- ENTREE de SECOURS -



mardi 3 janvier 2023

Dr Astrid Stuckelberger - Injections et Graphène

 

59 commentaires:

  1. Le référendum national suisse limitera la population à 10 millions grâce à un contrôle strict de l'immigration, pour sauver l'environnement


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 01 JANVIER 2023 - 13:35
    Écrit par John Cody via Remix News,


    Le parti le plus populaire de Suisse, le parti populaire suisse (UDC), connu pour ses racines agraires et son opposition à l'immigration de masse, s'apprête à organiser un référendum appelant à la renégociation des traités internationaux, voire à leur abandon complet, si la population suisse atteint 10 millions.

    Le référendum proposé intervient à un moment où l'Europe est de plus en plus confrontée à une catastrophe environnementale, à une crise du logement et à d'énormes pressions sur les ressources publiques en raison de la montée en flèche des niveaux d'immigration. De nombreux pays européens comptent parmi les pays les plus densément peuplés du monde et la vie dans ces pays ne devrait devenir plus dense que dans un avenir proche, à moins que des mesures dramatiques ne soient prises. La Suisse ne fait pas exception.

    « Notre pays craque à tous les coins de rue. Nous traversons les débâcles de ces dernières années. Si nous n'intervenons pas, nous serons dépassés par les événements », a déclaré Marcel Dettling, directeur de campagne de l'UDC.

    Dettling avertit que la migration économique reste élevée, en particulier de la part de groupes connus pour leur difficulté à s'intégrer en Suisse, un fait mis en évidence par les données alarmantes de la population carcérale en Suisse.

    "Aujourd'hui, il y a une très forte migration économique", explique Dettling.

    «Celui qui a mis les pieds en Suisse ne quittera jamais le pays. Les migrants d'Afrique ont des taux de bien-être de 34 pour cent.

    Le parti de Dettling se réunit les 6 et 7 janvier en Thurgovie, près des rives du lac de Constance, et le principal sujet de discussion devrait être l'immigration, le nouveau référendum portant le titre de travail "initiative pour la durabilité".

    Croissance démographique explosive

    Le texte du référendum est également déjà finalisé et stipulerait que la population de la Suisse ne devrait pas dépasser 10 millions d'habitants jusqu'en 2050. Après 2050, cette limite pourrait être légèrement augmentée, mais uniquement en raison des naissances organiques et excédentaires.

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  2. Le conseiller national UDC Thomas Matter dit qu'il doit lancer une "alerte rouge" face à la population croissante de la Suisse, ajoutant que "c'est le dernier moment où nous pouvons encore changer quelque chose pour la Suisse".

    "Les chiffres de la migration sont époustouflants", a-t-il déclaré.

    "En 2022, la Suisse comptera 200'000 habitants de plus, la population du canton de Bâle-Ville."

    Il y a aussi la menace qu'un conflit entre la Serbie et le Kosovo ne ferait qu'augmenter le nombre de réfugiés auxquels la Suisse est confrontée.

    Le pays approche déjà rapidement les 9 millions d'habitants. En 2022, 145 958 personnes sont arrivées, portant la population à 8,89 millions. Il. n'est plus qu'une question de temps jusqu'à ce que la population atteigne 9 millions.

    Au cours des 20 dernières années, la population de la Suisse a augmenté de 21 %.

    "Si la Suisse croît à nouveau si fortement au cours des 20 prochaines années, tout s'effondrera", a déclaré Matter, qui est conseiller national.

    Selon lui, les réserves financières du pays pour l'éducation, la santé et les transports sont épuisées.

    "Il est urgent de quitter le modèle de croissance quantitative pour une croissance qualitative."

    Détails du texte référendaire

    Tout comme le frein à l'endettement du pays, le référendum servirait de frein à l'immigration. Le texte stipule que si certaines limites de population sont atteintes, le gouvernement doit prendre certaines mesures pour inhiber la croissance démographique. Par exemple, si la population de la Suisse atteint 9,5 millions d'habitants, le Conseil fédéral suisse devra prendre des mesures avec de nouvelles lois pour contrer cette croissance.

    Cependant, si le pays atteint 10 millions, le gouvernement doit répondre par des "mesures rigoureuses", y compris l'abandon par le Conseil fédéral des accords internationaux, tels que les pactes migratoires de l'ONU ou les traités de l'UE relatifs à la libre circulation.

    Il est important de noter que la Suisse a organisé un certain nombre de référendums sur le thème de l'immigration dans le passé, dont le fameux référendum de 2014 "contre l'immigration de masse", qui a remporté 50,3 % des voix. Le référendum soutenu par l'UDC a été conçu pour imposer des quotas stricts sur l'immigration, mais malgré la victoire du vote, le référendum a été plus ou moins rendu édenté par le Parlement suisse.

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  3. La Suisse a été menacée par l'UE pour toute tentative de restriction de la libre circulation, l'UE avertissant la Suisse que tout abandon de la libre circulation aurait signifié que tous les accords de l'UE seraient devenus nuls et non avenus, ce qui aurait présenté de graves conséquences économiques pour le pays.

    L'UDC a sévèrement critiqué l'accord final, qui n'a pas mis en place de quotas d'immigration mais a plutôt proposé des améliorations modérées concernant les conditions du marché du travail pour les Suisses. L'UDC l'a qualifié de "trahison des souhaits des électeurs" et d'inconstitutionnel, tandis que la Commission européenne a célébré la "version extrêmement édulcorée de l'initiative".

    L'UDC, cette fois-ci, inclura dans le référendum un langage qui appelle carrément la Suisse à ignorer ces accords internationaux, mais les intérêts commerciaux suisses et le bloc libéral de gauche du pays sont susceptibles de mener une lutte sérieuse en cas de victoire du référendum.

    SPV soutient que l'immigration n'est pas synonyme de croissance sans fin
    Le modèle occidental actuel promeut l'idée d'une croissance sans fin du PIB par l'immigration massive. Plus d'immigrants signifient plus de consommateurs, plus de constructions de logements surgissent dans les campagnes et plus de peuples du Tiers-Monde adoptent un mode de vie de Premier Monde.

    Les partis libéraux de gauche et verts du monde occidental ont simultanément appelé les Européens à avoir moins d'enfants pour sauver l'environnement, tout en promouvant une immigration massive en provenance des pays du Moyen-Orient, d'Afrique et d'Asie, ces nouveaux arrivants étant connus pour leurs taux de natalité notoirement élevés. Dans le même temps, des pays comme la Suisse, l'Allemagne et le Royaume-Uni battent des records de population en raison de l'immigration, ce qui entraîne une forte pression sur l'environnement et les modèles de protection sociale au sein de ces nations européennes - un développement qui n'a été rejeté que par une poignée de nations comme le Danemark et la Hongrie.

    La droite, si elle veut survivre, devra peut-être lier les causes environnementales et le changement climatique, que la jeunesse européenne croit massivement en train de se produire, à la croissance démographique en flèche par le biais de l'immigration. Le référendum suisse est peut-être un clin d'œil à une réalité grandissante. Tout référendum appelant à la restriction de l'immigration est susceptible d'échouer étant donné le vote croissant des jeunes pro-migration, mais s'il peut être lié à des causes vertes, un tel référendum peut avoir une chance.

    En outre, l'UDC soutient que ce modèle de croissance démographique sans fin n'est pas seulement insoutenable, mais qu'il n'entraînera pas le résultat souhaité d'une croissance économique sans fin.

    Le conseiller national UDC Manuel Strupler déclare qu'une immigration purement « quantitative » ne garantit pas une croissance par habitant plus élevée. De plus, ce type d'immigration « dilue » les valeurs de la Suisse.

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  4. «À un moment donné, quelqu'un devra payer les coûts de notre politique actuelle. Nous avons le devoir envers la relève de préserver les valeurs qui ont fait le succès de la Suisse »

    Thomas Matter soutient que la croissance démographique a en fait atteint le point de nuire à la croissance économique et contribuera à pousser le pays dans la récession. Il dit que si la population augmentera de 2,5 % en 2022, le revenu par habitant n'augmentera que de 2 % :

    « Ils veulent nous faire croire qu'immigration rime avec croissance. Mais en réalité, nous nous dirigeons vers une récession », a-t-il déclaré.

    Il note que la France et l'Allemagne ont fermé leurs frontières à l'immigration clandestine en provenance de Suisse, la Suisse étant de plus en plus considérée comme un pays de transit. Il prévient qu'"une catastrophe se prépare".

    https://www.zerohedge.com/political/swiss-national-referendum-will-limit-population-10-million-through-strict-immigration

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  5. Le chaos du Nouvel An alimenté par les migrants transforme Berlin en zone de guerre


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 02 JANVIER 2023 - 17:40
    Écrit par John Cody via Remix News,


    La jeunesse allemande des quartiers à forte concentration de migrants a une fois de plus transformé Berlin et d'autres villes allemandes en zones de guerre le jour de l'An, mais cette année, les informations indiquent que les attaques ont été particulièrement brutales et ont ciblé les services de secours, y compris les ambulanciers.

    À Berlin, la police et les pompiers ont répondu à 3 943 incidents, avec 15 pompiers et 18 policiers blessés. Selon le journal Bild, il y a eu "des attaques particulièrement graves dans les quartiers chauds de Kreuzberg et Neukölln avec une forte proportion de migrants".

    "Il y a eu des dizaines d'attentats", raconte la sénatrice de l'Intérieur Iris Spranger, des sociaux-démocrates (SPD).

    À Kreuzberg, par exemple, après que des jeunes hommes ont mis le feu à des barricades, les pompiers arrivés pour éteindre le feu ont été attaqués par 200 hommes cagoulés. À Neukölln, qui est l'un des quartiers les plus multiculturels d'Allemagne, 50 auteurs ont tiré des roquettes sur les services des forces d'urgence.

    Dans une scène troublante, un groupe d'hommes a été filmé en train d'attaquer une ambulance, lançant des objets à l'intérieur des portes arrière ouvertes du véhicule.

    Nouvel An Berlin-Neukölln. Si vous importez Kalkutta, vous n'aidez pas Kalkutta, vous deviendrez Kalkutta. @NancyFaeser tu es responsable pic.twitter.com/roLNVwdyaO
    – Hans Gutermann (@HausPirna) 2 janvier 2023

    D'autres vidéos montrent des jeunes lançant des roquettes sur des ambulances alors qu'ils tentent de traverser les rues de Berlin.

    (1/4) Wenn man Bilder aus Städten wie Berlin oder auch Frankfurt sieht, weiß man : Es ist immer eine bestimmte Klientel, die hier zu Silvester völlig ausrastet. Es geht aussi nicht pauschal um Böller. Es geht darum, wer wie damit umgeht. pic.twitter.com/mdnT7qWRpw
    – Anabel Schunke (@ainyrockstar) 1er janvier 2023

    Zu #Silvester und dem #Jahreswechsel geht #Berlin im #Feuerwerk #Chaos unter.#Fachkräfte aus der #Partyszene und #Chaoten aus der #Sonnenallee, #Kreuzberg und #Neukoelln überfallen #Polizei und #Feuerwehr.

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  6. Berlin : das institutionialisierte #Staatsversagen, dank #Giffey. pic.twitter.com/4pHZcVYNKf

    – Dr David Lütke (@DrLuetke) 2 janvier 2023
    La guerre de Berlin Neukölln meurt Jahr Silvester richtig schlimm pic.twitter.com/Obzc3tRyur
    – 🌙فاطمة (@fatumaa_ab) 1er janvier 2023

    De nombreux incidents ont été filmés, avec des clips montrant des véhicules en feu, des incendies dans de grands immeubles et un policier frappé par une roquette directement sur son casque, qui a ensuite pris feu. Un officier et un pompier ont été grièvement blessés et restent hospitalisés.

    "Nos véhicules ont été la cible de tirs d'obus", explique Thomas Kirstein des pompiers de Berlin. La police rapporte qu'une "bombe explosive illégale" a été lancée sur une voiture de police entièrement occupée. Dans une autre vidéo, un homme tire par la fenêtre d'une voiture de police.

    freue mich auf das #boellerverbot à berlin. dann gehören solche bilder nächstes silvester der vergangenheit an.

    Ihr équipe freiheit

    🗽✊🏼

    pic.twitter.com/bcEGoRqyP0
    – Ulf Poschardt (@ulfposh) 2 janvier 2023

    Dans le chaos qui a suivi, 103 personnes (98 hommes et cinq femmes) ont été arrêtées. La police de Berlin a écrit sur Twitter : « La violence que nos collègues ont dû subir le soir du Nouvel An est insupportable. Il incombe à la société dans son ensemble de lutter clairement contre cela. Nous vous remercions tous pour votre engagement et souhaitons un prompt rétablissement aux blessés.

    Die Gewalt, die unsere Kolleginnen & Kollegen in der Silvesternacht erleben mussten, ist unerträglich. Es ist eine gesamtgesellschaftliche Aufgabe dem deutlich entgegen zu wirken. Wir danken Ihnen allen für Ihren Einsatz & wünschen den Verletzten schnellste Genesung.
    ^VPr ^PPr'in
    – Polizei Berlin (@polizeiberlin) 1er janvier 2023

    Une autre vidéo montrait un jeune migrant se moquant d'un pompier alors qu'il tentait de donner une interview à des organes de presse.

    Halte berlinoise. pic.twitter.com/04NiRZGICB
    – Anabel Schunke (@ainyrockstar) 1er janvier 2023

    Le lendemain matin, des bus et des automobiles incendiés pouvaient être vus à travers Berlin.

    Chapeau #Berlin noch irgendwas von einer normalen deutschen Großstadt?
    Wahldebakel, Antifa Krawalle und jetzt noch so ein Silvester. Vielleicht wählt ihr euch mal ne vernünftige Regierung ins Amt wie wir anderen. pic.twitter.com/Xneaf4OIgy
    – Henrijs_DE🔅 (@HenrijsDE) 1er janvier 2023

    Georg Pazdersk, ancien chef du groupe parlementaire AfD à la Chambre des représentants de Berlin, a écrit : « Quand allons-nous enfin admettre que nous avons un énorme problème avec les jeunes hommes migrants issus de sociétés archaïques qui ne veulent pas s'intégrer. Faire taire le problème, c'est continuer à le promouvoir.

    Wann gestehen wir uns endlich ein, dass wir ein riesiges Problem mit jungen männlichen Migranten aus archaischen Gesellschaften haben, die sich nicht integrieren wollen. Ce problème totzuschweigen heißt es weiter zu fördern.https://t.co/Z6NODxl9Cm pic.twitter.com/7BqWOkxXKx
    – Georg Pazderski (@Georg_Pazderski) 1er janvier 2023

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  7. D'autres villes, comme Duisburg, ont également été frappées par la violence, y compris des attaques contre les services de secours.

    #duisbourg #silvester pic.twitter.com/kDiY1JmDSQ
    – Anabel Schunke (@ainyrockstar) 1er janvier 2023

    "On ne peut que secouer la tête. La direction politique de Berlin n'assume aucune responsabilité dans cette catastrophe. Il a de la sympathie pour les gens qui enfreignent les règles », a déclaré à Bild l'ancien maire de Neukölln, Social-Demcrat (SPD) Heinz Buschkowsky.

