- ENTREE de SECOURS -



mercredi 11 janvier 2023

La grande fraude à la polio – aujourd’hui comme hier !

 

60 commentaires:

  1. La grande fraude à la polio – aujourd’hui comme hier !


    10.01.2023
    www.kla.tv/24725


    Un nouvel ancien état de catastrophe
    a été déclaré le 9 septembre 2022 à New York.

    L'État invite les sages-femmes, les pharmaciens, les ambulanciers et les autres professionnels de santé, ainsi que les malades, les personnes vulnérables et âgées, les femmes enceintes... en fait, toute la population, y compris les enfants et les bébés, à se faire vacciner contre la polio et à recevoir des rappels.

    Qu'est-ce qui s'est passé ?

    Au cours de l'été 2022, alors que l'humanité frappée par la maladie du Covid s'apprête à respirer, les autorités new-yorkaises établissent un lien malsain. Il s'agit d'un cas de paralysie chez un adulte. Des fragments génétiques présents dans les eaux usées correspondraient à des composants du vaccin oral contre la polio. Cela a poussé le gouverneur de New York à déclarer l'état de catastrophe sur New York le 09 septembre 2022.

    Or aux États-Unis, on n'administre pas du tout de vaccin oral contre la polio.
    L'explication donnée à ce sujet : De nombreux étrangers vivant à New York auraient été vaccinés ailleurs. Ceux-ci auraient laissé leur matériel génétique dans les eaux usées de New York...
    Cette histoire ne sent-elle pas vraiment mauvais au sens propre du terme ?

    Répétition de l'acte

    Pour la énième fois, on a réussi à présenter un résultat microscopique et douteux, et un seul cas, comme une menace, ce qui a poussé l'ensemble du paysage médiatique à créer des faits à partir d'affirmations non confirmées ! Des faits destinés à semer la peur, la terreur et la panique parmi tous les New-Yorkais. Des titres d'information tels que « New York lutte contre le retour de la polio » parviennent même jusqu'en Allemagne, avec la conclusion médiatique qui suit immédiatement : « Les taux de vaccination en Allemagne sont également trop bas ! »
    A Londres, les autorités sanitaires ont insisté pour que les enfants de 1 à 9 ans reçoivent un vaccin de rappel contre la polio dans toute la ville. Il n'y avait pas de cas de maladie, mais on parlait d'échantillons d'eaux usées « suspects » ! Les fonctionnaires britanniques ont qualifié cette campagne de vaccination de « mesure de précaution ».
    Israël, en troisième position, a également suivi le mouvement et a soudainement signalé des « traces » - de polio dans les eaux usées - dans plusieurs villes. Début 2022, les autorités y ont diagnostiqué la polio comme cause de la paralysie d'un enfant de trois ans. Un battage médiatique a été déclenché et a conduit à l'invitation à vacciner les enfants et les adolescents de 7 à 17 ans contre la polio.
    D'ailleurs, c’est New York, Londres et Jérusalem qui ont imposé les restrictions les plus strictes lors de la crise du Covid-19 et qui ont poussé la vaccination le plus loin !

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  2. Cette alerte à la polio repose sur des bases très fragiles.
    Pour être plus précis, elle est basée sur des affirmations ! Malheureusement, ce type d'approche n'est pas nouveau dans l'histoire.

    Petite digression :
    Au début de l'année 2022, Amy Rosenberg, professeur à l'université Tufts de Boston, très active dans la recherche, a mis en garde contre les problèmes d'analyse des eaux usées liés à l'utilisation de la technique PCR [réaction en chaîne par polymérase]. Selon elle, il s'agit d'un processus complexe sur le plan chimique et biologique, qui comprend plusieurs étapes difficiles à standardiser. De plus, les eaux usées contiennent souvent des composés qui peuvent interférer avec la principale méthode de détection des agents pathogènes. Important à ce sujet : La méthode susmentionnée utilise depuis les années 1990 la même technique PCR que celle qui a été utilisée à mauvais escient pour le Covid-19 et déclarée « inutile » par de nombreux experts.

    L'histoire de la poliomyélite : il y a plus d'un siècle, l'homme le plus riche du monde à cette époque, le baron du pétrole John D. Rockefeller, a entrepris avec son cercle de conseillers de réorganiser complètement la pratique médicale aux États-Unis et dans le reste du monde.

    Dans un essai, F. William Engdahl décrit l'histoire de la virologie à travers l'exemple de la fraude criminelle sur la polio, en partant de l'Institut Rockefeller. Il écrit que l'Institut Rockefeller a été fondé en 1901 à partir de la fortune de John D. Rockefeller (Société Standard Oil). Cela devait devenir le premier institut biomédical d'Amérique, sur le modèle de l'Institut Pasteur français (1888) et de l'Institut Robert Koch allemand (1891).

    L'objectif de Rockefeller était de contrôler entièrement la pratique médicale américaine afin d'en tirer profit. Il voulait promouvoir l'administration de médicaments. L'intérêt de Rockefeller était de monopoliser les médicaments issus de sa raffinerie de pétrole, tout comme il l’avait fait pour le pétrole.

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  3. En 1907, à New York, environ 2 500 personnes ont été touchées par une épidémie de paralysie, qui a souvent touché des enfants et a même entraîné leur mort. Cette épidémie a été l'occasion pour l'Institut Rockefeller d'annoncer la découverte d'un « virus » invisible, cause de la poliomyélite [inflammation de la substance grise de la moelle épinière : connue sous le nom de paralysie infantile].
    En 1909, le directeur de l'institut de l'époque, le Dr Simon Flexner, a affirmé dans le Journal de l’AMA, [AMA : association médicale américaine] que lui et son collègue Paul A. Lewis avaient isolé un agent pathogène invisible à l'œil nu et même plus petit que les bactéries, qui avait causé la maladie paralysante lors d'une série d'épidémies aux États-Unis. La « preuve » en était la suivante : on avait réussi à transmettre la poliomyélite de singe à singe chez plusieurs singes. Ceci en prélevant du tissu de la moelle épinière d'un garçon malade, qui serait mort du virus en question, et en l'injectant dans le cerveau des singes. Quand un singe tombait malade, une suspension [mélange de substances : composé de liquides et de particules finement dispersées dans ceux-ci] de tissu de moelle épinière malade était injectée dans le cerveau d'autres singes.

    Tout ceci bien que Flexner et Lewis aient dû admettre à un moment donné qu'ils n'avaient pas réussi à découvrir de bactéries pouvant être responsables de la poliomyélite. Comme ils ne pouvaient ou, selon toute apparence, ne voulaient pas trouver d'autre explication, ils ont affirmé qu'il s'agissait d'un virus qui tuait les singes. Flexner n'avait jamais envisagé une autre cause pour la maladie.

    Le prétendu virus injecté aux singes contenait
    « de la moelle épinière en purée, du cerveau, des matières fécales et même des mouches broyées. »
    Faut-il s'étonner que les singes n'aient pas survécu à une telle intervention ?

    Par ailleurs, aucun virus de la polio n'a été isolé scientifiquement à ce jour.

    L'étude malhonnête mais très appréciée de Flexner, publiée dans le journal AMA [AMA : association médicale américaine], lui a permis de laisser son frère Abraham Flexner, recteur d'une école privée - donc sans formation médicale - diriger une étude qui examinait la qualité de toutes les facultés de médecine à travers les États-Unis. Dans cette étude conjointe intitulée « The Flexner Report », Abraham Flexner recommandait en 1910 de fermer la moitié des 165 facultés de médecine visitées, car selon lui, elles ne répondaient pas aux normes médicales.

    Les instituts qui acceptaient de faire évaluer leurs professeurs par l'Institut Rockefeller et dont le programme d'enseignement se concentrait sur les médicaments et la chirurgie en tant que traitement, et non sur la prévention, la nutrition ou la toxicologie [empoisonnement par des substances chimiques], étaient subventionnés par des fonds Rockefeller. En outre, la théorie des germes de Pasteur, selon laquelle les maladies sont causées par des germes, devait être reconnue. Toutes les solutions médicales alternatives ont été sévèrement discréditées par les médias contrôlés par Rockefeller.

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  4. En résumé, l'Institut Rockefeller a été responsable, avec Simon Flexner, de l'invention d'une puissante fraude médicale : des affirmations ont été présentées comme des faits, à savoir qu'un germe étranger invisible et contagieux, le virus de la polio, provoquait des paralysies aiguës et même la mort chez les jeunes.

    Cette fausse affirmation a été faite en dépit du fait qu'à l'époque, le DDT ou les pesticides à base d'arsenic étaient utilisés à grande échelle et de manière rentable. Et bien que le lien entre la maladie et l'empoisonnement ait été évident, les efforts politiques ont empêché toute enquête. Même après l'utilisation des dangereux vaccins contre la polio et l'augmentation des cas de polio parallèlement à la vaccination, tout lien a été nié.

    Mais ce n'est pas tout. Les « chercheurs de virus » de l'Institut Rockefeller ont ensuite affirmé avoir découvert non seulement le virus de la poliomyélite, mais aussi les virus responsables de la variole, de la rougeole, des oreillons et de la fièvre jaune.

    Conclusion :

    La découverte fictive de vaccins prétendument préventifs a été la prochaine acquisition ou machination malfaisante, courante à l'époque et pratiquée aujourd'hui dans le monde entier avec une évidence trompeuse.

    Aujourd'hui, avec un agent pathogène invisible et mortel, appelé germe ou virus, l'humanité s'est laissée et se laisse facilement manipuler et même terroriser par le délire du Covid.
    Aujourd'hui, ce contrôle de la santé publique est exercé par Bill Gates, élève de David Rockefeller et partisan de l'eugénisme, qui s'est autoproclamé tsar de l'OMS et des vaccins mondiaux.

    Il est grand temps de tirer les leçons des révélations du passé et de s'opposer aux objectifs infâmes de la cabale médicale [machinations menées dans l'ombre pour atteindre des objectifs infâmes].
    Diffusez vous aussi cette émission et faites avec nous la lumière sur des crimes du passé aussi malveillants, qui continuent aujourd'hui à être propagés sans vergogne comme vérité.

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  5. de abu./ avr.
    Sources / Liens :
    Die Geschichte der Virologie – wie Rockefeller ein Medizinimperium auf Betrug aufbaute:
    https://uncutnews.ch/toxikologie-gegen-virologie-das-rockefeller-institut-und-der-kriminelle-polio-betrug-2/

    Polio-Fragmente im Abwasser von New York veranlassen Gouverneur, Katastrophenzustand auszurufen:
    https://childrenshealthdefense.org/defender/warum-sie-die-neueste-welle-des-polio-alarmismus-der-mainstream-medien-nicht-fuer-bare-muenze-nehmen-sollten/?lang=de

    Titel in deutschen Medien zu Polio-Ausbruch:
    https://www.stern.de/panorama/krankheiten--polio--new-york-kaempft-gegen-rueckkehr-der-kinderlaehmung-32897880.html

    Ticket:
    660
    https://www.br.de/nachrichten/wissen/kinderlaehmung-der-kampf-gegen-polio-geht-weiter,RfiNlpa

    https://www.kla.tv/fr

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    1. Comme contre toutes les maladies apportées par les microbes sont arrivés les antibiotiques qui ont fait leurs preuves.
      Puis... sont arrivés... les virus !! Hahahahaha ! Des poussières PARFAITEMENT INOFFENSIVES (sauf les poussières radioactives) qui auraient des pouvoirs magiques ignorés de tous !HAHAHAHA !

      Et, parce qu'il faudrait un remède anti-poussières : Les 'vaccins' anti-poussières !!

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  6. La santé va faire naufrage mais il n’est pas trop tard pour la sauver

    Face aux progrès technologiques, la crise des soins est pourtant au devant de la scène et tout le système recule.


    le 11 janvier 2023
    Bernard Kron


    La médecine connaît d’immenses progrès. Après ceux des greffes, de l’imagerie, du robot opératoire, de la chirurgie mini invasive cœlioscopique, l’Intelligence Artificielle et le métavers annoncent de nouvelles révolutions. Il y aura donc toujours une médecine de pointe mais elle coûte de plus en plus cher.

    Les progrès de la génétique et les thérapies géniques sont à la croisée des chemins avec les nouveaux vaccins ARNm. La longévité prônée par le transhumanisme est plus inquiétante. Si on prolonge la vie il faudra dépeupler la planète en ayant moins de naissances car ses ressources ne pourront pas faire face à une surpopulation !

    Face à ces progrès, la crise des soins est pourtant au devant de la scène et tout le système recule.

    C’est à se demander si nos dirigeants, les tutelles et les doyens sont totalement incompétents ou s’ils n’obéissent pas à de sombres projets. L’âge moyen des médecins est de 51 ans. Beaucoup sont proches de la retraite et leur imposer de prendre des gardes les ferait partir.

    Les urgences sont en crise. Des dizaines de décès en décembre ont été comptabilisés par le SAMU – Urgences de France. Pour le président du syndicat, Marc Noizet ils auraient pu être évités si les patients avaient pu être pris en charge rapidement. Selon lui ce chiffre serait largement sous-estimé et se rapprocherait de 150 pour l’ensemble du pays. Le tri par le 15 ne permet pas encore de connaître le chiffre des décès généré par ce procédé mis en place pendant l’été 2022, supposé soulager les urgences. On sait qu’il y a eu de nombreux drames.

    Pourquoi la médecine est-elle en crise ?

    Les soignants ne sont pas responsables des erreurs de la politique de santé.

    Ils ne se sentent pas écoutés ni soutenus et se mobilisent à nouveau comme ce fut le cas en 2019 car ils sentent leurs métiers menacés. Ils ne peuvent plus faire face aux soins à cause des contraintes qui les paralysent et de la pénurie de soignants dans toutes les disciplines.

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  7. Les déficits chroniques de la Sécurité sociale laissent peu de marges pour de vraies réévaluations des tarifs.

    Le déficit cumulé de la Sécurité sociale, soit 226 milliards, était cantonné dans la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES). Il a été partiellement remboursé par la contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS) ainsi que par la contribution sociale généralisée (CSG). Le covid a recreusé ce déficit en 2020 qui dépasse 39 milliards. En 2021 il était encore de 21 milliards et celui de 2022 devrait atteindre les 20 milliards. Quant aux mutuelles, pour 100 euros cotisés seulement 57 euros sont destinés à rembourser les prestations. On comprend dans ces conditions la lassitude des soignants qui ne voient poindre aucune solution.

    Le numerus clausus est inadapté. Il était descendu à 3500 et n’est remonté à 8500 que trop tardivement. Le chiffre actuel de 10 000 est encore beaucoup trop bas pour faire face aux demandes de soins car les modes d’exercices ont changé. Seulement 10 % des nouveaux médecins veulent s’installer en libéral.

    Dans les CHU les médecins consacrent en moyenne seulement 50 % de leur temps à soigner, compte tenu de la multiplication des pressions administratives et des réunions qui les paralysent. La notion d’équipe a disparu. Les personnels sont de plus en plus nombreux à démissionner, harassés par les obligations administratives.

