C'était loin d'être « la peste bubonique ou pneumonique » qui effrayait partout les gens. Et les gens ne sont pas morts comme des mouches partout. Des montagnes de cadavres, des gens tombant soudainement morts dans la rue et des malades décédés dans les 3 jours étaient plus le résultat de la propagande que la réalité. Cela n'a fait qu'empirer avec la déstabilisation de la société et la négligence des coutumes, pas à cause des agents pathogènes. Tout comme maintenant avec les mesures Corona.
Après la première vague de peste de 1348, d'autres "vagues" plus faibles ont suivi, ce qui nous a également été promis à nouveau. Jusque-là, en 1493, la « syphilis » était mise en scène comme une punition aux proportions bibliques. Déclarée comme une importation du Nouveau Monde avec le retour de Christóbal Colón (1451-1506) de sa redécouverte de l'Amérique. Après que l'agent pathogène soi-disant inconnu Treponema pallidum a atterri à Séville et à Barcelone, les soldats espagnols défendant Naples contre l'armée française ont planté les graines d'une propagation de la maladie à l'échelle européenne. Cependant, il s'est écoulé une année entière entre l'introduction présumée et la propagation. Le commerce horizontal de la ville aurait fonctionné comme les discothèques d'Ischgl pour les Français victorieux. L'entourage mercenaire coloré de Charles VII aurait été plus mort que vivant.
Cela s'est déroulé comme prévu. L'abstinence sexuelle semblait désormais indispensable à la survie. Les bains publics et les bordels étaient partout fermés. La négligence de l'hygiène personnelle qui en a résulté a agi comme un accélérateur de feu pour la gale déjà endémique. Les médecins ont gagné en importance et en revenus. Les chirurgiens artisanaux (barbiers) et les herboristes pour la plupart féminines ont été évincés du marché de la santé. Et malgré le manque d'expertise, les accouchements médicaux ont commencé à remplacer les sages-femmes. La mortalité infantile plus élevée est souhaitable et peut être attribuée à la nouvelle épidémie. Une réduction de la population a été déclenchée.
Qu'il s'agisse de peste ou de syphilis - les maladies qui se sont propagées étaient tout aussi peu nouvelles que la grippe "Covid" 2020. Les maladies réellement présentes à l'époque ne peuvent plus être reconstituées avec certitude, car les agents pathogènes étaient inconnus et les symptômes incohérents. En tout cas, il est certain que l'agent pathogène de la syphilis existait depuis longtemps en Europe. i De nombreux mercenaires de l'armée française souffraient de la gale et de la lèpre. ii Ce qui devint rapidement connu sous le nom de "maladie française" fut surnommé "syphilis" ou "psore vénérienne" (gale) par les médecins. Le terme « syphilis » ne s'est imposé qu'au XVIIIe siècle et a ensuite été également utilisé pour d'autres maladies sexuellement transmissibles.
Les parallèles sont frappants. Les objectifs des pandémiques étaient identiques alors et maintenant. Désintégration d'une société pluraliste avec un pouvoir concentré entre les mains de quelques-uns. Même alors, la médecine a agi comme l'étincelle initiale. Les médecins ont aidé à stigmatiser et à marginaliser les gens comme ils le font aujourd'hui. Les médecins favorisaient la maladie et la mort par leurs actions.
Mais la Renaissance, avec son humanisme, n'était-elle pas une époque paradisiaque ? Seulement pour une petite élite qui pouvait s'adonner à leur débauche sexuelle et à leur luxe oligarchique. Ce qui est sous-exposé dans les livres d'histoire : pour la majorité de la population, les XVIe et XVIIe siècles ont été caractérisés par d'innombrables guerres ("Guerres paysannes", Guerre de 30 Ans), des épreuves et des pertes de prospérité. Parce que « vous n'avez rien et vous êtes heureux. "
les références i Baker BJ et al. : Faire progresser la compréhension de la maladie tréponémique dans le passé et le présent. Annuaire Phys Anthropol. 2020;171(Suppl. 70):5-41
ii Winkle S : Les fléaux de l'humanité. histoire culturelle des épidémies. pages 516 et suivantes ; Artémis & Winkler; Düsseldorf/Zurich 1997
Étude : Relation causale entre la campagne de vaccination et la surmortalité en Australie
2 janvier 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Les données publiées par divers États australiens tels que l'Australie-Méridionale et la Nouvelle-Galles du Sud ont déjà clairement indiqué qu'il y a une catastrophe vaccinale. Le nombre d'infections, de maladies et de décès a montré à maintes reprises que la campagne de vaccination est devenue un échec total. Maintenant, une étude résume les résultats en fonction de la surmortalité. L'étude de Denis G Rancourt et al publiée dans ResearchGate intitulée « Probable causal association between Australia's new regime of high all-cause mortality and its COVID-19 vaccin rollout » COVID-19) montre exactement ce que dit le titre.
D'abord la traduction du résumé :
La mortalité toutes causes en Australie par semaine montre que 13 mois après la déclaration de la pandémie, la surmortalité était indétectable, suivie d'une augmentation progressive de la mortalité à la mi-avril 2021, coïncidant avec le déploiement du vaccin COVID-19, qui ciblait principalement les personnes âgées et handicapées et les peuples autochtones.
La surmortalité pendant la période de vaccination (mi-avril 2021 à août 2022 ; mortalité toutes causes confondues supérieure de 14 % à celle des périodes de pré-vaccination récentes ; 62 millions de doses de vaccin administrées) était de 31 ± 1 000 décès, soit plus du double des décès signalés comme par ou ont été enregistrés avec COVID-19.
Par ailleurs, une flambée de la mortalité toutes causes confondues (mi-janvier à mi-février 2022 ; 2 600 décès) coïncide avec le déploiement rapide des rappels (9,4 millions de rappels sur la même période) et n'est pas due à un aléa climatique. Vague De Chaleur.
Le taux de mortalité par injection de vaccin (vIFR) correspondant est d'environ 0,05 %, que nous comparons aux valeurs vIFR estimées du système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) et aux données de mortalité toutes causes confondues pour l'Inde, comparant les États du sud des États-Unis. , Michigan (États-Unis) et Ontario (Canada).
- voir graph sur site -
Figure 2 : Mortalité toutes causes confondues en Australie, tous âges confondus, de la semaine 1 2015 (semaine au 4 janvier 2015) à la semaine 34 2022 (semaine au 28 août 2022), par rapport à l'introduction du vaccin COVID-19. Bleu clair : mortalité toutes causes par semaine, échelle y gauche. Bleu foncé : 1ère dose cumulée de vaccin. Orange : Cumul des 2e doses de vaccin. (Sources des données : Australian Bureau of Statistics (2022a) ; et https://www.covid19data.com.au/vaccines consulté le 14 décembre 2022). Et voici les raisons du lien causal de la surmortalité avec la campagne de vaccination :
1 Il existe une relation temporelle claire entre le nouveau régime d'augmentation de la mortalité toutes causes confondues et le déploiement du vaccin, alors qu'en Australie, il n'y a pas eu de surmortalité détectable jusqu'au début du déploiement, c'est-à-dire pendant la pandémie de 13 mois déclarée par l'OMS le 11 mars 2020 était. 2 La surmortalité pendant la période de vaccination (mi-avril 2021 à août 2022) pour l'Australie (tous âges confondus) est de 31 000 (± 1 000) décès (figure 1A), soit plus du double du nombre total de décès considérés comme étant dus à ou liés à COVID-19. 19 ont été enregistrés (14 014 décès, du 1er janvier 2020 à la semaine se terminant le 29 août 2022. [Notez que le pourcentage du nombre total de décès attribués à COVID-19 qui étaient « avec COVID-19 » (plutôt que « de COVID-19 ") sont, varie entre environ 10% et 30% En fait, 95,4% des décès "dus à COVID-19" sur les certificats de décès australiens avaient une "séquence causale d'événements" non liés à COVID-19 et / ou " conditions chroniques préexistantes »] . 3 Le vIFR moyen pendant la période de vaccination (mi-avril 2021 à août 2022) pour l'Australie serait donc : 31 000 décès / 62 millions de doses de vaccin = 0,05 % 4 De la mi-janvier à la mi-février 2022, il y a un pic frappant de mortalité toutes causes confondues qui dure sept semaines et est associé à une forte augmentation des doses de vaccin COVID-19. Ladite forte augmentation des doses de vaccins a été l'introduction de la dose de rappel (3e dose) en Australie, l'augmentation des doses de rappel précédant généralement l'augmentation de la mortalité d'environ une semaine, fournissant des preuves solides d'une relation causale. 5 Ledit pic notable de mortalité toutes causes confondues de la mi-janvier à la mi-février 2022 a une surmortalité intégrée au cours de la période de sept semaines par rapport à la référence d'environ 2 600 décès, contre environ 9,4 millions de doses de rappel administrées pendant la période de pointe de la mortalité. Cela correspond à un vIFR calculé pour le pic de mortalité spécifique : 2,6K décès / 9,4M doses de vaccin = 0,03%. 6 L'impact de l'introduction serait soudain car l'Australie donne la priorité aux personnes âgées et handicapées, ainsi qu'aux aborigènes. 7 L'augmentation progressive de la mortalité toutes causes confondues jusqu'à la surmortalité toutes causes confondues (mi-avril 2021 à août 2022) se produit simultanément dans les huit États australiens à la mi-avril 2021 et n'a pas de temps d'apparition différents, ce qui correspond à une maladie infectieuse qui se propage affectant différentes régions à des moments différents et se propage à des rythmes différents en fonction des différences régionales en matière de conditions sociales et de santé. 8 Les données du VAERS des États-Unis montrent clairement que la surmortalité survient immédiatement après l'injection de chacun des trois vaccins COVID-19 utilisés aux États-Unis, culminant de manière significative dans les cinq jours suivant l'injection et deux mois diminuant de façon exponentielle après l'injection.
9 La mortalité intégrée par nombre d'injections post-injection (toxicité par injection ou vIFR) augmente de façon exponentielle avec l'âge, tout comme la variabilité de la toxicité d'un lot à l'autre. Ces dernières observations d'augmentation exponentielle avec l'âge signifient que les injections présentent un défi létal par rapport à la fragilité du sujet. 10 Des études histopathologiques et immunohistochimiques détaillées par autopsie ont montré que les vaccins COVID-19 sont des causes de décès à la fois chez des personnes par ailleurs en bonne santé et chez des personnes âgées présentant des comorbidités. 11 Le gouvernement australien interprète à la fois les résultats des tests (cas) et la mortalité comme se produisant en quatre « vagues ». La classification par le gouvernement australien des vagues australiennes de COVID-19 est uniquement basée sur les résultats des tests rapportés (statistiques de cas) combinés à des mesures génomiques rares et peu fiables. Nous n'avons trouvé aucune étude fournissant une base scientifique à l'attribution de ces ondes par le gouvernement australien. De plus, la cession est incompatible avec :
a) l'absence de surmortalité avérée sur la période mars-mai 2020 ;
b) l'absence de surmortalité observée en Australie et à Victoria au cours de la période juin-novembre 2020
c) une variante delta (juillet-décembre 2021) montrant à la fois l'augmentation progressive de la mortalité toutes causes à la mi-avril 2021 et la période de 7 semaines le pic de mortalité toutes causes n'aurait pas été capturé de la mi-janvier à la mi-février 2022, et
d) une variante d'Omicron (2022) qui aurait provoqué deux caractéristiques distinctes et importantes de l'excès de mortalité toutes causes, à savoir le 7- pic de la semaine de la mi-janvier à la mi-février 2022 et la grande poussée qui a suivi à partir de mai 2022.
Une synchronicité similaire entre l'administration des doses de vaccin et la surmortalité toutes causes confondues est observée dans le contexte des campagnes dites d'équité en matière de vaccins aux États-Unis. Un pic anormal à l'automne 2021 a été interprété comme lié au vaccin et est prédominant dans le groupe d'âge des 25 à 64 ans dans 21 États américains, ce qui a conduit à la conclusion qu'un important (détectable par la mortalité toutes causes confondues) lié au vaccin La mortalité causée s'est avérée être être particulièrement répandue dans les groupes vulnérables caractérisés par des niveaux élevés de pauvreté, d'invalidité, d'obésité, de diabète et des taux élevés de médication. L'injection de vaccins était considérée comme un défi supplémentaire, accélérant et causant souvent la mort de résidents souffrant de comorbidités,
Un autre exemple de synchronie causale probable entre un déploiement rapide du vaccin COVID-19, qui a donné la priorité aux résidents âgés, fragiles et handicapés, et une surmortalité élevée dans tous les cas est l'exemple de l'Inde. Dans ce cas, le lancement précoce du vaccin en avril-juillet 2021 a été dévastateur, entraînant la mort d'environ 3,7 millions d'habitants tout en administrant environ 350 millions de doses de vaccin (sur une population de 1,39 milliard). Cela correspond à un vIFR (toxicité par dose) efficace d'environ 1 %. En Inde et en Australie, il n'y avait pratiquement aucun excès de mortalité toutes causes confondues après que l'OMS a déclaré la pandémie jusqu'à l'introduction du vaccin COVID-19, ce qui rend la synchronicité relativement facile à attribuer. Deux autres exemples de synchronicité entre le déploiement rapide du vaccin COVID-19, qui affecte principalement les résidents âgés et vulnérables, et une surmortalité élevée dans tous les cas peuvent être trouvés au Michigan, aux États-Unis, et en Ontario, au Canada. La valeur COVID-19 vIFR au lancement du vaccin au Michigan est comparable à la valeur pour la période de vaccination en Australie (0,05 %).
conclusion
La pandémie déclarée aurait dû épargner à l'Australie des décès vérifiables pendant plus d'un an alors qu'elle faisait rage dans de nombreux autres endroits du monde avant de devenir soudainement virulente à la mi-avril 2021 lorsque les vaccins ont été introduits pour les personnes âgées et les plus vulnérables.
Par ailleurs, une forte augmentation de la mortalité toutes causes confondues (mi-janvier à mi-février 2022) coïnciderait par coïncidence avec l'introduction rapide du vaccin de rappel (3e dose), sans qu'aucune explication (plausible ou non) ne soit donnée.
L'analyse conclut que la surmortalité pendant la période de vaccination (31±1 mille décès, mi-avril 2021 à août 2022 ; 14 % de mortalité toutes causes plus élevée que lors des dernières périodes de pré-vaccination de même durée ; 62 millions de doses de vaccin administrés), plus du double du nombre de décès enregistrés par ou avec le COVID-19, et la forte augmentation de la mortalité toutes causes confondues (mi-janvier à mi-février 2022 ; 2 600 décès) associée à l'introduction rapide du rappel (9,4 millions de doses de rappel, même période) sont causalement liées au vaccin COVID-19.
Le taux de mortalité par injection de vaccin (vIFR) correspondant est d'environ 0,05 %.
Ceci, bien sûr, est diamétralement opposé aux affirmations selon lesquelles le vaccin COVID-19 a sauvé des vies ; une affirmation non étayée par un examen complet des données sur la mortalité toutes causes confondues.
Vaxxed dans les premières tombes, ils ne savaient pas que les mandats de vax seraient des condamnations à mort - les jeunes et les personnes en bonne santé n'avaient jamais l'habitude de simplement « tomber morts » à ce rythme incroyable
dimanche 01 janvier 2023 par : Rédacteurs en chef
(Natural News) La lecture de cette histoire liée au Daily Mail jeudi matin m'a brisé le cœur. Rapportant qu'un "grand héros" venait de décéder, Robert Ramirez III, commandant des opérations spéciales Navy SEAL décoré, âgé de 47 ans, qui a été retrouvé mort à son domicile de San Diego un mois après avoir repris l'élite SEAL Team One, les commentateurs sur l'histoire n'a pas perdu de temps pour arriver à ce que l'histoire a négligé de rapporter.
(Article de Stefan Stanford republié de AllNewsPipeline.com)
Avec le commentaire le plus voté sur l'histoire de "Lori au Texas" étant "Probablement reçu l'injection forcée d'ARNm", tous les autres commentaires et réponses les plus votés montrent pourquoi les mondialistes devraient trembler dans leurs bottes sataniques en tant que personnes à travers le monde s'éveillent rapidement à leur « génocide par injection de caillots ». Et tandis que les responsables militaires ont récemment affirmé que la mort de Ramirez était par suicide, les commentateurs de l'histoire originale ont vu ce que l'armée et le gouvernement cachent.
«Bien sûr, il a eu le coup. Il était dans l'armée et occupait un poste de direction. C'était mandaté. Il ne savait pas que ce serait une condamnation à mort ! »
«Nous assistons littéralement à une opération de pop au ralenti tirée dans le monde entier par le NW O et pourtant, seul un petit pourcentage d'entre nous est suffisamment éveillé pour le reconnaître. Surréaliste. C'est comme si nous partagions un épisode de Twilight Zone, les amis !
"La meilleure chose à propos d'être un théoricien du complot, c'est l'absence de myocardite."
"Le mandat maudit de Biden."
"Laisse-moi deviner…. Décédé subitement ! Crise cardiaque ou dans son sommeil.“
« Vaxxed dans une tombe précoce. Ce que les talibans ne pouvaient pas faire, les vax l'ont fait.
"Votre gouvernement vous tue en forçant le coup, tragique."
"Mort subitement… Google-le."
"Pas de jeu déloyal, sauf le jeu déloyal des coups obligatoires."
«Nous y pensons tous; a-t-il été traité avec la mNRA ? (Bien sûr qu'il l'était !) Par ailleurs en bonne santé, les jeunes individus ne tombaient jamais à ce rythme.
"L'AR-15 est nettement moins létal que l'ARNm C19."
"Je n'aurais jamais pensé que je serais aussi inquiet pour mon espérance de vie à 51 ans. On dirait que le faire aussi loin bat les chances de nos jours. Mes plus sincères condoléances à sa famille et ses amis. »
Avec le Cmdr. La mort de Ramirez survenant au cours de la même période qu'une tonne entière de "morts subites", comme la mort récente du porteur de ballon des Pittsburgh Steelers de la NFL Franco Harris, décédé subitement quelques heures seulement après avoir fait une interview à la radio dans laquelle il a dit à l'intervieweur " il se sentait bien », nous avions averti il y a quelques jours dans cette histoire de l'ANP que« 2023 va être rempli de » décès excessifs « » et nous regardons clairement ce qui se déroule en ce moment. Il convient de noter que, comme le rapporte Health Impact News dans cette nouvelle histoire, Franco Harris était également un porte-parole du CDC, exhortant les Américains à prendre leurs «coups de mort».
Avec un élément ou un autre du gouvernement des États-Unis soutenant la recherche sur le gain de fonction des coronavirus de l'Ukraine à Wuhan, en Chine et tout le chemin du retour en Caroline du Nord, et les mondialistes nous montrant juste leur «livre de jeu» pour leur prochaine «contagion catastrophique ' un avertissement que leurs dernières armes biologiques viennent probablement d'être publiées sur nous, étant donné que c'est seulement quelques mois après leur "Event 201" que tout l'enfer COVID s'est déchaîné, chaque fois que Bill Gates et l'OMS organisent des exercices simulant l'anéantissement de la race humaine, nous devrions être très attentifs.
Parce qu'avec le soutien des Américains à la chute des "injections de caillots", comme l'a souligné le Dr Joel Hirschhorn dans cette nouvelle histoire de l'ANP, les mondialistes doivent absolument dévoiler un nouveau plan pour effrayer à nouveau les masses abruties et désireuses de faire la queue pour leurs "coups", la plupart n'ayant aucune idée que ces coups pourraient leur valoir la peine de mort, car tant de personnes à travers le monde l'apprennent maintenant bien trop tard.
Et même si, heureusement, les vaxx ne tuent pas tout le monde, d'autres apprennent bien trop tard que les "injections de caillots" s'accompagnent assez souvent d'effets secondaires dévastateurs, tels que ceux dont souffre actuellement la chanteuse / interprète Céline Dion, connue pour être «entièrement vacciné» et souffre maintenant d'une maladie extrêmement rare appelée «syndrome de la personne raide», qui se trouve être l'un des effets secondaires répertoriés de l'injection d'ARN messager (ARNm) de Pfizer pour la grippe Fauci.
Et tandis que Pfizer connaissait parfaitement le lien entre ses jabs et le «syndrome de la personne raide» depuis le début de 2021, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis ayant officiellement pris connaissance du lien en avril 2021, pourquoi l'Américain les gens n'ont JAMAIS DIT que prendre leurs piqûres pouvait entraîner des effets secondaires aussi catastrophiques ? Eh bien, parce que cela aurait créé une «hésitation à l'égard des vaccins» et fait chuter les profits de la grande mafia pharmaceutique, et ils ne pourraient certainement pas avoir cela maintenant, n'est-ce pas.
Nous sommes allés de l'avant et avons intégré plusieurs vidéos ci-dessous, certaines en fait créées par des personnes qui ont été blessées par le "jab" et qui parlent maintenant de ces blessures, plus de mots d'avertissement pour ceux qui pourraient encore penser à recevoir leurs injections mortelles de ceux qui se sont précipités pour le faire. Avec une vidéo mettant en vedette un médecin nous avertissant qu'un nombre incalculable de médecins canadiens sont maintenant morts, vraisemblablement à cause du «coup mortel», comme nous le voyons dans une autre vidéo, une tête parlante pro-vax a maintenant les poumons pleins de caillots sanguins tandis qu'une autre vidéo prouve qu'il y a énormément de « maladie » qui circulent maintenant.
Enquête choquante en laboratoire sur les vaccins Covid
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 2 janvier 2023
- voir clip sur site -
Le 12 décembre 2022, The Highwire a publié1 une enquête de laboratoire fascinante et choquante sur les piqûres de COVID. Del Bigtree commence par passer en revue certaines des nombreuses découvertes présumées d'organisations examinant les prises de vue à l'aide de diverses technologies. Par exemple, certains prétendent avoir trouvé du graphite dans les flacons, tandis que d'autres ont découvert ce qui ressemble à de la nanotechnologie et à des parasites.
"Certains d'entre eux que nous avons abordés ici et d'autres que nous n'avons pas", déclare Bigtree. "C'est en partie parce que je n'aime vraiment pas aborder quelque chose dont je ne sais pas d'où viennent les informations...
Je ne fais pas confiance aux experts simplement parce qu'ils me disent qu'ils sont un expert. Je veux voir la science, je veux voir les preuves, je veux voir comment c'est fait… Alors, j'ai contacté le Dr Ryan Cole, un pathologiste qui m'a prouvé qu'il est impeccable dans le travail qu'il fait. Il est impartial.
Et j'ai dit: 'Voulez-vous me rendre un service ? Pouvons-nous mettre la main sur ces vaccins ? Je veux entrer dans le laboratoire. Je veux le voir de mes propres yeux. Pouvons-nous faire venir des caméras et faire une véritable enquête ? »
Le mystère des caillots caoutchouteux
Cole a accepté, et cette enquête enregistrée est ce que vous voyez dans la vidéo ci-dessus. Cole commence par montrer à quoi ressemblent certains des caillots caoutchouteux blancs au microscope, et des diapositives montrent la distribution de la protéine de pointe dans divers tissus.
Un certain nombre d'embaumeurs ont rapporté avoir retiré ces objets filandreux et extensibles de personnes décédées qui ont reçu le coup, et ils sont différents de tout ce qu'ils ont jamais vu auparavant. Cole convient que ces caillots sont quelque chose de tout nouveau.
Cole décrit les caillots élastiques blancs comme "un matériau de type amyloïde" induit par la protéine de pointe, qui est en fait une glycoprotéine. Il cite un article2 d'août 2021 d'Etheresia Pretorius et de son équipe, dans lequel elle décrit la découverte de "microcaillots plasmatiques circulants persistants résistants à la fibrinolyse" chez les patients COVID de longue durée et ceux qui ont reçu le vaccin COVID.
Elle les appelle des "microcaillots amyloïdes anormaux". En résumé, ce qu'elle a découvert, c'est que même lorsqu'elle a retiré les plaquettes du sang, une fois qu'elle a ajouté des protéines de pointe, les protéines se sont encore glomées ensemble, formant des masses, et les processus qui décomposeraient normalement un caillot sanguin ne fonctionnent pas sur ces amyloïdes. - comme des dépositions.
Injections COVID sous le microscope
Cole passe ensuite à regarder les clichés COVID au microscope. Le premier est la piqûre (flacon) de Janssen, qui contient ce qui ressemble à des débris, y compris, potentiellement, un éclat de verre. Comme l'a noté Cole, lorsque la fabrication est accélérée aux vitesses actuelles auxquelles ces piqûres sont produites, il n'y a vraiment aucune garantie de pureté.
Comme vous vous en souvenez peut-être, en août 2021, le Japon a rejeté 1,63 million de doses d'ARNm de Moderna en raison d'une contamination. L'année dernière, l'Agence européenne des médicaments (EMA) s'est également inquiétée des flacons qui n'étaient purs qu'à 50 à 55 %.
Cette impureté signifie également que vous pouvez obtenir de l'ARN fragmenté, par opposition à de l'ARN complet, ce qui peut avoir des conséquences imprévues, car un ARN raccourci peut finir par produire des protéines incomplètes. Parmi les flacons Pfizer, certains contenaient également des particules non identifiables, dont certaines étaient collées ensemble.