    In der Silvesternacht regieren in unseren Innenstädten #DIEGOSETZLOSEN. Junge Männer, die machen, was sie wollen, vor niemandem Respekt haben, sich über Gesetz & Ordnung hinwegsetzen - unsere Doku morgen 18 Uhr bei #AchtungReichelt - Hier Kanal abonnieren: https://t.co/bhjqXCo8wP pic.twitter.com/ BVdkbinASW
    – Julius Böhm (@julius__boehm) 1er janvier 2023

    « Les fous deviennent de plus en plus nombreux. Chaque événement festif est une occasion bienvenue d'attaquer les autorités… C'est l'ennemi, et il faut le combattre.

    « Même le personnel d'urgence expérimenté est choqué par l'ampleur de la brutalité. Cela doit enfin prendre fin. L'État ne doit plus rester les bras croisés alors que des personnes chaotiques attaquent à plusieurs reprises les policiers et les pompiers. Ce ne sont pas des infractions insignifiantes, ce sont des crimes », a déclaré Kai Wegner, chef de la section CDU Berlin, à Bild.

    Les années précédentes ont également été marquées par des violences extrêmes, en particulier à Neukölln.

    Dans un communiqué publié par l'AfD, le parti a écrit : « L'anarchie régnait à Berlin le soir du Nouvel An. C'était un premier avant-goût de la vie quotidienne future dans les villes allemandes car si les autorités et la presse sont catégoriquement silencieuses quant à la désignation précise des auteurs, les innombrables vidéos de cette nuit en disent long : ce sont de jeunes hommes violents avec un d'apparence méridionale qui parlent à peine l'allemand. Et non seulement ils peuvent immigrer sans entrave, mais ils sont également payés pour une belle vie par le gouvernement des feux de circulation avec l'argent des impôts.

    La conclusion que l'on tire aujourd'hui des émeutes est aussi typique que naïve : l'interdiction des pétards et des caméras sur les véhicules de secours devrait y remédier. Comme si la clientèle correspondante serait impressionnée par ces mesures. Il n'y a qu'un seul remède efficace contre de telles scènes : protéger enfin les frontières et expulser immédiatement les migrants criminels.

    Weitere Eindrücke der #Partyszene, die ich euch nicht vorenthalten möchte ! Da wäre ich doch gern dabei gewesen - in dieser "sicheren und lebenswerten" #Silvester2022-Nacht !
    Meine Kinder hätten das #Feuerwerk wahrlich genossen🙃🤡@polizeiberlin : Material für euch ! Tut était damit😉 pic.twitter.com/jhned7Yjiu
    – XzumTreme (@XzumTreme) 2 janvier 2023

    En 2016, environ 2 500 femmes allemandes ont été violées et agressées sexuellement par des hommes d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient à Cologne et dans d'autres villes lors d'un événement qui a alimenté la montée du parti Alternative pour l'Allemagne et le sentiment anti-immigration en Allemagne.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/migrant-fueled-new-year-mayhem-turns-berlin-warzone

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  8. Idée reçue : « la dette, c’est pas un problème ! »

    Selon certains commentateurs, la dette publique n’est pas problématique car la France possède assez d’actifs pour la rembourser à tout moment. Mais est-ce si simple ?


    le 3 janvier 2023
    Par Eddie Willers.


    Pour l’économiste Thomas Porcher, la dette française ne serait pas un problème car la France disposerait en face de 1,5 fois la valeur de cette dette en actifs. Il suffirait alors de vendre ces actifs pour payer la dette de la France.

    Donc si la dette n’est plus un problème, nous pouvons continuer à nous endetter et à financer les programmes les plus dispendieux de notre État social-démocrate. Magnifique théorie Thomas, mais regardons d’un peu plus près ce qu’il se passe lorsque la dette d’une entreprise est égale à la valeur de ses actifs.

    Les ressources de la société

    Les actifs d’une société constituent ses ressources, celles qui lui permettent de générer des profits et donc de survivre. Ces actifs peuvent prendre des formes très diverses : des usines, des brevets, des bureaux, des ordinateurs mais aussi des créances clients, du cash et même des savoir-faire. Bref, ce sont tous les éléments essentiels au bon fonctionnement de l’entreprise.

    Une société qui ne prend pas soin de ses actifs se retrouve rapidement face à une situation compliquée car elle ne produit pas aussi efficacement qu’elle le pourrait et se protège mal face à la concurrence d’autres acteurs.

    Vendre ses actifs peut avoir du sens, notamment si ces actifs ne permettent pas de produire plus efficacement les biens ou services vendus. Il n’est par exemple pas nécessaire d’avoir un entrepôt gigantesque lorsque l’on est une société de conseil.

    Imaginons maintenant que l’État français vende le château de Versailles, il récupérerait alors directement de quoi payer une partie de sa dette mais perdrait dans le même temps le bénéfice associé à l’exploitation du château. Si le château est un contributeur positif du budget de l’État il faudra alors se réendetter pour payer les autres postes de dépense auparavant couverts par les recettes du château de Versailles. Premier écueil.

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  9. (...) Imaginons maintenant que l’État français vende le château de Versailles, il récupérerait alors directement de quoi payer une partie de sa dette mais perdrait dans le même temps le bénéfice associé à l’exploitation du château. Si le château est un contributeur positif du budget de l’État il faudra alors se réendetter pour payer les autres postes de dépense auparavant couverts par les recettes du château de Versailles. Premier écueil. (...)

    Premièrement lorsqu'un château appartient à l’État il n'est pas imposé.

    Deuxièmement s'il est vendu il le sera ! et là, c'est une sacrée facture que recevra la particulier acheteur !

    Troisièmement, puisque les banques prêtent de l'argent sans être remboursées elles sont donc en faillite (non-déclarée). Donc, elles ne peuvent prêter de l'argent qu'elles n'ont pas (c'est comme si moi je vous prêtais 1000000000000000000000000000000000000000000000000000 milliards et attende que l'emprunteur me verse des intérêts, je serais accusé d'escroquerie. Mais une banque comme un État peut légaliser l'escroquerie !!).

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  10. Les Français et la maladie du « Toujours Plus »

    Un sondage indique que 6 Français sur 10 sont pessimistes sur l’avenir du pays mais on ne leur a jamais expliqué quels étaient les défis à relever.


    Claude Sicard
    le 3 janvier 2023


    L’année 2022 s’achève et on s’interroge avec inquiétude sur ce que nous réserve la nouvelle année. Toutes les économies européennes sont très fortement affectées par les répercussions de la guerre menée par les Russes en Ukraine et le FMI vient d’abaisser de 2,5 % à 2 % ses prévisions pour la croissance mondiale. Il révèle dans sa dernière note que « le ralentissement le plus marqué interviendra dans la zone euro ».

    En France les handicaps pour surmonter les difficultés qui se profilent ne manquent pas : le secteur industriel amoindri ne représentant plus que 10 % du PIB fait de la France le pays le plus désindustrialisé d’Europe Grèce mise à part ; la dette structurelle toujours croissante est supérieure au PIB ; le taux de chômage est le plus élevé d’Europe ; les dépenses publiques sont en proportion du PIB beaucoup plus importantes que partout ailleurs.

    Nos dirigeants n’ont donc pas devant eux une page blanche.

    Et il existe de surcroît un élément sous-jacent jamais évoqué qui est une donnée sur laquelle les dirigeants n’ont aucune prise : la sociologie du peuple français.

    Le rôle de la sociologie en matière économique

    La sociologie joue un rôle extrêmement important dans les processus et les phénomènes économiques.

    Dans La grande transformation, Karl Polanyi, un économiste anthropologue austro-hongrois dont les travaux sont très appréciés par les économistes de l’École de Toulouse énonce qu’il ne peut y avoir de relations économiques sans relations sociales.

    Dans L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme, paru en 1905, Max Weber avait expliqué que la différence profonde de performances économiques entre les pays du nord de l’Europe et les pays du sud tient au fait que les uns sont protestants alors que les autres sont catholiques. Selon lui, c’est l’éthique protestante qui a fait le succès du capitalisme : chez les protestants on accumule pour investir et non pas pour consommer. La France fait partie de ce que certains experts à Bruxelles appellent malicieusement les « pays du club Med ». Nos dirigeants se voient contraints de faire avec cette donnée qui est par nature inchangeable. Max Weber a fait le constat que lorsque dans un pays il y a une partie protestante et une autre catholique c’est toujours la partie protestante qui est la plus prospère.

    Au-delà de cette spécificité culturelle il existe en France un syndicalisme d’opposition qui est la conséquence, selon de nombreux auteurs, de la loi de Waldeck Rousseau du 21 mars 1884 qui a donné une base légale aux syndicats mais les a écartés des sages sentiers de l’administration des choses.

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  11. En Allemagne et dans les pays scandinaves les syndicats et le parti socialiste collaborent. Il y a même un système de cogestion des entreprises chez notre voisin allemand. Dans les pays scandinaves, les conflits se règlent par le dialogue. C’est aussi le cas de la Suisse où depuis l’accord conclu en 1937 instituant « La Paix du travail », il n’y a plus jamais de grèves.

    Dans le cas de la France, il faut se rapporter à la Charte d’Amiens de 1906 qui a fondé le syndicalisme français : elle valorise l’expropriation capitaliste et la lutte des classes avec comme moyen d’action la grève générale. Ainsi, en France, l’inconscient prolétarien est révolutionnaire. Cette Charte a constitué jusqu’ici l’ADN du syndicalisme français. Aussi, les conflits entre les syndicats et le patronat n’ont-ils pas cessé d’agiter la société. Il est impossible de les énumérer tous ici mais on ne peut manquer de rappeler l’épisode du Front populaire de 1936 qui a abouti à la semaine de 40 heures et des congés payés : dans toute la France des usines furent occupées et le drapeau rouge flottait sur bon nombre d’entre elles.

    Avec ces innombrables luttes contre le pouvoir et le patronat les Français ont obtenu des avantages sociaux importants inscrits dans la législation du pays. Le Code du travail français est ainsi très volumineux et particulièrement rigide et nuit au bon fonctionnement des entreprises.

    Les pays scandinaves et la Suisse sont pris comme exemples de pays où l’économie est dynamique et prospère :

    Population active

    France……………….. 45,9 %
    Pays scandinaves… 50 % – 55 %
    Suisse………………… 57 %

    Durée de vie active

    France……………….. 35,6
    Pays scandinaves… 41
    Suisse………………… 42,4

    Heures de travail par an

    France……………….. 1402
    Pays scandinaves… 1662
    Suisse………………… 1831

    Durée hebdomadaire du travail

    France……………….. 35
    Pays scandinaves… 37 – 38
    Suisse………………… 45 – 50

    Jours de grève

    France……………….. 1000
    Pays scandinaves… 114
    Suisse………………… 1

    On voit comment s’est organisé le pays pour faire fonctionner sa machine économique par comparaison avec les pays scandinaves et la Suisse.

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  12. Dans le cas de la France :

    taux de population active anormalement bas ;
    durée de vie active plus courte ;
    nombre d’heures travaillées par an inférieur ;
    propension à recourir à la grève particulièrement élevée.

    Il manque à la France au moins 4 millions de personnes au travail sachant que les chômeurs sensés rechercher activement un emploi sont comptabilisés dans la population active.

    En France, ceux qui ne sont pas au travail sont portés par la communauté nationale et vivent de subsides fournis par la population active. Fin octobre 2022 Pôle Emploi comptait 6 198 310 inscrits toutes catégories confondues (A, B, C, D et E), dont 3 091 900 inscrits en catégorie A.

    Il en résulte des performances économiques très inférieures à celles des pays scandinaves et de la Suisse. Paradoxalement, le pays se situe au 24e rang seulement du classement des nations du World Hapiness Report de l’ONU de l’année 2019, entre le Mexique et le Chili alors que les pays pris ici en exemple sont tous en tête du classement.

    Finlande

    PIB/capita………….. 53 654 dollars
    Dette/PIB…………… 72,4 %
    Dép. Soc/PIB………. 54,9 %
    World Happiness…. N° 1

    Suède

    PIB/capita………….. 61 028 dollars
    Dette/PIB…………… 42,0 %
    Dép. Soc/PIB………. 50,2 %
    World Happiness…. N° 7

    Danemark

    PIB/capita………….. 68 007 dollars
    Dette/PIB…………… 33,2 %
    Dép. Soc/PIB………. 51,0 %
    World Happiness…. N° 2

    Norvège

    PIB/capita………….. 89,154 dollars
    Dette/PIB…………… 36,2 %
    Dép. Soc/PIB………. 18,0 %
    World Happiness…. N° 3

    Suisse

    PIB/capita………….. 91 991 dollars
    Dette/PIB…………… 42,4 %
    Dép. Soc/PIB………. 17,5 %
    World Happiness…. N° 6

    France

    PIB/capita………….. 43 659 dollars
    Dette/PIB…………… 113,5 %
    Dép. Soc/PIB………. 59,2 %
    World Happiness…. N° 24

    Quand la France va-t-elle pouvoir se réformer ?
    Ces données conduisent à conclure que la France a un immense besoin de se réformer mais ses dirigeants sont très loin de s’atteler à la tâche.

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  13. Les dépenses publiques sont à un niveau très supérieur, en proportion du PIB, à ce qu’elles sont partout ailleurs (51,9 % du PIB contre 34,9 % pour la moyenne OCDE ).

    Les hôpitaux publics sont fortement déficitaires, leur dette s’élève à 30 milliards d’euros.

    Le COR prévoit que le déficit des caisses de retraite va s’élever dans les prochaines années à 0,5 voire 0,8 point de PIB.

    Le pays a perdu près de la moitié de son secteur industriel qui ne représente plus que 10 % du PIB alors qu’il devrait se situer au moins à 18 %.

    De toutes parts, la population réclame davantage de médecins et d’infirmières, davantage de juges, de policiers et de gardiens de prison, davantage de postiers, etc.

    Les revendications pour l’augmentation du pouvoir d’achat sont permanentes. Les 35 heures instaurées par Martine Aubry ont fait partout des dégâts considérables et aucun autre pays n’a adopté une telle mesure.

    Les Français ne parviennent pas à réaliser que le PIB par habitant est bien inférieur à celui des voisins du nord et veulent faire fonctionner la machine économique avec des ratios inférieurs des éléments clés intervenant dans le processus de création de richesse à ce qu’ils sont dans les pays où les PIB par tête sont élevés.

    Cette maladie du « toujours plus » qui affecte les Français avait été déjà dénoncée en 1982 par le journaliste et essayiste François de Closets dans Toujours plus. Ce livre a eu à l’époque beaucoup de succès. François Mitterrand l’avait qualifié « d’ouvrage salutaire ».

    François de Closets écrivait :

    « Les Français se proclament tous défavorisés, réclamant plus d’argent, mais aussi plus de droits, d’avantages, de loisirs, et de garanties ».

    En 2006, il est revenu à la charge avec Plus encore !

    Il serait bon que nos dirigeants veuillent bien s’en inspirer.

