votent en masse pour Macron. Ils ont développé "une manière unique de parler et de penser ... qui permet aux classes dominantes de se substituer à la réalité d'une nation soumise à un stress sévère et de mettre à mal la fable d'une société aimable et accueillante". Guilluy a été critiqué par certains médias français pour avoir abordé cette réalité.
Le récent mouvement des "gilets jaunes" - dont les manifestants protestent tous les samedis à Paris et dans toue la France depuis des mois contre les réformes du président Macron - est un symbole de cette division entre la classe ouvrière et les progressistes embourgeoisés.
Le parti de Marine Le Pen a remporté plus de deux fois plus de département électoral que Macron. Le Pen s'est imposé dans les zones dépressives et désindustrialisées du nord, du centre-sud et de l'est de la France qui ont donné naissance aux gilets jaunes.
"Depuis mon arrivée en France en 2002, j'ai vu le pays mener à bien une révolution culturelle", écrivait récemment Simon Kuper dans le Financial Times.
"Le catholicisme est presque mort (seulement 6% des Français assistent maintenant à la messe), mais pas aussi complètement que son" église "rivale de longue date, le communisme. La population non blanche n'a cessé de croître".
Macron, explique Kuper, est le symbole de "une nouvelle société individualisée, mondialisée et irréligieuse".
La fuite de la France du catholicisme est si évidente qu'un nouveau livre, L'archipel français: Naissance d'une nation multiple et divisée, de l'inspecteur Jérôme Fourquet, a décrit l'échec culturel de la société française comme une "ère postchrétienne": Le déplacement de la société française de sa matrice catholique est devenu presque total. Le pays, déclare Fourquet, est en train de mettre en œuvre sa propre déchristianisation. Et il n'y a qu'un seul substitut puissant à l'horizon. Selon une nouvelle étude universitaire, il existe déjà aujourd'hui autant de musulmans que de catholiques parmi les 18-29 ans en France; et les musulmans représentent 13% de la population des grandes villes de France, soit plus du double de la moyenne nationale.
Parfois, les sentiments de solidarité des communautés musulmanes semblent avoir tiré parti de cette fragmentation en créant leurs propres "ghettos de charia". Un rapport de l'Institut Montaigne, "The Islamist Factory", a détaillé la radicalisation de la société musulmane française. Au lieu de l'intégration, de l'assimilation et de l'européanisation, les extrémistes musulmans en France recherchent le multiculturalisme, la séparation et la partition. Les enclaves d'immigrés aux confins des villes françaises, affirme dans son livre La fracture, Gilles Kepel, fomentent "une rupture des valeurs avec la société française et une volonté de le subvertir". "Les gens ne veulent pas vivre ensemble", a déclaré Gérard Collomb, ancien ministre français de l'Intérieur, dans des propos rapportés par Valeurs Actuelles.
RépondreSupprimerCette "fracture" a été relevée dans la même publication: "Quatre garçons sur dix de Seine-Saint-Denis ont des prénoms arabo-musulmans". Le sondeur Jérôme Fourquet a révélé dans une nouvelle étude que "18% des nouveau-nés en France portent un nom arabo-musulman".
https://www.zerohedge.com/news/2019-06-23/meotti-suicide-france
Une femme frappée par une bande en plein Paris durant la Fête de la musique (vidéo)
RépondreSupprimer13:04 24.06.2019
Des vidéos filmées dans la nuit du samedi 22 juin près de la cathédrale Notre-Dame et du musée du Louvre dévoilent des violences commises lors de la Fête de la musique: des jeunes s’affrontent, une femme est violemment prise à partie. Le Daily Mail dévoile des séquences exclusives.
Le 22 juin, la Fête de la musique a été le théâtre de nombreuses violences. Le Daily Mail a partagé en exclusivité des vidéos filmées près de la cathédrale Notre-Dame et du musée du Louvre qui dévoilent l’«anarchie», comme le décrit le quotidien, pendant un concert de rap près de la rue de Rivoli.
«Les voyous étaient incontrôlables et donnaient des coups de poing et des coups de pied à volonté», a déclaré une étudiante de 22 ans. «Il n’y avait pas de police nulle part et les affrontements se poursuivaient sans cesse. Nous n’avions nulle part où nous échapper car toutes les entrées de la station de métro les plus proches étaient bloquées par la foule. C’était terrifiant.»
Une vidéo filmée par un témoin montre des affrontements entre des groupes de jeunes, le média soulignant que dans un poste de police situé à proximité du centre des Halles aucun agent n'a semblé réagir à ces troubles.
D’autres séquences mettent en évidence une bagarre lors de laquelle une femme a été prise à partie.
Le journal a souligné qu’Emmanuel Macron et Anne Hidalgo figurent parmi ceux qui présentent régulièrement cet événement comme une «célébration de la vie parisienne». Toutefois, la Fête de la musique est annuellement émaillée de violences.
Dans la nuit du 22 juin, une femme, agressée physiquement à Nice après la Fête de la musique, a été retrouvée dans un état critique, quasiment dénudée et «baignant dans une mare de sang», a annoncé le procureur de la République.
https://fr.sputniknews.com/france/201906241041503656-une-femme-frappee-par-une-bande-en-plein-paris-durant-la-fete-de-la-musique-video/
FRANCE - DES FRANÇAISES VEULENT POUVOIR EXPOSER LEUR DÉCOLLETÉ
RépondreSupprimerDes femmes défendent sur Twitter le droit de s'habiller aussi léger qu'elles le souhaitent sans censure.
24.06.2019, 14h03
S'habiller comme elles veulent sans essuyer de commentaires; au moment où une vague de chaleur s'abat sur l'Europe, des Françaises mènent un nouveau front sur Twitter et préviennent les censeurs: #JeKiffeMonDécolleté.
Le 18 juin, @c3celineb, poste un message sous la photo de sa poitrine, moulée dans un débardeur rayé: «Donc, d'après un type croisé tout à l'heure, ceci est un décolleté de sale pute » et ajoute: «Mec, mes seins et moi on t'emmerde bien fort». Le message de Céline b - qui ne compte que 440 abonnés sur Twitter - est «aimé» plus de 4700 fois et retweeté plus de 1000.
Quelque jours plus tard, Zohra Bitan, une chroniqueuse de la radio RMC, engagée à gauche, repère le message et lance le cri de ralliement: «En attendant la canicule et en guise de résistance à la police vestimentaire qui tente des percées ça et là #JeKiffeMonDecollete» annonce-t-elle en invitant les autres femmes à poster des photos du leur.
Elle se fend également d'une mise au point: «Un décolleté est une liberté, égarer son regard dedans est une liberté aussi... ça s'arrête là... c'est clair ? #JeKiffeMonDecolete» «Liberté, Egalité, Décolleté» ajoute-t-elle encore, relayée depuis samedi par des milliers de messages et de clichés. «#JeKiffeMonDécolleté Parce que je suis une femme libre parce que nos grand-mères se sont battues pour la liberté» écrit Marie D'Ange.
Poitrines en bikini, en nuisette, moulée sous un tee-shirt, naissance des seins ou base du cou, des milliers de filles et de femmes de tous âges ont répondu à l'appel. Même l'ancienne ministre de droite Nadine Morano a posté un pudique décolleté - orné d'une croix - pour soutenir le mouvement.
Celui-ci est d'autant plus notable qu'il survient simultanément avec la résurgence du débat sur le burkini, ce maillot de bain couvrant défendu par des associations islamistes, que des militantes radicales ont relancé ce weekend dans une piscine publique de Grenoble (sud-est) au nom de la lutte contre la discrimination. Le burkini a été interdit dans l'espace public au nom de la laïcité.
La bataille du décolleté est la dernière illustration d'une tendance affirmée sur Twitter depuis l'irruption du mouvement #MeToo, en octobre 2017, suite aux révélations sur le producteur américain Harvey Weinstein, rapidement suivi en France et au Canada de #BalanceTonPorc, sur le harcèlement, en milieu professionnel ou dans la rue.
En juillet 2018, une étudiante de 22 ans, Marie Laguerre, met en ligne sur le réseau la vidéo d'un homme la giflant après l'avoir insultée. Cette agression devient rapidement emblématique du harcèlement subi par les filles et plus d'un millier viennent témoigner sur une plateforme en ligne créée par la victime.
La France s'est dotée en 2018 d'une loi pénalisant le harcèlement de rue.
(afp/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/francaises-veulent-pouvoir-exposer-decollete/story/24963515
Le surpoids et le diabète de type 2 favorisent la dégénérescence cérébrale
RépondreSupprimerle 24 juin 2019
Dans un précédent billet de ce blog il était question des gènes allèles codant pour la clathrine et la conclusion était que l’abus d’alimentation industrielle riche en sucre aggravait la situation génétiquement préexistante du diabète de type 2 sans apporter de preuves irréfutables bien que ce billet ait été inspiré d’un article scientifique publié dans une revue à comité de lecture.
Revenons sur l’homéostase centrale et périphérique du glucose et son mécanisme. Après un repas, le taux de glucose circulant augmente et les cellules beta du pancréas sécrètent de l’insuline, une hormone qui va provoquer l’entrée du glucose sanguin circulant dans les cellules des organes cibles que sont le foie, les tissus adipeux, les muscles ainsi que le cerveau. Lorsque la concentration sanguine du glucose diminue les cellules alpha du pancréas sécrètent alors du glucagon qui a pour rôle de provoquer le relâchement dans le sang du glucose intracellulaire.
Ces deux mécanismes de régulation pancréatique sont complétés par un contrôle central de l’homéostase du glucose par l’hypothalamus en réponse à l’insuline et à une hormone, la leptine, sécrétée par les tissus adipeux. Chez un individu ayant un poids normal le taux de leptine permet de réduire la sensation de faim. Enfin des neurones sensibles à l’insuline complètent ce tableau en agissant sur le « système nerveux autonome » constitué des nerfs sympathiques et para-sympathiques agissant en particulier sur le foie et le pancréas. Cette régulation est donc d’une finesse extrême car elle est essentielle pour un bon fonctionnement général de l’organisme. Toute perturbation de cette régulation va avoir des effets en cascade désastreux.
Dans l’état actuel des connaissances, une sur-alimentation provoque une sécrétion de leptine telle que les neurones sensibles au sucre perdent progressivement cette sensibilité. Le taux de glucose sanguin a alors tendance à augmenter et son contrôle n’est, progressivement, plus assuré par le seul pancréas.
Le métabolisme général se trouve lui aussi déréglé et l’excès de glucose est utilisé dans la cellule pour produire de l’acétate, le précurseur idéal de la synthèse d’acides gras qui à leur tour vont être stockés dans des tissus adipeux qui se développent et ne servent plus que comme des impasses métaboliques provoquant un surpoids qui va aggraver à son tour toute une série de troubles dans l’ensemble de l’organisme, en particulier des mécanismes d’inflammation systémiques, c’est-à-dire qui se répandent dans tout l’organisme dont en particulier, nous le verrons ci-dessous, au niveau du cerveau. L’athérosclérose est l’exemple le mieux documenté de ces effets secondaires pathologiques. Ces perturbation dites d’intolérance au glucose affectent dans le monde entre 20 et 35 % des adultes et jusqu’à 17 % des enfants en surpoids. Aux USA plus de 45 % de la population est en surpoids …
La difficulté pour un médecin traitant réside dans le fait que l’augmentation du taux de glucose sanguin dans le sang à jeun est un processus multifactoriel résumé dans le diagramme ci-dessous (où NFG est l’acronyme de « normal fasting glucose », glucose sanguin normal à jeun, et IFG l’acronyme de « impaired fasting glucose » ou taux de glucose anormal) :
- voir tableau sur site -
RépondreSupprimerDes études récentes ont rassemblé des données reliant le diabète de type 2, le surpoids et l’obésité avec le dysfonctionnement du cerveau et c’est alarmant pour ne pas dire terrifiant. La perturbation de l’homéostase du glucose dans l’organisme a un effet direct sur la « santé » du cerveau comme le résument les deux diagrammes ci-dessous, plus parlants qu’un long discours :
- voir tableau sur site -
Note explicative. La neurogenèse, bien que très discrète chez l’adulte, joue néanmoins un rôle non négligeable dans le maintien de l’intégrité des fonctions de l’hippocampe. Cette neurogenèse est contrôlée par un facteur de croissance d’origine cérébrale appelé Brain-Derived Neurotrophic Factor (BDNF). Ce facteur stimule la production et la différenciation des cellules neuronales de l’hippocampe. L’hippocampe est une région du cerveau située sous le cortex qui est déterminante dans la consolidation de la mémoire de court-terme dite instantanée vers une mémoire de long-terme. Dans les maladies neuro-dégénératives telles que la maladie d’Alzheimer la perturbation de ce mécanisme de consolidation de la mémoire est l’un des premiers symptômes notés par le praticien.
La conclusion de cette étude ayant rassemblé plus de un millier d’articles et de revues est évidente, le surpoids et la perturbation de l’homéostase du glucose sont des facteurs centraux de la dégénérescence du cerveau. Sachant que dans la plupart des pays de l’OCDE les projections font état de plus de 40 % de personnes en surpoids ou pathologiquement obèses (indice pondéral corporel supérieur à 25) en 2030 il est terrifiant de constater que les habitudes sédentaires et une nourriture trop abondante et trop riche en sucre va « zombifier » tout un pan des générations à venir. Réjouissant n’est-il pas ?
