22 juin 2019, 20:13
Face à la censure grandissante pratiquée par Facebook ou Twitter, des concurrents se développent. Leur principe ? Un strict respect de la liberté d'expression des utilisateurs. RT France a interrogé les patrons de deux d'entre eux, Minds et Gab.
Le temps passant, porter sur les réseaux sociaux une voix qui s'affranchit du politiquement correct devient de plus en plus complexe. Des simples utilisateurs aux commentateurs politiques en passant par les journalistes, n'importe qui risque désormais de voir ses messages supprimés pour avoir enfreint les conditions d'utilisation – chaque jour plus restrictives – des géants de l'Internet.
Au risque de se voir purement et simplement privé d'accès à ces plateformes, à l'instar du très populaire Paul Joseph Watson, banni de Facebook, du journaliste du Sud Radio Didier Maisto, un temps banni de Twitter, ou plus récemment de la chaîne au demi-million d'abonnés Black Pigeon Speak, bannie de YouTube avant d'être réactivée sous la pression populaire.
La liberté d'expression est-elle menacée sur Internet ? Et avec elle, le rôle essentiel joué par Facebook, Twitter ou encore YouTube dans les récents mouvements sociaux, des printemps arabes au mouvement des Gilets jaunes ? Rien n'est moins sûr tant internet est un outil récent et en perpétuelle mutation. Dans un relatif anonymat, plusieurs entreprises ont décidé, il y a plusieurs années, de s'attaquer au monopole de ces géants avec un credo : laisser libre cours à la liberté d'expression des internautes sur leurs plateformes.
«Les Big tech ont perdu la confiance de la planète»
Minds, un réseau social open source et décentralisé, est de celles-là. Interrogé par RT France, Bill Ottman, fondateur de l'entreprise, explique ce qui a conduit à la naissance du projet. «Les entreprises des Big tech ont perdu la confiance de la planète. Les algorithmes restrictifs, le secret, la surveillance, la démonétisation [consistant à priver de revenus les chaînes YouTube jugées politiquement incorrectes], la censure et la centralisation excessive infectent le Web [...] Les abus des réseaux sociaux autour de la vie privée sont tellement accablants que nous ne pouvons plus les ignorer», affirme-t-il en préambule.
C'est donc en opposition à ce modèle que le projet voit le jour : «Nous pensons que les principaux réseaux sociaux doivent être gérés par le peuple, pour le peuple.» Aucune information personnelle n'est dès lors nécessaire pour pouvoir se connecter, et le réseau se veut le plus transparent possible sur son mode de fonctionnement. Quand l'algorithme de Facebook, qui inquiète jusqu'aux sénateurs américains pour sa propension à masquer certains contenus, est un secret bien gardé, les contenus mis en avant sur Minds sont au contraire directement gérés par les utilisateurs.
«Nous avons un système de récompense unique qui permet à nos principaux contributeurs de gagner des jetons et d'obtenir plus de vues sur le réseau en utilisant notre système publicitaire anti-surveillance Boost, ou de soutenir d'autres utilisateurs par des paiements en ligne», poursuit Bill Ottman, soulignant que le code de Minds est «100% gratuit et open source, ce qui permet un examen et une inspection rigoureux par les utilisateurs».
Côté modération de contenus, Minds mise encore sur l'innovation, la politique en la matière des géants de l'internet s'étant attiré les foudres de nombre d'utilisateurs, jusqu'au président américain Donald Trump. L'idée est de mettre en place un système de jurés afin que les utilisateurs aient leur mot à dire dans les décisions de modération. «L'objectif du système de jurés de Minds est d'avoir un processus plus démocratique et plus équitable pour examiner les décisions de modération, au lieu de contraindre la communauté à adhérer à la subjectivité d'une seule autorité centralisée, sans transparence», assure Bill Ottman.
Le patron de Minds précise par ailleurs que tous les contenus légaux sont autorisés sur la plateforme, et qu'un système de contrôle humain des contenus signalés par les robots a été mis en place, afin de limiter au maximum les erreurs de l'algorithme. Avec encore une fois, comme garde-fou, l'accès au code en open source. «Sinon, le réseau ou l'entreprise ne sont plus tenus de rendre des comptes», précise-t-il.
S'il est bien entendu essentiel pour Minds de s'atteler à la délicate tâche consistant à supprimer les contenus qui contreviennent à la loi, Bill Ottman souligne l'attachement du réseau à son principe fondateur : «Nous pensons que les libertés d'expression et d'opinion sont essentielles à l'humanité et que ces libertés doivent s'étendre à tout le spectre idéologique, plutôt qu'à ceux dont les idées sont considérées comme "conformes à la norme".»
«Construire l'internet de la liberté d'expression»
Aux Etats-Unis, pays de la sacro-sainte liberté d'expression, protégée par le Premier amendement de la Constitution, un tel positionnement fait toujours recette. Minds est en effet loin d'être le seul réseau social à avoir vu le jour en réponse aux menaces qui pèsent sur cette liberté. Ainsi, Gab, qui pourrait être comparé par son fonctionnement à Twitter, a été créé avec le même fil directeur, et ne nourrit pas moins d'ambitions. «Gab construit l'Internet de la liberté d'expression», confie à RT France son créateur Andrew Torba, qui revendique plus d'un million d'abonnés. «Notre mission est de décentraliser le contrôle de la communication en ligne, de protéger la liberté d'expression et de démocratiser l'accès à l'information sur internet en défendant les valeurs de la souveraineté individuelle, des logiciels libres et de la vie privée», fait-il encore valoir.
Le réseau social, dont la popularité augmente au rythme des controverses sur la modération des contenus éclaboussant Twitter, dispose pourtant d'une réputation sulfureuse. En cause, la volonté affichée de son créateur d'accueillir sur sa plateforme les utilisateurs bannis de Twitter pour leurs opinions politiquement incorrectes. Ce qui en fait, d'après les médias mainstream tel que Wired, un «paradis pour l'extrême droite». «La réponse à un "mauvais discours" ou à un "discours de haine", quelle que soit la définition que vous en donnez, est davantage de discours. Et ce sera toujours le cas», avait alors répondu Andrew Torba en octobre dernier dans une interview accordée à NPR.
En dehors de ses effets sur l'opinion publique, cette campagne médiatique a eu pour conséquence de pousser le service de paiement Paypal et l'entreprise de gestion de nom de domaine Godaddy à priver Gab de leurs services en 2018. Une décision qui met en lumière la volonté des entreprises de la Silicon Valley de s'attaquer à la concurrence par tous les moyens, selon Andrew Torba. «Un "déplateformage" coordonné, quand il est effectué de manière à limiter la concurrence dans un marché libre, est illégal. Nous pensons que les sociétés de la Silicon Valley s'unissent pour éliminer les concurrents des réseaux sociaux existants», soutient-il auprès de RT France.
D'après lui, la raison est simple : «Le principe de liberté d'expression à l'américaine est la seule chose susceptible de perturber les Big Tech à l'échelle mondiale.» C'est en tout cas en tablant dessus que la concurrence espère remettre en question l'hégémonie des géants du Net.
https://francais.rt.com/economie/63228-reseaux-sociaux-alternatifs-qui-attaquent-reseaux-sociaux-liberte-expression
Face à la censure grandissante pratiquée par Facebook ou Twitter, des concurrents se développent. Leur principe ? Un strict respect de la liberté d'expression des utilisateurs. RT France a interrogé les patrons de deux d'entre eux, Minds et Gab.
Le temps passant, porter sur les réseaux sociaux une voix qui s'affranchit du politiquement correct devient de plus en plus complexe. Des simples utilisateurs aux commentateurs politiques en passant par les journalistes, n'importe qui risque désormais de voir ses messages supprimés pour avoir enfreint les conditions d'utilisation – chaque jour plus restrictives – des géants de l'Internet.
Au risque de se voir purement et simplement privé d'accès à ces plateformes, à l'instar du très populaire Paul Joseph Watson, banni de Facebook, du journaliste du Sud Radio Didier Maisto, un temps banni de Twitter, ou plus récemment de la chaîne au demi-million d'abonnés Black Pigeon Speak, bannie de YouTube avant d'être réactivée sous la pression populaire.
La liberté d'expression est-elle menacée sur Internet ? Et avec elle, le rôle essentiel joué par Facebook, Twitter ou encore YouTube dans les récents mouvements sociaux, des printemps arabes au mouvement des Gilets jaunes ? Rien n'est moins sûr tant internet est un outil récent et en perpétuelle mutation. Dans un relatif anonymat, plusieurs entreprises ont décidé, il y a plusieurs années, de s'attaquer au monopole de ces géants avec un credo : laisser libre cours à la liberté d'expression des internautes sur leurs plateformes.
«Les Big tech ont perdu la confiance de la planète»
Minds, un réseau social open source et décentralisé, est de celles-là. Interrogé par RT France, Bill Ottman, fondateur de l'entreprise, explique ce qui a conduit à la naissance du projet. «Les entreprises des Big tech ont perdu la confiance de la planète. Les algorithmes restrictifs, le secret, la surveillance, la démonétisation [consistant à priver de revenus les chaînes YouTube jugées politiquement incorrectes], la censure et la centralisation excessive infectent le Web [...] Les abus des réseaux sociaux autour de la vie privée sont tellement accablants que nous ne pouvons plus les ignorer», affirme-t-il en préambule.
C'est donc en opposition à ce modèle que le projet voit le jour : «Nous pensons que les principaux réseaux sociaux doivent être gérés par le peuple, pour le peuple.» Aucune information personnelle n'est dès lors nécessaire pour pouvoir se connecter, et le réseau se veut le plus transparent possible sur son mode de fonctionnement. Quand l'algorithme de Facebook, qui inquiète jusqu'aux sénateurs américains pour sa propension à masquer certains contenus, est un secret bien gardé, les contenus mis en avant sur Minds sont au contraire directement gérés par les utilisateurs.
«Nous avons un système de récompense unique qui permet à nos principaux contributeurs de gagner des jetons et d'obtenir plus de vues sur le réseau en utilisant notre système publicitaire anti-surveillance Boost, ou de soutenir d'autres utilisateurs par des paiements en ligne», poursuit Bill Ottman, soulignant que le code de Minds est «100% gratuit et open source, ce qui permet un examen et une inspection rigoureux par les utilisateurs».
Côté modération de contenus, Minds mise encore sur l'innovation, la politique en la matière des géants de l'internet s'étant attiré les foudres de nombre d'utilisateurs, jusqu'au président américain Donald Trump. L'idée est de mettre en place un système de jurés afin que les utilisateurs aient leur mot à dire dans les décisions de modération. «L'objectif du système de jurés de Minds est d'avoir un processus plus démocratique et plus équitable pour examiner les décisions de modération, au lieu de contraindre la communauté à adhérer à la subjectivité d'une seule autorité centralisée, sans transparence», assure Bill Ottman.
Le patron de Minds précise par ailleurs que tous les contenus légaux sont autorisés sur la plateforme, et qu'un système de contrôle humain des contenus signalés par les robots a été mis en place, afin de limiter au maximum les erreurs de l'algorithme. Avec encore une fois, comme garde-fou, l'accès au code en open source. «Sinon, le réseau ou l'entreprise ne sont plus tenus de rendre des comptes», précise-t-il.
S'il est bien entendu essentiel pour Minds de s'atteler à la délicate tâche consistant à supprimer les contenus qui contreviennent à la loi, Bill Ottman souligne l'attachement du réseau à son principe fondateur : «Nous pensons que les libertés d'expression et d'opinion sont essentielles à l'humanité et que ces libertés doivent s'étendre à tout le spectre idéologique, plutôt qu'à ceux dont les idées sont considérées comme "conformes à la norme".»
