PAR TYLER DURDEN
SAMEDI 14 JANVIER 2023 - 02:40
À l'échelle nationale, les États-Unis et le Canada dépendent d'une composition très différente de sources pour produire leur électricité.
Les États-Unis utilisent principalement le gaz naturel, le charbon et l'énergie nucléaire, tandis que le Canada dépend à la fois de l'hydroélectricité et du nucléaire. Cela dit, lorsque l'on zoome sur le niveau de la province ou de l'État, les sources d'électricité primaires individuelles peuvent différer considérablement.
Dans l'infographie ci-dessous, Selin Oğuz de Visual Capitalist examine la production d'électricité dans les États et les provinces de ces deux pays à l'aide des données de l'Institut de l'énergie nucléaire (2021) et de la Régie de l'énergie du Canada (2019).
Gaz naturel
Le gaz naturel est largement utilisé pour la production d'électricité aux États-Unis. Reconnu comme un combustible fossile « plus propre », son abondance, associée à un réseau de distribution national établi et à un coût relativement faible, en fait la principale source d'électricité du pays.
En 2021, 38 % des 4 120 térawattheures (TWh) d'électricité produite aux États-Unis provenaient du gaz naturel. Sans surprise, plus de 40 % des États américains ont le gaz naturel comme principale source d'électricité.
Voici quelques États qui ont les plus grandes parts d'électricité produite à partir de gaz naturel.
Au Canada, le gaz naturel n'est que la troisième source d'électricité en importance (derrière l'hydroélectricité et le nucléaire), représentant 11 % des 632 TWh d'électricité produite en 2019. L'Alberta est la seule province où le gaz naturel est sa principale source d'électricité.
Nucléaire
L'énergie nucléaire est une source d'énergie sans carbone qui représente une part considérable de l'énergie produite aux États-Unis et au Canada.
19 % de l'électricité américaine et 15 % de l'électricité canadienne proviennent de l'énergie nucléaire. Bien que les pourcentages soient proches les uns des autres, il est bon de noter que les États-Unis produisent 6 à 7 fois plus d'électricité que le Canada chaque année, produisant beaucoup plus d'énergie nucléaire que le Canada en termes de gigawattheures (GWh) par an.
Comme le montre la carte, de nombreux États et provinces ayant le nucléaire comme principale source d'électricité sont concentrés dans la moitié orientale des deux pays.
Aux États-Unis, l'Illinois, la Pennsylvanie et la Caroline du Sud sont les principaux producteurs en termes de GWh/an. L'Illinois et la Caroline du Sud ont également le nucléaire comme principale source d'électricité, tandis que la production d'électricité de la Pennsylvanie à partir du gaz naturel dépasse celle du nucléaire.
La grande majorité des réacteurs nucléaires du Canada (18 sur 19) se trouvent en Ontario, le 19e au Nouveau-Brunswick. Ces deux provinces dépendent du nucléaire comme principale source d'électricité.
Énergies renouvelables : hydroélectrique, éolienne et solaire
Parmi les différents types de sources d'électricité renouvelables, l'hydroélectricité est la plus répandue en Amérique du Nord. Par exemple, 60 % de l'électricité du Canada et 6 % de l'électricité des États-Unis proviennent de l'hydroélectricité.
Voici les États et les provinces qui ont l'hydroélectricité comme principale source d'électricité.
L'énergie éolienne et solaire représentent collectivement un petit pourcentage de l'électricité totale produite dans les deux pays. Bien qu'aucun État ou province ne dépende de l'énergie solaire comme principale source d'électricité, l'Iowa, le Kansas, l'Oklahoma et le Dakota du Sud dépendent principalement de l'énergie éolienne pour leur électricité, tout comme l'Île-du-Prince-Édouard (Î.-P.-É.) au Canada.
Charbon et Pétrole
Le charbon et le pétrole sont des sources d'électricité à fortes émissions encore répandues en Amérique du Nord.
Actuellement, 22 % de l'électricité américaine et 7 % de l'électricité canadienne proviennent du charbon, des endroits comme le Kentucky, le Missouri, la Virginie-Occidentale, la Saskatchewan et la Nouvelle-Écosse dépendant toujours du charbon comme principale source d'électricité.
Certaines régions utilisent également le pétrole pour produire leur électricité. Bien que son utilisation à cette fin diminue, il s'agit toujours de la plus grande source d'électricité à Hawaï et au Nunavut.
Au cours des prochaines années, il sera intéressant d'observer l'utilisation de ces combustibles fossiles pour la production d'électricité aux États-Unis et au Canada. Malgré les différences d'engagements climatiques entre les deux pays, la réduction des émissions liées au charbon et au pétrole peut être un élément essentiel pour atteindre les objectifs de décarbonation en temps opportun.
La Sibérie enregistre moins 80 degrés alors que les discussions sur le vortex polaire se multiplient
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 14 JANVIER 2023 - 13:35
Plusieurs semaines après l'explosion de Noël dans l'Arctique, une grande partie des États-Unis et de l'Europe ont connu une chaleur record. Rappelons que le 27 décembre, nous avons noté que la masse d'air froid de Sibérie qui s'est propagée à travers les États-Unis continentaux se dissiperait dans la nouvelle année. Jusqu'à présent, c'est correct, car trois semaines de conditions météorologiques supérieures à la moyenne ont évité une crise énergétique dans l'hémisphère Nord. Mais juste au nord, en Sibérie, les températures chutent à des niveaux quasi record. Et ce ne pourrait être qu'une question de temps avant que la gigantesque masse d'air froid tourbillonnant au pôle Nord ne devienne instable, ne se décompose et ne commence à se déverser aux États-Unis et en Europe.
Les alarmistes du réchauffement climatique qui ont appelé à une catastrophe climatique imminente l'été dernier se grattent la tête alors que la ville rurale de Zhilinda, dans le nord de la Sibérie, vient d'enregistrer des températures de moins 79,8 degrés, selon le climatologue Maximiliano Herrera, qui suit les températures extrêmes à travers le monde.
Herrera a déclaré au Washington Post que Zhilinda n'était qu'à quelques degrés de battre son record de moins 82,3 degrés. Le plus bas historique de l'hémisphère nord a été établi en Russie en 1933 à moins 89,9 degrés.
- voir globe sur site -
Plus tôt cette semaine, Paul Dorian d'Arcfield Weather a déclaré que l'hiver n'était pas terminé et a appelé à un changement significatif de la météo nord-américaine "dans une dizaine de jours environ". Comme tout, rien n'est jamais constant, et la vague de chaleur pourrait céder la place à des températures plus froides plus tard ce mois-ci ou début février.
"Parfois, l'air exceptionnellement froid qui s'accumule au-dessus de la Sibérie se déverse dans l'est des États-Unis", a expliqué WaPo, ajoutant :
"Bien que l'est des États-Unis ait eu un temps très doux depuis cette vague de froid de fin décembre, il existe un potentiel pour un changement de modèle significatif vers la fin janvier."
Pour qu'un vortex polaire s'écoule vers les États-Unis ou l'Europe, il faut d'abord un réchauffement de la stratosphère arctique qui pousse l'air froid plus bas. Comme expliqué par Michigan Weather Forecast :
Un gros gâchis vert en Allemagne avec du charbon, un superbe 31% de la production d'électricité
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 14 JANVIER 2023 - 13:00
Écrit par Mike Shedlock via MishTalk.com,
Le charbon fournit 31 % de la production d'électricité allemande, contre 8 % en 2015...
Hutte du jour
Les Verts ont forcé l'arrêt du nucléaire sous Angela Merkel. Désormais, ils sont à la fois pour et contre le charbon, la plus sale de toutes les sources d'énergie électrique.
L'Associated Press rapporte que la police commence à nettoyer un village allemand condamné pour mine de charbon
La police en tenue anti-émeute a commencé mercredi à expulser des militants pour le climat d'un village condamné dans l'ouest de l'Allemagne qui doit être démoli pour l'expansion d'une mine de charbon.
Des pierres et des feux d'artifice ont été lancés alors que des officiers pénétraient dans le petit hameau de Luetzerath, qui est devenu un point d'éclair du débat sur les efforts climatiques du pays, mercredi matin.
Le porte-parole de la police, Andreas Mueller, a déclaré que les attaques contre les officiers n'étaient "pas agréables", mais a noté que la plupart des manifestations jusqu'à présent avaient été pacifiques.
Mercredi après-midi, des dizaines de militants campaient toujours à Luetzerath, certains dans des cabanes dans les arbres élaborées, alors que la police se déplaçait lentement dans le village en nettoyant les barricades et une soupe populaire commune.
Les écologistes disent que raser le village au bulldozer pour agrandir la mine de charbon voisine de Garzweiler entraînerait d'énormes quantités d'émissions de gaz à effet de serre. Le gouvernement et la société de services publics RWE affirment que le charbon est nécessaire pour assurer la sécurité énergétique de l'Allemagne.
Certains militants ont exprimé une colère particulière contre le parti écologiste vert, qui fait partie des gouvernements régional et national qui ont conclu un accord avec RWE l'année dernière lui permettant de détruire le village en échange de la fin de l'utilisation du charbon d'ici 2030, plutôt que 2038.
Le vice-chancelier Robert Habeck, un écologiste qui est le ministre allemand de l'économie et du climat, a défendu l'accord comme "une bonne décision pour la protection du climat" qui répond à de nombreuses demandes des écologistes et sauve cinq autres villages de la démolition.
RépondreSupprimerLaissez-moi être sans charbon, mais pas encore
Eurointelligence a une rédaction amusante Let Me Be Coal-free, But Not Just Yet.
Les images d'hier de la police marchant sur des manifestants essayant de protéger un champ de lignite sont symptomatiques des nombreuses contradictions de la politique énergétique allemande. Ici, vous avez des ministres verts, dont Robert Habeck, qui défendent l'action de la police contre les manifestants, dont la plupart sont membres ou du moins électeurs du parti vert. L'accord sur le lignite a été négocié par les Verts eux-mêmes. Nous assistons désormais au spectacle absurde des Verts défendant la version la plus sale du charbon.
Si cela est devenu nécessaire, c'est parce que les Verts ont poussé l'ensemble de la classe politique, Angela Merkel en particulier, à une sortie précoce du nucléaire. Il ne s'agit pas seulement des trois centrales électriques qui doivent être mises hors service le 15 avril. C'est toute une industrie qui a été progressivement supprimée. Le charbon représente 31 % de la production d'électricité allemande. En 2015, il n'était que de 8 %.
La date officielle de sortie de l'électricité au charbon en Allemagne a été avancée de 2038 à 2030, mais cela s'est produit avant la guerre en Ukraine. Nous ne parierions pas sur ce calendrier. Le gaz russe bon marché a disparu et ne reviendra jamais. Le nucléaire aura disparu en avril. Parier sur la date de sortie 2030, c'est parier sur l'absence de chocs.
Ce samedi, Greta Thunberg se présentera à Lützerath, et rappellera peut-être aux Verts les nombreuses contradictions de leur propre politique énergétique. Maintenant que les Verts sont fermement ancrés au gouvernement, la politique énergétique s'enfonce de plus en plus dans un incroyable gâchis.
Vidéos de protestation
Des trucs vraiment dégoûtants
"Outre la destruction directement visible des terres, il s'agit souvent de mines de "lignite" ou de lignite qui est souvent beaucoup plus sale que le charbon noir traditionnel en termes d'émissions. C'est quelque chose de dégoûtant :"
"Le sol y est extrêmement riche en lignite, un type de charbon brun et mou, qui est connu pour être le combustible fossile le plus polluant qui soit."
RépondreSupprimerIronie du charbon
Nous devons détruire le village et extraire le type de charbon le plus sale pour sauver l'environnement.
Le vice-chancelier Robert Habeck, un écologiste qui est le ministre allemand de l'économie et du climat, a défendu l'accord comme "une bonne décision pour la protection du climat" qui répond à de nombreuses demandes des écologistes et sauve cinq autres villages de la démolition.
Quelle huée ! (Et merci Angela Merkel)
L'UE impose le plus grand système de taxe sur le carbone au monde, la folie inflationniste s'installe
Pendant ce temps, alors que l'Allemagne détruit des villes pour extraire du lignite, l'UE impose le plus grand système de taxe sur le carbone au monde, labellisé CBAM
CBAM signifie Carbon Border Adjustment Mechanism. Il s'agit d'une taxe sur les importations en provenance de pays qui brûlent du charbon pour produire des biens.
CBAM couvrira le fer et l'acier, le ciment, l'aluminium, les engrais et l'électricité,
- voir graph sur site -
Aux États-Unis, il y a une course folle pour construire plus d'usines de véhicules électriques, mais où sont les minéraux ?
Où nous obtenons le lithium, le nickel, le cobalt, le manganèse et le graphite pour construire toutes les batteries des véhicules électriques sans augmenter le coût est un mystère.
En prime, l'IRA de Biden est une violation flagrante des règles de l'OMC en raison des subventions qui poussent aux seules solutions américaines.
Ce n'est pas seulement une folie inflationniste, c'est aussi une folie environnementale.
https://www.zerohedge.com/energy/big-green-mess-germany-coal-stunning-31-electricity-production
Comment l'Europe a réduit sa consommation de gaz naturel
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 14 JANVIER 2023 - 15:55
Pour faire face aux réductions de l'approvisionnement en gaz russe depuis le début de la guerre en Ukraine, les pays de l'Union européenne s'étaient fixé pour objectif de réduire leur consommation de gaz naturel de 15 % entre août 2022 et mars 2023 par rapport à la moyenne des cinq dernières années.
En décembre, Eurostat a annoncé que l'UE était sur la bonne voie pour atteindre cet objectif, la consommation de gaz dans l'UE-27 ayant chuté d'environ 20 % sur la période août-novembre (par rapport à la moyenne 2017-2021).
Comme le détaille cette carte de Martin Armstrong de Statista, sur la période en question, la consommation de gaz a diminué dans la plupart des États membres.
- voir carte sur site -
Infographie : Comment l'Europe a réduit sa consommation de gaz naturel | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Dans 18 pays, dont l'Allemagne (-20 pour cent), la consommation a chuté au-delà de l'objectif de 15 pour cent et, dans certains cas, de manière significative : la Finlande (-53 pour cent), la Lettonie (-43 pour cent) et la Lituanie (-42 pour cent) ont vu les plus fortes baisses de consommation.
Bien qu'ils aient réduit leur utilisation de cette source d'énergie, 6 États membres n'ont pas encore atteint l'objectif de 15 %.
Dans deux pays, en revanche, la consommation de gaz naturel a augmenté : à Malte (+7 %) et en Slovaquie (presque +3 %).
https://www.zerohedge.com/energy/how-europe-reduced-its-natural-gas-consumption
Devinez qui est vraiment derrière la croisade anti-cuisinière à gaz ? Le Forum économique mondial (et leurs laquais démocrates)
RépondreSupprimervendredi 13 janvier 2023
par : Ethan Huff
(Natural News) Citant des préoccupations concernant les «polluants nocifs», la Commission américaine de sécurité des produits de consommation (CPSC) a recommandé d'interdire les cuisinières à gaz de toute nouvelle construction. Il s'avère cependant que le CPSC n'est pas à l'origine de ce dernier programme « vert » : le Forum économique mondial (WEF) l'est.
Selon la CPSC, les cuisinières à gaz sont un « risque caché pour la santé » qui nuit aux enfants. En tant que tel, le gouvernement doit interdire les appareils à essence de tout ce qui est construit dans l'ancien « pays de la liberté ».
"Les cuisinières au gaz naturel, qui sont utilisées dans environ 40 % des foyers aux États-Unis, émettent des polluants atmosphériques tels que le dioxyde d'azote, le monoxyde de carbone et les particules fines à des niveaux que l'EPA et l'Organisation mondiale de la santé ont déclaré dangereux et liés aux maladies respiratoires, problèmes cardiovasculaires, cancer et autres problèmes de santé, selon des rapports de groupes tels que l'Institute for Policy Integrity et l'American Chemical Society », a rapporté Bloomberg, citant une « étude » du CPSC sur la question.
CNN est également intervenu, rompant avec ses campagnes alarmistes habituelles, pour affirmer que «la science» s'oppose aux cuisinières à gaz – en particulier dans «un petit appartement… avec une mauvaise ventilation». Les familles avec de jeunes enfants et des cuisinières à gaz risquent de nuire aux premiers avec les seconds, insiste le géant de la fausse information.
Rien de tout cela n'est vrai, bien sûr. Le gaz est bon marché, abondant et très efficace, tandis que l'électricité, l'alternative «verte», est chère, peu fiable et très inefficace. Mais puisque le WEF et d'autres entités mondialistes veulent que le gaz devienne inaccessible à la plèbe, ils fabriquent maintenant « la science » pour affirmer que le gaz est dangereux.
(Connexe : on sait depuis des années que le fluorure cause des lésions cérébrales, mais le gouvernement n'essaie pas de l'interdire - pourquoi pas ?)
Le California Air Resources Board vote pour mettre fin à la vente d'appareils de chauffage au gaz naturel d'ici 2030
Certains États sont déjà en train d'interdire les appareils à gaz, l'un d'entre eux étant la Californie. En septembre dernier, le California Air Resources Board a voté pour mettre fin à la vente d'appareils de chauffage au gaz naturel dans l'État d'ici 2030.
La gouverneure de New York, Kathy « Karen » Hochul, tente également d'interdire tous les appareils à gaz dans les nouvelles constructions, un peu comme ce que la CPSC essaie de faire à l'échelle nationale – New York étant un autre État de gauche comme la Californie qui préfère le « vert » à la liberté.
Des politiques comme celle-ci qui visent à restreindre par la force les libertés et libertés des personnes sont largement impopulaires, même parmi les démocrates enregistrés. En les adoptant, les politiciens de gauche comme Hochul et les mondialistes du WEF ne font que dissuader le public de voter pour eux et de les soutenir.
RépondreSupprimerIls ne semblent pas s'en soucier, cependant, car ils ont apparemment l'impression qu'ils ont maintenant un contrôle total sur Nous, le peuple, et qu'ils n'ont donc même plus à essayer de voiler leurs véritables intentions pour le monde.
"Big Brother veut que vous passiez à l'électricité afin qu'ils puissent vous surveiller et mieux vous contrôler", a suggéré un commentateur à propos d'un autre motif possible ici. "Ils ne peuvent pas faire cela avec le gaz aussi facilement qu'avec l'électricité."
"Et ainsi, ils peuvent tout arracher sous vous au besoin", a répondu un autre, notant en outre qu'il est beaucoup plus facile de couper l'électricité que le gaz naturel.
Quelqu'un d'autre a souligné que «l'étude» que la CPSC cite pour affirmer que le gaz naturel est dangereux a été financée par un groupe de réflexion environnemental de gauche dont la mission déclarée est d'éliminer le gaz naturel afin de réduire les «émissions de gaz à effet de serre».
"Et évidemment, c'est dans leur intérêt financier de créer une étude qui montre pourquoi nous devons faire cela", a ajouté cette même personne. « Donc, tout cela est de la foutaise. »
Plus d'histoires comme celle-ci peuvent être trouvées sur GreenTyranny.news.
Les sources de cet article incluent :
TheGatewayPundit.com
RedState.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-01-13-anti-gas-stove-crusade-world-economic-forum.html
Qu'est-ce que l'"interdiction des cuisinières à gaz" aux États-Unis ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 14 JANVIER 2023 - 05:00
Rédigé par Kit Knightly via Off-Guardian.org,
Ce qui ressemble à de l'overeach en soi, est en fait une couverture pour quelque chose de potentiellement bien, bien pire...
L'administration Biden cherche apparemment à interdire les cuisinières à gaz, les qualifiant de "danger caché". Mais bien que cela semble assez mauvais, une plongée plus profonde montre - comme d'habitude - qu'il ne s'agit pas vraiment de ce qu'ils disent.
Parler d'interdire les cuisinières à gaz et la "qualité de l'air intérieur non réglementée" pourrait être un cheval de Troie conçu pour intégrer une technologie de surveillance encore plus "intelligente" dans votre maison.
Lançons-nous.
LES RÉCHAUDS À GAZ SONT-ILS DANGEREUX ?
Eh bien, selon Alexandria Ocasio Cortez, le New Scientist et un million d'autres points de vente et experts qui ont commencé à en parler au cours des deux derniers jours, oui.
Plus tôt cette semaine, des articles presque identiques de la National Review, Bloomberg et CNN détaillent comment la Commission américaine de sécurité des produits de consommation ouvrira "des commentaires publics sur les dangers des cuisinières à gaz cet hiver".
Les articles prétendent :
Les émissions ont été liées à la maladie, aux problèmes cardiovasculaires, au cancer et à d'autres problèmes de santé. Plus de 12 % des cas actuels d'asthme chez les enfants sont liés à l'utilisation de cuisinières à gaz, selon une étude évaluée par des pairs publiée dans l'International Journal of Environmental Research and Public Health le mois dernier.
Ce serait le bon moment pour parler de l'expression « lié à ». C'est toujours une bonne chose à rechercher dans n'importe quelle publication grand public. Les journalistes l'adorent parce qu'elle implique une causalité sans l'énoncer.
Considérez que cent pour cent des tueurs en série ont été liés à l'ingestion d'eau et au port de chaussures.
Si cette utilisation manipulatrice du langage n'était pas une preuve suffisante d'un agenda, le déploiement plutôt prématuré de la carte de course le prouve :
Le sénateur Cory Booker (D., N.J.) et le représentant Don Beyer (D., Va.) ont écrit une lettre à l'agence le mois dernier exhortant la commission à régler le problème et qualifiant les émissions nocives de "fardeau cumulatif" pour les Noirs, les Latinos et les ménages à faible revenu.
Et vous en trouverez un autre dans le résumé du rapport original sur « Cooking With Gas, Household Air Pollution, and Asthma : Little Recognized Risk for Children », publié dans le Journal of Environmental Science en avril 2021 :
RépondreSupprimerL'impact [de la cuisson au gaz] sur les enfants peut être substantiel parce que […] l'air intérieur n'est pas réglementé.
"La ventilation est l'endroit où cette discussion devrait être", après tout "la cuisson produit des émissions nocives quel que soit le type de cuisinière" et une interdiction ne répondrait pas aux "inquiétudes concernant la qualité globale de l'air intérieur" qui est actuellement "non réglementée".
Voyez-vous où cela mène ?
Il ne s'agit pas de cuisinières à gaz, ni d'asthme - il s'agit de «pollution de l'air intérieur» et, plus important encore, de la façon dont ils prévoient de la «réglementer».
Dans l'une de ces coïncidences surprenantes auxquelles nous sommes tous si habitués dans la géopolitique moderne, tout comme les États-Unis parlent de la qualité de l'air intérieur à cause des cuisinières à gaz, d'autres pays du monde font la même chose pour des raisons totalement différentes.
Singapour envisage également de nouvelles réglementations sur la qualité de l'air intérieur, mais à cause du formaldéhyde.
Le mois dernier, The Conversation publiait des articles affirmant que "la pollution de l'air intérieur tue", tandis que Sir Chris Whitty, le médecin-chef du Royaume-Uni, "exigeait des mesures contre la pollution de l'air intérieur".
Lundi, dans un article sur le style de vie du Guardian, prétendument sur les bougies parfumées, Svetlana Stevanovic qualifie la qualité de l'air intérieur de "préoccupation constante".
Il y a deux jours, The Tyee, un magazine canadien « indépendant » qui reçoit des fonds du gouvernement canadien, a publié un éditorial intitulé :
Nous avons besoin d'une révolution dans l'air intérieur pur
Qui tente de lier l'amélioration de la qualité de l'air intérieur à la "fin de Covid" (tout en veillant à suffisamment bourrer les vaccins, bien sûr).
Pas plus tard qu'hier, l'Irish Times a publié un article sur les dangers d'une mauvaise qualité de l'air intérieur.
Dans un moment plutôt intéressant, la société de technologie d'hygiène de l'air AeroClean et Molekule, un leader du marché des purificateurs d'air, ont finalisé une fusion d'actions publiques… pas plus tard qu'hier.
Il y a deux jours, il a été annoncé qu'IKEA vendrait ses propres moniteurs d'air intelligents, le même jour que Samsung a annoncé son nouveau "purificateur d'air intelligent".
Plus tôt dans la journée, le géant chinois de la technologie Xiaomi a publié un communiqué de presse sur sa nouvelle technologie de surveillance intelligente de l'air.
RépondreSupprimerUn rapport récent prévoit que le marché mondial de la technologie de surveillance de l'air atteindra près de 6 milliards de dollars au cours des trois prochaines années.
Mais je suis sûr que tout cela n'est qu'une coïncidence.
OÙ CELA MÈNE-T-IL ?
Eh bien, si je devais deviner, je suggérerais l'arrivée d'une nouvelle technologie «intelligente» qui surveillera la qualité de l'air et les émissions intérieures de gaz carbonique. Comme les compteurs d'électricité et d'eau intelligents, mais pour votre air.
Fait intéressant, le Forum économique mondial est d'accord avec moi, publiant un article sur son site Web en juillet dernier intitulé « Pollution de l'air intérieur : quelles sont ses causes et comment y faire face », qui affirme :
les polluants de l'air intérieur peuvent désormais être détectés avec des capteurs plus précis, efficaces et compacts grâce aux progrès de la technologie de détection environnementale. En conséquence, les systèmes domestiques intelligents pourraient bientôt utiliser des capteurs comme ceux-ci pour suivre la qualité de l'air intérieur et avertir le système de ventilation avant que des niveaux dangereux ne soient atteints.
Dans le cadre du "recul" de l'interdiction des poêles, ils présenteront un nouveau projet de loi qui rend les "moniteurs d'air intelligents" obligatoires dans toutes les maisons, hôtels et logements locatifs nouvellement construits.
Tout comme les compteurs d'électricité intelligents, les moniteurs d'air intelligents seraient presque certainement utilisés pour récolter d'énormes quantités de données et donner aux États ou aux entreprises la possibilité de contrôler votre maison.
Si votre "air intérieur" n'est pas assez "propre" ; Si vous utilisez trop votre poêle, brûlez trop de bougies parfumées ou émettez trop de gaz carbonique, attendez-vous à être pénalisé d'une manière ou d'une autre jusqu'à ce que vous appreniez à être plus responsable.
Plus de technologie intelligente, plus de surveillance et finalement plus de contrôle.
Ainsi, bien qu'il soit possible que la discussion sur l'interdiction des cuisinières à gaz se résolve en clichés de nouvelles taxes ou d'amendes ou d'un autre stratagème insignifiant pour escroquer le plus grand nombre de leurs salaires, les signes sont certainement là, cela pourrait être quelque chose de plus sinistre.
Pendant ce temps, attendez-vous à continuer à voir des rapports sur les cuisinières à gaz qui endommagent le climat, ou des histoires sur la mauvaise qualité de l'air intérieur qui aggrave le covid.
Les colonnes habituelles achetées et payées qui prennent en charge chaque nouveau récit normal.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/what-us-gas-stove-ban-really-about
Réchauffement climatique DEBUNKED : Une étude prédit que l'Europe deviendra PLUS FROIDE au cours des 15 à 20 prochaines années
RépondreSupprimerVendredi 13 janvier 2023
par : Belle Carter
(Natural News) Un article scientifique a montré que la température en Europe baissera légèrement au cours des 15 à 20 prochaines années. Il a également souligné que la prochaine phase de réchauffement commencera d'ici 2050, contredisant les prédictions apocalyptiques des alarmistes climatiques.
L'étude publiée le 13 juillet dernier dans NPJ Climate and Atmospheric Science a expliqué que cette baisse de température est une conséquence de la diminution de la force de l'oscillation nord-atlantique (NAO).
Fritz Vahrenholt, ancien président de la Fondation allemande pour la faune (DWS) et ancien sénateur de l'environnement de l'État allemand de Hambourg, a mis son grain de sel sur les conclusions de l'étude. Selon lui, ce cycle naturel d'affaiblissement du NAO n'a rien à voir avec le dioxyde de carbone. Le réchauffement climatique va s'arrêter avec le refroidissement de l'Atlantique Nord.
"Le temps exceptionnellement doux au début de l'année en Europe centrale a renforcé la conviction de beaucoup en Allemagne que le réchauffement climatique induit par le gaz carbonique bat son plein", a déclaré Vahrenholt.
Vahrenholt a noté que le dernier cycle solaire de 2008 à 2019 était le plus faible en 100 ans. « Jusqu'à présent, le cycle actuel s'annonce tout aussi faible. L'unidimensionnalité du débat sur le climat et l'énergie, qui culmine dans l'affirmation selon laquelle les émissions de gaz carbonique déterminent à elles seules notre climat, est assez effrayante.
L'ancien sénateur de l'environnement de Hambourg a déploré qu'aucun quotidien allemand n'ait annoncé la bonne nouvelle que le climat ne va pas faire griller la Terre. Selon Vahrenholt, la raison pour laquelle presque personne ne remet en question le faux récit du « réchauffement climatique » – quelque chose qu'il a appelé « l'illusion apocalyptique de la dernière génération » – est que les fonds des fondations américaines le financent.
"Ceux qui répriment ces nouvelles sur un refroidissement imminent se rendent complices de la destruction politiquement induite de notre communauté", a-t-il ajouté.
Les alarmistes climatiques diabolisent le gaz carbonique, "l'élixir de vie"
RépondreSupprimerContrairement à ce que prétendent les alarmistes climatiques, le gaz carbonique est en fait l'élixir de la vie. Il rend pratiquement possible toute vie sur Terre et a soutenu la croissance des plantes pendant des centaines de millions d'années. En fait, des niveaux élevés de gaz carbonique peuvent en fait aider à atténuer bon nombre des stress subis par les plantes pendant les vagues de chaleur. (Connexe : le gaz carbonique n'est pas un "polluant" responsable du réchauffement climatique, c'est l'élixir de la vie lui-même.)
