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mardi 31 janvier 2023

Entretien exclusif avec Orsolya Görffy : « Le plus grand poison, ce sont tous les mensonges. »

 

56 commentaires:

  1. Entretien exclusif avec Orsolya Görffy : « Le plus grand poison, ce sont tous les mensonges. »


    28.01.2023
    www.kla.tv/24904


    Orsolya Györffy est directrice générale par intérim et membre du conseil d'administration de Children’s Health Defense Europe, une organisation à but non lucratif dont l'objectif est de préserver la santé des enfants. La Hongroise a étudié l'économie en Angleterre et a d'abord travaillé comme consultante en développement organisationnel dans de nombreuses multinationales. Elle a ensuite occupé le poste de responsable des technologies de l'information pour les régions EMEA [Europe, Moyen-Orient et Afrique] au sein du conseil d'administration d'une multinationale américaine.
    Sa vie a pris une autre tournure en 2007, à la veille de la crise économique mondiale, quand elle a pris conscience de l'ampleur de la corruption. Depuis 2010, elle travaille comme PDG de la maison d'édition Perseus. Outre des livres anthroposophiques, cette maison d'édition publie des ouvrages et des écrits sur le 11 septembre. Elle est coéditrice et collaboratrice d'un mensuel international intitulé « The Present Age », l'âge actuel, qui s'engage à promouvoir la Science de l’Esprit dans les domaines de la politique, de la culture et de l'économie. Outre son engagement au sein de CHD, elle collabore avec plusieurs organisations, dont Doctors for COVID Ethics [Médecins pour l'éthique COVID].
    Aujourd'hui, nous avons le plaisir de vous présenter Orsolya Györffy lors d'une interview exclusive qui a eu lieu lors du congrès de la CHD à Budapest en novembre 2022.

    Orsolya Györffy : Je viens de Hongrie et je travaille maintenant pour Children's Health Defense. Je travaille avec eux en Europe pour faire fonctionner l'organisation européenne. En effet, aux États-Unis Children's Health Defense a travaillé et agi dans les domaines des dommages causés par les vaccins chez les enfants, de l'environnement toxique et d'autres domaines qui influencent nos vies. Les connaissances qu'ils ont accumulées au cours des dix dernières années sont énormes. Les connaissances qui ne sont normalement pas publiées ni accessibles sont énormes. Nous devons les apporter et les rendre absolument accessibles en Europe. Et nous devons sensibiliser les gens à ce qui se passe réellement avec Big Pharma, avec Big Tech, qui introduit la 5G, qui nuit manifestement aux gens. Ou quand on regarde ce que font les grands groupes pétroliers et qui ruinent notre environnement, les grands groupes.

    Si on considère chaque domaine de nos droits individuels, les droits de l'homme, tout disparaît. Cela va à l'encontre de ce que cela devrait être et de ce que les droits devraient signifier dans un environnement démocratique, dans un environnement vraiment démocratique, y compris en Europe. Et d'une certaine manière, l'Europe traverse une période vraiment difficile. Les forces qui tentent de prendre le pouvoir, qui tentent de prendre le pouvoir sur les personnes, sur les biens, sur les ressources, sur les systèmes - ces forces ne respectent rien. Elles portent vraiment atteinte à l'accord social que nous avons tous. Et en Europe, cela prend différentes formes : en ce moment les problèmes de ressources, le problème énergétique que nous avons maintenant. La guerre en Ukraine, qui se poursuit sans qu'un processus de paix soit installé et mis en œuvre, détourne l'attention de toutes les autres choses. Mais nous savons très bien qu'ils prévoient de continuer avec les prétendus vaccins, avec la tyrannie médicale. Si on regarde les plans et les feuilles de route de l'OMS, si on regarde les déclarations de la Commission européenne, il est clairement prévu de faire renaître les situations d'urgence et la crise médicale comme prétexte. Car nous savons et avons appris au cours des deux dernières années que ce ne sont pas de vrais problèmes ni de vraies situations. Elles sont créées par une propagande extrême. La vérité est dissimulée et ils déforment la réalité de manière à servir leurs intérêts, n'est-ce pas ?

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  2. Kla.tv : Vous nous avez déjà parlé des développements actuels en Europe, qui sont très complexes. Comment les affronter pour relever ces défis ?

    Orsolya Györffy : La situation dans laquelle nous nous trouvons actuellement n'est pas apparue du jour au lendemain. Goethe a dit : Celui qui dort dans la démocratie se réveille dans la dictature. Et c'est exactement la situation à laquelle nous sommes confrontés aujourd'hui. Nous devons donc réintroduire des choix conscients dans la vie des gens. Nous devons aider les gens à comprendre qu'ils ont le droit de choisir. Que ce soit en ce qui concerne les vaccins, les systèmes, les systèmes financiers, la surveillance et tout le reste. Nous devons donc donner aux gens les moyens de comprendre ce qui se passe, car tout est dissimulé et manipulé. Et nous devons trouver un moyen de revenir pacifiquement aux fondamentaux. Nous devons restaurer la démocratie comme nous ne l’avons jamais eue auparavant.

    Kla.tv : Et quel est le premier pas à faire pour être à nouveau une personne consciente ?

    Orsolya Györffy : Apprendre, comprendre et être prêt à voir ce qui se passe. Sans cette volonté, ce n'est pas facile - je le comprends - surtout quand quelqu'un a vécu dans l'illusion que tout va bien, que tout est parfait, que nous vivons dans un pays ou une société prospère. C'est alors une prise de conscience très difficile, un réveil très difficile pour chacun, de faire face à la réalité. Mais c'est un choc dur qui ne peut pas être évité, car sans lui, personne ne peut vraiment entrer dans le pays de la conscience et prendre des décisions claires. Je voudrais vous donner un exemple, si vous regardez ce qui se passe avec cette thérapie expérimentale basée sur le gène de l'ARNmessager.

    Il était très facile de suivre le narratif, et une propagande très efficace a été délibérément créée. Vous savez qu'il y a eu une propagande très efficace. Ils ont beaucoup appris sur la manière de manipuler la population pour qu'elle accepte ce genre de choses. Pour la plupart des gens, c'était naturel, ils suivaient simplement le courant, ils faisaient simplement ce qu'il fallait, les bons citoyens, pas de mauvaises intentions. Mais ils n'étaient pas vraiment prêts à regarder en coulisses, ou prêts à investir du temps, parce qu'ils n'en avaient pas la possibilité. Et soyons honnêtes, il y a encore aujourd'hui une très forte censure. Grâce à vous et à d'autres médias alternatifs, de nombreuses personnes se réveillent, viennent de notre côté, et ces personnes ne retourneront jamais de l'autre côté. Dès que quelqu'un commence à comprendre ou à avoir un petit doute sur les systèmes et les événements auxquels nous sommes confrontés aujourd'hui. Ils ne reviendront plus de l'autre côté. Même si c'est difficile, ils verront et comprendront de plus en plus. Et c'est le niveau de conscience que nous devons vraiment atteindre, car sinon ça peut revenir en arrière à tout moment. Peu importe ce que nous réalisons et comment nous pouvons arrêter les soi-disant vaccinations ou atteindre la légalité au sens réel avec une vraie démocratie. Si nous n'atteignons pas ce niveau, que chacun soit vraiment conscient et intéressé à comprendre que c'est à nous de faire en sorte que cela se produise. En général, on dit : Je ne suis qu'un seul des milliards d'habitants de la Terre. C'est suffisant ! Si tous les individus se réunissent, n'est-ce pas ? Il n'en faut pas plus, juste un seul. Chaque individu qui est prêt, et c'est très important.

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  3. Kla.tv : Bien parlé. Parlons un peu des parents. Les parents aiment leurs enfants et veulent tout faire pour qu'ils soient en bonne santé, protégés et en sécurité. Or, il y a un narratif très fort dans les médias et plusieurs institutions européennes recommandent également de donner le vaccin Covid aux enfants. Pour ma part, j'ai parlé à de nombreux parents qui sont très incertains de ce qui est juste. D'un côté, ils entendent dire que les vaccins sont très importants pour protéger les enfants et, de l'autre, des voix s'élèvent pour exprimer leur grande inquiétude quant aux effets secondaires possibles. Que peuvent donc faire les parents pour s'informer et prendre une décision en connaissance de cause pour eux et leurs enfants ?

    Orsolya Györffy: Bon, ils peuvent visiter le site de Children's Health Defense et non seulement consulter les informations qui y sont disponibles, mais aussi trouver des sources qu'ils peuvent vérifier eux-mêmes. Ne nous faites pas confiance, ne me croyez pas, ne croyez aucun d'entre nous. Allez vérifier par vous-même. Le simple fait que l'EMA, l'agence européenne des médicaments, propose et recommande maintenant d'utiliser cette thérapie génique par ARNmessager chez les nourrissons dès l'âge de six mois… C'est incroyable, car ce prétendu vaccin a été mis sur le marché en moins de temps que toute autre chose. Mais comme nous l'avons vu, ils n'ont manifestement pas été capables - et ils l'admettent même - ils n'ont même pas été capables de tester si ça empêchait quelque chose ou pas.

    C'est un bon exemple, et nous l'avons dit, et il y avait beaucoup de gens qui le disaient depuis des années. Et bien sûr, ça a été passé sous silence et censuré, tout comme l'origine du virus. La censure était silencieuse, tous ceux qui mentionnaient la souche de Wuhan étaient bloqués sur Facebook et tous les médias sociaux. Et maintenant, il s'avère qu’en fait c'était la vérité. C'est la même chose pour la contagion, qu'elle soit évitée par la vaccination ou non. Vous savez, certains grands scientifiques autour de nous le savaient déjà avant même que le vaccin ne sorte. Ils ont été censurés, or maintenant, comme l'explique en riant Mme Small de Pfizer, c’est avéré : « Oh, nous n'avons pas fait de test, comment aurions-nous pu le faire ? » Mais si on écoute le narratif et les politiciens, qui ne devraient pas être les décideurs de notre santé, si on écoute les politiciens et tous les discours de propagande, c'était le message principal : « Protégez-vous, protégez les autres, c'est votre devoir de citoyen. » Et nous connaissons bien sûr aussi les dégâts que causent ces prétendus vaccins, c'est pourquoi je pense que c'est une nécessité absolue de s'informer soi-même en tant que parent, pour le bien de son enfant. Et je ne souhaite à aucune des mères ou à aucun des pères de devoir vivre la douleur que ressentent les parents de ce petit garçon qui est mort après avoir reçu deux vaccins Pfizer. En commençant par le sentiment de culpabilité et tout le reste. Nous devons nous assurer également de soutenir ces parents pour qu'ils puissent traverser cette situation très difficile. Cela nous fait vraiment avancer pour aider d'autres enfants et pour sauver tous les enfants des tragédies identiques ou similaires, c'est très important.

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  4. Kla.tv : Vous jouez un rôle central dans la défense de la santé des enfants ici en Europe. Pourquoi la protection de la santé des enfants est-elle si importante pour vous personnellement ?

    Orsolya Györffy : Défendre la santé des enfants, la santé des parents, la santé des grands-mères et des grands-pères et dévoiler la vérité. Car le plus grand poison auquel nous sommes confrontés aujourd'hui, ce sont tous les mensonges qui nous entourent. Ils nous entourent en matière de santé. Ils nous entourent et nuisent à la génération future. Mais ils nous entourent aussi et font du mal à tout le monde sur la Terre. Et bien sûr, nous voulons laisser cette Terre à la prochaine génération dans l'état où nous souhaiterions qu'elle soit.

    Kla.tv : Quelle est donc votre vision pour cette Terre, celle que vous voulez laisser aux plus jeunes ?
    de paz.

    Sources / Liens :
    Mitarbeiter bei Children Health Defense:
    https://childrenshealthdefense.eu/de/chd-europa/

    https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=24904&date=2023-01-28

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  5. Diplomacy Watch: la Suisse pèse rompre avec la politique de neutralité

    Un groupe de législateurs à Berne veut permettre aux États de réexporter des armes suisses pour soutenir la lutte en Ukraine.


    27 JANVIER 2023
    Connor Echols


    Un groupe de législateurs suisses a avancé une proposition visant à permettre aux pays de donner des armes de fabrication suisse à l'Ukraine, ce qui adoucirait la politique séculaire de neutralité de la Suisse à l'égard des conflits étrangers.

    "La majorité de la commission estime que la Suisse doit apporter sa contribution à la sécurité européenne, qui nécessite une aide plus substantielle à l'Ukraine", a déclaré la commission parlementaire suisse de sécurité dans un communiqué.

    La décision représenterait une rupture significative avec la politique de neutralité suisse, bien que ses partisans insistent sur le fait que la mesure ne violerait pas leur loi de neutralité puisque Berne n'enverrait pas d'armes directement.

    La neutralité de la Suisse est solide depuis au moins 1815, lorsque Berne a aidé d'autres puissances européennes à vaincre Napoléon Bonaparte pour la deuxième et dernière fois. Depuis lors, le pays a réussi à éviter toute participation directe à tout conflit étranger. Même pendant la Seconde Guerre mondiale, Berne a soigneusement évité de prendre parti pour éviter d'être entraînée dans la guerre.

    Mais la guerre en Ukraine a mis à l'épreuve cette politique. En mai de l'année dernière, les autorités suisses ont accepté, sous la pression de l'Occident, de geler les avoirs de plusieurs centaines de Russes sanctionnés, dont le président Vladimir Poutine. Berne a également fermé son espace aérien aux avions russes.

    Malgré ces changements, permettre aux armes suisses de voir le champ de bataille a jusqu'à présent été une ligne rouge. L'année dernière, la Suisse a rejeté plusieurs demandes de l'Allemagne et du Danemark de réexporter des armes fabriquées en Suisse vers l'Ukraine. Le pays envisage actuellement une demande similaire de l'Espagne, mais les dirigeants de Berne ont signalé qu'il est peu probable que la pétition de Madrid soit approuvée.

    Si elle est adoptée, la proposition créerait une exception selon laquelle les armes suisses pourraient être réexportées vers une zone de guerre active tant qu'elles sont utilisées pour combattre «une violation de l'interdiction internationale de l'usage de la force».

    Dans d'autres nouvelles diplomatiques liées à la guerre en Ukraine :

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  6. – Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov s'est rendu en Afrique du Sud lundi alors que les deux pays se préparent à des exercices militaires conjoints, selon l'Associated Press. Le voyage a donné à Moscou une chance de revigorer les liens avec l'Afrique du Sud, un partenaire clé de la Russie dans "un continent divisé par l'invasion de [l'Ukraine] et les tentatives d'isolement occidentales qui y sont liées", a déclaré Eleonora Tafuro, chercheuse principale à l'Institut italien. pour les études politiques internationales. "Les récits [russes] [sur] les doubles standards occidentaux et les attitudes [condescendantes] résonnent bien en Afrique et parlent de l'histoire de l'URSS aidant les mouvements anticoloniaux", a tweeté Tafuro. "Ils sont un élément clé de la stratégie de puissance douce de Moscou sur le continent aujourd'hui."

    – L'Estonie et la Lettonie ont annoncé lundi qu'elles retireraient les ambassadeurs de Russie dans leurs pays après que Moscou a demandé à l'ambassadeur d'Estonie de partir suite à des allégations de « russophobie », selon Politico. La paire deviendra les deuxième et troisième pays baltes à dégrader leurs relations avec la Russie après la décision de la Lituanie d'expulser son ambassadeur de Russie en avril de l'année dernière.

    – Les responsables occidentaux veulent que l'Ukraine détourne son attention de Bakhmut afin de se préparer à une offensive dans le sud, selon CNN. Mercredi, peu de temps après la publication du rapport de CNN, l'Ukraine a reconnu avoir perdu Soledar, une ville clé à l'extérieur de Bakhmut.