«Construire l'internet de la liberté d'expression»
Aux Etats-Unis, pays de la sacro-sainte liberté d'expression, protégée par le Premier amendement de la Constitution, un tel positionnement fait toujours recette. Minds est en effet loin d'être le seul réseau social à avoir vu le jour en réponse aux menaces qui pèsent sur cette liberté. Ainsi, Gab, qui pourrait être comparé par son fonctionnement à Twitter, a été créé avec le même fil directeur, et ne nourrit pas moins d'ambitions. «Gab construit l'Internet de la liberté d'expression», confie à RT France son créateur Andrew Torba, qui revendique plus d'un million d'abonnés. «Notre mission est de décentraliser le contrôle de la communication en ligne, de protéger la liberté d'expression et de démocratiser l'accès à l'information sur internet en défendant les valeurs de la souveraineté individuelle, des logiciels libres et de la vie privée», fait-il encore valoir.
Le réseau social, dont la popularité augmente au rythme des controverses sur la modération des contenus éclaboussant Twitter, dispose pourtant d'une réputation sulfureuse. En cause, la volonté affichée de son créateur d'accueillir sur sa plateforme les utilisateurs bannis de Twitter pour leurs opinions politiquement incorrectes. Ce qui en fait, d'après les médias mainstream tel que Wired, un «paradis pour l'extrême droite». «La réponse à un "mauvais discours" ou à un "discours de haine", quelle que soit la définition que vous en donnez, est davantage de discours. Et ce sera toujours le cas», avait alors répondu Andrew Torba en octobre dernier dans une interview accordée à NPR.
En dehors de ses effets sur l'opinion publique, cette campagne médiatique a eu pour conséquence de pousser le service de paiement Paypal et l'entreprise de gestion de nom de domaine Godaddy à priver Gab de leurs services en 2018. Une décision qui met en lumière la volonté des entreprises de la Silicon Valley de s'attaquer à la concurrence par tous les moyens, selon Andrew Torba. «Un "déplateformage" coordonné, quand il est effectué de manière à limiter la concurrence dans un marché libre, est illégal. Nous pensons que les sociétés de la Silicon Valley s'unissent pour éliminer les concurrents des réseaux sociaux existants», soutient-il auprès de RT France.
D'après lui, la raison est simple : «Le principe de liberté d'expression à l'américaine est la seule chose susceptible de perturber les Big Tech à l'échelle mondiale.» C'est en tout cas en tablant dessus que la concurrence espère remettre en question l'hégémonie des géants du Net.
https://francais.rt.com/economie/63228-reseaux-sociaux-alternatifs-qui-attaquent-reseaux-sociaux-liberte-expression
(...) S'exprimant jeudi avec une poignée de journalistes, le président français écarte toute idée que la France s'inspire de la démocratie directe helvétique, «qui ne marche pas aussi bien qu'on le pense». (...)
RépondreSupprimerhttps://huemaurice5.blogspot.com/2019/02/coin-du-feu-pour-macron-la-suisse-nest.html
Un premier blessé grave à déplorer suite à la reprise des blocages sur la route par les Gilets jaunes
RépondreSupprimer12:43 22.06.2019
Un automobiliste a forcé ce matin un barrage de Gilets jaunes à Saint-Avold, en Moselle, blessant sérieusement un homme, relate Le Républicain Lorrain.
Un conducteur a renversé un homme ce samedi 22 juin en forçant un barrage de Gilets jaunes à Saint-Avold, en Moselle, relate Le Républicain Lorrain.
Selon le quotidien, les faits se sont produits peu après 9h. La victime, sérieusement blessée, a été prise en charge par des street medics avant d’être emmenée à l’hôpital par les sapeurs-pompiers.
À en croire les témoins, l’automobiliste «aurait forcé un barrage une première fois, circulé sur la zone commerciale de Longeville-lès-Saint-Avold» avant de revenir «en forçant à nouveau le passage, et c’est à ce moment que se serait produit l’accident».
Les Gilets jaunes se sont rassemblés ce 22 juin, dès le matin, à proximité du rond-point du secteur de Saint-Avold. La circulation a été temporairement ralentie avant que le rond-point ne soit débloqué par la gendarmerie, les manifestants le quittant peu avant 10h.
https://fr.sputniknews.com/france/201906221041495074-un-premier-blesse-grave-a-deplorer-suite-a-la-reprise-des-blocages-sur-la-route-par-les-gilets/
L’Écosse va prendre son indépendance du Royaume-Uni, selon Bloomberg
RépondreSupprimer13:57 22.06.2019
Un nouveau référendum sur l’indépendance de l’Écosse pourrait être organisé après que le Royaume-Uni aura quitté l’Union européenne. En 2016, 62% des électeurs écossais s’étaient prononcés contre le Brexit.
Alors que le Parti conservateur britannique est en train d’élire son nouveau Premier ministre qui devra mettre en œuvre le Brexit, la question de l’indépendance est à nouveau à l’ordre du jour en Écosse, indique Bloomberg.
Dans son discours à l’European Policy Centre (EPC), la Première ministre écossaise, Nicola Sturgeon, a déclaré le 11 juin que la sortie de l’UE allait à l’encontre des intérêts de son pays.
«C’est pourquoi le gouvernement écossais se prépare à donner au peuple […] le choix de devenir un pays indépendant», a-t-elle précisé.
Fin mai, elle a déclaré que le référendum pourrait avoir lieu avant la fin de l’année 2020.
La majorité écrasante des Écossais (62%) ont voté contre la sortie de l’UE lors du référendum sur le Brexit en 2016.
Le dernier référendum sur l’indépendance de l’Écosse a eu lieu en 2014. À l’époque, 55% des électeurs s’y étaient opposés.
Mais comme l’indique Bloomberg, l’opinion des Écossais a basculé en raison du Brexit.
«Il y a un changement clair concernant le soutien à l’indépendance», indique Simon Pia, l’ancien directeur de communications du Parti travailliste au Parlement écossais. Il a d’ailleurs voté contre l’indépendance en 2014 mais a changé d’avis depuis.
Bloomberg ajoute que si Boris Johnson était élu leader du Parti conservateur et, par conséquent, Premier ministre britannique, les aspirations indépendantistes de l’Écosse risquaient de se renforcer davantage.
Dans le même temps, l’agence indique que l’économie écossaise est «le talon d’Achille» du pays. Son industrie pétrolière, qui pourrait financer la séparation avec le Royaume-Uni, est en déclin.
https://fr.sputniknews.com/international/201906221041496271-lecosse-va-prendre-son-independance-du-royaume-uni-selon-bloomberg/
Un mineur écroué à Marseille après avoir mortellement poignardé une étudiante pour lui voler son portable
RépondreSupprimer21:17 06.06.2019
Lundi 3 juin, l’agresseur présumé d’une jeune femme de 21 ans mortellement poignardée le 17 mars a été arrêté et écroué. Le mineur a pourtant nié toutes les accusations.
Coupable présumé du meurtre d'une étudiante de 21 ans, Marie-Bélen Pisano, dans le Ve arrondissement de Marseille, un mineur a été interpellé et écroué, relate le quotidien La Provence. Les enquêteurs ont réussi à l'identifier grâce à l'ADN retrouvé sur la victime. Toutefois, l'adolescent nie toutes les accusations.
C'est le 17 mars qu'est survenu le drame. Une jeune femme a trouvé la mort à la suite d'un coup de couteau au thorax, près de la station de métro La Timone. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'agresseur a attaqué la jeune femme pour lui voler son portable. Elle a été prise en charge par les services de secours, avant de décéder une heure plus tard à l'hôpital.
Les enquêteurs n'avaient en leur possession qu'une capture d'écran sur laquelle figurait l'agresseur, vêtu d'une veste en cuir et portant un sac en bandoulière sombre et un chapeau noir. Ils ont immédiatement lancé un appel à témoins afin de l'identifier.
https://fr.sputniknews.com/france/201906061041375122-mineur-ecroue-marseille-mortellement-poignarde-etudiante-voler-portable/
ICE cible des milliers de familles de migrants dans les "Rassemblements de masse" prévues pour dimanche
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 22/06/2019 - 10:34
Les activistes pro-immigration sont sur le point de devenir furieux - probablement plus que jamais depuis que Trump a annulé la politique de "tolérance zéro" en matière de séparation des familles le printemps dernier - le président Trump ayant apparemment ordonné à ICE de commencer à rassembler les migrants clandestins a reçu des ordres d'expulsion, selon le Washington Post.
Les rassemblements de masse devraient commencer par une série de raids avant l'aube dimanche dans certaines des plus grandes villes d'Amérique. Pas moins de 10 villes, dont Houston et Miami, sont prêtes à accueillir des agents de l'ICE lors de la première série de raids. Jusqu'à 2 000 familles devraient être ciblées dans ce qui a été décrit comme une "opération familiale" (nous pouvons déjà imaginer le libellé de ce tweet d'AOC).
Le secrétaire par intérim du DHS, Kevin McAleenan, a exhorté ICE à envisager des opérations plus ciblées visant à détenir des montants plus modestes d'immigrés clandestins, dont la plupart ont déjà été assistés par un avocat.
Target mène le détaillant à se révolter contre le service public d'électricité de Virginia
McAleenan a averti qu'une opération aveugle visant à arrêter des migrants à leur domicile et sur leur lieu de travail risquerait non seulement de séparer les enfants de leurs parents, mais aussi de saper le dossier de l'agence pour le Congrès, qui demande plus d'argent pour lutter contre la crise à la frontière (si nécessaire). la crise est à la frontière, alors pourquoi ICE ne concentre-t-il pas ses actifs à la frontière ?)
Cependant, il est essentiel que l'administration Trump poursuive les raids après que le président a annoncé lundi que les rafles de masse commenceraient "la semaine prochaine".
Depuis que WaPo a principalement raconté son histoire à des responsables anonymes, le porte-parole de l'ICE, Carol Danko, a refusé de commenter l'enregistrement, affirmant que "en tant qu'organisme chargé de l'application de la loi, l'ICE a pour mission de faire respecter la loi. Les opérations visant les contrevenants aux lois sur l'immigration pratique habituelle, mais dans les limites du pouvoir statutaire prescrit par le Congrès. "
En ce qui concerne les familles, ICE prévoit d’utiliser des chambres d’hôtel et d’autres espaces en tant que centre de détention ad hoc pour les familles au début de la rafle. Même certaines personnes qui ne peuvent pas être immédiatement expulsées peuvent se retrouver en détention en vertu d'une politique connue sous le nom "d'arrestations collatérales", a expliqué plus en détail ci-dessous:
L'agence prévoit d'utiliser les chambres d'hôtel comme aires de rassemblement temporaires pour détenir parents et enfants jusqu'à ce que tous les membres d'une famille soient ensemble et prêts à être expulsés. Les autorités reconnaissent également qu’elles pourraient arrêter des personnes qu’elles ne peuvent pas expulser immédiatement, appelées «arrestations collatérales» - et qu’elles relâcheront probablement ces personnes à l’aide de dispositifs de surveillance de la cheville. Morgan, Matt Albence, directeur adjoint de l'ICE, entre autres, sont impatients d'entamer l'opération, malgré le risque de réaction du public contre une agence suite à l'intensification des appels à "Abolish ICE" à la suite de la répression infructueuse de la politique de "tolérance zéro" menée par l'administration. de 2 700 enfants de leurs parents.
Étant donné que l’élément de surprise est essentiel dans les opérations de cette envergure, tous les responsables de l’application de la loi ont été abasourdis lorsque le président Trump est sorti et a annoncé publiquement ses plans. Beaucoup soupçonnent maintenant que les opérations sont destinées à servir un objectif politique duel qui pourrait compromettre leur efficacité.
RépondreSupprimerD'autres pensent que l'avertissement de Trump sert un objectif important: avertir les migrants qui envisagent de venir ici.
"La" tolérance zéro "n’a pas été télégraphiée et n’a pas été diffusée très bien. L’idée est donc de s’assurer que tout le monde sait ce qui les attend", a déclaré un haut responsable de l’administration. "Nous pensons qu'il faut faire les choses différemment, en expliquant que ce sont des personnes en attente de renvoi qui ont refusé de partir."
Morgan et d’autres membres de ICE insistent sur le fait que l’opération est cruciale pour préserver l’intégrité du système d’immigration américain. Près d’un million d’immigrants vivant aux États-Unis se sont vu ordonner une mesure d’expulsion, et ICE effectue environ 7 000 expulsions par mois en provenance de l’intérieur du pays.
