- ENTREE de SECOURS -



dimanche 22 janvier 2023

Pourtant les solutions énergétiques et écologiques existaient déjà

49 commentaires:

  1. Pourtant les solutions énergétiques et écologiques existaient déjà


    21.01.2023
    www.kla.tv/24826


    Sobriété énergétique, empreinte carbone, loi anti-gaspillage, économies d’énergie, émission de gaz à effet de serre, énergies renouvelables, transition écologique. Depuis quelques mois ce vocabulaire est devenu familier aux Français.

    En effet depuis quelques années, à cause du changement climatique, des efforts d’économie d’énergie sont demandés ou plutôt imposés autant aux industriels qu’aux particuliers. De plus cette année a été marquée par le conflit en Ukraine et surtout les sanctions envers la Russie. Les conséquences sont que les prix de l’énergie ont explosé, et le prix de l’électricité s’envole également.
    Il faut donc faire des économies, se serrer la ceinture et s’habiller chaudement dans sa maison, tel est le mot d’ordre du gouvernement français. Cet automne Madame Elisabeth Borne, la Première ministre, avait menacé les entreprises de sanctions au cas où elles ne joueraient pas le jeu. La population française était mise en garde : des risques de coupures d’électricité étaient à prévoir cet hiver. De plus, Enedis, le fournisseur d’électricité peut, grâce au compteur Linky, couper la production d’eau chaude pendant une certaine plage horaire. L’idée de couper à distance les box internet la nuit a également été évoquée.

    Après tout, que chacun soit sollicité pour réaliser des économies en temps de crise peut partir d’un bon sentiment. Et pourtant, des solutions pour économiser l’énergie existent depuis bien longtemps.
    Voici quelques exemples de solutions déjà trouvées et expérimentées :

    - Si on évoque aujourd’hui le nom de Tesla, la plupart pensent à la marque de voitures électriques d’Elon Musk. Pourtant à l’origine c’était le nom d’un scientifique né en 1856, Nicolas Tesla. Vers 1890 il a découvert que l’énergie électrique pouvait être propagée à travers la Terre et autour de celle-ci dans une zone atmosphérique appelée la cavité de Schumann à environ 80 km d’altitude. Des ondes électromagnétiques de très basses fréquences se propagent pratiquement sans pertes vers n’importe quel point de la Terre. Son idée était que n’importe qui dans le monde pouvait y puiser à condition de s’équiper d’un dispositif récepteur accordé à la transmission d’énergie. Pour le prouver il a allumé 200 lampes (10 000 watts en tout) à 40 km de distance de la source d’électricité, sans fils conducteurs. Il est mort en 1943 ruiné et dans l’indifférence.

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  2. Nucléaire : le pilier du nouveau monde électrique

    L’électricité nucléaire, une énergie propre tant pour ses usages que pour sa production, sera ainsi au cœur du futur.


    le 22 janvier 2023
    Michel Gay


    Qui aurait pu imaginer il y a 20 ans que les pertes financières et la dette d’EDF (estimée à 67 milliards d’euros l’année prochaine) s’accumuleraient au point d’évoquer la perspective d’une faillite ?

    Les méthodes ayant permis les succès passés dans le formidable développement de l’énergie nucléaire pourraient bien se révéler utiles pour faire face aux défis de la transition énergétique afin de se passer des énergies fossiles.

    Les difficultés

    Les déboires actuels du réacteur nucléaire EPR incarnent les difficultés de la gouvernance du nucléaire et du « système » énergétique depuis 20 ans. La coopération ratée avec l’Allemagne, voulue exemplaire, et alors dénommée « l’Airbus du nucléaire » s’est achevée par le retrait unilatéral du partenaire allemand. Cet échec a abouti à un réacteur nucléaire hybride franco-allemand coûteux qui a discrédité la réputation internationale d’excellence de la France dans ce domaine.

    La responsabilité incombe principalement au partenaire d’Outre-Rhin plutôt qu’à EDF. L’incohérence de la politique énergétique allemande, non exempte de jalousie envers la France, a engendré une dangereuse dépendance au gaz russe et a abouti à la réouverture de centrales au charbon dans ce pays.

    De plus, un défaut d’autorité d’arbitrage a entrainé une surenchère des exigences des parties prenantes, des surcoûts et des retards dans la construction de l’EPR de Flamanville. Qui commande ?

    De 1973 à 1988, le programme nucléaire français avait été mené avec une autorité hiérarchique sans faille et une organisation quasi militaire contrastant aujourd’hui avec la pluralité des pôles décisionnels de l’EPR qui confine parfois à l’anarchie.

    La prolifération « d’autorités indépendantes », toutes jalouses de leurs prérogatives dans de multiples secteurs, entravent encore aujourd’hui l’efficacité de l’action publique, surtout quand elles se combinent aux effets du principe de précaution dont le nucléaire est devenu un champ d’application privilégié.

    EDF aurait-elle désappris le nucléaire après avoir spectaculairement réussi son apprentissage au siècle dernier ?

    Qui est responsable ?

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  3. Les responsables de cette débâcle sont nombreux, principalement des « politiques ». Mais si « la victoire a cent pères, l’échec est orphelin ».

    Cependant, l’hebdomadaire Le Point a dressé une longue liste non exhaustive le 27 octobre 2022 des responsables (mais pas coupables ?) : Jospin, Voynet, Cochet, Hollande, Lepage, Brottes,…

    L’État défend-t-il avec suffisamment de conviction les intérêts d’EDF et de la France à Bruxelles, ou bien fait-il dire à l’Europe ce qu’il ne veut pas assumer, et que les traités n’imposent pas ?

    Le mécanisme d’Accès Régulé à l’Électricité Nucléaire Historique (ARENH) en est une illustration exemplaire, alors que ni les traités européens, ni les normes de la concurrence ne l’exigent.

    EDF est aussi devenue la « Bête noire » des ayatollahs européens du droit de la concurrence à cause de son « monopole parfait » qui fonctionnait « trop bien ». L’Allemagne ne supportait pas d’avoir à sa porte une puissante entreprise produisant une électricité bon marché capable de concurrencer sa propre industrie.

    « Comment voulez-vous que ce pays qui a fondé sa richesse, son efficacité, sa crédibilité sur son industrie accepte que la France dispose d’un outil compétitif aussi puissant qu’EDF à sa porte ? » (Henri Proglio).

    L’entreprise EDF est donc devenue un défi permanent pour l’Allemagne, et aussi une obsession pour les écologistes extrémistes. Les héritiers de la lutte antinucléaire fondatrice du mouvement écologique mondial en ont fait animal hybride issu du croisement d’un bouc émissaire et d’une vache à lait. Chacun tape sur la bête pour l’affaiblir et pour la culpabiliser avant de la traire. Jusqu’à ce qu’elle ne donne plus de lait…

    Ainsi, après avoir été conçue pour gravir des montagnes (l’extraordinaire construction de son parc nucléaire), EDF a dû apprendre à devenir une « entreprise rentière » qui vend son électricité nucléaire pour faire prospérer ses concurrents.

    Le président Marcel Boiteux

    Un des anciens présidents d’EDF, l’économiste Marcel Boiteux a exercé de hautes responsabilités entre 1949 et 1987. Il a témoigné de la foire d’empoigne institutionnalisée dans son livre intitulé Haute tension. Il mériterait de se voir décerner le titre de « Monsieur EDF » car cette entreprise d’électricité occupe aujourd’hui encore une place de premier rang mondial grâce à ses conceptions efficaces qui en ont fait un modèle de référence. Elles ont permis la construction à un rythme inédit de 60 réacteurs sur 20 centrales nucléaires en 15 ans, entre 1973 et 1988.

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  4. Il a su naviguer sans se faire broyer entre les puissantes parties prenantes cherchant à capter la rente et à étendre leurs pouvoirs et leurs avantages (administrations de tutelle telles que Bercy, Matignon, l’Élysée, auxquelles sont venus se joindre l’Écologie, les syndicats, les baronnies internes, les gros clients, les industriels fournisseurs d’équipements et de combustibles, etc). Ces sangsues ont transformé EDF en une annexe de la direction générale des impôts et de puissants prédateurs financiers : le tarif d’électricité ne reflète plus aujourd’hui le prix de production d’EDF.

    Sous la direction de Marcel Boiteux, c’est la science économique qui dirigeait EDF. Ce n’était pas les traders et les consultants, ni les analystes de marchés financiers, ni les bureaucrates (nationaux et européens), ni les politiques, ni les profiteurs motivés davantage par la captation du pactole de la rente électrique que par le souci du bien public.

    Ses choix dictés par le calcul économique, parfois à contre-courant des modes, se révéleront généralement optimaux. Il en fut ainsi pour les barrages hydro-électriques au détriment du charbon qui avait la préférence du secteur privé avant la nationalisation. Et, bien sûr, du grand choix nucléaire.

    C’est en application de ce calcul de l’optimum économique qu’EDF doit son mix reposant largement sur le nucléaire, là où, ailleurs, domine la diversification avec beaucoup plus de gaz et de charbon. Il fallait alors oser le risque d’une telle concentration de moyens sur un choix aussi lourd.

    Lorsqu’en 1981 le Président François Mitterrand convoqua Marcel Boiteux pour fixer sa feuille de route, il lui indiqua que, conscient de l’intérêt national, le choix nucléaire lui paraissait le meilleur pour le pays. Toutefois, pour apaiser l’aile antinucléaire de sa coalition, il proposerait des compensations politiques. Ce fut l’arrêt de la construction de la centrale de Plogoff et la transformation de l’Agence pour les économies d’énergie en Agence française pour la maîtrise de l’énergie. Elle deviendra ensuite l’Agence de la transition écologique « ADEME » qui constitua un refuge d’antinucléaires.

    Ensuite, sous la présidence Hollande, le lobby antinucléaire (qui rassemble aussi les industriels du solaire et de l’éolien subventionnés) s’est doté de capacités d’études et a envahi les cabinets ministériels. Le transfert du secteur de l’énergie passant du ministère de l’Industrie au ministère de l’Écologie et du Développement durable aura une influence décisive. Le nucléaire deviendra alors « honteux » et le mot même sera prohibé dans les administrations.

    Qui veut tuer EDF ?

    Dans la régulation d’un monopole public, l’acte majeur est la fixation des tarifs. Là où, en économie de marché, le prix est déterminé par l’équilibre entre l’offre et la demande, le producteur abrité sous son statut de monopole définit son prix dans l’intérêt général du pays. Mais il peut être dès lors soupçonné de prédation exercée sur ses clients, ou d’abuser de sa situation.

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  5. Pourtant, le consommateur domestique français a longtemps payé sa fourniture d’électricité nettement moins cher que son voisin allemand… avant l’ouverture à la concurrence qui devait faire baisser les prix !

    Mais les acteurs de l’ouverture du monopole ont confondu « développer la concurrence » avec « affaiblir EDF à tout prix » en faisant travailler cette entreprise à sa propre perte alors qu’EDF aurait dû devenir le « château d’eau » du nucléaire de l’Europe.

    EDF avait gagné le statut « d’entreprise bien-aimée des Français » et le choix nucléaire avait été adopté par l’opinion. Vu de l’étranger, cette situation unique où électricité et nucléaire étaient devenus un pléonasme apparaissait comme un mystère incompréhensible.

    EDF est donc apparue comme une véritable bête noire aux yeux de l’Internationale verte qui a fait du nucléaire sa bannière de combat pour rassembler ses partisans. L’écologie politique a érigé la lutte antinucléaire comme son acte fondateur.

    Le nucléaire constitue une cible idéale du fait de sa technologie difficile à expliquer et mystérieuse à bien des égards pour le grand public. Elle permet à ses détracteurs d’entretenir facilement un état d’inquiétude à cause de ses rayonnements invisibles et de son lien indélébile avec l’arme atomique.

    EDF a incarné la synthèse de l’État-providence et du progrès technique jusque dans les années 1980.

    Aujourd’hui, ses valeurs paraissent en décalage par rapport à deux tendances majeures de l’époque contemporaine : la dérégulation de l’économie globalisée dans un marché ayant une vision à court-terme, et l’écologie politique.

    Affronter à la fois le marché mondial et l’Internationale verte représente un immense défi pour EDF.

    Une décision démocratique

    Contrairement à la thèse d’une décision imposée hors du champ démocratique, un débat contradictoire au niveau politique a bien eu lieu dans les années 1970. L’ensemble des partis politiques y ont pris part, de la gauche à la droite, à l’exception de ceux de la mouvance écologique d’implantation plus récente. Tous ont confirmé le choix du nucléaire.

    Mais depuis 20 ans, jusqu’en 2022, une sortie du nucléaire semblait se dessiner presque par inadvertance, sans le dire explicitement, avec l’arrêt des deux réacteurs de Fessenheim, la fermeture prématurée prévue de 12 réacteurs, et une réduction à 50 % de sa part dans le mix électrique.

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  6. Puis, dans son discours refondateur prononcé à Belfort en février 2022, le président Emmanuel Macron affirme, dans un revirement politique spectaculaire, l’attachement indéfectible de la France au nucléaire et sa relance avec un programme de construction de six nouveaux réacteurs EPR.