Cela dit, là où d'autres voient la nanotechnologie - des objets carrés qui ressemblent à des puces électroniques - Cole voit du cholestérol empilé. Ainsi, bien qu'il y ait des débris (ce qui est déjà assez grave), il n'attribue pas aux théories selon lesquelles les tirs incluent la nanotechnologie.
Certains ont également découvert ce qui ressemble à des parasites mais, selon Cole, ce sont des trikons étoilés, trouvés au bas des feuilles. Il suggère que c'est une impureté qui a atterri dans le liquide ou sur le verre pendant le processus d'enquête. Bigtree a résumé leurs conclusions :
"D'une manière générale, lorsque nous avons examiné tous les différents vaccins, l'une des conclusions auxquelles nous sommes parvenus est que ce n'est qu'un méli-mélo. Il y avait des vaccins qui semblaient n'avoir aucune particule, presque rien, là-bas; presque comme un tir salin. Et puis le [prochain] serait rempli de toutes sortes de choses. Vous avez simplement l'impression que la fabrication est totalement et complètement incohérente.
"Je suis d'accord à 100 %. Certains sont plus concentrés, d'autres moins, et cela va jusqu'au point où sont-ils fabriqués ? La FDA inspecte-t-elle chaque installation ? Non. Et ceux-ci sont fabriqués dans le monde entier, et ils ont été mis en place si rapidement. Ce n'est pas un bon processus de fabrication… Et… c'est un tout nouveau processus tout à fait unique qu'ils utilisent à grande échelle.
Coups COVID analysés par spectrométrie de masse
Les tirs ont également été analysés par spectronomie de masse, qui a révélé la présence de particules métalliques, notamment d'aluminium, de silicium, de magnésium, de chlorure de sodium, de calcium, de titane et de fer. Cole cite des recherches montrant que certains de ces métaux proviennent de l'aiguille utilisée pour extraire le liquide du flacon, de sorte qu'ils peuvent ou non faire partie de la formule réelle du flacon.
Ils ont également trouvé des quantités massivement incohérentes de polyéthylène glycol (PEG) dans les différents flacons. Le PEG, qui recouvre et protège l'ARNm, est ce qui provoque un choc anaphylactique chez certaines personnes, car la sensibilité et les allergies au PEG sont courantes dans le grand public. Pire, cependant, est le fait que le PEG entrave également une réponse immunitaire appropriée.
Des processus de fabrication médiocres et incohérents entraînent des contenus extrêmement variables d'un lot ou d'un flacon à l'autre. Si vous avez la malchance d'obtenir un flacon chargé de PEG, votre risque d'effets indésirables tels qu'un choc anaphylactique et une réponse immunitaire dérégulée est plus élevé que si vous obtenez un flacon avec la quantité appropriée, ou moins que ce que la recette demande. Encore une fois, c'est le signe de processus de fabrication médiocres et incohérents, entraînant des contenus extrêmement variables d'un lot ou d'un flacon à l'autre. Notamment, aucun graphène n'a été trouvé dans aucun des 100 flacons testés. Cole explique :
"Ces petits flocons que nous voyions, ces petites lignes et ces choses flottantes, ce sont trois choses : des cristaux de cholestérol - il y a un pic de cholestérol et de cholestérol sur certains de ces graphiques de spécifications de masse - … du sel et des sucres … Donc, à la fin du jour, la spécification de masse a montré que c'était ce que c'était.
Ces flacons contiennent des lipides. Ils ont une teneur en polyéthylène glycol dans des proportions variables. Ils ont des sels, ils ont des sucres. Ils ont du matériel génétique… et certains lots avaient des contaminants…
Il y a des nanoparticules lipidiques et une séquence de gènes qui font que votre corps fabrique une protéine étrangère. Ces deux choses sont nécessaires et suffisantes pour causer un préjudice. Bien sûr, vous voulez un produit pur, mais ce sont les deux choses nocives. La nanoparticule lipidique est hyper-inflammatoire et peut être toxique.
Quand il a été conçu, il a été fait pour être donné une fois. Les études sur le fait de lui donner deux, trois, quatre fois n'existent pas chez l'homme. Ainsi, la toxicité cumulative de la nanoparticule elle-même est préoccupante.
Encore plus préoccupant est [that] plus vous entrez dans vos cellules ce gène qui continue de fabriquer une protéine qui a connu d'innombrables effets secondaires… cette protéine de pointe toxique. C'est ce qui compte."
Le Show-Stopper
Le vrai spectacle est vers la fin, où ils prennent une goutte de sang de Bigtree, qui n'est pas piquée, puis ajoutent une goutte du "vaccin" COVID. La lame ne contenant rien d'autre que son sang sans piqûre semble parfaitement normale, avec de jolies cellules en forme de beignet.
Les diapositives auxquelles une goutte de "vaccin" COVID a été ajoutée montrent des incohérences remarquables. Sur une lame, dans la zone touchée par le liquide, les globules rouges semblaient s'être évaporés. Selon Cole, les cellules étaient essentiellement « déshémoglobiées ».
L'hémoglobine vient d'être anéantie. En conséquence, les cellules sont devenues blanches, ce qui donne l'impression qu'elles se sont évaporées. "Cela signifie simplement que bon nombre de ces flacons sont très, très irritants dans leur pré-mélange… Tout revient à la pureté et à la cohérence de la fabrication", déclare Cole. Les cellules sanguines s'agglutinaient également vers l'extérieur de la goutte, beaucoup se repliaient et les échinocytes étaient clairement visibles. Comme l'explique Cole :
"Cela a instantanément changé le pH de l'intérieur. Ce sont de petites gouttes de protéines sur la membrane du globule rouge, parce que le globule rouge a involué… Tous ces petits doigts, ce n'est pas de la protéine de pointe. C'est un autre mythe.
Mais c'est fascinant, car cela a instantanément changé le pH de l'intérieur de la cellule. Et cela a provoqué une sortie massive de liquide de l'intérieur de la cellule, provoquant tout ce repliement de la membrane cellulaire. C'est sauvage.
C'était presque instantané, et c'est partout. Ces globules rouges sont maintenant des globules rouges non fonctionnels. Ceux-ci ne vont pas transporter un brin d'oxygène. Maintenant, votre corps doit décider quoi faire et a une réaction inflammatoire, car maintenant il doit les engloutir.
«Pour revenir au point clé – je veux conduire cette maison – ils vont essayer de faire des nanoparticules lipidiques plus des gènes de la grippe, plus des gènes RSV pour tous ces autres coups à l'avenir. Nous savons déjà qu'il s'agissait d'un programme de "vaccins" qui a échoué. Ils ont une technologie qui est nocive. Les cellules humaines sont destinées à fabriquer des protéines humaines. Les cellules humaines n'étaient pas destinées à fabriquer des protéines étrangères toxiques.
Les vaccins traditionnels ne font pas cela. Votre corps veut fabriquer sa propre protéine, pas une protéine grippale, pas une protéine RSV, pas une autre protéine virale, pas une protéine SARS-CoV-2. Cette plate-forme est suffisamment dangereuse pour que non seulement les tirs COVID doivent être arrêtés, mais la plate-forme [ainsi] …
Nous voyons déjà assez de choses qui vont mal. Je pense que c'est le message à l'humanité, aux agences de régulation, aux responsables gouvernementaux qui sont prêts à intervenir et à bloquer la corruption réglementaire… Arrêtons ces programmes. Continuons à faire de la science appropriée et ne précipitons pas la science.
Vous connaissez cette citation au Comité européen ? « Nous travaillions à la vitesse de la science. » La bonne science ne se précipite pas. Et le directeur de Pfizer qui vient de démissionner ? [Elle a dit] "Nous construisions l'avion pendant que nous essayions de le faire voler." Bon sang. Et elle en était fière. Non, ce n'est pas ce que vous faites à vos semblables. Et ce n'est pas ce que nous faisons en médecine et en sécurité.
Bigtree ajoute :
« Nous avons arrêté ces programmes génétiques plusieurs fois. Ils ont [been] arrêtés dans leur élan parce qu'ils causaient trop de cancer. Nous avons de sérieux problèmes avec cette technologie.
Il a été arrêté pour toutes ces raisons, nous aurions donc dû être très préoccupés par son utilisation comme vaccin. Nous n'aurions certainement pas dû nous précipiter. Au lieu de cela, nous l'avons mis devant un groupe de "maternelles" qui ne savent rien de ce qu'ils regardent, et ils l'ont approuvé...
[I]l y a quelque chose qui ne va pas. Et quand on écoute Edward Dowd, les actuaires d'assurance vont [under] à cause de l'augmentation de la mortalité toutes causes confondues. Tout cela se produit, et ils veulent littéralement accélérer un système où ils peuvent simplement commencer à les éliminer [sans] essais de sécurité. C'est un film. Ceci est un dessin animé. Comment de vraies personnes agissent-elles ainsi ? … Ce sont des choix extrêmement préjudiciables qui sont faits.
Si vous avez déjà reçu un ou plusieurs inoculations, arrêtez maintenant et n'en prenez plus. C'est l'étape n ° 1. Si vous souffrez de symptômes post-piqûre, assurez-vous de consulter le protocole de blessure post-piqûre de la Frontline COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC).
Des remèdes qui peuvent aider à inhiber, neutraliser et éliminer les protéines de pointe ont également été identifiés par le Conseil mondial de la santé. Les inhibiteurs qui empêchent la protéine de pointe de se lier à vos cellules comprennent Prunella vulgaris, le thé aux aiguilles de pin, l'émodine, le neem, l'extrait de pissenlit et le médicament ivermectine. Le Dr Pierre Kory, du FLCCC, pense que l'ivermectine pourrait être la meilleure approche pour lier la protéine de pointe en circulation.
Les neutralisants de protéines de pointe, qui empêchent la pointe d'endommager les cellules, comprennent la N-acétylcystéine (NAC), le glutathion, le thé au fenouil, le thé à l'anis étoilé, le thé aux aiguilles de pin, le millepertuis, le thé à la consoude et la vitamine C.
L'alimentation limitée dans le temps (TRE) peut également aider à éliminer les protéines toxiques en stimulant l'autophagie, et la nattokinase, une forme de soja fermenté, est utile pour réduire les caillots sanguins. Plusieurs remèdes de désintoxication supplémentaires peuvent être trouvés dans "World Council for Health Reveals Spike Protein Detox".
Sources and References
1 Bitchute December 12, 2022 2 Cardiovascular Diabetology August 23, 2021; 20 Article number 172
(...) Notamment, aucun graphène n'a été trouvé dans aucun des 100 flacons testés. Cole explique : (...)
Il y a bientôt 2 ans les docteures Carrie Madej (Atlanta Georgie USA) et Astrid Stückelberger (Genève Suisse) ont analysé et publié leurs rapports sur leurs découvertes. Les flacons examinés contenaient entre 95 et 99 % des nano-particules d'oxyde de graphène ! + des hydres ! + des spiques ! + diverses maladies animales !!!
Mais des 'docteurs' étrangers ne seraient même pas au courant qu'existent des vidéos de ces docteures sur Odysee et Rumble !! Çà alors !!
Dans War for Control of Humanity, les pensées et les émotions sont le champ de bataille : Dr Robert Malone
Les plateformes de médias sociaux sont militarisées, a-t-il déclaré
De Masooma Haq et Jan Jekielek 31 décembre 2022
L'inventeur des vaccins à ARNm, le Dr Robert Malone, qui a travaillé avec le département américain de la Défense (DOD) pendant de nombreuses années, avertit qu'une guerre est menée par le gouvernement pour le contrôle de l'esprit des gens, et que les plateformes de médias sociaux sont militarisées dans ce contexte de la guerre et sont « activement employés » par la communauté du renseignement pour influencer ce que les gens pensent et ressentent.
« Ce nouveau champ de bataille, dans lequel votre esprit et vos pensées, vos émotions mêmes sont le champ de bataille. Ce n'est pas une question de territoire », a déclaré Malone lors d'une récente interview pour l'émission « American Thought Leaders » d'EpochTV. "Twitter, c'est clair maintenant, est devenu la plate-forme premium pour façonner un consensus mondial émergent sur les sujets d'actualité."
Suivi des jets Twitter de Musk
Au cours de son travail avec le DOD, Malone a pris connaissance des entreprises recherchant des programmes multilingues qui évaluent le contenu émotionnel de la langue utilisée sur les réseaux sociaux, que ces entreprises utilisent ensuite pour «cartographier les nuages de relations», y compris les sujets dont les gens discutent, qui les influenceurs sont, et qui est à la lisière de ce nuage, a déclaré Malone.
Des phénomènes comme être déplatformé, shadowbanned et un «tweet» devenu viral font partie de cette militarisation des médias sociaux.
"En utilisant ces outils pour manipuler les informations, les tweets que vous publiez, les messages que vous envoyez à votre nuage d'influence, ils peuvent moduler le comportement de ces personnes", a-t-il déclaré. "Vous pouvez en fait contrôler très activement ce que les individus pensent, les informations qu'ils recueillent, ce qu'ils sont influencés à faire."
Les personnes qui contrôlent les armes de guerre de l'information peuvent moduler la messagerie dans les nuages d'influence qui peuvent être facilement cartographiés, a déclaré Malone.
"Votre état d'esprit actuel, basé sur la langue que vous utilisez et les sujets dont vous parlez, peut être cartographié très précisément, psychologiquement", a-t-il déclaré. "Cela peut être lié à un réseau de relations d'influence."
Surveillance de haute technologie
Les membres d'un «nuage d'influenceurs» spécifique peuvent être suivis à l'aide de la technologie d'espionnage militaire appelée Gorgon Stare, a déclaré Malone. Cette technologie d'espionnage est capable de détecter les mouvements, y compris la voiture que vous conduisez, qui monte dans votre voiture et où vous allez, a-t-il déclaré.
Le Gorgon Stare est une technologie de surveillance, créée à l'origine pour cibler des groupes terroristes, qui utilise des caméras de haute technologie montées sur des drones pour capturer des images vidéo de vastes zones, telles que des villes entières. Ensuite, l'intelligence artificielle est utilisée pour analyser les images de surveillance.
Arthur Holland Michel, auteur du livre «Eyes in the Sky: The Secret Rise of Gorgon Stare and How It Will Watch Us All», a qualifié cette technologie de «sommet de la surveillance aérienne» lors d'une interview en 2019 avec l'Institut CATO et a déclaré les choses qu'il a apprises en écrivant le livre étaient si troublantes qu'elles l'ont empêché de dormir la nuit.
Collusion pendant la pandémie
Elon Musk a apporté plus de transparence à Twitter, mais les informations qu'il a révélées n'ont fait que confirmer que le FBI et les agences de renseignement avaient une influence majeure sur la plateforme, a déclaré Malone.
"Elon est maintenant dans une position où il a accès à des informations incroyablement préjudiciables sur la volonté du gouvernement américain de s'entendre avec l'industrie et de compromettre le premier amendement", a déclaré Malone.
L'achat de Twitter par Musk est important, mais seul le temps nous dira ce que le résultat final aura pour notre démocratie et le premier amendement, a ajouté Malone.
Depuis le début de la pandémie, Malone et son épouse et collègue scientifique, Jill Glasspool Malone, ont pris conscience de la violation par le gouvernement de toutes les barrières de sécurité, a déclaré Malone, en termes d'éthique et de normes de développement de médicaments, de bioéthique, de biodéfense et de produits pharmaceutiques. développement.
"Nous avons tous été soumis, au cours des trois dernières années, à des opérations psychologiques de niveau militaire qui utilisaient une technologie développée pour les conflits offshore, et elles avaient été déployées contre les citoyens de pratiquement tout le monde occidental."
Les mêmes stratégies utilisées par le Parti communiste chinois (PCC) pour contrôler les citoyens chinois ont été utilisées par les élites aux États-Unis, a déclaré Malone.
"Nous voyons maintenant quotidiennement la documentation qui nous est publiée par Twitter, sur cette intense collusion entre le gouvernement américain, la technologie et les médias d'entreprise", a déclaré Malone.
Dans le dernier tiers du livre, Malone suggère des actions concrètes qui pourraient aider à restaurer la démocratie et à atténuer la corruption qui a assiégé le gouvernement fédéral en modifiant les lois pour permettre des limites de mandats pour la bureaucratie fédérale.
"Cela a à voir avec des choses comme le fondement juridique qui permet l'existence de ce cadre permanent que nous appelons le Senior Executive Service, ces milliers de personnes qui ne peuvent pas être licenciées, qui dirigent fonctionnellement le gouvernement", a déclaré Malone.
La tentative de l'ancien président Donald Trump de réaffecter la classification des employés fédéraux de niveau supérieur dans le département d'État, avec son décret exécutif de l'annexe F, a été une étape cruciale pour rétablir l'équilibre dans les trois branches du gouvernement, a déclaré Malone.
Cependant, après l'entrée en fonction du président Joe Biden, il a annulé le décret exécutif de l'annexe F, qui, selon Malone, était "un exemple de la puissance de ces intérêts administratifs enracinés de l'État".
Une autre étape cruciale pour mettre fin à la corruption gouvernementale consiste à séparer le pouvoir des agences fédérales de réglementer et de promouvoir l'industrie dont elles sont responsables, a déclaré Malone.
"[Dr.] Peter McCullough aime souligner que la FDA, sous autorisation d'utilisation d'urgence, agit à la fois en tant que sponsor et régulateur de ces produits médicaux", a déclaré Malone. "Et la corruption de la FDA et du CDC est à un tel stade maintenant que je pense que c'est tellement évident que seuls les plus hypnotisés le nient."
Envisager un nouvel avenir
Ces actions à elles seules ne mettront probablement pas fin à la corruption et à la collusion profondément enracinées de la communauté du renseignement au sein des agences, a déclaré Malone, mais c'est un pas en avant.
Des gens comme le Dr Anthony Fauci travaillent en tandem avec les agences de renseignement, et cela se voit par le développement du nouveau département des National Institutes of Health (NIH), l'Agence des projets de recherche avancée pour la santé (ARPA-H), a déclaré Malone .
Epoch Times a contacté le NIH pour un commentaire.
Ce nouveau département est dirigé par un ancien officier de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) et dispose d'un budget d'environ 1 milliard de dollars. Malone a déclaré que le but du département "semble être l'avancement du transhumanisme et une identification biométrique et tout ce programme au sein du NIH. C'est essentiellement la communauté du renseignement qui s'installe au sein des NIH.
Malone a demandé comment les humains peuvent "permettre un avenir décentralisé pour nous tous, par opposition à cette très sombre quatrième révolution industrielle, économie centralisée transhumaniste".
Il existe des initiatives qui redonneront le pouvoir aux communautés et aux individus, notamment des groupes de médecins créant de nouveaux instituts de formation médicale et des citoyens travaillant à cultiver leur propre nourriture localement.
"Je pense que notre opportunité maintenant est d'aider à construire une vision et une façon d'interagir qui peuvent mieux capturer le potentiel de l'humanité d'une manière décentralisée qui célèbre notre diversité, sans avoir besoin d'essayer d'imposer un diktat centralisé sur la façon dont nous devons vivre. nos vies », a déclaré Malone.
Malone ne prétend pas avoir les réponses à ces questions, mais a déclaré qu'il souhaitait contribuer au processus visant à déterminer comment l'humanité peut créer un avenir meilleur.
"Je pense que c'est un voyage qui en vaut la peine."
La prédiction de tremblement de terre indique que "le signal vient de frapper", avertit d'un potentiel gros tremblement de terre de San Francisco à Los Angeles
PAR TYLER DURDEN LUNDI 02 JANVIER 2023 - 17:05
Un tremblement de terre a secoué certaines parties du nord de la Californie dimanche pour la deuxième fois en deux semaines. Le séisme de magnitude 5,4 était centré à environ 30 miles au sud d'Eureka. Le 20 décembre, un tremblement de terre de magnitude 6,4 a également frappé près d'Eureka.
Maintenant, une entreprise de recherche sur la prévision des tremblements de terre a averti que le prochain grand pourrait être imminent.
Lundi matin, Quake Predictions a publié un avertissement pour les deux prochains jours - il y a une "situation dangereuse" de la probabilité d'une magnitude de 7,0 "dans la baie de San Francisco au nord-ouest de la région de Los Angeles".
- voir carte sur site -
L'avertissement intervient après que deux tremblements de terre importants ont frappé le nord de la Californie en moins de deux semaines.
Le tremblement de terre de dimanche matin a été décrit comme "plus violent cette fois", a déclaré à CNN la maire de Rio Dell, Debra Garnes, dans une interview.
"C'était plus court mais plus violent. Mon réfrigérateur a bougé de deux pieds. Des choses sont sorties du réfrigérateur. Il y a une fissure dans mon mur à cause de la violence", a déclaré Garnes.
La Californie a en moyenne cinq tremblements de terre par an avec des magnitudes comprises entre 5 et 6, selon LATimes. Et les dernières secousses pourraient suggérer qu'un grand tremblement de terre attendu depuis longtemps pourrait approcher.
Le paquebot de l’étatisation de l’énergie est lancé à pleine vitesse avec à la proue les fameuses énergies renouvelables.
le 2 janvier 2023 Olivier Maurice
Les collapsologues ont tout à fait raison : nous vivons bien une période d’Apocalypse, à la nuance près que ce n’est pas la planète qui s’effondre, c’est l’État qui part en totale déconfiture.
En quarante ans de « néolibéralisme » (entendez par là en quarante ans de soviétisation menée par des fils à papa parisiens pourris gâtés) la France s’est propulsée avec vigueur et confiance dans une trajectoire menant tout droit dans le mur.
Le prétendument meilleur système de santé au monde est en fait un dispensaire qui ne tient que par miracle et par l’abnégation de plus en plus rare de soignants au bord de l’effondrement.
Le pays des Lumières s’enfonce dans les classements sur l’éducation. L’illettrisme a doublé en un siècle et est passé de 3 % en 1914 à 7 % selon les derniers chiffres officiels.
L’agriculture, fondement du pays des 54 appellations de fromage, des grands vins et des restaurants étoilés est mourante. Le nombre d’agriculteurs a été divisé par deux, le nombre d’exploitations par quatre.
L’industrie a été divisée par deux, enregistrant le plus fort recul de la zone euro.
Et on pourrait ainsi continuer la liste : la dégradation de l’état des routes, les délais indignes des procédures judiciaires…
Mais depuis deux ans, les choses ne font que s’accélérer. À ces problèmes lancinants se dégradant inexorablement mais suffisamment lentement pour que l’on puisse s’y adapter ou trouver des excuses, sont venues se superposer des crises de plus en plus violentes ayant toutes la même origine : l’incurie de l’administration et du gouvernement censés avoir la charge de les régler.
L’État inflationniste
La crise de l’énergie et l’inflation nous font presque regretter le folklore de la comédie covid. Le pire étant sans aucun doute que l’État n’a toujours pas compris qu’il en est responsable et qu’il continue avec vigueur et ardeur à aggraver chaque jour la crise.
Dernière bêtise en date : le chèque bois énergie.
Jusqu’à aujourd’hui, la France était le premier pays en Europe à utiliser le bois comme source d’énergie. N’en doutons pas, maintenant que l’État a porté son attention sur le secteur et fourré ses petits doigts boudinés dans l’affaire, le secteur ne va pas tarder à péricliter.
Le bois de chauffage est un sous-produit de l’exploitation forestière. Pour l’instant. Le marché s’est régulé tout seul, que ce soit le marché des granulés ou des bûches, sans avoir d’impact sur l’exploitation forestière qui reste largement dominée par les plantations à long terme en vue de valoriser les grumes utilisées principalement en construction et dans les diverses industries.
Le gouvernement précédent avait déjà commencé à s’intéresser au secteur. Résultat : une augmentation de 14 % du prix du bois de coupe en un an. Le prix du bois de chauffage avait bien sûr suivi. Les subventions déversées par le nouveau chèque vont comme de toute bonne logique aller encore augmenter les prix.
Les mécanismes en présence
Ce n’est pourtant pas compliqué à comprendre ! Depuis la mise en place d’un système monétaire décorrélé d’une matière de référence, trois éléments fixent les prix :
Premièrement : la disponibilité de monnaie « déblocable » comparée à la quantité de monnaie « exigible » par les divers impôts et taxes. Si vous ne payez pas les impôts, les taxes, les cotisations obligatoires… vous allez en prison. Ce n’est pas plus compliqué que cela : vous n’avez pas le choix.
Cette demande d’argent confère de la valeur à la monnaie en obligeant les individus et les entreprises à vendre des actifs ou à moduler leurs investissements en fonction de la ponction fiscale.
Deuxièmement : la disponibilité de la monnaie « débloquée », comparée aux actifs « bloqués » et qui est fixée par les taux d’intérêts, le prix à payer pour obtenir de la monnaie échangeable, mais également par la création de rentes, d’obligations d’État qui donnent lieu à intérêts et deviennent disponibles dès qu’elles arrivent à terme.
Cette offre d’argent réduit la valeur de la monnaie par le mécanisme d’intérêt qui conduit à une augmentation du volume de monnaie.
Enfin, troisièmement : l’équilibre des prix fixé par les capacités de remplacement. C’est ce que l’on a longtemps appelé « le marché », mais qui est en fait une interconnexion des prix plus ou moins fluide selon la liberté et la capacité d’échange qui se résume dans deux lois : l’effet de substitution et l’effet de revenu.
Ce dernier mécanisme, microéconomique alors que les deux premiers sont macroéconomiques, agit comme une espèce de matelas amortisseur ou de réseau qui interconnecterait tous les prix les uns avec les autres et les rendraient tous dépendants.
