- ENTREE de SECOURS -



lundi 16 janvier 2023

18e AZK Florian Pfaff : Paix et sécurité – pourquoi nous avons besoin d'une meilleure politique

 

58 commentaires:

  1. 18e AZK Florian Pfaff : Paix et sécurité – pourquoi nous avons besoin d'une meilleure politique


    14.01.2023
    www.kla.tv/24754


    Ivo Sasek : « Si tu as déjà eu le souhait d'entendre un jour un chef militaire parler de paix, c'est précisément aujourd'hui que ton souhait se réalise. Nous avons aujourd'hui parmi nous un homme, le prochain conférencier, qui, alors qu’il était major dans l’armée allemande, a héroïquement refusé d'entrer dans la guerre en Irak avec ses troupes. Et cela a fait grand bruit. Et cet homme va nous parler aujourd'hui du thème de la paix et de la sécurité et de la raison pour laquelle nous avons besoin d'une meilleure politique.
    Nous accueillons maintenant avec une ovation ce héros, Florian Pfaff. »

    Florian Pfaff : « Merci beaucoup, Ivo Sasek. Mais je ne suis pas un héros, je n'ai fait que mon devoir ».

    Ivo Sasek : « Merci, nous entendrons ensuite son parcours. »

    Brève biographie :
    Florian Pfaff a été soldat de la Bundeswehr de 1976 à 2013. Il s'est fait connaître du grand public en 2003 lorsqu'il a refusé d'obéir - avec le grade de major - à un ordre illégal de ses supérieurs (ignorer les lois et sa conscience et participer indirectement à la guerre en Irak en tant qu'informaticien). Pour cela, il a été interné en psychiatrie par l'armée allemande et menacé de prison, mais il a été acquitté par la justice et récompensé à plusieurs reprises, notamment par la médaille Carl von Ossietzky de la Ligue internationale des droits de l'homme et du World Citizen Award. Depuis la guerre d'Irak, il est activement engagé dans le mouvement pour la paix, et depuis 2021, il est également actif en politique partisane (pour le parti encore petit, la base dans le domaine de la paix et de la sécurité). Il est également le porte-parole du groupe de travail "Darmstädter Signal", une association de militaires et d'anciens militaires actifs et critiques de la Bundeswehr.

    Exposé de Florian Pfaff :
    Paix et sécurité - Pourquoi nous avons besoin d'une meilleure politique

    Florian Pfaff : Merci beaucoup pour cette aimable invitation, Ivo Sasek. Merci aussi à tous les organisateurs et organisatrices. J'ai déjà remarqué que le travail de traduction est de toute évidence énorme, dans tant de pays ! Et je remercie bien sûr aussi tous les spectateurs qui s'y intéressent, car à quoi cela sert-il que je parle de quelque chose ici, de quelque chose de vrai, de quelque chose de mauvais et que personne ne dise « nous voulons changer cela », c'est pourquoi je remercie tous les participants.

    RépondreSupprimer
  2. Ensuite, un bref préambule à mon sujet. Qui suis-je ?

    Suis-je un antisémite, un théoricien de la conspiration, je suis peut-être enclin à la violence ? Eh bien, je ne suis évidemment pas antisémite, je dis que l'Holocauste a existé, je condamne l'Holocauste. Mais je ne condamne pas seulement l'Holocauste, je condamne le racisme dans le monde entier, donc aussi la haine des Russes ou des Ukrainiens ou de quoi que ce soit d'autre, la haine n'est jamais juste, la haine est toujours fausse ! Quelle est ma position sur les théories de la conspiration ? Eh bien, c'était mon travail de protéger les conspirationnistes. Cela s'appelle la démocratie, qu'on puisse dire ce qu'on veut, et on n'est pas obligé d'être du même avis sur les chemtrails, par exemple. Mais qu'on puisse aussi avoir une opinion qu'un autre n'a pas, c'était autrefois la mission d'un soldat. Et qu'on puisse aussi critiquer un gouvernement, c'est ce qu'on appelait autrefois l'opposition. Moi-même, bien sûr, j'ai prêté serment, donc je suis aussi un conspirateur, si on veut, mais je pense qu'il y a beaucoup plus de conspirateurs et beaucoup plus secrets, toutes les sociétés secrètes par exemple, ou les services secrets. Et personne dans cette salle ou ailleurs dans le monde ne doit croire que ces personnes ne reçoivent pas d'argent, bien au contraire. Suis-je moi-même enclin à la violence ? Oui, en partie, dans la mesure où la loi le permet ; la violence policière par exemple ou la défense d'un État de droit contre une attaque d'un État de non-droit.

    Ça n'a évidemment aucun sens de défendre une dictature contre un État de droit. Si c’est humainement, raisonnablement, moralement et légalement admissible, alors je dis que la violence est acceptable. Je n'y vois pas d'inconvénient non plus, à condition qu'elle ne se serve pas de mensonges, mais qu'elle s'en tienne à la vérité. Ce sont mes exigences par rapport à la violence. Et bien sûr, pour moi, la diplomatie comme alternative - si je suis contre quelque chose, je dois aussi dire pour quoi je suis - a toujours la priorité sur la guerre et la violence armée.
    C'est aussi ce que veut la Charte de l'ONU, et c'est aussi ce que veut la Loi fondamentale.

    Cela m'amène déjà à mon exposé. En effet, je vais parler principalement de censure. La loi fondamentale allemande dit aussi : « La censure n'existe pas ». Malheureusement, si, la censure existe tous les jours en Allemagne. Je vais en parler dans un instant. Pire encore : il n'y a pas que de la censure, il y a même de l'incitation du peuple à la haine, il y a déformation de la vérité en son contraire. C'est encore pire que la censure. La banalisation de la guerre n'est qu'un exemple parmi d'autres. Prenons peut-être un autre exemple : les virus respiratoire RS. J'entends en ce moment à la radio qu'il y a un service entier qui ne traite plus que les enfants atteints du virus RS. Oui, qui a prédit cela ? C'est nous, les gens critiques, qui avons dit : Si vous imposez les masques aux enfants, vous les protégez peut-être du Covid, mais le système immunitaire se dégrade et ils attrapent alors d'autres virus, par exemple le VRS [virus respiratoire syncytial = agent pathogène des infections aiguës des voies respiratoires].

    RépondreSupprimer
  3. Et c'est ce qui s'est passé. Celui qui a dit cela à l'époque était un « affabulateur ». Celui qui a dit que nous ne devions pas fermer les crèches, que les effets négatifs étaient pires, que les enfants ne tombaient même pas malades, et encore moins qu'ils mouraient - celui-là était un « affabulateur ». Et aujourd'hui, même un Karl Lauterbach le dit. Mais maintenant, tout à coup, ce n'est plus une « affabulation ». Maintenant, quand c'est dit officiellement, c'est tout à coup ok et personne ne s'excuse auprès de nous. Il en sera toujours ainsi.

    Voilà, j'en étais donc à la censure qui existe. Où existe-t-elle, la censure ? Eh bien, par exemple, la censure existe dans toutes les entreprises, même dans l'armée allemande, qui est une entreprise, entre guillemets. Parce que la loi est si mal interprétée que ce qui en ressort n’est plus « qu'il n'y a pas de censure », mais « qu'un employé ne peut pas nuire à son employeur pour des raisons économiques ». Donc si je travaille dans une entreprise de tabac et que je découvre qu'on y a mélangé quelque chose qui rend les gens malades et dépendants, la loi allemande m'interdit de le dire, car je porterais ainsi préjudice à mon employeur. C'est de la censure. C'est tout à fait légal. Il n'y a justement pas de loi sur les lanceurs d'alerte. Nous aurions besoin d'une loi qui dit : "Celui qui dit la vérité ne peut jamais être poursuivi". Et à l'inverse, nous aurions besoin d'une loi comme pour la fausse monnaie. Celui qui invente et propage délibérément des mensonges est également passible d’une peine. Les deux ne sont pas dans la Loi fondamentale, et ça signifie que la Loi fondamentale, tel un canard boiteux, ne peut pas juger cela. Si les gens n'appliquent pas la Loi fondamentale, elle ne figure pas dans le code pénal et donc personne ne sera poursuivi. Enfreindre la Loi fondamentale ne coûte pas un franc ni un euro.

    Mais il y a aussi tous les journalistes, dont beaucoup doivent signer qu'ils ne rapporteront pas la vérité. Ils signent qu'ils ne rapporteront en aucun cas la vérité complète, et ce, lorsqu'il s'agit de s'opposer au petit frère et au grand frère. C'est-à-dire l'Atlantique, l'Alliance de l'Atlantique Nord ou Israël. Dans ce cas, on ne peut rien dire de négatif. Les choses positives, oui, mais les choses négatives, non. C'est évidemment de la censure, qui est programmée si je force ces personnes à signer de tels contrats. Ou alors, ils perdent leur emploi ou ne sont pas embauchés du tout. Dans l'armée allemande, c'est la même chose. Mais tous ceux qui écoutent ici ont un grand avantage : il y a une exception à cette règle. Cette exception est la suivante : l'intéressé lui-même, à qui on fait subir des infamies, peut le publier. Aucun de mes camarades n'aurait le droit de publier ce que je vais dire dans mon exposé, à moins que je ne l'aie moi-même publié auparavant et qu'il ne fasse que me citer, pour ainsi dire. C'est pourquoi l'AZK peut publier tout cela, car je l'ai déjà publié. D'ailleurs, j’en ai publié une partie dans mon livre, j'en reparlerai plus tard. Ne vous inquiétez pas, on ne peut plus l'acheter, tout au plus chez les antiquaires, mais je ne gagne plus rien avec.

    Je vais donc me lancer dans mon exposé. Et nous commencerons par laisser d'autres personnes dire à quel point le débat public est important :

    « Dans l'histoire de l'humanité, le mensonge, la falsification des faits, a toujours été une tentation d'évincer les autres pour se procurer un avantage dans la sphère privée comme dans la sphère politique. Et le fait que les affirmations et les arguments doivent être soumis à un examen public, est un grand acquis de la démocratie libérale. Que dans le débat public, les arguments se heurtent aux contre-arguments, les affirmations aux faits afin que le mensonge soit démasqué. »

    RépondreSupprimer
  4. « Les experts présents sur la scène s'attaquent aujourd'hui à un sujet qui touche aux fondements de notre constitution démocratique libérale. Le débat public, le débat parlementaire, la lutte pour le meilleur argument - tout cela ne peut réussir que si nous pouvons nous entendre sur une réalité commune. »

    « Pour paraphraser Platon, qui dit dans Politeia que si on ne peut plus nommer ce qui est public et qui concerne tout le monde en commun, alors on est à l'âge de l'idiotie. »

    « Un coup d'œil au-delà des frontières de notre pays le révèle : La formation d'une opinion publique basée sur des faits ne va vraiment pas de soi. Les dictatures et les systèmes autocratiques de ce monde ont pour caractéristique de mettre au pas et de réprimer les médias libres et de réglementer l'accès à Internet. Il n'est pas rare que la propagande d'État parvienne ainsi à dépeindre des mirages et des images déformées de la réalité qui contribuent à stabiliser son propre système de domination, à priver l'opposition politique de tout pouvoir d'action et à étouffer dans l'œuf toute prise de conscience critique de la population. Mais même dans une société démocratique et libérale comme la nôtre, le débat public n'est pas exempt de menaces. »

    Voilà pour l'importance. Je voudrais expliquer brièvement qui était cet homme, car dans le reste du monde, peu de gens le connaissent. C'était tout de même le président de la Cour constitutionnelle fédérale. Et nous retenons que le plus important, à mes yeux, le plus important, de ce qu'il a dit, ce n'est pas que nous ne sommes pas exempts de menaces, même dans une démocratie, mais que cette censure, c'est-à-dire la suppression, notamment aussi du libre accès à Internet, est justement un élément essentiel des dictatures et des systèmes autocratiques. Ce n'est donc pas moi qui l'ai dit, c'est lui. Maintenant, je vais donner quelques exemples, trois courts exemples à écouter : « Moscou utilise désormais sa richesse énergétique comme une arme contre les États qui se sont rangés aux côtés de l'Ukraine et fournit de moins en moins de gaz. » Oui, ces méchants Russes fournissent de moins en moins de gaz. Deuxième exemple : « La guerre contre l'Ukraine se transforme de plus en plus en guerre du gaz pour le reste de l'Europe. Le président russe Poutine coupe de plus en plus le robinet de gaz aux pays européens. Après que Gazprom a déjà cessé de livrer cinq pays de l'UE en mai, le groupe public russe réduit désormais ses exportations vers d'autres pays. » Eh bien, ils ne livrent tout simplement plus. Et le dernier exemple audio : « Lubmin sur la mer Baltique. Le vent souffle, le sable est d'un blanc poudré. Dans le port industriel de cette paisible station balnéaire débarquent les tubes de Nordstream 2 et 1. L'un des pipelines a été déclaré obsolète par l'Allemagne après l'invasion russe de l'Ukraine. Quant à l'autre, Poutine en réduit entre-temps régulièrement le volume de livraison. » Nous pouvons entendre ce genre de choses tous les jours, 24 heures sur 24. Essayons d'analyser cela. Poutine ne livre plus de gaz, c'est vrai. La Süddeutsche Zeitung ne m'approvisionne plus non plus. Je ne reçois plus de journaux de leur part, car j'ai résilié mon abonnement. Et quand quelqu'un ne paie plus, il ne reçoit évidemment plus rien. Dans ce cas, le fait que nous ayons même essayé de rendre l'extraction et le transport du gaz plus difficiles constitue un facteur aggravant.

    RépondreSupprimer
  5. Cela veut dire que là aussi, on a essayé de faire un boycott. Et qu'en est-il du fait que l'Allemagne ne voulait plus du Nordstream 2 après le début de la guerre en Ukraine ? C'est exactement l'inverse. Ce n'était pas l'Allemagne, ce n'était pas après le début de la guerre et, comme je l'ai dit, ce sont les États-Unis qui ont directement interdit cela. Ce n'est pas parce que l'Allemagne ne voulait pas. Il s'agit du fait que les États-Unis ont imposé cela, qu'ils ont dit « Nous savons même comment l'empêcher si vous ne jouez pas le jeu ». Donc les Etats-Unis ont empêché ce Nordstream 2 avant le début de la guerre en Ukraine. Ce n'est évidemment pas ce qui est dit dans ces déclarations. Y a-t-il des gens qui disent cela correctement ou qui disent d'autres choses ? Oui, il y en a. Il y a un Suisse qui dit par exemple, je cite : « On sait depuis longtemps que les milices ukrainiennes commettent des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité. La Suisse ne les a pas condamnés. Actuellement, de nombreux crimes de guerre ukrainiens commencent à être dénoncés par des témoins occidentaux et des volontaires humanitaires. Leurs révélations sont censurées, comme celle de Natalia Usmanova, censurée par « Reuters » et « Der Spiegel », qui dit que ce sont les milices ukrainiennes, et non les Russes, qui ont empêché les civils de passer par les couloirs humanitaires. Dans les faits, la Suisse soutient des pratiques interdites par les Conventions de Genève, dont elle est l'État dépositaire. [État qui assure le respect d'un traité international] » Je partage cet avis. Je pense qu'il n'en va pas autrement en Allemagne, où les autres crimes, c'est-à-dire les crimes de l'autre camp, c'est-à-dire de l'Ukraine, sont censurés et supprimés. Voici un exemple qu’on n'entend, qu’on ne lit ou qu’on ne voit nulle part chez nous dans les médias de masse :
    « J'ai toujours été un grand humaniste et j'ai toujours dit que lorsqu'un homme est blessé, ce n'est plus un ennemi, mais un patient. Mais maintenant, j'ai donné des ordres très stricts pour que tous les hommes soient castrés, car ce sont des cafards, pas des hommes. Et je pense que tous les médecins qui ont sauvé les patients - des Russes - vont mourir. Mourir en grand nombre. Ceux qui viendront (ici) se souviendront de leur cauchemar sur le sol ukrainien, comme les Allemands se souviennent de Stalingrad. »