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  14. Cet esprit revendicatif s’était traduit par ce bouleversement extraordinaire qu’a été la Révolution de 1789 qui a aboli la royauté et accompagnée des cruautés et des massacres qui ont marqué cette période. Cette grande révolution s’est inscrite dans le roman national : elle est une date clé de l’histoire de France. Elle est louée aux jeunes générations, à l’école, comme un élément positif et on utilise donc la grève voire l’organisation de mouvements populaires violents pour s’opposer au pouvoir. Le marxisme est venu se greffer sur ce fond culturel. Vladimir Lénine avait parlé de « révolution permanente » et cette idéologie a eu beaucoup de succès en France. Les évènements de Mai 68 en ont été une illustration parfaite, mettant à mal une fois de plus l’idée même d’autorité. Plus récemment le mouvement des Gilets jaunes a beaucoup agité le pays.

    Les pouvoirs publics doivent donc faire avec cette donnée de la sociologie française. Alain Duhamel a analysé la psychologie politique des Français dans Les pathologies politiques françaises dont il dit « qu’elles incitent le pouvoir à avancer en crabe ».

    Il s’agit donc bien d’avancer mais avec précaution. Le premier pas consisterait à expliquer avec franchise aux Français où nous en sommes plutôt que de dissimuler en permanence la situation du pays.

    Un récent sondage Harris Interactive indique que six Français sur dix sont pessimistes sur l’avenir du pays, mais on ne leur a jamais expliqué quels étaient les défis à relever. Ils ne comprennent pas pourquoi le pays va mal et se dressent contre les dirigeants. Ils doivent pourtant comprendre les raisons pour lesquelles ils doivent faire des efforts et faire preuve de civisme. Nous n’en sommes hélas pas là pour l’instant. Dès qu’une occasion propice se présente, on déclenche une grève avant même de négocier et la direction de l’entreprise prise au piège doit céder. Une fois de plus, la SNCF vient d’en faire l’expérience, au moment où la population a le plus besoin de se déplacer.

    https://www.contrepoints.org/2023/01/03/446973-les-francais-et-la-maladie-du-toujours-plus

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    1. La fin de la croissance est-ce un mal ?
      Je sème un grain de blé, dans 6 mois il va me fournir un épi de 20 grains que je sèmerais 6 mois plus tard et récolterait donc 400 grains de blé, resemés: 8000 grains, resemés: 1 600 000 grains de blé, etc, etc. Lorsque j'en ai suffisamment je peux en vivre. S'il y a surplus il y a bénéfice, c-à-d croissance au ralenti.
      Où est le mal ?
      Une personne riche ne fait pas 10 repas par jour !

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  15. Gaz : le prix s’écroule, mais votre facture ne va pas baisser

    Le marché du gaz a connu, en 2022, une évolution inédite. Le prix a explosé, tirant vers le haut celui de l’électricité. Et la faute revient intégralement à la Russie, qui a lancé sa guerre contre l’Ukraine et a ensuite utilisé son gaz pour faire pression sur les pays de l’Union européenne.


    Par Paolo Garoscio
    le 3 janvier 2023 à 6h48


    Or si la guerre se poursuit, le marché s’est détendu, faisant baisser le prix du gaz. Mais ça reste insuffisant.

    Le prix du gaz tombe à des niveau pré-guerre

    Sur le marché de référence pour le gaz en Europe, le marché d’Amsterdam, le prix du gaz a chuté. Le 2 janvier 2023, première journée d’échanges de l’année, il est tombé à moins de 75 euros le MégaWattHeure (MWh). En comparaison, le premier pic de prix, au lendemain de l’attaque russe en Ukraine, lui avait fait atteindre les 227 euros. Et au plus haut des échanges en août 2022, le prix avait explosé à 339 euros le MWh.

    Début janvier 2023, donc, le prix du gaz se retrouvait à un prix quatre fois inférieur au pic de 2022. Et, surtout, un prix inférieur à celui affiché depuis le début du conflit en Ukraine et des tensions géopolitiques. Mais les prix du marché sont désormais totalement indicatifs, et pas appliqués par les distributeurs en France.

    La facture des ménages va augmenter et non baisser

    L’annonce d’une baisse du prix du gaz sur le marché de gros d’Amsterdam ne donnera pas lieu à une baisse de prix pour les ménages. Tout du moins tant que le prix reste au-dessus d’un certain niveau.

    Car durant toute l’année 2022, grâce au bouclier tarifaire, le prix payé par les ménages est resté au niveau de mi-2021. L’exécutif bloquait alors les tarifs, pour une durée initialement prévue de quelques mois. Finalement, le bouclier tarifaire aura duré toute l’année 2022, protégeant les ménages de l’explosion du prix du gaz.

    Mi-2021, le MWh de gaz s’échangeait à moins de 40 euros. Près de 10 fois moins que lors du pic d’août 2022… et près de deux fois moins que le prix affiché le 2 janvier 2023. Même avec la hausse de prix de 15% appliquée depuis le 1er janvier 2023, les ménages payent moins cher que ce qu’ils devraient. Le gaz baisse donc en Bourse, mais la facture des ménages augmentera comme prévu...

    https://www.economiematin.fr/gaz-baisse-prix-marche-facture-menages-2023-france

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  16. TVA à 0 % sur l’alimentation ? Pour Bruno Le Maire, c’est toujours « niet »

    L’annonce du gouvernement espagnol n’a pas manqué de faire du bruit : la TVA sur certains produits alimentaires de première nécessité a été annulée. Une mesure temporaire visant à lutter contre l’inflation… et que certains voudraient reproduire en France.


    Par Paolo Garoscio
    le 3 janvier 2023 à 8h59


    La TVA sur les produits alimentaires de première nécessité est de 4% en Espagne.

    Mais pour Bruno Le Maire, il n’en est pas question. Il a peur que ce soient les distributeurs qui en profitent.

    Pour Bruno Le Maire, les distributeurs s’en mettraient plein les poches

    Les distributeurs seraient-ils de méchants capitalistes qui ne pensent qu’à augmenter leurs marges ? C’est l’avis de Bruno Le Maire. Invité de l’émission Quotidien, le 2 janvier 2023, il est revenu sur le mesure espagnole d’annulation de la TVA sur les produits alimentaires. Avec cette mesure, le gouvernement de Pedro Sanchez devrait réussir à faire baisser le prix des produits de première nécessité durant tout le premier semestre 2023.

    Mais pour le ministre de l’Économie français, ce n’est pas une bonne façon de faire. Et c’est la faute aux distributeurs. « Quand on baisse la TVA sur les produits alimentaires, en règle générale, ça va plutôt dans la poche du distributeur que dans la poche du consommateur », a-t-il déclaré. Carrefour, E.Leclerc, Auchan et consorts apprécieront. Car, selon lui, les distributeurs ne joueraient tout simplement pas le jeu. « On peut toujours espérer […], mais je suis réaliste. »

    La TVA s’ajoute au prix, le contrôle serait pourtant simple

    Reste que si les distributeurs ne jouent pas le jeu, le vérifier serait en réalité très simple. La TVA, Taxe sur la Valeur Ajoutée, vient comme son nom l’indique s’ajouter au prix. Vérifier que les distributeurs ne profitent pas d’une baisse de la TVA pour augmenter leurs marges serait donc relativement simple.

    Mais la mesure aurait surtout un coût : « 10 milliards d’euros », selon le ministre de l’Économie. Une facture, pour l’État, qui viendrait s’ajouter aux autres dépenses, et notamment le maintien du bouclier tarifaire. Bien que les prix du gaz et de l’électricité augmenteront de 15 % en ce début d’année 2023, ils restent bloqués. Le gouvernement déboursera pour protéger les ménages « 46 milliards d’euros », estime Bruno Le Maire. « Près de cinq fois plus, donc c'est cinq fois plus efficace. »

    https://www.economiematin.fr/tva-baisse-france-lemaire-ministre-suppression-distributeurs

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    1. Suffirait de nationaliser l'épicerie. De cette façon des prix pilotes s'afficheraient, le consommateur irait donc vers ces épiceries d’État se détournant des supermarchés.
      Au Venezuela le prix est imprimé sur l'emballage, il ne peut donc être modifié.

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  17. Les Britanniques sombres pensent que la crise du coût de la vie s'aggravera en 2023, selon un sondage


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 03 JANVIER 2023 - 12:30
    Écrit par Thomas Brooke via Remix News,


    Un électorat britannique profondément pessimiste s'attend à ce que la crise du coût de la vie continue d'entraver le pays au cours de l'année civile à venir, sept Britanniques sur dix ayant peu confiance en la capacité de l'administration de Rishi Sunak à améliorer leur fortune en 2023, révèlent les derniers sondages.

    Une enquête PeoplePolling, commandée par GB News, a révélé que seulement 1% des personnes interrogées étaient totalement convaincues que le gouvernement s'attaquerait efficacement à la crise du coût de la vie, qui a vu l'inflation monter en flèche en raison des prix record de l'énergie.

    Seuls 18 % sont «assez», «quelque peu» ou «légèrement» confiants dans la capacité du gouvernement à atténuer la crise, tandis que 70 % ont peu confiance en l'administration de Sunak pour faire face aux pressions financières au cours de l'année à venir.

    Les électeurs travaillistes aux dernières élections générales sont généralement les moins confiants dans le gouvernement, avec 90% de pessimistes quant à sa compétence, cependant, une majorité d'électeurs conservateurs de 2019 (53%) ont également perdu confiance dans le parti qu'ils ont élu au gouvernement.

    Lorsqu'on leur a demandé les mots qui leur venaient à l'esprit pour décrire au mieux leur vision de l'année à venir, les termes les plus largement utilisés étaient « difficile », « difficile », « difficile », « sombre » et « inquiétant ».

    « S ** t », « f **** d » et « pauvreté » étaient également des expressions couramment utilisées par les répondants.

    - voir sur site -

    Source : Twitter, @GoodwinMJ

    Une majorité du public, environ 60 % des répondants, pense que 2023 sera en fait pire financièrement pour leurs familles que l'année qui vient de s'écouler, avec seulement 6 % s'attendant à ce qu'elle soit meilleure, révélant l'ampleur de la tâche qui attend le gouvernement britannique. reconquérir un électorat toujours plus pessimiste qui perd confiance en ses dirigeants pour stabiliser le navire.

    Commentant les résultats du sondage, l'universitaire et sondeur Matthew Goodwin a déclaré que le Premier ministre britannique Rishi Sunak "se dirigeait vers 202 face à d'énormes obstacles".

    Il a affirmé que la reprise du parti conservateur «n'a pas seulement stagné, mais semble maintenant reculer.

    Sir Keir Starmer et le Parti travailliste commencent 2023 en première position, avec un soutien plus que suffisant pour une majorité aux prochaines élections générales. Quoi que Rishi Sunak fasse ensuite, il ferait mieux de le faire rapidement car le temps presse maintenant, et lui et son parti sont loin derrière.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/bleak-brits-believe-cost-living-crisis-will-worsen-2023-poll-reveals

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  18. Inflation aux États-Unis : de combien les prix ont-ils augmenté en 2022 ?


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 03 JANVIER 2023 - 00:55


    L'inflation a été au centre des préoccupations au cours de la dernière année, menaçant tous les aspects de l'économie. Mais comment l'inflation a-t-elle réellement eu un impact sur les prix des biens de tous les jours comme le pain et le beurre ou l'essence et les transports publics ?

    Dans cette infographie, Avery Koop et Bhabna Banerjee de Visual Capitalist présentent des articles sélectionnés et l'impact de l'inflation sur le prix d'une année sur l'autre. De plus, nous avons cartographié les augmentations de prix globales dans les grandes catégories de biens, en utilisant les données du Bureau of Labor Statistics (BLS) des États-Unis.

    - voir graph sur site -

    Remarque : Ces chiffres sont évalués à l'aide de l'indice des prix à la consommation (IPC) pour tous les consommateurs urbains (IPC-U), en utilisant la moyenne des villes américaines par catégorie de dépenses détaillée.

    De combien le coût des marchandises a-t-il augmenté ?
    L'inflation a entraîné une augmentation significative du coût de nombreux biens par rapport à l'année dernière. L'élément le plus gravement touché est les déjeuners à l'école élémentaire, un coût aux États-Unis qui est déjà inabordable pour de nombreuses familles.

    Voici un aperçu de l'évolution du prix de chaque bien signalé par rapport à l'année dernière :

    Article Variation annuelle non ajustée (novembre 2021 - novembre 2022)
    Alimentation aux écoles primaires et secondaires +254,1 %
    Restauration sur sites salariés et écoles +110,1%

    Fioul +65,7%
    Œufs +49,1%
    Margarine +47,4%
    Autres carburants +43,3%
    Fioul et autres combustibles +41,7%
    Tarifs aériens +36,0%
    Beurre et margarine +34,2%
    Beurre +27,0%
    Farines et mélanges de farines préparées + 24,9 %
    Transports en commun +23,8%
    Autres produits laitiers et dérivés +22,4%
    Graisses et huiles +21,8%

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  19. Fruits en conserve +20,9%
    Craquelins, pain et produits de craquelins +19,9 %
    Vinaigrette +19,9%
    Laitue +19,8%
    Huile moteur, liquide de refroidissement et fluides + 19,6 %
    Boulangeries-pâtisseries surgelées et réfrigérées, pâtés, tartes, chaussons + 19,4 %
    Cookies +19,2%
    Viande froide +18,4 %
    Fruits et légumes en conserve + 18,4 %
    Légumes surgelés +18,3%
    Autres volailles crues dont dinde + 17,9 %
    Gâteaux, cupcakes et biscuits +17,6 %
    Glaces et produits dérivés +17,5%
    Riz, pâtes, semoule de maïs +16,8%
    Céréales et produits céréaliers +16,6%
    Autres produits de boulangerie + 16,5 %
    Céréales et produits de boulangerie + 16,4 %
    Produits laitiers et dérivés +16,4%
    Produits de boulangerie + 16,3 %
    Autres viandes +16,2%
    Pommes de terre +16,2%
    Légumes en conserve +16,2%
    Olives, cornichons, condiments +16,1%
    Fruits et légumes transformés +15,8%
    Pain +15,7%
    Nourriture pour animaux de compagnie +15,7 %
    Lait frais autre qu'entier +15,6%
    Pain blanc +15,5%
    Pain autre que blanc +15,5%
    Service de gaz utilitaire (canalisé) + 15,5 %
    Café torréfié +15,2%
    Autres graisses et huiles dont beurre de cacahuète +15,2%
    Soupes +15,0%
    Réparation automobile + 15,0 %
    Fruits et légumes surgelés +14,9%
    Biscuits frais, petits pains, muffins +14,8%
    Lait +14,7%
    Café +14,6%
    Autres aliments divers +14,6%
    Gâteaux et cupcakes frais +14,4%
    Papeterie, fournitures de papeterie, emballages cadeaux +14,3%
    Services énergétiques +14,2%
    Services de transport +14,2%
    Riz +14,1%
    Sucre et succédanés de sucre +14,1%
    Papiers ménagers +14,1%
    Services vestimentaires autres que blanchisserie et nettoyage à sec + 14,1 %
    Plats cuisinés surgelés et lyophilisés + 14,0 %
    Café instantané +13,9%
    Autres aliments à domicile +13,9%
    Prestations de livraison +13,8%
    Poulet entier frais +13,7%
    Matières boissons dont café et thé +13,7%
    Sauces et jus +13,7%
    Electricité +13,7%
    Accessoires véhicules hors pneumatiques +13,7%
    Assurance maladie +13,5%
    Francfortois +13,4%
    Assurance automobile +13,4%
    Céréales petit-déjeuner +13,3%
    Boissons non alcoolisées et matériaux de boissons +13,2%
    Jus et boissons non gazeuses non surgelées +13,2%
    Volaille +13,1%
    Lait frais entier +13,1%
    Sucre et confiserie +13,1%
    Énergie +13,1%
    Animaux de compagnie et produits pour animaux de compagnie +13,0 %
    Jus et boissons non alcoolisées +12,9%
    Bonbons et chewing-gum +12,9%
    Autres aliments +12,9%
    Boissons gazeuses +12,8%
    Outillage, quincaillerie et fournitures +12,8%
    Autres confiseries +12,7%
    Fromages et produits dérivés +12,4%
    Oranges dont mandarines +12,4%
    Essence super sans plomb +12,4%
    Produits d'entretien ménager +12,4%
    Carrosserie automobile + 12,4 %
    Matières premières énergétiques +12,2%
    Autres matières de boissons dont thé +12,1%
    Alimentation à domicile +12,0%
    Poulet +12,0%
    Produits ménagers divers +11,9%
    Pièces et équipements automobiles hors pneumatiques + 11,8 %
    Produits d'entretien ménager +11,7%
    Entretien et réparation de véhicules automobiles + 11,7 %
    Morceaux de poulet frais et surgelés +11,6%
    Pièces et équipements automobiles + 11,6 %
    Nourriture des distributeurs automatiques et vendeurs ambulants +11,5%
    Snacks +11,1%
    Epices, assaisonnements, condiments, sauces +11,1%
    Services vétérinaires +11,0%
    Alimentation bébé +10,9%
    Services pour animaux de compagnie dont vétérinaire +10,9%
    Carburant +10,8%
    Biens divers de la personne +10,8%
    Essence intermédiaire sans plomb +10,7%
    Alimentation +10,6%
    Autres fruits et légumes transformés dont séchés +10,4%
    Mobilier de salon, cuisine et salle à manger +10,3%
    Pneus +10,3%
    Revêtements de sol +10,2%
    Essence (tous types) +10,1%