    - Dans un revirement majeur, les États-Unis et l'Allemagne ont convenu d'envoyer des chars en Ukraine malgré les inquiétudes quant à la façon dont le mouvement serait reçu à Moscou, selon l'Associated Press. Les responsables ukrainiens ont maintenant jeté leur dévolu sur les avions de chasse occidentaux modernes pour remplacer ou au moins renforcer la flotte de l'ère soviétique de Kyiv.

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  7. – Le ministre turc des Affaires étrangères a déclaré qu'il serait "insensé" de relancer les pourparlers d'adhésion à l'OTAN avec la Suède et la Finlande après une manifestation à Stockholm au cours de laquelle un militant d'extrême droite a brûlé un Coran, selon Reuters. Le discours dur d'Ankara pourrait être un effort pour renforcer le soutien au président assiégé Recep Tayyip Erdogan avant les élections de mai.

    Nouvelles du département d'État américain :

    Lors d'une conférence de presse mercredi, le porte-parole du département d'État, Ned Price, a déclaré que Washington s'engage à améliorer les relations avec les pays africains qui sont sceptiques à l'égard des politiques américaines, y compris ceux qui ont été historiquement liés à la Russie. "Les États-Unis sont prêts, désireux et capables d'être un partenaire de premier recours pour les pays d'Afrique", a déclaré Price. « Nous ne cherchons pas à utiliser l'Afrique comme un nouveau terrain de jeu géopolitique. Nous ne recherchons pas des relations extractives, qui exportent le chaos, qui exportent l'instabilité, qui ne profitent qu'aux entreprises privées américaines, comme vous avez vu une approche adoptée par des pays qui ont un modèle différent.

    https://responsiblestatecraft.org/2023/01/27/diplomacy-watch-switzerland-weighs-break-with-policy-of-neutrality/

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  8. Le "choc des prix" ne fait que commencer : l'industrie allemande paiera 40 % de plus pour l'énergie qu'avant la crise


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 31 JANVIER 2023 - 10:15


    En août 2022, le gourou de la plomberie repo Zoltan Pozsar a publié un graphique fascinant montrant comment « 2 000 milliards de dollars de valeur allemande dépendent de 20 milliards de dollars de gaz russe » ou plus précisément, comment l'Allemagne avait appliqué un effet de levier de 100 fois - bien plus que Lehman - sur des produits bon marché, et principalement du gaz russe, pour faire fonctionner à moindre coût son miracle économique axé sur les exportations pendant des décennies.

    - voir graph sur site -

    Et avec le gaz bon marché de la Russie maintenant disparu dans un avenir prévisible, l'énorme levier d'exploitation de l'Allemagne l'est aussi. Ce qui signifie que les marges bénéficiaires seront martelées pour les années à venir.

    Pour preuve, ne cherchez pas plus loin qu'une étude publiée lundi par Allianz Trade qui citait des expirations de contrats et des effets retardés sur les prix de gros, et qui, selon Reuters, a révélé que l'industrie allemande devrait payer environ 40 % de plus pour l'énergie en 2023 qu'en 2021, avant la crise énergétique déclenchée par l'invasion russe de l'Ukraine.

    "Le grand choc des prix de l'énergie reste à venir pour les entreprises européennes", a déclaré Allianz Trade, l'assureur-crédit qui a changé son nom d'Euler Hermes l'année dernière.

    Pour rappel, en 2022, l'augmentation des factures de services publics des entreprises a été contenue, car les longs délais de transmission des marchés de gros et les interventions gouvernementales ont atténué le coup immédiat de la flambée des prix alors que la Russie freinait les exportations de carburant vers l'Occident. Les déficits budgétaires qui en ont résulté ont été rapidement financés par la BCE, ce qui signifie que malgré toutes ces manœuvres, Christine Lagarde finançait directement l'accumulation de liquidités de Poutine.

    Mais les répercussions se terminent, ce qui signifie que les hausses de prix affecteront bientôt les bénéfices des entreprises à travers l'Europe de 1 à 1,5 % et entraîneront une baisse des investissements, qui dans le cas de l'Allemagne s'élèveraient à 25 milliards d'euros (27 milliards de dollars), a estimé Allianz Trade.

    La doublure argentée est que les finances des entreprises allemandes sont solides, alors qu'un plafonnement des prix du gaz imposé par l'État aiderait (à moins que cela n'empire les choses).

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  9. Dans le même temps, les craintes que la crise ne conduise à une désindustrialisation et à une perte de compétitivité par rapport aux États-Unis étaient exagérées, car les coûts de main-d'œuvre et les taux de change ont un impact plus important sur la fabrication que les prix de l'énergie, selon l'étude. De plus, alors que les exportateurs perdaient des parts de marché dans des domaines tels que l'agroalimentaire, les machines, les équipements électriques, les métaux et les transports, les bénéficiaires relatifs avaient tendance à être asiatiques, moyen-orientaux et africains, et non américains, a-t-il ajouté.

    Pendant ce temps, le ministère de l'Économie a déclaré samedi que le paiement unique du gouvernement allemand pour aider les ménages privés et les petites entreprises avec les prix du gaz - la première étape d'un paquet qui sera complété par des plafonds de prix rétroactifs entrant en vigueur en mars - a coûté 4,3 milliards euros jusqu'à présent.

    Berlin a prévu 12 milliards d'euros pour le paiement, mais le ministère a déclaré que 4,3 milliards d'euros n'étaient pas le coût final car de nombreuses entreprises éligibles n'avaient pas encore demandé l'aide. Ils ont jusqu'à fin février pour postuler ; et à en juger par les énormes pertes auxquelles ils sont encore confrontés, ils le feront.

    https://www.zerohedge.com/economics/price-shock-just-starting-german-industry-pay-40-more-energy-pre-crisis

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  10. Le tsunami financier mondial planifié vient de commencer


    Par F.William Engdahl
    Recherche mondiale,
    31 janvier 2023


    Depuis la création de la Réserve fédérale américaine il y a plus d'un siècle, chaque effondrement majeur des marchés financiers a été délibérément déclenché pour des motifs politiques par la banque centrale. La situation n'est pas différente aujourd'hui, car il est clair que la Fed américaine agit avec son arme de taux d'intérêt pour faire s'effondrer ce qui est la plus grande bulle financière spéculative de l'histoire de l'humanité, une bulle qu'elle a créée. Les crashs mondiaux commencent toujours à la périphérie, comme avec la Creditanstalt autrichienne de 1931 ou la faillite de Lehman Bros. en septembre 2008 . La décision du 15 juin de la Fed d'imposer la plus forte hausse de taux unique en près de 30 ans alors que les marchés financiers sont déjà en plein effondrement, garantit désormais une dépression mondiale et pire encore.

    L'ampleur de la bulle du "crédit bon marché" que la Fed, la BCE et la Banque du Japon ont conçue en rachetant des obligations et en maintenant des taux d'intérêt proches de zéro ou même négatifs sans précédent depuis maintenant 14 ans dépasse l'imagination. Les médias financiers le recouvrent de reportages absurdes quotidiens, alors que l'économie mondiale se prépare, et non pour la soi-disant « stagflation » ou récession. Ce qui s'annonce dans les mois à venir, à moins d'un revirement radical de politique, est la pire dépression économique de l'histoire à ce jour. Merci, mondialisation et Davos.

    Mondialisation

    Les pressions politiques derrière la mondialisation et la création de l'Organisation mondiale du commerce à partir des règles commerciales du GATT de Bretton Woods avec l'accord de Marrakech de 1994, ont fait en sorte que la fabrication industrielle de pointe de l'Occident, plus particulièrement des États-Unis, puisse fuir à l'étranger, « externaliser » vers créer de la production dans les pays où les salaires sont extrêmement bas. Aucun pays n'offrait plus d'avantages à la fin des années 1990 que la Chine. La Chine a rejoint l'OMS en 2001 et depuis lors, les flux de capitaux vers la fabrication chinoise en provenance de l'Occident ont été stupéfiants. Il en a été de même pour l'accumulation de la dette en dollars chinois. Maintenant, cette structure financière mondiale basée sur une dette record commence à s'effondrer.

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  11. Lorsque Washington a délibérément autorisé l'effondrement financier de Lehman Bros en septembre 2008, les dirigeants chinois ont réagi avec panique et ont demandé un crédit sans précédent aux gouvernements locaux pour construire des infrastructures. Certains d'entre eux étaient en partie utiles, comme un réseau de chemins de fer à grande vitesse. Certaines d'entre elles étaient clairement du gaspillage, comme la construction de «villes fantômes» vides. Pour le reste du monde, la demande chinoise sans précédent d'acier de construction, de charbon, de pétrole, de cuivre, etc., a été la bienvenue, car les craintes d'une dépression mondiale se sont estompées. Mais les actions de la Fed et de la BCE après 2008, et de leurs gouvernements respectifs, n'ont rien fait pour remédier aux abus financiers systémiques des principales banques privées mondiales à Wall Street et en Europe, ainsi qu'à Hong Kong.

    La décision de Nixon en août 1971 de découpler le dollar américain, la monnaie de réserve mondiale, de l'or, a ouvert les vannes aux flux monétaires mondiaux. Des lois de plus en plus permissives favorisant la spéculation financière incontrôlée aux États-Unis et à l'étranger ont été imposées à chaque tournant, depuis l'abrogation de Glass-Steagall par Clinton à la demande de Wall Street en novembre 1999. Cela a permis la création de méga-banques si grandes que le gouvernement les a déclarées "trop ​​gros pour échouer." C'était un canular, mais la population l'a cru et l'a renfloué avec des centaines de milliards d'argent des contribuables.

    Depuis la crise de 2008, la Fed et d'autres grandes banques centrales mondiales ont créé un crédit sans précédent, appelé «monnaie hélicoptère», pour renflouer les principales institutions financières. La santé de l'économie réelle n'était pas un objectif. Dans le cas de la Fed, de la Banque du Japon, de la BCE et de la Banque d'Angleterre, un total de 25 000 milliards de dollars a été injecté dans le système bancaire via l'achat d'obligations « d'assouplissement quantitatif », ainsi que d'actifs douteux comme des titres adossés à des créances hypothécaires au cours des 14 dernières années. ans .

    Folie quantitative

    C'est là que ça a commencé à mal tourner. Les plus grandes banques de Wall Street comme JP Morgan Chase, Wells Fargo, Citigroup ou à Londres HSBC ou Barclays, ont prêté des milliards à leurs grands clients corporate. Les emprunteurs ont à leur tour utilisé les liquidités, non pour investir dans de nouvelles technologies de fabrication ou d'exploitation minière, mais plutôt pour gonfler la valeur des actions de leur entreprise, ce que l'on appelle des rachats d'actions, appelés « maximisation de la valeur actionnariale ».

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  12. BlackRock, Fidelity, les banques et d'autres investisseurs ont adoré le trajet gratuit. Depuis le début de l'assouplissement de la Fed en 2008 jusqu'en juillet 2020, quelque 5 000 milliards de dollars ont été investis dans de tels rachats d'actions, créant le plus grand rallye boursier de l'histoire. Tout est devenu financiarisé dans le processus. Les entreprises ont versé 3,8 billions de dollars de dividendes entre 2010 et 2019. Des entreprises comme Tesla, qui n'avaient jamais réalisé de bénéfices, sont devenues plus précieuses que Ford et GM réunis. Les crypto-monnaies telles que Bitcoin ont atteint une valeur de capitalisation boursière supérieure à 1 000 milliards de dollars à la fin de 2021. Avec l'argent de la Fed qui circule librement, les banques et les fonds d'investissement ont investi dans des domaines à haut risque et à fort profit comme les obligations à haut risque ou la dette des marchés émergents dans des endroits comme la Turquie, l'Indonésie ou, oui , Chine.

    L'ère post-2008 de l'assouplissement quantitatif et des taux d'intérêt nuls de la Fed a conduit à une expansion absurde de la dette du gouvernement américain. Depuis janvier 2020, la Fed, la Banque d'Angleterre, la Banque centrale européenne et la Banque du Japon ont injecté au total 9 000 milliards de dollars de crédit à taux zéro dans le système bancaire mondial. Depuis un changement de politique de la Fed en septembre 2019, cela a permis à Washington d'augmenter la dette publique d'un montant stupéfiant de 10 000 milliards de dollars en moins de 3 ans. Ensuite, la Fed a de nouveau secrètement renfloué Wall Street en achetant 120 milliards de dollars par mois de bons du Trésor américain et de titres adossés à des hypothèques, créant une énorme bulle obligataire.

    Une administration Biden imprudente a commencé à distribuer des billions de soi-disant fonds de relance pour lutter contre les blocages inutiles de l'économie. La dette fédérale américaine est passée d'un niveau gérable de 35 % du PIB en 1980 à plus de 129 % du PIB aujourd'hui. Seuls l'assouplissement quantitatif de la Fed, l'achat de milliards de dollars de dette publique et hypothécaire américaine et les taux proches de zéro ont rendu cela possible. Maintenant, la Fed a commencé à dénouer cela et à retirer des liquidités de l'économie avec un QT ou un resserrement, ainsi que des hausses de taux. C'est délibéré. Il ne s'agit pas d'une Fed trébuchante qui juge mal l'inflation.

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  13. L'énergie entraîne l'effondrement

    Malheureusement, la Fed et les autres banquiers centraux mentent. Augmenter les taux d'intérêt n'est pas guérir l'inflation. Il s'agit de forcer une réinitialisation globale du contrôle des actifs mondiaux, c'est-à-dire de la richesse, qu'il s'agisse de l'immobilier, des terres agricoles, de la production de matières premières, de l'industrie, voire de l'eau. La Fed sait très bien que l'inflation ne fait que commencer à se propager dans l'économie mondiale. Ce qui est unique, c'est que les mandats d'énergie verte à travers le monde industriel sont à l'origine de cette crise d'inflation pour la première fois, quelque chose délibérément ignoré par Washington, Bruxelles ou Berlin.

    Les pénuries mondiales d'engrais, la flambée des prix du gaz naturel et les pertes d'approvisionnement en céréales dues à la traite mondiale ou à l'explosion des coûts des engrais et du carburant ou à la guerre en Ukraine, garantissent qu'au plus tard en cette période de récolte de septembre à octobre, nous subirons une crise mondiale supplémentaire. explosion des prix de l'alimentation et de l'énergie. Ces pénuries sont toutes le résultat de politiques délibérées.

    De plus, une inflation bien pire est certaine, en raison de l'insistance pathologique des principales économies industrielles du monde dirigées par le programme anti-hydrocarbures de l'administration Biden. Ce programme est caractérisé par l'absurdité étonnante du secrétaire américain à l'énergie déclarant « achetez plutôt des voitures électriques » comme réponse à l'explosion des prix de l'essence.

    De même, l'Union européenne a décidé d'éliminer progressivement le pétrole et le gaz russes sans substitut viable alors que sa principale économie, l'Allemagne, s'apprête à fermer son dernier réacteur nucléaire et à fermer davantage de centrales au charbon. En conséquence, l'Allemagne et d'autres économies de l'UE connaîtront des pannes d'électricité cet hiver et les prix du gaz naturel continueront de monter en flèche. Au cours de la deuxième semaine de juin, les prix du gaz en Allemagne ont encore augmenté de 60 % à eux seuls. Le gouvernement allemand contrôlé par les Verts et l'Agenda vert "Fit for 55" de la Commission européenne continuent de pousser l'énergie éolienne et solaire peu fiable et coûteuse au détriment d'hydrocarbures beaucoup moins chers et fiables, assurant une inflation énergétique sans précédent.