« Le stress thermique peut entraîner une multitude de défis pour la croissance et la survie des plantes, notamment la déshydratation et les dommages oxydatifs des biomembranes causés par des espèces à oxygène réactif élevé. Il a été démontré que des niveaux élevés de gaz carbonique atténuent la gravité de ce stress », a déclaré Craig Idso, fondateur et PDG du Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change.
"Je célèbre le gaz carbonique non seulement pour les produits de serre qu'il nourrit, mais pour permettre et enrichir la vie sur notre planète", a déclaré Vijay Jayaraj, chercheur associé à la gaz carbonique Coalition à Arlington, en Virginie. "Diaboliser cet élixir de pratiquement tous les êtres vivants est une pure folie."
Pendant ce temps, un article évalué par des pairs a révélé que le soleil pourrait être la principale cause des températures plus chaudes au cours des dernières décennies. Ses conclusions contredisent les évaluations de l'Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) des Nations Unies selon lesquelles le gaz carbonique provenant des émissions humaines est responsable de l'augmentation des températures. Les scientifiques à l'origine de l'article ont qualifié la condamnation du gaz carbonique par l'IPCC de "prématurée", ajoutant que blâmer les émissions humaines pour le réchauffement climatique était basé sur des données étroites et incomplètes sur l'irradiance totale du soleil.
Le Dr Ronan Connolly, auteur principal de l'étude, a déclaré à Epoch Times dans une interview vidéo : « Selon les données publiées et les études que vous utilisez, vous pouvez montrer que tous les réchauffements sont causés par le soleil. Mais l'IPCC utilise un ensemble de données différent pour arriver à la conclusion opposée »,
Visitez ClimateAlarmism.news pour plus d'informations sur les fausses déclarations et prédictions des alarmistes climatiques.
Regardez le politologue Jérôme Corsi discuter de la vérité sur l'énergie, le réchauffement climatique et le changement climatique ci-dessous.
https://www.naturalnews.com/2023-01-13-study-predicts-europe-temperatures-to-get-colder.html
Le système kafkaïen de fixation du prix de l’électricité
RépondreSupprimerLe système de fixation des prix de gros de l’électricité instauré par la Commission européenne conduit à des aberrations.
le 14 janvier 2023
Claude Sicard
En 1997 la France est entrée tout naturellement dans le marché européen de l’énergie via son appartenance à l’Union européenne.
Il semble qu’on le regrette amèrement aujourd’hui du fait qu’avec la crise actuelle, le système de fixation des prix de gros de l’électricité instauré par la Commission européenne conduit à des aberrations.
Pour l’électricité il y avait en France un système de fixation du prix aux données complètement maîtrisées. À présent, il existe un dispositif qui subordonne le prix de cette énergie à des éléments sur lesquels nous n’avons aucune prise, en l’occurrence les prix du gaz et du gaz carbonique. Aussi, un expert comme Loïk Le Floch-Prigent ancien président de GDF énonce sans hésiter qu’il faudrait quitter ce marché. Et Bruno Le Maire s’interroge. Sur Public Senat, en septembre dernier, il n’a pas hésité à qualifier ce système « d’aberrant, obsolète », et il en souhaite vivement la réforme.
En attendant de voir réformé ce marché, ou d’en sortir, les petites et moyennes entreprises souffrent. Des boulangeries, grandes consommatrices d’électricité, sont conduites à la faillite. Le Figaro du 10 janvier alerte sur le fait que la consommation électrique des industriels a diminué de 14,1 % au dernier trimestre 2022 en comparaison avec la moyenne 2018-2021. Le gouvernement ne cesse donc pas d’intervenir pour tenter de protéger tant les consommateurs privés que les entreprises des effets de ces prix atteignant des sommets. Un article du journal Le Monde du 28 âout 2022 rappelle qu’en 10 ans, les tarifs sont passés de 120 à 190 euros et que les coûts pour livraison en 2023 culminent à près de 1100 euros le MWh, soit dix fois plus qu’il y a un an.
Quelle est exactement la situation de la France ? Comment fonctionne le marché européen de l’électricité ?
La situation de la France
La France est un pays au mix énergétique particulièrement apte à fournir les prix les plus compétitifs de l’électricité :
La France a la particularité de disposer d’un parc très important de centrales nucléaires. Sa géographie a permis la mise en œuvre de très nombreux barrage hydro-électriques. Aussi, chaque année, sa production d’électricité est-elle supérieure à sa consommation : en 2021 elle s’est élevée à 522,9 TWh, et la consommation à 456 TWH.
Le pays est donc structurellement exportateur d’électricité. Mais dans l’année, des pointes de consommation particulièrement élevées obligent pendant quelques jours à importater l’électricité de pays voisins interconnectés par des réseaux à haute tension. En 2021, notre pays a exporté 81,0 TWh d’électricité et en a importé 44,0. Au total, cette année-là, les importations ont représenté 9,4 % des besoins du pays.
En 2021, la production (en TW) était constituée de la façon suivante :
RépondreSupprimerNucléaire……………. 360,7
Hydraulique………….. 62,5
Thermique fossile….. 38,6
Éolien………………… 36,8
Solaire……………….. 14,3
Autres thermiques…. 10,0
Total……………………522,9
En coûts de production (par MWh), les rapports des experts citent les chiffres suivants :
Énergie nucléaire………. 32 à 33 euros
Hydraulique……………… 15 à 20 euros
Éolien terrestre………….. 90 euros
Solaire………………….142 euros
Thermique……………….. 70 à 100 euros
On en arrive ainsi à un coût pondéré de production de 46 euros/MWh. C’est bien l’estimation donnée par Loïk Le Floch-Prigent interrogé sur RMC le 7 décembre dernier :
« Les industriels baissent leur production : je ne vois pas ce qu’il y a de réjouissant. À cause de l’augmentation du coût de l’électricité on a des entreprises qui vont devoir payer 5 à 6 fois plus que d’habitude le prix de leur électricité… Pourquoi est-ce qu’un produit que l’on fait à 50 euros se retrouve dans l’industrie à 600 euros ? »
Autre avantage du système français : le nucléaire intervenant pour près de 70 % dans le mix énergétique et les renouvelables pour 22,5 %, les émissions de gaz carbonique sont limitées à 18,8 Mt seulement en 2021..
La France est contrainte de mettre un terme aux monopoles de l’EDF et de Gaz de France :
À partir de 1996 la destruction des monopoles publics a été menée tambour battant par la Commission européenne au nom de la politique de la concurrence de l’Union européenne.
Il a donc été mis un terme au monopole de EDF : la loi NOME (Nouvelle organisation des marchés de l’électricité) du 7 décembre 2010 contraint la grande entreprise nationale à vendre chaque année 100 TWh d’électricité à des « fournisseurs alternatifs » qui n’en produisent pas, au prix de 42 euros le MWh. Ce mécanisme baptisé l’ARENH (Accès régulé à l’électricité nucléaire historique). Ces nouvelles entreprises soudain apparues achètent donc à EDF de l’électricité à 42 euros pour la revendre ensuite au public ou aux entreprises en faisant concurrence à leur fournisseur, c’est-à-dire à EDF. En complément elles vont s’approvisionner sur le marché de gros européen (EPEX Spot SE ) à mesure qu’augmente leur clientèle. Elles sont une trentaine actuellement une trentaine : Total Énergie, Planète Oui, ENI, Ekwateur, Happ-e, Cdiscount Energie, etc. En 2022 le quota de 100 TWh a été revu à la hausse, passant à 120 TWh avec un prix de cession porté à 46,5 euros.
Et ces différents fournisseurs alternatifs se sont à leur tour dotés de moyens de production, s’équipant en centrales photovoltaïques et en parcs d’éoliennes.
Le marché européen de l’électricité
Le marché européen de l’électricité a été créé avec pour objectif de mettre en place le même mécanisme de formation des prix de gros de l’électricité dans tous les pays européens.
On a voulu créer un prix de gros commun quels que soient les coûts de production nationaux. Le prix de gros est donné par le coût de la dernière centrale appelée pour produire l’électricité dont le marché a besoin, une centrale qui va fonctionner au gaz. Ainsi le prix de gros de l’électricité se trouve déterminé par le prix du gaz, un prix considérablement variable dans le temps. Il y a eu le choc gazier de l’après covid, puis à partir du 24 février 2022 le choc de la guerre en Ukraine.
Les prix du gaz naturel ont ainsi connu des variations considérables : de 17,9 euros/MWh en janvier 2021 à 103,2 en fin d’année ; puis une pointe à 272,6 euros le 22 août 2022 ; pour revenir ensuite à des prix plus normaux : 134,7 euros en fin d’année. Actuellement, les niveaux sont plus raisonnables, soit par exemple 74,3 euros le 9 janvier 2023. Et vient s’ajouter dans le coût de fonctionnement d’une centrale alimentée au gaz le prix du gaz carbonique émis qui va régulièrement en croissant.
RépondreSupprimerOn a ainsi vu le prix de gros de l’électricité varie donc considérablement et atteint des sommets astronomiques comme indiqué ci-dessous :
Prix spot de l’électricité : marché de gros en euro/MWh
décembre 2020..… 49,2311
août 2021………….. 99,1721
décembre 2021….. 442,888
mars 2022…….….. 540,6630
août 2022……….… 743,8427
octobre 2022…….. 121,6713
décembre 2022….. 463,4610
janvier 2023……….. 128,08
Les niveaux d’avant crise n’ont donc pas été atteints.
Les entreprises ont vu ainsi les prix de l’électricité multipliés par 7 ou 8 et parfois davantage encore. Le prix de l’énergie représente près de la moitié de leur facture, les autres charges étant constituées par le coût de l’acheminement et la fiscalité, c’est-à-dire des taxes diverses et la TVA. Les contrats sont passés pour des périodes annuelles voire biannuelles et les fournisseurs ne manquent pas de prendre leurs précautions au moment où leurs clients doivent renouveler leur contrat.
Du fait de ces variations de prix à partir du nucléaire ou des énergies renouvelables les producteurs réalisent à certains moments des profits importants et les États interviennent alors pour les taxer à partir d’un cours convenu, fixé à 180 euros. Ces superprofits sont reversés ensuite aux particuliers et aux entreprises.
Quelle solution demain pour la France ?
L’Europe a créé un marché unique de l’électricité au niveau européen pour faire baisser les prix et orienter les mix énergétiques des États membres vers les énergies renouvelables.
Elle a mis fin aux monopoles : EDF en France, ENEC en Italie, EnBW en Allemagne.
Trois bourses de marché de gros ont été créées : Nord Pool pour les pays du nord, European Energy Exchange (EEX) en Allemagne et Power Next en France.
En 2008 les bourses allemande et française ont fusionné pour donner EPEX Spot.
RépondreSupprimerAujourd’hui, il y a une zone de prix unique constituée par l’Allemagne, la France et l’Autriche. La CRE (Commission de régulation de l’énergie) veille au bon fonctionnement de ces marchés en cohérence avec les objectifs de la politique énergétique de l’Union européenne. Sur ces marchés de gros les prix sont fixés pour des livraisons instantanées ou à terme. Le système actuel se fonde donc sur le coût de production de la dernière centrale appelée à être mise en marche pour satisfaire les besoins du marché. Il s’agit d’un coût marginal, le coût de production de la centrale venant en dernier sur la liste des centrales classées par ordre croissant de coût : en plaçant les prix de gros de l’électricité à ce niveau la Commission européenne a estimé que tous les producteurs d’électricité seraient satisfaits.
Du fait des inconvénients résultant du fonctionnement de ce marché de gros on s’interroge, aujourd’hui sur la validité de ce système de fixation des prix de l’électricité, et on réfléchit à la façon de le réformer.
En France plusieurs experts, dont Loïk Le Floch-Prigent sont partisans d’en sortir.
Dans un communiqué du Groupement des Industries sans Frontières en date du 9 janvier 2023 Loïc Le Floch-Prigent nous dit :
« Il faut casser cette spirale infernale qui va tuer l’essentiel de notre tissu d’entreprises : il nous faut revenir aux relations directes entre les producteurs et les clients avec une politique tarifaire tenant compte de l’offre et de la demande et pour cela affirmer notre position à l’égard des instances européennes. Les entreprises n’ont pas besoin d’aides, de subventions, de rustines aléatoires ».
En effet, la France n’est pas dans la situation des autres pays européens pour lesquels le gaz et le charbon interviennent à 28 % dans la production d’électricité, le mix ne faisant intervenir le gaz que pour 2,25 % seulement et le charbon pour 0,9 %, tout au plus.
Le professeur Jacques Percebois, directeur du CREDEN à Montpellier, propose de ne plus respecter les directives européennes :
« On pourrait faire un marché national où le prix dépendrait de notre propre mix énergétique, et limiter le marché de gros aux interconnexions ».
Il propose éventuellement une autre solution : se baser sur une moyenne pondérée des coûts marginaux.
Un autre expert, Nicolas Goldberg du cabinet Colombus Consulting avance l’idée qu’il faudrait imposer aux fournisseurs d’électricité des règles prudentielles pour qu’ils se couvrent à long terme et soient ainsi moins sujets aux soubresauts du marché.
De leur côté les européanistes plaident pour que la France demeure dans le système européen mais cen le réformant : « Si on remet en cause le marché de l’électricité, on remet en cause tous les marchés européens » (Anna Creti).
Sous la pression de la France Ursula van der Leyen a finalement annoncé début avril 2022 que l’Union européenne allait plancher sur une reforme structurelle de ce marché.
RépondreSupprimerUn colloque intitulé « Beyond the crisis : rethinking the design of power-markets » a été organisé par la présidente de la CRE le 15 décembre dernier à Paris à la maison de la Chimie pour tenter de trouver une solution. Mais si elle devait se faire, cette réforme demanderait beaucoup de temps, tant les processus de décision européens sont lourds et complexes.
La France a la chance de disposer d’un mix énergétique exceptionnel permettant de produire de l’électricité à 50 euros le MWh, une production extrêmement basse en émissions de gaz carbonique.
Pourquoi devrait-elle donc entrer dans un système de fixation des prix fondé sur le cours mondial du gaz naturel alors qu’elle même n’en utilise pratiquement pas pour produire de l’électricité ?
Il est peu probable que nos gouvernants aient la volonté de cesser de nous soumettre aux hautes autorités de Bruxelles en faisant bande à part : ce n’est pas dans le tropisme européen de notre Président.
La nécessité de réindustrialiser le pays aujourd’hui le plus désindustrialisé de tous les pays européens, la Grèce mise à part, devrait nous permettre de quitter le système kafkaïen de fixation du prix de cette énergie dans lequel nous sommes enfermés sans que Bruxelles s’en émeuve : il s’agit d’une énergie vitale dont la France est capable de maitriser le coût pour le bien-être des consommateurs et le bon fonctionnement des entreprises. L’Espagne a trouvé une solution pour échapper au système européen, et il est à espérer que nos dirigeants soient assez rusés pour trouver la notre.
https://www.contrepoints.org/2023/01/14/448128-le-systeme-kafkaien-de-fixation-du-prix-de-lelectricite
N'oublions pas que nous vivons sur... 'le plancher des vaches' !!
SupprimerLes appareils les plus chers et les moins chers à utiliser par région
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 14 JANVIER 2023 - 04:00
Les prix de gros de l'électricité ont bondi l'an dernier et constituent un autre fardeau financier pour le porte-monnaie des consommateurs. Une nouvelle étude décompose les appareils électroménagers les moins chers et les plus chers à utiliser en fonction de la région géographique.
Jonathan Merry, PDG de MoneyTransfers, a révélé que les plus gros consommateurs d'électricité dans les foyers américains sont les climatiseurs. L'unité AC moyenne coûte aux consommateurs jusqu'à 1 062 $ par an. Bien que le coût par kilowatt diffère de quelques centimes à travers le pays, cela peut se traduire par des économies de coûts par région.
Par exemple, les consommateurs du Midwest qui font fonctionner des climatiseurs huit heures par jour ont le plus profité de la baisse des prix de l'électricité et ont vu leur facture d'énergie réduite de 200 $ par rapport à ceux de l'Ouest, avec un coût annuel moyen de 826 $.
Les radiateurs électriques, les sèche-linge, les lave-linge, les réfrigérateurs-congélateurs et les lave-vaisselle sont les autres appareils qui coûtent le plus cher à faire fonctionner, mais il y a des avantages en termes de coûts à vivre dans certaines régions du pays où les appareils sont moins chers à faire fonctionner.
Un autre exemple des économies réalisées en vivant sur un réseau électrique moins cher est un sèche-linge qui coûte jusqu'à 8,64 $ par mois dans l'Ouest, mais seulement 6,72 $ par mois dans le Midwest.
Les appareils les moins chers et les plus chers à faire fonctionner par an et par région.
- voir cadre sur site -
Et les coûts mensuels moyens pour faire fonctionner les appareils par région des États-Unis.
- voir cadre sur site -
"De nombreux ménages cherchent des moyens d'économiser de l'argent sur leurs factures d'énergie au milieu de la hausse du coût de la vie dans le monde - et nous espérons que ces données éduqueront les gens sur les appareils électroménagers quotidiens qui ont le plus grand impact sur la consommation d'énergie", a déclaré Merry.
https://www.zerohedge.com/markets/most-expensive-and-cheapest-appliances-use-region
Réexamen des forages glaciaires antarctiques
RépondreSupprimerle 14 janvier 2023
Comme exposé dans un récent billet la période interglaciaire est d’une durée plus courte que la période glaciaire elle-même comme le rappelle l’illustration ci-dessous. Comme on peut le remarquer les pics culminants des périodes interglaciaires 320 000 ans, 240 000 ans et 125 000 ans avant nos jours sont très courts, de l’ordre de 20 000 ans. La dernière période interglaciaire, actuelle c’est-à-dire que nous vivons aujourd’hui semble présenter un pic qui débuta il y a environ 13 000 ans (période du Dryas récent) et les incertitudes, comme cela était rappelé dans ce billet sont le résultat d’une stabilisation toujours en cours de la partie supérieure de la glace prélevée par carottage au Groenland et en Antarctique. Cette incertitude paraissait difficile à lever jusqu’à la publication ce 11 janvier 2023 de travaux réalisés à l’Institut de Recherche Arctique et Alpine de l’Université du Colorado à Boulder sous la direction du Docteur Tyler R. Jones que je vais tenter d’exposer ici.
- voir graph sur site -
Des forages réalisés dans l’Antarctique de l’Ouest ont été réexaminés très finement, c’est-à-dire millimètre par millimètre depuis la surface des carottages afin de différencier par exemple les couches de glace issues directement de la chute de neige et également du dégel de la partie superficielle au cours de l’été austral suivi à nouveau d’un gel au cours de l’hiver austral. L’évolution des températures a été corrélée à l’abondance de l’isotope lourd de l’hydrogène (deutérium) et les dépôts éoliens ont également pris en compte au cours des analyses. Les chutes de neige étant étroitement liées au taux d’humidité de l’air, d’une part, et aux fluctuations des températures de surface de l’Océan Antarctique lors du cycle saisonnier, d’autre part, deux paramètres liés entre eux à l’évidence, le transfert d’énergie thermique entre cet océan et la calotte glaciaire a pu être évalué. Ce type de reconstruction bénéficie du fait qu’il existe une saison avec ensoleillement maximal suivie d’une nuit polaire avec une transition relativement courte. Sur ce dernier point apparaissait un autre problème résidant dans la diffusion des gaz dissous dans la neige non encore compactée au cours de l’alternance saisonnière soleil-obscurité. C’est ce point qui a occupé les glaciologues de l’Université de Boulder. Il s’agissait de déterminer l’origine des gaz emprisonnés par la neige en calculant leur diffusion dans la glace en cours de formation ainsi que l’éventuelle stratification de l’eau légère et de l’eau deutérée. Ce paramètre a été déterminé en extrapolant les résultats obtenus sur des fenêtres consécutives glissantes de 140 ans de durée. En transposant les amplitudes de variation isotopiques saisonnières de la glace en variation de la température de surface de l’Océan entourant le continent Antarctique il est devenu possible de procéder à une analyse fine de la couche superficielle de glace non encore totalement compactée sur les 15 000 dernières années.Il s’agit précisément de cette période d’incertitude mal étudiée jusqu’à ce jour.
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RépondreSupprimerCes modèles ont permis d’atteindre une remarquable résolution comme illustré par la figure ci-dessus tirée de l’article de la revue Nature, en accès libre : https://www.nature.com/articles/s41586-022-05411-8 .Les figures sont extraites de la Fig.1 de l’article cité. La première est une illustration des variations saisonnières du taux de deutérium δD exprimé en ‰ sur l’intervalle de temps 5010-5000 ans avant aujourd’hui. On constate que la modélisation permet de différencier la variation de température entre la saison ensoleillée, l’été austral, et la saison hivernale sans soleil avec correction de la diffusion selon le modèle obtenu à l’Université de Boulder. La partie droite de l’illustration est l’amplitude annuelle du δD en ‰ sur la totalité de l’intervalle de temps 11000 ans jusqu’à aujourd’hui. Cette moyenne globale est exprimée pour chaque intervalle de 50 années : (moyenne estivale moins moyenne hivernale)/2. Il faut noter que le δO18 reste relativement négligeable dans l’Antarctique dont les eaux océaniques sont froides, ce qui n’est pas le cas pour la calotte glaciaire du Groenland. En d’autres termes l’enrichissement relatif en oxygène-18 également exprimé en ‰ est faible dans l’Antarctique.
L’autre illustration toujours extraite de la fig.1 du même article est la représentation globale détaillée de la partie droite de l’illustration précédente. Le profil c en rouge est la moyenne des maxima de δD l’été, en bleu des δD l’hiver et en violet la moyenne de ces deux profils (été – hiver)/2 la barre horizontale étant la moyenne des δD durant toute cette période. Il est important d’insister sur le fait que ces δD ne sont qu’une image des températures de surface de l’Océan Antarctique, plus cet océan est chaud, plus l’évaporation de l’eau contenant du deutérium est favorisée. Il s’agit d’une grande sans dimension puisqu’elle est exprimée en ‰. Que signifie ce résultat qui lève enfin l’incertitude soulignée dans la première illustration de ce billet ? Onze-mille années avant aujourd’hui : il s’agissait de la fin du Dryas récent, une période de réchauffement très brusque qui provoqua une montée du niveau des océans de plus de 60 mètres, la période de réchauffement précédente (Dryas moyen) ayant, elle, provoqué une montée de ce niveau des océans de d’environ 60 mètres également par rapport au minimum de la période glaciaire. Le Dryas récent correspond également aux premières implantations de l’agriculture au Moyen-Orient.
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Cette reconstruction détaille l’évolution du climat durant les 11 000 dernières années à partir des forages glaciaires exclusivement et elle corrobore les résultats obtenus avec d’autres « proxys » dont en particulier les sédiments lacustres et marins. Cette reconstruction ne met pas en évidence l’optimum climatique de l’Holocène (8 000-4 000 ans) qui favorisa le verdissement du Sahara mais par contre elle confirme le lent refroidissement qui a été débuté il y a environ 2000 ans. L’Océan Antarctique reflète-il l’évolution du climat dans le reste de la planète ? La question mérite d’être posée car d’autres études ont montré que depuis la fin de l’optimum climatique de l’Holocène la Terre semble avoir amorcé un refroidissement continu seulement depuis 2000 ans. Ces deux mille années de climat favorable ont permis l’explosion de l’humanité telle qu’on la connaît aujourd’hui mais il ne faut pas se méprendre, cet optimum climatique actuel ne durera pas : il faut songer à ce qui s’est passé à la surface de notre planète par le passé. Il y a toujours eu beaucoup plus de périodes très froides que d’épisodes tels que celui que l’on connaît aujourd’hui. L’humanité ne commencera à ressentir les effets de l’entrée dans une nouvelle ère glaciaire que dans une cinquantaine d’années au plus tôt …
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2023/01/14/reexamen-des-forages-glaciaires-antarctiques/
Pourquoi cette faible 'saison' de froid ? Parce que le magma est le magma. La masse ferrique incandescente est une 'cocotte-minute' qui évacue la pression de temps à autres. Elle n'est pas éteinte loin s'en faut mais fait juste 'une 'pause'.
Supprimer(...) Onze-mille années avant aujourd’hui : il s’agissait de la fin du Dryas récent, une période de réchauffement très brusque qui provoqua une montée du niveau des océans de plus de 60 mètres, la période de réchauffement précédente (Dryas moyen) ayant, elle, provoqué une montée de ce niveau des océans de d’environ 60 mètres également par rapport au minimum de la période glaciaire. (...)
Notre étoile (pas encore appelée 'Terre') reçue 'un beau jour' une boule glace en pleine gueule ! ÔH PUTAING ! et donc s'efforça de s'en défaire en la séparant (continent Américain et EuropeAsieAfrique)
Donc, cette glace ensevelissante a fondu et a donné l'eau maritime et océanique (donc la hauteur de la glace devenue eau a descendue). Donc, les continents s'éloignant au fils des siècles, firent que la hauteur des eaux descendit ! Çà alors ! Bêh ouais.
Faut réfléchir aux soubresauts (tremblements de terre et formations de montagnes) qui ont porté l'eau glacée a haute altitude puis, fondant, l'eau s'est stabilisée puis descendue au fil des siècles par les éloignement des monts (Amérique/EuropeAsieAfrique).
MÉTÉO EXTRÊME: Ce week-end, la Californie s’attend à des inondations catastrophiques
RépondreSupprimerL’État de l’Ouest américain, balayé depuis trois semaines par une vague de tempêtes qui ont déjà fait une vingtaine de morts, va se retrouver sous les eaux en raison de nouvelles pluies.
14 janvier 2023, 09:30
La rivière Salinas, déjà gonflée par des semaines de pluies torrentielles, devait atteindre son niveau maximal vendredi, sortant de son lit et provoquant une inondation qui pourrait durer jusqu’à dimanche.
Dans la ville d’Atwater, au sud-est de San Francisco, des quartiers entiers sont sous les eaux suite à la série de tempête qui balaye la Californie depuis trois semaines.
À Spreckels, la poste a dû fermer en raison des ordres d’évacuation édictés par les autorités californiennes.
Des milliers d’habitants ont dû évacuer leurs maisons en raison de la montée des eaux, comme ici à Merced.
Les intenses précipitations ont fragilisé le terrain, faisant s’effondrer des pans de route, comme ici dans le quartier de Chatsworth, au nord de Los Angeles.
Le centre de la Californie risque de subir des inondations catastrophiques ce week-end, selon les météorologues, au moment où une huitième tempête consécutive s’abat sur des sols détrempés, incapables d’absorber de nouvelles pluies. L’État le plus peuplé des États-Unis est frappé depuis trois semaines par des précipitations frisant des records historiques. Entre inondations, glissements de terrain, vastes pannes de courant et chutes d’arbres, cette série de tempêtes a fait au moins 19 morts.
Un nouveau système dépressionnaire a touché la Californie vendredi et les autorités du centre de l’État sont particulièrement inquiètes. Selon les prévisions, la péninsule de Monterey pourrait se retrouver coupée du monde à cause de la montée des flots, et toute la ville de Salinas, qui compte 160’000 habitants, pourrait être inondée.
«Toute la partie basse de la vallée de Salinas va connaître des inondations catastrophiques», a averti le service météorologique américain (NWS). «Toute la ville de Salinas risque d’être inondée. La majeure partie de Castroville sera inondée. Toutes les routes près de la rivière Salinas seront inondées et impraticables», et plus de 36’000 hectares de terres agricoles devraient se retrouver sous l’eau, a-t-il ajouté.
La péninsule de Monterey pourrait devenir une île
La rivière Salinas, déjà gonflée par des semaines de pluies torrentielles, devait atteindre son niveau maximal vendredi, sortant de son lit et provoquant une inondation qui pourrait durer jusqu’à dimanche. Plusieurs zones de la région sont sous le coup d’ordres d’évacuation, et la péninsule de Monterey pourrait se retrouver coupée du monde si les routes sont coupées par les flots. «Les habitants de la péninsule et de la région de Salinas doivent s’attendre à être isolés pendant deux ou trois jours», ont averti les autorités du comté de Monterey en début de semaine.
«La péninsule de Monterey pourrait devenir une île» à cause des crues, a prévenu la shérif locale, Tina Nieto, en demandant aux habitants de se préparer pour éviter de se retrouver piégés par les crues. «Il s’agit d’un événement à évolution lente» et tous les endroits ne seront pas touchés en même temps, a-t-elle expliqué.
RépondreSupprimerUn déluge après l’autre
Une série de tempêtes s’est abattue sur la Californie ces dernières semaines. Les accalmies sont de courte durée et donnent à peine le temps aux autorités de nettoyer les dégâts avant le déluge suivant. Des centaines de milliers de foyers et d’entreprises ont été privées d’électricité à différents moments. Et ce n’est pas fini, selon les météorologues.
Dans les montagnes, ces précipitations se traduisent par d’importantes chutes de neige, avec plus d’un mètre attendu au cours du week-end dans la Sierra Nevada. De quoi rendre les déplacements dangereux ou impossibles.
Cadavres charriés par les crues
La Californie est habituée aux conditions météo extrêmes, et les tempêtes hivernales sont courantes. Mais un tel enchaînement de déluge est en revanche hors du commun. Au moins 19 personnes sont mortes depuis le début de cette série noire. Des conducteurs ont notamment été retrouvés dans leurs voitures piégées par les flots, des personnes frappées par des chutes d’arbres, un couple a été tué par un éboulement et des cadavres ont été charriés par les crues.