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  20. Outils, quincaillerie, équipement extérieur et fournitures +10%
    Essence ordinaire sans plomb +9,8 %
    Fruits et légumes +9,7%
    Légumes frais +9,6%
    Petits pains frais, coffeecakes, donuts +9,5%
    Agrumes +9,5%
    Salades préparées +9,5%
    Produits capillaires, dentaires, de rasage et divers de soins personnels + 9,3 %
    Entretien et révision de véhicules automobiles + 9,3 %
    Frais de préparation de déclarations fiscales et autres frais comptables + 9,1 %
    Repas et collations à service complet + 9,0 %
    Achat d'animaux de compagnie, de fournitures pour animaux de compagnie, d'accessoires + 8,9 %
    Vidéodisques et autres supports +8,9%
    Poissons et fruits de mer surgelés + 8,8 %
    Sous-vêtements, vêtements de nuit, maillots de bain et accessoires femme + 8,6 %
    Alimentation hors domicile +8,5%
    Vaisselle et couverts +8,5%
    Équipements et fournitures de plein air + 8,4 %
    Ameublement et fournitures de la maison +8,3%
    Fruits et légumes frais +8,0%
    Vin hors domicile +7,9%
    Loyer de la résidence principale +7,9%
    Services de blanchisserie et de nettoyage à sec + 7,9 %
    Jambon +7,8%
    Haricots, pois et lentilles secs +7,8 %
    Voitures neuves +7,8%
    Saucisson petit-déjeuner et produits dérivés +7,7%
    Poissons et fruits de mer transformés + 7,7 %
    Bière, ale et autres boissons maltées à domicile + 7,7 %
    Jambon hors conserve +7,6%
    Autres biens +7,5%
    Pommes +7,4%
    Autres légumes frais + 7,4 %
    Produits de soins personnels + 7,4 %
    Services animaliers +7,4%
    Entrées au cinéma, théâtre et concert +7,4%
    Jus et boissons non gazeuses surgelées + 7,3 %
    Matériel et fournitures médicales +7,3%
    Location de vidéodisques et autres supports +7,3%
    Véhicules neufs +7,2%
    Loyer du logement +7,2%
    Camions neufs +7,1%
    Instruments et accessoires de musique +7,1%
    Boissons alcoolisées hors domicile +7,1%
    Logement +7,1%
    Loyers équivalent propriétaires des logements +7,1%
    Loyer équivalent propriétaires résidence principale +7,1%
    Spiritueux hors domicile +7,0%
    Sel et autres condiments et épices +6,9%
    Viandes, volailles, poissons et œufs + 6,8 %
    Mobilier et literie +6,8%
    Services moins services énergétiques +6,8%
    Services à la personne +6,8%
    Coupes de cheveux et autres services de soins personnels + 6,8 %
    Repas et collations à service limité + 6,7 %
    Poissons et fruits de mer de longue conservation +6,6 %
    Fruits frais +6,6%
    Bière, ale et autres boissons maltées hors domicile + 6,6 %
    Collecte des ordures ménagères +6,6%
    Poissons et fruits de mer +6,5 %
    Plantes et fleurs d'intérieur +6,5%
    Autres services aux particuliers +6,5%
    Cigarette +6,4%
    Services dentaires +6,4 %
    Vidéodisques et autres supports, dont location de vidéo +6,4%
    Complets, vestons sport et vêtements d'extérieur pour hommes +6,3 %
    Tabac et produits du tabac +6,3%
    Services personnels divers +6,3%
    Manuels collégiaux +6,2 %
    Prestations juridiques +6,2%
    Tous les articles moins les aliments et l'énergie +6,0 %
    Tailleurs et coordonnés femme +5,9%
    Horloges, luminaires et objets de décoration +5,8%
    Beurre de cacahuète +5,7%
    Habillement femme +5,7%
    Revêtements de fenêtres, sols et autres linges +5,6%
    Habillement femme et fille +5,6%
    Autres fruits frais +5,5%

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  21. Autres aliments hors domicile +5,5%
    Autres équipements et ameublement de la maison +5,5%
    Journaux et magazines +5,5%
    Boissons alcoolisées +5,5%
    Produits du tabac autres que cigarettes +5,5%
    Poissons et fruits de mer frais +5,4%
    Médicaments sans ordonnance +5,4%
    Cosmétiques, parfums, bains, produits pour ongles et ustensiles +5,4%
    Services récréatifs +5,4 %
    Services financiers +5,4%
    Equipements sportifs +5,3%
    Livres et fournitures scolaires + 5,3 %
    Garderie et préscolaire +5,3 %
    Autres condiments +5,2%
    Habillement fille +5,2%
    Bijoux et montres +5,2%
    Montres +5,1%
    Joaillerie +5,1%
    Jouets, jeux, loisirs et équipements de jeux + 5,1 %
    Adhésion au club pour les clubs commerciaux, les organisations ou les frais de participation aux sports +5,1 %
    Autres linges +5,0%
    Autres meubles +5,0%
    Services d'eau et d'égout et de collecte des ordures + 5,0 %
    Frais de cours ou d'instructions +5,0%
    Frais funéraires +4,9%
    Boissons alcoolisées à domicile +4,5%
    EHPAD et services de jour adultes +4,5%
    Entretien eau et assainissement +4,4%
    Services domestiques +4,4%
    Services de soins médicaux + 4,4 %
    Photographes et traitement photo +4,4%
    Autres services de loisirs +4,4 %
    Téléphonie résidentielle +4,4%
    Viandes, volailles et poissons +4,3%
    Prestations vidéo et audio +4,2%
    Services d'affranchissement et de livraison + 4,2 %
    Service de télévision par câble et satellite +4,0 %
    Vêtements pour bébés et tout-petits +3,9 %
    Bananes +3,8%
    Propane, kérosène et bois de chauffage +3,8 %
    Soins aux invalides et personnes âgées à domicile +3,8%
    Matières premières moins matières premières alimentaires et énergétiques +3,7%
    Prestations des autres professionnels de santé +3,7%
    Entrées +3,7%
    Tomates +3,6%
    Habillement +3,6%
    Commodités récréatives +3,6 %
    Déménagement, stockage, frais de transport +3,5%
    Frais de scolarité au primaire et au secondaire +3,5 %
    Matériel et fournitures photographiques +3,3%
    Autres hébergements hors domicile dont hôtels et motels +3,3 %
    Lectures récréatives +3,2%
    Hébergement hors domicile +3,2%
    Services hospitaliers et annexes +3,2%
    Frais de port +3,2%
    Produits de soins médicaux +3,1%
    Services professionnels +3,1%
    Transport intra-urbain +3,1%
    Frais de scolarité, autres frais scolaires et garde d'enfants +3,1 %
    Vin à la maison +3,0%
    Services hospitaliers ambulatoires +3,0%
    Autres électroménagers +2,9%
    Services hospitaliers +2,9%
    Mobilier de chambre +2,8%
    Médicaments +2,8%
    Logement à l'école, hors pension +2,8%
    Services hospitaliers hospitaliers +2,8%
    Articles de sport +2,7%
    Chemises et pulls homme +2,5%
    Habillage de fenêtres +2,4%
    Chaussures homme +2,4%
    Produits de transport moins carburant +2,4 %
    Compte courant et autres services bancaires +2,4%
    Habillement Homme +2,3%
    Chaussures +2,3%
    Chaussures garçons et filles +2,3%
    Droits d'immatriculation et d'immatriculation des véhicules à moteur de l'État + 2,3 %
    Bacon, saucisson petit-déjeuner et produits dérivés +2,2%
    Chaussures femme +2,2%
    Services d'éducation et de communication +2,2%
    Matériel photographique +2,0%
    Frais de scolarité et frais universitaires +2,0 %
    Médicaments + 1,9 %
    Musique enregistrée et abonnements musique +1,8%
    Lunettes et soin des yeux +1,8%
    Redevances automobiles +1,8%

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  22. Électroménager +1,7 %
    Spiritueux distillés à domicile +1,7%
    Whisky à domicile +1,7%
    Spiritueux hors whisky à domicile +1,7%
    Côtelettes de porc +1,6%
    Autres transports interurbains +1,6 %
    Pantalons et shorts homme +1,5%
    Prestations médicales +1,5%
    Téléphonie +1,5%
    Matériel audio +1,4%
    Autres biens de loisirs +1,4%
    Services Internet et fournisseurs d'informations électroniques +1,4%
    Habillement homme et garçon +1,3%
    Porc +1,2%
    Viandes +1,1%
    Robes femme +1,1%
    Véhicules de sport dont vélos +1,1%
    Frais de stationnement et péages +1,1%
    Frais de scolarité et frais des écoles techniques et commerciales + 1,1 %

    Services de téléphonie sans fil(1)(2) +1,0 %
    Machines à coudre, tissus et fournitures +0,9%
    Stationnement et autres frais +0,9 %
    Articles culinaires et arts de la table non électriques + 0,8 %
    Sous-vêtements, vêtements de nuit, maillots de bain et accessoires pour hommes + 0,8 %
    Jouets +0,6%
    Assurance locataires et habitation +0,6%
    Transport collectif intra-urbain +0,4%
    Equipement laverie +0,1%
    Livres récréatifs 0,0 %
    Boeuf haché non cuit -1.0%
    Gros électroménagers -1,0 %
    Lardons et produits dérivés -1,1%
    Habillement garçon -1,7%
    Logiciels et accessoires informatiques -1,7%
    Vêtements d'extérieur pour femmes -2,0%
    Autos et camions d'occasion -3,3 %
    Tarif du navire -3,6 %
    Ordinateurs, périphériques et assistants domestiques intelligents -4,4 %
    Autre porc, y compris les rôtis, les steaks et les côtes -5,1 %
    Viande bovine -5,2%
    Location de voitures et de camions -6,0 %
    Autres viandes bovines non cuites -7,2%
    Entrée aux événements sportifs -7,2%
    Steaks de bœuf crus -7,4%
    Rôtis de boeuf crus -8,1%
    Produits vidéo et audio -8,2%
    Autres équipements vidéo -9,5%
    Produits d'éducation et de communication -9,7%
    Produits des technologies de l'information -11,5%
    Télévisions -17,0%
    Matériel téléphonique, calculatrices et autres articles d'information pour les consommateurs -17,9 %
    Smartphones -23,4%
    Opérations ménagères -
    Services de jardinage et d'entretien des pelouses -
    Réparation d'articles ménagers -
    Voitures et camions loués -
    Tous les articles +7,1%

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  23. Les repas scolaires sont devenus plus chers cette année avec la fin d'un programme fédéral de dérogation. Le programme a fourni à chaque écolier du pays des repas gratuits.

    Après les déjeuners scolaires, le mazout et les œufs occupent une place de choix en termes de fortes hausses de leurs prix, augmentant respectivement de 66 % et 49 %. Quelques autres augmentations notables : les tarifs aériens ont augmenté de 36 %, les meubles de salon, de cuisine et de salle à manger de 10,3 % et les boissons alcoolisées à la maison de 4,5 %.

    Cependant, un certain nombre de biens ont en fait baissé dans l'indice, notamment :

    Smartphones : -23 %

    Télévisions : -17 %

    Rôtis de bœuf crus : -8 %

    Entrée aux événements sportifs : -7 %

    Location de voitures et camions : -6 %

    Fait intéressant, les smartphones ne deviennent pas réellement moins chers, mais le BLS s'adapte aux produits dont la qualité s'améliore rapidement d'une année sur l'autre. Habituellement, la plupart des articles sont identiques d'une année à l'autre, mais la qualité des smartphones s'améliore, c'est pourquoi leur prix semble se dégonfler plutôt que de gonfler.

    Inflation aux États-Unis

    Dans l'ensemble, les articles du panier de biens selon l'indice des prix à la consommation ont augmenté collectivement de 7,1 % depuis l'an dernier, ce qui rend plus difficile l'achat de produits alimentaires et énergétiques nécessaires.

    Voici un autre aperçu de la façon dont chaque catégorie globale a augmenté, entre novembre 2021 et novembre 2022 :

    Alimentation : +10,6 %

    Énergie : +13,1 %

    Tous les autres postes hors alimentation et énergie : +6,0 %

    L'achat de vos ingrédients quotidiens pour cuisiner, de l'énergie pour chauffer votre maison et de tous les autres articles qui font partie de la vie quotidienne est devenu de plus en plus cher. Dans un effort pour contrer les pressions inflationnistes, la Réserve fédérale américaine a augmenté les taux d'intérêt pour rendre les emprunts plus difficiles afin de faire baisser la demande.

    À l'approche de 2023, beaucoup pensent qu'une récession est en route et que de nombreux ménages devront continuer à emprunter à des taux plus élevés pour suivre le rythme des achats de biens de base. Du côté positif, certains experts prévoient que même s'il y aura un ralentissement économique, il sera bref et n'aura pas d'impact profond sur l'économie comme les précédents.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/us-inflation-how-much-have-prices-increased-2022

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  24. Les champs du futur : l’industrie agricole européenne à l’aube d’une nouvelle révolution robotique

    Des bœufs aux chevaux, puis des tracteurs aux robots : l’industrie agricole européenne est sur le point de connaître une mutation technologique introduite cette fois-ci par l’intelligence artificielle.


