- ENTREE de SECOURS -



vendredi 13 janvier 2023

Baisse alarmante de la natalité en Europe – les autorités démentent

 

58 commentaires:

  1. Baisse alarmante de la natalité en Europe – les autorités démentent


    12.01.2023 |
    www.kla.tv/24743



    Récemment, Kla.TV (www.kla.tv/23778) a fait état d'un net recul de la natalité en Suisse, que l'analyste de données Raimund Hagemann a mis en relation avec les taux de vaccination Covid-19. Si on considère le nombre d'experts qui mettent en garde contre le risque d'inferti-lité lié aux vaccins ARNm, une baisse de la natalité n'a rien de surprenant. Voici des extraits de quelques avis d'experts importants :

     Dr McCullough : On craint beaucoup que les vaccins n'entraînent l'infertilité.

     Dr Vladimir Zelenko : Il y a des preuves évidentes que cela affecte la fertilité, l’endommage ou en modifie la fonction.

     Dr Mark McDonald : Les femmes en âge de procréer risquent une infertilité durable et peut-être à vie.

     Dr Astrid Stuckelberger : Nous voyons des femmes enceintes qui perdent leur enfant.
    C'est alarmant. Les données commencent à sortir, petit à petit. Nous avons de l'infertilité, de la stérilité, etc.

     Dr Wodarg : Si ça ne va pas dans la veine, ça se répand par la lymphe et par les liquides tissulaires - et on sait, grâce à des résultats rendus publics d’essais sur les animaux, que là aussi, en peu de temps ces nanoparticules se répandent dans tout le corps, s'accumulent, en particulier dans le foie et la rate, mais aussi dans les gonades - c'est-à-dire dans les ovaires et les testicules. Ce qui entraîne naturellement des inflammations et peut conduire à la stérilité dans ces cas-là.

    Comme Raimund Hagemann souhaitait étudier encore plus précisément le lien temporel, il a exigé des offices de statistiques des pays d‘Europe les chiffres de natalité pour le premier semestre 2022. Il a ainsi obtenu pour 18 des 27 pays de l'UE suffisamment de données pour établir une comparaison. Après avoir comparé les naissances de 2022 avec la moyenne des trois années précédentes, de 2019 à 2021, il a constaté une baisse dans les 18 pays. Le taux de natalité varie de -1,3 % en France à un dramatique -18,8 % en Roumanie.
    Hagemann et son équipe ont mis ces chiffres en relation avec la fréquence de vaccination du groupe de population en âge de procréer.

    Conclusion :

    Dans ces 18 pays et en Suisse, sur près de 160 millions de personnes âgées de 18 à 49 ans, près de 71 % ont été vaccinées. Ce groupe d'âge a en fin de compte donné naissance à 7 % d'enfants en moins que dans la moyenne des trois années précédentes. Cela représente plus de 110 000 bébés manquants en seulement six mois. Après avoir analysé les statistiques, Hagemann conclut qu'il existe dans 13 pays un lien significatif entre la baisse du nombre de naissances et la fréquence de vaccination. Il n'a trouvé aucune corrélation temporelle avec les infections au Covid-19 ou les confinements. C'est pourquoi il exige une étude immédiate pour savoir si les vaccins ont un impact sur la fertilité des hommes et des femmes, et pendant combien de temps.

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  2. Une telle étude ne semble toutefois pas en vue. Au lieu de cela, le 20 septembre, l'Institut fédéral de recherche démographique a fini par publier, en raison du déficit de naissances en Allemagne qui ne peut plus être passé sous silence, une étude avec d'autres tentatives d'ex-plication. L'étude ne parle ni de l'influence directe des vaccins, citée par des experts renom-més comme le Dr Wodarg, ni de l'évolution simultanée dans de nombreux pays voisins. Elle spécule plutôt sur les raisons pour lesquelles les couples pourraient avoir délibérément reporté leur désir d'enfant. Le journaliste Norbert Häring juge toutes ces tentatives d'explication "tirées par les cheveux". Sa demande auprès de l'Institut fédéral de recherche démographique concernant l'influence directe de la vaccination sur la fertilité a été balayée d'un revers de main.

    Combien de temps encore ce mur du silence sera-t-il maintenu ? Un débat public et une présentation objective des effets de la vaccination Covid-19 sont attendus depuis longtemps et doivent être exigés de toute urgence.


    de Johannes R.
    Sources / Liens :
    Étude Hagemann sur les chiffres de naissances en Europe:

    Studie Hagemann über Europäische Geburtenraten:
    www.initiative-corona.info/fileadmin/dokumente/Geburtenrueckgang-Europe-DE.pdf


    Étude de l’Institut Fédéral de recherche démographique (en option)

    Studie des Bundesinstituts für Bevölkerungsforschung (optional)
    https://www.bib.bund.de/Publikation/2022/pdf/Fertility-declines-near-the-end-of-the-COVID-19-pandemic-Evidence-of-the-2022-birth-declines-in-Germany-and-Sweden.pdf?__blob=publicationFile&v=9

    https://www.bib.bund.de/DE/Presse/Mitteilungen/2022/pdf/2022-09-20-Wegen-Corona-Geburtenziffer-seit-Jahresbeginn-abrupt-gesunken.pdf?__blob=publicationFile&v=2


    Déclaration de Norbert Häring :

    Einschätzung Norbert Häring:
    https://apolut.net/geburteneinbruch-nach-impfkampagne-institut-fuer-bevoelkerungsforschung-will-elefanten-im-raum-nicht-sehen-von-norbert-haering/


    Dans les archives :

    Archivsendungen:

    Dr Vladimir Zelenko : Injection anti-corona – le plus grand génocide ?
    Dr. Vladimir Zelenko: Corona-Impfung – der größte Genozid? (Sendung vom 06. April 2022)
    www.kla.tv/22168

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  3. Les piqûres anti-Covid font plus de morts que le Covid lui-même - (Entrevue avec le Dr McCullough) partie 1

    Covid-Spritze fordert mehr Tote als Covid selbst - (Interview mit Dr. McCullough) Teil 1 (Sendung vom 26. Dezember 2021)
    www.kla.tv/21111


    Les expériences en masse sur le Corona laissent des âmes blessées et des plaies profondes – Entrevue avec le Dr Mark McDonald

    Corona-Massenexperimente hinterlassen verwundete Seelen und tiefe Narben - Interview mit Dr. Mark McDonald (Sendung vom 18. April 2021)
    www.kla.tv/18536


    Corona : science et droit en débat ouvert – grande manifestation du 26/2/2022

    Corona: Wissenschaft und Recht in öffentlicher Debatte – Großkundgebung vom 26.02.2022 (Sendung vom 03. März 2022)
    www.kla.tv/21817


    Obligation d’injection anti-covid pour tous ? Les choses importantes qui y sont liées par Stefan Magnet

    Corona-Impfpflicht für alle? Wichtige Zusammenhänge dazu von Stefan Magnet (Sendung vom 25. November 2021)
    www.kla.tv/20709

    https://www.kla.tv/fr

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  4. SUISSE: Par manque de pesticides, les paysans craignent pour leurs récoltes

    En moins de vingt ans, plus d’un quart des produits phytosanitaires ont été retirés du marché sans être remplacés. L’Union suisse des paysans juge les nouvelles mesures «disproportionnées».


    12 janvier 2023, 21:18


    Si les citoyens suisses avaient refusé, en juin 2021, de bannir les pesticides, la réduction de l’utilisation de ces produits à cause de leur impact sur l’environnement et la santé est bien en marche dans le pays. En 2005, on comptait 435 substances actives autorisées en Suisse, contre 327 l’année dernière, soit un quart de moins, selon les chiffres de l’Office fédéral de l’agriculture (OFAG) publiés jeudi dans le «Tages-Anzeiger».

    Le monde agricole s’inquiète de cette évolution, car des options aux produits retirés du marché sont rarement proposées. David Brugger, de l’Union suisse des paysans (USP), parle «d’une sévérité disproportionnée» à propos des dernières mesures approuvées par le Conseil fédéral juste avant Noël (lire encadré). Des contrôles plus stricts qui entreront en vigueur dès février devraient encore diminuer les possibilités de protéger les cultures, craint l’USP.

    La lenteur administrative pour obtenir une autorisation d’utiliser de nouvelles substances est aussi critiquée par les paysans et les fabricants de produits phytosanitaires. Environ 700 demandes sont actuellement pendantes, lit-on dans le «Tages-Anzeiger». David Brugger estime que cette situation va entraîner de mauvaises récoltes et une plus grande dépendance envers les importations. Le responsable reproche à l’Office fédéral de l’environnement (OFEV) de placer la protection des eaux avant celle des cultures.

    L’OFEV tempère en affirmant que seules certaines substances supplémentaires pourraient être frappées d’une interdiction à l’avenir. L’administration explique aussi que le Conseil fédéral dispose d’une marge de manœuvre et peut suspendre temporairement une restriction en cas de besoin. L’OFEV rappelle aussi que les contrôles plus sévères portent leurs fruits: le risque de contaminations de l’eau a été réduit de moitié en 2021 par rapport au début des années 2010. L’USP rétorque que ce constat prouve que les mesures prises jusqu’à présent sont suffisantes.

    https://www.lematin.ch/story/par-manque-de-pesticides-les-paysans-craignent-pour-leurs-recoltes-302033258844

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    1. Faute de remède contre les maladies des plantes et l'attaque des insectes ravageurs, les plantes crèvent !

      Imaginez vous vos pharmacies fermées ? Vous êtes malades ? Vous crevez !

      Le terme de 'pesticide' (suivant les normes internationales) est applicable à TOUS les remèdes vendus en pharmacies.

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  5. Le C-17A a été autorisé à transporter la bombe nucléaire B61-12 vers l'Europe


    De Hans Kristensen
    Recherche mondiale, 13 janvier 2023


    En novembre 2022, l'armée de l'air a mis à jour ses règles de sécurité pour le transport aérien des armes nucléaires afin de permettre à l'avion C-17A Globemaster III de transporter la nouvelle bombe nucléaire B61-12.

    La mise à jour, accompagnée d'une formation et d'une certification des avions et des équipages, a autorisé le C-17A à transporter la toute nouvelle arme nucléaire américaine vers des bases aux États-Unis et en Europe.

    Une instruction de l'USAF mise à jour en novembre 2022 a supprimé les restrictions pour le transport par C-17A de la nouvelle bombe nucléaire B61-12 vers des bases aux États-Unis et en Europe.

    Les C-17A de la 62 nd Airlift Wing à Joint Base Lewis-McChord servent de Prime Nuclear Airlift Force (PNAF), la seule aile de transport aérien autorisée à transporter les ogives nucléaires de l'Air Force.

    L' instruction mise à jour de l'Air Force ne confirme pas, comme certains l'ont suggéré à tort , que l'expédition des armes a commencé en décembre. Mais il documente certaines des préparations nécessaires pour le faire.

    Politico a rapporté en octobre de l'année dernière que les États-Unis avaient accéléré le déploiement du B61-12 du printemps 2023 à décembre 2022. Deux responsables américains anonymes ont déclaré que les États-Unis avaient informé l'OTAN du calendrier en octobre.

    Mais un haut responsable du Pentagone a par la suite rejeté le rapport Politico, affirmant que "rien n'a changé sur la chronologie. Il n'y a pas d'accélération à cause d'une crise en Ukraine, le B61-12 est sur le même calendrier qu'il a toujours été.

    Bien que le responsable du DOD ait nié qu'il y ait eu un changement d'horaire, il n'a pas nié que le transport commencerait en décembre.

    La production prévue de B61-12 avait glissé à plusieurs reprises. Initialement, le plan était de commencer la production à grande échelle au début de 2019. En septembre 2022, la National Nuclear Security Administration (NNSA) attendait toujours l'approbation pour commencer la production à grande échelle. Enfin, en octobre 2022, la NNSA a confirmé au FAS que le B61-12 était en production à grande échelle.

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  6. Le B61-12 est conçu comme une mise à niveau et un remplacement éventuel de toutes les bombes nucléaires à gravité actuelles, y compris les B61-3, -4, -7, et probablement éventuellement aussi les B61-11 et B83-1. À cette fin, il combine et améliore divers aspects des bombes existantes : il utilise une version modifiée de l'ogive B61-4 avec plusieurs options de rendement inférieur et moyen (0,3 à 50 kilotonnes). Il compense son rendement explosif plus faible (par rapport aux rendements maximaux des B61-7 et -11) en incluant un kit de queue guidé pour augmenter la précision, ainsi qu'une capacité limitée de pénétration dans la terre.

    À l'heure actuelle, on ne sait pas si les expéditions de B61-12 vers l'Europe ont commencé. Si ce n'est pas le cas, cela semble imminent. Cela dit, le déploiement ne se fera probablement pas en un seul mouvement mais s'étendra progressivement à de plus en plus de bases en fonction de la certification et de la construction de chaque base.

    Il existe actuellement six bases actives dans cinq pays européens avec environ 100 bombes B61 présentes dans les systèmes souterrains de stockage et de sécurité des armes (WS3) à l'intérieur des abris pour avions. Un septième site en Allemagne (Base aérienne de Ramstein) est actif sans présence d'armes et un huitième site - RAF Lakenheath - a récemment été ajouté à la liste des sites WS3 en cours de modernisation. La revitalisation des bunkers de stockage nucléaire de Lakenheath n'indique pas nécessairement que les armes nucléaires américaines reviendront sur le sol britannique, d'autant plus qu'en décembre 2021, le secrétaire général de l'OTAN a déclaré que « nous n'avons pas l'intention de stationner des armes nucléaires dans d'autres pays que ceux que nous avons déjà. . . « Cependant, la mise à niveau pourrait être destinée à accroître la capacité de l'OTAN à redistribuer les bombes B61 en période de tensions accrues, ou à les déplacer potentiellement hors de Turquie à l'avenir. De plus, quatre autres sites ont des voûtes inactives (éventuellement mises sous cocon)

    - voir carte ci-dessous :

    https://www.globalresearch.ca/c-17a-has-been-cleared-transport-b61-12-nuclear-bomb-europe/5804558

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  7. UNION EUROPÉENNE: En 2022, les entrées irrégulières ont atteint un nombre record depuis 2016

    Selon l’agence Frontex, 330’000 entrées non conformes ont été enregistrées en 2022. Une grande partie d’entre-elles ont été faites par la route dites des Balkans occidentaux (45 %).


    13 janvier 2023, 11:32


    Le nombre d’entrées irrégulières dans l’Union européenne a augmenté en 2022 de 64 % par rapport à l’année précédente, atteignant le niveau le plus élevé depuis 2016, a annoncé vendredi l’Agence européenne de surveillance des frontières, Frontex. Selon l’agence, 330’000 entrées irrégulières ont été enregistrées en 2022, dont 45 % sur la route des Balkans occidentaux. Le nombre de ressortissants syriens concernés a pratiquement doublé à 94’000.

    «Il s’agit de la deuxième année consécutive avec une forte augmentation du nombre d’entrées irrégulières», a déclaré Frontex dans un communiqué, ajoutant que les Syriens, les Afghans et les Tunisiens représentaient ensemble 47% des cas comptabilisés en 2022.

    Près de 10 % sont mineurs

    Sur la route des Balkans occidentaux 145’600 passages ont été enregistrés, une hausse de 136 % par rapport à l’année précédente. La route de la Méditerranée centrale, deuxième la plus empruntée, a vu le nombre de passages dépasser 100’000, soit une hausse de plus de 50 %.