    Donc en clair : "J'ai donné l'ordre que les soldats soient castrés, les prisonniers de guerre". Celui qui fait ça devrait en fait être dénoncé devant le monde entier. Celui qui ne se contente pas de commettre de tels crimes par erreur ou de quelque manière que ce soit, mais qui les veut systématiquement, qui incite à les faire ou, dans ce cas, qui les ordonne même, devrait naturellement être poursuivi. Et c'est pourquoi nous ne savons pas cela, ni en Allemagne, ni en Suisse, ni en Autriche, ni dans le reste du monde. Car alors, nous ne pourrions plus dire que les uns sont les bons, les autres les méchants, et c'est tout. Jacques Baud en a également parlé, (« Spiegel », « Reuters »). Je vais également le montrer brièvement : « Le magazine d'information allemand « Der Spiegel » a supprimé une vidéo dans laquelle on voit des civils évacués de l’usine d'Azowstal. La vidéo prétendait que l'armée ukrainienne ne les avait pas laissés partir. Sur son site Internet, « Der Spiegel » a publié une note indiquant que la vidéo présentait quelques incohérences. Il n'a pas précisé quels faits étaient erronés. Une clarification de la vidéo serait actuellement en cours. Écoutons ce qu'une femme avait dit dans la vidéo maintenant retirée à propos des civils dans l'usine métallurgique : « Je me demande pourquoi les gens étaient retenus dans la ville. Le maire a quitté la ville et les gens ont été enfermés dans un périmètre. L'armée ukrainienne était là et elle ne laissait pas partir les simples gens, les enfants, les personnes âgées, les malades. Pourquoi tout ça ? »

    RépondreSupprimer
  6. Le journaliste et auteur indépendant Thomas Röper estime que la suppression de l'enregistrement est hautement douteuse. Le problème est en effet que « Der Spiegel » a transmis la mauvaise information dans sa vidéo. Il a simplement cité ces paroles de la femme : « Ils ne nous ont pas laissés sortir ». Mais le lecteur du « Spiegel » a été informé pendant des semaines que ce sont les Russes qui ne laissent sortir personne de l'aciérie. C'est ce que le lecteur du « Spiegel » a fini par croire. J'ai trouvé la vidéo sur le web, je l'ai mise en lien et je l'ai également traduite. La femme a clairement dit que les combattants d'Azov ne l'avaient pas laissée sortir. Elle l'a répété plusieurs fois et elle a même dit à la fin : « L'Ukraine est morte pour moi en tant qu'État. » Le lecteur allemand ne devrait pas s'en rendre compte. Oui, nous avons en principe la censure en Occident. Ce qui ne plaît pas ne doit pas être montré. C'est un exemple très clair du fait que « Der Spiegel » ment intentionnellement. Ils auraient pu le rectifier. Ils auraient pu dire : « Oh, cette vidéo avec la déclaration suivante n'était pas correcte. La femme a dit le contraire. Elle a accusé les combattants Azov. Nous nous excusons pour cette erreur. Nous avions repris l'article de Reuters. » Voilà. Ils auraient pu le faire. Ils auraient même pu se tirer d'affaire. Mais les Allemands et les Occidentaux ne doivent pas connaître ces vérités. Et quand un mensonge aussi grossier est découvert, il est très vite effacé. Mais rien n'est expliqué. »

    Je ne suis pas tout à fait d'accord avec cette affirmation. Si je déforme quelque chose, ce n'est pas de la censure. La censure, c'est quand je coupe quelque chose, quand j'écourte quelque chose ou quand je ne diffuse pas du tout quelque chose et que je mets à la place le bulletin météo, ou je ne sais quoi, ou un match de foot. C'est de la censure. Mais si je construis le contraire, que je prétends d'abord et que je prouve ensuite le contraire en le coupant - entre guillemets -, alors non seulement je n'ai pas rapporté quelque chose, mais j'ai construit quelque chose d'autre, c'est-à-dire un mensonge. Et un mensonge n'est pas de la censure, un mensonge est, selon mon sentiment du droit - je ne suis pas juriste - une incitation à la haine. C'est donc un délit. Et maintenant, nous voulons regarder ici encore une fois très brièvement, c'est la même vidéo..., qui existe aussi sous une autre perspective. C'était juste la preuve qu'il y avait vraiment des journalistes et que "Der Spiegel" ne mentait pas, qu'il y avait vraiment cette femme qui avait dit ça. Ils ont juste coupé intentionnellement. Ensuite, il y a un autre exemple que je trouve beaucoup plus cruel, beaucoup plus grave, c'est le mensonge de Boutcha. Comment cela a-t-il été transmis dans nos médias ? Stupeur et dégoût. Telles ont été les réactions aux nouvelles et aux images de la ville ukrainienne de Boutcha. Les Etats-Unis ont annoncé qu'ils allaient rassembler des preuves de crimes de guerre et peut-être d'un génocide. Les premières images de Boutcha ont été fournies par le ministère ukrainien de la Défense, mais entre-temps, des journalistes indépendants, dont notre correspondante Katrin Eigendorf, se sont rendus eux-mêmes à Boutcha :

    « Et je peux moi aussi dire que mon impression sur place contredit très clairement l'affirmation du ministre russe des Affaires étrangères Lavrov selon laquelle il pourrait s'agir d'une mise en scène. C'est tout simplement un mensonge. »

    RépondreSupprimer
  7. Florian Pfaff : Eh bien, nous vivons à l'ère d'Internet et il est possible de le vérifier. Lavrov a menti ou il n’a pas menti ? Et il y a des gens qui disent que c'est vérifiable, il y a une vidéo du maire. Pas un Russe, un Ukrainien. Et celui-ci a dit : « Je donne un alibi aux Russes. Parce qu'ils sont tous partis, c'est-à-dire ailleurs, c’est un alibi. Mais s'ils sont ailleurs, ils ne peuvent pas avoir commis ces atrocités. » Alors j'ai dit : « Bon, je vais regarder la vidéo. » Oups ! Malheureusement, la vidéo n'est pas disponible parce que la chaîne YouTube a été résiliée. Eh bien, je ne parlerais pas de la vidéo si je ne l'avais pas enregistrée auparavant, sachant que ce genre de choses a toujours tendance à disparaître, et c'est pourquoi je peux vous la montrer maintenant.

    Maire : « Bonjour mes amis, chère communauté de Bucha, le 31 mars restera dans l'histoire de notre localité et de toute la collectivité territoriale comme le jour de la libération de nos colonies d’"orques" russes, les occupants russes, par nos forces armées d'Ukraine. Je confirme aujourd'hui que... »
    Voilà, je m'arrête là. La vidéo est un peu plus longue, mais je pense que tout le monde a vu que le maire - même s'il ne parle pas ukrainien maintenant - est très content, vive l'Ukraine, les Russes sont partis, tout est en ordre et surtout : On n'a pas vu un seul cadavre. La question est : N’aurait-il pas pu se trouver dans la rue voisine ? Alors je dis oui, mais c'était le maire, et quand le maire fait une interview comme ça, on lui dit : attention, mon pote, dans la rue voisine, il y a… « Der Spiegel » a dit « jonché de cadavres » – il y en a des centaines. Pourquoi n'en as-tu pas parlé ? Pour moi, c'est un alibi clair, si le maire n'est pas informé. Et s'il ne voit rien non plus, et si nous ne voyons rien sur la vidéo, et s'il y a une deuxième vidéo où l'armée ukrainienne passe aussi par Boutcha, aussi sans corps, alors c'est pour moi une preuve que ce maire dit la vérité, preuve avec laquelle j'irais devant n'importe quel tribunal. Il n'y avait pas de corps. Mais quatre jours après le retrait – pas le lendemain, où la vidéo a été faite -, quatre jours après le retrait, tout était jonché de cadavres. Nous voulons croire que « Der Spiegel » a pris les bonnes photos et n'a pas forcément falsifié toutes les photos. Mais soudain, les Anglais disent : « Non, non, nous ne voulons pas porter cela devant l'ONU. »

    Par deux fois, ils ont refusé la demande des Russes d'enquêter immédiatement. Soudain, nos médias disent : « Non, non, maintenant nous ne voulons plus discuter du fait que c'est un crime grave de torturer et de tuer des gens. » D'autant plus qu'on voit aussi des gens avec des brassards blancs sur certaines photos. Ça veut dire qu'on peut expliquer que l'armée ukrainienne avait quelque chose contre la neutralité des gens. Et tout à coup, ce n'est plus un problème. Mais si je dis auparavant que ce sont les Russes, alors là encore, ce n'est pas seulement de la censure, c'est à nouveau de l'incitation à la haine. D'où la question : Nos médias n'apprennent-ils pas un jour qu'il est trop tard, que c'est fini, qu'il faut maintenant dire « Non, c'était malheureusement les Ukrainiens » ?

    RépondreSupprimer
  8. Regardons ce qu'il en est aujourd'hui - ou il y a peu, en novembre aussi, c'est-à-dire ce mois-ci. Je cite le Wasserburger Zeitung. Mais c'était aussi dans le Miesbacher Merkur, donc ce n'est maintenant qu'un exemple de ce texte. Citation : « L'horreur à Boutcha n'est pas encore terminée. Peu d'endroits en Ukraine sont devenus autant le symbole de la brutalité de la guerre d'agression russe que la petite ville de Boutcha. Plus de six mois après le départ des occupants, les habitants reprennent leur vie quotidienne, mais on trouve encore des corps de civils tués. » Donc tellement de civils qu'on ne peut pas tous les découvrir. Et bien sûr, les méchants Russes sont à blâmer.

    Il faut le répéter, le répéter, le répéter, le répéter. A un moment donné, quelqu'un dit : OK, maintenant je crois que c'était les Russes. Mais les journaux sont encore plus subtils. Si je vais voir le procureur avec ce truc et que je lui dis : Vous savez maintenant que c'était les Ukrainiens. Comment pouvez-vous dire que les méchants sont les Russes ? Alors le procureur dit : Je n'accepte pas votre demande pour incitation à la haine. Vous ne savez pas lire ? C'est écrit : Brutalité de la guerre d'agression russe. C'était la guerre. On n'a pas écrit « les Russes ». On nous fait croire que c'était les Russes. Bien sûr, on n'a plus le droit de l'écrire. Je trouve ça génial, donc ces gens ne sont pas complètement idiots. Mais c’est inquiétant qu'on procède de cette manière, qu'on répande la crainte et la peur de la Russie.

    Que ferait Franz Josef Strauß, un homme politique bavarois, s'il était encore en vie - Il ne l'est pas. Il est enterré près de chez moi, à Rott am Inn. - Que dirait-il de cela « Celui qui trouble les hommes, qui les plonge sans raison dans l'incertitude, l'agitation et la peur, poursuit l'œuvre du diable. » Je ne peux qu'être d'accord avec cela aussi, il faut dire la vérité. Ensuite, nous entendons comme excuse pourquoi on désavoue ou accuse les Russes de cette manière, peu importe. Nous entendons alors comme excuse, disons-le, ou comme argument, un prétendu argument : Eh bien, en Ukraine, les Russes ne menacent pas seulement l'Ukraine, ils menacent la démocratie et la liberté. Ensuite, j'ai regardé un truc qu'on m'a passé. Je ne l'ai pas trouvé moi-même, on me l'a envoyé. Il s'agit du classement des démocraties d'avant la guerre, dans lequel les États sont listés pour savoir s'il s'agit de démocraties, s'il y a vraiment de la démocratie et de la liberté. Regardons cela. En cinquième position, l'Allemagne avec une démocratie qui fonctionne. Maintenant nous arrivons à 25, là nous sommes à 50, Pérou, maintenant nous sommes à 75, ça s’amincit, Brésil. Et juste avant 100, nous voyons l'Ukraine comme étant un régime hybride, une place après le Myanmar, après le Myanmar. Les gens affirment que le Myanmar est une démocratie, qu'il y a de la liberté. Et c'est pourquoi nous devons défendre la démocratie et la liberté en Ukraine…

    RépondreSupprimer
  9. Ce qui est important pour moi, c'est que la Russie n'a aucune raison d'attaquer l'Ukraine. L'idée selon laquelle « ils n'ont pas de démocratie, alors faisons-en un meilleur système », c'est l'idéologie américaine. En Iran et ailleurs : Mossadegh est parti, Saddam Hussein et plus tard encore en Syrie. Ça a déjà été évoqué précédemment, je ne veux le mentionner ici que brièvement en raison du temps imparti. Nous sommes à peu près à la moitié de mon exposé. Cela signifie donc qu'il n'est pas possible de justifier la situation :

    J'attaque un pays pour qu'il se porte mieux. Je ne peux le faire qu'avec l'ONU, avec une décision de l'ONU. Et je ne peux me défendre, conformément à l'article 51 de la Charte des Nations unies, que si j'ai été moi-même agressé. Donc pour moi, la guerre d'agression de la Russie est une violation du droit international. Très clairement, je ne mâche pas mes mots. Mais on ne dit pas pourquoi les Russes mènent ou ont dû mener cette guerre, pourquoi ils y ont été poussés. J'y reviendrai dans un instant. Tout d'abord : Ce qui manque dans les médias, c'est un extrait d'une interview d'un général qui n'était pas n'importe qui, il était tout de même président du comité militaire de l'OTAN, le plus haut général de la Bundeswehr, c’est le général - à la retraite maintenant - Harald Kujat, « retraité » signifie « hors service ». On lui a demandé : « Comment voyez-vous les chances de paix ? » Et puis on a affirmé : « Jusqu'à présent, la Russie n'a en effet pas proposé la paix. » Il répond : « Du moins en public. Toutefois, dans son discours sur la mobilisation partielle, le président russe a souligné un point très important qui n'apparaît pas dans les traductions des médias allemands. Et plus précisément, Poutine a dit - il a souligné que c'était la première fois qu'il le faisait savoir en public - qu'il y avait déjà eu un accord entre l'Ukraine et la Russie début avril sur la fin des combats et une solution de paix. Cet accord prévoyait que la Russie se retire de tous les territoires conquis depuis le 24 février 2022, en échange de quoi l'Ukraine renonçait à adhérer à l'OTAN et recevait en échange des garanties de sécurité de la part de différents États. La guerre aurait ainsi pu être terminée dès le printemps ! Mais elle n'a pas pris fin parce qu'à ce moment-là, précisément le 9 avril, le Premier ministre britannique de l'époque, Boris Johnson, s'est rendu à Kiev et a fait en sorte que le président ukrainien Zelensky ne signe pas cet accord et rompe les discussions avec la Russie. »

    Vous ne trouverez pas souvent ce genre de choses dans les médias, elles ne sont pas largement commentées. Mais ce que je voulais montrer, c'est que de tels rapports existent. Et je rappellerai tout à l'heure dans le prochain point que de tels rapports existent même à la télévision, pas seulement dans le petit journal, mais même à la télévision. Mais pour un tel reportage, il y en a environ 100 autres qui ne font que dénigrer. C'est à peu près la même chose qu'avec de nombreuses références - je ne veux pas m'y attarder maintenant. D'abord la vidéo.
    NDR : « Un homme qui a de la tenue et des opinions qu'il exprime en ami de la culture du débat, même lorsqu'elles sont inconfortables. Klaus von Dohnanyi, vétéran du SPD, est l'invité du Sofa Rouge. Soyez les bienvenus. »

    Klaus von Dohnanyi : « Je vous souhaite la bienvenue et vous remercie de votre invitation. »

    NDR : « Lorsque vous avez terminé ce livre, vous n'avez pas cru possible que cela se produise. »

    RépondreSupprimer
  10. Klaus von Dohnanyi : « Si, j'ai expressément mis en garde dans le livre. J'ai dit que si l'Ukraine continuait à être poussée dans l'OTAN - et c'est la politique américaine, si cela se produisait, alors il pourrait y avoir une guerre aux frontières orientales de l'Europe, là où elle a lieu actuellement, c'est-à-dire aux frontières orientales en premier lieu, de l'Ukraine.