    Par Horizon
    le 2 janvier 2023 à 15h24


    Dans la province de Zélande, aux Pays-Bas, un robot se déplace dans les champs de tournesols, d'échalotes et d'oignons. Une machine qui désherbe de manière autonome et sans relâche, jour après jour.

    « Farmdroid » a considérablement facilité la vie de Mark Buijze, à la tête d’une exploitation agricole bio comptant 50 vaches et 15 hectares de terres. M. Buijze est un des très rares propriétaires de robots que compte l'agriculture européenne.

    Les robots à la rescousse !

    Son ouvrier agricole électronique est équipé d'un GPS. Multifonction, il est capable de passer du désherbage au semis. M. Buijze n’a qu’à appuyer sur un bouton pour saisir les coordonnées et Farmdroid se charge du reste.

    « Grâce au robot, le désherbage peut être effectué en un ou deux jours, alors qu’à la main il occupait quatre à cinq ouvriers pendant plusieurs semaines », a-t-il expliqué. « La machine peut, grâce au GPS, identifier l'endroit exact où elle doit intervenir dans le champ. »

    La fin de la cueillette et le début de l'agriculture, il y a environ 12 000 ans, ont permis d'améliorer considérablement la qualité de vie des populations. Rares sont les secteurs dont l'histoire est aussi riche que celle de l'agriculture, qui a évolué au fil des siècles au rythme des avancées technologiques.

    Néanmoins, le secteur agricole a tardé à adopter une des grandes tendances technologiques de ces dernières années : l'intelligence artificielle (IA). Déjà couramment utilisée sous différentes formes allant des chatbots et de la reconnaissance faciale au freinage des véhicules et à la gestion des entrepôts, l'IA n’en est encore qu’à ses balbutiements dans le secteur agricole.

    Aujourd’hui, les progrès de la recherche incitent les agriculteurs à se tourner vers les robots qui peuvent accomplir toutes sortes de tâches habituellement confiées aux ouvriers agricoles ou détecter rapidement les maladies des cultures.

    Économique et écologique
    Pour l'agronome français Bertrand Pinel, l'agriculture européenne devra utiliser les robots de manière bien plus intensive pour être productive, compétitive et écologique, trois objectifs prioritaires de l'UE pour un secteur générant environ 190 milliards d'euros par an.

    Le recours aux robots s'explique notamment par la nécessité de renoncer à l'utilisation d'herbicides en procédant à l'élimination des mauvaises herbes à l'ancienne, le désherbage mécanique, une tâche non seulement fastidieuse mais aussi pénible et longue. La pénurie fréquente d’ouvriers disponibles pour tailler les vignes constitue une autre motivation à s’équiper de robots.

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  25. « Dans les deux cas, les robots apporteraient une aide précieuse », a souligné M. Pinel, responsable des projets de recherche et développement chez Terrena Innovation, une entreprise française. « Telle est notre vision de l'avenir de l'agriculture européenne. »

    M. Pinel est impliqué dans le projet ROBS4CROPS, financé par l'UE, qui mobilise 50 experts et 16 partenaires institutionnels, et propose la technologie robotique inédite utilisée dans des exploitations partenaires aux Pays-Bas, en Grèce, en Espagne et en France.

    « Cette initiative est tout à fait innovante », a commenté Frits van Evert, coordinateur du projet. « C’est une grande première. »

    La fin des mauvaises herbes

    En agriculture, l'IA semble intéressante pour les tâches devant être répétées tout au long de l'année, comme le désherbage, estime M. Evert, chercheur principal en agriculture de précision à l'université de Wageningen, aux Pays-Bas.

    « Dans le cas d'une culture comme celle des pommes de terre, les semis sont généralement effectués une fois par an au printemps et les récoltes à l'automne, mais le désherbage doit être répété entre six et dix fois par an », a-t-il expliqué.

    Sans parler de la rapidité des robots. Les machines travaillent souvent plus vite que n'importe quel être humain.

    Francisco Javier Nieto De Santos, coordinateur du projet FLEXIGROBOTS financé par l'UE, est particulièrement impressionné par un prototype de robot qui prélève des échantillons de sol. Lorsqu'elle est effectuée à la main, cette opération nécessite un soin particulier afin d’éviter la contamination, puis exige d’envoyer l’échantillon au laboratoire et d’attendre plusieurs jours pour obtenir les résultats.

    « Ce robot permet de tout faire dans le champ », a souligné M. De Santos. « Il peut prélever plusieurs échantillons par heure et fournir des résultats en quelques minutes. »

    À terme, a-t-il ajouté, les avantages de ces technologies dépasseront le cadre du monde agricole et bénéficieront au grand public, grâce à sa capacité à augmenter la production alimentaire générale.

    Un travail manuel qui ne trouve pas preneurs
    Les robots agricoles peuvent être sollicités en raison de leur capacité à travailler plus vite qu’un humain, mais aussi en raison de l'absence de main d’œuvre disponible pour effectuer ce travail.

    Avant même que l’inflation et les prix des engrais ne commencent à grimper en flèche en 2021, dans un contexte de pénurie d'énergie aggravé par la guerre en Ukraine, les agriculteurs européens étaient déjà confrontés à un autre problème : celui de trouver une main-d'œuvre suffisante, et notamment des travailleurs saisonniers.

    « La main-d'œuvre est un des principaux problèmes du secteur agricole », a rappelé M. Evert. « Elle coûte cher et est difficile à trouver de nos jours, car de moins en moins de personnes veulent travailler dans l'agriculture. Nous sommes convaincus que les robots, et notamment les tracteurs autonomes, peuvent être la solution au problème. »

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  26. Le projet ROBS4CROPS a pour but d’élaborer un système robotique permettant de moderniser les équipements agricoles existants afin qu'ils puissent fonctionner en harmonie avec les robots agricoles.

    Pour que le système fonctionne, les données brutes, telles que les images ou les vidéos, doivent d'abord être étiquetées par les chercheurs de manière à pouvoir être lues par l'IA.

    Des tracteurs sans conducteur

    Le système utilise ensuite ces immenses quantités d'informations pour prendre des décisions « intelligentes » et faire des prévisions, un peu comme le correcteur automatique dans les ordinateurs portables et des téléphones mobiles.

    Un système de contrôle agricole, pouvant être considéré comme le « cerveau » des opérations, détermine ce qu’il faut faire ensuite ou la quantité de travail restant à effectuer, l'endroit où la tâche doit être réalisée, le tout à partir d'informations issues de cartes ou d'instructions fournies par l'agriculteur.

    Les engins, qu'il s'agisse de tracteurs autonomes ou d'outils intelligents tels que des sarcleuses équipées de capteurs et de caméras, recueillent et stockent davantage d'informations au fur et à mesure qu’ils sont utilisés, devenant ainsi encore plus « intelligents ».

    Des cultures protégées

    Basée en Espagne, la société FLEXIGROBOTS a pour mission de faciliter l'utilisation par les agriculteurs des robots existants pour de multiples tâches, notamment la détection des maladies.

    Prenons l'exemple des drones. Grâce à leur capacité à repérer une plante malade depuis les airs, ces engins peuvent aider les agriculteurs à détecter rapidement les cultures malades et à prévenir une infestation plus étendue.

    « Si vous ne pouvez pas détecter les maladies à un stade précoce, vous pouvez perdre la production d'un champ entier, d'une année entière », a déclaré M. De Santos. « Notre seule solution est de retirer la plante infectée. »

    Par exemple, il n'existe aucun traitement contre le mildiou, un type de champignon. Il est donc crucial d'identifier et d'éliminer rapidement les plantes malades.

    La mise en commun des informations est essentielle pour rendre l'ensemble du système plus intelligent, a expliqué M. De Santos. Le fait de partager les données recueillies par les drones avec des robots ou d'intégrer ces informations à des modèles rend ces machines encore plus « intelligentes ».

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  27. Même si M. Pinel, agronome, ne croit pas que l'agriculture sera un jour totalement dépendante de la robotique, il est certain qu’elle va la révolutionner.

    « Nous espérons qu’un jour les agriculteurs pourront se contenter d’installer quelques petits robots dans les champs et de les laisser travailler toute la journée », a-t-il déclaré.

    Les recherches réalisées dans le cadre de cet article ont été financées par l’UE. Ce document a été publié initialement dans Horizon, le magazine de l’UE dédié à la recherche et à l’innovation. 

    https://www.economiematin.fr/agricole-activite-robot-europe-innovation-horizon

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    1. (...) Par exemple, il n'existe aucun traitement contre le mildiou, un type de champignon. Il est donc crucial d'identifier et d'éliminer rapidement les plantes malades. (...)

      D'où il sort çà ?? Le mildiou se combat avec du cuivre (bouillie bordelaise).

      Pourquoi la robotisation est une idiotie ?
      Des robots électrique vont désherber ! HAHAHAHA ! De l'électricité il y en a pas ! Par contre, du pétrole, de gaz et du charbon il y en a !

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  28. Réduction des pesticides de 50 % à l'horizon 2030 : une vraie étude d'impact est demandée


    2 Janvier 2023


    (Source)
    La majorité des États membres – le bon sens – l'a finalement emporté : la Commission devra produire, sous six mois, une « nouvelle » étude d'impact de sa proposition fort contestée de règlement sur l'utilisation durable des pesticides. Les guillemets s'imposent, le document existant répondant difficilement à la notion d'étude d'impact.

    Ce résultat a été obtenu de haute lutte et, semble-t-il, grâce à quelques manœuvres acrobatiques de la présidence tchèque. Selon Agrarheute, la décision avait été acquise le 10 décembre 2022 en réunion du Comité des Représentants Permanents (COREPER). Mais, lors de la réunion du Conseil Agripêche des 11 et 12 décembre 2022, l'Allemagne, l'Espagne et la France s'étaient opposées à la demande, la première faisant valoir le risque de retard dans la mise en œuvre du projet – de l'ambitieux, irréaliste et irresponsable projet, à notre sens.

    (Source)

    Nous n'avons pas cherché à connaître les motivations de la position française. Rappelons tout de même que depuis 2007 – le Grenelle de l'Environnement qui constitue le prix qu'a payé le candidat Nicolas Sarkozy pour s'attirer les bonnes grâces de Nicolas Hulot – nous avons un « plan Écophyto » qui devrait au minimum interroger sur le réalisme et la pertinence d'un objectif de réduction des pesticides de 50 %.

    (Source)

    Un rapport sur l'état d'avancement des travaux daté du 8 décembre 2022 détaille les principaux points de préoccupation de la majorité des États membres. Du coup – expression devenue à la mode et remplaçant quelques adverbes et expressions adverbiales – nous avons une documentation sur les menaces qui pèsent sur l'agriculture et l'approvisionnement alimentaire européens :

    « […] Toutefois, la plupart d'entre eux [des États membres] ont souligné que la sécurité alimentaire devait rester un objectif central de l'agriculture. Les objectifs et mesures de réduction proposés ne doivent pas compromettre la production et la compétitivité du secteur agricole de l'UE, ce qui pourrait conduire à une dépendance vis-à-vis des importations de denrées alimentaires qui pourraient ne pas répondre aux normes de l'UE. »

    Arrêtons-nous un instant sur cette citation. Si l'auteur a bien mesuré la portée du propos, et il n'y a pas de raison d'en douter, le projet de la Commission fait fi de la sécurité alimentaire européenne.

    Il a été noté que l'« étude d'impact » actuellement disponible avait été établie avant le déclenchement de la guerre en Ukraine et les crises des prix de l'énergie et de l'alimentation. Pour les ONG et « ONG », leurs alliés et idiots utiles, c'est là pain bénit : des États membres – oups ! De puissants lobbies – se servent de ce « prétexte » pour torpiller le projet.

    (Source)

    Un autre point sensible important est constitué par les « zones sensibles » dans lesquelles l'emploi de tous les produits de protection des plantes serait interdite, des dérogations limitées étant possibles (article 18 de la proposition).

    Voilà quoi pourraient correspondre les zones sensibles en Allemagne. (Source)

    Il y a aussi, parmi d'autres préoccupations, les charges administratives et le soutien financier.

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  29. Le secrétariat du Conseil de l'Union Européenne a produit un communiqué diplomatiquement correct : « Les États membres se félicitent des objectifs de la proposition »... mais... Il est vrai qu'aucun État membre n'a fait d'esclandre. Donc :

    « Le rapport sur l'état d'avancement des travaux présenté par la présidence tchèque lors du Conseil "Agriculture et pêche" du 12 décembre relève que l'analyse d'impact de la Commission ne fournit pas d'analyses quantitatives adéquates concernant l'incidence potentielle de la proposition sur le secteur agricole de l'UE et les risques de dépendance alimentaire accrue, pas plus qu'elle ne tient compte de l'incidence de la proposition d'interdiction des produits phytopharmaceutiques dans les zones sensibles, compte tenu notamment de la disponibilité limitée de solutions de substitution à faible risque aux pesticides chimiques ordinaires, et en l'absence d'exigences similaires pour les denrées alimentaires importées sur le marché de l'UE. Il souligne en outre que les objectifs de réduction au niveau national devraient être fixés de manière souple, en tenant compte des conditions propres à chaque État membre. »

    Le projet de décision du Conseil – on peut considérer qu'il a été adopté en l'état – est disponible ici.

    On y voit que les États membres ont été très directifs.

    C'est, rappelons-le, à l'exception d'une Allemagne dont le ministère de l'Agriculture est aux mains de Verts fortement idéologisés, de l'Espagne et d'une France dont on peine à discerner l'ossature de sa politique agricole ; ces États sont d'avis qu'il faut foncer dans le mur en klaxonnant...

    Voici les trois premiers paragraphes des instructions détaillées : l'étude d'impact doit porter sur :

    « a) les incidences quantitatives de la proposition de la Commission sur la production alimentaire dans l'Union, qu'il convient d'établir, en particulier, en quantifiant l'impact sur les rendements agricoles pour les principaux types de cultures et de produits végétaux concernés, considérés individuellement, tout en tenant compte, dans le contexte de la fixation des objectifs nationaux de réduction, des situations propres aux différents États membres, y compris les différences entre régions climatiques ;

    b) l'analyse des conséquences de la proposition de la Commission sur la disponibilité des denrées alimentaires et des aliments pour animaux dans l'Union, évaluée sur la base des principaux types de produits de base destinés à l'alimentation humaine ou animale, ainsi que de la possibilité d'une dépendance accrue à l'égard des importations de denrées alimentaires et d'aliments pour animaux pour les principaux types de cultures, et de l'incidence sur les exportations de denrées alimentaires et d'aliments pour animaux en provenance de l'Union ;

    c) les répercussions potentielles sur les prix des denrées alimentaires et des aliments pour animaux en général, et ceux des produits alimentaires de base en particulier, en lien avec les incidences visées au point a) ; »

    Dans cette affaire, les anciens pays de l'Est, en particulier la Pologne et la présidence tchèque, ont joué un rôle moteur. Le souvenir des gènes alimentaires y est sans doute plus vivace que dans une Europe occidentale qui a pourtant vu quelques rayons vides dans ses supermarchés au début de la guerre en Ukraine et aurait dû comprendre que l'abondance n'est pas un acquis sociétal.

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  30. Cette décision est donc fort bienvenue.

    Il reste à espérer que l'étude sera réalisée de bonne foi et avec compétence. Mais le délai imparti est fort court pour une analyse qui devrait descendre au niveau des « principaux types de cultures » et tenir compte des diverses particularités des régions de production.