Le leurre des subventions
Normalement, tout ce système s’équilibre « naturellement » : l’argent exigé pour les taxes est dépensé par l’État, les placements financiers créent de la valeur qui vient compenser l’augmentation monétaire liées aux intérêts, les consommations se déplacent en fonction des solutions disponibles et amortissent les variations et les variations de demande, de disponibilité et de rentabilité…
Reprenons notre bois de chauffage. L’équilibre des prix du pellet et de la bûche est issu de nombre de facteurs qui vont borner ses prix. Bien plus que la disponibilité des produits, c’est la valeur « chauffage » qui va fixer le prix du bois : la quantité de chaleur restituée comparée aux autres moyens de chauffage.
Imaginons que chaque foyer disposerait à la fois d’une pompe à chaleur (électrique), d’une chaudière au fuel, d’une chaudière à gaz et d’un poêle bouilleur. Clairement, il est logique d’allumer le moyen de chauffage qui donne le meilleur résultat en fonction de la météo et qui lui coûte le moins cher, par exemple le poêle à bois la journée, la pompe à chaleur la nuit pendant les heures creuses sauf pendant les nuits très froides où il est plus économique de faire fonctionner une chaudière au gaz, etc.
Bien sûr cette situation est imaginaire. Mais dans la réalité, il est loin d’être rare que le poêle ne soit pas couplé à des radiateurs électriques, à une pompe à chaleur ou une chaudière. Même si on n’est pas à 100 % de capacité de substitution d’une source d’énergie par une autre, cet effet de substitution se concrétise à l’échelle macroscopique du pays et s’opère de proche en proche dans d’autres substitutions pour se diffuser à l’ensemble du système de prix : le prix du bois de chauffage va influencer le prix du bois de construction (et inversement), qui va influencer le prix des poutres en bois, qui va influencer le prix des poutres en métal, qui va influencer le prix du fer, qui va influencer le prix des automobiles, qui va influencer le prix des téléviseurs, etc.
À la moindre variation, le système de prix va se rééquilibrer tout seul (plus ou moins rapidement il est vrai) et la subvention du prix de la bûche et du pellet sera au bout du compte équilibrée par tout une séries de glissement d’autres prix. Ce système est à somme nulle car ce n’est pas lui qui fixe la valeur globale, il ne fait qu’équilibrer un système dont la « somme » doit correspondre à la quantité de monnaie collectée et dépensée par l’État dans son budget de fonctionnement.
Le fait de subventionner le chauffage au bois ne va donc pas impacter uniquement les foyers à bas revenus se chauffant uniquement au bois, mais tous les prix. En fin de compte, les seuls résultats tangibles auront été de déséquilibrer certains prix (et de créer des problèmes ou des aubaines pour certaines filières) et surtout d’augmenter la quantité de monnaie en circulation et donc de créer de l’inflation : l’effet d’aubaine sur le bois de chauffage se traduira vite en désillusion par l’augmentation d’autres prix.
C’est l’équilibre du budget de l’État qui détermine la valeur de l’argent que celui-ci émet pour payer son fonctionnement. On a cru que l’interdiction faite à l’État d’imprimer du papier allait empêcher cette maladie chronique de l’endettement des finances publiques qui a maintes fois créé des crises financières catastrophiques et fait chanceler les souverains et ce depuis la plus ancienne Antiquité.
Le fameux « système libéral » dénoncé par tous les vendeurs d’illusion a permis une incroyable période de stabilité et de développement économique depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale en donnant la possibilité à l’État de faire disparaître sa création monétaire dans le système bancaire et ainsi d’éviter d’interférer dans l’économie.
Mais c’était sans compter l’incompétence et l’inconséquence de certains dirigeants et de certains pays, particulièrement la France, qui ont utilisé cette aubaine pour faire n’importe quoi, en particulier pour subventionner des secteurs entiers de l’économie jusqu’au moment où la bulle explose ou que l’État se retrouve au bout de ces capacités de cavalerie, risque qui peut arriver à tout moment.
Le chauffage au bois vient d’entrer dans la longue liste des secteurs économiques étatisés, non pas par nationalisation, mais par mise en dépendance à l’argent public, après l’immobilier : crise de 1991 en France, crise des subprimes aux USA en 2008… le système de protection sociale en déficit chronique depuis sa création et qui peut s’écrouler à tout moment comme en Grèce en 2010, les transports…
Crise à venir
Le paquebot de l’étatisation de l’énergie est lancé à pleine vitesse avec à la proue les fameuses énergies renouvelables et la lutte donquichottesque contre le thermomètre, façons élégantes de nommer des machines à détourner l’argent public et à créer de la dette souveraine et donc de l’inflation sous forme larvée ou sous forme de bulles. Cette inflation conduira sans aucun doute à une gigantesque crise de l’énergie dans les années à venir, si elle n’a pas déjà commencé.
Il devient de plus en plus évident que les États-Nation, créés au XIXe siècle sur le modèle de l’État providence imaginé par Bismarck, sont amenés à disparaître ou pour le moins à se transformer radicalement, car dans l’état actuel des choses, ils amènent bien plus de problèmes que de solutions : quand ce ne sont pas les guerres mondiales, ce sont les crises économiques, sanitaires ou sociales mondiales, quand ce n’est pas tout en même temps.
La politique est une idée lancée par des cons pour des cons. La politique a donc besoin de cons pour survivre. Prenons l'exemple du gaz carbonique; Le gaz carbonique est une molécule chimiquement inerte. Elle existe depuis DES milliards d'années et existera toujours dans des milliards d'années. Mais, les astucieux politichiens ont parlé de... retirer le gaz carbonique de notre atmosphère !! HAHAHAHA ! (c'est comme de dire de retirer la terre de la Terre ou de vider des océans !!). Bien-sûr cette opération est impossible même avec des faux budgets (de faux billets) de milliards de milliards d'euros ! Une molécule ne peut disparaître. Elle est là et sera toujours là.
Prenons l'exemple du gaz carbonique appelé aussi 'CO2' Carbone C + O2 Oxygène. Tous les gaz se recyclent immédiatement depuis toujours (sans quoi il n'y aurait jamais eu de vie sur Terre !). Pour être plus clair en technicité je vais prendre l'exemple de molécules inventées qui s'appelleraient 'A B C D E F', etc. A et B sont ensemble (amies d'école qui forme un duo à l'orchestre de la commune) elles rencontrent C qui voudrait se joindre à elles. Oui mais là le duo devra changer de nom ! Et s'appeler trio (ou Molécule ABC). Puis arrive la molécule D qui drague la B. Il s'ensuit que le trio devient un duo AC tandis que va se former un autre duo DB. C'est comme çà pour TOUS les gaz ! Mais, aller jusqu'à dire qu'on peut retirer un gaz de l'atmosphère... HAHAHAHAHAHAHA !
Maintenant vous allez me dire que le volume de gaz est ou serait en augmentation. Fort possible. Fort possible mais ne peut être attribuée à l'être humain qui respire (comme toutes les autres bestioles) ou qui emploie des machines et du feu et gnagnagna. Car, TOUS les gaz (99,99 %) qui constituent notre atmosphère viennent de la combustion de la masse ferrique incandescente sous nos pieds appelée magma. Le dégazement se fait au travers des bassins maritimes et océaniques (l'eau de mer est composée de 86 % d'oxygène).
Mais c'est là une escroquerie, discutée, débattue et votée par les mêmes escrocs qui se diraient d'être d''opposition' !! car une molécule qu'elle s'appelle Duchnoc ou Tartampion ne peut pas être éliminé ! Elle est produite par le magma et le magma IL FAIT CE QU'IL VEUT !
L'Italie peut « reconstruire le nucléaire » - pas tout à fait la grande réinitialisation que les Verts ou les maisons financières avaient en tête ?
Par Jo Nova January 2nd, 2023
Le gouvernement italien envisage de construire de nouvelles centrales nucléaires. Et si cela se produit, cela marque un revirement étonnant.
C'était la centrale nucléaire de Garigliano en Italie en 1970. Ils avaient déjà la solution à tout cela, les guerres énergétiques, Vladimir Poutine et le fantasme « contrôle du climat » il y a cinquante ans.
Mais l'Italie a abandonné le nucléaire il y a trente ans. C'est le seul grand pays européen à avoir cessé d'utiliser l'énergie nucléaire. (Bien que l'Allemagne essaie de le faire).
L'Italie avait quatre centrales nucléaires au début des années 1980, mais après l'accident de Tchernobyl (1986), ils ont organisé un référendum sur l'énergie nucléaire, et les électeurs n'en voulaient plus, alors ils ont fermé les deux derniers réacteurs en 1990 (à l'époque où le vote fait la différence). De plus, l'Italie a organisé un autre référendum en 2011, et 94 % des électeurs l'ont à nouveau rejeté, ce qui montre à quel point la situation doit être désespérée maintenant si un sondage d'opinion comme celui-ci a changé si loin en 11 ans ?
Le fait est que l'Italie ne produit elle-même que 25 % de son énergie, et qu'elle est donc soudainement très sensible au « risque géopolitique ».
Pierre Goselin de NoTricksZone a trouvé un article sur ce demi-tour nucléaire dans le Berliner Morgenpost. Sinon, ce sont les grillons des médias du monde.
Nucléaire : l'Italie envisage un revirement de sa politique énergétique par Micaela Taroni
Mais sous la pression de la crise énergétique, les Italiens ont soudain pris douloureusement conscience de leur forte dépendance vis-à-vis de l'électricité étrangère. Le sujet émeut les citoyens car ils ressentent clairement l'augmentation de leur facture d'électricité malgré le soutien du gouvernement.
Bien que les énergies renouvelables se soient considérablement développées ces dernières années, la production d'électricité verte est loin d'être suffisante.
Pas étonnant que le nouveau gouvernement autour de la populiste de droite Giorgia Meloni considère le retour à l'énergie nucléaire, auquel les Italiens avaient renoncé à la suite d'un référendum en 1987, comme une solution aux problèmes énergétiques.
Le ministre de l'Infrastructure (qui se trouve être à la tête du deuxième plus grand parti de la Coalition) est très enthousiaste :
« L'Italie ne peut pas être le seul grand pays au monde sans énergie nucléaire. On ne peut pas parler de sortie du gaz, de l'essence et du diesel sans parler de l'énergie nucléaire », a expliqué [Matteo] Salvini, proposant qu'une centrale nucléaire soit construite à Milan, dans son quartier de Baggio.
Lorsque les écologistes ont objecté que l'Italie était un pays densément peuplé sujet aux tremblements de terre, aux glissements de terrain et aux inondations, et sur le sol duquel il serait préférable de ne pas construire de réacteurs nucléaires, Salvini a répondu qu'il y avait 440 réacteurs nucléaires en activité dans le monde, dont plusieurs au Japon sismiquement actif. et une douzaine d'entre eux en France, juste de l'autre côté de la frontière italienne. "Les réacteurs de dernière génération sont la forme de production d'énergie la plus sûre et la plus propre, c'est l'avenir", a assuré le patron de la Lega.
Comme d'habitude, les partis de gauche qui veulent réduire les émissions feront tout pour ne pas y parvenir. Apparemment, le gros problème avec l'énergie nucléaire est que même si elle résoudra leurs craintes d'émissions, elle ne respectera pas une échéance arbitraire du comité que personne d'autre ne respectera de toute façon :
Les sociaux-démocrates voient dans cette "transition verte" une opportunité pour l'économie du pays. Ils s'opposent au nucléaire car, selon eux, le calendrier et les technologies existantes sont incompatibles avec une réduction significative des émissions de CO2 d'ici 2030.
C'est presque comme si les sociaux-démocrates n'étaient que les sbires inutiles des grands banquiers ou de l'industrie des énergies renouvelables. Ce qu'ils craignent plus que la catastrophe climatique, c'est la fin de leur fausse crise.
Alors la grande question, est-ce que les Italiens accepteront une centrale nucléaire maintenant ?
(La traduction ici vient juste de Chrome, ne blâmez pas Pierre ! )
L'Association nucléaire mondiale a plus d'informations sur l'énergie nucléaire en Italie.
L’enjeu est de donner, à des degrés divers, une meilleure visibilité à la commune ainsi qu’une image plus distincte et plus valorisante.
le 2 janvier 2023 Par Eric Delattre. The Conversation
Bono, Cadillac, Cramchaban, Montreuil et Saint-Christophe. Telles sont les cinq communes situées respectivement dans le Morbihan, en Gironde, en Charente-Maritime, dans le Pas-de-Calais et dans l’Allier qui changeront de nom au 1ᵉʳ janvier 2023. Il faudra désormais les appeler Le Bono, Cadillac-sur-Garonne, Cram-Chaban, Montreuil-sur-Mer et Saint-Christophe-en-Bourbonnais.
L’an passé elles étaient au nombre de 11 et le phénomène n’a rien d’une mode récente. Au cours de l’Histoire, les guerres et invasions, les regroupements et les scissions ou simplement l’évolution de la langue ont conduit nombre de communes à être rebaptisées. À la Révolution, elles n’ont pas été moins de 3000 concernées. Un décret de la Convention nationale du 16 octobre 1793 a en effet appelé à modifier « les noms qui peuvent rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou de la superstition ». Si la plupart des communes ont ultérieurement retrouvé leur appellation d’origine, la problématique du changement de nom n’a pas pour autant disparu.
Depuis 1943, le fichier historique des communes de l’Insee, adossé au Code officiel géographique (COG) permet de recenser les évolutions officielles. Près de 1352 changements sont ainsi recensés en plus des cinq de cette année et ce sans comptabiliser les créations de communes nouvelles. Depuis 2000, le nombre s’élève à 165.
Dans la grande majorité des cas, il s’agit d’un allongement du nom, Saint-Loup devenu par exemple Saint-Loup-des-Bois ; Laval, Laval-en-Belledonne. Les changements d’orthographe ou de typographie (de Sougéal vers Sougeal, Montgaillard vers Montgailhard) ne sont pas rares non plus, contrairement aux simplifications telles qu’un passage de Champdeniers-Saint-Denis à Champdeniers et aux modifications combinatoires du type Barret-le-Bas vers Barret-sur-Méouge.
Le choix d’un nom nouveau est, lui, encore plus rare et les nouveautés totales semblent se limiter aux cas de fusions. Dans les Côtes-d’Armor, suite à la fusion de Plémet et La Ferrière en 2016, la commune nouvelle est appelée Les Moulins (avant de reprendre le nom de Plémet dès la fin 2017).
Quand elle n’est pas contrainte par une réorganisation administrative, qu’est-ce qui peut bien pousser un conseil municipal à entreprendre la démarche ? Ce que nous montrons dans un travail de recherche récent, c’est que, bien que cela ne puisse pas être présenté comme un motif devant les administrations centrales, les enjeux d’image tiennent une place centrale.
Une procédure très encadrée
Revenons tout d’abord sur la procédure à suivre pour en montrer les limites. La note d’information relative à l’instruction de demandes de changement de nom des communes du 6 février 2021 rappelle les différentes étapes et les différentes contraintes.
Est considéré comme changement de nom, toute modification du nom officiel y compris « de simples rectifications d’orthographe ». La demande de changement doit être initiée par la commune par une délibération du conseil municipal transmise au préfet du département. Celui-ci vérifie le respect des règles de graphie liées notamment aux traits d’union, aux majuscules ou aux accents. Il sollicite l’avis du service des archives départementales puis saisit le Conseil départemental pour avis.
Suite à la suppression de la Commission de révision du nom des communes en 2019, l’acceptation ou le refus du changement se fait par un simple examen des dossiers par la Direction générale des collectivités locales (DGCL), contenant les délibérations et avis de tous les acteurs précités. Pour prendre sa décision, elle tient compte du respect des règles de jurisprudence du Conseil d’État selon lesquelles un changement de nom doit être justifié par la volonté de retrouver une appellation historique ou bien la volonté de se différencier d’autres communes.
En revanche, les changements fondés « sur des considérations de simple publicité touristique ou économique » sont rejetés. La DGCL peut aussi consulter des personnalités issues par exemple de la Commission nationale de toponymie, de l’Institut national de l’information géographique et forestière (l’IGN), du Centre national de la recherche scientifique (le CNRS) ou des Archives nationales.
Des erreurs régulières
Bien que strictement encadrée, la procédure semble néanmoins imparfaite. Notamment, car les conséquences d’une « modification des limites territoriales des communes », comme c’est le cas notamment de la création d’une commune nouvelle suite à une fusion, sont exclues de la procédure.
Dans cette situation, le changement de nom est décidé par les autorités ayant approuvé la fusion et fait l’objet d’un arrêté préfectoral. Or selon le média Maire Info, « plus du tiers des noms de communes nouvelles créées entre 2015 et 2017 (168 sur 479) étaient orthographiés de façon impropre ». C’est-à-dire qu’ils ne respectaient pas les règles de graphie en raison de l’absence ou d’un mauvais usage des majuscules, traits d’union ou accents. C’est le cas par exemple des nouvelles communes de « La Corne en Vexin », sans traits d’union, ou de la ville du général de Gaulle « Colombey les Deux Eglises », sans trait d’union ni accent sur « Eglises » (seul l’accent est revenu depuis).
En changeant de nom à la suite d’une fusion, Colombey les Deux Églises a perdu ses tirets. René Hourdry/Wikimedia, CC BY-SA
Même si de telles erreurs semblent désormais moins fréquentes, il est assez frappant de noter qu’un nombre élevé de changements concernent des modifications du nom qui avait été choisi lors de la création d’une commune nouvelle. En 2022, Le Hom (Calvados) est ainsi devenu Thury-Harcourt-le-Hom. Idem pour Capavenir Vosges redevenu Thaon-les-Vosges.
Surtout, si la procédure actuelle a le mérite d’éviter les changements abusifs ou arbitraires, elle semble ignorer les enjeux de communication liés au nom des communes et plus généralement des collectivités. Or ils existent bel et bien.
Des enjeux d’image indéniables
En effet, au-delà de ce que permet la loi, l’analyse permet dans les faits de mettre en évidence quatre grands types de changements. Les changements d’orthographe ou de typographie se limitent à des modifications mineures visant généralement à simplifier l’écriture, à faciliter la prononciation ou à retrouver une graphie altérée par l’usage. Ainsi, cette année, l’orthographe « Cram-Chaban » permet de retrouver l’ancien nom de la commune, correspondant à la combinaison du nom du village « Cram » à celui de son principal hameau « Chaban ». De la même façon, le nom « Le Bono » étant très largement utilisé pour désigner la commune, il deviendra, au 1er janvier, le nom officiel en remplacement de « Bono ».
Les changements de différenciation sont ceux qui permettent de mieux situer géographiquement une commune et d’éviter les confusions avec des communes homonymes. Ils s’effectuent généralement en ajoutant une référence régionale ou locale, à l’instar de Saint-Christophe-en-Bourbonnais. Ce type de changement a été et reste encore largement encouragé par les pouvoirs publics. Il reste encore par exemple neuf communes françaises homonymes dénommées « Saint-Pierre ».
En dépit de ce que pose la note d’information prémentionnée, on retrouve également des changements d’image, ceux qui visent à donner une image plus forte, plus positive, plus moderne ou plus touristique. Ils consistent généralement à simplifier des noms à rallonge, à éliminer certains termes jugés péjoratifs tels que « froid » ou « bas » ou à choisir un nom valorisant, avec des connotations positives. Veules-les-Roses ou Condé-en-Normandie sont des appellations plus touristiques que Veules-en-Caux ou Condé-Noireau par exemple.
En 1997, la préfecture de l’ancienne région Champagne-Ardenne, Châlons-sur-Marne, devient Châlons-en-Champagne. Certes les deux noms cohabitaient dans le langage courant, mais qui niera qu’il n’y a pas aussi là des enjeux d’image et de tourisme ? De même, en Dordogne, pour Montignac qui devient en 2020 Montignac-Lascaux.
Ces enjeux ne sont pourtant pas nouveaux. L’ordonnance du 8 juillet 1814 recommandait ainsi aux communes ayant adopté des noms révolutionnaires de reprendre leur ancienne appellation dans la mesure où « leur nouvelle dénomination, inconnue même dans les départements dont ces communes font partie, est nuisible aux relations de commerce ». À une époque où les maires sont aussi devenus des managers, peut-on encore considérer que le changement de nom ne soit pas directement lié à des objectifs de communication ?
Un signal
Les changements stratégiques sont les plus rares. Il s’agit de marquer une rupture ou une évolution importante. Cela peut être le cas, lors d’une fusion, lorsqu’un nom totalement nouveau est choisi, à l’instar de Perceneige (Yonne) issu de la fusion de 7 villages en 1972.
Ces catégories de changements ne sont pas exclusives les unes des autres. Les changements orthographiques ou de différenciation s’inscrivent ainsi généralement dans des impératifs d’image et de promotion, le nom étant à la fois, par son origine et son histoire, un composant de l’identité et le principal véhicule de cette identité.
Montreuil-sur-Mer permet à la fois de se différencier des trois autres communes françaises dénommées Montreuil, de valoriser une commune qui a le rang de sous-préfecture et de souligner le potentiel touristique d’un lieu connu à travers le monde pour avoir fictivement eu comme maire Jean Valjean dans le roman Les Misérables de Victor Hugo.
Quelle que soit la raison initiale des changements de nom, ils ont tous pour point commun de pouvoir être envisagés comme un signal envoyé par les autorités communales à l’ensemble des parties prenantes (administrés, touristes, commerçants, dirigeants d’entreprise et investisseurs potentiels…) leur permettant de mieux saisir l’identité de la commune. L’enjeu est de donner, à des degrés divers, une meilleure visibilité à la commune ainsi qu’une image plus distincte et plus valorisante. Eric Delattre, Maître de Conférences en Gestion, Université de Lille
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.
Automobile : les pièces détachées seront moins chères en 2023
Rétroviseur, phares… une petite inattention ou un automobiliste peu regardant (quand ce n’est pas un acte volontaire) et les voilà hors service. Gênant, autant sur le plan esthétique que sur celui de la sécurité. Et c’est parti pour une réparation, parfois longue et surtout coûteuse.
Par Paolo Garoscio le 2 janvier 2023 à 6h24
Remplacer un rétroviseur électrique peut coûter 250 euros hors main d'oeuvre.
Du moins, à partir du 1er janvier 2023, la réparation coûtera un peu moins cher. Les pièces détachées bénéficient en effet de la loi Climat.
Libéralisation du marché de certains pièces détachées automobiles
Afin de faciliter le recyclage mais aussi de réduire les déchets et de rendre plus accessibles les pièces détachées, la loi Climat s’y est intéressée. Car jusqu’en 2022, une règle s’appliquait. Les constructeurs automobiles avaient le monopole de la vente des phares, rétroviseurs et autres pièces de carrosserie visible. Un monopole très long : 25 ans.
Seuls les constructeurs, soit Stellantis, Renault et autres, pouvaient vendre aux garages les pièces nécessaires aux réparations. Et, forcément, qui dit monopole dit prix élevés. Surtout depuis que les difficultés de productions liées aux pénuries et à la pandémie causent des soucis aux industriels du monde entier.
Mais désormais, c’est terminé. Le marché est libéralisé. Du moins, sur le papier. Car, dans les faits, c’est beaucoup plus compliqué.
Des pièces vieilles de 10ans à acheter uniquement chez certains fabricants Sur le principe, les pièces détachées peuvent donc être achetées auprès d’autres revendeurs que les constructeurs. Mais dans les faits, ce n’est pas vraiment le cas. Mis à part pour les vitres, où la libéralisation du marché est totale, les pièces de carrosserie restent protégées par le droit d’auteur.
Auparavant, cette protection avait une validité de 25 ans. Autant dire qu’avec des véhicules dont la durée de vie moyenne tourne autour de 10 ans, le monopole des constructeurs était total. Désormais, la protection dure… 10 ans justement. Ce ne sont donc que les vieux modèles qui bénéficient de la mesure. Tous ceux sortis avant 2013, en l’occurrence.
Et même là, il y a des limites : seuls les équipementiers officiels des constructeurs peuvent produire les pièces de remplacement. Ces derniers produiront et vendront des pièces moins chères, qui seront distribuées aux garagistes. Selon les estimations, les économies seraient entre 15% et 30% par rapport au prix actuel.
Mais la restriction appliquée en terme d'années limite les effets de la mesure et, surtout, le gain pour le pouvoir d’achat des ménages.
Le Congrès interdit TikTok sur les appareils officiels et appelle l'application un risque pour la sécurité
dimanche 01 janvier 2023 par : Belle Carter
(Natural News) Les administrateurs de la Chambre des représentants des États-Unis ont demandé à tous les législateurs et au personnel de désinstaller TikTok des appareils officiels, qualifiant l'application de risque pour la sécurité du peuple américain.
Selon la correspondance électronique officielle, le personnel doit supprimer et ne jamais réinstaller l'application de tout appareil émis par le Congrès. "Le Bureau de la cybersécurité a estimé que l'application mobile TikTok présentait un risque élevé pour les utilisateurs en raison d'un certain nombre de risques de sécurité", a déclaré le courrier électronique du Comité sur l'administration de la Chambre alors que le 117e Congrès concluait ses travaux.
L'application appartenant à l'entreprise chinoise avait également été interdite sur les appareils gouvernementaux dans le cadre du projet de loi de dépenses omnibus de 1,7 billion de dollars.