    Pour les praticiens universitaires et hospitaliers la triple tâche, soins enseignement et recherche, ne peut plus être assurée. Ils baissent les bras et les démissions se font sans bruit. Les trop faibles salaires à l’hôpital n’attirent plus. Beaucoup partent vers des cieux plus cléments. Il faut donc regarder la vérité en face. Nous sommes proches de l’effondrement.

    Les responsabilités

    Avec les dilutions des responsabilités politiques dans cette crise organisationnelle qui dure depuis plus de 40 ans on ne voit pas quel élu serait capable de redresser la barre.

    Les drames dans la santé se multiplient, le patient ne sait plus qui est responsable : le ministre, l’ARS, l’hôpital ou le soignant ? Au cours de sa vie, le citoyen court en effet le risque d’être un jour justiciable et un risque beaucoup plus réel d’être un jour malade. S’il est mal pris en charge, il devra recourir à la justice ce que facilite la Loi Kouchner de 2002. Il devrait pourtant pouvoir faire confiance aux praticiens qu’ils soient hospitaliers ou médecins de ville, ce qui n’est plus possible avec les dérives actuelles.

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  8. Cette confiance a totalement disparu et force est d’admettre qu’elle s’inscrit dans la même démarche qui a conduit à détruire l’école. En conséquence la qualité de la formation des praticiens est obérée depuis la fin des concours avec le système LMD et le wokisme qui ont vicié la sélection.

    Le projet de Loi de financement de la Sécurité sociale pour 2023 a été adopté. L’Objectif national de dépenses d’assurance maladie (Ondam) augmentera de 3,7 % si l’on exclut les dépenses exceptionnelles liées à la crise sanitaire. Cela correspond à 8,6 milliards d’euros supplémentaires de dépenses courantes par rapport à 2022. Ce budget ne pourra pas préserver l’hôpital.

    Avec l’inflation on est loin du compte car elle dévore ces aumônes. La croissance sera de 4,1 % (soit 4 milliards d’euros) et 5,1 % pour les établissements. L’administration est pléthorique, elle représente 34% de la masse salariale contre 22 % en Allemagne. La grille des salaires empêche de donner une priorité à la revalorisation des soignants, seule solution pour stopper les démissions et pouvoir recruter. Avec un salaire moyen de 2000 euros par mois il est impossible de se loger à Paris pour les salariés de l’AP-HP. À quoi servent les logements sociaux de la ville de Paris s’il n’y a pas de logements dédiés pour les soignants ?

    Les soins de ville

    Le coût de l’exercice en libéral oblige les médecins à travailler toujours davantage, ce qui détourne les jeunes de cet exercice. Plus de six millions de Français n’ont plus de médecin traitant. Les médecins généralistes libéraux n’ont plus le temps de soigner. Ils consacrent 20 % de leur temps à l’administration et au moins 50 % de leur activité financent les charges de leur cabinet.

    La surcharge est telle que les anciens ne veulent pas prendre de nouveaux patients et l’on meurt encore aux urgences sur un brancard faute de lits et de personnels. Face à une telle situation de plus en plus de soignants baissent les bras, choisissent le salariat et l’industrie ou s’expatrient.

    La progression n’est que de + 2,9 %, soit 2,9 milliards d’euros supplémentaires. Le gouvernement assure que cette enveloppe permettra de financer la montée en charge des conventions des infirmiers libéraux ainsi que des pharmaciens et de financer les prochaines conventions des médecins et des kinésithérapeutes.

    Cela ne réglera rien car avec une telle enveloppe les négociations conventionnelles ne pourront pas satisfaire les demandes. Pour porter la consultation de médecine générale à 50 euros il faudrait 7 milliards d’euros. La rémunération sur objectif (ROSP) permet une rémunération maximale de 6580 euros en supplément. Si tous les indicateurs sont satisfaits le forfait structure s’èlève à 5145 euros. De la convention on est passé à la subvention. Cette situation est d’autant plus malsaine qu’elle ne récompense pas la qualité mais la discipline.

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  9. L’objectif de résorber les déserts médicaux ne pourra pas être atteint avec le numerus clausus actuel, d’autant qu’en diversifiant les recrutements le profil des futurs médecins a changé. La plupart ne veulent pas travailler au-delà de 40 heures par semaine, ce qui est incompatible avec l’exercice en cabinet libéral.

    C’est donc tout le système qu’il faut revoir et réfléchir à une régionalisation de la santé tant pour les études que pour l’organisation. C’est un vaste défi que le président de la République a promis de relever face aux soignants à l’Hôpital de Corbeille-Essonnes.

    Si l’internat de médecine générale commençait en cinquième année on pourrait déjà avoir des milliers de médecins bien formés très rapidement.

    La suppression d’un tiers des administratifs de la santé dégagerait un budget qui permettrait d’augmenter le nombre de soignants de 100 000 postes.

    Les solutions sont à notre portée mais il manque la volonté de le faire.

    https://www.contrepoints.org/2023/01/11/447822-la-sante-va-faire-naufrage-mais-il-nest-pas-trop-tard-pour-la-sauver

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    1. La médecine de demain n'existera pas ! Les fœtus seront déjà malades avant de naître. La fabrique de cons parfaits. L'élevage d'idiots au parc 'C'est pour votre bien' !

      Remarquez que durant la FAUSSE épidémie (appelée pandémie) tout le personnel des cliniques et des hôpitaux... portait un masque !!! Pourtant ILS ou ELLES LE SAVENT un masque ne sert A RIEN ! Il n'est ni anti virus ni anti microbe ! C'est l'entrée dans la prostitution (cours 1 ère année), puis, il y a eu l'arrivée, la découverte et l'adoption du crime, de l'offense grâce au crachat sur le serment d'Hippocrate. Et, comme maintenant ils ou elles font partie des putes reconnues et risquent de se retrouver... à la rue, ces péripatéticiennes reconverties fautives et condamnables d'avoir sciemment donné la mort à des milliers de personnes ne peuvent plus reculer ! "Tu ne tueras point, sauf si t'as envie !" HAHAHAHA !

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  10. Les données des assureurs allemands le corroborent également. BKK, un fournisseur de soins de santé allemand couvrant environ 10,9 millions de personnes, a signalé des tendances statistiques inquiétantes ces derniers temps, indiquant que les piqûres de covid étaient la cause des pics de mortalité excessive.

    « Ce signal de sécurité préoccupant a incité… l'AfD [Alternative pour l'Allemagne, un parti politique conservateur]… à déposer l'équivalent allemand de la FOIA [demande de loi sur la liberté d'information] pour le reste des données d'assurance… », a rapporté un médecin du Midwest.

    "Récemment, l'AfD a obtenu les données de l'AOK Sachsen-Anhalt, qui, une fois analysées, ont démontré que bon nombre des conditions que nous associons aux blessures liées au COVID-19 ont sensiblement augmenté lorsque la campagne de vaccination a été lancée... [C]onditions qui ont quintuplé ou plus l'ont été."

    Une autre compagnie d'assurance maladie connue sous le nom de KBV, qui couvre 72 millions d'Allemands, a également produit des données montrant une augmentation substantielle des décès subits et inattendus suite au déclenchement de coups de covid.

    Un médecin du Midwest a effectué des calculs pour déterminer la probabilité que tout cela soit une question de chance. Ces calculs montrent qu'il n'y a pas d'autre explication logique à toute cette mort excessive que les coups, pur et simple.

    "Compte tenu des chiffres, il est très difficile d'affirmer que ces événements n'ont pas été causés par quelque chose", écrit-il. « À cet égard, nous sommes également assez chanceux que, même si les vaccins ont été mis sur le marché sur une période bien trop courte pour établir la sécurité, ce processus a quand même pris un an. »

    "En raison de ce décalage, il est possible de réfuter l'argument couramment cité selon lequel ces changements étaient dus au COVID-19 ou aux confinements, car ceux-ci ne se sont produits qu'en 2020..."

    Les dernières nouvelles sur les injections de covid et les dommages qu'elles causent à la santé humaine peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.

    Les sources de cet article incluent :

    GreatGameIndia.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-01-10-mortality-spike-covid-vaccines-zero-chance.html

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  11. LES 3 CAUSES DE MORT LES PLUS FRÉQUENTES APRÈS "VACCINATION" COVID
    En France 🇫🇷

    👉 Présentation PowerPoint ici : https://t.me/chloefinfosofficiel/3732

    Emmanuelle Darles a analysé les données brutes de l'ANSM (Agence Nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) du 1er janvier 2021 au 30 juin 2022 demandées par VirusWar il y a plus d'1 an.

    Les 3 principales causes de mort après les injections "anti-covid" sont, dans cet ordre :

    1⃣ ÉCHEC VACCINAL
    2⃣ MORT INEXPLIQUÉE
    3⃣ MORT SUBITE

    Or, les rapports publics de L'ANSM indiquent :
    • L'EIG (Effet Indésirable Grave) le plus fréquent au 25.08.22 est l'embolie pulmonaire. C'est FAUX. L'EIG le plus fréquent dans ses données est l'échec vaccinal.
    • En mai 2021, l'échec vaccinal a été mis sous surveillance (mentionné notamment dans https://ansm.sante.fr/.../point-de-situation-sur-la...) mais il n'y a jamais eu de mise sous surveillance concernant la mort subite ou la mort inexpliquée.

    Dans les données brutes de l'ANSM, on trouve aussi :
    • 1 décès d'enfant de 0 à 4 ans et 13 effets graves
    • qu'il manque des morts entre ce que l'ANSM communique et ce qui apparait dans les données brutes : 684 décès au total
    • 300 cas morts et pas morts à la fois !
    • des pathologies lourdes classées non graves. Exemple : des AVC "non graves", des thromboses "non graves"

    👉 Exposé de Emmanuelle Darles à partir de 00:33:19
    https://crowdbunker.com/v/RZbEKv3y

    https://www.facebook.com/chloe.fra.9

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  12. Les piqûres Covid meurent en alimentant des variantes


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    11 janvier 2023


    Depuis le début de la pandémie de COVID, John Campbell, Ph.D., un infirmier enseignant à la retraite, a gagné une suite pour ses évaluations impartiales de la science et des statistiques du COVID. Bien qu'il ne soit pas connu pour avoir pris position contre les piqûres de COVID, cela a récemment changé.

    - voir clip sur site -

    Fin décembre 2022, Campbell a publié une vidéo (ci-dessus) appelant les autorités sanitaires britanniques à arrêter l'utilisation des injections d'ARNm COVID, car les données suggèrent qu'il y a beaucoup trop de problèmes de sécurité pour continuer.

    De plus, la plupart des hospitalisations au COVID-19 en 2022 étaient fortuites, ce qui signifie qu'ils n'ont pas été hospitalisés «pour» le COVID, mais plutôt qu'ils ont été testés positifs une fois admis. Des vagues d'épidémies avec des variantes plus récentes et moins dangereuses ont également entraîné des niveaux élevés d'immunité naturelle.

    Campbell fait valoir que si le risque de complications et de décès dus au COVID a considérablement diminué depuis les premiers jours de 2020, les risques associés aux piqûres COVID restent les mêmes qu'au début.

    Par conséquent, le rapport risque-bénéfice de la campagne d'injection de masse s'est inversé et le risque associé au vaccin l'emporte désormais sur le risque d'infection. Campbell exhorte maintenant le gouvernement britannique à suspendre la poursuite de la campagne de rappel jusqu'à ce qu'une analyse risques-avantages à l'échelle de la population ait été effectuée et que les données soient publiées en toute transparence afin que des chercheurs indépendants puissent vérifier les résultats.

    L'espérance de vie a chuté après le déploiement des piqûres COVID

    Ce que Campbell n'aborde pas dans cette vidéo, mais a passé en revue dans d'autres, c'est que les piqûres de COVID meurent en fait en plus grand nombre que les non piquées – à tel point que cela a fait baisser l'espérance de vie globale aux États-Unis de près de trois ans. 1

    En 2019, l'espérance de vie moyenne des Américains de toutes les ethnies était de 78,8 ans.2 À la fin de 2020, elle était tombée à 77,0 ans3 et à la fin de 2021, elle était de 76,4.4

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  13. Nous savons que cette baisse n'est pas due aux personnes qui meurent du COVID-19, car les groupes d'âge avec les plus fortes augmentations de mortalité étaient les adultes en âge de travailler, de 25 à 54 ans, suivis des enfants âgés de 1 à 4,5 ans. de petites augmentations.

    Les taux de mortalité ont augmenté de 16,1 % chez les 35 à 44 ans, de 13,4 % chez les 25 à 34 ans, de 12,1 % chez les 45 à 54 ans et de 10,1 % chez les 1 à 4 ans. -vieux. Pendant ce temps, la mortalité par COVID était, dès le départ, la plus élevée chez les personnes âgées.

    L'âge moyen des décès dus à la COVID-19 était de 826 ans, ce qui est en fait plus élevé que la durée de vie moyenne, et les taux de mortalité n'ont augmenté que de 3,8 % chez les 65 à 74 ans et de 2,4 % chez les 75 à 84 ans. Les données de l'assurance-vie confirment également que ce sont les adultes en âge de travailler qui meurent en nombre record7.

    La surmortalité a décollé après l'introduction des vaccins COVID

    Le COVID-19 est également une cause peu probable de la baisse rapide de l'espérance de vie pour le simple fait qu'il ne contribue pas de manière majeure à l'augmentation de la surmortalité, qui n'a décollé qu'après l'introduction des vaccins COVID au début de 2021.8

    La surmortalité est une statistique liée mais distincte de l'espérance de vie. Il fait référence à la différence entre le nombre de décès observés (toutes causes confondues) au cours d'une période donnée, par rapport au nombre de décès attendu sur la base de normes historiques, telles que la moyenne des cinq années précédentes. (Formule : décès déclarés – décès attendus = décès en excès.)

    Partout dans le monde, la surmortalité a considérablement augmenté depuis le déploiement des piqûres, et il se passe à peine un jour sans qu'un adulte en bonne santé ne tombe soudainement mort sans cause apparente.

    Si les coups COVID étaient bénéfiques, vous vous attendriez à ce que la surmortalité diminue, mais ce n'est pas ce que nous voyons. Nous ne voyons pas non plus de décès massifs dus au COVID. Le seul facteur clair qui pourrait expliquer ces écarts est l'injection massive avec une technologie expérimentale de transfert de gènes.

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  14. La piqûre est également responsable de la plupart des décès dus au COVID-19

    Les données des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis montrent également que la plupart des décès liés au COVID-19 surviennent désormais parmi les personnes piquées et boostées, et ce malgré le fait que les chiffres sont artificiellement supprimés en ne comptant que les personnes comme «vaccinées» ou «boostées» si elles sommes à au moins deux semaines de leur dernier coup. Tel que rapporté par la Kaiser Family Foundation (KFF) :9

    « À l'automne 2021, environ 3 adultes sur 10 mourant du COVID-19 ont été vaccinés ou boostés. Mais en janvier 202210… environ 4 décès sur 10 avaient été vaccinés ou renforcés. En avril 2022… les données11 montrent qu'environ 6 adultes sur 10 mourant du COVID-19 ont été vaccinés ou ont reçu un rappel, et cela est resté vrai jusqu'en août 2022 au moins (le mois de données le plus récent).