    Peu après, avec la guerre en Ukraine et la crise du gaz, les Français ont eu l’occasion de mesurer la valeur stratégique de leur atout nucléaire qu’ils avaient quelque peu oublié depuis les chocs pétroliers il y a 50 ans.

    Oser le dire

    Ayant érigé les émissions de carbone en indicateur absolu du progrès écologique, les défenseurs de l’environnement devraient en principe tresser des couronnes à l’énergie nucléaire, seule capable de succéder au charbon et aussi, partiellement, au gaz dans le mix mondial.

    Ce n’est pourtant pas ou peu le cas.

    Le tournant historique qui semble amorcé depuis le choc de la guerre en Ukraine devrait conduire les écologistes à reconsidérer leur point de vue, tout comme la guerre du Kippour de 1973 eut pour conséquence directe le programme nucléaire français.

    De la machine à vapeur à l’électricité, de la voiture à l’avion, les mutations du secteur de l’énergie conditionnent l’ensemble de l’économie et de la société. L’électricité aura été, économiquement, technologiquement, socialement, et politiquement, au cœur du développement du dernier siècle. L’énergie nucléaire, et avec elle EDF, se situent au confluent des grandes lignes de force qui façonnent l’évolution du monde.

    Tout-nucléaire, tout-électrique

    Certains antinucléaires, notamment au sein de l’ADEME, se complaisent à imaginer l’idéal d’une économie « zéro carbone » en construisant des scénarios irréalistes à partir de 100 % d’énergies renouvelables intermittentes dans le but de contrer le nucléaire.

    Or, aujourd’hui et demain, le nucléaire peut être développé pour une production de masse (EPR) comme pour une production modulaire (SMR) en répondant aux impératifs de sûreté et de traitement des déchets radioactifs. Il a des atouts décisifs comme l’abondance de son combustible uranium pour des millénaires dans les réacteurs de quatrième génération (RNR), ses faibles émissions de CO2 (4 gCO2/kWh en France, soit moins que l’éolien et le solaire) et l’occupation minimale de l’espace foncier.

    Bien plus encore qu’un choix économique, le choix du nucléaire constitue un véritable choix de société relevant évidemment du pouvoir politique.

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  7. Pollutions de l’environnement, épuisement des ressources de la planète, développement et accès à l’énergie pour tous, mobilité électrique, tous ces défis convergent pour faire appel à l’électricité qui conquiert désormais l’immense secteur des transports dont elle était jusqu’ici restée exclue.

    Il n’y a pas à chercher loin la solution. La réponse aux défis énergétique est là, toute trouvée, et testée, c’est l’énergie nucléaire, même si encore peu de personnes osent l’affirmer avec conviction tant elle a été dénigrée.

    L’électricité nucléaire, une énergie propre tant pour ses usages que pour sa production, sera ainsi au cœur du futur. EDF aura un grand rôle à y jouer pour incarner la transition énergétique réussie vers le nouveau monde post énergie fossile.

    https://www.contrepoints.org/2023/01/22/448779-nucleaire-le-pilier-du-nouveau-monde-electrique

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  8. Souveraineté industrielle et technologique : l’Europe a-t-elle la bonne méthode ?

    L’Europe – et singulièrement la France – ne donnera jamais naissance à des champions de la « tech » tant que les délais et les coûts des restructurations seront aussi importants.


    le 22 janvier 2023
    Par Philbert Carbon.
    Un article de l’IREF France


    C’est sous cet intitulé alléchant que s’est tenue, le 10 janvier 2023, une soirée-débat à l’initiative de La Fabrique de l’industrie, le think tank de l’Union des industries et des métiers de la métallurgie (UIMM).

    Pour commencer, arrêtons-nous sur le mot « souveraineté » qui a bien besoin d’être défini. Le co-président de La Fabrique de l’industrie, Pierre-André de Chalendar, par ailleurs président du groupe Saint-Gobain, rappela que souveraineté ne veut pas dire indépendance ni autarcie. La souveraineté, comme l’indique une note du think tank, « consiste à ne pas dépendre de la bienveillance d’autrui pour satisfaire certains besoins et à pouvoir agir sans être soumis à la volonté d’un autre État ou d’une entreprise ».

    Le mot est apparu récemment dans l’actualité à la faveur de la pandémie de covid et de la guerre en Ukraine. C’est en effet lors de ces crises – qui ne sont pas terminées – que beaucoup de Français ont pris conscience que nous étions dangereusement dépendants de l’étranger pour un grand nombre de produits, du fait notamment de la désindustrialisation de notre pays.

    Les politiques européennes contribuent à la perte de souveraineté

    Ce soir-là la représentante de la Commission européenne, Astrid Cousin, assura l’auditoire que la politique de l’institution consistait à construire un marché intérieur – qui a fêté bien discrètement son 30e anniversaire le 1er janvier – « fort et résilient ». Mme Cousin détailla alors l’arsenal déployé pour ce faire par la DG Concurrence à laquelle elle est rattachée : révision des règles pour favoriser les transitions écologiques et numériques ; lutte contre les abus de position dominante ; contrôle des subventions des pays tiers, etc. Elle mit également en avant les milliards d’euros d’aides arrosant le continent : programme de financement de l’innovation ; chips act pour remédier aux pénuries de semi-conducteurs ; subventions en réponse à l’IRA (inflation reduction act) annoncé par Joe Biden ; etc.

    C’est peu dire que Mme Cousin n’a pas vraiment convaincu la salle ni les autres orateurs. Ceux-ci – de Marie-Claire Cailletaud de la CGT aux co-présidents de La Fabrique de l’industrie, Pierre-André de Chalendar et Louis Gallois – se sont évertués à rappeler combien la Commission européenne pouvait mettre des bâtons dans les roues des entreprises.

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  9. On peut citer, par exemple, une politique énergétique qui a découragé les investissements et qui aboutit à une explosion des prix et à une dépendance accrue de l’étranger. Ou la « taxonomie verte » qui exclut, on se demande bien pourquoi, l’hydrogène produit à partir du nucléaire. Et quand l’Union européenne réagit, c’est, comme l’ont souligné plusieurs intervenants, petitement et à retardement. Ainsi, souhaite-t-elle favoriser l’implantation de gigafactories de batteries électriques mais elle oublie que les machines pour fabriquer ces batteries viennent toutes d’Asie et que celles qui nous arrivent ne sont pas de la dernière génération ! Pour longtemps encore dans ce domaine, quoi qu’on en dise, l’Europe restera à la remorque des leaders mondiaux. Comme elle l’est dans le voltaïque où 8 des 10 premiers fabricants mondiaux sont asiatiques. Et que dire dans le domaine du numérique, sinon, comme l’ancien commissaire général à l’investissement Louis Gallois, que l’Europe est « une colonie des États-Unis » ?

    Et que dire de la politique anti-concentration qui, au nom d’une conception erronée de la concurrence, empêche la naissance de champions européens ? N’est-ce pas, par exemple, Bruxelles qui a interdit la fusion Alstom-Siemens ?

    Les politiques françaises accroissent le problème

    Il serait cependant abusif de mettre toutes les difficultés de l’industrie française sur le dos de l’Europe. Les politiques françaises ont également leur part de responsabilité.

    Comme l’indiquait un article de La Tribune il y a quelques mois, « La France [est le] seul pays à s’enfoncer dans un déficit commercial abyssal avec ses partenaires de l’UE ».

    Sur le plan mondial, en 2021 nous avons connu le pire déficit commercial de notre histoire (109,7 milliards d’euros), alors que l’Allemagne a eu un solde positif de 178,4 milliards d’euros, les Pays-Bas de 66,1 milliards, l’Italie de 44,2 milliards, la Belgique de 29,6 milliards. Ici, ce n’est donc pas l’UE qui est un obstacle.

    Autre exemple donné par Sarah Guillou de l’OFCE : ces dernières années la France a investi plus d’argent public que l’Allemagne et le Royaume-Uni dans l’intelligence artificielle mais elle a déposé moins de brevets que ces pays. Ici non plus, ce n’est pas l’UE qui est à blâmer.

    Il est indéniable qu’en étant championne de la pression fiscale et en renchérissant constamment sur la réglementation européenne, la France tue son industrie et plus largement ses entreprises et ses emplois. En creusant ses déficits et en alourdissant chaque jour la charge de sa dette, elle obère son avenir.

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  10. Quelles solutions

    Pour sortir de cette impasse, les solutions sont multiples et l’IREF en a déjà proposé de nombreuses.

    Ce qui est certain, c’est qu’elles ne consistent pas à augmenter les investissements publics comme l’a réclamé Louis Gallois, énarque et ancien fonctionnaire comme son compère Pierre-André de Chalendar, tous deux éminents représentants de ce « capitalisme de connivence » qui est probablement une des causes de nos problèmes.

    En effet, nous sommes persuadés que l’argent public (via la BPI par exemple) n’aboutit qu’à du mal investissement. Comme l’a précisé Olivier Coste, entrepreneur et ancien conseiller de Lionel Jospin à Matignon, l’investissement privé en R&D dans ce que l’on appelle la « tech » est cinq fois moindre en Europe (40 milliards en 2020) qu’aux États-Unis (200 milliards). Et si les États-Unis mettent autant d’argent privé dans la « tech », c’est parce qu’ils ont des leaders mondiaux (les fameux Gafam tant honnis chez nous) qui peuvent investir.

    Si ces Gafam sont nés aux États-Unis, ce n’est pas un hasard. Comme a tenté de le faire comprendre Olivier Coste à un auditoire quelque peu sceptique, c’est notamment « parce que les entreprises y embauchent rapidement, quitte à devoir licencier rapidement ». En Europe, a-t-il ajouté, les entreprises n’osent pas embaucher sur des projets risqués, qui donc ne démarrent pas.

    Il est vrai qu’aux États-Unis, « une réduction d’effectifs de centaines ou de milliers d’emplois peut être réalisée en quelques semaines. Le coût total pour l’entreprise se chiffre en semaines de salaires, autour de 20 000 dollars par personne » pour des individus qualifiés de la « tech ». En France, une telle opération dans une grande entreprise peut durer un an et coûter 200 000 euros par personne. En Allemagne, c’est pire, affirme Olivier Coste : 18 mois et 250 000 euros par personne.

    Or, les marchés de la « tech » évoluent très vite, à la hausse comme à la baisse. Les entreprises doivent par conséquent pouvoir adapter rapidement leurs effectifs. Elles peuvent le faire aux États-Unis – mais aussi en Inde ou en Chine –, pas en Europe où les coûts des restructurations sont, en plus, exorbitants. C’est ainsi qu’une décision d’investissement dans la « tech », par nature risquée (le taux de succès est de l’ordre de 20 %), devient déraisonnable en Europe du fait des coûts de restructuration.

    Par conséquent, l’Europe – et singulièrement la France – ne donnera jamais naissance à des champions de la « tech » tant que les délais et les coûts des restructurations seront aussi importants.

    Entendre un ancien conseiller d’un Premier ministre socialiste affirmer qu’il faut s’attaquer au droit du travail, n’était pas le moins intéressant de cette soirée-débat.

    https://www.contrepoints.org/2023/01/22/448824-souverainete-industrielle-et-technologique-leurope-a-t-elle-la-bonne-methode

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  11. Une startup dit qu'elle a commencé à libérer des particules dans l'atmosphère, dans le but de modifier le climat

    Make Sunsets tente déjà de générer des revenus pour la géo-ingénierie, une décision susceptible de provoquer de nombreuses critiques.


    Par James Temple
    Recherche mondiale,
    21 janvier 2023


    Une startup affirme avoir lancé des ballons météorologiques qui pourraient avoir libéré des particules de soufre réfléchissantes dans la stratosphère, franchissant potentiellement une barrière controversée dans le domaine de la géo-ingénierie solaire.

    La géo-ingénierie fait référence à des efforts délibérés pour manipuler le climat en réfléchissant davantage de lumière solaire dans l'espace, imitant un processus naturel qui se produit à la suite de grandes éruptions volcaniques. En théorie, la pulvérisation de soufre et de particules similaires en quantités suffisantes pourrait potentiellement atténuer le réchauffement climatique.

    Il n'est techniquement pas difficile de libérer de tels composés dans la stratosphère. Mais les scientifiques se sont pour la plupart ( mais pas entièrement ) abstenus de mener des expériences en plein air, même à petite échelle. Et il n'est pas certain que quelqu'un ait déjà injecté des matériaux dans cette couche spécifique de l'atmosphère dans le cadre de la recherche liée à la géo-ingénierie.

    C'est en partie parce que c'est très controversé. On sait peu de choses sur l'effet réel de telles interventions délibérées à grande échelle, mais elles pourraient avoir des effets secondaires dangereux. Les impacts pourraient également être plus graves dans certaines régions que dans d'autres, ce qui pourrait provoquer des conflits géopolitiques.

    Certains chercheurs qui étudient depuis longtemps la technologie sont profondément troublés par le fait que la société, Make Sunsets, semble avoir avancé avec des lancements depuis un site au Mexique sans aucun engagement public ni examen scientifique. Il tente déjà de vendre des "crédits de refroidissement" pour les futurs vols en ballon qui pourraient transporter des charges utiles plus importantes.

