- ENTREE de SECOURS -



jeudi 12 janvier 2023

Big Solar fait Big Bust : la plus grande centrale solaire au monde meurt avant de pouvoir être construite

 

Par Jo Nova

January 11th, 2023


C'était le glorieux avenir vert qui vient de s'effondrer aujourd'hui.

Mais c'est une victoire pour la rare usine de Typhonium, et peut-être aussi pour des millions de crabes autour de l'Indonésie qui auraient pu être hypnotisés par des câbles sous-marins comme ceux près du Royaume-Uni. Et qui sait ce que ce câble aurait fait électromagnétiquement pour les tortues, les dugongs, les baleines et les dauphins ? Où sont les Verts quand des parcs industriels expérimentaux géants s'étendent sur 5 000 km de nature sauvage ?

Aujourd'hui, le projet massif de Sun Cable s'est effondré dans l'administration volontaire quatre ans après avoir promis de construire la plus grande centrale solaire au monde dans le Territoire du Nord. Sun Cable était un projet de 35 milliards de dollars censé collecter ces électrons verts sacrés sur une «ferme» de 12 000 hectares en Australie (120 kilomètres carrés) et les envoyer à Singapour via un câble terrestre de 800 km, puis un câble sous-marin de 4 200 km. Elle devait théoriquement être neuf fois plus grande que la plus grande centrale solaire du monde et utiliser un câble 6 fois plus long que la plus longue jamais construite.

C'était donc de l'ambition sur les stéroïdes, et avait des économies d'échelle jusqu'au kazoo, et peut-être autant de lumière solaire que n'importe quel endroit sur Terre, mais c'était toujours obscènement non économique et coûteux. Soi-disant, écologiquement, cela aurait permis de retirer 2,5 millions de voitures de la route chaque année, soit pratiquement rien ou même moins. Pour 30 milliards de dollars, ils réduisaient le petit parc automobile australien de… 12 %.

Câble solaire

Les chiffres n'ont jamais eu de sens à moins que le monde n'accorde beaucoup plus d'importance aux électrons verts qu'aux électrons noirs, bruns, bleus, rouges ou blancs. C'est 30 milliards de dollars pour seulement 3,2 GW d'énergie fiable ? Le même argent achète un certain nombre de centrales nucléaires qui dureront cinq fois plus longtemps et réduiront considérablement plus le CO2. Mais il n'a jamais été question de « sauver le monde », n'est-ce pas ? Il s'agissait simplement de construire de plus grandes fermes subventionnées et de gagner un concours de mode lors de dîners dans le centre-ville.

Sun Cable, ferme solaire. Numéros GW.

Les chiffres n'ont jamais eu de sens.

En fin de compte, le projet était censé fournir 15 % des besoins énergétiques de Singapour et également produire 800 MW pour Darwin au départ. Une fois terminé, il y aurait « 20 GWc » en totalité (ou Gigawatt-crête). Le plan comprenait également 36 à 42 gigawattheures de stockage sur batterie, offrant sans aucun doute plus d'emplois aux enfants esclaves au Congo.

Les médias hérités sont une équipe de relations publiques de facto pour une énergie peu fiable, ils vendent donc cet effondrement comme la faute de «Big Egos» – pas parce que le projet solaire était une idée stupide.

Des milliardaires en duel brûlent Sun Cable

Chnticleer, revue financière australienne

Il est possible que le projet de production d'énergie solaire le plus ambitieux au monde aille de l'avant. Mais ne vous attendez pas à ce que les milliardaires Mike Cannon-Brookes et Andrew Forrest soient tous les deux impliqués.

Sun Cable a déclaré que la nomination des administrateurs faisait suite à "l'absence d'alignement avec les objectifs de tous les actionnaires".

"Bien que des propositions de financement aient été fournies, un consensus sur l'orientation future et la structure de financement de l'entreprise n'a pas pu être atteint", a-t-il déclaré.

Sun Cable a dû subir des pressions financières considérables jusqu'à la fin de 2022, à en juger par les documents déposés auprès du régulateur de l'entreprise concernant une émission d'actions privilégiées de série B.

En supposant que cette émission d'actions privilégiées n'est pas liée à la levée de fonds annoncée en mars dernier, Sun Cable a été contraint de lever 28 millions de dollars fin décembre par l'émission de 11,9 millions d'actions privilégiées de série B à 2,34 $ chacune. Il est difficile de comprendre pourquoi une entreprise telle que Sun Cable, qui en est au stade de l'approbation réglementaire de son évolution, brûle apparemment autant d'argent.

Essentiellement, la valeur stratégique de Sun Cable est vraiment à la merci des choix faits par les Singapouriens, y compris combien ils sont prêts à payer. Quiconque achètera Sun Cable devra avoir les poches pleines, car quelque chose de cette envergure et de cette ambition perdra inévitablement de l'argent jusque dans les années 2030.

https://joannenova.com.au/2023/01/big-solar-goes-big-bust-largest-solar-plant-in-the-world-dies-before-it-can-be-built/

60 commentaires:

  1. (...) Aujourd'hui, le projet massif de Sun Cable s'est effondré dans l'administration volontaire quatre ans après avoir promis de construire la plus grande centrale solaire au monde dans le Territoire du Nord. Sun Cable était un projet de 35 milliards de dollars censé collecter ces électrons verts sacrés sur une «ferme» de 12 000 hectares en Australie (120 kilomètres carrés) et les envoyer à Singapour via un câble terrestre de 800 km, puis un câble sous-marin de 4 200 km. (...)

    HAHAHAHAHA ! 20 ans après le 'projet' de construire une centrale photovoltaïque au Sahara afin d'alimenter l'Europe en électricité !!! Pffft !
    HAHAHAHAHA !

    A savoir: Le premier tiers de la production d'une centrale électrique (gaz, charbon, uranium ou solaire/éolien) sert à pousser l'énergie sur les câbles (comme un tuyau d'arrosage où il faut une grosse pompe à eau pour pousser l'irrigation à plus de 100 m. Poids de l'eau).
    2 ème tiers, lui, il se perd en cours de route ! (Ne pas s'approcher de lignes à haute tension).
    et,
    le 3 ème tiers lui, il arrive chez le consommateur.

    😎 CAPACITÉ CALORIFIQUE DES COMBUSTIBLES

    Charbon...........................13-30 Mj/kg
    Feu de bois.......................16 Mj/kg
    Gaz naturel......................39 MJ/kg
    Pétrole brut......................45-46 MJ/kg
    Uranium (réacteur REP) : 500 000 Mj/kg

    C'est pourquoi, si l'on devait compter sur les centrales à charbon, gaz ou pétrole (ou éolien/solaire) il faudrait une centrale par ville !!
    C'est pourquoi le nucléaire (500 000 Mj/kg) peut à lui seul envoyer de l'électricité très loin.

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  2. Pourquoi les prix de l’énergie ont augmenté en Europe, en France et dans le monde ?


    le 12 janvier 2023


    Ce billet est un ensemble de réflexions. Il peut paraître un peu décousu mais le fil directeur reste l’énergie … Ce ne sont pas les évènements d’Ukraine qui sont la cause de l’augmentation internationale du prix de l’énergie contrairement à ce que les médias « main-stream » que d’aucuns traduisent maintenant par « de grand chemin ». Il faut analyser le paysage énergétique des principaux consommateurs de cette énergie depuis l’Amérique du Nord à l’Asie en passant par l’Europe. Depuis l’instauration des critères dits ESG aux alentours de l’année 2010 (https://en.wikipedia.org/wiki/Environmental,_social,_and_corporate_governance ) les grandes compagnies pétrolières et gazières occidentales ont vu les investissements de recherche de nouveaux gisements de pétrole et de gaz réduits de 340 milliards de dollars. Seuls Rosnef et Gasprom qui opèrent exclusivement sur le territoire de la Fédération de Russie ont continué à investir dans la recherche de nouveaux gisements avec des succès majeurs comme dans la Mer d’Okhotsk située entre l’île de Sakhalin au nord d’Hokkaido et la péninsule du Kamchatka. Toutes les explorations et les mises en exploitation des gisements identifiés précédemment ailleurs dans le monde ont été arrêtées. Par conséquent l’offre a diminué en regard de la demande et le jeu naturel de la fixation des prix par le marché a eu son effet.

    Aux Etats-Unis lors de la première moitié du mandat Biden l’oléoduc XXL supposé acheminer le pétrole extrait des schistes bitumeux de l’Alberta au Canada a été arrêté et les exploitants de gaz de schiste de roche mère n’a pas été encouragé. L’oléoduc XXL supposé alimenter les raffineries du Texas spécialisées dans le traitement des pétroles lourds type vénézuélien n’est toujours pas d’actualité, l’industrie pétrolière iranienne est toujours soumises aux sanctions américaines, les gisements prometteurs situés au large de la province du Cap en Afrique du Sud ne sont toujours pas en exploitation ainsi que ceux découverts au nord du Brésil et de la Guyane française. Tous conjugués ces éléments ont conduit à une forte augmentation des prix du gaz et des produits pétroliers raffinés. Dès le débuts des évènements d’Ukraine les USA ont retourné leur veste car il y avait de gros profits à réaliser en vendant du gaz de schiste (liquéfié) à l’Europe occidentale. Il ne faut pas être dupe, le sabotage des gazoducs NordStream 1 et 2 a été prémédité pour que les Etats-Unis vendent leur gaz de schiste aux Européens de même qu’ils ne veulent pas entendre parler du gaz iranien.

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  3. En ce qui concerne l’énergie nucléaire on peut dire que la situation est identique. Les seuls pays continuant à investir dans cette énergie sont la Chine et la Russie et quelques autres pays dont l’Inde qui construit des unités de production importées de Russie ou de Chine. La Chine développe des SMR haute température très prometteurs et la Russie continue à développer la filière à neutrons rapide que l’Europe malheureusement abandonné lors de la fermeture de l’usine NERSA de Creys-Malville. Les Allemands, sous la pression constante des écologistes (ceux-là mêmes qui ont obtenu la fermeture de l’usine de Fessenheim) ont été contraints de fermer l’ensemble de leur parc nucléaire pour des raisons strictement idéologiques. Dans le même contexte de pression de la part de ces écologistes, les gouvernements successifs français ont lancé dans l’air, sans réfléchir un instant, que le « mix » énergétique français ne devrait comprendre que 50 % de nucléaire, une décision sans aucune espèce de fondement ni économique ni technique. La France, subissant la pression des Allemands, a baissé les bras et s’est conformée au marché spot du kWh dont les modalités ont été mises en place par Berlin et que la France a appliqué servilement (voir à la fin de ce billet à propos des lois NOME et ARENH). En un mot l’unique producteur français (EDF) doit vendre ses kWh à un prix décidé par le gouvernement français aux détaillants qui revendent ces électrons au prix du marché spot déterminé la veille par le fixing sur le prix du dernier kWh produit, dans la plupart des situations par des turbines à gaz. De facto ce prix est indexé sur le prix du gaz.

    L’inscription de l’énergie nucléaire dans la nomenclature européenne en tant qu’énergie renouvelable laisse un espoir encore ténu que les investisseurs s’intéresseront à nouveau à cette forme de production d’énergie. Les petits réacteurs modulaires pourraient attirer des capitaux. Mais il reste le combustible le plus utilisé dans le monde pour produire de l’électricité et il s’agit du charbon dont les réserves mondiales prouvées et économiquement exploitables seront en mesure de satisfaire une demande au rythme actuel pendant encore au moins un siècle, d’ailleurs personne n’entend parler d’un « pic de charbon » contrairement au pétrole dont l’avènement est repoussé tous les dix ans. Les investissements se tarissant ce « peak oil » pourrait cependant devenir plus proche.

    En résumé le prix de l’énergie ne cessera d’augmenter dans les années à venir malgré le retour sur les marchés de l’Iran et du Vénézuela prévu lorsque le gaz de schiste américain s’épuisera, une éventualité proche dans le temps qu’il faut garder en mémoire. Et au milieu de tout cela les énergies vertes ou dites renouvelables n’ont aucune place économique à laquelle se fier. D’ailleurs le volume des investissements dits ESG ne cessent de décroître, ce qui est un signe de prise de conscience réaliste des investisseurs.

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  4. Mais il y a un point qu’il faut aborder ici et qui concerne tous les Français, les entreprises petites et grandes et les particuliers. Un petit historique de la mise en place du marché libre de l’électricité dans l’Union européenne s’impose. En 2011, afin de « libéraliser » le marché de l’électricité la France suit servilement les directives européennes de mise en place du marché de l’électricité et, ce n’est pas une coïncidence, la mise en place de la loi NOME et de la loi ARENH sont adoptées presque à la date du grand tsunami qui ravagea le Japon dont la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi. S’il faut insister sur le cas de la France c’est tout simplement parce l’Etat français est le plus « nucléarisé » du monde et que l’opérateur est une entreprise d’Etat, ce qui déplait aux néo-libéraux et aux écologistes de l’intelligentsia européenne.

    La loi NOME adoptée le 7 décembre 2010 ( https://www.cre.fr/Pages-annexes/Glossaire/LOI-NOME ) stipule que le marché de l’électricité

    doit être ouvert aux opérateurs privés selon les directives européennes de libéralisation totale de tous les marchés. La Commission Champsaur a oublié de comprendre que l’électricité n’est pas une denrée comme les autres parce que les électrons ne peuvent pas être stockés comme par exemple de la laine ou du sucre. Le producteur d’électricité en l’occurrence EDF pour la France doit en temps réel adapter la production à la consommation. Cette loi NOME adoptée sous l’administration Sarkozy sur ordre de l’Allemagne n’a donc pas pris en compte cet élément pourtant central. Elle a été suivie de la loi ARENH dont le décret d’application date du 28 avril 2011 ( https://www.cre.fr/Pages-annexes/Glossaire/arenh ) et elle régule le tarif de l’électricité produite spécifiquement par le producteur « historique » français, c’est-à-dire l’électricité d’origine nucléaire associée à l’énergie hydraulique. Il n’est pas difficile de comprendre la forte connotation idéologique de cette loi sous la pression des écologistes allemands. En deux mots il faut fragiliser EDF pour finalement démanteler le parc nucléaire français et la France s’est mise à genoux devant l’Allemagne pour défavoriser EDF en vue de ce démantèlement alors que l’Allemagne venait de décider de l’abandon de son énergie nucléaire après le grand tsunami du 11 mars 2011.

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  5. Si on ne prend pas de pincettes pour le dire Sarkozy, puis Hollande qui a laissé faire, sont deux traitres à la nation française. Le président actuel est également un traitre puisque depuis que les vannes approvisionnant l’Europe et en particulier l’Allemagne en gaz russe à bon marché ont été fermées et les gazoducs sous-marins sabotés sur ordre des USA il n’a rien fait pour sauver l’économie française massacrée par des tarifs électriques déments qui ne font qu’enrichir des parasites financiers qui ni ne produisent ni ne transporte les électrons. Pour faire court, les Français doivent payer et c’est leur punition de ne pas avoir suivi l’Allemagne en ne dénucléarisant pas le pays. On vit dans un monde totalement surréaliste créé de toutes pièces par des politiciens corrompus qui ne pensent qu’à leur intérêt personnel et à celui des financiers et se courbent devant le plus fort : pour les Français ce sont les Allemands qui dirigent et pour les Européens ce sont les Américains qui dirigent. Fin de l’histoire. Pour se faire une idée de la crise énergétique actuelle voici une vidéo intéressante : https://insolentiae.com/tv-finance-la-france-a-perdu-sa-souverainete-energetique/

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/01/12/pourquoi-les-prix-de-lenergie-ont-augmente-en-europe-en-france-et-dans-le-monde/

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  6. Un temps plus froid pourrait revenir dans le nord-ouest de l'Europe la semaine prochaine


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 12 JANVIER 2023 - 10:15


    Les prix du gaz naturel en Europe ont plongé aux niveaux d'avant l'invasion de l'Ukraine lors d'un hiver doux. La demande de chauffage dans l'UE a diminué, permettant aux réservoirs de stockage de carburant de continuer les injections et de rester au-dessus des niveaux saisonniers. Cela augure bien pour le continent énergivore, mais de nouvelles prévisions météorologiques suggèrent un retour à l'hiver à la fin du mois.