Source et illustrations : Frontiers in Neuroendocrinology, vol. 53, Avril 2019
« Sugar in mind : Untangling a sweet and sour relationship beyond type A diabetes », Nicolas Cherbuin & Erin I. Walsh
https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/06/24/le-surpoids-et-le-diabete-de-type-2-favorisent-la-degenerescence-cerebrale/
Oregon: la police recherche 11 sénateurs républicains - cachés pour empêcher le vote sur la réduction de 80 % des émissions de carbone
RépondreSupprimerJune 24th, 2019
Des soldats de l’État ont été convoqués pour que les sénateurs républicains de l’Oregon reviennent voter sur un projet de loi sur les changements climatiques, mais les 11 sénateurs se trouvent dans des lieux secrets apparemment inter-États. Aucun vote ne peut avoir lieu sur quoi que ce soit sans qu'au moins un de ces sénateurs soit présent à la Chambre pour voter.
Oregon Standoff, onze sénateurs en fuite.
…
Les sénateurs républicains de l’Oregon se cachent après le vote sur le changement climatique face à la menace des milices
ABC News USA.
Onze républicains ont refusé de se rendre au travail jeudi et se sont cachés en signe de protestation contre le projet de loi HB2020, qui établit un plafond de carbone, afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Les industries qui émettent du gaz carbonique - centrales électriques, fabricants, etc. - devraient acheter une «allocation» pour chaque tonne émise, ce qui réduirait l'incitation à produire du gaz carbonique.
L'objectif du projet de loi est de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 80 % d'ici 2050 par rapport aux chiffres de 1990.
C’est une question de démocratie: d’un côté, si les Oregon ont voté pour cette coupe draconienne, ils devraient l’obtenir. De l'autre, les républicains sont furieux et veulent une solution démocratique - un scrutin à l'échelle de l'État. La législation est un tel désastre pour une grande partie des électeurs de l’Oregon que les républicains estiment que c’est leur seule option. C’est une version d’un filibuster.
Alors, donnons aux gens un vrai débat, un vrai vote et mettons fin au débat maintenant. De quoi les démocrates ont-ils peur ?
La démocratie sur les rochers:
Pourquoi un groupe de sénateurs des États-Unis sont traqués par la police
BBC
La gouverneure démocrate Kate Brown a alors autorisé la police d’État à tenter de les localiser.
… Les prix de l'essence et du diesel devraient augmenter. Les républicains estiment que ces changements affecteront de manière disproportionnée les habitants des zones rurales de l'Oregon, tels que les ouvriers agricoles et les bûcherons. Ils soutiennent que le plan devrait être soumis à un vote à l'échelle de l'État afin que «chaque Oregonian ait voix au chapitre».
Les démocrates détiennent 18 des 30 sièges du sénat, mais 20 sénateurs doivent être présents pour qu'un vote ait lieu.
C’est la deuxième fois qu’ils sortent récemment - remportant des concessions sur les lois sur les armes à feu et la vaccination après un autre incident le mois dernier.
D'autres boycotts auraient également eu lieu ailleurs, notamment par les démocrates du Wisconsin en 2011.
Les sénateurs sont condamnés à payer 500 USD (390 £) chacun pour chaque jour d'absence. Une collecte de fonds en ligne destinée à payer leurs amendes a jusqu'à présent permis de récolter près de 38 000 dollars US (30 000 £) ce dimanche.
Les démocrates ont déjà fait la même chose en organisant une grève de cinq jours sur le «redécoupage».
RépondreSupprimerLe fil Twitter où l'action est: @Oregon_GOP. Ce compte Twitter pèse lourd sur le sarcasme, appelant des photos d’enfants et de manifestants pacifiques «des milices lourdement armées». Beaucoup de gens ne comprennent pas la satire, y compris AOC, qui a ressenti le besoin de crier: «Ce sont des gens qui protestent pacifiquement - d’où leurs affiches et non pas des armes à feu».
Apparemment, le coût par famille de HB2020 est de l’ordre de 600 dollars par an, ce qui est exactement le même prix que ce que les familles australiennes payaient il y a deux ans pour l’énergie solaire et éolienne. (Nous payons plus maintenant).
Où étaient nos députés conservateurs ? Voter pour plus.
http://joannenova.com.au/2019/06/oregon-police-seek-11-republican-senators-in-hiding-to-stop-vote-on-80-carbon-reduction/
SupprimerC'est dans les forêts qu'il y a le plus d'oxygène, c'est aussi là où il y a le plus de végétation. Mais, malgré cela, il y a de l'oxygène abondant en mers comme dans les déserts là où il y n'y a pas d'arbre ! Cà alors !
C'est parce qu'il y a les vents continuels qui portent ces gaz à faire le tour de la Terre. C'est aussi les mers et les océans (plus de 75 % de la superficie de notre planète) qui relâchent des milliards de fois plus de gaz continuellement que ne le font les humains, les animaux et l'industrie additionnés. C'est pourquoi sur terre (moins de 25 % de la superficie de notre planète) il y a des gaz qui ne sont produits ni par les humains, ni par les animaux ni par les industries.
C'est-à-dire aussi que si ni les humains, ni les animaux, ni les industries n'étaient présents sur Terre il y aurait EXACTEMENT LE MÊME VOLUME DE GAZ QU'IL Y A A PRESSENT !
RépondreSupprimerRepérez les drapeaux de la race des sexes dans les junkets climatiques
June 24th, 2019
Le fleuve de sauce des changements climatiques est si vaste et si rapide qu'il attire les autres religions du Grand Gouvernement dans le courant. Un peu comme un effet de Bernoulli de la bureaucratie. Le vide du bon sens est nul. Ou un non-sens qui coule rapidement attire plus de non-sens.
Les anthropologues du futur étudieront les réunions de la CCNUCC
Ici, deux membres du clan des états profonds se rendent à Bonn pour une liaison conjointe. La secte climatique effectue une poignée de main féministe-autochtone comme test de rang social. L'Australie passera-t-elle?
Les questions de genre en tête du sommet sur le climat à Bonn
Graham Lloyd, l'Australien
Les responsables australiens participant aux discussions sur le changement climatique en Allemagne discutent de la façon dont le pays s'attaque au réchauffement de la planète en s'attaquant aux problèmes des femmes et des peuples autochtones.
Le Canadien prouve sa valeur aux autres personnes à la charge de Big-Gov (mais pas aux contribuables canadiens):
Dans des questions écrites à l'Australie sur sa réaction au changement climatique, le Canada a demandé si les connaissances autochtones ou traditionnelles étaient prises en compte lors de l'élaboration de politiques nationales ou de la mise en œuvre de mesures pour lutter contre le changement climatique.
Cela donne à l'Australien un laissez-passer gratuit pour se vanter d'avoir brandi le même drapeau inutile devant un Dieu imaginaire qui détruit de préférence les maisons de mères autochtones célibataires. Si l’Australien échouait à l’épreuve, le Canadien se vanterait à la maison de son progrès, et il saura également qu’il ne faut pas s’asseoir à côté de l’Australien dans le bar ni l’inviter à prendre un verre après le dîner. Le Canadien ne peut pas vraiment perdre - à moins que les électeurs découvrent:
"La participation des Australiens autochtones au Fonds de réduction des émissions est en train de donner naissance à une industrie du carbone indigène, qui offre toute une gamme d'avantages non liés au carbone, tels qu'un flux de revenus indépendant et une augmentation de l'emploi des autochtones", a déclaré le gouvernement.
L'Australien passe, mettant tous les bons mots dans une phrase autrement dénuée de sens. Personne ne dit qu’augmenter le coût de l’énergie réduirait l’emploi des autochtones, pas plus que les autochtones vivant dans des logements reculés risquent davantage de mourir s’ils n’ont pas les moyens d’acheter du chauffage et de la climatisation. Les préoccupations réelles concernant les peuples autochtones seraient négatives. C’est le drapeau du Grand Gouvernement qui fait la différence.
Le deuxième test est le score anti-old-white-men:
Dans la deuxième partie de la poignée de main, le junketee australien est testé sur le drapeau de genre:
L'Australie a également été priée de fournir plus de détails "sur les mesures que l'Australie a appliquées au niveau national pour intégrer les considérations de genre dans ses politiques relatives au changement climatique".
Naturellement, les vieux fermiers blancs ne sont jamais les premières victimes des changements climatiques. Leur durée de vie plus courte que celle des féministes de carrière est sans importance, de même que leur santé mentale ou leur suicide dû au stress financier provoqué par le climat. S'occuper des hommes ne rapporte aucun point au statut de membre d'un clan:
RépondreSupprimerLe gouvernement fédéral a déclaré que "l'élan national en faveur de l'égalité des chances signifie que les politiques australiennes en matière de climat s'inscrivent dans un contexte qui prend en compte et met en œuvre les mesures prises pour lutter contre les inégalités entre les sexes".
Si le climat fait plus mal aux hommes qu'aux femmes, aux mines, à l’agriculture, à la construction et à la foresterie plus que le travail à l’intérieur principalement choisi par les femmes, les junketees payés continueront de dire que les femmes doivent être mieux payées pour prendre moins de risques.
Et quand les gelées augmenteront, le clan des grands gouvernements se contentera de réserver des hôtels plus chauds.
h / t Pat
http://joannenova.com.au/2019/06/climate-junkets-use-gender-and-race-to-test-big-gov-clan-identity/
Les scientifiques découvrent de nouveaux rôles antiviraux pour les neurones olfactifs chez les poissons
RépondreSupprimer24 juin 2019
par l'Université du Nouveau-Mexique
Il existe des milliers de virus dans nos divers environnements qui affectent notre vie quotidienne de différentes manières. Un grand nombre de ces virus infectent les humains en entrant et en exploitant la voie nasale. Les scientifiques de l'Université du Nouveau-Mexique mènent des recherches pour comprendre comment le système immunitaire et les neurones olfactifs présents dans le nez travaillent ensemble pour arrêter rapidement l'entrée de virus dans d'autres organes essentiels du corps.
Par exemple, des virus respiratoires tels que les virus de la grippe, des rhinovirus et neurotropes, tels que les rhabdovirus, sont connus pour infecter d'abord le nez, puis pénétrer dans le cerveau ou d'autres organes. Un autre bon exemple est le virus de la grippe, qui infecte également d'abord la cavité nasale puis se propage aux poumons. La compréhension de la manière dont les neurones et les cellules immunitaires travaillent ensemble pour enrayer l'infection dans les poumons ou le cerveau est un aspect essentiel du contrôle des infections.
En 2014, des scientifiques de l'UNM, dirigés par Irene Salinas, professeure agrégée de biologie, ont étudié la truite arc-en-ciel et découvert que les poissons avaient un système immunitaire nasal contenant des virus qui provoquaient de fortes réactions immunitaires dans l'organe olfactif. En regardant de plus près les données de cette étude, ils ont remarqué que l'expression de certains gènes de récepteurs olfactifs et de gènes neuronaux était également altérée dans l'organe olfactif à la suite d'une infection virale.
"Cette observation nous a fait penser que les neurones réagissaient peut-être aussi au virus", a expliqué Salinas. "Les expériences suivantes ont consisté à examiner différents types de neurones olfactifs chez la truite exposée au virus. Bientôt, nous avons remarqué qu'un type de neurone sensoriel olfactif, les neurones cryptographiques, disparaissait très rapidement après la transmission du virus au nez. Un examen approfondi de ce phénomène ont révélé que les neurones cryptographiques mouraient rapidement dès qu'un récepteur qu'ils expriment, TrkA, interagissait avec le virus. "
Le laboratoire de Salinas du département de biologie de l'UNM étudie actuellement si les réponses antivirales trouvées chez le poisson se produisaient également chez la souris afin de mieux traduire les résultats en infections humaines potentielles. Ils continuent également de travailler sur la truite et le poisson zèbre, car les modèles de poisson offrent plusieurs avantages par rapport aux modèles de souris pour étudier cette interaction neuro-immune rapide.
Cette étude intitulée "Les neurones sensoriels olfactifs induisent des réponses immunitaires antivirales ultrarapides de manière dépendante de TrkA" a été publiée récemment dans les Actes de la National Academy of Sciences (PNAS) de Sepahi, et al. et faisait partie de la thèse de doctorat de Ali Sepahi. La recherche est financée à la fois par la National Science Foundation (NSF) et le Department of Agriculture des États-Unis (USDA).
Sepahi a rejoint le laboratoire Salinas en 2013 en tant que doctorat. L'étudiant et sa thèse portent sur différents aspects de l'immunité nasale des poissons et de la communication neuro-immune sous la supervision de Salinas. Sepahi a obtenu son doctorat en 2018 et travaille maintenant comme chercheur postdoctoral à la faculté de médecine de l'Université du Michigan. Ses recherches actuelles portent principalement sur l'immuno-oncologie et l'immunologie des muqueuses chez le modèle souris.
RépondreSupprimerTrois autres membres du laboratoire de Salinas, dont la diplômée Aurora Kraus, la chercheuse postdoctorale Elisa Casadei et la étudiante de premier cycle Cecelia Kelly, sont également coauteurs de l’étude. L'étude représente cinq années de travail qui a impliqué la mise au point de nombreux nouveaux tests en laboratoire, la truite n'ayant jamais été utilisée pour l'étude des interactions neuro-immunes.