    Plusieurs chercheurs avec lesquels MIT Technology Review s'est entretenu ont condamné l'effort de commercialisation de la géo-ingénierie à ce stade précoce. Certains investisseurs et clients potentiels qui ont examiné les propositions de l'entreprise affirment qu'il ne s'agit pas d'un effort scientifique sérieux ou d'une entreprise crédible, mais plutôt d'une attention destinée à susciter la controverse dans le domaine.

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  12. La société tente déjà de tirer des revenus des effets de refroidissement des futurs vols. Il propose de vendre 10 $ de « crédits de refroidissement » pour la libération d'un gramme de particules dans la stratosphère - assez, affirme-t-il, pour compenser l'effet de réchauffement d'une tonne de carbone pendant un an.

    "Ce que je veux faire, c'est créer autant de refroidissement aussi rapidement que je le peux de manière responsable, pour le reste de ma vie, franchement", dit Iseman, ajoutant plus tard qu'ils déploieront autant de soufre en 2023 que "nous pouvons amener les clients à payer nous » pour.

    La société affirme avoir levé 750 000 $ de financement auprès de Boost VC et Pioneer Fund, entre autres, et que ses premiers investisseurs ont également acheté des crédits de refroidissement. Les sociétés de capital-risque n'ont pas répondu aux demandes de renseignements du MIT Technology Review avant l'heure de mise sous presse.

    "Une idée terrible"
    Talati a vivement critiqué les affirmations scientifiques de la société, soulignant que personne ne peut vendre de manière crédible des crédits censés représenter un résultat aussi spécifique par gramme, étant donné la grande incertitude à ce stade de la recherche.

    "Ce qu'ils prétendent accomplir avec un tel crédit est l'intégralité de ce qui est actuellement incertain à propos de la géo-ingénierie", dit-elle.

    Kelly Wanser, directrice exécutive de SilverLining, une organisation à but non lucratif qui soutient les efforts de recherche sur les risques climatiques et les interventions potentielles, est d'accord.

    "D'un point de vue commercial, les effets de refroidissement et les risques réfléchis ne peuvent actuellement pas être quantifiés de manière significative, ce qui fait de l'offre une forme spéculative de" crédit indésirable "qui n'aura probablement pas de valeur pour les marchés du crédit climatique", a-t-elle écrit dans un e-mail.

    Talati ajoute qu'il est hypocrite pour Make Sunsets d'affirmer qu'ils agissent pour des raisons humanitaires, tout en avançant sans s'engager de manière significative avec le public, y compris avec ceux qui pourraient être affectés par leurs actions.

    « Ils violent les droits des communautés à dicter leur propre avenir », dit-elle.

    David Keith, l'un des plus grands experts mondiaux de la géo-ingénierie solaire, affirme que la quantité de matière en question - moins de 10 grammes de soufre par vol - ne représente aucun danger réel pour l'environnement ; un vol commercial peut émettre environ 100 grammes par minute, souligne-t-il. Keith et ses collègues de l'Université de Harvard ont travaillé pendant des années pour faire avancer une expérience stratosphérique à petite échelle connue sous le nom de SCoPEx, qui a été retardée à plusieurs reprises.

    Mais il dit qu'il est troublé par tout effort visant à privatiser les technologies de base de la géo-ingénierie, y compris en les brevetant ou en vendant des crédits pour les versions, car "le développement commercial ne peut pas produire le niveau de transparence et de confiance dont le monde a besoin pour prendre des décisions sensées concernant le déploiement", comme il l'a écrit . dans un article de blog précédent.

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  13. Keith dit qu'une entreprise privée aurait des motifs financiers pour survendre les avantages, minimiser les risques et continuer à vendre ses services alors même que la planète se refroidit à des températures inférieures aux températures préindustrielles.

    "Le faire en tant que startup est une idée terrible", dit-il.

    Pour sa part, la société affirme qu'elle opère sur la meilleure recherche de modélisation disponible aujourd'hui, et qu'elle ajustera ses pratiques au fur et à mesure qu'elle en apprendra davantage et espère collaborer avec des nations et des experts pour guider ces efforts à mesure qu'elle se développe.

    "Nous sommes convaincus que le solaire [la géo-ingénierie] est la seule voie possible pour rester en dessous de 2 ˚C [du réchauffement par rapport aux niveaux préindustriels], et nous travaillerons avec la communauté scientifique pour déployer cet outil vital de la manière la plus sûre et la plus rapide possible", Iseman a déclaré dans un e-mail.

    Mais les critiques soulignent que le moment de s'engager avec des experts et le public aurait été avant que l'entreprise ne commence à injecter du matériel dans la stratosphère et à essayer de vendre des crédits de refroidissement - et qu'elle est susceptible de faire face à un accueil glacial de la part de bon nombre de ces parties maintenant.

    *

    James Temple est rédacteur en chef pour l'énergie au MIT Technology Review, spécialisé dans les énergies renouvelables et l'utilisation de la technologie pour lutter contre le changement climatique. Auparavant, il a été directeur principal chez Verge, rédacteur en chef adjoint chez Recode et chroniqueur au San Francisco Chronicle.

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    https://www.globalresearch.ca/startup-says-its-begun-releasing-particles-into-atmosphere-effort-tweak-climate/5805330

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    1. Bien sûr il ne faut pas s'attendre à être un jour 'à l'ombre d'une poussière' ! Et pourtant ce serait fait ! HAHAHAHA ! Idem pour les rayons du soleil qui seraient détournés et n'éclaireraient plus la Terre grâce à ces poussières dispersées à 50 m l'une de l'autre !!

      Le monde est trop riche grâce à l'invention des machines et des robots. Le monde ne sait plus quoi faire de son argent. Le monde n'a AUCUNE dette envers qui que ce soit, mais c'est le contraire qui est dit dans les merdias.

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  14. De quoi s'agissait-il vraiment ? Déclenchement d'une crise de la dette mondiale de plusieurs billions de dollars. « Montée en puissance d'une stratégie impérialiste » ?


    Par Colin Todhunter
    Recherche mondiale,
    21 janvier 2023


    "Et ainsi, cela rend de plus en plus évident le grand fait central que la cause de la condition misérable de la classe ouvrière doit être recherchée, non pas dans ces griefs mineurs, mais dans le système capitaliste lui-même." Friedrich Engels , La condition de la classe ouvrière en Angleterre (1845) (préface à l'édition anglaise , p.36)

    Le FMI et la Banque mondiale ont pendant des décennies poussé un programme politique basé sur des coupes dans les services publics, des augmentations des impôts payés par les plus pauvres et des mesures visant à saper les droits et les protections du travail.

    Les politiques « d'ajustement structurel » du FMI ont fait que 52 % des Africains n'ont pas accès aux soins de santé et 83 % n'ont pas de filets de sécurité sur lesquels se rabattre s'ils perdent leur emploi ou tombent malades. Même le FMI a montré que les politiques néolibérales alimentent la pauvreté et les inégalités .

    En 2021, une étude d'Oxfam sur les prêts COVID-19 du FMI a montré que 33 pays africains étaient encouragés à poursuivre des politiques d'austérité. Les pays les plus pauvres du monde doivent rembourser 43 milliards de dollars de dettes en 2022, ce qui pourrait autrement couvrir les coûts de leurs importations alimentaires.

    Oxfam et Development Finance International (DFI) ont également révélé que 43 des 55 États membres de l'Union africaine feront face à des réductions de dépenses publiques totalisant 183 milliards de dollars au cours des cinq prochaines années.

    Selon le professeur Michel Chossudovsky du Centre de recherche sur la mondialisation, la fermeture de l'économie mondiale (confinement du 11 mars 2020 imposé à plus de 190 pays) a déclenché un processus d'endettement mondial sans précédent. Les gouvernements sont désormais sous le contrôle des créanciers mondiaux dans l'ère post-COVID.

    Nous assistons à une privatisation de facto de l'État alors que les gouvernements capitulent devant les besoins des institutions financières occidentales.

    De plus, ces dettes sont en grande partie libellées en dollars, ce qui contribue à renforcer le dollar américain et l'effet de levier des États-Unis sur les pays.

    Cela soulève la question : de quoi s'agissait vraiment COVID ?
    Des millions de personnes se posent cette question depuis le début des fermetures et des restrictions au début de 2020. S'il s'agissait bien de santé publique, pourquoi fermer l'essentiel des services de santé et de l'économie mondiale en sachant très bien quelles seraient les implications massives pour la santé, l'économie et la dette ?

    Pourquoi monter une campagne de propagande de style militaire pour censurer des scientifiques de renommée mondiale et terroriser des populations entières et utiliser toute la force et la brutalité de la police pour assurer la conformité ?

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  15. Ces actions étaient totalement disproportionnées par rapport à tout risque posé pour la santé publique, en particulier si l'on considère la façon dont les définitions et les données de «mort COVID» étaient souvent massées et la façon dont les tests PCR étaient utilisés à mauvais escient pour effrayer les populations à se soumettre.

    Le professeur Fabio Vighi de l'Université de Cardiff laisse entendre que nous aurions dû nous méfier dès le départ lorsque les «élites dirigeantes généralement sans scrupules» ont gelé l'économie mondiale face à un agent pathogène qui cible presque exclusivement les improductifs (les plus de 80 ans).

    Le COVID était une crise du capitalisme déguisée en urgence de santé publique.

    Capitalisme
    Le capitalisme doit continuer à s'étendre ou à créer de nouveaux marchés pour assurer l'accumulation de capital afin de compenser la tendance à la baisse du taux général de profit. Le capitaliste a besoin d'accumuler du capital (de la richesse) pour pouvoir le réinvestir et faire de nouveaux profits. En exerçant une pression à la baisse sur les salaires des travailleurs, le capitaliste extrait suffisamment de plus-value pour pouvoir le faire.

    Mais lorsque le capitaliste est incapable de réinvestir suffisamment (en raison de la baisse de la demande de matières premières, du manque d'opportunités d'investissement et de marchés, etc.), la richesse (le capital) s'accumule, se dévalue et le système entre en crise. Pour éviter la crise, le capitalisme a besoin d'une croissance constante, de marchés et d'une demande suffisante.

    Selon l'écrivain Ted Reese , le taux de profit capitaliste a baissé, passant d'environ 43 % dans les années 1870 à 17 % dans les années 2000. Bien que les salaires et les impôts sur les sociétés aient été réduits, l'exploitabilité de la main-d'œuvre était de plus en plus insuffisante pour répondre aux exigences de l'accumulation du capital.

    Fin 2019, de nombreuses entreprises ne pouvaient pas générer suffisamment de bénéfices. Le chiffre d'affaires en baisse, les flux de trésorerie limités et les bilans fortement endettés étaient monnaie courante.

    La croissance économique s'est affaiblie à l'approche du krach boursier massif de février 2020, qui a vu des billions de dollars supplémentaires injectés dans le système sous le couvert d'un «soulagement COVID».

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  16. La résistance
    Cependant, la résistance est fertile.

    Outre les nombreux rassemblements anti-restriction / pro-liberté pendant COVID, nous voyons maintenant un syndicalisme plus strident se faire jour - en Grande-Bretagne du moins - dirigé par des dirigeants avertis des médias comme Mick Lynch, secrétaire général de l'Union nationale des Rail, Maritime and Transport Workers (RMT), qui savent séduire le public et puiser dans le ressentiment largement répandu face à la flambée du coût de la vie.

    Les enseignants, les travailleurs de la santé et d'autres pourraient suivre le RMT en se mettant en grève.

    Lynch dit que des millions de personnes en Grande-Bretagne sont confrontées à une baisse du niveau de vie et à la suppression des retraites professionnelles. Il ajoute:

    "COVID a été un écran de fumée pour les riches et les puissants de ce pays pour faire baisser les salaires autant qu'ils le peuvent."

    Tout comme une décennie d '«austérité» imposée a été utilisée pour obtenir des résultats similaires dans la perspective de COVID.

    Le mouvement syndical devrait maintenant jouer un rôle de premier plan dans la résistance à l'attaque contre le niveau de vie et aux nouvelles tentatives de réduire l'aide sociale fournie par l'État et de privatiser ce qui reste.

    La stratégie de démantèlement et de privatisation complets des services de santé et de protection sociale semble de plus en plus probable compte tenu de la nécessité de maîtriser la dette publique (liée au COVID) et de la tendance à l'IA, à l'automatisation du lieu de travail et au chômage.

    Il s'agit d'une réelle préoccupation car, selon la logique du capitalisme, le travail est une condition d'existence des classes laborieuses. Ainsi, si une main-d'œuvre de masse n'est plus jugée nécessaire, il n'y a plus besoin d'éducation de masse, de protection sociale et de soins de santé et de systèmes qui ont traditionnellement servi à reproduire et à maintenir la main-d'œuvre dont l'activité économique capitaliste a besoin.

    En 2019, Philip Alston , le rapporteur de l'ONU sur l'extrême pauvreté, a accusé les ministres du gouvernement britannique de "l'appauvrissement systématique d'une partie importante de la population britannique" dans la décennie qui a suivi le krach financier de 2008.