    Environ 10 % d’entrées irrégulières ont été effectuées par des femmes et environ 9 % par des mineurs.

    https://www.lematin.ch/story/en-2022-les-entrees-irregulieres-ont-atteint-un-nombre-record-depuis-2016-260581422546

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    1. C'est le domaine de l'horreur ! L'invasion de la guerre silencieuse !

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  8. Messages censurés sur Twitter sur l'immunité naturelle et les vaccins après la pression d'un membre du conseil d'administration de Pfizer


    Par Ramon Tomey
    Recherche mondiale, 13 janvier 2023


    La dernière tranche d'e-mails de Twitter Files a révélé que la plate-forme de médias sociaux avait censuré les publications sur l'immunité naturelle et les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) suite aux pressions d'un membre du conseil d'administration de Pfizer .

    Un e-mail du membre du conseil d'administration de Pfizer, le Dr Scott Gottlieb , daté du 27 août 2021, a été rendu public par le journaliste indépendant Alex Berenson. Dans ledit e-mail, Gottlieb s'est plaint auprès du directeur principal des politiques publiques de Twitter, Todd O'Boyle, d'un tweet publié par l'ancien ami Brett Giroir, qui a réitéré la supériorité de l'immunité naturelle sur les vaccins .

    « Il est maintenant clair que l'immunité naturelle contre le COVID-19 est supérieure à l'immunité vaccinale, de [beaucoup]. Il n'y a aucune justification scientifique pour [preuve de vaccination] si une personne a déjà été infectée. Giroir a tweeté. Il a également exhorté l'ancien président Donald Trump et l'ancien directeur des Centers for Disease Control and Prevention , le Dr Robert Redfield, à "suivre la science".

    Conformément à cela, Gottlieb a écrit à O'Boyle :

    « C'est le genre de truc qui est corrosif. Ici, il tire une conclusion radicale d'une seule étude rétrospective en Israël qui n'a pas été évaluée par des pairs. Mais ce tweet finira par devenir viral et générera une couverture médiatique.

    Le directeur principal de Twitter a ensuite transmis l'e-mail de Gottlieb à l'équipe de réponse stratégique sans le mentionner par son nom, en écrivant : "Veuillez consulter ce rapport de l'ancien commissaire de la FDA ( Food and Drug Administration )."

    Selon Berenson, un analyste de l'équipe a rapidement constaté que le tweet de Giroir ne violait aucun décret sur la "désinformation". Néanmoins, le message a été étiqueté comme "trompeur" et toutes ses interactions - réponses, retweets et likes - désactivées.

    Gottlieb et Giroir ont tous deux été commissaires de la FDA sous l'administration Trump - Gottlieb de mai 2017 à avril 2019, et Giroir à titre intérimaire de novembre à décembre 2019. Les deux ont également rejoint les conseils d'administration de sociétés pharmaceutiques après leur passage au gouvernement, avec Gottlieb rejoint Pfizer et Giroir devient PDG et membre du conseil d'administration d'Altesa BioSciences, basée en Géorgie.

    Gottlieb s'est également plaint d'autres critiques de COVID

    L'étiquette trompeuse et les restrictions sur le tweet de Giroir restent en place au moment de la rédaction, même si plusieurs hauts responsables de la santé – dont l'ancienne coordinatrice du COVID-19 de la Maison Blanche, le Dr Deborah Birx – ont depuis remis en question l'efficacité des vaccins dans la prévention des infections.

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  9. Berenson, un ancien journaliste du New York Times , a également révélé que Gottlieb s'était plaint d'un tweet de l'auteur Justin Hart. Le grief du membre du conseil d'administration de Pfizer du 3 septembre 2021 était centré sur le message de Hart qui disait: «Les bâtons et les pierres peuvent me briser les os, mais un agent pathogène viral avec un taux de mortalité infantile de [environ zéro pour cent] a coûté à nos enfants près de trois ans de scolarité .”

    Selon le journaliste indépendant, la plainte de Gottlieb concernant le tweet de Hart est intervenue à un moment où le vaccin COVID-19 de Pfizer "serait bientôt approuvé pour les enfants [âgés] de cinq à 11 ans". Dans ce cas, cependant, Twitter a refusé d'agir.

    Même Berenson lui-même faisait partie des personnes dont se plaignait Gottlieb. Il a divulgué ce fait lors d'une apparition en octobre 2022 dans l' émission de Fox News "Tucker Carlson Tonight".

    "Je décourageais les gens de se faire vacciner, ce que la Maison Blanche voulait", a déclaré Berenson au présentateur de nouvelles Tucker Carlson. "Et puis Gottlieb … est allé sur Twitter et a dit:" Ce type est un problème ", puis ils m'ont banni. Ainsi a commencé l'acte final d'un complot secret de plusieurs mois visant à supprimer mon droit américain fondamental à la liberté d'expression. (En relation: Alex Berenson dit que l'ancien commissaire de la FDA et membre actuel du conseil d'administration de Pfizer s'est entendu avec Twitter pour l'interdire. )

    D'une part, Gottlieb a répondu aux révélations sur lui signalant le tweet de Giroir en affirmant que la publication de son e-mail à O'Boyle était une "divulgation sélective de ses communications privées avec Twitter". Le membre du conseil d'administration de Pfizer a poursuivi que la publication de sa correspondance avait alimenté "l'environnement de menace" et "lancé un dialogue plus menaçant, avec des conséquences potentiellement graves".

    D'autre part, Giroir a accusé le directeur de Pfizer d'avoir comploté avec Twitter pour "faire apparemment passer les intérêts des entreprises en premier" au lieu de donner la priorité à la santé publique.

    Censorship.news a plus d'histoires sur la censure de Twitter.

    Regardez Adm. Brett Giroir expliquer pourquoi le président Joe Biden a connu une infection révolutionnaire au COVID-19 même si ce dernier a été vacciné ci-dessous.

    - voir clip sur site :

    https://www.globalresearch.ca/twitter-censored-posts-about-natural-immunity-vaccines-after-pressure-from-pfizer-board-member/5804553

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  10. Le conseiller "indépendant" qui a évalué la sécurité des vaccins de Pfizer était un ancien consultant rémunéré de Pfizer


    De Michael Nevradakis
    Recherche mondiale, 13 janvier 2023


    Un membre d'un comité de surveillance des données prétendument indépendant chargé de garantir l'innocuité et l'efficacité du vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 travaillait auparavant comme consultant et conseiller rémunéré pour Pfizer.

    Le conflit d'intérêts apparent du Dr Kathryn Edwards a été révélé lors d'un récent épisode de " The Highwire with Del Bigtree ". Bigtree, journaliste indépendant et fondateur d'Informed Consent Action Network (ICAN), a interviewé Aaron Siri, l'avocat principal d'ICAN.

    Siri, soutenu par l'ICAN, a déposé puis contre-interrogé Edwards lors de l' affaire Hazlehurst contre Hays , le premier cas d'autisme lié au vaccin à avoir jamais été jugé par un jury aux États-Unis .

    Edwards a servi de témoin expert dans l'affaire Hazlehurst pour l'un des accusés, une clinique médicale du Tennessee qui a administré plusieurs vaccins infantiles à Yates Hazlehurst en 2001. Elle a témoigné que les vaccins reçus par Hazlehurst "n'étaient pas pertinents ou importants" pour le développement ultérieur de Hazlehurst. de l'autisme.

    Les transcriptions judiciaires examinées par The Defender révèlent que le conflit d'intérêts d'Edwards impliquant Pfizer n'était que l'un des nombreux révélés dans sa déposition et son contre-interrogatoire.

    Les transcriptions révèlent qu'Edwards avait, à certains moments, siégé à des comités gouvernementaux évaluant la sécurité des vaccins tout en maintenant des affiliations simultanées avec des fabricants de vaccins dont les produits étaient en cours d'évaluation.

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  11. Un examen de la déposition d'août 2020 d'Edwards et du contre-interrogatoire de janvier 2022 par Siri révèle également plusieurs cas où Edwards a apparemment été entraînée par d'autres alors que son témoignage était en cours. Edwards a nié qu'elle était entraînée, même lorsque des preuves à l'appui ont été présentées.

    Parallèlement aux conflits d'intérêts apparents antérieurs d'Edwards – dont beaucoup impliquent son association parallèle avec des fabricants de vaccins et avec des organismes évaluant des vaccins candidats – les transcriptions du tribunal soulèvent des questions sur l'impartialité plus large de comités théoriquement «indépendants» qui évaluent la sécurité des vaccins.

    Dans le cadre de cette enquête, The Defender a examiné la vidéo et les transcriptions de la déposition et du contre-interrogatoire d'Edwards, ainsi que des copies de son curriculum vitae (CV) de 2014 et 2019 et d'autres documents pertinents à ses antécédents médicaux et professionnels.

    Qui est Catherine Edwards ?

    Edwards est considérée comme une vaccinologue de renommée mondiale, certifiée en pédiatrie et en maladies infectieuses pédiatriques, qui a occupé des postes de professeur à l'Université Vanderbilt de Nashville, Tennessee, depuis 1980 – l'année où elle a également rejoint le programme de recherche sur les vaccins de l'institution, qu'elle dirigeait auparavant et dont elle reste membre.

    Selon l'une de ses biographies sur le site Web de Vanderbilt, Edwards est professeur de pédiatrie à la division des maladies infectieuses de la Vanderbilt University School of Medicine , où elle est également vice-présidente de la recherche clinique.

    Outre son affiliation avec Vanderbilt, Edwards est chercheuse principale du réseau d'évaluation de la sécurité de la vaccination clinique des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) .

    Une autre biographie universitaire d'Edwards indique qu'elle " travaille actuellement avec le CDC pour traiter les événements indésirables après la vaccination".

    Selon les propres mots d'Edwards lors de son contre-interrogatoire de 2022, elle a déclaré qu'elle avait «dirigé, organisé et mené des études sur les vaccins. Certaines de ces études sont les premières fois que ces vaccins sont utilisés chez l'homme et [j']ai étudié les vaccins et leur sécurité. Je continue de travailler avec le CDC pour fournir une évaluation de la sécurité des vaccins et travailler sur la recherche pour m'assurer que les vaccins sont sûrs et efficaces.

    Une autre bio de Vanderbilt pour Edwards déclare qu'elle a reçu des contrats du CDC et des National Institutes of Health (NIH), et a siégé à plusieurs comités du CDC, du NIH, de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et de l' Infectious Diseases Society of America.

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  12. La participation d'Edwards aux efforts liés à l'OMS comprend un rôle consultatif en 2007 dans l'évaluation des vaccins contre la grippe pandémique, un rôle consultatif non spécifié en 1999 et la présidence d'une réunion de 1997 sur la vaccination maternelle et néonatale contre le pneumocoque, selon une version 2014 accessible au public du CV d'Edwards .

    Le même CV indique qu'Edwards, entre 1991 et 1995, a été membre du Comité consultatif sur les pratiques d'immunisation (ACIP) du CDC et qu'entre 1996 et 2000, elle a été membre du US Food and Drug Administration (FDA) Vaccines et Comité consultatif sur les produits biologiques connexes (VRBPAC).

    Le témoignage fourni par Edwards lors de sa déposition en 2020 a confirmé ce qui précède, ainsi qu'un deuxième mandat au VRBPAC de 2016 à 2018. Selon le témoignage d'Edwards en 2022, l'ACIP "est un groupe d'experts non gouvernementaux dans les vaccins contre les maladies infectieuses et la santé des adultes et des enfants qui conseiller le CDC sur la politique vaccinale.

    Selon la FDA , le VRBPAC « examine et évalue les données concernant la sécurité, l'efficacité et l'utilisation appropriée des vaccins et des produits biologiques connexes qui sont destinés à être utilisés dans la prévention, le traitement ou le diagnostic de maladies humaines ».

    Le CV 2014 d'Edwards montre également une expérience antérieure au sein du comité exécutif de la section des maladies infectieuses et du comité des maladies infectieuses de l'American Academy of Pediatrics , une appartenance antérieure au comité des priorités en matière de vaccins de l'Académie nationale des sciences et une appartenance antérieure au conseil de l'American Pediatric Société.

    Edwards est également l'un des éditeurs associés de " Plotkin's Vaccines ", largement considéré comme l'un des principaux manuels scolaires de médecine sur les vaccins - que Bill Gates a décrit comme "un guide indispensable pour l'amélioration du bien-être de notre monde".

    Edwards est co-auteur de la section COVID-19 : Vaccins d'UpToDate, une ressource médicale en ligne au point de service.

    Edwards a également fait partie du comité de rédaction de nombreuses revues médicales réputées, notamment le New England Journal of Medicine (NEJM), Clinical and Vaccine Vaccine Immunology et Clinical Infectious Diseases.

    Les conflits d'intérêts d'Edwards divulgués de manière sélective - ou à contrecœur
    Les biographies en ligne d'Edwards détaillent ses nombreuses affiliations universitaires et gouvernementales - cependant, les détails sur ses liens avec les sociétés pharmaceutiques et les fabricants de vaccins sont manifestement absents de ces biographies.

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  13. Les biographies de la faculté de médecine de l'Université Vanderbilt d'Edwards et du Consortium de recherche clinique sur les maladies infectieuses (IDCRC) se concentrent sur sa direction antérieure d'études financées par le gouvernement et son travail de conseil antérieur auprès d'agences publiques et de l'OMS.

    Seule la biographie de l'IDCRC fait une mention superficielle de la participation antérieure d'Edwards à des "initiatives de vaccination et de surveillance multicentriques financées par l'industrie", sans fournir plus de détails.

    Son CV 2014 note sa participation à des études financées par Novartis, GlaxoSmithKline et d'autres grandes sociétés pharmaceutiques, mais ces affiliations ne sont pas explicitement énoncées.

    Lors de sa déposition en 2020, Edwards a nié avec véhémence tout conflit d'intérêts, passé ou présent. Elle a déclaré, par exemple, que lorsqu'elle était membre du VRBPAC, "il était impératif que je n'aie pas de conflits, et je n'avais pas de conflits".

    Cependant, ces réclamations se sont effondrées sous un examen plus approfondi en 2020 et 2022.

    Certaines publications de revues et activités universitaires auxquelles Edwards a été associé révèlent de multiples conflits d'intérêts, bien qu'elles ne fournissent pas une image complète de l'étendue de ces conflits.

    Par exemple, " Propositions to Accelerate Novel Vaccine Development for Children ", un article co-écrit par Edwards en décembre 2021 pour Pediatrics, une revue publiée par l'American Academy of Pediatrics, note dans la section "divulgation financière":

    « Kathryn Edwards a reçu une subvention du NIH et des Centers for Disease Control and Prevention et est consultante pour Bionet et IBM. Elle est également membre du Data Safety and Monitoring Board de Sanofi, X-4 Pharma, Seqirus, Moderna, Pfizer, Merck et Roche.

    Des affiliations similaires sont répertoriées dans les "informations sur le présentateur" fournies dans le cadre du programme en ligne de la conférence d'avril 2022 des Pediatric Academic Societies (PAS), où Edwards a fait une présentation. Cependant, le programme a répertorié son rôle pour des entreprises telles que Pfizer et Moderna en tant que "comité consultatif".

    Cependant, la plupart des autres biographies en ligne d'Edwards n'indiquent aucune affiliation à de telles grandes sociétés pharmaceutiques - pas plus que certaines des présentations scientifiques qu'Edwards a faites ces dernières années.

    Siri a exposé ces divergences lorsqu'il a destitué Edwards en 2020. Par exemple, il a souligné que dans une présentation de l'ACIP de juillet 2020 sur les considérations de sécurité des vaccins COVID-19, Edwards n'a pas révélé ses affiliations actives avec des sociétés telles que Pfizer et Moderna, et que cela l'information est également absente de son CV.