Le laboratoire de Salinas s'est également associé à l'électrophysiologiste spécialiste des poissons, Mar Huertas, de la Texas State University. Les recherches ont révélé que les poissons peuvent sentir les virus déclenchés par les réactions électriques des neurones olfactifs. Les signaux ont ensuite été envoyés au bulbe olfactif du système nerveux central. Ensuite, les chercheurs ont demandé si l'activation neuronale observée correspondait à une réponse immunitaire contre le virus et ils ont trouvé que la réponse était oui.
"Le point le plus remarquable de la réponse immunitaire était qu'elle était extrêmement rapide, sans minutes, une échelle de temps que les immunologistes négligent habituellement", a déclaré Salinas. "La réponse immunitaire était fascinante, car elle pouvait être enregistrée non seulement dans l'organe olfactif, où le virus venait juste d'être livré, mais également dans le système nerveux central, où le virus n'était pas présent du tout."
Ces découvertes ont révélé l'existence d'une collaboration neuro-immune entre la périphérie (organe olfactif) et le SNC (bulbe olfactif) contre les virus. Il a également montré que des réponses immunitaires dans le SNC peuvent se produire même s’il n’ya pas d’infection active, mais en réponse à des stimuli pathogènes distants.
Christopher Alan Johnston, professeur associé au département de biologie de l'UNM et co-auteur du document, a produit des protéines recombinantes virales qui ont permis à l'équipe d'identifier la partie du virus qui interagit réellement avec les neurones olfactifs de truite.
Une dernière preuve de l'importance des neurones sensoriels olfactifs dans la défense antivirale chez les poissons provient d'un système de modèle animal différent: le poisson zèbre. Dans ce cas, l'équipe de Victoriano Mulero de l'Université de Murcia, en Espagne, a contribué à la mise au point d'un nouvel outil: un poisson zèbre dans lequel les neurones de la crypte ont été éliminés à l'aide d'un promédicament dans l'eau. La comparaison du poisson-zèbre avec les neurones cryptographiques et ceux sans neurones cryptés a montré qu'en l'absence de neurones cryptés, le poisson zèbre succombait plus facilement à une infection par le rhabdovirus.
"Je suis fasciné par les points communs entre le système nerveux et le système immunitaire", a déclaré Salinas. "Nous utilisons le poisson comme modèle car son système olfactif est assez similaire à celui des souris et des humains. Cependant, les poissons offrent un avantage certain: leur organe olfactif est situé à la surface et nous permet donc de réaliser des dissections faciles et des expériences in vivo très rapides comme ceux dans ce document qui sont très difficiles à effectuer chez les souris ".
Les recherches de Salinas portent sur l'immunité muqueuse, en particulier l'immunité nasale et son évolution chez les vertébrés. Les surfaces muqueuses sont à l'interface entre les hôtes et l'environnement. L'épithélium olfactif est une surface muqueuse qui présente une caractéristique unique: les neurones sont directement exposés à l'environnement. Cela signifie que les neurones, qui ne sont généralement pas directement exposés aux agents pathogènes, interagissent constamment avec les microbes de l'organe olfactif. Les neurones olfactifs se trouvent également à une étape du SNC, le tissu cible final de nombreux virus nuisibles tels que la rage ou la grippe.
RépondreSupprimer"Les résultats montrent vraiment à quel point l'immunité nasale est importante pour que le système soit exempt de tout agent pathogène du SNC. La réaction du cerveau, et donc de notre comportement, semble être influencée par les signaux que notre nez envoie au cerveau en réponse au danger (comme les virus) , "a déclaré Salinas, qui fait également partie du Centre d'immunologie théorique et évolutive (CETI) de l'UNM. "Ce concept fascinant doit être approfondi."
En outre, ces résultats pourraient avoir des implications importantes pour la conception des vaccins nasaux destinés à la pisciculture et à l'homme, selon l'équipe. La traduction de ces résultats en santé humaine nécessite un examen minutieux sur des modèles de mammifères, projet en cours au laboratoire de Salinas.
https://phys.org/news/2019-06-scientists-antiviral-roles-olfactory-neurons.html
Le 2500 % d'extensibilité du nanogénérateur établit un nouveau record
RépondreSupprimerpar Lisa Zyga, Phys.org
LE 24 JUIN 2019
En s’étirant comme un élastique à plus de 25 fois sa longueur initiale, un nouveau nanogénérateur a établi un nouveau record d’étirement. L'étirement de 2500% du nanogénérateur triboélectrique représente une augmentation significative par rapport aux meilleures valeurs précédentes d'environ 1000%. De plus, l'appareil est le premier nanogénérateur triboélectrique entièrement fabriqué avec l'impression 3D.
Les chercheurs, dont Kaushik Parida, Gurunathan Thangavel et Pooi See Lee à la Nanyang Technology University et l’Alliance Singapour-HUJ pour la recherche et les entreprises (SHARE), ont publié leurs résultats sur le nanogénérateur triboélectrique très extensible et entièrement imprimé en 3D dans un numéro récent de Nature Communications.
Les nanogénérateurs triboélectriques (TENG) récupèrent l'énergie des mouvements mécaniques ambiants, tels que le tapotement des doigts, et ont des applications potentielles en tant que dispositifs électroniques portables. Rendre les TENG étirables est difficile car les deux couches principales - la couche triboélectrique et le conducteur - ont généralement des propriétés élastiques différentes et ont donc tendance à se séparer après des étirements répétés.
Dans le cadre de la nouvelle étude, les chercheurs ont utilisé le même matériau élastique (polyuréthane acrylate ou PUA) comme base de la couche triboélectrique et de la matrice polymère du conducteur. Pour augmenter la conductivité, les chercheurs ont également ajouté des particules de métal liquide et des paillettes d'argent au conducteur. Lorsque le nanogénérateur subit un étirement extrême, les liaisons hydrogène dans la PUA se cassent et se réforment de manière réversible pour prendre en charge l’étirement souhaité. En même temps, les enveloppes de particules de métal liquide se cassent et libèrent un métal liquide conducteur afin de créer une connexion entre les paillettes d'argent séparées dans la matrice de PUA, permettant ainsi au dispositif de conserver une conductivité élevée.
Les chercheurs ont également démontré que le nanogénérateur pouvait être divisé en plusieurs parties et qu'il retrouvait néanmoins presque complètement ses performances d'origine après un processus de cicatrisation de 24 heures de chauffage.
Le nanogénérateur est également le premier dans lequel tous les composants ont été imprimés à l'aide d'une imprimante 3D. Auparavant, seule la couche triboélectrique était imprimée en 3D, car la plupart des matériaux élastomères avaient une extensibilité limitée lorsqu’ils étaient fabriqués en impression 3D.
Grâce à son extensibilité et à sa conductivité élevées, ainsi qu'à la facilité de fabrication grâce à l'impression 3D, le nanogénérateur a des applications potentielles en tant que récupérateur d'énergie pour de petits appareils électroniques portables auto-alimentés, comprenant des LED et des capteurs.
https://phys.org/news/2019-06-nanogenerator-stretchability.html
VIVE LES OGM !
RépondreSupprimerLes scientifiques développent un blé prêt au climat qui peut survivre à la sécheresse
par l'Université de Sheffield
24 juin 2019
Selon une nouvelle étude, les plantes de blé conçues pour avoir moins de pores microscopiques - appelés stomates - sur leurs feuilles, sont mieux à même de survivre à la sécheresse associée à la dégradation du climat.
Des scientifiques de l'Institute for Sustainable Food de l'Université de Sheffield ont découvert que le fait d'ingérer du blé panifiable à réduire le nombre de stomates aide la culture à utiliser l'eau plus efficacement, tout en maintenant les rendements.
L'agriculture représente 80 à 90% de l'utilisation d'eau douce dans le monde et, en moyenne, il faut plus de 1 800 litres d'eau pour produire un seul kilogramme de blé. Cependant, à mesure que le climat se raréfie et que les ressources en eau deviennent de plus en plus variables, les agriculteurs devront produire plus de nourriture que jamais pour nourrir une population croissante.
Comme la plupart des plantes, le blé utilise des stomates pour réguler son apport en dioxyde de carbone lors de la photosynthèse, ainsi que la libération de vapeur d'eau. Lorsque l’eau est abondante, l’ouverture stomatique aide les plantes à réguler la température par refroidissement par évaporation, ce qui est similaire à la transpiration.
En période de sécheresse, les plants de blé ferment normalement leurs stomates pour ralentir les pertes en eau. Toutefois, il a été constaté que le blé avec moins de stomates conserve encore mieux l'eau et peut l'utiliser pour se refroidir.
Au cours de l'étude, publiée dans le Journal of Experimental Botany, les scientifiques ont cultivé le blé dans des conditions similaires à celles attendues en cas de dégradation du climat, avec des niveaux plus élevés de dioxyde de carbone et moins d'eau. Par rapport au blé conventionnel, les plantes modifiées utilisent moins d’eau tout en maintenant la photosynthèse et le rendement.
La recherche s'appuie sur les travaux de l'Institute for Sustainable Food visant à développer du riz apte au climat, qui a révélé que le riz avec moins de stomates consommait 40% moins d'eau que les races conventionnelles et qu'il était capable de survivre à la sécheresse et à des températures de 40 ° C.
Julie Gray, professeure de biologie moléculaire végétale à l'Institute for Sustainable Food, a déclaré: "Le blé est un aliment de base pour des millions de personnes dans le monde - mais à mesure que les sécheresses extrêmes deviennent plus fréquentes, les agriculteurs sont confrontés à la perspective d'une baisse des rendements.
"Développer un blé qui utilise l'eau de manière plus efficace nous aidera à nourrir notre population croissante tout en utilisant moins de ressources naturelles, ce qui rendra nos systèmes alimentaires plus résilients face au changement climatique."
Dans une autre étude publiée dans Plant, Cell and Environment, les scientifiques de l'institut ont également découvert que les plantes conçues pour avoir moins de stomates sont moins sensibles aux maladies. Ils espèrent pouvoir reproduire ces résultats dans des cultures telles que le blé et le riz.
L’Institute for Sustainable Food de l’Université de Sheffield réunit une expertise multidisciplinaire et des installations de recherche de classe mondiale pour contribuer à la sécurité alimentaire et à la protection des ressources naturelles dont nous dépendons tous.
https://phys.org/news/2019-06-scientists-climate-ready-wheat-survive-drought.html
(...) il faut plus de 1 800 litres d'eau pour produire un seul kilogramme de blé. Cependant, à mesure que le climat se raréfie et que les ressources en eau deviennent de plus en plus variables, (...)
SupprimerIl pourrait en falloir 150 000 km3 QUE CE SERAIT LA MÊME CHOSE ! L'eau absorbée... n'est pas conservée ! Cà alors ! (Imaginez un kilo de blé avec 1, 800 tonne d'eau ! HAHAHAHA !).
Et pour faire un poisson, il faut combien d'eau ? HAHAHAHAHAHAHA !
Plus con que çà il n'y a pas ! Et, çà se dit 'scientifique' !!!
Crachez en l'air et vous aurez la réponse !
IL NE MANQUE PAS UNE GOUTTE D'EAU SUR NOTRE PLANÈTE DEPUIS DES MILLIARDS D'ANNÉES !
Depuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit.
Des scientifiques cartographient un immense aquifère d'eau douce sous-marin au nord-est des États-Unis
RépondreSupprimer21 JUIN 2019
par Columbia University
Dans une nouvelle étude du sous-sol marin au large de la côte nord-est des États-Unis, des scientifiques ont fait une découverte surprenante: un aquifère gigantesque composé d’eau relativement douce piégée dans des sédiments poreux situés sous l’océan salé. Il semble que ce soit la plus grande formation de ce type jamais trouvée dans le monde.
L’aquifère s’étend du rivage au moins du Massachusetts au New Jersey et s’étend de manière plus ou moins continue sur environ 50 milles jusqu’à la lisière du plateau continental. Si on le trouve à la surface, cela créerait un lac couvrant environ 15 000 milles carrés (3.884.982,16 ha). L'étude suggère que de tels aquifères sont probablement situés sur de nombreuses autres côtes dans le monde et pourraient fournir de l'eau désespérément nécessaire aux zones arides qui risquent maintenant de s'épuiser.
Les chercheurs ont utilisé des mesures innovantes des ondes électromagnétiques pour cartographier l’eau, qui est restée invisible aux autres technologies. "Nous savions qu'il y avait de l'eau fraîche là-bas dans des endroits isolés, mais nous ne connaissions ni l'étendue ni la géométrie", a déclaré l'auteur principal Chloe Gustafson, Ph.D. candidat à l'observatoire de la Terre Lamont-Doherty de l'Université Columbia. "Cela pourrait devenir une ressource importante dans d'autres régions du monde." L'étude paraît cette semaine dans la revue Scientific Reports.