Selon les statistiques de l'EDS, moins de deux pour cent des familles arrivées d'Amérique centrale en 2017 ont été expulsées.
"En février, nous avons envoyé des lettres à ces personnes pour leur dire qu'elles avaient reçu une ordonnance de renvoi", a déclaré Morgan aux journalistes cette semaine. "Nous sommes sur le point où nous n'avons d'autre choix que d'utiliser notre autorité statutaire d'application de la loi pour déterminer où se trouvent ces personnes et les renvoyer."
Mais, à quelques semaines du premier tour des débats primaires démocrates, quel que soit le succès de l'opération, attendez-vous à ce que ces "rafles de masse" génèrent des comparaisons plus défavorables avec le Troisième Reich parmi les éléments les plus à gauche du Parti démocrate.
https://www.zerohedge.com/news/2019-06-21/ice-targets-1000s-migrant-families-mass-roundups-expected-sunday
Les 'poussières intelligentes'
RépondreSupprimermercredi 7 novembre 2012
- voir clip sur site -
2-7 Interview Hildegarde staninger (Morgellons... par kodemon2
- voir clip sur site -
7-7 Projet 2025, Nanotechnologie et l'EVIDENCE ! par kodemon2
Fibres nano-technologique qui 'tombent du ciel' et pénètrent dans la peau des gens ! Ces 'cheveux invisibles' tant ils sont fins et venus des chemtrails ont atteint plus de 60.000 personnes au USA et 100.00 dans le monde avec une progression de 1000 par jour ! Ces nano-tubes de parfois longs de plusieurs mètres (épaisseur comprise entre 1 et 20 nanomètres) n'ont pu fondre à 600°C et même à 1400°C ! tant leur résistance semble être à toutes épreuves. La docteur Hildegarde Staninger nous parle de ces 'morgellons' qui fréquentent le corps humain comme des vers solitaires mais sans en créer le danger véritable d'un corps étrangers sauf des démangeaisons insupportables. Ces fils inconnus laissent apparaître une 'tête dorée' lors de leur combustion. Ces nano-robots ont un comportement de 'matière vivante' et se déplacent et se contorsionnent comme telle. Ces morgellons seraient issus de laboratoires de recherche et commandés par des ondes extérieures (via peut-être la proximité de téléphone cellulaires, décodeurs numériques et antennes de géo-localisation).
1°) Ce n'est pas un parasite. 2°) Ça ne se produit pas tout seul. 3°) Ce n'est pas biologique et 4°) C'est fait par l'homme !
Ces fils de l'ordre du millionième de millimètre (milliardième du mètre) ne sont pas des 'échappés' d'une quelconque entreprise de filature hight tech où la nano technologie entre en force pour assurer l'imperméabilité de divers tissus mais des fils volants répandus par avions. Les pouvoirs publics s'en inquiètent-ils ? Pas du tout ! "No comment". Un silence qui en dit long. Si cette technologie était d'avenir pacifique il n'y aurait pas lieu de s'en cacher.
Jusqu'aux 'poussières intelligentes' - dont nous parle la Dr Staninger - et qui n'ont rien de comparabilité avec celles d'amiante mais qui pourraient devenir dangereuses sinon plus que celles que nous connaissons à ce jour. Un secret bien gardé dont les stries spatiales font de longues traînées blanches dans le ciel derrière les avions. Plus de 7000 avions traversent la France chaque jour (Paris/Marseille, Zurich/New-York, Berlin/Rio de Janeiro, etc) et, seulement... quelques traits ! A croire que les autres avions sont à hélices !
https://huemaurice5.blogspot.com/2012/11/les-poussieres-intelligentes.html
Nouvelles des EPR de par le monde
RépondreSupprimerle 22 juin 2019
Alors que le second EPR chinois sur le site de Taishan a atteint la phase critique de la divergence neutronique, en d’autres termes que la fission de l’uranium 235 enrichi à 5 % s’auto-entretient en produisant de la chaleur, qu’en est-il des autres EPR ? Le réacteur EPR 1 du même site chinois dont la construction avait débuté en 2009 avait atteint le même stade le 6 juin 2018 et a été connecté au réseau trois semaines plus tard. La certification finale fut accordée le 13 décembre de la même année. En ce qui concerne l’EPR finlandais d’Olkiluoto, le combustible est en cours de chargement et il devrait être connecté au réseau électrique à la fin du mois d’octobre de cette année 2019. Son exploitation commerciale certifiée est prévue pour janvier 2020.
Venons-en à l’EPR franco-français puisque cette technologie a été développée en France avec la collaboration du groupe allemand Siemens. L’EPR de Flamanville est toujours en « construction », celle-ci débuta en décembre 2007. Toujours en construction signifie qu’il reste 6 soudures au niveau du circuit primaire de vapeur à réparer car elle sont considérées comme défectueuses par l’ASN, le « gendarme du nucléaire » français. L’EPR français ne sera probablement pas connecté au réseau avant la fin de l’année 2022 !
Il aura donc fallu au mieux 15 ans pour que l’EPR finlandais soit connecté au réseau, La construction des deux EPR chinois débuta respectivement en 2009 et 2010 et le premier à être connecté au réseau le fut 9 ans plus tard. Il en sera de même pour l’unité 2 du site de Taishan. Quand à l’EPR de Flamanville, au mieux, il sera connecté au réseau 15 ans après la première coulée de béton, comme l’EPR finlandais. Les dirigeants d’EDF, qui ne sont pas maîtres d’oeuvre en Chine, n’ont cessé de répéter qu’il faut toujours beaucoup de temps pour atteindre le stade du fonctionnement commercial d’un prototype. Il ne faut pas se moquer des observateurs. Le fait est que les Chinois sont plus efficaces que les Français ou les Européens d’une manière générale et ils en ont fait une brillante démonstration à Taishan.
Inutile d’insister sur les coûts que représentent les retards successifs qu’il serait fastidieux d’examiner ici dans le détail. Il faut retenir pour se faire une idée des capitaux engagés dans la construction de ces monstres que le coût global estimé pour un réacteur EPR britannique sur le site d’Hinckley Point C avoisinera les 10 milliards d’euros et sera environ le double de celui d’un réacteur Chinois sur le site de Taishan. Je tiens le pari que le prochain EPR construit en France le sera par une entreprise chinoise …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/06/22/nouvelles-des-epr-de-par-le-monde/
Nous avons essayé de publier une reproduction d'un article scientifique dans Science. Le journal refusé.
RépondreSupprimerNos recherches suggèrent que la théorie selon laquelle les conservateurs et les libéraux réagissent différemment aux menaces n’est pas vraiment vraie.
Par KEVIN ARCENEAUX, BERT N. BAKKER, CLAIRE GOTHREAU et GIJS SCHUMACHER
20 JUIN 2019 6: 43 heures
La science est censée se corriger d'elle-même. Des faits laids tuent de belles théories, pour paraphraser le biologiste du 19ème siècle, Thomas Huxley. Mais, comme nous l’avons appris récemment, les politiques des principales revues scientifiques ne facilitent pas cette tâche.
Notre histoire commence en 2008, quand un groupe de chercheurs a publié un article (ici sans mur de paiement) selon lequel les conservateurs politiques ont des réactions physiologiques plus fortes aux images menaçantes que les libéraux. L'article a été publié dans Science, qui est l'une des revues de science générale les plus prestigieuses du monde. C’est le genre de journal qui peut faire carrière dans le monde universitaire.
C'était une étude novatrice et provocante. Pendant des décennies, les politologues et les psychologues ont essayé de comprendre les racines psychologiques des différences idéologiques. L'article publié dans Science a donné quelques indications sur la raison pour laquelle les libéraux et les conservateurs ont des visions du monde différentes. Les chercheurs ont suggéré que cela dépend peut-être de la façon dont le cerveau est câblé, en particulier parce que le cerveau des conservateurs est plus sensible aux menaces que les libéraux. C’était une découverte passionnante, elle a contribué à l’inauguration d’une nouvelle vague de travaux psychophysiologiques dans le domaine de l’étude de la politique et elle a généré une large couverture dans les médias populaires. En 2018, 10 ans après la publication de l’étude, les résultats ont été présentés dans un épisode du podcast Hidden Brain de NPR.
Avance rapide jusqu'en 2014. Nous étudions tous les quatre les bases physiologiques des attitudes politiques, deux à Amsterdam, aux Pays-Bas (Bakker et Schumacher à l'Université d'Amsterdam) et deux à Philadelphie (Arceneaux et Gothreau à Temple University). Nous avions collecté des fonds pour créer des laboratoires dotés d'équipements coûteux pour la mesure des réactions physiologiques, car nous étions enthousiasmés par les possibilités offertes par la recherche de 2008.
Les chercheurs à l'origine de l'article de Science avaient montré une série d'images à 46 participants du Nebraska et utilisaient du matériel pour enregistrer la transpiration provoquée par les paumes des participants. Les images incluaient des choses effrayantes, comme une araignée sur le visage d’une personne. Nous avons effectué deux réplications «conceptuelles» (une aux Pays-Bas et une aux États-Unis) qui utilisaient des images différentes pour obtenir la même idée de «menace», par exemple une arme à feu pointant vers l'écran. Notre intention dans ces premières études était d’essayer la même chose afin de calibrer notre nouvel équipement. Mais les deux équipes n’ont pas trouvé de façon indépendante que les réactions physiologiques de ces personnes à ces images étaient corrélées à leurs attitudes politiques.
Nous pensons que c’est une mauvaise politique pour les revues comme Science de publier de grandes idées audacieuses puis de laisser le soin à des revues spécialisées de publier des répliques montrant que ces idées ne sont pas si précises après tout.
Notre première pensée a été que nous faisions quelque chose de mal. Nous avons donc demandé aux chercheurs de l’origine les images qu’ils nous ont généreusement fournies et nous en avons ajouté quelques-unes. Nous avons pris la décision de «pré-enregistrer» une reproduction plus directe de l’étude Science, ce qui signifie que nous avons détaillé ce que nous allions faire avant de le faire et de le rendre public. La réplication directe a eu lieu à Philadelphie, où nous avons recruté 202 participants (plus de quatre fois que la taille de l’échantillon initial de 46 utilisée dans l’étude Science). Encore une fois, nous n’avons trouvé aucune corrélation entre les réactions physiologiques à des images menaçantes (les originales ou celles que nous avons ajoutées) et le conservatisme politique - quelle que soit la façon dont nous avons examiné les données.
RépondreSupprimerÀ ce stade, nous étions devenus plus sceptiques quant à la logique qui animait l’étude initiale. Les neuroscientifiques peuvent souvent trouver une mauvaise correspondance entre les réponses physiologiques et les attitudes auto-déclarées. La question est de savoir si cette relation est vraiment aussi significative que nous le pensons parfois. Le cerveau est un organe complexe avec des systèmes parallèles de conscience et d’inconscient qui n’affectent pas toujours les autres face à face. Nous pensons toujours qu’il est utile d’explorer comment les réactions physiologiques et l’expérience consciente façonnent les attitudes et les comportements politiques, mais après un examen plus approfondi, nous avons conclu que de telles relations étaient plus complexes que nous ne le pensions (et les chercheurs du document Science).
Nous avons rédigé un document faisant état des études de réplication ayant échoué, ainsi
https://slate.com/technology/2019/06/science-replication-conservatives-liberals-reacting-to-threats.html?via=gdpr-consent
Peter Ridd: La grande barrière de corail contient à peu près la même quantité de corail qu'en 1985
RépondreSupprimerJune 23rd, 2019
L’équipe IPA a interviewé Peter Ridd à propos de la barrière de corail, du blanchissement des coraux, de son histoire et de l’état de la liberté d’expression dans les universités (elle n’existe pas). Ils discutent de la manière dont nous pourrions réformer la science (les universités sont presque une cause perdue).
- voir clip sur site -
Peter Ridd: De tous les écosystèmes du monde, le récif est celui qui s’adapte le mieux au changement climatique.
Mes notes notées:
6h00: Statistiques de blanchiment
En 2016, 8% du récif est mort, mais la régénération est rapide - il peut se rétablir en un an.