    - voir graph sur site -

    Les données de ce graphique proviennent du CDC, qui collecte des données sur le nombre de décès par statut vaccinal auprès de 30 départements de santé (y compris les États et les villes) à travers le pays.

    Pour être comptée comme vaccinée, une personne doit être à au moins deux semaines de la fin de sa série primaire… De même, pour être comptée comme ayant un rappel, une personne doit être à au moins deux semaines de son rappel ou de sa dose supplémentaire avant le test positif. Les personnes partiellement vaccinées ne sont pas incluses dans ces données.

    COVID piqûre alimente probablement la mutation des variantes

    Une autre raison d'arrêter la campagne de rappel COVID que Campbell n'aborde pas est la possibilité très probable que les injections alimentent des mutations, donnant lieu à des variantes toujours nouvelles et plus résistantes. Comme le rapporte Allysia Finley dans un article d'opinion du Wall Street Journal12, « le virus semble évoluer d'une manière qui échappe à l'immunité », ce qui est mauvais pour les piqûres comme pour les non piquées.

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  15. "Les experts en santé publique tirent la sonnette d'alarme à propos d'une nouvelle variante d'Omicron appelée XBB qui se répand rapidement dans le nord-est des États-Unis", écrit Finley.

    "Certaines études13 suggèrent qu'il est aussi différent de la souche COVID d'origine de Wuhan que le virus du SRAS de 2003... Il n'est pas clair que XBB soit plus mortel que d'autres variantes, mais ses mutations lui permettent d'échapper aux anticorps d'une infection antérieure et des vaccins comme ainsi que les traitements par anticorps monoclonaux existants.

    De plus en plus de preuves suggèrent également que des vaccinations répétées peuvent rendre les gens plus sensibles au XBB et pourraient alimenter l’évolution rapide du virus…

    Sous des pressions évolutives sélectives, le virus semble avoir développé des mutations qui lui permettent de se transmettre plus facilement et d'échapper aux anticorps provoqués par les vaccins et une infection antérieure.

    La même étude postule que l'empreinte immunitaire peut contribuer à l'évolution virale. Les vaccins font un bon travail pour entraîner le système immunitaire à se souvenir et à éliminer la variante originale de Wuhan. Mais lorsque de nouvelles souches nettement différentes apparaissent, le système immunitaire réagit moins efficacement.

    Les vaccins bivalents qui ciblent les variantes Wuhan et BA.5… incitent le système immunitaire à produire des anticorps qui ciblent les régions virales que les deux souches ont en commun… XBB a évolué pour échapper aux anticorps induits par les vaccins et aux infections percées.

    Par conséquent, l'étude Nature suggère que "l'immunité collective actuelle et les rappels de vaccin BA.5 peuvent ne pas prévenir efficacement l'infection des variantes convergentes d'Omicron".

    En effet, un inconvénient du vaccin COVID original qui a été largement ignoré était qu'il ne déclenchait la création d'anticorps que contre un seul morceau du virus (le pic), alors que l'immunité naturelle crée des anticorps contre toutes ses parties.

    Les experts ont averti que se lancer dans une campagne d'injection de masse exercerait une pression énorme sur le pic qui entraînerait des mutations pour échapper à l'immunité, et c'est précisément ce qui s'est passé.

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  16. Comment les vaccins peuvent pousser les virus à muter

    L'idée que les vaccins peuvent provoquer des mutations virales n'est pas nouvelle. Comme expliqué dans « Les vaccins poussent les agents pathogènes à évoluer », publié dans Quanta Magazine14 en 2018, « Tout comme les antibiotiques engendrent la résistance des bactéries, les vaccins peuvent provoquer des changements qui permettent aux maladies d'échapper à leur contrôle.

    L'article détaille l'histoire du vaccin anti-maladie de Marek pour les poulets, introduit pour la première fois en 1970. Aujourd'hui, nous en sommes à la troisième version de ce vaccin, car en une décennie, il cesse de fonctionner. La raison en est que le virus mute continuellement pour échapper au vaccin. Pire encore, le virus devient également de plus en plus mortel et plus difficile à traiter.

    Un article de 201515 dans PLOS Biology a testé la théorie selon laquelle les vaccins sont à l'origine de la mutation de l'herpèsvirus responsable de la maladie de Marek chez les poulets. Pour ce faire, ils ont vacciné 100 poulets et gardé 100 non vaccinés. Tous les oiseaux ont ensuite été infectés par différentes souches du virus. Certaines souches étaient plus virulentes et dangereuses que d'autres.

    Les virus mutent tout le temps, et si vous avez un vaccin qui fuit, c'est-à-dire qui ne bloque pas complètement l'infection, alors le virus mutera pour échapper à la réponse immunitaire de cette personne.
    Au cours de la vie des oiseaux, les oiseaux non vaccinés rejettent davantage de souches les moins virulentes dans l'environnement, tandis que les vaccinés éliminent davantage de souches les plus virulentes. Comme indiqué dans l'article de Quanta :16

    « Les résultats suggèrent que le vaccin de Marek encourage la prolifération de virus plus dangereux. Cette virulence accrue pourrait alors donner aux virus les moyens de surmonter les réponses immunitaires vaccinales des oiseaux et de rendre malades les troupeaux vaccinés.

    Le message à retenir ici est que les virus mutent tout le temps, et si vous avez un vaccin qui fuit, c'est-à-dire qui ne bloque pas complètement l'infection, alors le virus mutera pour échapper à la réponse immunitaire de cette personne.

    En l'occurrence, c'est l'une des caractéristiques distinctes des plans COVID. Ils ne sont pas conçus pour bloquer l'infection. Ils permettent à l'infection de se produire et, au mieux, atténuent les symptômes, et par conséquent, le virus peut muter plus ou moins sans entrave. Ainsi, alors que les non piqués étaient initialement accusés d'être les responsables des mutations, ce sont en fait les piqués qui en sont les principaux vecteurs.

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  17. Le risque d'infection au COVID augmente avec le nombre de coups (piqûres)

    Alors que de nouvelles variantes peuvent contourner à la fois l'immunité "vaccinale" et l'immunité naturelle, l'immunité naturelle offre toujours une bien meilleure protection, car plus une personne reçoit de vaccins, plus elle devient prédisposée à l'infection au COVID-19.

    Cela a été démontré plus récemment dans une étude de la Cleveland Clinic,17 qui a conclu que le risque d'infection au COVID-19 « augmentait… avec le nombre de doses de vaccin précédemment reçues ». Tel que rapporté par Finley :18

    « Notamment, les travailleurs qui avaient reçu plus de doses étaient plus à risque de tomber malades. Ceux qui ont reçu trois doses supplémentaires étaient 3,4 fois plus susceptibles d'être infectés que les non vaccinés, tandis que ceux qui en ont reçu deux n'étaient que 2,6 fois plus susceptibles.

    "Ce n'est pas la seule étude à trouver une association possible avec plus de doses de vaccin antérieures et un risque plus élevé de COVID-19", ont noté les auteurs. "Nous avons encore beaucoup à apprendre sur la protection contre la vaccination contre le COVID-19, et en plus de l'efficacité d'un vaccin, il est important d'examiner si plusieurs doses de vaccin administrées au fil du temps peuvent ne pas avoir l'effet bénéfique généralement supposé."

    Les injections COVID suppriment votre fonction immunitaire

    Les piqûres de COVID contractent également d'autres infections, car les injections affaiblissent leur système immunitaire inné. En décembre 2022, la chercheuse du MIT Stephanie Seneff et les Drs. Peter McCullough, Greg Nigh et Anthony Kyriakopoulos ont publié un article19 dans lequel ils décrivent comment les injections de COVID inhibent la voie de l'interféron de type 1, qui est la première étape de la réponse à toutes les infections virales.

    À la suite de cette inhibition de l'interféron, votre système immunitaire inné est supprimé, ouvrant la porte à toutes sortes d'infections. L'interféron de type 1 contrôle également les virus latents, donc si votre voie d'interféron est supprimée, des virus latents, tels que le zona, 20,21,22,23 peuvent commencer à émerger. Il est important de noter que le cancer peut également proliférer sans contrôle lorsque votre système immunitaire est affaibli.

    Les boosters bivalents sont au mieux peu efficaces

    L’étude de la Cleveland Clinic24 citée précédemment a également révélé que le rappel bivalent COVID-19 n’était efficace qu’à 30 % pour prévenir l’infection « pendant la période où les souches virales dominantes dans la communauté étaient représentées dans le vaccin ».

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  18. En d'autres termes, les boosters offrent une protection minimale même lorsqu'ils sont bien adaptés à la souche en circulation, et à mesure que sa protection diminue, cela vous expose à un risque d'infection plus élevé qu'auparavant.

    Vous avez la piqûre ? Agissez pour protéger votre santé

    Si vous avez déjà reçu un ou plusieurs piqûres et que vous vous inquiétez maintenant de votre santé, que pouvez-vous faire ? Eh bien, avant tout, ne prenez jamais un autre rappel COVID, un autre vaccin de thérapie génique par ARNm ou un vaccin régulier. Vous devez mettre fin à l'assaut sur votre système.

    Si vous avez développé des symptômes que vous n'aviez pas avant votre injection, je vous encourage à demander l'aide d'un expert. Malheureusement, la plupart des médecins conventionnels n'ont aucune idée en ce qui concerne les blessures par injection de COVID (et les blessures par vaccin en général), vous devrez donc faire quelques devoirs.

    À l'heure actuelle, la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC) semble avoir l'un des meilleurs protocoles de traitement pour les blessures post-jab. Il s'appelle I-RECOVER et peut être téléchargé à partir de covid19criticalcare.com.25

    Le Dr Pierre Kory, qui a cofondé le FLCCC, est passé au traitement plus ou moins exclusif du vaccin blessé. Pour plus d'informations, voir DrPierreKory.com. La Dre Michelle Perro26 aide également les patients souffrant de blessures après piqûre. Je l'ai interviewée sur ses stratégies de traitement en mai 2022.

    Le Conseil mondial de la santé a également publié des listes de remèdes qui peuvent aider à inhiber, neutraliser et éliminer les protéines de pointe, qui, selon la plupart des experts, sont le principal coupable. J'en ai parlé dans mon article de 2021, "Le Conseil mondial de la santé révèle la désintoxication des protéines de pointe".

    Autres traitements et remèdes utiles

    Les autres traitements et remèdes qui peuvent être utiles pour les blessures par injection de COVID comprennent :

    • L'oxygénothérapie hyperbare, notamment en cas d'accident vasculaire cérébral, d'infarctus, de maladies auto-immunes et/ou de troubles neurodégénératifs. Pour en savoir plus, voir "Thérapie hyperbare - Une modalité de traitement largement sous-utilisée".

    • Réduisez votre apport en oméga-6. L'acide linoléique est consommé en quantités 10 fois supérieures à l'idéal chez plus de 95 % de la population et contribue à un stress oxydatif massif qui altère votre réponse immunitaire. Les huiles de graines et les aliments transformés doivent être soigneusement évités. Voir "Comment l'acide linoléique détruit votre santé" pour plus d'informations.

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  19. • Bleu de méthylène de qualité pharmaceutique, qui améliore la respiration mitochondriale et aide à la réparation mitochondriale. Une dose de 15 à 80 milligrammes par jour pourrait grandement contribuer à résoudre une partie de la fatigue dont beaucoup souffrent après le piqûre.

    Il peut également être utile dans les accidents vasculaires cérébraux aigus. La principale contre-indication est si vous avez un déficit en G6PD (une maladie génétique héréditaire), auquel cas vous ne devez pas utiliser du tout de bleu de méthylène. Pour en savoir plus, consultez « Les bienfaits surprenants du bleu de méthylène pour la santé ».

    • La lumière proche infrarouge, car elle déclenche la production de mélatonine dans vos mitochondries27 là où vous en avez le plus besoin. En éliminant les espèces réactives de l'oxygène, il contribue également à améliorer la fonction et la réparation des mitochondries. La lumière naturelle du soleil est composée à 54,3 % de rayonnement infrarouge28, ce traitement est donc disponible gratuitement. Pour plus d'informations, voir "Ce que vous devez savoir sur la mélatonine".

    • La lumbrokinase et la serrapeptidase sont toutes deux des enzymes fibrinolytiques qui, lorsqu'elles sont prises à jeun une heure avant un repas ou deux heures après, aideront à réduire votre risque de caillots sanguins.

    Sources and References

    1, 3, 5 CDC NCHS Data Brief December 2022
    2 CDC Press release July 21, 2021
    4 CDC Provisional Life Expectancy Estimates for 2021, August 2022
    6 The Times October 10, 2020
    7 Robert Malone Substack January 2, 2022
    8 Our World in Data Excess Mortality During COVID Pandemic
    9 KFF November 30, 2022
    10 KFF Health System Tracker April 21, 2022
    11 CDC Rates of COVID Cases or Deaths by Age Group and Vaccination Status
    12, 18 WJS January 1, 2023
    13 Nature December 19, 2022
    14, 16 Quanta Magazine Vaccines Are Pushing Pathogens to Evolve
    15 PLOS Biology July 27, 2015 DOI: 10.1371/journal.pbio.1002198
    17, 24 MedRxiv December 19, 2022
    19 Food Chem Toxicol June 2022; 164: 113008
    20 Journal of Cutaneous Immunology and Allergy August 25, 2022
    21 Rheumatology October 2021; 60(SI): 190-195
    22 Channel 7 News April 20, 2021
    23 J. Cosmet Dermatol November 2021; 20(11): 3350-3361
    25 Covid19criticalcare.com
    26 DrMichellePerro.com
    27 Physiology February 5, 2020 DOI: 10.1152/physiol.00034.2019
    28 Journal of Photochemistry and Photobiology February 2016; 155: 78-85

    https://www.lewrockwell.com/2023/01/joseph-mercola/the-covid-jabbed-are-dying-while-fueling-variants/

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    1. Premièrement il n'existe pas de virus (poussière) qui soit infectieuse (sauf les poussières radioactives). Il n'est pas à confondre avec un microbes qui lui - est porteur de maladies !

      Deuxièmement, en ce qui concerne les différence d'âge en mortalité il faut admettre qu'il y a 'expérimentation génique d'essais' et 'expérimentation génique d'essais' !
      Chaque laboratoires en sort 150 différentes* et le tour est joué !

      * avec plus ou moins de ceci ou de cela (Nano-particules d'oxyde de graphène + hydres + spiques + diverses maladies animales et une quarantaine de venins rares de serpents !).