Les premières traces de l'aquifère sont apparues dans les années 1970, lorsque des entreprises ont foré du pétrole sur les côtes, mais ont parfois atteint de l'eau douce. Les trous de forage ne sont que des piqûres d'épingle dans le fond marin, et les scientifiques ont débattu pour savoir si les gisements d'eau étaient simplement des poches isolées ou quelque chose de plus grand. Depuis environ 20 ans, Kerry Key, coauteur de l’étude, maintenant géophysicien de Lamont-Doherty, a aidé les sociétés pétrolières à mettre au point des techniques permettant d’utiliser l’imagerie électromagnétique des fonds marins pour la recherche de pétrole. Plus récemment, Key a décidé de voir si une technologie de ce type pourrait également être utilisée pour rechercher des gisements d’eau douce. En 2015, lui et Rob L. Evans, de la Woods Hole Oceanographic Institution, ont passé 10 jours sur le navire de recherche Lamont-Doherty, Marcus G. Langseth, effectuant des mesures au sud du New Jersey et sur l'île de Martha's Vineyard, dans le Massachusetts, où des trous de sédiments riches en eau.
Ils ont largué des récepteurs sur le fond marin pour mesurer les champs électromagnétiques situés au-dessous, ainsi que le degré de perturbation des perturbations naturelles telles que les vents solaires et les éclairs. Un appareil remorqué derrière le navire a également émis des impulsions électromagnétiques artificielles et enregistré le même type de réactions du sous-sol. Les deux méthodes fonctionnent de manière simple: l’eau salée est un meilleur conducteur d’ondes électromagnétiques que l’eau douce, de sorte que l’eau douce se démarque comme une bande de faible conductance. Les analyses ont indiqué que les dépôts ne sont pas dispersés; ils sont plus ou moins continus, partant du rivage et s'étendant loin dans le plateau continental peu profond - dans certains cas, jusqu'à 75 milles. Pour la plupart, ils commencent à environ 600 pieds au-dessous du fond de l'océan et fond à environ 1 200 pieds.
La cohérence des données des deux zones d'étude a permis aux chercheurs d'inférer avec un degré de confiance élevé que les sédiments d'eau douce couvrent en permanence non seulement le New Jersey et une grande partie du Massachusetts, mais également les côtes situées entre Rhode Island, le Connecticut et New York. Ils estiment que la région contient au moins 670 milles cubes d'eau douce. Si de futures recherches montrent que l'aquifère s'étend plus au nord et au sud, il rivaliserait avec le grand aquifère Ogallala, qui fournit des eaux souterraines vitales à huit États des grandes plaines, du Dakota du Sud au Texas.
RépondreSupprimerL’eau a probablement pénétré sous les fonds marins de deux façons différentes, selon les chercheurs. Il y a quelque 15 000 à 20 000 ans, vers la fin du dernier âge glaciaire, une grande partie de l'eau du monde était emprisonnée dans des glaces profondes. en Amérique du Nord, il s'étendait sur le nord du New Jersey, Long Island et la côte de la Nouvelle-Angleterre. Les niveaux de la mer étaient beaucoup plus bas, exposant une grande partie de ce qui est maintenant le plateau continental sous-marin américain. Lorsque la glace a fondu, les sédiments ont formé d'immenses deltas de rivières au sommet du plateau, et de l'eau fraîche s'est retrouvée piégée dans des poches éparses. Plus tard, le niveau de la mer a augmenté. Jusqu'à présent, le piégeage de cette eau "fossile" était l'explication courante de toute eau douce trouvée sous l'océan.
Mais les chercheurs disent que les nouvelles découvertes indiquent que l'aquifère est également alimenté par les eaux de ruissellement souterraines modernes. Alors que l'eau des précipitations et des masses d'eau s'infiltre dans les sédiments du littoral, elle est probablement pompée vers le large par la pression montante et décroissante des marées, a déclaré Key. Il a comparé cela à une personne qui pressait de haut en bas une éponge pour aspirer de l'eau des côtés de l'éponge. En outre, l'aquifère est généralement le plus frais près du rivage et se salit de plus en plus loin, suggérant qu'il se mélange progressivement à l'eau de mer au fil du temps. L'eau douce terrestre contient généralement moins de 1 partie par millier de sel, ce qui correspond à la valeur trouvée sous la mer près de la terre. Au moment où l'aquifère atteint ses limites extérieures, il atteint 15 parties pour mille. (L'eau de mer typique est de 35 parties pour mille.)
Si l'eau des parties extérieures de l'aquifère devait être retirée, elle devrait être dessalée pour la plupart des utilisations, mais le coût serait bien moindre que le traitement de l'eau de mer, a déclaré Key. "Nous n'avons probablement pas besoin de faire cela dans cette région, mais si nous pouvons montrer qu'il y a de grands aquifères dans d'autres régions, cela pourrait potentiellement représenter une ressource" dans des régions comme le sud de la Californie, l'Australie, le Moyen-Orient ou l'Afrique saharienne, a-t-il déclaré. Son groupe espère élargir ses enquêtes.
https://phys.org/news/2019-06-scientists-huge-undersea-fresh-water-aquifer.html
La probabilité de l'existence de bassins d'eau stagnante sous les mers & océans est de l'ordre de une sur 150 milliards de chance ! Car, il ne faut pas confondre l'eau qui s'infiltre continuellement au fond des mers & océans par des galeries et des poches d'eau stagnante qui ne pourraient s'évacuer malgré les milliards de tremblements de terre que notre planète subit.
SupprimerC'est donc très certainement le volume galérique qui est pris en compte dans le volume d'eau attiré par le centre de notre planète et le volume d'eau chauffé/bouilli qui remonte à la surface.
Notons que c'est tous les jours aussi que les propos de scientifiques sont déformés par les journalistes pour faire croire en des âneries plus grosses qu'eux !
Les ordres étant «disproportionnés», des gendarmes auraient désobéi au commissaire de Nice lors de l’acte 19
RépondreSupprimer16:45 24.06.2019
Les ordres du commissaire de Nice pour la manifestation interdite des Gilets jaunes du 23 mars étaient «disproportionnés», affirment des gendarmes dans un rapport que s’est procuré Mediapart. Ils ont confié avoir refusé de participer à la charge au cours de laquelle la militante pacifique Geneviève Legay a été blessée.
Mediapart a pris connaissance du rapport des gendarmes qui ont refusé d’obéir au commissaire de Nice, Rabah Souchi, responsable des opérations du 23 mars 2019 à Nice, ville où avait eu lieu une manifestation interdite des Gilets jaunes. Au cours d’une charge, Geneviève Legay, militante d’Attac de 73 ans, avait été gravement blessée.
Les ordres, envoyés à toute «la hiérarchie et jusqu’à la Direction générale de la gendarmerie», ont été «disproportionnés face à la menace (foule calme)», indique le rapport qui présente un compte rendu de ces instructions.
Un officier de police chargé du maintien de l’ordre a expliqué à Mediapart que lors d’une situation comme celle du 23 mars, «une vague de refoulement suffit», les forces de l’ordre n’ont pas recours aux armes, les matraques sont rangées, les boucliers restent en position «latérale».
Lorsqu’il a été ordonné d’avoir recours à la force pour évacuer la place Garibaldi, les manifestants n’étaient pas menaçants, ce qui a également été confirmé par le commissaire Souchi qui n’a fait qu’évoquer «la présence d’un groupe d’une cinquantaine de personnes en attente» et «discutant dans le calme».
Un capitaine à la tête d’un escadron a ainsi décidé de ne pas engager ses hommes. Contacté par Mediapart, l’ancien commandant du Centre national d’entraînement des forces de gendarmerie de Saint-Astier, le général Bertrand Cavallier, a qualifié ce geste de «preuve de courage intellectuel et d’esprit de responsabilité»:
«Cette décision a été fondée puisque, hélas, cet usage de la force s’est avéré disproportionné, puisque la charge a causé des blessures graves sur une manifestante qui n’était pas du tout agressive.»
Selon la conclusion du compte rendu, cet escadron de gendarmerie n’a pas eu recours aux LBD et n’a blessé aucun manifestant.
Geneviève Legay a été hospitalisée après l'acte 19 pour «hémorragie méningée frontale gauche, hématome occipital droit, hématome cérébelleux droit, fracture de l'os rocher droit, fracture de l'os pariétal droit, fracture médico-sphénoïdale». L’enquête préliminaire en lien avec le dossier a été confiée à Hélène P., compagne du commissaire Rabah Souchi, qui a elle-même pris part aux opérations du maintien de l’ordre le 23 mars. De plus, si, au départ, le procureur de Nice avait affirmé qu’aucun heurt ne s’était produit entre les policiers et Mme Legay, il a par la suite démenti ses propos. L’avocat de la militante a demandé le dépaysement du dossier, sa requête devra être examinée le 10 juillet par la Cour de cassation.
https://fr.sputniknews.com/france/201906241041507982-les-ordres-etant-disproportionnes-des-gendarmes-auraient-desobei-au-commissaire-de-nice-lors-de/
MEXIQUE - L'ARMÉE À LA FRONTIÈRE POUR STOPPER LES MIGRANTS
RépondreSupprimerSuite à l'accord convenu avec Washington, l'armée mexicaine a déployé 15'000 militaires à la frontière pour empêcher l'immigration illégale.
La migration clandestine n'est pas considérée comme un crime donc les personnes sont mises à disposition des autorités migratoires.
24.06.2019, 22h00
Le Mexique a déployé près de 15'000 policiers et militaires à sa frontière avec les Etats-Unis, a annoncé lundi le ministre de la Défense, Luis Cresencio Sandoval. Cette opération fait suite à l'accord conclu avec Washington pour freiner l'immigration illégale.
«Nous avons un déploiement total, entre la Garde nationale et les membres de l'armée, de près de 15'000 hommes dans le nord du pays», a déclaré le ministre lors d'une conférence de presse en compagnie du président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador.
Interrogé sur la possibilité pour l'armée et la Garde nationale -composée de militaires et de policiers fédéraux- non seulement d'intercepter des migrants pendant leur traversée du territoire mexicain mais aussi de les arrêter lorsqu'ils tentent de traverser la frontière avec les États-Unis, le ministre à répondu par l'affirmative.
«Délit administratif»
«Considérant que la migration (clandestine) n'est pas un crime, mais un délit administratif, nous les arrêtons et les remettons à la disposition des autorités» migratoires, a indiqué M. Sandoval.
Une photo prise par un journaliste de l'AFP pendant le week-end à la frontière avec les Etats-Unis a suscité une vague de critiques contre le gouvernement. Le document montre deux femmes, accompagnées d'une fillette, arrêtées par des membres de la Garde nationale au moment où elles s'apprêtent à franchir le Rio Bravo, qui sépare Ciudad Juarez, au Mexique, de la ville d'El Paso, aux Etats-Unis.
Les forces de l'ordre procèdent régulièrement à des arrestations de migrants clandestins sur le territoire mexicain. Il était jusque-là extrêmement rare que ces interpellations aient lieu aux abords de la frontière avec les Etats-Unis.
Frontière avec le Guatemala
Le ministre de la Défense mexicain a également précisé que 6500 hommes étaient déployés à la frontière sud avec le Guatemala. Cela doit permettre d'empêcher le passage de milliers de migrants d'Amérique centrale qui cherchent à rejoindre les Etats-Unis, fuyant la violence et la misère dans leur pays.
Fin mai, le président américain Donald Trump avait menacé d'imposer des tarifs douaniers sur tous les produits mexicains importés aux Etats-Unis si Mexico ne freinait pas cette vague de migrants. Le 7 juin, les deux pays sont parvenus à un accord.
Outre le déploiement d'hommes aux frontières du pays, Mexico s'est engagé à accélérer le retour dans leur pays des migrants, dans l'attente que soit traitée leur demande d'asile aux Etats-Unis. Un premier bilan doit être établi sous 45 jours. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/armee-frontiere-stopper-migrants/story/28356887
Voitures électriques supérieures aux voitures à essence ? Les taux de propriété disent pas pour une décennie
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun., 24/06/2019 - 14:01
Écrit par Mike Shedlock via MishTalk,
Un "Hatchet Job" présumé du NYT a suscité la réaction d'un nid de frelons chez les amateurs de Tesla et d'EV. Réexaminons.
- voir graphique sur site -
Hier, j'ai posté un casse-tête majeur lié aux voitures électriques: heures d'attente pour la recharge, puis une heure pour charger
Mon article contenait des extraits de l'article L.A. à Las Vegas et retour en voiture électrique du New York Times: 8 heures de conduite; 5 plus branchés.
Une réaction furieuse s'ensuivit.
1: Les véhicules électriques sont supérieurs de 3 000 façons
2: Comparaison Tesla - Lecteur Robjay
"Quelle histoire biaisée! Je possède une batterie longue portée Tesla modèle 3 d'un an (325 km). En un an, je n'ai attendu qu'une seule fois pendant 10 minutes pour obtenir un chargeur Tesla. Chaque station de suralimentation Tesla dispose d'au moins 8 chargeurs. I continuera de payer 10,02 $, au taux le plus élevé, pour recharger complètement ma voiture à batterie de 325 km. Je conduirai en sachant que j’aide l’environnement. Je profiterai d’une voiture spectaculaire et performante avec des caractéristiques uniques, y compris la sécurité, aussi vous adhérez à la conduite appropriée. "
3: Hit Piece - Lecteur Davetech
"Ouais ... donc l'article original du NYT Reporter est ce que nous appellerions généralement un" Hit Piece "... conçu pour tenter de montrer des choses (VE) sous un mauvais jour. La plupart des gens conduisent (trajet moyen) moins 35 miles par jour (aller-retour). Un meilleur titre pourrait être: "Les propriétaires de voitures fonctionnant à l'essence ne peuvent pas recharger à la maison ... ou au travail ... ou à un chargeur de destination ... Les propriétaires de voitures à essence sont donc obligés de passer des heures tirant dans les stations d'essence malodorantes et pompant de l'essence, au lieu de quelques secondes chaque nuit à la maison. "
4: Les acheteurs muets - Lecteur Martin Archer
"Toute personne si bête qu’elle conduira un Bolt au lieu d’une Tesla devrait être obligée d’attendre, même si un chargeur est disponible."