Plusieurs législateurs ont voulu aller encore plus loin et interdire entièrement l'application aux États-Unis. Le sénateur Marco Rubio et le membre du Congrès Mike Gallagher ont présenté le projet de loi intitulé "Anti-social CCP Act", qui indique que la plate-forme d'hébergement de vidéos abrégées est la technologie d'espionnage de la Chine communiste sur les Américains.
Un porte-parole de la plate-forme de médias sociaux a déclaré que cette décision était "une interdiction politiquement motivée qui ne fera rien pour faire progresser la sécurité nationale des États-Unis".
Cependant, la société mère de TikTok, ByteDance, a récemment admis que quatre de ses employés avaient utilisé l'application pour espionner des journalistes du Financial Times et de BuzzFeed News.
Dans un e-mail interne de l'entreprise vu par le New York Times, l'entreprise a déclaré avoir demandé à quatre employés de trouver la source des communications internes divulguées l'été dernier. Les employés ont décidé d'accéder aux adresses IP et à d'autres données de plusieurs citoyens américains via leurs comptes TikTok, mais n'ont finalement pas trouvé ce qu'ils cherchaient.
"La confiance du public que nous avons déployé d'énormes efforts pour bâtir va être considérablement sapée par l'inconduite de quelques individus", a déclaré le PDG de ByteDance, Liang Rubo, dans un e-mail interne.
Le PDG de TikTok, Shou Zi Chew, a déclaré qu'il était déçu par les employés et que l'entreprise prend la sécurité des données "incroyablement au sérieux". TikTok a initialement nié les allégations, insistant sur le fait qu'il ne collectait pas "d'informations de localisation GPS précises auprès des utilisateurs américains" et n'utilisait que des adresses IP pour aider à afficher "du contenu et des publicités pertinents".
Les grandes entreprises technologiques détournent des données personnelles pour contrôler la vie des gens Les critiques et les observateurs disent que les géants de la technologie prennent le contrôle de la vie de leurs utilisateurs en détournant des données personnelles. Il a été discuté en détail dans le livre intitulé "The Age of Surveillance Capitalism", écrit par Shoshana Zuboff, psychologue sociale et professeur à l'Université de Harvard. (Connexe : Shoshana Zuboff : Les grandes entreprises technologiques détournent des données personnelles pour contrôler la vie des gens.)
Dans une critique du livre, le célèbre promoteur de la médecine alternative, le Dr Joseph Mercola, a déclaré que les informations – également appelées «flux de données comportementales excédentaires» – sont recueillies à l'insu des internautes. Les technocrates les utilisent pour surveiller les comportements d'achat et les préférences des utilisateurs qui leur donneraient la possibilité de générer des profits pour eux-mêmes.
« Nous sommes devenus le produit. Nous sommes la véritable source de revenus dans cette économie numérique », a souligné Mercola.
Dans un documentaire vidéo, Zuboff a déclaré : « Le terme « capitalisme de surveillance » n'est pas un terme arbitraire. Pourquoi surveiller ? Parce que ce doivent être des opérations conçues comme indétectables, indéchiffrables, masquées par une rhétorique qui vise à nous égarer, à nous obscurcir et à nous embrouiller tous, tout le temps.
Dans la vidéo, l'auteur explique comment le capitalisme de surveillance est né. Selon elle, une start-up nommée Google a eu du mal à survivre après la crise des dot.com de 2000 qui a fait éclater la bulle Internet.
Mais le moteur de recherche a reçu un coup de pouce lorsque ses fondateurs Larry Page et Sergey Brin ont accidentellement découvert que les « données résiduelles » laissées par les utilisateurs lors de leurs recherches sur Internet pouvaient être échangées et vendues. En compilant ces données résiduelles, ils pourraient prédire le comportement des internautes et garantir aux annonceurs une audience plus ciblée.
Visitez BigTech.news pour plus d'informations sur l'application chinoise Tiktok.
Regardez la vidéo ci-dessous qui parle de TikTok surpris en train d'espionner des journalistes américains.
Cette vidéo provient de la chaîne NewsClips sur Brighteon.com.
Indiana poursuit Tiktok pour accès aux données des consommateurs et contenu sexuel.
De nouvelles recherches révèlent que des sites de médias sociaux comme Meta, Instagram et Tiktok peuvent surveiller les frappes au clavier pour obtenir des informations privées.
Les anciens agents de surveillance israéliens occupent des centaines de postes auprès de grands géants de la technologie comme Google, Facebook, Microsoft.
Des employés de Facebook accusés d'avoir « détourné » des comptes d'utilisateurs licenciés après avoir accepté des pots-de-vin de pirates extérieurs.
Pour nous tous qui gribouillons pour la publication, aussi bas soit-il, toutes les activités autres que l'écriture prennent tout au plus une importance secondaire. Même les repas, nécessaires comme ils le sont sans aucun doute, peuvent apparaître comme des interruptions indésirables de la véritable activité de la vie, qui est l'écriture. Nous sommes susceptibles d'oublier que la lecture en général, et notre travail en particulier, n'ont pas la même importance pour 99,99 % de la population, y compris cette partie de celle-ci qui a un grand pouvoir sur nos vies, que pour nous. C'est une pensée humiliante (c'est-à-dire pour les gribouilleurs) que dans de nombreuses petites villes, il est plus facile de trouver une cigarette électronique ou de se faire tatouer que d'acheter un livre.
Et vient maintenant un autre coup porté à notre estime de soi, cette caractéristique mentale qui est la plus fondamentale de tous les droits de l'homme modernes. Mon collègue écrivant dans cet auguste journal, M. Charles Norman, m'a récemment alerté sur un site qui, grâce à l'intelligence artificielle, produira un court essai cohérent et même convaincant sur presque tous les sujets. Il a illustré les pouvoirs du site en lui demandant une critique marxiste-léniniste de Winnie-the-Pooh, citant les travaux du regretté historien marxiste et féroce snob Eric Hobsbawm. Les paragraphes résultants, générés en quelques secondes, étaient mieux écrits que beaucoup de doctorants contemporains ne pourraient le faire, et se rapprochaient en fait de ce que j'aurais moi-même écrit si on m'avait demandé de produire quelque chose sur le même sujet.
J'ai ensuite essayé une analyse marxiste de "Le morse et le charpentier" de Lewis Carroll. Avec un vrai manque d'humour marxiste, la réponse est revenue presque instantanément que, entre autres, les huîtres du poème souffraient d'une fausse conscience, dans la mesure où elles avaient été dupées par le morse et le charpentier pour se promener avec eux dans la croyance que leurs exploiteurs pensaient bien à eux.
« Se pourrait-il que les écrivains soient un jour aussi redondants que, disons, les charrons ou les crieurs publics ? Je n'ai pas pu m'empêcher de demander au site une critique de moi-même, et en quelques secondes j'ai eu ce que je pensais être une critique parfaitement raisonnable, bien qu'en fin de compte erronée (bien sûr), de mon travail, à savoir qu'il était fondé sur l'impression et l'anecdote plutôt que sur une recherche statistique sérieuse. J'utilise des stéréotypes et il est impossible de dire si les histoires que je raconte sont vraies ou non. Ce sont précisément les critiques que je me ferais si je critiquais mon travail de l'extérieur, pour ainsi dire. Le fait que je puisse me défendre de ces critiques n'est ni ici ni là : L'étonnant, et un peu alarmant, c'est que le site d'IA soit capable de générer une critique parfaitement raisonnable, exprimée de façon claire, concise et cohérente, en une matière de secondes. L'élégance et l'esprit y manquent, mais peut-être (non, presque certainement) seront-ils possibles un jour, ajoutés comme du sel ou du poivre à un plat, selon que l'auteur de la question les souhaite ou non.
Cependant, être étonné n'est pas la même chose qu'être satisfait. Se pourrait-il que les écrivains soient un jour aussi redondants que, disons, les charrons ou les crieurs publics ? Et puis, pensant à la question du point de vue purement égoïste, que ferais-je à la place ? Pour l'instant je peux me consoler qu'aucun simple ordinateur ne puisse égaler mon style, mais nous n'en sommes encore qu'aux balbutiements de l'intelligence artificielle.
La redondance ne sera pas le destin des seuls écrivains : les peintres, les chanteurs d'opéra, les pianistes, les médecins, en fait tout le monde, seront licenciés, comme l'avait prédit Isaac Asimov. Il ne nous restera plus qu'à nous distraire du mieux que nous pourrons ; mais quand la distraction devient toute l'affaire de la vie, il en résulte un ennui d'un genre particulier.
J'ai longtemps pensé que le divertissement, ou plutôt l'omniprésence du divertissement, est l'une des plus grandes causes d'ennui dans le monde moderne. Et l'ennui est lui-même un état d'esprit largement sous-estimé dans la production de l'inconduite humaine et donc de la misère.
La raison pour laquelle une trop grande proportion de divertissement dans la vie d'une personne conduit à l'ennui (bien qu'il ne soit pas toujours facile de décider si la poule de l'ennui vient avant l'œuf du divertissement) est que la réalité peut rarement se compléter avec elle pour une stimulation et une excitation brutes. . La réalité, le monde réel, évolue très lentement par rapport au monde tel qu'il est décrit dans le divertissement, mais les gens doivent encore pour le moment entrer dans le monde réel de temps en temps ; ils ne peuvent pas mener des vies entièrement virtuelles.
Lorsqu'ils entrent dans le monde réel, ils le trouvent donc ennuyeux et ennuyeux par rapport à leurs divertissements ; il faut de la discipline mentale et de l'entraînement pour trouver le vrai monde d'intérêt à une époque de distraction.
Mes patients me demandaient souvent comment ils pouvaient se retrouver, toujours dans l'hypothèse que ce qu'il y avait à y trouver ressemblait au Cullinan Diamond, c'est-à-dire d'une valeur inestimable ; à quoi je répondis qu'il était beaucoup plus important pour eux de pouvoir se perdre, c'est-à-dire se perdre dans un intérêt actif qui occupait leur esprit. Le problème avec mon sage conseil était que je ne pouvais jamais trouver de réponse à la question qu'ils posaient, assez naturellement après avoir donné le conseil, à savoir "Comment puis-je faire cela ?"
Si quelqu'un est arrivé à l'âge adulte sans avoir développé le genre d'intérêt que je conseillais, peut-il alors le développer sur ordonnance, parce qu'il pense que cela lui ferait du bien ? Il y a ici une légère analogie avec la foi religieuse : c'est très bien de dire, comme beaucoup le font, que la croyance religieuse est consolatrice et a des effets bénéfiques à la fois individuellement et socialement, mais si vous ne pouvez pas donner votre assentiment à ses doctrines, ces avantages sont tous à côté. le point. La religion observée uniquement pour ses bienfaits psychologiques ou sociaux et non pour ses vérités ne peut survivre très longtemps. Ses avantages reposent sur la conviction que ses doctrines sont vraies.
Ici, il est temps de prendre connaissance de ce que l'intelligence artificielle dit de moi : ses opinions [c'est-à-dire mes] peuvent être considérées comme simplistes et manquant de nuances.
Quand, cependant, je change le mot « critique » de mon travail en « forces », je lis « Il est connu pour son style d'écriture clair et engageant… et a un large éventail d'intérêts [qui] lui donne une perspective unique. »
Pour l'instant, il faut l'intelligence humaine, et j'espère qu'elle le fera toujours, pour décider laquelle de ces évaluations est la plus pertinente.
Le dernier livre de Theodore Dalrymple est Ramses: A Memoir, publié par New English Review.
(...) (bien qu'il ne soit pas toujours facile de décider si la poule de l'ennui vient avant l'œuf du divertissement) (...)
Info comme étant redondante, 'entre la poule et l’œuf qui est arrivé en premier ?'
Perso, je dirai (c'est perso !) que le premier était le coq. Because que toutes les poules font des œufs même sans jamais avoir rencontré de coq et que cet œuf peut être couvé durant 110 ans il n'éclora jamais un poussin si le coq n'était présent.
Donc, s'il y a œuf il n'y a pas forcément de poule (ou de coq).
Cette dynamique - qui aggrave les problèmes en forçant plus de tout ce qui fonctionnait à l'époque précédente dans une nouvelle ère saturée et de plus en plus instable - reçoit peu d'attention ou de compréhension.
Les époques peuvent durer des décennies, et seuls ceux qui ont vécu assez longtemps pour se souvenir des époques précédentes ont connu la transition d'une époque à l'autre. L'ère de la financiarisation, de la mondialisation et du pétrole/gaz naturel bon marché et abondant a commencé il y a plus de 40 ans en 1981.
L'ère des technologies numériques / Internet a pris son envol il y a environ 30 ans. Toutes ces dynamiques se sont accélérées au début des années 2000, il y a environ 20 ans.
Seuls les 60 ans et plus ont travaillé à une époque antérieure (avant 1981).
Toutes ces dynamiques entrent dans une phase de turbulence non linéaire, car les changements dépassent la capacité d'auto-correction de ces systèmes hautement simplifiés / optimisés.
Cette instabilité non linéaire est accélérée en faisant plus de ce qui a fonctionné à l'ère précédente, dans la croyance erronée que les années 2020 ne sont qu'une extension des époques qui ont commencé il y a 40 et 30 ans.
Les correctifs qui ont fonctionné dans le passé ne résoudront pas l'instabilité non linéaire car toutes ces dynamiques ont atteint la saturation : ajouter plus de dette ne génère plus d'expansion organique de la productivité, cela ne fait que gonfler une bulle crédit-actif encore plus grande et plus instable.
La mondialisation a été optimisée jusqu'au point de saturation : les inconvénients potentiels pour la sécurité nationale l'emportent sur les gains marginaux restants dans la rentabilité des entreprises.
La financiarisation a tellement déformé l'économie que le pari sur des spéculations inutiles est désormais considéré comme le meilleur (ou le seul) moyen d'avancer.
Lorsqu'un système a absorbé tout ce qu'il peut absorber, en ajouter davantage n'est qu'un gaspillage de ressources.
Nous sommes entrés dans une nouvelle ère, et donc les correctifs et les incitations qui ont fonctionné au cours des 40 dernières années ne fonctionnent plus.
L'idée que les 30 dernières années n'étaient pas une ère permanente mais une anomalie qui touche à sa fin ne convient pas à tous ceux qui n'ont connu que les "30 glorieuses" années d'énergie bon marché, d'actifs en plein essor et de prix en baisse en raison de l'hyper-mondialisation et l'hyper-financiarisation.
L'idée que cette nouvelle ère puisse évoluer de manière imprévisible est également un anathème pour une culture et une économie technocratiques qui se targuent de tout prévoir et de tout contrôler avec du crédit et de l'argent.
Les 40 dernières années d'abondance matérielle ont nourri la conviction que la solution à toute pénurie est de créer plus d'argent, car une partie de ce nouvel argent servira inévitablement à éliminer la rareté.
L'idée que certaines pénuries ne peuvent pas être résolues en créant plus d'argent ne tient pas.
Il peut s'avérer que toutes les leçons que nous avons apprises au cours des 40 dernières années seront non seulement inutiles dans cette nouvelle ère, mais aussi désastreusement contre-productives.
Leur succès sans précédent pendant des décennies peut nous aveugler sur le pouvoir des solutions précédentes d'aggraver nos problèmes qu'ils ne l'auraient été si nous avions reconnu la nouvelle ère pour ce qu'elle est plutôt que de voir l'avenir comme une extension transparente de l'ère précédente.
Cette dynamique - qui aggrave les problèmes en forçant plus de tout ce qui fonctionnait à l'époque précédente dans une nouvelle ère saturée et de plus en plus instable - reçoit peu d'attention ou de compréhension.
Cette dynamique nous aide à comprendre pourquoi des systèmes qui semblaient permanents et éternels peuvent se déstabiliser et s'effondrer à une vitesse étonnante.
Nous pensions y remédier en faisant davantage ce qui fonctionnait par le passé, mais nous accélérions en fait les turbulences et la déstabilisation.
Nous avons du mal à abandonner l'idée que le passé récent est un guide précis pour l'avenir. Dans les ères stables, c'est généralement le cas, mais pas lorsqu'une ère se termine et qu'une nouvelle commence.
Le grain de blé (comme toutes autres herbes) germe et pousse gratuitement depuis des millions d'années. Son prix est défini par sa rareté ainsi qu'à son travail pour tenir la plante arrosée et amendée et pour le couper pour en extraire de la farine. Oui mais voilà que sont arrivées les machines ! Et, ces dernières peuvent travailler 24/24 h et 7/7 j sans demander salaire sinon énergie. Donc: le prix du grain devrait être inférieur à ce qu'il était au temps des faucheurs de blé. Mais voilà qu'est arrivée l'Inflation. Qu'est-ce ? L'inflation est la baisse de la valeur d'une monnaie (dont le champs de blé s'en fout royalement !). Nous avons donc là 2 sujets: le grain de blé et son prix affiché.
Une vache va paître et ne demande jamais son prix au brin d'herbe. Inflation zéro.
Là arrive sa valeur marchande vis-à-vis des coûts de l'énergie, de l'amortissement de la machine à couper (moissonneuse-batteuse) ainsi que le paiement de l'employé conducteur à quoi faut-il ajouter un impôt foncier sur les terres achetées et qui appartiendraient toujours à l’État et plus encore aux coûts d'arrosage avec de l'eau gratuite mais qui est taxée ! (plus les frais de stockage et de transport + distribution).
On sent là qu'il y a manigance et escroquerie qui vont de pair.
2022… L'année qui a marqué la fin de l'hégémonie américaine
Culture stratégique 2 janvier 2023
La guerre en Ukraine a dominé l'année écoulée. D'autres crises mondiales liées à la flambée des prix de l'énergie et des denrées alimentaires sont des dommages collatéraux du conflit en Ukraine.
Le conflit n'est pas simplement un conflit localisé au centre de l'Europe aux portes de la Russie impliquant un régime réactionnaire anti-russe à Kiev. Le conflit représente une confrontation historique entre les États-Unis et leurs alliés dans l'alliance militaire de l'OTAN qu'ils dirigent, et la Russie. La confrontation a été longue à venir.
Cela n'avait pas à se produire de cette manière violente et atroce.
La Russie avait depuis longtemps averti les États-Unis et ses partenaires de l'OTAN que l'expansion de l'alliance vers les frontières de la Russie constituait une menace stratégique inacceptable pour la sécurité. Les avertissements de Moscou sont restés lettre morte année après année.
Il y a près d'un an, la Russie a proposé une voie diplomatique ultime pour éviter les conflits en appelant à un traité de sécurité global, basé sur le principe précédemment accepté de « sécurité indivisible ». Cette initiative diplomatique a été rejetée du revers de la main par Washington et ses alliés européens.
Moscou avait averti à plusieurs reprises qu'il n'accepterait pas la poursuite de la militarisation du régime néonazi de Kiev. Huit ans de guerre de faible intensité contre les russophones dans l'ancien sud-est de l'Ukraine devaient cesser. La militarisation de l'Ukraine par l'OTAN et son adhésion vantée à l'alliance étaient la ligne rouge de la Russie. Ce sont les États-Unis et leurs partenaires de l'OTAN qui ont choisi de franchir cette ligne. Dans ce cas, le président russe Vladimir Poutine s'est engagé à prendre des mesures militaro-techniques. Le démantèlement militaire du régime de Kiev qui a commencé le 24 février en a été le résultat.
Ce qui s'est passé est une quasi-guerre entre l'OTAN et la Russie. L'Ukraine a été inondée d'arsenaux de l'OTAN. Des attentats sont perpétrés au plus profond de la Russie et les politiciens et experts occidentaux parlent imprudemment et grossièrement d'assassiner les dirigeants russes et de faire pression pour un changement de régime à Moscou.
Il est clair que l'Ukraine a été l'occasion de déclencher des plans impériaux de longue date des États-Unis pour attaquer la Russie. La richesse naturelle de la Russie est un prix convoité pour les ambitions d'hégémonie mondiale de Washington. La guerre en Ukraine a apporté des gains partiels à Washington. L'Europe est plus que jamais soumise à la tutelle américaine. La vente de gaz et d'armes à l'Europe a profité à l'économie capitaliste chancelante des États-Unis. Les Russes ont été tenus à l'écart, les Américains à l'intérieur et les Allemands (les Européens) à terre, comme les fondateurs de l'OTAN l'envisageaient peu après la Seconde Guerre mondiale.
Les relations géopolitiques entre les États-Unis/l'Occident et l'Union soviétique/la Russie ont longtemps été ponctuées d'épisodes de détente, comme l'a noté le regretté érudit respecté Stephen F Cohen dans son dernier livre, War With Russia?
Dans les années 1930, il y a eu une détente après que les États-Unis ont finalement accepté de reconnaître la souveraineté de l'Union soviétique. Cette détente a produit une alliance opportune afin de vaincre l'Allemagne nazie. Mais dès que le Troisième Reich a été vaincu, les États-Unis et leur allié britannique sont rapidement passés à une nouvelle ère d'hostilité connue sous le nom de guerre froide.
La détente a repris sous la présidence de John F Kennedy dans les années 1960 en raison de la crainte d'une destruction mutuellement assurée par la guerre nucléaire. Plusieurs traités historiques de maîtrise des armements ont été négociés au cours des décennies suivantes.
Cependant, suite à l'effondrement de l'Union soviétique en 1991, les États-Unis ont rapidement adopté un nouveau fanfaron impérial et un mépris pour la Fédération de Russie. La notion arrogante de superpuissance unique et de domination totale s'est imposée.
Malgré les promesses antérieures, les États-Unis et leur véhicule de l'OTAN pour la puissance militaire américaine ont empiété sans relâche sur les frontières de la Russie, doublant plus que le nombre de leurs membres sur une période de 30 ans. Les exercices de guerre visant la Russie et les nouvelles installations de missiles à travers l'Europe, la déchirure des traités de contrôle des armements et le recrutement délibéré d'anciennes républiques soviétiques étaient tous des signes d'une chose : la Russie devait être conquise d'une manière que l'Allemagne nazie des décennies précédentes pouvait pas atteindre.
Le modèle de détente intermittente des États-Unis envers Moscou a toujours été un jeu cynique d'opportunisme. Après la prétendue fin de la guerre froide, Washington a adopté le point de vue systémique selon lequel la Russie n'était plus une puissance qui devait être respectée. C'était une cible à subjuguer.
Mais il y avait un problème. La Russie a refusé de se remettre en conformité. Moscou a affirmé ses intérêts stratégiques de sécurité et a refusé de céder aux ambitions américaines. L'intervention militaire de la Russie à la fin de 2015 pour défendre son allié syrien d'une guerre de changement de régime menée par les États-Unis en utilisant des mandataires terroristes était une démonstration audacieuse.
Il fut un temps où Moscou recherchait sincèrement la diplomatie pour résoudre les hostilités. Mais la prise de conscience est maintenant que les ambitions de domination mondiale à somme nulle de Washington sont implacables et insatiables. Washington et les médias vaniteux américains sont doués pour le narcissisme et les prétentions de vertu. Lorsqu'ils parlent d'"ordre mondial fondé sur des règles", ils signifient en réalité une domination totale sous l'hégémonie américaine, toujours présomptueusement bénigne.
Le résultat est soit que vous êtes un vassal pour servir les intérêts impériaux américains ou un ennemi à cibler avec agression et finalement destruction.
L'insistance de la Russie à défendre ses intérêts stratégiques a exposé le visage laid de la puissance américaine sous le masque génial. Ce n'est pas seulement la fin d'une année, c'est la fin d'un siècle de fanfaronnade impériale américaine présumée. Les prétentions de la puissance américaine bien-pensante ont été exposées. La demande de Washington au reste du monde est l'assujettissement. Il en a toujours été ainsi mais sous une forme latente.
La nature néfaste de la puissance américaine est maintenant clairement visible dans sa brutalité nue des relations de plus en plus maniaques avec la Russie et la Chine.
La ligne russe dans le sable au-dessus de l'Ukraine a révélé la violence qui sous-tend la puissance américaine. Ce pouvoir est insoutenable et inacceptable dans un monde soi-disant fondé sur la Charte des Nations Unies. Le conflit en Ukraine est un carrefour. Soit un monde multipolaire émerge sur la base du droit international et de relations équitables, comme l'envisagent les Nations Unies au milieu des cendres de la Seconde Guerre mondiale, soit le monde est condamné à l'embrasement à cause de l'hégémonie impérialiste à somme nulle de Washington.
La Russie, la Chine et un nombre croissant de nations appellent à un monde multipolaire de parité dans les relations fondées sur le droit international. Les États-Unis sont exposés plus que jamais en tant que puissance suprémaciste en puissance abritant des notions illusoires de prérogatives exceptionnelles. Les États-Unis, dans les conditions politiques qui prévalent, sont incapables et réticents à se conformer à un monde multipolaire. Un tel monde de relations pacifiques est fondamentalement un anathème pour Washington. Par conséquent, son bilan belliciste est à lui seul par rapport à toute autre nation de l'histoire.
La position de la Russie en Ukraine a révélé le belliciste mondial. Et cette position de défi marque la fin de l'hégémonie présumée des États-Unis.
Jamais dans l'histoire des nations un chef d’État n'a bombardé sont propre Peuple parce qu'il n'avait pas voté pour lui. Et pourtant, le dictateur de Kiev l'a fait ! L'a fait durant... durant huit (8 !) ans SANS QUE LA PRESSE INTERNATIONALE OU CHEFS D’ÉTATS NE S'EN ÉMEUVENT !!