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  14. Ces affiliations avec Pfizer et d'autres fabricants de médicaments sont devenues l'un des principaux domaines d'intérêt de sa déposition de 2020 et de son contre-interrogatoire de 2022.

    Évaluer la "sécurité" du vaccin COVID de Pfizer - tout en étant payé par Pfizer
    Pour comprendre les conflits d'intérêts d'Edwards liés aux sociétés pharmaceutiques, il est important de comprendre le rôle des entités connues sous le nom de comités de surveillance des données (DMC), également appelées comités de surveillance des données et de la sécurité (DSMB).

    Une présentation du 25 avril 2022 sur les essais de vaccins COVID-19 de Pfizer, « Est-ce que ça marche — et — est-ce sûr ? » – qu'Edwards a co-présenté à la Johns Hopkins Division of Infectious Diseases, a fourni une explication du rôle de ces comités :

    «Les DMC sont considérés comme ayant la« gérance »du procès. Le Conseil a la responsabilité de surveiller l'innocuité et l'efficacité, et d'assurer la validité des résultats.

    « Les membres du conseil d'administration sont indépendants, sont des consultants rémunérés à l'heure et font l'objet d'une vérification approfondie des conflits d'intérêts.

    "Les données non masquées sont" protégées par un pare-feu "de la ou des équipes d'étude."

    La présentation poursuit en indiquant que la composition d'un DMC "devrait refléter les disciplines et les spécialités nécessaires pour interpréter les données et évaluer la sécurité des participants", et qu'il se compose généralement de trois à sept membres, selon "la phase de l'essai, gamme de problèmes médicaux, complexité de la conception et de l'analyse, et niveau de risque potentiel.

    Ce sont les comités, selon la présentation d'avril 2022, qui peuvent émettre des recommandations à l'entreprise pharmaceutique pour l'étude en question, y compris la poursuite, la modification ou l'arrêt de l'étude ou des études, ou la suspension d'une recommandation finale jusqu'à ce que davantage de données soient fournies.

    Un document interne de Pfizer , daté du 4 novembre 2020 et rendu public à la suite de la demande réussie de la loi sur la liberté d'information (FOIA) soumise par les professionnels de la santé publique et de la santé pour la transparence , a décrit le rôle du DMC pendant le Pfizer -Essais de vaccins BioNTech COVID-19 :

    "Ce comité de surveillance des données externes (E-DMC) (ci-après dénommé" le comité ") est un groupe consultatif d'experts unique, externe et indépendant créé pour superviser les données d'innocuité et d'efficacité du programme de vaccins BNT162.

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  15. Jackson a depuis déposé une plainte alléguant que Pfizer et d'autres "ont délibérément retenu des informations cruciales... qui remettent en question la sécurité et l'efficacité de leur vaccin ".

    Le rôle d'Edwards sur le DMC a été reconnu dans un article du NEJM de novembre 2021 , qui a révélé : « Les données rapportées ici soutiennent la vaccination des enfants de 5 à 11 ans avec deux doses de 10 μg du vaccin BNT162b2. L'étude a été réalisée "avec le financement de Pfizer".

    Le 7 octobre 2020, l'ICAN a envoyé une lettre de mise en demeure au département américain de la Santé et des Services sociaux, à la FDA, à l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) et à la Maison Blanche les alertant du manque de membres indépendants au sein des DSMB pour Vaccins COVID-19 et expliquant spécifiquement le conflit avec Edwards et un autre membre du DSMB.

    L'ICAN a ensuite partagé la lettre de réponse de la FDA du 18 novembre 2020, qui, selon l'ICAN , "ne parvient pas à résoudre un seul des conflits graves" et "rendrait toute personne raisonnable encore plus préoccupée par le processus d'autorisation d'un COVID-19". vaccin."

    La relation d'Edwards avec Pfizer ressort également de ses apparitions dans au moins deux épisodes de "The Antigen", un podcast produit par Pfizer. Dans l' épisode inaugural du podcast , Edwards a expliqué "pourquoi les vaccins sont plus pertinents que jamais", tandis que dans l' épisode quatre , Edwards a discuté de "l'hésitation aux vaccins" et de "tout ce qui est anti-vax".

    La déposition d'Edwards en 2020 a également révélé qu'entre 1996 et 1998, elle avait été payée 255 052 $ par an par la société pharmaceutique Wyeth Lederle "pour mener un essai clinique pour l'un de ses vaccins", tout en étant "consultante et membre du bureau des conférenciers" pour le même entreprise — et tout en étant membre du VRBPAC.

    "Lorsque vous avez voté pour approuver le vaccin de Wyeth Lederle sur VRBPAC, vous aviez également un contrat avec Wyeth Lederle pour 255 023 $ par an de 1996 à 1998 pour l'étude d'un autre de ses vaccins", a déclaré Siri lors de la déposition – qui après quelques hésitations, Edwards confirmé. En 2009, Pfizer a acquis Wyeth Lederle .

    Conflits d'intérêts multiples avec d'autres acteurs de Big Pharma
    Edwards a également entretenu des relations rémunérées avec d'autres sociétés pharmaceutiques - souvent simultanément ou à proximité de sa participation au VRBPAC, à l'ACIP et/ou aux DMC pour les vaccins produits par ces mêmes sociétés.

    Dans sa déposition de 2020, Edwards a d'abord affirmé qu'elle n'avait jamais été conseillère d'aucune entreprise de vaccins. Elle a cependant été obligée d'admettre plus tard qu'à la lumière des preuves produites, elle avait été à la fois conseillère et consultante pour Merck, notamment avoir reçu un paiement "récent" de 5 000 $ de Merck pour les services qu'elle a fournis.

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  16. Il a en outre été révélé lors de la déposition de 2020 et du contre-interrogatoire de 2022 qu'Edwards avait été consultant pour SmithKline Beecham (SKB) tout en menant un essai de vaccin pour la même société. Edwards est ensuite restée consultante et membre du conseil consultatif de GlaxoSmithKline (GSK) après sa fusion avec SKB, pour qui Edwards a affirmé qu'elle "avait contribué à la conception d'une étude sur la grippe".

    Le contre-interrogatoire de 2022 a également révélé qu'Edwards avait reçu des paiements de GSK pour ses services de conseil et pour les conférences qu'elle a fournies, tout en menant des essais cliniques avec certains des vaccins de la société.

    De même, dans sa déposition de 2020, Edwards a d'abord déclaré qu'elle n'avait jamais siégé à un bureau de conférenciers. Selon les propres mots d'Edwards, les bureaux des conférenciers consistaient en une "liste de noms que différentes personnes d'une société pharmaceutique diront que les gens donneront des conférences, et il est donc largement connu que je donnerai des conférences sur les vaccins".

    Elle a également affirmé lors de sa déposition ne pas se souvenir d'avoir fait partie des bureaux des conférenciers ou qu'elle s'était «mal exprimée», avant d'admettre qu'alors qu'elle siégeait au VRBPAC, elle faisait partie du bureau des conférenciers d'au moins deux sociétés - Connaught et Lederle-Praxis — et un consultant pour l'un d'entre eux. Ce n'était pas noté dans son CV.

    Lors du contre-interrogatoire de 2022, Edwards était plus ouverte, admettant qu'elle avait participé et reçu des honoraires des bureaux des conférenciers. Elle a également admis que de tels bureaux ne sont «pas très courants maintenant» et que «généralement, les gens ne veulent pas en faire partie parce qu'ils se sentent peut-être plus partiaux qu'ils ne devraient l'être».

    Bien qu'elle ait dit à Siri lors de la déposition de 2020 qu'il "ne sait rien de moi", lors du contre-interrogatoire, Edwards a qualifié son implication "dans les conflits récents" sur la base que "nous avons une pandémie nationale... et nous avons besoin de gens qui savent comment évaluer la sécurité des vaccins, et je passe beaucoup de temps à le faire.

    Edwards a également affirmé que le CDC et la FDA "ne pensaient pas" que son travail rémunéré pour les sociétés pharmaceutiques, y compris la conduite de leurs essais cliniques "étaient des conflits".

    Notamment, des sociétés telles que Merck, GSK et Sanofi, à qui elle a également fourni des services payants, ont produit des vaccins infantiles administrés à Hazlehurst avant le début de son autisme.

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  17. Siri a en outre montré, lors de la déposition de 2020, que pendant le mandat d'Edwards sur l'ACIP et le VRBPAC entre 1991 et 2000, de nombreux vaccins pour enfants ont été ajoutés au calendrier de vaccination pour enfants en constante expansion du CDC. Ceux-ci comprenaient l'hépatite A et B, le dTaP (diphtérie, tétanos, coqueluche) et Hib (Haemophilus influenza type B).

    La fin du premier mandat d'Edwards au VRBPAC, en 2000, a été encore marquée par la publication d'un rapport de la Chambre des représentants des États-Unis le 15 juin 2000 soulignant les conflits d'intérêts au sein du VRBPAC et de l'ACIP, notant:

    « Dans quelle mesure pouvons-nous être confiants dans un système lorsque l'agence semble estimer que le nombre d'experts est si peu nombreux dans le pays que tout le monde a un conflit et que des dérogations doivent donc être accordées ?

    "Il semble presque qu'il existe un" réseau de vieux garçons "de conseillers en vaccins qui tournent entre le CDC et la FDA, servant parfois simultanément."

    Le rapport a également identifié certains des conflits d'intérêts d'Edwards, notant : « Un autre membre [du VRBPAC], le Dr Catherine [sic] Edwards, recevait une subvention pour la recherche sur un autre vaccin de 163 000 $ de Wyeth Lederle.

    Edwards a coaché ​​pendant le témoignage - deux fois
    Une controverse impliquant Edwards a également éclaté lors du procès Hazlehurst lorsqu'il est apparu que quelqu'un entraînait Edwards, la guidant apparemment vers des réponses spécifiques aux questions auxquelles elle était confrontée de Siri, à la fois lors de la déposition en 2020 et du contre-interrogatoire en 2022.

    Dans au moins deux cas au cours de la déposition de 2020, qui à la suite de mesures liées au COVID-19 se sont produites en ligne via Zoom, Siri a demandé à Edwards si quelqu'un d'autre était dans la pièce avec elle, lui fournissant des réponses qu'elle répétait ensuite.

    Edwards a nié qu'elle était entraînée, affirmant que son mari "passait" ou lui demandait si elle "aimerait de l'eau". Plusieurs fois, Siri a dû demander à Edwards de réactiver son microphone.

    Cette question a ensuite été abordée lors du contre-interrogatoire de 2022, lorsque Siri a lu la vidéo de la déposition de 2020 – mais avec le volume amplifié, révélant une voix, hors caméra, qui pouvait être entendue dire des choses qu'Edwards a ensuite répétées textuellement comme sa réponse à Siri. Malgré l'enregistrement, Edwards a continué à nier qu'elle était entraînée.

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  18. Au cours du même contre-interrogatoire de 2022, qui a eu lieu dans une salle d'audience du Tennessee, le mari d'Edwards a été expulsé de la salle d'audience par le shérif et par le juge présidant l'affaire, après avoir été vu en train de communiquer de manière non verbale avec Edwards, lui donnant apparemment des instructions sur la façon de répondre. Encore une fois, Edwards a nié que ce soit le cas.

    À de nombreux autres moments au cours de la déposition et du contre-interrogatoire, les réponses d'Edwards consistaient en des variantes de "Je ne sais pas", "Je ne me souviens pas" ou "Je ne pouvais pas entendre ça".

    Notamment, lors de la conférence PAS de 2022, Edwards s'est apparemment appuyée sur son expérience lors de la déposition et du contre-interrogatoire – dont elle avait témoigné comme sa première fois en tant que témoin expert – pour faire une présentation intitulée « Comment se préparer et témoigner en tant que témoin expert pour les litiges liés aux vaccins .

    Et, à noter également, Edwards avait, pendant un mandat allant de 2012 à 2015, été membre du comité des conflits d'intérêts de l'American Board of Pediatrics, selon son CV de 2014.

    Liens étroits avec l'organisation de vaccins liée à Fauci et Gates
    Edwards semble également être lié au Dr Anthony Fauci , en partie grâce au financement qu'elle a reçu du NIH et du NIAID, l'un des 27 instituts qui composent ensemble le NIH et celui dirigé jusqu'à récemment par Fauci .

    Ces liens étaient évidents lors d'une session de questions-réponses de mai 2021 que Fauci a fournie aux étudiants de Vanderbilt «sur les leçons apprises pendant la pandémie et pour partager des conseils de carrière» – un événement animé par Edwards. Cet événement a eu lieu quelques jours seulement avant que Fauci ne reçoive la médaille du chancelier Nichols de l'université, le jour même où il a prononcé le discours d'ouverture de l'université.

    Edwards est également répertorié comme expert en vaccins par le Sabin Vaccine Institute , qui "reconnaît que les journalistes et les agents de santé jouent un rôle vital dans la santé publique en promouvant une couverture médiatique factuelle", ce qui a conduit à la création de son programme "Immunization Advocates". avec le soutien de GAVI, l'Alliance du Vaccin.

    Comme indiqué précédemment par The Defender, GAVI proclame une mission de « sauver des vies et protéger la santé des gens » et déclare qu'il «aide à vacciner près de la moitié des enfants du monde contre les maladies infectieuses mortelles et débilitantes».

    GAVI décrit son partenariat de base avec diverses organisations internationales, dont des noms désormais familiers : l'OMS, l'UNICEF, la Fondation Bill & Melinda Gates et la Banque mondiale, et avec l' Alliance ID2020 , qui soutient la mise en œuvre de « passeports vaccinaux ».

    Les membres fondateurs d'ID2020 incluent la Fondation Gates , Microsoft et la Fondation Rockefeller .

    https://www.globalresearch.ca/independent-advisor-who-evaluated-pfizer-vaccine-safety-former-paid-pfizer-consultant/5804548

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  19. Le président de la défense de la santé des enfants, Robert F. Kennedy, Jr., dépose un appel dans le 3e circuit contestant le mandat de vaccination de l'Université Rutgers


    Défense de la santé des enfants
    14 janvier 2023


    Washington, DC - Le 10 janvier, les avocats de Children's Health Defence (CHD) ont interjeté appel devant la Cour d'appel des États-Unis pour le troisième circuit contestant le rejet par le juge du tribunal de district du New Jersey le 22 septembre 2022 du CHD le 16 août. Procès de 2021 contre Rutgers et des responsables universitaires pour leur obligation de vaccin COVID-19 pour que les étudiants assistent aux cours, que ce soit en personne ou à distance. Le mandat qui a commencé au début du semestre d'automne 2021 exige désormais une vaccination complète et des rappels pour les étudiants, les professeurs et le personnel.

    L'appel vise à conclure que le tribunal de district a commis une erreur en appliquant de manière erronée la norme de contrôle applicable aux contestations d'une procédure régulière et d'une protection égale des étudiants. Il cherche également à montrer que le tribunal n'a pas accepté les allégations des demandeurs comme vraies, comme il le doit dans le cadre d'une requête en rejet. Les appelants contestent également la décision du tribunal selon laquelle les étudiants bénéficiant d'exemptions religieuses n'avaient pas qualité pour agir, estimant que leurs demandes étaient sans objet.

    L'appel conteste le fait que Rutgers s'est vu déléguer le pouvoir de la police de mandater des vaccins expérimentaux contre le COVID-19. De plus, la politique Rutgers est préemptée par la loi fédérale.