5: Test of Time - Lecteur RWG
"En tant que propriétaire du modèle 3, nous avons effectué un trajet de 13 000 km de l'Oregon au Maryland, et vice-versa. Aucun problème de chargement et avec la portée de 310 km, il est agréable de faire une pause toutes les 3 à 5 heures. Nous avons parcouru un moment de détente en cross-country. Vos opinions sont claires et nettes, mais ne résistent pas à l’épreuve du temps. "
6: Arrête de haïr le futur - Reader Carlos
"Je vous recommande de cesser de détester un avenir proche même si vous ne l'aimez pas."
L'avenir est à venir
Ce qui est curieux à propos de tout cela, c’est que j’ai répété à maintes reprises que les voitures électriques étaient l’avenir du futur. J'aurais dû répéter le message.
Je ne déteste pas du tout l'avenir. Mais je ne peux pas ignorer le présent.
Taux de propriété
RépondreSupprimerAux États-Unis, il y a 3,4 voitures électriques pour 1 000 habitants.
Les ventes cumulées mondiales de véhicules légers rechargeables légaux sur les routes ont atteint 2 millions d'unités à la fin de 2016 [1], 3 millions en novembre 2017 et le chiffre d'affaires de 5 millions atteint en décembre 2018. Ventes de voitures particulières rechargeables réalisées une part de marché de 2,1% des ventes de voitures neuves en 2018, en hausse par rapport à 1,3% en 2017 et à 0,86% en 2016. Le marché du PEV se déplace vers les véhicules à batterie entièrement électrique. Le ratio global entre les VEB et les VEHP est passé de 56:44 en 2012 à 60:40 en 2015 et est passé à 69:31 en 2018.
En décembre 2018, la Chine disposait du plus grand stock de plug-ins légaux autoroutiers avec plus de 2 millions de voitures particulières construites dans le pays. La Chine domine également le déploiement du bus électrique plug-in, avec un stock atteignant 343 500 unités en 2016 sur un stock mondial d'environ 345 000 véhicules. En septembre 2018, les États-Unis comptaient un million de voitures plug-in, la Californie étant le plus grand marché régional américain de plug-ins, avec 537 208 voitures plug-in vendues jusqu'en décembre 2018. Plus d'un million de plug-ins de passagers légers enregistré en Europe jusqu'en juin 2018, la Norvège étant le pays leader avec plus de 296 000 unités enregistrées à la fin de 2018. La Norvège a la plus forte pénétration du marché par habitant au monde et la plus grande part de marché du segment des plug-ins au monde. 49,1% des ventes de voitures neuves en 2018. En 2018, 10% de toutes les voitures particulières circulant sur les routes norvégiennes étaient des plug-ins.
Test mathématique
3,4 véhicules pour 1 000 habitants, soit un taux de possession de 0,34%. Et plus de la moitié de ce chiffre provient de la Californie, ce qui les incite davantage à les rendre abordables.
Pour être juste, le calcul est biaisé parce qu'il inclut un nombre considérable de personnes qui ne sont pas en âge de conduire, de personnes handicapées, etc.
Nous pouvons améliorer cela en examinant les groupes de population.
Population par rapport à la population en âge de travailler
- voir graphique sur site -
Il y a environ 329 millions de personnes aux États-Unis. De ce nombre, il y a environ 207 millions de personnes âgées de 15 à 64 ans.
207 millions est donc un meilleur point de départ que 329 millions en tant qu’âge potentiel de la voiture.
207/328, c'est 63%, mais beaucoup de personnes de plus de 64 ans conduisent toujours. 63% est sur le côté bas.
Population par catégorie d'âge
- voir graphique sur site -
70% de la population a entre 20 et 79 ans. Il y a des personnes âgées de 18 à 19 ans qui possèdent une voiture et un certain nombre de personnes âgées de plus de 79 ans qui conduisent encore.
70% des 329 millions, 230 millions
Après 64 ans, les gens pourraient s’en tirer plus facilement avec une voiture que deux, mais c’est au moins un groupe d’âge très raisonnable.
70% est probablement sur le haut.
Une méthode encore plus efficace pour calculer l’utilisation de la propriété et du pourcentage d’EV consiste à examiner le nombre de conducteurs sous licence.
Pilotes sous licence
- voir graphique sur site -
"En 2009, 87% de la population en âge de conduire (16 ans et plus) avait un permis. On compte 685 conducteurs pour 1 000 habitants. En 1960, quelques années seulement après que tous les États eurent exigé un permis de conduire, il n'y en avait que 487. pour 1000 habitants. "
RépondreSupprimerTous ces chiffres sont similaires, mais utilisons plutôt 685 conducteurs pour 1 000 habitants comme meilleure représentation de ce qui se passe. Le nombre se situe entre 63% et 70%, de sorte que tous les chiffres sont liés de manière réaliste.
Pourcentage de véhicules électriques par conducteur licencié
Aux États-Unis, il y a 3,4 voitures électriques rechargeables pour 685 conducteurs licenciés.
(3,4 / 685) * 100 = 0,49%
À peine 0,49% des conducteurs immatriculés possèdent un véhicule rechargeable, ce qui inclut les véhicules hybrides!
En Californie, grâce aux incitations supplémentaires, il y a 13,2 voitures électriques rechargeables pour 685 conducteurs licenciés. Ce pourcentage est un "énorme" 1,9%.
Réalité de base
Si les véhicules électriques étaient si bien supérieurs, leur utilisation dépasserait certainement 0,49%.
Qu'on le veuille ou non, le public ne croit pas que les véhicules électriques soient supérieurs, compte tenu du prix. Il n'y a pas d'autre conclusion possible.
Nous pouvons débattre de la commande, mais le haut de la liste doit être le coût initial par rapport aux véhicules à essence, le manque de stations de recharge, les longs trajets, etc.
Maintenant comparons ce que j'ai dit.
Quand les véhicules électriques ont-ils un sens ?
Actuellement, nulle part, du point de vue des coûts. Les gens achètent des véhicules électriques ou hybrides sur la croyance douteuse qu'ils agissent pour l'environnement.
Pour ceux qui conduisent très rarement et pour ceux pour qui la marche, les transports en commun ou Uber est une option viable, aucune voiture, quelle qu'elle soit, n'a de sens économique. Cependant, pour ceux qui exigent la commodité d'avoir une voiture, les points mentionnés ci-dessous s'appliquent.
Si et quand le coût d'un véhicule électrique ne dépasse pas celui d'un véhicule à essence (essence, assurance, durée de vie du véhicule, coûts de maintenance), les véhicules électriques deviennent pratiques pour ceux qui conduisent rarement, voire jamais, à plus de 150 milles avant un arrêt prolongé connu qui arrive aussi d'avoir un chargeur. Pour la plupart, la station de charge doit être à la maison ou au travail.
Tant que les batteries ne se rechargent pas aussi vite ou presque aussi vite qu’un véhicule à essence ou que des stations de remplacement de batterie soient disponibles, les véhicules électriques n’auront aucun sens pour un grand pourcentage de conducteurs.
1-Revisited: "Nulle part, du point de vue des coûts," est très précis. À un taux de 0,49%, le public accepte. Même avec les incitations de la Californie, le taux n'atteint que 1,9%. Le reste du pays a un taux d'acceptation risible de 0,25%.
En 2018, le taux d'insertion pour les ventes de voitures neuves n'était que de 2,1%, principalement en Californie.
2-Revisited: "Pour ceux qui conduisent rarement, acheter une voiture de toute sorte n'a pas de sens économique." Ma déclaration était exacte
3-Revisited: Si et quand le coût d’un VE n’est pas supérieur à celui d’un véhicule à essence (prise en compte de l’essence, assurance, durée de vie de la voiture, frais d’entretien), les VE deviennent pratiques pour ceux qui conduisent rarement, voire jamais 150 milles ou plus avant un arrêt long connu qui arrive aussi d'avoir un chargeur. Pour la plupart, la station de charge doit être à la maison ou au travail.
RépondreSupprimerMes déclarations originales sont exactes. Ceux qui exigent le confort d'une voiture, en particulier ceux qui font de fréquents trajets courts, les véhicules électriques sont une option. Une Tesla pour les voyages de courte distance n'a pas de sens.
Les lecteurs pourraient souligner que rouler sur la distance indiquée par le NYT est une erreur, mais le point a été manqué: il ne faut pas conduire sur de longues distances à moins d'être prêt à subir les conséquences subies par l'auteur du NYT.
Une Chevrolet Bolt 2019 bénéficie d'une autonomie "maximale de 238 milles en charge complète". C'est certainement pathétique et les propriétaires de Tesla ont raison de rire. Je n'achèterais pas de Bolt, mais certaines personnes le font. S'ils le font, ils ne devraient pas essayer de parcourir de longues distances.
4-Revisited: "Tant que les batteries ne se rechargent pas aussi vite ou presque aussi vite qu'un véhicule à essence ou qu'il existe des stations d'échange de batterie facilement disponibles, les véhicules électriques n'auront aucun sens pour un grand pourcentage de conducteurs."
C’est exactement ce que j’avais déclaré à l’origine, mais j’ai mis l’accent sur «un pourcentage élevé». La déclaration est tout à fait exacte.
J'aurais pu ajouter que je pense que cela se produira.
Dans le corps de l'article, j'ai déclaré: "Pour beaucoup, il nous reste dix ans avant que des stations de chargement ou d'échange ultra-rapides et facilement disponibles ne soient disponibles."
C'est certainement exact, surtout parce que j'ai dit "plusieurs", pas la plupart. Cependant, "la plupart" peut très bien être précis.
Prévisions de vente de véhicules électriques
Veuillez tenir compte des prévisions de ventes de véhicules électriques et de l'infrastructure de charge requise jusqu'en 2030 par l'Institut d'innovation électronique de la Fondation Edison.
- voir graphique sur site -
Points clés EEI / IEI
Le stock de véhicules électriques (c.-à-d. Le nombre de véhicules électriques sur la route) devrait atteindre 18,7 millions de personnes en 2030, contre un peu plus d'un million à la fin de 2018. Cela représente environ 7% des 259 millions de véhicules (voitures et véhicules utilitaires). camions légers) devrait être sur les routes américaines en 2030.
Il a fallu 8 ans pour vendre 1 million de véhicules électriques. Nous prévoyons que le prochain million de véhicules électriques sera sur la route dans moins de trois ans - d’ici le début de 2021.
Les ventes annuelles de véhicules électriques dépasseront 3,5 millions de véhicules en 2030, représentant plus de 20% des ventes annuelles de véhicules en 2030. Comparées à nos prévisions pour 2017, les ventes de véhicules électriques devraient s'élever à 1,4 million en 2025 contre 1,2 million.
Environ 9,6 millions de ports de charge seront nécessaires pour prendre en charge 18,7 millions de véhicules électriques en 2030. Cela représente un investissement important dans l'infrastructure de chargement des véhicules électriques.
Mish vs EEI / IEI
Selon les prévisions EEI / IEI, 7% des 259 millions d’attentions sur les routes américaines en 2030 seront électriques.
Supposons que les prévisions soient décalées d'un facteur 7. Si c'est le cas, le pourcentage devient 49%.
Mes propres prévisions sont de 50%, je ne suis donc pas un ours VE accusé. En fait, je suis peut-être un optimiste fou.
Certaines personnes ne peuvent pas lire
Qu'est-il arrivé ?
RépondreSupprimerCe qui s’est passé est qu’un grand nombre de propriétaires de Tesla et d’EV défendent leurs achats. Nombre de ces propriétaires sont des êtres humains autoproclamés, supérieurs sur le plan environnemental, qui veulent sauver le monde des maux causés par des voitures moins chères mais polluantes.
Ces défenseurs de l'environnement ignorent que le charbon brûle pour produire de l'électricité (environ 30%), l'extraction du lithium, les coûts d'infrastructure et le coût de l'électricité si et quand nous en arrivons à 50%.
Coût d'environnement en spirale du lithium
Commentaires de Wired sur le coût en spirale de la dépendance au lithium dans l'environnement
La demande de lithium augmente de manière exponentielle et son prix a doublé entre 2016 et 2018. Selon le consultant Cairn Energy Research Research, l'industrie du lithium ionique devrait passer de 100 gigawattheures (GWh) de production annuelle en 2017 à près de 800 GWh en 2027.
«L'un des plus gros problèmes environnementaux causés par notre appétit sans fin pour les appareils les plus récents et les plus intelligents est la crise croissante des minéraux, en particulier ceux nécessaires à la fabrication de nos batteries», déclare Christina Valimaki, analyste chez Elsevier.