    C'est ce qu'ont écrit explicitement en 2019 des spécialistes américains, notamment l'actuel chef des services de renseignement du président Biden. Le président américain n'avait qu'à dire : « Président Poutine, maintenant que nous voyons que vous êtes apparemment sérieux, nous allons parler de l'avenir de l'Ukraine avec vous. » Ce qu'il avait expressément refusé de faire. Poutine avait écrit aux Américains en décembre 2021 : « Cette fois-ci, j'ai besoin de le savoir par écrit, je veux que vous me disiez par écrit comment nous voulons traiter l'Ukraine à l'avenir. » Et en réponse, le président Biden a dit : « Nous ne négocierons pas du tout avec vous sur cette question. » Et lorsque cela s'est produit, il aurait vraiment fallu qu'il y ait une... une révolte du côté allemand et qu'on dise : Ce n'est pas possible. Car si cela mène vraiment à une guerre, comme vous l'avez dit vous-mêmes, vous les Américains, cela conduit naturellement aussi l'Allemagne au milieu de cette problématique.
    La thèse selon laquelle on est un connaisseur de Poutine, un connaisseur de Biden, un connaisseur de Chi ou un connaisseur de Macron, je pense que c'est une connerie. C'est ce que j'ai essayé de faire comprendre dans mon livre. A savoir que les Etats-Unis ont des intérêts très différents des nôtres et que nous devons malgré tout gérer avec eux. L'Occident devrait accepter, comme nous l'avons dit depuis longtemps, que nous voulons que l'Ukraine n'entre pas dans l'OTAN et que Poutine obtienne une garantie à cet effet, de sorte que des soldats américains ne patrouillent pas un jour à la frontière russe.

    C'est en effet ce qui se passerait si l'Ukraine entière entrait dans l'OTAN. Et l’Occident devrait accepter que pour un président russe, avec les considérations de politique intérieure qu’il a forcément, il ne serait pas acceptable que des soldats américains patrouillent à la frontière entre l'est de l'Ukraine et la Russie. Je pense que l'Occident doit comprendre cela. Et cela fait partie de la compréhension des intérêts de l'autre partie, à savoir les intérêts de la Fédération de Russie et pas seulement de Poutine. Car l'actuel chef de la CIA, c'est-à-dire le chef des services secrets de Biden, a expressément dit qu'il n'avait rencontré personne en Russie, il a souligné qu'il n'avait rencontré personne qui ne partageait pas l'avis de Poutine sur cette question de l'Ukraine. Donc Moscou, Saint-Pétersbourg, etc. ont toujours regardé vers l'Ouest et maintenant nous les avons poussés du côté de la Chine, ce n'était pas très intelligent. La politique occidentale n'a pas vraiment été intelligente au cours des dernières décennies. La paix ne va pas de soi sur cette terre. Elle ne l'a jamais été et ne le sera malheureusement jamais.

    RépondreSupprimer
  11. Et puis on a dit : « Voilà, maintenant nous allons l'imposer. » Je montrerai à la fin de l'exposé que c'était l'intention déclarée des États-Unis de déclencher cette guerre, et je demande aux personnes intéressées de préparer un stylo. Il y a en effet un expert qui le résume à l'essentiel.
    Maintenant, les 20 dernières minutes... Et si je dis de telles choses, je délégitime l'État. Et je l'ai déjà fait dans mon livre. J'y ai déjà délégitimé l'État, parce que j'y ai raconté que l'armée allemande m'avait ordonné d'enfreindre les lois. Ils ont juste dit d'ignorer. Mais les ignorer consciemment, c'est les violer. Et j'ai dit que je ne les violerais pas, bien sûr. Je respecte tous les ordres que j'ai reçus. Et l'un d'eux est le suivant : Tu ne dois pas, cher Florian, participer à des guerres d'agression. Je ne suis donc pas parti à la guerre d'agression. D'ailleurs, « partir » signifierait que je serais resté assis sur ma chaise, à Bonn. Je l'aurais seulement soutenue indirectement. Je ne voulais pas non plus soutenir la guerre indirectement. Et par la suite... L'armée allemande a réagi de la manière suivante. La Bundeswehr m'a d'abord fait interner dans une clinique psychiatrique. Cela n'a servi à rien. Ils ont constaté que j'étais en parfaite santé. Ensuite, ils ont envoyé le procureur, puis ils m'ont dégradé devant le service des troupes - qui est un tribunal fédéral. Et comme ils n'étaient pas satisfaits de la dégradation, ils ont fait appel. Moi aussi, bien sûr. Ils ont dit que la dégradation ne servait à rien, parce que si on ne faisait que de me dégrader, je recommencerais. Et j'ai dit : "C'est vrai. Vous pouvez me dégrader, vous pouvez me maintenir dans mon grade, vous pouvez aussi me promouvoir, je le referai. Encore et encore. Et ensuite... Au fait, je suis sérieux au sujet de la promotion. On m'a proposé - Qu'est-ce que vous voulez encore devenir ? - plus ou moins. Nous avons un poste dans la coopération civilo-militaire. Je ne veux pas m’étendre. Je pense que j'ai le droit de raconter ça parce que ça m'a été fait. Si j'apprends qu'une femme matelot a été violée sur un bateau et jetée par-dessus bord, je n'ai pas le droit de le dire publiquement, car cela porterait préjudice à mon employeur. Mais si c'est à moi qu'on fait ça, j'ai le droit de le dire publiquement. Et je l'ai fait.

    L'évolution de la situation a été la suivante et il faut le savoir. Cela a été porté devant le tribunal administratif fédéral, qui a dit, comme il l'a fait récemment dans l'affaire du Covid, que les restrictions de sortie bavaroises étaient illégales. Et ce que la Bundeswehr a fait avec le major est illégal et c'est pourquoi ils ne peuvent pas... ils ne peuvent pas lui donner une interdiction de promotion, ils doivent continuer à le promouvoir. Alors, qu'a fait la Bundeswehr ? Oui, bien sûr, que fait quelqu'un qui prédit déjà que vous devez enfreindre les lois. Il dit : Même le jugement, nous ne l'appliquerons pas. Ils l'ont mis par écrit, annexe B, page 20. Je ne peux que vous le recommander si vous trouvez ce livre dans une librairie. Et celui qui fait de telles choses et dit : « Je ne tiens pas compte du Parlement, qui fait les lois, je ne tiens pas compte de la justice », n'est évidemment pas un démocrate. Celui qui incite à la guerre d'agression en sachant qu'il s'agit d'une guerre d'agression n'est pas un général, c'est un grand criminel, c'est un malfaiteur.

    RépondreSupprimer
  12. Je le dis publiquement, ces gens qui savaient qu'il s'agissait d'une guerre d'agression sont des criminels. Je dis clairement que tous les généraux ne sont pas pour autant des criminels. Car il y en a aussi qui n'ont pas regardé la télévision. La veille du début de la guerre, la télévision a dit : Si la guerre est déclenchée, il s'agit clairement d'une guerre d'agression contraire au droit international. Un général peut comprendre cela. Mais tous les généraux ne regardent pas la télévision et ne lisent pas les journaux. Ceux qui ne le savaient pas sont excusés. Mais maintenant, j'ai peut-être un peu, disons, confronté ces gens à la vérité. Et ça fait mal. Et là, il y a une protection de la Constitution. Le rapport de la protection de la Constitution est le transparent que j'ai présenté ici. Et ils disent que nous devons maintenant nous occuper des « délégitimateurs ». Dans ce chapitre, il est question de délégitimation. Que sont les « délégitimateurs » ?

    « Les acteurs de ce phénomène - écrivent-ils ici - visent à mettre de côté des principes constitutionnels essentiels ou à porter gravement atteinte au fonctionnement de l'État ou de ses institutions. Ils dénigrent les processus décisionnels démocratiques et les institutions des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire, dénient publiquement leur légitimité et appellent à ignorer les ordres et les décisions des autorités ou des tribunaux. »

    C'est exactement ce qu'a fait l'armée allemande, elle a dit « s'il vous plaît, ignorez les lois », je dis bien violez les lois. S'il vous plaît, n'appliquez pas le jugement, parce que nous ne sommes pas une démocratie, nous sommes une démocrature. Ou quelle que soit la manière dont ils se sont justifiés. Démocrature… démocratie et dictature, je ne saurais même pas comment le dire en allemand.

    Bien. En tout cas, ce sont précisément ces personnes qui appellent à la violation de la loi fondamentale, à la violation des lois pénales. Et j'appelle, à respecter les lois, à les respecter et à pouvoir traiter publiquement de criminels les personnes qui font de telles choses. Je veux juste faire valoir mon droit à la liberté d'opinion. Quant à savoir s'ils sont des criminels, c'est à un tribunal d'en décider. En Allemagne, un tribunal n'en décidera jamais, car le procureur est lié par des instructions et c'est pourquoi il n'inculpera jamais aucun d'entre eux. Une telle décision judiciaire prendra donc encore un peu de temps. Je vais maintenant lire le dernier paragraphe.
    « Sur ce narratif... » Voilà donc ce que je viens de dire. Transgressons toutes les lois, ignorons aussi la justice. « Sur la base de ce narratif, la résistance aux mesures et aux décisions de l'Etat est propagée et des appels à la violence, voire au meurtre dans certains cas, sont lancés. »

    C'est là que le bât blesse : l'action de l'État. C'est bien sûr une absurdité totale. Un service de protection de la Constitution n'a pas pour mission de protéger l'État. C'est alors une sécurité d'État. Stasi, disait-on en RDA. Stasi, même le terme n'est pas correct. Car l'État, c'est nous tous. C'est une protection pure et simple du gouvernement, comme c'est normal dans les dictatures. Mais dans une démocratie, la dénonciation d'une grave injustice est légale et, à mes yeux, elle doit même être exigée. Donc, si ce passage n'est pas modifié, la protection de la Constitution s'inverse, passant de la protection de la Constitution à une « protection de la violation de la Constitution. »
    Voici maintenant quelques brefs exemples :

    RépondreSupprimer
  13. « ... rendre impossible tout autre moyen, j'en ai parlé, il ne doit pas faire une deuxième guerre et il ne doit pas gagner cette guerre. Il doit disparaître. Et s'il n'est pas éliminé, et s'il n'est pas éliminé vivant pour ainsi dire, alors quelqu'un dans le système du pouvoir de Moscou doit prendre un pistolet et mettre fin à cette affaire. Prendre un pistolet et mettre fin à la situation. »
    Il ne s'est bien sûr rien passé. Et chacun peut réfléchir lui-même à ce qui se passerait s'ils appelaient à assassiner Zelensky pour que l'Ukraine cède enfin. D'ailleurs, nous l'avons entendu auparavant, personne en Russie ne pense autrement. Le meurtre serait en outre inutile. Mais cela n'est pas commenté dans les médias.

    Peut-être un autre exemple rapide, sur un meurtre de diplomate, comment on peut le commenter.
    Par manque de temps, je ne passe pas en revue tout le texte. Je ne fais qu'en résumer le contenu. Cela signifie à peu près que cet article du « ZEIT » sur ce meurtre de diplomate sert à la paix dans les Etats qui s'étendent. L'Iran est donc en pleine expansion, il a tellement de bases dans le monde. Les Etats-Unis n'ont aucune base dans le monde… Et l'Iran s'étend, c'est pourquoi le meurtre du diplomate est un acte pacifique. Ce serait un crime de s'en prendre à des sites culturels. C'est le sens de l'histoire. Et en bas, le pied de page, en gras, je le lis à nouveau. « Téhéran ne peut pas faire la paix au Proche-Orient. Seuls les Etats-Unis peuvent y arriver. »
    Donc les Etats-Unis veulent la paix, et Téhéran, nous ne savons pas s'ils veulent la paix, mais ils ne peuvent en tout cas pas faire la paix. Ce genre de choses est bien sûr typique de nos médias. On pourrait citer de tels exemples pendant 24 heures.
    J'omets le suivant, par manque de temps. C'était juste un beau lapsus sur la façon dont nous sortons de la démocratie.

    Mais je veux encore montrer le présentateur du journal télévisé. C'est le présentateur d'une chaîne ukrainienne, à savoir la chaîne 24, et je cite : « Si on nous traite de nazis et de fascistes en Russie, je me permets de citer Adolf Eichmann. Il a dit que pour détruire une nation, il fallait tuer les enfants. Car si on ne tue que les adultes, les enfants grandiront et se vengeront. Si on tue les enfants, ils ne grandiront jamais et la nation disparaîtra. »
    Il dit alors que les soldats n'ont pas le droit de le faire, qu'il y a une convention et tout. Mais lui, il a le droit. Je cite à nouveau : « Mais je ne suis pas un soldat. Et si l'occasion m'est donnée de me venger des Russes, je le ferai en respectant la doctrine Eichmann. Je ferai tout pour que ni vous ni vos enfants ne viviez jamais sur cette terre. »

    C'est de l'amour du prochain à l'état pur, comme nous le connaissons, à peu près. Bon, c’est un peu de sarcasme. Pourquoi n'entendons-nous pas cela de la part des Russes ?
    Les partisans de la paix sont-ils aussi unilatéraux au point de ne citer que ces Ukrainiens-là ? Peu importe qu'ils castrent ou qu'ils disent, comme ici, qu'ils veulent tuer tous les Russes. Ou s'ils ont des listes noires sur lesquelles figurent des civils, y compris des parlementaires allemands. Pourquoi ne pas citer un Russe qui dit que les Ukrainiens doivent tous être castrés et que nous devons tuer tous les Ukrainiens et qu'en outre, nous avons ici une belle liste noire qui signifie la peine de mort. C'est simple, si quelqu'un me donne la liste, je la lis ici. Mais qui connaît de telles listes ? Je ne les connais pas, c'est pourquoi je ne me sens pas coupable de ne présenter ici qu'un seul côté et pas l'autre.
    Le fait est que j'apporte ce qu'il y a à dire à ce sujet en termes d'immoralité. Et cela inclut, comme je l'ai dit, le fait que la guerre russe est une guerre d'agression. Car Poutine aurait dû dire au moins selon la situation juridique : Si vous violez Astana, si vous ne respectez pas Minsk II, ce sera la guerre ! Dans ce cas, Zelensky n'aurait peut-être pas attaqué le Donbass. Ce ne sont pas les habitants du Donbass qui ont attaqué Kiev. C'est Zelensky qui a attaqué le Donbass trois jours avant l'invasion russe.

    RépondreSupprimer
  14. Et cela, Zelensky ne l'aurait peut-être pas fait, nous ne le savons pas, s'il avait su qu'il y aurait alors cette guerre. Donc il faut… comme un policier, il ne peut pas dire : Je vais tirer d'abord. Il doit, lorsqu'il attrape un délinquant, dire « Stop, arrêtez-vous ou je tire ». Et s'il ne crie pas « Stop, arrêtez-vous ou je tire », ou s'il ne fait pas un tir de sommation, alors c'est illégal. C'est très simple. Il aurait donc fallu au moins qu'il y ait ces conditions, ce qui aurait peut-être changé la donne du point de vue du droit international. Comme il l’a fait, c'est illégal.

    Mais Poutine avait ses raisons, comme je l'ai dit, un autre lien viendra bientôt où on pourra trouver cela. Pour expliquer, les journalistes peuvent être intimidés. Par exemple, se retrouver sur la liste d'observation de l’Office fédéral de protection de la Constitution. Deuxièmement, je cite ce point : « Je pense qu'il est plus facile d'attirer les lecteurs en adoptant une attitude journalistique qu'en se contentant d'accumuler des faits. A mes yeux, ce n'est pas non plus du tout du journalisme (- c'est-à-dire l'accumulation de faits -). » Je complète : mais l'ajout de..., ou l'évocation, la citation de mensonges. Bien sûr que c'est des conneries. Citer des faits, et justement des faits contradictoires, c'est du journalisme. Car la personne concernée peut alors décider qui elle croit. Est-ce que je crois davantage que les Russes étaient déjà partis, comme l'a dit le maire lui-même, ou est-ce que je crois que ce sont les Russes qui ont fait ça ? C'est à chacun de décider. Mais je dois d'abord connaître les deux côtés. Et c'est pourquoi la citation de faits, comme j'ai pu le faire ici aujourd'hui, et le fait que vous connaissiez maintenant tous ces faits - un public de millions de personnes, je me suis laissé dire, avec tous les clics en ligne, ensuite - c'est pourquoi c'est si salutaire, parce que nous ne sommes alors plus dupes de ces menteurs.