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  14. La Fed a débranché

    Avec la hausse des taux de la Fed de 0,75 %, la plus importante depuis près de 30 ans, et la promesse d'autres à venir, la banque centrale américaine a désormais garanti l'effondrement non seulement de la bulle de la dette américaine, mais également d'une grande partie de la dette mondiale post-2008 de 303 $. mille milliards. La hausse des taux d'intérêt après près de 15 ans signifie l'effondrement de la valeur des obligations. Les obligations, et non les actions, sont au cœur du système financier mondial.

    Les taux hypothécaires aux États-Unis ont maintenant doublé en seulement 5 mois pour dépasser 6 % , et les ventes de maisons plongeaient déjà avant la dernière hausse des taux. Les sociétés américaines ont contracté une dette record en raison des années de taux ultra bas. Environ 70 % de cette dette est notée juste au-dessus du statut « indésirable ». Cette dette non financière des entreprises s'élevait à 9 000 milliards de dollars en 2006. Aujourd'hui, elle dépasse 18 000 milliards de dollars. Désormais, un grand nombre de ces entreprises marginales ne seront pas en mesure de renouveler l'ancienne dette par une nouvelle, et des faillites suivront dans les mois à venir. Le géant des cosmétiques Revlon vient de déclarer faillite.

    Le marché hautement spéculatif et non réglementé de la cryptographie, dirigé par Bitcoin, s'effondre alors que les investisseurs réalisent qu'il n'y a pas de renflouement là-bas. En novembre dernier, le monde de la crypto avait une valorisation de 3 000 milliards de dollars. Aujourd'hui, c'est moins de la moitié, et avec plus d'effondrement en cours. Même avant la dernière hausse des taux de la Fed, la valeur des actions des mégabanques américaines avait perdu quelque 300 milliards de dollars. Maintenant que la panique boursière supplémentaire est garantie à mesure que l'effondrement économique mondial se développe, ces banques sont préprogrammées pour une nouvelle crise bancaire grave au cours des prochains mois.

    Comme l'a récemment noté l'économiste américain Doug Noland, « Aujourd'hui, il existe une « périphérie » massive chargée d'obligations de pacotille « subprime », de prêts à effet de levier, de titrisations d'achat immédiat, de paiement ultérieur, d'automobile, de carte de crédit, de logement et d'énergie solaire, de prêts de franchise, Crédit privé, crédit crypto, DeFi, et ainsi de suite. Une infrastructure massive a évolué au cours de ce long cycle pour stimuler la consommation de dizaines de millions de personnes, tout en finançant des milliers d'entreprises non rentables. La « périphérie » est devenue systémique comme jamais auparavant. Et les choses ont commencé à se casser.

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  15. Pyramide financière colossale : BlackRock et le WEF « Great Reset »


    Par F.William Engdahl
    Recherche mondiale,
    31 janvier 2023


    Une entreprise d'investissement pratiquement non réglementée exerce aujourd'hui plus d'influence politique et financière que la Réserve fédérale et la plupart des gouvernements de cette planète.

    L'entreprise, BlackRock Inc., le plus grand gestionnaire d'actifs au monde, investit la somme stupéfiante de 9 000 milliards de dollars dans les fonds de ses clients dans le monde entier, soit plus du double du PIB annuel de la République fédérale d'Allemagne.

    Ce colosse se trouve au sommet de la pyramide de la propriété mondiale des entreprises, y compris en Chine plus récemment. Depuis 1988, la société s'est mise en position de contrôler de facto la Réserve fédérale, la plupart des méga-banques de Wall Street, y compris Goldman Sachs, la Great Reset du Forum économique mondial de Davos, l'administration Biden et, si rien n'est fait, l'avenir économique de notre monde. BlackRock est la quintessence de ce que Mussolini appelait le corporatisme, où une élite d'entreprise non élue dicte du haut vers le bas à la population.

    La façon dont la plus grande « banque fantôme » du monde exerce cet énorme pouvoir sur le monde devrait nous préoccuper. BlackRock depuis que Larry Fink l'a fondé en 1988 a réussi à assembler des logiciels et des actifs financiers uniques qu'aucune autre entité ne possède. Le système de gestion des risques Aladdin de BlackRock, un outil logiciel capable de suivre et d'analyser les transactions, surveille plus de 18 000 milliards de dollars d'actifs pour 200 sociétés financières, dont la Réserve fédérale et les banques centrales européennes. Celui qui « surveille » sait aussi, on peut l'imaginer. BlackRock a été qualifié de «couteau suisse» financier – investisseur institutionnel, gestionnaire de fonds, société de capital-investissement et partenaire gouvernemental mondial réunis en un seul . Pourtant, les médias grand public traitent la société comme une autre société financière de Wall Street.

    Il existe une interface transparente qui relie l'Agenda 2030 des Nations Unies à la grande réinitialisation du Forum économique mondial de Davos et aux politiques économiques naissantes de l'administration Biden. Cette interface est BlackRock.

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  16. Équipe Biden et BlackRock

    À présent, il devrait être clair pour quiconque prend la peine de regarder que la personne qui prétend être le président américain, Joe Biden, 78 ans, ne prend aucune décision. Il a même du mal à lire un téléprompteur ou à répondre à des questions préparées par des médias amis sans confondre la Syrie et la Libye ou même s'il est président. Il est microgéré par un groupe de gestionnaires pour maintenir une «image» scénarisée d'un président tandis que la politique est faite dans les coulisses par d'autres. Cela rappelle étrangement le personnage du film Peter Sellers de 1979, Chauncey Gardiner, dans Being There .

    Ce qui est moins public, ce sont les principaux responsables politiques qui dirigent la politique économique de Biden Inc. On les dit simplement, BlackRock. Tout comme Goldman Sachs dirigeait la politique économique sous Obama et aussi sous Trump, BlackRock remplit aujourd'hui ce rôle clé. L'accord a apparemment été scellé en janvier 2019 lorsque Joe Biden, alors candidat et chance à long terme de vaincre Trump, est allé rencontrer Larry Fink à New York, qui aurait dit à "Joe de la classe ouvrière" que " je suis ici pour aider .

    Désormais président de l'une de ses premières nominations, Biden a nommé Brian Deese au poste de directeur du Conseil économique national, le principal conseiller du président en matière de politique économique. L'un des premiers décrets présidentiels portait sur l'économie et la politique climatique. Ce n'est pas surprenant, car Deese venait de BlackRock de Fink où il était responsable mondial de l'investissement durable. Avant de rejoindre BlackRock, Deese a occupé des postes économiques de haut niveau sous Obama, notamment en remplaçant John Podesta en tant que conseiller principal du président où il a travaillé aux côtés de Valerie Jarrett. Sous Obama, Deese a joué un rôle clé dans la négociation des accords de Paris sur le réchauffement climatique.

    Au poste clé de politique en tant que secrétaire adjoint au Trésor sous la secrétaire Janet Yellen, nous trouvons Adewale "Wally" Adeyemo, d'origine nigériane. Adeyemo vient également de BlackRock où, de 2017 à 2019, il a été conseiller principal et chef de cabinet du PDG de BlackRock, Larry Fink, après avoir quitté l'administration Obama. Ses liens personnels avec Obama sont forts, puisqu'Obama l'a nommé premier président de la Fondation Obama en 2019.

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  17. Et un troisième haut responsable de BlackRock qui dirige la politique économique au sein de l'administration est également inhabituel à plusieurs égards. Michael Pyle est le conseiller économique principal du vice-président Kamala Harris. Il est venu à Washington après avoir occupé le poste de stratège en chef mondial des investissements chez BlackRock, où il a supervisé la stratégie d'investissement de quelque 9 000 milliards de dollars de fonds. Avant de rejoindre BlackRock au plus haut niveau, il avait également été dans l'administration Obama en tant que conseiller principal du sous-secrétaire au Trésor pour les affaires internationales, et est devenu en 2015 conseiller pour la candidature présidentielle d'Hillary Clinton.

    Le fait que trois des personnalités économiques les plus influentes de l'administration Biden viennent de BlackRock, et avant cela toutes de l'administration Obama, est remarquable. Il existe une tendance bien définie et suggère que le rôle de BlackRock à Washington est bien plus important qu'on ne nous le dit.

    Qu'est-ce que Black Rock ?

    Jamais auparavant une société financière ayant autant d'influence sur les marchés mondiaux n'avait été aussi cachée à l'examen du public. Ce n'est pas un hasard. Comme il ne s'agit techniquement pas d'une banque accordant des prêts bancaires ou acceptant des dépôts, elle échappe à la surveillance réglementaire de la Réserve fédérale, même si elle fait ce que font la plupart des méga banques comme HSBC ou JP MorganChase : acheter, vendre des titres dans un but lucratif. Lorsque le Congrès a poussé à inclure les gestionnaires d'actifs tels que BlackRock et Vanguard Funds dans le cadre de la loi Dodd-Frank post-2008 en tant qu '«institutions financières d'importance systémique» ou SIFI, une énorme pression de lobbying de BlackRock a mis fin à la menace. BlackRock est essentiellement une loi sur lui-même. Et en effet, il est "systémiquement important" comme aucun autre, à l'exception peut-être de Vanguard, qui serait également un actionnaire majeur de BlackRock.

    Le fondateur et PDG de BlackRock, Larry Fink, est clairement intéressé par l'achat d'influence à l'échelle mondiale. Il a nommé l'ancien député allemand de la CDU Friederich Merz à la tête de BlackRock Allemagne alors qu'il semblait qu'il pourrait succéder à la chancelière Merkel, et l'ancien chancelier britannique de l'Échiquier George Osborne en tant que «consultant politique». Fink a nommé l'ancienne chef de cabinet d'Hillary Clinton Cheryl Mills au conseil d'administration de BlackRock alors qu'il semblait certain qu'Hillary serait bientôt à la Maison Blanche.

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  18. Il a nommé d'anciens banquiers centraux à son conseil d'administration et a obtenu des contrats lucratifs avec leurs anciennes institutions. Stanley Fisher, ancien directeur de la Banque d'Israël et plus tard vice-président de la Réserve fédérale, est désormais conseiller principal chez BlackRock. Philipp Hildebrand, ancien président de la Banque nationale suisse, est vice-président de BlackRock, où il supervise le BlackRock Investment Institute. Jean Boivin, l'ancien sous-gouverneur de la Banque du Canada, est le chef mondial de la recherche à l'institut d'investissement de BlackRock.

    BlackRock et la Fed

    C'est cette ancienne équipe de la banque centrale de BlackRock qui a élaboré un plan de sauvetage "d'urgence" pour le président de la Fed, Powell, en mars 2019, alors que les marchés financiers apparaissaient au bord d'un autre effondrement de la "crise de Lehman" en 2008. En guise de "merci", le président de la Fed, Jerome Powell, a nommé BlackRock dans un rôle sans offre pour gérer tous les programmes d'achat d'obligations d'entreprises de la Fed, y compris les obligations dans lesquelles BlackRock elle-même investit. Conflit d'intérêt ? Un groupe d'environ 30 ONG a écrit au président de la Fed Powell : « En donnant à BlackRock le contrôle total de ce programme de rachat de la dette, la Fed… rend BlackRock encore plus important d'un point de vue systémique pour le système financier. Pourtant, BlackRock n'est pas soumis à l'examen réglementaire d' institutions financières d'importance systémique encore plus petites. »

    Dans un rapport détaillé en 2019, un groupe de recherche à but non lucratif de Washington, Campaign for Accountability, a noté que «BlackRock, le plus grand gestionnaire d'actifs au monde, a mis en œuvre une stratégie de lobbying, de contributions aux campagnes et d'embauches à porte tournante pour lutter contre la réglementation gouvernementale et s'imposer comme l'une des sociétés financières les plus puissantes au monde.

    La Fed de New York a engagé BlackRock en mars 2019 pour gérer son programme de titres adossés à des créances hypothécaires commerciales et ses achats primaires et secondaires de 750 milliards de dollars d'obligations de sociétés et d'ETF dans le cadre de contrats sans offre. Les journalistes financiers américains Pam et Russ Martens, critiquant ce renflouement obscur de Wall Street par la Fed en 2019, ont fait remarquer que «pour la première fois de l'histoire, la Fed a engagé BlackRock pour« aller directement »et acheter 750 milliards de dollars d'obligations d'entreprises primaires et secondaires et obligataires ETF (Exchange Traded Funds), un produit dont BlackRock est l'un des plus grands fournisseurs au monde. Ils ont poursuivi: «En plus de l'indignation, le programme géré par BlackRock obtiendra 75 milliards de dollars sur les 454 milliards de dollars d'argent des contribuables pour absorber les pertes sur ses achats d'obligations de sociétés, qui comprendront ses propres ETF, que la Fed lui permet de acheter…"

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  19. Le chef de la Fed, Jerome Powell, et Larry Fink se connaissent bien, apparemment. Même après que Powell ait donné à BlackRock l'accord « direct » sans offre extrêmement lucratif, Powell a continué à faire gérer par le même BlackRock environ 25 millions de dollars d'investissements en titres privés de Powell. Les archives publiques montrent qu'à cette époque, Powell a tenu des appels téléphoniques confidentiels directs avec le PDG de BlackRock, Fink. Selon la divulgation financière requise, BlackRock a réussi à doubler la valeur des investissements de Powell par rapport à l'année précédente ! Pas de conflit d'intérêts, ou ?

    Un très BlackRock au Mexique

    L'histoire trouble de BlackRock au Mexique montre que les conflits d'intérêts et la construction d'influence avec les principales agences gouvernementales ne se limitent pas aux seuls États-Unis. Le candidat présidentiel du PRI, Peña Nieto, s'est rendu à Wall Street pendant sa campagne en novembre 2011. Il y a rencontré Larry Fink. Ce qui a suivi la victoire de Nieto en 2012 était une relation étroite entre Fink et Nieto qui était criblée de conflits d'intérêts , de copinage et de corruption.

    Très probablement certain que BlackRock était du côté des vainqueurs du nouveau régime corrompu de Nieto, Fink a nommé Marcos Antonio Slim Domit, 52 ans, fils milliardaire de l'homme le plus riche et sans doute le plus corrompu du Mexique, Carlos Slim, au conseil d'administration de BlackRock. Marcos Antonio, avec son frère Carlos Slim Domit, dirige aujourd'hui l'immense empire commercial du père. Carlos Slim Domit, le fils aîné, a été coprésident du Forum économique mondial Amérique latine en 2015 et est actuellement président du conseil d'administration d'America Movil, où BlackRock est un investisseur majeur. Petit monde cosy.

    Le père, Carlos Slim, à l'époque nommé par Forbes comme la personne la plus riche du monde, a construit un empire basé sur son acquisition chérie de Telemex (plus tard America Movil). Le président de l'époque, Carlos Salinas de Gortari, a en effet offert l'empire des télécommunications à Slim en 1989. Salinas a ensuite fui le Mexique sous l'accusation d'avoir volé plus de 10 milliards de dollars dans les coffres de l'État.

    Comme beaucoup au Mexique depuis les années 1980, l'argent de la drogue a apparemment joué un rôle énorme avec l'aîné Carlos Slim, père du réalisateur de BlackRock Marcos Slim. En 2015, WikiLeaks a publié des courriels internes de la société de renseignement privée Stratfor. Stratfor écrit dans un e-mail d'avril 2011, au moment où BlackRock établit ses plans pour le Mexique, qu'un agent spécial de la DEA américaine, William F. Dionne, a confirmé les liens de Carlos Slim avec les cartels de la drogue mexicains. Stratfor demande à Dionne: "Billy, le milliardaire MX (mexicain) Carlos Slim est-il lié aux narcos?" Dionne répond: "En ce qui concerne votre question , le milliardaire des télécommunications MX l'est." Dans un pays où 44 % de la population vit dans la pauvreté, on ne devient pas l'homme le plus riche du monde en seulement deux décennies en vendant des biscuits Girl Scout.