En Amérique du Sud, le plus gros problème est l’eau.
Comme ce fut le cas au Tibet, il est également possible que des produits chimiques toxiques fuient des piscines d’évaporation dans les réserves d’eau. Ceux-ci comprennent les produits chimiques, notamment l'acide chlorhydrique, qui sont utilisés dans la transformation du lithium en une forme pouvant être vendue, ainsi que les déchets qui sont filtrés de la saumure à chaque étape. En Australie et en Amérique du Nord, le lithium est extrait de la roche par des méthodes plus traditionnelles, mais nécessite toujours l'utilisation de produits chimiques pour pouvoir être extrait sous une forme utile. Des recherches menées au Nevada ont révélé des impacts sur le poisson jusqu'à 150 milles en aval d'une opération de traitement au lithium.
Dans le Salar de Hombre Muerto d’Argentine, les habitants affirment que les activités de traitement au lithium ont contaminé des cours d’eau utilisés par les humains et le bétail ainsi que pour l’irrigation des cultures. Au Chili, des affrontements ont eu lieu entre des sociétés minières et des communautés locales. Selon eux, les mines de lithium laissaient le paysage envahi par des montagnes de sel abandonné et des canaux remplis d’eau contaminée d’une couleur bleue.
«Comme tout processus minier, il est envahissant, il détruit la nappe phréatique et pollue la terre et les puits locaux», a déclaré Guillermo Gonzalez, expert en batteries au lithium de l'Université du Chili, dans une interview accordée en 2009. "Ce n'est pas une solution verte - ce n'est pas une solution du tout."
Voilà pour l'idée de zéro pollution.
À propos de Tesla
Pour couronner le tout, les propriétaires de Tesla font mieux que ce qu'ils prétendent malgré des batteries qui explosent spontanément, des systèmes de navigation automatisés risibles, des accidents de peinture, des travaux de peinture médiocres, des pare-chocs qui tombent et une myriade d'autres problèmes signalés que personne ne voit sur toute autre voiture existante.
Acceptation publique
Les réclamations concernant des travaux de hache sont faites par des personnes qui ne savent pas lire, ne comprennent pas les arguments avancés et ignorent les coûts d’achat d’une voiture. Le groupe comprend également ceux qui croient à tort que les véhicules électriques ne polluent pas et que Teslas n’éclate pas.
L'acceptation du public est l'endroit où le caoutchouc rencontre la route. Aux États-Unis, cela représente 2% des ventes de voitures neuves, principalement en Californie.
Si vous le construisez, ils viendront
RépondreSupprimerUn ami qui habite à Washington vient de me dire ceci: "Même ici, sur la côte Est, ville sans escale de DC à NYC, il est difficile de" remplir "une voiture électrique. Tant que l'infrastructure électrique n'est pas construite, aucune chance."
Bingo
Il est beaucoup plus probable que cela se produise que EEI / IEI car je m'attends à un déploiement plus rapide. Quoi qu'il en soit, deux choses doivent se passer.
Charge vraiment pratique que le public accepte.
Les coûts de propriété initiaux sont proches des voitures à essence, également acceptées par le public.
Les États doivent construire l'infrastructure. Imaginez 30% de partage EV sur l’infrastructure existante. Des heures d'attente, sauf à la maison, pourraient bien être la norme.
Le fait que les immeubles en copropriété et les appartements n’ont probablement pas de station de recharge.
"Duh, charge à la maison". Oui en effet.
Vous allez suspendre le cordon d'alimentation par la fenêtre d'un immeuble de 13 étages ?
https://www.zerohedge.com/news/2019-06-24/electric-cars-superior-gas-powered-cars-ownership-rates-say-not-decade
Des images choquantes avant et après révèlent une terrible vérité sur les échecs généralisés des cultures américaines en 2019
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun., 24/06/2019 - 13:14
Publié par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Des pluies torrentielles martèlent le cœur de l'Amérique depuis des mois et, à ce stade, de vastes étendues de terres agricoles situées au centre du pays ne sont que boue. À la suite de la pluie sans fin et des inondations sans précédent dont nous avons été témoins, des millions d'acres de terres agricoles ne seront plus rien plantés en 2019, ce qui constitue une crise nationale majeure. Mais la plupart des agriculteurs ont pu planter des semences dans des conditions déplorables et espèrent maintenant désespérément que quelque chose se développera réellement. Malheureusement, ferme après ferme, ce qui sort du sol a l'air absolument épouvantable. Même si les conditions météorologiques sont idéales pour le reste de l'été, il est impossible que beaucoup de ces champs soient prêts avant que le premier gel ne se produise. Comme vous le verrez ci-dessous, la vérité est que nous sommes potentiellement confrontés aux échecs de récolte les plus répandus de toute l’histoire des États-Unis.
Il s’agit de l’actualité la plus importante aux États-Unis jusqu’à présent cette année, et les principaux médias commencent enfin à comprendre la gravité de la situation à laquelle nous sommes confrontés. Considérez simplement la citation suivante d'un article récent de Quartz…
Les histoires à travers le Midwest sont déchirantes. En parcourant le hashtag # NoPlant19, on trouve des dizaines de messages sur des agriculteurs regardant des champs détrempés ou du matériel agricole en train de sombrer dans la boue. Il est probable que beaucoup verront leurs récoltes dévastées cette année et les prix mondiaux des céréales pourraient grimper.
David Blanchflower sur les échecs de l'économie du travail
Mais bien sûr, une image vaut mille mots, alors permettez-moi de partager une photo avant et après qu'un couple de paysans de l'Indiana, Kyle et Tori Kline, a récemment partagé sur Facebook ...
- voir photos sur site -
Selon Tori, le maïs était presque au-dessus de la tête de Kyle à la même époque l’année dernière, mais il est à peine sorti du sol…
«Ces deux images en disent long sur la crise à laquelle les agriculteurs américains sont confrontés ce printemps. Kyle mesure environ 6 pi 3 po et le maïs était presque au-dessus de sa tête. La plupart du maïs dans notre région a de la chance d'être hors du sol, sans parler du genou au sol. C’est un élément de réflexion pour ceux qui pensent que les agriculteurs sont «riches», «gourmands» ou autres. C’est la raison pour laquelle les prix des denrées alimentaires et de l’essence vont augmenter au cours de l’été. Je prie pour ceux qui n’ont pas ou n’ont toujours pas acquis leurs récoltes - pour leur sécurité et leur santé mentale. Cette année sera mémorable. "
Pensez-vous que le maïs sera prêt lorsque la récolte aura commencé ?
Et bien sûr, les Klines sont loin d'être les seuls. Partout au pays, les agriculteurs sont confrontés à des rendements considérablement réduits ou à une récolte nulle.
Permettez-moi de partager quatre autres photos extrêmement inquiétantes avant et après que TD Hale a récemment publiées sur Facebook…
- voir sur site Etats: 18/19 -
RépondreSupprimerNous n'avons jamais rien vu de tel auparavant.
Maintenant que vous avez vu ces images, commencez-vous à comprendre pourquoi un si grand nombre d’entre nous ont prévenu que la production agricole aux États-Unis allait être bien inférieure cette année?
Le maïs n'est pas censé pousser dans la boue, mais en raison des conditions climatiques horribles, de nombreux agriculteurs du centre du pays n'avaient absolument aucun choix en la matière. Par exemple, le cultivateur de maïs Scott Labig a avoué qu'il avait «honte» de ce que les conditions météorologiques cauchemardesques lui imposaient de faire…
Labig faisait quelque chose qu'il n'avait jamais fait dans sa carrière. Quelque chose que son père et son grand-père n'ont jamais fait non plus à leur époque, travaillant sur ce même territoire depuis le siècle dernier.
«J'ai honte de la façon dont je plante du maïs aujourd'hui», a confié Labig à Campbell au téléphone. "C'est terrible."
Il mettait des graines dans la boue. Comment les choses pourraient-elles réellement pousser dans ce pétrin?
Si vous ne vivez pas au centre du pays, vous aurez peut-être de la difficulté à saisir la véritable portée de ce à quoi nous sommes potentiellement confrontés.
Si les agriculteurs ne cultivent pas notre nourriture, nous ne mangeons pas. Ce n'est pas un exercice, et les mauvaises récoltes généralisées vont avoir des conséquences dramatiques pour nous tous dans les mois à venir. Les prix des aliments vont beaucoup plus haut, et je vous exhorte à vous préparer pendant que vous le pouvez encore.
Selon John Newton, l'économiste en chef de la Fédération des bureaux agricoles américains (American Farm Bureau Federation), nous n'avons jamais eu à faire face à «rien de ce genre depuis que je travaille dans l'agriculture». Nous sommes déjà vraiment dans un territoire sans précédent et il ne faudra pas beaucoup de temps pour faire de 2019 une catastrophe nationale complète et totale.
Si le temps est absolument parfait pour les prochains mois, 2019 sera toujours une année horrible pour les agriculteurs du centre du pays.
Mais si la pluie ne s’arrête pas, si la chaleur est trop forte ou si un gel très dur se produit très tôt, nous pourrions être confrontés à un cauchemar national dépassant ce que la plupart d’entre nous osaient même imaginer.
Et devine quoi ? Au cours du week-end, le centre du pays a été frappé par des tempêtes encore plus violentes…
Des centaines de personnes étaient privées d'électricité dans le Missouri et à Kansason dimanche, alors que des tempêtes se sont abattues sur la région, ce qui a poussé les responsables à avertir les automobilistes de rester en dehors des routes car des avertissements d'inondation soudaine étaient en vigueur.
Jusqu'à 8h45, heure centrale, un avertissement d'inondation soudaine était en vigueur dans les villes de Trenton, Bethany et Gallatin, dans le Missouri, selon le National Weather Service, alors que ces avertissements étaient en vigueur jusqu'à 8h30, heure centrale, à Saint Joseph, Atchison et Savane.
Juste au moment où vous pensez que cette crise ne peut pas s'aggraver, c'est le cas.
S'il vous plaît partagez cet article avec votre famille, vos amis et ceux que vous aimez. Les gens doivent comprendre ce qui se passe là-bas.
Nous sommes littéralement en train de regarder une crise nationale massive se dérouler sous nos yeux, et je ferai de mon mieux pour continuer à vous tenir au courant.
https://www.zerohedge.com/news/2019-06-24/shocking-after-photos-reveal-awful-truth-about-widespread-us-crop-failures-2019
PARIS: EPIDEMIE DE TRISOMIE, DEFILE DE MORUES
RépondreSupprimerCouverts d’un filet, des défenseurs des poissons s'érigent à Paris contre la pêche (vidéo)
23:07 24.06.2019
Afin de rappeler le risque de disparition des poissons, un happening pour l’abolition de la pêche a eu lieu à Paris le 24 juin. Une manifestante a expliqué à Sputnik l’importance de la fin de la pêche et du refus de consommer du poisson.
Un happening visant à protéger les poissons et les animaux aquatiques a eu lieu ce lundi 24 juin à Paris, réalisé par l’association Vegan Impact. Dans un commentaire accordé à Sputnik, une militante du mouvement a évoqué le risque élevé d’extinction des poissons dans l’océan vers 2050, ainsi que le chiffre des animaux marins tués par an, s’élevant à 1.000 milliards de spécimens.
Des participants à l’événement, peints de bleu et de vert, qui se sont allongés sur le trottoir, couverts d’un filet de pêche, représentaient des créatures marines en train de mourir d’asphyxie sous les rayons du Soleil. D’autres manifestants tenaient des images présentant des faits sur la pêche mondiale.
Cette manifestation appelle à arrêter de manger du poisson pour préserver la nature, en prenant en considération que 95% des créatures marines sont concernées par la pêche, a expliqué la militante interviewée.
Cette forme artistique de manifestation appelant à l’abolition de la pêche est née en 2017 à l’initiative de l’association suisse Pour l’égalité animale (PEA). La première manifestation a eu lieu le 25 mars 2017 dans le cadre de la Journée mondiale pour la fin de la pêche.
https://fr.sputniknews.com/france/201906241041512420-couverts-dun-filet-a-paris-des-defenseurs-des-poissons-serigent-contre-la-peche-video/
On dit 'filet de sardines' et pas 'sardines enfilées' ! Hahahaha !
SupprimerUne truite pond plus de 500 000 œufs d'où sortiront env. 250 000 femelles qui pondront à leur tour 500 000 œufs chacune d'où sortiront...
Suffit de protéger les œufs contre les prédateurs. Il y a des parcs à poissons en mer où il y a DES milliards de poissons.
Les poissons NE PEUVENT PAS MANQUER !
Sauf pour les trisomiques !
Fribourg, champion des cadeaux fiscaux
RépondreSupprimer17. juin 2019
PAR JEAN-PHILIPPE BUCHS
Le taux moyen d’imposition des sociétés à statut fiscal spécial est très bas. Mais cela va changer avec la version cantonale de la réforme fédérale de la fiscalité des entreprises.
#fiscalité
#fiscalité des entreprises
#fribourg
Les entreprises à statut fiscal spécial sont majoritairement sises dans l'agglomération de Fribourg.