S’il est difficile d’établir un lien direct entre ces tempêtes en série et le changement climatique, les scientifiques expliquent régulièrement que le réchauffement augmente la fréquence et l’intensité des phénomènes météorologiques extrêmes.
https://www.lematin.ch/story/ce-week-end-la-californie-sattend-a-des-inondations-catastrophiques-915829694801
Salinas est à 250 km au Nord de Los Angeles et à 80 km au Sud de SF.
SupprimerLe président de la COP28 appelle à réduire les gaz carbonique, pas le pétrole
RépondreSupprimer«Continuons à nous concentrer sur le fait de freiner les émissions, pas le progrès», a déclaré samedi Sultan al-Jaber, qui dirige également la compagnie pétrolière des Emirats.
14 janvier 2023, 14:37
Sultan al-Jaber, patron d’un géant pétrolier du Golfe, a appelé samedi à «se focaliser» sur la réduction des émissions de gaz carbonique, sans s’en prendre au «progrès», c’est-à-dire l’industrie des énergies, deux jours après des critiques suscitées par sa désignation comme président de la COP28.
«Tournant historique»
PDG d’ADNOC (Abu Dhabi National Oil Company), la compagnie pétrolière nationale des Emirats arabes unis, Sultan al-Jaber a été désigné jeudi président de la conférence de l’ONU sur le climat prévue cette année dans le riche Etat du Golfe. «Nous sommes à un tournant historique. Une croissance avec de moindre émission de gaz carbonique, est l’avenir», a déclaré Sultan al-Jaber, également ministre de l’Industrie de son pays.
«Nous travaillons avec l’industrie énergétique pour accélérer la décarbonisation en réduisant le méthane et en développant l’hydrogène», a-t-il ajouté lors d’un forum sur l’énergie à Abou Dhabi, la capitale des Emirats. «Continuons à nous concentrer sur le fait de freiner les émissions, pas le progrès». Avec une augmentation prévue de la population mondiale, et la demande accrue en énergie qu’elle implique, «tant que le monde utilisera des hydrocarbures, nous devrons veiller à ce qu’ils aient la plus faible intensité en carbone possible», a dit le responsable émirati.
«Sens aigu des responsabilités»
Poids lourd des émissions de gaz carbonique, les pétroliers mettent parfois en avant la possibilité de réduire leur empreinte carbone sans pour autant mettre à mal la production d’or noir. Mais, à l’instar de nombreux défenseurs de l’environnement, le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a estimé «qu’il n’y a aucun moyen d'éviter une catastrophe climatique sans mettre fin» à la dépendance aux combustibles fossiles.
Envoyé spécial de son pays pour le changement climatique, Sultan al-Jaber a par ailleurs cherché à se montrer rassurant face aux scepticisme suscité par sa désignation comme président de la COP28, qui se tiendra en novembre et décembre à Dubaï, le plus influent émirat du pays. «Les Emirats arabes unis envisagent cette tâche avec humilité, un sens aigu des responsabilités et un grand sentiment d’urgence», a-t-il assuré, qualifiant la lutte contre le changement climatique de «centrale» pour son pays, risquant d’être particulièrement affecté, comme toute la région très chaude du Golfe, riche en hydrocarbures. Sultan al-Jaber est aussi à la tête de Masdar, l’entreprise émiratie d’énergies renouvelables.
RépondreSupprimer«Dans un rêve»
Les Emirats ont envoyé le plus grand contingent de lobbyistes de l’industrie à la COP27 organisée en novembre en Egypte. Cette édition a permis l’adoption d’une résolution sur l’indemnisation des pays les plus pauvres pour les dégâts causés par le changement climatique. Mais elle n’a pas réussi à faire progresser la réduction des émissions de gaz à effet de serre, pour maintenir l’objectif de limiter le réchauffement de la planète. Et la question d’une moindre utilisation des énergies fossiles a été à peine mentionnée dans les textes.
S’exprimant lors du même forum, le ministre qatari de l’Energie, Saad Sherida Al-Kaabi a lui aussi défendu le secteur des hydrocarbures, estimant que les défenseurs des énergies vertes manquaient de «réalisme». Selon lui, ils «vivaient dans un rêve» qu’ils n’ont pas pu «réaliser». Face au changement climatique, «nous devons être réalistes quant à ce que nous pouvons réaliser», a-t-il estimé, alors que le Qatar a été largement convoité ces derniers mois par les pays européens cherchant à se passer du gaz russe. Selon le ministre qatari, également patron de QatarEnergy, la compagnie nationale du riche émirat gazier du Golfe, le gaz russe pourrait d’ailleurs «revenir en Europe» même si «les Européens disent aujourd’hui qu’il n’en est pas question».
https://www.lematin.ch/story/le-president-de-la-cop28-appelle-a-reduire-les-co2-pas-le-petrole-595479955144
HAHAHAHAHAHA !
SupprimerLe Sultan al-Jaber, qui dirige également la compagnie pétrolière des Emirats ne sait MÊME PAS que TOUS LES GAZ SE RECYCLENT IMMÉDIATEMENT dans l'atmosphère ou dans l'eau !!
Le gaz carbonique se dissout dans l'eau grâce au phytoplancton et devient une nano-particule de carbone (charbon).
Pas de trains, pas d'avions, pas d'automobiles et PAS DE GAZ - Bienvenue dans l'utopie démocrate DE-CIVILISATION
RépondreSupprimervendredi 13 janvier 2023
par : Mike Adams
(Natural News) Alors que les démocrates poussent désormais de manière agressive une campagne coordonnée de pornographie effrayante pour tenter de convaincre les Américains que les cuisinières à gaz sont soudainement mortelles et doivent être interdites, les soi-disant «progressistes» ont consolidé leur position comme étant anti-progrès. En fait, ils sont anti-civilisation, et ils veulent enlever le feu et tout ce qui brûle : cuisinières, véhicules, armes à feu, fournaises, etc.
De plus, dans certains États contrôlés par les démocrates, vous n'avez plus le droit de tirer la chasse d'eau d'une capacité normale. Les restrictions d'eau nécessitent des toilettes à faible débit qui font à peine le travail, et si vous installez des toilettes ordinaires, vous risquez des amendes punitives.
La gouverneure de New York Hochul vient d'annoncer qu'elle veut interdire toutes les cuisinières à gaz d'ici 2030, obligeant les New-Yorkais à passer aux cuisinières électriques. Mais comme le réseau électrique tombe en panne lors de nombreuses tempêtes, une telle décision laisserait potentiellement des millions de New-Yorkais sans aucun moyen de cuisiner ou de se chauffer pendant les pannes de tempête. Cela ne ferait qu'aggraver la crise de santé publique / sécurité publique qui semble suivre chaque tempête de neige majeure ou événement météorologique radical.
En Californie, le gouverneur Newsom a annoncé que les ventes de véhicules à moteur à combustion seront interdites d'ici 2035. L'État de Washington les interdira d'ici 2030. À New York, une interdiction similaire entrera en vigueur en 2035. Dans ces États et d'autres, les options de transport seront s'effondrer, laissant aux particuliers et aux entreprises peu d'options pratiques tout en surchargeant le réseau électrique au point de s'effondrer, grâce à la fois aux gammes électriques et aux véhicules électriques attirant une forte demande de puissance sur une infrastructure de réseau électrique terne.
Les démocrates font reculer leurs États au 18e siècle
Au fur et à mesure que les interdictions s'accumulent, il ne faut pas longtemps pour se rendre compte que les États dirigés par les démocrates sont engagés dans des reculs de la démocratisation des avancées modernes. Ils enlèvent les moteurs à combustion, les sources d'énergie propres comme le gaz naturel et une abondance d'eau fiable. Cela va produire une nation à deux niveaux où :
Les États BLEUS seront des enfers arriérés, effondrés, en proie à la criminalité avec très peu d'accès aux sources d'énergie fonctionnelles, aux transports, au chauffage, à la climatisation, aux aliments d'épicerie ou à d'autres nécessités de base. Avec le départ des producteurs, leurs économies s'effondreront, peuplées de bénéficiaires de l'aide sociale, de criminels, de toxicomanes et de tous ceux qui sont trop pauvres pour s'offrir un moyen de fuir.
Les États RED seront avancés, modernes et hautement souhaitables, avec un accès abondant à l'énergie, aux véhicules, à l'essence abordable, à l'eau, aux transports, à la nourriture et plus encore. Les économies se développeront rapidement avec la disponibilité de l'énergie et l'importation d'entrepreneurs et de travailleurs qui fuient les États bleus en train de s'effondrer.
Vivre dans un État bleu ressemblera bientôt beaucoup à vivre au XVIIIe siècle, tandis que les États rouges fonctionneront comme des sociétés modernes et prospères avec tous les avantages de l'électricité, de l'énergie, des transports modernes, du chauffage, de la cuisine, de l'eau et d'autres ressources.
Dans un monde d'avions, de trains et d'automobiles, en d'autres termes, les États dirigés par les démocrates sont déterminés à n'avoir PAS d'avions, PAS de trains et PAS d'automobiles. Juste des masses d'électeurs asservis, censurés, obéissants et vaccinés qui sont effectivement emprisonnés dans des camps de prisonniers géants de la taille d'un État.
RépondreSupprimerDans les années 1980, il y avait un grand film mettant en vedette Steve Martin et John Candy appelé Planes, Trains and Automobiles. Aujourd'hui, ce film mettrait en vedette AOC et Al Gore et s'intitulera PAS d'avions, PAS de trains et PAS d'automobiles :
Fuyez les États des camps de prisonniers ou créez votre propre nouvel État si vous espérez survivre
Tout cela explique pourquoi tant de personnes fuient des États contrôlés par les démocrates comme la Californie, New York et l'Illinois. Toute entité dirigée par des démocrates – une ville, un comté ou un État – s'effondrera en ruine, en proie à des crimes violents, à l'itinérance, à une toxicomanie endémique, à la corruption et au désespoir. Aucune vie n'est durable sous le régime démocrate, car ce sont des destructeurs de la civilisation (et des familles, de la logique, de la raison, de la langue, de l'argent, de l'équité, de la connaissance, de la liberté, de la vie privée, etc.). Ceux qui souhaitent vivre avec quelque chose qui ressemble à la liberté et à l'abondance devront soit fuir les États bleus, soit s'en séparer et former leurs propres nouveaux États (comme l'effort de la Nouvelle Californie déjà en cours).
Ne pas fuir signifiera être aspiré dans le vortex de destruction et de malheur que les Dems embrassent maintenant. Avec la montée en flèche des crimes violents dans les villes contrôlées par les Dem, même les détaillants d'épicerie ferment et sortent, laissant de nombreuses zones de ces villes avec peu d'options alimentaires. À New York, par exemple, les détaillants alimentaires disent qu'ils vont commencer à enfermer la viande en raison du vol endémique au détail. Si cela ne résout pas le problème, ils quitteront complètement les villes bleues. Comme le rapporte Fox News :
La National Supermarket Association représente les épiceries indépendantes de New York. Ses statistiques montrent que 30 % de ses membres ont quitté la ville au cours des dernières années.
Il est maintenant parfaitement clair que les démocrates sont anti-humanité et anti-civilisation. Ils s'opposent à tout ce qui est nécessaire pour conduire une société moderne, et ils cherchent activement non seulement à détruire l'infrastructure qui maintient les gens en vie, mais à anéantir les populations humaines en même temps. D'où le proxénétisme essoufflé par les démocrates de l'ARNm infertilité / dépopulation qui a déjà tué plus d'un million d'Américains (et ça continue). Notez aussi qu'ils sont anti-famille, anti-femme, anti-maternité et sont ennemis du langage, de la raison, de la logique et de la parentalité. L'Université de Californie du Sud a récemment banni le mot « champ » de son langage autorisé, affirmant que « champ » est, en soi, raciste et anti-immigré. Ainsi, quiconque fréquente maintenant l'université pour acquérir des connaissances dans le domaine scientifique sera considéré comme un fanatique raciste, surtout s'il étudie les champs électromagnétiques ou des phénomènes similaires.
Apprenez-en plus sur tout cela dans le podcast Situation Update d'aujourd'hui, qui comprend également une interview fascinante avec Randall Carlson sur la théorie de l'impact des comètes et l'histoire cachée de la Terre :
RépondreSupprimer- Les démocrates font reculer la civilisation en interdisant les cuisinières, les voitures, le gaz, l'eau et plus encore
– L'Amérique sera divisée en deux niveaux: «Mad Max» effondré dirigé par les démocrates contre des États libres et modernes
- Plus d'Américains FUIRONT les États bleus qui s'effondrent alors que la DE-CIVILISATION s'accélère
– Tout le système de trafic aérien américain sur un seul ordinateur en panne à la FAA
– Pourquoi Pete Buttigieg devrait être appelé le secrétaire de TRANS, pas «-portation»
– Il y a ZÉRO REDONDANCE à la FAA, les systèmes peuvent tomber en panne à tout moment
– Les shérifs de l'Illinois défient l'interdiction inconstitutionnelle des armes d'assaut
– Tesla injecte 775 millions de dollars de plus dans l'expansion massive des installations à Austin
– Tesla est-il en train de construire une plaque tournante du transport dans un tunnel souterrain ? Un futur spatioport ?
– Entretien fascinant avec Randall Carlson sur les catastrophes terrestres
Brighteon: Brighteon.com/b3ade768-a2eb-43f6-816b-ea5ba2a4cbf2
Rumble: Rumble.com/v259ljl-situation-update-11323-no-trains-no-planes-no-automobiles-and-no-gas….html
Bitchute: Bitchute.com/video/DDf3QUw1bdLg/
Banned.Video: Banned.video/watch?id=63c1665eb0641c14272770dd
iTunes podcast: Healthrangerreport.com/situation-update-jan-13-2023-no-trains-no-planes-no-automobiles-and-no-gas-welcome-to-the-de-civilization-democrat-utopia
https://www.naturalnews.com/2023-01-13-no-trains-no-planes-no-automobiles-no-gas-de-civilization-democrat-utopia.html
Le PCC prouve que la lutte contre le « climat » n'est pas vraiment à propos du climat
RépondreSupprimervendredi 13 janvier 2023
par : Rédacteurs en chef
(Natural News) Vous n'avez pas besoin d'être un climatologue pour savoir que les meneurs du train en marche du «changement climatique» ne croient pas vraiment au récit qu'ils vendent.
(Article d'Alex Newman republié de TheEpochTimes.com)
Et ce n'est pas seulement parce qu'ils font le tour du monde en jets privés pour vous parler de votre voiture et de vos hamburgers.
En fait, si les gens au sommet acceptaient l'idée que les émissions humaines de gaz carbonique sont en réalité une "pollution" produisant une "crise climatique", ils feraient exactement le contraire de ce qu'ils font réellement.
L'examen de la politique climatique et de la Chine communiste prouve ce point.
Prenons l'Accord de Paris des Nations Unies. Négocié lors de la 21e Conférence des Parties (COP21) à Paris en 2015, l'accord mondial appelle les gouvernements nationaux à prendre leurs propres engagements nationaux sur ce qu'ils imposent à leurs populations pour lutter contre la prétendue « crise climatique ».
Dans le cadre de l'accord, l'administration Obama s'est engagée unilatéralement à réduire les émissions de gaz carbonique aux États-Unis de plus de 25 % d'ici 2025. Cela devait être imposé aux Américains par le biais de décrets exécutifs et de réglementations fédérales pour éviter d'impliquer le Congrès. D'autres gouvernements occidentaux ont fait des promesses similaires.
Le régime communiste chinois, en revanche, émettait déjà beaucoup plus de gaz carbonique que les États-Unis et en émet maintenant de loin plus que l'ensemble du monde occidental réuni - et pourtant il s'est engagé à continuer d'augmenter ses émissions pendant les 15 prochaines années. Sérieusement.
Dans sa soumission à l'ONU (pdf), le Parti communiste chinois (PCC) a convenu "d'atteindre le pic des émissions de dioxyde de carbone vers 2030".
RépondreSupprimerEn d'autres termes, le régime a fièrement annoncé au monde que sa production de gaz carbonique continuerait de croître pendant au moins 15 ans, date à laquelle personne ne se souviendra même des promesses de Paris.
Lorsque j'ai demandé aux membres de la délégation chinoise de commenter le sommet de l'ONU, au lieu de répondre, ils ont envoyé l'un de leurs sous-fifres pour me suivre lors de la conférence et prendre des photos de moi, ce que j'ai rapidement signalé à la sécurité de l'ONU et à la police française.
C'est une bonne chose pour le PCC que personne ne se souvienne de ses promesses d'ici 2030, car pratiquement tous les analystes qui ont examiné la frénésie de construction de centrales électriques au charbon du régime ont reconnu qu'il n'y avait aucun moyen que ses émissions atteignent un « pic » d'ici 2030. Promesses communistes n'ont jamais valu le papier sur lequel ils sont imprimés de toute façon, comme l'histoire l'a montré.
Le PCC ne plaisantait pas sur l'augmentation de ses émissions, cependant : Pékin met actuellement en ligne plus de centrales électriques au charbon d'ici 2025 que les États-Unis n'en ont au total.
Selon le briefing de février 2021 de Global Energy Monitor (pdf), le PCC a construit plus de trois fois plus de capacité de production d'énergie au charbon que le reste du monde réuni en 2020. Et il possède déjà environ la moitié de la capacité mondiale d'alimentation en charbon, selon à « Boom and Bust 2020: Tracking the Global Coal Plant Pipeline » de Global Energy Monitor.
Déjà, la Chine émet plus de deux fois plus de gaz carbonique que les États-Unis, selon les données du Global Carbon Project. Ses émissions augmentent de façon fulgurante alors même que les émissions américaines et les émissions des autres pays occidentaux continuent de plonger.
En 2021, les Américains ont émis environ 5 milliards de tonnes de gaz carbonique, tandis que la Chine en a émis environ 11,5 milliards. Si les tendances actuelles se poursuivent, le PCC pourrait libérer plus de gaz carbonique que le reste du monde réuni dans un avenir pas trop lointain.
Penses-y. Si l'on était vraiment préoccupé par les émissions de gaz carbonique produisant «l'enfer climatique», comme l'ont affirmé les dirigeants mondiaux lors du dernier sommet «climat» de l'ONU en Égypte auquel j'ai assisté, ils paniqueraient et ne célébreraient pas.
RépondreSupprimerDéplacer la production
Encore une fois, toute la production déplacée de l'Occident vers la Chine entraînera l'entrée de beaucoup plus de gaz carbonique dans l'atmosphère que si cette production était restée aux États-Unis, au Canada ou en Europe.
Et pourtant, les gouvernements occidentaux, les militants pour le climat financés par les impôts, les dirigeants de l'ONU et leurs alliés médiatiques ont tous célébré et continuent de célébrer l'Accord de Paris et les suivis ultérieurs comme un énorme succès dans la sauvegarde du climat.
Donald Trump était peut-être sur le coup quand, en 2012, il écrivait sur Twitter : « Le concept de réchauffement climatique a été créé par et pour les Chinois afin de rendre la fabrication américaine non compétitive.
C'est exactement ce qui s'est passé, bien sûr, alors que les tarifs d'électricité ont augmenté de plus en plus au fil du temps. En 1975, l'électricité était en moyenne d'environ 3 cents par kilowattheure, aidant l'industrie américaine à rester compétitive à l'échelle mondiale. En 2010, en partie grâce à la politique d'Obama, il avait triplé. Et en 2021, il approchait les 15 cents.
Pour la perspective, les prix de l'électricité en Chine sont environ la moitié.
Il existe de nombreuses raisons au transfert de la production des États-Unis vers la Chine - dont beaucoup sont directement liées à la politique américaine - mais l'un des facteurs clés a été le coût de l'énergie.
Pourtant, la hausse des prix de l'énergie a été ouvertement présentée comme un objectif politique par Obama. Comme il l'a clairement indiqué dans une interview de 2008 avec le San Francisco Chronicle, "dans le cadre de mon plan... les tarifs d'électricité monteraient nécessairement en flèche".
Plus tard cette année-là, il a exprimé des sentiments similaires alors que les prix de l'essence montaient à environ 4 dollars, affirmant seulement qu'il aurait plutôt « préféré » un « ajustement progressif ».
RépondreSupprimerConfrontés à des coûts de main-d'œuvre plus élevés et à un environnement réglementaire plus strict, les entreprises et les entrepreneurs américains luttaient déjà pour maintenir la production aux États-Unis dans un régime commercial mondial truqué qui profitait au PCC aux dépens de l'Amérique.
Dans de nombreux cas, la flambée des coûts de l'énergie a poussé les entreprises à bout, les forçant à déplacer leur production vers la Chine ou à fermer face à la concurrence chinoise.
Encore une fois, si vous croyez vraiment que le gaz carbonique est de la pollution, le pire résultat possible des négociations sur le « climat » serait de transférer encore plus de production vers la Chine, où les émissions de gaz carbonique par unité de production économique sont massivement plus élevées.
Mais c'est précisément le résultat du célèbre processus « climat » de l'ONU.
Le passage à la soi-disant «énergie renouvelable» conçue par l'administration Biden et les décideurs fédéraux a également été et continuera d'être une énorme aubaine pour le PCC - et pas seulement parce qu'elle fera monter les prix tout en rendant le réseau énergétique américain plus instable.
Près de 80 % des cellules solaires produites en 2019 ont été fabriquées en Chine, selon les données de Bloomberg (pdf). Le CCP domine également la production dans le secteur éolien et les industries des batteries. Il contrôle également la chaîne d'approvisionnement des matériaux de terres rares nécessaires à la production de tous ces produits «d'énergie verte».
Le gouvernement américain, pour sa part, offre des subventions massives à ces secteurs industriels dominés par le PCC tout en forçant les Américains à en dépendre par le biais de réglementations, de mandats, de subventions et d'autres politiques. Comment cela est censé aider l'environnement n'est jamais précisé.
Pour avoir une idée du carnage économique infligé à l'Amérique par le projet de Paris d'Obama, qui, selon lui, était un "accord exécutif" et donc non soumis à la ratification du Sénat comme l'exige la Constitution, la Heritage Foundation a analysé les chiffres dans une étude de 2016.
Entre autres conclusions, le groupe de réflexion à tendance conservatrice a déclaré que les promesses d'Obama à Paris augmenteraient les coûts d'électricité pour une famille de quatre personnes entre 13 et 20 % par an tout en vaporisant près d'un demi-million d'emplois, dont environ 200 000 dans le secteur manufacturier.
RépondreSupprimerCes dommages se traduisent par une perte de revenus d'environ 20 000 dollars pour les familles américaines d'ici 2035 et une réduction du PIB de plus de 2,5 billions de dollars.
Qui en profite ?
A qui profite tout cela ? Certainement pas le « climat ». Encore une fois, expédier l'industrie américaine en Chine entraînera plus de gaz carbonique dans l'atmosphère, pas moins. Et dans tous les cas, sur la base des propres "modèles" démystifiés de l'ONU, l'élimination complète de toutes les émissions de gaz carbonique des États-Unis n'entraînerait pratiquement aucune réduction des températures mondiales.
Selon un article évalué par des pairs du Dr Bjorn Lomborg publié dans la revue Global Policy, même si toutes les promesses importantes faites à Paris étaient tenues, les températures mondiales ne seraient que de 0,05 degrés C (0,086 degrés F) plus fraîches d'ici 2100, ce qui est statistiquement erreur d'arrondi insignifiante.
Le grand gagnant, bien sûr, a été le PCC, qui a ri jusqu'à la banque alors qu'il absorbe les usines, les emplois et la production de richesse que les États-Unis et d'autres autorités occidentales ferment pour « sauver le climat ».
Cela semble être délibéré, comme l'ont clairement indiqué les déclarations de hauts responsables de l'administration Obama et de l'ONU.
Le « Science Czar » d'Obama, John Holdren, a ouvertement préconisé une désindustrialisation des États-Unis dans son livre de 1973 « Human Ecology ».
"Une campagne massive doit être lancée pour restaurer un environnement de haute qualité en Amérique du Nord et pour dé-développer les États-Unis", ont écrit Holdren et ses co-auteurs. "Dé-développer, c'est mettre notre système économique (en particulier les modes de consommation) en conformité avec les réalités de l'écologie."
Considérez ensuite les commentaires apparemment bizarres de Christiana Figueres, alors secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques.
RépondreSupprimerS'adressant à Bloomberg quelques mois après que le Premier ministre canadien Justin Trudeau ait exprimé son admiration troublante pour le PCC, Figueres a affirmé que le régime de Pékin, qui supervise environ un tiers de la production mondiale de gaz carbonique, « faisait les choses correctement » en matière de politique climatique.
Dans des commentaires séparés tout en faisant pression pour des politiques climatiques majeures, Figueres a également suggéré que l'objectif de la politique « climatique » était vraiment la transformation économique.
« C'est la première fois dans l'histoire de l'humanité que nous nous donnons pour mission de changer intentionnellement, dans un laps de temps défini, le modèle de développement économique qui règne depuis au moins 150 ans, depuis la révolution industrielle. dit-elle le 4 février 2015.
Cinq ans avant ces commentaires, l'un des hauts responsables du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations Unies, Ottmar Edenhofer, a révélé un programme similaire dans des commentaires à NZZ Online en Allemagne.
"Il faut dire clairement que nous redistribuons de facto la richesse mondiale par la politique climatique", a-t-il déclaré. « Il faut se libérer de l'illusion que la politique climatique internationale est une politique environnementale. Cela n'a presque plus rien à voir avec la politique environnementale.
Redistribution des richesses ? Changer le modèle économique du monde ? Dé-développer les États-Unis ? Et ici, on dit aux Américains qu'il s'agit de "sauver le climat".
N'oubliez pas non plus que lorsque Trump s'est retiré de l'accord de Paris, les alarmistes climatiques du monde entier ont déclaré que Pékin était le nouveau "leader" mondial de l'effort pour sauver le climat - le même régime qui surveille le plus d'émissions de gaz carbonique, construit du charbon usines plus rapidement qu'elles ne peuvent être comptées, et cela promettait de continuer à augmenter les émissions de gaz carbonique jusqu'en 2030.
S'il s'agit vraiment de sauver le climat du gaz carbonique, comment le PCC peut-il être le nouveau leader ? C'est au-delà de l'absurde.
Malgré tout cela, l'administration Biden continue d'intensifier la "coopération" sur "l'action climatique" et l'Accord de Paris avec Pékin, provoquant sans aucun doute amusement et joie parmi les membres du Politburo du PCC.
RépondreSupprimerIl n'y a pas que la Chine qui en profite. En fait, des chercheurs du Congrès ont découvert que les intérêts énergétiques russes soutenus par l'État finançaient des groupes «verts» américains opposés à l'énergie américaine via une société écran aux Bermudes appelée Klein Ltd.
Le régime au Venezuela, lui aussi, rit jusqu'à la banque alors que l'administration Biden sabote l'énergie américaine et supplie la dictature de Maduro d'envoyer du pétrole en Amérique.
Pour être clair, je ne regrette pas les émissions de gaz carbonique de la Chine ou de qui que ce soit d'autre. En fait, de nombreux scientifiques m'ont dit qu'une plus grande quantité de ce "gaz de la vie" serait extrêmement bénéfique pour la planète et l'humanité.
Le professeur de physique à la retraite de Princeton, le Dr William Happer, qui a été conseiller climatique de Trump, m'a dit il y a des années lors d'une conférence sur le climat à laquelle nous avons tous deux parlé que la planète avait besoin de plus de gaz carbonique et que les plantes étaient conçues pour vivre dans une atmosphère avec un peu plus de gaz carbonique que la planète a actuellement.
De plus, les émissions humaines de gaz carbonique représentent une fraction de 1 % de tous les soi-disant « gaz à effet de serre » présents naturellement dans l'atmosphère.
Pour résumer, si l'on croit vraiment que le gaz carbonique est mauvais pour le climat, expédier la production et l'industrie américaines en Chine est la pire façon d'y faire face. Logiquement, alors, les décideurs politiques derrière cela doivent avoir une arrière-pensée.
Bien sûr, le PCC aime l'accord de Paris : ils ne font que construire plus de centrales au charbon pour alimenter les industries et les usines qui fuient l'Amérique pour la Chine alors que le gouvernement américain force les États-Unis à commettre un suicide économique.
Ce n'est pas seulement une question économique ou « climatique ». Alors que les États-Unis sont «dé-développés», la destruction économique produit une menace majeure pour la sécurité nationale. Une armée forte ne peut pas être financée sans une économie forte, évidemment.
Il est temps que les législateurs de la Chambre des représentants des États-Unis mettent fin aux politiques «climatiques» de l'administration qui ne font qu'augmenter les émissions de gaz carbonique du PCC et nuisent aux États-Unis.
Read more at: TheEpochTimes.com
https://www.naturalnews.com/2023-01-13-ccp-proves-climate-fight-not-really-about-climate.html
La « grippe aviaire » n'est pas responsable de la pénurie d'œufs ; la flambée des prix des aliments pour le bétail est
RépondreSupprimervendredi 13 janvier 2023
par : Ethan Huff
(Natural News) L'histoire officielle est que les œufs sont maintenant rares à cause de la "grippe aviaire". La véritable histoire, cependant, concerne l'inflation et les problèmes de chaîne d'approvisionnement, qui découlent essentiellement de la corruption financière.
La vidéo ci-dessous présente un agriculteur expliquant combien de producteurs d'œufs ne peuvent plus se permettre d'aliments pour animaux et d'autres intrants agricoles en raison de la montée en flèche de l'inflation. En conséquence, des millions de poules ne produisent plus d'œufs, ce qui signifie des millions et des millions d'œufs en moins à l'épicerie.