    Il y a des implications nationales pour tous les étudiants des collèges et des universités à travers le pays parce que les appelants demandent au tribunal de répondre à une question fondamentale : « Une université a-t-elle le pouvoir légal de contraindre un étudiant à consentir à une injection hautement invasive d'un médicament encore à un vaccin expérimental entièrement étudié qui n'empêche pas la propagation de la maladie et présente un risque de préjudice grave ? » CHD et les treize étudiants qui ont déposé cet appel disent non, ils ne le font pas.

    Le mémoire d'appel déclare : « À ce jour, ces injections n'ont pas été testées pour prouver qu'elles minimisent les épidémies. Rutgers le sait bien car Rutgers mène des essais cliniques pour les trois fabricants de vaccins, Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson. »

    En plus de M. Kennedy, les appelants sont représentés par l'avocat du New Jersey Julio Gomez, l'avocat principal du CHD Ray Flores et la présidente et avocate générale du CHD Mary Holland.

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  20. "Il est inacceptable que Rutgers ou toute autre école oblige les étudiants et les employés à prendre des médicaments expérimentaux pour aller à l'école ou pour être employés", a déclaré Holland. "Nous sommes convaincus que ce mandat de vaccin sera finalement jugé inconstitutionnel."

    À propos de la défense de la santé des enfants :

    Children's Health Defence est une organisation à but non lucratif 501(c)(3). Notre mission est de mettre fin aux épidémies de santé infantile en travaillant de manière agressive pour éliminer les expositions nocives, tenir les responsables responsables et établir des garanties pour prévenir les dommages futurs. Pour plus d'informations ou pour faire un don à CHD, visitez ChildrensHealthDefense.org.

    https://www.lewrockwell.com/2023/01/no_author/childrens-health-defense-chairman-robert-f-kennedy-jr-files-an-appeal-in-the-3rd-circuit-challenging-rutgers-universitys-vaccine-mandate/

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  21. Les données prouvent que les pharmacies américaines ont empoisonné le monde


    Par Ben Amstrong
    Le nouvel américain
    14 janvier 2023



    Les décès suite au vaccin COVID ont monté en flèche dans le monde entier. Mais ne vous inquiétez pas, les responsables de toute cette mort disent que ce n'est qu'une coïncidence, alors passez à autre chose.

    - voir clip sur site (Rumble) -

    Sources vidéo :

    1. Le défenseur - Voir c'est croire : ce que révèlent les données sur les décès suite au déploiement du vaccin COVID dans le monde

    2. Bannons War Room - Dr Robert Malone: les conseillers de la FDA déçus par les données sur la pandémie de vaccinés

    Cela est apparu à l'origine sur The New American.

    https://www.lewrockwell.com/2023/01/no_author/data-proves-us-pharmacies-poisoned-the-world/

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  22. Le vaccin contre le coronavirus comme source d'invasion dangereuse


    Par Jon Rappoport
    Blog de Jon Rappoport
    14 janvier 2023


    Cet article est basé sur les recherches d'Annie Logical. Son article de grande envergure et aux nombreuses ramifications, "Corona Virus Fakery And The Link To 5G Testing", peut être trouvé sur vigiliae.org.

    Dans des articles antérieurs (voir ici et ici), j'ai documenté deux des technologies expérimentales qui pourraient être déchaînées sur le public, dans la précipitation pour développer un vaccin contre le coronavirus.

    Les vaccins à ADN injectent des gènes synthétisés. La constitution génétique du receveur est modifiée de manière PERMANENTE de manière inconnue. Les vaccins à ARN ont le potentiel de déclencher des réactions auto-immunes : le corps attaque des aspects de lui-même.

    Comme si cela ne suffisait pas, il y a un autre élément déployé dans les vaccins à ADN. C'est ce qu'on appelle l'électroporation.

    Un dictionnaire en ligne fournit une définition : "l'action ou le processus d'introduction d'ADN ou de chromosomes dans des bactéries ou d'autres cellules [y compris des cellules humaines] en utilisant une impulsion électrique pour ouvrir brièvement les pores des membranes cellulaires".

    Un pionnier dans ce domaine est le Dr David Weiner. Il est le co-fondateur d'une société de San Diego, Inovio Pharmaceuticals.

    NBC San Diego, 25 janvier 2020 : « Une société de biotechnologie de San Diego vient de recevoir une subvention de 9 millions de dollars pour développer un vaccin contre le coronavirus. Inovio Pharmaceuticals a reçu une subvention de la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI). »

    Si Inovio obtient une licence pour vendre sa version d'un vaccin contre le coronavirus à ADN, l'électroporation sera sans aucun doute intégrée dans le cadre de la technologie.

    Voici un extrait d'un article, "Ce que vous avez toujours besoin de savoir sur les vaccins à ADN par électroporation", publié dans la revue Human Vaccines and Immunotherapeutics, le 1er novembre 2012 : "... la membrane cellulaire doit également être dans un [" ouvert »] afin de permettre le passage de la molécule d'ADN… [Électrique] Les impulsions peuvent être optimisées pour obtenir soit un plus grand degré de perméabilité de la membrane cellulaire (pour la diffusion passive des médicaments), soit un plus grand degré d'effet électrophorétique. Comme mentionné ci-dessous, il existe différentes façons de procéder, mais généralement une série d'impulsions courtes à haute tension (par exemple, 8 impulsions de 0,1 ms à une tension de 1 000 V/cm à la distance de l'électrode) est utilisée pour l'administration de médicaments, et une combinaison impliquant de longues impulsions à basse tension sont utilisées pour le transfert d'ADN [dans les cellules humaines] (par exemple, 1 impulsion de 0,1 ms, 800 V/cm et 1 impulsion longue de 400 ms 80 V/cm).

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  23. En un mot, cela signifie que les cellules humaines, dont les membranes sont "trop serrées" pour permettre l'injection d'ADN, seront "ouvertes" par des impulsions électriques, afin de délivrer le nouveau type de vaccin.

    Apparemment, il ne vient pas à l'esprit des chercheurs que les cellules humaines peuvent être aussi "serrées" qu'elles le sont pour une raison ; et les forcer à s'ouvrir avec des impulsions électriques, afin d'injecter de l'ADN, pourrait avoir des effets imprévus.

    L'électroporation n'est pas le même type d'action invasive que, par exemple, couper dans la chair pour retirer une balle, lors d'une intervention chirurgicale d'urgence. Les vaccins à ADN, ainsi que les impulsions électriques, seraient administrés à des personnes en bonne santé.

    Mais tant que nous nous considérons comme des cobayes, prêts à rester immobiles pour toutes sortes d'expériences médicales, quelle différence cela fait-il ? Les vaccins génétiquement modifiés, le corps qui s'attaque à lui-même, l'électroporation - si nous nous soumettons aux experts et à leurs assurances, je suis sûr que tout ira bien.

    Ok ?

    « Voici ce que nous faisons. C'est assez innovant. Vous voyez, avec des impulsions électriques, nous ouvrons brièvement des cellules et y injectons de l'ADN, du matériel génétique synthétisé. Normalement, les cellules rejetteraient une telle intrusion, mais nous contournons cela. Une fois que le matériel génétique est à l'intérieur des cellules, il imite un virus et le système immunitaire réagit, comme s'il s'agissait d'une véritable maladie virale. C'est l'effet vaccin. C'est merveilleux. Sûr. Rien de dangereux ne pouvait arriver..."

    Réimprimé avec la permission de l'auteur.

    https://www.lewrockwell.com/2023/01/jon-rappoport/the-coronavirus-vaccine-as-a-source-of-dangerous-invasion/

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  24. Gardasil : 10 mensonges dans un seul article de l'AFP Factuel


    Dr Gérard Delépine,
    pour FranceSoir
    le 13 janvier 2023 - 16:45


    "Cette production parvient à accumuler 10 mensonges en moins de 2 500 mots sans se référer à aucun chiffre réel, tout en se présentant factuel : un exploit en matière de désinformation !"
    AFP / DR

    TRIBUNE - Un “article” récent de l'AFP Factuel - la cellule “fact-checking” de l’Agence France-Presse (AFP) - repris par Actu Orange fait la promotion du vaccin anti-HPV (papillomavirus humain) Gardasil. Il tente de mettre en doute les faits rapportés dans ma tribune publiée par FranceSoir et ignore soigneusement les données officielles. Cette production parvient à accumuler 10 mensonges en moins de 2 500 mots sans se référer à aucun chiffre réel, tout en se présentant factuel : un exploit en matière de désinformation ! Contre-vérification en détails.

    1) NON, IL N’EXISTE AUCUNE PREUVE D’EFFICACITE ANTICANCER DU GARDASIL. Prétendre le contraire, comme le fait l’AFP Factuel, est mensonger :

    Pour expliquer l’absence de preuve d’efficacité contre le cancer invasif (pourtant essentielle pour un vaccin qui revendique cet objectif), l’Agence France-Presse (AFP), via sa cellule de fact-cheking “AFP Factuel”, répète la propagande du laboratoire MSD, qui commercialise le Gardasil 9 : “Il peut se passer entre 10 et 30 ans entre l’infection par le papillomavirus et l’apparition du cancer du col de l’utérus : ce délai n’est pas compatible avec des études cliniques sur ce critère”.

    MSD et l’AFP reconnaissent donc que l’efficacité anticancer n’a pas été étudiée. Mais cela ne les empêche pas d’utiliser cette prétendue efficacité non comme argument publicitaire !

    Pourtant la Haute Autorité de santé (HAS) précise dans son avis de septembre 2017 sur le Gardasil 9 : “Les données disponibles à ce jour ne permettent pas de répondre aux interrogations concernant l’efficacité en termes de prévention des cancers, comme pour les vaccins GARDASIL et CERVARIX.”

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  25. Alors pourquoi l’AFP ment-elle en déclarant fausse cette diapositive qui rappelle simplement l’absence de preuve d’efficacité contre le cancer ? Mensonge n°1 !

    - voir doc sur site -

    Et il faudrait prendre pour parole d’évangile la déclaration du professeur Jean-Luc Prétet, directeur du Centre national de référence sur les papillomavirus : “Il y a une vraie protection du vaccin contre les cancers, c’est clairement démontré par les études épidémiologiques". Ce dernier ne cite pourtant pas une seule de ces prétendues études. Il faudrait donc le croire, sans preuve, alors que toutes les données officielles du monde réel démontrent le contraire ?

    2) NON, EN AUSTRALIE LES CANCERS INVASIFS NE DISPARAISSENT PAS !
    L'AFP Factuel ment en déclarant faux un authentique graphique officiel australien

    L’éradication des cancers du col partout annoncée par les médias est totalement contredite par les déclarations officielles du gouvernement australien de 2022 reproduites ci-après : “Le nombre de diagnostics annuels de cancer du col de l'utérus est initialement passé de 966 en 1982 à 1 144 en 1994, puis a diminué à 695 en 2002 et a depuis augmenté régulièrement pour atteindre 839 en 2017. En 2021, on estime que 913 nouveaux cas de cancer du col de l'utérus vont être diagnostiqués en Australie.”

    - voir doc sur site -

    Ce graphique officiel du gouvernement australien illustre l’efficacité du dépistage cytologique (chute du nombre annuel de nouveaux cas de cancers invasifs de 50% entre 1994 et 2002) et dément la propagande permanente des médias et notamment de l’AFP qui prétend que l’Australie verrait l’éradication des cancers invasifs du col grâce à la vaccination, alors que depuis celle-ci leur nombre augmente.

    La capture d’écran confirme bien l’origine officielle du graphique et permet à chacun d’en vérifier l’authenticité. Mais l’AFP se contente de le déclarer... “faux”. Mensonge n°2 !

    De plus, contrairement aux assertions de l’AFP Factuel (mensonge n°3 !), il ne s’agit pas de projections mais bien des chiffres avérés enregistrés et publiés par les registres officiels des cancers australiens expliquant que les données du graphique publié en 2022 s’arrêtent à 2017.

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  26. On ne peut pas croire qu’il s’agirait d’une simple erreur de l’AFP car la source officielle du graphique était rappelée en rouge. L’Agence France-Presse pouvait par conséquent facilement le vérifier.

    Barrer d’une croix rouge et qualifier de faux un graphique officiel du gouvernement australien témoigne de sa volonté forcenée d’ignorer les faits qui dérangent.

    Plutôt que de rapporter des faits avérés et chiffrés, l'AFP Factuel donne la parole à des experts qui se trompent ou bien mentent.

    Ainsi M. Prétet prétend sans aucune vérification (mensonge n°4 !) : “Cette augmentation, si elle existe, ne touche sûrement pas les femmes vaccinées, ce sont des femmes qui sont plus âgées, autour de 45 ans”.

    Malheureusement pour lui, cette augmentation constitue un fait avéré et les chiffres rapportés en 2022 par l’Australian Institute of Health and Welfare prouvent que contrairement à ce qu’il pense, chez les 20-39 ans (le groupe le plus vacciné), le nombre annuel de nouveaux cancers de l’utérus a augmenté de plus de 50%, passant de 195 en 2001 (cinq ans avant la vaccination) à 331 en 2021 (après 15 ans de vaccination).

    - voir doc sur site -

    L'AFP Factuel utilise comme témoin de prétendus “experts” qui n’étudient, ne vérifient ni ne citent aucun chiffre officiel, mais récitent seulement leur crédo (celui des laboratoires pharmaceutiques, du gouvernement et de l’Institut Pasteur). Ainsi, l’AFP ment en se prétendant « factuelle » !

    3) EN SUÈDE, DEPUIS LA VACCINATION, LES CANCERS DU COL AUGMENTENT. Prétendre le contraire constitue un mensonge de plus (le 5ème) :

    L’AFP et son expert Francesco Salvo prétendent que les chiffres cités dans ma tribune seraient “inexacts et (représenteraient) une sélection aléatoire et malveillante des données”. Mais ceux-ci ne citent aucune donnée officielle à l’appui de leur croyance.

    D’ailleurs, ils reconnaissent eux-mêmes plus loin : “L’incidence des cancers augmente” en attribuant cette augmentation à “des progrès diagnostiques”, alors que les critères anatomopathologiques utilisés pour diagnostiquer le cancer invasif n’ont pas évolué depuis 50 ans.

    Mais revenons aux faits, rappelons les données officielles suédoises

    En 2017, le Centre suédois de prévention du cancer du col de l'utérus (NKCx) a constaté une augmentation très significative (p < 0,03) de l'incidence du cancer du col de l'utérus passée de 9,7/100 000 en 2006-2009 (date d’introduction de la vaccination) à 11,5/100 000 en 2014-2015.

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  27. En avril 2018, un article de l'Indian Journal of Medical Ethics (IJME) a soulevé l'hypothèse que l'augmentation du cancer du col de l'utérus serait liée à la vaccination, mais ce texte a été retiré ultérieurement car son auteur, craignant des représailles, avait utilisé un pseudonyme, violant ainsi la politique de transparence de l'IJME.

    En 2019, l’augmentation de l'incidence du cancer du col de l'utérus a été confirmée par Lars Jørgensen lors d‘un plaidoyer tentant d’innocenter la vaccination.

    En 2020, l’étude de J. Wang rappelle, de même, l’augmentation d’incidence des cancers invasifs du col dans la dernière décennie : “Parmi les femmes correctement dépistées avec des résultats normaux, il y a eu une forte augmentation de l'incidence en 2014-2015 par rapport aux années précédentes”.

    En 2022, l’augmentation d’incidence est confirmée et analysée par Avalon Sundqvis qui ne parvient pas à en trouver une explication satisfaisante.

    Au total, l’augmentation de l’incidence des cancers du col depuis la vaccination en Suède est constatée, confirmée et commentée par tous les articles scientifiques publiés depuis plus de dix ans. Comment l’auteur de cet article publié par l’AFP peut-il l’ignorer ?