    Le contrat à terme néerlandais de référence TTF pour février était en baisse à 65,80 euros le mégawattheure, soit plus de 6% sur la séance. A la veille de l'invasion russe en février dernier, le contrat s'est vendu à environ 88 euros.

    - voir graph sur site -

    Plusieurs facteurs ont permis à l'UE de contourner une crise énergétique, notamment des alternatives au gaz naturel russe, telles que l'augmentation des importations de GNL américain, des efforts de conservation généralisés pour les clients résidentiels et commerciaux et un hiver très doux.

    Les stocks de NatGas à travers le continent sont bien au-dessus d'une moyenne sur 12 ans pour cette période de l'année. Le pourcentage de NatGas plein n'a pas encore chuté d'environ 83% depuis Noël.

    - voir graph sur site -

    Pendant ce temps, de nouveaux modèles météorologiques indiquent un possible retour à des températures plus froides la semaine prochaine pour certaines parties de l'Europe. Les commerçants de gaz natgas se concentreront sur la sévérité du froid et les impacts sur la demande de chauffage.

    Le retour des conditions hivernales fait suite à un début d'année record, qui a soulagé la crise énergétique qui a frappé l'Europe pendant des mois. Le temps doux a freiné la demande de chauffage, permettant à certains pays de reconstituer leurs stocks de gaz naturel à un moment où ils seraient généralement en train de puiser dans les approvisionnements.

    La majeure partie de la Grande-Bretagne verra des températures inférieures à la moyenne d'ici la fin de la semaine prochaine, avec de la neige possible dans les régions du nord, selon le Met Office du pays. --Bloomberg

    Quelques modèles montrent la possible vague de froid pour certaines parties de l'UE la semaine prochaine.

    - voir carte sur site -

    Des températures plus froides pourraient arriver dans le nord-ouest de l'UE dans quelques jours.

    - voir graph sur site -

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  7. Cependant, Ole Hansen, responsable de la stratégie matières premières chez Saxo Bank A/S, a souligné que "malgré le risque d'une fin de janvier plus froide et début février, l'abondance de gaz en Europe continuera de limiter le risque haussier, même avec augmentation de la demande en provenance d'Asie."

    https://www.zerohedge.com/commodities/colder-weather-returns-northwest-europe-next-week

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  8. Casino propose le carburant à 70 centimes : quelles sont les conditions ?

    Avec la hausse du prix du carburant survenue en France la première semaine de l’année 2023, ce produit est devenu à nouveau un produit d’appel pour la grande distribution. Casino ouvre la danse des promotions avec une opération « le litre de carburant à 0,70 euro ». Mais quelles sont les conditions pour en profiter ?


    Par Paolo Garoscio
    le 12 janvier 2023 à 7h35


    L'indemnité carburant pour 2023 est de 100 euros forfaitaires.
    Le carburant à 70 centimes d’euro chez Casino ?

    Le litre d’essence SP95-E10 a affiché, en France, une hausse de près de 20 centimes d’euro après la fin de la ristourne du gouvernement. Quant au diesel, la hausse a atteint 13 centimes… et le prix frôle désormais 1,90 euro le litre. Alors, forcément, une offre comme celle de Casino ne manquera pas d’attirer les automobilistes.

    Car le distributeur propose, du mercredi 11 au samedi 14 janvier 2023, le carburant à 70 centimes d’euro le litre. Alors que les prix moyens sont supérieurs à 1,8 euro, c’est une réduction de plus de 50% qui est annoncée. Du moins, pas tout à fait : comme toujours, il ne s’agit pas de faire payer moins cher mais d’offrir des bons d’achat. Et ces derniers ont des conditions d’utilisation très précises.

    Jusqu’à 50 euro remboursés chez Casino, sous conditions

    Comme l’explique la page de l’opération spéciale, l’offre se concrétise sous la forme de bons d’achat. Pour l’obtenir, il faut faire « le plein » et le payer. Puis le magasin va calculer « la différence entre le prix payé en station et le litre à 0,70 euro » et donner un bon d’achat d’un montant équivalent. Mais il y a déjà une condition : le bon d’achat ne peut pas dépasser 50 euros.

    Ensuite, il faut l’utiliser, et là c’est encore plus strict. Le bon d’achat n’est valable que le jour même de l’achat du carburant, ou le lendemain. Ni plus ni moins. Et pour pouvoir l’utiliser, il faut dépenser au moins 100 euros, avec des produits qui ne sont pas éligibles (comme les DVD, les livres ou encore la billetterie).

    Optimiser l’opération « le litre de carburant à 0,70 euro »
    Il est néanmoins possible d’optimiser l’opération en question.

    Pour commencer, il faut impérativement faire le plein avant de faire les courses dans le magasin, et demander le bon d’achat dans la foulée. Ainsi faisant, il sera possible d’utiliser directement le bon d’achat.

    Il faut également calculer soi-même la différence entre le prix du litre affiché sur la pompe et le prix de 70 centimes d’euro. Par exemple, si le litre de diesel coûte 1,90 euro, la ristourne est de 1,20 euro le litre. Le montant maximum de 50 euro pour le bon d’achat sera alors atteint dès que 42 litres ont été déversés dans le réservoir. En mettre plus ne donnera pas lieu à plus de réduction.

    Enfin, lors des courses, il faut calculer de dépenser un montant le plus proche possible de 100 euros. Le bon d’achat sera alors le plus efficace : il représente une réduction de 50% sur la facture si celle-ci est de 100 euros, mais que 33% si celle-ci est de 150 euros, par exemple.

    https://www.economiematin.fr/casino-promotion-carburant-bon-achat-optimisation-operation

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    1. Voilà encore une très riche mauvaise idée de BlackRockStreetCityPfizerPQLotus

      Demain "Vite un coach !" Puis Comment se ruiner en un jour seulement ?", "Comment choisir son bon bourreau ?"

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  9. « Energiewende » : l’Allemagne « kaputt » ?

    La coalition gouvernementale en Allemagne en place depuis décembre 2021 souhaitait apporter un nouveau rythme à la transition énergétique de ce pays (« energiewende ») : c’est raté !


    Par Michel Gay
    le 11 janvier 2023 à 15h51


    L'éolien représente 6,3 % de la production d'électricité en France.
    Le désastre constaté va-t-il s’amplifier jusqu’à l’effondrement ?

    Des objectifs hors d’atteinte

    L'atteinte des objectifs de l'accord de Paris sur le climat a été considérée comme la priorité absolue. Un approvisionnement en électricité climatiquement neutre était visé d´ici 2035, ainsi que l’accélération de la sortie de la production d´électricité à partir du charbon pour, « dans l'idéal », l´avancer à 2030 (alors qu’elle est actuellement prévue pour 2038)

    La crise énergétique, née de la guerre en Ukraine, a changé la donne car l´Allemagne a été soudainement sevrée du gaz russe dont elle était fortement dépendante. Les prix de l´énergie ont atteint des niveaux records et favorisé considérablement l´inflation qui a dépassé les 10%.

    Presque 300 milliards d’euros ont été injectés pour soutenir les citoyens et l´industrie pendant cette période difficile. Face à la menace d´une pénurie d´énergie, le gouvernement a appelé à la sobriété énergétique. La consommation d´énergie primaire a ainsi baissé de presque 5 % par rapport à 2021.

    La consommation de gaz a certes chuté de 15 %, mais en revanche, celles des autres énergies fossiles a augmenté (3 % pour le pétrole, 4,8 % la houille et 5,1 % le lignite), alors que la consommation d´énergie primaire reculait de 4,7 % (3,9 % corrigée des variations climatiques) par rapport à 2021 pour atteindre son niveau le plus bas dans l´Allemagne réunifiée.

    Au total, la proportion des énergies fossiles (pétrole, gaz naturel, houille et lignite) dans la consommation d’énergie primaire a augmenté de 77% en 2021 à 79% en 2022.

    Des émissions de gaz carbonique qui stagnent

    En conséquence, les émissions de gaz à effet de serre stagnent au niveau de 2021 malgré une baisse de la consommation énergétique et le développement des énergies renouvelables.

    L´objectif national pour 2022 ne sera donc pas atteint alors que l´objectif climatique affiché pour 2030 est une diminution de 65 % d´émissions par rapport à 1990.

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  10. La consommation d'électricité recule de 3,1% par rapport à 2021 (atteignant le niveau de l´année 2020 marquée par la Covid) à cause principalement du ralentissement économique et de la hausse des prix.

    Si la part de la production d´électricité à partir du gaz baisse à 13,5 % (15,4 % en 2021), en revanche la part du couple lignite-houille augmente à 31,9 % (28,3 % en 2021) à cause de la réactivation courant 2022 des centrales à charbon en réserve.

    La part du nucléaire baisse à 6 % contre 11,8 % en 2021 suite à la fermeture volontaire de 4 GW de capacités nucléaires fin 2021.

    Des exportations vers… la France

    Le solde exportateur d´électricité augmente pour la première fois depuis 2017 à presque 27 térawattheures (TWh) contre 19 TWh en 2021. Les principales raisons sont l´augmentation de la production d´électricité à partir des filières renouvelables et… du charbon en Allemagne, ainsi que les changements dans le mix de production d´électricité en Europe.

    Notamment, le solde exportateur des échanges commerciaux entre l´Allemagne et la France a plus que doublé en faveur de l´Allemagne en passant à 15,3 TWh en 2022 contre 6,5 TWh en 2021, alors que depuis des années la France était exportatrice nette vers ses voisins.

    Les objectifs de développement des énergies renouvelables à l´horizon de 2030 ont été fortement rehaussés par rapport au gouvernement sortant. Les 360 gigawatts visés nécessitent un quasi triplement de leur puissance déjà installée fin 2022 au cours des huit prochaines années… et la construction de nouvelles centrales à gaz !

    Ça va mal finir…

    Suite à la menace de pénurie d´énergie, née de la guerre en Ukraine, des mesures en faveur de la sécurité de l´approvisionnement d´électricité ont été prises : prolongation du fonctionnement des trois dernières centrales nucléaires jusqu´à mi-avril 2023, et réactivation « temporaire » des centrales à houille, lignite et fioul en réserve jusqu´à fin mars 2024… tout en maintenant l´objectif de l´abandon du charbon en 2030.

    Les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent car si l’Allemagne appliquait vraiment ses objectifs, sans le gaz russe et le charbon / lignite pour compenser les productions fatales intermittentes des éoliennes et autres panneaux photovoltaïques, elle serait rapidement « kaputt »…

    https://www.economiematin.fr/allemagne-energie-mix-crise-echec-co2-gay

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  11. Des millions de têtes de bétail américaines pourraient bientôt "mourir de faim" à cause de la crise ferroviaire et alimentaire


    Mercredi 11 janvier 2023
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Le producteur de volaille californien Foster Farms demande au Service Transportation Board (STB) une aide d'urgence, avertissant que ses vaches laitières et ses poulets manquent de nourriture et rapidement.

    Blâmant les conditions météorologiques extrêmes, les échecs de livraison ferroviaire de l'Union Pacific (UP) et d'autres facteurs, Foster Farms affirme que «le point a de nouveau été atteint où des centaines de milliers de bovins laitiers ne sont pas nourris, et… des millions de poulets mourront de faim parce que des pannes de service d'UP.

    Un jour après le dépôt de la pétition, un régulateur américain du fret ferroviaire a ordonné à UP de livrer cinq trains d'aliments pour animaux à Foster Farms. Cependant, un seul de ces trains est arrivé comme prévu, selon la compagnie.

    Parce que les poulets sont plus petits que les bovins, ils risquent de mourir plus rapidement sans nourriture que leurs homologues plus gros. Pour éviter cela, Foster Farms dit qu'elle détourne pour le moment les aliments du bétail vers ses poulets.

    En réponse à la plainte, UP a imputé ses retards de livraison au mauvais temps, qui comprend désormais des emportements en Californie en raison de nombreux événements de «rivière atmosphérique», ainsi que des glissements de terrain au Nevada. (Connexe: nous vous avons prévenu de tout cela et plus encore l'année dernière.)

    "Union Pacific continue de travailler en étroite collaboration avec Foster Farms, fournissant des mises à jour quotidiennes et livrant les trains mentionnés dans la commande", a déclaré une porte-parole de la société.

    "Des problèmes systémiques", pas seulement la météo, à blâmer pour les pannes de train UP
    Quatre des cinq trains d'alimentation UP sont arrivés depuis, après quoi Foster Farms a écrit dans un dossier STB qu'il pensait que l'histoire ne se limitait pas au mauvais temps.

    "Bien que Foster Farms admette que la météo a joué un rôle, elle pense également que cet échec est révélateur de problèmes systémiques au sein de l'UP qui persisteront", a déclaré la société.

    Comme vous vous en souvenez peut-être, UP et d'autres grandes lignes ferroviaires sont sur le point de déclencher une grève nationale depuis de nombreux mois maintenant. L'échec des négociations avec les syndicats et le régime de Biden a laissé une situation précaire qui semble s'aggraver de jour en jour.

    Depuis octobre, trois installations de Foster Farms sont sous-approvisionnées en raison des retards de l'UP. Au cours des six derniers mois, Foster Farms a tenté à deux reprises d'obtenir une aide d'urgence avec très peu de succès.

    "En juin, Foster Farms a déclaré qu'il était sur le point d'euthanasier des millions d'oiseaux en raison de retards dans les expéditions d'aliments, et il a reçu une rare commande de service d'urgence du STB pour atténuer la crise", a rapporté le Wall Street Journal. "Ce type de commande était le premier depuis plus d'une décennie."

    Le même mois, la famille Foster a vendu l'entreprise à Atlas Holdings, incitant Donnie Smith, ancien PDG du concurrent Tyson, à sortir de sa retraite pour reprendre l'entreprise.

    "Il y avait très peu d'opportunités qui me feraient, franchement, sortir de ce qui était une retraite follement heureuse", a déclaré Smith. "J'ai eu une retraite très enrichissante, mais pour moi, c'était une opportunité tellement intrigante et phénoménale pour moi... Je ne pouvais tout simplement pas dire non."

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  12. Tout cela est une honte, étant donné que la Californie était autrefois le « grenier à blé » de la nation. Sans voies ferrées en état de marche et sans approvisionnement stable en aliments pour animaux, la volaille et le bétail risquent de mourir, ce qui signifie qu'une famine massive pourrait menacer les millions d'Américains qui dépendent de ces animaux pour se nourrir.

    "Cela est orchestré", a écrit un commentateur sur la situation. "Les premières plaintes concernant le chemin de fer, l'année dernière seulement, concernaient la limitation des quantités d'engrais livrées à des fins agricoles, limitant ainsi les rendements des cultures. Maintenant, ils s'en prennent à l'industrie de la viande.

    Alors que l'économie mondiale implose, nous vous tiendrons informés des dernières nouvelles sur Collapse.news.