      La seringue c'est du curare avec un morceau de sucre.
      Les diabétique meurent du sucre et les non-diabétiques qui le seraient devenus meurent aussi ! Çà alors !

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  20. Le Pentagone abandonne le mandat de vaccin COVID-19 pour les troupes


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 11 JANVIER 2023 - 01:05


    Le Pentagone a annoncé mardi que le vaccin contre le Covid-19 ne serait plus requis pour les troupes, selon un nouveau mémo signé par le secrétaire à la Défense Lloyd "Raytheon" Austin.

    Le mémo – largement attendu depuis que la nouvelle législation promulguée le 23 décembre l'obligeait à annuler le mandat dans les 30 jours – donne aux commandants le pouvoir discrétionnaire sur la manière dont les troupes non vaccinées sont déployées, quoi que cela signifie.

    Avant la décision, le ministère de la Défense avait déjà cessé toutes les actions punitives contre le personnel qui refusait la piqûre.

    "Le Département continuera de promouvoir et d'encourager la vaccination contre le COVID-19 pour tous les membres du service", lit-on dans la note de service d'Austin. "La vaccination améliore la préparation opérationnelle et protège la force."

    L'exigence de 30 jours pour annuler le mandat a été instituée en vertu d'un projet de loi sur les dépenses de défense de 858 milliards de dollars signé en décembre par le président Joe Biden, qui s'était opposé à la disposition soutenue par le GOP, et était d'accord avec Austin qui, à l'époque, avait déclaré que la levée du mandat n'était pas dans l'intérêt des militaires.

    En fin de compte, Biden a cédé pour gagner l'adoption de la législation.

    Plus de 8 400 soldats ont été chassés de l'armée pour avoir refusé la piqûre.

    https://www.zerohedge.com/political/pentagon-drops-covid-19-vaccine-mandate-troops

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    1. Oui mais eux ils ont des AR15 pour se défendre contre les virus !! HAHAHAHA !

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  21. Statistiques allemandes sur les causes de décès : besoin urgent d'une action gouvernementale


    11 janvier 2023
    du Dr. Hans Joachim Kremer


    Les statistiques sur les causes de décès pour 2021 sont enfin disponibles depuis la mi-décembre. Les règles de comptage manipulatrices qui ont été modifiées depuis avril 2020 n'autorisent que quelques déclarations significatives. Néanmoins, l'augmentation des décès vaccinaux était sans équivoque, à savoir de 0 à 6 à plus de 500. Un certain nombre de demandes pour le gouvernement en découlent :
    Le PEI doit immédiatement engager une procédure PRAC (Pharmacovigilance Risk Assessment Committee) auprès de l'EMA sur les cas suspects de décès suite à la vaccination contre le COVID-19.
    Jusqu'à la fin de la procédure, toutes les mesures publicitaires pour les vaccinations COVID-19 sont suspendues.

    Le chef du PEI, le professeur Klaus Cichotek, doit démissionner immédiatement afin d'empêcher de nouvelles désinformations de la part du PEI et de permettre des évaluations et des enquêtes appropriées.

    Tous les cas suspects de décès déclarés au PEI à ce jour, soit au moins les 2 255 cas déclarés au 31 décembre 2021, doivent être confrontés aux données des certificats de décès et aux codes de la base de données Destatis et corrigés si nécessaire, puis tous eux ainsi que d'autres décès similaires. Ce processus doit être transparent et traçable.

    La priorisation du COVID-19 sur les certificats de décès et dans les statistiques des causes de décès recommandées par l'OMS doit être arrêtée immédiatement et soumise à une évaluation différenciée.
    Tous les décès dont la cause a été codée comme principalement causée par la COVID-19 doivent être traités et corrigés si nécessaire.

    Cela s'applique aux années 2020 à aujourd'hui. Ce processus doit être transparent et traçable.
    arrière-plans
    L'Office fédéral allemand de la statistique (Destatis) publie des statistiques sur les causes de décès une fois par an depuis des décennies. En fait, ces statistiques devraient être publiées " à la fin de l'été d'une année pour l'année précédente ". Depuis Corona, ces publications ont été retardées ; les chiffres pour 2021 n'ont été publiés que le 16 décembre 2022 .

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  22. Important à savoir :

    1
    Seules les principales causes de décès doivent être reproduites dans ces tableaux. Les autorités sanitaires locales vérifient la vraisemblance des informations portées sur les certificats de décès et, si nécessaire, font effectuer les corrections par le médecin émetteur. Les bureaux des statistiques de l'État déterminent ensuite la principale cause de décès pour chaque cas individuel selon certaines règles, puis transmettent ces données à Destatis.

    2
    Le 20 avril 2020, l'OMS a recommandé que la cause de décès COVID-19 (codes U071 (virus détecté) et U072 (virus non détecté)) soit privilégiée comme cause principale lorsque de telles informations sont disponibles. Les exceptions ne doivent recevoir que les codes U071 et U072 dans le contexte des accidents, des homicides et des suicides.

    L'OMS n'a pas fixé de limite de temps entre le test et le décès, mais a déclaré qu'il ne devrait y avoir aucune période de récupération entre la maladie COVID-19 et le décès. L'OMS a explicitement recommandé que si le décès était défini de cette manière "à cause" du COVID-19, aucune autre maladie ne devrait être considérée comme la cause du décès, même si le décès était très probablement dû, par exemple, à un décès. B. un cancer progressif (même explicitement mentionné) est dû.

    De nombreux gouvernements, dont celui de l'Allemagne, ont repris cette recommandation de l'OMS et ont chargé les autorités subordonnées de la mettre en œuvre ; Vraisemblablement, ils ont également fait pression sur la profession médicale pour qu'elle donne la priorité aux causes de décès dans les données sources, c'est-à-dire sur les certificats de décès, par obéissance anticipée. C'est notamment le cas du secteur hospitalier, puisqu'une modification de la loi de financement des hôpitaux de mars 2020 a entraîné une forte préférence pour le diagnostic COVID-19. On ne sait pas exactement quand la recommandation de l'OMS a été mise en œuvre : seulement à partir du 21 avril 2020 ou même rétrospectivement depuis le début de la crise corona ?

    Effets des règles de comptage

    Quoi qu'il en soit - depuis 2020, cette toute nouvelle règle de priorisation a massivement faussé les statistiques des causes de décès par rapport aux années précédentes. L'étendue est énorme rien qu'en Allemagne :

    En 2020, 39 758 décès (4,03 %) ont été évalués avec le COVID-19 comme cause de décès.
    En 2021, 71 331 décès (6,97 %) ont été évalués avec le COVID-19 comme cause de décès.
    Il faut considérer : selon les meilleures estimations, la surmortalité en 2020 était comprise entre 4 000 et 12 000 personnes et en 2021 entre 35 000 et 45 000 personnes, selon la période de référence (communication personnelle Ulf Lorré). D'où ces considérations :

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  23. 1
    Il est complètement absurde de supposer que la "nouvelle" cause de décès "COVID-19" était vraiment beaucoup plus élevée que l'estimation de la surmortalité.

    2
    Si en 2020 environ 4 % et en 2021 même environ 7 % des cas, la cause du décès était vraiment le COVID-19, alors la campagne de vaccination de 2021 doit être considérée comme totalement inutile.

    3
    Dans ce contexte, il faut aussi se demander pourquoi Bill Gates et z. Par exemple, Angela Merkel pouvait déjà deviner en mars 2020 que les très mauvaises vagues arriveraient en 2021, d'autant plus que la "vague" qui l'a effectivement déclenchée en avril 2020 en Allemagne était à peine perceptible dans les statistiques de décès.

    4
    Dans ces circonstances, la seule explication pertinente de la surmortalité de 2021 est la campagne de vaccination.

    Le titre du communiqué de presse de Destatis sur les statistiques des causes de décès 2021 doit donc être vu comme une exagération massive :

    « Statistiques sur les causes de décès 2021 : 7 % de tous les décès sont directement liés au COVID-19 ».

    On pourrait peut-être laisser passer le « directement sur » comme au moins formellement correct. En termes de contenu, cependant, cela est grossièrement trompeur et inacceptable en tant que déclaration de base d'un titre. Trompeur car l'intégralité du communiqué de presse est fourni sans la moindre référence au changement de règle ci-dessus.

    Il est actuellement pratiquement impossible d'estimer le nombre de cas mal codés de cette manière. Il faut supposer que tous les types de décès "naturels" ont été affectés par la nouvelle hiérarchisation. c'est à dire. ceux autour de 4 ou 7% doivent avoir conduit à une réduction correspondante des autres causes de décès. Pour cette raison également, les tests en cours pour le SRAS-CoV-2 dans les hôpitaux et les maisons de retraite peuvent être qualifiés de perfides, car ils contribuent à un codage incorrect et à des erreurs de jugement ultérieures.

    Causes de décès liées à la vaccination

    Il existe un grand nombre de tableaux pour chaque année, qui ventilent les causes de décès de manière très détaillée selon les codes CIM à 4 chiffres ; disponible ici : 2021 [R1], 2020 [R2], années précédentes [R3]. Entre autres choses, ces tableaux montrent un total de 6 codes pour les effets secondaires mortels de la vaccination ; puisque ceux-ci reflètent la cause principale, les cas peuvent être additionnés (Figure 1). Il est incontestable que la somme de ces complications est passée de 0 à 6 par an (moyenne 2016-20 : 2,4 par an) à 513 en 2021.

    - voir graph sur site -

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  24. Fig.1 Nombre total d'effets secondaires mortels du vaccin
    Voir le tableau ci-dessous pour plus de détails .

    - voir sur site -

    Cette augmentation est nette et tombe exactement dans la première année de la campagne de vaccination. Hasard ? Aucune raison pour que l'autorité de tutelle, c'est-à-dire pour l'Institut Paul Ehrlich (PEI), intervienne ?

    Maintenant, certains peuvent soupçonner : 513 décès par vaccin - est-ce beaucoup ?

    Selon un rapport de l'OMS, la vaccination a été arrêtée en 2017 après 14 décès après une vaccination contre la dengue aux Philippines . À ce moment-là, plus de 875 000 enfants avaient reçu une dose de vaccin. À cette époque, l'évaluation des cas et la recherche de la cause étaient beaucoup plus complexes qu'avec les vaccins COVID-19, car il s'agissait principalement d'infections de la dengue, contre lesquelles la vaccination était en fait censée aider. Contrairement aux décès dus aux vaccins COVID-19, les décès dus aux vaccins contre la dengue sont survenus des mois après la vaccination, plutôt que dans les premiers jours après la vaccination.

    En 1999, 15 cas d'intussusception intestinale (invagination de sections d'intestin) ont suffi pour retirer du marché le vaccin RotaShield, qui était destiné à prévenir les infections à rotavirus.

    Donc, à l'époque, 14 décès ou 15 cas graves ont entraîné la suspension de ces vaccinations, mais maintenant, même plus de 500 décès ne suffisent pas ?

    D'autant plus qu'il n'y a absolument rien de reconnaissable à un effet positif sur la mortalité, et il faut même supposer qu'il y aura une augmentation du taux de mortalité due à la vaccination.

    L'Institut Paul Ehrlich (PEI) néglige la surveillance

    Les 513 décès par vaccination sont au moins 6 fois plus que l'Institut Paul Ehrlich (PEI) voudrait bien l'admettre dans son rapport de sécurité du 7 février 2022 , qui résume tous les cas de 2021 :

    Dans 85 cas individuels dans lesquels des patients sont décédés de risques de vaccination connus tels que thrombose avec syndrome de thrombocytopénie (STT), saignement dû à une thrombocytopénie immunitaire ou myocardite dans un intervalle de temps plausible après la vaccination respective, le Paul-Ehrlich-Institut a trouvé le lien de causalité avec de vaccination comme possible ou probable.

    Le dernier rapport de sécurité, daté du 7 septembre 2022 , a "généreusement" augmenté ce nombre à 120.

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  25. Les attributs « possible ou probable » à eux seuls montrent clairement l'intention de l'Î.-P.-É. d'embellir les choses. Parce que le PEI n'était pas et n'a pas du tout le droit de remettre en question la causalité des cas suspects signalés tant qu'il n'y a pas de raisons concrètes de le faire dans des cas individuels. En sélectionnant exactement ces 85 cas liés aux effets secondaires désormais reconnus par le PRAC, le PEI, contrairement à son mandat de sécurité, a minimisé la situation de danger d'une manière inacceptable, également renforcée par les attributs mentionnés.

    Comme auparavant, cependant, le PEI doit supposer un lien de causalité possible ou probable dans tous les cas suspects entraînant la mort. Ce nombre était de 2 255 au 31 décembre 2021 et est passé à 3 023 au 30 juin 2022. Des données concrètes plus récentes n'ont même pas été rapportées par le PEI. Les précédents rapports de sécurité ont été abandonnés et les évaluations plus détaillées – même si elles sont loin d'être suffisamment détaillées – n'ont plus été mises à jour.

    Le problème central est donc actuellement d'au moins 3 023 décès.

    Quelle est la fiabilité des chiffres sur les décès par vaccination à Destatis ?
    Si un total de 2 255 cas suspects d'effets secondaires des vaccins entraînant la mort ont été signalés en 2021, pourquoi les statistiques sur les causes de décès n'enregistrent-elles que 513 cas de ce type ?

    Selon le rapport de sécurité PEI du 7 février 2022 , 457 personnes sont décédées dans la journée suivant la vaccination et 586 dans les deux jours (Fig. 2).

    - voir graph sur site -

    Fig. 2 Effet secondaire de la vaccination aux conséquences fatales
    Le nombre de 586 cas dans les 2 jours suivant la vaccination inclut le nombre de 457 cas dans le 1 jour suivant la vaccination.
    Barres pleines rouges : Rapport sur la sécurité de l'Î.-P.-É. en date du 7 février 2022 .
    Barre vide rouge : Rapport sur la sécurité de l'Î.-P.-É. au 7 septembre 2022 .
    Barre bleue : R1.

    En ce qui concerne les informations 457 et 586 de la Fig. 2, il convient de noter que dans environ 32 % des décès, soit les informations sur le délai entre la vaccination et le décès, soit les informations sur les produits étaient manquantes ou peu claires, de sorte que cela n'a pas été inclus dans l'analyse par temps et produit reçu. Il se pourrait donc que les autorités sanitaires n'aient reconnu ces cas que comme un effet secondaire de la vaccination survenu dans un très court laps de temps après la vaccination.

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  26. À cet égard, la différence entre 2 255 et 513, soit environ 1 740 décès, doit être abordée. Pourquoi ces quelque 1 740 cas n'ont-ils pas été inclus dans les statistiques sur les causes de décès en tant qu'effet secondaire de la vaccination ? Comment se fait-il que ces cas aient été signalés à l'Î.-P.-É. comme des cas suspects, mais n'apparaissent pas dans les statistiques sur les causes de décès? Des mains invisibles en arrière-plan, c'est-à-dire le médecin qui a rempli le certificat de décès ou l'agent de santé qui a codé une cause principale de décès à partir des informations disponibles, travaillaient de manière peu fiable ? Des pressions ont-elles été exercées sur les codeurs par Destatis ou le ministère fédéral de la Santé ?

    références

    1
    Résultats des statistiques sur les causes de décès pour l'Allemagne Classification détaillée de la CIM à 4 chiffres - 2021 (dernière édition - interrompue pour
    publication ) .html#_qi32grvsf
    il publications / causes de décès / causes profondes de décès

    2
    Les résultats des statistiques sur les causes de décès pour l'Allemagne détaillent la classification CIM à 4 chiffres -
    référence 2020 comme ci-dessus.