    On ne saurait que trop recommander que les diverses entités de la filière agricole – comme les chambres d'agriculture et les instituts techniques – se penchent sur la question et produisent des études pouvant servir d'étalons pour mesurer la pertinence de l'étude d'impact de la Commission.

    Ce, d'autant plus que, si nous avons bien compris, c'est la DG Santé et Sécurité Alimentaire qui est federführend.

    https://seppi.over-blog.com/2023/01/reduction-des-pesticides-de-50-a-l-horizon-2030-une-vraie-etude-d-impact-est-demandee.html

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    1. Imaginez que ce génocide agricole soit appliqué aux pharmacies ! 50 % de médicaments en moins ! Vous êtes content ?
      Pour les cultures c'est pareil, sans remèdes contre les maladies et attaques d'insectes destructeurs il n'y a plus aucune plante qui ne peut pousser ! Et là, quand l'étal de l'épicier est vide... il sera trop tard pour agir !
      Remarquez que le chiffre de 100 % de produits importés est proche de quelques mois ! Tous ces produits importés ont poussé grâce aux engrais et produits de traitements autorisés en pays étrangers.

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  31. Protection des plantes : l'UE devra attendre l'étude sur l'objectif de 50 pour cent de réduction


    2 Janvier 2023
    Johanna Michel, AGRARHEUTE*


    Avant que l'objectif de 50 % de réduction des produits phytosanitaires ne soit inscrit dans la législation européenne, l'UE devra bien attendre qu'une nouvelle étude d'impact soit disponible.

    Les 11 et 12 décembre, le Conseil des Ministres de l'Agriculture de l'UE s'est réuni pour la dernière fois de l'année. Les discussions ont porté sur les conséquences pour les agriculteurs des obligations et des interdictions prévues par la politique agricole européenne. [L'article d'origine a été publié le 13 décembre 2022. On trouvera un compte rendu des résultats ici.]

    Ainsi, le règlement européen sur l'utilisation durable des produits phytosanitaires (SUR) était à l'ordre du jour du conseil agricole. Il doit mettre en œuvre l'objectif de réduction de 50 % des produits phytosanitaires d'ici 2030. Pour le règlement prévu, les responsables de nombreux pays de l'UE exigent une analyse d'impact, d'autres veulent l'adopter le plus rapidement possible. Dans les jours à venir, les voix critiques s'imposeront probablement, de sorte que l'objectif de 50 pour cent devra d'abord faire l'objet d'une nouvelle étude.

    En outre, la mise en œuvre des plans stratégiques nationaux a été partiellement critiquée en raison de la situation en Ukraine. Le commissaire européen à l'agriculture Janusz Wojciechowski a ensuite expliqué quelles étaient les possibilités de modifier ou d'adapter les plans stratégiques l'année prochaine.

    Réduction des produits phytosanitaires : l'Allemagne s'oppose à une étude d'impact élargie

    Le deuxième jour du conseil agricole, l'Allemagne était représentée par la secrétaire d'État Ophelia Nick (Verts). Mme Nick a averti que la réduction de l'utilisation des produits phytosanitaires pourrait être retardée si l'on attendait les résultats d'une étude d'impact élargie. Selon elle, les agriculteurs ont besoin de savoir rapidement comment ils pourront atteindre la réduction de moitié des produits phytosanitaires d'ici 2030.

    La politicienne des Verts a toutefois reconnu que la proposition de la Commission présentait encore des lacunes. Par exemple, il n'est pas clair dans quelles régions l'utilisation de produits phytosanitaires doit être totalement interdite. Outre l'Allemagne, la France et l'Espagne se sont également prononcées contre l'étude d'impact.

    Une majorité en faveur de l'analyse d'impact

    Toutefois, la République Tchèque, qui assure actuellement la présidence du Conseil de l'Union Européenne, avait obtenu un vote samedi [10 décembre 2022] au sein du Comité des Représentants Permanents (COREPER) des États membres. La majorité s'est prononcée en faveur de la réalisation d'une étude d'impact élargie. Lundi (19 décembre), le Conseil de l'Énergie de l'UE doit officiellement confirmer la demande, a déclaré le ministre tchèque de l'Agriculture, Zdeněk Nekula. La Commission disposera alors de six mois pour réaliser une étude d'impact. Les conséquences de la guerre en Ukraine doivent être prises en compte de manière particulière.

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  32. La commissaire européenne à la santé, Stella Kyriakides, a promis d'examiner attentivement la demande de la majorité en vertu de l'article 241 du Traité sur le Fonctionnement de l'Union Européenne. Mme Kyriakides a qualifié les négociations sur le règlement de difficiles et compliquées. « Nous reconnaissons pleinement les préoccupations aiguës concernant la hausse des prix de l'énergie, de l'agriculture et des denrées alimentaires provoquée par la guerre de la Russie en Ukraine », a déclaré la commissaire à la santé. Mais c'est la dépendance excessive aux pesticides qui menace la sécurité alimentaire et la rentabilité des exploitations agricoles, a-t-elle ajouté.

    Mais ce sont surtout les États membres d'Europe centrale et orientale qui ont fait référence à la forte inflation des denrées alimentaires et ont demandé l'étude d'impact. Outre la Pologne, l'Italie a fait remarquer que si les exigences de Bruxelles en matière de protection phytosanitaire étaient encore renforcées, les produits importés de pays tiers deviendraient plus compétitifs par rapport aux produits fabriqués dans l'UE. Le ministre roumain de l'Agriculture, Petre Daea, a insisté sur la nécessité d'obtenir des compensations économiques à partir des fonds de la politique agricole commune (PAC) et des aides de l'UE.

    Chaos programmé dans la mise en œuvre de la nouvelle PAC

    Ophelia Nick, secrétaire d'État parlementaire au Ministère Fédéral de l'Agriculture.

    Le commissaire européen à l'agriculture, Janusz Wojciechowski, a expliqué aux délégués que les plans stratégiques nationaux pour la mise en œuvre de la PAC à partir de 2023 pourraient être corrigés et adaptés aux nouveaux défis. Chaque État membre peut soumettre un total de huit demandes de modification par période de financement. Plusieurs demandes de modification sont possibles par demande, mais il n'est prévu qu'une seule demande de modification par an.

    Selon M. Wojciechowski, il suffit d'informer la Commission des corrections d'erreurs mineures. En février 2023, un acte juridique correspondant devrait permettre les adaptations et les corrections.

    La secrétaire d'État Nick a souligné le calendrier extrêmement serré de la mise en œuvre de la PAC en Allemagne. Les préparatifs dans les Länder pour l'introduction du nouveau système et l'information des agriculteurs sur les nouveautés ne pourront être menés à bien qu'au prix d'efforts considérables. Selon Mme Nick, c'est surtout la programmation du système informatique nécessaire qui pose encore problème. Dans ce domaine, les autorités attendent encore les directives de la Commission Européenne. 2023 doit encore être considérée comme une année exceptionnelle, a souligné la politicienne des Verts.

    Les ministres en faveur de normes uniformes de bien-être animal

    Par ailleurs, les ministres de l'Agriculture se sont prononcés en faveur d'une révision aussi rapide que possible de la législation européenne sur le bien-être des animaux et d'une approche harmonisée. Les agriculteurs et les distributeurs de denrées alimentaires doivent pouvoir se livrer à une concurrence loyale au sein de l'UE. Mme Kyriakides a également estimé qu'il était nécessaire d'améliorer et d'uniformiser les normes européennes en matière de bien-être animal.

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  33. Les ministres ont rappelé que des délais raisonnables et un soutien financier étaient nécessaires pour améliorer le bien-être des animaux dans leur pays. La secrétaire d'État Nick a déclaré que la révision des règles était nécessaire et ne devait pas être considérée dans le contexte de la situation économique actuelle. « En période de difficultés économiques, nous ne devrions pas négliger le bien-être des animaux », a déclaré Mme Nick.

    Avec du matériel de AgE

    https://seppi.over-blog.com/2023/01/protection-des-plantes-l-ue-devra-attendre-l-etude-sur-l-objectif-de-50-pour-cent-de-reduction.html

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    1. Votre enfant est malade. Les médicaments nécessaires ont été retirés des pharmacies. Votre enfant meurt. Vous criez "Vive l'hégémonie dictée par Bruxelles !" ?

      Les dictateurs nazis parlent du déclins du nombre d'abeilles mais refusent de reconnaître que les millions d'éoliennes tuent tous les jours des milliards de milliards d'abeilles et d'oiseaux dans le monde !

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  34. Apparemment, certains médecins ont l'intention de gérer la situation en répondant : « Je risque de perdre ma licence si je vous exprime mon opinion honnête. Par conséquent, je n'exprimerai pas mon opinion et vous laisserai prendre votre propre décision.

    Si vous préférez simplement parler à un médecin qui peut vous parler librement, ma femme et moi pouvons nous porter garants de The Wellness Company, pour laquelle le Dr McCullough est directeur scientifique. Nous sommes très satisfaits des services de télésanté que nous avons reçus de leur part.

    Ils ne font pas de publicité avec moi et ils n'ont pas de programme d'affiliation ; Je pense juste que ça va t'aider :

    http://www.twc.health

    Enfin, si votre résolution du Nouvel An est de créer une agitation secondaire qu'ils ne peuvent pas vous enlever, vous apprécierez mon cours accéléré gratuit de 30 minutes sur la façon de le faire :

    http://www.tomwoods.com/crashcourse

    https://www.lewrockwell.com/2023/01/thomas-woods/damar-hamlin-what-youre-not-allowed-to-say/

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    1. Tom Woods n'est ni médecin ni scientifique, mais sans l'être il peut ou pourrait expliquer la vérité ou la fermer. La vérité c'est quoi ? La vérité est que depuis le début les 'autorités' comme leurs merdias se sont autorisées à bien mettre les choses au point: il s'agit d'un virus !

      S'il existe des cons qui ne savent ce que c'est qu'ils prennent un dictionnaire !

      Donc, en premier était la vérité (qu'il s'agissait d'une poussière), mais... mais là où çà a croché c'est quand ces gros cons qui dirigent ont proposé un... vaccin anti-poussières !! Le gag ?
      Là, n'importe quel docteur de quartier aurait dû les reprendre pour leur signaler qu'une poussière (appelée virus) n'est PAS à confondre avec le mot microbe ! Un microbe lui il est vivant ! Lui il apporte des maladies !

      Mais, comme ces cons de docteurs n'avaient déjà rien dit sur le 'virus de la grippe' non rectifié en 'microbe de la grippe' ils ont préféré ne rien dire et se conformer à la dictature hégémoniste !
      Hégémoniste depuis le presque début car, le corps médical et scientifique s'en est aperçu dès le début ! Çà sentait pas bon ! Et puis sont arrivées les révélations des docteures Carrie Madej et d'Astrid Stückelberger sur la composition des flacons injectables !! Là, le doute n'était plus permis ! C'était des piqûres létales qui étaient proposées !! Le Plan Dépopulation21 était en route.

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  35. Un quart des États-Unis pensent connaître quelqu'un qui est mort des vaccins Covid


    Par Jo Nova
    January 4th, 202


    Semer le terrain pour une révolution ?

    Malgré la censure et le bâillonnement des médecins, d'une manière ou d'une autre, contre toute attente, près de la moitié de la population américaine pense qu'il est au moins "assez probable" que les vaccins Covid aient tué des gens. Étonnamment, plus d'un quart ont déclaré connaître personnellement quelqu'un qui est décédé et dont le décès pourrait avoir été lié à la vaccination.

    La population est désormais fortement divisée. Quand quelqu'un meurt de façon inattendue, la moitié de la nation se demande si cela a été causé par les vaccins, mais un autre tiers pense que ces personnes ne font que propager des complots.

    Il s'ensuit (sûrement) que certaines dalles importantes de l'Occident ont eu une profonde perte de confiance dans nos établissements de santé et le gouvernement. C'est aussi une mise en accusation de la plupart des médias traditionnels qui n'ont pas du tout mentionné les effets secondaires des vaccins. La moitié de la population sait qu'elle ne dit pas la vérité. Comment est-ce durable?

    "Mort subitement" ? Plus d'1 sur 4 pense que quelqu'un qu'ils connaissent est mort des vaccins COVID-19
    Rapports Rasmussen

    Vingt-huit pour cent (28 %) des adultes disent connaître personnellement quelqu'un dont ils pensent que le décès a pu être causé par les effets secondaires des vaccins COVID-19, tandis que 61 % ne le savent pas et 10 % ne sont pas sûrs.

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  36. Le documentaire Died Suddenly a été critiqué comme faisant la promotion de théories du complot anti-vaccin « démystifiées », mais a été vu par quelque 15 millions de personnes.

    Quarante-huit pour cent (48 %) des Américains pensent qu'il existe des raisons légitimes de s'inquiéter de la sécurité des vaccins COVID-19, tandis que 37 % pensent que les personnes qui s'inquiètent pour la sécurité des vaccins propagent des théories du complot. 15 % ne sont pas sûrs.

    Combien de vies ont été touchées par des « morts inexpliquées » ?
    Quelque part entre un cinquième et la moitié de la population peut connaître « une mort inexpliquée ». Deux fois plus de personnes non vaccinées déclarent le faire :

    De même, alors que 45 % de ceux qui n'ont pas été vaccinés contre le COVID-19 pensent qu'une personne qu'ils connaissent personnellement pourrait être décédée des effets secondaires du vaccin, seuls 22 % des adultes vaccinés le pensent.

    Les non vaccinés peuvent surestimer les décès tout comme les vaccinés peuvent les sous-estimer. Quoi qu'il en soit, si une personne sur quatre connaît quelqu'un qui est décédé de façon inattendue, cela représente encore énormément de décès.

    Environ 7 % des vaccinés disent avoir eu un effet secondaire majeur
    Il y a un mois, dans une enquête Rasmussen similaire, les résultats sont sortis suggérant qu'une grande partie de la population peut voir le côté obscur des vaccins pour les raisons les plus tristes :

    Soixante-huit pour cent (68 %) des adultes déclarent avoir été vaccinés contre la COVID-19, et une majorité (56 %) des adultes vaccinés ne signalent aucun effet secondaire du vaccin. Trente-quatre pour cent (34 %) disent avoir eu des effets secondaires mineurs et sept pour cent (7 %) ont signalé des effets secondaires majeurs du vaccin.

    La signification de "majeur" n'est pas claire. Mais si 7 % des 70 % qui sont vaccinés ont eu une réaction majeure, cela représente 5 % de l'ensemble de la population. Avec une taille de ménage de trois personnes aux États-Unis, cela signifie que 15 % de la population vit avec quelqu'un qui a eu une mauvaise réaction.

    Les inquiétudes concernant les vaccins se propagent des deux côtés de la politique

    Les inquiétudes concernant les vaccins penchent davantage vers la droite, mais pas moins de 44 % des démocrates pensent désormais qu'il existe des raisons légitimes de s'inquiéter de la sécurité des vaccins. Vous souvenez-vous de l'époque où les "anti-vaccins" étaient une minorité marginale ? Plus maintenant..