La règle générale pour les coraux est le plus chaud, mieux c'est. Si vous voulez voir les pires coraux, allez voir le port de Sydney. Il y a même des coraux en Ecosse. S'il faisait plus chaud, il y aurait plus de coraux. Les températures pour les coraux vont jusqu'à 38 ° C dans la mer rouge et les coraux en sont satisfaits.
11h00: l'histoire de lui qui commence à parler dans les médias
17h00: La crise de la réplication dans la science moderne
Le problème est qu'il n'y a pas de conséquences lorsque les scientifiques ont tort. Il y a une volonté de publier, et plus il y en a, mieux ce sera, mais près de la moitié de la recherche sera fausse, et cela n'aura aucune conséquence.
Si vous ne pouvez pas le reproduire, ce n’est pas de la science, mais l’ARC (Australian Research Council) a pour politique de ne soutenir que les nouveaux travaux et ne finance donc pas d’étude de réplication. Ridd a essayé d’obtenir des fonds pour reproduire d’autres travaux, mais l’ARC ne l’aurait pas fait.
Fondamentalement, il s’agit de l’assurance qualité. Si vous n’avez pas de processus sur lequel vous pouvez compter, même si vous vous trompez, vous n’avez pas quelque chose de valable, vous ne pouvez pas compter sur lui si vous ne pouvez pas faire confiance au processus.
21h00: l'histoire de la façon dont James Cook Uni a commencé à sévir.
27h00: Le jugement du tribunal.
35:00 mins: ce que Peter Ridd a appris sur le monde universitaire
Malheureusement, la plupart des universitaires ne s’intéressent pas à la liberté académique. Il n’ya pas de contrition. Sans regret. Le système universitaire a besoin d'une réforme massive.
La leçon à tirer de mon cas est qu'aucun universitaire ne peut prendre la parole.
Les professeurs n'ont plus de pouvoir, pas de budget. Les universités sont contrôlées par des administrateurs.
Nous devons amener d'autres personnes dans le monde universitaire - des points de vue divers.
Peter Ridd s'est appuyé sur une clause 13.3, qui a maintenant été supprimée de JCU. C’est pire à Sydney Uni.
Comment réformons-nous la science…
Jennifer Marohasy
http://joannenova.com.au/2019/06/peter-ridd-the-great-barrier-reef-has-about-the-same-amount-of-coral-as-in-1985/#more-64884
Surprise: 17 000 portefeuilles perdus montrent que les humains sont des gens gentils (la plupart du temps)
RépondreSupprimerJune 22nd, 2019
Les humains sont une espèce grégaire. La plupart des gens font ce qu’il faut, et c’est cet altruisme, ou cette auto-identification en tant que «bonne personne», que l’industrie du climat cherche à obtenir.
Dans une nouvelle étude, les chercheurs ont prétendu être des touristes, déposant 17 000 portefeuilles qu’ils avaient «trouvés» dans des banques, des bureaux, des théâtres et autres, puis repérant ceux qui avaient été rendus. À l’étonnement de la plupart des gens (profanes et experts), non seulement beaucoup de portefeuilles ont été retournés, mais ceux avec le plus d’argent (94 $) ont été rendus plus souvent.
Ce que personne ne semble avoir remarqué, c'est que ces portefeuilles n'étaient que des pochettes en plastique. Ce qui est d'autant plus étonnant que dans un si grand nombre de pays, un simple dollar dans une enveloppe en plastique pourrait inciter la moitié (ou plus) de la population à envoyer un courrier électronique. Combien de personnes ne pourraient pas être dérangées, non pas parce qu’elles sont malhonnêtes, mais avec l’essence et le stationnement, cela ne vaut pas la peine que les propriétaires prennent le temps de venir chercher ça ? En effet, les gens ont même envoyé un courrier électronique pour renvoyer les «portefeuilles» qui n’avaient pas d’argent pour commencer.
Ed Cara de Gizmodo a résumé par inadvertance l’esprit de la haine de soi occidentale en affirmant que cette nouvelle étude montre «… peut-être n’avons-nous pas une espèce aussi terrible que nous le pensons. "Ou pour reformuler, peut-être que nous ne sommes pas aussi affreux que le politiquement correct veut nous faire croire que nous sommes?"
Kennedy a dit: Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous - demandez ce que vous pouvez faire pour votre pays, mais qui le dit plus ? Ce serait un homme politique courageux qui plaiderait pour un sacrifice pour «l'équipe». Pourtant, les gens aiment bien l'idée d'aider les autres.
Le monde du portefeuille revient
C’est vraiment incroyable de voir combien de portefeuilles presque sans valeur ont été signalés à leurs propriétaires. Étant donné que les deux portefeuilles du graphique ci-dessous valent 0 $ et 13 $, il est également possible que ce test ne mesure pas l’honnêteté, mais plutôt la conscience et l’organisation. Certains des pays les moins bien notés peuvent avoir plus de participants vivant dans un état de chaos. Certains portefeuilles auront été oubliés et perdus.
La somme d'argent dans le portefeuille a été ajustée à la parité de pouvoir d'achat de chaque pays.
Recherche sur l'honnêteté, Graph. Les portefeuilles sont retournés.
- voir graphique par pays sur site - (en tête la Suisse !)
Les points bleu foncé sont les taux de retour des portefeuilles à 0 $. Le bleu plus léger avait 13 $.
Le portefeuille de tests de 94 dollars n'a été laissé que dans trois pays. Dans les trois cas, les gens ont fait plus d’efforts pour rendre le portefeuille plus précieux. Si les portefeuilles avaient été réels (au lieu de ceux en plastique jetables), les taux de retour seraient probablement encore plus élevés, en particulier pour le test «pas d’argent».
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerGraphique, Pologne, Royaume-Uni, États-Unis, beaucoup d'argent, honnêteté.
Fig. 2Tarifs des rapports en fonction des enjeux monétaires. Partage des portefeuilles déclarés dans les conditions Pas d'argent (0 US $), Money (13,45 USD) et Big-Money (94,15 US $).
On peut en dire long sur la valeur d'une société de grande confiance. Ce n’est pas seulement agréable de vivre et plus en sécurité, mais c’est beaucoup plus efficace.
Malheureusement, on ne peut pas en dire beaucoup ici en Australie sur les raisons pour lesquelles certains pays pourraient se classer plus haut ou plus bas sur cette liste. La culture est importante, mais la section 18C signifie que nous ne pouvons pas offenser les gens même si nous voulons les aider à vivre une existence moins corrompue et déprimante.
C'était une étude assez exhaustive. Les chercheurs ont changé les noms, la devise et les langues de chaque pays pour que le portefeuille semble appartenir à un local. Ils ont également essayé de contrôler l'utilisation de caméras de sécurité, de badauds et de pénalités. Ils ont mis en corrélation croisée les données de nombreuses façons. Dans le fichier supplémentaire, ils comparaient et contrôlaient l'utilisation du courrier électronique, le PIB, la fertilité du sol, la température, le classement des hôtels, la géographie, les années de démocratie, les liens familiaux, les agents pathogènes et même les précipitations. (Lire le fichier de supplément). Malgré toutes ces variables, la plupart du temps, la réponse a été expliquée par des personnes simplement gentilles.
Les chercheurs ont fait remarquer que l’un des principaux facteurs de motivation est que les gens ne veulent pas avoir l’impression de voler. Cela s'appelle «l'aversion au vol». Imaginez comment les gens vont se sentir ici en Australie quand ils découvriront que leurs voisins ont été obligés de payer la moitié de leurs panneaux solaires ?
Les portefeuilles sans «gros» argent ou sans clé ne valaient rien
Portefeuille et contenu. Sur la photo.
Je n’appellerais pas vraiment cela un portefeuille moi-même.
Climat, géographie et météo
Les groupes les plus dignes de confiance vivaient plus près des pôles, dans des climats plus froids et soumis à une plus grande variabilité climatique. Je m'attends à ce que les préindustriels en concurrence contre la météo coopèrent davantage avec des étrangers pour survivre.
Les peuples avec plus de pathogènes dans leur histoire récente étaient également moins susceptibles de demander à des étrangers de rendre le portefeuille. Si vous vivez dans un monde caractérisé par le choléra, la typhoïde et la dysenterie, cela a un certain sens.
La plupart des experts ne l’avaient pas prévu
Clare Feisler Washington Post
Les chercheurs ont été surpris par le fait que les gens étaient plus susceptibles de rapporter des portefeuilles contenant de l'argent (en particulier beaucoup d'argent). Cela a également surpris les 300 meilleurs économistes universitaires interrogés, qui ont prédit que les gens seraient plus enclins à garder les portefeuilles avec de l'argent.
Dans 38 des 40 pays étudiés, les portefeuilles contenant de l'argent étaient retournés plus souvent que ceux sans argent, ce qui conforte l'idée selon laquelle les individus ne sont pas purement égoïstes. De plus, les portefeuilles avec plus d'argent (94,15 $) étaient plus susceptibles d'être retournés que les portefeuilles avec moins d'argent (13,45 $). L'effet contredit non seulement la pensée économique rationnelle, mais il est plutôt surprenant. Tant les profanes que les économistes experts ont prédit la tendance opposée exacte des résultats dans les enquêtes rapportées par les auteurs.
RépondreSupprimerBrianna, Abbott, Wall Street Journal
Les résultats ajoutent à un corpus croissant de recherches explorant, principalement dans les pays occidentaux, comment les gens équilibrent leur sens de l'honnêteté et leur intérêt personnel. La plupart de ces personnes qui ont été étudiées se sont montrées disposées à être malhonnêtes pour aller de l’avant, tant que leurs objectifs personnels ne les laissaient pas se sentir comme des tricheurs ou ne nuiraient pas à leur image morale.
Les chercheurs ont également collecté physiquement 172 portefeuilles en provenance de la République tchèque et de la Suisse et ont découvert qu'il restait plus de 98% de l'argent à l'intérieur.
Ils n’ont pas collecté les portefeuilles dans la plupart des pays, ils ne pouvaient donc pas savoir si l’argent était toujours à l’intérieur. Mais ils ont choisi la Suisse et la République tchèque pour tester cela et ont trouvé 98% ou 99% des personnes qui avaient retourné l'argent avec le portefeuille.
Ed Cara, Gizmodo
L'équipe a également tenté d'éliminer autant d'explications que possible. La liste des facteurs qui n'influaient apparemment pas sur la volonté des gens de restituer le portefeuille comprenait la présence d'une caméra de sécurité ou d'autres personnes à proximité de l'endroit où le portefeuille avait été restitué, que les lois du pays punissent les personnes ayant conservé des objets perdus, l'âge du destinataire pris le portefeuille perdu et s’il s’agissait probablement d’un résident local, ainsi que l’identité de l’assistant de recherche qui a remis le portefeuille
Les auteurs ont toutefois averti qu'il ne s'agissait que de corrélations. Mais si notre propension à rendre un portefeuille perdu indique vraiment à quel point nous pouvons être altruistes et moraux envers les étrangers, alors peut-être que nous ne sommes pas une espèce aussi terrible que nous le pensons. À tout le moins, nous sous-estimons peut-être notre volonté collective de faire ce qui est juste.
Que savez-vous: nous sommes de bonnes personnes et le politiquement correct est faux, encore une fois.
Un politicien occidental joue-t-il aujourd'hui contre cet altruisme commun ? Qui offre une vision de le publier «pour la nation» - d'être de meilleures personnes pour que nous soyons tous élevés ?
Les EcoWorriers demandent aux gens de sauver le monde, de faire le «bon choix», ils le jouent donc - mais ils appellent également négateurs, intimider, effrayer, prophétiser la mort et la maladie, les inondations, ainsi que la promesse d'emplois et de richesses. En d’autres termes, c’est une approche aléatoire: carottes, bâtonnets, tout.