Le 30 juin prochain, les Fribourgeois se prononceront sur la version cantonale de RFFA, le paquet liant la réforme fédérale de la fiscalité des entreprises au renforcement de l’AVS qui a été adopté en votation populaire en mai dernier. Mais ils ignorent probablement que leur canton est le champion suisse des cadeaux fiscaux accordés aux personnes morales.
>> À lire aussi:Fiscalité des entreprises: Fribourg confirme sa réforme
Dans une brève étude, le Credit Suisse estime que le taux effectif de l’impôt sur le bénéfice des entreprises à statut fiscal spécial s’est élevé en moyenne à moins de 5% entre 2012 et 2014. «Cette situation s’explique les exonérations fiscales que nous avions accordées sous l’ère de l’arrêté Bonny en faveur des zones économiques en redéploiement», explique à Bilan Georges Godel, conseiller d’Etat en charge des finances.
De 8% à 13,72% dès 2020 ?
Dans une interview publiée récemment dans le tri-hebdomadaire La Gruyère, il a affirmé le taux moyen d’imposition de ce type de société atteint désormais 8%. Avec la réforme présentée au peuple à la suite d’un référendum lancé par l’association altermondialiste Attac-Fribourg et soutenu par la base du parti socialiste, celui-ci grimpera à 13,72% dès 2020. Ce taux est légèrement inférieur à celui voté dans les cantons de Vaud (13,79%) et de Genève (13,99%). Et les niches fiscales prévues par le droit fédéral ne seront introduites que de manière modérée avec des réductions d’impôts limitées à 20% du bénéfice.
«Comme je représente les intérêts de plusieurs multinationales étrangères installées dans le canton de Fribourg, j’avais exprimé les préoccupations de mes clientes au Conseil d’Etat et les sérieux risques qui découleraient d’une fiscalité trop forte», affirme Daniel Schafer, associé et avocat fiscaliste chez Lenz & Staehelin. «Le taux retenu de 13,72% constitue aujourd’hui un très bon compromis, analyse-t-il, même si on aurait pu espérer un taux se situant entre 12% et 13%, notamment de manière à renforcer encore plus l’attractivité du canton de Fribourg.»
>> À lire aussi:Le scénario ?scal qui hante les Genevois
Cette réforme est importante pour le canton de Fribourg en raison du rôle important joué les sociétés à statut fiscal spécial, lequel est plus conséquent qu’en moyenne suisse. Au nombre d’environ 1800, elles emploient quelque 3000 collaborateurs. Selon les calculs du Conseil d’Etat, leurs gains représentent 65% des bénéfices générés par l’ensemble des personnes morales et leur part dans les recettes tirées de l’impôt sur le bénéfice atteint 20%.
30 millions de mesures sociales
«Sous réserve du vote populaire cantonal du 30 juin prochain, le danger de voir des entreprises étrangères quitter Fribourg pour un autre canton voire pour un pays étranger est relativement faible. Cela dit, la plupart de ces sociétés, dont certaines paient des impôts selon le régime ordinaire, attendent avec impatience le sort du vote avant de se prononcer définitivement», explique Daniel Schafer.
RépondreSupprimerCette réforme prévoit aussi des mesures sociales pour un montant de 30 millions de francs, dont 22 millions de francs sont financés par les entreprises: augmentation des allocations familiales à 240 francs par enfant, soutien accru à l’accueil extra-familial et à la formation professionnelle, hausse des aides pour le paiement des primes-maladie.
https://www.bilan.ch/economie/fribourg-champion-des-cadeaux-fiscaux?mc_cid=63cf0c3cd7&mc_eid=76fa28326a
SupprimerPourquoi devrait-on interdire aux chefs d'entreprise d'avoir assez d'argent pour construire d'autres entreprises qui créent xxx emplois ? De quel droit interdire à quelqu'un d'être riche ? Tout le monde cherche à être riche ! Tout le monde !
Des agriculteurs indiens sèment des OGM dans le cadre d'une manifestation de « satyagraha », de désobéissance civile
RépondreSupprimer25 Juin 2019
par Seppi
Rédaction de l'Alliance pour la Science*
Quelque 1.500 agriculteurs se sont réunis aujourd'hui [10 juin 2019] en Inde pour semer illégalement des plantes génétiquement modifiées (GM) interdites par le gouvernement qui, selon eux, pourraient améliorer leurs moyens de subsistance et aider à réduire l'utilisation de pesticides.
Les agriculteurs se sont massés dans un champ à Akot, un village du Maharashtra, où ils ont semé symboliquement du brinjal (aubergine) Bt résistant à des parasites et du cotonnier résistant à un herbicide en violation de la réglementation gouvernementale, selon l'organisation de producteurs Shetkari Sanghatana, une organisation d'agriculteurs à l'origine de la manifestation de protestation populaire.
Lalit Patil Bahale, l'agriculteur qui a mis son champ a disposition pour la manifestation, a qualifié l'action de « satyagraha » – un terme forgé par le héros de l'indépendance indienne, le Mahatma Gandhi, pour ses campagnes de désobéissance civile non violente contre les lois injustes de l'époque coloniale.
L'action intervient après la découverte que des agriculteurs de l'État d'Haryana avaient semé du brinjal Bt, malgré un moratoire gouvernemental imposé en 2010 par le ministre de l'environnement de l'époque, Jairam Ramesh, à la demande de groupes anti-OGM.
Les agriculteurs qui cultivaient du brinjal Bt illégalement à Haryana ont vu leurs cultures détruites par les autorités. Shetkari Sanghatana a répondu qu’il soutenait « le droit des agriculteurs d'utiliser les semences de leur choix ».
Les agriculteurs réunis à Akot ont exigé que le gouvernement indemnise les agriculteurs de Haryana dont les plantations ont été détruites, et ont juré que « par solidarité, les participants vont collecter des fonds pour aider tous ceux qui pourraient être touchés de la même manière ».
Les agriculteurs scandent : « Liberté d'accès à la technologie – Nous voulons, nous voulons la liberté d'accès à la technologie – nous allons la prendre, nous allons la prendre. »
Un peu plus tôt, des militants anti-OGM avaient demandé à la police d'assister au rassemblement et d'arrêter les agriculteurs qui manifestaient. Rajesh Krishnan, de la Coalition pour une Inde sans OGM, a déclaré que « toute action de ce type constituerait une violation criminelle de la loi sur la biosécurité des OGM et serait confrontée à une action de la police, à des amendes ou à des arrestations, selon qu'il convient ».
Selon certaines informations, la police serait arrivée mais serait repartie sans procéder à des arrestations, et les semences GM auraient été mises en terre sans entrave sous le regard des agriculteurs.
De nombreux agriculteurs indiens citent en exemple le Bangladesh voisin, où des dizaines de milliers de petits exploitants ont adopté le brinjal Bt, ce qui leur permet de réduire considérablement l'utilisation de pesticides.
« Une douzaine de plantes GM, telles que le maïs, le soja et le cotonnier, sont utilisées dans le monde entier, et des millions de personnes et d'animaux les consomment depuis 20 ans », a déclaré Anil Ghanwat, président de Shetkari Sanghatana. « Il n'y a aucune preuve d'impact négatif sur la santé des êtres humains ou des animaux. »
RépondreSupprimer« Contrairement à ce qu'on prétend, les OGM ne polluent pas l’environnement, mais réduisent en réalité l’utilisation de pesticides qui nuisent à de nombreux insectes utiles. Les OGM améliorent réellement la biodiversité et, en réduisant les pertes de récoltes, réduisent la nécessité de cultiver davantage de terres. »
Le groupe a également indiqué qu'une décision avait été prise de déployer des campagnes similaires de désobéissance civile à travers le pays dans les jours et les semaines à venir.
_____________
* Source : https://allianceforscience.cornell.edu/blog/2019/06/indian-farmers-plant-gmo-seeds-civil-disobedience-satyagraha-protest/
http://seppi.over-blog.com/2019/06/des-agriculteurs-indiens-sement-des-ogm-dans-le-cadre-d-une-manifestation-de-satyagraha-de-desobeissance-civile-9.html
SupprimerSachant que TOUT ce qui nous entoure est 100 % OGM et que les abeilles, le vent, la pluie n'ont pas attendu l'arrivée de l'homme sur Terre avec ses laboratoires pour transformer la nature, les indiens (qui ont le droit de manger comme tout le monde) s'en remettent à l'intelligence des laboratoires qui - contrairement à la pluie, au vent ou aux abeilles - ne fabriquent pas n'importe quoi avec n'importe quoi et n'importe où - réfléchissent, étudient, analysent, testent tout avant d'annoncer une nouveauté.
RépondreSupprimerNous voulons des coquelicots : un ad hominem boomerang !
25 Juin 2019
par Seppi
C'est trop beau pour le laisser à des fils Twitter.
L'Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (ANSES) vient d'engager Mme Sophie Le Quellec au poste de directrice de la communication et des relations institutionnelles.
Dans son communiqué de presse, l'ANSES décrit brièvement le parcours de sa nouvelle directrice. On y trouve notamment :
« […] Après une première expérience dans le conseil, en tant que directrice d’études auprès d’entreprises du secteur agricole, puis après avoir suivi un cursus de formation en communication institutionnelle au Celsa, elle rejoint en 2002 l’agence de communication et de relations publiques i&e.
Chez i&e puis Burson-Marsteller i&e, où elle évolue jusqu’au poste de directeur conseil, elle se spécialise dans le domaine de la santé et en particulier dans les sujets de santé publique, de santé environnementale ou encore d’innovation médicale. Elle conseille et accompagne notamment l’Afsset, l’Agence de la biomédecine et le ministère en charge de l’écologie sur des orientations de communication institutionnelle, des campagnes de santé publique (don d’organes, don de gamètes) et des actions de concertation (Etats généraux de la bioéthique 2009, Assises nationales des risques naturels 2013, Rencontres nationales santé environnement 2013). »
Avez-vous bien lu : « ...agence de communication et de relations publiques » ? Il y a un gros mot pour désigner ce genre d'entreprise ! À Bruxelles, Burson Cohn & Wolfe Sprl – anciennement Burson-Marsteller Sprl – est une des trois premières entreprises de « lobbying » !
Il n'en fallut pas plus pour l'entreprise de lobbying Nous voulons des coquelicots – incorporée sous forme d'association loi 1901 à la suite, prétendument, d'une initiative issue d'une génération spontanée, mais au site Internet enregistré, comme c'est bizarre, au nom de Générations Futures, une autre entreprise de lobbying incorporée... (bis).
Notre fil se déroule à partir d'un gazouillis :
« Recruter pour sa com' une ex-lobbyiste issue d'un cabinet impliqué dans de sombres affaires industrielles, l'@Anses_fr l'a fait! Nous vous invitons à prendre votre + belle plume pour féliciter l'agence, @RogerGenet et @sophielequellec. »
- voir tableau sur site -
Le fil nous mène à « Une lobbyiste à l’Anses » sur le site à l'enseigne de Nous voulons des coquelicots, mais propriété de Générations Futures. En voici un morceau de lâcheté :
« […] Or elle a travaillé pendant quatorze ans, de 2002 à 2016, pour une agence de com et de lobbying appelée i&e, intégrée depuis 2012 dans la transnationale du lobbying Burson-Marsteller.
Burson-Marsteller a défendu les intérêts du Nigeria dans sa guerre atroce contre le Biafra entre 1967 et 1970. Les intérêts de General Motors, attaqué dans les années 70 par l’écologiste Ralph Nader. Les intérêts de l’Argentine fasciste après le coup d’Etat militaire de 1976. […]
- voir tableau sur site -
La liste est longue... Torquemada se livre sans retenue au sophisme du déshonneur par association... Insistons : l'opprobre déversé à grands seaux sur Burson-Marsteller doit nécessairement éclabousser Mme Sophie Le Quellec !
Dans le lot, il y a comme méfaits allégués :
RépondreSupprimer« Les intérêts du régime indonésien après le grand massacre commis par ses militaires sur des manifestants désarmés le 12 novembre 1991, à Dili (Timor-Oriental). »
Wikipedia, lui-même peu amène avec toutes ces choses que l'altermonde adore haïr, écrit pourtant :
« Après le massacre, en 1991 à Santa Cruz, de manifestants du Timor oriental par les forces d'occupation indonésiennes, le gouvernement indonésien a sollicité les services de Burson-Marsteller "pour aider le pays à améliorer le respect des droits de l’homme dans le pays et l'image associée à son environnement", selon la revue Far Eastern Economic Review. »
Contribuer à l'amélioration du respect des Droits de l'Homme ne peut que vous faire condamner par la Sainte Inquisition anti-pesticides* (* de synthèse).
Mais revenons à cette opération de démolition publique. La porte-parole d'une autre association, Alerte aux Toxiques – dont le site comporte une page de recommandations de vins bio et biodynamiques du Sud-Ouest – s'est fendue d'une « belle » lettre de félicitations.