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  20. Fink et PPP mexicain

    Avec Marcos Slim à son conseil d'administration de BlackRock et le nouveau président Enrique Peña Nieto, le partenaire mexicain de Larry Fink dans l'alliance PublicPrivatePartnership (PPP) de 590 milliards de dollars de Nieto Peña, BlackRock, était prêt à récolter les fruits. Pour affiner ses nouvelles opérations mexicaines, Fink a nommé l'ancien sous-secrétaire mexicain aux finances Gerardo Rodriguez Regordosa pour diriger la stratégie des marchés émergents de BlackRock en 2013. Puis, en 2016, Peña Nieto a nommé Isaac Volin, alors directeur de BlackRock Mexico, au poste de n ° 2 chez PEMEX où il a présidé à la corruption, aux scandales et à la plus grande perte de l'histoire de PEMEX, 38 milliards de dollars.

    Peña Nieto avait ouvert l'énorme monopole d'État pétrolier, PEMEX, aux investisseurs privés pour la première fois depuis la nationalisation dans les années 1930. Le premier à en bénéficier fut BlackRock de Fink. En sept mois, BlackRock avait obtenu 1 milliard de dollars dans des projets énergétiques PEMEX, dont beaucoup étaient le seul soumissionnaire. Pendant le mandat de Peña Nieto, l'un des présidents les plus controversés et les moins populaires, BlackRock a prospéré grâce aux liens douillets. Il s'est rapidement engagé dans des projets d'infrastructure très rentables (et corrompus) sous Peña Nieto, comprenant non seulement des oléoducs et gazoducs et des puits, mais également des routes à péage, des hôpitaux, des gazoducs et même des prisons.

    Notamment, «l'amie» mexicaine de BlackRock, Peña Nieto, était également «amie» non seulement avec Carlos Slim, mais avec le chef du célèbre cartel de Sinaloa, «El Chapo» Guzman. Lors d'un témoignage au tribunal en 2019 à New York, Alex Cifuentes, un baron de la drogue colombien qui s'est décrit comme le "bras droit" d'El Chapo, a déclaré que juste après son élection en 2012, Peña Nieto avait demandé 250 millions de dollars au cartel de Sinaloa avant de s'installer. sur 100 millions de dollars. Nous ne pouvons que deviner pourquoi.

    Larry Fink et la grande réinitialisation du WEF

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  21. Les fondements de la communication


    2023-01-25
    Par Joseph Stroberg


    Notre société moderne pense vivre à l’ère ou à l’heure de la « communication » quand transférer un message d’un continent à l’autre ne demande plus qu’une seconde ou quelques minutes selon son ampleur, alors que dans le même temps ce concept, commercialisé, implique maintenant l’art de travestir la réalité pour lui substituer une image, une illusion. Mais que signifie ou devrait signifier « communiquer » ? S’il s’agissait à l’origine, ou s’il s’agit encore dans la nature de tout autre chose, a-t-on gagné, ou au contraire a-t-on perdu au change ?

    Si la communication est devenue rapide par le recours à des moyens technologiques et informatiques de plus en plus sophistiqués (et parallèlement fragiles), ce concept n’a pas attendu l’Homme pour s’incarner dans la Forme (les mondes formels). Déjà les animaux utilisaient des sons ou des gestes pour transmettre des informations à certains de leurs pairs : avertissements de danger, appels en vue de certaines actions, enseignement de savoir-faire, etc. Mais également, comme l’ont démontré certaines expériences et observations, les végétaux peuvent aussi communiquer entre eux, ceci en particulier en utilisant des substances chimiques diffusées dans l’air. Et rien n’empêche d’envisager que les cristaux naturels eux-mêmes, s’ils sont dotés d’une forme de vie et de conscience, utilisent une forme de communication pour s’échanger des informations d’un ordre ou d’un autre. Même chose pour les planètes, les étoiles, les galaxies… d’autant plus que la physique quantique a mis en évidence l’existence de liens étranges entre les particules qui composent la matière, avec la notion d’intrication qui leur permet en quelque sorte de communiquer instantanément leur état en s’affranchissant totalement de la supposée limite de la vitesse de la lumière.

    Si l’on se base sur ce qui existait déjà dans la nature bien avant l’apparition de l’être humain, la communication y existe (presque ?) universellement et y remplit au moins des fonctions essentielles. Les plus importantes sont directement liées à la survie de l’espèce : avertir de dangers, apprendre à trouver de la nourriture, à se protéger, à trouver un abri, trouver un(e) partenaire pour la reproduction lorsque celle-ci est sexuée… D’autres semblent couvrir des besoins moins vitaux, mais peut-être tout aussi importants pour l’équilibre individuel et collectif : des fonctions ludiques, des partages émotionnels, la délimitation d’un espace de vie (par exemple pour la chasse), un appel à l’exploration de territoires inconnus (en vue de découvrir notamment de nouvelles ressources)…

    Quelle que soit la fonction immédiate de la communication dans les règnes végétal et animal, il apparaît que pratiquement chaque fois, on peut constater que celle-ci apporte une aide à celui qui émet le message et/ou à celui qui le reçoit. La communication dans la nature se révèle habituellement bénéfique et utile. On n’y parle pas pour ne rien dire ou pour nuire au destinataire. Et l’on peut imaginer ou supposer logiquement que la communication humaine primitive reposait sur une approche similaire.

    L’observation des mondes végétal et animal, voire de certaines sociétés humaines autochtones épargnées par la « civilisation » laisse entrevoir les fondements probables de la communication dans la nature, et de manière plus générale dans le cosmos. Il s’agit à la base d’un mécanisme d’entraide destiné notamment à préserver la vie dans la Forme, à lui permettre de s’y dérouler plus facilement ou avec moins de souffrances effectives. Une forme de vie émet une demande d’aide ou offre une aide à une autre de même espèce ou d’une espèce différente face à une situation potentiellement ou effectivement problématique.

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  22. Pour que la communication passe, aboutisse, soit effective, elle doit être comprise par le receveur selon la signification, dans le sens voulu par l’émetteur. Et cela sera d’autant plus le cas que cette communication utilise un langage commun aux deux protagonistes et qu’elle n’est pas perturbée ou altérée par quoi que ce soit dans le milieu entre l’émetteur et le receveur. De ce point de vue, la communication idéale est d’ordre télépathique : un lien direct entre les deux consciences impliquées, sans le moindre support matériel qu’il soit naturel ou technologique. Dans la pratique, c’est très rarement le cas. Cela passe le plus souvent par un langage oral ou gestuel (au moins pour les animaux et les êtres humains), et de nos jours par des moyens artificiels tels que la radio, la télévision, le téléphone, Internet…

    Une communication se révèle d’autant moins efficace et apte à permettre l’action éventuellement demandée ou proposée qu’elle est basée sur un langage pauvre et/ou qu’elle utilise des intermédiaires (que ceux-ci soient vivants ou artificiels). Et un groupe d’êtres qui recourt à une communication fragilisée voit une réponse proportionnellement affaiblie à ses besoins, même vitaux. Il a alors plus de chances d’échouer dans ses objectifs et même dans sa perpétuation.

    Depuis plusieurs décennies le langage utilisé dans la communication humaine s’est généralement dégradé, quelles que soient la nation et la langue maternelle considérées, car les fondements de l’instruction scolaire ont été progressivement sabotés, érodés, renversés… pour être remplacés de plus en plus souvent par des succédanés à base idéologique destructrice (tels que la théorie du genre) qui n’ont plus guère de rapport avec une connaissance et un savoir-faire à acquérir, mais bien davantage avec une entreprise de démolition de l’être humain et de la civilisation. Avec un vocabulaire de plus en plus appauvri et vulgaire, le jeune élève, puis l’étudiant ont de plus en plus de mal même à exprimer leurs émotions et ressentis. Avec l’absence de sérieuses bases dans des disciplines aptes à forger leur mental, ils deviennent des crétins, intellectuellement handicapés, tout juste aptes à servir de robots dans des entreprises de plus en plus déshumanisantes. Avec l’utilisation de machines, dont le téléphone cellulaire, pour remplacer notamment leur mémoire et leur aptitude au calcul mental, ils deviennent de plus en plus techno dépendants et à la merci des programmeurs (ou plus exactement de ceux qui ont commandé les programmes).

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  23. Alors que la technologie et l’informatique ont considérablement augmenté la vitesse et le débit des informations communiquées, l’Humanité n’a pas réalisé qu’ainsi elle remplaçait la qualité par la quantité, comme elle l’a fait d’ailleurs dans la plupart des autres secteurs de la vie humaine. Les réseaux dits « sociaux » ont ainsi réalisé la même décadence en matière de relations humaines et sociales : une grande quantité de prétendus « amis », mais une perte notable de liens profonds et solides. L’agriculture industrielle a obtenu un résultat similaire avec les aliments d’origine végétale comme animale : de vastes quantités disponibles (souvent gaspillées), mais de faibles qualités nutritives accompagnées de nombreux poisons (additifs alimentaires, pesticides, antibiotiques, hormones, OGM…). À causes similaires, effets similaires. Dans chacun de ces trois secteurs indiqués (comme pour les autres situations de même ordre), on ne dispose, individuellement aussi bien que collectivement, que d’un certain « volume » utile et utilisable : volume de données ; volume relationnel ; et volume de ressources alimentaires.

    Chaque volume est le produit d’une surface (représentant la quantité, le nombre) et d’une hauteur (représentant la qualité). Si l’on augmente la quantité des données, on réduit d’autant plus leur qualité. Si l’on augmente la quantité des relations, on diminue le nombre de véritables amis. Si l’on augmente la quantité de ressources alimentaires au point d’en gaspiller beaucoup chaque jour, on réduit la qualité des aliments. L’Humanité a augmenté considérablement les possibilités et les débits de communication, avec notamment une diffusion massive de « nouvelles » chaque jour, mais les informations vraiment utiles pour l’évolution et la perpétuation de la civilisation comme des individus se trouvent de plus en plus perdues dans la masse. Comment a-t-on pu en arriver là ?

    Imaginons, quelque part vers le Moyen-Âge, un certain volume de communications accessibles pour l’Humanité de l’époque. Un tel volume était à l’image d’un tube étroit, mais de grande hauteur, peut-être aussi haut qu’une montagne. Les communications étaient difficiles, peu accessibles, nécessitaient de se déplacer à pied, à cheval, en bateau… Les lettres étaient rares. Les services postaux n’existaient pas. Lorsque l’on communiquait d’un bout à l’autre d’un pays, ce n’était pas pour des affaires dérisoires, pour parler de la pluie ou du beau temps, pour s’échanger des recettes de cuisine…, mais pour des choses plus vitales et importantes.

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  24. En conséquence de cette communication profondément pervertie et inversée, l’Humanité est devenue tout aussi profondément malade et il existe peu d’individus en bonne santé physique, morale, psychique et spirituelle. Alors que les sciences devaient au départ aider l’Homme a mieux comprendre son environnement, à mieux comprendre sa nature et à mieux communiquer, elles ont créé des artefacts technologiques et des chimères qui ont largement contribué à détruire l’environnement, à souiller sa propre nature, et à rendre rare la communication authentique. Peut-il encore retrouver une langue simple (non fourchue) et vertueuse ? Avec un peu de chance ou de bonne volonté, l’Humanité pourra se guérir si elle retrouve les fondements de la communication et qu’un nombre critique d’individus exprime donc la beauté, le bien et le vrai, autant dans ses demandes d’aide que dans celle qu’il peut offrir aux autres. De plus en plus d’individus travaillent dans ce sens.

    https://nouveau-monde.ca/les-fondements-de-la-communication/

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  25. Les taxes exceptionnelles déferlent sur le secteur mondial de l'énergie


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 30 JANVIER 2023 - 15:08
    Rédigé par Alex Kimani via OilPrice.com,


    Au cours des deux dernières années, les sociétés énergétiques mondiales ont réalisé des bénéfices records dans un contexte de prix élevés des matières premières, l'Agence internationale de l'énergie estimant que le revenu net des sociétés pétrolières et gazières a doublé entre 2021 et 2022. Ces prix élevés du pétrole et du gaz se sont traduits par des prix élevés du carburant. pour les consommateurs, suscitant la colère du public et des gouvernements du monde entier et déclenchant des mouvements populistes en réponse.

    L'Union européenne, le Royaume-Uni et l'Inde ont déjà introduit des taxes exceptionnelles sur les sociétés pétrolières et gazières.

    Le 30 septembre 2022, le Conseil de l'Union européenne a décidé d'imposer une "contribution temporaire de solidarité" aux entreprises du secteur de l'énergie qui réalisent "plus de 20 % d'augmentation des bénéfices imposables annuels moyens depuis 2018". Cette taxe sera prélevée en plus de quels que soient les impôts que ces entreprises doivent déjà dans leurs pays respectifs.

    Une taxe sur les bénéfices exceptionnels est une surtaxe unique prélevée sur une entreprise ou une industrie lorsque des conditions économiques inhabituelles entraînent des bénéfices importants et inattendus.

    D'autres, comme les Pays-Bas, la Norvège et les États-Unis, les envisagent actuellement.

    Selon un récent rapport de Wood Mackenzie, alors que 2022 a été l'année au cours de laquelle l'idée de la taxe sur les bénéfices exceptionnels et la méchanceté des grandes sociétés pétrolières ont atteint un nouveau sommet, cette année verra probablement plus d'élan si les prix du pétrole restent élevés. Si les prix baissent, les taxes exceptionnelles pourraient être supprimées ; cependant, Wood Mackenzie considère cela comme "peu probable", notant en même temps que certaines taxes exceptionnelles ont des dates d'expiration et des clauses de modification basées sur les prix du pétrole.

    Dans l'ensemble, WoodMac prévient que les taxes exceptionnelles fausseront le marché et risquent même de prolonger ou de retarder la transition énergétique. Comment ? Si les prix des combustibles fossiles sont plus bas, la demande augmentera et rendra les énergies renouvelables moins attrayantes.

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  26. Entre-temps, les gouvernements ont trouvé un autre moyen de profiter de la hausse de la rentabilité des sociétés pétrolières et gazières en taxant les rachats d'actions, comme cela a été fait aux États-Unis et proposé au Canada. Les dividendes pourraient aussi être taxés plus lourdement. Les deux méthodes, suggère Wood Mackenzie, "encourageraient en fait le réinvestissement, favorisant ainsi les emplois et l'approvisionnement énergétique supplémentaire".

    "Un enchevêtrement d'ambitions à long terme conduira les régulateurs et les investisseurs en amont vers les grands thèmes fiscaux à rechercher en 2023, des taxes sur les bénéfices exceptionnels au regain d'intérêt pour les termes de la politique du gaz", selon les perspectives 2023 de WoodMac.

    La fiche de déclaration fiscale exceptionnelle - jusqu'à présent

    États-Unis

    En octobre dernier, le président Biden a menacé d'imposer un impôt sur les bénéfices exceptionnels aux sociétés pétrolières et gazières américaines si elles ne parvenaient pas à utiliser leur aubaine "scandaleuse" pour accroître l'approvisionnement en pétrole dans le but de faire baisser les prix du carburant. Cependant, il n'a pas encore donné suite à sa menace, mais les entreprises américaines doivent faire face à une bête différente : la taxe de rachat.

    Dans le cadre de la nouvelle loi sur la réduction de l'inflation que le président Biden a signée en août, une nouvelle taxe de 1% sur les rachats d'actions des entreprises. Les sociétés pétrolières et gazières supporteront le poids de la nouvelle taxe car elles ont considérablement augmenté les rachats comme moyen privilégié de restituer l'excédent de trésorerie aux actionnaires.