C'est alors qu'un pays au grand cœur décida de se porter secours à ce Peuple victime des nazis. Il n'en fallait pas plus pour que d'autres nazis s'en offusquent et déclarent la guerre au pays salvateur afin d'y entreposer des armes de guerre au plus près de ses frontières !
Le “Maître du Globe” nous apporte les bombes nucléaires
Par Manlio Dinucci Mondialisation.ca, 31 décembre 2022
Les États-Unis -comme annoncé le mois dernier*- ont commencé en décembre à envoyer en Italie et autres pays européens les nouvelles bombes nucléaires B61-12. Le confirme un document officiel du Département de la US Air Force. Il établit “les normes de sécurité pour les opérations des avions C-17 qui transportent des armes B61-12 dans l’aire de responsabilité du Commandement Européen des États-Unis”. Cette aire, dans la géographie du Pentagone, comprend non seulement l’Europe mais toute la Fédération Russe.
Le document spécifie quelles armes nucléaires sont transportées avec les C-17 Globemaster, les plus grands avions USA de transport militaire. Ils apportent des États-Unis en Europe les bombes qu’elles remplacent : les B61-3, B61-4 et B61-7. Une seule B61-12 a en effet quatre options de puissance selon l’objectif à toucher. Les C-17 Globemaster -spécifie encore le document- transportent aussi d’autres armes nucléaires : B61-11, W78 W80-1, B83-1, W87-0.
Les normes de sécurité listées dans le document confirment la dangerosité des opérations de chargement, transport et déchargement des armes nucléaires. Il peut y avoir “la probabilité d’incendie d’un avion avec des armes nucléaires à bord” et une défaillance de l’avion pendant qu’il est en vol contraignant à “un atterrissage d’urgence” ou au “largage d’une arme nucléaire”.
Le déploiement sur notre territoire national des nouvelles bombes nucléaires USA -armes de première frappe (first strike) avec guidage de précision et capacités anti-bunker, dont sont dotés surtout les chasseurs F-35- expose l’Italie en première ligne dans la toujours plus périlleuse confrontation entre OTAN et Russie. Ce faisant l’Italie viole le Traité de Non-Prolifération des Armes Nucléaires, ratifié en 1975, qui stipule : “Chaque État militairement non-nucléaire s’engage à ne pas recevoir de quiconque des armes nucléaires, directement ou indirectement”.
L’émission se termine avec une interview de l’historien Franco Cardini sur le silence du gouvernement et du parlement italiens et sur la phase historique que nous vivons.
Voir Grandangolo du 4 novembre https://www.byoblu.com/2022/11/04/sotto-lalbero-di-natalela-nuova-bomba-nucleare-usa-b61-12-grandangolo-pangea/
Bref résumé de la revue de presse internationale Grandangolo
de vendredi 30 décembre 2022 à 20h30 sur la chaine italienne Byoblu
La Russie et l’Iran ouvrent une route commerciale annonciatrice d’un bloc
Par M. K. Bhadrakumar Mondialisation.ca, 30 décembre 2022
Suite à la guerre en Ukraine, la mer d’Azov devient une mer intérieure pour la Russie, encadrée par la péninsule de Crimée et l’embouchure du Don. Les réseaux maritimes et ferroviaires de la région s’étendent jusqu’aux plateformes iraniennes de la mer Caspienne et débouchent finalement sur l’océan Indien. Un article de fond paru dans Bloomberg la semaine dernière, intitulé « La Russie et l’Iran construisent une route commerciale qui défie les sanctions », met en avant ce projet « déjouant les sanctions » dans la région.
Le mois dernier, la Mehr News Agency a rapporté qu’une première cargaison de 12 millions de tonnes de céréales russes à destination de l’Inde avait déjà transité par l’Iran. L’heure est venue pour le corridor commercial intérieur connu sous le nom de corridor international de transport Nord-Sud ou INSTC, qui a été lancé en 2000 pour relier la mer Baltique à l’océan Indien.
Ironiquement, les « sanctions infernales » de l’Occident contre Moscou ont donné vie à l’INSTC. Moscou finalise actuellement les règles qui donneraient aux navires en provenance d’Iran le droit de passage sur les voies navigables intérieures de la Volga et du Don !
L’INSTC a été conçu comme un réseau de transport multimodal de 7200 km de long comprenant des voies maritimes, routières et ferroviaires pour transporter des marchandises entre la Russie, l’Asie centrale et les régions caspiennes, l’Iran et l’Inde. À la base, il s’agit d’un projet russo-iranien qui vise à contrer la militarisation des sanctions par l’Occident.
Mais leurs intérêts convergents ne s’arrêtent pas là. Les sanctions occidentales les incitent à chercher à développer leurs économies de manière optimale. La Russie et l’Iran se tournent vers le marché asiatique et, ce faisant, forment un nouveau bloc commercial totalement dépourvu de présence occidentale. « L’objectif est de protéger les liens commerciaux de l’ingérence occidentale et d’en établir de nouveaux avec les économies géantes et à croissance rapide de l’Asie », note Bloomberg.
S’adressant à un groupe de rédacteurs en chef russes de haut niveau lundi à Moscou, le ministre des Affaires étrangères, Lavrov, a déclaré : « Soyez assurés que, dans un avenir proche, nous verrons une sérieuse diminution de la capacité de l’Occident à « diriger » l’économie mondiale comme il l’entend. Qu’il le veuille ou non, il devra s’asseoir et discuter ». C’est là le nœud du problème – obliger les puissances occidentales à négocier.
À court terme, le décollage de l’INSTC dépendra de quelques grands projets. Lundi, le vice-Premier ministre russe Alexander Novak a parlé d’un réseau énergétique impliquant la Russie, l’Iran, l’Asie centrale et la région de l’Asie du Sud.
Novak a déclaré :
« Un afflux constant de devises nationales donne confiance au marché. Au début de l’année, nous avons été confrontés à une situation où l’on ne savait pas très bien quoi faire de ces monnaies. Actuellement, elles sont échangées en bourse et assurent un roulement mutuel des échanges… Si au début de l’année, ce volant d’inertie oscillait très fort, en quelques mois, il s’est banalisé et nous avons commencé à échanger régulièrement des monnaies nationales ».
La dédollarisation est un des fondements de l’INSTC. C’est une chose.
Deuxièmement, Novak a révélé que la Russie et l’Iran pourraient conclure un accord sur l’échange de fournitures de pétrole et de gaz d’ici la fin de l’année. Comme il l’a dit, « si nous parlons de perspective, cela inclut les exportations de gaz vers l’Afghanistan, le Pakistan – soit en utilisant les projets d’infrastructure d’Asie centrale, soit par le biais d’un échange à partir du territoire de l’Iran. C’est-à-dire que nous recevrons leur gaz dans le sud du pays [Iran], et en échange nous fournirons du gaz dans le nord pour les consommateurs iraniens ».
Novak a ajouté : « Nous prévoyons environ 5 millions de tonnes [de pétrole] par an et jusqu’à 10 milliards de mètres cubes [de gaz] dans un premier temps ». Le Pakistan est intéressé par l’approvisionnement en gaz russe. Novak a fait référence à l’accord conclu par la Russie avec l’Azerbaïdjan, qui doit augmenter ses approvisionnements en gaz, et « lorsqu’ils augmenteront leur production de gaz, nous pourrons discuter des échanges ».
Le Pakistan a un avantage inhérent, car tous les pays participants de l’INSTC, à l’exception de l’Inde, se trouvent être également membres de l’Initiative Ceinture et Route chinoise. À un moment donné, les deux ports iraniens désignés dans l’INSTC – Bandar Abbas et Chabahar – seront probablement reliés au port de Gwadar, qui est la porte d’entrée du corridor économique Chine-Pakistan (CPEC) menant au Xinjiang, et un élément important de la BRI.
Il est clair que l’INSTC donnera naissance à un réseau de corridors économiques internationaux. L’Iran est destiné à devenir le centre d’intérêts stratégiques convergents avec des dimensions économiques importantes qui détermineront de nouvelles alliances et auront un impact sur la géopolitique de l’Asie du Sud et de l’Ouest au XXIe siècle.
Les États-Unis ont mené une guerre de l’information pour démolir le CPEC et alimenter les sentiments anti-chinois dans l’opinion publique pakistanaise. Mais c’est une tentative désespérée de dénigrer l’INSTC en tant que projet géopolitique et il est peu pratique de menacer les États régionaux de s’associer à ce qui est une route commerciale intercontinentale qui n’est pas la franchise d’un seul pays. Après tout, comment sanctionner un bloc commercial ?
Les faits parlent d’eux-mêmes. Les essais effectués par l’INSTC pour transporter des conteneurs de Mumbai à Saint-Pétersbourg en utilisant le corridor commercial ont permis de réduire le délai de livraison des cargaisons de 45 jours à 25 jours à des tarifs 30% moins chers qu’en passant par le canal de Suez, ce qui justifie les espoirs d’une meilleure connectivité et l’utilité du corridor. Il est clair que le potentiel commercial de l’INSTC est immense.
Cependant, la Russie et l’Iran sont déterminés à se découpler de l’Occident. Lavrov a déclaré lundi : « Nous ne pouvons plus compter sur ces gens. Ni notre peuple ni l’histoire ne nous le pardonneront si nous le faisons… nous avons trop ouvertement et naïvement mis notre foi dans les assurances que nous avons entendues au début des années 1990 au sujet d’une maison européenne commune et de la nécessité d’une division internationale du travail qui s’appuierait sur les meilleures performances et les avantages compétitifs de chaque pays, de sorte qu’en rassemblant nos efforts et en économisant nos ressources, nous serions en mesure d’obtenir les résultats les meilleurs et les plus rentables. Tout cela n’était que des paroles en l’air ».
L’Iran et l’Union économique eurasiatique [comprenant la Russie, la Biélorussie, le Kazakhstan et le Kirghizstan] auraient finalisé les termes d’un accord de libre-échange portant sur plus de 7500 types de produits. Un marché de 700 milliards de dollars s’ouvre aux produits et services iraniens dès la prochaine année iranienne [à partir du 21 mars 2023].
L’accord de libre-échange encourage la libre circulation des biens et des services et prévoit des politiques communes dans le domaine macroéconomique, des transports, de l’industrie et de l’agriculture, de l’énergie, du commerce et des investissements étrangers, des douanes, de la réglementation technique, de la concurrence et de la réglementation antitrust. Ce sera un changement de donne pour l’INSTC, qui transformera la dynamique du pouvoir dans la vaste masse continentale eurasienne et dans la région du Golfe. L’INSTC représente un axe stratégique entre la Russie et l’Iran, construit autour d’une route commerciale annonçant un bloc commercial non occidental d’États régionaux en roue libre ayant des intérêts communs dans la résistance à l’hégémonie occidentale.
Vous n'avez pas besoin d'être un théoricien du complot pour vous inquiéter du Forum économique mondial
PAR TYLER DURDEN LUNDI 02 JANVIER 2023 - 16:30 Écrit par Toby Young via The Daily Sceptic,
Samuel Greg, Distinguished Fellow en économie politique à l'American Institute for Economic Research et auteur, plus récemment, de The Next American Economy: Nation, State, and Markets in an Uncertain World, a écrit un bon article pour le Spectator sur le WEF à la veille de Davos 2023.
Il soutient que si vous vous souciez de la liberté, de la démocratie et de l'autodétermination nationale, il est parfaitement rationnel de s'inquiéter de l'influence de Klaus Schwab et de ses partisans. Non pas parce qu'ils sont les marionnettistes contrôlant les politiciens à travers l'Occident, mais parce que leurs idées imprègnent les échelons supérieurs de l'élite mondiale. En particulier, la croyance de Schwab dans la forme de gouvernement technocratique descendante illustrée par l'UE.
Il n'exerce aucun pouvoir politique formel et ne peut obliger personne à faire quoi que ce soit. Néanmoins, depuis sa fondation en 1971, le WEF est devenu une organisation qui incarne la confiance suprême dans l'impératif d'un type particulier de personne dirigeant le monde du haut vers le bas. Dans son célèbre essai de 2004 intitulé «Dead Souls», le politologue Samuel P. Huntington a appelé ce prototype «Davos Man».
Surnom astucieux dont ni Schwab ni le WEF n'ont jamais réussi à se débarrasser, Davos Man était la description abrégée de Huntington des "universitaires, fonctionnaires internationaux et cadres d'entreprises mondiales, ainsi que des entrepreneurs de haute technologie prospères" qui pensaient de la même manière et avaient tendance à considérer les loyautés et les frontières nationales « comme des résidus du passé ». Davos Man a également regardé avec un dédain non dissimulé, a suggéré Huntington, ceux qui ne comprenaient pas le programme – quel que soit le contenu du programme.
C'est là que réside le problème le plus profond avec le WEF. C'est une chose que les gens se réunissent dans des contextes internationaux pour discuter de problèmes, partager des idées et réseauter. Les chefs d'entreprise, les politiciens et les types d'ONG le font tout le temps.
C'en est une autre pour une organisation comme le WEF de décider que le moment est venu de réorganiser le monde du haut vers le bas et de refaire la planète à l'image corporatiste. L'idéal que vise Schwab, à en juger par ses discours et ses écrits, s'apparente à une UE mondialisée, avec ses voies bureaucratiques supranationales et enracinées transposées au niveau international, et les leviers du pouvoir entre les mains d'hommes de confiance de Davos et les femmes.
En bref, il est facile de caricaturer le WEF et Schwab comme quelque chose qui ressemble au Spectre fictif d'Ian Fleming et à son cerveau criminel Ernst Stavro Blofeld. Pourtant, le programme actuellement poursuivi dans des contextes tels que Davos est suffisamment alarmant pour que quiconque croit en la préservation de choses comme la liberté, la souveraineté et la décentralisation du pouvoir soit concerné.
Robert Malone a une vision plus salée de l'agenda actuel du WEF sur sa sous-pile, en particulier non. 4 sur la liste des priorités du WEF : « Se préparer à la prochaine pandémie nécessite de mettre fin aux disparités en matière de santé.
Cela rappelle inconfortablement la nouvelle idéologie toxique dont j'ai parlé hier, qui combine l'aversion extrême au risque - aux pandémies, au changement climatique, aux discours de haine, etc. - avec "l'équité", ce qui signifie un engagement à protéger les groupes "vulnérables", par ex. les minorités ethniques et la communauté LGBTQ+.
Ainsi, l'argument pour, disons, maintenir les mandats de masque en place pour toujours ressemblerait à ceci : les maladies virales aéroportées ont un effet négatif disproportionné sur les personnes marginalisées parce qu'elles ont moins accès aux soins de santé, donc les gouvernements ont le devoir moral d'imposer des mandats de masques.
Top Heavy : Visualiser la part de chaque pays dans l'économie mondiale
PAR TYLER DURDEN LUNDI 02 JANVIER 2023 - 04:30
Alors que 2022 touche à sa fin, nous pouvons récapituler de nombreux jalons historiques de l'année, comme la population de la Terre atteignant 8 milliards et l'économie mondiale dépassant les 100 000 milliards de dollars.
Dans ce graphique, Avery Koop de Visual Capitalist visualise le PIB mondial à l'aide des données du FMI, présentant les plus grandes économies et la part de l'activité économique mondiale qu'elles représentent.
Le produit intérieur brut (PIB) est un indicateur général de l'activité économique d'un pays. Il mesure la valeur totale de la production économique (biens et services) produite dans un laps de temps donné par les secteurs privé et public.
- voir graph sur site -
Les poids lourds du PIB
L'économie mondiale peut être considérée comme un gâteau, la taille de chaque tranche représentant la part du PIB mondial apportée par chaque pays. Actuellement, les plus grosses parts du gâteau sont détenues par les États-Unis, la Chine, le Japon, l'Allemagne et l'Inde, qui représentent ensemble plus de la moitié du PIB mondial.
Voici un aperçu de la part du Top 10 des pays dans l'économie mondiale de 101,6 billions de dollars :
- voir liste sur site -
Cinq pays seulement représentent plus de la moitié du PIB mondial en 2022 : les États-Unis, la Chine, le Japon, l'Inde et l'Allemagne. Fait intéressant, l'Inde a remplacé le Royaume-Uni cette année parmi les cinq premières économies.
En ajoutant cinq autres pays (les 10 premiers) représentent 66 % de l'économie mondiale, et les 25 premiers pays représentent 84 % du PIB mondial.
Les plus petites économies du monde
Le reste du monde — les 167 nations restantes — représente 16 % du PIB mondial. Bon nombre des plus petites économies sont des îles situées en Océanie.
Voici un aperçu des 20 plus petites économies du monde :
- voir liste sur site -
Tuvalu a le plus petit PIB de tous les pays avec seulement 64 millions de dollars. Tuvalu est l'un des douze pays dont le PIB est inférieur à un milliard de dollars.
L'économie mondiale en 2023
À l'approche de 2023, il y a beaucoup d'incertitude économique. De nombreux experts anticipent une brève récession, même si les avis divergent sur la définition de « brève ».
Certains experts pensent que la Chine inversera la tendance au ralentissement économique. Si cette prédiction se réalise, le pays pourrait posséder une part encore plus importante du gâteau du PIB mondial dans un avenir proche.
Après l'arrivée de 100 000 migrants en 2022, l'Italie s'apprête à agir contre les ferries des ONG
PAR TYLER DURDEN LUNDI 02 JANVIER 2023 - 13:35 Écrit par Olivier Bault via Remix News,
Le gouvernement de Meloni obligera bientôt les navires des ONG battant pavillon de pays comme la France, l'Allemagne et la Norvège à accepter les migrants qu'ils ramassent en mer Méditerranée
Le seuil de 100 000 migrants illégaux arrivés par la mer en Italie cette année a été franchi le 21 décembre, et ce nombre n'est pas seulement une étape symbolique, mais sert également d'appel à l'action pour le gouvernement conservateur italien.
Le chiffre de 100 000 peut être comparé aux 64 055 à la même date il y a un an et aux 33 867 arrivées par la mer en 2020. Le nombre de cette année est le plus élevé depuis 2017, l'année où le gouvernement de gauche de Matteo Renzi a finalement décidé de bloquer contre le travail des ONG consistant à transférer des immigrants illégaux vers l'Europe par le biais d'une coopération passive et parfois active avec les passeurs, en introduisant des règles plus strictes sur la manière dont les navires des ONG étaient autorisés à opérer en mer Méditerranée.
Le gouvernement de Meloni se prépare à agir
À partir de l'année prochaine, cependant, le gouvernement de Giorgia Meloni introduira des règles plus strictes pour les bateaux des ONG opérant en mer Méditerranée afin de les empêcher de coordonner leurs activités avec des passeurs et de rechercher des immigrants potentiels près de la côte libyenne.
Le conseil des ministres italien devait approuver le 28 décembre un projet de décret de sécurité qui comprendra un nouveau code de conduite pour ces ONG et accélérera le traitement des demandes d'asile.
L'un des grands changements que le nouveau gouvernement de droite à Rome prévoit d'introduire est que les migrants embarqués à bord d'un bateau d'ONG dans le cadre d'une prétendue opération de recherche et de sauvetage devront déclarer s'ils ont l'intention de déposer une demande d'asile une fois en Europe . Si tel est le cas, le pays sous pavillon duquel navigue un navire donné sera tenu d'accueillir les demandeurs d'asile et de traiter leurs demandes.
Le nouveau changement de politique pourrait donner aux gouvernements d'Allemagne, de France et d'autres pays des doutes sur le financement des bateaux de migrants opérant en Méditerranée s'ils sont obligés d'accueillir ces migrants.
Un deuxième changement majeur est qu'après une opération de recherche et de sauvetage, un navire d'une ONG devra immédiatement demander un port sûr pour débarquer les migrants secourus et devra naviguer vers son port désigné, sans attendre des jours avant d'avoir d'autres opportunités pour "sauver" les migrants.
Il s'agit de mettre un terme à la pratique de la recherche systématique de candidats à l'immigration clandestine, parfois en coordination avec des passeurs, au lieu de mener de véritables opérations de recherche et de sauvetage.
Les ONG qui violeront les nouvelles règles feront face à des sanctions administratives et pourront éventuellement voir leurs navires saisis par les autorités italiennes en cas de violations répétées.
La deuxième partie du nouveau «décret de sécurité», qui devra ensuite être approuvé par le parlement italien pour devenir loi et rester en vigueur, prévoira un traitement rapide des demandes d'asile et des procédures de rapatriement plus efficaces pour ceux dont les demandes sont rejetées.
La grande majorité sont des migrants économiques
En 2016, 181 436 immigrés illégaux sont entrés en Italie. Grâce aux nouvelles règles introduites par le ministre de l'Intérieur Marco Minniti à l'été 2017 et à un mémorandum de coopération qui a ensuite été signé avec le gouvernement libyen à Tripoli, le nombre est tombé cette année-là à 119 310.
Le nombre le plus bas – et le nombre de morts le plus bas également – a été atteint en 2019 après plus d'un an avec Matteo Salvini en tant que ministre de l'Intérieur italien, avec "seulement" 19 471 arrivées de migrants par voie maritime. Cependant, ce nombre comprenait une augmentation significative observée de septembre à décembre, lorsque la Ligue de Salvini a été remplacée par le Parti démocrate de centre-gauche en tant que partenaire de coalition du Mouvement 5 étoiles sous le Premier ministre Giuseppe Conte.
À l'instar de ce qui a été observé les années précédentes, la plupart des migrants qui ont traversé la mer Méditerranée sur de petits bateaux de pêche ou de plus gros navires gérés par des ONG européennes cette année n'ont pas échappé à la guerre. Sur les 100 000 arrivés du 1er janvier au 21 décembre, quelque 86 000 venaient de pays en paix. Parmi eux, plus de 20 000 venaient d'Egypte et près de 18 000 de Tunisie. Le Bangladesh est arrivé en troisième position avec plus de 14 000 de ses citoyens parmi ceux qui ont atteint l'Italie par la mer Méditerranée cette année.
Aucun de ces pays n'est en guerre ou connu pour persécuter ses citoyens, il est donc clair que la plupart de ces migrants ont dépensé des milliers d'euros et risqué leur vie dans l'espoir d'un meilleur niveau de vie en Europe.
Il convient également de noter que sur ces plus de 100 000 nouveaux immigrants, plus de 30 000 sont venus de Tunisie en utilisant de petits bateaux et 73 173 ont navigué depuis la côte libyenne entre le 1er janvier et le 20 décembre, dont 22 216 ont été refoulés par les gardes-côtes libyens. . Selon les données du ministère italien de l'Intérieur compilées par Il Giornale, 17 583 autres ont quitté la Turquie ou le Liban.
Cette année, il y a eu 15 navires actifs transportant des migrants en Méditerranée appartenant à 12 ONG différentes, dont une seule est italienne. Les plus gros navires sont exploités par l'association franco-suisse Médecins sans frontières (MSF) et l'association « européenne » SOS Méditerranée dont le siège est en France et qui est financée en grande partie par les collectivités territoriales françaises. Le navire Geo Barents du premier (3 844 migrants débarqués en Italie cette année, au 20 décembre) et l'Ocean Viking du second (2 387) battent pavillon norvégien. L'Allemand Sea Watch n'est arrivé que troisième cette année avec ses deux navires ayant débarqué 1 825 migrants en Italie, mais il disposera d'un navire plus récent et plus gros, le Sea Watch 5, pour embarquer encore plus de migrants à partir de l'année prochaine.
Les efforts du gouvernement Meloni pour contrôler l'immigration par voie maritime dépendront beaucoup des accords bilatéraux qu'ils parviendront à conclure avec les pays d'origine de ces migrants. En outre, il reste à voir si le gouvernement de Meloni aura le courage de garder les migrants sous surveillance dans des installations fermées jusqu'à ce que leurs demandes d'asile soient traitées et jusqu'à ce qu'ils soient renvoyés dans leur pays d'origine pour ceux dont les demandes sont rejetées.
Toutes ces actions placeraient nécessairement l'Italie sur une trajectoire de collision avec les élites européennes pro-immigration à Bruxelles, Paris et Berlin.
C'était loin d'être « la peste bubonique ou pneumonique » qui effrayait partout les gens. Et les gens ne sont pas morts comme des mouches partout. Des montagnes de cadavres, des gens tombant soudainement morts dans la rue et des malades décédés dans les 3 jours étaient plus le résultat de la propagande que la réalité. Cela n'a fait qu'empirer avec la déstabilisation de la société et la négligence des coutumes, pas à cause des agents pathogènes. Tout comme maintenant avec les mesures Corona.
RépondreSupprimerAprès la première vague de peste de 1348, d'autres "vagues" plus faibles ont suivi, ce qui nous a également été promis à nouveau. Jusque-là, en 1493, la « syphilis » était mise en scène comme une punition aux proportions bibliques. Déclarée comme une importation du Nouveau Monde avec le retour de Christóbal Colón (1451-1506) de sa redécouverte de l'Amérique. Après que l'agent pathogène soi-disant inconnu Treponema pallidum a atterri à Séville et à Barcelone, les soldats espagnols défendant Naples contre l'armée française ont planté les graines d'une propagation de la maladie à l'échelle européenne. Cependant, il s'est écoulé une année entière entre l'introduction présumée et la propagation. Le commerce horizontal de la ville aurait fonctionné comme les discothèques d'Ischgl pour les Français victorieux. L'entourage mercenaire coloré de Charles VII aurait été plus mort que vivant.