REFERENCE
Cohn et al (2019) Civic honesty around the globe, Science 20 Jun 2019: eaau8712 DOI: 10.1126/science.aau8712
Supplementary info
Shaul Shalvi (2019) Financial temptation increases civic honesty, Science 20 Jun 2019: eaax5034 DOI: 10.1126/science.aax5034
http://joannenova.com.au/2019/06/surprise-17000-lost-wallets-show-humans-are-nice-people-mostly/
Gilets jaunes: la mobilisation en hausse par rapport à l’acte 31, selon l’Intérieur
RépondreSupprimer20:10 22.06.2019
L’acte 32 des Gilets jaunes a réuni près de 12.000 personnes à travers la France, d’après les chiffres de l'Intérieur. À Paris, le ministère a décompté 1.100 personnes.
Selon les estimations du ministère de l’Intérieur 11.800 Gilets jaunes ont pris part à la mobilisation ce samedi à travers la France, soit une hausse par rapport à l’acte 31 qui, d’après la même source, n’avait rassemblé que 7.000 manifestants.
À Paris, ils étaient 1.100 lors de cet acte 32, contre 950 la semaine dernière.
Pour sa part, le Nombre jaune évoque 25.553 manifestants, contestant ainsi le chiffre donné par le ministère.
Pour rappel, répondant à l’appel lancé par Éric Drouet, figure du mouvement qui a attiré l’attention des Gilets jaunes sur le fait que les manifestations déclarés ne débouchaient sur aucun résultat, les manifestants ont changé de tactique procédant dès ce samedi matin au blocage de ronds-points et de péages.
https://fr.sputniknews.com/france/201906221041498002-gilets-jaunes-la-mobilisation-en-hausse-par-rapport-a-lacte-31-selon-linterieur/
Les Gilets jaunes bloquent la gare maritime de Saint-Malo coinçant des centaines de Britanniques
RépondreSupprimer19:50 22.06.2019
Décidés à changer de stratégie, des Gilets jaunes organisent ce samedi des blocages, dont un à Saint-Malo. Cette action a coincé des centaines de Britanniques voulant prendre le ferry.
Suite à un blocage à Saint-Malo organisé par des Gilets jaunes, des centaines de Britanniques se sont retrouvés bloqués, dont certains ont manqué leur ferry de 10h30 à destination de Portsmouth. Pendant environ trois heures, une quarantaine de Gilets jaunes ont bloqué l’accès à la gare maritime de Saint-Malo. Cette action n’a pas été communiquée aux autorités et a été une surprise pour elles ainsi que pour les voyageurs et automobilistes, selon la presse locale.
À partir de 8 heures, aucun automobiliste n’a pu accéder à la zone d’embarquement. Quand les gendarmes se sont enfin rendus sur place, ils ont été salués par les applaudissements des automobilistes bloqués, fait savoir le quotidien régional Ouest-France. Le déplacement des manifestants s’est déroulé dans le calme quand une quinzaine d’agents des forces de l’ordre ont procédé à une opération.
Une opération «péage gratuit» se déroule cet après-midi à Senlis au cours de l’acte 32 des Gilets jaunes. Plus d'une centaine de manifestants ainsi que des figures du mouvement, comme Éric Drouet et Jérôme Rodrigues, sont sur place. Plusieurs péages ont été bloqués ce 22 juin dans tout le pays après qu’Éric Drouet a appelé à changer de stratégie pour s’orienter vers des blocages.
https://fr.sputniknews.com/france/201906221041497883-les-gilets-jaunes-bloquent-la-gare-maritime-de-saint-malo-coincant-des-centaines-de-britanniques/
SANCTION - BLANCHIMENT: LE PANAMA À NOUVEAU ÉPINGLÉ
RépondreSupprimerLe Gafi a remis le Panama sur sa liste «grise» des pays qui ne coopèrent pas assez pour lutter contre le blanchiment d'argent.
22.06.2019
«Bien qu'il reconnaisse les progrès réalisés par le Panama et son engagement au plus haut niveau politique, le Groupe d'action financière internationale (Gafi), réuni cette semaine a décidé d'inscrire le Panama» sur sa liste grise, a déclaré en conférence de presse la ministre panaméen de l'Economie et des finances, Eyda Varela de Chinchilla.
Le Panama, inscrit sur la liste «grise» du Gafi en 2014, en avait été retiré deux ans plus tard après s'être engagé à introduire plus de transparence dans son système financier et bancaire. Le respect de ces engagements a été jugé insuffisant.
Après la décision du Gafi d'inscrire de nouveau le Panama sur sa liste «grise», la ministre de l'Economie et des Finances a déclaré que son pays s'engageait à appliquer ses recommandations
Le scandale des Panama Papers
Créé en 1989, le Gafi a pour objectif d'assainir le système financier international en incitant les gouvernements à adopter des législations contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme. Il est actuellement sous présidence américaine.
Plus de 200 délégués des 38 pays membres de l'organisation, des Nations Unies, du Fonds monétaire international (FMI), de l'Union européenne et de la Banque Mondiale se sont réunis en session plénière cette semaine à Orlando, aux Etats-Unis.
Alors que le Panama était un des rares pays au monde où l'évasion fiscale n'était pas un délit mais une simple faute administrative, le gouvernement a fait voter en janvier un projet de loi prévoyant des peines allant jusqu'à cinq ans de prison. Le Panama est dans le collimateur de la communauté internationale depuis le scandale des Panama Papers en 2016. «Cet épisode nous a frappés durement et il continue d'avoir des conséquences», a rappelé Mme Varela de Chinchilla.
Nouveau coup dur
La décision que vient de prendre le Gafi est un nouveau coup pour l'image du Panama, qui porte toujours le soupçon de faciliter l'évasion fiscale. Cela rend difficile pour lui d'attirer les investissements, les entreprises ou les particuliers craignant de se trouver sanctionnés dans leurs propres pays.
Le président élu du Panama, Laurentino Cortizo, a déclaré que le rétablissement de l'image du Panama serait son objectif principal lorsqu'il prendra ses fonctions le 1er juillet. Mis sous pression, le pays a commencé en septembre 2018 l'échange automatique d'informations fiscales, conformément aux normes de l'OCDE. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/economie/blanchiment-panama-nouveau-epingle/story/29264308
«Canicule sur Twitter» : des femmes en décolleté pour défier la «police vestimentaire» (IMAGES)
RépondreSupprimer22 juin 2019, 18:00
Des dizaines de femmes ont posté des photos en décolleté sur Twitter pour défendre leur droit à s’habiller comme elles le désirent. Le hashtag #JeKiffeMonDecollete, contre la «police vestimentaire», a par ailleurs été lancé dans la foulée.
Plongeants, discrets ou parfois poilus... Des dizaines d'images de décolletés ont fait leur apparition en quelques heures sur Twitter, postés en majorité par des femmes revendiquant leur droit de s'habiller comme elles l'entendent sans avoir à subir de réflexions désobligeantes sur leur accoutrement.
Souvent accompagnées du mot-dièse #JeKiffeMonDecollete sur les réseaux sociaux, ces photos ont provoqué nombre de réactions amusées et de contributions d'internautes : «Je n'ai pas très bien suivi d'où ceci est parti mais comme j'adhère, je suis», a par exemple expliqué une utilisatrice de Twitter dans le commentaire accompagnant son cliché.
«Une pensée pour toutes nos sœurs du monde sous le joug des religions et diktats religieux», pouvait-on pu lire dans un autre tweet.
L'appel à contributions accompagné du hashtag #JeKiffeMonDecollete pour le 22 juin a été lancé dans un tweet par la chroniqueuse Zohra Bitan, connue entre autres pour officier dans l'émission de débats les Grandes Gueules sur RMC, «en guise de résistance à la police vestimentaire qui tente des percées».
«Allez courage on colle une canicule sur Twitter», encourageait-elle dans un autre tweet. Elle a apporté plus tard sa contribution à l'action, saluant au passage un «raz de marée de liberté».
La raison de la colère de la chroniqueuse : l'agression verbale subie par une femme, traitée de «sale pute» par un homme en raison de son décolleté. Rapporté sur le réseau social le 18 juin, l'incident avait suscité un vif émoi et été partagé de très nombreuses fois.
«À tout âge #JeKiffeMonDecollete il n’est pas né celui qui me dictera ma façon de m’habiller», a par ailleurs tweeté l'actrice Véronique Genest, s'associant, photo à l'appui, à l'initiative.
https://francais.rt.com/france/63224-canicule-sur-twitter-femmes-decollete-defier-police-vestimentaire
Des objets volants mystérieux au-dessus du Kansas s'avèrent être une expérience DARPA très secrète
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 22/06/2019 - 20:00
Le public a été si nombreux devant les mystérieux objets découverts à Kansas City que nul autre que le Service météorologique national de Kansas City ne s'est senti obligé de tweeter jeudi 20 juin: "Honnêtement, nous n'avons aucune explication pour les objets flottants au-dessus de Kansas City, "avec un sous-tweet d'une image montrant deux" objets flottants "dans le ciel.
Les médias sociaux ont été enflammés par cette nouvelle (ou son absence) avec beaucoup de spéculations (et le tweet vague du NWS qui n'a pas aidé) qu'une invasion extraterrestre aurait eu lieu. Cependant, quelques heures plus tard, il a été révélé que les objets volants mystères constituaient un projet top secret DARP (Programme de recherche avancée pour la défense), baptisé programme Adaptable Lighter Than (Adaptable Lighter Than) (ALTA).
ALTA a été développé pour tester des véhicules plus hauts que l'air, capables de naviguer à travers le vent sur de longues distances. Les ballons peuvent voler à plus de 75 000 pieds (22,86 km) d'altitude tout en transportant une petite charge utile.
La DARPA a lancé trois ballons ALTA de Cumberland, dans le Maryland, à environ 80 km à l'ouest de Camp David, le 18 juin 2019. Selon CISRNET, la DARPA traquait les ballons, a précisé l'agence.
"Les ballons sont contrôlés à partir de stations au sol fixes et mobiles, avec des liaisons point à point et des relais satellites cohérents", a déclaré le Dr Alexander M.G. Walan, responsable du programme ALTA, a fait remarquer que les ballons sont équipés de capteurs utilisés pour évaluer les performances de vol. De plus, les ballons ont une forme totalement différente des ballons météo car ils sont plus grands et ressemblent à des orbes.
Le but réel de la mission est classifié, car c'est apparemment la raison pour laquelle la DARPA a décidé de faire ressembler les ballons à des vaisseaux extraterrestres géants.
Un groupe d'habitants inconnus de Kansas City a repéré des ballons géants flottant dans le ciel. Certains pensaient qu'il s'agissait des Russes alors que d'autres craignaient une invasion extraterrestre.
Sur Twitter, beaucoup ont supposé que les ballons étaient des vaisseaux extraterrestres.
Selon Flightradar24, deux des ballons approchent de Denver, au Colorado, ce week-end.
- voir clip sur site -
La nouvelle de ballons ressemblant à des extraterrestres au-dessus du Midwest survient à un moment où le gouvernement américain commence officiellement à reconnaître plus sérieusement que jamais le cas de "phénomène aérien non identifié", et la semaine dernière, trois sénateurs ont reçu un rapport détaillé concernant des observations d'OVNIS.
https://www.zerohedge.com/news/2019-06-22/mystery-orbs-turn-out-be-top-secret-darpa-experiment
Une machine de détection d'armes révolutionnaire utilise un radar 3D et une intelligence artificielle pour détecter les armes à feu
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 22/06/2019 - 23:00
Alors que le pays subit de nombreuses fusillades, Liberty Defense développe Hexwave, une nouvelle technologie de rupture exclusivement sous licence du MIT (Massachusetts Institute of Technology), qui utilise l'imagerie radar 3D et l'intelligence artificielle pour détecter les armes dissimulées en milieu urbain.
Plus tôt cette semaine, la société a annoncé un partenariat avec le club de sport allemand FC Bayern München pour tester le nouveau système de détection dans le stade Allianz Arena de Munich, a annoncé Venture Beat.
"La réception de notre produit Hexwave a été fantastique et nous sommes ravis de travailler aux côtés du FC Bayern Munich, une équipe bien connue en Europe et en Amérique du Nord", a déclaré le directeur général, Bill Riker.
"Notre capacité à nous déployer dans des environnements intérieurs ou extérieurs avec des applications à la fois secrètes et apparentes nous distingue et nous a également suscité un intérêt croissant du marché."