    La présidente de MSD France, pourtant censée s’intéresser aux chiffres officiels du cancer du col, Clarisse Lhoste, mérite la palme de l’ignorance (ou de la désinformation ?). Elle a osé présenter la Suède, comme un “pays en passe d’éliminer les cancers liés au HPV grâce à la vaccination et au dépistage”.

    Ceci est le 6ème mensonge ! Et il est relayé complaisamment par l’AFP. Il s’agit d’un exemple caricatural de négation d’une réalité qui dérange, et/ou d’une propagande réfléchie qui paraît appliquer les conseils les plus manipulatoires en la matière : un mensonge répété mille fois se transforme-t-il en réalité ?

    L’AFP ment par omission (7ème mensonge !) en ne rappelant pas l’augmentation de l’incidence des cancers en Grande-Bretagne chez les femmes les plus vaccinées

    En Grande-Bretagne, on observe, depuis les campagnes de vaccination, la même évolution paradoxale qu’en Australie et en Suède associant l’absence de diminution globale d’incidence sur l’ensemble de la population, à une augmentation d’incidence chez les femmes âgées de 25 à 34 ans (groupe le plus vacciné) comme le rapporte cette capture d’écran de la figure publiée sur le site officiel Cancer research UK :

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  28. Une image contenant texte

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    Mais bizarrement, l’AFP et ses “experts” feignent d’ignorer cette augmentation d’incidence observée dans le groupe de femmes anglaises les plus vaccinées.

    L’AFP ment encore (8ème mensonge !) par omission en ne rappelant pas que la France, peu vaccinée, souffre moins du cancer invasif que les pays très vaccinés.

    En France, en 2018, l’incidence standardisée monde était de 6,1 /100 000. Depuis, elle est passée en dessous de 6 / 100 000 (seuil définissant les maladies rares, selon l’OMS) alors qu’elle atteint des taux supérieurs dans tous les pays apôtres de la vaccination : 7,1 en Australie, 9 en Grande-Bretagne, 13 en Suède et 13,5 en Norvège. Et ce sont ces pays qu’on nous donne en exemple !

    L’AFP ment encore en prétendant que le Gardasil est sans risques (9ème et 10ème mensonges !)

    Elle ne fait que citer les chiffres d’agences gouvernementales qui refusent d’enregistrer les complications post vaccinales et nient systématiquement tout lien de causalité entre complication et vaccin. En détails :

    - 9ème mensonge : l’Agence France-Presse fait semblant d’ignorer la mise en garde de l’avis de la Commission de la transparence de septembre 2017 confirmant l’existence de risques neurologiques : “un surrisque de syndrome de Guillain-Barré d’environ 1 à 2 cas pour 100 000 jeunes femmes vaccinées avec GARDASIL ou CERVARIX a été observé dans une étude épidémiologique réalisée par l’ANSM et la CNAMTS.”

    - 10ème mensonge : elle cache les nombreuses manifestations de familles qui ont fait vacciner leurs enfants et se plaignent des complications survenus depuis les injections.

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    On ne peut pas traiter ces manifestants d’antivax puisqu’ils ont fait vacciner leurs enfants alors que ce n’était pas obligatoire... Ils ne dénoncent d’ailleurs pas la vaccination en général, mais seulement la vaccination anti-HPV.

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  29. Aux États-Unis, en août 2022, une commission judiciaire a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin anti-HPV Gardasil. Mais l’AFP ne dit mot des procédures en cours. Comment peut-elle les ignorer ?

    L’AFP fait-elle encore du journalisme ?

    La charte mondiale du journalisme précise clairement :

    Respecter les faits et le droit que le public a de les connaître constitue le devoir primordial d'un journaliste.
    Conformément à ce devoir, le/la journaliste défendra, en tout temps, les principes de liberté dans la collecte et la publication honnête des informations, ainsi que le droit à un commentaire et à une critique équitables. Il/elle veillera à distinguer clairement l'information du commentaire et de la critique.
    Le/la journaliste ne rapportera que des faits dont il/elle connaît l'origine, ne supprimera pas d’informations essentielles et ne falsifiera pas de documents. Il/elle sera prudent dans l'utilisation des propos et documents publiés sur les médias sociaux.
    Plus de dix mensonges en un seul article. Aucune enquête objective. Aucun fait avéré. Aucun chiffre officiel rapporté. La parole donnée à de prétendus experts qui récitent leur crédo publicitaire mensonger sans modération. Voilà le travail accompli par AFP factuel. Il paraît légitime de se demander si cette agence fait encore du journalisme.

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/gardasil-10-mensonges-dans-un-seul-article-d-afp-factuel

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  30. Le déploiement du «vaccin» covid en Australie a été secrètement dirigé par l'ARMÉE AMÉRICAINE: rapport


    Vendredi 13 janvier 2023
    par : Ethan Huff



    (Natural News) Toute cette tyrannie dont nous vous avons parlé et qui s'est déroulée en Australie tout au long de la "pandémie" covid était dirigée, secrètement, par nul autre que l'armée américaine, nous le savons maintenant.

    Des verrouillages initiaux aux mandats de masque et de «vaccin», tout cela a été dirigé par le département américain de la Défense (DoD), qui a intégré son peuple dans la structure du pouvoir de l'Australie afin de soumettre la nation à la tyrannie et au génocide.

    Le pharmacologue Phillip Altman et un groupe de scientifiques, médecins et universitaires australiens affirment tous que le DoD « a joué un rôle dominant dans la réponse au virus SARS-CoV-2 et dans le développement, la fabrication et la distribution ultérieurs du Covid- 19 vaccins.

    L'opération Warp Speed, disent-ils, qui a été fièrement dévoilée et déclenchée par Donald Trump avant qu'il ne soit remplacé par Joe Biden, a permis au DoD de fabriquer rapidement les injections. Ces injections, Altman et al. disons, conçu, possédé et géré tous les flacons qui ont été plongés dans les bras des Australiens, dont beaucoup n'avaient d'autre choix que de se conformer - ou bien de perdre leurs moyens de subsistance et finalement leur vie.

    Selon Altman et sa coalition d'experts, le DoD a dépensé des milliards pour des "démonstrations de fabrication à grande échelle" qui n'avaient absolument rien à voir avec la science légitime. Il s'agissait d'une psy-op frauduleuse (opération psychologique) conçue pour générer des milliards de dollars de nouveaux profits pour Big Pharma tout en dépeuplant une grande partie de la planète.

    (En relation: Suite à la publication des injections de covid, le taux de natalité en Australie a chuté de 63 %, selon les données.)

    "L'intention était de donner l'impression que les processus réglementaires normaux étaient suivis alors qu'en réalité ils étaient complètement contournés", explique David James, écrivant pour LifeSiteNews.

    "Les gouvernements australiens et les autorités réglementaires ont participé à la tromperie, assurant à plusieurs reprises aux citoyens qu'il y avait une surveillance solide pour garantir la sécurité et l'efficacité - même lorsqu'il était évident que la sécurité à moyen terme était impossible à évaluer dans une période aussi courte et l'exigence de rappels répétés a montré que les injections n'étaient efficaces pendant aucune période de temps.

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  31. Le DoD essayait de créer un «vaccin» contre les chauves-souris en aérosol lorsque le covid a été libéré du laboratoire de Wuhan, selon Altman
    Dans un article que lui et son équipe ont compilé, Altman affirme que le DoD a perçu une sorte de menace pour la sécurité nationale – du moins le prétendait-il – qui a ensuite été utilisée pour transmettre tout le pouvoir aux États-Unis au complexe militaro-industriel.

    "... toutes les décisions à partir de ce moment jusqu'à aujourd'hui étaient soumises à leur commandement et à leur contrôle complets", affirment Altman et ses alliés. "De nombreuses conséquences néfastes ont été le résultat de cette réponse militaire secrète à la question de la santé publique."

    L'article poursuit en suggérant que le covid provenait en fait d'un laboratoire aligné sur l'armée américaine à Wuhan, mais qu'il avait été à l'origine falsifié dans le but de créer un "vaccin de chauve-souris en aérosol".

    EcoHealth Alliance a été directement impliquée, ce qui est également désormais largement connu, et le financement des contribuables américains a été acheminé vers le projet, via Tony Fauci et son Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), qui se déroulait sur le sol chinois communiste.

    Le projet Veritas a également confirmé en août 2021 qu'EcoHealth, grâce aux révélations faites par le major Joseph Murphy, un officier du Corps des Marines travaillant pour la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), a été impliqué dans la création de ce "délibérément virulent, humanisé, recombinant". SarsCov qui devait être rétro-conçu en un… vaccin contre les chauves-souris.

    Dans l'ensemble, on sait maintenant que le complexe militaro-industriel américain est directement responsable du déchaînement du covid, ainsi que de la plongée de la majeure partie du monde dans une nouvelle norme de fascisme médical et de tyrannie.

    Alors que les «vaccins» covid continuent de tuer et de détruire, nous vous tiendrons au courant des dernières nouveautés sur ChemicalViolence.com.

    Les sources de cet article incluent :

    LifeSiteNews.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-01-13-australia-covid-vaccine-rollout-secretly-us-military.html

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  32. Le Dr Paul Offit est en colère qu'on lui ait menti à propos des piqûres de covid


    vendredi 13 janvier 2023
    par : Lance D. Johnson


    (Natural News) L'une des plus grandes pom-pom girls de la vaccination est le Dr Paul Offit, directeur du Vaccine Education Center et médecin traitant de la division des maladies infectieuses de l'hôpital pour enfants de Philadelphie. En tant que membre du comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques apparentés, Offit aide la FDA à prendre des décisions sur l'approbation des vaccins pour la population.

    Historiquement, il n'y a pas de vaccin que Paul Offit n'aime pas. Il est tout pour les 70+ doses de vaccination pour les adolescents. Il se réfère souvent aux produits biologiques comme des « immunisations », même lorsque les preuves montrent que le vaccin provoque des réponses immunitaires décroissantes, des réactions aiguës graves et des problèmes de santé chroniques. Lorsque le covid jab a été déployé, Offit était prêt à célébrer ce miracle moderne de la science, ce sauveur de l'humanité.

    Paul Offit devient anti-booster, alors que la FDA et le CDC repoussent les jabs covid inefficaces
    Cependant, l'échec des jabs covid est si lamentablement flagrant que même le Dr Offit en est venu à admettre qu'il est tombé dans le piège d'un gros mensonge. "J'étais en colère d'apprendre qu'il y avait des données pertinentes pour notre décision que nous n'avons pas pu voir", a déclaré le Dr Paul Offit, "Les décisions qui sont prises pour le public doivent être prises sur la base de toutes les informations disponibles. – pas seulement certaines informations, mais toutes les informations.

    La FDA et le CDC ont le devoir de protéger le peuple américain contre la fraude et la propagande vaccinales, et ils ont lamentablement échoué. Alors que le public rejette les piqûres mortelles de covid, Offit essaie de pointer du doigt les fabricants de vaccins pour ne pas avoir fourni suffisamment de données.

    Curieusement, Offit et le comité consultatif ont reçu toutes les informations normales requises des fabricants de vaccins. Selon les présentations de diapositives présentées par Moderna, le CDC et la FDA ont examiné toutes les données typiques d'immunogénicité, ce qui montre que le vaccin a suscité des anticorps dans les analyses de sang des participants. L'approbation des vaccins est principalement déterminée par ces gains à court terme en anticorps. Les adjuvants toxiques sont souvent utilisés dans les vaccins pour forcer le corps à fabriquer un niveau plus élevé d'anticorps, afin de rendre le vaccin plus efficace. Pour le dernier rappel, les experts ont déterminé que les anticorps étaient suffisants pour combattre la souche Omicron du SRAS-CoV-2, et ils ont donc précipité les vaccins sur le marché.

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  33. Un mois après que les participants à l'étude ont pris le rappel, "nous ne voyons essentiellement aucune différence" entre les niveaux d'anticorps chez ceux qui ont pris les injections de rappel nouvelles ou anciennes, a déclaré le Dr David Ho, professeur de microbiologie et d'immunologie à Columbia dont l'équipe est l'auteur de l'un des études. Les données sur les anticorps ont été utilisées pour promouvoir l'efficacité du nouveau rappel, mais ces anticorps disparaissent en un mois.

    La FDA et le CDC approuvent de nouveaux vaccins sur la base de données limitées et d'études d'anticorps à court terme
    Lorsque les 21 conseillers de la FDA se sont réunis le 28 juin, une écrasante majorité (19) a voté pour approuver le nouveau rappel bivalent. Après l'approbation, le gouvernement américain a dépensé près de 5 milliards de dollars de fonds publics pour diffuser le nouveau jab au public. Pfizer a reçu 3,2 milliards de dollars supplémentaires des contribuables et Moderna a reçu 1,74 milliard de dollars supplémentaires.

    Lorsque les données complètes ont été publiées, Offit et d'autres membres du comité consultatif ont découvert que les participants à l'étude avaient contracté le covid-19 à près de deux fois le taux lorsqu'ils prenaient le nouveau rappel bivalent, par rapport au rappel d'origine. Exactement 1,9% des participants à l'étude qui ont reçu le rappel initial ont été infectés au cours de l'étude à court terme. Un pourcentage beaucoup plus élevé (3,2 %) a été infecté après avoir reçu le vaccin bivalent mis à jour au cours de l'étude à court terme.

    Curieusement, six des conseillers de la FDA et du CDC ont déclaré à CNN que les nouvelles données sur les infections n'auraient pas changé leur vote s'ils avaient reçu les informations en temps opportun. En d'autres termes, les nouveaux vaccins qui offrent encore moins de protection que leurs prédécesseurs, sont toujours considérés comme efficaces et devraient être approuvés pour l'ensemble de la population !

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  34. Non seulement la FDA et le CDC font des recommandations sur la vaccination en utilisant des données incomplètes, mais lorsqu'ils reçoivent de nouvelles données sur l'inefficacité d'un vaccin, ils recommandent toujours les injections. Même lorsque ces études d'anticorps à court terme ne tiennent pas après le premier mois, les comités de la FDA et du CDC maintiennent fièrement leur approbation.

    Sources include:

    12Feet.com
    NaturalNews.com
    FDA.gov
    12Feet.com

    https://www.naturalnews.com/2023-01-13-offit-angry-lied-to-about-covid-jabs.html

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  35. La « normalisation » des autorisations d'utilisation d'urgence inquiète les experts de la santé


    SANTÉ PUBLIQUE
    Marina Zhang


    La Food and Drug Administration (FDA) a approuvé un nombre sans précédent d'autorisations d'utilisation d'urgence (EUA) pour les médicaments, les tests et les dispositifs médicaux depuis le début de la pandémie.

    Entre mars 2020 et juin 2021, plus de 600 EUA ont été autorisés, selon Fortune.

    Cela a suscité des inquiétudes chez les professionnels de la santé, certaines études affirmant qu'une réaction excessive des régulateurs pourrait avoir entraîné une baisse des normes de l'industrie (1, 2).

    Comme précisé dans la revue Yale Medicine, « Une EUA ne peut être accordée que lorsqu'il n'existe aucune alternative adéquate, approuvée et disponible, et lorsque les avantages connus et potentiels l'emportent sur les risques potentiels. Une EUA ne dure également que le temps de l'urgence de santé publique pour laquelle elle a été déclarée.

    Avant 2020, l'urgence de santé publique qui autorisait le plus grand nombre d'EUA était la pandémie H1N1 de 2009, avec 22 EUA au total pour les équipements de protection individuelle (EPI), les antiviraux et les tests de diagnostic. Le seul vaccin autorisé en cas d'urgence avant la pandémie de 2020 était le vaccin contre l'anthrax.