    Les sources de cet article incluent :

    WND.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-01-11-millions-american-cattle-starve-death-rail-feed.html

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  13. Les prix du gaz naturel dans le sud de la Californie ont bondi de 128 % depuis décembre


    Mercredi 11 janvier 2023
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) Les prix du gaz naturel dans le sud de la Californie ont augmenté de 128 % de décembre à janvier, a annoncé le fournisseur de gaz naturel SoCalGas.

    L'annonce de SoCalGas a été publiée juste avant le Nouvel An pour avertir les clients du sud de la Californie, y compris la région métropolitaine de Los Angeles, que la flambée des prix entrera en vigueur le 1er janvier, sujets aux pannes d'électricité.)

    "Il n'y a pas de moyen facile de mettre cela", a déclaré la société dans son annonce. "Les factures de janvier sont susceptibles d'être scandaleusement élevées."

    L'un de ces clients SoCalGas choqués est Lauren Davis, qui a ouvert la facture de gaz de sa famille ce mois-ci pour constater qu'elle était près de 25% plus élevée que prévu. "J'ai ouvert la facture et c'était 330 $ et la première chose a été:" Quelle est la température dans notre maison? "", A-t-elle déclaré.

    En examinant de plus près sa consommation de gaz, elle a découvert que sa famille avait effectivement consommé moins de gaz cette année par rapport à la même période l'an dernier. Mais elle paie maintenant plus.

    "Pour une maison plus froide, moins de gaz utilisé et c'est fou", a-t-elle déclaré.

    « Nous comprenons que nos clients commencent à ressentir la douleur causée par les changements importants sur le marché du gaz naturel », a déclaré Gillian Wright, vice-présidente principale et directrice de la clientèle de SoCalGas. "Et nous reconnaissons également que nous devons à nos clients de leur fournir autant d'outils et de conseils que possible pour les aider à trouver des moyens de se préparer à un temps plus froid et à des factures hivernales plus élevées, y compris une aide financière dans certains cas."

    Suite à son annonce, SoCalGas a ajouté qu'elle avait déjà contribué 1 million de dollars à son fonds d'aide au gaz, qui offre aux candidats éligibles une subvention unique de 100 dollars pour couvrir leurs factures de gaz.

    Hiver, consommation de gaz plus élevée, autres facteurs contribuant à la hausse des prix
    SoCalGas a accusé le temps hivernal sans précédent d'avoir fait grimper les prix du gaz naturel dans l'ouest des États-Unis. La société a ajouté que SoCalGas ne profite pas de l'augmentation des prix et que les prix sont fixés sur les marchés nationaux et régionaux.

    Selon l'Energy Information Administration (EIA) des États-Unis, les températures largement inférieures à la normale expliquent en partie la hausse des prix du gaz naturel.

    L'EIA a ajouté que d'autres facteurs influent également sur la flambée des prix du gaz naturel, notamment une consommation de gaz naturel supérieure à la normale, des débits de gaz naturel réduits et des contraintes de pipeline en raison de divers facteurs, notamment l'entretien programmé.

    Mais le seul facteur qui fait vraiment grimper les prix déjà élevés du gaz naturel dans le sud de la Californie est le fait que la région du Pacifique enregistre de faibles niveaux de stockage de gaz naturel.

    Davis a dû puiser dans le budget alimentaire de sa famille pour payer sa récente facture de gaz. Elle s'inquiète pour ceux qui ont moins de flexibilité, y compris son voisin âgé.

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  14. « Je peux vivre à 66°F (18°C). Elle ne peut pas », a-t-elle déclaré. « Elle est sous oxygène. Comme, elle ne peut pas vivre en 66 et ils cherchent en fait à trouver un colocataire. C'est la réponse? Pour qu'un homme de 94 ans trouve un colocataire ? »

    De son côté, SoCalGas recommande aux utilisateurs de réduire leur consommation de gaz naturel en abaissant le thermostat de trois à cinq degrés si la santé le permet, en installant un calfeutrage et des coupe-froid appropriés, en lavant les vêtements à l'eau froide, en baissant la température du chauffe-eau et en limitant l'utilisation d'appareils au gaz naturel non essentiels.

    Lisez plus d'actualités sur la Californie sur CaliforniaCollapse.news.

    Regardez cet épisode du "Health Ranger Report" alors que Mike Adams, le Health Ranger, fournit des conseils de survie en hiver potentiellement vitaux pour gérer le froid et les pannes de courant.

    Ceci est tiré du rapport Health Ranger sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :

    Les fabricants d'éoliennes perdent des MILLIARDS alors que les commandes diminuent malgré les turbulences sur les marchés du gaz naturel.

    Les prix de l'essence dans le comté de Los Angeles atteignent un nouveau record de 6,466 $, soit près du double de la moyenne nationale.

    Les « verts » californiens interdisent les fournaises au gaz et les chauffe-eau dans le but de zéro émission de carbone.

    Les États-Unis se dirigent vers une grave pénurie de gaz naturel et des prix élevés cet hiver, avertissent les experts.

    HILARANT : L'"incroyable" TEST DE 4 SECONDES sur les "énergies renouvelables" en Californie n'incluait PAS la ville de Los Angeles et incluait l'utilisation de combustibles fossiles.

    Les sources comprennent :

    WattsUpWithThat.com
    NBCLosAngeles.com
    ABC7.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-01-11-natural-gas-prices-southern-california-surged-128percent.html

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  15. Montecito, en Californie, évacué avant la deuxième vague de tempêtes apportant pluie, vent, inondations et glissements de terrain


    mercredi 11 janvier 2023
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Le deuxième tour d'une série de tempêtes qui ont frappé la Californie a fait au moins 14 morts et envoyé des célébrités et des stars de cinéma faire leurs valises.

    Montecito, l'une des villas les plus riches d'Amérique au bord de l'océan, a été évacuée en raison de violentes bandes de tempêtes qui ont entraîné des inondations soudaines, des arbres abattus et des coulées de boue. Montecito abrite des noms tels que le prince britannique Harry et sa femme Meghan Markle, le gourou des médias Oprah Winfrey et l'actrice de télévision Jennifer Aniston.

    Un garçon de cinq ans de San Luis Obispo, situé au nord de Montecito, est toujours porté disparu après que les eaux de crue l'aient apparemment emporté. Quelque 230 000 foyers et entreprises seraient privés d'électricité à la suite de la tempête.

    (En relation: La première vague de tempêtes de cyclones à la bombe en Californie, qui a frappé la semaine dernière, a apporté des vents de niveau ouragan dans l'État et a laissé plus de 180 000 de ses foyers sans électricité.)

    Jusqu'à sept pouces (18 centimètres) de nouvelles pluies ont frappé le nord de la Californie tandis que les montagnes de la Sierra Nevada ont vu «plusieurs pieds de neige supplémentaires», selon le National Weather Service (NWS), qui a décrit ces tempêtes en cours frappant la Californie comme une «interminable assaut d'événements fluviaux atmosphériques.

    Newsom affirme que les récentes tempêtes californiennes ont déjà tué "plus de vies que d'incendies de forêt au cours des deux dernières années combinées"
    Jamais depuis 2005 des tempêtes aussi puissantes n'avaient frappé le Golden State, le plus peuplé d'Amérique. Les zones clés de ceux-ci, y compris Montecito, qui devait recevoir au moins huit pouces de pluie en 24 heures, ne peuvent tout simplement pas gérer autant de temps en même temps.

    L'enclave infestée de stars de cinéma a reçu un avertissement avant la tempête exhortant les habitants à « PARTIR MAINTENANT ! C'est une situation qui évolue rapidement. Veuillez prêter une attention particulière aux alertes d'urgence.

    Des barrages routiers ont été mis en place pour empêcher les gens d'entrer dans la ville tandis que ceux qui s'y trouvaient encore étaient incités à fuir tant qu'ils le pouvaient encore. Montecito est particulièrement sujet aux coulées de boue en ce moment suite à un incendie de forêt massif qui a ravagé la région il y a cinq ans.

    En 2017 et 2018, des centaines de kilomètres carrés de terres dans toute la région, située au pied d'une grande chaîne de montagnes, ont été brûlées. En janvier 2018, des coulées de boue causées par une tempête après un incendie ont tué 23 personnes à Montecito.

    "Au cours des 30 derniers jours, Montecito a reçu plus de 12 à 20 pouces de pluie dans la communauté, dépassant notre moyenne annuelle de 17 pouces", a écrit le service d'incendie local dans un avertissement sur Twitter.

    "Cette pluie cumulée et saturante expose la communauté à un risque accru d'inondations et de coulées de débris."

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  16. Parmi les autres résidents célèbres de Montecito dont la localisation actuelle reste inconnue, citons Ellen "dégénérée" DeGeneres, Gwyneth Paltrow, Katy Perry et Rob Lowe.

    Le nombre actuel de morts connu de ces récentes tempêtes a incité le bureau du gouverneur Gavin Newsom à publier une déclaration selon laquelle plus de personnes sont mortes au cours des dernières semaines à cause de toutes les pluies et des inondations que de tous les « incendies de forêt des deux dernières années combinées ».

    Dans le comté de Ventura, situé au nord de Los Angeles mais au sud de Montecito, le service d'incendie local a signalé avoir sauvé 18 personnes lundi seulement d'une île de la rivière Ventura inondée.

    Il y a aussi plus de pluie à venir dans une troisième vague de tempêtes qui devrait frapper la Californie plus tard dans la semaine.

    "Nous nous attendons à voir le pire encore devant nous", a déclaré Newsom aux journalistes de manière inquiétante à la suite d'une récente déclaration d'urgence à l'échelle de l'État.

    Le NWS est également intervenu sur la question, déclarant qu'au cours des prochains jours, "deux épisodes majeurs de fortes pluies et de fortes chutes de neige en montagne devraient avoir un impact rapide sur la Californie" à la suite d'un autre "défilé plus énergique et chargé d'humidité". de cyclones qui visent directement » l'État.

    Une couverture médiatique plus connexe peut être trouvée sur Chaos.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Breitbart.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-01-11-montecito-markle-evacuated-storms-rain-flooding-mudslides.html

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  17. Le plan de réduction des émissions de la Californie manque de stratégie claire : rapport


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 12 JANVIER 2023 - 05:00
    Écrit par Jill McLaughlin via The Epoch Times,


    Le plan climatique agressif de la Californie pour réduire les émissions de gaz à effet de serre "manque de stratégie claire", a rapporté le Bureau de l'analyste législatif le 4 janvier.

    "Malgré les réductions importantes nécessaires pour atteindre ces objectifs, le plan du CARB n'identifie pas les politiques spécifiques qu'il mettra en œuvre", indique le rapport.

    Le California Air Resources Board (CARB) a adopté en décembre 2022 un plan d'action climatique de 300 pages «axé sur l'équité», ou feuille de route, pour atteindre l'objectif de l'État de réduire considérablement les émissions et d'atteindre la neutralité carbone d'ici 2045.

    L'agence a également adopté un objectif plus ambitieux pour 2030, visant à réduire les émissions de 48 % - au lieu des 40 % prévus par la loi - en dessous du niveau de 1990.

    Le bureau de l'analyste a déclaré que sans une feuille de route claire, les départements d'État seront obligés d'identifier et d'adopter les changements de politique nécessaires dans un court laps de temps, ce qui pourrait rendre le processus "plus coûteux et/ou perturbateur pour les entreprises privées et les ménages".

    Selon le rapport, le plan du CARB ne précise pas dans quelle mesure l'État s'appuiera sur les incitations financières, les programmes réglementaires ou le plafonnement et l'échange - un programme gouvernemental qui plafonne les émissions et oblige les entreprises à payer des quotas supplémentaires - pour atteindre ces objectifs.

    Le plan n'a pas non plus fourni à la législature de l'État suffisamment d'informations sur les impacts financiers et environnementaux potentiels, entre autres préoccupations, selon le rapport.

    "Le fait de ne pas développer un plan crédible … pourrait nuire à la capacité de la Californie à servir de modèle efficace pour d'autres juridictions ou à faire preuve de leadership mondial", indique le rapport.

    Le bureau a recommandé à l'Assemblée législative d'ordonner au CARB de soumettre un rapport d'ici le 31 juillet pour clarifier son plan.

    En novembre 2022, le gouverneur Gavin Newsom a applaudi le plan, le qualifiant de "l'ensemble d'objectifs climatiques le plus ambitieux de toutes les juridictions du monde" qui "stimulera une transformation économique semblable à la révolution industrielle".

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  18. Le plan reflétait l'appel du gouverneur à des mesures climatiques plus agressives et à une transition plus rapide vers une énergie propre. Il vise à réduire la pollution de l'air de 71 % et à réduire la consommation et la demande de combustibles fossiles de 86 % et 94 %, respectivement, d'ici 2045.

    L'État a réduit ses émissions d'environ 1 % par an au cours de la dernière décennie. Pour atteindre les objectifs du CARB, l'État devrait accélérer jusqu'à environ 4%, a déclaré le bureau de l'analyste.

    La majeure partie de la transformation proviendrait de la réduction autant que possible de la présence de combustibles fossiles, y compris l'élimination progressive de l'utilisation du gaz naturel pour le chauffage des maisons et des bâtiments. Cela signifie également lutter contre les produits chimiques et les réfrigérants et encourager les résidents à marcher, à faire du vélo et à utiliser les transports en commun au lieu de conduire.

    Le plan a également introduit quatre scénarios potentiels sur la manière dont l'État pourrait devenir neutre en carbone entre 2035 et 2045, chacun avec différents niveaux de restrictions pour les résidents et les entreprises.

    La première voie, également la plus restrictive, comprend la suppression progressive de tout le raffinage des combustibles fossiles dans l'État ; réduire les kilomètres parcourus par les véhicules de 30 % ; et n'autoriser que les véhicules électriques sur la route, le tout d'ici 2035. Il appelle également à réduire le chauffage, la climatisation et les chauffe-eau dans les bâtiments et à les remplacer par des appareils électriques d'ici la même année. Réduire les émissions de méthane laitier - ou les émissions de fumier de vache - de 50 à 75 % en réduisant la population de vaches laitières de l'État est également obligatoire dans ce cas.

    D'autres scénarios supposés permettent un temps de transition plus long, avec moins de restrictions mais une élimination accélérée du dioxyde de carbone de l'atmosphère.

    https://www.zerohedge.com/political/californias-emission-reduction-plan-lacks-clear-strategy-report

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  19. L'American Gas Association déclare que l'interdiction possible des cuisinières à gaz est "téméraire", non basée sur une "science solide"


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 11 JANVIER 2023 - 22:20
    Écrit par Katabella Roberts via The Epoch Times


    L'American Gas Association (AGA) a pris pour cible ce qu'elle appelle une interdiction potentielle "imprudente" des cuisinières à gaz, et a déclaré qu'un rapport établissant un lien entre l'utilisation du gaz naturel pour cuisiner et l'asthme n'est "pas étayé par des données scientifiques solides".

    AGA représente plus de 200 entreprises énergétiques locales qui livrent du gaz naturel à plus de 73 millions de clients à travers les États-Unis.

    Dans une déclaration du 10 janvier, l'association a critiqué les recherches du International Journal of Environmental Research and Public Health qui liaient les cuisinières à gaz d'intérieur à un risque accru de maladies respiratoires comme l'asthme chez les enfants.

    La recherche a été menée par des chercheurs de RMI, une organisation qui défend des bâtiments respectueux du climat et sans carbone, et d'autres groupes environnementaux. La recherche, qui a été examinée par des pairs, a conclu que 12,7 % des cas d'asthme infantile actuels à l'échelle nationale sont attribués à l'utilisation de cuisinières à gaz.