Cela s'est déroulé comme prévu. L'abstinence sexuelle semblait désormais indispensable à la survie. Les bains publics et les bordels étaient partout fermés. La négligence de l'hygiène personnelle qui en a résulté a agi comme un accélérateur de feu pour la gale déjà endémique. Les médecins ont gagné en importance et en revenus. Les chirurgiens artisanaux (barbiers) et les herboristes pour la plupart féminines ont été évincés du marché de la santé. Et malgré le manque d'expertise, les accouchements médicaux ont commencé à remplacer les sages-femmes. La mortalité infantile plus élevée est souhaitable et peut être attribuée à la nouvelle épidémie. Une réduction de la population a été déclenchée.
Qu'il s'agisse de peste ou de syphilis - les maladies qui se sont propagées étaient tout aussi peu nouvelles que la grippe "Covid" 2020. Les maladies réellement présentes à l'époque ne peuvent plus être reconstituées avec certitude, car les agents pathogènes étaient inconnus et les symptômes incohérents. En tout cas, il est certain que l'agent pathogène de la syphilis existait depuis longtemps en Europe. i De nombreux mercenaires de l'armée française souffraient de la gale et de la lèpre. ii Ce qui devint rapidement connu sous le nom de "maladie française" fut surnommé "syphilis" ou "psore vénérienne" (gale) par les médecins. Le terme « syphilis » ne s'est imposé qu'au XVIIIe siècle et a ensuite été également utilisé pour d'autres maladies sexuellement transmissibles.
Les parallèles sont frappants. Les objectifs des pandémiques étaient identiques alors et maintenant. Désintégration d'une société pluraliste avec un pouvoir concentré entre les mains de quelques-uns. Même alors, la médecine a agi comme l'étincelle initiale. Les médecins ont aidé à stigmatiser et à marginaliser les gens comme ils le font aujourd'hui. Les médecins favorisaient la maladie et la mort par leurs actions.
RépondreSupprimerMais la Renaissance, avec son humanisme, n'était-elle pas une époque paradisiaque ? Seulement pour une petite élite qui pouvait s'adonner à leur débauche sexuelle et à leur luxe oligarchique. Ce qui est sous-exposé dans les livres d'histoire : pour la majorité de la population, les XVIe et XVIIe siècles ont été caractérisés par d'innombrables guerres ("Guerres paysannes", Guerre de 30 Ans), des épreuves et des pertes de prospérité. Parce que « vous n'avez rien et vous êtes heureux. "
les références
i Baker BJ et al. : Faire progresser la compréhension de la maladie tréponémique dans le passé et le présent. Annuaire Phys Anthropol. 2020;171(Suppl. 70):5-41
ii Winkle S : Les fléaux de l'humanité. histoire culturelle des épidémies. pages 516 et suivantes ; Artémis & Winkler; Düsseldorf/Zurich 1997
https://tkp.at/2023/01/02/beruhten-schon-pest-und-syphilis-auf-einer-verschwoerung/
Étude : Relation causale entre la campagne de vaccination et la surmortalité en Australie
RépondreSupprimer2 janvier 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Les données publiées par divers États australiens tels que l'Australie-Méridionale et la Nouvelle-Galles du Sud ont déjà clairement indiqué qu'il y a une catastrophe vaccinale. Le nombre d'infections, de maladies et de décès a montré à maintes reprises que la campagne de vaccination est devenue un échec total. Maintenant, une étude résume les résultats en fonction de la surmortalité.
L'étude de Denis G Rancourt et al publiée dans ResearchGate intitulée « Probable causal association between Australia's new regime of high all-cause mortality and its COVID-19 vaccin rollout » COVID-19) montre exactement ce que dit le titre.
D'abord la traduction du résumé :
La mortalité toutes causes en Australie par semaine montre que 13 mois après la déclaration de la pandémie, la surmortalité était indétectable, suivie d'une augmentation progressive de la mortalité à la mi-avril 2021, coïncidant avec le déploiement du vaccin COVID-19, qui ciblait principalement les personnes âgées et handicapées et les peuples autochtones.
La surmortalité pendant la période de vaccination (mi-avril 2021 à août 2022 ; mortalité toutes causes confondues supérieure de 14 % à celle des périodes de pré-vaccination récentes ; 62 millions de doses de vaccin administrées) était de 31 ± 1 000 décès, soit plus du double des décès signalés comme par ou ont été enregistrés avec COVID-19.
Par ailleurs, une flambée de la mortalité toutes causes confondues (mi-janvier à mi-février 2022 ; 2 600 décès) coïncide avec le déploiement rapide des rappels (9,4 millions de rappels sur la même période) et n'est pas due à un aléa climatique. Vague De Chaleur.
Le taux de mortalité par injection de vaccin (vIFR) correspondant est d'environ 0,05 %, que nous comparons aux valeurs vIFR estimées du système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) et aux données de mortalité toutes causes confondues pour l'Inde, comparant les États du sud des États-Unis. , Michigan (États-Unis) et Ontario (Canada).
- voir graph sur site -
Figure 2 : Mortalité toutes causes confondues en Australie, tous âges confondus, de la semaine 1 2015 (semaine au 4 janvier 2015) à la semaine 34 2022 (semaine au 28 août 2022), par rapport à l'introduction du vaccin COVID-19.
Bleu clair : mortalité toutes causes par semaine, échelle y gauche. Bleu foncé : 1ère dose cumulée de vaccin. Orange : Cumul des 2e doses de vaccin. (Sources des données : Australian Bureau of Statistics (2022a) ; et https://www.covid19data.com.au/vaccines consulté le 14 décembre 2022).
Et voici les raisons du lien causal de la surmortalité avec la campagne de vaccination :
1
RépondreSupprimerIl existe une relation temporelle claire entre le nouveau régime d'augmentation de la mortalité toutes causes confondues et le déploiement du vaccin, alors qu'en Australie, il n'y a pas eu de surmortalité détectable jusqu'au début du déploiement, c'est-à-dire pendant la pandémie de 13 mois déclarée par l'OMS le 11 mars 2020 était.
2
La surmortalité pendant la période de vaccination (mi-avril 2021 à août 2022) pour l'Australie (tous âges confondus) est de 31 000 (± 1 000) décès (figure 1A), soit plus du double du nombre total de décès considérés comme étant dus à ou liés à COVID-19. 19 ont été enregistrés (14 014 décès, du 1er janvier 2020 à la semaine se terminant le 29 août 2022. [Notez que le pourcentage du nombre total de décès attribués à COVID-19 qui étaient « avec COVID-19 » (plutôt que « de COVID-19 ") sont, varie entre environ 10% et 30% En fait, 95,4% des décès "dus à COVID-19" sur les certificats de décès australiens avaient une "séquence causale d'événements" non liés à COVID-19 et / ou " conditions chroniques préexistantes »] .
3
Le vIFR moyen pendant la période de vaccination (mi-avril 2021 à août 2022) pour l'Australie serait donc :
31 000 décès / 62 millions de doses de vaccin = 0,05 %
4
De la mi-janvier à la mi-février 2022, il y a un pic frappant de mortalité toutes causes confondues qui dure sept semaines et est associé à une forte augmentation des doses de vaccin COVID-19. Ladite forte augmentation des doses de vaccins a été l'introduction de la dose de rappel (3e dose) en Australie, l'augmentation des doses de rappel précédant généralement l'augmentation de la mortalité d'environ une semaine, fournissant des preuves solides d'une relation causale.
5
Ledit pic notable de mortalité toutes causes confondues de la mi-janvier à la mi-février 2022 a une surmortalité intégrée au cours de la période de sept semaines par rapport à la référence d'environ 2 600 décès, contre environ 9,4 millions de doses de rappel administrées pendant la période de pointe de la mortalité. Cela correspond à un vIFR calculé pour le pic de mortalité spécifique :
2,6K décès / 9,4M doses de vaccin = 0,03%.
6
L'impact de l'introduction serait soudain car l'Australie donne la priorité aux personnes âgées et handicapées, ainsi qu'aux aborigènes.
7
L'augmentation progressive de la mortalité toutes causes confondues jusqu'à la surmortalité toutes causes confondues (mi-avril 2021 à août 2022) se produit simultanément dans les huit États australiens à la mi-avril 2021 et n'a pas de temps d'apparition différents, ce qui correspond à une maladie infectieuse qui se propage affectant différentes régions à des moments différents et se propage à des rythmes différents en fonction des différences régionales en matière de conditions sociales et de santé.
8
Les données du VAERS des États-Unis montrent clairement que la surmortalité survient immédiatement après l'injection de chacun des trois vaccins COVID-19 utilisés aux États-Unis, culminant de manière significative dans les cinq jours suivant l'injection et deux mois diminuant de façon exponentielle après l'injection.
9
RépondreSupprimerLa mortalité intégrée par nombre d'injections post-injection (toxicité par injection ou vIFR) augmente de façon exponentielle avec l'âge, tout comme la variabilité de la toxicité d'un lot à l'autre. Ces dernières observations d'augmentation exponentielle avec l'âge signifient que les injections présentent un défi létal par rapport à la fragilité du sujet.
10
Des études histopathologiques et immunohistochimiques détaillées par autopsie ont montré que les vaccins COVID-19 sont des causes de décès à la fois chez des personnes par ailleurs en bonne santé et chez des personnes âgées présentant des comorbidités.
11
Le gouvernement australien interprète à la fois les résultats des tests (cas) et la mortalité comme se produisant en quatre « vagues ». La classification par le gouvernement australien des vagues australiennes de COVID-19 est uniquement basée sur les résultats des tests rapportés (statistiques de cas) combinés à des mesures génomiques rares et peu fiables. Nous n'avons trouvé aucune étude fournissant une base scientifique à l'attribution de ces ondes par le gouvernement australien. De plus, la cession est incompatible avec :
a) l'absence de surmortalité avérée sur la période mars-mai 2020 ;
b) l'absence de surmortalité observée en Australie et à Victoria au cours de la période juin-novembre 2020
c) une variante delta (juillet-décembre 2021) montrant à la fois l'augmentation progressive de la mortalité toutes causes à la mi-avril 2021 et la période de 7 semaines le pic de mortalité toutes causes n'aurait pas été capturé de la mi-janvier à la mi-février 2022, et
d) une variante d'Omicron (2022) qui aurait provoqué deux caractéristiques distinctes et importantes de l'excès de mortalité toutes causes, à savoir le 7- pic de la semaine de la mi-janvier à la mi-février 2022 et la grande poussée qui a suivi à partir de mai 2022.
Une synchronicité similaire entre l'administration des doses de vaccin et la surmortalité toutes causes confondues est observée dans le contexte des campagnes dites d'équité en matière de vaccins aux États-Unis. Un pic anormal à l'automne 2021 a été interprété comme lié au vaccin et est prédominant dans le groupe d'âge des 25 à 64 ans dans 21 États américains, ce qui a conduit à la conclusion qu'un important (détectable par la mortalité toutes causes confondues) lié au vaccin La mortalité causée s'est avérée être être particulièrement répandue dans les groupes vulnérables caractérisés par des niveaux élevés de pauvreté, d'invalidité, d'obésité, de diabète et des taux élevés de médication. L'injection de vaccins était considérée comme un défi supplémentaire, accélérant et causant souvent la mort de résidents souffrant de comorbidités,
Un autre exemple de synchronie causale probable entre un déploiement rapide du vaccin COVID-19, qui a donné la priorité aux résidents âgés, fragiles et handicapés, et une surmortalité élevée dans tous les cas est l'exemple de l'Inde. Dans ce cas, le lancement précoce du vaccin en avril-juillet 2021 a été dévastateur, entraînant la mort d'environ 3,7 millions d'habitants tout en administrant environ 350 millions de doses de vaccin (sur une population de 1,39 milliard). Cela correspond à un vIFR (toxicité par dose) efficace d'environ 1 %.
RépondreSupprimerEn Inde et en Australie, il n'y avait pratiquement aucun excès de mortalité toutes causes confondues après que l'OMS a déclaré la pandémie jusqu'à l'introduction du vaccin COVID-19, ce qui rend la synchronicité relativement facile à attribuer.
Deux autres exemples de synchronicité entre le déploiement rapide du vaccin COVID-19, qui affecte principalement les résidents âgés et vulnérables, et une surmortalité élevée dans tous les cas peuvent être trouvés au Michigan, aux États-Unis, et en Ontario, au Canada. La valeur COVID-19 vIFR au lancement du vaccin au Michigan est comparable à la valeur pour la période de vaccination en Australie (0,05 %).
conclusion
La pandémie déclarée aurait dû épargner à l'Australie des décès vérifiables pendant plus d'un an alors qu'elle faisait rage dans de nombreux autres endroits du monde avant de devenir soudainement virulente à la mi-avril 2021 lorsque les vaccins ont été introduits pour les personnes âgées et les plus vulnérables.
Par ailleurs, une forte augmentation de la mortalité toutes causes confondues (mi-janvier à mi-février 2022) coïnciderait par coïncidence avec l'introduction rapide du vaccin de rappel (3e dose), sans qu'aucune explication (plausible ou non) ne soit donnée.
L'analyse conclut que la surmortalité pendant la période de vaccination (31±1 mille décès, mi-avril 2021 à août 2022 ; 14 % de mortalité toutes causes plus élevée que lors des dernières périodes de pré-vaccination de même durée ; 62 millions de doses de vaccin administrés), plus du double du nombre de décès enregistrés par ou avec le COVID-19, et la forte augmentation de la mortalité toutes causes confondues (mi-janvier à mi-février 2022 ; 2 600 décès) associée à l'introduction rapide du rappel (9,4 millions de doses de rappel, même période) sont causalement liées au vaccin COVID-19.
Le taux de mortalité par injection de vaccin (vIFR) correspondant est d'environ 0,05 %.
Ceci, bien sûr, est diamétralement opposé aux affirmations selon lesquelles le vaccin COVID-19 a sauvé des vies ; une affirmation non étayée par un examen complet des données sur la mortalité toutes causes confondues.
https://tkp.at/2023/01/02/studie-kausaler-zusammenhang-zwischen-impfkampagne-und-uebersterblichkeit-in-australien/
Vaxxed dans les premières tombes, ils ne savaient pas que les mandats de vax seraient des condamnations à mort - les jeunes et les personnes en bonne santé n'avaient jamais l'habitude de simplement « tomber morts » à ce rythme incroyable
RépondreSupprimerdimanche 01 janvier 2023
par : Rédacteurs en chef
(Natural News) La lecture de cette histoire liée au Daily Mail jeudi matin m'a brisé le cœur. Rapportant qu'un "grand héros" venait de décéder, Robert Ramirez III, commandant des opérations spéciales Navy SEAL décoré, âgé de 47 ans, qui a été retrouvé mort à son domicile de San Diego un mois après avoir repris l'élite SEAL Team One, les commentateurs sur l'histoire n'a pas perdu de temps pour arriver à ce que l'histoire a négligé de rapporter.
(Article de Stefan Stanford republié de AllNewsPipeline.com)
Avec le commentaire le plus voté sur l'histoire de "Lori au Texas" étant "Probablement reçu l'injection forcée d'ARNm", tous les autres commentaires et réponses les plus votés montrent pourquoi les mondialistes devraient trembler dans leurs bottes sataniques en tant que personnes à travers le monde s'éveillent rapidement à leur « génocide par injection de caillots ». Et tandis que les responsables militaires ont récemment affirmé que la mort de Ramirez était par suicide, les commentateurs de l'histoire originale ont vu ce que l'armée et le gouvernement cachent.
«Bien sûr, il a eu le coup. Il était dans l'armée et occupait un poste de direction. C'était mandaté. Il ne savait pas que ce serait une condamnation à mort ! »
«Nous assistons littéralement à une opération de pop au ralenti tirée dans le monde entier par le NW O et pourtant, seul un petit pourcentage d'entre nous est suffisamment éveillé pour le reconnaître. Surréaliste. C'est comme si nous partagions un épisode de Twilight Zone, les amis !
"La meilleure chose à propos d'être un théoricien du complot, c'est l'absence de myocardite."
"Le mandat maudit de Biden."
"Laisse-moi deviner…. Décédé subitement ! Crise cardiaque ou dans son sommeil.“
« Vaxxed dans une tombe précoce. Ce que les talibans ne pouvaient pas faire, les vax l'ont fait.
"Votre gouvernement vous tue en forçant le coup, tragique."
"Mort subitement… Google-le."
"Pas de jeu déloyal, sauf le jeu déloyal des coups obligatoires."
«Nous y pensons tous; a-t-il été traité avec la mNRA ? (Bien sûr qu'il l'était !) Par ailleurs en bonne santé, les jeunes individus ne tombaient jamais à ce rythme.
"L'AR-15 est nettement moins létal que l'ARNm C19."
RépondreSupprimer"Je n'aurais jamais pensé que je serais aussi inquiet pour mon espérance de vie à 51 ans. On dirait que le faire aussi loin bat les chances de nos jours. Mes plus sincères condoléances à sa famille et ses amis. »
Avec le Cmdr. La mort de Ramirez survenant au cours de la même période qu'une tonne entière de "morts subites", comme la mort récente du porteur de ballon des Pittsburgh Steelers de la NFL Franco Harris, décédé subitement quelques heures seulement après avoir fait une interview à la radio dans laquelle il a dit à l'intervieweur " il se sentait bien », nous avions averti il y a quelques jours dans cette histoire de l'ANP que« 2023 va être rempli de » décès excessifs « » et nous regardons clairement ce qui se déroule en ce moment. Il convient de noter que, comme le rapporte Health Impact News dans cette nouvelle histoire, Franco Harris était également un porte-parole du CDC, exhortant les Américains à prendre leurs «coups de mort».
Avec un élément ou un autre du gouvernement des États-Unis soutenant la recherche sur le gain de fonction des coronavirus de l'Ukraine à Wuhan, en Chine et tout le chemin du retour en Caroline du Nord, et les mondialistes nous montrant juste leur «livre de jeu» pour leur prochaine «contagion catastrophique ' un avertissement que leurs dernières armes biologiques viennent probablement d'être publiées sur nous, étant donné que c'est seulement quelques mois après leur "Event 201" que tout l'enfer COVID s'est déchaîné, chaque fois que Bill Gates et l'OMS organisent des exercices simulant l'anéantissement de la race humaine, nous devrions être très attentifs.
Parce qu'avec le soutien des Américains à la chute des "injections de caillots", comme l'a souligné le Dr Joel Hirschhorn dans cette nouvelle histoire de l'ANP, les mondialistes doivent absolument dévoiler un nouveau plan pour effrayer à nouveau les masses abruties et désireuses de faire la queue pour leurs "coups", la plupart n'ayant aucune idée que ces coups pourraient leur valoir la peine de mort, car tant de personnes à travers le monde l'apprennent maintenant bien trop tard.
Et même si, heureusement, les vaxx ne tuent pas tout le monde, d'autres apprennent bien trop tard que les "injections de caillots" s'accompagnent assez souvent d'effets secondaires dévastateurs, tels que ceux dont souffre actuellement la chanteuse / interprète Céline Dion, connue pour être «entièrement vacciné» et souffre maintenant d'une maladie extrêmement rare appelée «syndrome de la personne raide», qui se trouve être l'un des effets secondaires répertoriés de l'injection d'ARN messager (ARNm) de Pfizer pour la grippe Fauci.
Et tandis que Pfizer connaissait parfaitement le lien entre ses jabs et le «syndrome de la personne raide» depuis le début de 2021, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis ayant officiellement pris connaissance du lien en avril 2021, pourquoi l'Américain les gens n'ont JAMAIS DIT que prendre leurs piqûres pouvait entraîner des effets secondaires aussi catastrophiques ? Eh bien, parce que cela aurait créé une «hésitation à l'égard des vaccins» et fait chuter les profits de la grande mafia pharmaceutique, et ils ne pourraient certainement pas avoir cela maintenant, n'est-ce pas.
Nous sommes allés de l'avant et avons intégré plusieurs vidéos ci-dessous, certaines en fait créées par des personnes qui ont été blessées par le "jab" et qui parlent maintenant de ces blessures, plus de mots d'avertissement pour ceux qui pourraient encore penser à recevoir leurs injections mortelles de ceux qui se sont précipités pour le faire. Avec une vidéo mettant en vedette un médecin nous avertissant qu'un nombre incalculable de médecins canadiens sont maintenant morts, vraisemblablement à cause du «coup mortel», comme nous le voyons dans une autre vidéo, une tête parlante pro-vax a maintenant les poumons pleins de caillots sanguins tandis qu'une autre vidéo prouve qu'il y a énormément de « maladie » qui circulent maintenant.
RépondreSupprimerRead more at: AllNewsPipeline.com
https://www.naturalnews.com/2023-01-01-vax-mandates-would-be-death-sentences.html
Enquête choquante en laboratoire sur les vaccins Covid
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
2 janvier 2023
- voir clip sur site -
Le 12 décembre 2022, The Highwire a publié1 une enquête de laboratoire fascinante et choquante sur les piqûres de COVID. Del Bigtree commence par passer en revue certaines des nombreuses découvertes présumées d'organisations examinant les prises de vue à l'aide de diverses technologies. Par exemple, certains prétendent avoir trouvé du graphite dans les flacons, tandis que d'autres ont découvert ce qui ressemble à de la nanotechnologie et à des parasites.
"Certains d'entre eux que nous avons abordés ici et d'autres que nous n'avons pas", déclare Bigtree. "C'est en partie parce que je n'aime vraiment pas aborder quelque chose dont je ne sais pas d'où viennent les informations...
Je ne fais pas confiance aux experts simplement parce qu'ils me disent qu'ils sont un expert. Je veux voir la science, je veux voir les preuves, je veux voir comment c'est fait… Alors, j'ai contacté le Dr Ryan Cole, un pathologiste qui m'a prouvé qu'il est impeccable dans le travail qu'il fait. Il est impartial.
Et j'ai dit: 'Voulez-vous me rendre un service ? Pouvons-nous mettre la main sur ces vaccins ? Je veux entrer dans le laboratoire. Je veux le voir de mes propres yeux. Pouvons-nous faire venir des caméras et faire une véritable enquête ? »
Le mystère des caillots caoutchouteux
Cole a accepté, et cette enquête enregistrée est ce que vous voyez dans la vidéo ci-dessus. Cole commence par montrer à quoi ressemblent certains des caillots caoutchouteux blancs au microscope, et des diapositives montrent la distribution de la protéine de pointe dans divers tissus.
Un certain nombre d'embaumeurs ont rapporté avoir retiré ces objets filandreux et extensibles de personnes décédées qui ont reçu le coup, et ils sont différents de tout ce qu'ils ont jamais vu auparavant. Cole convient que ces caillots sont quelque chose de tout nouveau.
Cole décrit les caillots élastiques blancs comme "un matériau de type amyloïde" induit par la protéine de pointe, qui est en fait une glycoprotéine. Il cite un article2 d'août 2021 d'Etheresia Pretorius et de son équipe, dans lequel elle décrit la découverte de "microcaillots plasmatiques circulants persistants résistants à la fibrinolyse" chez les patients COVID de longue durée et ceux qui ont reçu le vaccin COVID.
RépondreSupprimerElle les appelle des "microcaillots amyloïdes anormaux". En résumé, ce qu'elle a découvert, c'est que même lorsqu'elle a retiré les plaquettes du sang, une fois qu'elle a ajouté des protéines de pointe, les protéines se sont encore glomées ensemble, formant des masses, et les processus qui décomposeraient normalement un caillot sanguin ne fonctionnent pas sur ces amyloïdes. - comme des dépositions.
Injections COVID sous le microscope
Cole passe ensuite à regarder les clichés COVID au microscope. Le premier est la piqûre (flacon) de Janssen, qui contient ce qui ressemble à des débris, y compris, potentiellement, un éclat de verre. Comme l'a noté Cole, lorsque la fabrication est accélérée aux vitesses actuelles auxquelles ces piqûres sont produites, il n'y a vraiment aucune garantie de pureté.
Comme vous vous en souvenez peut-être, en août 2021, le Japon a rejeté 1,63 million de doses d'ARNm de Moderna en raison d'une contamination. L'année dernière, l'Agence européenne des médicaments (EMA) s'est également inquiétée des flacons qui n'étaient purs qu'à 50 à 55 %.
Cette impureté signifie également que vous pouvez obtenir de l'ARN fragmenté, par opposition à de l'ARN complet, ce qui peut avoir des conséquences imprévues, car un ARN raccourci peut finir par produire des protéines incomplètes. Parmi les flacons Pfizer, certains contenaient également des particules non identifiables, dont certaines étaient collées ensemble.
Cela dit, là où d'autres voient la nanotechnologie - des objets carrés qui ressemblent à des puces électroniques - Cole voit du cholestérol empilé. Ainsi, bien qu'il y ait des débris (ce qui est déjà assez grave), il n'attribue pas aux théories selon lesquelles les tirs incluent la nanotechnologie.
Certains ont également découvert ce qui ressemble à des parasites mais, selon Cole, ce sont des trikons étoilés, trouvés au bas des feuilles. Il suggère que c'est une impureté qui a atterri dans le liquide ou sur le verre pendant le processus d'enquête. Bigtree a résumé leurs conclusions :
"D'une manière générale, lorsque nous avons examiné tous les différents vaccins, l'une des conclusions auxquelles nous sommes parvenus est que ce n'est qu'un méli-mélo. Il y avait des vaccins qui semblaient n'avoir aucune particule, presque rien, là-bas; presque comme un tir salin. Et puis le [prochain] serait rempli de toutes sortes de choses. Vous avez simplement l'impression que la fabrication est totalement et complètement incohérente.