    3
    Statistiques sur les causes de décès pour l'Allemagne,
    source des années précédentes comme ci-dessus, lien ici : "Vous pouvez trouver des éditions plus anciennes dans la bibliothèque statistique".

    Mes remerciements vont à Raimund Hagemann, Tom Lausen et Ulf Lorré pour leurs suggestions.

    https://tkp.at/2023/01/11/deutsche-statistik-der-todesursachen-dringender-handlungsbedarf-fuer-regierung/

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  27. Chiffres de la mortalité allemande en 2022 : l'espérance de vie chute une deuxième fois après 2021


    11 janvier 2023
    par Ulf Lorre


    Depuis la dernière « Évaluation spéciale des décès » de Destatis, des chiffres provisoires pour toutes les semaines civiles de l'année 2022 sont disponibles. Une première analyse met au jour des résultats qui témoignent d'un profond trouble de santé publique. Une baisse de deux ans de l'espérance de vie ne s'est produite qu'une seule fois depuis la Seconde Guerre mondiale. La distorsion actuelle est d'un caractère que l'on peut qualifier d'époque.

    L'année 2021 s'était déjà coupée avec des anomalies inhabituelles. Parallèlement à la campagne de vaccination, l'âge moyen au décès avait atteint des niveaux historiquement bas et, surtout chez les moins de 60 ans, on observait une surmortalité atypique qui commençait à la saison chaude.

    Normalement, les années de surmortalité sont toujours suivies d'une phase de sous-mortalité, qui s'est cependant terminée au premier trimestre de 2022, ce que montre clairement la série chronologique de l'espérance de vie. Sur la Fig. 1, il est présenté par année, sur les Fig. 2 et 3 par semaine.

    - voir graph sur site -

    Fig. 1 : Série chronologique de l'espérance de vie annuelle depuis la naissance. (Pour les experts : ajustement de la fonction de saturation exponentielle, valeurs de p < 6E-7, R^2 ajusté = 0,97, test de Shapiro-Wilk des résidus pour la normalité, valeur de p = 0,46.)
    La tendance signalée dans un précédent article à descendre de manière répétée en dessous de la valeur attendue est ainsi confirmée. Les points rouges se situent en dehors de l'intervalle de confiance à 99 %, c'est-à-dire qu'ils sont "très significatifs" trop bas. On peut dire ce qui suit au sujet de l'interprétation statistique. Une valeur aléatoire a une probabilité de 1 % d'être en dehors de l'intervalle de confiance de 99 % et de 0,5 % ou 1:200 en dessous. Il s'ensuit que s'il y a coïncidence, il n'y a qu'une chance sur 40 000 d'échouer deux fois.

    Pendant les semaines d'été de 2022, le sujet des vagues de chaleur a joué un rôle dans le débat public. Qu'en pensez-vous comme explication ? Spoiler : rien. Les vagues de chaleur ont un schéma constant de pics aigus d'une durée de 2 à 4 semaines. Cela peut être clairement observé dans la série chronologique des espérances de vie hebdomadaires de la Fig. 2, par ex. B. en 2018, 2019 et 2020.

    - voir graph sur site -

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  28. Fig. 2 : Série chronologique de l'espérance de vie hebdomadaire. (Pour les experts : séries temporelles ARIMA s'ajustant sur la période de formation 2016-2020, prévision 2021-2022 avec une marge de tolérance d'un écart-type.)
    Le cours en 2022 a une caractéristique différente (Fig. 3). À partir du 2e trimestre, l'espérance de vie reste longtemps inférieure à la valeur attendue, surtout pendant les semaines où les températures sont modérées. Une composante de signal faible affectée par la chaleur peut être incluse, mais elle n'explique pas ce qui se passe dans son ensemble.

    - voir graph sur site -

    Fig. 3 : Série chronologique de l'espérance de vie hebdomadaire, agrandissement du détail
    La répartition par âge du risque de mortalité lève les derniers doutes (Fig. 4). La chaleur affecterait principalement les cohortes plus âgées. Cependant, tous les groupes d'âge sont significativement touchés. Cela va clairement à l'encontre des causes qui affectent exclusivement ou principalement les personnes âgées. Outre les vagues de chaleur, cela inclut également les vagues hivernales d'infection et en particulier le COVID-19.

    - voir graph sur site -

    Fig. 4 : Risques relatifs par rapport aux valeurs attendues avec un intervalle de confiance à 95 %. (Pour les experts : ajustement des séries temporelles sur la période de formation 2016-2020 avec tendance et saisonnalité, prévision pour 2021-2022 comme valeur attendue. Pour s'en assurer, une régression harmonique avec plusieurs harmoniques et un terme de tendance a été calculée dans un GLM Quasi-Poisson ; les résultats ne différaient pas significativement. Les risques de mortalité ont été déterminés séparément sur une base hebdomadaire et par cohorte à partir du nombre de décès et de l'estimation de la population au moment respectif. Les valeurs RR indiquées sont agrégées à partir de ces résultats. Le temps individuel les séries des risques de cohorte sont stockées dans l'annexe.)
    La surmortalité cumulée était de 35 600 en 2021 et de 64 400 en 2022. En négligeant la tendance, les chiffres seraient inférieurs d'environ 10 000 à 15 000, mais il n'y a aucune raison de s'attendre à une rupture brutale des tendances globales à long terme. La différence d'espérance de vie "observée par rapport à prévue" était de -0,61 an en 2022 et de -0,43 an en 2021. Ces deux chiffres peuvent sembler anodins à première vue. L'objection à cela est qu'elles sont valables pour tout un peuple. Si 83 millions de personnes peuvent espérer vivre 0,61 an de moins, cela représente un total d'environ 51 millions d'années perdues. 51 millions d'années, c'est la durée de vie de 637 500 octogénaires.

    Un schéma à peu près comparable peut être discerné depuis la Seconde Guerre mondiale, tout au plus dans les années 1968 et 1969. La cause à l'époque était la grippe de Hong Kong, qui est considérée comme la dernière pandémie grippale grave du XXe siècle (Fig. 5).

    - voir graph sur site -

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  29. Fig. 5 : Espérance de vie DE de 1946 à 2021, source : Ourworldindata.
    En revanche, la perturbation actuelle est beaucoup plus prononcée et n'est certainement pas le résultat d'une maladie infectieuse, surtout pas du COVID-19, également parce qu'en 2020, tous les paramètres statistiquement pertinents étaient toujours dans la plage normale. Un nouveau virus dangereux n'attend pas un an pour commencer soudainement à tuer. Les anomalies ont commencé en 2021, et ceux qui espéraient une normalisation rapide avec l'arrêt de la campagne de vaccination sont désormais déçus.

    En principe, toutes les influences apparues depuis 2020 et affectant toutes les cohortes d'âge, c'est-à-dire toutes les interventions pharmaceutiques et non pharmaceutiques, peuvent être considérées comme la cause. Il ne peut y avoir qu'une seule conclusion à cela : elles doivent être abolies immédiatement, une fois pour toutes, et les structures qui ont initié ces erreurs fatales doivent être brisées. Ce n'est qu'une question de temps avant la prochaine pandémie, et tout le monde le sait : les chats ne vous laisseront pas muer.

    Annexe : Série chronologique des risques de mortalité par cohorte en haute résolution, bleu : valeurs attendues, bleu pâle : écart type :

    Série chronologique_Risque de mortalité

    https://tkp.at/2023/01/11/deutsche-sterbefallzahlen-2022-lebenserwartung-sackt-nach-2021-ein-zweites-mal-ab/

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  30. Le « vaccin » contre le coronavirus est un effort intentionnel en vue d’un génocide mondial


    le 11 janvier 2023
    Paul Craig Roberts


    Jamais auparavant il n’y a eu autant d’excès massifs de décès après une campagne de vaccination. Jamais auparavant il n’y a eu d’enfants, de jeunes adultes, d’athlètes dans la fleur de l’âge, d’artistes, de morts pour des « causes inconnues » après une vaccination.

    Il est évident que la cause est connue. Les principaux médecins et scientifiques médicaux de notre époque, qui excluent les bureaucrates de l’Agence de la santé, comme Fauci, qui servent d’agents de marketing pour les grandes sociétés pharmaceutiques et les conseils médicaux d’État et les organismes de sécurité sociale et de protection de la santé, corrompus et politisés, n’ont jamais expliqué pourquoi et comment les « vaccins » à ARNm, qui ne sont pas des vaccins, tuent, détruisent le système immunitaire et provoquent des dommages pour la santé. Ce qu’on ne sait pas, c’est pourquoi certains meurent immédiatement après avoir reçu la substance mortelle, d’autres un mois plus tard, et d’autres restent, jusqu’à présent, en vie et en apparente bonne santé. Certains chercheurs pensent que le contenu des « vaccins » est très différent selon les lots de fabrication, et d’autres pensent que certains flacons étaient des placebos dans le but de produire un ensemble de personnes indemnes pour vanter la sécurité des injections.

    Le professeur Michel Chossudovsky a rassemblé ici –https://www.globalresearch.ca/the-covid-killer-vaccine-people-are-dying-all-over-the-world-its-a-criminal-undertaking/5800358 un certain nombre de vidéos documentant les souffrances et les décès généralisés des personnes vaccinées. Ce ne sont pas les personnes non vaccinées qui meurent « mystérieusement » partout dans le monde. Ce sont les personnes vaccinées. Pourtant, la dissimulation continue. Les médias occidentaux – une collection de putes (sic dans le texte : « whores ») travaillent à se couvrir, ainsi que pour Fauci, Biden, Bill Gates, Big Pharma, la FDA, les NIH, le CDC, et la profession médicale totalement corrompue et irresponsable. Big Pharma et la FDA continuent de pousser les bébés à être injectés avec le « vaccin » tueur, et il y a encore des parents tellement stupides et insouciants qu’ils participent au meurtre de leurs propres enfants.

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  31. Avec des gens partout dans le monde si stupides et si aveuglément confiants en l’autorité, nous pouvons voir pourquoi le supranational du satanique Gates et du satanique Klaus Schwab sont confiants qu’ils peuvent réussir à réduire la population mondiale et à effectuer leur Grand Reset. Que veux-je dire quand je dis que Gates et Schwab sont sataniques ? Pensez-y de cette façon. De temps à autre, lorsqu’on discute du sujet, quelqu’un dira que les gens peuvent être si horribles qu’ils peuvent comprendre pourquoi certains voudraient les exterminer massivement. Je leur demande s’ils seraient prêts à appuyer sur le bouton du génocide, et ils répondent « non ». Ils comprennent qu’ils n’ont pas le droit de causer la mort de personnes au nom de leur opinion ou d’un programme climatique ou idéologique. La différence entre eux et Bill Gates et Klaus Schwab, c’est que Gates et Schwab sont prêts à appuyer sur le bouton du génocide. Ce qui est si horrible, c’est que cette volonté a acquis une haute position morale. Exterminer les gens est devenu le moyen de sauver la planète.

    Les auteurs de ce meurtre de masse sont convaincus que leur crime est trop important pour être reconnu comme tel. Les populations naïves ne croiront tout simplement pas que « leurs » gouvernements leur feraient cela. Personne ne veut admettre qu’ils ont exécuté les membres de leur propre famille et leurs propres enfants en faisant aveuglément confiance aux « autorités » qui avaient annoncé leur programme de génocide à l’avance.

    Aux États-Unis, seul un faible pourcentage de la population a une idée de ce qui se passe. Le temps et l’énergie de la population sont utilisés pour joindre les deux bouts en fin de mois et se divertir. Ils s’émeuvent pour un crime évident puis un autre, les faits divers. Peu importe l’annonce du gouvernement – l’assassinat du président John Kennedy, l’assassinat du sénateur Robert Kennedy, la machination du golfe du Tonkin, les attentats du 11 septembre, les armes de destruction massive de Saddam Hussein, la pandémie de COVID, le vaccin « sûr et efficace » contre la COVID. Ils n’apprennent jamais.

    Maintenant, ils font face au génocide, et ils n’ont toujours pas appris.

    Les auteurs du génocide de masse sont toujours sous contrôle.

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  32. Si ce n’est pas un génocide, dites-moi ce que c’est lorsque d’éminents médecins se réjouissent d’avance au sujet du « vaccin » à ARNm et qu’ils sont censurés et punis s’ils dénoncent du danger, lorsque l’inventeur du « test de COVID » par PCR affirme que le test n’indique pas la présence du virus et qu’il est ignoré. Lorsque les preuves des effets nocifs du « vaccin » sont tenues secrètes par Pfizer et la FDA, lorsque les médecins sont empêchés de traiter l’infection avec des remèdes connus comme l’ivermectine et la HCQ, lorsque les pharmacies refusent de remplir les ordonnances des médecins pour ces remèdes, lorsque des mandats illégaux et inconstitutionnels sont utilisés pour forcer des citoyens menacés de perdre leur emploi à se soumettre à une injection, lorsqu’aucune attention officielle n’est accordée à l’augmentation massive des décès excédentaires chez les personnes vaccinées, lorsque les médias mènent une campagne trompeuse de mensonges et de propagande ?

    Les Américains – en fait le monde occidental dans son ensemble – sont confrontés à une monstrueuse entreprise criminelle. Ont-ils la force et l’intelligence de la reconnaître ? Vont-ils faire quelque chose ?

    Note de votre serviteur. Les dernières estimations font état de 540000 décès aux USA seulement à la suite du début de la campagne d’injections répétées de « vaccins » à ARNm et ce document en lien ci-dessus qui passe en revue à la date du 28 juin 2022 tous les effets secondaires et décès provoqués par les « vaccins » à ARN messager. Cette estimation de 540000 décès provient des statistiques des actuaires des compagnies d’assurance américaines croisées avec celle des entreprises de pompes funèbres et en ne prenant pas en compte les décès officiellement répertoriés « covid19 ».