    AGA, dans sa déclaration de mardi, a visé le rapport, notant que "toute discussion ou perpétuation des allégations contenues dans ce rapport qui est financé par des organisations non gouvernementales pour faire avancer leur programme visant à supprimer le choix énergétique des consommateurs et l'option du gaz naturel est imprudente .”

    "Les auteurs n'ont effectué aucune mesure ou test basé sur l'utilisation réelle d'appareils et ont ignoré la littérature, y compris une étude de données recueillies auprès de plus de 500 000 enfants dans 47 pays qui n'a détecté aucune preuve d'une association entre l'utilisation du gaz comme combustible de cuisson et soit des symptômes d'asthme, soit un diagnostic d'asthme », lit-on dans le communiqué.

    Les régulateurs devraient s'appuyer sur des "données réelles et scientifiques"

    La littérature à laquelle l'AGA fait référence est intitulée «Combustibles de cuisine et prévalence de l'asthme: une analyse globale de la phase trois de l'étude internationale sur l'asthme et les allergies chez l'enfant (ISAAC)», et a été publiée en 2013.

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  20. Cette étude était basée sur des données recueillies entre 1999 et 2004 auprès des parents de 512 707 enfants du primaire et du secondaire dans 47 pays via des questionnaires écrits.

    "Toute allégation selon laquelle les cuisinières à gaz dépassent les normes établies par l'Agence de protection de l'environnement et l'Organisation mondiale de la santé est manifestement fausse", a écrit AGA. "Les régulateurs, comme la Commission de sécurité des produits de consommation (CPSC), devraient s'appuyer sur des données réelles et sur la science et non sur des allégations non fondées de défenseurs."

    "Les tentatives de générer des craintes chez les consommateurs avec des allégations sans fondement pour justifier l'interdiction du gaz naturel sont un programme erroné qui n'améliorera pas l'environnement ou la santé des consommateurs et imposerait aux populations vulnérables des coûts importants", ajoute le communiqué.

    On estime que les poêles à gaz naturel sont utilisés dans environ 40 % de tous les foyers américains, bien que leur utilisation augmente à environ 70 % dans des États comme la Californie et le New Jersey.

    Selon l'AGA, les services publics de gaz naturel ont réduit leurs émissions de gaz à effet de serre de 69 % depuis 1990 et aident les propriétaires à réduire leurs émissions de carbone de 1,2 % chaque année.

    Malgré l'utilisation généralisée des poêles à gaz naturel dans les foyers américains, Bloomberg a rapporté que la CPSC pourrait potentiellement interdire leur utilisation en raison de préoccupations concernant leurs liens possibles avec des problèmes de santé et respiratoires.

    Dans une interview avec Bloomberg publiée le 9 janvier, un commissaire américain à la sécurité des produits de consommation a déclaré que l'utilisation d'une cuisinière à gaz est un "risque caché".

    "Les produits qui ne peuvent pas être sécurisés peuvent être interdits"
    "Toute option est sur la table. Les produits qui ne peuvent pas être sécurisés peuvent être interdits », a déclaré le commissaire de l'agence, Richard Trumka Jr. Selon le rapport, la commission prévoit de tenir des commentaires publics sur les dangers présumés posés par les cuisinières à gaz au cours de l'hiver 2023. Outre une éventuelle interdiction, la commission pourrait établir des normes sur les émissions des appareils.

    Bien que la CPSC ait déjà émis une demande sollicitant les points de vue du public sur les dangers possibles associés aux cuisinières à gaz et aux solutions proposées, la commission n'a pas encore proposé de mesures réglementaires, selon un porte-parole.

    Pendant ce temps, l'Agence de protection de l'environnement (EPA) et l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ont également déclaré que les poêles à gaz naturel sont liés aux maladies respiratoires et émettent des niveaux dangereux de polluants atmosphériques, tels que le dioxyde d'azote, selon un rapport de l'American Chemical Society.

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  21. Plus de 25 millions d'Américains souffrent d'asthme, dont 5,5 millions d'enfants, selon l'American Lung Association.

    Plusieurs facteurs jouent un rôle dans la détermination des personnes qui développent de l'asthme, notamment la génétique familiale, les allergies, l'obésité, le tabagisme, l'inhalation de fumée secondaire, l'exposition à la pollution de l'air, les infections respiratoires virales et les expositions professionnelles.

    "Alors que les inquiétudes concernant les émissions des cuisinières à gaz sont soulevées et débattues, l'industrie du gaz naturel se concentre sur l'apport d'informations techniques objectives à la discussion", a déclaré l'AGA mardi. "Nous continuerons à travailler avec les régulateurs et les décideurs pour nous assurer qu'ils disposent de données solides sur lesquelles travailler lorsqu'ils abordent tout problème lié au gaz naturel."

    Epoch Times a contacté la Commission de sécurité des produits de consommation pour obtenir des commentaires.

    https://www.zerohedge.com/medical/american-gas-association-says-possible-ban-gas-stoves-reckless-not-based-sound-science

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  22. Produire des engrais azotés sans émissions de carbone


    11 Janvier 2023
    AGDAILY reporters*


    La plupart des opérations agricoles à grande échelle ne sont possibles que si le sol est fertilisé en azote, phosphore et potassium. Alors que le phosphore et le potassium peuvent être extraits sous forme de sels, l'engrais azoté doit être produit laborieusement à partir de l'azote de l'air et de l'hydrogène. De plus, la production d'hydrogène est très gourmande en énergie, nécessitant actuellement de grandes quantités de gaz naturel ou – comme en Chine – de charbon. Outre son empreinte carbone, la production d'engrais azotés est vulnérable aux chocs de prix sur les marchés des combustibles fossiles.

    M. Paolo Gabrielli, chercheur principal au Laboratoire d'Ingénierie de la Fiabilité et du Risque de l'ETH Zurich, a collaboré avec M. Lorenzo Rosa, chercheur principal à la Carnegie Institution for Science de Stanford, pour étudier diverses méthodes de production d'engrais azotés neutres en carbone.

    Dans une étude publiée dans la revue Environmental Research Letters, les deux chercheurs concluent qu'une transition dans la production d'azote est possible et qu'une telle transition peut également accroître la sécurité alimentaire. Toutefois, les méthodes de production alternatives présentent des avantages et des inconvénients. Plus précisément, les deux chercheurs ont examiné trois alternatives :

    Produire l'hydrogène nécessaire à l'aide de combustibles fossiles, comme dans le cas habituel, sauf qu'au lieu d'émettre le gaz à effet de serre CO2 dans l'atmosphère, il est capté dans les usines de production et stocké de façon permanente dans le sous-sol (captage et stockage du carbone). Cela nécessite non seulement une infrastructure pour le captage, le transport et le stockage du CO2, mais aussi une quantité d'énergie plus importante. Malgré cela, il s'agit d'une méthode de production comparativement efficace. Cependant, elle ne contribue en rien à réduire la dépendance aux combustibles fossiles.

    Électrifier la production d'engrais en utilisant l'électrolyse de l'eau pour produire l'hydrogène. Cette méthode nécessite en moyenne 25 fois plus d'énergie que la méthode de production actuelle, qui utilise le gaz naturel. Il faudrait donc d'énormes quantités d'électricité provenant de sources neutres en carbone. Pour les pays disposant d'une abondance d'énergie solaire ou éolienne, cette approche pourrait être intéressante. Toutefois, étant donné les projets d'électrification d'autres secteurs de l'économie au nom de l'action climatique, elle pourrait entraîner une concurrence pour l'électricité durable.

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  23. Synthétiser l'hydrogène pour la production d'engrais à partir de la biomasse. Comme elle nécessite beaucoup de terres arables et d'eau, cette méthode de production entre ironiquement en concurrence avec la production alimentaire. Mais les auteurs de l'étude soulignent qu'elle est logique si la matière première est de la biomasse résiduelle, par exemple des résidus de culture.

    Selon les scientifiques, la clé du succès sera probablement une combinaison de toutes ces approches, en fonction du pays, des conditions locales spécifiques et des ressources disponibles.

    Implications pour la sécurité alimentaire

    Dans l'étude, les scientifiques ont également cherché à identifier les pays du monde dans lesquels la sécurité alimentaire est particulièrement menacée à l'heure actuelle en raison de leur dépendance aux importations d'azote ou de gaz naturel. Les pays suivants sont particulièrement vulnérables aux chocs de prix sur les marchés du gaz naturel et de l'azote : Inde, Brésil, Chine, France, Turquie et Allemagne.

    La décarbonisation de la production d'engrais permettrait dans de nombreux cas de réduire cette vulnérabilité et de renforcer la sécurité alimentaire. À tout le moins, l'électrification par les énergies renouvelables ou l'utilisation de la biomasse réduirait la dépendance à l'égard des importations de gaz naturel.

    Les chercheurs relativisent toutefois ce point : toutes les méthodes neutres en carbone de production d'engrais azotés sont plus énergivores que la méthode actuelle qui consiste à utiliser des combustibles fossiles. En d'autres termes, elles restent vulnérables à certains chocs de prix – pas directement sur les marchés du gaz naturel, mais peut-être sur les marchés de l'électricité.

    Les producteurs d'azote face au changement

    La décarbonisation est susceptible de modifier la liste des pays producteurs d'engrais azotés, soulignent les scientifiques dans leur étude. À l'heure actuelle, les principaux pays exportateurs d'azote sont la Russie, la Chine, l'Égypte, le Qatar et l'Arabie saoudite. À l'exception de la Chine, qui doit importer du gaz naturel, tous ces pays peuvent puiser dans leurs propres réserves de gaz naturel. À l'avenir, les pays qui devraient bénéficier de la décarbonisation sont ceux qui produisent beaucoup d'énergie solaire et éolienne et qui disposent également de réserves suffisantes de terres et d'eau, comme le Canada et les États-Unis.

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  24. « Il est indéniable que nous devons rendre la demande agricole en azote plus durable à l'avenir, tant pour atteindre les objectifs climatiques que pour des raisons de sécurité alimentaire », a déclaré M. Gabrielli.

    La guerre en Ukraine affecte le marché alimentaire mondial non seulement parce que le pays exporte normalement beaucoup de céréales, mais aussi parce que le conflit a fait grimper les prix du gaz naturel. Cela a entraîné une hausse des prix des engrais azotés. Malgré cela, on sait que certains producteurs d'engrais ont cessé leur production, du moins temporairement, car le coût exorbitant du gaz rend la production non rentable pour eux.
    ____________

    * Source : Producing nitrogen fertilizer without carbon emissions | AGDAILY

    https://seppi.over-blog.com/2023/01/produire-des-engrais-azotes-sans-emissions-de-carbone.html

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    Réponses
    1. (...) La guerre en Ukraine affecte le marché alimentaire mondial non seulement parce que le pays exporte normalement beaucoup de céréales, mais aussi parce que le conflit a fait grimper les prix du gaz naturel. (...)

      Voici l'ordre des exportateurs de blé pour 2020 :

      Russia: US$7.9 billion (17.6% of total wheat exports)
      United States: $6.32 billion (14.1%)
      Canada: $6.3 billion (14%)
      France: $4.5 billion (10.1%)
      Ukraine: $3.6 billion (8%)
      Australia: $2.7 billion (6%)
      Argentina: $2.12 billion (4.7%)
      Germany: $2.1 billion (4.7%)
      Kazakhstan: $1.1 billion (2.5%)
      Poland: $1 billion (2.3%)
      Romania: $948.8 million (2.1%)
      Lithuania: $910.7 million (2%)
      Bulgaria: $699.2 million (1.6%)
      Latvia: $649.2 million (1.4%)
      Hungary: $630.6 million (1.4%)

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  25. La « prochaine pandémie » arrive, dit Bill Gates, qui dit que plus de censure est nécessaire pour « modérer une partie de la folie en ligne »


    mercredi 11 janvier 2023
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Si vous pensiez que l'opération Warp Speed ​​avait été déployée rapidement, attendez simplement l'arrivée de la prochaine «pandémie».

    Covid n'était qu'un échauffement, selon l'eugéniste milliardaire Bill Gates, qui met déjà en garde contre la prochaine arnaque et la rapidité avec laquelle la prochaine série de "vaccins" sera déclenchée.

    "La prochaine fois, nous aurons des usines capables de produire [des vaccins] beaucoup plus rapidement, et donc en quelques mois seulement, vous devriez pouvoir en fabriquer assez pour le monde", a récemment déclaré Gates.

    "Nous aurons donc suffisamment d'approvisionnement pour que la priorisation n'ait pas d'importance car nous couvrirons tout le monde." (En relation: Gates a également l'intention de "vacciner" l'ensemble de l'approvisionnement alimentaire.)

    Correspondant aux déclarations également faites récemment par le faux président Joe Biden à propos de la prochaine plandémie, Gates dit que des "usines géantes d'ARNm" apparaîtront bientôt et produiront toutes sortes de nouveaux vaccins à une vitesse fulgurante.

    "Nous ne sommes pas encore tout à fait tirés d'affaire avec cette pandémie actuelle, et cela donne à réfléchir que nous devions penser à la prochaine pandémie alors que nous profitons tout juste des choses que nous aimons faire dans la vie", a déploré Folly Bah Thibault. , l'animateur d'Al Jazeera qui a parlé à Gates juste avant Noël à ce sujet.

    « Pourquoi et dans quelle mesure devrions-nous être prêts pour la prochaine pandémie ? » elle a ensuite demandé à Gates, ce à quoi il a répondu:

    «Eh bien, les gouvernements sont là pour nous protéger… mais la pandémie [covid] est une catastrophe à laquelle ils ne se sont pas préparés. Les ressources réelles nécessaires pour avoir une équipe de surveillance mondiale pour faire de meilleures technologies de diagnostic, pour faire une détection rapide. En fait, cela ne coûtera pas si cher une fois que le monde s'organisera et en fera une priorité.

    Ce n'est pas si mais QUAND la prochaine "pandémie" se déchaîne
    Selon Gates, ce n'est pas simplement une possibilité qu'il y ait une autre arnaque. Il a déclaré à plusieurs reprises, y compris plus récemment à Al Jazeera, qu'il y en aura un autre à un moment donné.

    Ce n'est pas une "question de si mais quand", a révélé Gates, avertissant que les gens et les gouvernements doivent "se préparer activement" pour le prochain cycle de tyrannie mondiale, qui éclipsera certainement le dernier cycle.

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  26. Gates veut voir beaucoup plus de vaccins, beaucoup plus de kits de "tests" et beaucoup plus de tyrannie la prochaine fois qu'une maladie effrayante sera diffusée dans le cycle de l'actualité.

    "Choisir comment nous renforçons l'OMS - créer une organisation spéciale dédiée aux pandémies", a déclaré Gates, ajoutant que des efforts doivent continuer à être faits pour "amener chaque pays à pratiquer" les choses qu'il dit devoir se produire pour la prochaine pandémie.

    "Nous avons donc besoin d'un peu de préparation pour pouvoir arrêter quelque chose avant qu'il ne se mondialise", a-t-il ajouté. "Nous aurons donc beaucoup d'épidémies, mais nous devons avoir moins de pandémies."

    La création d'un appareil de "surveillance mondiale" du genre que souhaite Gates coûte cher. Pour le payer, il veut que les pays les plus riches du monde, y compris les États-Unis, dépensent 2 à 3 milliards de dollars par an à des fins de préparation.

    Gates veut toujours voir toutes les personnes âgées vaccinées en premier, la prochaine fois. Les jeunes ne devraient se faire injecter, dit-il, qu'après que toutes les personnes âgées ont déjà retroussé leurs manches.