La vraie raison de la pénurie d'œufs n'est PAS la grippe aviaire.
Selon cet agriculteur… les producteurs ne peuvent pas couvrir leurs coûts, il y a donc maintenant des millions de poules en moins et plusieurs millions d'œufs en moins produits PAR JOUR. ?
? du son …? ? ?
pic.twitter.com/GcYd1pHPZ0
– Argent de Wall Street (@WallStreetSilv) 10 janvier 2023
Ce que vous devez comprendre, c'est que chaque fois que quelque chose ne va pas à cause de la banque centrale privée ou des manigances de Wall Street, les médias hérités blâment presque toujours un bouc émissaire. Depuis trois ans, c'était "covid". Maintenant c'est la grippe aviaire.
Des années et des années d'impression monétaire de la Réserve fédérale ont massivement dilué le dollar et sa valeur. Wall Street a utilisé une grande partie de cet argent pour gonfler les marchés afin de créer la plus grande «bulle de tout» au monde, qui se fait attendre depuis longtemps.
Ces deux éléments expliquent à eux seuls une grande partie des troubles qui sévissent actuellement dans le pays, notamment l'inflation, les problèmes de chaîne d'approvisionnement et les pénuries. Au lieu de vous dire la vérité, cependant, les médias ont recouru à blâmer la convoitise des oiseaux.
"L'inflation, pompée par notre gouvernement communiste pour se sauver eux-mêmes et tous leurs copains et électeurs avec Covid comme excuse, est à blâmer", c'est ainsi que Revolver l'a dit.
«Ils reçoivent de l'argent nouvellement imprimé, et vous obtenez un niveau de vie radicalement, drastiquement diminué. Cela vous choque ? Accrochez-vous, ça va être une course folle à l'avenir.
(Connexe: les perturbations de la chaîne d'approvisionnement contribuent également à des pénuries généralisées d'aliments pour animaux.)
RépondreSupprimerAchetez des œufs de la ferme locale - ou mieux encore, élevez vos propres poules
Si votre épicerie locale n'a plus d'œufs en ce moment, une alternative consiste à rechercher des agriculteurs locaux qui produisent souvent des œufs plus propres et plus nutritifs à une fraction du prix, comparativement.
Les œufs de pâturage avec ces beaux jaunes d'orange sont difficiles à trouver au supermarché - sauf, peut-être, à une prime énorme, si vous pouvez les trouver - mais ils sont partout dans les fermes familiales.
Si vous avez l'espace et les moyens, vous pouvez également élever vos propres poules pondeuses directement à la maison. Les poulets adorent picorer en mangeant des insectes et des restes, que vous pouvez compléter avec des aliments locaux, en supposant que vous puissiez les trouver.
Soit dit en passant, rien de tout cela n'est un accident. Les changeurs de monnaie n'ont aucune intention de jouer franc jeu et de subir des pertes. Pendant que vous et votre famille mourez de faim, ils utilisent l'argent de vos impôts et la machine d'impression fiat de la Fed pour se renflouer.
"La famine pour amener les masses dans leur tyrannie est l'un de leurs outils préférés", a écrit un commentateur à ce sujet.
"L'alimentation des poulets a augmenté de 25 % au cours des six derniers mois", a ajouté un autre.
"Ce n'est qu'une version à l'échelle de l'économie du" magasin d'entreprise "de la plantation", a écrit quelqu'un d'autre. « Vous travaillez, vous êtes de plus en plus payé, puis vous vous faites enlever par des prix plus élevés. Ensuite, la "plantation" se transforme en paradis socialiste où tout le monde fait la queue pour l'essentiel en raison du manque d'approvisionnement".
"En attendant, la" nomenklatura ", ou la classe compatible avec les récits pour ordinateurs portables, obtient … plus. Mais juste assez de plus pour qu'ils veuillent rester conformes à la narration ! »
RépondreSupprimerL'économie américaine ne tient qu'à un fil prêt à se déchirer. Pour vous tenir au courant des dernières nouvelles, visitez Collapse.news.
Les sources de cet article incluent :
Revolver.news
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-01-13-skyrocketing-livestock-feed-costs-behind-egg-shortage.html
Il y a deux gouvernements américains : le visible et le SECRET, dit le général Flynn
RépondreSupprimervendredi 13 janvier 2023
par : Ethan Huff
(Natural News) Vous n'en avez probablement jamais entendu parler, mais il existe une sorte de Cour suprême parallèle, appelée la Cour de surveillance du renseignement étranger (FISC) qui, selon le général Michael Flynn, opère « dans un secret presque total ».
Un panel judiciaire qui supervise les agences de renseignement américaines dans les affaires de surveillance impliquant des citoyens américains vivant aux États-Unis, le FISC est apparu pour la première fois sur le radar du public lors de l'enquête qui a été lancée contre la campagne de 2016 de l'ancien président Donald Trump.
L'implication du FISC dans cette enquête a aidé à produire les informations falsifiées qui ont été utilisées par le FBI pour surveiller illégalement la campagne Trump. Cela a conduit aux allégations de «collusion avec la Russie» qui ont finalement coûté à Flynn son poste de conseiller à la sécurité nationale au début de l'administration Trump.
"Dans les mois à venir, parmi d'autres problèmes graves (et il y en a beaucoup), nous allons apprendre que le FISC est devenu une Cour suprême parallèle mais fonctionne dans un secret presque total", a tweeté Flynn dans une série en cinq parties sur le groupe ténébreux. . (Connexe: En savoir plus sur la façon de lutter contre la tyrannie de l'État profond grâce à l'annulation du jury.)
Flynn veut voir plus de représentants de type Frank Church prendre position contre l'espionnage et la surveillance des États-Unis par l'État profond
Le FISC fonctionne comme une sorte de police secrète, a ajouté Flynn avec une citation de l'ancien sénateur Frank Church (D-Id.), qui, dans les années 1970, a déclaré que "cacher le mal est la marque de fabrique d'un gouvernement totalitaire". Church a en outre déclaré que:
«Il n'y a pas de menace plus pernicieuse pour une société libre qu'une police secrète… opérant au-delà de la loi… si ces abus n'avaient pas été découverts et si les agences n'avaient pas été contrôlées, nous aurions bien pu voir une police secrète se développer aux États-Unis. Une fois que cela commence, la Constitution est en danger très réel.
Nouvelle-Zélande : la liberté d’expression sous contrôle
RépondreSupprimerEn octobre 2022, le Service de renseignement de sécurité de Nouvelle-Zélande a publié le document qui décrit les principales caractéristiques pouvant indiquer l’intention d’un individu de commettre une attaque violente,
le 14 janvier 2023
Par Jonathan Ayling.
Le spectre du terrorisme est présent partout en Occident (et bien au-delà) mais en raison de notre passé récent en Nouvelle-Zélande, cette menace joue sur notre esprit de manière unique.
Le 15 mars 2019, 51 fidèles musulmans ont été tués par un terroriste australien solitaire, inspiré en partie par les actions du Norvégien Anders Behring Breivik. Plus explicitement cependant, comme le note Foreign Policy, ce sont des idées françaises (notamment celles de Renaud Camus) qui ont inspiré à Brenton Tarrant cette action extrême.
Ce n’est pas le seul lien français avec ces événements tragiques à l’autre bout du monde. Deux mois exactement après l’attentat de Christchurch, la Première ministre néo-zélandaise, Jacinda Ardern, et le président français, Emmanuel Macron, se sont rencontrés à Paris pour fonder l’appel à l’action de Christchurch. Cette initiative a depuis rassemblé une communauté de plus de 120 gouvernements, fournisseurs de services en ligne et d’organisations de la société civile, qui travaillent à l’élimination des contenus terroristes et extrémistes violents en ligne.
S’il est tout à fait conforme au rôle de l’État de protéger ses citoyens contre les attaques étrangères et nationales, nous payons souvent la sécurité en monnaie de liberté. Il est essentiel que la société civile joue le rôle de chien de garde contre les excès du gouvernement qui sapent les libertés civiles essentielles, notamment la liberté d’expression, qui est à la base de tant d’autres libertés fondamentales.
En tant que directeur général de la Free Speech Union New Zealand, une organisation qui a des groupes frères dans toute l’anglophonie, je suis profondément investi dans l’idée que le droit à la liberté d’expression et de parole rend nos communautés plus sûres et non plus dangereuses. Pourtant, dans cette optique, je dois passer beaucoup de temps à expliquer que l’incitation directe à la violence et le matériel extrémiste violent en ligne qui promeut ou appelle directement au terrorisme ne sont pas protégés par la liberté d’expression et sont « inadmissibles ». La raison en est que la violence est l’antithèse du discours.
Toutefois, le fait de noter que l’incitation directe à la violence n’est pas protégée par la liberté d’expression introduit un élément de subjectivité dans la distinction entre l’incitation directe et l’expression plus générale d’une opinion.
RépondreSupprimerCette distinction et la difficulté de l’évaluer sont illustrées dans un document récent publié par l’agence de sécurité responsable de la lutte contre le terrorisme en Nouvelle-Zélande.
En octobre 2022, le Service de renseignement de sécurité de Nouvelle-Zélande (NZSIS) a publié le document « Know the Signs : a guide to identify signs of violent extremism ». Ce guide décrit les principales caractéristiques pouvant indiquer l’intention d’un individu de commettre une attaque violente, comme le fait de se retirer de la communauté, de posséder des instructions sur la fabrication d’armes, de discuter de la volonté de mourir pour ses croyances, etc.
De nombreuses personnes se sont inquiétées de ce guide, affirmant qu’il reléguait simplement tous ceux ayant des opinions différentes de celles du courant dominant, ou qui « développent une vision du monde hostile « nous contre eux » », comme des extrémistes et des terroristes potentiels. Cette question est particulièrement sensible en Nouvelle-Zélande, où un gouvernement particulièrement censuré continue de diviser la nation et de dénigrer ceux qui ont des opinions différentes des siennes. Selon certains, des initiatives telles que l’appel de Christchurch menacent de renforcer la censure de l’État et de punir tous ceux qui expriment des idées dissidentes ou provocantes – tout cela au nom de la lutte contre l’extrémisme et de la sécurité. Le fait que le Parlement soit actuellement saisi d’un projet de loi qui permettrait à l’État d’accuser quelqu’un de terroriste s’il possède du « matériel répréhensible », même si cela n’a rien à voir avec le terrorisme ou la promotion du terrorisme, montre pourquoi certains sont inquiets.
Une distinction essentielle entre le guide du NZSIS et d’autres documents qui portent atteinte au droit d’autrui de s’exprimer librement est le fait qu’il ne concerne explicitement que la menace de violence. Le guide affirme que « le guide parle spécifiquement de l’extrémisme violent plutôt que des formes non violentes d’extrémisme ». Il s’agit d’une mise en garde importante.
Mais qu’en est-il de ceux qui affirment que « les mots sont une violence » ? Chaque jour, nous voyons des universitaires renvoyés de leur poste pour cause de « pensée erronée », des activistes et des bureaucrates du gouvernement qui pathologisent le rôle de la parole dans la division de nos sociétés. Les mots doivent-ils être traités comme de la violence s’ils sont « nuisibles » ? En réalité, les mots sont le contraire de la violence et nous ne devons jamais cesser de l’affirmer.
C’est ce que nous avons affirmé après une autre attaque terroriste perpétrée en Nouvelle-Zélande en 2021 par un extrémiste islamique. Nous avons écrit :
RépondreSupprimer« La violence au nom d’une idéologie est le contraire de la liberté d’expression. C’est la tentative ultime de réduire au silence ceux qui ne partagent pas votre vision du monde. Les différences d’opinions politiques et religieuses doivent être gérées par la raison et le dialogue. Jamais par la violence. Jamais par la peur.
Ceux qui refusent de résoudre les différences idéologiques avec des mots sont ceux qui se tournent vers la violence. Ceux qui refusent de s’engager respectueusement dans un dialogue civil avec ceux avec qui ils ne sont pas d’accord sont ceux qui deviennent des extrémistes haineux en premier lieu.
La liberté d’expression – le droit humain fondamental d’exprimer pacifiquement son opinion – est un principe intrinsèquement non violent. C’est pourquoi nous cherchons à la protéger ».
Comme le notent Jonathan Haidt et Greg Lukianoff, cette affirmation rendra nos sociétés « plus anxieuses et plus disposées à justifier les dommages physiques ». Lukianoff poursuit en affirmant que « redéfinir l’expression d’une opinion comme une violence est une formule pour une réaction en chaîne de violence, de répression et de régression sans fin ».
C’est Sigmund Freud qui a affirmé que « le premier être humain qui a lancé une insulte au lieu d’une pierre a été le fondateur de la civilisation ». Une culture de la liberté d’expression affirmant résolument le droit de chacun à exprimer ouvertement ses convictions est cruciale si nous voulons que nos pays soient à l’abri de ceux qui utilisent la violence et le terrorisme pour faire avancer leur cause, plutôt que la raison, le dialogue et le débat. Si la censure peut sembler être une solution simple pour éliminer les idées qui nous déplaisent le plus, il s’agit en réalité d’une solution à court terme dont le prix est élevé. Elle oblige les points de vue potentiellement dangereux à se réfugier dans la clandestinité, où ils s’enveniment et restent incontestés.
À l’inverse, la liberté d’expression est le meilleur moyen de prévenir les idéologies extrêmes qui prônent la violence, car elle place ces points de vue au grand jour, où ils peuvent être contestés et, par le biais du débat et de la raison, révélés comme étant erronés. Nos gouvernements et nos services de sécurité doivent garder cela à l’esprit.
https://www.contrepoints.org/2023/01/14/448157-nouvelle-zelande-la-liberte-dexpression-sous-controle
Lettre ouverte à M. Driencourt: « C’est raté Monsieur l’ex-diplomate visionnaire du chaos »
RépondreSupprimerPar Kader Tahri
Mondialisation.ca, 13 janvier 2023
Pourquoi diable tous ces gens ne pensent-ils qu’à s’insurger ?
Et comment osent-ils ?
Par quelle monstruosité sont-ils soudain pris ?
Pourquoi cet article guerrier, nous ne sommes pas en guerre ?
Le dilettantisme français est impressionnant, les saillies anti-Algérie sont toujours croustillantes surtout quand on est peu qualifié, quand on est soi-même en difficulté, quand on a une carrière fracturée, comme cet ex ambassadeur de France en Algérie qui devient analyste politique avec une drôle de conception du guet, dans une presse, celle qui s’occupe essentiellement des affaires des autres, pour nous apprendre que l’Algérie va s’effondrer si on continue à faire semblant de ne rien voir, La France c’est déjà fait (Oh oui ! on comprend bien que ce but n’était pas très vendable aux Algériens !) mais notre visionnaire avisé regarde ailleurs, aussi la question se pose de savoir si la politique française n’est pas la plus hypocrite du monde.
L’homme est encore un loup pour l’homme et la raison de haine, de mépris et d’incompréhension est encore au dessus de toutes les considérations. Il est assez réconfortant d’imaginer que cet ex : Ambassadeur reste égal à lui même, agressif, diffamant et pire, donc un imposteur. On le croyait d’abord, on se taisait, à force d’inventer un ennemi pour exister, cet imposteur devient un ennemi pour lui-même. Heureusement que les 45 Millions d’Algériens ne sont pas dystopiques mais sont tous réalistes.
Monsieur, je me contenterai de faire remarquer que votre article sur l’Algérie est assez bavard et c’est encore une voix qui garde une certaine hostilité à son égard, ou encore à éteindre sa lumière avec une complicité révoltante. Un bruit qui s’élève contre l’Algérie, sauf que cette fois ci c’est quelqu’un qui se fout le doigt dans l’œil jusqu’au coude en espérant atteindre le peuple algérien et l’impressionner par ses fourberies de Scapin. Vous regardez par le petit bout de la lorgnette. Votre agitation faussement humaine et votre scribouillage d’analyste n’intéressent personne. Il n’est pas analyste qui veut !
D’où vous, viennent vos certitudes ?
Pourquoi pensez-vous ainsi que vous l’écrivez et pourquoi d’autres personnes pensent autrement voire carrément le contraire ?
Si c’est çà votre démonstration, c’est raté encore une fois !
Vous dites que : 45 millions d’Algériens n’ont qu’une obsession : partir et fuir. Partir où, si ce n’est en France, où chaque Algérien a de la famille ?
Des formules à l’emporte pièce et uniquement pour la galerie, avec toujours le vide sidéral au niveau de l’action, il y aurait trop à dire sur tout cela, je me contenterai de deux observations :
– On a vu plus récemment le président français, lors de sa visite en Algérie, ouvrir joyeusement les bras à toute une jeunesse algérienne qui faisait retentir les rues d’Oran de slogans (On.Two.Three Viva l’Algerie) peu agréables vis-à-vis de la France qui finit tout de même par se rendre compte que NON, le jeunesse algérienne n’acclamait plus une distribution de visas.
– La Dame France, avec ces dirigeants politiques, ses médias et ses sinistres polémistes, artisans de la division et de la haine souscrit fortement à ces billevesées, ainsi les 45 Millions d’Algériens méprisent cette hypocrisie, ces indignations calculées, qui aujourd’hui, dans ces organes de presse se font plaisir avec des clichés déformés, et toutes ces déclarations et actions en la matière sont donc purement racistes, et visent principalement à tenter de faire oublier les très longues années de colonisations et de spoliations et dépouillement des richesses, les Français doivent savoir que les intérêts de l’Algérie ne sont pas les intérêts de la France.
RépondreSupprimerVotre délire est impressionnant de contrevérités. Vous avancez de choses graves, cachées que vous êtes, sûr de vos certitudes fantasmagoriques. Vous faites votre petite révolution démocratique, blotti dans un confortable fauteuil; et pensez rendre service à la « pauvre Algérie ». Non Merci !!!!
Vous et vos semblables qui sont à l’Algérie ce que le cancer est à l’homme, des concepteurs d’un des systèmes de gouvernance des plus destructeurs du siècle. Êtes vous conscients que vous avez fait le malheur de tout un peuple et que, ironie du comble, vous persistez dans votre besogne sans éprouver aucun remord
Êtes vous réellement fier de votre bilan ?
C’est très courageux tout cela et évidement trop mal sourcé. Si vous avez une once d’honnêteté intellectuelle (qualité que vous n’avez pas visiblement) Vous aurez avoué que votre opinion en question était un pourfendeur du sionisme,
Je trouve que pour l’ex ambassadeur est resté fidèle à son image: peu cultivé surtout hermétique, intégriste et archaïque à souhait, mais franchement plus dangereux, que ses homologues fondamentalistes européens qui se lancent carrément en croisades contre le reste du monde.
Enfin on s’accorde à dire qu’il a réussi à faire, étalage de cet préjugé anti qui devient de plus en plus radical et obsessionnel et un grand nombre de personne se sont principalement spécialisés à créer des polémiques dialogueuses, ou juste pour imposer leur point de vue sur le monde, par tous les moyens. Soit ils détournent sciemment la vérité ?
Alors si l’ex ambassadeur, était vraiment de bonne foi, il aurait d’abord commencé par dénoncer ce qui est prioritaire, et urgent, en l’occurrence les massacres commis par Israél en Palestine Occupée à moins qu’il ne regarde que fox News ou Tf1, ou ne lit que le New York Times.
Cependant je reste persuadé que les déclarations de l’ex ambassadeur sont préméditées et destinées à exacerber le sentiment de haine et de confrontation entre Algériens et Français,
RépondreSupprimerLa pugnacité des Français ne le cède qu’à leur imagination débordante.
Voici à titre d’exemple le raisonnement émis par l’ex Ambassadeur,: «’il fallait résumer brièvement et brutalement la situation, je dirais que l’«Algérie nouvelle», selon la formule en vogue à Alger, est en train de s’effondrer sous nos yeux et qu’elle entraîne la France dans sa chute ? »
Trop souvent habitués par ses diverses fonctions, à des pratiques illégales de corruption d’acteurs locaux et de financement d’un réseau de déstabilisation du pays, notre analyste cache mal sa frustration et la peur change de camp, dans ce cas sa cause est vraiment et définitivement perdue. Par c’est bel et bien la France qui s’effondre.
Regardons déjà la France, longtemps, les actes anti-musulmans se sont résumés à des violences physiques qui se multiplient, ainsi qu’à des attaques à des lieux de culte musulman, toutes ces victimes suscitent compassion a minima chez les politiques et indifférence dans les médias, donc il n’y a pas de quoi donné des leçons en matière de haine et de mépris.
Aujourd’hui l’Algérie et sa jeunesse refusent et rejettent les valeurs dégénérées qui inculquent dans les écoles primaires qu’un homme peut bien être «enceinte» de son mari et qu’il s’agit là de l’un des plus beaux progrès de l’humanité ou encore cette volonté diabolique de mise en place d’une société de l’inclusion, une société qui érige :
Le droit à la différence comme repère d’une civilisation ?
Le droit comme homosexuel de jouer « la femme » d’un autre homme ?
La gestation pour autrui, donc l’achat d’un enfant contre de l’argent ?
Le droit de dire à des enfants de 8 ans qu’ils peuvent changer de sexe si c’est cela que, soi-disant, ils souhaitent ?
Le délire transgenre est l’aboutissement logique de ce processus qu’on a imposé depuis des décennies (sous peine d’être cloué au poteau pour machisme, virilisme et tout), car il est bien connu que dans la folie il y a une logique poussée à l’extrême jusqu’à l’absurde. A tout prendre ce genre de valeurs risque de ne pas porter beaucoup chance à leurs défenseurs.
L’auteur qui voulait s’attaquer au monument qu’est le peuple algérien n’est pas sans rappeler une histoire similaire, toutes proportions gardées, qui s’est déroulée il y a 26 siècles et qui a été rapportée par Pline l’Ancien dans son «Histoire Naturelle». Ayant exposé des tableaux, le célèbre peintre grec Appelle, vit un homme critiquer une sandale dans une de ses peintures. C’était un cordonnier. Le peintre le laissa faire considérant qu’il était bien placé pour parler de sandales. Le constat terminé, l’homme voulut juger le reste du tableau.
RépondreSupprimerAppelle l’arrête et lui dit : « Cordonnier, pas plus haut que la chaussure. »
On serait tenté d’utiliser un aphorisme pareil pour conseiller à l’auteur de l’article, de ne pas déborder de son sujet et de garder les pieds sur terre et au sec, car le peuple algérien ne pourra jamais être dévalorisé par l’action des hommes. Alors le vieux routier que vous êtes, vous savez parfaitement que cela vous dépasse et dépasse même tout entendement.
Aujourd’hui la France pays en ruine, pays surendetté ne devrait en aucun cas intéressé l’Algérie Nouvelle, les 45 Millions d’Algériens estiment qu’une rupture et une absence de relation suffirait pour exiger un examen de conscience car pour le peuple Algérien et sa jeunesse, la question mémorielle reste le point culminant dans les relations Algéro-Française.
Certes la France est un pays important, mais l’Algérie l’est également. L’Algérie reste, en revanche, la clef de l’Afrique. Enfin et surtout, l’Algérie n’est plus colonisée, après 132 ans le peuple Algérien n’est pas mort, il est bien libre, une liberté acquise chèrement et cela mérite d’être bravement et fièrement dite.
Monsieur, vous partez d’un postulat et vous faites tout pour l’accorder avec votre démonstration, votre opinion ne peut franchir le cap de la simple hypothèse et que, du point de vue de la prospection intellectuelle, toute affirmation gratuite pour procéder à ce franchissement est une action fausse et hasardeuse. Comme c’est facile d’être un grand penseur.
Disons-le avec force, le personnage de cet ex diplomate qui ressemble plus à un bon bourgeois bien rebondi qu’à l’illibéral jaloux décrit par certains, donne un exemple physique de cet écart entre le fond et la forme, avec cette particularité, cette aberration d’ouïe et de vue qui lui a permis de dire n’importe quoi, pour devenir n’importe qui.
Un de plus vous me direz, chez les nostalgiques Algérie Française en peau de lapin à patauger dans le marécage de l’ignorance et des préjugés et à raconter n’importe quoi. Il n’est pas rare, de nos jours, d’entendre ou de lire des affirmations péremptoires, des jugements définitifs sur ce que l’Algérie est censé être. L’Algérie Nouvelle affirme haut et fort que son peuple refuse de cautionner les positions idéologiques à sens unique et chaque pays défend ses intérêts. C’est ainsi que l’Algérie vient de décider mettre la langue française à la porte de ses Écoles.
RépondreSupprimerAvec la cordialité d’un simple citoyen Algérien.
https://www.mondialisation.ca/lettre-ouverte-a-m-driencourt-cest-rate-monsieur-lex-diplomate-visionnaire-du-chaos/5673975
En effet, la guerre en Ukraine, neuf ans après le renversement du gouvernement ukrainien élu, en février 2014, et près d’un an après l’invasion militaire russe, le 24 février 2022, ne montre aucun signe d’apaisement. Au contraire, le risque existe que ce conflit par procuration entre grandes puissances puisse un jour dégénérer en une guerre mondiale nucléaire.
RépondreSupprimerDans un tel contexte, il est peut-être approprié d’identifier les raisons pour lesquelles, en ce 21e siècle, le monde est toujours menacé par des guerres meurtrières et destructrices.
On doit chercher dans les tendances fondamentales de la nature humaine, dans des échecs institutionnels majeurs et dans les facteurs géopolitiques pour trouver quelques explications derrière ces guerres multiples.
En effet, ce sont là les principales sources des guerres d’agression et des guerres par procuration que l’on observe encore de nos jours.
• La nature humaine : les instincts guerriers comme causes des guerres
Il existe des penchants humains vers le contrôle, la conquête, la domination et l’exploitation, lesquels ont souvent été déclencheurs de conflits et de guerres entre les peuples.
Il y a là peut-être une première explication pour laquelle des pays ont souvent à leur tête des individus qui n’hésitent point à recourir à la violence pour atteindre leurs fins ou pour accroître leur pouvoir : des rois, des empereurs, des dictateurs, des autocrates ou des va-t’en guerre extrémistes, même dans les sociétés dites civilisées.
Si les guerres entre les hommes relèvent de la nature humaine, il faudrait, pour échapper à un tel atavisme, que la civilisation repose davantage sur des principes humanistes de base et sur des règles et des lois démocratiques, de manière à freiner la tendance de certains États autocratiques ou oligarchiques à dominer les autres peuples.
• Les tentatives pour prévenir les guerres, à partir de principes moraux ou par la coopération internationale
La doctrine de la guerre juste
À la suite des travaux philosophiques de Augustin d’Hippone (354-430) et de Thomas d’Aquin (1225-1274), parmi les auteurs religieux les plus connus de la doctrine de la guerre juste (jus ad bellum), il y a eu plusieurs tentatives d’introduire une certaine moralité et une certaine équité, sinon davantage de justice, dans les guerres et la violence militaire entre les états.
Pour être « morale », en effet, une « guerre juste », selon ces auteurs, ne doit pas être préventive mais être essentiellement défensive, c’est-à-dire qu’elle doit reposer sur l’autodéfense, et viser à défendre la paix d’une nation contre de graves torts, en plus d’être un moindre mal en comparaison avec les alternatives, et ne survenir qu’après que toutes les un options diplomatiques aient été épuisées.
RépondreSupprimerPour les théoriciens de la guerre juste à travers les âges, celle-ci doit répondre à certain nombre de critères, tels que reposer sur une cause juste (comme protéger la vie de personnes innocentes), viser à une paix juste et durable, être menée par une autorité légitime, en plus d’être proportionnelle quant aux moyens employés, et n’être entreprise seulement en dernier recours.
Inutile de mentionner, qu’en l’absence de moyens concrets pour empêcher les guerres d’agression, de conquête ou autres, la doctrine de la guerre juste n’a guère empêché les guerres d’agression d’avoir lieu, après sa formulation.
En effet, quand des dirigeants peu scrupuleux et arrogants adopte la loi de la jungle dans les relations internationales, cela mène à l’application de la règle dictatoriale selon laquelle « la force prime le droit ».
La Société des Nations (1920-1946)
La Société des Nations a été créée dans la première partie du 20e siècle, à Genève, en Suisse, le 10 janvier 1920, par 41 États membres, lesquels représentaient 70 % de la population mondiale. Il s’agissait d’une tentative multilatérale d’empêcher une répétition de la Première Guerre mondiale (1914-1918) et de « réaliser la paix et la sécurité internationales ».
Avant la Première Guerre mondiale, le système international pour le maintien de la paix et la stabilité était très primitif. Il reposait sur quelques alliances militaires, lesquelles regroupaient un certain nombre de pays. Ces alliances étaient supposément conçues pour protéger les petits États et se voulaient être un moyen de dissuasion à la guerre grâce à un soi-disant « équilibre des forces » en présence.
En réalité, le système des alliances était très instable, car tout incident militaire grave et localisé pouvait facilement dégénérer et déclencher une guerre plus large. En effet, les nations membres d’une alliance militaire donnée devaient entrer en guerre, lorsqu’un seul pays membre était impliqué dans un conflit.
Avant la Première Guerre mondiale, il existait deux alliances militaires rivales qui formaient deux blocs : la Triple alliance, laquelle regroupaient l’Allemagne, l’Autriche-Hongrie et l’Italie, et auxquels la Bulgarie et l’Empire ottoman se sont joints ; et les alliés de la Triple Entente, laquelle comptait la France, le Royaume-Uni et la Russie, et auxquels se joindront éventuellement le Japon et les États-Unis.
L’étincelle qui déclencha la Première Guerre mondiale s’est produite en Bosnie, dans la ville de Sarajevo, le 28 juin 1914, lorsque l’archiduc François-Ferdinand, héritier de l’Empire austro-hongrois, fut assassiné avec son épouse, Sophie, par le nationaliste serbe Gavrilo Principe. C’est alors que les alliances militaires sont entrées en jeu.