Comment Catalyte utilise l'IA pour combler le fossé des talents technologiques
Liberty Defence a également signé des accords avec plusieurs autres parties notables, notamment le Vancouver Arena Limited Partnership, qui exploite le Rogers Arena; Sleiman Enterprises, 150 centres commerciaux et le procureur général de l'Utah.
L'imagerie radar 3D active en temps réel d'Hexwave peut détecter des objets métalliques et non métalliques (pistolets, couteaux, explosifs) sur des personnes, dans des vêtements et des sacs.
Le produit breveté de détection et d'identification d'armes de Liberty Defence se compose de quatre sous-systèmes principaux qui fonctionnent ensemble:
Hexwave pourrait être la prochaine technologie qui remplacera les appareils à rayons X, comme le balayage des sacs dans les aéroports ou autres lieux, et fournit également des balayages 3D de l'extérieur d'une personne, là où les rayons X ne peuvent fournir que des balayages 2D.
"Hexwave fournit des images 3D à une vitesse qui est en temps réel. Il peut évaluer les menaces pendant que la personne marche encore, ce qui signifie qu'il est bien adapté à un débit plus élevé et plus rapide", a déclaré Riker à VentureBeat.
Le marché de la sécurité urbaine en Amérique du Nord d'ici 2020 jusqu'en 2025 devrait augmenter de 33%. La nouvelle machine de détection 3D peut révolutionner la sécurité dans les zones à forte circulation intérieure, telles que les écoles, les centres commerciaux, les hôtels et les lieux de culte, et protéger les zones extérieures à forte circulation, telles que les aéroports, les sites sportifs, les bâtiments gouvernementaux et les stations de bus / métro.
https://www.zerohedge.com/news/2019-06-21/revolutionary-weapon-detection-machine-uses-3d-radar-and-ai-detect-guns
La Silicon Valley détruit la démocratie américaine en jouant aux favoris politiques
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 22/06/2019 - 19h30
Écrit par Robert Bridge via la Fondation de la culture stratégique,
Peut-être s'attendait-il trop à ce que les géants de la technologie vérifient leurs allégeances politiques à la porte pour garantir l'équité. Au lieu de cela, ils ont laissé leurs affinités politiques perturber le processus à chaque étape du processus, ce qui conduit le pays dans une impasse.
Juin 2019 pourrait bien être considéré dans les livres d'histoire comme le moment décisif où les géants américains de l'informatique - enlacés avec les médias «traditionnels» boiteux - ont enlevé leurs masques, ainsi que leurs gants, révélant ainsi la véritable menace qu'ils représentent pour l'institution de La démocratie américaine, déjà fragile.
Maintenant évalué à 1,7 milliard de dollars, Carta vise à créer une "bourse privée"
Le New York Times a lancé le projet en publiant un article en première page ("La création d'un radical radical YouTube") détaillant les épreuves et les tribulations d'un Caleb Cain, un décrochant de collèges torturé, qui cherchait une voie dans la vie, mais Au lieu de cela, il est tombé à corps perdu dans un trou de lapin de «politique d'extrême droite sur YouTube» où il s'est finalement trouvé «lavé le cerveau» et «radicalisé».
L'article, citant des "critiques et des chercheurs indépendants", ce qui, je suppose, pourrait concerner n'importe qui, indique que la plate-forme appartenant à Google a créé "une avancée dangereuse contre l'extrémisme en combinant ... un modèle économique qui récompense les vidéos provocantes avec exposition et publicité dollars, et un algorithme qui guide les utilisateurs vers des chemins personnalisés destinés à les maintenir collés à leurs écrans. "
Certains diraient que c'est le même modèle commercial qui maintient les rouages du capitalisme: maintenez le produit au chaud et épicé afin que le consommateur en redemande. Cependant, comme le prétend le New York Times, le prétendu «alt-right» ne sert pas les croyances extrémistes ou l'idéologie nazie pour attirer les téléspectateurs, mais plutôt des arguments cohérents qui défient les principes de la pensée libérale moderne. Cela peut choquer beaucoup de gens, mais une personne n'a pas besoin d'être un néo-nazi pour vouloir des frontières nationales fortes, par exemple, et des lois qui interdisent aux enfants de se familiariser avec les modes de vie des transgenres à l'école primaire. Pourtant, c’est exactement ainsi que sont représentés les créateurs de droite. Et il convient de noter que ces "journalistes citoyens" conservateurs réussissent beaucoup mieux à attirer des publics que les médias traditionnels, qui hémorragient à la fois les téléspectateurs et les profits.
Dans le même temps, l’article du Times suppose de nombreuses choses sur les utilisateurs de YouTube, dont aucune n’est flatteuse. Premièrement, les clients de la plate-forme vidéo, selon le Times, manquent de toute sorte de volonté libre et d’indépendance. Ainsi, lorsqu’une vidéo apparaît dans la boîte de recommandation, l’utilisateur - tout comme un héroïnomane impuissant - appuie automatiquement sur "Lecture", devenant ainsi involontairement soumis à une autre session d’endoctrinement par la droite. Bientôt, un véritable légume est assis devant l’ordinateur, incapable de s’éloigner des sélections de vidéos recommandées.
L'article suppose également, avec une naïveté incroyable, que les gens n'auraient pas pu éprouver des sentiments d'inquiétude face à un problème jusqu'à ce qu'un créateur de contenu astucieux arrive et le leur présente. C'est simplement absurde. De telles hypothèses infantilisent l'utilisateur, le faisant paraître incapable de porter des jugements rationnels sur des questions sociales et politiques quotidiennes. La vraie raison, bien sûr, pour laquelle de nombreux utilisateurs trouvent une vidéo particulière sur un sujet particulier est qu’ils avaient cherché des réponses aux questions mêmes posées. Néanmoins, il est nécessaire, estime Google, que ces créateurs de YouTube soient démonétisés et bannis de la plate-forme, pour que l'utilisateur sans méfiance ne soit pas la proie de leurs manières ignobles et radicalise toute une génération pour détester les frontières ouvertes, la marijuana, l'avortement, le style de vie des transgenres autre question controversée qui tient à coeur aux libéraux.
RépondreSupprimerMais le succès du Times n'a pas été le seul parfum de grappin à faire la une des journaux. YouTube a également démontré sa volonté de défendre rapidement d’autres géants des médias sociaux en retirant une vidéo du groupe d’investigation secrète, Project Veritas, qui montrait comment Pinterest supprimait les sujets de conversation conservateurs.
James O’Keefe, fondateur du projet Veritas, a critiqué la décision de YouTube dans un communiqué publié sur Twitter.
«Les médias et la technologie établis ont tellement peur du journalisme d'investigation qu'ils ont besoin de le censurer. YouTube appelle REPORTING sur quelqu'un en montrant son visage et son nom, et explique comment il a ajouté un groupe pro-vie à une liste noire de pornographie, une "plainte pour atteinte à la vie privée". Le ferait-il au New York Times?
Nous sommes donc dans une situation où les plus grandes entreprises américaines de médias sociaux sont en mesure de faire honte aux utilisateurs et d’interdire les utilisateurs en toute impunité, tout en supprimant les efforts de toute agence extérieure qui démontre leur parti pris politique.
Cela nous amène au cœur du problème: alors que les entreprises de médias sociaux se cachent derrière leur statut d'entreprise «privée» afin de freiner le discours politique sur leurs plateformes en toute impunité, elles exercent en même temps une influence puissante sur le monde. processus politique. En d’autres termes, ils ont le pouvoir de faire ce que beaucoup d’utilisateurs de leur plate-forme n’ont pas, c’est-à-dire appuyer leurs convictions politiques sans crainte de représailles, d’interdiction et de censure. Ils veulent avoir leur gâteau privé et le manger aussi.
Il va sans dire que cette hypocrisie et ces deux poids deux mesures ne peuvent plus perdurer dans le prétendu «pays de la liberté». Et avec l'élection présidentielle américaine qui approche à l'horizon 2020, les tensions autour de ce pouvoir arbitraire de la part des entreprises de médias sociaux s'intensifiera seulement lorsque les gens comprendront que leur voix est réduite au silence. La situation risque d’être suffisamment pénible pour que la question des libertés des médias sociaux soit même entendue dans les débats pendant les campagnes. Au moins on peut rêver; il semble être tout ce qui nous reste de nos jours.
https://www.zerohedge.com/news/2019-06-22/silicon-valley-destroying-american-democracy-playing-political-favorites
Sentir la chaleur d'une civilisation à la baisse
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 22/06/2019 - 16h30
Rédigé par MN Gordon, de EconomicPrism, annoté par Pater Tenebrarum, homme par intérim,
Une folie épique pour les âges
Aujourd'hui, nous commençons avec une liste. Une liste partielle. Et dans aucun ordre particulier…
Angela Merkel. Donald Tusk. Mario Draghi. Donald Trump. Jerome Powell. Shinzo Abe. Haruhiko Kuroda. Theresa May. Boris Johnson. Mark Carney. Xi Jinping. Emmanuel Macron. Vladimir Poutine. Justin Trudeau. Juan Trump. Et beaucoup plus encore…
Les politiciens et les bureaucrates de l'ère moderne de l'étatisme et de la planification centrale… combattant une action d'arrière-garde vouée à l'échec. [PT]
Ces planificateurs centraux - même s'ils l'ignorent peut-être - ne font face à aucune situation gagnante. Ils ont extrapolé le passé et tentent de préserver le statu quo à l'avenir. Pourtant, leurs efforts pour perpétuer la courbe de croissance à la hausse de leurs pays et de leurs syndicats sont inutiles face à la tournure incessante de l'histoire.
Les fondements politiques, financiers, économiques et sociaux en place au cours des 75 dernières années - et peut-être même au cours des 220 dernières années - sont en train de s'effondrer. Et aucune directive politique, aucun ajustement des taux d’intérêt, aucun tarif commercial, aucun plan quinquennal, aucune mesure extraordinaire, aucun nouvel accord vert, et aucune persécution technocratique ne l’empêcheront. Le grand gouvernement n’a aucune chance.
L’appareil dans son ensemble, des programmes d’aide sociale à une structure de capital ridiculement complexe, repose sur une croissance perpétuelle. Mais la croissance, comme nous la découvrons tous à présent, est éphémère. La création rapide de fausse monnaie par les planificateurs centraux peut permettre de prévenir les inconvénients qui suivent un méga cycle de croissance. Mais cela ne peut pas l'éviter.
Malgré tout, les planificateurs centraux font tout ce qui est en leur pouvoir pour résister aux inconvénients. Ils prennent des mesures d'urgence. Ils emploient une dépréciation de la monnaie extrême. Ils giflent les contrôles de prix à travers le paysage économique. Ils commencent des guerres. Ils exploitent le populisme. Ils font tout cela - et plus encore.
Ils glissent et glissent et tombent. En effet, c'est une folie épique pour les âges. Dans ce contexte, nous présentons ci-dessous plusieurs des procédures de choix de cette semaine…
Stimulus perpétuel
Mardi, la chancelière allemande Angela Merkel a eu des tremblements visibles en écoutant l'hymne national allemand. Elle se tenait à côté du président ukrainien Volodymyr Zelensky lors d'une cérémonie de bienvenue à Berlin lorsque la chaleur et le stress l'ont envahis. Pouvez-vous la blâmer ?
Mme Merkel a passé 14 ans à la présidence pour empêcher le projet européen de se fragmenter. C’est beaucoup de temps pour quiconque jetterait un regard noir sur son destin. Heureusement, après avoir consommé trois verres d'eau, Merkel allait beaucoup mieux.
Le même jour, le président de la Banque centrale européenne, Mario, «tout ce qu'il faut», a réaffirmé son attachement à la dépréciation de la monnaie. Son objectif est, d’une manière ou d’une autre, de donner une impulsion perpétuelle à l’économie de la zone euro. À l'instar du plan de patriotisme économique d'Elizabeth Warren, Draghi vise à stimuler les exportations en détruisant l'argent.