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  17. Les 'banques' prêtent de l'argent QU'ELLES N'ONT PAS ! C'est L'ESCROQUERIE MONDIALE OFFICIALISÉE ! Les banques (entrepôt quelconque avec un guichet) ne peuvent posséder de valeur puisqu'elles se disent être non-remboursées depuis des décennies.
    Si je vous dit, je vous DONNE 1 milliard ou 1000000000000000000000000000000000000 milliards vous avez cette somme inscrite sur votre compte alors que je l'ai fabriqué par clavier d'ordinateur !!

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  18. Le système scolaire est défaillant et n'est plus là pour éduquer, déclare un enseignant


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 22 JANVIER 2023 - 03:30
    Écrit par Jackson Elliott via The Epoch Times


    Le système éducatif américain a échoué, selon un enseignant et passionné d'écoles à charte. Et maintenant, les parents recherchent de nouvelles écoles, selon des enquêtes.

    « Le but du système éducatif aujourd'hui n'est plus d'éduquer. C'est tout faire sauf ça », a déclaré Dan Fisher à Epoch Times.

    Fisher enseigne en 10e année dans un lycée dont il a refusé de rendre public le nom. Avant cela, il enseignait comme professeur. Les salles de classe dans lesquelles il se trouve aujourd'hui lui laissent voir un système en train de s'effondrer.

    Les élèves de dixième ne savent pas lire, la plupart des élèves ne veulent pas participer et les enseignants se soucient davantage de l'endoctrinement éveillé que de la résolution de ces problèmes, a déclaré Fisher.

    Mais les enfants ont beaucoup d'énergie à investir dans leur technologie, a-t-il ajouté.

    "Après l'école, c'est incroyable", a-t-il déclaré. « Ils ne jouent pas. Ils ne courent pas. Ils sont juste sur leurs téléphones", a-t-il déclaré.

    Comme plusieurs autres militants de l'éducation, Fisher a déclaré que les changements de la pandémie de COVID-19 ont révélé l'état de décomposition des écoles américaines.

    "Ils ont supposé que les écoles étaient ce qu'elles étaient quand ils sont passés, et ils n'avaient aucune idée à quel point les choses avaient changé, en ce qui concerne le programme et d'autres choses", a-t-il déclaré.

    Les taux de diplomation élevés sont faux, a déclaré Fisher. Les écoles font régulièrement passer des élèves sans se soucier de savoir s'ils répondent aux normes, a-t-il ajouté.

    "On nous demande au niveau de la 10e année, de la 11e année, d'aider à enseigner la lecture", a-t-il déclaré. « Ce n'est pas à ça que sert le K-8 ? »

    Dans cet environnement, il n'est pas étonnant que la plupart des parents recherchent de nouvelles écoles, a déclaré Fisher. Il est soutenu par une nouvelle enquête de la National School Choice Week, un programme caritatif de la National School Choice Awareness Foundation à but non lucratif.

    Parents irrités

    Près de 54% des parents de plus de 3 800 personnes interrogées ont envisagé une nouvelle école pour leurs enfants au cours de l'année écoulée, selon l'étude.

    Le nombre de parents insatisfaits augmentait avec les jeunes parents, ont découvert les chercheurs.

    Parmi les parents âgés de 18 à 29 ans, environ six sur dix ont envisagé de changer d'école au cours de la dernière année.

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  19. Parmi les parents âgés de 30 à 44 ans, un peu plus de la moitié envisagent de changer d'école. Parmi les personnes âgées de 45 à 60 ans, un peu moins de la moitié ont envisagé de déménager. Et environ quatre parents sur 10 âgés de 60 ans et plus ont envisagé de changer d'école.

    L'enquête a noté que les parents afro-américains, hispaniques et millénaires étaient les plus susceptibles d'envisager de changer d'école. Ces groupes étaient également plus susceptibles de dire qu'il n'y avait pas assez de choix entre les écoles.

    Les Américains de race blanche étaient les moins susceptibles d'envisager de changer d'école et les plus susceptibles de dire que les systèmes scolaires offraient suffisamment de choix, a noté l'enquête.

    Tous les parents qui ont envisagé une nouvelle école n'en ont pas choisi une ou sont restés dans la tension de faire un choix, selon l'étude. Environ 16% de tous les parents interrogés ont choisi de nouvelles écoles, 11,3% ont envisagé de le faire mais ne l'ont pas fait et 25,8% envisagent d'en créer une.

    De nombreux parents ont envisagé plusieurs options, selon l'enquête. Mais les options les plus souvent citées étaient les écoles publiques traditionnelles à proximité. Les deuxième, troisième, quatrième, cinquième et sixième options les plus populaires étaient les écoles publiques en dehors des districts des parents, les écoles publiques à charte, les écoles confessionnelles, l'enseignement à domicile et l'enseignement en ligne à temps plein.

    L'option la moins populaire était le "microschooling" ou "pod learning", des méthodes qui enseignent à un groupe de 10 enfants ou moins.

    Près de 65 % des parents ont déclaré qu'ils auraient souhaité avoir plus d'informations sur les options de scolarisation, selon l'enquête.

    jamais normal

    Au cours des dernières années, les parents ont alterné entre les écoles, a déclaré Shelby Doyle, vice-présidente de la sensibilisation du public à la National School Choice Awareness Foundation, à Epoch Times.

    Avec la fin des confinements liés à la COVID-19, cette tendance s'est poursuivie.

    "Ce qui m'a surpris dans les résultats de cette année, c'est la façon dont cela a été maintenu alors que nous sommes revenus à un" sentiment de normalité "", a-t-elle déclaré.

    Doyle a déclaré que les taux élevés de considération pour changer d'école pourraient rester pour deux raisons. Premièrement, la plupart des familles ont plusieurs enfants, les parents peuvent donc envisager de changer d'école pour chaque enfant. Deuxièmement, les parents se sentent plus conscients de la possibilité de changer d'école.

    "Avoir cette barrière dans leur esprit brisée de ce à quoi cela ressemblerait de faire un choix différent, il est plus facile de choisir à nouveau", a déclaré Doyle.

    L'impact futur le plus important de l'enquête proviendra probablement des parents non blancs, a-t-elle déclaré. Ce groupe continue de constituer une plus grande proportion de parents en général, et leurs choix continueront de changer les systèmes scolaires américains, a-t-elle ajouté.

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  20. Cependant, il est difficile de savoir si cette tendance au choix de l'école parmi les familles non blanches est nouvelle.

    « Nous ne menons nos sondages auprès des parents que depuis quelques années. Mais au cours des deux dernières années, cet intérêt a été constant de la part de tous les différents groupes démographiques », a déclaré Doyle.

    Doyle a également déclaré que la National School Choice Awareness Foundation avait intentionnellement publié l'enquête en janvier pour tenir compte des délais de candidature de plus en plus précoces.

    "Alors qu'il existe plus de choix, de plus en plus de dates limites d'inscription commencent à se produire au cours de l'hiver, voire parfois à l'automne", a-t-elle déclaré. "Donc, si les parents sont intéressés à choisir, c'est une opportunité vraiment importante pour commencer ce processus."

    S'effondrer

    Le désastre de l'éducation vient de deux sources, a déclaré Dan Fisher : les élèves se sentent apathiques et luttent contre tant de problèmes de discipline que les enseignants ne peuvent pas les amener à apprendre.

    "Ils veulent seulement venir en classe et passer la période de cours à parler à leurs amis ou à dormir", a-t-il déclaré.

    Les systèmes scolaires ne répondent pas non plus aux besoins des enseignants, a-t-il ajouté.

    "Les systèmes sont axés sur les districts et les superviseurs", a-t-il déclaré. "La question, 'Qu'est-ce qui rend la vie d'un enseignant plus facile?' Je ne pense pas qu'on la pose jamais."

    Fisher a blâmé l'état actuel de l'éducation sur les syndicats nationaux qui n'aident pas les enseignants et les politiciens qui veulent rendre l'apprentissage idéologique.

    Les parents devraient abandonner le système d'éducation publique et rejoindre les écoles à charte, a-t-il déclaré.

    « Le système d'éducation publique est irrémédiablement brisé. Vous n'allez pas le réparer. C'est trop gros", a-t-il dit.

    Cependant, a ajouté Fisher, la plupart des parents ne se soucient pas non plus des problèmes avec les écoles.

    « Les parents sont tellement désengagés dans le processus. C'est vraiment effrayant", a-t-il déclaré. "Ils s'en fichent tout simplement."

    Tout le reste
    Le choix de l'école peut influer sur de nombreux facteurs dans la vie d'une famille.

    L'éducation a un impact sur l'avenir des enfants.

    Selon une étude de la HighScope Educational Research Foundation, les enfants qui fréquentent l'éducation de la petite enfance sont beaucoup plus susceptibles de réussir financièrement plus tard dans la vie.

    Compte tenu de cet impact, les parents décident souvent où vivre en fonction de l'état des écoles locales.

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  21. Par exemple, une enquête de la National Association of Realtors a révélé que 53% des personnes ayant des enfants de moins de 18 ans ont déclaré que la qualité de l'école était un élément important du choix de l'endroit où vivre.

    La demande de bonnes écoles peut également être un moteur majeur des prix de l'immobilier.

    Le National Bureau of Economic Research a constaté que chaque dollar dépensé dans les écoles publiques augmente la valeur des propriétés de 20 $.

    Le déménagement peut également avoir un impact émotionnel sur les enfants. Même si déménager dans une meilleure école peut éventuellement apporter de bons résultats, cela fera probablement mal émotionnellement dans le présent.

    Lorsque les enfants bougent, cela a tendance à nuire à leur fonctionnement mental et émotionnel, selon un mémoire de la Fondation MacArthur. Plus les enfants bougent souvent, plus ils ont de problèmes sociaux, émotionnels et comportementaux, selon l'étude.

    prendre du retard

    Les classements internationaux suggèrent que les parents peuvent avoir de bonnes raisons d'être déçus aux États-Unis. système éducatif.

    Par rapport à d'autres pays, les États-Unis se classe 32e pour les compétences en mathématiques des élèves, 14e en sciences et 12e en lecture parmi 41 pays étudiés par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

    Ces chiffres montrent une baisse depuis la dernière enquête de l'OCDE sur ces pays.

    Aujourd'hui, 54% des adultes américains âgés de 16 à 74 ans manquent de "compétences littéraires", selon Gallup Polls.

    Si l'Amérique n'est pas aussi éduquée que le reste du monde, elle prendra du retard sur le plan économique, selon les données du Forum économique mondial (WEF).

    Les recherches du forum indiquent que si tous les enfants d'un pays à revenu élevé reçoivent l'éducation dont ils ont besoin, ils peuvent augmenter le PIB d'un pays de 16 % par an au cours des 80 prochaines années.

    "Les gouvernements devraient travailler avec les associations de parents et d'enseignants, ainsi qu'avec le secteur privé et les organisations de la société civile, pour trouver les moyens les meilleurs et les plus constructifs d'améliorer la qualité de l'éducation", a suggéré le site Web du WEF.

    Epoch Times a contacté la National Education Association mais n'a reçu aucun commentaire.

    https://www.theepochtimes.com/school-system-failing-and-is-no-longer-there-to-educate-says-teacher_4996680.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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    1. Non ce ne sont pas des cons-de-naissance (ou si peu) mais parfois dotés d'un haut potentiel intellectuel qui fait qu'un enfant de 4 ans sait déjà lire, écrire et compter !
      Mais l’État dictateur psychopathe n'en veut pas ! Ces écoles spéciales pour accueillir les surdoués sont à la charge des parents et non du 'ministère de l’Éducation Nationale' !!
      Ils se doivent d'être marginalisés, éloignés, rejetés voire 'absentés' (comme ils disent après la piqûre létale-19 !).

      Car ces gosses deviendront demain ceux qui comprendront et seront susceptibles de former des personnes à être des leurs !! C'est-à-dire laaaaagement au-dessus des têtes-de-cons sorties des 'grandes écoles' et qui font honte aux pays par leurs erreurs de calculs, de pronostics et de répondre aux questions du Peuple quand elles se retrouvent à des ministères voire en des palais royaux, impériaux ou républicains !

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  22. Qu'y a-t-il derrière les factures de gaz naturel qui montent en flèche en Californie ?

    Le gaz naturel est transféré dans le système SoCalGas après avoir été collecté et purifié dans une installation de collecte de Calgren à Pixley, en Californie, le 1er octobre 2019. (Mike Blake/Reuters)


    Par Jill McLaughlin
    20 janvier 2023


    Les Californiens s'attendent à des factures de gaz naturel qui montent en flèche ce mois-ci, mais cela ne peut pas être entièrement imputé à la météo, selon des initiés de l'industrie.

    Southern California Gas Company (SoCalGas), qui dessert environ 5,9 millions de foyers et d'entreprises, a averti les clients de s'attendre à des factures de janvier "étonnamment élevées" qui pourraient être 128 % plus élevées par rapport à décembre.

    Ceux qui payaient généralement environ 65 dollars par mois l'hiver dernier paieront probablement environ 160 dollars cette année, a déclaré SoCalGas dans un communiqué le 1er décembre. 29. Ceux qui ont des factures d'environ 130 $ par mois pourraient voir leurs frais grimper à 315 $.