    Quoi qu'il en soit, Gates veut qu'il y ait beaucoup de vaccins pour tout le monde, ce qui signifie que des milliards de dollars doivent être versés dans les coffres de Big Pharma maintenant afin de créer plus d'usines et de gammes de produits en prévision de la prochaine arnaque.

    "Nous devons montrer à quel point ces problèmes sont importants", a souligné Gates. "Si les enfants mouraient dans notre quartier, vous savez que nous achèterions les moustiquaires et nous en ferions une priorité."

    Une couverture médiatique plus connexe peut être trouvée sur Pandemic.news.

    Les sources de cet article incluent :

    WinePressNews.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-01-11-next-pandemic-bill-gates-censorship-internet-insanity.html

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  27. Pourquoi l'Associated Press ment-elle à propos des injections de thérapie génique ?


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    12 janvier 2023


    Bien que les injections de COVID-19 soient appelées «vaccins», elles ne répondent pas à la définition classique d'un vaccin. Les autorités sanitaires ont en fait dû modifier la définition pour tenir compte des injections de COVID et mettre fin à l'argument selon lequel, en tant que thérapies géniques expérimentales, elles pourraient être plus risquées que les vaccins traditionnels.

    Pendant ce temps, sur la base de la définition de la «thérapie génique» de la Food and Drug Administration des États-Unis, ce sont clairement des thérapies géniques, et Moderna et BioNTech le reconnaissent. Malgré cela, l'idée que les vaccins COVID sont une forme de thérapie génique est si risquée pour les résultats de Big Pharma1 qu'ils se donnent beaucoup de mal pour s'assurer que les gens ne les considèrent pas de cette façon.

    Plus récemment, l'Associated Press (AP) a tenté de démystifier l'idée que les vaccins COVID sont une thérapie génique, mais comme vous le verrez, ils mentent pour protéger l'industrie ou sont devenus si incompétents qu'ils ne savent pas comment faire du journalisme d'investigation. Quoi qu'il en soit, cela ne reflète pas bien leur crédibilité.

    AP ment sur le fait que les injections COVID ne sont pas une thérapie génique

    AP, fin décembre 2022, a publié une « vérification des faits » intitulée « Non, les vaccins COVID-19 ne sont pas une thérapie génique », dans laquelle ils affirmaient :2

    «Les vaccins COVID-19 ne modifient pas les gènes d'une personne, comme le fait la thérapie génique… Les injections de Pfizer et Moderna utilisent de l'ARN messager, ou ARNm, pour demander au corps de créer une protéine à partir du coronavirus. Le vaccin Johnson & Johnson, quant à lui, utilise un adénovirus modifié pour déclencher une réponse immunitaire…

    Ces derniers jours, les publications sur les réseaux sociaux ont partagé une affirmation selon laquelle les vaccins sont une «thérapie génique» – qui consiste à modifier les gènes d’une personne pour traiter ou guérir une maladie, selon la Food and Drug Administration des États-Unis. »3

    La définition de la thérapie génique

    La FDA a défini la thérapie génique en juillet 2018 et ne l'a pas modifiée depuis. Selon le site Web de la FDA au moment de la rédaction de cet article : 4

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  28. « La thérapie génique humaine vise à modifier ou à manipuler l'expression d'un gène ou à altérer les propriétés biologiques de cellules vivantes à des fins thérapeutiques. La thérapie génique est une technique qui modifie les gènes d’une personne pour traiter ou guérir une maladie… »

    Voici où AP s'est trompé. Ils n'ont utilisé qu'UNE partie de la définition de la FDA d'une thérapie génique - la partie sur la modification de l'expression d'un gène - dans sa tentative de démystification. Mais la définition complète comprend également les mots «ou pour modifier les propriétés biologiques des cellules vivantes», ce qui est précisément ce que font les injections COVID.

    L'ARNm dans la piqûre de COVID sont des molécules qui contiennent des instructions génétiques pour fabriquer diverses protéines. Les injections d'ARNm COVID délivrent de l'ARNm synthétique avec un code génétique qui ordonne à vos cellules de produire une forme modifiée de la protéine de pointe SARS-CoV-2.

    En d'autres termes, ils "modifient les propriétés biologiques des cellules vivantes à des fins thérapeutiques". Qu'ils modifient votre ADN n'est pas pertinent. Notez le mot « ou » dans la définition de la FDA. Cela signifie que cela peut être l'un OU l'autre. Ils n'ont pas à modifier l'expression des gènes pour être toujours qualifiés de thérapie génique, du moins pas selon la définition de la FDA.

    Oui, les piqûres COVID sont des thérapies géniques par définition

    La déclaration d'enregistrement5 de la Securities and Exchange Commission (SEC) de Moderna en novembre 2018 confirme également que ses injections d'ARNm sont définies comme une thérapie génique, indiquant clairement que "l'ARNm est considéré comme un produit de thérapie génique par la FDA".

    [Aux] États-Unis et dans l'Union européenne, les thérapies par ARNm ont été classées comme médicaments de thérapie génique… ~ BioNTech SEC Registration
    Le dossier SEC de septembre 2019 pour BioNTech (sa technologie d'ARNm est utilisée dans le vaccin Pfizer) est tout aussi clair, indiquant à la page 21: 6

    "... aux États-Unis et dans l'Union européenne, les thérapies par ARNm ont été classées comme médicaments de thérapie génique..."

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  29. Ainsi, aux États-Unis et en Europe, les thérapies par ARNm, en tant que groupe, sont classées comme « médicaments de thérapie génique ». 7 Il n'y a tout simplement pas moyen de contourner cela. Pourtant, à ce jour, les médias grand public tentent de «démystifier» la réalité des piqûres COVID.

    La définition du vaccin a été modifiée pour vous tromper

    En 2018, Moderna a reconnu que la technologie de l'ARNm était d'une "nature nouvelle et sans précédent"8, mais au cours des trois dernières années, on nous a dit qu'il s'agissait simplement d'un moyen plus récent et plus rapide de fabriquer des vaccins.

    Le fait est que lorsque les injections d'ARNm ont été déployées au début de 2021, elles ne répondaient pas à la définition d'un vaccin des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis. Ils ne répondaient qu'à la définition de la FDA d'une thérapie génique. Et la seule raison pour laquelle ils répondent maintenant à la définition du CDC d'un vaccin est que le CDC a changé leur définition.9

    Jusqu'à fin octobre 2021, le CDC a défini un vaccin comme "un produit qui stimule le système immunitaire d'une personne pour produire une immunité contre une maladie spécifique, protégeant la personne de cette maladie". L'immunité, à son tour, a été définie comme «la protection contre une maladie infectieuse», ce qui signifie que «si vous êtes immunisé contre une maladie, vous pouvez y être exposé sans être infecté».

    La nouvelle définition10 de « vaccin » est la suivante : « Une préparation utilisée pour stimuler la réponse immunitaire de l'organisme contre les maladies. Ainsi, un «vaccin» est passé de quelque chose qui produit une immunité protectrice à simplement stimuler une réponse immunitaire. Les mots clés « produire une immunité » ont été éliminés de l'équation.

    Cela rend les injections COVID conformes à la description, car elles ne vous immunisent pas contre le COVID-19 et n'ont pas été conçues pour prévenir l'infection en premier lieu.

    La correspondance interne du CDC11 obtenue par le biais des demandes de la Freedom of Information Act (FOIA) prouve également de manière concluante que la raison du changement était simplement de mettre fin aux arguments des « négateurs de la pandémie de COVID-19 de droite » selon lesquels « les vaccins COVID-19 ne sont pas des vaccins selon les propres CDC. définition."

    La FDA savait que les piqûres COVID étaient un territoire à risque

    Les directives de la FDA pour l'industrie des produits de thérapie génique humaine,12 publiées en janvier 2020, ont également classé les injections d'ARNm comme thérapie génique. Il est important de noter que dans ce document, la FDA a souligné que les produits de thérapie génique qui transportent des microARN ou des cytokines peuvent avoir "des effets pléotropiques inconnus, y compris une expression altérée des gènes hôtes (humains) qui pourraient entraîner des résultats imprévisibles et indésirables".

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  30. Bien que le coup COVID produise certainement des résultats indésirables, les conséquences négatives n'étaient pas imprévisibles. Dès le début, un certain nombre de scientifiques qui avaient examiné les mécanismes d'action des injections ont mis en garde contre la possibilité d'effets indésirables graves, notamment une altération du système immunitaire, un dysfonctionnement neurologique et un cancer. Aujourd'hui, un large éventail de données et de statistiques prouvent que ces premières préoccupations étaient valables.

    L'analyse risques-avantages décime les allégations de sécurité

    Par exemple, une analyse risques-avantages13 examinant l'impact des mandats de rappel pour les étudiants universitaires a conclu qu'entre 22 000 et 30 000 adultes auparavant non infectés (âgés de 18 à 29 ans) doivent être boostés pour éviter une hospitalisation au COVID-19.

    Pendant ce temps, pour chaque hospitalisation évitée, le vaccin entraînera 18 à 98 événements indésirables graves, dont 1,7 à 3 « cas de myocardite associée à un rappel chez les hommes et 1 373 à 3 234 cas de réactogénicité de grade ≥ 3 qui interfère avec les activités quotidiennes ». Selon les auteurs, imposer un troisième vaccin COVID aux étudiants universitaires entraînera «un préjudice net attendu».

    Les auteurs soulignent également que "Compte tenu de la forte prévalence de l'immunité post-infection, ce profil bénéfice-risque est encore moins favorable". Ils poursuivent en déclarant que « les mandats de rappel des universités sont contraires à l'éthique parce que : »14

    « 1) il n'existe pas d'évaluation formelle du rapport bénéfice/risque pour ce groupe d'âge ;

    2) les mandats de vaccination peuvent entraîner un préjudice net attendu pour les jeunes individuels ;

    3) les mandats ne sont pas proportionnés : les dommages attendus ne sont pas compensés par les avantages pour la santé publique compte tenu de l'efficacité modeste et transitoire des vaccins contre la transmission ;

    4) Les mandats des États-Unis violent le principe de réciprocité parce que les préjudices rares et graves liés aux vaccins ne seront pas indemnisés de manière fiable en raison des lacunes des programmes actuels de prévention des préjudices liés aux vaccins ; et

    5) les mandats créent des préjudices sociaux plus larges. Nous considérons des contre-arguments tels qu'un désir de socialisation et de sécurité et montrons que de tels arguments manquent de fondement scientifique et/ou éthique.

    Une étude gouvernementale met également en évidence les problèmes de piqûre COVID

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  31. Une petite étude observationnelle15,16 menée par des chercheurs en neurologie des National Institutes of Health a apporté des nouvelles tout aussi mauvaises, car ils ont découvert « une variété de symptômes neuropathiques » survenant dans les trois à quatre semaines suivant l'injection de COVID :

    «Nous avons étudié 23 patients (92 % de femmes; âge médian de 40 ans) signalant de nouveaux symptômes neuropathiques commençant dans le mois suivant la vaccination contre le SRAS-CoV-2. 100% ont rapporté des symptômes sensoriels comprenant des paresthésies sévères du visage et/ou des membres, et 61% avaient une orthostasie, une intolérance à la chaleur et des palpitations…

    Ensemble, 52 % (12/23) des patients présentaient des preuves objectives de neuropathie périphérique des petites fibres… Cette étude observationnelle suggère qu'une variété de symptômes neuropathiques peuvent se manifester après les vaccinations contre le SRAS-CoV-2 et chez certains patients pourraient être une maladie à médiation immunitaire processus."

    La FDA et le CDC refusent de publier des analyses de sécurité clés

    N'est-il pas curieux que la FDA, le CDC, le NIH et les médias grand public refusent d'admettre qu'il existe des risques, même si les propres recherches du NIH le montrent ? Selon toute vraisemblance, la collecte de données de la FDA et du CDC sur les prises de vue révèle également qu'il existe des problèmes importants, car les deux agences tentent de bloquer les tentatives de publication d'analyses de sécurité clés. Tel que rapporté par The Epoch Times à l'été 2022 : 17

    «Selon les procédures opérationnelles définies par l'agence et son partenaire en janvier 202118 et février 202219, la FDA effectuerait une exploration de données« au moins toutes les deux semaines »pour identifier les événements indésirables« signalés plus fréquemment que prévu après la vaccination avec les vaccins COVID-19. L'agence effectuerait l'exploration des données du système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS).

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  32. Dans une réponse récente, le bureau des archives de la FDA a déclaré à Epoch Times qu'il ne fournirait aucune des analyses, même sous forme expurgée. L'agence a cité une exemption à la loi sur la liberté d'information qui permet au gouvernement de retenir des mémorandums et des lettres inter-agences et intra-agence "qui ne seraient pas disponibles par la loi à une partie autre qu'une agence en litige avec l'agence".

    L'agence a également souligné le Code of Federal Regulations, qui stipule que "toutes les communications au sein de la branche exécutive du gouvernement fédéral qui sont sous forme écrite ou qui sont ensuite réduites à l'écrit peuvent être soustraites à la divulgation publique, à l'exception des informations factuelles qui sont raisonnablement séparable …'

    On ne sait pas pourquoi la FDA n'a pas pu produire de copies des analyses avec des informations non factuelles expurgées.

    Selon les procédures opérationnelles standard du VAERS citées ci-dessus, le CDC est également tenu d'effectuer des analyses d'exploration de données à l'aide de l'exploration de données Proportional Reporting Ratio (PRR). Le PRR20 mesure la fréquence d'un événement indésirable pour un médicament spécifique par rapport à tous les autres médicaments de la base de données.

    Lorsque The Epoch Times a demandé au CDC de publier ses résultats, il a également refusé. Selon Epoch Times21, le CDC « a également fourni à deux reprises de fausses informations en répondant à des questions ». Premièrement, ils ont affirmé qu'aucune analyse PRR n'avait été effectuée et que l'exploration de données n'était pas de leur ressort.

    Quelque temps plus tard, ils ont admis que l'agence avait effectué des PRR à partir de février 2021, pour ensuite revenir en arrière, affirmant qu'ils n'avaient commencé à faire des PRR qu'en mars 2022. Epoch Times cite plusieurs articles dans lesquels la FDA et/ou le CDC revendiquent leurs efforts d'exploration de données sont venus les mains vides.

    Mais si c'est vrai, pourquoi cette réticence à publier les données ? Ne veulent-ils pas que nous soyons rassurés sur le fait que ces tirs sont aussi sûrs qu'ils le prétendent ? Pourquoi s'asseoir sur des preuves à décharge? À moins, bien sûr, que les données prouvent que la FDA et le CDC mentent.

    L'approbation des médicaments sans test a-t-elle toujours été le plan ?

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  33. Bien que je ne puisse pas le prouver, je soupçonne que l'opération Warp Speed - conçue au printemps 2020 par une douzaine de hauts responsables des départements de la santé et de la défense du président Trump de l'époque pour accélérer le développement d'un vaccin COVID 1922 - aurait pu avoir pour but de normaliser l'approbation de médicaments de thérapie génique sans les tests appropriés.

    Avant que les vaccins COVID ne reçoivent une autorisation d'utilisation d'urgence, aucune thérapie génique par ARNm n'avait jamais été commercialisée, malgré plus de 20 ans de recherche et développement. Cela vous dit à quel point il est difficile d'obtenir ces produits correctement, de s'assurer qu'ils fonctionnent et qu'ils sont sûrs.