Sans les alliances militaires, l’assassinat de l’archiduc François-Ferdinand n’aurait provoqué qu’une guerre régionale entre la Serbie et l’Autriche-Hongrie. Mais, en raison des alliances, la Russie est venue à l’aide de la Serbie, ce qui conduisit l’Allemagne à déclarer la guerre à la Russie.
RépondreSupprimerUne question s’impose : les alliances militaires sont-elles des barils de poudre prêtes à exploser et à créer de grandes guerres ?
Même si la Société des Nations avait été conçue pour prévenir les guerres, elle était trop faible pour empêcher les courses aux armements entre les pays et pour faire respecter les accords de désarmement. Elle était également trop faible pour imposer des solutions de négociation ou d’arbitrage dans les cas de conflits internationaux.
Les Nations Unies (1945)
La Deuxième Guerre mondiale (1939-1945) est considérée comme une prolongation de la Première Guerre mondiale. Et, tout comme cette dernière, elle impliquait deux grandes alliances militaires. D’un côté, il y avait les puissances de l’Axe (Allemagne, Italie et Japon) et, de l’autre côté, les puissances alliées (France, Grande-Bretagne, Canada, États-Unis, Union soviétique et Chine).
La cause immédiate de la Seconde Guerre mondiale fut l’invasion militaire allemande de la Pologne voisine, le 1er septembre 1939. La Grande-Bretagne et la France déclarèrent alors la guerre à l’Allemagne, le 3 septembre 1939, conformément aux traités de défense signés avec la Pologne.
Cependant, les historiens imputent une grande partie de la responsabilité de la Seconde Guerre mondiale à l’échec de la Société des Nations à empêcher les guerres régionales. Ils pointent du doigt le traité de Versailles de juin 1919, lequel obligeait l’Allemagne (la République de Weimar) à verser aux alliés d’importantes réparations de guerre, en plus de priver l’Allemagne de plusieurs territoires et l’imposition d’autres exactions. Le fait de soumettre une nation entière à une humiliation sévère a contribué à la montée du mouvement nazi et du militarisme en Allemagne, mais aussi en Italie et au Japon.
La création des Nations Unies, le 26 juin 1945 à San Francisco, représente une autre tentative, après l’échec de la Société des Nations, d’interdire les guerres d’agression. En effet, la Charte des Nations Unies fixe comme objectif principal de « préserver les générations futures du fléau de la guerre ».
Même si la Charte des Nations Unies rend illégales les guerres d’agression, des États puissants continuent néanmoins de fomenter des guerres d’agression contre des états plus petits, agressions dites ‘nécessaires’ sous différents prétextes, se refugiant, pour imposer leur violence militaire, derrière une interprétation abusive de l’article 51 de la Charte de l’ONU sur la légitime défense.
Par conséquent, force est de conclure que l’ère de l’après la Seconde Guerre mondiale n’a pas placé le monde dans une meilleure posture aujourd’hui, pour éviter les guerres d’agression, que pendant la période d’avant la Première Guerre mondiale. « Plus les choses changent, plus elles sont pareilles. »
• Facteurs géopolitiques et danger des alliances militaires
RépondreSupprimerLa Guerre froide I (1945-1991)
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis et l’Union soviétique étaient alliés. Cependant, ils se sont tous deux engagés dans la construction de deux puissantes alliances militaires « défensives » opposées, après la Seconde Guerre mondiale.
D’une part, le gouvernement américain a été le principal intervenant lors de la création, en 1949, de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (OTAN), une alliance avant tout militaire et censée être « défensive ». L’OTAN regroupait initialement 12 pays (États-Unis et Belgique, Canada, Danemark, France, Islande, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Norvège, Portugal et Royaume-Uni). Aujourd’hui, elle compte 30 membres et un certain nombre de pays en attente de devenir membre (Suède, Finlande et Ukraine).
Son but officiel était de servir de contrepoids aux armées soviétiques stationnées en Europe centrale et orientale, après la Seconde Guerre mondiale.
L’article 5 de l’OTAN stipule :
« Qu’une attaque armée contre l’une ou plusieurs d’entre elles survenant en Europe ou en Amérique du Nord sera considérée comme une attaque dirigée contre toutes les parties, et en conséquence elles conviennent que, si une telle attaque se produit, chacune d’elles, dans l’exercice du droit de légitime défense, individuelle ou collective, reconnu par l’article 51 de la Charte des Nations Unies, assistera la partie ou les parties ainsi attaquées en prenant aussitôt, individuellement et d’accord avec les autres parties, telle action qu’elle jugera nécessaire, y compris l’emploi de la force armée, pour rétablir et assurer la sécurité dans la région de l’Atlantique Nord. »
De même, l’Union soviétique a formé l’alliance militaire du Pacte de Varsovie, en 1955, afin de contrebalancer l’influence de l’OTAN. Cette alliance militaire à l’Est de l’Europe comptait 8 États membres, (l’Union soviétique (URSS), l’Albanie, la Pologne, la Roumanie, la Hongrie, l’Allemagne de l’Est, la Tchécoslovaquie et la Bulgarie.)
Le traité fondateur du Pacte de Varsovie, lui aussi supposément « défensif », obligeait les États membres à prendre la défense de tout membre attaqué par une force extérieure et mettait sur pied à cette fin un commandement militaire unifié.
Pendant plus de trois décennies, ces deux alliances militaires « défensives » — un bloc de l’Ouest et un bloc de l’Est — ont servi de contrepoids l’une à l’autre, grâce à l’équilibre des forces en présence.
En 1991, cependant, le Pacte de Varsovie a été officiellement dissous, lorsque l’Union soviétique traversa une grave crise politique et se désintégra. Elle fut remplacée par la Fédération de Russie et par la création de 15 nouveaux États. L’évènement mit alors fin à trente-six ans de guerre froide entre les pays de l’OTAN (principalement les États-Unis) et les pays du Pacte de Varsovie (principalement la Russie).
RépondreSupprimerTout cela laissa l’alliance du bloc occidental, l’OTAN, avec aucun ennemi potentiel à contrebalancer.
Le gouvernement américain, sous la direction du président George H.W. Bush (1924-2018), en tant que promoteur principal de l’OTAN, se trouva confronté à deux choix : soit abolir l’OTAN, soit maintenir l’OTAN en lui assignant de nouvelles missions.
Il fut décidé de ne pas démanteler l’OTAN afin de sauvegarder l’influence américaine en Europe.
Une telle décision ne fut point sans susciter de vives craintes de la part du gouvernement russe, ce dernier craignant de se voir confronter à une OTAN guerrière. Afin d’apaiser ces craintes, l’administration américaine du président George H.W. Bush, par l’intermédiaire de son secrétaire d’État James Baker — et par celui des représentants d’autres gouvernements occidentaux — prit l’engagement que l’OTAN « ne s’élargirait pas en Europe de l’Est » et ne poserait pas une menace militaire pour la Russie.
En contrepartie, le gouvernement russe se devait de ne soulever aucune objection à la réunification de l’Allemagne de l’Est (la République démocratique allemande) et de l’Allemagne de l’Ouest (la République fédérale d’Allemagne) en un seul État souverain, et cela, en tant que membre de l’OTAN.
En cours de route, cependant, les choses changèrent, notamment en 1994 et plus encore, en 1999.
La Guerre froide II (1999- )
Durant la période 1994-1996, sous la pression du Parti républicain, mais aussi sous celle de conseillers néoconservateurs favorables à une politique unilatérale et néo impérialiste, le président démocrate Bill Clinton adopta une politique étrangère agressive à l’endroit de la Russie. En effet, son administration ne se comptait plus tenue de respecter les assurances que l’administration républicaine précédente de H.W. Bush avait données à la Russie, à savoir que l’OTAN ne s’étendrait pas « d’un pouce vers l’Est ».
Clinton et ses conseillers néoconservateurs estimaient que le gouvernement américain avait une chance unique de tirer profit de l’extrême faiblesse économique de la Russie, pour l’encercler militairement.
En octobre 1996, le président Clinton officialisa son intention d’élargir l’OTAN, lorsqu’il a ouvertement invité les anciens pays du Pacte de Varsovie et les républiques post soviétiques à rejoindre l’OTAN. Cela a été mis en œuvre en mars 1999 avec trois pays d’Europe de l’Est, (Hongrie, Pologne et République tchèque), joignant officiellement l’OTAN.
RépondreSupprimerEn mars 1999, l’administration Clinton est allée encore plus loin. Elle a ouvertement contourné la Charte des Nations Unies, laquelle interdit les actes d’agression militaire, et s’est plutôt appuyé sur la couverture de l’OTAN pour lancer une campagne de bombardements aériens en Yougoslavie, contre des cibles militaires serbes. C’est à cette date que le gouvernement américain a de facto rendu les Nations Unies impuissantes à prévenir ou arrêter les guerres d’agression. Par la suite, le gouvernement américain a continué de se servir du substitut de l’OTAN pour justifier les interventions militaires américaines à l’étranger.
• Les prétextes, provocations, mensonges et autres tactiques trompeuses souvent utilisés pour déclencher une guerre
Il existe une panoplie de moyens indirects et de stratégies trompeuses pour déclencher une guerre interétatique, en plus de bombarder directement un pays ou d’utiliser l’armée pour envahir un pays étranger.
Par exemple, une nation aux intentions guerrières peut recourir à des provocations de tout genre et proférer des menaces comme prélude à une guerre, ou pour forcer un ennemi à riposter. Un pays agresseur peut également essayer de perturber ou déstabiliser un autre pays en simulant une attaque militaire par le biais de jeux de guerre et d’opérations clandestines. Le recours à une opération sous fausse bannière (lorsqu’un pays commet un acte de guerre et en accuse un autre) a souvent été employé.
Un autre moyen détourné pour infliger des pertes à un pays consiste à recourir à une guerre par procuration (c’est-à-dire une guerre menée par un État client contre un ennemi ciblé, mais financée et armée par un pays tiers qui en est l’instigateur). Un mélange d’une guerre par procuration et d’une opération sous fausse bannière peut alors faire partie d’un plan visant à élargir un conflit en une guerre ouverte.
Un projet de guerre de la part d’un pays agresseur peut aller jusqu’au sabotage des installations d’un autre pays, pour des motifs militaires ou politiques, et le tout accompli sous le couvert d’opérations clandestines. Un agresseur peut également imposer un siège militaire à une nation, sans aucune déclaration de guerre formelle.
RépondreSupprimerUne autre tactique couramment utilisée pour déclencher une guerre consiste à dénigrer et à diaboliser un pays ou ses dirigeants avec des mensonges et une propagande trompeuse concernant l’armement ou les intentions réelles d’un pays.
Encore une autre façon de pousser un pays ciblé à la guerre est d’imposer des restrictions commerciales sur certains produits essentiels qu’il doit importer, comme le pétrole. En effet, le recours unilatéral à des sanctions économiques et financières contre un pays, dans le but de nuire à son économie et à ses habitants, est un autre acte hostile qui est susceptible de conduire à une guerre.
C’est pourquoi il est si ardu d’empêcher une guerre uniquement par des moyens juridiques et diplomatiques, ou par la médiation, lorsqu’une nation puissante est décidée à entrer en guerre contre une autre.
Ni la Société des Nations, ni les Nations Unies n’ont interdit à une nation belliqueuse de provoquer une guerre par des moyens indirects. Cela montre à quel point il pourrait être complexe et difficile de faire de la malédiction des guerres d’agression une chose vraiment obsolète. À tout le moins, les guerres nucléaires doivent être évitées à tout prix, si l’humanité veut survivre sur cette planète.
Finalement, un fait peu rassurant : Une étude récente conclut que les démocraties sont plus enclines à déclencher des guerres que les régimes autocratiques.
Conclusion
Le cadre politique et juridique international pour prévenir ou mettre fin à la guerre est présentement en ruine. L’ONU a été mise à l’écart et son autorité en tant qu’arbitre des conflits militaires, telle que stipulée dans la Charte des Nations Unies, a été sapée et remplacée par un retour à une politique de puissance primaire, plus ou moins arbitraire.
Comme dans un passé pas si glorieux, les alliances militaires se sont reconstituées, et le recours à un nouvel « équilibre des forces » est encore une fois le seul rempart contre une conflagration militaire mondiale.
RépondreSupprimerUn monde plus civilisé se libérerait du piège des alliances militaires ataviques, une recette historique éprouvée pour produire des guerres permanentes, des hauts niveaux d’endettement public et une inflation persistante. Les guerres d’agression et les guerres par procuration doivent être éliminées, une fois pour toutes, en tant qu’institution humaine barbare.
Rodrigue Tremblay
*
Le Prof. Rodrigue Tremblay est professeur émérite d’économie à l’Université de Montréal et lauréat du Prix Richard-Arès pour le meilleur essai en 2018, La régression tranquille du Québec, 1980-2018, (Fides). Il est titulaire d’un doctorat e n finance internationale de l’Université Stanford.
On peut le contacter à l’adresse suivante : rodrigue.tremblay1@gmail.com
Il est l’auteur du livre de géopolitique « Le nouvel empire américain » et du livre de moralité « Le Code pour une éthique globale« , de même que de son dernier livre publié par les Éditions Fides et intitulé « La régression tranquille du Québec, 1980-2018« .
Site internet de l’auteur : http://rodriguetremblay.blogspot.com
https://www.mondialisation.ca/pourquoi-lhumanite-tolere-encore-la-tragedie-des-guerres-au-21e-siecle-un-tour-dhorizon/5673989
Au pourquoi y a t-il cette différence de personne à personne ? je répondrais qu'il en est de même pour les plantes (!). Une plante pousse 'presque toujours' de partout dans le monde, il 'suffit' non-pas de l''acclimater' mais de lui servir la chaleur et ensoleillement adéquat. Idem pour le bananier qui pousse sous serres de partout mais... qui porte des bananes qui auront peut-être du mal à mûrir !
RépondreSupprimerCette différence est due aux différences de latitudes. Chacun(e) de nous porte en elle ou lui sa culture de naissance. Ainsi, à des latitudes différentes l'être humain se comporte différemment. Les visions, les idées, les perspectives sont des autres choses inconnues du lointain.
Non, la guerre n'est pas de nature (humaine), mais elle est de faire valoir son intelligence d'un autre degré.
La tragédie d’Itaewon: Qui a tué 158 jeunes ?
RépondreSupprimerLe système les a tués et le mauvais leader a tué le système
Par Joseph H. Chung
Mondialisation.ca,
13 janvier 2023
Dans la soirée du 29 octobre, 130 000 hommes et femmes portant des costumes d’Halloween se sont rendus dans la région d’Itaewon à Séoul pour s’amuser et profiter de la liberté d’un confinement de 3 ans lié à la COVID-19.
Le rire joyeux, les chansons joyeuses et le cri de liberté se sont soudainement transformés en voix de désespoir, de peur, d’agonie et de la dernière voix qui s’estompe d’enfants mourants appelant leur famille et leurs amis aimés.
Dans une ruelle étroite et escarpée, des dizaines de milliers de personnes poussaient et bousculaient et les personnes au bas de la ruelle étaient écrasées à mort sous le poids de couches de corps humains.
C’était une tragédie provoquée par l’homme qui ne devrait pas arriver, qui ne pouvait pas arriver. Mais c’est arrivé et cela a emporté 158 vies précieuses et jeunes dont 26 étrangers et 198 personnes blessés.
Le monde se demande comment une telle tragédie peut se produire dans un pays comme la Corée du Sud qui est connu comme un pays modèle pour le développement économique, la sécurité, la sûreté et la démocratie, en particulier sous le gouvernement libéral de Moon Jae-in.
La question que le monde se pose est : pourquoi cette catastrophe d’origine humaine s’est produite en Corée du Sud.
Ce que je vais dire risque de déranger certains et allant même jusqu’à scandaliser d’autres personnes. Mais, il est temps que le monde prenne conscience de la réalité politique inquiétante qui est, en dernière analyse, responsable du désastre.
J’écris cet article en espérant que l’opinion mondiale se mobilise et fasse pression sur le gouvernement sud-coréen afin que la vérité, cachée, soit révélée, que les responsables soient punis et qu’une telle tragédie provoquée par l’homme ne se reproduise plus jamais.
J’offre mes sincères condoléances aux parents survivants de cette tragédie, dont 26 parents sont de pays étrangers.
J’espère également que les parents, étrangers (non-Coréens) ayant survécu à la tragédie se joindront aux Coréens dans leur lutte pour la vérité : pourquoi et comment leurs enfants sont morts.
Ce document examine les éléments suivants :
RépondreSupprimerÉchec du système de sécurité publique
Raisons de la défaillance du système
Impact de la catastrophe sur la politique de la Corée du Sud
Défaillance du système de sécurité publique
La faible priorité accordée à la sécurité publique est responsable de la catastrophe. Dans cet article, on explique l’échec de la sécurité publique en raison de l’absence de planification de cette sécurité publique.
Un bon système de planification de la sécurité publique devrait inclure les éléments suivants : planification préalable de la sécurité, la gestion des catastrophes [ou tragédies], l’analyse post-catastrophe et les mesures judiciaires conçues pour prévenir une catastrophe similaire dans l’avenir.
Mais dans cette section, je traiterai de la planification préalable et de la gestion des catastrophes.
Planification préalable :
La planification préalable de l’événement de la fête d’Halloween devrait être la responsabilité du maire du district de Yongsan où se trouve Itaewon. Mais, le maire, pour des raisons inconnues, ne l’a pas fait.
Ceci est difficile à comprendre compte tenu du fait que le district de Yongsan (quartier) avait organisé, pendant des années dans le passé, des événements de grande envergure dans la région d’Itaewon, y compris les festivités d’Halloween.
Ce que le gouvernement du district de Yongsan a fait, c’est de planifier uniquement le contrôle des tickets de circulation et la collecte des ordures, à l’exclusion de la planification de la sécurité pour la foule de la fête d’Halloween.
En d’autres termes, il n’y avait aucune planification de sécurité préalable pour protéger les jeunes qui aiment fêter l’Halloween. Cela est incompréhensible compte tenu du fait que l’on s’attendait à ce qu’une foule très nombreuse converge vers la zone d’Itaewon.
Gestion de la catastrophe :
RépondreSupprimerEn l’absence de plan de sécurité préalable, il n’a pas été facile de bien gérer et contrôler la foule. Avant toute chose, le réseau de communication ne fonctionnait pas.
Quelqu’un aurait dû signaler le danger et quelqu’un aurait dû envoyer de l’aide. Dans ce cas, l’aide était l’unité d’opération spéciale de la police nationale coréenne (KNPSOU). En réalité, quelqu’un a signalé le danger, mais aucune aide n’est venue.
Le jour de la catastrophe, le 29 octobre, déjà à 16h00, la foule d’Halloween a commencé à grossir. A 18h00, dans une ruelle étroite et escarpée, il y avait tellement de monde que quelqu’un a appelé le centre d’appel d’urgence 112 pour expliquer la situation et a demandé de l’aide qui n’est jamais venue.
Voici la liste des appels SOS : 18h34 : 20h09 : 20h33 : 20h53 ; 21h00 ; 21h02 ; 21h07 ; 21h10 ; 21h51 ; 22h11. Il y a eu 11 appels. Sur cette liste, il manque un appel.
Nous pouvons voir que les appels à l’aide sont devenus dramatiquement plus fréquents après 21h00. Cela montre que le nombre de décès augmentait rapidement après 21h00.
Au fil du temps, il y avait 30 personnes dans un espace de 8 m 2. . Une foule nombreuse remontait l’allée, tandis qu’une foule tout aussi nombreuse descendait l’allée. Et quelque part dans la ruelle, les deux foules se sont heurtées et de nombreuses personnes sont tombées et ont été écrasées à mort par le poids des multiples couches de corps humains. Ils ne pouvaient plus respirer, ils sont morts.
Le drame infernal s’est poursuivi jusqu’à 22h30 et 158 jeunes vies ont été sacrifiées à cause de la bêtise, de la cruauté et de l’irresponsabilité d’adultes qui auraient dû être mieux informés.
Le déploiement d’une unité d’opérations spéciales de la police (KNPSOU) aurait pu prévenir la catastrophe. Ils étaient près de la scène de la tragédie, mais ils ne sont pas venus, parce que quelqu’un a décidé de ne pas les envoyer sur les lieux de la catastrophe.
Bref, la gestion des catastrophes n’a abouti à rien. Ceux qui pouvaient empêcher la catastrophe n’étaient pas de service au moment crucial.
Park Hee-yong , maire du gouvernement du district de Yongsan a vu la foule se masser, mais elle n’était pas là pour empêcher la tragédie.
Lee Jae-hee : Le chef de la police du district de Yongsan était au courant de la crise et a demandé à l’agence de la police métropolitaine de Séoul le déploiement du KNPSOU spécialisé dans la gestion des grandes foules. Mais aucune aide n’est venue.
RépondreSupprimerRyu Mi-jin , chef du centre d’appels 112 était absent dans la salle gérant les appels d’urgence.
Kim Gwang-ho , chef de la police métropolitaine de Séoul, n’était pas présent dans son bureau. Il était chez lui dans la nuit du 29 octobre et a reçu le rapport après minuit.
Yoon hee-geun, chef de l’agence de police nationale, s’est rendu dans sa ville natale et au camping dans la nuit du 29 octobre. Il a reçu le rapport après minuit.
L’emplacement de Kim Soon-ho, le chef du Département de la police du ministère de l’Intérieur et de la Sécurité publique n’était pas connu. Ce département a été créé illégalement pour contrôler les forces de police afin de les utiliser à des fins politiques.
D’autre part, le chef de la caserne des pompiers de Yongsan, Choi Seon-beon, s’est rendu sur les lieux trop tard pour sauver des vies.
Lee Sang-min, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique n’était nulle part. Après tout, il est le ministre responsable de la sécurité publique en Corée.
Personne ne sait exactement où se trouvait le président Yoon Suk-yeol lors du massacre [tragédie]. En dernière instance, c’est lui qui avait la première responsabilité de la catastrophe.
Il ne fait donc aucun doute que le système de sécurité publique n’a pas réussi à sauver des vies. Mais, nous nous demandons pourquoi le système de sécurité publique a été un échec.
Raisons de l’échec du système de sécurité publique
Nous savons comment la tragédie s’est produite. Mais, personne ne sait pourquoi c’est arrivé. Cependant, beaucoup de gens ont tendance à lier la tragédie d’Itaewon aux comportements inhabituels et irrationnels du président, Yoon Suk-yeol, de sa femme, Kim Gun-hee et du chaman appelé Cheon-gong.
Permettez-moi de commencer par vous présenter Yoon Suk-yeol, président de la Corée du Sud depuis le 9 mai de cette année [2022] .
RépondreSupprimerPremièrement, il connaît très peu l’économie, la sécurité nationale, les relations internationales et surtout l’administration publique.
Deuxièmement , il fait reculer la machine à voyager dans le temps ; il vit dans la Corée d’il y a cinquante ans, celle de la dictature militaire. Il est devenu procureur et a passé toute sa vie à soupçonner des gens d’être des criminels potentiels, à les inculper, à enquêter et à les envoyer en prison.
Il regarde le monde à travers les yeux d’un procureur et non à travers les yeux d’un politicien.
Pour aggraver les choses, il essaie de résoudre les problèmes politiques comme des problèmes criminels. Il lui manque les qualités de compréhension, de communication et de compromis avec les autres, qualités indispensables pour un bon leader politique.
Troisièmement, il a été le pire des procureurs partiaux. Sa belle-mère est une criminelle bien connue, mais elle n’a jamais été vraiment punie pour ses crimes, notamment le détournement de fonds publics.
Sa femme est connue pour toutes sortes d’activités illégales et immorales, y compris la manipulation des cours des actions et le plagiat de ses diplômes universitaires de différentes manières manières. Elle n’a jamais été accusée ou poursuivie en raison de l’influence de son mari.
Quatrièmement, il est même soupçonné d’être alcoolique. Il manque souvent les grandes réunions de prise de décision en raison, probablement, de son alcoolisme.
Cinquièmement, ce sont des aspects très sérieux de Yoon Suk-yeol . En Corée, il y a un chaman appelé Cheon-gong qui prétend être le dernier sauveur de l’humanité envoyé par Dieu.
Dans un pays où la liberté de religion est garantie, l’existence du chaman Cheon-gong n’est pas un problème juridique.
Ce qui va suivre va certainement scandaliser le monde. C’est une triste réalité dans un pays comme la Corée qui est la 10e plus grande économie du monde.
RépondreSupprimerCe que je dis du chaman, Cheong-gong , est basé sur plusieurs sources d’information dont le reportage de KBS, le reportage de MBC, le récent reportage d’Ohmynews et même le reportage de ParisMatch (4 novembre 2022) sur la tragédie d’Itaewon.
Certes, dans un pays démocratique comme la Corée où la liberté religieuse est garantie, le chaman peut exister.
Mais, le problème est le fait que le président et sa femme sont de fidèles disciples du chaman, qui a déclaré que la femme de Yoon, Kim Gun-hee , assistait depuis des années à ses conférences, alors que le président rencontre souvent le chaman. Dès lors, on peut dire que le chaman et le couple présidentiel sont très proches l’un de l’autre.
Pour ne rien arranger, le chaman peut influencer les grandes décisions du président et de sa femme . Un récent sondage (das-bei-da-238) montre que 54,5% des personnes interrogées affirment que le chaman exerce une influence sur les décisions politiques du président.
La vision du chaman Cheon-gong est que le monde devrait être gouverné par le « jung-bop » (lois légitimes), ce qui n’est pas précisé. Mais, il semble que le chaman veuille gouverner le monde selon sa perception de ce qui est bien ou mal avec l’aide de quelqu’un. Cette personne semble être Yoon Suk-yeol.
Voici quelques cas connus montrant la relation étroite entre le chaman et Yoon.
Le chaman a demandé à Yoon de quitter le poste de procureur général et de se présenter à la candidature présidentielle, ce que Yoon a fait.
Cheon-gong a demandé à Yoon de tamponner la figure chinoise « roi » (王) sur la paume de ses mains. Yoon l’a montré lors du débat présidentiel télévisé. Cette figure chinoise est censée apporter la bonne fortune.
Une fois que Yoon est devenu président, le chaman a dit à Yoon de ne pas emménager dans la Maison Bleue (Maison Blanche coréenne) car les mauvais esprits de nombreux morts pourraient entrer dans Yoon, ce à quoi Yoon a obéi.
Le chaman aurait demandé à Yoon d’installer le bureau du président dans la région de Yongsan (au sud de la rivière Han). Yoon Suk-yeol a déplacé son bureau présidentiel dans la région de Yongsan.
Le chaman aurait dit à propos de la région de Yongsan :
« Le dragon viendra dans la région de Yongsan avec des pierres précieuses dans sa gueule. »
Le dragon semble être Yoon et les pierres précieuses sont censées être un nouvel ordre créé par Yoon.
Yoon Suk-yeol et son épouse se sont rendus à Londres le 18 septembre pour assister à la cérémonie funéraire de la défunte reine Elizabeth II . Il est soupçonné de ne pas être allé à la chapelle funéraire, car Cheon-gong lui a dit qu’il y avait un mauvais esprit dans la chapelle funéraire.
RépondreSupprimerOn voit maintenant que Yoon Suk-yeol prend des décisions importantes qui sont susceptibles d’être suggérées (ou ordonnées) par le chaman Cheon-gong .
Ainsi, nous pouvons dire que les décisions de Yoon dépassent la limite rationnelle habituelle du raisonnement .
Pour en revenir à la cause profonde de la tragédie d’Itaewon, ceux qui devraient être responsables de cette tragédie devraient admettre leur responsabilité et demander pardon aux familles et amis survivants et à la population coréenne. Mais ils ne l’ont pas fait.
Un récent sondage (das-boe-ie-da 238) montre qui est responsable de la catastrophe du 29/10.
Président, Yoon Suk-yeol : 65,0%
Ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Lee Sang-min : 74,3%
Maire de la ville de Séoul, O Se-hoon : 71,5 %
Maire du district de Yongsan, Park Hee-yong : 82,4 %
Cependant, ils se sont comportés et se comportent de manière irresponsable.
Tout d’abord , le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Lee Sang-min l’a dit le 30 octobre, au lendemain de la catastrophe.
« Même si nous déployions plus de forces de police, nous ne pourrions pas sauver les jeunes victimes. »
Cela sonne comme si le ministre savait à l’avance ce qui se passerait.
Deuxièmement , comme indiqué ci-dessus, les quatre principaux décideurs étaient absents de leurs postes pendant le moment fatal : Park Hee-young, maire du district de Yongsan ; Ryu Min-jin, le responsable du centre d’appels 112 ; Yoon Hee-gun, le chef national de Polive et Kim Gwang-ho, chef de la police meropolitaine de Séoul
Le chaman a également conseillé à la famille présidentielle et à d’autres hauts fonctionnaires du gouvernement Yoon d’utiliser la tragédie d’Itaewon pour la diplomatie internationale.
RépondreSupprimerTout cela semble complètement absurde, mais il y a des gens qui semblent prendre ce non-sens au sérieux.
Maintenant, si nous faisons le lien entre la déclaration du chaman et le fait que Yoon a l’habitude de faire ce que dit le chaman, nous devons arriver à une conclusion troublante : la mort de 158 jeunes personnes pourrait avoir un rapport avec les relations de collusion entre Yoon et le chaman.
Certes, rien ne prouve que Cheon-gong soit impliqué dans la tragédie.
Mais, de nombreux Sud-Coréens soupçonnent qu’il existe une relation entre la tragédie et la relation chaman-Yoon.