    Il faut également rappeler que le Docteur Robert Malone, inventeur de la thérapie génique à l’aide d’ARN messager, a toujours précisé que cette thérapie n’a jamais été couronnée de succès et n’a été utilisée à titre expérimental que dans les cas extrêmes de traitements de dernière chance avec des malades en phase terminale de cancers réfractaires à tous les traitements connus. En conséquence les propos de Paul Craig Roberts doivent considérés avec un sérieux extrême.Enfin le Docteur Mullis, inventeur de la technique d’amplification de l’ADN par PCR affirmait quelques années avant sa disparition que cette technique ne pouvait pas être utilisé en diagnostic car elle introduit trop de faux positifs.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/01/11/le-vaccin-contre-le-coronavirus-est-un-effort-intentionnel-en-vue-dun-genocide-mondial/

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  33. Masque de propagande


    Par le Dr Emmanuel Garcia
    Recherche mondiale,
    10 janvier 2023


    « Propagande » est un mot qui nous est familier à tous bien que, assez ironiquement, aussi complètement que nous comprenions sa définition, nous sommes encore peu susceptibles – si la propagande est efficace – de détecter son opération sur nous.

    Étymologiquement, il partage ses racines avec le mot « propager » et implique une diffusion, une diffusion d'informations en vue de promouvoir un programme, une cause ou un point de vue particulier.

    Dans son essence, il y a un aspect coercitif à la propagande, et en conjonction avec l'intention « d'aller de l'avant et de se multiplier », une facette ouvertement sexuelle, de sorte que l'on peut en fait caractériser la propagande comme une sorte d'activité de rapine. Elle cherche à émouvoir, à persuader, à contrôler et à contraindre, et elle représente ainsi l'antithèse même de ce que nous en sommes venus à considérer comme le libre arbitre et la libre expression et l'exercice d'une rationalisation autonome.

    La propagande est partout et ses méthodes sont légion. Il existe une infinité de façons de faire de la propagande, et le soi-disant art de la propagande peut être pratiqué aussi bien par des individus que par des groupes. Dans le cas de la propagande du Grand État - le genre de propagande conçue pour capturer des millions - nous pouvons être sûrs que tous les moyens, toutes les nuances, toutes les petites connaissances psychologiques humaines utiles sont utilisées - douces, dures et, si la propagande est particulièrement parfaite , de manière invisible.

    En réfléchissant davantage sur sa nature dans le contexte de la dystopie covidienne que nous avons subie ces trois dernières années, un autre élément émerge pour caractériser son essence : c'est un acte de mascarade.

    Considérer ce qui suit. Un panneau érigé le long d'une chaussée informant les passants d'un restaurant à proximité n'est pas de la propagande. Une enseigne représentant un restaurant bien éclairé et superbe alors qu'en fait le restaurant est une affaire sombre et négligée devient, par sa supercherie, un acte de propagande.

    Lorsque nous avons été inondés au début de 2020 d'images de soldats désinfectant les rues chinoises et d'autorités chinoises emprisonnant des personnes dans leurs propres appartements, nous faisions délibérément de la propagande. Le message qui nous était adressé était le suivant : "Le Covid est hautement meurtrier et les mesures les plus strictes sont nécessaires pour nous protéger, des mesures qui ont la priorité sur les droits humains inaliénables". Nous savons maintenant - et les auteurs de ce morceau de propagande savaient à l'époque - que c'était faux.

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  34. Le masque du propagandiste représente une chose tandis que derrière le masque en est une autre. Le visage souriant et urgent du Dr Anthony Fauci nous informant que les vaccinations Covid sont sûres et efficaces et nécessaires pour prévenir la mort est le masque hypocrite du propagandiste : le vrai Anthony Fauci savait le contraire, tout comme le vrai Fauci comprenait bien qu'il n'y avait pas la science réelle derrière les mandats pour les masques, la distanciation, les verrouillages et l'inoculation de masse.

    Cette nature masquée de la propagande apparaît également dans l'utilisation des mots. Le «dépeuplement» neutre et clair signifie en réalité un génocide. Le terme technique « gain de fonction », en ce qui concerne la recherche sur les virus, cache l'ingénierie délibérée de ces agents pathogènes pour qu'ils deviennent des armes dangereuses avec une plus grande capacité à rendre malade et à tuer. « Surmortalité » signifie meurtre pur et simple.

    Par coïncidence - ou pas si par coïncidence - assez, l'outil le plus important des propagandistes covidiens a été le masque lui-même. C'est comme si nous étions davantage acculturés pour accepter et tolérer la duplicité et la tromperie à chaque tournant. Quand je vois autour de moi des gens qui continuent de participer à la mascarade en portant leurs masques inutiles et désidentifiants, des gens qui se contentent de se cacher et de dissimuler leur trait le plus expressif, ces missionnaires involontaires, comme de bons petits soldats inconditionnels, deviennent concrets exemples de l'efficacité – et de la nature fondamentale – de la propagande en général.

    Je suppose qu'il est possible pour un propagandiste, dans le domaine des relations publiques, de dissimuler la vérité pour servir un plus grand bien.

    Mais quel plus grand bien, puis-je demander, est sorti de la campagne Covidienne de peur, de tromperie et de contrôle ?

    *

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    Le Dr Garcia est un psychanalyste et psychiatre né à Philadelphie qui a émigré en Nouvelle-Zélande en 2006. Il est l'auteur d'articles allant de l'exploration de la technique psychanalytique à la psychologie de la créativité en musique (Mahler, Rachmaninov, Scriabine, Delius) et à la politique. Il est également poète, romancier et directeur de théâtre. Il a pris sa retraite de la pratique psychiatrique en 2021 après avoir travaillé dans le secteur public en Nouvelle-Zélande.

    https://www.globalresearch.ca/propaganda-mask/5804190

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  35. Discussion avec Sam Dube et Lara Logan (après 15 min) sur DoD Vax Ownership et FDA Theatrics


    Par Sasha Latypova , le Dr Sam Dube , Lara Logan et et al.
    Recherche mondiale,
    10 janvier 2023


    Sasha Latypova, ancienne propriétaire et dirigeante de plusieurs organisations de recherche sous contrat et ancienne dirigeante pharmaceutique, a présenté des preuves de l'implication du DoD dans les contre-mesures COVID dans le monde entier.

    - voir clip sur site (Rumble) -

    https://www.globalresearch.ca/video-us-military-oversaw-secret-contents-of-covid-jabs/5804160

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  36. Voir, c'est croire : ce que révèlent les données sur les décès à la suite du déploiement du vaccin contre la COVID dans le monde


    Par Gavin de Becker
    Recherche mondiale,
    11 janvier 2023


    J'ai demandé à Ed Dowd si je pouvais avoir de la place dans son livre, "' Cause inconnue ': L'épidémie de morts subites en 2021 et 2022", pour un article sur ce que nous avons vu dans le monde au début de la vaccination de masse.

    À la lumière de l'analyse étonnante de Dowd, il est particulièrement instructif d'examiner les données des pays qui n'avaient pas un nombre élevé de décès dus au COVID-19 avant la vaccination de masse, car elles permettent la comparaison la plus simple :

    Ils avaient de très faibles taux de décès attribués au COVID-19.
    Ensuite, ils ont commencé la vaccination de masse.
    Ensuite, ils ont connu une énorme augmentation des décès attribués au COVID-19.
    La Corée du Sud nous donne un exemple rapide parmi tant d'autres : avant le déploiement à grande échelle des vaccins à ARNm dans le pays, la Corée n'avait presque aucun décès lié au COVID-19. Vous voyez que presque tous leurs décès par COVID-19 sont survenus après une vaccination de masse.

    - voir graph sur site -

    2 nouveaux décès quotidiens en Corée du Sud

    En raison de problèmes d'approvisionnement fréquents, le programme de vaccination de masse de la Corée du Sud a vraiment décollé après le troisième trimestre de 2021, lorsqu'ils ont emprunté des centaines de milliers de doses de Pfizer à Israël. Leurs décès par COVID-19 ont rapidement suivi. Ce n'était pas censé arriver.

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  37. En novembre 2021, le président Moon a lancé une campagne massive pour pousser les rappels : "La vaccination ne peut être terminée qu'après avoir reçu le troisième vaccin." Ses citoyens se sont conformés, atteignant plus de 90 % des adultes entièrement vaccinés – le graphique montre les décès dus au COVID-19 qui ont suivi.

    Le même schéma se répète partout dans le monde, et puisque voir c'est croire, je vais faire une pause ici et reprendre plus en détail après quelques exemples de graphiques rapides…

    3. Décès covid vaccination de masse thaïlande

    4. décès covid vaccination de masse malaisie

    5. décès covid vaccination de masse ouganda

    6. décès covid vaccination de masse népal

    7. décès covid vaccination de masse portugal

    8. décès covid vaccination de masse mongolie

    9. décès covid vaccination de masse zambie

    10. décès covid vaccination de masse paraguay

    11. décès covid vaccination de masse bahreïn

    12. décès covid vaccination de masse uruguay

    13. décès covid vaccination de masse tunisie

    14. décès covid vaccination de masse sri lanka

    15. morts de covid vaccination de masse afghanistan

    16. décès covid vaccination de masse taiwan

    Israël était l'enfant d'affiche du monde pour le produit vaccinal de Pfizer : Comme tous ces pays, Israël a eu la majorité de ses décès dus au COVID-19 après une vaccination de masse.

    17 décès covid vaccination de masse israël

    - voir graph sur site -

    Et enfin, le Vietnam : ils ont commencé la vaccination de masse en mars 2021, en achetant cinq produits vaccinaux différents dans le monde entier – et ils n'ont vu aucun bond dans les décès dus au COVID-19.

    - voir graph sur site -

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  38. Cependant, début juillet 2021, le gouvernement américain a commencé à faire don de millions de vaccins à ARNm Pfizer et Moderna - et c'est exactement à ce moment-là que le Vietnam a connu le pic massif de décès par COVID-19 que vous voyez dans le graphique.

    18 décès covid vaccins covid vaccination de masse vietnam

    - voir graph sur site -

    Quoi qu'il en soit, ces tableaux ne devraient pas ressembler à cela si la vaccination était efficace.

    Pourquoi tant de pays grands et petits, riches et pauvres, dans différentes parties du monde, certains avec des villes congestionnées, d'autres peu peuplés, froids ou chauds, tropicaux ou désertiques, à haute ou basse altitude, petites îles ou enclavés - pourquoi verraient-ils tous une augmentation des décès dus au COVID-19 après une vaccination de masse ?

    C'est une question que l'on imagine que les responsables de la santé publique et les médias seraient motivés à analyser attentivement et à répondre. Au lieu de cela, ils ont été unis pour garder de tels faits hors du discours public.

    La réalité affichée sur les graphiques que vous avez vus est indéniable, ne peut être invisible et est accessible à toute personne plus intéressée et plus industrieuse que les médias et le gouvernement ne l'ont été.

    Pour les esprits curieux, une explication à considérer est révélée par des recherches approfondies pré-COVID-19 établissant que le système immunitaire des gens est affaibli par certains vaccins. Quelques exemples parmi tant d'autres :

    Étude de 2011 : La vaccination annuelle contre la grippe « peut rendre les jeunes enfants qui n'ont jamais été infectés par la grippe plus susceptibles d'être infectés par un virus de la grippe pandémique d'un nouveau sous-type ».
    Étude de 2013 : La vaccination peut aggraver la grippe en cas d'exposition à une deuxième souche [comme cela a été le cas avec le COVID-19 pour des milliards de personnes].
    Etude 2018 : Les infections respiratoires aiguës augmentent suite à la vaccination. Cette étude a comparé des personnes vaccinées à des personnes non vaccinées.
    Plus récemment, une étude danoise sur les travailleurs de la santé a montré une augmentation massive de l'infection au COVID-19 dans les deux semaines suivant le premier vaccin.

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  39. Au courant de cette étude danoise, le BMJ a publié une lettre appelant à une enquête urgente :

    "Compte tenu des preuves de l'épuisement des globules blancs après la vaccination contre le COVID et des preuves d'une augmentation des taux d'infection par le COVID peu de temps après la vaccination, la possibilité que les deux soient liés de manière causale nécessite une enquête urgente."

    L'étude danoise a montré "une augmentation de 40 % des infections au cours des deux premières semaines après la vaccination par Pfizer-BioNTech, malgré l'absence de vaccination dans les maisons avec des épidémies récentes", ce qui signifie qu'ils savaient que ce n'était pas parce que les gens étaient déjà infectés au moment où ils ont été vaccinés.

    Le chiffre de 40 % revient, dans la lettre du BMJ :

    "L'essai initial de Pfizer a démontré une augmentation statistiquement significative de 40 % des suspicions de COVID."

    À la recherche d'une réponse plus confortable à la triste énigme, certaines personnes pourraient supposer que les décès que vous avez vus sur tous ces graphiques se sont produits parce que les gens sont devenus moins prudents après la vaccination.

    Le BMJ a examiné et écarté cette théorie, citant plusieurs études qui montrent une augmentation des infections dans les semaines suivant la vaccination, et soulignant l'exemple des résidents des foyers de soins, qui se sont en fait davantage protégés après la vaccination :

    «Personne ne suggère qu'il y a eu un changement de comportement dans les maisons de soins. Cependant, des foyers de soins dans tous les coins du pays ont connu des épidémies à partir de décembre. Qu'est ce qui a changé ?"

    Excellente question. Réponse évidente.

    Si ces nouveaux produits pharmaceutiques avaient été soumis aux mêmes lois que tous les autres produits pharmaceutiques, leurs publicités télévisées auraient dû se terminer avec l'annonceur familier se précipitant sur les effets secondaires :

    Les vaccins COVID-19 rendront certaines personnes plus vulnérables aux infections et aux maladies. Certaines personnes subiront des effets secondaires, notamment un arrêt cardiaque, des caillots sanguins, un accident vasculaire cérébral et une mort subite.

    Cela ne ferait pas un très bon argumentaire de vente.

    Bien sûr, Pfizer et Moderna n'avaient pas besoin d'argumentaire de vente pour ces vaccins - puisque les produits ont été développés, commandés, achetés, promus, défendus, indemnisés et même mandatés par notre propre gouvernement.

    https://www.globalresearch.ca/seeing-believing-what-data-reveal-about-deaths-following-covid-vaccine-rollouts-around-world/5804242

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  40. Net Zéro mènera à la fin de la civilisation moderne, selon un scientifique de haut niveau


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 10 JANVIER 2023 - 23:25
    Écrit par Chris Morrison via DailySceptic.org,


    Une mise en accusation accablante du projet politique Net Zero a été faite par l'un des plus grands physiciens nucléaires du monde.

    Dans un article scientifique récemment publié, le Dr Wallace Manheimer a déclaré que ce serait la fin de la civilisation moderne. Écrivant sur l'énergie éolienne et solaire, il a soutenu que ce serait particulièrement tragique "lorsque non seulement cette nouvelle infrastructure échouera, mais coûtera des milliards, détruira de grandes parties de l'environnement et sera totalement inutile". Les enjeux, a-t-il ajouté, « sont énormes ».

    Le Dr Manheimer est titulaire d'un doctorat en physique du MIT et a eu une carrière de 50 ans dans la recherche nucléaire, notamment au sein de la division de physique des plasmas du U.S. Naval Research Laboratory. Il a publié plus de 150 articles scientifiques. Selon lui, il n'y a "certainement aucune base scientifique" pour s'attendre à une crise climatique due à une trop grande quantité de dioxyde de carbone dans l'atmosphère au cours du siècle prochain. Il soutient qu'il n'y a aucune raison pour que la civilisation ne puisse pas progresser en utilisant à la fois l'énergie fossile et l'énergie nucléaire, passant progressivement à davantage d'énergie nucléaire.