    Avec la mise en œuvre par la FDA d'un programme «Future Framework» en juin 2022 pour accélérer la livraison de boosters COVID,23 les obstacles réglementaires aux thérapies géniques, en particulier les exigences de sécurité strictes, ont été écartés. Désormais, la FDA peut autoriser et autorisera les injections COVID reformulées sans essais sur l'homme.24,25,26

    La FDA a essentiellement réécrit les règles à la volée, décidant que les thérapies géniques par ARNm sont équivalentes aux vaccins antigrippaux conventionnels et peuvent être mises à jour et publiées sans test.

    L'idée est que la sécurité des injections d'ARNm COVID a déjà été prouvée par les injections originales, qui, selon eux, n'ont blessé ou tué personne. Par conséquent, la sécurité est une donnée, et l'efficacité des rappels reformulés peut être évaluée simplement en vérifiant les niveaux d'anticorps chez quelques souris, ce que Pfizer et Moderna ont fait.

    En réalité, cependant, des millions de personnes dans le monde ont été blessées et tuées par les tirs originaux, les essais sur l'homme pour ces tirs ont été truffés de fraude, les niveaux d'anticorps ne nous disent rien sur la capacité du vaccin à protéger contre l'infection, et les deux technologies (vaccins antigrippaux conventionnels et thérapie génique par ARNm) n'ont pas de terrain d'entente.

    Méfiez-vous des futures injections d'ARNm

    Je ne doute pas que ce «Future Framework» sera également, au fil du temps, élargi pour inclure d'autres vaccins et médicaments que les fabricants de médicaments voudront peut-être bricoler. Déjà, il y a des injections d'ARNm dans le pipeline contre l'herpès, le paludisme, la grippe, le virus respiratoire syncytial (RSV), la drépanocytose, le VIH, Epstein-Barr et le cancer,27,28 et les fabricants de vaccins ont reçu une désignation d'approbation accélérée pour au moins certains de ces clichés.29

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  34. À terme, cette tendance accélérée pourrait même abaisser les normes des essais de médicaments en général, qui ont historiquement nécessité au moins 10 ans de tests multiphases.30 Les dangers de cette tendance ne peuvent vraiment pas être surestimés, en particulier lorsque nous parlons d'essais basés sur les gènes. des produits.

    Donc, pour revenir à notre point de départ, j'espère que vous pouvez maintenant voir comment l'AP et d'autres médias vous induisent en erreur dans leurs «vérifications des faits» en se concentrant sur un seul aspect de la définition de la thérapie génique de la FDA (la partie modifiant l'ADN), tout en ignorant le fait que les injections COVID répondent à la définition complète et SONT classées comme thérapie génique, comme le reconnaissent BioNTech et Moderna dans leurs documents auprès de la SEC.

    Sources and References

    1, 5, 8 Moderna’s SEC Form S-1 Registration Statement
    2 AP December 23, 2022
    3, 4 FDA Gene Therapy Definition
    6 US SEC BioNTech 2019
    7 SWF Institute January 25, 2021
    9, 11 Pulse Stubstack November 9, 2021
    10 CDC Immunizations: The Basics, Definition of Terms
    12 FDA Guidance for Industry January 2020
    13, 14 SSRN September 12, 2022
    15 medRxiv May 17, 2022
    16 Trial Site News September 1, 2022
    17, 21 Epoch Times September 10, 2022
    18 VAERS Standard Operating Procedures January 2021
    19 VAERS Standard Operating Procedures February 2022
    20 All About Pharmacovigilance PRR
    22 Politico January 17, 2021
    23 FDA Briefing Document June 28, 2022
    24 The Defender June 27, 2022
    25 The Epoch Times June 28, 2022 (Archived)
    26 New York Times June 27, 2022 (Archived)
    27 MIT Technology Review February 5, 2021
    28 Nature Biotechnology 2022; 40: 840-854
    29 FDA News August 5, 2021
    30 Phrma.org Biopharmaceutical research and Development

    https://www.lewrockwell.com/2023/01/joseph-mercola/why-is-the-associated-press-lying-about-gene-therapy-shots/

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  35. Un joueur de football de l'armée de l'air de 21 ans "meurt subitement" après s'être effondré en se rendant en classe


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 12 JANVIER 2023 - 00:40


    Que ce soit ou non une «coïncidence» reste à voir – mais il devient difficile d'ignorer toutes les histoires récentes d'athlètes, collégiaux et professionnels, qui s'effondrent ou décèdent de manière inattendue.

    L'attention de la nation a été captée le 3 janvier 2022 lorsque le joueur de la NFL Demar Hamlin s'est effondré sur le terrain en raison d'un arrêt cardiaque après avoir fait ce qui semblait être un tacle de routine, puis s'est levé et a applaudi.

    Quelques jours après l'incident, nous avons mis en évidence le joueur de basket-ball Old Dominion Imo Essien s'effondrant sur le terrain au milieu d'un match contre Georgia Southern. La vidéo de l'incident semblait montrer Essien se tenant la poitrine alors qu'il était au sol.

    Et il y a quelques heures, le monde du MMA a été choqué par la mort inattendue de Victoria Lee, 18 ans, une étoile montante de la promotion ONE Championship MMA. "Elle est partie trop tôt et notre famille a été complètement dévastée depuis", a écrit sa sœur sur Instagram le week-end dernier.

    Maintenant, un autre athlète est décédé de manière inattendue à l'âge de 21 ans. Le joueur de football de l'Air Force Hunter Brown a subi une "urgence médicale" alors qu'il se rendait en classe lundi de cette semaine et est décédé, selon Fox News.

    Le rapport indique qu'il "était sur le chemin de la classe depuis son dortoir lorsqu'il s'est effondré" et que les ambulanciers n'ont pas été en mesure de le ranimer avec des mesures de sauvetage.

    Les deux athlètes sportifs du Barbe High School en Louisiane, qui jouaient au football pour l'Air Force et qui jouaient auparavant au baseball et au football au lycée, ont été décrits par son entraîneur comme "une pure joie d'entraîner et d'avoir comme coéquipier".

    Le lieutenant-général Richard M. Clark, surintendant de l'US Air Force Academy, a déclaré: "Hunter était un joueur de ligne offensif hors pair dans l'équipe de football Falcon et était très respecté dans son escadron, toute l'US Air Force Academy pleure sa perte, et nos cœurs et mes condoléances vont à sa famille, à son escadron et à tous ceux qui ont été touchés par cet incroyable jeune homme."

    Les responsables du bureau des enquêtes spéciales de l'armée de l'air et le bureau du shérif du comté d'El Paso enquêtent tous deux sur l'incident.

    https://www.zerohedge.com/markets/21-year-old-air-force-football-player-dies-after-collapsing-walking-class

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  36. La date limite est dépassée pour que Pfizer soumette les résultats de l'étude sur l'inflammation cardiaque post-vaccination aux régulateurs américains


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 12 JANVIER 2023 - 12:30
    Écrit par Zachary Stieber via The Epoch Times


    La date limite est passée pour que Pfizer soumette les résultats d'une étude explorant la fréquence de l'inflammation cardiaque après la réception du vaccin COVID-19 de la société.

    Pfizer a été tenu par les États-Unis et la Food and Drug Administration (FDA) de mener plusieurs études sur son vaccin après que la FDA a approuvé le vaccin en août 2021, car les régulateurs ont déterminé que sans les études, il n'y aurait pas suffisamment de données pour évaluer la « gravité connue ». risques de myocardite et de péricardite », ou inflammation cardiaque et affection connexe.

    Les régulateurs étaient également préoccupés par le risque potentiel de myocardite subclinique ou d'inflammation cardiaque sans symptômes typiques.

    La FDA a demandé à Pfizer de réaliser six études, avec différents délais pour l'achèvement et la communication des résultats finaux à l'agence. La première échéance finale est arrivée le 31 décembre 2022.

    Pfizer devait soumettre un rapport sur l'étude, qui devait évaluer l'incidence de la myocardite subclinique après l'administration d'une troisième dose du vaccin de Pfizer, ou d'un rappel, chez les personnes âgées de 16 à 30 ans.

    On ne sait pas si Pfizer a respecté le délai. La société et la FDA n'ont pas répondu aux demandes de commentaires et n'ont publié aucune information sur l'étude ou ses résultats depuis l'expiration du délai.

    Selon la FDA, Pfizer avait jusqu'au 30 juin 2022 pour terminer l'étude, puis six mois supplémentaires pour préparer et soumettre les résultats finaux.

    Dans un mémorandum du 8 décembre 2022 expliquant pourquoi la FDA a autorisé le rappel bivalent de Pfizer sans aucune donnée clinique, les responsables de la FDA ont noté que Pfizer «menait des études post-autorisation / post-commercialisation supplémentaires liées à la sécurité pour le vaccin PfizerBioNTech COVID-19, y compris les exigences post-commercialisation pour évaluer les risques graves graves connus de myocardite et de péricardite et un risque grave inattendu de myocardite subclinique.

    "Je ne devrais pas avoir à demander"
    Les résultats de l'étude devraient être partagés rapidement, selon Jessica Adams, ancienne responsable de la réglementation à la FDA.

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  37. « Nous ne devrions pas avoir à demander ou à exiger ces informations. Nous devrions nous attendre à ce qu'il soit rapidement partagé par défaut », a écrit Adams sur Twitter.

    Le Dr Janet Woodcock, directrice adjointe principale de l'agence, a déclaré à Adams dans un e-mail que la FDA "n'est pas autorisée à commenter les actions potentielles sur les produits réglementés".

    Le rapport entre les résultats d'une étude et les mesures réglementaires potentielles n'est pas clair.

    À la lumière de la quantité croissante de preuves liées aux événements indésirables post-vaccination, certains s'interrogent sur le retard de la FDA dans le partage d'informations sur l'étude.

    "Pourquoi les responsables de la FDA traînent-ils les pieds pour rendre les données de l'étude prospective de Pfizer sur la myocardite subclinique accessibles au public alors que des preuves ont été publiées dans la littérature médicale selon lesquelles les essais cliniques pré-EUA de Pfizer ont révélé" un risque 36% plus élevé d'événements indésirables graves chez les vaccinés participants par rapport aux receveurs de placebo », a déclaré Barbara Loe Fisher, co-fondatrice et présidente du Centre national d'information sur les vaccins, à Epoch Times par e-mail.

    Elle citait une nouvelle analyse des données de l'essai original qui a révélé que les participants vaccinés avaient un risque plus élevé d'événements indésirables graves.

    «Avec 79% des Américains ayant reçu au moins un vaccin COVID et tant de jeunes adultes vaccinés, en particulier des athlètes en bonne forme physique souffrant de crises cardiaques et de morts subites, les responsables de la santé publique devraient insister pour que l'entreprise détenant la plus grande part de marché de l'activité de vaccins COVID en que les États-Unis soient complètement transparents sur ce qu'ils savent des mécanismes biologiques de l'inflammation cardiaque induite par le vaccin à ARNm COVID que Pfizer maintient comme étant à la fois sûr et efficace », a ajouté Fisher.

    Avertissement

    La FDA a ajouté un avertissement concernant la myocardite après la vaccination par Pfizer et Moderna aux fiches d'information des patients et des prestataires de soins de santé en juin 2021. Les deux vaccins utilisent la technologie de l'ARN messager (ARNm). Les futurs vaccinés ont été informés que le risque de myocardite était accru après la vaccination, en particulier après la deuxième dose de la primovaccination à deux doses.

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  38. Si certains symptômes apparaissaient après la vaccination, tels que des douleurs thoraciques ou un essoufflement, les personnes étaient invitées à consulter immédiatement un médecin.

    Les autorités américaines et certains responsables ailleurs ont depuis reconnu que les vaccins provoquent une inflammation cardiaque.

    "Les preuves actuelles soutiennent une association causale entre la vaccination par ARNm COVID-19 et la myocardite et la péricardite", a déclaré le Dr Tom Shimabukuro, un haut responsable du CDC, lors d'une réunion en 2022.

    Certains cas d'inflammation post-vaccinale se sont soldés par la mort.

    Quelque 5 163 rapports de myocardite, de péricardite ou de myopéricardite post-vaccinale ont été déposés auprès du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), un système d'alerte précoce passif qui alerte les responsables des effets secondaires possibles des vaccins. Les rapports ne prouvent pas un lien avec un vaccin mais sous-estiment le nombre réel de cas, la recherche a trouvé et les autorités ont reconnu.

    Plus de 800 000 autres événements indésirables consécutifs à la réception du vaccin Pfizer ont été enregistrés dans le système.

    Études modernes

    La FDA a également exigé que Moderna mène des études post-approbation après avoir approuvé le plan de la société au début de 2022.

    Moderna a été chargé de mener six études, le même nombre que Pfizer, en se concentrant sur l'évaluation de l'incidence de la myocardite et de la péricardite, l'impact à long terme de la myocardite et la survenue d'une myocardite subclinique.

    Deux études devaient être achevées d'ici le 31 décembre 2022, mais les délais de soumission des résultats à la FDA ne sont pas avant le 30 juin 2023.

    D'autres échéances pour les études Moderna et Pfizer s'étendent sur des mois, voire des années, dont une en 2025 et une en 2028.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/deadline-passes-pfizer-submit-results-post-vaccination-heart-inflammation-study-us

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  39. Visualisation de 65 000 milliards de dollars de dette cachée


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 12 JANVIER 2023 - 04:00


    L'ampleur de la dette cachée en dollars dans le monde est énorme.

    Comme Dorothy Neufeld de Visual Capitalist le détaille ci-dessous, pas moins de 65 000 milliards de dollars de dette en dollars non enregistrés circulent dans le système financier mondial dans des banques non américaines et des banques parallèles. Pour mettre en perspective, le PIB mondial se situe à 104 000 milliards de dollars.

    Cette dette en dollars se présente sous la forme de swaps de devises, qui ont explosé au cours de la dernière décennie en raison d'années d'assouplissement monétaire et de taux d'intérêt extrêmement bas, alors que les investisseurs recherchaient des rendements plus élevés. Aujourd'hui, la dette non enregistrée de ces échanges de devises vaut plus du double de la dette en dollars officiellement enregistrée dans les bilans de ces institutions.

    - voir cadre sur site -

    Sur la base d'une analyse de la Banque des règlements internationaux (BRI), l'infographie ci-dessus illustre l'augmentation de la dette cachée en dollars dans les institutions financières non américaines et examine les implications plus larges de sa croissance.

    Dette en dollars : un guide pour débutants
    Pour commencer, nous examinerons brièvement le rôle des swaps de devises (forex) dans l'économie mondiale. Le marché des changes est de loin le plus grand au monde, avec des billions échangés quotidiennement.

    Certains des principaux acteurs qui utilisent les swaps de change sont :

    Sociétés

    Institutions financières

    Banques centrales

    Pour comprendre les swaps de change, il faut examiner le rôle du risque de change. Comme nous l'avons vu en 2022, le dollar américain est en chute libre. Lorsque cela se produit, cela nuit aux bénéfices des entreprises qui génèrent des revenus au-delà des frontières. C'est parce qu'ils gagnent des revenus en devises étrangères (dont la valeur a probablement diminué par rapport au dollar) mais finissent par convertir leurs revenus en dollars américains.

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  40. Afin de réduire le risque de change, les acteurs du marché achèteront des swaps de change. Ici, deux parties conviennent d'échanger une devise contre une autre. En bref, cela aide à protéger l'entreprise des taux de change défavorables.

    De plus, en raison des règles comptables, les swaps de devises ne sont souvent pas enregistrés dans les bilans et, par conséquent, sont assez opaques.

    Une montagne de dettes

    Depuis 2008, la valeur de cette dette en dollars opaque et non enregistrée a presque doublé.