    Et avant d'en venir à la diapositive... Avant de passer à la diapositive avec les liens, je voudrais citer quelqu'un qui a pu s'exprimer dans un journal suisse. [Insertion] Il s'agit de Patrick Lawrence, qui dit : « L'absence de reportage objectif et fidèle aux principes sur la guerre en Ukraine est une situation dépravée. La seule chose qui est encore pire, c'est la mesure dans laquelle cela est tout à fait acceptable pour la plupart des Américains. » Je ne peux qu'être d'accord avec ça, c'est aussi tout à fait acceptable pour la plupart des Allemands, qui en partie ne veulent pas le savoir. Ils savent que les médias leur mentent, mais ils ne veulent pas connaître la vérité. Nous avons donc déjà fait le premier pas. La population dit : « Les politiques doivent aussi mentir, sinon ils ne seront pas élus. » C'est la première étape. Le deuxième pas, et le plus important, c'est que la population dit : « Et c'est pourquoi je ne voterai plus pour eux, parce qu'ils mentent. » Il y a un parti qui ne ment pas. Je préfère ne pas le nommer ici, si mon écran apparaît ici en plein écran, je n'ai pas eu de chance, vous le savez bien. Cela signifie donc qu'il y a un parti qui dit que nous voulons transformer en politique et en pouvoir ce que les citoyens expriment, ce qu'ils font valoir, ce qu'ils ont comme soucis et comme besoins.
    Et si vous voulez vous informer encore plus, oui, sur ce qu'il y a encore comme preuves, j'ai trois recommandations ici. L'une est deux liens. Le premier est celui de Daniele Ganser. C'est celui qui se trouve en haut : www.danieleganser.ch.

    RépondreSupprimer
  15. Là, vous voyez une vidéo où j'ai prouvé toutes ces choses qui sont dans ce livre et quelques autres choses encore. Il suffit de descendre. C'était en janvier. Si on a cliqué sur vidéos, on descend jusqu'à l'ancien major sur les guerres d'agression. Et là, vous trouverez des preuves claires et nettes. Et la deuxième chose, c'est www.darmstaedter-signal.de avec un « ae » et un trait d'union. Et là, il faut faire défiler la page jusqu'à Nouvelles, et dans Nouvelles, on trouve deux fichiers audio, un fichier texte et deux fichiers audio. Et le premier fichier audio est celui du lieutenant-colonel à la retraite Jürgen Rose, qui a clairement et irréfutablement établi les faits, à savoir que cette guerre en Ukraine n'est une guerre des Russes que dans nos médias. En réalité, il s'agit d'une guerre de l'OTAN, avec des soldats ukrainiens, qui était prévue dès le début. Et comme je l'ai dit, on peut très bien l'entendre ici.

    Et le dernier point, puisqu'il ne me reste que trois minutes. Je veux faire allusion très brièvement à quelqu'un ou vous montrer une intro de quelqu'un qui a une toute autre explication. Il ne dit pas que les gens ont peur de se faire attraper par le pouvoir, d'être surveillés par les services de protection de la Constitution, qu'ils n'obtiendront peut-être pas de contrat de journaliste ou autre. C'est différent. Ils pensent que s'ils sont particulièrement gentils et aimables, ils auront des avantages. Vous le connaissez peut-être, c'est le Dr. Udo Ulfkotte. Et je vais vous faire écouter ce qu'il a dit... Pour voir à quoi ressemble la vidéo, utilisez votre moteur de recherche - Dr. Udo Ulfkotte : Congrès sur la connaissance des limites 2015.

    Udo Ulfkotte - Journalistes achetés
    « Je suis très, très fier d'avoir un homme aussi courageux ici, bienvenue Udo Ulfkotte. Merci beaucoup, bonne journée mesdames et messieurs, merci beaucoup. »
    Voilà, c'est juste pour vous montrer à quoi ressemble cette vidéo. Il y en a peut-être d'autres avec Mr Udo Ulfkotte. Il montre très bien comment il a collaboré avec les services secrets, comment ils ont mis les putes dans son lit en Afrique du Sud et comment ils l'ont soudoyé avec le matériel de plongée et bien plus encore.
    Je ne peux pas aborder cela ici, même de manière adéquate, mais seulement dire à ceux que cela intéresse que de telles personnes se laissent peut-être aussi corrompre. Si vous pensez cela, vous pouvez aller voir dans cette direction. C'est presque tout, car je voudrais maintenant remercier très chaleureusement Ivo Sasek et lui remettre un livre dans lequel se trouvent les preuves. Il y a certainement une bibliothèque ici, où l'on peut aussi stocker ce genre de choses.

    RépondreSupprimer
  16. Ivo : Mais bien sûr

    Florian Pfaff : Et merci à tous les spectateurs qui continuent de partager cela.

    Ivo Sasek : « Merci beaucoup ! Florian Pfaff ! »

    Florian Pfaff : « Pas besoin de me remercier. Avec plaisir. »

    Ivo Sasek : « Merci beaucoup ! Oui, merci beaucoup. Wow. Lorsque nous nous sommes brièvement rencontrés et que je l'ai annoncé comme un héros de cette époque, il m'a simplement dit en passant : Ce n'est pas héroïque, c'était juste mon devoir. Mais je vais vous dire une chose. Ce que cet homme a fait, c'est se tenir debout face à la réalité, faire son devoir. C'est vraiment héroïque à notre époque, et ce pour chaque personne qui le fait, oui ! Pour chaque personne qui transmet aussi ces contributions, ce sont des actes héroïques aujourd'hui, vous comprenez. De nos jours, c'est héroïque, oui !
    C'était Florian Pfaff, merci encore. J'ai quelque chose que vous n'avez pas, son livre. Mais je le prête à tous ceux qui veulent le lire. Je vais y jeter un coup d'œil avec plaisir. Page 100, il a dit et page 20 b, ce sont les références très directes. Bon, je te laisse à nouveau la parole, Frank. Merci d'avoir écouté. »

    https://www.kla.tv/fr

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je déteste les personnes qui parlent de "Les États-Unis font ci ou font çà". Non ! ce n'est pas 'les États-Unis mais seulement les dictateurs aux États-Unis ! Nuance !

      Supprimer
  17. Grande Réinitialisation : les 52 chefs d’État et centaines de responsables gouvernementaux qui sont en train de collaborer avec le Forum Economique Mondial à Davos 2023


    PAR RHODA WILSON ,
    LE 12 JANVIER 2023


    La réunion annuelle du Forum économique mondial (« FEM ») de cette année à Davos se tient du 10 au 16 janvier . Alors que les mondialistes se réunissent, les organisateurs ont confirmé que le FEM accueillera 52 chefs d’État et de gouvernement et près de 600 PDG.

    En outre, près de 300 ministres gouvernementaux sont attendus. Outre les chefs d’État, ces ministres gouvernementaux doivent également être limogés, déchus de leurs titres et remplacés par des personnes qui serviront les citoyens de leur pays.

    Les citoyens qui paient leurs salaires les élisent – ​​en supposant qu’un système de vote libre, juste, transparent et démocratique soit utilisé – pour gouverner les affaires du pays au nom des électeurs.Vous trouverez en pièce jointe, à la fin de cet article, une liste des chefs d’État et de gouvernement qui utilisent mal et abusent de leurs positions gouvernementales pour collaborer avec le FEM afin de promouvoir les affaires et autres intérêts des mondialistes. Tous devraient être relevés de leurs fonctions dans l’attente d’une enquête.

    Le FEM est une force dangereuse dans la politique mondiale. Le FEM est une organisation qui propose de coordonner la réorganisation de 8 milliards d’âmes, 195 pays, les relations internationales, la politique sociale au sens large et une économie mondiale de 104 000 milliards de dollars. Ils sont délirants et mégalomanes.

    Comme l’a noté The Spectator , [1] L’engagement principal du président du FEM, Klaus Schwab, concerne les arrangements politiques et économiques qu’il appelle le capitalisme des parties prenantes, mais qui étaient autrefois connus sous le nom de corporatisme. Le langage du corporatisme, comme celui du FEM de Schwab, pourrait être celui de la consultation coordonnée, mais l’agenda est celui du contrôle. Le FEM a décidé que le moment était venu de réorganiser le monde de haut en bas et de refaire la planète à l’image corporatiste.

    Le corporatisme – y compris son expression Schwabienne – n’est pas génial en ce qui concerne la liberté. Il s’agit de former puis de maintenir un consensus sur les politiques économiques et sociales. Pour cette raison, le corporatisme supporte mal la dissidence. En effet, cela décourage toute remise en cause du consensus, qu’il s’agisse des taux d’imposition ou du changement climatique. Car ce qui compte c’est l’harmonisation des points de vue, peu importe l’absurdité de l’idée et/ou le coût élevé de la liberté. Non seulement cela génère une pensée de groupe, mais cela encourage la marginalisation de ceux qui contestent le consensus. Un autre problème est la collusion et le copinage entretenus par le corporatisme.

    RépondreSupprimer
  18. Le capitalisme des parties prenantes de style corporatiste est décidément ambivalent à propos de la démocratie. Il n’y a pas beaucoup de place pour les contributions de la population au sens large au processus de prise de décision dans le modèle capitaliste des parties prenantes de Schwab, sans parler de l’assentiment populaire aux décisions prises. En effet, le modèle reflète une méfiance positive à l’égard des initiatives ascendantes, car celles-ci sont plus difficiles à contrôler et moins susceptibles d’adhérer au consensus établi.

    Accessoires de la conspiration mondiale du FEM

    Depuis le 3 janvier, le FEM publie régulièrement des tweets vantant les noms des délégués de cette année. Tous les membres du FEM, en particulier ses dirigeants, doivent faire l’objet d’une enquête pour conspiration contre le monde. Mais nous devons remercier le FEM d’avoir nommé certains de ceux qui doivent également faire l’objet d’une enquête et être tenus responsables. Voici une liste de tweets du FEM, du premier le 3 janvier jusqu’au 11 janvier, citant et déshonorant, de notre point de vue, certains des accessoires de la conspiration mondiale du FEM :

    La directrice générale d’IMF News, Kristalina Georgieva . Voir le tweet ICI .
    Le Premier ministre croate, Andrej Plenković , discutera de la nouvelle croissance de l’Europe alors que la Croatie adopte l’euro et rejoint l’espace Schengen. Voir le tweet ICI .
    La présidente de la République-Unie de Tanzanie, Samia Suluhu . Voir le tweet ICI .,
    La présidente de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde . Voir le tweet ICI .
    Le Premier ministre espagnol, Pedro Sánchez , discutera de la manière dont l’Europe peut travailler ensemble pour relever les défis régionaux en 2023. Voir le tweet ICI .
    L’envoyé spécial présidentiel pour le climat des États-Unis d’Amérique, John Kerry . Voir le tweet ICI .
    Le président de la Colombie, Gustavo Petro . Voir le tweet ICI .
    Le chancelier allemand, Olaf Scholz , discutera de la sécurité énergétique, de la compétitivité économique et de la nécessité d’atteindre la neutralité climatique. Voir le tweet ICI .
    La présidente de l’Association des Femmes Peules Autochtones du Tchad ( AFPAT-Tchad ), Hindou . Voir le tweet ICI .
    Le président de la Confédération helvétique et conseiller fédéral de l’intérieur de la Suisse, Alain Berset . Voir le tweet ICI .
    Le président de l’Équateur, Guillermo Lasso . Voir le tweet ICI .
    Le président du Niger, Mohamed Bazoum . Voir le tweet ICI .
    La présidente de la Commission européenne , Ursula von der Leyen . Voir le tweet ICI .
    La directrice exécutive de l’ONUSIDA , Winnie Byanyima , Voir le tweet ICI .
    Le président du Costa Rica, Rodrigo Chaves , parlera de l’avenir de la démocratie. Voir le tweet ICI .
    La directrice générale de l’ Organisation mondiale du commerce , Ngozi Okonjo-Iweala , discutera de l’avenir du commerce mondial. Voir le tweet ICI .

    RépondreSupprimer
  19. Le Premier ministre de Belgique, Alexander De Croo . Voir le tweet ICI .
    La directrice exécutive d’ Oxfam , Gabriela Bucher. Voir le tweet ICI .
    Le premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis . Voir le tweet ICI .
    La présidente du Parlement européen, Roberta Metsola . Voir le tweet ICI .
    Les gagnants du WEF Crystal Award de cette année, Sabrina Dhowre Elba et Idris Elba . Voir le tweet ICI .
    L’administratrice de l’USAID, Samantha Power , parlera de l’avenir de la démocratie et des partenariats pour résoudre les défis mondiaux. Voir le tweet ICI .
    Le président de l’Afrique du Sud, Cyril Ramaphosa . Voir le tweet ICI .
    Le président de la République de Corée, Yoon Suk Yeol . Voir le tweet ICI .
    La Première ministre finlandaise, Sanna Marin , discutera des ramifications sécuritaires de l’invasion russe de l’Ukraine. Voir le tweet ICI .
    Le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres , discutera de la manière dont la collaboration public-privé peut surmonter les défis mondiaux. Voir le tweet ICI .
    Le directeur exécutif du Programme alimentaire mondial des Nations Unies, David Beasley . Voir le tweet ICI .
    La vice-première ministre du Canada, Chrystia Freeland, siège au conseil d’administration du FEM, elle participera donc bien sûr à Davos 2023. [2]

    Les États-Unis seront représentés par des responsables de l’administration Biden, dont l’envoyé présidentiel pour le climat John Kerry, la chef du renseignement national Avril Haines, le directeur du Federal Bureau of Investigation Christopher Wray, la représentante américaine au commerce Katherine Tai et plusieurs gouverneurs et législateurs du Congrès. [3] Le Dossier du journaliste d’investigation Jordan Schachtel a acquis une liste de la délégation américaine.

    Mais il y a bien davantage de participants provenant de nombreux pays. Plus récemment, The Dossier a acquis une liste confidentielle de toutes ces personnes, à l’exception de certains responsables gouvernementaux, qui assisteront à Davos 2023. les expurgations nécessaires pour protéger les informations personnelles », a écrit Schachtel lundi .The Dossier comporte deux listes au format pdf. Un de ces fichiers pdf est une liste des participants officiels confirmés au 8 décembre 2022 . Le deuxième fichier pdf est une liste mise à jour au 10 janvier 2023 . [4]

    https://expose-news.com/2023/01/12/ist-of-gov-officials-collaborating-with-wef/#respond

    RépondreSupprimer
  20. L'histoire du Forum Economique Mondial (~41 min)


    Jeanne Traduction
    13 Janvier 2023


    🪃 D'Henry Kissinger à Emmanuel Macron, en passant par Maurice Strong, Nelson Rockefeller ou encore le prince Bernhard, tous se sont mis d'accord pour contrer notre plus grande menace : l'Humanité. Leur solution ? Le transhumanisme. Le Dr. Jacob Nordangård nous présente une brève histoire de la lutte contre le "réchauffement climatique", la "prolifération" de l'humanité et l'autodétermination des nations et donc de leur propre peuple.

    📌 Un écho aux travaux de Patrick Wood :
    https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/01-Patrick-Wood:e et de George Hunt :
    https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/GeorgeHuntUNCED:2
    que j'ai traduit l'année dernière, ainsi qu'à ma vidéo sur Emmanuel Macron :
    https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/Macron-fascisme:b

    Je vous conseille également de visionner Comment Big Oil a Conquis le Monde :
    https://odysee.com/.../yt1s.com---LOiligarchie-de...
    et Pourquoi Big Oil a Conquis le Monde :
    https://odysee.com/@Je.../Why-Big-Oil-Conquered-the-World:e7

    🎬https://www.youtube.com/watch?v=t2nnKs5caEY

    🎬https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/History-of-WEF:2

    RépondreSupprimer
  21. N’y a-t-il pas là assez de motifs pour faire nerveux l’Oncle Sam ? Par conséquent une guerre étendue est devenue inévitable et ce sont les anglo-saxons qui seront les grands perdants. L’Europe otanienne n’est déjà plus que l’ombre d’elle-même. Et quand on sait que les grandes villes européennes se trouvent à moins d’une heure de portée des missiles hyper-soniques russes chargés d’ogives nucléaires toutes au moins dix fois plus puissantes que celle larguée sur Hiroshima les Européens devraient, dans un ultime sursaut de sagesse entamer des négociations avec la Russie plutôt que de livrer massivement des armes et des subsides au régime le plus corrompu du monde. Mais la corruption faisant aussi partie du style de vie des anglo-saxons dans ces conditions ils pensent que tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. Les suisses ont déjà prévu un tel conflit nucléaire et ils remettent en état et réapprovisionnent leurs abris anti-nucléaires. À ce propos je me souviens être allé rendre visite à des amis rencontrés au Vanuatu à Veysonnaz dans le Valais. Leur maison disposait d’un abri anti-nucléaire comme beaucoup d’habitations individuelles en Suisse. Personne ne connait la parade à ces nouvelles armes. Et les destructions potentielles sont inimaginables : Londres, Paris, Berlin et Bruxelles seront les premières cibles !