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  37. Quarante-six pour cent (46 %) des adultes qui se sont fait vacciner contre le COVID-19 pensent que les personnes qui s'inquiètent de la sécurité des vaccins propagent des théories du complot, mais seulement 15 % des non vaccinés partagent cette croyance. Soixante-neuf pour cent (69 %) de ceux qui n'ont pas reçu le vaccin COVID-19 pensent qu'il y a des raisons légitimes de s'inquiéter de la sécurité des vaccins COVID-19, tout comme 40 % de ceux qui se sont fait vacciner contre le virus .

    Plus de démocrates (8 %) que de républicains (63 %) ou de personnes non affiliées à l'un ou l'autre des principaux partis (64 %) ont été vaccinés contre le COVID-19. Plus de républicains (60%) que de démocrates (44 %) ou de personnes non affiliées (43 %) pensent qu'il y a des raisons légitimes de s'inquiéter de la sécurité des vaccins COVID-19. Cependant, il y a moins de différence politique dans le nombre de personnes soupçonnant qu'une personne qu'ils connaissent pourrait être décédée des effets secondaires du vaccin - 33 % des démocrates et 26 % des républicains et des non affiliés.

    Les pauvres doutent des experts tandis que les riches appellent les pauvres théoriciens du complot
    La tendance à douter des « conseils d'experts » se répand plus rapidement dans les groupes à faible revenu.

    Les électeurs dont les revenus annuels sont inférieurs à 30 000 dollars sont les plus susceptibles de penser qu'il existe des raisons légitimes de s'inquiéter de la sécurité des vaccins COVID-19, tandis que ceux dont les revenus sont supérieurs à 200 000 dollars sont les plus susceptibles de croire que les personnes qui s'inquiètent de la sécurité des vaccins propagent des théories du complot.

    Aux États-Unis, 71 % des adultes déclarent être vaccinés, et 26 % disent ne pas l'être, et pour dire que les saignements sont évidents, les personnes qui n'ont pas été vaccinées sont également les plus préoccupées par les risques sanitaires de la vaccination. Ceux qui se sont fait vacciner ne sont que deux fois moins susceptibles de penser que les vaccins sont liés aux décès. Néanmoins, c'est près de 4 personnes vaccinées sur 10 qui pensent que les injections peuvent tuer. C'est beaucoup de monde.

    h/t Matthew L, et Bill en AZ.

    L'enquête auprès de 1 000 adultes américains a été menée du 28 au 30 décembre 2022 par Rasmussen Reports. La marge d'erreur d'échantillonnage est de +/- 3 points de pourcentage avec un niveau de confiance de 95 %. Le travail sur le terrain pour toutes les enquêtes de Rasmussen Reports est effectué par Pulse Opinion Research, LLC. Voir méthodologie.

    https://joannenova.com.au/2023/01/a-quarter-of-the-us-believe-they-know-someone-who-died-from-the-covid-vaccines/#more-88639

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  38. Les injections de covid ont effacé 25 ans de gains de santé


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    4 janvier 2023


    En août 2022, des estimations provisoires de l'espérance de vie1,2 pour 2021 ont été publiées, montrant que les Américains avaient perdu près de trois ans d'espérance de vie en 2020 et 2021. En décembre 2022, le rapport final sur la mortalité3 a confirmé ces données choquantes.

    Baisse choquante de l'espérance de vie aux États-Unis

    En 2019, la durée de vie moyenne des Américains de toutes les ethnies était de 78,8 ans.4 À la fin de 2020, elle était tombée à 77,0 ans5 et à la fin de 2021, elle était de 76,4.6 Comme détaillé dans les Centers for Disease Control des États-Unis et le rapport finalisé sur la mortalité de la prévention pour 2021 : 7

    "En 2021, l'espérance de vie à la naissance était de 76,4 ans pour la population totale des États-Unis - une diminution de 0,6 an par rapport à 77,0 ans en 2020... Pour les hommes, l'espérance de vie a diminué de 0,7 an, passant de 74,2 en 2020 à 73,5 en 2021. Pour les femmes, l'espérance de vie a diminué de 0,6 an, passant de 79,9 en 2020 à 79,3 en 2021… De 2020 à 2021, les taux de mortalité ont augmenté pour chaque groupe d'âge de 1 an et plus… »

    Comme l'a dit le docteur Steven Woolf, professeur de santé de la population à l'Université du Commonwealth de Virginie, à USA Today8, « cela signifie que toutes les avancées médicales du dernier quart de siècle ont été effacées ».

    L'espérance de vie a chuté dans tous les groupes d'âge

    Les taux de mortalité par âge ont augmenté dans tous les groupes d'âge comme suit9 :

    - voir graph sur site -

    Comme vous pouvez le voir, quelque chose de très étrange se passe ici. Alors que l'espérance de vie a chuté dans tous les groupes d'âge, les groupes d'âge avec les plus fortes augmentations de la mortalité étaient les adultes en âge de travailler, de 25 à 54 ans, suivis des enfants âgés de 1 à 4 ans.

    Qu'est-ce qui tue les jeunes américains ?

    Les principales causes de décès en 2021 étaient les maladies cardiaques, le cancer et la COVID-19, qui étaient toutes trois plus élevées en 2021 qu'en 2020.10 Les blessures non intentionnelles et les accidents vasculaires cérébraux ont également augmenté de manière significative en 2021.

    Les maladies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et le cancer sont tous des effets secondaires désormais connus des vaccins COVID. Les blessures involontaires peuvent également être dues aux coups, car vous pouvez facilement vous blesser si vous vous évanouissez ou si vous subissez une crise cardiaque ou un accident vasculaire cérébral en faisant à peu près n'importe quoi.

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  39. Woolf, cependant, pense que les faibles taux de piqûres de COVID-19 et la mauvaise santé générale des Américains sont à blâmer pour l'augmentation de la mortalité. En plus de ne pas tenir compte du fait que les principales causes de décès sont les effets secondaires des injections de COVID, les adultes et les enfants en âge de travailler sont également, comparativement parlant, les groupes les plus sains en général et devraient avoir un risque plus faible de décès quelle qu'en soit la cause, mais en particulier les maladies cardiaques et le cancer.

    Et, comme ils ont un risque beaucoup plus faible de mourir du COVID en premier lieu (par rapport aux personnes âgées), il est peu probable qu'un taux de piqûres COVID légèrement inférieur dans ce groupe d'âge ait fait une si grande différence.

    Selon les données du CDC,11 84 % des 25 à 49 ans ont reçu au moins une dose et 71 % sont considérés comme « complètement » vaccinés « . Dans la catégorie des 50 à 64 ans, c'est respectivement 95 % et 83 %. Dans la catégorie des 65 ans et plus, 95 % ont reçu au moins une dose et 93 % sont "complètement" vaccinés "", donc ce n'est pas comme s'il y avait une différence majeure dans les taux de piqûres.

    Le « syndrome de la mort subite » pourrait réduire l'espérance de vie

    Le COVID-19 est une cause peu probable de la baisse rapide de l'espérance de vie pour le simple fait qu'il ne contribue pas de manière majeure à l'augmentation de la surmortalité. La surmortalité est une statistique liée mais distincte de l'espérance de vie.

    Il fait référence à la différence entre le nombre de décès observés (toutes causes confondues) au cours d'une période donnée, par rapport au nombre de décès attendu sur la base de normes historiques, telles que la moyenne des cinq années précédentes. (Formule : les décès déclarés moins les décès attendus sont égaux aux décès en excès.)

    Partout dans le monde, la surmortalité a considérablement augmenté depuis le début de la pandémie, et il se passe à peine un jour sans qu'un adulte en bonne santé ne meure soudainement sans cause apparente. Des personnes sont mortes lors d'émissions en direct, au milieu de discours et pendant le dîner.

    De toute évidence, ils se sentaient assez bien pour aller au travail, à un événement ou au restaurant, et quelque chose les a fait mourir instantanément sans avertissement. Ce sont ces personnes qui composent ces statistiques de décès excédentaires. Ils ne devraient pas être morts, pourtant quelque chose les a fait sortir.

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  40. Les décès excessifs ont décollé après le déploiement des piqûres de COVID

    Alors que les décès positifs au COVID faisaient partie de l'équation en 2020, les décès excédentaires ont vraiment décollé après le déploiement des injections de COVID, et non au plus fort de la pandémie comme on pourrait s'y attendre si le COVID-19 était le véritable tueur.12 De plus, nous savent déjà que « décès COVID-19 » signifie simplement que la personne a été testée positive pour le SRAS-CoV-2 au moment du décès ou juste avant celui-ci.

    Si les coups COVID fonctionnaient, vous vous attendriez à ce que la surmortalité diminue, mais ce n’est pas ce que nous voyons. Nous ne voyons pas non plus de décès massifs dus au COVID. Le seul facteur clair qui pourrait expliquer ces écarts est l'injection massive avec une technologie expérimentale de transfert de gènes.
    Aux États-Unis, il y a eu 3 440 546 décès de tous âges pour l'année 2020.13

    - voir graph sur site -

    Si les coups COVID fonctionnaient, vous vous attendriez à ce que la surmortalité diminue, mais ce n’est pas ce que nous voyons. Nous ne voyons pas non plus de décès massifs dus au COVID. Le seul facteur clair qui pourrait expliquer ces écarts est l'injection massive avec une technologie expérimentale de transfert de gènes.

    Aux États-Unis, il y a eu 3 440 546 décès de tous âges pour l'année 2020.13 Les chiffres attendus étaient de 3 028 959, soit un excès de 13,6 % (411 587 au-dessus des attentes). En 2021, il y a eu 3 459 496 décès de tous âges, soit 16,4 % au-dessus des attentes. À la mi-avril 2022, le taux de surmortalité était déjà de 14,1 %, avec 1 041 538 décès signalés de tous âges.

    Si les coups COVID fonctionnaient, vous vous attendriez à ce que la surmortalité diminue, mais ce n’est pas ce que nous voyons. Nous ne voyons pas non plus de décès massifs dus au COVID. Le seul facteur clair qui pourrait expliquer ces écarts est l'injection massive avec une technologie expérimentale de transfert de gènes.

    Plus d'adultes en âge de travailler ont été contraints de prendre les piqûres létales

    Les données de l'assurance-vie confirment que ce sont les adultes en âge de travailler qui meurent en nombre record, ce qui fait vraiment baisser l'espérance de vie. Au troisième trimestre de 2021, le taux de mortalité des Américains en âge de travailler (18 à 64 ans) était supérieur de 40 % aux niveaux prépandémiques, et ces décès n'étaient, encore une fois, pas attribués au COVID.

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  41. Comme l'a noté le Dr Robert Malone dans un article de Substack de janvier 2022, 14 travailleurs ont été contraints d'accepter les injections toxiques de COVID à une fréquence plus élevée par rapport à la population générale. Ceci, je crois, est la vraie réponse à la raison pour laquelle ils meurent à un rythme disproportionné.

    En ce qui concerne les enfants de moins de 4 ans, eh bien, les toxines ont tendance à être plus dangereuses pour les jeunes enfants, il n'est donc pas très surprenant que le taux de mortalité des enfants ait augmenté plus que celui des personnes âgées. Après tout, nous donnons maintenant ces injections toxiques de COVID aux bébés dès l'âge de 6 mois.

    La manipulation des données cache la véritable cause du décès

    Comme mentionné, les principales causes de décès en 2021 étaient les maladies cardiaques, le cancer et le COVID-19. L'analyse des données par The Ethical Skeptic15 - qui se décrit comme un ancien officier du renseignement et stratège - montre que les décès par cancer sont désormais étiquetés à tort comme des décès par COVID. On soupçonne qu'il s'agit d'un effort pour cacher le fait que les injections de COVID ont entraîné une flambée des taux de cancer.

    Sept des 11 codes de la Classification internationale des maladies (CIM) suivis par le National Center for Health Statistics des États-Unis – y compris le cancer – ont connu de fortes hausses à partir de la première semaine d'avril 2021, date à laquelle de larges pans de la population américaine recevaient leur premier Coups COVID.

    Selon l'analyse par The Ethical Skeptic des données du rapport hebdomadaire sur la morbidité et la mortalité aux États-Unis (MMWR), le CDC a filtré et redésigné les décès par cancer comme décès par COVID depuis la semaine 14 de 2021 pour éliminer le signal du cancer.16

    Les deux graphiques suivants illustrent comment la mortalité par cancer est supprimée artificiellement. Comme expliqué par The Ethical Skeptic:17,18

    - voir graph sur site -

    « La dynamique des ensembles est complexe, mais le principe est simple. Lorsqu'un certificat de décès répertorie le cancer comme UCoD [cause sous-jacente de décès] et le COVID comme MCoD [cause principale de décès] - l'UCoD et le MCoD sont échangés et le COVID est répertorié comme l'UCoD 100 % (425/semaine).

    - voir graph sur site -

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  42. «Cela entraîne 20 % de tous les décès dus au COVID chaque semaine, et il se trouve également que des personnes meurent du cancer – ce qui est nettement plus élevé qu'il ne devrait l'être. Il s'agit clairement d'une surattribution = équivaut exactement à la différence entre les courbes de décalage de code Cancer et All Other ICD-10.

    Le problème auquel est confronté le CDC, c'est… Que fait-on lorsque la mortalité due au COVID n'est plus suffisamment importante pour dissimuler l'excès de mortalité par cancer ?

    Donc, pour reformuler, ce que dit The Ethical Skeptic, c'est que 20 % des décès hebdomadaires dits COVID sont des décès par cancer, ce qui est plutôt étonnant. Échanger les causes sous-jacentes et principales de décès, énumérer le COVID comme cause principale, cache (dans une certaine mesure) le fait que les décès par cancer explosent.

    Selon son analyse, le coup COVID tue 7 300 Américains par semaine. Le COVID, quant à lui, tue 1 740 personnes.19 Qu'est-ce que le CDC blâmera lorsque le COVID disparaîtra et qu'il ne pourra plus échanger les désignations de cause sous-jacente et principale de décès ? Le temps nous le dira.

    Dans l'intervalle, le cancer est déjà l'une des principales causes qui tuent prématurément les Américains, et les cancers turbocompressés incontrôlables n'ont commencé à se produire qu'après le déploiement des piqûres COVID.20

    L'ancien directeur des NIH blâme la désinformation chrétienne

    L'ancien directeur des National Institutes of Health, le Dr Francis Collins, a récemment suggéré que la désinformation diffusée par les chrétiens évangéliques blancs était à l'origine de la réticence à la vaccination, et que c'est cette « guerre culturelle » religieuse qui tue les Américains.

    Collins a un programme ou est sérieusement confus, car les statistiques montrent que les Blancs en général avaient les taux de prise de piqûres de COVID les plus élevés lorsque les seringues sont sorties, et les personnes qui l'ont pris étaient beaucoup plus susceptibles de promouvoir l'inocultation que de le décourager. Tel que rapporté par la Kaiser Family Foundation :21

    "... les données fédérales des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) montrent que 78 % de la population totale aux États-Unis ont reçu au moins une dose d'un vaccin COVID-19...

    Au cours du déploiement de la vaccination, les Noirs et les Hispaniques ont été moins susceptibles que leurs homologues blancs de recevoir un vaccin, mais ces disparités se sont réduites au fil du temps et se sont inversées pour les Hispaniques.