    « Mon message aux compagnies énergétiques américaines est le suivant : vous ne devriez pas utiliser vos bénéfices pour racheter des actions ou pour des dividendes. Pas maintenant, pas pendant qu'une guerre fait rage », a déclaré Biden en octobre. Biden a réprimandé les producteurs de pétrole américains en disant qu'ils n'apprécient pas la manne du capitalisme de marché libre rendue possible par la démocratie américaine ni la sympathie pour leurs clients de détail.

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  27. En 2022, les rachats d'actions des sociétés pétrolières américaines ont augmenté de 1 043 %, éclipsant la hausse de 64 % du S&P 500, tandis que les dividendes ont augmenté de 33 %, soit plus de trois fois la hausse de toutes les sociétés de l'indice. Le flux de trésorerie disponible total des 23 sociétés de l'indice S&P 500 Energy a été multiplié par 2,3 pour atteindre 201 milliards de dollars, les liquidités disponibles pour Exxon Corp. (NYSE : XOM) et Chevron Corp. (NYSE : CVX) augmentant de 150 % pour atteindre 60 milliards de dollars et 36 milliards de dollars. milliard. Pendant ce temps, les flux de trésorerie disponibles de Valero Energy Corp. (NYSE : VAL) ont quintuplé pour atteindre 9 milliards de dollars par rapport aux quatre trimestres précédents.

    Royaume-Uni

    En novembre, le gouvernement britannique a annoncé son intention d'augmenter à 35 % la taxe sur les bénéfices exceptionnels des producteurs de pétrole et de gaz, contre 25 % auparavant. Le nouveau taux, qui s'appliquera du 1er janvier 2023 à mars 2028, fait partie d'une série de mesures budgétaires visant à faire face à la crise du coût de la vie et à consolider les finances du Royaume-Uni.

    Normalement, les sociétés pétrolières et gazières britanniques opérant sur son plateau continental sont soumises à un taux d'imposition de 40%, bien supérieur au taux de 19% sur les bénéfices des sociétés pour les entreprises d'autres secteurs. Le nouveau prélèvement signifie désormais que des entreprises comme BP Plc.(NYSE : BP) et Shell Plc.(NYSE : SHEL) vont désormais débourser plus de 75 % d'impôts, contre 65 % en 2022.

    Allemagne

    À partir du 1er décembre 2022, le gouvernement allemand a introduit un impôt sur les bénéfices exceptionnels de 33 % qui générera potentiellement un revenu compris entre un et trois milliards d'euros. Surnommée la "contribution de l'UE à la crise énergétique", la taxe est susceptible d'affecter des dizaines d'entreprises énergétiques et ciblera leurs bénéfices de 2022 et 2023.

    La nouvelle taxe touchera les entreprises pétrolières, gazières et charbonnières dont les bénéfices pour 2022 et 2023 dépassent de 20 % ou plus leur moyenne 2018-2021. Cependant, la taxe a un inconvénient majeur : selon Katharina Beck, porte-parole pour les questions financières des Verts, le prélèvement prévu peut être contourné à grande échelle par les entreprises transférant leurs bénéfices à l'étranger.

    "Le projet du ministère des Finances de prélèvement sur les bénéfices exceptionnels pour les sociétés pétrolières et gazières est bien en deçà de ce qui est nécessaire", a déclaré Beck dans un communiqué diffusé par Reuters.

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  28. Finlande

    En décembre, le gouvernement finlandais a proposé une taxe temporaire sur les bénéfices exceptionnels des compagnies d'électricité du pays dans le cadre d'une réponse de l'Union européenne à la flambée des coûts de l'électricité. La taxe de 30 % proposée s'appliquerait à tout bénéfice dépassant un rendement du capital de 10 % en 2023, le gouvernement estimant qu'elle pourrait rapporter entre 500 millions et 1,3 milliard d'euros (533 millions de dollars à 1,9 milliard de dollars).

    Si le gouvernement finlandais va de l'avant avec ses plans, il rejoindra l'Allemagne et le Royaume-Uni comme les autres membres de l'UE qui ont introduit une taxe exceptionnelle sur les sociétés d'énergie et d'électricité.

    Inde

    Il y a quelques semaines, l'Inde a augmenté sa taxe exceptionnelle sur le pétrole brut, le pétrole et le carburéacteur. La taxe exceptionnelle sur le pétrole brut a été portée à 2 100 roupies (25,38 $) par tonne, contre 1 700 roupies (20,55 $). Le gouvernement fédéral a également augmenté la taxe à l'exportation sur le diesel à 6,50 roupies par litre au lieu de 5 roupies, tout en augmentant la taxe exceptionnelle sur l'ATF à 4,5 roupies par litre au lieu de 1,5 roupies, selon le document.

    L'Inde est un important consommateur et importateur de brut et achète des barils de brut russe bien en dessous d'un plafond de prix de 60 dollars. Le gouvernement indien a introduit pour la première fois une taxe exceptionnelle sur les producteurs de pétrole brut et des prélèvements sur les exportations d'essence, de diesel et de carburant d'aviation en juillet après que les raffineurs privés aient affiché de solides marges de raffinage, au lieu de vendre à des taux inférieurs à ceux du marché.

    https://www.zerohedge.com/energy/windfall-taxes-sweep-through-global-energy-sector

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    Réponses

    1. Pourquoi ce système de taxes, d'impôts est-il une escroquerie ?

      Parce que les États qui volent les entreprises gaspillent l'argent du contribuable qui aurait créé des entreprises et embauché du personnel avec çà.

      Pourquoi des paradis fiscaux existent-ils ?

      Parce que des États font tout pour empêcher un entrepreneur de créer une entreprise et de l’assommer d'impôts et de taxes. Le patron ira forcément cacher ses bénéfices de peur d'être volé.

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  29. L'industrie pétrolière et gazière du Texas se prépare aux rigueurs de l'hiver


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 31 JANVIER 2023 - 01:00
    Par Tsvetana Paraskova de OilPrice.com,


    Les opérateurs pétroliers et gaziers du Texas devraient être préparés à des conditions hivernales rigoureuses cette semaine, a déclaré dimanche la Commission des chemins de fer du Texas (RRC), alors que des conditions de neige et de glace sont attendues dans certaines parties du plus grand État producteur de pétrole américain, y compris dans certaines parties de le bassin permien.

    Le RRC a conseillé à tous les opérateurs sous sa juridiction dans les zones d'impact potentiel de tenir compte de toutes les veilles, avertissements et ordres émis par les responsables locaux des urgences, et de sécuriser tout le personnel, l'équipement et les installations pour éviter les blessures ou les dommages. Il a également été conseillé aux opérateurs de surveiller et de préparer les opérations aux impacts potentiels, dans la mesure où la sécurité le permet.

    Un hiver rigoureux avec des températures basses pourrait entraîner le gel des équipements de production de pétrole et de gaz et le gel des vannes des pipelines et d'autres infrastructures.

    Des avis météorologiques hivernaux et des veilles de tempête hivernale sont en vigueur dans certaines parties du Texas, de l'Oklahoma et de l'Arkansas pour les conditions météorologiques hivernales et les voyages dangereux à partir de lundi, a annoncé dimanche le National Weather Service.

    Le chapitre Midland du NWS a déclaré qu'un avis de météo hivernale est en vigueur lundi matin pour l'est du bassin permien, où une légère glaçure de glace est attendue. Mardi et mercredi, une veille de tempête hivernale est en vigueur pour l'est du bassin permien pour des accumulations potentielles de glace jusqu'à 0,25".

    Tôt lundi, la bruine verglaçante a continué de se répandre dans le bassin permien, avec une visibilité réduite à Hobbs et Midland/Odessa.

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  30. Le précédent événement hivernal rigoureux s'est produit juste avant Noël, lorsque la tempête hivernale Elliott a révélé la vulnérabilité du système énergétique, car les approvisionnements en gaz naturel et en électricité étaient tendus, les puits gelaient et les services publics sous-estimaient largement la demande d'électricité pendant l'énorme tempête.

    À l'époque, le Texas a réussi à éviter les coupures de courant, mais les fournisseurs d'électricité d'autres États ont mis en place des interruptions planifiées pour gérer l'augmentation de la demande d'électricité pendant la tempête. Alors que le réseau électrique du Texas a réussi à éviter des pannes catastrophiques pendant la tempête, l'Electric Reliability Council of Texas (ERCOT) a sous-estimé l'augmentation de la demande d'électricité.

    https://www.zerohedge.com/weather/texas-oil-and-gas-industry-braces-severe-winter-weather

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  31. Juste comme ça : le panneau solaire suspect disparaît. Les experts du Bureau of Met au travail ?


    Par Jo Nova


    Vous souvenez-vous du panneau solaire nomade qui est apparu à quelques mètres au sud du thermomètre de l'Observatoire de Sydney la même semaine que la ville a mis fin à sa séquence la plus froide en 140 ans ? Eh bien Craig Kelly, qui a pris les photos originales, est revenu et maintenant c'est parti.

    Aujourd'hui, il n'y a plus que de l'herbe et des arbustes pour refléter le soleil de midi vers l'arrière de la boîte à thermomètres.

    - voir photo sur site -

    Observatoire de Sydney, thermomètre, panneau solaire, janvier 2023.
    Photo par Craig Kelly 27 janvier 2023

    Comme l'a dit Craig Kelly : "Le fait qu'il ait disparu montre qu'il n'a jamais été installé - quelqu'un à la BOM vient de saisir un panneau solaire au hasard et de le placer à une position aussi inexpliquée..."

    Voilà pour la science rigoureuse experte précise au dixième de degré.

    Kelly explique que ce site est presque invisible : "La seule façon de le voir est de tenir une caméra au-dessus de votre tête - ce n'est pas visible à l'œil nu - même si vous mesuriez 6'6" et que vous ne pouvez pas vous tenir sur la pointe des pieds. voir par-dessus la clôture – et l'Observatoire est fermé au public pour une raison inconnue.

    Peut-être que le BOM pensait juste que personne ne le remarquerait, et "c'est pour une bonne cause, hein?" Nous ne pouvons pas laisser les parieurs penser que Sydney était plus cool aujourd'hui qu'en 1883.

    Comme j'ai dit:

    Le panneau solaire était exactement au sud de l'écran Stevenson exactement le bon jour. Si, hypothétiquement, quelqu'un voulait laisser un objet réfléchissant pointé vers la boîte à midi, ce serait l'endroit pour le faire.

    Recherchez le guide pratique de la nomenclature :

    "Comment créer des enregistrements de température avec des pièces de rechange qui traînent dans la maison"

    - voir photo sur site -

    Observatoire de Sydney, thermomètre, panneau solaire, janvier 2023.
    C'est un endroit étrange pour laisser un panneau… | Photo par Craig Kelly 20 janvier 2023

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  32. C'est l'année sans été pour Sydney. Il n'y a eu qu'un seul jour au-dessus de 30 ° C depuis le 21 février de l'année dernière à Sydney, et c'était un jour où le panneau solaire errant visitait le thermomètre, apparemment connecté à rien et appuyé sur un buisson.

    Coupable, quoi ? La nomenclature va-t-elle rétracter la "température officielle" de 30,2 °C ou effectuer des ajustements d'homogénéisation secrets pour déterminer ce qu'aurait pu être la température avec des thermomètres à 800 km ?

    Je me demande à quelle fréquence cela se produit sur d'autres sites en Australie ? Il est temps de commencer à chercher ?

    Par les spectateurs, pas facilement visibles,
    Juste au bon angle pour se pencher,
    Un panneau solaire impair,
    Un peu de chaleur à canaliser,
    Directement sur l'écran Stevenson.

    –Ruairi

    Les panneaux solaires n'absorbent que 22% de l'énergie solaire. Ils peuvent refléter beaucoup de lumière, bien plus que l'herbe, et il est possible qu'une lumière supplémentaire ait chauffé artificiellement l'écran Stevenson.

    … même si, d'une manière ou d'une autre, ce panneau solaire n'a pas changé la température de la journée, il nous dit tout ce que nous devons savoir sur les normes de nomenclature nonchalantes. Il y a quelque chose de profondément malhonnête à prétendre qu'ils font de la science experte sans maintenir les sites, ou à expliquer à quel point les incertitudes sont réelles et à quel point la plupart des "dossiers chauds" peuvent être dénués de sens.

    Le site est un site terrible même par une bonne journée. Ken Stewart note que les propres instructions de la nomenclature indiquent qu'il devrait y avoir un tampon de 30 m autour de l'écran du thermomètre.
    ______________

    Google Maps de l'observatoire de Sydney

    Températures à l'observatoire de Sydney en janvier 2023 | Enregistrements à long terme du site BOM ID 066214 | Métadonnées et cartes du site | Dernières températures de l'observatoire de Sydney (dernières 72 heures.)

    https://joannenova.com.au/2023/01/just-like-that-the-suspicious-solar-panel-disappears-the-bureau-of-met-experts-at-work/#more-89193

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  33. Nucléaire : le savoir-faire français existe toujours

    Les soudures de l’EPR de Flamanville listées par les autorités comme devant être corrigées ont été reprises avec succès.


    le 31 janvier 2023
    Sébastien Richet


    Permettez-moi cette courte prise de parole !

    Il y va en effet de la fierté nationale comme on a pu la connaître du temps de nos mirages ou de notre TGV.

    De quoi s’agit-il ?

    Tout simplement, il s’agit de l‘autoflagellation, habitude quasi sempiternelle de nous autres Français, qui savons reconnaître nos erreurs mais ne savons pas ou plus reconnaître nos réussites, particulièrement dans le domaine technique !

    Le problème des soudures à l’EPR de Flamanville

    Face à une série de calamités dans les soudures de l’EPR de Flamanville, non détectées par les autorités lors de leur réalisation quand il était encore aisé de les corriger, mais bien ensuite lorsque les éléments mitoyens en empêchaient l’accès, la compagnie Française EDF a dû faire face.

    Exposée ensuite également à une corrosion spécifique sur des tubes coudés rattachés au circuit primaire de certains de ses réacteurs, dit du palier N4, pourtant les plus modernes, qui n’engageaient pas immédiatement la sûreté, EDF a préféré agir de suite et là aussi a dû faire face.

    Dans les deux cas, il a fallu innover sur le champ, d’abord pour comprendre de quoi il retournait exactement, puis agir, soit pour permettre le réputé impossible (certaines soudures de l’EPR de Flamanville ont nécessité la réalisation de robots spécialisés uniques au monde), soit pour simuler les soudures sur des pièces similaires avant de passer en situation réelle, ou encore de mettre les meilleurs soudeurs de France à l’œuvre !

    Un succès français

    Le résultat est là… et n’a pour ainsi dire pas fait la Une des médias.

    L’ensemble des soudures de l’EPR de Flamanville listées par les autorités comme devant être corrigées ont été reprises avec succès et le premier réacteur du palier N4, Civaux 1, est déjà redémarré, un an seulement après la découverte de la corrosion.

    Ce succès est unique au monde, il est Français : parlons-en !

    https://www.contrepoints.org/2023/01/31/449308-nucleaire-le-savoir-faire-francais-existe-toujours

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  34. INSANE : le gouvernement britannique paie les citoyens pour qu'ils n'utilisent pas l'électricité pendant les heures de pointe en raison des pénuries d'énergie induites par le « vert »


    Lundi 30 janvier 2023
    par : Ethan Huff



    (Natural News) Dans un effort pour économiser l'approvisionnement énergétique en baisse, le gouvernement britannique offre des paiements en espèces à plus d'un million de foyers s'ils acceptent de couper l'électricité pendant une heure entre 17 heures et 5 heures. et 18h à des jours précis.

    Le service de flexibilité de la demande a averti que si les gens n'acceptent pas l'offre, cela pourrait être une situation d'effondrement du réseau. Cela semble désormais être le cas dans toute l'Europe occidentale en raison de la perte de gaz russe bon marché et abondant.