    - voir liste sur site -

    *Au 30 juin 2022

    Sa montée en puissance a été en partie due à une ère de taux d'intérêt au plus bas à l'échelle mondiale. Au fur et à mesure que les investisseurs recherchaient des rendements plus élevés, ils ont accru leur effet de levier, et les swaps de devises en sont un exemple.

    Maintenant, alors que les taux d'intérêt ont augmenté, les swaps de change ont augmenté dans un contexte de volatilité accrue du marché, les investisseurs cherchant à couvrir le risque de change. Cela apparaît à la fois dans les banques non américaines et dans les banques parallèles non américaines, qui sont des intermédiaires financiers non réglementés.

    Dans l'ensemble, la valeur de la dette non enregistrée est stupéfiante. On estime que 39 000 milliards de dollars sont détenus par des banques non américaines, ainsi que 26 000 milliards de dollars dans des banques fantômes étrangères à travers le monde.

    Études de cas passées
    Pourquoi la croissance massive de la dette en dollars présente-t-elle des risques ?

    Lors des krachs boursiers de 2008 et 2020, les swaps de devises ont fait face à une pénurie de financement. Pour emprunter des dollars américains, les acteurs du marché ont dû payer des taux élevés. Cela dépendait en grande partie de l'impact de la volatilité extrême sur ces swaps, ce qui a exercé une pression sur les taux de financement.

    Voici deux exemples de la façon dont la volatilité peut augmenter le risque sur le marché des changes :

    Volatilité des taux de change : de fortes fluctuations de l'USD peuvent provoquer une pénurie de liquidités

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  41. Volatilité des taux d'intérêt aux États-Unis : des fluctuations soudaines des taux peuvent entraîner des coûts beaucoup plus élevés pour ces transactions

    Dans les deux cas, la banque centrale américaine a dû intervenir pour fournir des liquidités sur le marché et prévenir les pénuries de dollars. Cela a été fait en injectant de l'argent dans le système et en créant des lignes de swap avec d'autres banques non américaines telles que la Banque du Canada ou la Banque du Japon. Celles-ci ont été conçues pour se protéger de la baisse des valeurs monétaires et d'une pénurie de liquidités.

    Dette en dollars : les implications plus larges
    Le risque lié à la croissance de la dette en dollars et à ces lignes de swap survient lorsqu'une banque non américaine ou une banque parallèle peut ne pas être en mesure de respecter sa part de l'accord. En fait, sur une base quotidienne, environ 2,2 billions de dollars de swaps de devises sont exposés au risque de règlement.

    Compte tenu de son ampleur, cette dette en dollars pourrait avoir des retombées systémiques plus importantes. Si les participants ne paient pas, cela pourrait saper la stabilité des marchés financiers. Étant donné que la demande de dollars américains augmente pendant l'incertitude du marché, une détérioration du climat économique pourrait potentiellement exposer le marché des changes à davantage de vulnérabilités.

    https://www.zerohedge.com/markets/visualizing-65-trillion-hidden-dollar-debt

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    1. Depuis toujours les dictateurs (empereurs, rois ou présidents) ont utilisé de la fausse monnaie qui serait (peut-être un jour ?) adossée à l'or. Mais, comme de l'or il n'y en a pas partout, il manque (il y a 21 M3 d'or extrait dans le monde), et s'il manque... il devrait être cher. TRÈS cher !
      Mais, leur 'putain-de-bureau-à-la-con' fixe lui-même (à la tête du client) le prix quotidien de l'or (ainsi que de toutes autres MP).

      Donc, depuis toujours, des images de Mickeys ont circulé montrant la tête coupée de certain dictateurs ou dictatrices aussi sur des pièces. Mais, à l'heure où les machines-robots remplacent le travailleur, la rente devrait donc être énorme (les robots sont sans salaire) et chacun de nous multi millionnaire. Ce qui n'est pas le cas. Çà alors !

      Alors, comme certains ont senti le vent mauvais venir, ils ont fait des économies. Et ces économies permettrait de retarder (voire empêcher) la mise en place du 'Great Reset', d'où la projection d'une monnaie numérique afin de vider les comptes en banque de 8 milliards d'habitants en moins d'une seconde !

      "Vous n'aurez plus rien et serez heureux !"

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  42. Linky ne sera finalement pas obligatoire, Enedis confirme ! Les associations et les particuliers anti Linky ont eu gain de causes. Vous pouvez même demander à remplacer le mouchard vert par un compteur classique.

    https://twitter.com/jp_tournier/status/1613105919876816896?cxt=HBwWgICztbPS8-IsAAAA&cn=ZmxleGlibGVfcmVjcw%3D%3D&refsrc=email

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  43. France: derniers jours avant le chaos ?


    Par Pierre Duval
    Mondialisation.ca,
    11 janvier 2023


    Quelques jours avant l’annonce du projet de réforme des retraites du gouvernement français, des Gilets jaunes sont descendus dans les rues des villes françaises pour protester contre les réformes antisociales d’Emmanuel Macron et de son gouvernement, notamment le relèvement de l’âge de la retraite. En outre, les Français sont extrêmement mécontents de la hausse des prix dans le pays.

    Huit principaux syndicats de travailleurs et un certain nombre de syndicats d’étudiants ont déclaré qu’ils étaient prêts à organiser des grèves et des manifestations à l’échelle nationale si les plans de réforme ne changeaient pas. La Première ministre, Elisabeth Borne, n’a ménagé aucun effort ces derniers mois pour réconcilier les Français avec le relèvement progressif de l’âge de la retraite à 65 ans, comme le pousse Emmanuel Macron.

    Appel à une mobilisation générale contre la réforme des retraites. Laurent Berger, qui est le président de la Confédération européenne des syndicats (CES) et le secrétaire général de la CFDT, a déclaré: «La journée du 19 janvier est le démarrage d’une mobilisation pour que cette réforme n’entre pas en vigueur, pour que le gouvernement recule»; «Nous sommes tous et toutes opposés au recul du départ à la retraite». L’alliance syndicale a annoncé que de grandes grèves et des manifestations sont prévues pour janvier 2023. Les syndicats s’attendent à ce que la majorité de la population les rejoigne.

    Dans le contexte de tensions sociales liées à la réforme des retraites et avec la crise énergétique, le syndicaliste français Laurent Berger a martelé, lors d’un entretien accordé à EURACTIV que «sans la confrontation des idées et le compromis, ce serait le chaos, avec l’extrême droite en bout de piste», affirmant que «la volonté du gouvernement et du président est avant tout l’augmentation de l’âge de départ à la retraite. Ce n’est en rien une réforme systémique». Selon lui, «il faut s’interroger sur l’inégalité du système que nous avons aujourd’hui et qui fixe le même âge de départ à la retraite pour tous». Il estime que le gouvernement ne consulte pas de manière approfondie les syndicats sur le relèvement de l’âge de la retraite de 62 à 65 ans en termes de questions de réforme budgétaire et financière. Le deuxième syndicat français, la Confédération générale du travail (CGT), s’oppose plus radicalement à toute augmentation de l’âge légal de départ à la retraite.

    Cependant, le gouvernement français a maintenu son cap. «Ce n’est pas parce qu’une réforme est impopulaire qu’il ne faut pas la faire», a insisté le porte-parole du gouvernement Olivier Veran. «Le report de l’âge légal de départ en retraite à 65 ans “n’est pas un totem”», a fustigé Elisabeth Borne. Emmanuel Macron avait, pourtant, promis qu’il ne toucherait pas à l’âge légal de départ à la retraite à 62 ans, pendant sa campagne, en 2017, mais aussi à l’issue de Grand Débat national, en 2019: «Le report de l’âge légal de la retraite, ce n’est pas juste». Finalement, la Première ministre a annoncé que l’âge légal de départ à la retraite sera décalé à 64 ans et non pas à 65 ans.

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  44. La réforme des retraites a été intégrée à une loi de finances et pour la dixième fois la responsabilité du gouvernement a été engagée sur un texte budgétaire avec le 49.3 par Elisabeth Borne.

    La hausse du niveau général des prix a atteint des sommets jamais vus en France depuis plus de quarante ans. Tout augmente. Le gaz, l’électricité, le fioul, le bois de chauffage deviennent des luxes. Les prix alimentaires ont augmenté de 10% en septembre 2022, selon un récent rapport de l’Inspection générale des finances (IGF), et une hausse de 12% en décembre était prévue. La hausse des prix dans les épiceries est une conséquence d’une hausse du coût de la production agricole causée par l’augmentation du coût des matières premières, les conditions climatiques, la crise vétérinaire, une pénurie de main-d’œuvre et, à terme, la perte de compétitivité de notre industrie agricole.

    Le rapport du Sénat français fait état d’une forte augmentation des prix des principales denrées alimentaires se traduisant, donc, par une perte de pouvoir d’achat des ménages, frappant durement et prioritairement les plus modestes. La raison en est l’augmentation du coût de production associée à une augmentation des prix des matières premières, de l’électricité et de l’énergie.

    L’inflation incontrôlable s’est transformée en catastrophe pour les consommateurs les plus vulnérables, pour les artisans et les commerçants. D’innombrables boulangers ont fait faillite parce qu’ils ne peuvent pas payer leurs factures d’électricité, les agriculteurs vendent du bétail pour faire fonctionner leurs entreprises, les entreprises en difficulté licencient du personnel parce que leurs factures d’électricité sont trop élevées. Les Français s’enfoncent lentement dans la pauvreté.

    La présidente du Secours catholique, Véronique Devise, a fait savoir que «48% des ménages accueillis ont un budget insuffisant pour se nourrir». Le revenu médian des personnes aidées par le Secours catholique s’est établi à 548 euros par mois en 2021. «Ces personnes ne vivent pas, elles survivent, elles sont en permanence en train de calculer», rapporte Véronique Devise. Le Secours catholique s’inquiète des effets de l’inflation sur la vie de ces ménages, déjà confrontés à des «choix impossibles», comme privilégier le règlement des factures ou bien effectuer des courses alimentaires».

    RTL a mentionné le fait qu’avec l’ouverture de la 38e campagne des Restos du Coeur le 22 novembre dernier, ayant eu lieu dans un contexte d’inflation des prix de l’alimentation, «le nombre de bénéficiaires a augmenté de 12% depuis avril 2022, avec de plus en plus de repas servis aux travailleurs pauvres, aux étudiants et aux jeunes enfants». L’hiver 2022-2023 s’annonce particulièrement dur pour les plus pauvres en France.

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  45. «Les derniers jours avant le chaos?», s’interroge Le Figaro. «Le départ à la retraite reporté à 64 ans dès 2030, d’intenses manifestations en vue» titre Le Vif. Olivier Véran a lancé ce mercredi que le front uni des syndicats qui se réunissent pour une grève le 19 janvier, «ça ne me fait pas peur».

    A la fin de l’année 1995, six mois après l’élection de Jacques Chirac et la nomination au poste de Premier ministre d’Alain Juppé, la France a connu une paralysie totale durant trois semaines de grève. Tous les ingrédients d’une mobilisation de masse sont en théorie réunis en France surtout avec un gouvernement qui s’engage dans un bras de fer avec les travailleurs français.

    https://www.mondialisation.ca/france-derniers-jours-avant-le-chaos/5673940

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  46. L’écrasante majorité de l’humanité et l’ordre multipolaire post-occidental


    Par Mikhail Gamandiy-Egorov
    Mondialisation.ca,
    10 janvier 2023


    S’il ne fait pratiquement plus de doute que le monde ne reviendra pas à l’unipolarité, sous quelque forme que ce soit, il reste intéressant à tenter de comprendre quel rôle l’écrasante majorité de l’humanité soutenant l’ordre multipolaire international, souhaitera donner à l’infime minorité planétaire, une minorité qui se nomme l’Occident.

    De l’avis de nombreux experts internationaux, y compris asiatiques, africains ou latino-américains, il est aujourd’hui évident que la réalité multipolaire prend le dessus sur les nostalgiques agressifs de l’ère unipolaire, durant laquelle l’Occident s’est érigé unilatéralement comme le décideur indiscutable dans les affaires internationales, tout en représentant une évidente minorité à l’échelle planétaire.

    Les événements récents auront définitivement démontré que la majorité largement absolue de l’humanité ne souhaite guère suivre les ordres occidentaux. Le cas avec l’adhésion aux sanctions contre la Russie l’a fortement démontré. Et ce malgré tous les types «d’instruments» que l’establishment atlantiste occidental avait tenté d’applique: menaces, intimidations, pressions en tout genre, et lorsque cela n’a pas fonctionné: des promesses d’investissements, des «alternatives» à ce que propose la Chine et d’autres pays partisans résolus de la multipolarité. Le résultat n’a pas changé pour autant. Les pays ayant adhéré à la politique des sanctions contre Moscou représentent une infime minorité mondiale, sur le plan démographique, mais également et de plus en plus dans d’autres domaines – comme l’économie et le commerce international.

    L’Occident, ou plus exactement ses élites, le comprennent parfaitement. Mais restent incapables à faire preuve d’adaptation aux récentes réalités planétaires, tellement l’esprit néocolonial et d’une prétendue supériorité sur les peuples non-occidentaux reste enfui au plus profond des décideurs occidentaux. Quant aux populations occidentales, il faut certainement les subdiviser aujourd’hui en plusieurs parties: les partisans de la multipolarité représentent une part non négligeable parmi les citoyens des pays de l’Ouest, mais nombreux restent dans une relative passivité, par peur ou par méconnaissance des actions à entreprendre. L’autre partie étant celle qui peut-être ne serait pas forcément contre la multipolarité en tant que telle, mais ne maitrisant tout simplement pas les processus internationaux – reste globalement parlant sous le contrôle du mainstream politico-médiatique occidental.

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  47. Enfin, il y a évidemment ceux qui parmi les citoyens occidentaux approuvent la politique de l’axe otanesque pour la simple et bonne raison qu’étant convaincus que lorsque l’unipolarité sera définitivement tombée – ils en seront directement impactés. Ces citoyens de l’Occident adorent d’ailleurs propager l’idée que le monde entier «rêve» prétendument de leur petit monde, mais en réalité sont des personnages habitués à vivre justement sur le compte des autres, à l’instar de leurs élites respectives – les autres étant les nations non-occidentales. Les dits personnages sont également fort jaloux des succès des pays non-occidentaux, notamment du point de vue économique et commercial, et ces succès pour les dites personnes restent dans leur imaginaire fortement associés aux problèmes à venir – pour eux-mêmes et leur façon de vivre.

    Mais face à ces groupes – comment doit réagir justement l’écrasante majorité terrestre qui ne souhaite tout simplement pas vivre sous la coupe unilatérale occidentale ? Probablement le principal étant de continuer à développer et élargir les différents schémas qui font aujourd’hui le succès des diverses interactions entre nations non-occidentales. Et ce dans les cadres aussi bien régionaux – qu’intercontinentaux et internationaux. Le tout en défendant les intérêts respectifs et sans accorder de l’importance à l’avis des régimes occidentaux.

    Quant à l’avenir de l’Occident, parmi les partisans de la multipolarité les avis restent en partie partagés. Si nombreux estiment que le temps de rendre pleinement des comptes viendra pour l’espace occidental, avec tout ce que cela implique, d’autres considèrent que prendre des mesures punitives de revanche ne sera pas forcément nécessaire. S’il est encore difficile de savoir lesquels auront raison, l’essentiel étant que la collectivité nommée Occident continuera à être ignorée, puisque son extrême hypocrisie, arrogance et complexe d’une ridicule fausse supériorité lui auront valu d’être de plus en plus à l’écart de la véritable communauté internationale, qui ne se retrouve pas dans les diatribes occidentales.