    Compte tenu de l'augmentation drastique des EUA, les experts craignent que cette fois, la FDA soit allée trop loin.

    La normalisation des médicaments EUA et le manque de consentement éclairé

    Le cardiologue Dr Jack Askins a souligné que l'assaut sans précédent des autorisations d'urgence dans les médicaments, les vaccinations, les dispositifs médicaux, les tests COVID et les EPI a normalisé les médicaments et produits EUA comme étant entièrement approuvés par la FDA plutôt que d'être expérimentaux.

    Le professeur Linda Wastila de la faculté de pharmacie de l'Université du Maryland, dont l'expertise est en pharmacothérapie et en politique pharmaceutique, a déclaré à Epoch Times que le torrent de 600 EUA rend très difficile pour les professionnels de la santé de rester informés des statuts d'approbation des nouveaux médicaments. .

    Par exemple, Askins a précédemment déclaré à Epoch Times qu'il avait remarqué que certains de ses collègues qui prescrivaient Paxlovid n'étaient pas suffisamment conscients des nombreuses interactions et contre-indications que Paxlovid a avec d'autres médicaments.

    Paxlovid peut interagir avec 43 classes de médicaments différentes et plus de 550 ingrédients médicamenteux actifs.

    Même avant la pandémie, il était difficile pour les cliniciens et les pharmaciens de suivre le rythme, étant donné qu'environ 40 nouveaux traitements sont approuvés par la FDA chaque année, sans compter les médicaments génériques.

    Wastila a déclaré que par rapport aux produits traditionnels approuvés par la FDA, il y a eu moins de consentement éclairé avec les produits EUA pendant la pandémie.

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  36. Le consentement éclairé est défini comme « le processus par lequel un fournisseur de soins de santé éduque un patient sur les risques, les avantages et les alternatives d'une procédure ou d'une intervention donnée », et les patients doivent prendre leur propre décision volontaire.

    Le consentement éclairé est particulièrement important avec les produits EUA car ce sont des produits expérimentaux. Des articles sur les EUA ont comparé la prise de ces produits à la participation à des essais expérimentaux (1, 2).

    Une partie du consentement éclairé consiste à faire savoir aux patients que ce qu'ils prennent est expérimental et qu'ils ont le droit de refuser.

    Mais Askins a souligné que très peu de patients avaient obtenu un consentement éclairé lorsqu'ils prenaient des produits EUA tels que le vaccin.

    Il a déclaré que trois patients, dont chacun avait reçu le rappel bivalent en quatrième injection, avaient été admis dans sa clinique. Il a demandé à tous les trois s'ils avaient reçu des informations sur les risques potentiels et les données émergentes sur les préoccupations et les problèmes à ce sujet.

    "Tous les trois ont dit non", a-t-il dit, "je ne pense pas qu'ils comprennent l'autorisation d'utilisation d'urgence par rapport à l'approbation complète de la FDA."

    Il convient également de noter que les EUA ne sont pas accompagnées de données de sécurité à long terme.

    Alors que les médicaments entièrement approuvés par la FDA sont accompagnés d'une notice d'emballage densément écrite sur les effets secondaires et les mécanismes des médicaments, pour de nombreux produits EUA, tels que les vaccins COVID-19, ces sections sont laissées en blanc.

    Un porte-parole de Johnson & Johnson a déclaré que cela était intentionnel, laissant aux consommateurs le soin de rechercher en ligne les informations les plus récentes sur la sécurité et l'efficacité au fur et à mesure que les données sont publiées.

    Cependant, Wastila considère ce manque d'informations comme potentiellement dangereux.

    "Pour moi au moins, [il] transmet le fait qu'ils ne savent pas vraiment si un produit est sûr et efficace lorsqu'il s'agit d'un produit EUA."

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  37. L'érosion des normes de sécurité des médicaments

    Le Dr David Bell, ancien médecin de l'Organisation mondiale de la santé, a déclaré que la surutilisation des EUA pendant la pandémie a abaissé les normes de sécurité des médicaments mises en place pour protéger les patients.

    Les produits EUA sont très différents des médicaments approuvés par la FDA. Cependant, l'encouragement des agences de santé publique à utiliser les EUA a brouillé la séparation entre les EUA et les médicaments approuvés par la FDA.

    Wastila craint que l'EUA ne remplace l'approbation de la FDA comme norme.

    "[EUAs] ont perdu tout sens ", a déclaré le Dr Richard Amerling, interniste et néphrologue certifié. "Les gens n'entendent pas" utilisation d'urgence "; ils entendent seulement" autorisé "."

    Askins a fait valoir qu'il y avait eu des messages publics intentionnels de la part de la FDA pour que l'EUA apparaisse tout aussi sûr et équivalent à un produit entièrement testé et sous licence.

    En août 2021, la FDA a approuvé le vaccin Pfizer COVID-19 sous le label Comirnaty.

    Avoir un vaccin approuvé par la FDA aurait dû annuler l'EUA pour d'autres vaccins COVID-19, ou à tout le moins, le vaccin Pfizer EUA.

    Pourtant, le vaccin Pfizer EUA reste sur le marché américain. La FDA a également écrit que pour le vaccin Pfizer, "les doses distribuées dans le cadre de l'EUA sont interchangeables avec les doses autorisées".

    - voir graph sur site -

    Flacons de vaccin COVID-19 marqués Comirnaty à Berlin, en Allemagne, dans une image de fichier. (Tobias Schwarz/AFP via Getty Images)

    Une ordonnance rendue en novembre 2021 par le juge Allen Windsor du tribunal de district américain du district nord de la Floride a rejeté cette affirmation, déclarant que si les deux versions peuvent être médicalement interchangeables, elles ne sont pas juridiquement interchangeables.

    L'ordonnance du juge Windsor mentionnait également que les responsables de la FDA ne pouvaient pas prouver que les vaccins Comirnaty existent même aux États-Unis.

    Néanmoins, l'approbation complète de Comirnaty par la FDA a conduit de nombreux prestataires de soins de santé à supposer que les injections Pfizer administrées sont les versions sous licence.

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  38. Wastila a raconté une expérience dans son ancienne pharmacie locale.

    Elle prenait des antibiotiques et, tout en discutant avec le pharmacien, elle a posé des questions sur l'utilisation des vaccins Pfizer et Moderna.

    "[Le pharmacien] dit:" Oh, ils sont géniaux. Tout le monde est si heureux qu'ils soient approuvés par la FDA », a raconté Wastila. "C'est littéralement une citation de la bouche du pharmacien."

    "J'ai dit:" Ils ne sont pas approuvés par la FDA, cependant. "Elle dit:" Oh, Pfizer l'est. ""

    Alors Wastila a demandé à voir un emballage non ouvert du vaccin, et le pharmacien a montré au médecin un flacon.

    Le pharmacien a présenté un vaccin EUA ; il n'avait pas l'étiquette Comirnaty, qui serait imprimée conformément aux exigences d'étiquetage.

    Wastila a dit au pharmacien que la pharmacie utilisait toujours les vaccins EUA.

    "[Le pharmacien] était comme un peu étonné", a déclaré Wastila, "Mais il n'y a pas de consentement éclairé si même vos distributeurs ne savent pas qu'il est approuvé par l'EUA ou la FDA."

    D'autres déclarations d'urgence et EUA sont susceptibles de venir
    Les experts de la santé affirment que la gestion de la pandémie de COVID-19 a déjà abaissé les normes pour les futures déclarations d'urgence et EUA.

    Le Dr Robert Malone, biochimiste et l'un des inventeurs de la plateforme de médicaments à ARNm, a déclaré que la variole du singe, qui a été déclarée urgence de santé publique en août 2022 sans décès aux États-Unis à l'époque, est un bon exemple de cette norme réduite.

    Étant donné que la maladie affecte presque exclusivement les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, une population spécifique, et a entraîné jusqu'à présent 20 décès aux États-Unis, Bell et Wastila ont tous deux déclaré qu'il était ridicule qu'elle soit considérée comme une urgence de santé publique.

    "Maintenant que le chat est sorti du sac, [les déclarations d'urgence de santé publique] peuvent être utilisées très facilement maintenant car il existe des précédents [tels que] le COVID-19 et la variole du singe qui n'étaient pas très graves", a déclaré Bell.

    Le vaccin contre la variole, commercialisé sous le nom de JYNNEOS, a également été rapidement approuvé par l'EUA en quelques jours.

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  39. La FDA a écrit qu'il était "déduit" qu'un vaccin contre la variole serait efficace contre le monkeypox, étant donné que les deux virus appartiennent à la même famille.

    Cependant, selon une déclaration faite par le CDC le 19 octobre 2022, il n'y avait aucune donnée sur l'efficacité de JYNNEOS ou ACAM2000, une alternative à JYNNEOS, pour le monkeypox.

    vaccination contre la variole du singe

    Un panneau annonçant la vaccination contre la variole du singe est installé dans le parc tropical par le comté de Miami-Dade et Nomi Health à Miami, en Floride, le 15 août 2022. (Joe Raedle/Getty Images)
    Le vaccin a également des effets secondaires cardiologiques. Les données regroupées de 22 études ont montré que sur plus de 7 800 personnes vaccinées, six ont développé des événements indésirables cardiaques qui ont été déterminés comme étant causalement liés à la vaccination.

    Des inquiétudes ont été soulevées au sujet du virus respiratoire syncytial, connu sous le nom de VRS, chez les enfants. Bien que le virus n'ait pas été déclaré urgence nationale de santé publique, des déclarations ont été faites dans l'Oregon et le Colorado, et certains experts de la santé ont demandé une déclaration nationale.

    "Nous avons eu le VRS et la grippe chaque année, et tout d'un coup, c'est redevenu un gros problème, et c'est parce que nous avons peur de chaque infection virale, [nous] normalisons d'avoir peur de chaque contagion", dit Wastila.

    Perte de confiance dans la santé publique

    En tant que professeur de pharmacothérapie qui est en contact avec les pharmaciens et le personnel travaillant avec la FDA, Wastila a avoué que la pandémie a été un «réveil brutal» pour elle.

    "Les médecins, les distributeurs et les pharmaciens suivent aveuglément la sécurité et l'efficacité d'un produit simplement parce qu'il a le sceau d'approbation de la FDA, même si cette" approbation "est une EUA."

    Bien que des transactions financières déguisées soient suspectées et discutées depuis des décennies, Malone soutient que la pandémie a fait remonter la «corruption» à la surface.

    Financièrement, 65% du budget de la FDA provient des sociétés pharmaceutiques, une grande partie de cet argent provenant du parrainage des demandes d'approbation de médicaments.

    - voir graph sur site -

    Comparaison des principaux régulateurs de médicaments sur les conflits d'intérêts, selon les données de Maryanne Demasi (The Epoch Times)

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  40. La loi de 1992 sur les frais d'utilisation des médicaments sur ordonnance, également connue sous le nom de PDUFA, oblige les sociétés pharmaceutiques à payer la FDA pour l'approbation des médicaments.

    Wastila a déclaré qu'après avoir parlé à des collègues et des étudiants qui travaillent à la FDA, elle a le sentiment que la PDUFA a peut-être établi "une culture du droit" des sociétés pharmaceutiques à faire approuver et commercialiser leurs médicaments.

    "Les sponsors ont l'impression que, hé, nous avons payé pour cela", a-t-elle déclaré, "c'est comme une situation de paiement pour le jeu."

    De nombreux membres des comités d'évaluation des médicaments reçoivent également des paiements financiers des sociétés pharmaceutiques.

    Lors de l'évaluation d'un médicament, il doit y avoir "zéro conflit d'intérêts", a déclaré Amerling. "Déclarer que vous avez un conflit d'intérêts financier ne le fait pas disparaître."

    Bell a déclaré que la faible utilisation des vaccins chez les enfants de moins de cinq ans est un signe que les gens ne font plus confiance aux agences de santé publique.

    "Ils [la FDA] n'ont pas été en mesure de produire des données solides montrant qu'il y a un avantage toutes causes confondues pour ces enfants", a déclaré Bell.

    Pour les professionnels de la santé et les membres du public qui faisaient autrefois confiance à la FDA, certains estiment qu'ils n'ont plus d'endroit où aller pour obtenir des conseils sur les traitements.

    Amerling a déclaré que cela obligerait les cliniciens à être très conservateurs avec leur traitement.

    En tant que directeur académique de The Wellness Company, Amerling apprend aux médecins à ne prescrire que des médicaments ayant un dossier de sécurité d'au moins plusieurs années.

    "Ne soyez pas cette personne pour sauter dans le train avec un nouveau produit", a-t-il déclaré, "l'expérience post-commercialisation peut révéler des événements indésirables imprévus, et vous n'allez pas les voir même avec les études initiales, même s'ils c'est bien fait.

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  41. "Lorsque le risque à moyen et long terme est inconnu, il est préférable de pécher par excès de prudence, surtout si les avantages sont faibles."

    Wastila a ajouté qu'il y a eu un manque considérable d'informations sur la sécurité des médicaments depuis la pandémie, avec peu de contrôle de la part des régulateurs des médicaments.

    - voir graph sur site -

    Un graphique montrant l'âge par rapport au nombre absolu de rapports de syncope (évanouissement) déposés au VAERS selon les doses 1 et 2 des vaccins COVID-19. (Jessica Rose)
    Les boosters bivalents Pfizer, par exemple, ont été approuvés après avoir été testés sur huit souris.

    Bien que la FDA ait demandé des études post-commercialisation sur la myocardite et la péricardite dans le cadre de l'approbation du vaccin de Pfizer (pdf), Pfizer a annoncé des essais pour examiner ces événements en septembre 2022, près de deux ans après l'entrée des vaccins sur le marché. Moderna a lancé deux essais en novembre 2022.

    Wastila a déclaré qu'il était absolument nécessaire qu'un régulateur indépendant des médicaments qui ne soit pas affilié financièrement ou professionnellement au gouvernement, aux institutions universitaires et, surtout, à l'industrie pharmaceutique, fournisse des opinions impartiales sur la sécurité des médicaments.

    "La sécurité a toujours été le fils du mantra" sûr et efficace "", a-t-elle observé.

    https://www.theepochtimes.com/health/normalization-of-emergency-use-authorizations-concerns-health-experts_4969206.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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  42. Un joueur de tennis de 20 ans du Colorado College meurt subitement dans son sommeil


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 13 JANVIER 2023 - 20:20


    Nous détestons le dire, mais un autre jour, une autre mort mystérieuse et inattendue d'un athlète universitaire apparemment normal. Comme nous l'avons écrit hier, soit les médias se concentrent sur les reportages sur les décès prématurés d'athlètes et de jeunes adultes, soit quelque chose de très étrange semble se produire à travers le pays.

    Jack Madison, étudiant en deuxième année de l'équipe masculine de tennis du Colorado College, est décédé dans son sommeil le 2 janvier, confirme un nouveau rapport de la Gazette, publié hier. La vice-présidente et directrice des sports du Colorado College, Lesley Irvine, a déclaré: "Nous sommes dévastés par le décès tragique de Jack Madison."

    Athlète recherché, l'article note que Madison a été recruté "à Bexley, Ohio, où il a été sélectionné deux fois pour tous les États à la Columbus Academy". Sa cause de décès n'a pas été annoncée.

    "En tant que communauté, nous pleurons sa mort et sa perte et tenons tous ceux qui ont aimé et aimé Jack dans la lumière pendant cette période de deuil, en particulier sa famille et ses amis", a déclaré le collège dans un communiqué obtenu par FOX.