    Il y a bien sûr une opinion croissante qui souligne que l'Empereur n'a pas de vêtements quand il s'agit de toutes les technologies vertes à la mode. Les voitures électriques, l'énergie éolienne et solaire, l'hydrogène, le stockage sur batterie, les pompes à chaleur - tous présentent d'énormes inconvénients et sont incapables de remplacer les systèmes existants sans conséquences dévastatrices.

    Manheimer souligne qu'avant que les combustibles fossiles ne soient largement utilisés, l'énergie était fournie par les humains et les animaux. Parce que si peu d'énergie était produite, "la civilisation n'était qu'un mince vernis au sommet d'une vaste montagne de misère et de misère humaines, un vernis maintenu par des institutions telles que l'esclavage, le colonialisme et la tyrannie".

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  41. Cet argument explique pourquoi tant de célébrités riches et vertueuses plaident non seulement pour Net Zero, mais pour le "vrai" zéro, avec l'interdiction de toute utilisation de combustibles fossiles. Le roi Charles a déclaré en 2009 que l'ère de la consommation et de la commodité était révolue, bien que le monarque propriétaire de plusieurs manoirs ne pense probablement pas que de telles restrictions désespérées s'appliquent à lui-même. Manheimer note que les combustibles fossiles ont étendu les bénéfices de la civilisation à des milliards de personnes, mais leur travail n'est pas encore terminé. "Pour étendre les avantages de la civilisation moderne à toute la famille humaine, il faudrait beaucoup plus d'énergie, ainsi que de nouvelles sources", ajoute-t-il.

    L'auteur note que l'accent mis sur une fausse crise climatique devient une «tragédie pour la civilisation moderne», qui dépend d'une énergie fiable, abordable et écologiquement viable. "Les éoliennes, les panneaux solaires et les batteries de secours n'ont aucune de ces qualités", déclare-t-il. Ce mensonge a été poussé par ce qu'on a appelé un complexe industriel climatique, comprenant des scientifiques, la plupart des médias, des industriels et des législateurs. De plus, poursuit-il, ce regroupement a "en quelque sorte" réussi à convaincre beaucoup que le gaz carbonique dans l'atmosphère, un gaz nécessaire à la vie sur Terre, que nous expirons à chaque respiration, est un poison environnemental.

    De l'avis de Manheimer, le partenariat entre les entreprises intéressées, les politiciens grandioses et les militants alarmistes, "est vraiment une alliance impie". Le complexe industriel climatique n'encourage pas la discussion sur la façon de surmonter ce défi d'une manière qui soit la meilleure pour tout le monde. "Nous ne devrions pas être surpris ou impressionnés que ceux qui sont prêts à faire des profits soient parmi les appels les plus forts pour que les politiciens agissent", a-t-il ajouté.

    Peut-être l'une des meilleures voix pour jeter le doute sur une crise climatique imminente, suggère l'auteur, est le professeur émérite Richard Lindzen du MIT, l'une des principales autorités mondiales sur les mouvements des fluides géologiques :

    Ce que les historiens se demanderont certainement dans les siècles à venir, c'est à quel point une logique profondément erronée, obscurcie par une propagande astucieuse et incessante, a en fait permis à une coalition de puissants intérêts spéciaux de convaincre presque tout le monde dans le monde que le gaz carbonique de l'industrie humaine était une toxine dangereuse destructrice de la planète. Il restera dans les mémoires comme la plus grande illusion de masse de l'histoire du monde - que le gaz carbonique, la vie des plantes, a été considéré pendant un certain temps comme un poison mortel.

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  42. Une grande partie de l'article intéressant du Dr Manheimer démystifie bon nombre des remèdes à la mode entourant la science climatique «établie» politisée. C'est une excellente lecture. Discutant de certaines des opinions contraires qui démystifient les affirmations manifestement fausses, il dit qu'il est "particulièrement décourageant" de voir des sociétés savantes faire des affirmations définitives alors que tant d'informations contraires sont facilement disponibles. Il souligne qu'au cours des 10 000 dernières années, la Terre a presque certainement été plus chaude. Il y a eu des périodes plus chaudes et plus froides, tout comme aujourd'hui.

    Pour trouver les informations non narratives, même Google peut être utilisé, dit Manheimer – bien qu'il note que la société prévient qu'elle ne fournira pas d'informations sur "les affirmations niant que les tendances à long terme montrent que le climat mondial se réchauffe".

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/net-zero-will-lead-end-modern-civilisation-says-top-scientist

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    1. C'est l'Ordurologie mondiale !

      Les ordres du nano-groupuscule de psychopathes criminels non-éduqué aux sciences contre 8 milliards de cerveaux qui en savent 8 milliards de fois plus !

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  43. Des pluies torrentielles déclenchent des crues soudaines dans toute la Californie


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 11 JANVIER 2023 - 10:50
    Mise à jour (1455ET) :

    Quand le tapis roulant d'humidité du Pacifique va-t-il s'arrêter ? Cela semble sans fin.

    * * *

    Mise à jour (1010ET) :

    La prochaine série de tempêtes est prévue pour ce soir.

    * * *

    Depuis fin décembre, une « parade de cyclones » submerge la Californie. La dernière série de pluies torrentielles a provoqué des inondations dans le comté de Los Angeles, et on ne sait toujours pas dans les premières heures du matin de mardi l'étendue des destructions, bien que la vidéo sur les réseaux sociaux de lundi soir montre des rues inondées, des ruisseaux et des rivières débordants et des glissements de terrain dans ce qui est généralement un endroit sec et ensoleillé où les résidents doivent s'inquiéter de la sécheresse.

    Le service météorologique national a déclaré que 34 millions de personnes étaient sous alerte aux inondations dans le sud et le centre de la Californie jusqu'à mardi matin. Dans le comté de Los Angeles, un avertissement d'inondation est en vigueur toute la soirée.

    Des images dramatiques ont fait surface sur les réseaux sociaux montrant les inondations généralisées.

    - voir carte et photos sur site -

    Les prévisionnistes estiment que la dernière vague de pluie pourrait apporter plus de 5 à 10 pouces dans certaines régions d'ici la fin de cette semaine.

    Un temps plus orageux est prévu pour aujourd'hui. NWS a déclaré que de fortes précipitations sont attendues ce matin et commenceront à diminuer plus tard dans la journée, avertissant qu'un nouveau système de basse pression "énergique" devenait plus puissant au large.

    Les responsables ont déclaré que les habitants de Los Angeles et de San Diego étaient confrontés à un risque accru d'inondations soudaines et de glissements de terrain. Des vents de force tempête tropicale étaient également prévus pour le comté de San Luis Obispo. Certaines parties de l'autoroute 101, qui monte et descend la côte ouest, ont été fermées en raison de sections inondées de la route principale.

    Le comté de Santa Barbara a dit aux habitants de s'abriter sur place et a fermé les écoles publiques aujourd'hui. Les responsables ont dit aux riches résidents de Montecito, tels que le prince Harry et Meghan, la duchesse de Sussex, d'évacuer à cause des inondations.

    Et il y a à peine six mois, les alarmistes et les célébrités du "réchauffement climatique" se plaignaient des sécheresses...

    Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a annoncé hier que les tempêtes avaient fait 14 morts. Il a dit que ce chiffre était plus élevé que les décès causés par "les incendies de forêt au cours des deux dernières années combinées".

    Le déluge sans fin est dû à une rivière atmosphérique laissant des basses altitudes avec des quantités record de pluie et des hautes altitudes avec des pieds de neige. Dans la Sierra Nevada, une chaîne de montagnes de l'est de la Californie, certaines régions ont reçu 1 à 4 pieds de neige.

    Selon le NWS, la majeure partie de la Californie a enregistré des précipitations totales au cours des dernières semaines jusqu'à 600 % supérieures à la moyenne. AccuWeather a déclaré que les tempêtes avaient déjà causé plus d'un milliard de dollars de pertes et de dommages.

    https://www.zerohedge.com/weather/torrential-rains-trigger-flash-floods-across-california

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  44. L'Union européenne va-t-elle interdire ou taxer la production de viande ?


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 11 JANVIER 2023 - 09:30
    Écrit par Chadwick Hagan via The Epoch Times,


    L'Union européenne ou certains pays de l'UE vont-ils interdire la production de viande afin de respecter les réglementations sur les émissions ? Bref, la réponse est oui. Il existe une possibilité très réelle dans un avenir proche qu'un pays membre (probablement la Suède, le Danemark ou les Pays-Bas) impose une taxe ou une interdiction pure et simple de la production de viande.

    Pourquoi la Suède, le Danemark ou les Pays-Bas ? Bien que cela semble absolument fou, une partie de la justification est d'éviter les problèmes juridiques avec l'UE. Une poignée de pays européens ont des plans nets zéro juridiquement contraignants pour les émissions et les mesures climatiques, et les Pays-Bas, la Suède et le Danemark sont de petits pays avec une grande empreinte agricole. La petite masse continentale avec une industrie agricole lourde en fait une cible facile.

    J'ai écrit sur ces questions conflictuelles le mois dernier avec la fermeture de fermes aux Pays-Bas. Les Néerlandais, comme les Suédois et les Danois, sont très sérieux quant à la réduction des émissions, ainsi qu'à la limitation de la consommation de viande. Le problème est qu'ils consomment et produisent beaucoup de viande.

    À Haarlem, une ville à l'ouest d'Amsterdam, ils ont interdit les publicités pour la viande à partir de 2024. Traiter la viande comme des cigarettes ou de l'alcool pour imposer des alternatives à la viande aux consommateurs afin que les consommateurs puissent manger de la fausse viande hautement transformée ou compter sur de la viande importée, est un tournant majeur. point dans la raison et la raison d'être.

    Le stratège du marché de Saxo Bank, Charu Chanana, a déclaré dans les prévisions de fin d'année de Saxo que la Suède ou le Danemark "pourraient décider de taxer fortement la viande à partir de 2025 et pourraient interdire entièrement toute la viande d'origine animale vivante produite dans le pays d'ici 2030". Charu a ajouté : « Je ne serais pas surpris de voir des écoles au Danemark et en Suède interdire complètement la viande. Cela va certainement dans ce sens.

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  45. En Suède, les déclarations prétendant que la consommation de viande suédoise est en baisse et que le végétarisme est en hausse contredisent les statistiques officielles. Selon la récente EuroMeatNews et les données du Conseil suédois de l'agriculture, "la demande de viande et de volaille suédoises a considérablement augmenté".

    Mis à part le bœuf, le porc et la volaille, les Suédois aiment leurs fruits de mer. La plupart de leurs fruits de mer sont importés. Selon un rapport de 2019 de l'Université de Göteborg : "72 % des fruits de mer suédois proviennent d'importations et 28 % de producteurs nationaux". Il convient de noter que 90% des 72% des importations de fruits de mer proviennent de Chine.

    Quant au Danemark, le Danemark possède une importante industrie de la viande. Les revenus de la viande danoise se sont élevés à 4,40 milliards de dollars en 2022 et devraient augmenter de plus de 5% par an. Les Danois produisent une énorme quantité de porc pour les marchés - environ 32 millions de porcelets par an - et des millions de ces porcs sont vendus à l'Union européenne (principalement l'Allemagne et la Pologne). À titre de comparaison, 32 millions de porcelets, c'est presque le double du nombre de porcelets que le Canada vend aux États-Unis chaque année.

    De plus, alors que le gouvernement danois et ses représentants dans l'UE ont la production de viande en ligne de mire pour une réglementation et des taxes supplémentaires, ils ne sont certainement pas contre le prélèvement d'animaux pour la fourrure. Au Danemark, l'élevage de visons est très lucratif et le Danemark est l'un des plus grands producteurs mondiaux de fourrures de vison. il y a des milliers d'élevages de visons et des dizaines de millions de visons. Les derniers chiffres montrent que plus de 98 % de la fourrure de vison récoltée au Danemark est exportée vers les marchés étrangers. C'est un énorme générateur d'argent.

    En fait, les visons du Danemark sont si abondants qu'ils sont devenus une espèce envahissante au Danemark, détruisant les écosystèmes locaux. Comment n'est-ce pas un problème ?

    Je ne suis pas contre la réduction des émissions, ni le bien-être animal, ni même la popularité croissante du végétarisme, mais je suis contre les processus de pensée irrationnels des technocrates totalitaires.

    Fermer les fermes et interdire la production de viande n'est pas une stratégie rationnelle. Selon l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, 14,5 % de toutes les émissions de gaz à effet de serre d'origine humaine sont attribuées au bétail. Cependant, selon la revue scientifique Nature Food, l'Asie du Sud, l'Asie du Sud-Est et l'Amérique du Sud sont les plus grands émetteurs de gaz à effet de serre au monde.

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  46. N'est-il pas préférable d'imposer des limites et des réglementations à ceux qui émettent le plus de pollution et de gaz à effet de serre (dans ce cas, l'Asie et l'Amérique du Sud) ?

    Je trouve très irritant que l'Asie et l'Amérique du Sud continuent à polluer sans fin, tandis que les dirigeants du monde occidental complotent pour détruire l'industrie au nom du contrôle des émissions. Les Occidentaux ne devraient pas rester les bras croisés et permettre aux pays asiatiques et sud-américains de rattraper nos normes en utilisant des méthodes de croissance qui polluent alors que les marchés occidentaux sont punis pour leur réussite économique.

    Laissons les socialistes expérimenter l'Asie et l'Amérique du Sud et permettre aux moteurs économiques du monde occidental de prospérer, sans ingérence des totalitaires marxistes.

    https://www.zerohedge.com/political/will-european-union-ban-or-tax-meat-production

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  47. La couche d'ozone se rétablit, limitant le réchauffement climatique : rapport de l'ONU


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 10 JANVIER 2023 - 20:26


    Un groupe scientifique soutenu par l'ONU et chargé d'évaluer les effets du Protocole de Montréal de 1989 - un accord international visant à éliminer progressivement les substances appauvrissant la couche d'ozone - a constaté que la couche d'ozone continue de se renforcer et que, par conséquent, la Terre évitera 0,3 à 0,5° C du réchauffement climatique d'ici 2100.

    En vertu de l'accord de 1989, 99 % des produits chimiques destructeurs d'ozone, y compris les chlorofluorocarbures (CFC) qui gardaient autrefois les réfrigérateurs au frais, ont été interdits en raison d'un amincissement de l'ozone - également connu sous le nom de trou d'ozone - au-dessus de l'Antarctique.

    Dans environ quatre décennies, l'amincissement du trou antarctique sera complètement inversé, selon le rapport. Le trou beaucoup plus petit au-dessus de l'Arctique devrait se réparer beaucoup plus tôt, rapporte DW.