    Les chrétiens en général n'ont pas non plus été particulièrement "hésitants" à se faire piquer. Une enquête menée par le Public Religion Research Institute a révélé22 que 56 % des protestants évangéliques blancs se sont fait piquer, tout comme 74 % des protestants blancs de la ligne principale et 79 % des catholiques blancs. Pour une raison quelconque, les taux de piqûres parmi les affiliations religieuses noires n'ont pas été évalués, nous n'avons donc aucune idée si la religion a influencé les Noirs à rejeter le tir.

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  43. Gardez à l'esprit que le taux de piqûres COVID pour l'ensemble des États-Unis (une dose ou plus) est de 79 %,23 donc les chrétiens en général sont à peu près aussi moyens que possible. Certes, les protestants évangéliques ont un taux nettement inférieur, mais Collins suggère-t-il que les évangéliques blancs poussent les Noirs à rejeter la piqûre – parce que les Noirs avaient, et ont toujours, les taux d'injection les plus bas.24

    L'utilisation de boucs émissaires est un générateur de préjugés classique

    Comme détaillé dans "Les vaccins sont le nouveau" test de pureté "", les nazis ont utilisé un processus en quatre étapes pour déshumaniser les juifs,25 - les préjugés, la recherche de boucs émissaires, la discrimination et la persécution. En faisant des juifs des boucs émissaires comme sales et malades, le public allemand a été endoctriné pour accepter, ou du moins suivre, le plan génocidaire des nazis.

    Au cours des trois dernières années, nous avons vu comment les responsables gouvernementaux ont tenté à plusieurs reprises de rejeter la responsabilité de la propagation du COVID sur un groupe spécifique ou un autre. Heureusement, ces récits n'ont pas duré à long terme, mais ils ont fait beaucoup de mal pendant un certain temps.

    L'attaque de Collins contre les chrétiens évangéliques n'est que le dernier exemple de la façon dont ils tentent de maintenir le contrôle en semant la division entre les races, les groupes religieux et politiques. Plus nous nous méfions et nous craignons les uns les autres, moins nous prêtons attention aux vrais criminels.

    Mais, pour que cette tentative de division fonctionne, il doit y avoir une cible, un bouc émissaire, vers lequel les gens peuvent diriger leur frustration. COVID-19 est maintenant endémique et une menace rare pour quiconque. Les récits COVID sont simplement recyclés pour entretenir la peur de la maladie et la méfiance des gens.

    Il est important de réaliser, cependant, que la peur est le destructeur n° 1 de la liberté. Plus votre peur est grande, plus vous obéirez, et plus vous obéissez, plus vous devez renoncer à la liberté. Et les libertés abandonnées ne sont jamais volontairement rendues par ceux qui sont au pouvoir. Les gens à travers les âges ont toujours dû se battre pour retrouver les libertés perdues.

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  44. Sources and References

    1, 6 CDC Provisional Life Expectancy Estimates for 2021, August 2022
    2 New York Times August 31, 2022 (Archived)
    3, 5, 7, 9 CDC NCHS Data Brief December 2022
    4 CDC Press release July 21, 2021
    8, 10 USA Today December 22, 2022
    11, 23, 24 USA Facts COVID Vaccine Tracker
    12 Our World in Data Excess Mortality During COVID Pandemic
    13 US Mortality
    14 Robert Malone Substack January 2, 2022
    15 The Ethical Skeptic August 20, 2022, Part 1
    16 Gettr The Ethical Skeptic July 16, 2022
    17 Twitter The Ethical Skeptic October 2, 2022, Corrected chart
    18 Twitter The Ethical Skeptic October 1, 2022
    19 Twitter The Ethical Skeptic September 29, 2022
    20 Steve Kirsch Substack February 5, 2022
    21 KFF July 14, 2022
    22 PRRI September 22, 2021
    25 BahaiTeachings Hitler’s Four-Step Process for Dehumanizing the jews

    https://www.lewrockwell.com/2023/01/joseph-mercola/covid-jabs-have-erased-25-years-of-health-gains/

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    1. Comment cela va se terminer ?
      Les criminels qui gouvernent se sont aperçu que le Peuple recelait plus de personnes intelligentes que prévues ! Et, ces refus de crever montraient à quel point cela pourrait devenir dangereux/dramatique pour les psychopathe au pouvoir. C'est ainsi que, pour couronner le succès 'Plan Dépopulation21-Partie 1' ont ou vont être lancées des campagnes de placebos pour tous afin de se féliciter que la piqûre marche !
      Ainsi, chacun retirant son aiguille du jeu pourra dire "Qu'est-ce que vous en savez ? Ils sont morts et sont passés au four crématoire ! Vous voudriez faire une autopsie ? Hahahaha !"
      Donc, pour le 'Plan Dépopulation21-Partie 2', là faudra voir autre chose que le plan prévue contre la Russie puisqu'elle peut depuis de partout dans le monde lancer des missiles qui détruiront les QG des criminels.

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  45. Le projet de loi californien visant à punir les médecins pour les "fausses" informations sur le Covid-19 entre en vigueur


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 04 JANVIER 2023 - 04:40


    Un projet de loi qui permet à l'État de Californie de punir les médecins pour "fausses informations sur les vaccinations et les traitements Covid-19" est entré en vigueur le 1er janvier.

    En vertu de la nouvelle loi (AB 2098) qui est entrée en vigueur le 1er janvier, la commission médicale de l'État classerait les informations de distribution - telles que l'efficacité de l'ivermectine ou l'efficacité décroissante du vaccin Covid-19, comme une conduite non professionnelle.

    La loi a été contestée devant les tribunaux par deux médecins californiens, qui ont déclaré qu'elle restreindrait leur liberté d'expression en violation du premier amendement, et qu'elle était "vague" en vertu de la clause de procédure régulière du quatorzième amendement de la Constitution.

    Cependant, le 28 décembre, le juge Biden Nominee Fred Slaughter a refusé d'arrêter la loi, jugeant que la loi l'emportait sur les revendications de liberté d'expression et qu'elle s'inscrivait "dans la longue tradition des réglementations sur la pratique des traitements médicaux".

    Une autre action en justice, intentée par Physicians for Informed Consent, a été déposée devant le tribunal de district américain du district oriental de Californie début décembre. Les plaignants, le médecin LeTrinh Hoang et Children's Health Defence, sont représentés par Rick Jaffe, Robert F. Kennedy Jr. et Mary Holland, et soutiennent que l'État de Californie a utilisé comme arme la vague expression de "désinformation" et a ainsi ciblé illégalement médecins qui ne sont pas d'accord avec la position publique du gouvernement sur Covid-19.

    Il existe de nombreuses conséquences potentiellement désastreuses de l'AB2098. https://t.co/jfxhs2hTeM
    – Corbin Sabol (@corbinsabol) 3 janvier 2023

    Le cardiologue expert et membre du PIC Sanjay Verma, M.D., a suivi et catalogué les erreurs du CDC en temps réel. Pour l'affaire, il a fourni ce qu'il appelle "une déclaration détaillée exposant les erreurs scientifiques du gouvernement et les dangers constitutionnels de la censure de la dissidence":

    "Pour démontrer ces points de flou et l'inadéquation générale de l'utilisation du "consensus scientifique contemporain" comme critère disciplinaire, j'ai préparé un aperçu détaillé de la réponse de santé publique à la pandémie ventilée en catégories telles que Masques et Vaccins (transmission, sécurité, l'efficacité de l'immunité naturelle). J'ai également inclus des preuves de ce que [je témoigne] serait considéré comme de la désinformation promulguée par le CDC ainsi que sa rétention d'informations qui a conduit à ce que le "consensus scientifique contemporain" de l'époque ait finalement été prouvé faux." -KRON4

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  46. AB-2098, le "projet de loi sur la désinformation des médecins" entre en vigueur en tant que loi en Californie.
    Les médecins ne peuvent plus communiquer à leurs patients les risques nuancés concernant les vaccins COVID à ARNm sans que leurs licences ne soient potentiellement révoquées.https://t.co/VHbHlKpgar pic.twitter.com/hlMxYJth2H
    – Wittgenstein (@backtolife_2023) 2 janvier 2023

    https://www.zerohedge.com/medical/california-bill-punish-doctors-false-covid-19-information-goes-effect

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    1. Il n'y a plus de médecins en Californie !!

      Il n'y a que des tueurs (casqués ou pas).

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  47. Comité d'enquête Causa Corona


    3 janvier 2023
    par Thomas Oysmuller


    Un groupe parlementaire au parlement autrichien joue maintenant du tambour pour un comité Corona U. Toutes les autres parties restent silencieuses. Il n'y a aucun moyen de contourner le traitement - également via un sous-comité. Une analyse de la cause politique intérieure qui se met doucement en place.

    Le chef du groupe parlementaire FPÖ des deux dernières commissions d'enquête parlementaires, Christian Hafenecker, s'y attèle : il veut mettre en place une commission Corona U. Cela devrait commencer avant l'été.

    FPÖ seul dans le bateau ?

    Il faudrait un quart des députés pour en créer un. Le FPÖ ne peut pas le faire seul. Au total, 46 membres du Conseil national doivent accepter le Comité U. Le FPÖ lui-même a 30 mandataires, le NEOS en a 15. Donc même cette alliance serait trop petite. Les libéraux ont besoin du SPÖ. A moins que la seule non-inscrite au parlement, Philippa Strache, n'accorde la voix supplémentaire décisive. Ces jeux arithmétiques ne sont pas nécessaires pour Hafenecker. Il s'attend à ce qu'un tel comité soit effectivement "dans l'intérêt de toutes les parties" et soit mis en place à l'unanimité. Le temps nous le dira.

    Car avant cela, il y aurait d'âpres négociations sur le sujet de l'enquête. En tout état de cause, un tel comité pourrait traiter d'un nombre énorme de sujets. Qu'il s'agisse des millions d'impôts qui ont été transférés à Starbucks, McDonalds ou d'autres sociétés transnationales en tant qu'"aide corona" ou des mesures d'approvisionnement du gouvernement fédéral. Ou, et surtout, la dimension politique de la soi-disant pandémie.

    Rappelez-vous juste une petite anecdote : en décembre 2020, l'Autriche a effectué le premier "test de masse Covid", Anschober et Kurz avaient annoncé cette campagne en disant que cela permettrait de maîtriser la "pandémie". Les tests provenaient de la société suisse Roche et étaient les plus chers du marché. Peu de temps auparavant, la chancelière rendait visite au PDG en Suisse. Bien sûr, les tests de masse n'ont eu aucun impact sur Corona, mais c'était le signal de départ pour faire de l'Autriche le "champion du monde des tests". Et qu'est-ce que les grands géants du conseil comme McKinsey ou Boston Consulting (BCG) ont réellement à voir avec les tests ? On sait, par exemple, que l'AGES a "collaboré" avec le BCG. Je l'ai déjà découvert en août 2020.

    Pharmacie et politique

    Dans une interview accordée à "oe24" cette semaine, Christian Hafenecker a évoqué d'autres aspects qui devraient également être clarifiés pour l'Autriche au fil des révélations de Twitter sur la censure du Covid. Il y avait diverses commissions en Autriche qui avaient également des liens avec le renseignement. Il y a le "GECKO", qui était dirigé par Rudolf Striedinger, qui était aussi le chef du service de renseignement militaire.

    Ou l'"équipe de crise numérique" de la Chancellerie fédérale, qui était dirigée par le porte-parole médiatique de Sebastian Kurz, Gerald Fleischmann, et qui aurait dû s'occuper de la "désinformation". Selon les informations du TKP, des journalistes autrichiens bien connus qui sont apparus sur l'ORF en tant qu'experts indépendants des "fake news" faisaient également partie de cette équipe de crise. Une "unité de censure" y a été créée, atteste Hafenecker et poursuit en se demandant pourquoi Europol ferait également "partie de cette histoire". On aurait l'impression que « tous les efforts ont été faits pour garder certaines opinions secrètes ».

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  48. Cependant, ce ne serait pas la fin des sujets d'un comité Corona-U. Il serait également nécessaire d'examiner les liens entre les différents experts corona et conseillers gouvernementaux et l'industrie pharmaceutique. Hafenecker a également dit quelque chose à ce sujet la semaine précédente : La commission d'évaluation de la vaccination obligatoire comptait quatre membres. "Tous les membres" montreraient un lien avec l'industrie pharmaceutique. Au sein du comité technique du Covid-19 Advisory Board, 20 des 23 membres ont des "liens avec l'industrie pharmaceutique". Ce ne sont que deux exemples. Et que dire du « National Vaccination Panel » qui émet les recommandations pour la vaccination Covid ?

    Plus à jour" ?

    En outre, il y aurait également la "Blackbox Cofag", l'"agence de financement Covid-19", qui a été construite comme une GmbH et a donc échappé au contrôle parlementaire. Et que dire de la sinistre entreprise "Hygiene Austria", qui voulait ramener la production de masques en Autriche. (Mais utilisé des matières premières en provenance de Chine). Le parquet des affaires et de la corruption enquête depuis longtemps. Il y avait aussi un lien avec la chancellerie de Sebastian Kurz. L'Autriche avait l'exigence de masque FFP2 la plus stricte au monde. Y a-t-il un lien ici ?

    L'interniste viennois Marcus Franz demande depuis quelques semaines la constitution d'une commission d'enquête via la Cour des comptes. Cela aurait sans doute l'avantage qu'une mise en scène politique, comme c'est l'usage avec les commissions parlementaires en U, n'apparaîtrait pas comme une priorité. Cependant, les personnes interrogées, qui ont encore et encore des trous de mémoire notables, devraient témoigner devant une commission d'enquête parlementaire en vertu d'un devoir de vérité. Un traitement Corona nécessaire nécessiterait probablement au moins les deux organes d'enquête - un indépendant et un politique.

    Quoi d'autre est frappant: le «Mr. Comité d'enquête »des dernières décennies, Peter Pilz, est silencieux sur un prochain comité Corona U, comme tous les autres partis. Seul le FPÖ tambourine pour ça. Il y a, cependant, un tas sans précédent de bizarreries à enquêter. Pourquoi c'est comme ça ? Peut-être parce que tous les partis parlementaires, à l'exception du FPÖ, ont déjà laissé derrière eux la Deuxième République. Vous êtes déjà plus loin là-bas, donc il n'y avait rien à voir avec Corona et donc rien à examiner.

    https://tkp.at/2023/01/03/causa-corona-untersuchungsausschuss/

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    1. (...) Et que dire de la sinistre entreprise "Hygiene Austria", qui voulait ramener la production de masques en Autriche. (Mais utilisé des matières premières en provenance de Chine). Le parquet des affaires et de la corruption enquête depuis longtemps. Il y avait aussi un lien avec la chancellerie de Sebastian Kurz. L'Autriche avait l'exigence de masque FFP2 la plus stricte au monde. Y a-t-il un lien ici ? (...)

      Il N'EXISTE PAS au monde de masque anti virus ou anti microbes ! C'est IMPOSSIBLE d'en fabriquer car les dites poussières (appelées 'virus') ont une dimension de 0,1 à 0,5 micron tandis que l'écart de mailles des masques dits 'les plus fins' est de... 150 microns ! HAHAHAHA !

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  49. ENCORE UN COMMENTAIRE DE CENSURÉ ! (60 - 1 = 59)

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  50. ENCORE 1 COMMENTAIRE CENSURÉ ! (60 - 2 = 58)

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