RépondreSupprimerÀ la suite des propos de Draghi, la grande bulle obligataire européenne s’est étendue à la stratosphère extérieure. Le rendement du Bund allemand à 10 ans est tombé à un niveau record de 32 points de base. De plus, le rendement de l’OAT française de 10 ans a brièvement glissé en territoire négatif pour la première fois de l’histoire. Mais ce n'est pas tout…
Mario Draghi, le principal acteur monétaire européen, promet de mettre en œuvre une politique monétaire encore plus souple et de faire basculer les rendements du Bund allemand à 10 ans dans la région des rendements négatifs à la maturité. C'est la folie au sens large. [PT]
Les déclarations de Draghi ont incité le président Trump à lancer le tir suivant sur Twitter:
«Mario Draghi vient d’annoncer que de nouvelles mesures de relance pourraient être mises en place, ce qui a immédiatement fait chuter l’euro contre le dollar, le rendant injustement plus facile pour les États-Unis. Cela fait des années qu'ils s'en tirent avec la Chine et d'autres. ”
Bien sûr, le destinataire de ce tweet de Trump n’était pas Draghi; c'était le président de la Fed, Jerome Powell…
Ressentir la chaleur d'une civilisation à la baisse
Mercredi, selon le destin, Powell ressentait à son tour la chaleur d’une civilisation à la baisse. Trump veut sans doute que Powell déprécie le dollar et crée un boom économique et une bulle boursière coïncidant avec le jour du scrutin le 3 novembre 2020. Il ridiculise publiquement les politiques de resserrement monétaire de Powell depuis des mois.
Le mandat de Powell issu de la réunion du FOMC de juin dernier était d'apaiser Trump, tout en prétendant que l'économie se portait très bien. Par conséquent, alors que Powell s’apprêtait à publier la déclaration du FOMC de la Fed, il a enregistré un facteur 9 de Pucker (PF9) sur l’échelle Pucker Factor de l’armée. Cependant, il a réussi à terminer sa tâche sans succomber aux tremblements visibles.
Rendement des bons du Trésor américain à 10 ans - à son niveau actuel, il se négocie bien en dessous du taux des fonds fédéraux.
Jusqu'à présent, Powell semble avoir rempli son mandat. Les planificateurs centraux de la Fed ont tenu leurs doigts léchés au vent et ont décidé de continuer à fixer le taux des fonds fédéraux entre 2,25 et 2,5%. Et pour apaiser Trump, Powell a ajouté ce qui suit dans ses remarques liminaires:
"Les arguments en faveur de locaux supplémentaires se sont renforcés."
Le marché du crédit et le marché boursier ont tous deux célébré l’assurance de la Fed quant à la dépréciation future des devises. Le rendement du billet du Trésor à 10 ans est tombé en dessous de 2%. Jeudi, l'indice S & P 500 a atteint un nouveau sommet de clôture de 2 954. Le Dow Jones Industrial Average a également atteint 27 000 points.
Vous voyez, avec suffisamment d'essence monétaire et une confiance mal placée, les marchés financiers peuvent aller verticalement. Mais à quoi sert-il si l’économie actuelle est laissée pour compte ?
Le marché boursier se hâte vers un nouveau territoire record, célébrant une série de récents communiqués économiques à date médiocre qui ont suscité l'espoir de voir davantage de pressions monétaires de la part de la Fed. Bizarrement, la Fed semble impatiente d'obliger. Si quelqu'un nous avait dit il y a un an que la Fed envisagerait sérieusement de baisser les taux avec un taux de chômage de 3,6% et l'indice S & P 500 à un niveau record, nous n'y aurions jamais cru. Et pourtant, c'est là où nous en sommes maintenant. [PT]
RépondreSupprimerN'oubliez pas qu'il faut de la prudence, de la sagesse et de l'industrie pour acquérir et créer de la richesse. Le fait que les planificateurs centraux tentent de contourner ces étapes en émettant des quantités de fausse monnaie est la confirmation d'un esprit humain dégradé.
À ce stade, vous pouvez pratiquement compter les jours jusqu'à ce que nous subissions la perte de leur folie.
https://www.zerohedge.com/news/2019-06-22/feeling-heat-civilization-downside
Ils sont tous (ou presque) des pions mis en place par 'les hommes de l'ombre'. Quelques rares vivent en marge; c'était le temps de Mouammar Kadhafi, Saddam Hussein, Laurent Gbagbo, Hugo Chavez et maintenant Nicola Maduro. Ces rares sont là par le Peuple.
SupprimerPour la plupart des dictateurs dans le monde, ce sont des pions qui ne reçoivent d'informations extérieures que ce que les hommes de l'ombre veulent bien leur transmettre ! D'où les bourres fréquentes mais aussi l'intelligence de Trump de rectifier grâce à Twitter.
Puis il y a les dictateurs criminels, ceux qui n'hésiteront jamais à tirer sur le Peuple sans arme qui ose manifester le samedi. Malgré que les merdias tentent de minimiser l'importance des rassemblements, les internautes prennent photos et suivent les déplacements en direct mieux que tous autres !
4 raisons de s'opposer à un revenu de base universel
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 22/06/2019 - 18h30
Écrit par Antony Sammeroff via le Mises Institute,
La plupart d'entre nous ont entendu les arguments de la gauche sur le pouvoir émancipateur de la Garantie universelle du revenu de base pour nous libérer des chaînes du travail, du stress et de la pauvreté et pour libérer les pulsions créatrices de l'homme. Des conservateurs comme Charles Murray nous ont également dit que, dans le système actuel, les aides sociales créent un piège à la pauvreté qui permet à plus de personnes de gagner moins d'argent, ce qui décourage de manière permanente le travail que l'UBI permettrait de résoudre en partie.
Il y a un contingent de libertaires qui considèrent également que le RU est meilleur que le système actuel. Ils soulignent le fait que les coûts administratifs seront moins élevés et que, théoriquement, de nombreux travailleurs du secteur public pourraient être retirés des services sociaux, ce qui réduirait la taille globale de l'État. Les dépenses publiques consacrées à l'application de la loi pourraient être réduites si l'IUB entraînait une baisse de la criminalité liée à la pauvreté. Et, si les personnes bénéficient déjà des moyens de base essentiels, nous pouvons réduire les réglementations relatives à l'embauche et au licenciement ainsi que les lois du travail, car les travailleurs, confrontés à de mauvaises conditions de travail, auront le courage de les quitter. De plus, si les gens peuvent magasiner pour obtenir les services actuellement fournis par le gouvernement, certains programmes peuvent être pris en compte.
Schwarzman dit qu'un cadeau de l'université d'Oxford aidera à façonner l'impact de l'IA
En définitive, dans la mesure où les personnes disposeraient directement de leur revenu de base à dépenser à leur guise, cela préserverait l’économie de marché par rapport à des formes d’aide gouvernementale ou de planification centralisée plus intrusives, dans lesquelles les fonctionnaires et les bureaucrates tentent d’organiser la production «au nom des pauvres». (ou «les travailleurs» ou «le peuple») conduisant à une mauvaise allocation des ressources et à une dictature autoritaire.
Du moins, c'est ce que prétendent les libertaires pro-UBI.
Je souhaite présenter quatre arguments alternatifs expliquant pourquoi nous ne devrions pas être indûment pris en compte par ces vues. Ce ne sont pas des arguments éprouvés tels que «l’UBI imposera un lourd fardeau fiscal au travail tout en récompensant l’oisiveté» ou «l’UBI entraînera une inflation galopante!
Bien que ceux-ci aient une certaine validité, nous les avons tous entendus auparavant.
Ce sont mes arguments qui s'adressent spécifiquement aux libertaires plutôt qu'aux économistes progressistes.
Un: l'UBI ne fera pas disparaître les statistes parce qu'il ne veut pas, et ne peut pas, s'attaquer aux causes sous-jacentes de la pauvreté et des inégalités - à savoir que les pauvres ont peu de compétences et n'ont pas de capital.
Il n'y a rien dans un UBI qui rend les gens au bas de l'échelle plus autonomes et capables de commander, pour eux-mêmes, un salaire plus élevé, ou de gagner une part des bénéfices des sociétés en les investissant dans le marché boursier ou dans l'immobilier. Tout ce qui va se passer, c'est que les pauvres apporteront leur UBI dans les magasins, le dépenseront en produits et qu'il reviendra directement dans les poches des riches. La gauche continuera à se plaindre de l'inégalité et du fait que les pauvres sont redevables aux grandes entreprises et plaidera pour davantage de programmes gouvernementaux visant à résoudre ces problèmes plutôt que moins.
Tout ce qui se passe, c'est de l'argent qui est pris dans la partie profonde de la piscine et pelleté dans la partie peu profonde (de grandes quantités étant déversées en cours de route). Ce n'est pas un jeu à somme nulle. L'UBI entraînera une perte énorme en capital. Si vous imposez aux riches de payer le revenu de base, ils ne pourront pas investir dans des machines, des usines et des technologies qui enrichissent tout le monde en réduisant le coût des biens et des services.
RépondreSupprimerPour illustrer ceci: supposons que le propriétaire d’une chaîne de magasins perçoive 10 millions de dollars pour payer l’UBI, mais que cet argent soit donné à ses clients qui reviennent directement dans ses magasins et dépensent l’argent qui leur a été donné. Tout cela signifie qu'il a 10 millions de dollars en moins de biens à remplacer. Cela signifie moins d’argent à investir dans l’emploi de personnel ou dans des machines pour réduire le coût de ses produits. Les plus démunis, dont les dépenses primaires sont l’essentiel, seront les plus touchés par la hausse des prix
Deux: avec l'UBI, l'État verse potentiellement une importante somme d'argent chaque mois aux personnes qui pourraient le dépenser pour ruiner leur propre santé ou détruire leur vie. Les personnes souffrant de toxicomanie, de problèmes de jeu ou de mauvaises habitudes de consommation qui leur causent des problèmes. Les personnes dépendantes des jeux sur ordinateur ou de Facebook pourraient tirer avantage de se rendre au travail dans un bar ou dans un café et de se mêler au public pour des séances de thérapie professionnelle. Mais l'UBI leur permettra de s'isoler davantage. Ainsi, dans de nombreux cas avec l'UBI, les paiements peuvent ne pas réellement aider les gens. La vie des bénéficiaires pourrait être aggravée par les paiements.
Il faut une personne assez insensible pour dire: «C’est leur vie, ils ont le droit de la ruiner. Laissez-les sortir leur assurance-vie privée et le dépenser en médicaments durs s'ils le souhaitent. »S'il est vrai que les gens devraient pouvoir dépenser leur propre argent à leur guise, la manière dont ils dépensent l'argent des autres est une autre affaire. Donner une bouteille de somnifères à une personne suicidaire n’est peut-être pas la même chose que de la tuer, mais c’est toujours très discutable sur le plan éthique.
Troisièmement, même si le RU nous permettra de remplacer toutes sortes de systèmes et de réduire la taille du gouvernement, ce ne sera pas la fin de l'histoire. UBI va inévitablement pousser les bras et les jambes.
Après la création de l’UBI, il ne sera plus qu’une question de temps avant d’entendre dire que ce groupe ou ce groupe devrait gagner un revenu de base encore plus élevé. «Je suis handicapé, je devrais avoir un revenu de base plus élevé, diront certains. Ou d'autres peuvent objecter "Tous mes parents vivent dans une ville plus chère, j'ai donc besoin d'un revenu de base plus élevé." Etc. Ensuite, les gens plaideront en faveur d'un IBI plus élevé pour les personnes âgées, les personnes handicapées, les personnes vivant dans des zones où les loyers et le coût de la vie sont élevés, ou où elles doivent parcourir de longues distances pour se rendre au travail, etc. À l'infini.
Tout groupe représentant un bloc de vote suffisant peut inciter le gouvernement à ajouter des suppléments à leur revenu de base, et il n’ya aucune raison impérieuse pour qu’une administration ne leur fournisse pas de voix pour acheter des votes. À première vue, l’argument semblera très convaincant. Je veux dire, pourquoi les groupes vulnérables et ceux qui doivent payer plus pour vivre ne devraient-ils pas recevoir un supplément ? C’est juste, non ? Mais nous revenons à des coûts administratifs élevés. Nous avons à nouveau besoin de travailleurs du secteur public pour savoir qui est redevable de quoi et pour s’assurer que les gens n’abusent pas du système. Nous aurons besoin de fonds publics pour que les avocats et les juges puissent poursuivre les auteurs d'abus.