    Et dans cette perspective, il faut reconnaître que l’avenir planétaire ne pourra être que post-occidental, et cela indépendamment des mesures éventuelles punitives à l’encontre de l’Occident, qui seront entrepris – ou non – par l’écrasante majorité de l’humanité.

    https://www.mondialisation.ca/lecrasante-majorite-de-lhumanite-et-lordre-multipolaire-post-occidental/5673914

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  48. Les ratés de la tyrannie numérique mondialiste


    le : mercredi 11 janvier 2023


    Tout ne se passe pas comme prévu, dans le plan des mondialistes... L’agenda (2030) connaît quelques ratés, et des retards pénibles. Arriveront-ils à faire de nous leurs esclaves ?

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-rates-de-la-tyrannie-numerique-mondialiste-70955.html

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  49. Ce que les robots tueurs signifient pour l'avenir de la guerre


    Par Jonathan Erskine et Miranda Mowbray
    Recherche mondiale,
    11 janvier 2023


    Vous avez peut-être entendu parler de robots tueurs, de robots massacreurs ou de terminateurs – officiellement appelés armes autonomes létales (LAW) – dans des films et des livres. Et l'idée d'armes super-intelligentes qui sévissent est encore de la science-fiction. Mais à mesure que les armes IA deviennent de plus en plus sophistiquées, l'inquiétude du public grandit face aux craintes concernant le manque de responsabilité et le risque de défaillance technique.

    Nous avons déjà vu comment les soi-disant IA neutres ont créé des algorithmes sexistes et des systèmes de modération de contenu ineptes , en grande partie parce que leurs créateurs ne comprenaient pas la technologie. Mais en temps de guerre, ce genre de malentendus pourrait tuer des civils ou faire échouer des négociations.

    Par exemple, un algorithme de reconnaissance de cible pourrait être formé pour identifier les réservoirs à partir d'images satellites. Mais que se passerait-il si toutes les images utilisées pour entraîner le système mettaient en scène des soldats en formation autour du char ? Il pourrait confondre un véhicule civil traversant un blocus militaire avec une cible.

    Pourquoi avons-nous besoin d'armes autonomes ?

    Les civils de nombreux pays (tels que le Vietnam, l'Afghanistan et le Yémen ) ont souffert de la façon dont les superpuissances mondiales construisent et utilisent des armes de plus en plus perfectionnées. Beaucoup de gens diraient qu'ils ont fait plus de mal que de bien, citant plus récemment l' invasion russe de l'Ukraine au début de 2022.

    Dans l'autre camp, il y a des gens qui disent qu'un pays doit être capable de se défendre, ce qui signifie suivre la technologie militaire des autres nations. L'IA peut déjà déjouer les humains aux échecs et au poker. Il surpasse également les humains dans le monde réel. Par exemple, Microsoft affirme que son logiciel de reconnaissance vocale a un taux d'erreur de 1 % par rapport au taux d'erreur humaine d'environ 6 %. Il n'est donc pas surprenant que les armées passent lentement les rênes aux algorithmes.

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  50. Mais comment éviter d'ajouter des robots tueurs à la longue liste de choses que l'on aurait aimé ne jamais avoir inventées ? Tout d'abord : connais ton ennemi.

    Que sont les armes létales autonomes (LAW) ?

    Le département américain de la Défense définit un système d'arme autonome comme suit : "Un système d'arme qui, une fois activé, peut sélectionner et engager des cibles sans autre intervention d'un opérateur humain."

    De nombreux systèmes de combat répondent déjà à ces critères. Les ordinateurs des drones et des missiles modernes ont des algorithmes qui peuvent détecter des cibles et leur tirer dessus avec beaucoup plus de précision qu'un opérateur humain. Le dôme de fer d'Israël est l'un des nombreux systèmes de défense actifs qui peuvent engager des cibles sans supervision humaine.

    - voir clip sur site -

    Bien que conçu pour la défense antimissile, le dôme de fer pourrait tuer des personnes par accident . Mais le risque est considéré comme acceptable dans la politique internationale car le dôme de fer a généralement une histoire fiable de protection des vies civiles.

    - voir image sur site -

    Un système de défense antimissile israélien ChameleonsEye/Shutterstock

    Il existe également des armes activées par l'IA conçues pour attaquer les gens, des sentinelles robotisées aux drones kamikazes errants utilisés pendant la guerre en Ukraine. Les LOIS sont déjà là. Donc, si nous voulons influencer l'utilisation des LOIS, nous devons comprendre l'histoire des armes modernes.

    Les règles de la guerre

    Les accords internationaux, tels que les conventions de Genève, établissent une conduite pour le traitement des prisonniers de guerre et des civils pendant les conflits. Ils sont l'un des rares outils dont nous disposons pour contrôler la façon dont les guerres sont menées. Malheureusement, l'utilisation d'armes chimiques par les États-Unis au Vietnam et par la Russie en Afghanistan est la preuve que ces mesures ne réussissent pas toujours.

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  51. Pire, c'est quand les joueurs clés refusent de s'inscrire. La Campagne internationale pour l'interdiction des mines terrestres (ICBL) fait pression sur les politiciens depuis 1992 pour interdire les mines et les armes à sous-munitions (qui dispersent au hasard de petites bombes sur une vaste zone). En 1997, le traité d'Ottawa comprenait une interdiction de ces armes, que 122 pays ont signée. Mais les États-Unis, la Chine et la Russie n'ont pas adhéré.

    Les mines terrestres ont blessé et tué au moins 5 000 soldats et civils par an depuis 2015 et jusqu'à 9 440 personnes en 2017. Le rapport Landmine and Cluster Munition Monitor 2022 indique :

    Les pertes… ont été extrêmement élevées au cours des sept dernières années, après plus d'une décennie de réductions historiques. L'année 2021 n'a pas fait exception. Cette tendance est en grande partie le résultat de l'augmentation des conflits et de la contamination par les mines improvisées observée depuis 2015. Les civils représentaient la plupart des victimes enregistrées, dont la moitié étaient des enfants.

    Malgré tous les efforts de l'ICBL, il existe des preuves que la Russie et l'Ukraine (un membre du traité d'Ottawa) utilisent des mines terrestres lors de l'invasion russe de l'Ukraine. L' Ukraine s'est également appuyée sur des drones pour guider des frappes d'artillerie, ou plus récemment pour des « attaques kamikazes » sur des infrastructures russes.

    Notre futur

    Mais qu'en est-il des armes plus avancées activées par l'IA ? La campagne pour arrêter les robots tueurs énumère neuf problèmes clés avec les lois, en se concentrant sur le manque de responsabilité et la déshumanisation inhérente au meurtre qui l'accompagne.

    Bien que cette critique soit valable, une interdiction totale des LOIS est irréaliste pour deux raisons. Tout d'abord, tout comme les mines, la boîte de Pandore a déjà été ouverte. De plus, les frontières entre les armes autonomes, les LAW et les robots tueurs sont si floues qu'il est difficile de les distinguer. Les chefs militaires seraient toujours en mesure de trouver une faille dans le libellé d'une interdiction et de mettre en service des robots tueurs en douce comme armes défensives autonomes. Ils pourraient même le faire sans le savoir.

    - voir photo sur site -

    L'homme à la casquette de baseball tient une pancarte

    San Francisco, CA - 5 décembre 2022 : Des militants opposés à la mise en place de robots policiers armés se sont rassemblés à l'hôtel de ville. Philippe Pasquini

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  52. Nous verrons presque certainement plus d'armes activées par l'IA à l'avenir. Mais cela ne signifie pas que nous devons détourner le regard. Des interdictions plus spécifiques et nuancées aideraient à responsabiliser nos politiciens, scientifiques des données et ingénieurs.

    Par exemple, en interdisant :

    boîte noire AI : systèmes où l'utilisateur n'a aucune information sur l'algorithme au-delà des entrées et des sorties
    IA peu fiable : systèmes qui ont été mal testés (comme dans l'exemple du blocus militaire mentionné précédemment).
    Et vous n'avez pas besoin d'être un expert en IA pour avoir une vue sur les LOIS. Restez au courant des nouveaux développements de l'IA militaire. Lorsque vous lisez ou entendez parler de l'utilisation de l'IA au combat, demandez-vous : est-ce justifié ? Est-ce préserver la vie civile? Si ce n'est pas le cas, engagez-vous auprès des communautés qui s'emploient à contrôler ces systèmes. Ensemble, nous avons une chance d'empêcher l'IA de faire plus de mal que de bien.

    *

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    Jonathan Erskine , doctorant, IA interactive, Université de Bristol

    Miranda Mowbray , maître de conférences en IA interactive, Université de Bristol

    https://www.globalresearch.ca/what-killer-robots-mean-future-war/5804259

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  53. Le Japon aidera les États-Unis à "contenir" la Chine - USMC General


    12 janvier 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    L' histoire se répète. Cela se voit actuellement dans les conflits entre l'OTAN et la Russie au sujet de l'Ukraine, l'Allemagne étant l'un des pays les plus actifs de l'OTAN, et entre les États-Unis et leurs vassaux dans la région du Pacifique et la Chine, le Japon étant à nouveau mobilisé contre la Chine. Dans les deux cas, ce qui est en jeu est expliqué assez ouvertement.

    Le commandant du Corps des Marines des États-Unis (USMC) au Japon a déclaré que le Pentagone préparait une guerre contre la Chine. Le général américain a commenté l'armement en cours de Taïwan, affirmant qu'il s'agissait de "préparer" l'île, un peu comme le régime de Kiev l'a fait depuis 2014.

    Paul Craig Roberts, secrétaire adjoint au Trésor sous le président Ronald Reagan, a écrit dans son blog à l'été 2022 intitulé "It Is Only a Nano-second to Armageddon":

    " La méta-stratégie de "suprématie nucléaire" du gouvernement américain stipule que l'étendue de la destruction de l'Amérique dans une guerre nucléaire contre la Russie et/ou la Chine est "acceptable" tant que l'Amérique finit par être "victorieuse" dans le monde entier."

    Les États-Unis discutent maintenant publiquement de « contenir » la Chine avec leurs vassaux de l'Asie-Pacifique. Le 8 janvier, le Financial Times a rapporté que le commandant en chef du Corps des Marines des États-Unis pour le Japon avait fait des déclarations très directes sur la stratégie chinoise du Pentagone. Le lieutenant-général James Bierman pense qu'il existe de "nombreux parallèles" entre l'Ukraine et Taïwan et admet que les États-Unis préparent un "théâtre anti-chinois" en renforçant la coordination avec ses États satellites régionaux.

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  54. "Les forces américaines et japonaises intègrent rapidement leurs structures de commandement et intensifient leurs opérations conjointes alors que Washington DC et ses alliés asiatiques se préparent à un conflit potentiel avec la Chine, comme une guerre de Taïwan, a déclaré le général en chef du Corps des Marines au Japon". lit le rapport FT.

    Pour comprendre comment de telles déclarations résonnent en Chine, il faut se rappeler que la République populaire de Chine est née de la lutte contre l'occupation japonaise et des crimes de guerre qui l'accompagnent. La lutte contre les envahisseurs japonais fait partie de l'histoire de la formation de la RPC.

    Le Japon est maintenant redevenu plus actif, son nouveau gouvernement ayant décidé d'abandonner les politiques favorables aux entreprises que Tokyo a poursuivies depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le changement historique comprend non seulement la (re)militarisation, mais aussi une rivalité renouvelée avec trois puissances régionales - la Chine, la Corée du Nord (anciennement toute la Corée) et la Russie. En plus de rompre la neutralité militaire alors que Tokyo augmente massivement son budget de défense , le lieutenant-général de l'USMC Bierman a confirmé que le Japon étendait de façon exponentielle son rôle dans les opérations militaires conjointes avec l'Amérique.

    D'une manière qui ne peut être décrite que comme une rupture complète avec un semblant d'étiquette diplomatique , le général américain a été très direct et franc, en particulier en ce qui concerne l'accumulation d'armements en cours à Taiwan , affirmant qu'il s'agit de « se préparer », similaire à ce que le régime de Kiev fait depuis 2014. Sa déclaration exacte était la suivante :

    « Pourquoi avons-nous le succès que nous avons obtenu en Ukraine ? C'est en grande partie parce qu'après l'agression russe en 2014-2015, nous avons sérieusement commencé à nous préparer aux futurs conflits : former les Ukrainiens, préparer les approvisionnements, identifier les bases à partir desquelles fournir un soutien et les opérations pourraient se dérouler. Nous appelons cela la mise en scène. Et nous sommes en train de finaliser l'emplacement au Japon, aux Philippines et ailleurs.

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  55. L'interview est pour le moins scandaleuse, car il ne peut guère s'agir d'autre chose qu'une tentative de provoquer la Chine compte tenu de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale et de l'invasion japonaise de la Chine et de la Corée. Ceci est renforcé par la comparaison explicite du général américain entre Taiwan et l'Ukraine, qui est un exemple classique de la façon dont l'Occident politique engendre un conflit qui dégénère ensuite en guerre ouverte. La position de Bierman en tant que commandant de la Third Marine Expeditionary Force et de l'USMC Forces Japan rend ces déclarations d'autant plus troublantes et alarmantes, en particulier pour Pékin, qui cherche à améliorer ses relations avec les États-Unis .

    Étant donné que le général a admis avec désinvolture que l'Occident politique a préparé le régime de Kiev pendant des années à une guerre avec la Russie (tout en feignant des "efforts vers une solution pacifique" - voir les remarques de Merkel et Hollande ), ses déclarations sur Taiwan sont assez révélatrices et sont certainement prises très sérieusement en Chine. Même le FT, l'un des principaux médias occidentaux phares, admet que les déclarations de Bierman sont une comparaison « inhabituellement franche » avec l'Ukraine. Pour aggraver les choses, il ne s'est pas arrêté là, mais a fait un certain nombre d'autres "commentaires francs" controversés. Le FT affirme que le général avait ce qui suit à dire :

    "Lorsque vous parlez de la complexité et de l'ampleur de certaines des opérations qu'ils devraient entreprendre, par exemple lors d'une invasion de Taïwan, il y aura des indices et des avertissements, et il y a des considérations géographiques et temporelles spécifiques qui nous permettent de nous positionner et d'être bien préparé... ...Vous obtenez un point d'appui, une base d'opérations qui vous permet d'avoir une longueur d'avance considérable sur divers plans opérationnels. Lorsque nous affrontons l'adversaire chinois qui a le pistolet de départ en main et est potentiellement capable d'initier les hostilités... ... nous pouvons identifier un terrain clé critique qui doit être tenu, sécurisé, défendu et exploité."

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  56. Les préparatifs mentionnés ci-dessus incluent également les Philippines. Manille aurait l'intention de permettre aux forces américaines de dupliquer leurs armes préparées et leur logistique dans la nation insulaire. En plus des cinq bases philippines, le Pentagone aura accès à cinq autres, qui feront toutes partie de l'"Effort pour contenir la Chine". Bierman a également averti les vassaux américains dans la région de ne pas surestimer l'armée chinoise, déclarant que "ne craignez pas l'APL, elle mesure dix pieds de haut".

    La tradition militaire du Japon est maintenue vivante avec le sanctuaire Yasukuni à Tokyo (photo ci-dessus, prise le 2 février 2016). Il commémore les militaires tombés au combat qui sont morts au service des armées impériales depuis 1868, y compris les criminels de guerre condamnés lors des procès de Tokyo.

    https://tkp.at/2023/01/12/japan-soll-usa-bei-eindaemmung-chinas-helfen-usmc-general/

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