    Si n’importe quel politiciens européen censé et non aveuglé par l’idéologie raciste et mercantile des anglo-saxons prenait conscience du danger il déciderait immédiatement pour la survie de son peuple de négocier avec le Kremlin qui en intervenant manu militari en Ukraine n’a fait que protéger ses frères russophones persécutés et bombardés depuis les évènements de Maidan. Pourquoi Kouchner et BHL, les deux apôtres de l’intervention humanitaire, n’ont-ils jamais réagi à cet état de fait dans le Donbass ? Trente mille morts depuis Maidan ne leur suffisait pas … parce que les Russes, comme je l’ai écrit plus haut, sont des slaves (“slave” en anglais veut dire esclave), donc des sous-hommes. C’est bien triste et je suis beaucoup plus pessimiste qu’Alastair Crooke dans son éditorial du 13 janvier mis en ligne sur le site Strategic Culture (https://strategic-culture.org/news/2023/01/13/the-2023-war-setting-the-theatre/ )

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/01/16/geopolitique-lannee-2023-pourrait-devenir-radioactive/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Voyons plutôt les choses sous un autre angle:

      Toutes les personnes planquées sous terre à x mètres ou km ou en sous-marin sont repérables grâce à la technologie scalaire (qui géolocalise toutes les nappes de pétrole sous terre ou en mers).

      Le nombre de stations HAARP dans le monde:

      https://nwohaarp.wordpress.com/2017/10/05/haarp-the-day-after-tomorrow/

      Puis, rappel, en 2011, 2012, j'ai publié de nombreux documents montrant le déplacement des nuages radioactifs qui suivaient le Jet-Stream de Fukushima/Pacifique/Canada-USA/Atlantique et Europe.

      La carte montrait ces mouvances chaque 3 heures (8 en 24 h).

      mais, ces posts (venus de NILU) ont vite été censurés ! Pourquoi ? Parce que, aux États-Unis, certains scientifiques ont analysé l'air et... n'ont trouvé de radioactivité !! Çà alors !!

      Why ?

      Tout simplement que ces nuages radioactifs étaient détournés du Jet-Stream vers le pôle Nord grâce à la technologie scalaire (mode Tesla) qui permet de pousser les (composants de) nuages.
      Ce serait donc à quoi on pourrait s'attendre en cas de guerre atomique ?
      Notons bien que si l'Ukraine reçoit enfin sa première bombe atomique, les allemands ou les français en rigoleront comme ils l'ont fait pour Hiroshima-Nagasaki ou Tahiti parce que c'est loin et qu'on s'en fout !
      Et, d'autre part, que ce conflit ne dégénérera pas forcément en guerre mondiale que les Américains sont certains de perdre à 100 % face à la Russie et la Chine !

      Supprimer
  22. L'OMS et le WEF en route vers un gouvernement mondial

    16 janvier 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Des négociations secrètes ont eu lieu à Genève, en Suisse, la semaine dernière pour discuter des amendements proposés au Règlement sanitaire international (RSI) de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), qui doit être considéré comme un instrument contraignant du droit international . Des négociations similaires pour rédiger un nouveau traité pandémique de l'OMS ont eu lieu le mois dernier. Ils feraient de l'OMS un gouvernement mondial avec autorité et autorité sur les États nationaux.

    Bien que les deux questions soient souvent confondues, les amendements proposés au RSI et le projet de traité sur la pandémie sont deux propositions distinctes mais liées qui amélioreront la capacité de l'OMS à répondre aux « urgences de santé publique » à travers le monde. Réagir au monde le changerait fondamentalement. - et, préviennent les critiques, priverait gravement les nations de leur souveraineté.

    Peter Koenig, ancien économiste en chef à la Banque mondiale et à l'OMS , pose la question dans un article :

    Le WEF et l'OMS - pratiquent-ils un culte de la mort ? Un « système de santé » tyrannique contrôlé par l'OMS et l'industrie pharmaceutique.

    Qui accomplit ce culte de la mort ? Et au nom de qui ? Outre l'OTAN, Koenig pense aussi au WEF et à l'OMS :

    Le Forum économique mondial (WEF)
    - une organisation non gouvernementale enregistrée à Cologny (banlieue verdoyante de Genève, Suisse) ; une organisation "d'influence" non élue qui a amassé des centaines de millions de dollars en pouvoir et en argent comme aucune autre organisation non gouvernementale au monde. Son fondateur et président perpétuel, Klaus Schwab (84 ans), est un ingénieur et économiste dont les origines sont liées à l'ancienne direction nazie du Troisième Reich.

    D'ailleurs, le WEF tient sa conférence annuelle à Davos du 16 au 20 janvier 2023. La pathologie de cette organisation et des milliardaires d'élite et des chefs d'entreprise qui y participent se reflète dans l'agenda encore plus dystopique de cette année. Jetez un œil au programme officiel .

    Ceci n'est que le programme visible. Aucun d'entre nous, les citoyens, ne sait ce qui se passe à huis clos lors de sessions extraordinaires secrètes.

    RépondreSupprimer
  23. L'Organisation mondiale de la santé (OMS)

    - passe pour une agence spécialisée de l'ONU - ce qu'elle n'est pas en réalité. Il a été fondé en 1948 par Rockefeller, un eugéniste et mondialiste obsédé dont le but était (et est toujours) de contrôler la population mondiale par la santé (et la mort) et qui est déterminé à sauver la Terre Mère à travers un monde unique pour rendre l'ordre meilleur. endroit. L'OMS a alors été « achetée » dans le système des Nations Unies.

    À l'époque, Rockefeller avait également le monopole de l'essence avec Standard Oil. Il a décidé que les produits pharmaceutiques, qui jusque dans les années 1950 étaient principalement basés sur les plantes et la chimie des plantes, pouvaient être fabriqués à partir de produits pétrochimiques. L'OMS, qui selon sa charte était censée être une organisation de prévention des maladies, est ainsi devenue en grande partie une organisation de lobbying pharmaceutique.

    Alors que la plupart des budgets des autres organisations des Nations Unies proviennent des contributions des pays membres, l'OMS est financée au moins aux deux tiers ou plus par le secteur privé, principalement par l'industrie pharmaceutique, ainsi que par la Fondation Bill Gates.

    Un conflit d'intérêts est plus qu'évident. L'OMS ne devrait pas être une agence des Nations Unies. L'OMS - contre la meilleure connaissance de son personnel scientifique - a déclaré Covid une pandémie mortelle, semé la peur, ordonné des verrouillages, des masques faciaux, la distanciation sociale et d'autres mesures inhumaines.

    Finalement, à la demande du WEF (et des pouvoirs qui se cachent derrière le WEF), l'OMS a forcé les gouvernements à « vacciner » leurs populations avec des injections d'ARNm génétiquement modifiées jamais testées auparavant, dont personne, à l'exception de la fabrication pharmaceutique l'industrie le sait - un contenu qui a changé s'est avéré fatal pour des dizaines de millions de personnes et continue d'augmenter.

    D'ici fin 2022, la surmortalité dans les pays occidentaux sera comprise entre 15 % et 25 %, voire plus élevée dans certains pays. Tous les soi-disant vaccins utilisés en Occident sont en fait des armes biologiques.

    Cette arnaque odieuse de Vaxx représente également un chiffre d'affaires d'un milliard, voire d'un billion de dollars pour l'industrie pharmaceutique.

    RépondreSupprimer
  24. Le gouvernement mondial

    L'ancien secrétaire adjoint au Trésor de l'administration Ronald Reagan, Paul Craig Roberts, assume également le rôle de l'OMS et du WEF dans son blog et déclare :

    Le Forum économique mondial et l'Organisation mondiale de la santé s'élèvent au-dessus des gouvernements du monde.

    Roberts se demande comment l'organisation de Klaus Schwab, le WEF, et l'organisation de Rockefeller, Bill Gates et Big Pharma, l'OMS, ont obtenu le mot "monde" dans leurs noms. « La seule organisation au niveau mondial est l'ONU. Comme son nom l'indique, c'est une organisation de nations indépendantes. Les nations parlent, pas le monde, certainement pas une organisation privée comme le WEF et une organisation financée par le privé comme l'OMS. "

    Les mondialistes qui parlent au nom du monde nous auraient déjà joué un tour en adoptant un nom qui suggère que deux organisations privées parlent pour le monde. « Ces deux organisations sont en train d'acquérir cette autorité privée sur l'humanité. Le WEF est impliqué depuis 53 ans et l'OMS depuis 1948 lorsqu'elle a été fondée par Rockefeller. Cette année, l'OMS a fait un effort majeur pour acquérir l'autorité sur la politique de santé de chaque pays.

    Si l'OMS réussit, cette organisation financée par le secteur privé sera indépendante des gouvernements et n'aura aucune responsabilité politique envers le peuple. La même organisation qui a menti et trompé dans ses assurances que le vaccin Covid était "sûr et efficace" cherche à obtenir le pouvoir d'appliquer n'importe quel diktat de son choix partout dans le monde . Êtes-vous satisfait de cela ? » demande Roberts.

    Le FEM et l'OMS partagent le même agenda. Ils opèrent « en inventant des menaces et en contrôlant leurs explications, comme B. Le réchauffement climatique et les pandémies d'origine humaine, dont la solution est la centralisation du pouvoir et l'érosion de la souveraineté nationale et de la responsabilité envers le peuple. "

    L'OMS est en passe de devenir une organisation gouvernementale mondiale officielle en s'intégrant au système des Nations Unies. Et en ce moment, je veux conclure des traités internationalement contraignants, à savoir le RSI et le Traité sur la pandémie. Si l'OMS parvient à contrôler les politiques de santé de tous les pays, cela signifiera la fin de la science indépendante en médecine. En dehors de la guerre nucléaire, il est difficile d'imaginer un développement plus catastrophique.

    L'indépendance des peuples et des pays a beaucoup avancé vers sa disparition.

    https://tkp.at/2023/01/16/welt-regierung-von-welt-gesundheitsorganisation-who-und-welt-wirtschaftsforum-wef/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ils ne sont les élus de PERSONNE et pourtant...
      Tu les connais les patrons de l'usine d'à-côté ? ceux du supermarché ? ceux du laboratoire ? ceux des merdias ? ceux qui placent les marionnettes au pouvoir ? Non ! Pourtant, en 2024, TOUTES les entreprises du monde seront à eux !

      Supprimer
  25. L'UE prévoit l'expropriation des propriétaires à partir de 2030 pour "sauver le climat"


    16 janvier 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    En 2021, l'UE a présenté un ambitieux programme de "sauvetage climatique". Il s'intitule "Fit for 55" ce qui signifie que d'ici 2030 la consommation d'énergie devra être réduite d'au moins 55 %. Des mesures draconiennes qui touchent tous les domaines de la vie devraient aider. Cependant, la plupart des gens souffriront probablement des mesures qui rendent le logement plus cher, voire impossible. En plus des augmentations de loyers, elle se traduira de facto par l'expropriation des propriétaires.
    Un communiqué de presse de 2021 précise la portée des mesures. Au point 2.2, nous apprenons que les mesures "Fit for 55" sont prises dans les domaines de l'industrie, des transports, des bâtiments et de l'énergie.

    « L'application de l'échange de droits d'émission dans le secteur du bâtiment [devrait] contribuer à mettre sur le marché des combustibles de chauffage plus propres, à raccourcir les périodes de récupération des investissements de rénovation et à accélérer le changement de combustible dans l'approvisionnement en chauffage et en refroidissement des bâtiments existants. ...

    La Commission propose donc d'appliquer l'échange de quotas d'émission au trafic routier et au secteur du bâtiment à partir de 2026. »

    Sur le site du Conseil européen, nous pouvons trouver plus d'explications sur le programme Fit for 55 :

    "La loi européenne sur le climat fait de la réalisation de l'objectif climatique de l'UE de réduction des émissions dans l'UE d'au moins 55 % d'ici 2030 une obligation légale."

    Qu'est-ce qui va changer ?
    Nouveaux bâtiments:
    Nouveaux bâtiments qui doivent être zéro émission :

    à partir de 2028 : nouveaux bâtiments appartenant à des collectivités publiques
    à partir de 2030 : tous les nouveaux bâtiments.
    A partir de 2030, les certificats de performance énergétique seront obligatoires pour tous les nouveaux bâtiments.

    Bâtiments existants :
    bâtiments non résidentiels :

    Les États membres doivent fixer des objectifs minimaux de performance énergétique, c'est-à-dire H la quantité maximale d'énergie que les bâtiments peuvent consommer par m² et par an (sur la base de l'ensemble du parc immobilier en janvier 2020). Il y aura deux seuils - 15 % et 25 % - pour le parc immobilier national au-dessus de ces seuils.

    D'ici 2030, tous les bâtiments non résidentiels doivent être sous le seuil de 15 %.
    D'ici 2034, tous les bâtiments non résidentiels doivent être sous le seuil de 25 %.
    bâtiments résidentiels:

    La consommation moyenne d'énergie primaire de tous les bâtiments résidentiels correspond

    d'ici 2033 au moins le niveau de la classe d'efficacité énergétique globale D
    d'ici 2040 au moins le niveau fixé par chaque pays pour garantir qu'en 2050 un parc immobilier zéro émission sera atteint.
    D'ici 2050, tous les bâtiments existants devraient avoir été convertis en bâtiments zéro émission.

    RépondreSupprimer
  26. Fini le rêve de vos quatre murs à vous ?

    L' association des propriétaires Haus & Grund a vivement critiqué la directive envisagée, affirmant qu'elle signifiait la fin de millions de bâtiments en Europe. Selon les estimations de l'association, il y a environ trois millions de maisons en Allemagne qui ne devraient plus être utilisées en deux temps à partir de 2030 et 2033, comme le rapporte Spiegel Wirtschaft . " La rénovation ne sera pas une option pour de nombreux bâtiments des classes énergétiques F et G ", déclare Kai Warnecke, président de Haus-&-Grund. « Pour de nombreux propriétaires privés, l'UE met fin au rêve de posséder leurs quatre murs. "

    Bien sûr, cela affectera à nouveau les couches les plus pauvres de la population, comme cela s'est produit avec les mesures corona, la tarification du gaz carbonique, les sanctions contre la Russie ou la déréglementation des marchés de l'énergie.

    L'UE suit donc exactement les directives du Forum économique mondial de la limite de 0,01 pour mille : « Vous ne posséderez plus rien et vous serez heureux. » Cependant, seule la première partie s'appliquera.

    Les loyers vont inévitablement augmenter en raison de la nécessité de rénover les maisons existantes. Les artisans gagneront aussi de l'argent grâce aux rénovations et des emplois seront créés, mais les grandes entreprises qui produisent les matériaux qui serviront aux rénovations se tailleront la part du lion.

    Les rénovations des maisons les plus anciennes devraient être abordées presque immédiatement. Jusqu'à présent, la classe énergétique G est toujours autorisée, d'ici 2030, la classe F doit être atteinte et d'ici 2033 au plus tard, même la classe d'efficacité énergétique E doit être atteinte. Cela concerne des millions de maisons, dont beaucoup ne pourront pas être progressivement rénovées. Pour une grande partie du parc ancien, le zéro émission visé d'ici 2050 ne sera même pas atteignable, de sorte qu'ils ne seront peut-être plus habités au plus tard en 2040. En Allemagne, cela touchera déjà 3 millions de maisons d'ici 2033.

    En fin de compte, cela équivaut à une expropriation généralisée - exactement ce que veulent réaliser le WEF, les milliardaires et les oligarques qui l'utilisent comme une machine de relations publiques. En conséquence, il y aura également une concentration de l'immobilier.

    Tout se résume à une redistribution ascendante des richesses et des biens. "Fit for 55" a tout aussi peu à voir avec le climat que le Corona mesure avec la santé.

    La vidéo montre très clairement les problèmes.

    - voir clip nazi sur site :

    https://tkp.at/2023/01/16/eu-plant-ab-2030-enteignung-von-hausbesitzern-zwecks-klimarettung/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ce dont ils se foutent c'est que vous puissiez ou non payer votre électricité, ce qu'ils regarderont seront les sondes posées dans chaque pièce où une certaine température ne devra pas être dépassée !
      Et donc, si elle vient des voltaïques ou éolien c'est du vol ! c'est du vent, et comme ils sont improductifs, c'est couic du chauffage et de l'éclairage ! 5 ou 10°C dans une maison c'est laaaaargement suffisant !
      Vous n'aurez rien et serez heureux !