    Dans une série de messages publiés en début de semaine, le National Grid a déclaré avoir activé la réduction de charge pour une deuxième journée après en avoir fait une le lundi 23 janvier également. En cas d'urgence, trois centrales électriques au charbon sont également maintenues au chaud.

    Au moment d'écrire ces lignes, ces trois centrales sont en ligne mais ne semblent pas encore mettre d'énergie mesurable dans le réseau. La part du charbon dans le mix électrique national au Royaume-Uni est toujours à 2,2%, ce qui est le même que la semaine dernière. (Connexe: la flambée des coûts de l'énergie menace de fermer 60% du secteur manufacturier du Royaume-Uni.)

    "Dimanche, le #gaz a généré 36,3 % de l'électricité en Grande-Bretagne, suivi de l'éolien 22,5 %, du nucléaire 15,6 %, des importations 13,7 %, de la biomasse 6,1 %, de l'hydroélectricité 2,2 %, du charbon 2,2 %, du solaire 1,4 %, des autres 0,0 % *excl. production distribuée non renouvelable », a annoncé le National Grid sur Twitter.

    Les éoliennes du Royaume-Uni ne produisent pas d'électricité en raison du manque de vent
    Ceux qui se conforment au programme d'extinction volontaire du National Grid recevront l'équivalent américain d'environ 25 $. Ces paiements seront émis dans le cadre du service de flexibilité de la demande du réseau national, qui a été introduit pour la première fois l'année dernière après l'invasion de l'Ukraine par Vladimir Poutine.

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  35. Les températures glaciales au Royaume-Uni ont incité le système à être utilisé pour la première fois. Et curieusement, les autorités demandent aux gens de couper le courant pendant une heure après le coucher du soleil, c'est-à-dire lorsque les températures commencent généralement à baisser.

    Les nombreuses éoliennes de Grande-Bretagne ne produisent pas assez d'énergie pour compenser la demande croissante car il y a eu très peu de vent sur les îles ces derniers temps.

    "L'énergie éolienne en particulier semble avoir chuté de façon spectaculaire, passant d'un peu moins de 58% de l'approvisionnement en électricité du Royaume-Uni il y a une semaine à seulement 25% samedi, repoussant le pays vers des alternatives plus fiables", un rapport sur l'affaire expliquée.

    Comme c'est généralement le cas, les autorités affirment qu'il n'y a aucun risque qu'une panne de courant se produise réellement et qu'il s'agit de mesures de précaution juste au cas où pour "maintenir le tampon de capacité de réserve dont nous avons besoin".

    "Nos prévisions montrent que les marges d'approvisionnement en électricité devraient être plus serrées que la normale lundi soir. Nous avons demandé que des centrales électriques au charbon soient disponibles pour augmenter l'approvisionnement en électricité en cas de besoin demain soir », indique un communiqué du National Grid.

    "Nous activons également un événement en direct [Demand Flexibility Service] entre 17h et 18h. demain. Cela ne signifie pas que l'approvisionnement en électricité est en danger et que les gens ne devraient pas s'inquiéter.

    Ce programme est rendu possible grâce à l'utilisation de compteurs «intelligents», capables de réduire ou d'éliminer automatiquement la consommation d'électricité aux heures fixées. Le gouvernement a le plein contrôle, en d'autres termes, sur les maisons des personnes avec des compteurs intelligents.

    "C'est quelque chose en quoi nous croyons fermement", a déclaré Craig Dyke, responsable du contrôle national chez National Grid ESO. « Cela offre de la flexibilité au système et au consommateur. Nous voyons cela comme un marché en croissance.

    Le monde s'assombrit en partie à cause de la poussée de l'énergie «verte». Plus d'informations à ce sujet peuvent être trouvées sur Collapse.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Breitbart.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-01-30-british-government-paying-citizens-no-electricity-green.html

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  36. Tout d'abord, ils ont menti à propos de la gamme. . .


    Eric Peters
    27 janvier 2023


    Il existe une consanguinité effrayante entre la commercialisation et la vente des «masques» puis des «vaccins» – et la commercialisation et la vente des véhicules électriques. C'est à se demander s'il pourrait y avoir une relation. . .

    Ils sont apparus comme la « solution » à des problèmes supposément graves qui, nous a-t-on dit, nécessitaient une amélioration immédiate. Pas le temps d'attendre et de voir - ou même de réfléchir avant d'être obligé d'agir. En d'autres termes, les tactiques rush-rush du fraudeur vendeur de multipropriété. Le « virus » va tuer des dizaines de millions – peut-être plus ! - à moins que tout le monde ne se "masque", maintenant (et pour toujours). Reste à la maison – et reste à l'écart des autres. Le "climat" va "changer" - à moins que nous ne passions du jour au lendemain à la conduite de voitures électriques.

    Et peu importe s'ils "fonctionnent" non plus.

    Tout comme c'était le cas avec les "masques" - puis les "vaccins" - toutes les preuves croissantes qu'ils n'en avaient pas ont été supprimées et mises au pilori. On nous a dit des demi-vérités et des mensonges purs et simples pour nous amener à «masquer» – puis à prendre les médicaments qui ne conféraient d'immunité à personne non plus. Mais a conféré une myocardite - et Dieu seul sait quoi d'autre - à beaucoup de ceux qui ont été amenés à les prendre.

    Idem pour les voitures électriques.

    Les gens n'ont pas été informés que leurs gammes vantées étaient souvent bien inférieures à celles annoncées et pouvaient (et font) chuter de 50 % ou plus par temps froid. Ou - dans le cas des camions électriques - lorsqu'ils sont utilisés pour faire les choses que les camions sont censés faire, comme tirer une remorque. Au lieu de cela, on leur a seulement dit - comme dans le cas du camion électrique F-150 Lightning de Ford - qu'il pouvait tirer une remorque de 10 000 livres. Ce qui est vrai. Pas pour longtemps.

    Ou plutôt loin.

    Laissé de côté était le fait pertinent que s'ils tentaient de tirer une remorque, ils s'arrêteraient pour une longue recharge tous les 80 milles environ. (Vérité détaillée à ce sujet ici.)

    On leur a également dit qu'ils pouvaient recharger à la maison – ce qui est également vrai. Dans la mesure du possible.

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  37. Mais on ne leur a pas dit combien de temps cela prendrait. Au lieu de cela, ils ont été amenés à croire qu'ils pourraient repartir en seulement 30 à 45 minutes environ. Mais cela n'est possible qu'en visitant des chargeurs dits "rapides", qui ne sont pas chez eux. Et on ne leur a pas dit que l'utilisation régulière de ces chargeurs "rapides" est pénible pour la batterie et pour cette raison est susceptible de réduire la durée de vie utile de la batterie - une chose extrêmement pertinente puisque ne pas utiliser le chargeur "rapide" limite considérablement le temps mobilité. Il faut au moins plusieurs heures – à la maison – pour instiller une charge même partielle dans une voiture électrique, en utilisant une prise de type cuisinière/sécheuse de 240 V que la plupart des maisons n'ont pas câblée dans le garage – et si proche pour brancher le VE en eux - obligeant le propriétaire à payer pour qu'un électricien installe la prise là où elle est suffisamment proche.

    Même s'il est installé, il faut encore 9 à 11 heures pour recharger complètement un VE à la maison - afin d'éviter de devoir compter sur les chargeurs "rapides" qui peuvent endommager/réduire la durée de vie du composant le plus cher du VE - son la batterie.

    Rendez-vous 22.

    On a également dit aux gens que le coût des véhicules électriques diminuerait à mesure que de nouveaux véhicules électriques seraient fabriqués – et que la «technologie» s'améliorerait. En fait, le coût des véhicules électriques a augmenté - énormément - car il en coûte plus que moins pour fabriquer des véhicules électriques, qui nécessitent une énorme quantité de matériaux difficiles à obtenir et coûteux à obtenir, tels que le lithium et le cobalt.

    Maintenant, il s'avère que cela ne coûte pas moins cher de conduire un VE non plus. Vous vous souvenez de celui-là ? Plus besoin de se faire arnaquer par les mauvaises compagnies pétrolières ! Presque libre de conduire un VE. Eh bien, pour reprendre le dicton de marque de Star Trek: Capitaine de la prochaine génération, Jean Luc Picard :

    Faites qu'il n'en soit pas ainsi.

    Le coût de l'électricité a atteint la parité avec le coût du carburant de sorte qu'il en coûte désormais à peu près le même prix pour mettre la puissance équivalente dans un VE nécessaire pour parcourir 100 miles avec le VE que pour mettre suffisamment de gaz dans un non-VE pour parcourir la même distance : 11,29 $ pour le second et 11,60 $ pour le premier. Et le premier est ce qu'il en coûte pour recharger le VE à la maison - où le coût des heures d'attente n'est pas inclus. Il en coûte en moyenne 14,40 $ pour instiller la même autonomie de 100 milles sur un chargeur dit «rapide», ce qui coûte plus cher au propriétaire du VE qu'à quelqu'un qui se contente de verser trois ou quatre gallons d'essence dans son non-VE pour conduire les mêmes 100 milles.

    Et le coût des dommages causés à la longévité de la batterie par une charge «rapide» régulière n'est pas pris en compte dans l'équation.

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  38. Les personnes qui ont acheté des véhicules électriques doivent se sentir beaucoup comme les personnes qui ont acheté les « vaccins ».

    Dans les deux cas, pour ainsi dire, tout ce qu'on disait aux gens était soit un mensonge, soit un mensonge partiel. Pas un iota de la vérité.

    Les voitures électriques coûtent plus cher à l'achat, plus de temps et plus d'argent à conduire. Même la vérité qu'ils sont très rapides est une demi-vérité dans la mesure où si vous utilisez cette rapidité, vous n'irez bientôt plus du tout.

    La prochaine vérité à abandonner sera probablement la révélation que les véhicules électriques ne sont pas « zéro émission », après tout. Comme on l'a dit aux gens. Attendez qu'on leur dise la vérité sur les émissions résultant de toute l'exploitation minière nécessaire pour obtenir les matières premières utilisées pour fabriquer des véhicules électriques. Et – hoo-boy ! – les émissions qui se produisent dans les centrales électriques qui génèrent les quantités massives d'électricité à haute tension que les véhicules électriques « brûlent ».

    Apparemment, seulement 15% environ du public est "boosté" - le reste ayant appris la vérité sur les "vaccins". Il est probable que quelque chose de congruent se manifestera à mesure que de plus en plus de gens apprendront la vérité à propos des véhicules électriques.

    https://www.ericpetersautos.com/2023/01/27/first-they-lied-about-the-range/

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  39. Un incendie massif détruit une ferme commerciale d'œufs appartenant au principal fournisseur américain


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 29 JANVIER 2023 - 21:00


    Des dizaines d'usines de transformation alimentaire ont été détruites et/ou endommagées l'an dernier par des « incendies accidentels ». Après plusieurs mois d'accalmie dans les incendies mystérieux qui se sont répercutés sur l'industrie alimentaire, le premier incendie majeur de la nouvelle année a été rapporté samedi par NBC Connecticut.

    Plus de 100 pompiers ont combattu un incendie massif dans une ferme commerciale d'œufs à Bozrah, Connecticut, samedi après-midi.

    Selon Epoch Times, les pompiers ont passé des heures à éteindre un poulailler de 150 pieds sur 400 pieds à Hillandale Farms, qui contenait environ 100 000 poulets.

    Un camion-cantine de l'Armée du Salut était sur les lieux, fournissant de la nourriture. Selon l'Armée du Salut, environ 100 000 poulets pourraient être morts dans l'incendie. Il a également indiqué qu'aucun blessé n'avait été signalé.

    Voici la vidéo de l'incendie :

    - voir sur site -

    Hillandale Farms est l'un des plus grands fournisseurs d'œufs de poule aux États-Unis.

    Leurs œufs se trouvent dans les grands supermarchés.

    On ne sait pas ce que l'emplacement de Bozrah endommagé par le feu signifiera pour la chaîne d'approvisionnement nationale en œufs de Hallandale Farms. L'incendie survient à un moment où les États-Unis souffrent d'une grave pénurie d'œufs en raison de la grippe aviaire anéantissant des dizaines de millions de poules pondeuses.

    Des pénuries d'œufs ont été signalées dans les supermarchés du pays.

    Les prix d'une douzaine d'œufs de catégorie A au supermarché ont atteint des niveaux astronomiques.

    - voir graph sur site -

    Cela pourrait être le début d'une autre série d'incendies suspects dans les usines alimentaires. Citant les données de Bloomberg, les reportages sur les "incendies d'usines alimentaires" ont le plus bondi en une décennie l'année dernière. Bizarre non ?

    - voir graph sur site -

    Certains ont émis l'hypothèse que «les usines de transformation des aliments ne s'enflamment pas simplement« accidentellement »» au rythme observé l'année dernière. D'autres demandent : la chaîne d'approvisionnement alimentaire américaine est-elle attaquée ?

    https://www.zerohedge.com/commodities/massive-fire-destroys-commercial-egg-farm-belonging-top-us-supplier

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  40. Comment les industriels nous obligent à manger des insectes


    2023-01-25
    Nicole Delépine
    [Source : Ligne Droite • La matinale de Radio Courtoisie]

    - voir clip sur site -

    Christophe Brusset, ancien trader de l’agroalimentaire et auteur de « Vous êtes fous d’avaler ça, un industriel de l’agroalimentaire dénonce », éditions Flammarion.

    https://nouveau-monde.ca/comment-les-industriels-nous-obligent-a-manger-des-insectes/

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  41. Avons-nous encore besoin de l'élevage d'animaux de rente ? 650 scientifiques répondent « oui ».


    30 Janvier 2023
    Martina Hungerkamp, AGRARHEUTE*


    La population augmente surtout dans les groupes de population socio-économiquement faibles, comme dans certains pays d'Afrique. Dans ces pays, une grande partie de la population dépend de l'élevage pour sa subsistance.

    Plus de 650 scientifiques ont signé la déclaration internationale de Dublin : l'élevage d'animaux de rente a un rôle essentiel à jouer dans un système alimentaire durable et ne doit pas être victime de la simplification ou du fanatisme.

    C'est l'une des questions de société les plus controversées : avons-nous encore besoin de l'élevage d'animaux de rente, avons-nous besoin de viande pour un système alimentaire mondial durable ? Des chercheurs du monde entier se sont penchés sur la question.

    Entre-temps, plus de 650 d'entre eux ont signé la Déclaration de Dublin des scientifiques sur le rôle sociétal des animaux d'élevage (Dublin Declaration of Scientists on the Social Role of Livestock).

    Un millier de travaux scientifiques étayent le rôle de la viande dans l'alimentation

    Les scientifiques se sont notamment penchés sur le rôle de la viande dans l'alimentation et pour la santé. Ils se sont également penchés sur le rôle de la viande dans un environnement durable et dans la société, l'économie et la culture. Les chercheurs souhaitent clarifier la situation et séparer les discussions basées sur des faits de celles qui sont motivées par l'idéologie et la politique.

    Pour ce faire, ils ont eu recours aux résultats de plus de 1.000 travaux scientifiques évalués par des pairs. Ils rejetteraient tous l'approche selon laquelle il faudrait réduire fortement l'élevage d'animaux de rente. Il s'agit d'une guerre purement idéologique contre l'élevage, a par exemple déclaré M. Chris Taylor (directeur général de l'Australian Meat Processor Corporation) dans le cadre d'un sommet sur la déclaration de Dublin.