RépondreSupprimerQuatrièmement: Et l’aspect le plus effrayant, c’est que dans la plupart des cas, lorsque le gouvernement crée de la documentation, il y a toujours un groupe qui peut en bénéficier et un autre qui risque de perdre. Avec le revenu de base universel, il semble qu’il n’y ait pas de groupe «sortant». Tout le monde est dans l'action.
Mais ce n'est pas vraiment le cas.
L'État, les décideurs et les employés du gouvernement en bénéficieront par rapport à tous les autres.
Après tout, l’UBI légitime le gouvernement et met tout le monde dans un système qu’ils pourraient autrement ignorer. L'État est fournisseur et chacun de nous devient son pupille.
Une fois que cette relation entre l'individu et l'État aura été établie, il sera difficile de revenir en arrière. Nous allons entrer dans une ère effrayante où le gouvernement peut transformer le RU en arme afin de menacer les citoyens de sanctions pécuniaires pour ne pas se comporter comme bon leur semble. Les criminels d'abord. Puis des groupes impopulaires. Puis les dissidents politiques avec des opinions comme les nôtres. Nous serons menacés par le silence avec la menace de la suppression de notre UBI.
Les gens peuvent être forcés d'accepter une carte d'identité gouvernementale obligatoire en échange de leur UBI. Ensuite, on leur demandera de le montrer partout où ils vont, et on leur refusera même l'accès aux sites, événements, transports en commun ou même aux routes. En temps de guerre, il vous sera demandé de vous enrôler ou de risquer de perdre votre UBI pour avoir nié votre devoir patriotique.
Ce sera pire pour les personnes au bas de l'échelle économique. Ils seront forcés de se retrouver dans une situation bien pire, en particulier s'ils ont été amenés, du fait de leur accès à un revenu de base, à ne pas acquérir des compétences économiques qui les rendraient autonomes ou à perdre ceux qu'ils ont déjà parce qu'ils ne l'ont pas encore fait. besoin de les utiliser dans un temps très long. Ils seront complètement à la merci de l'État sous la menace de la pauvreté, voire de la famine, car ils n'ont aucun espoir de pouvoir subvenir à leurs besoins ou à ceux de leurs familles.
Cela constituerait la base d’un bon roman de science-fiction dystopique, mais malheureusement, je ne suis que trop convaincu que c’est ce qui se produirait si les responsables détenaient le pouvoir.
[For more, see Universal Basic Income — For and Against (with a foreword by Robert P. Murphy).]
https://www.zerohedge.com/news/2019-06-22/4-reasons-oppose-universal-basic-income
Premièrement, les économistes (et non Antony Sammeroff) se sont aperçu que les personnes riches dépensaient beaucoup plus d'argent que les personnes pauvres ! Cà alors ! Et donc qu'elles créaient des emplois. Deuxièmement, les économistes se sont aussi aperçu que l'arrivée presque 'envahissante' des machines les plus sophistiquées remplaçaient peu à peu les esclaves du boulot et permettaient de travailler 7/7 j et 24/24 h sans être payées ! D'où tout-à-coup la perception qu'un produit fabriqué aux USA pouvait être AU MÊME PRIX que le même fabriqué en Chine par d'autres robots ! Cà alors !
SupprimerC'est pourquoi, si chacun de nous vit aux crochets de son esclave, il peut en tirer profit sans être mal vue d'être esclavagiste !
Le salaire universel était né !
Semences, multinationales, qualités nutritionnelles sur Atlantico
RépondreSupprimer22 Juin 2019
par Seppi
Atlantico a publié le 19 juin un article au long titre – « Cash Investigation : pourquoi le traitement des semences par les multinationales est nettement plus complexe que le tableau dressé par l’émission de France 2 » – répondant à deux allégations faites dans ce chef-d'œuvre de ...chut...
Il a été écrit à quatre mains. En voici le texte.
° o 0 o °
Atlantico : Dans un reportage intitulé "Multinationales : hold-up sur nos fruits et légumes", les journalistes de Cash Investigation montrent l'appauvrissement en vitamines et antioxydants des variétés de fruits et légumes actuelles par rapport aux anciennes, notamment à cause des semences hybrides et de la culture hors-sol. Partagez-vous le constat fait par ce reportage ?
André Heitz : Les aguiches de l'Envoyé spécial du 18 juin 2019 intitulé « Multinationales : hold-up sur nos fruits et légumes » laissaient entrevoir un grand moment d'intoxication, non pas alimentaire, mais intellectuelle. Nous avons été servis !
C'est un titre qui nous ramène à 1983 et Seeds of the Earth (Les semences de la terre) de (Roy) Pat Mooney, l'ouvrage princeps d'un mouvement militant qui a fait le bonheur et la notoriété, voire l'aisance, de nombre de militants anti-technologies et anticapitalistes. L'apocalypse annoncée il y a 36 ans ne s'est pas réalisée. Mais c'est sur ce fumier que prospèrent les balivernes. Envoyé spécial ne fera probablement que raviver des légendes urbaines... et entretenir la légende des pourfendeurs cathodiques de prétendus scandales.
Le monde des variétés et des semences s'est beaucoup transformé en quelques décennies sur le plan organique. Mais les fondamentaux scientifiques et technologiques restent les mêmes. Ce sont des facteurs tels que la situation économique, l'espèce cultivée et sa biologie de la reproduction, le type de variété, la technique de production des semences, l'adjonction de technologies à la semence, sans compter les exigences de l'aval et, dans une certaine mesure, la propriété intellectuelle.
Ce monde est à la fois un et multiple. Produire des semences de blé, de maïs ou de tomate sont des métiers différents même si la science et la technologies sous-jacentes sont communes. Un « hold-up » sur la filière – et sur l'aval (la production et la distribution, et donc notre approvisionnement alimentaire) – est quasiment impossible.
On nous annonce souvent que X « multinationales » (X inférieur à 10) contrôlent Y % du marché des semences (Y supérieur à 50). Par exemple, en novembre 2017, le journal suisse le Temps avec « Trois multinationales règnent sur 55% du marché mondial des semences ».
On « oublie » souvent de préciser qu'on ne tient pas compte de l'autoproduction paysanne, seule solution dans de nombreux cas dans les pays en développement et choix de nombreux agriculteurs dans les pays développés ; qu'il s'agit du marché formel, du marché « propriétaire » et du segment du marché constitué par les seuls grands groupes (les petits semenciers étant difficiles à intégrer dans les statistiques économiques) ; et que l'indicateur est un chiffre d'affaires et non un volume ou une emprise sur la production agricole.
Une partie de la filière des variétés et des semences a constitué au cours des dernières décennies l'enjeu d'un grand Monopoly. Henry Kissinger a pu dire : « ...qui contrôle l'alimentation, contrôle les peuples », mais ceux qui croyaient y parvenir en contrôlant les semences ont dû déchanter.
RépondreSupprimerFondamentalement, les producteurs de variétés et de semences sont tributaires des desiderata des distributeurs (et en partie des consommateurs) ; les semenciers doivent s'adapter aux besoins des producteurs, lesquels doivent bien vendre...
Les grands groupes – les « multinationales » au sens péjoratif, mais aussi des coopératives comme Limagrain – sont présents sur des secteurs particuliers, notamment les hybrides et les semences de légumes. Ils sont loin d'en avoir le contrôle. La concurrence entre eux est âpre.
Et les petites et moyennes entreprises ont leur place, même dans ces secteurs, tout comme la recherche publique (pour autant que les gouvernements s'y investissent). Des groupements de producteurs se lancent aussi dans la création variétale pour satisfaire leurs propres besoins.
Le discours sur les variétés et les semences est du reste schizophrène : d'un côté, les « multinationales » vont nous étrangler (comme si étrangler le consommateur final était une stratégie judicieuse...), mais de l'autre, on célèbre les francs-tireurs de la semence comme Kokopelli, qui se targue d'avoir 730 entrées dans son catalogue pour la tomate.
La « biodiversité » – plus précisément la diversité génétique cultivée – est loin d'être menacée. En France, le catalogue des espèces et variétés admises à la commercialisation comporte 582 variétés de tomate, toutes distinctes, homogènes et stables, dont 409 hybrides et donc 73 variétés lignées reproductibles par l'utilisateur. Mais le producteur français peut aussi recourir à des variétés inscrites sur le catalogue d'un autre État membre de l'Union européenne. Au total, il y a 4.159 variétés, dont 3.333 hybrides.
Et il y a plein de matériel dans les banques de gènes.
Philippe Joudrier : Un article [ma note : c'est un article de vulgarisation, en anglais, qui se rapporte à l'article scientifique que nous avons traité ici] récent a parfaitement détruit le mythe selon lequel les variétés anciennes sont meilleures que les variétés actuelles, prenant l'exemple du blé.
En ce qui concerne le mode d’agriculture biologique, il existe depuis 2003 des méta-analyses qui ont été publiées régulièrement tous les trois ans : la première est de 2003 et émanait de l’AFSSA, les suivantes datent de 2006, 2009, 2012, 2015 (venant d’Oxford, Stanford, Glasgow pour celle de 2015 … !) Les conclusions de toutes ces méta-analyses sont constantes.
L'AB (agriculture biologique) ne présente pas d’avantages significatifs des points de vue gustatifs (des exemples de tomate « AB » et non AB dégustées en double aveugle ne sont pas distinguées), nutritionnels (si dans certains cas, on peut noter une légère augmentation de tel ou tel nutriment, vitamines, cela s’observe dans les deux modes de culture et dans tous les cas, les augmentations quantitatives, lorsqu’il y en a, ne procurent aucun avantage nutritionnel) voilà de quoi tordre le cou également à toutes ces rumeurs qui n’ont qu’un seul but : mettre en avant le « bio » comme étant meilleur.
Si on ajoute à cela le fait que le « bio » ne présente pas non plus d’avantages environnementaux (rien que par le fait que pour avoir le même rendement qu’en conventionnel, il faut plus de surfaces arables) et le fait primordial (qui vient par-dessus tous les autres) que la sécurité sanitaire est plutôt moins bonne pour le « bio » (cela s’explique très bien selon les lois élémentaires de la biologie, c’est étonnant que l’AB ne les aient pas intégrées !), le seul risque bactérien est au minimum multiplié par 5 pour les produits issus de l’AB.
Outre le fait que le « bio » de fait d’avant l’ère de l’agriculture conventionnelle et intensive de l’après deuxième guerre mondiale a provoqués d’immenses dégâts, le « bio » récent continue à en faire. La tragédie récente 2011 des pousses germées de fenugrec en provenance d’une ferme allemande « bio » a malheureusement conduit à une cinquantaine de décès et environ un millier d’insuffisances rénales à vie. Une chose sûre, c’est que les médias ont étouffé l’affaire (et surtout l’origine « bio » de produits incriminés).
RépondreSupprimerOn ne peut pas passer sous silence non plus le risque accru, pour toutes les productions issues de l’AB, d’une teneur plus élevée en mycotoxines (la grande majorité d’entre elles sont cancérigènes). Au cours des millénaires précédents, elles sont responsables d’un nombre de décès.
D’une manière générale et si les bases de la biologie étaient bien comprises, il est évident qu’il vaut mieux manger avec des traces de pesticides que les pestes elles-mêmes avec leur cortège de toxines !
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Sur la question de la valeur nutritionnelle, on lira aussi avec intérêt « La valeur nutritionnelle des aliments a-t-elle diminué depuis 60 ans ? », de M. Léon Guéguen, membre émérite de l'Académie d'Agriculture de France
(lien direct ici):
http://alimentation-sante.org/wp-content/uploads/2017/06/20170530alimentshistoriquequalite.pdf
http://seppi.over-blog.com/2019/06/semences-multinationales-qualites-nutritionnelles-sur-atlantico.html