Cole a accepté :
RépondreSupprimer"Je suis d'accord à 100 %. Certains sont plus concentrés, d'autres moins, et cela va jusqu'au point où sont-ils fabriqués ? La FDA inspecte-t-elle chaque installation ? Non. Et ceux-ci sont fabriqués dans le monde entier, et ils ont été mis en place si rapidement. Ce n'est pas un bon processus de fabrication… Et… c'est un tout nouveau processus tout à fait unique qu'ils utilisent à grande échelle.
Coups COVID analysés par spectrométrie de masse
Les tirs ont également été analysés par spectronomie de masse, qui a révélé la présence de particules métalliques, notamment d'aluminium, de silicium, de magnésium, de chlorure de sodium, de calcium, de titane et de fer. Cole cite des recherches montrant que certains de ces métaux proviennent de l'aiguille utilisée pour extraire le liquide du flacon, de sorte qu'ils peuvent ou non faire partie de la formule réelle du flacon.
Ils ont également trouvé des quantités massivement incohérentes de polyéthylène glycol (PEG) dans les différents flacons. Le PEG, qui recouvre et protège l'ARNm, est ce qui provoque un choc anaphylactique chez certaines personnes, car la sensibilité et les allergies au PEG sont courantes dans le grand public. Pire, cependant, est le fait que le PEG entrave également une réponse immunitaire appropriée.
Des processus de fabrication médiocres et incohérents entraînent des contenus extrêmement variables d'un lot ou d'un flacon à l'autre.
Si vous avez la malchance d'obtenir un flacon chargé de PEG, votre risque d'effets indésirables tels qu'un choc anaphylactique et une réponse immunitaire dérégulée est plus élevé que si vous obtenez un flacon avec la quantité appropriée, ou moins que ce que la recette demande. Encore une fois, c'est le signe de processus de fabrication médiocres et incohérents, entraînant des contenus extrêmement variables d'un lot ou d'un flacon à l'autre. Notamment, aucun graphène n'a été trouvé dans aucun des 100 flacons testés. Cole explique :
"Ces petits flocons que nous voyions, ces petites lignes et ces choses flottantes, ce sont trois choses : des cristaux de cholestérol - il y a un pic de cholestérol et de cholestérol sur certains de ces graphiques de spécifications de masse - … du sel et des sucres … Donc, à la fin du jour, la spécification de masse a montré que c'était ce que c'était.
Ces flacons contiennent des lipides. Ils ont une teneur en polyéthylène glycol dans des proportions variables. Ils ont des sels, ils ont des sucres. Ils ont du matériel génétique… et certains lots avaient des contaminants…
Il y a des nanoparticules lipidiques et une séquence de gènes qui font que votre corps fabrique une protéine étrangère. Ces deux choses sont nécessaires et suffisantes pour causer un préjudice. Bien sûr, vous voulez un produit pur, mais ce sont les deux choses nocives. La nanoparticule lipidique est hyper-inflammatoire et peut être toxique.
Quand il a été conçu, il a été fait pour être donné une fois. Les études sur le fait de lui donner deux, trois, quatre fois n'existent pas chez l'homme. Ainsi, la toxicité cumulative de la nanoparticule elle-même est préoccupante.
RépondreSupprimerEncore plus préoccupant est [that] plus vous entrez dans vos cellules ce gène qui continue de fabriquer une protéine qui a connu d'innombrables effets secondaires… cette protéine de pointe toxique. C'est ce qui compte."
Le Show-Stopper
Le vrai spectacle est vers la fin, où ils prennent une goutte de sang de Bigtree, qui n'est pas piquée, puis ajoutent une goutte du "vaccin" COVID. La lame ne contenant rien d'autre que son sang sans piqûre semble parfaitement normale, avec de jolies cellules en forme de beignet.
Les diapositives auxquelles une goutte de "vaccin" COVID a été ajoutée montrent des incohérences remarquables. Sur une lame, dans la zone touchée par le liquide, les globules rouges semblaient s'être évaporés. Selon Cole, les cellules étaient essentiellement « déshémoglobiées ».
L'hémoglobine vient d'être anéantie. En conséquence, les cellules sont devenues blanches, ce qui donne l'impression qu'elles se sont évaporées. "Cela signifie simplement que bon nombre de ces flacons sont très, très irritants dans leur pré-mélange… Tout revient à la pureté et à la cohérence de la fabrication", déclare Cole. Les cellules sanguines s'agglutinaient également vers l'extérieur de la goutte, beaucoup se repliaient et les échinocytes étaient clairement visibles. Comme l'explique Cole :
"Cela a instantanément changé le pH de l'intérieur. Ce sont de petites gouttes de protéines sur la membrane du globule rouge, parce que le globule rouge a involué… Tous ces petits doigts, ce n'est pas de la protéine de pointe. C'est un autre mythe.
Mais c'est fascinant, car cela a instantanément changé le pH de l'intérieur de la cellule. Et cela a provoqué une sortie massive de liquide de l'intérieur de la cellule, provoquant tout ce repliement de la membrane cellulaire. C'est sauvage.
C'était presque instantané, et c'est partout. Ces globules rouges sont maintenant des globules rouges non fonctionnels. Ceux-ci ne vont pas transporter un brin d'oxygène. Maintenant, votre corps doit décider quoi faire et a une réaction inflammatoire, car maintenant il doit les engloutir.
Cette technologie doit être arrêtée
En conclusion, Cole dit :
«Pour revenir au point clé – je veux conduire cette maison – ils vont essayer de faire des nanoparticules lipidiques plus des gènes de la grippe, plus des gènes RSV pour tous ces autres coups à l'avenir. Nous savons déjà qu'il s'agissait d'un programme de "vaccins" qui a échoué. Ils ont une technologie qui est nocive. Les cellules humaines sont destinées à fabriquer des protéines humaines. Les cellules humaines n'étaient pas destinées à fabriquer des protéines étrangères toxiques.
RépondreSupprimerLes vaccins traditionnels ne font pas cela. Votre corps veut fabriquer sa propre protéine, pas une protéine grippale, pas une protéine RSV, pas une autre protéine virale, pas une protéine SARS-CoV-2. Cette plate-forme est suffisamment dangereuse pour que non seulement les tirs COVID doivent être arrêtés, mais la plate-forme [ainsi] …
Nous voyons déjà assez de choses qui vont mal. Je pense que c'est le message à l'humanité, aux agences de régulation, aux responsables gouvernementaux qui sont prêts à intervenir et à bloquer la corruption réglementaire… Arrêtons ces programmes. Continuons à faire de la science appropriée et ne précipitons pas la science.
Vous connaissez cette citation au Comité européen ? « Nous travaillions à la vitesse de la science. » La bonne science ne se précipite pas. Et le directeur de Pfizer qui vient de démissionner ? [Elle a dit] "Nous construisions l'avion pendant que nous essayions de le faire voler." Bon sang. Et elle en était fière. Non, ce n'est pas ce que vous faites à vos semblables. Et ce n'est pas ce que nous faisons en médecine et en sécurité.
Bigtree ajoute :
« Nous avons arrêté ces programmes génétiques plusieurs fois. Ils ont [been] arrêtés dans leur élan parce qu'ils causaient trop de cancer. Nous avons de sérieux problèmes avec cette technologie.
Il a été arrêté pour toutes ces raisons, nous aurions donc dû être très préoccupés par son utilisation comme vaccin. Nous n'aurions certainement pas dû nous précipiter. Au lieu de cela, nous l'avons mis devant un groupe de "maternelles" qui ne savent rien de ce qu'ils regardent, et ils l'ont approuvé...
[I]l y a quelque chose qui ne va pas. Et quand on écoute Edward Dowd, les actuaires d'assurance vont [under] à cause de l'augmentation de la mortalité toutes causes confondues. Tout cela se produit, et ils veulent littéralement accélérer un système où ils peuvent simplement commencer à les éliminer [sans] essais de sécurité. C'est un film. Ceci est un dessin animé. Comment de vraies personnes agissent-elles ainsi ? … Ce sont des choix extrêmement préjudiciables qui sont faits.
Que faire si vous avez la piqûre
RépondreSupprimerSi vous avez déjà reçu un ou plusieurs inoculations, arrêtez maintenant et n'en prenez plus. C'est l'étape n ° 1. Si vous souffrez de symptômes post-piqûre, assurez-vous de consulter le protocole de blessure post-piqûre de la Frontline COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC).
Des remèdes qui peuvent aider à inhiber, neutraliser et éliminer les protéines de pointe ont également été identifiés par le Conseil mondial de la santé. Les inhibiteurs qui empêchent la protéine de pointe de se lier à vos cellules comprennent Prunella vulgaris, le thé aux aiguilles de pin, l'émodine, le neem, l'extrait de pissenlit et le médicament ivermectine. Le Dr Pierre Kory, du FLCCC, pense que l'ivermectine pourrait être la meilleure approche pour lier la protéine de pointe en circulation.
Les neutralisants de protéines de pointe, qui empêchent la pointe d'endommager les cellules, comprennent la N-acétylcystéine (NAC), le glutathion, le thé au fenouil, le thé à l'anis étoilé, le thé aux aiguilles de pin, le millepertuis, le thé à la consoude et la vitamine C.
L'alimentation limitée dans le temps (TRE) peut également aider à éliminer les protéines toxiques en stimulant l'autophagie, et la nattokinase, une forme de soja fermenté, est utile pour réduire les caillots sanguins. Plusieurs remèdes de désintoxication supplémentaires peuvent être trouvés dans "World Council for Health Reveals Spike Protein Detox".
Sources and References
1 Bitchute December 12, 2022
2 Cardiovascular Diabetology August 23, 2021; 20 Article number 172
https://www.lewrockwell.com/2023/01/joseph-mercola/shocking-lab-investigation-of-covid-vaccines/
(...) Notamment, aucun graphène n'a été trouvé dans aucun des 100 flacons testés. Cole explique : (...)
SupprimerIl y a bientôt 2 ans les docteures Carrie Madej (Atlanta Georgie USA) et Astrid Stückelberger (Genève Suisse) ont analysé et publié leurs rapports sur leurs découvertes.
Les flacons examinés contenaient entre 95 et 99 % des nano-particules d'oxyde de graphène ! + des hydres ! + des spiques ! + diverses maladies animales !!!
Mais des 'docteurs' étrangers ne seraient même pas au courant qu'existent des vidéos de ces docteures sur Odysee et Rumble !! Çà alors !!
Dans War for Control of Humanity, les pensées et les émotions sont le champ de bataille : Dr Robert Malone
RépondreSupprimerLes plateformes de médias sociaux sont militarisées, a-t-il déclaré
De Masooma Haq et Jan Jekielek
31 décembre 2022
L'inventeur des vaccins à ARNm, le Dr Robert Malone, qui a travaillé avec le département américain de la Défense (DOD) pendant de nombreuses années, avertit qu'une guerre est menée par le gouvernement pour le contrôle de l'esprit des gens, et que les plateformes de médias sociaux sont militarisées dans ce contexte de la guerre et sont « activement employés » par la communauté du renseignement pour influencer ce que les gens pensent et ressentent.
« Ce nouveau champ de bataille, dans lequel votre esprit et vos pensées, vos émotions mêmes sont le champ de bataille. Ce n'est pas une question de territoire », a déclaré Malone lors d'une récente interview pour l'émission « American Thought Leaders » d'EpochTV. "Twitter, c'est clair maintenant, est devenu la plate-forme premium pour façonner un consensus mondial émergent sur les sujets d'actualité."
Suivi des jets Twitter de Musk
Au cours de son travail avec le DOD, Malone a pris connaissance des entreprises recherchant des programmes multilingues qui évaluent le contenu émotionnel de la langue utilisée sur les réseaux sociaux, que ces entreprises utilisent ensuite pour «cartographier les nuages de relations», y compris les sujets dont les gens discutent, qui les influenceurs sont, et qui est à la lisière de ce nuage, a déclaré Malone.
Des phénomènes comme être déplatformé, shadowbanned et un «tweet» devenu viral font partie de cette militarisation des médias sociaux.
"En utilisant ces outils pour manipuler les informations, les tweets que vous publiez, les messages que vous envoyez à votre nuage d'influence, ils peuvent moduler le comportement de ces personnes", a-t-il déclaré. "Vous pouvez en fait contrôler très activement ce que les individus pensent, les informations qu'ils recueillent, ce qu'ils sont influencés à faire."
Les personnes qui contrôlent les armes de guerre de l'information peuvent moduler la messagerie dans les nuages d'influence qui peuvent être facilement cartographiés, a déclaré Malone.
"Votre état d'esprit actuel, basé sur la langue que vous utilisez et les sujets dont vous parlez, peut être cartographié très précisément, psychologiquement", a-t-il déclaré. "Cela peut être lié à un réseau de relations d'influence."
Surveillance de haute technologie
Les membres d'un «nuage d'influenceurs» spécifique peuvent être suivis à l'aide de la technologie d'espionnage militaire appelée Gorgon Stare, a déclaré Malone. Cette technologie d'espionnage est capable de détecter les mouvements, y compris la voiture que vous conduisez, qui monte dans votre voiture et où vous allez, a-t-il déclaré.
Le Gorgon Stare est une technologie de surveillance, créée à l'origine pour cibler des groupes terroristes, qui utilise des caméras de haute technologie montées sur des drones pour capturer des images vidéo de vastes zones, telles que des villes entières. Ensuite, l'intelligence artificielle est utilisée pour analyser les images de surveillance.
RépondreSupprimerArthur Holland Michel, auteur du livre «Eyes in the Sky: The Secret Rise of Gorgon Stare and How It Will Watch Us All», a qualifié cette technologie de «sommet de la surveillance aérienne» lors d'une interview en 2019 avec l'Institut CATO et a déclaré les choses qu'il a apprises en écrivant le livre étaient si troublantes qu'elles l'ont empêché de dormir la nuit.
Collusion pendant la pandémie
Elon Musk a apporté plus de transparence à Twitter, mais les informations qu'il a révélées n'ont fait que confirmer que le FBI et les agences de renseignement avaient une influence majeure sur la plateforme, a déclaré Malone.
"Elon est maintenant dans une position où il a accès à des informations incroyablement préjudiciables sur la volonté du gouvernement américain de s'entendre avec l'industrie et de compromettre le premier amendement", a déclaré Malone.
L'achat de Twitter par Musk est important, mais seul le temps nous dira ce que le résultat final aura pour notre démocratie et le premier amendement, a ajouté Malone.
Depuis le début de la pandémie, Malone et son épouse et collègue scientifique, Jill Glasspool Malone, ont pris conscience de la violation par le gouvernement de toutes les barrières de sécurité, a déclaré Malone, en termes d'éthique et de normes de développement de médicaments, de bioéthique, de biodéfense et de produits pharmaceutiques. développement.
"Nous avons tous été soumis, au cours des trois dernières années, à des opérations psychologiques de niveau militaire qui utilisaient une technologie développée pour les conflits offshore, et elles avaient été déployées contre les citoyens de pratiquement tout le monde occidental."
Les mêmes stratégies utilisées par le Parti communiste chinois (PCC) pour contrôler les citoyens chinois ont été utilisées par les élites aux États-Unis, a déclaré Malone.
"Nous voyons maintenant quotidiennement la documentation qui nous est publiée par Twitter, sur cette intense collusion entre le gouvernement américain, la technologie et les médias d'entreprise", a déclaré Malone.
Dans le dernier tiers du livre, Malone suggère des actions concrètes qui pourraient aider à restaurer la démocratie et à atténuer la corruption qui a assiégé le gouvernement fédéral en modifiant les lois pour permettre des limites de mandats pour la bureaucratie fédérale.
RépondreSupprimer"Cela a à voir avec des choses comme le fondement juridique qui permet l'existence de ce cadre permanent que nous appelons le Senior Executive Service, ces milliers de personnes qui ne peuvent pas être licenciées, qui dirigent fonctionnellement le gouvernement", a déclaré Malone.
La tentative de l'ancien président Donald Trump de réaffecter la classification des employés fédéraux de niveau supérieur dans le département d'État, avec son décret exécutif de l'annexe F, a été une étape cruciale pour rétablir l'équilibre dans les trois branches du gouvernement, a déclaré Malone.
Cependant, après l'entrée en fonction du président Joe Biden, il a annulé le décret exécutif de l'annexe F, qui, selon Malone, était "un exemple de la puissance de ces intérêts administratifs enracinés de l'État".
Une autre étape cruciale pour mettre fin à la corruption gouvernementale consiste à séparer le pouvoir des agences fédérales de réglementer et de promouvoir l'industrie dont elles sont responsables, a déclaré Malone.
"[Dr.] Peter McCullough aime souligner que la FDA, sous autorisation d'utilisation d'urgence, agit à la fois en tant que sponsor et régulateur de ces produits médicaux", a déclaré Malone. "Et la corruption de la FDA et du CDC est à un tel stade maintenant que je pense que c'est tellement évident que seuls les plus hypnotisés le nient."
Envisager un nouvel avenir
Ces actions à elles seules ne mettront probablement pas fin à la corruption et à la collusion profondément enracinées de la communauté du renseignement au sein des agences, a déclaré Malone, mais c'est un pas en avant.
Des gens comme le Dr Anthony Fauci travaillent en tandem avec les agences de renseignement, et cela se voit par le développement du nouveau département des National Institutes of Health (NIH), l'Agence des projets de recherche avancée pour la santé (ARPA-H), a déclaré Malone .
Epoch Times a contacté le NIH pour un commentaire.
Ce nouveau département est dirigé par un ancien officier de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) et dispose d'un budget d'environ 1 milliard de dollars. Malone a déclaré que le but du département "semble être l'avancement du transhumanisme et une identification biométrique et tout ce programme au sein du NIH. C'est essentiellement la communauté du renseignement qui s'installe au sein des NIH.
Malone a demandé comment les humains peuvent "permettre un avenir décentralisé pour nous tous, par opposition à cette très sombre quatrième révolution industrielle, économie centralisée transhumaniste".
Il existe des initiatives qui redonneront le pouvoir aux communautés et aux individus, notamment des groupes de médecins créant de nouveaux instituts de formation médicale et des citoyens travaillant à cultiver leur propre nourriture localement.
"Je pense que notre opportunité maintenant est d'aider à construire une vision et une façon d'interagir qui peuvent mieux capturer le potentiel de l'humanité d'une manière décentralisée qui célèbre notre diversité, sans avoir besoin d'essayer d'imposer un diktat centralisé sur la façon dont nous devons vivre. nos vies », a déclaré Malone.
RépondreSupprimerMalone ne prétend pas avoir les réponses à ces questions, mais a déclaré qu'il souhaitait contribuer au processus visant à déterminer comment l'humanité peut créer un avenir meilleur.
"Je pense que c'est un voyage qui en vaut la peine."
https://www.theepochtimes.com/in-war-for-control-of-humanity-thoughts-and-emotions-are-the-battlefield-dr-robert-malone_4948067.html
La prédiction de tremblement de terre indique que "le signal vient de frapper", avertit d'un potentiel gros tremblement de terre de San Francisco à Los Angeles
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 02 JANVIER 2023 - 17:05
Un tremblement de terre a secoué certaines parties du nord de la Californie dimanche pour la deuxième fois en deux semaines. Le séisme de magnitude 5,4 était centré à environ 30 miles au sud d'Eureka. Le 20 décembre, un tremblement de terre de magnitude 6,4 a également frappé près d'Eureka.
Maintenant, une entreprise de recherche sur la prévision des tremblements de terre a averti que le prochain grand pourrait être imminent.
Lundi matin, Quake Predictions a publié un avertissement pour les deux prochains jours - il y a une "situation dangereuse" de la probabilité d'une magnitude de 7,0 "dans la baie de San Francisco au nord-ouest de la région de Los Angeles".
- voir carte sur site -
L'avertissement intervient après que deux tremblements de terre importants ont frappé le nord de la Californie en moins de deux semaines.
Le tremblement de terre de dimanche matin a été décrit comme "plus violent cette fois", a déclaré à CNN la maire de Rio Dell, Debra Garnes, dans une interview.
"C'était plus court mais plus violent. Mon réfrigérateur a bougé de deux pieds. Des choses sont sorties du réfrigérateur. Il y a une fissure dans mon mur à cause de la violence", a déclaré Garnes.
La Californie a en moyenne cinq tremblements de terre par an avec des magnitudes comprises entre 5 et 6, selon LATimes. Et les dernières secousses pourraient suggérer qu'un grand tremblement de terre attendu depuis longtemps pourrait approcher.
https://www.zerohedge.com/markets/quake-prediction-says-signal-just-hit-warns-potential-big-earthquake-san-francisco-la
La faillite de l’étatisme
RépondreSupprimerLe paquebot de l’étatisation de l’énergie est lancé à pleine vitesse avec à la proue les fameuses énergies renouvelables.
le 2 janvier 2023
Olivier Maurice
Les collapsologues ont tout à fait raison : nous vivons bien une période d’Apocalypse, à la nuance près que ce n’est pas la planète qui s’effondre, c’est l’État qui part en totale déconfiture.
En quarante ans de « néolibéralisme » (entendez par là en quarante ans de soviétisation menée par des fils à papa parisiens pourris gâtés) la France s’est propulsée avec vigueur et confiance dans une trajectoire menant tout droit dans le mur.
Le prétendument meilleur système de santé au monde est en fait un dispensaire qui ne tient que par miracle et par l’abnégation de plus en plus rare de soignants au bord de l’effondrement.
Le pays des Lumières s’enfonce dans les classements sur l’éducation. L’illettrisme a doublé en un siècle et est passé de 3 % en 1914 à 7 % selon les derniers chiffres officiels.
L’agriculture, fondement du pays des 54 appellations de fromage, des grands vins et des restaurants étoilés est mourante. Le nombre d’agriculteurs a été divisé par deux, le nombre d’exploitations par quatre.
L’industrie a été divisée par deux, enregistrant le plus fort recul de la zone euro.
Et on pourrait ainsi continuer la liste : la dégradation de l’état des routes, les délais indignes des procédures judiciaires…
Mais depuis deux ans, les choses ne font que s’accélérer. À ces problèmes lancinants se dégradant inexorablement mais suffisamment lentement pour que l’on puisse s’y adapter ou trouver des excuses, sont venues se superposer des crises de plus en plus violentes ayant toutes la même origine : l’incurie de l’administration et du gouvernement censés avoir la charge de les régler.
L’État inflationniste
La crise de l’énergie et l’inflation nous font presque regretter le folklore de la comédie covid. Le pire étant sans aucun doute que l’État n’a toujours pas compris qu’il en est responsable et qu’il continue avec vigueur et ardeur à aggraver chaque jour la crise.
Dernière bêtise en date : le chèque bois énergie.
Jusqu’à aujourd’hui, la France était le premier pays en Europe à utiliser le bois comme source d’énergie. N’en doutons pas, maintenant que l’État a porté son attention sur le secteur et fourré ses petits doigts boudinés dans l’affaire, le secteur ne va pas tarder à péricliter.
Le bois de chauffage est un sous-produit de l’exploitation forestière. Pour l’instant. Le marché s’est régulé tout seul, que ce soit le marché des granulés ou des bûches, sans avoir d’impact sur l’exploitation forestière qui reste largement dominée par les plantations à long terme en vue de valoriser les grumes utilisées principalement en construction et dans les diverses industries.
RépondreSupprimerLe gouvernement précédent avait déjà commencé à s’intéresser au secteur. Résultat : une augmentation de 14 % du prix du bois de coupe en un an. Le prix du bois de chauffage avait bien sûr suivi. Les subventions déversées par le nouveau chèque vont comme de toute bonne logique aller encore augmenter les prix.
Les mécanismes en présence
Ce n’est pourtant pas compliqué à comprendre ! Depuis la mise en place d’un système monétaire décorrélé d’une matière de référence, trois éléments fixent les prix :
Premièrement : la disponibilité de monnaie « déblocable » comparée à la quantité de monnaie « exigible » par les divers impôts et taxes. Si vous ne payez pas les impôts, les taxes, les cotisations obligatoires… vous allez en prison. Ce n’est pas plus compliqué que cela : vous n’avez pas le choix.
Cette demande d’argent confère de la valeur à la monnaie en obligeant les individus et les entreprises à vendre des actifs ou à moduler leurs investissements en fonction de la ponction fiscale.
Deuxièmement : la disponibilité de la monnaie « débloquée », comparée aux actifs « bloqués » et qui est fixée par les taux d’intérêts, le prix à payer pour obtenir de la monnaie échangeable, mais également par la création de rentes, d’obligations d’État qui donnent lieu à intérêts et deviennent disponibles dès qu’elles arrivent à terme.
Cette offre d’argent réduit la valeur de la monnaie par le mécanisme d’intérêt qui conduit à une augmentation du volume de monnaie.
Enfin, troisièmement : l’équilibre des prix fixé par les capacités de remplacement. C’est ce que l’on a longtemps appelé « le marché », mais qui est en fait une interconnexion des prix plus ou moins fluide selon la liberté et la capacité d’échange qui se résume dans deux lois : l’effet de substitution et l’effet de revenu.
Ce dernier mécanisme, microéconomique alors que les deux premiers sont macroéconomiques, agit comme une espèce de matelas amortisseur ou de réseau qui interconnecterait tous les prix les uns avec les autres et les rendraient tous dépendants.