    Développer l'élevage dans le respect du climat plutôt que de le sacrifier

    Il serait plus utile de développer les systèmes d'élevage sur la base des normes scientifiques les plus élevées. Dans l'ensemble, l'élevage est bien trop précieux pour la société pour être victime de simplifications, de raccourcis ou de parti-pris fanatique, peut-on lire dans l'ouverture de la Déclaration de Dublin.

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  42. Même si elle reconnaît que les systèmes alimentaires actuels sont confrontés à un double défi sans précédent :

    D'une part, il s'agit d'assurer la sécurité alimentaire d'une population mondiale croissante. On demande de mettre à disposition de plus en plus d'aliments d'origine animale (œufs, lait, viande) afin de couvrir les besoins nutritionnels non satisfaits de trois milliards de personnes selon les estimations. Jusqu'à présent, les carences nutritionnelles entraînent entre autres des retards de croissance, l'amaigrissement et l'anémie.

    D'autre part, il y a les défis liés à la santé et au bien-être des animaux, à la biodiversité, au changement climatique et aux flux de nutriments.

    Nourrir la population en forte croissance grâce à l'élevage d'animaux de rente

    Le défi est la forte croissance démographique qui se concentre surtout sur les groupes de population socio-économiques faibles et urbains dans le monde. Selon la Déclaration de Dublin, une grande partie de la population dépend de l'élevage pour sa subsistance. C'est pourquoi les défis en matière d'approvisionnement et de durabilité augmentent de manière exponentielle et le développement de solutions fondées sur des données probantes devient de plus en plus urgent.

    Dans l'ensemble, la Déclaration de Dublin offre donc un large éventail de points de vue scientifiques équilibrés. Selon les scientifiques, elle contribue largement à les diffuser. La Déclaration de Dublin a pour objectif de faire en sorte que l'élevage d'animaux de rente reste ancré dans la société et bénéficie d'un large soutien.

    Avec du matériel de la Déclaration de Dublin, euromeatnews
    _______________

    * Martina Hungerkamp travaille chez AGRARHEUTE en tant que rédactrice cross-média dans la rubrique élevage. Elle écrit principalement sur l'élevage d'animaux de rente, de préférence sur les porcs et la volaille.

    Source : Brauchen wir noch Nutztierhaltung? 650 Wissenschaftler sagen "Ja" | agrarheute.com

    https://seppi.over-blog.com/2023/01/avons-nous-encore-besoin-de-l-elevage-d-animaux-de-rente-650-scientifiques-repondent-oui.html

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  43. La déclaration de Dublin des scientifiques sur le rôle sociétal de l'élevage


    30 Janvier 2023


    Objet de cette Déclaration

    Les systèmes d'élevage doivent progresser sur la base des standards scientifiques les plus élevés. Ils sont trop nécessaires à la société pour être l’objet de simplifications, de raccourcis ou de parti-pris fanatique. Ces systèmes doivent continuer d'être intégrés et largement approuvés par la société. Pour cela, les scientifiques sont invités à fournir des preuves solides de leurs avantages nutritionnels et sanitaires, de leur durabilité environnementale, de leurs valeurs socioculturelles et économiques, et apporter des solutions en vue des nécessaires améliorations. Cette déclaration vise à donner la parole aux nombreux scientifiques du monde entier qui mènent leurs recherches avec diligence, honnêteté et succès dans différentes disciplines afin de proposer une vision équilibrée sur l'avenir des productions animales.

    Les défis de l'élevage

    Les systèmes alimentaires d'aujourd'hui sont confrontés à un double défi sans précédent. Il est nécessaire d’accroître la disponibilité des aliments d’origine animale (viande, produits laitiers, œufs) pour aider à satisfaire les besoins nutritionnels non couverts d'environ trois milliards de personnes, pour lesquelles les carences en nutriments aboutissent à des retards de croissance, à l’amaigrissement, à l'anémie et à d'autres formes de malnutrition. Dans le même temps, certaines méthodes notamment à grande échelle des systèmes de production animale présentent des défis en ce qui concerne la biodiversité, le changement climatique et les flux de nutriments, ainsi que la santé et le bien-être des animaux dans le cadre d'une approche globale « Une seule santé ». Avec une forte croissance démographique concentrée en grande partie parmi les populations socio-économiquement vulnérables et urbaines dans le monde, et où une grande partie de la population dépend de l'élevage pour ses moyens de subsistance, les problèmes d'approvisionnement et de durabilité augmentent de façon exponentielle et il devient de plus en plus urgent de proposer des solutions fondées sur des recherches probantes.

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  44. L’élevage et la santé humaine

    Les aliments d’origine animale fournissent une variété de nutriments essentiels et d'autres composés bénéfiques pour la santé, dont beaucoup manquent dans les régimes alimentaires du monde entier, même parmi les populations aux revenus plus élevés. Les personnes disposant de ressources suffisantes peuvent être en mesure d'avoir une alimentation adéquate tout en limitant fortement la viande, les produits laitiers et les œufs. Cependant, cette approche ne devrait pas être recommandée de façon généralisée, en particulier pour les populations qui ont des besoins élevés, comme les jeunes enfants et les adolescents, les femmes enceintes ou celles qui allaitent, les femmes en âge de procréer, les personnes âgées et les personnes atteintes de maladies chroniques. Les niveaux de démonstration bio-évolutives, anthropologiques, physiologiques et épidémiologiques les plus élevés soulignent que la consommation régulière de viande, de produits laitiers et d'œufs, dans le cadre d'un régime alimentaire bien équilibré, est bénéfique pour les êtres humains.

    L’élevage et l’environnement

    Les animaux d'élevage et de rente sont irremplaçables pour maintenir un flux circulaire de matières dans l'agriculture, en recyclant de diverses manières les grandes quantités de biomasse non comestible qui sont générées comme sous-produits lors de la production d'aliments destinés à l'alimentation humaine. Le bétail est ainsi bien placé pour réintroduire ces matières dans le cycle naturel et produire simultanément des aliments de haute qualité. Les ruminants en particulier sont également capables de valoriser des terres marginales qui ne conviennent pas à la production directe d’aliments pour l’homme. En outre, des systèmes d'élevage bien gérés appliquant les principes agroécologiques peuvent générer de nombreux autres avantages, notamment la séquestration du carbone dans les sols, l'amélioration de la santé des sols, la biodiversité, la protection des bassins versants et la fourniture d'importants services écosystémiques. Alors que le secteur de l'élevage est confronté à plusieurs défis importants concernant l'utilisation des ressources naturelles et le changement climatique qui nécessitent d’agir, les programmes uniformes, tels que des réductions drastiques du nombre d’animaux d’élevage, pourraient en fait entraîner des problèmes environnementaux à grande échelle.

    Élevage et socio-économie

    Pendant des millénaires, l'élevage a fourni à l'humanité des aliments, des vêtements, de l'énergie, du fumier, des emplois et des revenus ainsi que des actifs, des garanties, des assurances et un statut social. Les aliments d’origine animale sont la source la plus facilement disponible de protéines de haute qualité et de plusieurs nutriments essentiels pour le consommateur moyen. La possession d’animaux d’élevage est également la forme la plus fréquente de propriété privée d'actifs dans le monde et constitue la base du capital financier des communautés rurales. Dans certaines communautés, le bétail est l'un des rares actifs que les femmes peuvent posséder et est une première étape vers l'égalité des sexes. Les progrès des sciences animales et des technologies connexes améliorent actuellement les performances de l'élevage dans toutes les dimensions mentionnées ci-dessus – santé, environnement, socio-économie – plus rapidement qu'à tout autre moment dans l'histoire.

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  45. Perspectives pour l'élevage*

    La civilisation humaine s'est construite à partir de l’élevage depuis le début de l'âge du bronze il y a plus de 5000 ans qui est devenu le fondement de la sécurité alimentaire des sociétés modernes d'aujourd'hui. L'élevage est le moyen éprouvé depuis des millénaires pour créer une alimentation saine et des moyens de subsistance sûrs, une sagesse profondément ancrée dans les valeurs culturelles du monde entier. L'élevage durable apportera également des solutions au défi supplémentaire d'aujourd'hui, à savoir rester dans la zone de sécurité des limites de la planète Terre, la seule Terre que nous ayons.

    Pour des preuves scientifiques, veuillez vous référer aux enregistrements de la présentation du Sommet International sur le Rôle Sociétal de la Viande des 19 et 20 octobre 2022. Les preuves seront également publiées dans le numéro spécial de mars 2023 d'Animal Frontiers.
    ____________

    * Le libellé de ce paragraphe provient du Groupe de solutions sur l'élevage durable lors du sommet des Nations Unies sur le système alimentaire en 2021.

    Source : Commencer: La Déclaration de Dublin (dublin-declaration.org)

    https://seppi.over-blog.com/2023/01/la-declaration-de-dublin-des-scientifiques-sur-le-role-societal-de-l-elevage.html

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  46. La « Grande Réinitialisation Alimentaire »: Qui est derrière le plan de réorganisation de l’approvisionnement alimentaire mondial ?

    Le journaliste James Corbett identifie les personnages à l'origine de la Grande Réinitialisation Alimentaire, un plan visant à réorganiser l'approvisionnement alimentaire mondial sous le couvert d'une fausse crise alimentaire.


    Par Suzanne Burdick
    Mondialisation.ca,
    30 janvier 2023


    Selon le journaliste James Corbett, l’approvisionnement alimentaire mondial est en train d’être réorganisé sous le couvert d’une fausse crise alimentaire.

    « Des boulettes de poudre de grillons et des burgers d’insectes aux OGM et au glyphosate, en passant par les bioréacteurs et les microbes de conception, la nutrigénomique et les matériaux imprimés en 3D, l’avenir de la « nourriture » s’annonce radicalement différent de tout ce que vous avez mangé auparavant », a déclaré l’auteur de « The Corbett Report ».

    La nourriture, a noté M. Corbett une semaine plus tôt sur son Substack, a été utilisée tout au long de l’histoire de l’humanité comme un « puissant outil de contrôle ».

    Mais il n’est pas trop tard pour « commencer à formuler nos propres plans pour contrer ce programme » de contrôle, a déclaré M. Corbett.

    Quelle est la première étape ? Regardez bien qui est derrière l’agenda.

    Selon M. Corbett :

    « Afin de faire véritablement quelque chose pour dérailler le train en marche qu’est la Grande Réinitialisation Alimentaire [Great Food Reset], nous devons d’abord la comprendre. Et pour la comprendre, nous devons savoir quelque chose sur les personnes qui se cachent derrière cet agenda. »

    M. Corbett a fourni un récapitulatif riche en informations des groupes et des individus qui, selon lui, sont les moteurs – historiquement et aujourd’hui – de la Grande Réinitialisation Alimentaire.

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  47. La Fondation Rockefeller

    Selon M. Corbett, les Rockefeller et leur fondation éponyme – qui « sont à bien des égards les géniteurs et les architectes de la Grande Réinitialisation Alimentaire » – poussent à une centralisation accrue du contrôle de l’approvisionnement alimentaire, y compris « un nouveau système intégré de sécurité nutritionnelle ».

    « Depuis le début de la soi-disant révolution verte jusqu’à la soi-disant révolution génétique, les Rockefeller ont été là », a déclaré M. Corbett, « aidant à faire avancer les choses avec leurs dons philanthropiques ».

    M. Corbett a cité les travaux récents des Rockefeller en Afrique, qui opèrent sous le nom d’Alliance for a Green Revolution in Africa [Alliance pour une révolution verte en Afrique]. L’objectif déclaré de l’alliance – « élever la voix unique de l’Afrique » – « semble agréable et flou, jusqu’à ce que vous appreniez que 200 organisations se sont unies pour dénoncer l’alliance et ses activités », a déclaré M. Corbett.

    M. Corbett a déclaré que les 200 détracteurs de l’alliance « affirment que le groupe a non seulementéchoué sans équivoque dans sa mission, mais qu’il a en fait nui aux efforts plus larges visant à soutenir les agriculteurs africains ».

    Bill Gates

    M. Corbett a souligné que En 2009, Bill Gates, père,a admis qu’il avait pris exemple sur la Fondation Rockefeller lorsqu’il a aidé son fils à créer la Fondation Bill et Melinda Gates. Il n’est donc pas surprenant que Bill Gates soit fortement investi dans la Grande Réinitialisation Alimentaire.

    M. Gates est « littéralement investi » dans la réinitialisation de l’alimentation par son financement de l’industrie de la fausse viande, a déclaré M. Corbett.

    « M. Gates a été, de manière tristement célèbre, l’un des premiers bailleurs de fonds de l’« Impossible Burger » et de son substitut alimentaire issu de la biologie synthétique et cultivé en laboratoire », a déclaré M. Corbett. « Il a aussi fourni du capital à son rival Impossible, Beyond Meat. . . jusqu’à ce que les actions de Beyond commencent à s’effriter. »

    « Miraculeusement, le Bill & Melinda Gates Foundation Trust a pu se défaire de ses actions Beyond Meat juste avant que celles-ci ne s’effondrent en 2019 », a déclaré Corbett, ajoutant : « Les Gates doivent être des investisseurs super avisés ! »

    M. Corbett a également fait remarquer que M. Gates a investi des millions dans le « piratage de votre microbiome » afin de remodeler les bactéries intestinales des humains.

    M. Gates est devenu le plus grand propriétaire de terres agricoles américaines en 2021.

    « Je me demande pourquoi quelqu’un qui est si obsédé par le remaniement complet de l’approvisionnement alimentaire et qui veut nous rendre dépendants des substituts alimentaires synthétiques cultivés en laboratoire qu’il finance achèterait des terres agricoles », M. Corbett a dit.

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  48. Le Forum économique mondial

    Le Forum économique mondial (WEF) est à l’origine de nombreux aspects de ce que l’on appelle la quatrième révolution industrielle, y compris des initiatives alimentaires de type « Great Reset », a déclaré M. Corbett.

    Entre autres objectifs, le WEF souhaite que les gens mangent plus d’insectes.

    « [Klaus] le désir de Schwab d’éloigner les humains des sources traditionnelles de protéines et de nutriments fait partie intégrante du plan Great Reset », a déclaré M. Corbett.

    M. Corbett a indiqué aux lecteurs qu’une recherche rapide du mot « insectes » sur le site web du WEF révèle que l’organisation a régulièrement émis des idées telles que « 5 raisons pour lesquelles manger des insectes pourrait réduire le changement climatique » et « Lesinsectes pourraient bientôt apparaître sur les menus des restaurants en Europe ».

    « Les gros bonnets sont en train de décompresser après leur dure semaine à Davos », a déclaré M. Corbett. « Vous pouvez être sûrs qu’ils ne grignotent pas de croquettes de grillons ou de teignes flambées… … même s’ils s’attendent à ce que vous le fassiez. »

    Le Forum EAT (Davos de l’alimentation)

    Se décrivant comme le « Davos de l’alimentation », une organisation appelée le forum EAT, cofondée par le Wellcome Trust, se présente comme une « plateforme mondiale à base scientifique pour la transformation du système alimentaire ».

    M. Corbett a souligné que, selon une analyse du Dr Joseph Mercola datant du 17 février 2022, la plus grande initiative du forum EAT – FReSH – vise à transformer le système alimentaire dans son ensemble et compte parmi ses partenaires de projet Bayer, Cargill, Syngenta, Unilever et Google.

    En outre, le forum EAT, a-t-il précisé, travaille également avec « près de 40 gouvernements municipaux en Europe, en Afrique, en Asie, en Amérique du Nord, en Amérique du Sud et en Australie, et aide le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF), financé par M. Gates, à élaborer des directives diététiques actualisées ».

    USAID

    M. Corbett a discuté d’un document de travail – «Solutions systémiques pour l’adaptation au changement climatique et l’atténuation de ses effets dans l’agriculture, la nutrition et les systèmes alimentaires » – publié en 2022, par le Conseil pour le développement international de l’alimentation et de l’agriculture de l’Agence américaine pour le développement international (USAID) en conjonction avec «Feed the Future » [Nourrir l’avenir],l’initiative du gouvernement américain sur la faim et la sécurité alimentaire dans le monde.