      Quant à 'obéir aux ordres', là, ce sera 'un peu différent' ! car, les policiers comme les soldats ou autres fonctionnaires ont un 'chez eux' et une famille et, comme il ne tient qu'à eux d'appliquer ou non les ordres...

      Supprimer
  27. La troisième guerre mondiale est-elle déjà en cours ou est-elle encore à venir ?


    16 janvier 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Il devient de plus en plus clair que l'Ukraine est en guerre entre l'OTAN et la Russie, avec principalement du personnel ukrainien soutenu par des mercenaires du monde entier, mais surtout de ses voisins européens. Une large gamme d'armes américaines est disponible pour cela et bientôt les chars allemands sont censés rouler à nouveau vers l'est. Les États-Unis aggravent également la situation autour de Taiwan. Est-ce déjà une guerre mondiale, est-ce encore à venir ou peut-elle être évitée ?

    Il a récemment expliqué commandant de l'US Marine Corps (USMC) au Japon a déclaré que le Pentagone préparait une guerre contre la Chine. Le général américain a commenté l'armement en cours de Taïwan, affirmant qu'il s'agit de "préparer" l'île, un peu comme le régime de Kiev l'a fait depuis 2014. Plus ici .

    « L'Ukraine est déjà membre de facto de l'OTAN. a déclaré Oleksii Reznikov, ministre de la Défense de l'Ukraine.

    Suite à cela, l'ancien sous-secrétaire au Trésor de l'administration Ronald Reagan, Paul Craig Roberts, écrit sur l'augmentation drastique des livraisons d'armes de l'OTAN vers la zone de guerre :

    " Si les rapports sont exacts selon lesquels des systèmes d'armes occidentaux modernes doivent être livrés à l'Ukraine - les derniers chars américains et allemands, les systèmes de missiles Patriot et d'autres armes actuelles - alors le ministre Reznikov a raison.

    Ces armes supposent que l'Ukraine dispose encore de suffisamment de soldats pour les utiliser. Il faudra des mois pour préparer l'Ukraine à ces armes. Un système logistique est nécessaire pour livrer, entretenir et protéger les armes contre les attaques aériennes et de missiles russes. Cela nécessite du personnel américain/OTAN sur le terrain en Ukraine si les armes doivent être utilisées efficacement.

    En d'autres termes, "l'opération militaire limitée" s'est transformée en une guerre entre les États-Unis/l'OTAN/l'Ukraine et la Russie".

    Roberts poursuit en disant que dépouiller les membres européens de l'OTAN des armes pourrait inviter la Russie et ses alliés " simplement balayer les pays baltes et la Finlande pauvres en armes autour de l'Allemagne jusqu'en France et retourner en Serbie, laissant l'Europe de l'Est et de l'Ouest coupée. et encerclé. Mais cela ferait officiellement de la guerre une guerre contre l'OTAN, et les États-Unis devraient utiliser leur seul moyen : les armes nucléaires. "

    RépondreSupprimer
  28. Cependant, il a quelques critiques de Mearsheimer :

    « Mearsheimer, en bon Américain, surestime son pays. Il estime que la guerre en Ukraine est existentielle pour les Russes, alors que pour les Américains, il s'agit essentiellement d'un «jeu de pouvoir» parmi d'autres. Après le Vietnam, l'Irak et l'Afghanistan, quelle autre débâcle ? L'axiome de base de la géopolitique américaine est : « Nous pouvons faire ce que nous voulons car nous sommes protégés, très loin, entre deux océans, il ne nous arrivera jamais rien ». Rien ne serait existentiel pour l'Amérique.

    Une analyse insuffisante qui conduit aujourd'hui Biden à procéder sans tête. L'Amérique est fragile. La résistance de l'économie russe amène le système impérial américain au bord de l'effondrement. Personne ne s'attendait à ce que l'économie russe résiste à la « puissance économique » de l'OTAN. Je pense que les Russes eux-mêmes ne s'y attendaient pas.

    Si l'économie russe résiste indéfiniment aux sanctions et parvient à épuiser l'économie européenne alors qu'elle persiste, soutenue par la Chine, le contrôle monétaire et financier américain sur le monde s'effondrerait, et avec lui la possibilité pour les États-Unis de financer leur énorme déficit commercial pour libre. Cette guerre est donc devenue existentielle pour les États-Unis. Tout comme la Russie, ils ne peuvent pas se retirer de ce conflit, ils ne peuvent pas lâcher prise. C'est pourquoi nous sommes maintenant dans une guerre sans fin, dans un affrontement dont le résultat doit être l'effondrement de l'un ou de l'autre.

    Il croit fermement que les États-Unis sont en déclin, mais y voit une mauvaise nouvelle pour l'autonomie de l'État client :

    "Je viens de lire un livre de S. Jaishankar, le ministre indien des affaires étrangères (The India Way) qui a été publié juste avant la guerre. Il voit la faiblesse américaine et sait que la confrontation entre la Chine et les États-Unis n'aura pas de vainqueur mais donnera de l'espace à un pays comme l'Inde et bien d'autres. J'ajoute : mais pas pour les Européens. Partout, nous voyons l'affaiblissement des États-Unis, mais pas en Europe et au Japon, car l'un des effets du retrait du système impérial est que les États-Unis augmentent leur emprise sur leurs protectorats d'origine. A mesure que le système américain se rétrécit, il pèse de plus en plus lourd sur les élites locales des protectorats (et j'inclus ici toute l'Europe)... Sur le continent européen nous sommes un peu protégés par nos langues nationales, mais le déclin de notre autonomie est important, et rapide. Souvenons-nous de la guerre en Irak lorsque Chirac, Schröder et Poutine ont tenu des conférences de presse conjointes contre la guerre ».

    Il souligne l'importance des compétences et de l'éducation : « Les États-Unis sont désormais deux fois plus peuplés que la Russie (2,2 fois plus dans les tranches d'âge étudiantes). Mais aux États-Unis, seuls 7 % étudient l'ingénierie, contre 25 % en Russie. Cela signifie que la Russie forme 30 % d'ingénieurs en plus, bien que 2,2 fois moins de personnes étudient. "

    RépondreSupprimer
  29. Biden sera-t-il contraint de démissionner puis de mettre fin à la « guerre de Biden » ?
    Mais il existe également d'autres théories plausibles. Les médias polonais soupçonnent le gouvernement polonais de se préparer à une partition de l'Ukraine . Il donne même la date du début de la probable invasion polonaise de l'Ukraine - le 4 mai.

    Mais la Pologne ne peut le faire que si les États-Unis le permettent et le veulent. Cela pourrait bien être le cas, cependant, compte tenu des derniers développements entourant l'affaire des documents secrets de Biden.

    Le procureur général Merrick Garland a chargé le procureur américain à Chicago d'examiner les documents classifiés trouvés au Penn Biden Center for Diplomacy and Global Engagement à Washington, ont déclaré à CBS News deux sources au courant de l'enquête . La dizaine de documents provient du bureau du président Biden, vice-président du centre, ont indiqué les sources. CBS News a appris que le FBI est également impliqué dans l'enquête du procureur américain.

    Le matériel a été identifié par les avocats personnels de M. Biden le 2 novembre, juste avant les élections de mi-mandat, a confirmé Richard Sauber, le conseiller spécial du président. Les documents ont été découverts alors que les avocats personnels de Biden " emballaient les fichiers placés dans une armoire verrouillée en vue de quitter les bureaux du Penn Biden Center à Washington, DC ", a déclaré Sauber dans un communiqué à CBS News.

    L'histoire est restée secrète pendant plus de deux mois. Les avocats de Biden, qui auraient trouvé les documents, ont informé les Archives nationales, qui en ont pris possession le lendemain. Il a ensuite informé le procureur général, qui a engagé un avocat américain et a appelé le FBI.

    C'est du moins l'histoire qui est racontée.

    Mais pourquoi cette histoire remonte-t-elle tout d'un coup ? Pourquoi le carnet de notes du fils Hunter Biden a-t-il été supprimé si efficacement et pendant si longtemps ? Mais maintenant, Hunter Biden est également entraîné dans l'affaire, car il a apparemment payé à son père 50 000 $ par mois de loyer pour le garage avec les documents :

    Peu de temps après la soirée électorale, des rumeurs ont commencé à circuler selon lesquelles Biden serait remplacé par le vice-président Kamala Harris vers la moitié de son mandat . Il n'est pas vraiment apte à être président étant donné ses capacités mentales, qui sont évidemment limitées par sa maladie.

    RépondreSupprimer
  30. Les documents pourraient désormais être le moyen de le persuader ou de le forcer à se retirer. Cela créerait la possibilité de mettre fin à la "guerre de Biden", d'arrêter les livraisons d'armes américaines et de laisser les vassaux de l'OTAN seuls pour fournir des armes à l'Ukraine. Avec l'occupation de certaines parties de l'Ukraine, la voie pour mettre fin à la guerre serait alors ouverte. Un reste de l'Ukraine peut servir de tampon entre l'OTAN et la Russie, tandis que la Roumanie et la Hongrie obtiennent des parties supplémentaires du territoire.

    Les États-Unis pourraient alors se concentrer entièrement sur la Chine, en utilisant Taïwan comme autre proxy.

    https://tkp.at/2023/01/16/ist-der-dritte-weltkrieg-schon-in-gang-oder-kommt-er-noch/

    RépondreSupprimer
  31. Riche grâce à un « dur labeur » ? Brisez les chaînes

    Pour les entrepreneurs, les revenus élevés sont généralement une récompense pour des idées particulièrement bonnes.


    le 15 janvier 2023
    Rainer Zitelmann


    Les employés projettent leurs propres critères de performance et de rémunération sur les cadres supérieurs et pensent qu’il doit y avoir une relation étroite entre, d’une part, l’intensité et la durée du travail et d’autre part, le salaire de la personne.

    En ce qui concerne les salaires des cadres supérieurs, les répondants ne voient manifestement pas un tel lien. Ils en concluent donc que les salaires des managers sont excessifs car aucun manager ne travaille 100 fois plus longtemps ou aussi dur qu’un employé moyen.

    En revanche, pratiquement aucune des personnes interrogées n’a compris que les salaires des cadres supérieurs sont déterminés par l’offre et la demande sur le marché des cadres de haut niveau. Seule une personne interrogée sur cinq en Allemagne est d’accord pour dire que les entreprises ne peuvent embaucher et retenir les meilleurs cadres que si elles leur versent des salaires très élevés (l’enquête a spécifié des salaires 100 fois supérieurs à ceux d’un employé moyen), car sinon ces cadres iraient dans une autre entreprise qui paie mieux ou travailleraient pour eux-mêmes.

    Il existe un marché concurrentiel pour les cadres supérieurs. Il fonctionne selon d’autres mécanismes et ni l’éducation formelle ni l’apport en temps ne jouent un rôle. Cela est vrai non seulement pour les personnes les plus performantes dans les entreprises, mais aussi dans le sport, par exemple. Prenez Lionel Messi et Christiano Ronaldo, qui ont tous deux gagné à certains moments plus de 100 millions de dollars par an, selon Forbes. S’entraînent-ils 1000 fois plus ou transpirent-ils 1000 fois plus qu’un joueur de football qui gagne 100 000 dollars par an ? Bien sûr que non. Mais leur rémunération – comme celle des cadres supérieurs – n’est pas basée sur l’intensité de leur travail ou sur le nombre d’heures travaillées.

    Et la comparaison est également valable à un autre égard : la rémunération d’un athlète d’élite est fixée lorsqu’il signe un contrat avec l’équipe pour laquelle il joue. Sa rémunération est basée sur une prévision de ses performances futures et cette prévision est basée sur une extrapolation de ses performances passées. Si les performances de l’athlète sont moins bonnes à l’avenir, alors le club a effectivement payé trop cher.

    Mais il serait presque impossible d’éliminer de tels cas car nous ne connaissons pas l’avenir. Parfois, les performances d’un athlète seront conformes aux attentes, parfois elles seront encore meilleures et parfois elles seront pires. Mais si elles sont pires, ce n’est pas la société qui en pâtit, mais le club.

    Dans le monde des affaires, le parallèle serait un manager de haut niveau dont les performances ne répondent pas aux attentes et dont le contrat doit néanmoins être respecté. Si les performances du manager sont insuffisantes, il reçoit en effet un salaire « trop élevé ». Mais ce n’est pas au détriment de l’entreprise, mais des actionnaires.

    RépondreSupprimer
  32. Et ce qui vaut pour les cadres supérieurs vaut encore plus pour les entrepreneurs. Même les salaires d’un million de dollars des PDG de grandes sociétés sont souvent dérisoires par rapport aux salaires perçus par des entrepreneurs très prospères. Les employés pensent que les salaires doivent être basés sur la durée et l’intensité du travail d’une personne. Les entrepreneurs pensent tout autrement. Ils savent que leurs clients ne se soucient pas de la durée ou de l’intensité de leur travail. Ils savent qu’ils sont payés en fonction des résultats, en fonction des avantages que leurs produits ou services créent pour les consommateurs.

    Pour les entrepreneurs, les revenus élevés sont généralement une récompense pour des idées particulièrement bonnes. La personne la plus riche est celle qui a les meilleures idées et qui invente ou fabrique des produits et services commercialisables qui répondent aux besoins du plus grand nombre de personnes.

    Il suffit de penser à Larry Page et Sergey Brin, qui ont inventé Google, au fondateur d’Amazon, Jeff Bezos, ou à Bill Gates de Microsoft. Bien sûr, Jeff Bezos n’a pas travaillé un million de fois plus longtemps ou plus dur que le travailleur moyen mais il a eu de grandes idées qui ont créé des avantages substantiels pour des millions de personnes. Des idées que d’autres n’avaient tout simplement pas ou ne pouvaient pas mettre en œuvre.

    Mais ce monde où les compétences rares et les grandes idées sont récompensées est hors de portée de la plupart des travailleurs et des employés. D’après leur expérience, les personnes plus qualifiées gagnent généralement plus. Et les employés qui font des heures supplémentaires, travaillant 50 heures au lieu de 40, par exemple, gagnent plus parce qu’ils travaillent plus longtemps.

    Ce concept est toutefois largement étranger à un cadre supérieur ou à un entrepreneur qui sait que personne ne le paie en fonction de ses efforts ou de sa durée de travail. Une grande partie du salaire d’un PDG typique est liée à l’évolution du cours de l’action de l’entreprise, c’est-à-dire qu’elle est liée aux performances. Ce n’est donc pas le fait de travailler plus longtemps qui conduit à des salaires très élevés mais la croissance de la valeur de l’entreprise.

    Une fois, j’ai gagné un million de dollars en quelques jours. Et le travail n’était même pas pénible. Un entrepreneur immobilier germano-américain m’a demandé de trouver quelqu’un pour acheter 50 % de sa société. Je connaissais bien les forces et les faiblesses de son entreprise et je connaissais les forces et les faiblesses de l’entreprise que j’avais identifiée comme un acheteur potentiel. Ma connaissance du marché et ma compréhension des deux entreprises étaient plus importantes que le temps que j’ai passé sur l’affaire. Seul le résultat comptait. Et bien sûr, je n’avais pas accepté d’être payé en fonction du nombre d’heures passées à mettre en place l’opération mais en fonction d’un pourcentage de la valeur totale de l’opération. Tant que vous restez prisonnier de la mentalité de l’employé, vous n’avez aucune chance de devenir riche.

    Rainer Zitelmann est l’auteur du livre The Rich in Public Opinion

    https://www.contrepoints.org/2023/01/15/448256-riche-grace-a-un-dur-labeur-brisez-les-chaines

    RépondreSupprimer
  33. Un choix des élites qui fait mal à la France !

    Loin de mettre en cause la qualité de nos élites, le souci est avant tout de dénoncer toutes ces nominations incongrues, destinées à satisfaire l’ambition des donneurs d’ordre, patrons et politiques, détenteurs du pouvoir.


    Par Jacques Martineau
    le 13 janvier 2023 à 15h56


    Parmi les agents de la fonction publique, 1 % perçoivent plus de 6 600 euros nets par mois.

    Pourquoi incongrues ? Parce qu’elles obéissent aux ordres de ces décideurs, considérés par beaucoup comme « au-dessus de tout soupçon ». Les meilleures d’entre elles, à la botte, régénèrent les effectifs des différentes classes dirigeantes. Le suivi de ce « turn-over » permanent et sans prise de risque est confié à des cabinets de conseil reconnus pour éviter de créer la discorde dans les rangs des prétendants méritants. Ces « choisis » constituent un vivier surabondant qui permet de pallier, hors compétence, les manques identifiés tous azimuts.