Des témoins de la tragédie ont déclaré que les véhicules ambulanciers ont d’abord emporté les cadavres, laissant derrière eux les blessés mourir. Pourquoi?
Il est évident qu’il est impossible de trouver la cause réelle de la tragédie. Ce qui s’est passé dans l’allée d’Itaewon, c’est la façon dont les jeunes sont morts ; ce n’est pas la cause de leur mort si atroce. Nous savons déjà comment ils sont morts, mais nous ne savons pas pourquoi.
On espère que l’enquête parlementaire en cours sur la tragédie invitera à tout prix Cheon-gong à clarifier l’intention derrière ses déclarations liées à la catastrophe d’Itaewon.
On espère également que l’enquête parlementaire à venir sera suffisamment audacieuse, solide et persistante pour résister à l’obstruction agressive du président et de son parti, le People Power Party (PPP).
Les comportements très belliqueux et irrationnels du président et du PPP montrent clairement qu’ils ne peuvent pas révéler la véritable cause de la tragédie qui semble avoir un rapport avec la collusion entre la famille du président et leur chef spirituel, Cheon-gong.
Impact de la tragédie du 29 octobre (tragédie d’Itaewon)
Il y a deux types d’impact : l’impact externe et l’impact interne. L’impact externe concerne la détérioration de la réputation de la Corée du Sud en tant qu’endroit le plus sûr du monde.
Durant les cinq années du gouvernement Moon Jae-in du Parti démocrate de Corée, la réputation de la Corée du Sud était très bonne en raison du succès de la politique anti-COVID 19, de l’adoption d’une nouvelle politique de croissance économique basée sur une répartition plus équitable des revenus, des relations extérieures productives et, surtout, une paix de trois ans sur la péninsule coréenne grâce au processus de paix Nord-Sud.
Mais, Yoon Suk-yeol a mis terni la réputation de la Corée du Sud après 6 mois de gouvernement en raison de la restauration d’une politique économique néolibérale destructive, d’une politique étrangère désastreuse et surtout de la tentative continue de susciter la dictature de procureurs corrompus.
Or, l’attitude irresponsable du gouvernement Yoon face à la tragédie du 29 octobre a donné le coup de grâce à la réputation internationale du pays du matin calme.
RépondreSupprimerLa tragédie du 29 octobre va faire de la Corée du Sud un pays dangereux et cela nuira à la crédibilité de son gouvernement et le tourisme en sera affecté. Les préjudices peuvent aller encore plus loin. La tragédie pourrait affecter négativement le leadership politique international de la Corée du Sud et même son commerce.
Mais l’impact interne peut être encore plus grave. Yoon Suk-yeol est sûrement le pire président que la Corée du Sud ait jamais eu. Son taux de popularité est demeuré autour de 30% depuis 6 mois. Il a la réputation peu flatteuse de recevoir le plus faible taux de reconnaissance international après le Premier ministre britannique à la retraite, Liz Truss.
Les principales raisons d’un si faible taux de popularité interne incluent son incapacité, son entêtement, ses manières non civilisées, son expérience nulle en politique, la violence, sa diplomatie destructrice, ses graves violations des droits de l’homme et, surtout, son ambition d’implanter une dictature de procureur.
C’est un véritable secret de polichinelle que la femme du président, Kim Gun-hee, dit au président, Yoon Suk-yeol, quelles devraient être les politiques nationales et que c’est le chaman, Cheon-gong, qui dit à Kim Gun-hee ce qu’il faut dire à son mari.
La majorité des Sud-Coréens ont déjà abandonné tout espoir pour le leadership présidentiel de Yoon et ont commencé une manifestation massive aux chandelles. Le 19 octobre, pas moins de 400 000 personnes sont descendues dans la rue et ont crié « A Bas Yoon Suk-yeol ! » et « En prison Kim Gun-hee ! »
L’enquête parlementaire sur la tragédie d’Itaewon se poursuit. Mais j’ai peur qu’elle ne puisse pas découvrir la véritable raison de la tragédie, car le gouvernement utilisera tous les moyens possibles pour cacher la vérité derrière cette tragédie. Il est possible que la véritable raison de la tragédie soit quelque chose qui ne peut être révélé.
Dans une telle situation, le mouvement Candle-Light augmentera en volume et en intensité menant inévitablement à la fin du gouvernement Yoon Suk-yeol .
Et, les Sud-Coréens auront peut-être à revoir la triste scène où le président quitte la résidence présidentielle…
https://www.mondialisation.ca/catastrophe-ditaewon-qui-a-tue-158-jeunes/5673903
RépondreSupprimerProgramme WEF : Scholz et von der Leyen sur scène
14 janvier 2023
par Thomas Oysmuller
Les sujets du sommet du WEF ne sont pas surprenants : climat, Covid, démocratie, inclusion, nouvelles technologies (de surveillance). La semaine prochaine commence l'événement Elite Orwellian Dystopian.
Des contrôles de sécurité massifs par la police et l'armée ont déjà commencé autour de la réunion "privée" de Davos. Le Forum économique mondial de cette année à Davos commence dans deux jours. Schwab veut rétablir la "confiance" parmi l'élite, a-t-il dit à l'avance. Cependant, presque seule l'élite transatlantique est présente à Davos. Alors, quoi de plus approprié qu'Ursula von der Leyen s'adressant au groupe de Davos mardi, la première journée complète du forum.
La confidente de Xi s'exprime également
Le discours de trente minutes de Leyen sera suivi de trente minutes par Liu He, un proche confident de Xi Jinping et vice-Premier ministre. Après tout, quelqu'un vient du deuxième niveau d'un pays BRICS, qu'il soit virtuel ou sur place n'est pas certain. Pour Schwab, qui a tenté de lier étroitement Davos à la Chine, c'est au moins un petit succès. Alain Berset, le président de la Suisse, reçoit également ses mots de bienvenue.
La première journée complète est consacrée au «climat». Comment protéger "les vulnérables au climat" et comment créer une "collaboration philanthropique public-privé". Quelle chance que Luisa Neubauer, la militante verte pour le climat, ait également été invitée.
Le WEF sait tout sur les fantasmes dystopiques. L'après-midi, sur une tribune, la "démocratie" est louée, parle de la pollution de l'environnement, de l'Ukraine et de plus en plus des technologies de surveillance.
- voir sur site -
Petit aperçu des sujets du WEF. Tout le programme est à retrouver ici.
Plus tard, Sanna Marin, la Première ministre finlandaise, les cadres du WEF et la femme qui est sur le point d'échanger la neutralité historique de la Finlande contre l'adhésion à l'OTAN, fait une apparition publique. Immédiatement après Marin, le Premier ministre espagnol prononcera un discours.
RépondreSupprimerUne table ronde suivra ensuite mercredi, notamment avec Stéphane Bancel, PDG de Moderna, sur "l'état de la pandémie". Là, on se demande : "Comment le monde peut-il faire passer sa stratégie COVID-19 du contrôle de la pandémie à la gestion des endémies et combler les lacunes persistantes dans l'accès aux diagnostics, aux thérapies et aux services de santé ?" Même si le WEF lui-même parle déjà d'"endémique", tous les visiteurs du WEF doivent être testés pour Covid.
Ou Bancel parle-t-il de la prochaine injection de Moderna pour traiter l'insuffisance cardiaque ? À peine sur le podium, mais peut-être dans une arrière-salle à Davos.
Le général de l'ONU Antonio Guterres est également autorisé à prendre la parole mercredi, tout comme le Premier ministre marocain. S'ensuit un débat sur la monnaie numérique de banque centrale. Là, les gouverneurs des banques centrales d'Israël et d'Afrique du Sud sont sur scène. Le sujet central également mercredi : le climat et les nouvelles technologies. Dans l'après-midi, Olaf Scholz est autorisé à prononcer un discours. Plus tard, il y aura un podium avec le chef de l'OTAN. Titre approprié pour le WEF orwellien : « Restaurer la sécurité et la paix ».
résoudre le WEF
Les autres jours apporteront également les sujets habituels du WEF. Au cours de la discussion, l'élite ne se retiendra pas non plus de présenter ses idées au monde. Bien que les jours du WEF étaient déjà plus brillants et qu'il émerge de plus en plus comme ce qu'il a toujours été : un forum de l'impérialisme américain. Même l'économiste Ernst Wolff a récemment émis l'hypothèse que "The Great Reset ne sera finalement pas exécutoire". La masse critique a considérablement augmenté.
Robert Malone recommande une manière différente de traiter le WEF : « Le WEF devrait être fermé et tous les jeunes leaders mondiaux et mondialistes devraient être démis de leurs fonctions. » Car il y a un risque que la prochaine génération vivra dans « un fascisme technologique » comme « serfs », être élevé. La demande de dissolution du WEF existe depuis des décennies. A Zurich, il y aura une semaine d'action et des manifestations contre le WEF. Le titre : "Tous contre le WEF - Smash WEF". Donc : Smash WEF.
RépondreSupprimerhttps://tkp.at/2023/01/14/wef-programm-scholz-und-von-der-leyen-auf-der-buehne/
Politique, vérité et son contraire - un mémorandum
RépondreSupprimer14 janvier 2023
du Dr. Gabrielle Feyerer
Les politiciens et les dirigeants disent-ils toujours la vérité ? Peut-on croire les histoires des représentants de notre peuple ? Dans quelle mesure sont-ils vraiment dignes de confiance et pouvez-vous vous fier à ce qu'ils disent ? Mais bien sûr !
Dans un autre bel État fédéral vit un bon ami et collègue partageant les mêmes idées qui, à mon avis, a une capacité remarquable : bien qu'il n'ait pas été vacciné et n'ait jamais voulu être vacciné, il a également été asservi, enfermé, menacé dans son intégrité physique par la vaccination obligatoire et lorsqu'un porteur de masque qui ne portait presque jamais de masque était sévèrement grondé, il trouvait encore et trouve encore la force de mener diverses enquêtes auprès d'institutions et de personnalités politiques afin de connaître leurs véritables intentions et opinions. Toujours aimable et courtois, afin – du moins c'est ce qu'il espère – de faire réfléchir l'un ou l'autre. Les réponses sont généralement tout aussi gentilles et autoritaires.
Monsieur le Président parlant…
Concernant l'inquiétude concernant une obligation de vaccination imminente, ma connaissance s'est tournée directement vers notre estimé M. le président fédéral à la fin de 2020 avec la question de savoir s'il y aurait une telle chose. Bien sûr, Herr vdB ne voit pas du tout de telles querelles, c'est pour cela qu'il a son bureau présidentiel. Et ceci répondu, signé par un gentleman Ministerialrat, comme suit :
« Merci beaucoup pour votre e-mail du d novembre. J., avec lequel vous exprimez, entre autres, votre inquiétude – pourtant totalement infondée – quant à une éventuelle obligation de vaccination.
Incidemment, au nom du président, ils se sont déclarés «non constitutionnellement responsables» et ont renvoyé au cabinet de santé sous Anschober.
Monsieur S. Kurz répondant…
RépondreSupprimerEncore plus significative est une correspondance ultérieure (automne 2021), pour laquelle ma connaissance a personnellement demandé au chancelier Kurz. Il a ensuite reçu une réponse détaillée de la Chancellerie fédérale, et bien sûr il y avait quelqu'un ici aussi, cette fois un conseiller de la cour, et dans la lettre en série (sans aucun doute) pour les non-initiés, il était écrit, entre autres :
"Nous lisons vos commentaires avec intérêt et pouvons vous assurer que Sebastian Kurz apprécie beaucoup que les citoyens pensent à la pandémie de coronavirus et le contactent directement avec leurs préoccupations et leurs suggestions d'amélioration. Les critiques constructives et un ton ouvert sont très importants pour lui.
Vraiment sympa et voilà :
"Comme cela a déjà été annoncé à plusieurs reprises par le gouvernement fédéral, il n'y aura pas d'obligation de vaccination en Autriche."
Puis un gros mais :
"Mais je (?) voudrais souligner que de nombreuses maladies ont été éradiquées parce que de nombreuses personnes ont accepté de se faire vacciner. C'est un choix libre, mais plus les gens se protègent, mieux c'est."
Cette lettre est particulièrement glamour en raison d'une sagesse dorée, qui a été littéralement mise au cœur de l'enquêteur :
"Sur le plan personnel, la vaccination Corona signifie que le risque de tomber gravement malade ou de mourir du COVID 19 est considérablement réduit. La vaccination peut prévenir de nombreuses maladies symptomatiques du COVID 19. Si, dans des cas exceptionnels, une maladie COVID 19 survient malgré la vaccination, l'évolution est nettement plus douce et les complications et les décès sont évités.
Cependant:
"L'objectif est donc que toute personne pour qui la vaccination est recommandée soit vaccinée."
(Quand un gouvernement fixe des objectifs, il faut être prudent...)
Et plus loin:
"Une forte participation à la vaccination dans la population réduit considérablement le fardeau de la maladie, les cas graves et les décès peuvent être évités et le fardeau sur le système de santé est allégé. Il existe de plus en plus de données provenant de l'utilisation des vaccins COVID 19 selon lesquelles les personnes vaccinées ont également une excrétion de virus réduite en raison d'une charge virale plus faible et sont donc moins contagieuses que les personnes non vaccinées.
Cependant:
RépondreSupprimer"Fondamentalement, nous pouvons souligner que l'objectif déclaré du gouvernement fédéral est de faire vacciner le plus de gens possible. Notre objectif principal (!) doit être d'augmenter encore la couverture vaccinale.
Et plus loin:
"Par conséquent, je renouvelle mon appel urgent : veuillez vous faire vacciner et compléter votre protection vaccinale. La vaccination contre le Covid 19 n'est pas seulement notre seul (!) moyen de sortir de la pandémie, elle protège également plus de 90 % contre l'infection et donc aussi contre le Long Covid.
Papperlapapp et ainsi de suite… avec des liens vers des "pages d'informations Covid".
Quiconque est un peu instruit dans les tactiques rhétoriques aurait dû le deviner...
Enfin, référence est faite à la déclaration du ministre de la Santé de l'époque, Mückstein, qui a déclaré : « Ne prenez aucun risque, faites-vous vacciner ! (tout reste dans le haut du bras de toute façon...)
Encore plus aimable que la déclaration faite dans certaines causeries par un médecin qui apprécie tellement les patients qu'il aurait proposé de dire à ceux qui ne le voudraient pas : « Faites-vous vacciner, espèce de cochon stupide !
Eh bien, les médias (psycho)sociaux n'oublient rien non plus.
C'est ainsi que vous traversez la vie et une «pandémie» à tout moment. Il suffit d'écouter docilement les politiciens, mais surtout ceux qui connaissent leur chemin et sourient très agréablement à la caméra - on les appelle des experts. Tous ont toujours de bonnes intentions pour nous, les événements des mois suivants l'ont clairement montré, n'est-ce pas ?
Et maintenant pour l'argent
Parce que mon ami ne peut tout simplement pas abandonner et s'inquiète actuellement d'une éventuelle abolition de l'argent liquide, il a écrit personnellement au ministre des Finances Brunner à ce sujet et lui a demandé son avis. Dans son ministère, bien sûr, il y a aussi une "Team BMF Communication" pour répondre (les noms spécifiques sont probablement moins populaires, personne ne veut être "à blâmer"). Je cite des extraits de cette lettre de réponse afin que nous puissions prendre note de toutes ces vérités contraignantes :
"Merci d'avoir écrit pour nous faire part de vos réflexions générales. Nous apprécions votre confiance, mais aussi que vous ayez pris le temps de nous faire part de vos suggestions. C'est une des prémisses claires de notre travail à la direction des finances que nous sommes toujours à l'écoute des réactions de la population et que nous attachons une grande importance au dialogue.
RépondreSupprimerEn ce qui concerne la suppression du cash dont vous avez parlé, nous pouvons donc vous assurer que le ministère fédéral des Finances est en tout cas favorable à son maintien comme moyen de paiement - dans le cadre de la réglementation anti-blanchiment applicable.
Cette position est également sécurisée dans le programme gouvernemental (!) et nous continuerons à travailler à tous les niveaux pour que la trésorerie soit préservée. Parce que cela donne aux gens – comme vous l'avez très bien souligné – un sentiment de sécurité, d'indépendance et de liberté.
Nous voulons préserver cette liberté pour les gens.
Eh bien, la dernière phrase fond dans nos bouches.
Nous devons faire attention lorsque le programme gouvernemental est mentionné - cela peut changer aussi rapidement que le gouvernement lui-même.
Et la mention « dans le cadre de la réglementation applicable en matière de blanchiment d'argent » - qu'est-ce que cela pourrait signifier en substance ? Les provisions peuvent être ajustées. Nous pouvons être excités.
En tout cas, mon bon ami n'est pas une personne fictive - il existe réellement. Les lettres originales citées sont en sa possession pour vérification à tout moment. Cependant, que tous nos principaux gouvernements et politiciens existent vraiment et (sont) encore capables de penser par eux-mêmes, ou si une IA contrôlante ou même des extraterrestres maléfiques pourraient envoyer des lettres types à leur place, de nombreux "théoriciens du complot" protégés par l'aluminium pourrait bien avoir cette idée, parce que les politiciens et les initiés ne diraient jamais le mensonge... n'est-ce pas ?
Dans tous les cas, nous nous souviendrons bien de tout et n'en oublierons pas une syllabe. Pas comme une menace - juste une déclaration.
https://tkp.at/2023/01/14/die-politik-die-wahrheit-und-ihr-gegenteil-ein-memorandum/
Première fois depuis le 11 septembre : tous les vols aux États-Unis sont cloués au sol en même temps en raison d'une panne du système de la FAA
RépondreSupprimervendredi 13 janvier 2023
par : Belle Carter
(Natural News) Plus de 8 000 000 vols ont été retardés et 1 200 ont été annulés à travers l'Amérique le mercredi 11 janvier, en raison d'une panne du système de la Federal Aviation Administration (FAA). Selon le site de suivi FlightAware, tous les vols partout aux États-Unis ont été cloués au sol pour la première fois depuis le 11 septembre après une panne du système d'avis aux missions aériennes (NOTAM).
"Il s'agit donc d'un moyen uniforme et normalisé de transmettre des messages de sécurité importants aux aéroports, aux avions et aux compagnies aériennes", a déclaré le secrétaire du ministère des Transports, Pete Buttigieg. "Par exemple, si une piste est fermée ou peut-être une balise de navigation est quelque chose qu'un pilote aurait besoin de savoir pour des raisons de sécurité."
Les premières plaintes de passagers selon lesquelles leurs vols avaient été cloués au sol ont commencé vers 4 h 00 HNE mercredi, mais ce n'est qu'à 6 h 30 que la FAA a annoncé qu'elle avait cloué au sol tous les vols à la suite d'un crash nocturne de son Système NOTAM, que les pilotes utilisent pour recevoir des avertissements de danger et des mises à jour de sécurité. À 9h00, le problème avait été résolu et les vols ont recommencé à décoller. Mais la pause de plusieurs heures a plongé le voyage de la journée dans un chaos qui devrait durer des heures, voire des jours.
La FAA a déclaré dans un communiqué que l'agence poursuivait un examen approfondi pour déterminer la cause profonde de la panne du système NOTAM. « Notre travail préliminaire a retracé la panne à un fichier de base de données endommagé. À l'heure actuelle, il n'y a aucune preuve d'une cyberattaque. La FAA travaille avec diligence pour identifier davantage les causes de ce problème et prendre toutes les mesures nécessaires pour empêcher que ce type de perturbation ne se reproduise », a-t-il déclaré.
Zach Griff, rédacteur principal du site Web de voyage The Points Guy, a déclaré qu'une fois le système redevenu opérationnel, les vols étaient théoriquement autorisés à reprendre, mais les compagnies aériennes ne peuvent pas simplement "redémarrer" leurs opérations.
Il a déclaré qu'en raison de nombreux avions déjà retardés et au mauvais endroit, les équipages de conduite des avions ont déjà été retardés et qu'ils ne peuvent légalement travailler qu'un certain nombre d'heures. "Cet effet domino continuera d'entraîner une multitude de retards et d'annulations à travers les États-Unis, probablement dans les prochains jours", a noté Griff.
Experts : Il n'y a aucune excuse pour une défaillance du système et le manque de plans de sauvegarde
RépondreSupprimerSelon les experts, ce n'est pas un phénomène courant. "Je n'ai rien fait de tel, on dirait que cela fait un certain temps que la FAA n'a peut-être pas eu de problèmes dans le passé, mais rien récemment ou au cours des derniers, je dirais cinq à six ans", Will Rogers a déclaré Stacey Hamm de l'aéroport mondial.
L'attachée de presse de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre, a déclaré sur Twitter qu'il n'y avait aucune preuve d'une cyberattaque. «Le président a été informé par le secrétaire aux transports ce matin de la panne du système de la FAA. Il n'y a aucune preuve d'une cyberattaque à ce stade, mais le président a ordonné au DOT de mener une enquête complète sur les causes. La FAA fournira des mises à jour régulières », a-t-elle tweeté.
Les experts de l'industrie du transport aérien ont critiqué Buttigieg pour la débâcle car il n'a pas expliqué la panne lors d'une conférence de presse, affirmant seulement que les vols avaient été bloqués "par excès de prudence". (Connexes : une vidéo de pilote, une interview de la FAA révèlent une étrange rencontre avec un avion non identifié au-dessus d'Atlantic City.)
Les analystes ont déclaré qu'il n'y avait "aucune excuse" pour cet échec, qui est le dernier d'une série de maux de tête embarrassants liés aux transports depuis son entrée en fonction.
« ‘Il n’y a aucune excuse pour cela. Nous avons besoin de personnes qualifiées liées à l'aviation en charge de la FAA, pas de personnes qui connaissent des gens à Washington", a déclaré Michael Boyd, président du Boyd Group, une société de recherche aéronautique, à "Squawk Box" de CNBC.
L'activiste politique et entrepreneur Donald Trump Jr. a déclaré que la panne "a fait ressembler l'Amérique à un pays du tiers monde" tandis que l'attaché de presse adjoint du gouverneur de Floride Ron DeSantis a tweeté : "Le maire Pete passe une autre excellente journée en tant que secrétaire aux Transports ! Peut-être devrions-nous passer moins de temps sur les routes racistes et plus de temps sur nos infrastructures critiques. »
Visitez Glitch.news pour plus d'informations sur les pannes de système informatique.
Regardez la vidéo ci-dessous qui parle de l'effondrement de la FAA exposant la dépendance à l'IA.
Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
RépondreSupprimerLa FAA met en garde contre le déploiement de la 5G alors que les compagnies aériennes mettent à niveau les radioaltimètres pour éviter les interférences.
GÉRÉ PAR LE SILICIUM : les aéroports se tournent vers les ROBOTS pour appliquer les protocoles COVID à mesure que les voyages en avion se normalisent.
Le déploiement bâclé de la 5G par le régime de Biden entraîne une reprogrammation massive des vols, considérée comme l'acte le plus "totalement irresponsable" dans l'aviation.
Verizon, AT&T s'apprête à activer des milliers de nouvelles tours 5G, créant des problèmes de santé et d'aviation.
Sources include:
DailyMail.co.uk 1
DailyMail.co.uk 2
KTUL.com
Twitter.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-01-13-all-us-flights-grounded-faa-system-outage.html
5 raisons pour lesquelles l'or est vert
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 14 JANVIER 2023 - 15:20
Écrit par Ronni Soeferle via GoldSwitzerland.com,
Introduction par Matthew Piepenburg
Dans ce rapport rafraîchissant et axé sur les faits, le conseiller de Matterhorn Asset Management (MAM), Ronni Stoeferle, examine de plus près la fausse « guerre écologique » contre l'or.
Dans un monde où les récits publics ne cessent de croître et qui sont complètement en contradiction avec la réalité transparente (de la guerre de « Poutine » à « l'inflation transitoire »), il ne faut pas s'étonner que l'actuel ESG et « l'armée de la révolution verte » de l'Occident éveillé se soient transformés son arme politique vise le seul métal précieux qui constitue la plus grande menace pour un système de monnaie fiduciaire en voie de disparition : l'or. Avec des poitrines gonflées et des prétentions nobles, le leadership environnemental mondial a commodément lancé un assaut fallacieux mais frontal sur l'extraction de l'or (et donc sur l'or) en tant que menace environnementale.
Comme c'est pratique…
Heureusement, l'analyse de Ronni des données d'utilisation/consommation d'or, des caractéristiques du gaz carbonique et des comparaisons environnementales avec les monnaies fiduciaires conventionnelles fournit un contexte beaucoup plus factuel (plutôt que politiquement chargé) à cette guerre autrement fausse contre les métaux les plus précieux de l'histoire.
5 raisons pour lesquelles l'or est vert
Dans l'industrie de l'or également, l'ESG est désormais sur toutes les lèvres. Derrière l'abréviation ESG se cache la volonté de motiver les entreprises à poursuivre activement des objectifs écologiques, sociaux et de bonne gouvernance. Les notations ESG offrent aux investisseurs et aux ONG la possibilité de suivre les progrès de cet effort et d'identifier les meilleures entreprises du secteur.
Cependant, il est faux de limiter le concept de durabilité uniquement à ces notations ESG. Après tout, les notations n'évaluent que les sociétés minières, mais pas les métaux précieux eux-mêmes. L'or souffre particulièrement de cette vision limitée de la durabilité. Par exemple, l'extraction de l'or est généralement signalée dans un contexte négatif. Les conditions de travail inhumaines dans certaines mines d'or en Afrique ou la menace environnementale posée par la contamination au cyanure sont au centre de ce rapport.
La détection de telles fautes est sans aucun doute justifiée et importante. Cependant, le fait que de telles nouvelles découragent complètement les investisseurs soucieux de l'environnement ou socialement engagés d'investir dans le métal jaune est une réaction exagérée. Cela peut sembler surprenant à première vue : les investisseurs soucieux de l'environnement devraient se concentrer sur l'or comme instrument d'investissement. L'or est vert parce que
RépondreSupprimerl'or est utilisé et non consommé
Les émissions de gaz carbonique ne se produisent que dans l'extraction relativement insignifiante de nouvel or
l'or est polyvalent dans son utilisation
de nombreuses autres matières premières ont des performances écologiquement nettement inférieures
la monnaie fiduciaire a également un mauvais bilan environnemental.
1. L'or est utilisé et non consommé
Dans le débat public, les représentations tronquées sont actuellement très en vogue. Les voitures électriques sont considérées comme respectueuses du climat car, contrairement aux voitures à moteur à combustion interne, leur fonctionnement ne provoque aucune émission. Les émissions supplémentaires et l'impact environnemental causés par la production d'électricité et la fabrication et la mise au rebut de la voiture ne sont pas pris en compte. Dans ce contexte, cependant, seule la vue d'ensemble sur l'ensemble du cycle de vie devrait être pertinente pour une évaluation écologique. Et de ce point de vue, l'or est en effet le métal le plus durable au monde en raison de ses propriétés élémentaires, du processus d'extraction et de sa valeur stable.
L'or est extrait depuis plus de 7 000 ans. Au cours de cette période, plus de 205 000 tonnes ont été produites, ce qui équivaut à la taille d'environ 3,5 piscines olympiques. Plus de la moitié de celle-ci a été exploitée depuis les années 1950. Ce qui est crucial pour la durabilité et l'empreinte environnementale de l'or, c'est que pratiquement tout l'or jamais extrait est toujours utilisé. Avec chaque bijou en or, chaque pièce d'or, chaque lingot d'or, il y a une chance que certains d'entre eux aient été utilisés pendant des siècles, voire des millénaires. Contrairement aux biens de consommation tels que l'alimentation, les matières premières, mais aussi l'immobilier, l'or n'est pas consommé, mais simplement utilisé.
Par conséquent, la nouvelle production d'or n'est guère significative dans une vue d'ensemble, comme le montre le ratio stock-flux. La valeur actuelle d'environ 58 signifie que la quantité d'or déjà existante est 58 fois la quantité de la nouvelle production annuelle actuelle. En d'autres termes, le «taux d'inflation» annuel, c'est-à-dire la croissance du stock d'or mondial par rapport à la quantité déjà extraite et utilisée (!), Est faible et relativement stable. Il oscille entre 1,2 % et un maximum de 2,4 %.
RépondreSupprimerEn tant que métal précieux, l'or se caractérise par le fait qu'il ne réagit pas chimiquement avec l'air ou ses composants tels que l'oxygène, le gaz carbonique et d'autres gaz. Cela protège l'or de perdre son éclat. L'or reste donc à jamais dans sa forme la plus pure. Cela en fait le véhicule d'investissement idéal qui peut être transmis de génération en génération. Les coûts sociaux et environnementaux de l'extraction de l'or peuvent par conséquent s'étaler sur une période de temps presque infiniment longue, les faisant converger vers zéro. La permanence de l'or signifie également que l'or ne doit jamais être éliminé comme un déchet. Personne ne jettera volontairement de l'or, mais voudra le recycler à des fins lucratives.
2. Des émissions importantes de gaz carbonique ne sont générées que pendant l'exploitation minière
La forte concentration actuelle sur la réduction des émissions de gaz carbonique pour lutter contre le changement climatique devrait également conduire à une plus grande concentration sur l'or parmi les investisseurs. En effet, l'or est un métal et un investissement résolument respectueux du gaz carbonique.
Trois sources différentes sont distinguées dans l'attribution des émissions de gaz carbonique. Les émissions du champ d'application 1 couvrent les émissions nuisibles au climat qui sont rejetées au sein de l'entreprise elle-même, le champ d'application 2 comprend les émissions causées par les fournisseurs d'énergie de l'entreprise, et enfin le champ d'application 3 couvre celles qui se produisent dans la chaîne d'approvisionnement en amont et en aval.