    En décembre dernier, les prix de gros du gaz naturel coûtaient déjà cinq fois plus qu'en 2021. Le service public a également payé des prix sans précédent pour l'approvisionnement en janvier, a rapporté la société.

    Les prix du gaz naturel ont augmenté en 2022 pour cinq raisons, selon un rapport biennal (pdf) publié par California Gas and Electric Utilities, un groupe de fournisseurs de services publics comprenant SoCalGas, San Diego Gas & Electric et SoCal Edison.

    Premièrement, les stocks nord-américains sont tombés sous la moyenne quinquennale l'an dernier. Deuxièmement, l'approvisionnement national a également été mis à rude épreuve par la demande constante de l'Europe en gaz naturel américain pendant le conflit en Ukraine.

    Troisièmement, l'administration Biden a limité les licences et le forage dans le pays pour les combustibles fossiles, et les investissements pour une telle production ont pris du retard par rapport à la demande croissante de gaz naturel au cours de l'année écoulée, selon le rapport.

    Enfin, les secteurs de l'énergie électrique en pleine croissance à l'échelle nationale consomment également du gaz naturel, a indiqué la société.

    "D'un point de vue économique [la réduction de la dépendance aux combustibles fossiles] peut être coûteuse et ne devrait certainement pas être rapide ou facile", a indiqué le service public. "Néanmoins, la volonté de trouver des moyens d'avancer et de fournir des solutions énergétiques aux clients de manière propre et abordable est un impératif."

    Les objectifs climatiques limitent la production et augmentent la demande

    Outre les récentes tempêtes qui ont pesé sur l'approvisionnement national, la mauvaise planification du stockage de la Californie et ses objectifs agressifs d'action climatique ont joué un rôle dans la hausse des prix, a déclaré Mike Umbro, un développeur de pétrole et de gaz dans le comté de Kern, à environ 150 miles au nord de Los Angeles. Temps d'époque.

    Les entreprises de services publics utilisent le gaz naturel pour créer 43 % de l'électricité utilisée par plus de 11 millions de clients en Californie, et l'État ne produit qu'environ 10 % de ce dont il a besoin, selon la California Energy Commission.

    "Au cours des 20 dernières années, notre production dans l'État a été réduite de moitié… Nous comptons sur d'autres États autour de nous pour fournir la différence de ce dont nous avons besoin", a déclaré Umbro.

    Le Golden State et ses voisins "travaillent fébrilement pour décarboner le réseau électrique", a-t-il déclaré.

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  23. "La Californie ajoute des énergies renouvelables tandis que d'autres États ferment des centrales au charbon - ces deux tendances augmentent l'utilisation du gaz naturel pour la production d'électricité", a-t-il déclaré.

    En conséquence, les fournisseurs de services publics de l'État paient des prix élevés "sans précédent" cet hiver, a-t-il déclaré.

    Faible inventaire au milieu de la guerre russo-ukrainienne
    Les stocks de gaz naturel sont généralement remplis au printemps et en été. L'année dernière, cependant, les prix du carburant ont grimpé en flèche pendant cette période et les services publics ont retardé leur achat.

    Pour aggraver les choses, les approvisionnements nationaux ont commencé à affluer vers l'Europe pendant le conflit ukrainien, ce qui a fait chuter les niveaux de stockage de la Californie au plus bas du pays – 41 % – fin 2022, a déclaré Umbro.

    "Nous pensions que nous sauvions l'Europe de ces prix élevés, et nous avons oublié la Californie ici", a-t-il déclaré. "Il semble que les services publics ne voulaient pas acheter de gaz naturel, ils sont donc passés l'hiver très vulnérables aux chocs d'approvisionnement."

    Assis au bout des pipelines
    Ensuite, une série de tempêtes a frappé la côte ouest et les habitants ont commencé à chauffer, non seulement en Californie, mais aussi dans les États environnants du Colorado, de l'Oregon et de Washington, ce qui a contribué à la flambée des prix.

    De plus, le Golden State importe du carburant par le biais de pipelines, dont deux étaient en panne pour maintenance dans l'ouest du Texas et les montagnes Rocheuses.

    La pénurie d'approvisionnement en Californie - qui se trouve au bout du pipeline, selon Umbro - pourrait s'aggraver bien plus que dans d'autres États, alors commencez à décarboner, a-t-il déclaré.

    "Ce que je vois à l'avenir, c'est qu'au moment où ces États se décarboniseront, la Californie sera ici sans carburant", a-t-il déclaré. "Il est difficile de pointer vers quelque chose dans le futur qui va nous sauver de cela."

    Les factures élevées continueront si les conditions persistent

    La présidente de la California Public Utilities Commission, Alice Reynolds, a déclaré aux commissaires le 12 janvier que "ces factures élevées pourraient continuer si ces conditions de marché persistent".

    Bien que la commission ne réglemente pas les prix du gaz ou les producteurs, elle tiendra une audience pour explorer les « mesures potentielles qui peuvent être prises » pour faire face aux flambées de prix, a déclaré le porte-parole Christopher Chow à Epoch Times.

    La commission pourrait également envisager d'émettre le crédit climatique annuel de Californie dès que possible pour apporter un soulagement immédiat aux clients. Les résidents reçoivent habituellement un crédit sur leurs factures de gaz naturel en avril. Les fonds proviennent d'un programme d'État qui oblige les industries qui émettent des gaz à effet de serre à acheter des permis de pollution par le carbone.

    https://www.theepochtimes.com/behind-californias-skyrocketing-natural-gas-bills_4998282.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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  24. Cible : Civilisation


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 21 JANVIER 2023 - 16:30
    Rédigé par Jeffrey Tucker via DailyReckoning.com,


    Il y a deux semaines, Southwest Airlines a connu un effondrement massif, mais ce n'était pas la seule compagnie aérienne touchée. Les retards de vol ont ruiné les vacances et les projets de voyage de millions de personnes dans le monde. Il n'a jamais été clair pourquoi.

    Oh bien sûr, blâmez le temps mais c'est devenu une excuse étrangement opaque. Vous regardez à l'extérieur et le temps semble beau, mais quelqu'un vous lance brusquement : ne voyez-vous pas que la neige est mauvaise à Buffalo ?

    Ainsi de suite et lorsque l'excuse météo s'épuise, ils blâment les compagnies aériennes elles-mêmes. Et je suis sûr qu'il y a beaucoup de reproches à faire. Une partie qui semble toujours échapper à toute responsabilité est la FAA elle-même.

    L'autre matin, la FAA elle-même a immobilisé tous les avions aux États-Unis. pour trois heures. Pourquoi ? C'était un bug informatique. On ne comprend toujours pas vraiment. C'était vraiment comme un verrouillage. Peut-être que c'était délibéré pour nous habituer à un système qui ne fonctionne pas. On voyagera peut-être moins. Peut-être qu'on va juste abandonner.

    OK, vous pouvez m'appeler paranoïaque, et peut-être que je me trompe dans mes spéculations sur cet incident, mais regardez la situation dans son ensemble, qu'il s'agisse de nous imposer des voitures électriques ou de lancer l'idée d'interdire les cuisinières à gaz. En fin de compte, il y a des gens qui veulent contrôler notre façon de vivre.

    Ne brûle plus

    La dernière chose sur le billot est la cuisinière à gaz. La Commission de sécurité des produits de consommation de l'administration Biden a lancé l'idée d'une interdiction nationale sur la base d'une étude de cockamamie selon laquelle ils causent des problèmes de santé et respiratoires.

    Vous dites qu'ils ne peuvent jamais s'en tirer ? détrompez-vous Ces régulateurs sont incroyablement puissants. Ils ont l'intention de réaliser leurs souhaits et en profitent à chaque instant. Ils ont du mépris pour le Congrès et se moquent de vos protestations. Ils croient qu'ils sont les seuls responsables et vous n'avez rien à dire à ce sujet.

    Pensez à tout ce qu'ils ont déjà détruit. Regardez autour de vous vos appareils électroménagers. La consommation d'énergie et les restrictions d'eau ont dégradé la machine à laver, le réfrigérateur, le lave-vaisselle, la douche, les toilettes, les sèche-linge, les cuiseurs à vapeur et les fers à repasser, les lave-vaisselle, les congélateurs et bien plus encore.

    Même les réfrigérateurs diminuent de taille, tout cela dans l'intérêt d'institutionnaliser l'austérité.

    Les lave-linge n'utilisent plus assez d'eau pour nettoyer les choses. Le résultat est que nos vêtements sont ternes et sales par rapport à il y a seulement une génération. Vous pouvez ajouter tous les liquides que vous voulez et cela ne fonctionnera toujours pas. Bien sûr, vous pouvez ajouter de l'eau de Javel, mais cela ne fait que détruire le tissu.

    À quand remonte la dernière fois que vous avez vu des draps d'un blanc vraiment éclatant ? Il y a une raison pour cela. Tout est délibéré et causé par une réglementation excessive des appareils. Vraiment propre, il faut absolument faire bouillir de l'eau chaude et beaucoup, plus des phosphates pour éliminer le savon. Sans cela, vous obtenez ce que vous avez aujourd'hui : tout ce qui est terne et sale.

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  25. Quelques bonnes nouvelles de la maison contrôlée par le GOP : ils parlent d'abolir l'IRS et peut-être l'impôt sur le revenu lui-même. Ni l'un ni l'autre n'arrivera bien sûr, mais de telles idées n'ont jamais été dans la sphère publique de mon vivant.

    Il y a une grande révolte en cours dans le pays aujourd'hui. Il était temps !

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/target-civilization

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    1. Araignées, moustiques, mouches et rats: NE LES LAISSEZ PASSORTIR DE CHEZ VOUS ! Bouffez-les ! HAHAHAHA !

      Comment faisaient nos parents pour laver le linge sans lessive ? Ils avaient des lessiveuses ! et utilisaient la cendre de bois. Puis étendaient leurs linges sur l'herbe verte des prés.

      *
      La grande lessive !

      mercredi 23 décembre 2015

      https://huemaurice5.blogspot.com/2015/12/la-grande-lessive.html

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  26. Prof.Univ. RDA. Christian Schubert : Avait-on besoin de la crise ?


    22 janvier 2023
    du Dr. Gabrielle Feyerer


    Prof.Univ. RDA. Christian Schubert, médecin, psychologue et psychothérapeute médical à la MedUni Innsbruck, exprime clairement ce que la plupart d'entre nous ont probablement déjà pensé : une crise de grande ampleur était nécessaire car nous ne pouvions pas continuer ainsi. Étions-nous tout simplement trop bons ?

    Dès le début, le professeur Schubert a été une voix ouvertement critique, sinon trop forte, contre la folie des mesures Covid et le programme de vaccination obligatoire qui en a résulté. Il serait exagéré de généraliser, note-t-il dans une conversation avec Elsa AUF1 qui vaut la peine d'être écoutée . Si vous regardez simplement le plan matériel, nous pourrions être "bien" à l'extérieur, mais les êtres humains ont aussi un esprit et une âme. Et cette âme en particulier se portait tout sauf bien bien avant Corona. Vous pouviez le sentir dans tous les coins et recoins. Et comment le stress et le rythme de vie rapide ont de plus en plus fait des ravages par l'épuisement professionnel, les dépressions physiques et mentales étaient également clairement évidents. Tu rêvais presque d'un big bang.

    Combien de temps peut-on monter un cheval mort et comment en est-on arrivé là ? Avait-il vraiment besoin de Gates, Schwab & Co ou le pic négatif auquel un système basculerait de toute façon était-il prévisible ? Au final, les messieurs mentionnés ne sont-ils pas beaucoup plus que des hommes de main volontaires qui ont su utiliser le moment pour eux-mêmes et qui affluent maintenant autour d'eux de toutes sortes de free riders ? Mais la grande crise devait-elle se produire d'une manière ou d'une autre, qu'un virus ait aidé ou non ?

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  27. Théorie des ondes longues ?

    J'ai spontanément eu des réflexions intéressantes, que le médecin allemand et "médecin d'Hildegarde" Dr. Wighard Strehlow a expliqué dans un de ses livres en 2005 par rapport à la relation entre l'économie de marché, la médecine moderne et traditionnelle. Le marché ne connaît pas de tendances uniformes, mais les hausses et les baisses, les cycles économiques et les récessions alternent. L'expérience a montré que cela se produit dans un intervalle de trois à onze ans - on parle ici de cycles de Kondratiev (bien sûr, cette thèse a aussi ses détracteurs).

    Des découvertes révolutionnaires ont servi de déclencheurs, véritables innovations de base, dont l'invention de la machine à vapeur, plus tard au temps des magnats de la sidérurgie, de l'électrotechnique et de la chimie, puis de la pétrochimie et de l'automobile. De ce point de vue, l'économie mondiale est dans le cinquième cycle de Kondratiev depuis les années 1970, mais son potentiel était largement épuisé en l'an 2000.