Extrait :
« Mais vu l'expérience acquise dans les entreprises de renommée où vous avez été employée ; qui ont marqué durablement les esprits grâce à leur participation à des conflits abominables, des coups d'état militaires qui ont permis l’avènement du fascisme ou encore des catastrophes sanitaires et qui ont respectivement tué des milliers de personnes, je dois avouer que j'ai retrouvé la sérénité. Je suis certaine qu'ajoutée à vos compétences et vos qualités, vous serez largement à la hauteur de votre mission pour discréditer la recherche indépendante et saboter toutes les réglementations qui pourraient protéger notre santé au détriment des profits des actionnaires des firmes de l'industrie chimique. »
Quelle escalade ! Voilà que les entreprises ont participé « à des conflits abominables, des coups d'état militaires qui ont permis l’avènement du fascisme [...] » Au prochain coup, les entreprises « de renommée » auront été les protagonistes exclusifs de ces conflits, coups d'État, etc.
Vous aurez relevé dans le communiqué de presse de l'ANSES que Mme Sophie Le Quellec – qui a donc travaillé pour des entreprises infréquentables selon un diktat activiste – a conseillé de très honorables entités de l'administration française, et même le ministère de l'écologie/environnement.
Mais il y a mieux.
La fiche de la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique (HATVP) est ici. Oui, Biocoop est (ou a été) un client de Burson-Marsteller i&e. Et l'objet des relations lobbyiste-client de lobbyiste (employons les gros mots...) a bien été « Participation de Biocoop aux ateliers des Etats généraux de l'alimentation ».
La très vertueuse Biocoop – soutien des Coquelicots (et de Générations Futures) – qui défend ses intérêts avec le concours de la très dévergondée Burson-Marsteller i&e, c'est quand même ballot, non ?
Et faisons nôtre, avec une petite modification, la prose des amateurs de papavéracées :
« Amis, nous vous faisons toute confiance pour adresser vos plus vives félicitations au siège de l’ANSES des Coquelicots. Nous pensons, mais vous êtes seuls juges, que l’humour est encore la meilleure manière d’exprimer notre dégoût. »
http://seppi.over-blog.com/2019/06/nous-voulons-des-coquelicots-un-ad-hominem-boomerang.html
Quand M. Robin Mesnage, ex de l'équipe de l'infameuse étude sur les rats de Gilles-Éric Séralini, utilise une étude mise en place pour vérifier indirectement la première...
RépondreSupprimer24 Juin 2019
par Seppi
Quand M. Robin Mesnage, ex de l'équipe de l'infameuse étude sur les rats de Gilles-Éric Séralini, utilise une étude mise en place pour vérifier indirectement la première…
...et bien, nous sommes ravi !
« Relationship between faecal microbiota and plasma metabolome in rats fed NK603 and MON810 GM maize from the GMO90+ study » (relation entre le microbiote fécal et le métabolome plasmatique chez des rats nourris avec du maïs génétiquement modifié NK603 ou du maïs MON810 de l'étude GMO90 +) est de Robin Mesnage, Caroline I. Le Roy, Martina Biserni, Bernard Salles et Michael N. Antoniou. C'est – ou plutôt ce sera – publié dans Food and Chemical Toxicology.
Nous sommes ravi qu'il y ait eu une collaboration entre le laboratoire Toxalim (Université de Toulouse, INRA, INP, UPS) et le King's College de Londre.
Le résumé :
Points forts
• Nous avons évalué les effets du maïs génétiquement modifié NK603 et MON810 sur le microbiote intestinal du rat.
• La composition du microbiote fécal a été associée aux taux de métabolites plasmatiques.
• Aucune différence dans la composition du microbiote n'a pu être attribuée à la consommation de MON810 ou de NK603.
• La consommation de maïs NK603 traité ou non avec du Roundup au cours de la culture a montré des effets comparables.
Résumé (nous découpons...)
Les problèmes de sécurité liés à la consommation d'aliments dérivés de plantes génétiquement modifiées (GM) restent un sujet controversé.
Nous rapportons ici une analyse de la composition du microbiote fécal chez les rats Wistar de l'étude GMO90 +, qui ont été nourris pendant 6 mois avec du maïs NK603 tolérant le glyphosate (avec ou sans application de Roundup) ou du maïs MON810 génétiquement modifiée avec la toxine Bt, en comparaison avec les lignées isogéniques non GM les plus proches.
Nous avons d’abord intégré les données de composition du microbiote fécal avec les résultats de la métabolomique plasmatique afin de comprendre quelles espèces bactériennes peuvent influencer le métabolisme de l’hôte.
Coriobacteriaceae et Acetatifactor ont permis de prédire de manière significative le profil métabolique plasmatique chez les mâles, alors que Bifidobacterium et Ruminococcus étaient capables de prédire les métabolites plasmatiques chez les femelles.
Nous avons ensuite étudié les différences de composition du microbiote fécal entre les groupes de rats nourris avec du maïs génétiquement modifié MON810 ou NK603 par rapport à leurs lignées isogéniques. La richesse des communautés bactériennes n'a pas été altérée par les régimes testés. Il n'y avait aucune différence statistiquement significative dans l’abondance des taxons dans le microbiote fécal des rats que nous pussions attribuer à la consommation de MON810 ou de NK603.
Nous montrons que la consommation des variétés de maïs GM NK603 et MON810 largement cultivées, même jusqu’à 33% de l’alimentation totale, n’a aucun effet sur le statut du microbiote fécal par rapport aux lignées quasi isogéniques non génétiquement modifiées. »
http://seppi.over-blog.com/2019/06/quand-m.robin-mesnage-ex-de-l-equipe-de-l-infameuse-etude-sur-les-rats-de-gilles-eric-seralini-utilise-une-etude-mise-en-place-pour
Les canicules d’avant la canicule au cours du XXe siècle
RépondreSupprimerCanicule : quelques précédents météorologiques survenus au XXe siècle.
Par Jo Moreau.
Un article de Belgotopia
25 JUIN 2019
Nous sommes abreuvés d’avertissements affolés devant l’épouvantable canicule qui nous attend la semaine prochaine, alimentée par notre inaction devant le thermostat climatique, pourtant dénoncée par notre future doctoresse honoris causa et ses suiveuses.
Je me suis penché sur quelques précédents météorologiques survenus au XXe siècle, dont le début est caractérisé par une succession d’étés chauds et secs, et je vous en livre quelques exemples spectaculaires ici.
ANNO 1900
Janvier est doux et printanier. Février connait un véritable ouragan sur toute la France, avec des vents atteignant 180 km/h.
Le mois de juillet est le plus chaud à Paris depuis 1859. Longue période de fortes chaleurs avec des températures atteignant 40 degrés à Châteaudun. Paris manque d’eau.
Londres : on relève des cas d’insolation.
Cette période sera suivie de violents orages.
Plusieurs tornades en Belgique.
En octobre, nouvel épisode de chaleur exceptionnelle à Paris. Le 26 octobre inondations en Angleterre. Violentes tempêtes en Angleterre les 20, 27, 29 décembre et grandes inondations le 31 décembre.
ANNO 1911
L’été a été si sec en juillet et août qu’en Flandre, des centaines de personnes font la queue avec des seaux devant les fontaines publiques. En France, juillet août et septembre sont très chauds et les températures dépassent fréquemment 35°. On dénombra 40 000 morts dus à cette canicule, aussi bien des personnes âgées que des enfants en bas âge. Les premières vraies averses de pluie surviennent le 20 septembre.
La canicule a également sévi en Angleterre.
En septembre, violente tempête sur la côte belge.
ANNO 1921
Après la sécheresse qui a commencé à l’automne 1920, le 1er janvier 1921 la vague de douceur se poursuit : 19,4° à Bordeaux, 16,5° à Châteauroux, et s’aggrave en février. Mars et avril sont toujours exceptionnellement secs et ensoleillés.
Du 14 au 17 avril, il neige fréquemment sur presque toute la France – un orage déverse 20 cm de grêle sur le Languedoc dans la soirée du 14 avril.
En juin, la sécheresse devient dramatique, aucune goutte de pluie n’est observée dans l’Oise, la Somme et le Languedoc-Roussillon ; à Paris, c’est le mois de juin le plus sec depuis 1810, une vague de chaleur exceptionnelle se produit entre le 24 et le 28 juin ; le 28 juin, un orage de grêle ravage les Deux-Sèvres avec des grêlons de 125 grammes.
Un été caniculaire s’abat sur la Lorraine. Le déficit de pluie atteint des records. Les récoltes s’annoncent faibles ; les prés, pâturages et parcs sont « grillés » comme les arbres qui « se laissent déplumer » par le vent brûlant.
Juillet reste extrêmement sec, absolument sans pluie dans la Beauce, le pays de Caux et la Picardie ; du 22 mai au 11 juillet, il ne tombe que 2 mm à Paris.
Cette sécheresse concerne également les Pays-Bas et l’Angleterre (le débit de la Tamise est réduit au 1/10eme de la moyenne) – La sécheresse perdure en Angleterre. On y dénombre de nombreux décès dus à la chaleur. Record de chaleur depuis 40 ans.
RépondreSupprimerAux USA, les températures élevées perdurent depuis août 1920, avec des températures mensuelles supérieures de 3,4° (F) supérieures à la moyenne. Le mois de mars vit une température supérieure à 10,8° (F)
Le 13 juillet, on observe également une chaleur torride et un maximum de 44,8° aurait été mesuré à Bourg (il s’agit de la valeur non officielle la plus élevée mesurée à l’ombre, en France). Le vent déclenche des incendies en Champagne et le village de Loisy-sur-Marne est totalement détruit.
La vague de chaleur atteint son maximum les 28 et 29 juillet où l’on mesure des températures supérieures à 38° sur les trois quarts de la France (40 à 42° à Vesoul, Besançon, Albertville, Bourg en Bresse et Moulin)
Le 29 juillet, véritable « sirocco » en Lorraine. Les fils téléphoniques sont distendus par la chaleur.
En août, la grande sécheresse en Europe, combinée avec des températures élevées, est la cause d’une fonte rapide des glaciers alpins.
Le déficit de pluie atteint des records. Début août, les mirabelles se font rares et comme la terre des jardins des maraîchers est brûlée, les légumes « ont pour ainsi dire disparu. Un pied de salade très dure se paie à des prix inconnus. On n’arrive presque plus à obtenir le bouquet nécessaire au pot-au-feu », peut-on lire dans les comptes-rendus de l’époque. Les prés, pâturages et parcs sont « grillés » comme les arbres qui « se laissent déplumer » par le vent brûlant.
Octobre est le plus chaud et le plus sec depuis 1757. Une vague de chaleur exceptionnelle se produit du 1er au 20 octobre. Au cours de la première semaine, les températures dépassent partout les 30° -le 5 octobre, on atteint même 36° dans les Basses Pyrénées.
Le 4 novembre 1921 voit enfin le retour de la pluie, mettant fin à la sécheresse mais le beau temps dominera pratiquement jusqu’à Noël.
Après qu’un véritable ouragan ait balayé les Flandres et toute la Belgique dans la journée du 7 novembre, de l’air glacial envahit tout le pays entre le 11 et le 14 novembre
Du 4 au 7 décembre, les gelées restent très fortes. Les 28 et 29 décembre, sont à l’inverse très doux, les températures dépassent 15° sur presque tout le pays.
L’année 1921 aura été la plus chaude et la plus sèche à Paris depuis le début des observations météo (1851) ; au total, il ne tombe que 270 mm d’eau contre 625 mm en moyenne. L’insolation fut également très élevée avec 2314 h de soleil contre 1650 h en moyenne.
ANNO 1934
USA : Pratiquement l’ensemble du pays subit une sécheresse sévère. En juin, on relève des températures supérieures à 100°F (38°C)dans 48 états. Le Texas, l’Oklahoma et le Kansas sont l’objet d’une véritable catastrophe, qui provoque l’exode majoritairement définitif de 3 millions d’ habitants vers des cieux plus cléments.
Chine : vague de chaleur inhabituelle. Dans certains endroits, on relève des températures de 40 à 45° entraînant de nombreux décès. Les récoltes sont ruinées.
Japon : 4000 morts dans un typhon apocalyptique.
RépondreSupprimerFrance : vague de chaleur torride et sécheresse au printemps et en été. Mi-avril, la température atteint près de 30°. Mi-septembre, 36° à Clermont-Ferrand. En décembre, la température moyenne est supérieure de 5° à la normale.
Australie : sécheresse catastrophique, la majorité des forêts sont détruites.
Afrique du Sud : sécheresse sur tout le pays. Mort d’environ 10 millions de moutons.
Belgique : tornade dans la région du Centre. Plusieurs maisons détruites à Binche, où un train déraille, soufflé par les rafales.
Je vous épargne les années ultérieures, dont plusieurs ne furent pas tristes non plus !
https://www.contrepoints.org/2019/06/25/347644-les-canicules-davant-la-canicule-au-cours-du-xxe-siecle
Les canicules ne sont nullement dues au 'rapprochement excessif du soleil durant l'été' mais seulement aux éruptions sous marines et sous océaniques durant cette saison où elles sont plus remarquées qu'en hivers appelés 'hiver doux'.
SupprimerD'où ces montées de chaleur magmatique qui viennent s'ajouter à la saison et qui sont transportées par les vents.
Le niveaux des fleuves baissent. Pourquoi ?
Comme toutes terres arides, elles aspirent l'eau encore plus vite que un peu humides. C'est pourquoi l'eau des fleuves et rivières (comme celle des lacs) a tendance à migrer hors de leur lit vers ces terrains secs où de larges fentes lui facilitent sa circulation.