Pour de nombreux produits, la bonne partie des émissions provient des chaînes d'approvisionnement en amont et en aval, c'est-à-dire le champ d'application 3. Cependant, les émissions de champ d'application 3 des sociétés minières d'or sont presque négligeables, car un lingot d'or est très rarement transformé. De plus, les émissions de gaz carbonique de Scope 1 et Scope 2 par once d'or produite sont extrêmement faibles pour les grandes exploitations.
La comparaison avec d'autres matières premières le montre clairement. La production d'aluminium consomme près de 11 fois plus de gaz carbonique par dollar américain de valeur de production, l'acier plus de 5,5 fois, le charbon près de trois fois et le zinc plus de deux fois. Le cuivre se situe dans la région de l'or, le plomb légèrement en dessous, tandis que le minerai de fer est beaucoup plus respectueux du gaz carbonique, avec environ deux tiers d'émissions en moins. Cependant, le recyclage de l'or produit 90 % moins d'émissions de gaz carbonique que l'extraction de l'or, et environ 25 % de la demande annuelle d'or est satisfaite par le seul recyclage.
RépondreSupprimerDe plus, l'or qui a déjà été extrait ne provoque aucune émission supplémentaire, car celles-ci sont générées exclusivement lors de l'extraction et du raffinage de l'or. L'or est utilisé et non consommé. Par conséquent, la possession d'or physique ne produit aucune émission. Seule la transformation de l'or en bijoux et l'utilisation industrielle de l'or émettent une petite quantité de gaz carbonique supplémentaire. Au fil du temps, l'or physique continuera donc à réduire l'intensité des émissions d'un portefeuille.
3. L'or verdit un portefeuille
Par conséquent, une augmentation de la part de l'or dans le portefeuille d'un investisseur réduit considérablement l'empreinte gaz carbonique et l'intensité des émissions de l'ensemble du portefeuille. Pour un portefeuille composé à 70 % d'actions et à 30 % d'obligations, une allocation de 10 % d'or réduit l'intensité des émissions de 7 %. Une allocation d'or de 20 % réduit les émissions de 17 %, selon les calculs du World Gold Council dans son étude lisible "L'or et le changement climatique - Décarboner les portefeuilles d'investissement".
4. L'argent Fiat nuit au climat et à l'environnement
Les monnaies fiduciaires, en revanche, ont un impact majeur sur l'environnement. Il y a environ 1,5 trillion de pièces en circulation dans le monde, avec un poids total estimé à 5,25 millions de tonnes, composé principalement de nickel, de cuivre et d'acier. Les billets en circulation en 2018 étaient d'environ 576 milliards. Chaque année, environ 150 milliards de nouveaux billets sont mis en circulation. Cela correspond à un ratio stock/flux de moins de 4 ans. En d'autres termes, un billet de banque a une espérance de vie de seulement 4 ans.
Les dégâts environnementaux que ces énormes quantités de coton, d'eau, d'encre et de polymères ainsi que de métal causent continuellement sont énormes, surtout si on les compare aux 205 000 tonnes d'or qui ont été extraites à ce jour.
Cela pose la question plus que légitime de savoir si notre système actuel de monnaie fiduciaire peut être qualifié de durable – et ce de deux manières : d'une part, durable au sens de compatibilité écologique, et d'autre part, durable au sens économique. En effet, les coûts marginaux négligeables de la production de papier-monnaie encouragent une expansion excessive de la masse monétaire, ce qui provoque des distorsions à la fois écologiques et économiques.
RépondreSupprimer5. L'or est polyvalent dans son utilisation
L'or est également très durable en raison d'autres propriétés. Sa gravité spécifique et sa malléabilité font de l'or la monnaie idéale. Il peut être utilisé pour transporter une grande quantité de valeur dans un espace confiné, ou il peut être martelé en feuille d'or fine comme du papier de moins d'un micron d'épaisseur. Il était très prisé il y a des milliers d'années et reste le premier choix. des banques centrales aujourd'hui. Contrairement à une monnaie papier, les réserves d'or n'ont pas besoin d'être reconstituées pour maintenir le pouvoir d'achat, car l'or est largement immunisé contre l'inflation.
Conclusion
Un examen plus approfondi révèle sans aucun doute que, contrairement à une multitude de rapports et de préjugés répandus par les médias, l'or peut déjà être classé comme un investissement très durable au sens des directives ESG. Et toute l'industrie fait de grands efforts pour éliminer les imperfections restantes. Au-delà de l'importance de l'or pour les investisseurs et l'industrie, les avantages indéniables de l'or devraient soulever la question de savoir si le système monétaire actuel peut être rendu plus durable grâce à une plus grande intégration de l'or. non seulement pour des raisons environnementales mais aussi pour des considérations de durabilité économique.
Ainsi, quiconque se détourne de l'or se détourne en fait du métal le plus durable au monde en termes de bilan gaz carbonique, de quantité de déchets et de quantité de ressources utilisées.
https://www.zerohedge.com/markets/5-reasons-why-gold-green
Même s'il est vanté que l'or existe et le sera toujours il en est de même pour tous les métaux (qui rouillent sans disparaître) ou les minerais qui se recyclent en gaz lors de leur combustion et qui se recyclent en minerais !
SupprimerL'investissement dans l'or serait une bonne chose dès lors qu'il existe un marché libre ! Or, il n'a jamais existé de marché libre mais d'un 'bureau' qui affiche sa valeur à la tête du client !
Le prix de l'or devrait être (par sa rareté) à 1000 fois plus élevé qu'aujourd'hui.
Que pensez-vous de la religion ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 14 JANVIER 2023 - 02:00
Que pensez-vous de la religion ?
Comme Katharina Buchholz de Statista le détaille ci-dessous, selon le pays dans lequel vous vous trouvez, cette question est plus ou moins susceptible de susciter un haussement d'épaules ou même une objection à la croyance religieuse.
En Chine, le pourcentage le plus élevé de personnes parmi les 56 pays et territoires inclus dans l'enquête mondiale auprès des consommateurs de Statista est non religieux ou athée, ce dernier décrivant les personnes rejetant l'idée qu'il existe un Dieu.
- voir cadre sur site -
Infographie : que pensez-vous de la religion ? | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Parmi les pays européens, l'Allemagne se classe en tête pour la part de sa population non religieuse et athée, qui représente environ un tiers des répondants à l'enquête âgés de 18 à 64 ans.
Même dans un pays souvent associé à la religiosité - l'Italie - un quart des personnes entre ces âges ne sont pas religieux aujourd'hui.
La religion a une emprise un peu plus forte sur les États-Unis, la Russie et le Brésil, tandis qu'en Afrique du Sud, les non-religieux sont à un chiffre à seulement 9 % des adultes de moins de 65 ans. En Inde, enfin, être non-religieux ou athée est pratiquement inconnu, avec seulement deux pour cent des répondants au sondage déclarant appartenir à l'une des deux catégories.
https://www.zerohedge.com/political/how-do-you-feel-about-religion
Notez sur le graphique que c'est la Chine qui a le plus de personnes intelligentes (74 %) ! à côté de l'Inde... avec seulement 2 % !
SupprimerAllemagne 34 %, Italie 25 % et Russie-USA 24 % !
Le retour du vinyle continue
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 14 JANVIER 2023 - 05:20
Poursuivant l'un des retours les plus surprenants de l'ère numérique, les ventes d'albums vinyle aux États-Unis ont augmenté pour la 17e année consécutive.
Comme le rapporte Felix Richter de Statista, selon Luminate, 43,5 millions de disques vinyles ont été vendus aux États-Unis l'année dernière, soit plus de 48 fois par rapport à 2006, lorsque le retour du vinyle a commencé.
- voir graph sur site -
Infographie : Le retour du vinyle se poursuit | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Alors, quelle est vraiment l'ampleur du retour du vinyle ?
Devrions-nous tous dépoussiérer nos vieux tourne-disques pour préparer l'avenir analogique de la musique ?
Selon le rapport musical de fin d'année 2022 de Luminate, les LP ont représenté 43% des ventes d'albums aux États-Unis l'année dernière, ce qui est assez important.
En tenant compte du streaming et des téléchargements de pistes uniques, cependant, ce nombre tombe à moins de 5% de la consommation de musique équivalente à l'album, ce qui met les choses en perspective.
Aussi grand ou petit que puisse être l'impact de l'augmentation des ventes de disques vinyles sur les résultats de l'industrie de la musique, il est fascinant de voir une technologie centenaire revenir d'une quasi-extinction. Les biens physiques, semble-t-il, ont encore de la valeur pour de nombreuses personnes, même à l'ère numérique.
Fait intéressant, les disques vinyles semblent être devenus un peu des objets de collection pour les fans, qui écoutent de la musique numériquement mais veulent toujours posséder un objet physique : selon Luminate, seuls 50 % des acheteurs de vinyles ont un tourne-disque.
https://www.zerohedge.com/technology/vinyl-comeback-continues
La Chine domine toujours le marché des terres rares
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 14 JANVIER 2023 - 03:20
Les éléments de terres rares (REE) sont des métaux utilisés dans de nombreuses technologies clés d'aujourd'hui, telles que les éoliennes, les écrans de téléphone et même les moteurs électriques.
Comme le révèle cette infographie de Martin Armstrong de Statista, quiconque a besoin de l'un de ces 17 éléments chimiques aura du mal à s'en procurer ailleurs qu'en Chine.
- voir cadre sur site -
Infographie : La Chine domine le marché des terres rares | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
La République populaire possède les plus grandes réserves mondiales de ces métaux pas si rares.
Selon une analyse du U.S. Geological Survey, environ 44 millions de tonnes de REO (oxydes de terres rares) dorment dans le sol chinois.
Le deuxième stock le plus important se trouve au Vietnam, mais selon les estimations des géologues, il n'est que la moitié de celui de la Chine, avec 22 millions de tonnes de REO. De même, plus de 20 millions de tonnes seraient cachées sous le sol russe et brésilien.
Sans la catapulter au rang de superpuissance des terres rares, la Suède vient d'annoncer la découverte de ce qui pourrait être le plus grand gisement connu d'Europe - une zone estimée à plus d'un million de tonnes métriques de REO.
Actuellement, les terres rares ne sont exploitées nulle part en Europe, 98 % des terres rares utilisées dans l'UE en 2021 étant importées de Chine.
La Chine est responsable d'environ 61 % de la production minière mondiale et exploite donc de loin la plus grande part des éléments commercialisés sur le marché mondial.
Les États-Unis, en revanche, alors qu'ils sont le deuxième plus grand producteur, sont un petit acteur relativement parlant avec une part de marché d'environ 15,5 %.
https://www.zerohedge.com/commodities/china-still-dominates-rare-earth-market
FRANCE: Des journaux aux cahiers, en passant par le PQ, le prix du papier flambe
RépondreSupprimerDepuis le début de l’année, quotidiens, papier de toilette, rouleaux d’essuie-tout mais aussi cahiers coûtent plus cher en France. La faute à une hausse des coûts de production due aux prix de l’énergie.
14 janvier 2023, 11:03
Au 1er janvier, le prix du «Monde» a augmenté, comme celui de la quasi-totalité des quotidiens nationaux français.
«Le Monde» et «Le Figaro» à 3,20 euros, «Libération» et «La Croix» à 2,70 euros… Au 1er janvier, presque tous les quotidiens nationaux français ont relevé le prix de vente en kiosque. En cause, la flambée du prix du papier qui se répercute aussi sur les cahiers ou encore l’essuie-tout. Selon le Syndicat national de l’édition, s’exprimant dans les colonnes du «Figaro», le prix du papier a bondi de 85% depuis début 2021.
La hausse est particulièrement visible dans les kiosques, avec une hausse de 10 à 20 centimes du prix des principaux journaux, mais tous les produits à base de papier subissent une augmentation de leur prix de vente depuis un an. Ces hausses sont la marque de l’augmentation des coûts de production tout au long de 2022. Entre 10 % et 20 % des coûts de production d’une usine de papier sont consacrés au gaz et à l’électricité. En moyenne, tous secteurs confondus, dans l’UE, la part de l’énergie dans les coûts de production d’une entreprise est de 1 % à 3 %.
Le papier toilette a augmenté de 20 %, les mouchoirs de 13 %
En outre, le prix du bois, ingrédient de base du papier, reste très élevé puisque les poêles utilisant des granulés de bois, et auxquels ont recours les particuliers pour se chauffer, sont devenus très populaires en 2022. «C’est le même type de granulé que celui utilisé pour la fabrication du papier», explique Paul-Antoine Lacour, délégué général de l’Union française des industries des cartons, papiers et celluloses.
Les effets se font sentir aussi en bout de chaîne. Le prix du rouleau d’essuie-tout en grande distribution a augmenté de 26 % entre décembre 2021 et décembre 2022, indique le panéliste NielsenIQ. La hausse est de 20 % pour le papier toilette, de 7,6 % pour les produits d’hygiène féminine et les couches, de 13 % pour les mouchoirs et emballages papier, toujours selon NielsenIQ. La rentrée littéraire de janvier est en outre marquée par une augmentation du prix des livres.
Tout au long de 2022, les fabricants de produits à base de papier ont accumulé des hausses de coûts de production.
Négociations tendues avec les distributeurs
Tout au long de 2022, les fabricants de produits à base de papier ont accumulé des hausses de coûts de production qu’il leur était parfois difficile de répercuter sur le prix de vente aux distributeurs, qui refusaient d’infliger une hausse trop subite à leur clientèle.
«Les négociations pour 2022 étaient un peu tendues», se rappelle Guillaume Nusse, PDG de Clairefontaine, qui produit chaque année 26’000 cahiers en papier pour la grande distribution. Mais avant la fin de 2022, son entreprise a pu «répercuter les hausses» lors de renégociations avec les distributeurs.
RépondreSupprimerPas de hausse prévue pour 2023
Au global, pour 2022, le patron de Clairefontaine estime à «20 % à 30 %» l’augmentation du prix de ses produits dans les rayons des magasins distributeurs. «Il n’y a pas d’augmentation des prix de vente prévus en 2023», ajoute-t-il cependant. «Tout va dépendre du prix de l’énergie. Il y a surtout de l’incertitude.»
Les coûts de l’énergie sont en reflux depuis la fin 2022. «Mais ils n’ont pas baissé pour nous car on est sous contrat à prix fixe», explique Emmanuel Coulon, directeur général de Papeco, fabricant français de produits d’hygiène en papier. «La tendance générale est à l’incertitude et à la forte volatilité», résume Paul-Antoine Lacour.
https://www.lematin.ch/story/des-journaux-aux-cahiers-le-prix-du-papier-flambe-320705492491
MAL PUR : Le régime de Lula da Silva au Brésil injecte de force à ses ennemis politiques des « vaccins » mortels contre le covid
RépondreSupprimerSamedi 14 janvier 2023
par : Lance D Johnson
(Natural News) Maintenant que le populaire président brésilien Jair Bolsonaro a été démis de ses fonctions, une nouvelle force communiste se lève pour prendre sa place. Bolsonaro avait largement résisté à une grande partie de la tyrannie médicale qui a balayé le monde de 2020 à 2022. Il a riposté contre les mandats et les passeports vaccinaux, et a plaidé pour la confidentialité médicale, les droits à l'autonomie corporelle et le traitement approprié des Brésiliens.
Maintenant, le nouveau président, Luiz Inácio Lula da Silva, insiste pour persécuter ses ennemis politiques et les injecter de force dans des cellules de fortune. Le régime de Lula da Silva a arrêté plus de 1 500 personnes qui ont protesté contre les résultats officiels des élections de 2022 au Brésil. Environ sept cent soixante-trois des manifestants sont accusés d'invasion et de déprédation de bâtiments publics à Praca dos Tres Pederes. Ils sont actuellement soumis à un dépistage de la maladie, vaccinés de force et envoyés dans des cellules de fortune, en attendant une nouvelle punition. Les prisonniers font appel à la Cour suprême fédérale du Brésil pour une demande de liberté.
Des prisonniers politiques brésiliens sont injectés de force avec des coups de mort covid-19
Selon le gouvernement du district fédéral, le nombre d'individus rassemblés à ce jour comprend 498 hommes et 265 femmes. Les hommes sont envoyés au centre de détention provisoire de Papuda et les femmes sont séparées et envoyées dans des structures séparées à Colmeia. Les journalistes sur le terrain ont fourni des détails sur les conditions auxquelles ces prisonniers politiques sont confrontés. Les prisonniers reçoivent un uniforme et un matelas enroulé, sans oreiller ni couverture. On leur remet un kit d'hygiène qui comprend du savon, des serviettes hygiéniques, du dentifrice et une brosse à dents. Les cellules sont de tailles différentes et peuvent accueillir plusieurs détenus. Une salle de bain est disponible dans la cellule. Tous les téléphones portables sont confisqués. Les détenus qui soutiennent Bolsonaro sont séparés des autres prisonniers.
Le plus choquant, c'est que les détenus sont traités comme des esclaves médicaux. Ils sont obligés de subir des tests médicaux et d'être soumis à des piqûres de covid-19. Un groupe de travail médical a été déployé dans les camps pour injecter le vaccin covid-19 aux détenus, contre leur volonté. Pour de nombreux détenus, ces coups forcés sont comme un coup mortel. Les vaccins Covid ont déjà tué plus de 32 000 personnes au Brésil.
Tout détenu qui est déterminé à avoir une comorbidité est également obligé de prendre des médicaments approuvés par le gouvernement. Les prisonniers sont nourris avec un régime minable en attendant leur audience virtuelle avec un juge et un procureur.
Lorsqu'il est temps de comparaître devant un juge, les détenus sont amenés dans un environnement carcéral appelé un parlement. Ces salles d'audience de fortune ont été créées lors du scandale du covid-19 par des communistes qui cherchaient à faciliter les ordonnances de quarantaine et l'isolement physique de la population non vaccinée. Ces parlements sont maintenant utilisés pour accélérer la persécution des prisonniers politiques, qui sont brutalisés contre leur volonté et essentiellement forcés d'avouer leur soutien au régime de Luiz Inácio Lula da Silva.
RépondreSupprimerAu cours de ces séances, un juge apparaît virtuellement sur un écran. Les détenus disposent d'un court laps de temps pour présenter leur dossier au juge virtuel et au procureur. Pour accélérer le processus, trente magistrats sont déployés sur écran pour traiter plusieurs affaires à la fois. Un avocat de la défense assiste l'accusé, mais le processus de chaque poursuite prend environ 20 à 30 minutes au total. Ceux qui ont été pris en flagrant délit de dégradation de biens sont immédiatement condamnés. Les poursuites qui manquent de preuves directes sont renvoyées directement à la Cour suprême fédérale, où le ministre Alexandre de Moraes rend un jugement sur la demande de liberté de l'individu.
Pour suivre les dernières nouvelles, visitez ChemicalViolence.com.
Les sources comprennent :
Estado.com
CNN.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-01-14-lula-da-silva-regime-in-brazil-forcibly-injects-political-enemies-covid-vaccines.html
Les libéraux gâchent tout, y compris la science
RépondreSupprimerC'est le même The Lancet qui a publié un faux article scientifique maintenant rétracté sur le covid en 2020. Les rédacteurs en chef du journal sont apparemment déterminés à détruire le peu de crédibilité qui reste à la publication.
Pendant ce temps, le reste du monde regarde avec horreur et peut-être avec amusement la folie absolue de l'idéologie «progressiste», qui devient apparemment plus folle de jour en jour.
"C'est une étude bizarre", a tweeté la chercheuse Maya Forstater. "Il conclut que" les caractéristiques cliniques du monkeypox chez les femmes et les individus non binaires étaient similaires à celles décrites chez les hommes "- (mais) 47% des femmes étaient des hommes."
"Il n'est pas surprenant qu'ils aient des caractéristiques cliniques similaires à celles des hommes", a-t-elle encore plaisanté à propos de la folie de cette étude.
Comme c'est probablement l'un de leurs objectifs, les gauchistes derrière cette étude sapent la confiance du public dans le monde médical en publiant ces tripes en premier lieu.
"Les mêmes personnes qui font ces études sont les gens en colère que les gens ne fassent pas confiance aux autorités médicales et consomment de la" désinformation "", a tweeté Jeremy Carl, chercheur principal à l'Institut Claremont.
Beaucoup d'autres sur Twitter ont à juste titre critiqué l'étude et ses auteurs pour avoir utilisé des termes désobligeants et offensants comme «cis» et «femme assignée à la naissance» pour décrire de vraies femmes.
"Je doute de toute la science dans ce journal lorsque des mots comme" non binaire ", " trans " et " cis " sont utilisés ", a écrit l'un d'eux.
Ce ne serait pas la première fois que The Lancet utilise des termes aussi grotesques. Dans son numéro de septembre de l'année dernière, le journal décrivait de manière dégradante les vraies femmes comme des "corps avec des vagins".
Le problème lui-même était grotesque en soi, car il était centré sur le concept de «périodes exposées» et sur ce qu'il décrivait comme «le mouvement culturel contre la honte menstruelle et #PeriodPoverty».
Partout, les vraies femmes se lassent de tous ces dénigrements désobligeants de leur personnalité. Certains d'entre eux ont récemment organisé une manifestation devant le bureau londonien du Lancet, dont vous pouvez regarder un clip vidéo ci-dessous :
RépondreSupprimer#HearMeRoar honte au Lancet pic.twitter.com/H1ZFIuXOPe
– Lily Maynard (@LilyLilyMaynard) 8 octobre 2021
Plus d'informations sur les dernières escroqueries poussées par les globalistes peuvent être trouvées sur Hoax.news.
Les sources de cet article incluent :
Newsbusters.org
ThePostMillennial.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-01-13-junk-science-study-monkeypox-women-trans-men.html
Covid était un programme militaire d'armes biologiques - y compris les "vaccins" - prévient Sasha Latypova
RépondreSupprimerVendredi 13 janvier 2023
par : Ethan Huff
(Natural News) Le chat est sorti du sac concernant le rôle direct joué par le département américain de la Défense (DoD) dans le lancement de « contre-mesures covid », y compris le soi-disant « vaccin ».
Toute la charade covid, a révélé le chat bot AI lorsqu'on lui a demandé: "Quel était le rôle du DoD dans les contre-mesures covid?" était un programme militaire d'armes biologiques utilisé pour emprisonner le monde sous une tyrannie oppressive.
"Le ministère de la Défense (DoD) a joué un rôle important dans le développement de contre-mesures contre le COVID-19, la maladie causée par le nouveau coronavirus", a déclaré l'AI Chat Bot. "Le DoD a travaillé en étroite collaboration avec d'autres agences fédérales, telles que le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS), pour répondre à la pandémie."
«L'un des principaux rôles du DoD dans la réponse au COVID-19 était de fournir un soutien logistique et des ressources médicales pour aider les travailleurs de la santé et les premiers intervenants en première ligne de la pandémie. Le DoD a également travaillé pour développer et distribuer des équipements de protection individuelle (EPI) et d'autres fournitures pour soutenir les efforts d'intervention.
L'AI Chat Bot a également révélé que le DoD "a fourni des fonds et des ressources pour soutenir le développement de vaccins et de traitements" pour le covid - l'un d'eux étant la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) par le biais de son programme "Rapid Response Research".
"Dans l'ensemble, le DoD a joué un rôle vital dans la réponse à la pandémie de COVID-19 en fournissant un soutien logistique, des ressources médicales et un financement des efforts de recherche et développement pour lutter contre la maladie", a conclu le AI Chat Bot dans sa réponse.
(En relation: Hunter Biden était responsable d'une société d'investissement qui a financé la recherche sur les armes biologiques en Ukraine.)
Les dépenses du gouvernement pour les «contre-mesures de covid» étaient réservées aux «démonstrations» et aux «prototypes», selon les informations – c'était TOUT FAUX
Ceci est important car il est lié aux révélations qui ont été obtenues via la demande de loi sur la liberté d'information (FOIA) et les divulgations de la SEC concernant l'argent des contribuables qui a été dépensé pour des contre-mesures covid via des contrats «Other Transactions Authority» (OTA).
Ces contrats OTA démontrent la large portée de l'implication du gouvernement dans l'escroquerie covid, qualifiant ses mesures anti-virus de "démonstrations" et de "prototypes" uniquement - ce qui signifie que rien de tout cela n'était réel.
RépondreSupprimer"En d'autres termes, le gouvernement américain et le DOD ont spécifiquement ordonné une fausse représentation théâtrale aux fabricants de produits pharmaceutiques", explique Sasha Latypova, écrivant pour Due Diligence and Art.
"Juste pour s'assurer que les sociétés pharmaceutiques sont libres de mener la contrefaçon, les contrats incluent la suppression de toute responsabilité pour les fabricants et tous les sous-traitants tout au long de la chaîne d'approvisionnement et de distribution en vertu de la loi PREP de 2005 et de la législation fédérale connexe."
L'utilisation des contrats OTA était spécifique et ciblée en raison du fait que leur financement contourne la réglementation. Il y a également une responsabilité financière minimale attachée aux contrats OTA par rapport aux contrats gouvernementaux standard.
"'Autre' est une catégorie fourre-tout qui n'est pas un contrat, pas une subvention de recherche, pas un approvisionnement, etc. : pas un contrat gouvernemental normalement réglementé / responsable", écrit Latypova.
En ce qui concerne les soi-disant « vaccins », l'utilisation de contrats OTA contourne également les exigences normales de sécurité et d'efficacité des vaccins, y compris la conformité aux bonnes pratiques de fabrication (cGMP). C'est pourquoi les tirs ont pu être déclenchés à une vitesse fulgurante en quelques mois au lieu de plusieurs années.
Les sociétés pharmaceutiques Pfizer et Moderna faisaient bien sûr partie de ces contrats, tout comme le gouvernement israélien et BioNTech. L'escroquerie a été taillée des années à l'avance et introduite dans le système par des moyens sinistres, c'est pourquoi Pfizer et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis se sont battus, mais ont échoué, pour garder ces contrats secrets pendant les 75 prochaines années.
"Dans les coulisses, les" ennemis officiels "sont des partenaires et des co-investisseurs dans des" coentreprises "contre nous, les gens du monde", révèle Latypova sur la façon dont il s'agit d'une grande cabale sombre et louche par rapport au reste d'entre nous.
Les dernières nouvelles sur covid peuvent être trouvées sur Plague.info.
Les sources de cet article incluent :
SashaLatypova.substack.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-01-13-covid-military-bioweapons-program-including-vaccines.html
Les vaccins COVID sont "évidemment dangereux" et devraient être arrêtés immédiatement, déclarent des médecins suédois expérimentés
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 14 JANVIER 2023 - 14:10
Écrit par le Dr Johan Eddebo via The Daily Sceptic,
S'ensuit une déclaration publique d'un groupe de cinq médecins seniors suédois qui, en collaboration avec le Dr Johan Eddebo, chercheur en numérisation et droits de l'homme, lancent l'alerte sur les vaccins Covid, qu'ils qualifient d'"évidemment dangereux". Ils disent qu'il devrait y avoir un "arrêt immédiat" de la vaccination de masse en attendant des "enquêtes approfondies" sur la véritable incidence et la gravité des effets indésirables.
Le véritable caractère et l'étendue des dommages causés par les vaccinations de masse sans précédent contre le COVID-19 commencent à peine à devenir clairs. Des revues scientifiques de premier plan ont enfin commencé à publier des données corroborant ce que la communauté de recherche clandestine a observé au cours des deux dernières années, en particulier en ce qui concerne les problèmes complexes de suppression immunitaire.
Des chiffres vraiment préoccupants concernant à la fois les naissances et la mortalité émergent également.
En ce moment, une nouvelle variante d'Omicron prétendument super-infectieuse fait la une des journaux. Une sous-variante de XXB, cette souche est censée posséder des capacités d'évasion immunitaire précisément du type que certains chercheurs indépendants ont prédit qu'elle suivrait dans la foulée de la fixation antigénique étroite des vaccinations de masse.
L'OMS soutient que dans le monde, 10 000 personnes meurent encore chaque jour à cause de Covid, un nombre de morts invraisemblable plus de dix fois supérieur à celui d'une grippe moyenne. Il réitère le besoin urgent de vaccinations, en particulier à la lumière de la réouverture de la Chine et des données prétendument falsifiées sur la mortalité et les infections.
L'UE a même convoqué un sommet d'urgence à la lumière du prétendu "chaos Covid" chinois qui "rappelle comment tout a commencé à Wuhan, il y a trois ans".
En Suède, le ministre de la Santé et des Affaires sociales a déclaré ne pas pouvoir exclure de nouvelles restrictions, et précise que chacun doit prendre "ses trois doses", puisque "seulement" 85% de la population est "complètement vaccinée".
Qu'une couverture vaccinale aussi étendue n'ait pas donné de meilleurs résultats après près de deux ans est un fait remarquable. D'autant plus que certaines personnes reçoivent quatre expositions répétées ou plus au même antigène vaccinal, mais contractent toujours la maladie contre laquelle elles sont censées être immunisées.
RépondreSupprimerDans le même temps, des signes avant-coureurs encore plus inquiétants abondent.
L'un de ces signes avant-coureurs est le fait que la mortalité moyenne dans de nombreux États occidentaux est toujours à un niveau remarquablement élevé, bien que les effets directs du coronavirus soient marginaux depuis plus d'un an. Les données d'EuroMOMO indiquent une surmortalité marquée dans l'UE pour l'ensemble de 2022, et le Bureau allemand des statistiques rapporte que la mortalité du pays en octobre était supérieure de plus de 19% à la valeur médiane des années précédentes.
Est-ce dû au Covid, comme semblerait l'indiquer le chiffre de "10 000 par jour" de l'OMS ?