    C'est donc en parallèle que débute le sixième cycle long dont le principal vecteur semble être la médecine « moderne » au sens de la technologie, de la recherche génétique et de la biotechnologie. Dès lors, notre santé devait aussi être un facteur de coût et en conséquence nous avons agi dans le monde entier - aujourd'hui, nous voyons les résultats dans une politique d'entreprise brutale, dans laquelle l'individu n'est plus important - même si l'on prêche constamment la "médecine personnalisée" (mais que signifie juste une brique Lego pré-standard pour tout le monde - mais bien sûr il n'y a qu'un seul Lego : génie génétique et nanotechnologie plus chimie).

    Le problème avec cela est, et le professeur Schubert en tant que psycho-neuro-immunologue aborde également cela en termes de contenu : contrairement à la technologie « dure », comment les facteurs biologiques, psychologiques et sociaux « mous » devraient-ils maintenant être porteurs d'interminables croissance économique linéaire? Vous ne pouvez que faire naufrage avec, car tout le récit semble absurde en soi.

    Il y a un autre point à considérer : la source la plus importante de la croissance économique, avec le travail et le capital, est le progrès de la productivité. L'innovation passe par la compétence. Cependant, étant donné qu'en ces temps les technologies, encore plus capitales, n'apportent guère de grands avantages supplémentaires et de véritables innovations scientifiques, mais surtout humainement compatibles (le génie génétique n'en est évidemment pas ainsi) manquent également depuis longtemps, il ne reste plus qu'à le facteur humain pour surmonter les crises actuelles : à l'avenir, les pouvoirs mentaux destructeurs apparemment inhérents à l'homo modernsis, qui sont encore à l'œuvre partout (surtout l'avidité pour l'argent et le pouvoir), doivent être surmontés. C'est la seule façon dont les nouvelles réserves de productivité semblent dormir, du moins c'est la conclusion tirée par le Dr. Strehlow.

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  28. Selon le professeur Schubert, il est également nécessaire de jeter un autre regard sur les lois fondamentales de la vie - sur les mathématiques de la nature plutôt que sur la technologie. Les cycles naturels ne sont jamais égaux et ici un plus un peut facilement totaliser plus de deux. Sur la base de ces découvertes - combinées à une intuition saine - selon le professeur Schubert, tout un "système boule de neige du réveil" pourrait survenir, car de plus en plus de personnes se rendront compte qu'elles ont été trompées et menties. De son point de vue, on en voit partout les prémices. Toute une vague de désespoir et de colère pourrait éventuellement se propager.

    Incidemment, le professeur Schubert soulève une question intéressante : pourquoi la légalisation du cannabis est-elle poussée si massivement en Allemagne en ce moment ? Par exemple, pour calmer des citoyens en colère ? Ce par quoi, si l'on en croit M. Lauterbach & Cie, ils voudraient prétendument « assécher » le marché noir et même réhabiliter les dealers. Ça fait réfléchir...

    Nouvelle humanité au lieu de l'aliénation

    Les inégalités économiques et sociales génèrent de plus en plus de terreur et de nouvelles guerres dans le monde. Cette destructivité repose en grande partie sur des relations interpersonnelles perturbées, c'est donc un phénomène psychosocial et en même temps la véritable "cellule cancéreuse" de nos sociétés occidentales d'abondance (certainement pas guérissable avec des injections de gènes), c'est pourquoi les pays "pauvres" du avenir, qui amélioreront leurs qualités interpersonnelles et mieux à même de préserver les traditions pourraient facilement nous dépasser en termes de développement économique. Certaines « élites » semblent reconnaître que ce danger se profile – est-il donc si important pour elles de créer toujours plus de division et en même temps de rêver de domination mondiale et de contrôle absolu jusqu'au « One Health » ? La solution serait plus d'individualité et de responsabilité personnelle,

    Le système de santé actuel - selon le Pr Schubert basé sur des erreurs épistémologiques et donc une catastrophe unique car soutenu par le dualisme, le matérialisme et le réductionnisme - ne peut donc probablement pas être porteur du sixième cycle de Kondratiev. Rien que pour cela, il est accablé par trop de problèmes de coûts, d'intérêts particuliers et de gaspillage massif de ressources. Rien n'a mis cela en lumière plus clairement que la pandémie. Seuls les symptômes sont encore traités, mais aucune cause, les facteurs de risque mentaux et sociaux des maladies ne sont plus que jamais tentés d'être complètement exclus. On n'est même pas disposé à traiter objectivement (c'est-à-dire aussi en relation avec les "vaccinations") des causes de la surmortalité mondiale.

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  29. De plus, la quantité ne remplace pas la qualité

    Un système qui dépend de la production constante d'un nombre suffisant de malades et de malades pour sa propre survie ne peut ni se rétablir ni créer une "santé pour tous" durable à l'avenir. Par conséquent, sans un changement profond de cette façon de penser erronée, même l'expansion purement personnelle de tous les hôpitaux et maisons de retraite avec une "thérapie" de plus en plus coûteuse ne serait pas une vraie solution. Même avant la pandémie, le médecin et auteur autrichien Dr. Günther Loewit dans son livre passionnant « 7 milliards pour rien. Un médecin de campagne règle ses comptes avec le système de santé », explique. J'en ai des extraits dans la postface de mon propre livre "Padma" .traitées en termes de contenu, car en même temps, elles montrent clairement où se situent les chances des systèmes médicaux traditionnels tels que la médecine tibétaine.

    Ces problèmes fondamentaux devront être traités, même l'OMS devra le faire, sinon il y aura toujours un bang, à un moment donné si approfondi qu'aucun caillou n'est laissé au hasard. Le déni habituel d'un lien entre la santé, l'éthique, la religion et la spiritualité est non seulement non scientifique, mais désormais totalement inacceptable d'un point de vue écologique. Ce que l'OMS a concédé, au moins pro forma, en feignant de vouloir donner plus de reconnaissance et d'encouragement aux systèmes médicaux traditionnels de la planète à l'avenir. Mais cela ne sera possible que si des lobbyistes technocratiques financièrement puissants ne sont pas les seuls aux commandes.

    Ne nous sommes-nous pas vraiment réveillés depuis 1945 ?

    Dans son interview, le professeur Schubert note même que depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, aucun véritable travail n'a été fait dessus, mais plutôt que nous avons recouvert les profondes blessures émotionnelles et sociales par la consommation matérielle et que nous le faisons encore aujourd'hui. Seul Covid a tracé une frontière nette et maintenant nous sommes à nouveau pratiquement en guerre en raison des événements actuels, même si cela ne se déroule pas directement sur notre propre sol.

    Une fois de plus, nous essayons de conjurer nos propres côtés toxiques par tous les moyens et le doigt mutuel s'épanouit. L'auto-analyse devrait devenir un devoir - la base de cela ne pourrait probablement être fournie que par un système d'éducation et de valeurs complètement réformé. Au lieu de cela, il faut encore plus de normalisation et de conformité. Même en psychologie, selon le professeur Schubert, les composantes sociologiques et culturelles de l'existence humaine sont de plus en plus ignorées - encore plus en médecine, qui se perd dans ses lucratives fouilles dans notre génétique au lieu de reconnaître enfin les maladies dans leur intégralité voir et traiter causalement. Il représente pars pro toto l'état actuel des sociétés industrielles occidentales - également en termes de théorie des systèmesGéométrie fractale, comme le note à plusieurs reprises le professeur Schubert.

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  30. Par exemple, si l'on devait voir le problème de l'augmentation des maladies auto-immunes strictement séparé des causes physiques, alors chaque auto-agression résulte clairement de la suppression des émotions humaines et de l'induction constante de la peur et de la panique à l'extérieur. Ce que l'on perçoit politiquement et socialement est également transféré au niveau physique. Des recherches sont également menées actuellement à l'Université d'Innsbruck sous la direction du professeur Schubert dans le cadre de la psycho-neuro-immunologie.

    Le professeur Schubert admet également que tout changement pour le mieux ne se manifestera que lentement et lentement (mais, espérons-le, de façon permanente). Chacun de nous peut et doit faire partie de ce changement à tout moment. Même un initié endurci comme le professeur Schubert trouve tragique la volonté avec laquelle les masses acceptent et absorbent encore tout ce que les médias et "la" science dominante nous proposent chaque jour sous la forme de contes de vieilles femmes.

    Nous sommes confrontés à un défi pour la société dans son ensemble afin d'en venir à bout.

    Vous cherchez autre chose que la vérité ?
    Un exemple éloquent est fourni par les nouvelles études qui viennent d'émerger, qui visent toutes à prouver que la surmortalité massive et tout ce qui sent les dégâts de la vaccination (même avec une connexion soleil clair) ou ce que "Long Covid" a entraîné, bien sûr UNIQUEMENT peut être causé par le virus. Ici, la volonté d'une réévaluation objective dans les rangs des principaux acteurs semble encore nulle - il y aurait probablement tout simplement trop d'enjeux pour les "éléments" impliqués. Vous n'avez pas besoin de demander longtemps qui finance généralement des études appropriées ici. De plus, en ce qui concerne Long et Post Covid - comme d'habitude - un nouveau secteur d'activité lucratif en médecine (même le marché du livre) s'est déjà ouvert,

    Il fonctionne encore assez bien, le perpétuel mobile de la médecine "moderne". Mais cela pourrait aussi conduire à leur chute.

    Essayons donc de croire avec le Pr Schubert que le bien est possible dans le futur, car même le mal finit par ennuyer et beaucoup de mensonges s'exposent. Mais si ce développement ne se produit pas, alors peut-être en aurons-nous réellement besoin, la crise finale, car le sixième cycle majeur s'efforce apparemment de s'achever.

    https://tkp.at/2023/01/22/univ-prof-ddr-christian-schubert-haben-wir-die-krise-gebraucht/

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    1. La crise est seulement dans la tête de Davos ! C'est leur infériorité qui les gêne. Ils n'osent pas ... demander au Peuple !!

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  31. Des manifestations pour des prix de l'énergie abordables - bientôt dans toute l'Autriche ?


    22 janvier 2023
    par Andrea Drescher


    Des manifestations contre les prix élevés de l'énergie ont eu lieu simultanément à Linz, Salzbourg et Vienne le 11 janvier. Sous le titre "Prix de l'électricité et du gaz en baisse", les participants ont manifesté devant les fournisseurs d'énergie respectifs. C'est le signe d'une vie abordable, car cela commence par l'électricité et le gaz, tous les autres produits deviennent automatiquement plus chers lorsque les coûts énergétiques sont élevés. Initiés à Linz, les organisateurs de Vienne et de Salzbourg ont rejoint l'idée de représenter une vie abordable pour tous dans leurs villes.

    Ces manifestations ne doivent pas rester un événement ponctuel. Le plan est de répéter la manifestation dans autant de villes d'Autriche, d'Allemagne et d'autres pays que possible le 1er mercredi du mois de 11h à 13h jusqu'à ce que les prix de l'énergie permettent aux gens de vivre à nouveau une vie abordable. J'ai parlé à l'initiateur Michael Prinz de l'organisation de démonstration à Linz et aux organisateurs de Vienne et de Salzbourg.

    L'idée d'une démo énergétique est venue de vous. Comment est-ce arrivé ?

    Je travaille dans l'industrie de l'énergie depuis 2001 - je vois chaque jour la misère et la souffrance des gens. C'est pourquoi il est nécessaire d'agir maintenant. Combien de temps voulons-nous regarder et attendre que les responsables agissent enfin ? De nombreux clients se plaignent et souffrent parce qu'ils doivent maintenant payer 4 à 5 fois plus cher. La facture d'électricité d'une boulangerie familiale est passée de 2 000 à 10 000 euros. Ils ne peuvent pas répercuter les prix sur leurs clients, sinon ils migreront vers les entreprises, qui obtiendront des prix spéciaux dont nous, les consommateurs, ne pouvons que rêver.

    Lors du convoi de la liberté début 2022 et d'autres marches de démonstration, ce sujet était déjà abordé et des affiches étaient collées sur les voitures. Le discours aux fournisseurs d'énergie a finalement eu lieu le 11 janvier 2023 pour la première fois.

    Comment a été la réponse à Linz ?

    Très bien - les gens nous ont donné un coup de pouce. La flambée des prix de l'énergie touche tout le monde, il n'y a pas de division. Nous nous sommes inscrits pour 30 personnes, heureusement il y avait 100 personnes au départ du rallye et 77 à la marche de démonstration, selon le responsable des opérations.

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  32. Quelle a été la réaction du public ?

    Aussi très bien - les gens dans la rue ont évidemment compris pourquoi nous protestons. Des représentants de tous les médias grand public importants étaient également présents et ont rapporté positivement et annoncé nos prochaines dates - chaque 1er mercredi du mois. Dans la version imprimée du "Krone", l'article était factuel et neutre, en ligne il était très détaillé. RTV nous a interviewés au Steyrer Walk et nous a informés à l'avance. Nous attendons avec impatience l'émergence des médias libres et grand public lors des prochains rassemblements du mercredi 1er février et des mois à venir.

    Et après ?

    Le 11 janvier 2023 a été le début. Nous espérons toucher plus de personnes dans plus de villes. Il est conseillé de l'organiser en semaine afin que les responsables puissent nous entendre et nous voir en direct. Pour votre information : En Autriche, la majorité des fournisseurs d'électricité et de gaz appartiennent à l'État et des hommes politiques siègent aux conseils de surveillance et aux conseils d'administration. Si la pression s'exerce sensiblement localement, elle peut se répercuter directement sur le politique. Il est optimal de prendre du temps une fois par mois pour ce sujet important, afin qu'ensemble nous puissions atteindre notre objectif d'une vie décente et abordable.