    - voir schéma sur site -

    D'ici 2066, le trou d'ozone antarctique devrait se réduire à sa taille de 1980, tandis que le trou arctique fera de même vers 2045. L'amincissement autour d'autres régions du globe devrait se rétablir vers 2040.

    Au-delà des CFC, les produits chimiques mangeurs d'ozone, notamment les halons, le méthylchloroforme, le tétrachlorure de carbone, les hydrochlorofluorocarbures (HCFC) et le bromure de méthyle, étaient autrefois abondants dans les réfrigérateurs, les climatiseurs, les aérosols, les solvants et les pesticides.

    Ces composés attaquent l'ozone en libérant des atomes de chlore et de brome qui dégradent les molécules d'ozone dans la stratosphère.

    Depuis que ces substances ont été interdites, la baisse des concentrations de chlore et de brome a contribué à limiter l'exposition humaine aux rayons UV nocifs du soleil qui peuvent provoquer des cancers de la peau, des cataractes et affaiblir le système immunitaire. -DW

    "Grâce à un accord mondial, l'humanité a évité une catastrophe sanitaire majeure due au rayonnement ultraviolet se déversant à travers un trou massif dans la couche d'ozone", a déclaré le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, le 16 septembre dernier, Journée mondiale de l'ozone.

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  48. Impacts sur le changement climatique ?

    Pendant ce temps, dans un avantage marginal qui ne fera probablement pas taire les écologistes, le panel a affirmé l'impact positif du traité sur le climat.

    "En protégeant les plantes des rayons ultraviolets, en leur permettant de vivre et de stocker du carbone, il a évité jusqu'à 1°C supplémentaire de réchauffement climatique", a déclaré le chef de l'ONU, Antonio Guterres, qui a salué l'impact du protocole sur l'ozone et le climat, ajoutant qu'il s'agissait d'un modèle d'action mondiale "universellement ratifié et résolument mis en œuvre".

    "Ce n'est qu'en reflétant ailleurs la coopération et l'action rapide du Protocole de Montréal que nous pourrons arrêter la pollution par le carbone qui réchauffe dangereusement notre monde", a poursuivi Guiterres. "Le Protocole de Montréal est un succès car, lorsque la science a découvert la menace à laquelle nous étions tous confrontés, les gouvernements et leurs partenaires ont agi."

    https://www.zerohedge.com/weather/ozone-layer-recovers-limiting-global-warming-un-report

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    1. - Le dioxyde de carbone est aussi appelé gaz carbonique ou anhydride carbonique, ou CO2 !

      🏡 L'air pèse: 1,2 gr/litre
      Gaz carbonique: 1,8 gr/l.
      Oxygène (O2): 1,42 gr/l.

      Vers 800 km, on ne compte plus que 106 atomes au cm³ et seulement 1 atome par cm³ vers 2400 km.

      L'air sec se compose à 78,087 % d'azote, à 20,95 % d'oxygène, à 0,93 % d'argon, à 0,041 % de gaz carbonique,

      OZONE:
      Masse volumique : 2,14 kg/m³

      AIR:
      Masse volumique : 1 kg/m³

      Z -- Élément -- Fraction de masse
      en ppm

      1 Hydrogène 739 000
      2 Hélium 240 000
      8 Oxygène 10 400
      6 Carbone 4 600
      10 Néon 1 340
      26 Fer 1 090
      7 Azote 960
      14 Silicium 650
      12 Magnésium 580
      16 Soufre 440

      Le numéro atomique (Z) représente, en chimie et en physique, le nombre de protons d'un atome.

      L'oxygène 'O²' est constitué de 2 atomes d'oxygène.
      L'ozone 'O³' est constitué de 3 atomes d'oxygène.
      Le gaz carbonique 'CO²' est constitué de C Carbone + 2 atomes d'oxygène 'O²'.

      Compte tenu de son poids, l'ozone n'est apporté qu'à hautes altitudes par les éruptions volcaniques.

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  49. Question à 500 milliards d’euros. Faut-il dépenser pour isoler les logements pour ne pas chauffer ou pour produire plus d’électricité pour chauffer sans isoler ?

    C’est la question à 500 milliards d’euros que personne ne se pose ou n’ose poser. Et comme ce singe, il y a de quoi se gratter la tête !!


    Par Charles Sannat
    le 11 janvier 2023 à 9h32


    Vous me connaissez, j’aime particulièrement poser ce type de question car cela alimente le débat et permet de faire avancer la réflexion de tous pour prendre collectivement les meilleures décisions pour notre avenir.

    Force est de constater que nous sommes prisonniers d’une logique intellectuelle.

    Celle de la rénovation thermique des logements, des DPE (foireux) et autres audits thermiques qui ne serviront à rien ou à pas grand chose.

    Nous sommes prisonniers de cette logique et pourtant il existe des alternatives intellectuelles évidentes dans la manière même de poser le problème et donc bien évidemment dans les réponses que nous pouvons y apporter.

    Faut-il dépenser pour isoler les logements pour ne pas chauffer ou pour produire plus d’électricité pour chauffer ?
    Pourquoi vous poser cette question ? Parce que c’est une question essentielle pour notre avenir économique et financier. L’idée c’est de protéger le climat, de ne pas vivre dans la misère et de faire les bons choix financiers et technologiques. C’est loin d’être évident.

    Si aujourd’hui nombreux sont ceux à regretter le nucléaire, en 2011 après l’accident majeur de Fukushima, plus personne ne voulait entendre parler du nucléaire ! Les écologistes bien évidemment, mais aussi beaucoup de gens qui avaient pris peur et avec de bonnes raisons !

    Faire les bons choix n’est jamais facile, avoir une vision n’est jamais simple, et ne pas se laisser obscurcir la réflexion par des idéologies de toutes sortes est encore plus compliqué.

    La rénovation thermique ne sert à rien selon une étude anglaise
    Le journal Marianne ici cite une étude anglaise. « À moyen terme, l’isolation des passoires thermiques est inefficace, selon une étude britannique
    La première recherche s’intéressant à l’effet de l’isolation des logements révèle que la baisse de la consommation d’énergie par ménage est faible. En Grande-Bretagne, les économies d’énergie disparaissent entre deux et quatre ans après une rénovation.

    Alors effectivement, factuellement, les économies d’énergie réalisées après rénovation sont très faibles et pourtant nous parlons ici de centaines de milliards dépensés sans doute pour rien ou pas grand-chose.

    En gros, pour paraphraser notre phare du Palais, la rénovation, ça coûte un pognon de dingue et ça ne sert à rien. Il faut donc évidemment revoir notre stratégie et vite, car chaque mois qui passe coûte très cher à la collectivité.

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  50. Mais ce n’est pas tout.

    Alors si rénover pour 300 milliards ne sert à rien, autant dépenser 200 milliards pour construire 20 réacteurs nucléaires et chauffer tout le monde avec des pompe à chaleur… ou des radiateurs électriques en fonction des zones climatiques concernées. Le nucléaire n’émettant aucun gaz carbonique, nous sauverons le climat, sans se geler et à moindre coût qu’en isolant et en se chauffant mal !

    Pour les Belges mieux vaut chauffer les corps que les logements…
    Comme nous l’apprend le site France Info ici, « pour faire des économies d’énergie, une expérience belge vise à chauffer les corps plutôt que les maisons : « L’idée c’est de mettre toujours plusieurs couches »
    Chauffer les corps plutôt que les maisons, c’est le projet SlowHeat, pour mieux survivre à l’hiver. Une expérimentation étonnante menée par des chercheurs belges. » Et c’est exactement comme cela que nous vivions tous dans le monde entier avant l’arrivée dans les années 60 du chauffage central généralement au fioul. Souvenez-vous. Si aujourd’hui pyjamas, pantoufles, bonnet de nuit ou robes de chambre ne servent plus à grand-chose dans des appartements surchauffés, c’était en réalité nos habits de nuit. De vrais habits de nuits pour ne pas avoir froid et pour chauffer les corps à une époque où nous n’étions pas capables, hormis quelques très riches nobles ou bourgeois, de chauffer les maisons !

    Alors pourquoi isoler des maisons que nos ancêtres n’ont jamais… chauffées ? Est-ce de l’écologie que de vouloir à tout prix chauffer des maisons ? Est-ce un confort que nous devons rechercher alors que nous pouvons tout simplement mettre un pull, un bonnet de nuit et une robe de chambre ?

    Ces deux exemples n’émettent pas de gaz carbonique !
    Je vous ai pris volontairement deux exemples totalement opposés.

    Dans un cas nous construisons des capacités supplémentaires de production électriques (on peut rajouter quelques barrages aux centrales nucléaires) et il n’y a plus aucun problème pour chauffer nos maisons que nous n’avons même pas besoin d’isoler. Non seulement cela ne coûtera pas plus cher, mais même moins cher que de tout isoler (et souvent mal) et en plus nous ne polluerons pas plus voire, moins si nous passons tout le monde à l’électrique et que nous terminons avec les chaudières au gaz et au fioul !

    Dans l’autre cas, nous décidons de ne plus chauffer ou très peu… là encore il n’y a aucune problème du coup, de production d’électricité, tout le monde en robe de chambre et on chauffe au mieux à 16°. On pollue moins, on sauve la planète et on n’ennuie personne avec des travaux inutiles. Après tout nos ancêtres vivaient très bien dans tous ces vieux logements sans les chauffer une bougie à la main en se couchant avec les poules…

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  51. Tout doit se discuter, les chiffres, l’écologie et les solutions que nous mettons en œuvre !
    Vous voyez qu’ici avec ces deux alternatives à la rénovation énergétique, je ne conteste même pas la nécessité de réduire le gaz carbonique, ces deux solutions sont bien meilleures en gaz carbonique que ce que propose la rénovation thermique de tous nos bâtiments qui est, en réalité, la plus mauvaise solution puisque :

    1/ le bilan carbone des travaux est mauvais et désastreux.

    2/ On consomme toujours presque autant d’énergie après rénovation et les effets sont très faibles.

    3/ Tout cela coûte un « pognon de dingue » pour une utilité très marginale.

    Quand tout le monde pense pareil plus personne ne pense!
    C’est une logique implacable. Quand tout le monde pense la même chose, plus personne ne pense et en France, plus personne ne pense.

    Il y a des totems. Partout.

    Impossible d’émettre une pensée un peu différente ou dérangeante.

    Prière de répéter les mantras gouvernementaux ou d’ONG.

    Il faut faire des DPE (foireux), rénover thermiquement des logements.

    Cela ne se discute pas.

    Il faut sauver la planète.

    Cela ne se discute pas.

    Pourtant, tout doit pouvoir se discuter, car les solutions pour arriver à un même résultat sont souvent plus nombreuses qu’il n’y paraît.

    On doit évidemment pouvoir discuter des alternatives possibles, c’est à ce prix intellectuel que l’on évite de payer le prix financier et que l’on évite l’effondrement !

    Je peux vous certifier, qu’avec les bonnes décisions, les bons raisonnements et que si ce pays se remet à penser alors, la vitesse de notre redressement pourrait en surprendre plus d’un.

    Factuellement il est possible de ne pas isoler plus et chauffer mieux… avec plus de centrales nucléaires et moins de gaz carbonique et pour moins cher que la rénovation thermique.

    Si l’on ne veut rien dépenser, on ne rénove pas et on ne chauffe pas et bonnet de nuit pour tout le monde. Toujours moins de gaz carbonique.

    C’est à nous de choisir ce que nous voulons faire croître et décroître.

    Dans tous les cas, il n’y a aucune fatalité. Aucune.

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.

    Préparez-vous !

    https://www.economiematin.fr/renovation-energietique-chauffage-co2-nucleaire-cout-sannat

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    1. Jusqu'à aujourd'hui les mesures prises pour l'isolation ont été des escroqueries qui n'isolaient rien du tout ! (laine de verre, cloisons, double-vitrage, etc).

      Faut se rappeler: Au début 20 ème siècle a été inventée la brique creuse en terre cuite succédant à la brique pleine (moins chère que la pierre) mais qui n'isolait rien (idem pour les châteaux aux murs de 3 m !).
      Suite à cela a été inventé le parpaing alvéolé. Whôaw ! Çà c'est de la révolution ! Passer de 3 m à 20 cm de mur !!
      Mais, comme les gros cons qui gouvernent ne le savaient pas, ils ont lancé l'escroquerie isolation !

      Donc: retenir qu'un espace d'air EST NÉCESSAIRE pour isoler !

      Voir pour les serres la même chose:

      http://forum.latelierpaysan.org/viewtopic.php?t=4346&sid=d12792fd3acc5437398e3b2c50de4613

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  52. Le géant du surgelé Toupargel bientôt placé en liquidation judiciaire

    L’ex-roi des produits surgelés Toupargel est dans la tourmente. Le tribunal de commerce de Lyon doit placer cette entreprise historique en redressement judiciaire aujourd’hui. La fin de 75 ans d’histoire.


    Par Cédric Bonnefoy
    le 11 janvier 2023 à 11h45


    Toupargel, bientôt la fin ?

    Après Camaïeu, une autre enseigne bien connue des Français est dans le dur : Toupargel. L’ancien leader du surgelé vit, sans doute, ses dernières heures. Sauf rebondissement, le tribunal de commerce de Lyon devrait placer cette entreprise en liquidation judiciaire. Rebaptisée Place du Marché en 2021, sa fin n’a jamais été aussi proche. Malgré l’émergence d’un nouveau marché porteur avec la livraison des courses à domicile, un actionnaire Agihold sérieux, cela ne devrait pas suffire à sauver cette entreprise. Cet ancien fleuron lyonnais présent depuis 75 ans sur le marché du surgelé en France semble condamné.

    Le tribunal de commerce doit acter la fin de l’histoire. À son heure de gloire, l’entreprise compte 1 million de clients en France et dans le monde. Cependant, Toupargel manque le tournant des années 2010, cette erreur sera fatale. Ainsi, le lancement du site marchant est un échec. Les prospecteurs ne sont plus dans l’entreprise, les clients se font rares. Il en manque, au moins, 130.000 pour assurer la pérennité de Place du Marché à moyen et long terme.

    1.800 emplois menacés

    Dès lors, les pertes s’accumulent très vite, des plans sociaux sont mis en place. Malgré tout, les dettes de Toupargel ne cessent de croître. Depuis quelques semaines, tout s’accélère. Le 3 novembre dernier, l’entreprise est placée dans une procédure de sauvegarde. Suit à la fin du mois, le redressement judiciaire.

    Cette descente aux enfers concerne avant tout les salariés du groupe. Ils seront nombreux devant le tribunal de commerce pour constater la fin de l’entreprise. En tout, 1.800 personnes risquent de se retrouver sur le carreau. Les syndicats de l’entreprise négocient actuellement une prime supralégale pour récompenser l’ancienneté des salariés. La majorité d’entre eux est dans l’entreprise depuis plus de 20 ans.

    https://www.economiematin.fr/le-geant-du-surgele-toupargel-bientot-place-en-liquidation-judiciaire

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