    L’ensemble du document est formulé dans le double langage bureaucratique insipide de l’« équité », de l’« inclusion » et de la « durabilité », M. Corbett a dit. « Mais, si vous savez lire entre les lignes, il n’est pas difficile de comprendre ce que le rapport dit vraiment. »

    L’« influence » de l’USAID sur les pays en développement – spécifiquement mentionnée pas moins de 125 fois – donne un aperçu de la mentalité kissingerienne de l’alimentation comme arme qui est la base même de l’USAID et de sa mission », a déclaré M. Corbett.

    Il a ajouté :

    « Toute cette entreprise pue l’accaparement de terres néocoloniales déguisé en « philanthropie » – le genre de prise de territoire contre lequel les gens en Afrique et ailleurs mettent en garde depuis des décennies. »

    https://www.mondialisation.ca/la-grande-reinitialisation-alimentaire-qui-est-derriere-le-plan-de-reorganisation-de-lapprovisionnement-alimentaire-mondial/5674516

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    1. Les jardins refleuriront ! Ils y sont obligés !
      Dans 'l'ancien temps' à la campagne on faisait des conserves. Des conserves d'haricots verts en boites, coulis de tomates en bouteilles et prunes ou cerises en bocaux. Parfois c'était 30 ou 40 de chacune. Plus des poules, des lapins, pigeons, de quoi passer l'hiver.
      De nos jours ce n'est pas la saison qui arrive mais l'hiver toute l'année !
      La serre au jardin est la meilleure des solutions.

      Les gros bonnets n'ont rien sorti du chapeau ! La planète se refroidit et les cultures vont s'en ressentir.

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  49. Made in LATAM : l'innovation scientifique made in Latin America prête à débarquer en Afrique


    31 Janvier 2023
    Luis Ventura Martínez*


    L'Amérique latine est connue dans le monde entier pour être l'une des régions qui possède la plus grande partie de la biodiversité existant dans le monde et la protection de la biodiversité de l'Amérique latine est essentielle pour atteindre les objectifs climatiques mondiaux.

    L'Amérique latine abrite trois des cinq pays les plus riches en oiseaux, amphibiens, mammifères, reptiles, poissons et plantes. La région amazonienne abrite à elle seule 10 % de la biodiversité mondiale.

    C'est pourquoi six des 17 pays méga-divers déclarés par le Centre Mondial de Surveillance Continue de la Conservation de la Nature (WCMC) du Programme des Nations Unies pour l'Environnement sont situés en Amérique latine (LATAM), à savoir le Brésil, la Colombie, l'Équateur, le Mexique, le Pérou et le Venezuela.

    Outre la richesse de la biodiversité, la variété se retrouve également dans la culture, les populations et même dans la diversité des langues parlées, encore présentes aujourd'hui dans la région et conservées au fil des ans par les communautés indigènes.

    En partageant une histoire similaire, la LATAM s'est appuyée au fil des ans sur ses vastes ressources naturelles et s'en est servi comme monnaie d'échange avec d'autres Nations de la même région et de différents continents.

    Les principales activités économiques de la région sont l'exploration, l'exploitation, la transformation et le transport d'hydrocarbures et de produits agricoles et forestiers. Cette dynamique a permis à différents pays de la région LATAM de se positionner comme les principaux fournisseurs de matières premières dans le monde, comme c'est le cas de l'Argentine, de l'Uruguay, du Paraguay et du Brésil, qui sont les principaux exportateurs de viande reconnus dans le monde entier pour la qualité de leurs produits.

    L'agriculture est un autre marché important de la région LATAM. En raison de sa situation géographique, la région LATAM a la chance d'être située autour de l'équateur et des tropiques, ce qui lui permet de bénéficier d'un climat tempéré la majeure partie de l'année (par rapport aux régions situées plus près des pôles). On prévoit que le Brésil représentera à lui seul 70 % de la croissance des terres arables dans le monde d'ici 2050.

    L'économie de la LATAM est fondée sur l'exportation et, avec l'émergence et l'adoption des cultures génétiquement modifiées (GM), la LATAM est devenue un leader dans la culture et l'exportation de céréales et graines essentielles, en tirant parti de leurs caractéristiques environnementales.

    Cela a servi de base à leurs propres économies qui ont prospéré dans le secteur agroalimentaire des Nations qui ont décidé d'adopter les innovations scientifiques dans le cadre de leurs systèmes de production alimentaire.

    Depuis l'émergence de la biotechnologie moderne et de ses applications dans le monde réel, l'Amérique latine a manifesté son intérêt pour l'accès aux nouveaux produits que cette nouvelle technologie avait à offrir.

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  50. Plus précisément, ceux mis au point pour améliorer le secteur agricole en augmentant le rendement des cultures et en réduisant les coûts des intrants agricoles, tels que les herbicides et les pesticides. Même si les semences génétiquement modifiées sont plus chères que les semences conventionnelles, au fil des ans, les agriculteurs ont déjà considéré les biotechnologies comme un investissement totalement rentable. C'est la principale raison pour laquelle, au cours des 25 dernières années, la biotechnologie moderne a été présente dans les champs de la LATAM.

    Au cours de ces 25 années d'adoption des cultures GM dans la région, différents défis ont été rencontrés dans plusieurs pays où l'adoption des cultures GM est confrontée principalement à des positions idéologiques présentées par des activistes et des ONG environnementales qui ont fait valoir des effets négatifs sur l'environnement et la santé qui n'ont jamais été prouvés.

    Malgré ces difficultés, l'Argentine et le Brésil sont les leaders de la culture et de l'exportation de maïs et de soja au niveau mondial.

    Au cours de cette période, le paysage de la biotechnologie était dominé par de grandes entreprises ayant leur siège aux États-Unis ou en Europe, mais cette situation est en train de changer rapidement avec l'émergence de nouvelles techniques de sélection et, plus important encore, avec l'incorporation de nouveaux acteurs dans le domaine de l'agroalimentaire, ce qui modifie l'ensemble de la production alimentaire en Amérique latine et dans les Caraïbes.

    Le blé GM argentin approuvé au Nigeria

    Comme le rapporte Breakthrough, l'Argentine a approuvé fin 2020 le premier blé génétiquement modifié au monde destiné à la culture et à la consommation, appelé HB4, qui est tolérant à la sécheresse. Depuis lors, ce blé GM a été approuvé dans plusieurs pays, tels que les États-Unis, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, le Brésil et, récemment, le Nigeria.

    Le Nigeria a approuvé les importations de blé GM tolérant à la sécheresse développé par la société argentine Bioceres.

    Bioceres avait indiqué que la technologie de tolérance à la sécheresse HB4 permettait d'augmenter le rendement du blé de 20 % en moyenne dans des conditions de limitation de l'eau, une adaptation clé qui favorise les systèmes de double culture, où la gestion de l'eau est de plus en plus critique.

    Les effets du changement de saisons sont de plus en plus présents dans les pays en développement de la LATAM, d'Afrique et d'Asie, qui servent de source de nourriture au reste du monde.

    En outre, le Département Américain de l'Agriculture a prévu que les importations de blé au Nigeria s'élèveraient à 6,5 millions de tonnes pour la campagne 2022-23, ce qui rend ce marché africain très précieux et ouvre la porte à d'autres Nations africaines pour qu'elles adoptent le blé GM, car il a été prouvé qu'il est sûr et qu'il a de bonnes performances dans des conditions d'eau limitée.

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  51. - "L'autorisation d'importation et de culture par un plus grand nombre de pays peut aider le blé HB4 à atteindre son potentiel pour soutenir la production mondiale de blé face au changement climatique. Ce n'est pas seulement une question agricole, mais a des implications de grande envergure pour la sécurité alimentaire, l'environnement et le climat".

    En attendant, la Révolution Génétique est la prochaine frontière en Amérique latine et dans le monde, car la demande alimentaire augmente.

    Depuis le début de la civilisation humaine, la sélection artificielle des plantes et des animaux a servi de base au développement de l'humanité. L'émergence de villes nouvelles et plus grandes s'accompagne de la capacité de fournir des aliments suffisants, sûrs et nutritifs pour nourrir les habitants de ces régions.

    Au cours des 120 dernières années, les sélectionneurs de plantes ont fait des progrès remarquables dans le développement de nouvelles variétés de cultures dotées de caractères inédits. Même lorsque la biotechnologie moderne s'est révélée être un outil puissant (et toujours fonctionnel).

    Les nouveaux défis auxquels l'agriculture est actuellement confrontée exigent de nouvelles solutions en raison des difficultés que rencontrent les méthodes de sélection conventionnelles pour répondre rapidement aux besoins des agriculteurs dans un monde où l'environnement est en constante évolution.

    Actuellement, dans la région LATAM, les cultures génétiquement éditées prennent la tête du secteur agroalimentaire en encourageant la recherche et le développement de nouvelles cultures développées par de entreprises petites ou émergentes (comme Embrapa au Brésil et Bioceres en Argentine).

    La région LATAM pourrait devenir une région exportatrice de cultures nouvelles et inédites vers des régions ayant des besoins et des caractéristiques environnementales similaires comme l'Afrique et l'Asie. Il est donc temps de multiplier les initiatives de collaboration sud-sud, notamment autour de la communication scientifique, afin d'améliorer la compréhension de ces nouvelles technologies et de partager les meilleures pratiques dans l'ensemble du Sud.
    _______________

    * Source : Made in LATAM: Science innovation made in Latin America ready to land in Africa - Alliance for Science

    https://seppi.over-blog.com/2023/01/made-in-latam-l-innovation-scientifique-made-in-latin-america-prete-a-debarquer-en-afrique.html

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  52. La police métropolitaine de Londres embauche maintenant des agents "analphabètes fonctionnels" dans un effort désespéré pour la diversité


    Lundi 30 janvier 2023
    par : Cassie B.


    (Natural News) Dans un effort pour accroître la diversité au sein de la force à tout prix, la police métropolitaine de Londres a abaissé ses normes et recruté des agents considérés comme « fonctionnellement analphabètes » en anglais.

    C'est selon un membre de l'Inspection de la gendarmerie de Sa Majesté, Matt Parr, un chien de garde de la police. Bien que Parr ait admis qu'il est « noble et juste » pour Scotland Yard de prendre des mesures pour embaucher davantage de minorités ethniques, il estime que les normes d'embauche ne devraient pas être abaissées pour ce faire.

    S'adressant au Telegraph, il a déclaré qu'il pensait que Londres ne devrait pas être surveillée par une force de police majoritairement blanche, en particulier si l'on considère le fait que les Blancs seront probablement une minorité dans la ville au cours de la prochaine décennie.

    Il a expliqué: "C'est clairement faux. Ce n'est pas seulement faux du point de vue de la légitimité, et du point de vue des apparences, c'est également faux sur le plan opérationnel, car cela signifie que le Met n'a pas un aperçu de certaines des communautés qu'il surveille et cela a causé des problèmes dans le passé. .”

    Cependant, il a déclaré que la pression en faveur de la diversité comporte le risque de "recruter les mauvaises personnes". Par exemple, il a partagé l'audition d'officiers stagiaires qui, selon lui, sont "sur papier au moins, fonctionnellement analphabètes en anglais". Cela signifie que dans certaines régions, ces nouvelles recrues ont du mal à rédiger des rapports de criminalité.

    L'ancienne commissaire du Met Cressida Dick, qui a été le premier dirigeant ouvertement gay de la force, a lancé une campagne pour une plus grande diversité qui a été soutenue par le maire de gauche de la ville, Sadiq Khan. Ils se sont engagés en 2014 à ce que la ville recrute 40 % de ses nouveaux policiers parmi les communautés asiatiques, minoritaires et noires d'ici 2023. Cependant, même avec cette campagne et la réduction de leurs normes d'alphabétisation pour tenir compte des minorités, le pourcentage de policiers non blancs les officiers qui servent actuellement à Londres sont toujours inférieurs à 17 %.

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  53. La police du Met aurait également recours à des soi-disant «observateurs de racisme» pour étudier les aspirants officiers et évaluer s'ils ont des préjugés raciaux ou autres. Ils ont également dépensé des dizaines de millions de livres pour ce qu'ils appellent des programmes de «formation à l'égalité» et des «agents de la diversité, de l'inclusion et de l'égalité».

    Le successeur de Dick, le commissaire rencontré Sir Mark Rowley, a déclaré qu'il se concentrerait moins sur la réalisation des objectifs de diversité et davantage sur l'embauche des meilleurs officiers possibles.

    Les ressources policières sont déjà sollicitées à Londres

    Les ressources policières sont actuellement si sollicitées dans la ville que certains grands magasins ont effectivement renoncé à appeler la police pour aider les voleurs à l'étalage, engageant leurs propres détectives privés pour les appréhender à la place.

    Fortnum and Mason a déclaré qu'il "avait perdu confiance en la police" alors que les niveaux de vol à l'étalage augmentaient à la suite de la crise du coût de la vie. L'année dernière, les poursuites pour vol à l'étalage ont chuté à un niveau record de 16,8 %, soit seulement la moitié du taux de 30,8 % observé cinq ans auparavant. Des centaines de milliers d'incidents de vol à l'étalage resteraient impunis, car les services de police débordés à travers le Royaume-Uni ont cessé de répondre à certains types de crimes.

    Le vol de voiture, quant à lui, a été effectivement décriminalisé, avec un taux de réussite de 0,5 % lorsqu'il s'agit de résoudre ce type de crime. En 2015, le chef du Conseil national des chefs de police a annoncé que les agents ne pourraient pas assister à certains cambriolages en raison d'un manque de ressources, les deux tiers de ces crimes ne faisant pas l'objet d'enquêtes.

    Bien qu'il soit logique qu'une force de police reflète dans une certaine mesure les personnes qu'elle surveille, abaisser les normes et autoriser des agents analphabètes à entrer dans la force juste pour répondre à un programme éveillé ne fera que causer davantage de dommages à une ville qui souffre déjà de la montée de la criminalité.

    Les sources de cet article incluent :

    Breitbart.com
    TheTimes.co.uk
    Summit.news

    https://www.naturalnews.com/2023-01-30-london-metropolitan-police-force-illiterate-diversity.html

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    1. C'est l'éboulement continuel, la désintégration de l'appareil d’État, la déchéance de l'Administration dans (presque) le monde entier !! (Presque) tous des cons ! C'est le désolement, la désolence de la désolation. Sorry ! L'incapacité de réfléchir ou de rencontrer le peuple pour parler d'homme à homme réduit les dirigeants à être des êtres inférieurs à rien. Pas des bons à rien mais des mauvais à tout !

      Ils parlent que le monde s'écroule ! mais ce n'est pas le monde qui s'écroule, c'est eux ! Eux les chefs d’États au QI zéro qui s'entourent de leurs condisciples.

      Peut-on rêver mieux qu'un monde sans président, roi ou empereur ? Le Peuple s'en porterait mieux, çà c'est sûr ! Qui fait la guerre ? Les chefs d’États. Qui est mort ? Le Peuple.

      Maintenant c'est la police britannique qui en fait les frais. On savait déjà que pour être flic fallait être refusé aux PTT et à l'EDF (d'après Coluche), maintenant... on en est certain !
      Comment résoudre les problèmes de gangs ? Embaucher des truands, leur donner des flingues et un uniformes ! Pas de soucis, les Al Capone, Dillinger et les Bonnie and Clyde n'ont plus qu'à se rhabiller ! On savait déjà que l’État volait, escroquait, violait, assassinait, maintenant c'est officialisé ! Youpie !

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