    Il n’y a que la COM’ pour convaincre…

    Ce mal ne peut être ignoré et passé sous silence. Les femmes et les hommes qui en souffrent ou qui s’en contentent sont présents dans nos entreprises comme en politique. Les pouvoirs « faibles » savent en tirer un avantage. La manipulation trouve sa place apparentée au « 7ème Art ». C’est l’image et la propagande qui priment. Pour comprendre le processus qui conduit à une perte des compétences, il importait de situer le décor et le système dans lequel ces acteurs opèrent, confrontés à des oligarchies omnipotentes, financières, lobbyistes ou issues des urnes. Pour la classe dirigeante, la communication est leur seul moyen d’affirmer sa présence au sein du système. L’objectif n’est pas de convaincre mais de plaire et de séduire avec des astuces et des gadgets qui finissent par irriter. Les mises en scène, le grandiose et l’abusif sont entrés dans les mœurs.

    Pour la classe dirigeante, la communication tous azimuts est leur seul moyen d’affirmer sa présence au sein du système. Peu importe ce que l’on dit, il faut le dire ! L’objectif n’est pas de convaincre mais de plaire et de séduire avec des astuces et des gadgets qui finissent par irriter. Les mises en scène, le grandiose et l’abusif sont entrés dans les mœurs. C’est Winston Churchill qui disait : « La démocratie est le pire des systèmes à l’exclusion de tous les autres ».

    RépondreSupprimer
  34. L’opinion est trompée et partagée

    Par définition ces « choisis » sont « porte-parole » de la France sur la scène internationale. C’est à ces grands patrons, chef de l’État et de gouvernement qu’il incombe de préserver notre patrimoine et de veiller à la pérennisation des acquis et à anticiper l’avenir, économique et financier, éducatif, social et sécuritaire. La place de la France, dans l’UE et dans le Monde. Elle ne peut se limiter à des soumissions à des enjeux financiers au gré de quelques avantages, en abandonnant sa souveraineté. Montées sur un piédestal, ces « élites de l’élite de l’élite » sont perçues et adulées par une partie de l’opinion publique et par la presse, tandis qu’une autre partie de l’opinion les appréhende comme des despotes et des Jupiters au point de les détester. Les véritables élites sont trop souvent sur la touche et c’est la France qui en pâtit !

    https://www.economiematin.fr/elite-politique-choix-comunication-martineau

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. N'oublions pas que contrairement aux patrons d'entreprises ce sont des marionnettes qui s'agitent à la télé ! Très tôt il leur est enfilé un bâton dans le cul et s'appellent dictators.

      Supprimer
  35. - voir cadre sur site -

    Les experts sont généralement plus confiants dans les solutions dans les domaines militaire ou de la santé. Les défis environnementaux et sociétaux laissent les politiques et les décideurs moins confiants.

    Une observation révélatrice des données ci-dessus est qu'aucun des risques n'a laissé une majorité d'experts ni confiants dans notre capacité à empêcher le risque de se produire, ni prêts à atténuer son impact. Alors que les années 2020 s'annoncent comme une décennie mouvementée, cela pourrait être une source de préoccupation.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/visualizing-biggest-global-risks-2023

    RépondreSupprimer
  36. Quand les processus tuent la créativité de l’organisation

    Il arrive souvent que le développement de processus étouffe la créativité, c’est-à-dire la capacité de l’organisation à continuer de répondre aux défis de son environnement.


    le 16 janvier 2023
    Philippe Silberzahn


    Une organisation sans processus ne peut pas fonctionner au-delà d’une certaine taille.

    Pourtant, il arrive souvent que le développement de processus étouffe la créativité, c’est-à-dire la capacité de l’organisation à continuer de répondre aux défis de son environnement. Comment résoudre ce paradoxe ? La clé réside dans la conception que l’on a de ce qu’est un processus.

    « Par lassitude devant l’effroyable multiplicité des problèmes, la complexité et les difficultés de la vie, la grande masse des hommes aspirent à une mécanisation du monde, à un ordre définitif, valable une fois pour toutes, qui leur éviterait tout travail de la pensée. » — Stefan Zweig

    C’était il y a plus de vingt ans et il y a prescription. Le client de ma startup était une très grosse entreprise qui avait lancé un très ambitieux projet de rupture. Ce projet avait été lancé dans des conditions acrobatiques, sans structure, avec une petite équipe et un mandat assez bref : créer et lancer un service très novateur en quelques semaines. Nous étions sous-traitants, chargés d’une partie de la réalisation. Comment nous avions eu le contrat et les conditions dans lesquelles celui-ci a été réalisé, mériteraient un article à eux seuls ; mais bon, le service fut lancé dans les temps et inauguré en grande pompe par le dirigeant de l’entreprise.

    Fort de ce succès, le projet a eu pour ambition de grandir. Sont alors arrivés les managers. Je me souviens en particulier de l’un d’entre eux, appelons-le Jean-François, qui a repris la direction de notre projet. Enfin pris, pas repris, car il n’y avait personne avant. Donc Jean-François me convoque un jour et m’explique que c’en est fini du chaos du projet. « Il faut mettre plus de process », me dit-il. Et de s’y appliquer, avec force powerpoint et feuilles Excel. Pour lui, le manque de structure initial était une tare. Pas un seul instant il ne s’est dit que c’était peut-être la raison du succès.

    RépondreSupprimer
  37. Un mauvais modèle mental de ce qu’est un processus

    Le problème de Jean-François, qui était sincèrement convaincu qu’il allait apporter beaucoup au projet, est qu’il n’avait pas le bon modèle de ce qu’est un processus.

    Les personnes comme lui pensent qu’un processus est comme une recette de cuisine. Elles voient l’organisation comme une mécanique qu’il faut bien concevoir et bien huiler. Elles sont obsédées par l’idée de simplifier car la complexité leur répugne. Elles y voient du désordre et du gaspillage. Or, un processus ce n’est pas ça du tout. Au sens premier, un processus (le terme français est procès, mais personne ne l’emploie) n’est rien d’autre qu’un ensemble de phénomènes reliés qui se déroulent dans le temps. En management, il sous-entend souvent l’idée d’organisation de ces phénomènes, de structure et derrière, d’intention et de méthode.

    Mais d’où viennent les processus ?

    Le chercheur en innovation Clayton Christensen observe qu’au début de son existence, ce qu’une organisation sait faire est attribuable à ses ressources et principalement ses ressources humaines (fondateurs et premiers associés/employés).

    Des problèmes surgissent, ils sont résolus directement, de façon informelle. Au cours du temps, la résolution, notamment des problèmes récurrents, devient formalisée en des processus. Cette formalisation permet à l’entreprise de grandir : les nouveaux employés n’ont plus à redécouvrir une solution par eux-mêmes ; ils appliquent les processus développés par leurs prédécesseurs. La présence des fondateurs n’est plus nécessaire pour cette résolution, leur savoir est en quelque sorte encapsulé dans ces processus. Leur création est une condition sine qua none pour la startup de passer de l’ère entrepreneuriale où la présence des fondateurs est nécessaire à la résolution de problèmes à celle de la croissance où la résolution de ces problèmes est déléguée à un nombre croissant d’individus.

    Peu à peu, la résolution des principaux problèmes devient inconsciente. Elle repose de plus en plus sur des hypothèses et des principes dégagés du succès de la résolution des problèmes passés et non plus sur des prises de décision conscientes. Ces processus et ces principes constituent le modèle mental de l’organisation, c’est-à-dire un ensemble de croyances et de valeurs apprises collectivement par l’organisation et vues par elle comme des évidences.

    RépondreSupprimer
  38. Ce qui apparaît très clairement ici, c’est combien les processus, loin d’être des recettes abstraites et génériques, sont au contraire l’expression de l’identité profonde de l’organisation. Ils traduisent les choix qui ont été faits pour répondre de façon originale aux défis qu’elle a rencontrés. Ils sont l’expression de sa singularité. Autrement dit, un processus chez Peugeot n’a rien à voir avec un processus chez Tesla ou Renault. Le mot peut être le même mais ce que chaque organisation met derrière peut être radicalement différent. Quand Jean-François arrive avec ses recettes de cuisine, il attaque frontalement ce modèle mental, ce qui ne manque pas d’entraîner une réaction immunitaire. Étant attaqué, le système cherche à se protéger et éjecte Jean-François. Du moins, il essaie. En l’occurrence, après un paquet de slides et de réunions, Jean-François a disparu moins de six mois après son arrivée au grand soulagement de tous les acteurs du projet qui ont pu se remettre à travailler.

    Cela ne signifie pas qu’une organisation doit rester figée dans son modèle, ni qu’elle ne doit pas développer de formalisation de son fonctionnement.

    Cela signifie qu’un effort de formalisation, indispensable à la croissance, doit se faire en respectant le modèle mental, c’est-à-dire l’identité et donc l’histoire de l’organisation. Or, il est caractéristique des Jean-François du monde qu’ils ne sont absolument pas intéressés par cet aspect. Leur mépris pour le passé leur semble une attitude rationnelle, ils le revendiquent d’ailleurs fièrement le plus souvent. Ils veulent refonder le projet sur des bases saines et c’est leur plus grande erreur. Si le système n’arrive pas à les éjecter, ils étouffent la capacité créative et mettent l’organisation en danger. Leur conception du processus a-historique, a-sociale et simplifiante tend en effet à ne considérer que ce qui se voit et qui est mesurable. Ils oublient qu’une large partie de la création de valeur se fait dans l’informel, et qu’une organisation est un système complexe, qu’on le veuille ou non.

    En outre, ce système n’est pas mécanique mais social : la seule façon de le faire évoluer est par une approche sociale, c’est-à-dire en cocréation du changement. En somme, Jean-François nie la réalité pour plaquer un modèle abstrait au lieu de partir de la réalité pour la faire évoluer et pense qu’on peut appliquer une solution simple à un problème complexe.

    Il est toujours fascinant d’observer les Jean-François et j’en ai vu un paquet dans ma vie : ils se voient comme des pragmatiques avant tout mais sapent systématiquement les bases de leur action par leur attitude dogmatique.

    Tension créatrice

    Préserver sa capacité créative tout en formalisant sa façon de travailler n’a rien de simple.

    RépondreSupprimer
  39. C’est un peu la quête du Graal des organisations. La tension entre formalisation et créativité n’est jamais résolue, elle est un exercice d’équilibriste toujours renouvelé. Les processus le rendent possible lorsqu’ils sont créés à partir de l’identité de l’organisation, c’est-à-dire lorsqu’ils sont l’expression de ce qu’est l’organisation et le reflet de sa façon singulière de résoudre les défis auxquels elle est confrontée. Ce lien entre processus et identité, qui n’est pas conçu comme un enfermement mais comme un ancrage, souligne à quel point la distinction entre stratégie et exécution est malvenue dans les situations de changement, et catastrophique en situation de crise.

    https://www.contrepoints.org/2023/01/16/447830-quand-les-processus-tuent-la-creativite-de-lorganisation

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Où est la création, l'invention, le génie ? Partis ! Pchitt ! Y a plus ! Chercher un ingénieur dans le nucléaire... il est chinois ! C'est comme chercher un médecin en Californie ! Ils y sont interdits !! S'ils refusent de promouvoir la piqûre létale... ils se voient retirés leur licence ! Donc, les docteurs s'en vont (Arizona, Névada, Texas, etc), Hollywood ferme ses portes, les artistes déménagent et restent... que les immigrés latinos avec leurs drogues et leurs armes... jusqu'à ce qu'ils tombent malades !
      Californie: 0 habitant.

      Supprimer
  40. Les milliardaires français ont gagné 200 milliards en 2 ans

    Les inégalités de richesse, en France, se creusent. Le rapport Oxfam dévoilé le 16 janvier 2023, intitulé « La loi du plus riche », fait le point sur l’augmentation de la richesse des milliardaires depuis 2020 et la crise sanitaire de la Covid-19. Sans surprise, ce sont les plus riches qui ont capté le plus de richesse. Et leur fortune a explosé.


    Par Paolo Garoscio
    le 16 janvier 2023 à 7h37


    Plus de 6.000 personnes en France ont une fortune supérieure à 50 millions de dollars.

    2,7 milliards de dollars de plus… par jour

    Les grands gagnants de la crise sanitaire ont été les milliardaires et les plus riches en général. Selon Oxfam, depuis 2020, les 1% les plus riches ont capté deux-tiers des « richesses mondiales produites ». De quoi augmenter les inégalités de richesse dans le monde, alors que 820 millions de personnes sur Terre soufrent de la faim, souligne l’ONG.

    Les sommes sont considérables : « les milliardaires ont gagné 2,7 milliards de dollars par jour depuis 2020 grâce à l’intervention publique face au coronavirus », écrit Oxfam dans son communiqué de presse. Et la tendance est mondiale : la France n’y fait pas exception.

    Richesse : plus de 200 milliards d’euros de plus pour les milliardaires français

    En France aussi ce sont les milliardaires qui ont gagné gros depuis la crise sanitaire. Entre mars 2020 et mars 2021, selon le rapport Oxfam, leur richesse a grimpé de 200 milliards d’euros. Elle a ensuite légèrement chuté, après la guerre en Ukraine et à cause des marchés baissiers. Mais ils n’ont perdu en 2022 que moins de 10% des sommes engrangées. 19 milliards d’euros de pertes, contre 220 milliards d’euros de gain. Soit 201 milliards d’euros gagnés entre début 2020 et fin 2022.

    Ce sont les 10 plus grandes fortunes de France qui ont touché le plus : 189 milliards d’euros de gain entre 2020 et 2022. Suffisant pour… financer les dépenses de l’État concernant la crise sanitaire et estimées à 140 milliards d’euros depuis 2020. C’est le prix du « quoiqu’il en coûte » selon Olivier Dussopt, début janvier 2022.

    Des milliardaires qui ont multiplié leur fortune par 2… voire 5

    Oxfam détaille les gains des milliardaires français. Et le grand gagnant est Rodolphe Saadé, à la tête de l’entreprise de fret maritime CMA-CMG. Sa fortune a été multipliée par 5 entre 2020 et 2022, passant de 7,9 à 40,5 milliards d’euros.

    En valeur absolue, ce n’est toutefois pas le milliardaire qui a gagné le plus. Ce dernier n’est autre que Bernard Arnault, devenu fin 2022 l’homme le plus riche du monde. Sa fortune est passée de 85,7 milliards à 179 milliards entre 2020 et 2022. Soit un gain de 93,3 milliards sur la période.

    Désormais, rappelle Oxfam en se basant sur les données de la base Wealth-X, 122.575 personnes ont une fortune supérieure à 5 millions de dollars en France. Pour un total de 2.390 milliards de dollars. Quasiment l’équivalent du PIB de l’Hexagone (2.958 milliards de dollars fin 2021).

    https://www.economiematin.fr/milliardaires-richesse-gain-france-monde-oxfam

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est quoi 'être riche' ? Avoir DES millions, milliards ? et puis ?

      (...) Plus de 6.000 personnes en France ont une fortune supérieure à 50 millions de dollars. (...)

      Si vous êtes riche vous achetez maison(s), meubles coûteux et voiture(s), donc: vous faites marcher le commerce des architectes, maçons, peintres, décorateurs, ébénistes comme aussi les ouvriers dans le secteur automobile ou de l'hélicoptère, avion, etc. Donc, comme ils dépensent beaucoup, ils sont un bien nécessaire (ce n'est pas tout le monde qui peut en dire autant).

      Oui mais si ce n'est pas tout le monde qui peut en dire autant, c'est parce que l'argent qu'ils dépensent ne profitera pas aux autres ! Regardez l'exemple pris par Charles Gave: Un employé va gagner 40 000 et l'employeur va dépenser 80 000 pour l'avoir ! Sur ces 40 000 l'employé va payer 10 000 d'impôts et, sur les 30 000 restant il va payer 20 % de TVA ! Reste 24 000 ! L’État vole 76 000 !

      Alors, que va faire le riche pour rester riche ? Il part ! Il s'en va ! Il gagne vite-fait les 'paradis fiscaux' dans une île lointaine aux intérêts zéro. Oui mais, son argent demeurera sans diminuer.

      Investir ? Où ? En Chine ? En Russie ? En Afrique chinoise ?