    Salzbourg
    Georgios Rizos, un militant pacifiste grec engagé, a organisé la première manifestation énergétique à Salzbourg.

    Pourquoi avez-vous rejoint l'idée de Michael ?

    Nous nous connaissions et avions échangé nos numéros de téléphone. Il m'a appelé parce qu'il savait que je continuais à organiser des manifestations à Salzbourg et m'a proposé d'y participer. Je me suis dit, si personne ne le fait, je le ferai. Je suis impliqué dans une variété de problèmes.

    A quoi vous engagez-vous ?

    Tous les samedis de 11h30 à 12h30 au Platzl de Salzbourg, j'organise une veillée pour Julian Assange, pour la paix et contre les refoulements aux frontières extérieures de l'UE. La privatisation des infrastructures publiques est typique d'un système capitaliste et a maintenant des conséquences. Au fond, l'énergie n'est pas le sujet le plus important pour moi, mais je le trouve très pertinent car il a quelque chose à voir avec les inégalités dans la société, par exemple dans la redistribution des richesses. Les prix de l'énergie appauvrissent les gens et enrichissent les entreprises.

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  33. Comment a été la réponse à Salzbourg ?

    Grâce au soutien des militants des manifestations dominicales, une quarantaine de personnes sont venues. Nous sommes tous touchés par l'augmentation des prix de l'énergie et même si l'argent n'est pas si important, pour beaucoup de gens leur gagne-pain en dépend.

    Existentiellement menacé à Salzbourg ? Salzbourg est une ville riche, n'est-ce pas ?

    Les prix ont généralement augmenté. Le loyer augmente nettement plus que l'inflation, principalement à cause de l'électricité et du gaz, plus de 25% dans notre colocation.

    Quelle a été la réaction des gens dans la rue ?

    C'était une journée froide et pas beaucoup dans la rue. Les quelques réactions qu'il y avait étaient positives et c'était agréable à voir.

    allez-vous continuer

    Naturellement. Mais la prochaine fois, nous voulons choisir un itinéraire à travers la ville où plus de gens remarquent quelque chose. Le 11.1. nous étions au service client de Salzburg AG. La prochaine fois, le 1er février, nous voulons aller de l'Alter Markt dans la vieille ville au siège de Salzburg AG (Bayerhamerstrasse) via Mirabellplatz. Des informations peuvent être trouvées sur le site www.demo-info.atTrouver. Je m'abstiens délibérément d'utiliser Telegram et des médias similaires soi-disant libres. Si vous le souhaitez, vous pouvez bien sûr transmettre l'information à votre groupe. Il est probable qu'il y aura bientôt de plus grandes manifestations et d'autres activités à Vienne. J'espère que les gens feront preuve de solidarité envers l'objectif commun. Alors d'abord stop aux grandes entreprises et, dans la mesure du possible, à la dégradation des conditions de vie de la population.

    Vienne
    Hannes Brejcha, qui organise à Vienne de grandes manifestations équitables qui critiquent les mesures, a également repris l'idée de Michael Prinz.

    Pourquoi voulez-vous descendre dans la rue chaque 1er mercredi du mois ? Les démos de la pensée juste ne suffisent-elles pas ?

    Au début, je ne voulais pas participer car je suis occupé par les autres manifestations. Mais des gens m'écrivent tous les jours qui ne savent vraiment plus comment payer leurs factures de gaz et d'électricité. Si la facture d'électricité était déjà élevée à 100 euros, 400 euros sont désormais à virer. Beaucoup ne peuvent plus se permettre de louer ou de louer. Il est donc important que nous allions là où se trouvent les pollueurs - avec les fournisseurs d'énergie.

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  34. La mise en œuvre du règlement climatique de l'UE dans les grandes villes n'est guère possible - en prenant l'exemple de Vienne


    21 janvier 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    L'UE a lancé un programme appelé "Fit for 55" qui vise à réduire à zéro les émissions de carbone de l'UE d'ici 2040. Les appartements et les maisons qui n'atteignent pas l'objectif ne doivent plus être utilisés et ne peuvent plus être habités à partir de la date prévue respective. À partir de 2035, les voitures et véhicules utilitaires neufs ne pourront être livrés que sans émissions.

    Dans le cas des appartements et de l'immobilier commercial, la réglementation, si elle est strictement appliquée, conduira à une quasi-expropriation. TKP a décrit exactement ce qui est prévu ici . L'utilisation de la voiture privée deviendra si chère en raison des restrictions qu'elle ne sera pratiquement possible que pour une classe supérieure étroite. TKP a analysé plus de détails ici . Le tout sous la devise du WEF « Vous n'aurez rien et serez heureux. "

    Étant donné que les réglementations de l'UE sont juridiquement contraignantes pour tous les pays membres, ils doivent bien sûr s'occuper de toute urgence de la mise en œuvre.Si vous regardez les plans de la ville de Vienne, il n'y a pas beaucoup de réalisme.

    Le document de la ville de Vienne cité par l'ancien conseiller municipal et écologiste Christoph Chorherr contient peu d'idées à part entière. Comment jurer :

    Notre vision est claire : à partir de 2040, tous les bâtiments de Vienne seront chauffés de manière climatiquement neutre, sans émissions et renouvelables et, si nécessaire, également refroidis. Les vecteurs énergétiques fossiles dans le chauffage des locaux seront de l'histoire ancienne à partir de 2040 !

    Mais ensuite, vous admettez que ce ne sera probablement pas si facile :

    Il y a environ 600 000 chaudières à gaz dans les appartements des Viennois - elles sont toutes successivement remplacées par des alternatives respectueuses du climat.

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  35. Ainsi, près de 36 000 chaudières à gaz devront être remplacées chaque année d'ici 2040. Les politiciens et les fonctionnaires qui proposent cela n'ont probablement jamais essayé d'obtenir un plombier et d'acheter une pompe à chaleur. Mais attendez - il y a le chauffage et le refroidissement urbains centraux viennois et ils devraient jouer un rôle central :

    Les zones particulièrement denses sont alimentées par le chauffage urbain central.

    Le chauffage urbain central a été décarboné en 2040 et est alimenté à partir de sources renouvelables ou de chaleur perdue.

    Dans les zones moins urbanisées, des réseaux de chaleur renouvelables basse température et des solutions renouvelables pour le bâtiment sont utilisés. L'accent sera mis sur les solutions de pompe à chaleur et l'utilisation sélective de la biomasse.

    Joli projet. En principe, je ne voudrais pas être à la merci du monopole du chauffage de la ville de Vienne. Nous avons maintenant vu comment cela peut affecter les augmentations du prix de l'électricité. Si le gouvernement municipal décide, par exemple, que 19 degrés sont suffisants, vous pouvez au mieux, si le compteur intelligent de Wien Energie le permet, chauffer avec un radiateur électrique.

    Dans les bâtiments anciens, le chauffage urbain est un investissement extrêmement coûteux et également très coûteux car pratiquement tout nécessite un travail manuel. Il en va de même pour la conversion en pompes à chaleur. La température de départ qui peut être atteinte sans chauffage d'appoint bivalent à l'électricité est trop basse pour atteindre des températures intérieures suffisantes avec d'anciens radiateurs. Cela s'applique probablement aussi, dans une certaine mesure, au chauffage urbain.

    La solution serait de remplacer les anciens radiateurs par de nouveaux équipés de ventilateurs, ou d'isoler complètement les maisons. Dans de nombreux cas, les deux seront nécessaires. Les vieilles maisons, en particulier les bâtiments municipaux qui ont été construits entre les guerres et après la Seconde Guerre mondiale au XXe siècle, ont besoin de rénovations de façade et d'isolation thermique importantes.

    Le point 7 du grand concept viennois intitulé « Bâtiments super efficaces » ne contient que des formulations nébuleuses sur le sujet. Il n'y a pas de concept viable.

    L'énorme richesse accumulée par les gestionnaires d'actifs tels que BlackRock, Vanguard et autres, ainsi que les différents oligarques avec leurs fondations, est à la recherche d'opportunités d'investissement. La terre et l'immobilier seront disponibles à bon marché pour ceux qui ne peuvent pas se permettre ces conversions. Dans l'ensemble, cela conduira à une concentration du marché du logement entre de moins en moins de mains.

    https://tkp.at/2023/01/21/umsetzung-der-eu-klimaverordnung-in-grossstaedten-kaum-moeglich-am-beispiel-von-wien/

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    1. Et quand l'hiver il n'y a plus d'électricité... tout le monde est mort de froid !

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  36. Pas de courant pour les voitures électriques et les pompes à chaleur : le plan explosif de l'agence du réseau électrique allemande


    22 Janvier 2023
    Olaf Zinke, AGRARHEUTE*


    Il n'y a même pas encore un million de voitures purement électriques immatriculées en Allemagne, et pourtant l'Agence Fédérale des Réseaux s'inquiète fortement d'un manque d'électricité pour les alimenter. L'année dernière, le nombre de voitures électriques nouvellement immatriculées a fortement augmenté, accéléré bien sûr par la prime à l'achat élevée. Le gouvernement fédéral veut mettre en circulation environ 15 millions de véhicules électriques d'ici 2030, notamment pour que les objectifs climatiques soient atteints.

    Nombreux sont ceux qui s'équipent de voitures électriques et de pompes à chaleur. Mais le réveil pourrait bientôt être brutal, à savoir lorsque l'électricité leur sera coupée. Ou rationnée. Pourtant, les voitures électriques et les pompes à chaleur sont souhaitées politiquement et pour des raisons de protection du climat, et elles sont aussi massivement encouragées financièrement.

    Le président de l'Agence Fédérale des Réseaux, Klaus Müller, met en tout cas en garde contre une surcharge du réseau électrique en Allemagne par le nombre croissant de stations de recharge de voitures électriques privées et de pompes à chaleur fonctionnant à l'électricité.

    De plus en plus de personnes achètent des voitures électriques et se chauffent avec des pompes à chaleur. Mais pour cela, il faut de l'électricité. Beaucoup d'électricité. Plus il y a de voitures électriques en Allemagne, et plus il y a des pompes à chaleur qui chauffent les maisons, plus il faut d'électricité. Le passage à ces consommateurs d'électricité respectueux du climat est toutefois expressément souhaité par les politiques.

    Mais l'Allemagne n'est pas préparée à ce boom. Apparemment, l'augmentation du nombre de voitures électriques et de pompes à chaleur accroît le risque de surcharge du réseau électrique avant même que le véritable boom n'ait commencé. Le président de l'Agence Fédérale des Réseaux, Klaus Müller, met en tout cas en garde contre une surcharge du réseau électrique en Allemagne par le nombre croissant de stations de recharge privées pour voitures électriques et de pompes à chaleur fonctionnant à l'électricité. « Si de très nombreuses nouvelles pompes à chaleur et stations de recharge continuent d'être installées, il faut craindre des problèmes de surcharge et des pannes de courant locales dans le réseau de distribution si nous n'agissons pas », a déclaré M. Müller à la Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung.

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  37. L'agence des réseaux considère que ce sont surtout les réseaux locaux de basse tension qui sont sujets à des perturbations. C'est pourquoi elle a élaboré un document de référence qui prévoit un « rationnement temporaire de l'électricité pour les pompes à chaleur et les stations de recharge de voitures électriques » en période de forte utilisation du réseau. Il s'agit de couper ou au moins de réduire l'alimentation électrique de ces consommateurs. Dans de tels cas, les gestionnaires de réseau doivent réduire l'alimentation électrique des installations de manière forcée et coordonnée. Les plans de rationnement de l'électricité doivent entrer en vigueur le 1er janvier 2024.

    La Grande-Bretagne a déjà mis en œuvre de telles mesures. En période de pointe, les voitures électriques de l'île peuvent être simplement coupées du réseau électrique depuis 2022.

    Rationnement de l'électricité pour 1 million de voitures électriques – que se passera-t-il quand il y en aura 15 millions ?

    Il n'est toutefois pas question de couper complètement l'alimentation électrique des chauffages et des chargeurs pendant les phases critiques, a déclaré M. Müller à la Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung. « Nous voulons garantir une alimentation minimale à tout moment. » Même en cas de rationnement de l'électricité, les stations de recharge privées seraient en mesure d'obtenir suffisamment de courant pour recharger la batterie d'une voiture électrique en trois heures pour une autonomie de 50 kilomètres.

    En outre, selon les déclarations de M. Müller, « un grand nombre de pompes à chaleur devraient pouvoir continuer à fonctionner presque sans problème ». Il n'y a même pas encore un million de voitures purement électriques immatriculées en Allemagne, et pourtant l'Agence Fédérale des Réseaux s'inquiète fortement du fait que l'électricité ne suffise pas.