    "Il aimait le tennis et faire partie de l'équipe de tennis de CC, pour laquelle il a été recruté. Il s'est engagé pleinement dans la vie du campus d'une myriade de façons, embrassant CC au maximum. Jack était observateur, super imaginatif, créatif et indépendant d'esprit. Son humour, sa réflexion profonde et son esprit généreux ont été un cadeau dans ses amitiés et pour nous tous", a-t-il poursuivi.

    La mort de Madison fait suite à une liste croissante de morts mystérieuses et d'épisodes médicaux chez les jeunes adultes et les athlètes :

    Le 12 janvier 2023, nous avons écrit à propos de Jordan Brister, 18 ans, un lycéen de Las Vegas qui s'est effondré et est mort dans la salle de bain après un cours de gym.

    Sa mort est survenue la même semaine que la mort d'un autre élève du lycée de Las Vegas. L'effondrement de Brister a eu lieu le 8 janvier 2023 et un autre étudiant, Ashari Hughes, 16 ans, était décédé trois jours auparavant "à la suite d'un match de flag-football au lycée Desert Oasis" et avait subi un "épisode médical".

    Toujours au cours de la première semaine de janvier 2023, nous avons écrit à propos de Hunter Brown, joueur de football de l'Air Force âgé de 21 ans, qui a subi une "urgence médicale" alors qu'il se rendait en classe et est décédé.

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  43. Dans les premiers jours de 2023, le monde du MMA a également été choqué par la mort inattendue de Victoria Lee, 18 ans, une étoile montante de la promotion ONE Championship MMA.

    En janvier 2023, nous avons également mis en évidence le basketteur Old Dominion Imo Essien s'effondrant sur le terrain au milieu d'un match.

    Son effondrement est survenu un peu plus d'une semaine après que le joueur de la NFL Demar Hamlin s'est effondré sur le terrain en raison d'un arrêt cardiaque après avoir fait ce qui semblait être un tacle de routine.

    https://www.zerohedge.com/markets/20-year-old-colorado-college-tennis-player-dies-his-sleep

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  44. Les médecins britanniques ont doublé les prescriptions d'antipsychotiques pour les enfants et les jeunes : étude


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 13 JANVIER 2023 - 12:30
    Écrit par Jessie Zhang via The Epoch Times,


    Malgré le manque de preuves de l'innocuité des antipsychotiques chez les enfants, qui sont de plus petite taille et se développent encore rapidement, le nombre de prescriptions aux jeunes anglais a doublé entre 2000 et 2019, selon une étude.

    Les chercheurs de l'Université de Manchester ont examiné plus de sept millions d'enfants et d'adolescents âgés de 3 à 18 ans.

    Ils ont découvert que les prescriptions d'antipsychotiques chez les jeunes - des médicaments utilisés pour traiter les principales maladies mentales, telles que l'autisme, la schizophrénie et le TDAH - sont passées de 0,06 % à 0,11 % au cours des deux dernières décennies.

    Bien que le pourcentage soit faible, le co-auteur et chercheur principal à l'Université de Manchester, Matthias Pierce, a déclaré que la prévalence plus élevée de ces troubles, ainsi qu'une tendance croissante à prescrire des antipsychotiques par les cliniciens, sont préoccupantes.

    "Cependant, [il] aidera les cliniciens à évaluer plus complètement la prescription d'antipsychotiques aux enfants et les encouragera à envisager un meilleur accès à des alternatives", a déclaré Pierce.

    Les antipsychotiques ont été associés à des effets secondaires à long terme, notamment un dysfonctionnement sexuel, l'infertilité et une prise de poids entraînant le diabète.

    L'équipe a examiné 7,2 millions d'enfants et d'adolescents de médecins généralistes en Angleterre. (Dana.S/Shutterstock)

    Médicaments antipsychotiques les plus prescrits

    Pour les maladies mentales autres que la dépression et les troubles alimentaires, les chercheurs ont découvert que la rispéridone était le médicament le plus prescrit, représentant plus de 70 % des prescriptions.

    "Nous rapportons 20 fois plus de prescriptions de rispéridone que précédemment observé", ont écrit les auteurs.

    Le médicament le plus prescrit pour la dépression était la quétiapine, qui est approuvée par la Food and Drug Administration des États-Unis et associée aux effets secondaires de l'hypertension artérielle, des vomissements et de la fatigue.

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  45. Le médicament le plus prescrit pour les troubles de l'alimentation était l'olanzapine, le principal effet secondaire étant la prise de poids, les jeunes hommes semblant présenter un risque accru.

    Une étude similaire impliquant un examen de 12 semaines de l'utilisation de médicaments antipsychotiques chez les enfants a révélé qu'à la fin de l'étude, tous les enfants présentaient un changement de comportement. Cependant, tous les participants ont également montré des effets indésirables importants.

    Avant d'accepter de mettre leur enfant sous antipsychotiques pour gérer un comportement agressif, les parents devraient se renseigner sur les traitements alternatifs, selon Mark Olfson, chercheur en psychiatrie à l'Université de Columbia à New York.

    Il a dit que ceux-ci pourraient inclure la gestion de la colère, des conseils aux parents sur la façon de gérer l'agression et d'autres options psychosociales.

    L'étude a été publiée le 10 janvier dans le Lancet Psychiatry.

    https://www.zerohedge.com/medical/uk-doctors-have-doubled-antipsychotic-prescriptions-children-and-youth-study

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  46. Les affaires Zantac et la recevabilité des preuves scientifiques dans les tribunaux états-uniens


    14 Janvier 2023
    Barbara Pfeffer Billauer*


    Ma note : Cet article permet d'un peu mieux comprendre les arcanes du système judiciaire états-unien et de mettre les affaires « glyphosate » en perspective. Il y a un article complémentaire, « Peut-on vivre avec la NDMA, une nitrosamine ? »

    L'indigestion acide. Rien que ces mots me donnent des brûlures d'estomac. De nombreux remèdes sont disponibles, sur ordonnance ou en vente libre. Mais des centaines de milliers de personnes affirment avoir contracté un cancer à cause de l'un d'entre eux : le Zantac. Leurs affaires sont en instance dans divers tribunaux du pays. La décision concernant l'admissibilité des témoignages de leurs experts dans les affaires fédérales vient d'être rendue publique. Alors, comment s'en sont sortis les plaignants ?

    Le Zantac était l'un des sept médicaments anti-acides disponibles – jusqu'au 1er avril 2020 [1], date à laquelle la FDA a demandé son rappel volontaire. Ce n'est pas que le médicament, connu sous le nom de ranitidine, était en soi une source de préoccupations. Il s'agissait plutôt de la crainte que, avec le temps, le médicament puisse se dégrader en un composé appelé N-nitrosodiméthylamine (NDMA), un cancérogène probable pour l'homme à des doses suffisantes.[2]

    Les fabricants ont rapidement obtempéré, et tout aussi rapidement, les avocats des plaignants ont intenté des recours collectifs et des procès individuels dans tout le pays, tant ils étaient optimistes quant à l'issue d'une action en responsabilité. En août 2022, les fabricants de médicaments génériques ont accepté un règlement de 500.000 $ pour le Zantac une semaine avant le premier procès, ce qui a fait grimper les attentes et suscité des invitations à déposer des plaintes sur les sites Web des avocats des plaignants. On estime que 200.000 personnes font valoir des atteintes liées au Zantac.

    [L]a science faisant le lien entre le Zantac et la molécule cancérigène a été claire, donc même sans la récente décision de la FDA, la causalité serait solide.

    Quelque 50.000 plaintes ont été enregistrées dans les tribunaux fédéraux du pays et regroupées en Floride par le biais de la Multi-District Litigation (MDL), une procédure qui permet de résoudre rapidement des questions primordiales touchant tous les plaignants, telles que la négligence (l'allégation de l'absence d'avertissement sur le fait que la ranitidine est instable et peut former de la NDMA dans l'estomac) et l'admissibilité des preuves scientifiques étayant son prétendu lien de causalité avec le cancer. Dans ce qui semble être une autre marque d'évaluation sérieuse de la probabilité de succès et de la force de leurs preuves, les principaux avocats des plaignants ont limité ces affaires fédérales à cinq cancers : œsophage, vessie, estomac, foie et pancréas – qui semblaient les plus solides.

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  47. Admissibilité des preuves scientifiques

    L'admissibilité des preuves scientifiques dans tous les tribunaux fédéraux et dans 43 États est régie par la norme Daubert, du nom de l'affaire Daubert v. Merrell Dow, jugée par la Cour Suprême en 1993. Le test ultime, codifié dans les règles fédérales de la preuve (règle 702), exige que le fondement probatoire du témoignage soit :

    basé sur des faits ou des données suffisants

    le produit de principes et de méthodes fiables, et

    que l'expert ait appliqué ces principes et méthodes de manière fiable aux faits de l'affaire.

    Comme l'explique Daubert, le témoignage de l'expert doit être fiable, pertinent et adapté aux faits de l'affaire. L'affaire suggère une liste non exclusive et non obligatoire de cinq « tests » à l'aune desquels le témoignage proposé par les experts pourrait être évalué. Une affaire ultérieure, Joiner, exige que les conclusions de l'expert soient raisonnablement liées à la méthodologie utilisée. L'ipse dixit (ou « parce que je le dis ») est insuffisant, peu importe qui est l'expert.

    La première étape de l'évaluation de la preuve scientifique consiste à évaluer la preuve de la causalité générale apportée par le plaignant, c'est-à-dire que la substance en question peut causer le cancer (en laissant aux cas individuels la question de savoir si la dose à laquelle les plaignants individuels ont été exposés était suffisante pour déterminer la causalité spécifique). Mais pour la ranitidine, cette question est plus obscure.

    Après avoir mené une « audience Daubert » de trois jours, la juge Robin Rosenberg a rejeté l'ensemble des preuves scientifiques des plaignants dans un avis cinglant de 341 pages. Daubert charge les juges d'être les « gardiens des preuves scientifiques », et la juge Rosenberg a pris sa tâche au sérieux, en déterminant que les dix experts des plaignants n'ont pas respecté les normes minimales pour garantir la fiabilité, la pertinence et l'adéquation scientifiques de leurs témoignages.

    Si la NDMA est bien reconnue comme un cancérogène probable, comment la juge a-t-elle pu rejeter le témoignage causal des experts ?

    La question, a déclaré la juge en citant une litanie de cas, n'est pas de savoir si le produit de dégradation présumé, la NDMA, est un cancérogène probable mais si la ranitidine elle-même est un cancérogène probable. Et cela dépend, dans une large mesure, de :

    La quantité de NDMA qui s'accumule au fil du temps et à laquelle un plaignant potentiel est exposé, c'est-à-dire la dose. et

    Des preuves épidémiologiques prouvant une relation de cause à effet entre la ranitidine et le cancer qui – jusqu'au dernier moment – étaient inexistantes.

    La NDMA est omniprésente, on la trouve, par exemple, dans les viandes grillées et transformées et dans l'eau. La dose journalière admissible (limite autorisée) de la FDA dans les produits de consommation est de 96 ng – considérée comme un niveau de protection, et non un niveau signifiant une causalité.

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  48. En 2019, un procès citoyen a été intenté sur la base d'une étude réalisée par Valisure, une entreprise privée, affirmant avoir trouvé dans la ranitidine une quantité de NDMA supérieure à trois millions de nanogrammes ! C'est cette découverte qui a déclenché les poursuites actuelles (et incité la FDA à poursuivre son enquête), soulevant, entre autres, la question de la dose-réponse (que l'excellente toxicologue de l'ACSH, Susan Goldhaber, aborde ici).

    Pour produire une dose potentielle de trois millions de nanogrammes, Valisure a manipulé les preuves – en chauffant la ranitidine à 130 degrés Celsius au lieu des niveaux de stockage normaux ou d'une température corporelle humaine de 37 degrés. Bien sûr, ils ont également testé la ranitidine à 37 degrés – mais ils l'ont alors mélangée avec du sel. Cette fois, ils ont obtenu une dose de 300.000 nanogrammes. Est-ce que cela correspond au test de pertinence requis dans Daubert ? Le tribunal a répondu par la négative.

    "Selon l'expert d'un plaignant, la quantité de sel utilisée pour produire 300.000 ng de NDMA était si importante qu'elle était proche du niveau où, en cas de consommation, l'apport en sel causerait la mort. Lorsque Valisure a testé la ranitidine avec des concentrations de sel plus proches de ce qu'un humain pourrait ingérer en toute sécurité, Valisure n'a détecté aucune NDNA".
    - Juge Rosenberg

    La décision commence par un examen des études de Valisure avant que la juge Rosenberg ne s'attaque à l'expert en chimie des plaignants, le Dr Najafi, qui fonde son évaluation de la NDMA grossièrement excessive provenant de la décomposition de la ranitidine sur ses propres études, que la juge a jugées peu fiables. Elle poursuit avec un examen didactique et détaillé plutôt inhabituel des études épidémiologiques et de laboratoire sur lesquelles les autres experts fondent leur témoignage, et conclut que le témoignage des dix experts est incohérent, non pertinent et non fiable. Démontrant que leur méthodologie « pick and choose » (utiliser des données sélectionnées lorsqu'elles sont favorables et ignorer les données défavorables – sans explication) était intrinsèquement et fatalement non fiable, elle rejette l'affaire.

    La juge a examiné chaque élément de preuve et chaque donnée d'une manière que l'on ne voit généralement que lors du contre-interrogatoire par des avocats de la défense astucieux. Bien que la juge dispose d'un certain pouvoir discrétionnaire pour rejeter une affaire lorsque les preuves sont si scandaleuses (par exemple, incohérentes) qu'aucun jury raisonnable ne les accepterait, il n'est pas clair si la juge Rosenberg a outrepassé son pouvoir ici.

    Les plaignants fédéraux font appel. Il reste à voir ce que les cours d'appel feront de l'examen judiciaire approfondi de la juge Rosenberg.

    Mais même si la décision fédérale est maintenue, l'affaire n'est pas terminée pour autant. Des dizaines de milliers de plaignants ont déposé des plaintes pour 15 autres types de cancer devant des tribunaux d'État.

    "Je continue à poursuivre ces plaintes parce que je pense qu'elles sont valables [...] Je pense que les plaignants ont un bon dossier et que la science est solide. Je ne vais pas laisser tomber une demande valable quand je pense que mon client a la possibilité de se rétablir".
    - Ashley Keller, avocate des plaignants, traitant 7.000 cas en Californie.

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  49. Diverses raisons sont invoquées pour justifier le dépôt de plaintes auprès des tribunaux d'État : nécessités procédurales, décisions antérieures du juge fédéral défavorables aux plaignants (forum shopping – le fait d'engager une action auprès du tribunal le plus favorable), expérience de l'État dans la gestion de litiges complexes, et le fait que les tribunaux d'État sont généralement préférables pour les plaignants. Les affaires portées devant des juridictions d'État sont concentrées dans cinq États : Delaware, Pennsylvanie, New York, Illinois et Californie. Il y a une raison non explicitée à cela, qui préoccupe toute personne désireuse d'exclure la science poubelle des tribunaux.

    L'admissibilité (et la solidité) des preuves scientifiques du plaignant, qui sont essentielles à la preuve du plaignant, diffère dans ces cinq États du reste du pays. Sept États, dont les cinq où sont intentés les procès restants concernant le Zantac, sont régis par la norme Frye, issue d'une affaire jugée en 1923. La norme Frye a régi l'admissibilité des preuves scientifiques à l'échelle nationale jusqu'à la décision Daubert, 70 ans plus tard, en réponse à l'épidémie de « science poubelle dans les tribunaux ». La norme Frye exige que les preuves soient conformes au consensus d'opinion de la communauté scientifique. Les tests de Daubert sont plus souples et permettent – mais n'exigent pas – la prise en compte de la norme Frye.