      Supprimer
  41. La Banque Nationale Suisse annonce une perte colossale record de 143 milliards de dollars en 2022 : le pourquoi du suicide et de l’abandon de la neutralité de la Suisse…


    Par Vincent Gouysse
    Mondialisation.ca,
    15 janvier 2023


    Comme rapporté en ce jour par le Général Dominique Delawarde,

    « la Banque Nationale Suisse vient d’annoncer des pertes colossales de 143 milliards de dollars en 2022. Ce sont les pires enregistrées par cette banque en 116 ans d’histoire. Ce record est 5 fois plus important que le dernier qui datait de 2015 et représente 18% du PIB Suisse prévu pour 2022. La Suisse a-t-elle fait une bonne affaire en abandonnant, si peu que ce soit, sa neutralité qui faisait sa fortune, pour s’aligner sur le camp occidental ? À chacun de répondre à cette intéressante question. Pour ceux qui ont un VPN. Évidemment, nos médias n’évoquent pas le sujet. On ne doit pas parler des choses qui fâchent, lorsqu’on est en mode propagande. Le monde de la haute finance internationale qui a provoqué et finance la guerre en Ukraine aurait-il des difficultés ? »

    En ce qui concerne les remarques pertinentes du Général Delawarde concernant la propagande atlantiste qui se fait de plus en plus grossière à mesure qu’elle se heurte à une réalité diamétralement opposée, au point de prendre la forme de la censure brutale de médias alternatifs et étrangers et donc d’aboutir à une dissonance cognitive aigüe, il nous semble essentiel de souligner que cette propagande n’est pas récente et qu’elle possède une filiation directe avec les méthodes nazies dont chaque citoyen conscient connaît à minima ces maximes :

    « Plus un mensonge est gros… plus il a de chances d’être cru ! Mentez, mentez, mentez, encore et toujours, il en restera bien quelque chose ! »

    De telles campagnes de calomnies sont menées (et ont été menées) inlassablement par les relais de la propagande atlantiste contre les ennemis qu’il désigne, depuis les démocrates-bourgeois souverainistes des pays dépendants s’opposant à la tutelle coloniale occidentale jusqu’aux communistes révolutionnaires qui combattent pour la destruction de toute forme d’exploitation de l’Homme par l’Homme, sous ses formes violentes comme pacifiques. Voilà pour la partie émergée de l’iceberg… Pour autant, il nous apparaît essentiel de souligner également les mécanismes autrement moins célèbres, mais néanmoins tout aussi prégnants, de sa partie immergée. Une montagne sous-marine certes invisible mais bien plus massive que la pointe affleurant à la surface. Là encore, les intellectuels nazis nous donnent la clef :

    « Je veux qu’on ne tourne actuellement pour les français que des films légers, superficiels, divertissants, mais stupides… Le peuple français s’en contentera sûrement ! » (Joseph Goebbels)

    Quelles que soient les méthodes employées (une question de forme), elles n’en ont pas moins le même but fondamental : pacifier idéologiquement les esclaves salariés, à l’intérieur comme à l’extérieur du cadre national…

    RépondreSupprimer
  42. Cette décérébration de masse a été davantage systématisée et précisée en 1956, à une époque où elle commençait déjà à être mise en œuvre à grande échelle et alors que le souvenir des méthodes nazies les plus brutales était encore vif dans la conscience des peuples et interdisait donc à la ploutocratie atlantiste de les employer à grande échelle (du moins à domicile…)

    Comme nous le soulignions en mai dernier, si à une époque, l’anéantissement de la culture avait besoin de la violence, sous la façade de la démocratie bourgeoise accompagnant la « société de consommation » dont jouissent les peuples des pays impérialistes dominants, cet anéantissement de la culture au sens large, et de la culture politique en particulier, s’est opérée en premier lieu via un formatage de bas niveau aussi divertissant que librement consenti, version moderne du « panem et circenses »…

    Voici la systématisation qu’en fît le philosophe Günther Anders :

    « Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes. L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées… Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste… que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif. Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif.

    On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser, s’interroger, réfléchir. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux. En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité, de la consommation deviennent le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté.

    RépondreSupprimer
  43. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur. L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir ». (L’obsolescence de l’homme, 1956)

    Finalement, nul besoin de recourir aux autodafés et à la répression féroce. La « cancel culture » atlantiste combinée à la « libération sexuelle » et aux « théories du genre » produisent en effet les mêmes effets !… Nous renvoyons à ce sujet à un excellent article qui traite de cette stratégie poursuivie de longue date par la ploutocratie atlantiste.

    Voici donc les recettes psychologiques du néofascisme « ordinaire » (élaborées et mises en œuvre par le bloc impérialiste occidental triomphant).

    Dans les métropoles impérialistes dominantes, le recours privilégié aux méthodes douces, et de préférence les plus invisibles, excluant notamment le plus souvent la répression physique directe, a conduit à la transformation de la grande masse des esclaves salariés relativement privilégiés en « consommateurs-citoyens » politiquement et économiquement incultes, des « analphabètes politiques », pour reprendre la désignation de Bertolt Brecht…

    Cette transformation a comme avantage essentiel, de présenter une facette démocratique-bourgeoise interne séduisante (quand bien même elle présente une image colonialiste fasciste à l’autre bout de la planète), présentant à ses esclaves indigènes l’État (aux mains exclusives de la ploutocratie capitaliste via ses relais politico-médiatique) comme un « arbitre » au-dessus des classes, une façade capable de duper les naïfs politiques dans les périodes de relative prospérité économique et de lutte de classes d’importance et d’acuité secondaires, car systématiquement limitées à des revendications corporatistes et économiques (sauvegarde ou extension du « pouvoir d’achat » et des « acquis sociaux »), en d’autres termes la préservation des miettes lancées par la classe dominante pour neutraliser les classes populaires et acheter chez elle la « paix sociale ».

    RépondreSupprimer
  44. Rien n’a donc fondamentalement changé depuis les préceptes systématisés par Goebbels et appliqués à grande échelle par ses disciples, en particulier en Occident…

    « Nos » élites ont seulement tenté de privilégier les méthodes de propagande et de coercition idéologique et sociales « douces », les plus indolores pour le maintien de la stabilité sociale… Cette propagande est à l’évidence bien plus subtile et sophistiquée que les méthodes de répression brutale, employées par les nazis à destination des peuples des « races inférieures » (slaves et peuples de couleur proclamés tout juste bons à servir d’esclaves), puis par leurs successeurs sous une manière aseptisée et « démocratisée », sous le prétexte de la lutte internationale contre le « totalitarisme communiste » puis de la « lutte contre le terrorisme », prétextes rituels invoqués pour justifier l’utilisation d’un arsenal varié (sanctions, embargos, interventions militaires) employé quasi-universellement (avec une efficacité cependant variable) au cours de la seconde moitié du XXe siècle contre une multitude de peuples des pays dépendants aux quatre coins du monde…

    Le IVe Reich atlantiste a succédé au IIIe Reich Nazi, remplaçant avantageusement, quand c’était possible, la Wehrmacht et les camps de concentration par la TV, Hollywood et « l’american way of life », des canaux idéologiques et culturels capables de porter non seulement au sein des métropoles impérialistes dominantes, mais même jusqu’aux zones périphériques coloniales les plus lointaines maintenues dans un état de grande arriération économique… y entraînant un « brain drain » structurel de leur main-d’œuvre la plus qualifiée vers les métropoles dominantes, et les condamnant par ricochet au sous-développement chronique !…

    Et quand cet arsenal de méthodes venait à échouer, et que le spectre menaçant du communisme, de l’anti-colonialisme ou même seulement d’un goût un peu trop prononcé pour le souverainisme tiers-mondiste venaient à se manifester, alors on se résolvait à des coups d’État et à des ingérences militaires, perpétrées parfois-même sous le faux-drapeau ubuesque, non plus seulement des sacro-saintes lois de la libre circulation des marchandises et des capitaux (promues par ses organes internationaux, à l’instar de l’OMC, du FMI ou de la Banque mondiale), mais de l’exportation brutale du « modèle démocratique » occidental…

    Au-delà de cette sophistication indéniable, les pays coalisés au sein de l’OTAN forment une alliance fondamentalement colonialiste et fasciste, dirigée prioritairement contre les communistes et les peuples des pays coloniaux… Les communistes ont certes (presque totalement) « disparu » (une quasi-extinction du courant marxiste-léniniste authentique résultant des lois économiques de développement des sociétés capitalistes, lois objectives qu’il avait découvertes et qui ont conduit à l’anéantissement de sa propre base sociale via l’embourgeoisement massif du prolétariat tertiarisé privilégié des métropoles impérialistes dominantes), mais il reste cependant les peuples des pays coloniaux qui aspirent à se libérer du joug de l’occupation militaire atlantiste… et à occuper une place un peu plus en accord avec leur poids industriel et démographique réel, avec pour résultat inévitable l’émergence d’une répartition mondiale de la plus-value assez radicalement différente, qui promet d’être bien moins en faveur du « milliard doré »…

    RépondreSupprimer
  45. Rien d’étonnant dans ces conditions à ce que la ploutocratie atlantiste ait promu des stratégies de containment démographiques et industrielles sophistiquées :

    1° la théorie du changement climatique d’origine anthropique visant à priver les « PVD » de sources d’énergies bon-marché afin de forcer l’adoption de technologies occidentales « propres » et de donner davantage de chance de brider leur développement industriel et donc de les priver d’indépendance économique),

    2° des politiques démographiques malthusiennes visant à limiter l’expansion, voir à réduire leur bassin-versant démographique (lequel constitue un facteur clef de l’accumulation capitalistique). Tout ceci afin d’empêcher, ou à minima de retarder ce bouleversent d’un ordre mondial occidental multiséculaire via l’émergence de rivaux incontrôlables…

    Cette parenthèse étant close, la patrie du Forum de Davos qu’est la Suisse est l’un des principaux centres de coordination historiques des pays impérialistes d’Occident, et sa « neutralité » légendaire ne vaut donc qu’au sein de ce référentiel… À l’égard des pays coloniaux ou de coalitions capitalistes concurrentes, la Suisse ne peut raisonnablement être « neutre » : comme nous l’avons démontré il y a une douzaine d’années, sa structure économique et sociale est en effet parfaitement similaire à celle des autres pays impérialistes dominants « post-industriels », à savoir une industrie famélique constituée de quelques niches high-tech assurant une place privilégiée dans l’écosystème économique mondial, au sommet de la division internationale du travail. Cette structure économique fortement parasitaire (« industrie de bazar ») est hautement dépendante des revenus extérieurs tirés de ces niches technologiques résiduelles, de leur domination sur le paysage mondial de la propriété intellectuelle, sans oublier la finance et les services qui leur sont associés.

    Un ensemble de sources de revenus qui, comme nous l’avons déjà démontré, représente une proportion essentielle de leur PIB : rien de moins que l’équivalent des 9/10èmes de leur PIB provient directement ou indirectement de plus-value extorquée à l’étranger via ces différents canaux… Le tout est encadré par une occupation militaire permanente du monde (conditionnée par le maintien de son hégémonie militaire), capable de dissuader ou de réprimer par la force toute velléité de bouleverser cet ordre mondial…

    Voilà pour la théorie, car dans la pratique, comme nous l’avons démontré, ces puissances impérialistes longtemps situées au sommet de la pyramide alimentaire mondiale ont vu leur position mondiale se dégrader de manière accélérée dans tous ces domaines et leur hégémonie industrielle, commerciale, scientifique et militaire être remise en cause de manière croissante par des challengers (coalisés au sein de l’OCS et des BRICS). Devant cette crise de déclassement et la menace de perdre cette rente de situation vitale, la moindre des choses semble être de faire front commun avec ses semblables, c’est-à-dire les autres représentations locales du IVe Reich atlantiste sous leadership étasunien. On conçoit donc sans mal que la Suisse ait jeté sans hésitation aux orties le masque de sa prétendue « neutralité »…

    RépondreSupprimer
  46. En réalité, c’est la désolidarisation de la Suisse du reste du camp atlantiste qui eût été étonnant… Mais dans tous les cas, le soutien apporté par la Suisse à la stratégie atlantiste de confrontation avec la Russie, déterminée à faire du Bandéristan la tombe de l’hégémonie coloniale atlantiste mondiale autant que de ses idiots utiles bandéristes, promet à la Suisse de suivre le sillage du cours autodestructeur du suicide collectif (assisté) amorcé par l’Occident, désormais confronté à la phase finale de l’effondrement de son hégémonie mondiale… et à minima prétexte par excellence d’une « remise à zéro » radicale du standard de vie longtemps privilégié des peuples des futurs ex-pays impérialistes dominants : le Grand Reset !…

    Si la ploutocratie atlantiste renonce aujourd’hui ouvertement (à domicile comme à l’extérieur) à ses méthodes de domination les plus indolores, et renoue ouvertement avec ses vieux démons fascistes, c’est parce que sa situation objective se dégrade à un rythme accéléré et qu’elle n’a plus les moyens d’entretenir, chez elle comme à l’étranger, un « soft power » dont l’efficience va d’ailleurs décroissant à mesure que son principal rival stratégique émerge et que la contestation internationale de son « ordre mondial » va crescendo…

    https://www.mondialisation.ca/la-banque-nationale-suisse-annonce-une-perte-colossale-record-de-143-milliards-de-dollars-en-2022-le-pourquoi-du-suicide-et-de-labandon-de-la-neutralite-de-la-suisse/5674058

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. De tous temps le progrès a été de faire des photos et de dire "C'est moi qui l'ai faite !" comme des parents disent de même de leur enfant. Oui mais, l'enfant... n'a pas fait ses parents ! Il ne les connaît que comme 'voisins depuis toujours', c'est tout. D'où la fracture continuelle entre l'appareil photo qui reconnaît faire et la photo qui se fout de l'appareil !

      Supprimer
  47. Sanctions : la Bulgarie achète désormais du gaz naturel à la Turquie et la Turquie à la Russie


    16 janvier 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    L'UE se tire une balle dans le pied avec les sanctions au nom des États-Unis. Après la mise en œuvre obéissante des mesures Corona par les talibans du climat qui se sont déchaînés à Bruxelles, la politique de l'UE devient de plus en plus ridicule. Il est subverti au profit de la Russie sanctionnée.
    Il est fièrement déclaré que la dépendance vis-à-vis du gaz naturel russe a été secouée et que moins de gaz naturel a été consommé dans l'ensemble. D'une part, cependant, cela est dû au fait que les entreprises ont dû arrêter la production énergivore et consommatrice de gaz naturel pour des raisons de coût et, d'autre part, les personnes moins aisées gèlent dans leurs appartements non chauffés.

    Les achats de gaz auprès de fournisseurs qui achètent à leur tour du gaz en Russie, comme le fait la Bulgarie, par exemple, deviennent complètement absurdes.

    Essayer de remplacer les approvisionnements en gaz de la Russie par du carburant turc est inutile. C'était l'avis de l'homme politique français et leader du mouvement des « Patriotes », Florian Philippot . Dans son message sur Twitter, il a rappelé qu'Ankara elle-même obtient 45 % de son gaz de Russie. Par conséquent, l'Europe devra acheter le même carburant, mais pour beaucoup d'argent.

    « Renoncer au gaz russe », la Bulgarie signe un accord pour importer massivement du gaz de Turquie. …la Turquie, qui tire 45% de son gaz de la Russie ! Donc, en réalité, la Bulgarie achètera du gaz russe beaucoup plus cher qu'avant ! (

    Le politicien a également souligné que non seulement la Bulgarie mais aussi la France seront confrontées à des problèmes similaires.

    Une autre variante originale consiste à acheter de l'essence et du diesel à la Chine, qui transforme le pétrole russe en carburant. En revanche, les raffineries des pays acheteurs sont à l'arrêt ou moins actives.

    https://tkp.at/2023/01/16/sanktionen-bulgarien-bezieht-nun-erdgas-aus-der-tuerkei-und-diese-aus-russland/

    RépondreSupprimer
  48. ENCORE UN COMMENTAIRE DE CENSURÉ ! (60-1 = 59)

    RépondreSupprimer
  49. ENCORE UN COMMENTAIRE DE CENSURÉ ! (60-2 = 58)

    RépondreSupprimer
  50. ENCORE 4 COMMENTAIRES CENSURÉS ! (60 - 4 = 56)

    RépondreSupprimer