    L'année dernière, le nombre de voitures électriques nouvellement immatriculées en Allemagne a fortement augmenté, accéléré bien sûr par la forte prime à l'achat. Le gouvernement fédéral veut mettre en circulation environ 15 millions de véhicules électriques d'ici 2030, notamment pour que les objectifs climatiques soient atteints. À l'heure actuelle, les réseaux électriques ne peuvent même pas supporter un million de voitures électriques !

    Le directeur du groupe énergétique Eon de Düsseldorf, Thomas König, a quant à lui exigé dans la Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung une forte accélération de l'extension et de la modernisation des réseaux électriques locaux et régionaux. Il a fait référence aux nombreuses demandes de raccordement de nouvelles installations et aux délais d'attente pouvant atteindre huit mois pour le raccordement des installations au réseau électrique. Les investissements seraient toutefois freinés par de longues procédures d'autorisation pour des projets de construction pouvant durer jusqu'à douze ans. « C'est totalement hors de question », a déclaré M. König.

    https://seppi.over-blog.com/2023/01/pas-de-courant-pour-les-voitures-electriques-et-les-pompes-a-chaleur-le-plan-explosif-de-l-agence-du-reseau-electrique-allemande.html

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  38. Les critiques critiquent Klaus Schwab, WEF pour avoir tenté de "maîtriser l'avenir" avec un programme mondial d'esclavage


    Dimanche 22 janvier 2023
    par : Ethan Huff


    (Natural News) La réunion annuelle très médiatisée du Forum économique mondial (WEF) de cette année fait l'objet de nombreuses critiques alors que le reste du monde regarde avec horreur cette démonstration grotesque de mondialisme devenu sauvage.

    Le rassemblement de cette année est centré sur le thème "maîtriser l'avenir" du chef Klaus Schwab, qui vise à subjuguer le monde entier sous la lourde main de la tyrannie mondialiste.

    En 2016, Schwab a dévoilé son discours "Tout le monde ne possédera rien et sera heureux d'ici 2030". En 2020, nous avons tout entendu sur "The Great Reset". Et maintenant, l'ordre du jour est "Coopération dans un monde fragmenté" post-covid, ainsi que la résolution de la "crise du coût de la vie".

    Pour atteindre ses objectifs de longue date d'une prise de contrôle mondiale, Schwab dit que les mondialistes du monde entier doivent s'unir à lui sous la bannière de tout centraliser sous le soleil - ou, comme l'a dit un critique, "centraliser le pouvoir entre les mains d'élites mondiales triées sur le volet".

    Toute liberté doit disparaître, en particulier aux États-Unis où de petites choses embêtantes comme la liberté d'expression et le droit de porter des armes entravent les plans de Schwab. (En relation: Selon Schwab, les personnes non vaccinées sont également une menace pour l'humanité et doivent être traitées.)

    Un autre critique a écrit que la réunion annuelle du WEF "agit comme un rendez-vous en personne, sur invitation uniquement, fermé aux étrangers idéologiques, à la politique et aux idées pour la classe dirigeante mondiale".

    Le WEF joue la défense cette année au milieu d'un soulèvement mondial contre la tyrannie mondialiste
    Certains des autres thèmes clés de la réunion annuelle du WEF de cette année incluent la « lutte contre la désinformation », la promotion de davantage de « partenariats public-privé », la promotion de politiques plus « vertes », ainsi que d'autres mots à la mode tels que « DEI », « résilience », « la durabilité », la « sécurité sanitaire », la numérisation du « métaverse » et le déploiement de technologies plus « intelligentes ».

    « Nous voyons les multiples forces politiques, économiques et sociales créer une fragmentation accrue aux niveaux mondial et national. Pour s'attaquer aux causes profondes de cette érosion de la confiance, nous devons renforcer la coopération entre le gouvernement et les secteurs des entreprises, en créant les conditions d'une reprise forte et durable », a déclaré Schwab dans un communiqué de presse sur l'objet de la réunion de cette année.

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  39. "Dans le même temps, il faut reconnaître que le développement économique doit être rendu plus résilient, plus durable et que personne ne doit être laissé pour compte."

    Covid et tout ce qui a changé dans le monde avec son déchaînement, a ajouté Schwab lors des cérémonies d'ouverture de la réunion, servent "de forces catalytiques pour la transformation économique" qu'il pousse.

    "Grâce à la responsabilité collective, à l'innovation, à la bonne volonté et à l'ingéniosité humaines, nous avons la capacité de transformer ces défis en opportunités", a-t-il ajouté.

    Le journaliste d'investigation Jordan Schachtel a commenté que les déclarations de Schwab sur la maîtrise de l'avenir et "surmonter les attitudes critiques et conflictuelles négatives" sont la façon pour l'entité mondialiste d'essayer de se défendre contre les critiques croissantes de son programme.

    La forte pression pour faire taire la liberté d'expression afin de lutter contre les «campagnes de désinformation» montre que Schwab et al. craignent que trop de discours contradictoires aient lieu dans le climat politique actuel, en particulier sur les plateformes de médias sociaux comme Twitter qui sont devenues la nouvelle place publique numérique.

    Ce sont les déclarations antérieures de Schwab sur "ne rien posséder et être heureux" qui ont d'abord "déclenché une campagne de désinformation" sur le WEF, selon The Globe and Mail du Canada, un média pro-mondialiste.

    Robert F. Kennedy Jr., un autre critique du WEF, a noté que la réunion annuelle du WEF est en quelque sorte un "pèlerinage annuel" que d'éminents mondialistes font allégeance à Schwab, Bill Gates et d'autres milliardaires dont ils obtiennent leurs "ordres de marche".

    "Assez curieusement, il me semble qu'ils ont créé tous les problèmes qu'ils prétendent maintenant vouloir résoudre …" changement climatique ", " fausses " pandémies ", " perturbations " de la chaîne d'approvisionnement, " crises énergétiques ", " coût de la vie ". crises', 'interruptions' des voyages, guerres et conflits, et la liste s'allonge encore et encore », a ajouté un commentateur critique à la conversation.

    "Et bien sûr, personne ne fait de "désinformation" mieux qu'eux. Créez le problème, puis créez la solution supposée.

    Les dernières nouvelles concernant Klaus Schwab et le WEF sont disponibles sur Globalism.news.

    Les sources de cet article incluent :

    ChildrensHealthDefense.org
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-01-22-critics-klaus-schwab-master-future-enslavement.html

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  40. Davos 2023 : siffler devant le cimetière de la grande réinitialisation


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 21 JANVIER 2023 - 20:30
    Écrit par Tom Luongo via le blog Gold, Goats, 'n Guns,


    En novembre 2021, j'ai écrit un article intitulé « Avons-nous enfin atteint le pic de Davos ? Cet article était effrayant. Lorsque vous avez écrit autant que moi au cours des cinq dernières années, cependant, il est facile de regarder en arrière et de souligner à quel point vous étiez précieux.

    Même si vous vous êtes trompé sur beaucoup de choses, ce que j'ai.

    Cet article particulier, cependant, était presque exact pour évaluer l'état du projet Great Reset de The Davos Crowd.

    J'ai écrit un fil Twitter à ce sujet l'autre jour pour enfoncer les prochains clous dans le cercueil de Davos avant l'ouverture de la convocation de cette année des mondialistes désemparés.

    Dans ce métier, l'objectif n'est pas de tout réussir, mais d'avoir raison plus souvent que d'avoir tort tout en stimulant le débat et la conversation. C'est ainsi que nous externalisons quelque chose de proche de la vérité et/ou que nous renforçons nos propres arguments dans une quête sans fin d'amélioration des processus.

    J'ai récemment écrit sur ce processus et pourquoi il est important d'identifier ceux qui sont encore sur ce chemin, ceux qui le commencent et ceux qui sont coincés dans le bourbier de leurs propres idées préconçues.

    Embrassez et encouragez les deux premiers groupes et questionnez l'éthique de ceux du dernier.

    Parce qu'en 2023, la mission commence à changer, passant d'essayer de prévoir ce que ces sages Cantillionaires feront ensuite pour aider davantage les gens à améliorer leurs capacités d'analyse des données.

    Plus il y a de gens qui analysent les conneries de Davos en temps réel, moins ils passent de temps à y réagir et utilisent ce temps gagné de manière plus productive pour contrecarrer les plans de Davos.

    Nous voici donc à la fin de Davos 2023 et il est assez évident, en regardant les débats, que tout leur édifice construit sur un mélange grossier de psychopathie et d'orgueil s'effondre.

    Et ce n'est pas seulement parce que nous sommes plus nombreux à les voir pour ce qu'ils sont, des communistes bon marché dans des costumes coûteux, mais parce qu'il y a de fortes divisions qui se forment dans leurs propres rangs.

    Le problème, cependant, pour la plupart des Davosiens engagés, c'est qu'ils vivent toujours dans le sac amniotique rempli de vin et de fromage de cette version d'Oz des Alpes suisses. rien de plus menaçant qu'un seul moustique ne l'est pour une vache.

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  41. Comme le savent tous ceux qui ont vécu dans le centre de la Floride ou étudié son industrie bovine, quelques millions de moustiques peuvent exsanguiner une vache en quelques jours.

    Donc, regarder les débats à Davos de cette année était fascinant parce que, pour la première fois, l'éclat avait disparu. Trop de gens voyaient les murs de la chambre d'écho pour ce qu'ils étaient ; vieux, minable et plein de courants d'air plutôt que d'avoir le vernis de la sagesse qui vient avec l'âge.

    Davos était sorti de derrière le rideau de son plein gré pour se déclarer sauveur de l'humanité à travers les idées folles de leur Führer sur le transhumanisme, les villes de 15 minutes, la consommation d'insectes et la location de votre vie à une autorité centrale.

    Et il était facile de construire un contre-récit à cette folie qui imprégnait l'air du temps en pointant simplement votre doigt et en riant d'eux.

    Si vous voulez une preuve de la distance parcourue par l'idée de Davos au cours des cinq années écoulées depuis que je les ai appelées pour la première fois "The Davos Crowd", la performance de ce tweet du 3 janvier devrait le faire.

    Mon tweet moyen obtient environ 5 000 à 8 000 impressions, peut-être 30 à 40 retweets et quelques centaines de likes.

    Je suis vraiment un pantalon sur Twitter.

    Cette chose est littéralement le premier de mes tweets depuis des années à « devenir viral » et ne montre aucun signe de relâchement. Je ne me félicite pas ici, mais je souligne plutôt ce que quelque chose comme cela représente dans mon petit coin de l'Internet.

    La haine de Davos a brisé le confinement.

    L'anxiété et la peur que ces hommes ont promulguées sont maintenant profondément ancrées chez les gens parce qu'elles se sentent plus proches de la vérité que ce qu'elles ont été présentées auparavant. Avec un Twitter relativement libre ces jours-ci, la possibilité de plus de pauses de confinement comme celle-ci augmente de façon exponentielle.

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  42. Et c'est une très bonne chose.

    Davos aime parler en termes de l'inévitabilité de leur avenir prévu. Mais ce n'est qu'une façade. Les psychopathes redoublent toujours d'efforts face à l'adversité.

    Mais j'ai noté un certain sentiment de panique et/ou de désespoir de la part de nombreux lieutenants de Davos, comme Larry Fink de Blackrock se plaignant de la méchanceté que nous avons tous contre l'ESG ou le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, exhortant tout le monde à avoir plus d'armes pour financer la guerre en Ukraine. est le chemin de la paix.

    Notez l'utilisation de "le" par rapport à "un" dans cette phrase. Quand quelqu'un vous dit qu'il n'y a qu'une seule voie à suivre, il lance un ultimatum… il ment aussi entre ses dents.

    L'une des « voies » vers la paix en Ukraine consiste à négocier honnêtement avec la Russie. Le président ukrainien et disciple de Schwab, Zelenskyy, dit des choses de plus en plus folles chaque jour, comme maintenant qu'il pense que Poutine est mort alors que les États-Unis lancent l'idée que l'Ukraine reprenne la Crimée.

    Le fait qu'il n'y ait même pas eu d'offre raisonnable sur la table aux Russes jusqu'à présent vous indique que cette guerre est une politique et non un hasard malheureux de la belligérance russe.

    Mais regardez attentivement la vidéo et notez le désespoir affiché par Stoltenberg. Il sait que la guerre ne va pas bien pour l'OTAN. Il sait que si l'OTAN échoue ici, lui et tous ces copains corporatistes perdent personnellement leur siège à la saucière.

    Il sait également qu'il sera sacrifié sur l'autel des mondialistes s'il ne parvient pas à livrer en Ukraine. Il est l'amiral Piett, avalant nerveusement, le Dark Vador de Soros.

    L'année dernière, à Davos 2022, c'est Soros qui a réfuté l'appel à négociations d'Henry Kissinger. Ce choc octogénaire de l'idéologie et de la realpolitik était une sorte de croisement de Rubicon pour tout ce qui concernait Davos.

    {Et je me suis certainement trompé sur beaucoup de choses dans l'article que j'ai écrit à ce sujet, si vous comptez les points.}

    En ignorant le pragmatisme de Kissinger et en embrassant la belligérance de Soros, Davos s'est révélé être une chambre d'écho déconnectée dont les édits précipitent le monde vers un terrible conflit, facilitant ainsi le travail de leurs ennemis qui s'y opposent.

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