    Des milliers d'articles savants ont débattu de la question de savoir quelle norme favorise quelle partie. Certains affirment que Daubert se prête davantage aux nouvelles revendications et pourrait être plus accueillant pour les affaires Zantac. Des milliers de plaignants et leurs avocats doivent penser le contraire – très probablement parce que la FDA a décidé de rappeler le médicament (démontrant vraisemblablement un consensus scientifique) en 2020.

    Nous devrons attendre et voir.
    ____________

    [1] Le Zantac a été remplacé par la famotidine de Sanofi, qui ne fait pas partie du rappel, ce qui laisse encore sept remèdes anti-acides disponibles.

    [2] « Selon la FDA, si une personne consomme 96 ng de NDMA chaque jour pendant 70 ans d'affilée, le risque de cancer serait de 1 sur 100.000, soit 0,001 % » – Juge Robin Rosenberg
    _____________

    * Le Dr Barbara Pfeffer Billauer, JD MA (Occ. Health) Ph.D., est professeur de droit et de bioéthique au sein du Programme International de Bioéthique de l'Université de Porto et professeur de recherche sur l'art politique scientifique à l'Institute of World Politics à Washington DC.

    Source : The Zantac Cases and Admissibility of Scientific Evidence | American Council on Science and Health (acsh.org)

    https://seppi.over-blog.com/2023/01/les-affaires-zantac-et-la-recevabilite-des-preuves-scientifiques-dans-les-tribunaux-etats-uniens.html

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  50. Peut-on vivre avec la NDMA, une nitrosamine ?


    14 Janvier 2023
    Susan Goldhaber*


    Une série de recours collectifs prétend que le Zantac peut causer le cancer. Ce n'est pas le Zantac en tant que tel, mais un produit de dégradation, la N-nitrosodiméthylamine (NDMA), qui peut causer le cancer à des doses élevées. Que savons-nous de la NDMA ?

    Ma collègue, le Dr Billauer, se concentre sur l'aspect juridique de l'affaire du Zantac ; en tant que toxicologue, je souhaite me concentrer sur la NDMA, substance cancérigène présumée. La juge dans l'affaire fédérale du Zantac était confrontée à la question de savoir si la NDMA présente dans le Zantac (ranitidine) était responsable du cancer observé chez les plaignants. Pour répondre à cette question, il était vital pour elle de savoir quel niveau de NDMA provoque des cancers humains. Et pour répondre à cette question, nous devons explorer les aspects suivants de la NDMA :

    Les effets sur la santé ;

    La relation dose-réponse (quelle quantité est nécessaire pour provoquer un effet indésirable) ;

    Comment les organismes de réglementation choisissent leurs niveaux « sûrs » pour les produits chimiques.

    La NDMA est partout

    La NDMA est l'une des nombreuses substances chimiques du groupe des nitrosamines qui ne sont fabriquées que pour des applications de recherche. Cependant, on les trouve partout car elles sont produites par la réaction d'un composé azoté (comme l'acide nitreux, le nitrate et le nitrite) avec d'autres composés chimiques (amines) présents naturellement dans les aliments, la transformation et la conservation des aliments, ainsi que dans les processus de fabrication de produits de consommation et de produits pharmaceutiques, dans l'eau potable et même dans notre corps.

    On trouve ces composés partout car les scientifiques peuvent désormais mesurer les niveaux chimiques à l'échelle du nanogramme ; un nanogramme est un milliardième de gramme, soit environ le poids d'une cellule humaine ! (Pour les malins, un gramme contient 1.000.000.000 de nanogrammes).

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  51. Effets sur la santé

    La NDMA et d'autres composés nitrosaminés sont considérés par l'EPA, le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) et le National Toxicology Program (NTP) comme des substances probablement cancérogènes pour l'homme. Pourquoi probable et non « connu » ? Parce qu'il n'y a pas de preuve directe qu'elle provoque le cancer chez l'homme, mais il existe des études animales montrant un cancer après une exposition à la NDMA.

    Des études sur des animaux ont mis en évidence des cancers du foie, de l'œsophage et du poumon chez les rats, les souris et les hamsters après une exposition à des niveaux élevés de NDMA dans l'alimentation. Cependant, en raison des différences entre la physiologie, le comportement, la génétique et la pharmacocinétique (la transformation des produits chimiques ou des médicaments dans le corps) des animaux et des humains, une substance chimique provoquant un cancer chez les animaux ne signifie pas qu'elle provoquera nécessairement un cancer chez les humains.

    Certaines études humaines ont rapporté une association entre la consommation d'aliments contenant des niveaux élevés de NDMA et un risque accru de cancer de l'estomac, du côlon et du poumon. La plupart de ces études étaient de type cas-témoins : les personnes étaient séparées en deux groupes – l'un atteint d'un cancer et l'autre non – et devaient répondre à des questionnaires sur leurs habitudes alimentaires passées. Le problème que posent les conclusions de ces études devrait être évident : combien de personnes se souviennent de ce qu'elles ont mangé il y a un an ? La plupart d'entre nous ne se souviennent même pas de ce qu'ils ont mangé hier !

    Dose-Réponse

    La dose-réponse examine le niveau d'un produit chimique qui provoque un effet néfaste sur la santé des humains. Cette discussion concerne la dose-réponse pour le cancer, la préoccupation de nocivité pour la NDMA. Lorsque l'on considère les effets à court terme ou non cancéreux, tels que les dommages au foie, les organismes de réglementation utilisent une approche différente pour évaluer le risque, en utilisant d'autres modèles ou aucun.

    Le cancer se développe au fil du temps ; c'est un effet sur la santé à long terme ; même un agent cancérigène puissant, comme le tabac, a besoin de plusieurs années pour que le cancer se forme. Pour répondre à la question du niveau d'une substance chimique qui provoque le cancer, les scientifiques utilisent des modèles où les données sur les fortes doses provenant d'études sur les animaux sont extrapolées à de faibles niveaux de substances chimiques dans l'environnement pour déterminer le risque de cancer chez l'homme.

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  52. Trois modèles principaux sont utilisés, et la différence entre eux est que deux d'entre eux, le modèle à seuil et le modèle d'hormèse de radiation, ont une dose appelée seuil, en dessous de laquelle aucun effet négatif sur la santé n'est noté. Le modèle linéaire sans seuil ne présente pas de seuil, ce qui signifie que toute quantité, aussi petite soit-elle, peut provoquer un effet néfaste.

    L'EPA et la plupart des autres agences utilisent généralement le modèle linéaire sans seuil parce qu'il est le plus conservateur, c'est-à-dire qu'il montre des effets à des doses plus faibles que les deux autres modèles. L'EPA reconnaît qu'il s'agit d'estimations supérieures du risque basées sur des hypothèses non quantifiables concernant les effets à faibles doses.

    Ces modèles ne déterminent pas la quantité d'un produit chimique nécessaire pour provoquer un cancer ; ils déterminent plutôt le risque de cancer. Le risque de cancer mesure le nombre de cas de cancer supplémentaires, au-delà de ceux qui pourraient survenir naturellement, qui se développent dans une population après une exposition à un produit chimique au cours de sa vie entière (estimée à 70 ans).

    Pour la NDMA, l'EPA a modélisé une étude montrant un cancer du foie chez les rats dû à la présence de NDMA dans leur eau potable. L'EPA a estimé qu'il y aurait un décès excédentaire par cancer pour 100.000 personnes en présence de 6,0 nanogrammes de NDMA par litre d'eau. Santé Canada a utilisé le même modèle mais une étude animale différente et a calculé le risque de cancer à 40 ng de NDMA par litre d'eau.[1]

    Comment les organismes de réglementation choisissent les niveaux « sûrs » de produits chimiques

    Ces risques de cancer ne sont pas fixés comme des limites réglementaires ; cependant, ils sont souvent utilisés par les organismes de réglementation pour établir les niveaux acceptables de substances chimiques dans l'eau, l'air ou, dans le cas de la FDA, les produits pharmaceutiques et les produits de consommation. Les agences de réglementation considèrent souvent un risque de cancer excessif de un sur dix mille à un sur un million comme un niveau de risque « acceptable » (même si cela n'a aucune base scientifique) et utilisent la concentration d'une substance chimique dans cette gamme de risque pour fixer un nombre réglementaire.

    Pour déterminer la dose journalière admissible de NDMA, la FDA

    a utilisé le niveau de risque de Santé Canada de 40 ng/L, corrrespondant à un cas de cancer sur cent mille ;

    l'a multiplié par deux parce que l'adulte moyen consomme environ 2 litres d'eau par jour. :

    a ajouté 16 nanogrammes supplémentaires.

    Résultat : 96 nanogrammes par jour de NDMA sur toute une vie d'exposition ; il s'agit d'une exposition cumulative, et non d'une exposition à court terme comme celle que l'on peut subir en prenant du Zantac.

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  53. Conclusions

    La réponse précise à la question de la juge concernant le niveau de NDMA qui cause le cancer chez l'homme n'est pas facilement disponible. La raison en est la variabilité significative basée sur les études et les modèles utilisés. Comme la science ne peut pas répondre facilement à cette question, la personne moyenne est sujette à une peur inutile parce que les scientifiques et les médias ne parviennent pas à faire la différence entre une exposition à court terme qui peut avoir des effets mortels et une situation impliquant un risque cumulatif.

    La NDMA provient d'une grande variété de sources, y compris les aliments, et essayer de déterminer le risque de cancer à partir d'une seule source, comme le Zantac, est au mieux problématique. Ce qui me donne de l'espoir, c'est que la juge dans l'affaire du Zantac l'a compris et n'a pas laissé des données scientifiques non fiables, incohérentes et non pertinentes prendre le dessus.
    _____________

    [1] Un rat typique boit entre 20 et 50 ml d'eau par jour.

    [2] La documentation de la FDA était insuffisante et ne précisait pas la source des 16 nanogrammes. Mon meilleur jugement, que je n'ai pas pu vérifier, est qu'il s'agissait probablement d'une estimation de la NDMA provenant d'autres sources, comme la nourriture et l'eau.

    Sources : EPA Six-Year Review 3 Technical Support Document for Nitrosamines (en anglais seulement)

    Recommandations pour la qualité de l'eau potable au Canada

    * Susan Goldhaber, M.P.H., est une écotoxicologue qui a plus de 40 ans d'expérience dans des agences fédérales et d'État ainsi que dans le secteur privé. Elle s'intéresse particulièrement aux produits chimiques présents dans l'eau potable, l'air et les déchets dangereux. Elle se concentre actuellement sur la traduction des données scientifiques en informations utilisables par le public.

    Source : Can We Live with NDMA? | American Council on Science and Health (acsh.org)

    https://seppi.over-blog.com/2023/01/peut-on-vivre-avec-la-ndma-une-nitrosamine.html

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  54. Premier vaccin approuvé pour les abeilles - Gates on board


    14 janvier 2023
    par Thomas Oysmuller


    Pour la première fois, un médicament a été approuvé aux États-Unis, censé immuniser les insectes contre un agent pathogène. La société qui a développé le "vaccin" peut être attribuée à l'empire Gates. Il y a aussi une connexion avec l'Autriche.

    TKP l'a déjà signalé : Bill Gates veut des "vaccins" de thérapie génique pour les animaux. Mais en plus du bétail et des poulets, d'autres animaux sont également ciblés. Maintenant, le premier vaccin pour les abeilles a été approuvé. L'agence américaine USDA (Department for Agriculture, ndlr) a désormais approuvé conditionnellement l'agent, censé agir contre la loque. C'est le premier traitement de ce type à être homologué pour les insectes.

    Connexion Gates

    Bien sûr, ce n'est pas une vaccination. Aucune abeille n'est piquée avec l'aiguille. Le médicament, qui contient des "versions mortes de larves de Paenibacillus, la bactérie qui cause la maladie", est ajouté à la gelée royale. La gelée est consommée par la reine et aurait immunisé les dernières larves contre la loque. Néanmoins, le médicament s'appelle "vaccination". Comme on le sait, le terme a déjà été adouci pour la thérapie par ARNm. Les insectes manquent en fait des protéines qui aident le système immunitaire de nombreux animaux à reconnaître et à combattre les bactéries et les virus.

    Le médicament provient de la société de biotechnologie américaine "Dalan Animal Health". Là, ils ont déjà d'autres vaccinations d'abeilles en préparation. L'homologation d'un médicament contre la loque européenne est également bien avancée. L'essai du vaccin a été entrepris avec 800 reines des abeilles.

    Un petit compte Twitter affirme que l'entreprise fait partie de l'empire Gates, et que Jeff Bezos (patron d'Amazon) et Mark Zuckerberg y sont également investis. TKP a fait des recherches sur cette affirmation : Susan Hershenson est la directrice associée du conseil consultatif de la société. Elle est directrice associée à la Fondation Gates pour la chimie, la fabrication et le contrôle. La société peut être comptée parmi l'empire Gates avec une conscience claire.

    Connexion Autriche

    Dalan a également une connexion avec l'Autriche. Dalail Freitak est le directeur scientifique. Elle est professeure associée pour la recherche sur les abeilles à l'Université Karl-Franzens de Graz. Après l'approbation, elle a déclaré au New York Times que « le vaccin pourrait aider à changer la façon dont les scientifiques abordent la santé animale ».

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  55. Selon le New York Times, c'est elle qui a façonné de manière décisive le développement :

    "Une fois que les scientifiques ont compris que les insectes pouvaient réellement acquérir une immunité et la transmettre à leur progéniture, le Dr. Freitak pour répondre à la question de savoir comment ils font cela. En 2015, elle et deux autres chercheurs ont identifié la protéine spécifique qui provoque une réponse immunitaire chez la progéniture et ont découvert qu'ils pouvaient cultiver l'immunité dans une population d'abeilles à reine unique.

    Susan Hershenson a dit un jour : "Nous avons le pouvoir de transformer la façon dont nous prenons soin des insectes et d'avoir un impact sur la production alimentaire à l'échelle mondiale." "Elle vient du développement de médicaments."

    « Il y a des millions de ruches dans le monde et elles n'ont pas un bon système de santé par rapport aux autres animaux. Nous avons maintenant les outils pour améliorer leur résistance aux maladies », déclare Anette Kleiser, PDG de Dalan.

    Le compte Twitter affilié à Musk "Wallstreet Silver" a écrit sur Twitter après l'approbation : " Maintenant, ils sont après les abeilles. Ils commenceront à utiliser des vaccins contre la méthode de pollinisation pour une grande partie de notre approvisionnement alimentaire. Qu'est-ce qui pourrait mal tourner là-bas ? »

    L'industrie du miel est "euphorique" après l'approbation. Avec la "vaccination", vous protégerez de nombreuses abeilles. "Notre vaccin est une percée dans la protection des abeilles", a déclaré Anette Kleiser, la patronne de Dalan, après approbation. Bill Gates devrait être heureux aussi. En tout cas, la presse grand public affirme que l'approbation serait une "bonne nouvelle". Après tout, le médicament a également été approuvé, il doit donc être "sûr et efficace".

    https://tkp.at/2023/01/14/erstmalig-impfstoff-fuer-bienen-zugelassen-gates-an-bord/

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    1. HAHAHAHAHA !

      Fini le 'mal-aux-dents, au dos ou au cul' des abeilles ! La-presse-est-là ! HAHAHAHAHA !

      On attend avec impatience les premières plaintes des abeilles Mayas ! HAHAHAHAHA !

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