Le blâme est placé aux pieds de «Long Covid» ainsi que des infections aiguës régulières, mais selon les statistiques d'EuroMOMO et de Our World in Data, la majeure partie des décès excédentaires en Europe en 2022 ne sont en fait pas dus à des infections à coronavirus cliniquement manifestes .
De plus, nous ne devrions pas voir un excès de décès dû à un virus respiratoire de ce type après trois ans d'exposition mondiale en raison de l'inévitable consolidation de l'immunité naturelle.
Si une telle situation persiste, la connexion hypothétique à une suppression de l'immunité liée au vaccin qui vient d'être mise au point devient pertinente pour enquêter en détail.
Si, comme cela a été avancé, les vaccinations, et surtout les rappels, modifient le profil immunitaire des receveurs de sorte que les infections à Covid soient « tolérées » par le système immunitaire, il est possible que les personnes vaccinées tendent vers une situation de long terme, répétée infections qui ne sont pas éliminées et ne présentent pas de symptômes évidents, tout en favorisant des dommages systémiques.
La littérature indique désormais une large substitution chez les vaccinés des anticorps neutralisants du virus par des anticorps non inflammatoires, un « changement de classe » des anticorps qui agissent pour éliminer le virus de notre système, à une catégorie d'anticorps dont le but est de nous désensibiliser à irritants et allergènes.
L'effet net est que la réponse inflammatoire à l'infection par Covid est régulée à la baisse (réduite). Cela signifie que les infections à part entière présenteront des symptômes plus légers et qu'elles ne seront pas éliminées aussi efficacement (en partie parce que la fièvre et l'inflammation sont essentielles pour que votre corps se débarrasse d'un agent pathogène).
RépondreSupprimerQue ces développements à eux seuls ne soient pas la cause d'un arrêt immédiat des vaccinations de masse, ainsi que d'enquêtes approfondies, est étonnant.
Il y a bien sûr une autre explication partielle potentielle, plus connue, à la surprenante surmortalité. Nous avons des indications de troubles de la coagulation liés aux vaccins Covid, évidents dans une nouvelle étude nordique majeure, tandis que des études répétées mettent en évidence une corrélation claire entre les maladies cardiaques et la vaccination Covid (voir Le Vu et al., Karlstad et al. et Patone et al. ).
Une étude thaïlandaise récemment publiée a en outre indiqué que près d'un tiers des jeunes vaccinés inscrits présentaient des manifestations cardiovasculaires, et une étude suisse encore non publiée suggère que jusqu'à 3% de toutes les personnes vaccinées manifestent des lésions du muscle cardiaque.
Et comme indiqué ci-dessus, nous voyons également des signaux relatifs aux troubles de la fertilité liés aux vaccins Covid.
Une étude israélienne montre une altération de la motilité et des concentrations de sperme après la vaccination Pfizer et Moderna. Le comité de sécurité de l'Agence européenne des médicaments a également affirmé que les vaccins peuvent provoquer des troubles menstruels, et les propres études de Pfizer indiquent que les nanoparticules lipidiques des vaccins à ARNm se regroupent dans les organes reproducteurs.
L'hypothèse selon laquelle les vaccinations contre le COVID-19 influencent la fertilité est étayée par une baisse significative et sans précédent du taux de natalité suédois au cours des premiers mois de 2022. Selon les démographes suédois, la baisse est "surprenante".
Il existe des données similaires provenant de nombreux autres pays occidentaux, et poursuivre les vaccinations de masse pour les groupes à faible risque tels que les enfants ou les femmes enceintes est totalement irresponsable - d'autant plus que les vaccinations ne font que peu ou rien pour arrêter la propagation comme initialement promis, et est souvent encore faussement entretenu.
On espère que l'hypothèse d'une baisse de la natalité due aux vaccinations pourra être démentie par une enquête approfondie et indépendante dans les plus brefs délais. Les chiffres sont vraiment inquiétants.
Pourtant, le fait que les données de Pfizer relatives aux troubles de la fertilité aient été cachées et devaient être découvertes via une demande FOIA est typique de toute la situation.
RépondreSupprimerIl n'y a presque pas de débat public indépendant sur ces questions, et les perspectives critiques sont activement supprimées par les principales plateformes numériques.
Les organismes de surveillance publics tels que l'Agence européenne des médicaments sont financés par l'industrie pharmaceutique et fondent souvent leurs recommandations sur les études internes de Big Pharma. L'indépendance de nos institutions scientifiques et académiques est menacée, et nous voyons une confluence entre la recherche scientifique, les intérêts des entreprises privées et les objectifs politiques et idéologiques à tous les niveaux.
Placer un filtre numérique de censure sur tout cela, où des algorithmes propriétaires microgèrent le flux d'informations et le débat public conformément aux intentions de leurs propriétaires, signifie en pratique abolir la société démocratique ouverte et la recherche scientifique indépendante.
Des révélations récentes montrent également que les plateformes numériques ont activement œuvré pour supprimer les points de vue critiques sur les politiques Covid et les vaccinations de masse. Twitter a pour cela développé des stratégies de censure clandestine et employé ce que l'on appelle le « shadowbanning » avec pour effet une suppression presque indétectable de la visibilité des publications et comptes liés à des perspectives et analyses indésirables. Facebook a supprimé plus de sept millions de messages pour influencer le débat sur Covid uniquement au cours du deuxième trimestre de 2020. YouTube a interdit la publication de matériel vidéo contenant des perspectives critiques sur les vaccinations Covid. Un tel contenu est qualifié de « mésinformation » et de « désinformation », qu'il soit ou non étayé par des données pertinentes.
Ce genre de mesures a des conséquences très graves. Le contrôle centralisé du flux d'informations par la numérisation n'affecte pas seulement la politique au niveau local et régional, mais influence également la manière dont le travail scientifique et journalistique peut être conçu et réalisé. Il crée des structures qui répriment immédiatement les opinions hétérodoxes et font taire les voix critiques par la peur et la persécution indirecte.
La confiance du public dans nos institutions communes sera inévitablement érodée par cette évolution.
La société ouverte a désespérément besoin d'une renaissance. Les discours démocratiques et scientifiques doivent être reconstruits à partir de zéro, et d'une manière qui respecte les risques nouveaux et uniques de notre situation contemporaine, et qui protège et souligne la responsabilité du citoyen individuel.
La clé de cela dans notre situation actuelle est de poursuivre les questions critiques concernant les vaccinations de masse évidemment dangereuses et d'enquêter sur la corruption de nos institutions politiques et scientifiques que la situation de Covid a mis en lumière.
RépondreSupprimerIl est essentiel que nous commencions immédiatement à réparer les dommages importants causés à la santé publique mondiale et à la société ouverte en tant que telle.
Johan Eddebo, Ph.D, chercheur en numérisation et droits humains
Sture Blomberg, MD, Ph.D, professeur agrégé en anesthésiologie et soins intensifs et ancien médecin-chef
Ragnar Hultborn, professeur émérite, spécialiste en oncologie
Sven Román, MD, psychiatre pour enfants et adolescents, depuis 2015 Psychiatre consultant travaillant en psychiatrie pour enfants et adolescents dans toute la Suède
Lilian Weiss, professeure associée, spécialiste en chirurgie
Nils Littorin, résident en psychiatrie, docteur en microbiologie clinique
Les auteurs sont membres du réseau bio-médico-légal de Läkaruppropet. Ils organisent une conférence à Stockholm les 21 et 22 janvier en collaboration avec le réseau Swedish Doctors' Appeal. Il se concentrera principalement sur les conséquences de la politique mondiale du COVID-19 et les effets des vaccins Covid.
https://www.zerohedge.com/medical/covid-vaccines-are-obviously-dangerous-and-should-be-halted-immediately-say-senior-swedish
La FDA et le CDC aux États-Unis voient le lien entre l'injection de C19 bivalent de Pfizer et l'AVC
RépondreSupprimer14 janvier 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Au cours des deux dernières années, le mantra « sûr et efficace » a été propagé par les politiciens, les « experts » et les médias d'entreprise. Cependant, les données n'ont pas été collectées du tout, ont été cachées et dissimulées, ou ont été attribuées de manière incorrecte dans les études d'approbation. Une astuce de base dès le départ consistait à appeler les vaccinés non vaccinés pendant 5 à 8 semaines après la première dose. Strictement parlant, une fraude sur le peuple.
Maintenant, cependant, la vérité se répand lentement, même dans les médias d'entreprise. Reuters rapporte aujourd'hui qu'un système de surveillance de la sécurité a indiqué que la seringue COVID-19 mise à jour du fabricant américain de médicaments Pfizer et BioNTech pourrait être liée à un type d'accident vasculaire cérébral chez les personnes âgées, selon les données préliminaires publiées par les autorités sanitaires américaines ont été analysées.
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis et la Food and Drug Administration (FDA) ont déclaré vendredi qu'une base de données de vaccins du CDC a découvert un problème de sécurité potentiel dans lequel les personnes âgées de 65 ans et plus peuvent être testées 21 jours après avoir reçu le vaccin bivalent. de Pfizer/BioNTech sont plus susceptibles de subir un AVC ischémique qu'entre 22 et 44 jours.
C'est l'un des effets secondaires dangereux que des scientifiques et des médecins réputés signalent depuis 2020 en raison de la méthode des préparations d'ARNm et de vecteurs. Lorsque les protéines de pointe se logent dans les cellules endothéliales des vaisseaux sanguins et notamment dans les capillaires, elles sont attaquées et détruites par le système immunitaire. Les mesures de réparation en raison de la blessure entraînent l'obstruction des veines. Voici ce que Reuters écrit lui-même :
« L'AVC ischémique, également connu sous le nom d'ischémie cérébrale, est causé par des blocages dans les artères qui transportent le sang vers le cerveau.
Exactement , il était clair dès le début que ce serait la conséquence de la méthode de vaccination. Et pas seulement pour les personnes de plus de 65 ans, mais pour tout le monde. Cela peut également être lu ici à TKP depuis 2020.
La FDA et le CDC ont maintenant déclaré que d'autres grandes études, le système de notification des événements indésirables des vaccins du CDC, les bases de données d'autres pays et les bases de données de Pfizer-BioNTech n'ont pas signalé ce problème de sécurité, ajoutant qu'une enquête plus approfondie est nécessaire. La raison en est cependant que les données ont été systématiquement supprimées et falsifiées dès le départ, ce que Reuters ne précise bien sûr pas.
"Bien que l'ensemble des données suggèrent actuellement qu'il est très peu probable que le signal dans le VSD (Vaccine Safety Datalink) pose un risque clinique réel, nous pensons qu'il est important de partager cette information avec le public " , ont cité les autorités sanitaires . Pourquoi seulement maintenant, alors que nous le savons depuis plus de deux ans ?
RépondreSupprimerPfizer et BioNTech ont déclaré dans un communiqué qu'ils étaient au courant de rapports limités d'AVC ischémiques chez les personnes de 65 ans et plus après la vaccination avec le vaccin mis à jour.
« Ni Pfizer et BioNTech, ni le CDC, ni la FDA n'ont observé de résultats similaires dans de nombreux autres systèmes de surveillance aux États-Unis et dans le monde, et il n'y a aucune preuve que l'AVC ischémique soit associé à l'utilisation des vaccins COVID-19 des sociétés. ", les entreprises continuent d'essayer de se calmer et continuent de vendre leurs produits potentiellement mortels.
Mais cela est précisément dû à la nature du système de surveillance et à la suppression systématique des signalements. L'UE a récemment supprimé tous les cas d'effets secondaires liés à l'UE de la base de données américaine. Cependant, le procureur enquête sur la corruption dans le cadre de l'achat de 5,4 milliards de doses pour la vaccination de 450 millions de citoyens de l'UE.
Même la BBC ne peut plus éviter de signaler les effets secondaires massifs :
Le récit s'est effondré... Le vaccin COVID19 non seulement ne fonctionne pas, il tue des gens.
Les médias grand public ne peuvent plus soutenir l'ignorance volontaire.
Je prédis que même les agences américaines captives et CORROMPUES FDA et CDC seront forcées de retirer la thérapie génique expérimentale !
https://tkp.at/2023/01/14/fda-cdc-in-usa-sehen-zusammenhang-zwischen-bivalenten-c19-spritze-von-pfizer-und-schlaganfall/
Un conseiller de la FDA déclare que les personnes jeunes et en bonne santé ne devraient pas recevoir les derniers boosters COVID
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 14 JANVIER 2023 - 20:30
Écrit par Jack Phillips via The Epoch Times
Un conseiller en vaccins de la Food and Drug Administration se demande si les personnes jeunes et en bonne santé devraient recevoir de nouveaux rappels COVID-19, arguant que ces vaccins devraient être utilisés pour les personnes plus âgées.
"Je pense que nous devrions cesser d'essayer de prévenir toutes les infections symptomatiques chez les jeunes en bonne santé en les stimulant avec des vaccins contenant de l'ARNm de souches qui pourraient disparaître quelques mois plus tard", a écrit le Dr Paul A. Offit, conseiller et professeur du panel de vaccins de la FDA. de pédiatrie à l'hôpital pour enfants de Philadelphie, dans le New England Journal of Medicine le 11 janvier.
Dans son article, Offit a cité deux études suggérant que les boosters bivalents, qui ciblent la souche COVID-19 originale et deux sous-variantes Omicron BA.4 et BA. 5, ne "provoquent pas de réponses immunitaires supérieures".
"Pourquoi la stratégie d'augmentation significative des anticorps neutralisants BA.4 et BA.5 à l'aide d'un vaccin bivalent a-t-elle échoué?" Il a demandé. "L'explication la plus probable est l'empreinte. Les systèmes immunitaires des personnes immunisées avec le vaccin bivalent, qui avaient tous déjà été vaccinés, ont été préparés pour répondre à la souche ancestrale du SRAS-CoV-2. Ils ont donc probablement répondu aux épitopes partagés par BA.4 et BA.5 et la souche ancestrale, plutôt qu'aux nouveaux épitopes sur BA.4 et BA.5.
Offit a noté que sur la base de ces études, "le rappel avec un vaccin bivalent est susceptible d'avoir un effet similaire à celui d'un rappel avec un vaccin monovalent", mais a souligné que "le dosage de rappel est probablement mieux réservé aux personnes les plus susceptibles d'avoir besoin d'une protection contre les maladies graves. ”
Un autre médecin semblait être d'accord avec les conclusions d'Offit concernant "l'empreinte". Le Dr Amesh Adalja, chercheur principal au Johns Hopkins Center for Health Security, a déclaré à U.S. News qu '«il se peut que le système immunitaire des gens soit tellement préparé à répondre à la protéine de pointe de la souche ancestrale qu'un rappel reformulé ne soit pas en mesure de stimuler pleinement le système immunitaire parce qu'il a été « imprimé » par la version originale du virus ».
RépondreSupprimerPlus de détails
Les données et les études ont montré que les personnes âgées et les personnes dont le système immunitaire est affaibli sont les plus à risque de développer des symptômes graves de COVID-19, une hospitalisation et la mort. Pendant ce temps, il a été démontré que les enfants ont le moins de risques de décès, d'hospitalisation ou de développer des symptômes graves depuis le début de la pandémie.
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et la FDA ont déclaré que toutes les personnes de plus de 6 mois reçoivent des rappels mis à jour au moins deux mois après leurs dernières doses de vaccin. Les rappels bivalents ont été autorisés en cas d'urgence pour les enfants âgés de 6 mois à 4 ans le 9 décembre.
Pendant ce temps, un petit nombre d'Américains ont reçu les boosters mis à jour, selon le CDC. Au 4 janvier, environ 15 % des personnes âgées de 5 ans et plus avaient reçu des vaccins bivalents, tandis qu'environ 38 % des adultes âgés de 65 ans et plus en avaient reçu.
Ces mêmes données du CDC montrent également qu'environ 80,9% de tous les Américains ont reçu au moins une dose d'un vaccin COVID-19 depuis leur lancement il y a deux ans, tandis que 69% ont terminé leur première «série primaire».
Une porte-parole de la FDA, Abigail Capobianco, a répondu à l'article d'Offit cette semaine, déclarant à NBC News qu'Offit aurait utilisé des données "sélectives" pour parvenir à ses conclusions et que "nous croyons fermement que la totalité des preuves disponibles continue de soutenir l'utilisation de ces vaccins dans tous les cas". les groupes d'âge."
"Dr. Offit a droit à son opinion sur l'efficacité des vaccins bivalents COVID-19 utilisés comme rappels », a également déclaré Capobianco.
RépondreSupprimerPlus tôt cette semaine, Offit a déclaré à CNN que le CDC et la FDA ont déclaré qu'ils n'avaient pas reçu de données réelles sur la capacité du booster bivalent à bloquer la transmission du virus avant que ces boosters ne soient approuvés par les agences fédérales. Les données ont montré qu'environ 1,9% des personnes qui ont reçu le premier rappel étaient infectées, contre 3,2% qui ont reçu le vaccin bivalent, a rapporté CNN.
"J'étais en colère de découvrir qu'il y avait des données pertinentes pour notre décision que nous n'avons pas pu voir", a déclaré Offit à CNN. "Les décisions qui sont prises pour le public doivent être prises sur la base de toutes les informations disponibles - pas seulement certaines informations, mais toutes les informations."
Le panel de vaccins de la FDA doit se réunir le 26 janvier pour déterminer les futurs schémas de vaccination pour lutter contre le COVID-19.
Epoch Times a contacté Moderna et Pfizer pour commentaires.
https://www.theepochtimes.com/mkt_app/fda-adviser-says-young-and-healthy-people-shouldnt-get-latest-covid-boosters_4980656.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge
Le CDC fait part de ses inquiétudes concernant l'enquête sur le mandat de piqûres-Pfizer
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 15 JANVIER 2023 - 01:00
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) affirment que les données recueillies sur le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 méritent une enquête sur les risques potentiels d'AVC pour les personnes âgées de 65 ans et plus.
"Suite à la disponibilité et à l'utilisation des vaccins COVID-19 mis à jour (bivalents), le Vaccine Safety Datalink (VSD) du CDC, un système de surveillance en temps quasi réel, a satisfait aux critères statistiques pour inciter une enquête supplémentaire à déterminer s'il y avait un problème de sécurité pour ischémique accident vasculaire cérébral chez les personnes âgées de 65 ans et plus qui ont reçu le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19, bivalent », lit-on dans un communiqué vendredi.
"L'enquête à réponse rapide du signal dans le VSD a soulevé la question de savoir si les personnes de 65 ans et plus qui ont reçu le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19, bivalent étaient plus susceptibles d'avoir un accident vasculaire cérébral ischémique dans les 21 jours suivant la vaccination par rapport aux jours 22-44 après la vaccination », poursuit le communiqué.
Le vaccin bivalent comprend "un composant de la souche virale d'origine pour fournir une large protection contre le COVID-19 et un composant de la variante omicron pour fournir une meilleure protection contre le COVID-19 causé par la variante omicron", selon la FDA.
L'agence n'a notamment pas vu le même "signal préliminaire" qui a déclenché l'enquête sur le vaccin Moderna.
L'agence a ajouté qu'il est "très peu probable que le signal dans le VSD représente un véritable risque clinique" et ne recommande aucune modification des protocoles de vaccination pour le moment.
Selon la représentante Cathy McMorris Rodgers (R-WA), qui préside le House Commmerce Committee, a appelé le CDC à "enquêter rapidement" sur l'affaire.
"Le manque de transparence au cours des trois dernières années a brisé la confiance des Américains dans nos agences de santé publique", a déclaré McMorris dans un communiqué vendredi. "Le CDC et la FDA ont mis en place des systèmes pour surveiller la sécurité des vaccins qui ont identifié ce signal préliminaire."
RépondreSupprimer"Maintenant, ces agences doivent enquêter rapidement, de manière ouverte et transparente, pour savoir si le vaccin a pu ou non contribuer aux AVC signalés."
https://www.zerohedge.com/medical/cdc-says-stroke-concerns-over-pfizer-jab-warrant-investigation
Des centaines de millions de personnes sont mortes. Demi-mortes ? Presque mortes ou pas assez morte ?
SupprimerUn médecin demande le retrait des vaccins Pfizer et Moderna COVID-19 à la suite de nouvelles recherches
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 15 JANVIER 2023 - 03:30
Écrit par Zachary Stieber via The Epoch Times
Un médecin américain se joint aux appels au retrait des vaccins à ARN messager COVID-19, pointant vers de nouvelles recherches qui mettent en évidence un lien entre les injections et les événements indésirables.
Des doses du vaccin Pfizer COVID-19 et des fiches de vaccination attendent les patients pédiatriques au UW Medical Center - Roosevelt à Seattle, Washington, le 21 juin 2022. (David Ryder/Getty Images)
Le Dr Joseph Fraiman, un médecin basé en Louisiane qui mène également des recherches sur le COVID-19 et d'autres problèmes de santé, déclare qu'il est temps d'arrêter l'administration des vaccins Pfizer et Moderna COVID-19 jusqu'à ce que de nouveaux essais cliniques prouvent que les avantages des vaccins l'emportent sur les méfaits.
La nouvelle recherche, y compris une nouvelle analyse des essais des vaccins, soulève des inquiétudes quant à savoir si les avantages des vaccins l'emportent sur les inconvénients, selon le médecin.
«Je ne vois pas comment quiconque ne pourrait pas être certain que les avantages l'emportent sur les inconvénients au niveau de la population, ou même dans les groupes à haut risque. Je ne vois aucune preuve à l'appui de cette affirmation », a déclaré Fraiman à Epoch Times. "Mais je ne peux pas non plus dire qu'il existe des preuves pour soutenir que c'est potentiellement plus nocif, mais il y a aussi une incertitude ici. … Compte tenu de ce scénario, je pense que les gens ne devraient pas recevoir les [vaccins] en dehors d'un essai clinique, car nous devons déterminer … si leurs avantages l'emportent sur les dommages ou si les dommages l'emportent sur les avantages.
"La seule chose qui puisse répondre à cette question sera un essai randomisé", a-t-il ajouté.
RépondreSupprimerPfizer et Moderna n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.
La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, qui a autorisé les injections et n'a jamais cessé de les promouvoir, n'a pas renvoyé d'enquête.
Les données
Fraiman a mené une étude qui a réanalysé les essais originaux de Pfizer et Moderna. Lui et ses collègues ont conclu dans une étude publiée à la suite d'un examen par les pairs que les vaccinés étaient plus à risque d'événements indésirables graves.
C'est un point de données. Un autre est l'identification des signaux de sécurité, ou des événements indésirables, qui sont potentiellement causés par les vaccins mais qui nécessitent une étude plus approfondie. La FDA a révélé en décembre 2022 que le vaccin Pfizer était lié à la coagulation du sang chez les personnes âgées. Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, qui recommandent les vaccins pour pratiquement tous les Américains, ont trouvé des centaines d'autres signaux dans leurs recherches, selon les archives obtenues par Epoch Times.
Plusieurs problèmes graves pouvant entraîner la mort ont été causalement liés ou ont été causés par les vaccins. Ils comprennent la myocardite ou l'inflammation cardiaque.
Alors que les responsables de la santé américains ont minimisé à plusieurs reprises la gravité de la myocardite et d'une affection connexe, la péricardite, des chercheurs allemands qui ont enquêté sur la mort de 25 personnes décédées subitement à la maison après la vaccination ont exclu toute cause potentielle, à l'exception de la vaccination de cinq des personnes. Ils ont rapporté leurs résultats dans une étude qui a été publiée après examen par les pairs fin 2022.
"Étant donné qu'il est peu probable que des causes alternatives provoquent une myocardite dans la semaine suivant la vaccination, il s'agit essentiellement d'une preuve concluante que nous assistons à des morts cardiaques subites dues aux vaccins", a déclaré Fraiman.
Fraiman a également noté que la surmortalité, ou les décès toutes causes confondues, ont augmenté pendant la pandémie, avec des pics en corrélation avec l'introduction des vaccins. Les vaccins n'ont peut-être pas causé les décès supplémentaires, dit-il, mais certains chercheurs, dont les professeurs britanniques Norman Fenton et Martin Neil, ont examiné les données et trouvé un signal que les vaccins étaient liés à au moins certains des décès en excès. Les responsables américains disent que certains des décès pourraient être dus au COVID-19.
Réflexions initiales
Lorsque les vaccins ont été introduits pour la première fois, Fraiman a soutenu leur administration aux personnes âgées et aux autres personnes à haut risque de COVID-19, ou aux personnes de tous âges souffrant de graves problèmes de santé sous-jacents. Il dit qu'il n'a pas non plus déconseillé la vaccination à tous les âges, bien qu'il ait dit aux membres plus jeunes de la famille qu'il n'était pas sûr que ce soit une bonne idée de se faire vacciner.
Fraiman dit également que les vaccins ont probablement réduit les hospitalisations au cours des deux premiers trimestres de 2021, rappelant qu'il n'a pas vu une seule personne vaccinée dans son hôpital avant juin de cette année.
Lorsque lui et les autres scientifiques ont découvert que les vaccinés couraient un risque plus élevé de problèmes graves, il est passé à une position selon laquelle les méfaits l'emportaient probablement sur les avantages chez les personnes en bonne santé.
Avec les nouvelles preuves de préjudice, ainsi qu'Omicron étant moins dangereux et plus susceptible d'échapper à l'immunité vaccinale, Fraiman se demande si les avantages l'emportent sur les préjudices graves, même chez les personnes âgées et autrement infirmes.
"Je vois la probabilité que le mal puisse l'emporter sur le bénéfice dans le groupe qui bénéficierait le plus du vaccin", a-t-il déclaré.
Chute des normes
RépondreSupprimerLes données des essais cliniques sur les vaccins ont été difficiles à obtenir, en particulier les essais non menés par les fabricants de vaccins eux-mêmes, et les normes des essais ont été abaissées au fil du temps.
La FDA a autorisé les injections pour les enfants sur la base d'un pontage immunitaire ou de données d'essais qui ont révélé que les vaccins déclenchaient une réponse anticorps similaire chez les enfants que chez les adultes. Pour les nouveaux rappels bivalents, créés parce que les vaccins originaux offraient des niveaux de protection beaucoup plus faibles contre Omicron et ses sous-variantes, aucune donnée clinique, pas même des mesures d'anticorps, n'a été fournie. Des mois plus tard, ces données ne sont toujours pas accessibles au public.
Certaines études observationnelles ont estimé que les rappels offrent une protection inférieure à la moyenne contre les infections et une protection solide, du moins au début, contre l'hospitalisation. Les essais contrôlés randomisés sont généralement considérés comme supérieurs.
Fraiman recommande de retirer les vaccins et les responsables américains se rendent chez les fabricants de vaccins et leur demandent de démontrer que les avantages l'emportent sur les inconvénients à la lumière de la dynamique modifiée de la pandémie. Les essais devraient comporter des enquêteurs examinant de près chaque hospitalisation au COVID-19 pour distinguer si elles ont été causées par le COVID-19, ou si le diagnostic de COVID-19 était fortuit. Cette distinction est largement connue comme étant hospitalisé, ou mourant, avec COVID-19 par rapport à COVID-19.
Le procès prendrait cinq ou six mois, comme les premiers, dit Fraiman.
Autres appels
RépondreSupprimerCertains pays, comme le Danemark, ont quant à eux cessé de proposer des rappels à certaines franges de la population. Un nombre croissant d'experts, quant à eux, réclament l'arrêt de l'administration des vaccins Moderna et Pfizer, qui sont de loin les plus administrés aux États-Unis.
Le groupe comprend le Dr Aseem Malhotra, un médecin britannique qui s'est retourné contre les vaccins en 2022 en raison des preuves croissantes d'effets secondaires. Les citations de Malhotra comprenaient les essais Moderna et Pfizer, qui n'ont montré aucune réduction de la mortalité ou des maladies graves, et les recherches menées par Fraiman.
Linda Wastila, directrice des politiques et de la recherche du Peter Lamy Center for Drug Therapy and Aging de l'Université du Maryland, a déclaré qu'elle était d'accord avec Fraiman, soulignant la recherche ainsi que les données du Vaccine Adverse Event Reporting System. Des rapports de milliers de décès post-vaccination ont été déposés auprès du système, en plus de centaines de milliers de blessures.
« Je suis un spécialiste des données, et je suis submergé par la congruence de toutes ces données qui se rassemblent si rapidement, brossant toutes un tableau horrible des méfaits des vaccins qui ne peuvent vraiment pas être ignorés », a déclaré Wastila à Epoch Times par e-mail.
Wastila a appelé au retrait immédiat des vaccins du marché, au moins jusqu'à ce que les signaux de sécurité identifiés par le CDC et la FDA soient étudiés de près.
"En ne le faisant pas, la FDA et le reste des agences gouvernementales qui proposent ces produits non seulement exposent des millions de personnes à des risques de blessures ou de décès, mais elles encouragent également avec succès une méfiance rapide à l'égard des institutions censées nous protéger", a-t-elle déclaré.
Il existe d'autres experts, tels que le chirurgien général de Floride, le Dr Joseph Ladapo, qui ont déconseillé à certaines populations de se faire vacciner, comme les jeunes hommes en bonne santé, car ils courent un risque plus élevé d'un ou plusieurs effets secondaires et ont peu d'avantages contre une maladie qui présente déjà un risque minime pour eux. Pourtant, d'autres experts continuent de soutenir la vaccination de pratiquement toutes les personnes, y compris le Dr Ashish Jha, coordinateur de la réponse COVID-19 de la Maison Blanche.
https://www.theepochtimes.com/health/doctor-calls-for-withdrawal-of-pfizer-moderna-covid-19-vaccines-following-new-research_4975379.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge
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