Le leurre des subventions
Normalement, tout ce système s’équilibre « naturellement » : l’argent exigé pour les taxes est dépensé par l’État, les placements financiers créent de la valeur qui vient compenser l’augmentation monétaire liées aux intérêts, les consommations se déplacent en fonction des solutions disponibles et amortissent les variations et les variations de demande, de disponibilité et de rentabilité…
Normalement…
RépondreSupprimerReprenons notre bois de chauffage. L’équilibre des prix du pellet et de la bûche est issu de nombre de facteurs qui vont borner ses prix. Bien plus que la disponibilité des produits, c’est la valeur « chauffage » qui va fixer le prix du bois : la quantité de chaleur restituée comparée aux autres moyens de chauffage.
Imaginons que chaque foyer disposerait à la fois d’une pompe à chaleur (électrique), d’une chaudière au fuel, d’une chaudière à gaz et d’un poêle bouilleur. Clairement, il est logique d’allumer le moyen de chauffage qui donne le meilleur résultat en fonction de la météo et qui lui coûte le moins cher, par exemple le poêle à bois la journée, la pompe à chaleur la nuit pendant les heures creuses sauf pendant les nuits très froides où il est plus économique de faire fonctionner une chaudière au gaz, etc.
Bien sûr cette situation est imaginaire. Mais dans la réalité, il est loin d’être rare que le poêle ne soit pas couplé à des radiateurs électriques, à une pompe à chaleur ou une chaudière. Même si on n’est pas à 100 % de capacité de substitution d’une source d’énergie par une autre, cet effet de substitution se concrétise à l’échelle macroscopique du pays et s’opère de proche en proche dans d’autres substitutions pour se diffuser à l’ensemble du système de prix : le prix du bois de chauffage va influencer le prix du bois de construction (et inversement), qui va influencer le prix des poutres en bois, qui va influencer le prix des poutres en métal, qui va influencer le prix du fer, qui va influencer le prix des automobiles, qui va influencer le prix des téléviseurs, etc.
À la moindre variation, le système de prix va se rééquilibrer tout seul (plus ou moins rapidement il est vrai) et la subvention du prix de la bûche et du pellet sera au bout du compte équilibrée par tout une séries de glissement d’autres prix. Ce système est à somme nulle car ce n’est pas lui qui fixe la valeur globale, il ne fait qu’équilibrer un système dont la « somme » doit correspondre à la quantité de monnaie collectée et dépensée par l’État dans son budget de fonctionnement.
Le fait de subventionner le chauffage au bois ne va donc pas impacter uniquement les foyers à bas revenus se chauffant uniquement au bois, mais tous les prix. En fin de compte, les seuls résultats tangibles auront été de déséquilibrer certains prix (et de créer des problèmes ou des aubaines pour certaines filières) et surtout d’augmenter la quantité de monnaie en circulation et donc de créer de l’inflation : l’effet d’aubaine sur le bois de chauffage se traduira vite en désillusion par l’augmentation d’autres prix.
L’État inflationniste
RépondreSupprimerC’est l’équilibre du budget de l’État qui détermine la valeur de l’argent que celui-ci émet pour payer son fonctionnement. On a cru que l’interdiction faite à l’État d’imprimer du papier allait empêcher cette maladie chronique de l’endettement des finances publiques qui a maintes fois créé des crises financières catastrophiques et fait chanceler les souverains et ce depuis la plus ancienne Antiquité.
Le fameux « système libéral » dénoncé par tous les vendeurs d’illusion a permis une incroyable période de stabilité et de développement économique depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale en donnant la possibilité à l’État de faire disparaître sa création monétaire dans le système bancaire et ainsi d’éviter d’interférer dans l’économie.
Mais c’était sans compter l’incompétence et l’inconséquence de certains dirigeants et de certains pays, particulièrement la France, qui ont utilisé cette aubaine pour faire n’importe quoi, en particulier pour subventionner des secteurs entiers de l’économie jusqu’au moment où la bulle explose ou que l’État se retrouve au bout de ces capacités de cavalerie, risque qui peut arriver à tout moment.
Le chauffage au bois vient d’entrer dans la longue liste des secteurs économiques étatisés, non pas par nationalisation, mais par mise en dépendance à l’argent public, après l’immobilier : crise de 1991 en France, crise des subprimes aux USA en 2008… le système de protection sociale en déficit chronique depuis sa création et qui peut s’écrouler à tout moment comme en Grèce en 2010, les transports…
Crise à venir
Le paquebot de l’étatisation de l’énergie est lancé à pleine vitesse avec à la proue les fameuses énergies renouvelables et la lutte donquichottesque contre le thermomètre, façons élégantes de nommer des machines à détourner l’argent public et à créer de la dette souveraine et donc de l’inflation sous forme larvée ou sous forme de bulles. Cette inflation conduira sans aucun doute à une gigantesque crise de l’énergie dans les années à venir, si elle n’a pas déjà commencé.
Il devient de plus en plus évident que les États-Nation, créés au XIXe siècle sur le modèle de l’État providence imaginé par Bismarck, sont amenés à disparaître ou pour le moins à se transformer radicalement, car dans l’état actuel des choses, ils amènent bien plus de problèmes que de solutions : quand ce ne sont pas les guerres mondiales, ce sont les crises économiques, sanitaires ou sociales mondiales, quand ce n’est pas tout en même temps.
https://www.contrepoints.org/2023/01/02/447145-la-faillite-de-letatisme
La politique est une idée lancée par des cons pour des cons. La politique a donc besoin de cons pour survivre.
SupprimerPrenons l'exemple du gaz carbonique; Le gaz carbonique est une molécule chimiquement inerte. Elle existe depuis DES milliards d'années et existera toujours dans des milliards d'années.
Mais, les astucieux politichiens ont parlé de... retirer le gaz carbonique de notre atmosphère !! HAHAHAHA ! (c'est comme de dire de retirer la terre de la Terre ou de vider des océans !!).
Bien-sûr cette opération est impossible même avec des faux budgets (de faux billets) de milliards de milliards d'euros ! Une molécule ne peut disparaître. Elle est là et sera toujours là.
Prenons l'exemple du gaz carbonique appelé aussi 'CO2' Carbone C + O2 Oxygène. Tous les gaz se recyclent immédiatement depuis toujours (sans quoi il n'y aurait jamais eu de vie sur Terre !).
Pour être plus clair en technicité je vais prendre l'exemple de molécules inventées qui s'appelleraient 'A B C D E F', etc. A et B sont ensemble (amies d'école qui forme un duo à l'orchestre de la commune) elles rencontrent C qui voudrait se joindre à elles. Oui mais là le duo devra changer de nom ! Et s'appeler trio (ou Molécule ABC). Puis arrive la molécule D qui drague la B. Il s'ensuit que le trio devient un duo AC tandis que va se former un autre duo DB.
C'est comme çà pour TOUS les gaz !
Mais, aller jusqu'à dire qu'on peut retirer un gaz de l'atmosphère... HAHAHAHAHAHAHA !
Maintenant vous allez me dire que le volume de gaz est ou serait en augmentation. Fort possible. Fort possible mais ne peut être attribuée à l'être humain qui respire (comme toutes les autres bestioles) ou qui emploie des machines et du feu et gnagnagna. Car, TOUS les gaz (99,99 %) qui constituent notre atmosphère viennent de la combustion de la masse ferrique incandescente sous nos pieds appelée magma. Le dégazement se fait au travers des bassins maritimes et océaniques (l'eau de mer est composée de 86 % d'oxygène).
Mais c'est là une escroquerie, discutée, débattue et votée par les mêmes escrocs qui se diraient d'être d''opposition' !! car une molécule qu'elle s'appelle Duchnoc ou Tartampion ne peut pas être éliminé ! Elle est produite par le magma et le magma IL FAIT CE QU'IL VEUT !
L'Italie peut « reconstruire le nucléaire » - pas tout à fait la grande réinitialisation que les Verts ou les maisons financières avaient en tête ?
RépondreSupprimerPar Jo Nova
January 2nd, 2023
Le gouvernement italien envisage de construire de nouvelles centrales nucléaires. Et si cela se produit, cela marque un revirement étonnant.
C'était la centrale nucléaire de Garigliano en Italie en 1970. Ils avaient déjà la solution à tout cela, les guerres énergétiques, Vladimir Poutine et le fantasme « contrôle du climat » il y a cinquante ans.
Mais l'Italie a abandonné le nucléaire il y a trente ans. C'est le seul grand pays européen à avoir cessé d'utiliser l'énergie nucléaire. (Bien que l'Allemagne essaie de le faire).
L'Italie avait quatre centrales nucléaires au début des années 1980, mais après l'accident de Tchernobyl (1986), ils ont organisé un référendum sur l'énergie nucléaire, et les électeurs n'en voulaient plus, alors ils ont fermé les deux derniers réacteurs en 1990 (à l'époque où le vote fait la différence). De plus, l'Italie a organisé un autre référendum en 2011, et 94 % des électeurs l'ont à nouveau rejeté, ce qui montre à quel point la situation doit être désespérée maintenant si un sondage d'opinion comme celui-ci a changé si loin en 11 ans ?
Le fait est que l'Italie ne produit elle-même que 25 % de son énergie, et qu'elle est donc soudainement très sensible au « risque géopolitique ».
Pierre Goselin de NoTricksZone a trouvé un article sur ce demi-tour nucléaire dans le Berliner Morgenpost. Sinon, ce sont les grillons des médias du monde.
Nucléaire : l'Italie envisage un revirement de sa politique énergétique
par Micaela Taroni
Mais sous la pression de la crise énergétique, les Italiens ont soudain pris douloureusement conscience de leur forte dépendance vis-à-vis de l'électricité étrangère. Le sujet émeut les citoyens car ils ressentent clairement l'augmentation de leur facture d'électricité malgré le soutien du gouvernement.
Bien que les énergies renouvelables se soient considérablement développées ces dernières années, la production d'électricité verte est loin d'être suffisante.
Pas étonnant que le nouveau gouvernement autour de la populiste de droite Giorgia Meloni considère le retour à l'énergie nucléaire, auquel les Italiens avaient renoncé à la suite d'un référendum en 1987, comme une solution aux problèmes énergétiques.
Le ministre de l'Infrastructure (qui se trouve être à la tête du deuxième plus grand parti de la Coalition) est très enthousiaste :
« L'Italie ne peut pas être le seul grand pays au monde sans énergie nucléaire. On ne peut pas parler de sortie du gaz, de l'essence et du diesel sans parler de l'énergie nucléaire », a expliqué [Matteo] Salvini, proposant qu'une centrale nucléaire soit construite à Milan, dans son quartier de Baggio.
RépondreSupprimerLorsque les écologistes ont objecté que l'Italie était un pays densément peuplé sujet aux tremblements de terre, aux glissements de terrain et aux inondations, et sur le sol duquel il serait préférable de ne pas construire de réacteurs nucléaires, Salvini a répondu qu'il y avait 440 réacteurs nucléaires en activité dans le monde, dont plusieurs au Japon sismiquement actif. et une douzaine d'entre eux en France, juste de l'autre côté de la frontière italienne. "Les réacteurs de dernière génération sont la forme de production d'énergie la plus sûre et la plus propre, c'est l'avenir", a assuré le patron de la Lega.
Comme d'habitude, les partis de gauche qui veulent réduire les émissions feront tout pour ne pas y parvenir. Apparemment, le gros problème avec l'énergie nucléaire est que même si elle résoudra leurs craintes d'émissions, elle ne respectera pas une échéance arbitraire du comité que personne d'autre ne respectera de toute façon :
Les sociaux-démocrates voient dans cette "transition verte" une opportunité pour l'économie du pays. Ils s'opposent au nucléaire car, selon eux, le calendrier et les technologies existantes sont incompatibles avec une réduction significative des émissions de CO2 d'ici 2030.
C'est presque comme si les sociaux-démocrates n'étaient que les sbires inutiles des grands banquiers ou de l'industrie des énergies renouvelables. Ce qu'ils craignent plus que la catastrophe climatique, c'est la fin de leur fausse crise.
Alors la grande question, est-ce que les Italiens accepteront une centrale nucléaire maintenant ?
(La traduction ici vient juste de Chrome, ne blâmez pas Pierre ! )
L'Association nucléaire mondiale a plus d'informations sur l'énergie nucléaire en Italie.
https://joannenova.com.au/2023/01/italy-may-build-back-nuclear-not-quite-the-great-reset-the-greens-or-financial-houses-had-in-mind/
Pourquoi changer le nom d’une commune ?
RépondreSupprimerL’enjeu est de donner, à des degrés divers, une meilleure visibilité à la commune ainsi qu’une image plus distincte et plus valorisante.
le 2 janvier 2023
Par Eric Delattre.
The Conversation
Bono, Cadillac, Cramchaban, Montreuil et Saint-Christophe. Telles sont les cinq communes situées respectivement dans le Morbihan, en Gironde, en Charente-Maritime, dans le Pas-de-Calais et dans l’Allier qui changeront de nom au 1ᵉʳ janvier 2023. Il faudra désormais les appeler Le Bono, Cadillac-sur-Garonne, Cram-Chaban, Montreuil-sur-Mer et Saint-Christophe-en-Bourbonnais.
L’an passé elles étaient au nombre de 11 et le phénomène n’a rien d’une mode récente. Au cours de l’Histoire, les guerres et invasions, les regroupements et les scissions ou simplement l’évolution de la langue ont conduit nombre de communes à être rebaptisées. À la Révolution, elles n’ont pas été moins de 3000 concernées. Un décret de la Convention nationale du 16 octobre 1793 a en effet appelé à modifier « les noms qui peuvent rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou de la superstition ». Si la plupart des communes ont ultérieurement retrouvé leur appellation d’origine, la problématique du changement de nom n’a pas pour autant disparu.
Depuis 1943, le fichier historique des communes de l’Insee, adossé au Code officiel géographique (COG) permet de recenser les évolutions officielles. Près de 1352 changements sont ainsi recensés en plus des cinq de cette année et ce sans comptabiliser les créations de communes nouvelles. Depuis 2000, le nombre s’élève à 165.
Dans la grande majorité des cas, il s’agit d’un allongement du nom, Saint-Loup devenu par exemple Saint-Loup-des-Bois ; Laval, Laval-en-Belledonne. Les changements d’orthographe ou de typographie (de Sougéal vers Sougeal, Montgaillard vers Montgailhard) ne sont pas rares non plus, contrairement aux simplifications telles qu’un passage de Champdeniers-Saint-Denis à Champdeniers et aux modifications combinatoires du type Barret-le-Bas vers Barret-sur-Méouge.
Le choix d’un nom nouveau est, lui, encore plus rare et les nouveautés totales semblent se limiter aux cas de fusions. Dans les Côtes-d’Armor, suite à la fusion de Plémet et La Ferrière en 2016, la commune nouvelle est appelée Les Moulins (avant de reprendre le nom de Plémet dès la fin 2017).
Quand elle n’est pas contrainte par une réorganisation administrative, qu’est-ce qui peut bien pousser un conseil municipal à entreprendre la démarche ? Ce que nous montrons dans un travail de recherche récent, c’est que, bien que cela ne puisse pas être présenté comme un motif devant les administrations centrales, les enjeux d’image tiennent une place centrale.
Une procédure très encadrée
Revenons tout d’abord sur la procédure à suivre pour en montrer les limites. La note d’information relative à l’instruction de demandes de changement de nom des communes du 6 février 2021 rappelle les différentes étapes et les différentes contraintes.
Est considéré comme changement de nom, toute modification du nom officiel y compris « de simples rectifications d’orthographe ». La demande de changement doit être initiée par la commune par une délibération du conseil municipal transmise au préfet du département. Celui-ci vérifie le respect des règles de graphie liées notamment aux traits d’union, aux majuscules ou aux accents. Il sollicite l’avis du service des archives départementales puis saisit le Conseil départemental pour avis.
Suite à la suppression de la Commission de révision du nom des communes en 2019, l’acceptation ou le refus du changement se fait par un simple examen des dossiers par la Direction générale des collectivités locales (DGCL), contenant les délibérations et avis de tous les acteurs précités. Pour prendre sa décision, elle tient compte du respect des règles de jurisprudence du Conseil d’État selon lesquelles un changement de nom doit être justifié par la volonté de retrouver une appellation historique ou bien la volonté de se différencier d’autres communes.
En revanche, les changements fondés « sur des considérations de simple publicité touristique ou économique » sont rejetés. La DGCL peut aussi consulter des personnalités issues par exemple de la Commission nationale de toponymie, de l’Institut national de l’information géographique et forestière (l’IGN), du Centre national de la recherche scientifique (le CNRS) ou des Archives nationales.
RépondreSupprimerDes erreurs régulières
Bien que strictement encadrée, la procédure semble néanmoins imparfaite. Notamment, car les conséquences d’une « modification des limites territoriales des communes », comme c’est le cas notamment de la création d’une commune nouvelle suite à une fusion, sont exclues de la procédure.
Dans cette situation, le changement de nom est décidé par les autorités ayant approuvé la fusion et fait l’objet d’un arrêté préfectoral. Or selon le média Maire Info, « plus du tiers des noms de communes nouvelles créées entre 2015 et 2017 (168 sur 479) étaient orthographiés de façon impropre ». C’est-à-dire qu’ils ne respectaient pas les règles de graphie en raison de l’absence ou d’un mauvais usage des majuscules, traits d’union ou accents. C’est le cas par exemple des nouvelles communes de « La Corne en Vexin », sans traits d’union, ou de la ville du général de Gaulle « Colombey les Deux Eglises », sans trait d’union ni accent sur « Eglises » (seul l’accent est revenu depuis).
En changeant de nom à la suite d’une fusion, Colombey les Deux Églises a perdu ses tirets.
René Hourdry/Wikimedia, CC BY-SA
Même si de telles erreurs semblent désormais moins fréquentes, il est assez frappant de noter qu’un nombre élevé de changements concernent des modifications du nom qui avait été choisi lors de la création d’une commune nouvelle. En 2022, Le Hom (Calvados) est ainsi devenu Thury-Harcourt-le-Hom. Idem pour Capavenir Vosges redevenu Thaon-les-Vosges.
Surtout, si la procédure actuelle a le mérite d’éviter les changements abusifs ou arbitraires, elle semble ignorer les enjeux de communication liés au nom des communes et plus généralement des collectivités. Or ils existent bel et bien.
Des enjeux d’image indéniables
En effet, au-delà de ce que permet la loi, l’analyse permet dans les faits de mettre en évidence quatre grands types de changements. Les changements d’orthographe ou de typographie se limitent à des modifications mineures visant généralement à simplifier l’écriture, à faciliter la prononciation ou à retrouver une graphie altérée par l’usage. Ainsi, cette année, l’orthographe « Cram-Chaban » permet de retrouver l’ancien nom de la commune, correspondant à la combinaison du nom du village « Cram » à celui de son principal hameau « Chaban ». De la même façon, le nom « Le Bono » étant très largement utilisé pour désigner la commune, il deviendra, au 1er janvier, le nom officiel en remplacement de « Bono ».
Les changements de différenciation sont ceux qui permettent de mieux situer géographiquement une commune et d’éviter les confusions avec des communes homonymes. Ils s’effectuent généralement en ajoutant une référence régionale ou locale, à l’instar de Saint-Christophe-en-Bourbonnais. Ce type de changement a été et reste encore largement encouragé par les pouvoirs publics. Il reste encore par exemple neuf communes françaises homonymes dénommées « Saint-Pierre ».
RépondreSupprimerEn dépit de ce que pose la note d’information prémentionnée, on retrouve également des changements d’image, ceux qui visent à donner une image plus forte, plus positive, plus moderne ou plus touristique. Ils consistent généralement à simplifier des noms à rallonge, à éliminer certains termes jugés péjoratifs tels que « froid » ou « bas » ou à choisir un nom valorisant, avec des connotations positives. Veules-les-Roses ou Condé-en-Normandie sont des appellations plus touristiques que Veules-en-Caux ou Condé-Noireau par exemple.
En 1997, la préfecture de l’ancienne région Champagne-Ardenne, Châlons-sur-Marne, devient Châlons-en-Champagne. Certes les deux noms cohabitaient dans le langage courant, mais qui niera qu’il n’y a pas aussi là des enjeux d’image et de tourisme ? De même, en Dordogne, pour Montignac qui devient en 2020 Montignac-Lascaux.
Ces enjeux ne sont pourtant pas nouveaux. L’ordonnance du 8 juillet 1814 recommandait ainsi aux communes ayant adopté des noms révolutionnaires de reprendre leur ancienne appellation dans la mesure où « leur nouvelle dénomination, inconnue même dans les départements dont ces communes font partie, est nuisible aux relations de commerce ». À une époque où les maires sont aussi devenus des managers, peut-on encore considérer que le changement de nom ne soit pas directement lié à des objectifs de communication ?
Un signal
Les changements stratégiques sont les plus rares. Il s’agit de marquer une rupture ou une évolution importante. Cela peut être le cas, lors d’une fusion, lorsqu’un nom totalement nouveau est choisi, à l’instar de Perceneige (Yonne) issu de la fusion de 7 villages en 1972.
Ces catégories de changements ne sont pas exclusives les unes des autres. Les changements orthographiques ou de différenciation s’inscrivent ainsi généralement dans des impératifs d’image et de promotion, le nom étant à la fois, par son origine et son histoire, un composant de l’identité et le principal véhicule de cette identité.
Montreuil-sur-Mer permet à la fois de se différencier des trois autres communes françaises dénommées Montreuil, de valoriser une commune qui a le rang de sous-préfecture et de souligner le potentiel touristique d’un lieu connu à travers le monde pour avoir fictivement eu comme maire Jean Valjean dans le roman Les Misérables de Victor Hugo.
Quelle que soit la raison initiale des changements de nom, ils ont tous pour point commun de pouvoir être envisagés comme un signal envoyé par les autorités communales à l’ensemble des parties prenantes (administrés, touristes, commerçants, dirigeants d’entreprise et investisseurs potentiels…) leur permettant de mieux saisir l’identité de la commune. L’enjeu est de donner, à des degrés divers, une meilleure visibilité à la commune ainsi qu’une image plus distincte et plus valorisante.
RépondreSupprimerEric Delattre, Maître de Conférences en Gestion, Université de Lille
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.
https://www.contrepoints.org/2023/01/02/447210-pourquoi-changer-le-nom-dune-commune
Par exemple (dans la Haute-Marne) 'Colombey-les-deux-mosqués', ou Parigolo pour la Capitale.
SupprimerAutomobile : les pièces détachées seront moins chères en 2023
RépondreSupprimerRétroviseur, phares… une petite inattention ou un automobiliste peu regardant (quand ce n’est pas un acte volontaire) et les voilà hors service. Gênant, autant sur le plan esthétique que sur celui de la sécurité. Et c’est parti pour une réparation, parfois longue et surtout coûteuse.
Par Paolo Garoscio
le 2 janvier 2023 à 6h24
Remplacer un rétroviseur électrique peut coûter 250 euros hors main d'oeuvre.
Du moins, à partir du 1er janvier 2023, la réparation coûtera un peu moins cher. Les pièces détachées bénéficient en effet de la loi Climat.
Libéralisation du marché de certains pièces détachées automobiles
Afin de faciliter le recyclage mais aussi de réduire les déchets et de rendre plus accessibles les pièces détachées, la loi Climat s’y est intéressée. Car jusqu’en 2022, une règle s’appliquait. Les constructeurs automobiles avaient le monopole de la vente des phares, rétroviseurs et autres pièces de carrosserie visible. Un monopole très long : 25 ans.
Seuls les constructeurs, soit Stellantis, Renault et autres, pouvaient vendre aux garages les pièces nécessaires aux réparations. Et, forcément, qui dit monopole dit prix élevés. Surtout depuis que les difficultés de productions liées aux pénuries et à la pandémie causent des soucis aux industriels du monde entier.
Mais désormais, c’est terminé. Le marché est libéralisé. Du moins, sur le papier. Car, dans les faits, c’est beaucoup plus compliqué.
Des pièces vieilles de 10ans à acheter uniquement chez certains fabricants
Sur le principe, les pièces détachées peuvent donc être achetées auprès d’autres revendeurs que les constructeurs. Mais dans les faits, ce n’est pas vraiment le cas. Mis à part pour les vitres, où la libéralisation du marché est totale, les pièces de carrosserie restent protégées par le droit d’auteur.
Auparavant, cette protection avait une validité de 25 ans. Autant dire qu’avec des véhicules dont la durée de vie moyenne tourne autour de 10 ans, le monopole des constructeurs était total. Désormais, la protection dure… 10 ans justement. Ce ne sont donc que les vieux modèles qui bénéficient de la mesure. Tous ceux sortis avant 2013, en l’occurrence.
Et même là, il y a des limites : seuls les équipementiers officiels des constructeurs peuvent produire les pièces de remplacement. Ces derniers produiront et vendront des pièces moins chères, qui seront distribuées aux garagistes. Selon les estimations, les économies seraient entre 15% et 30% par rapport au prix actuel.
Mais la restriction appliquée en terme d'années limite les effets de la mesure et, surtout, le gain pour le pouvoir d’achat des ménages.
https://www.economiematin.fr/pieces-detachees-vente-prix-baisse-mesure-climat
Le Congrès interdit TikTok sur les appareils officiels et appelle l'application un risque pour la sécurité
RépondreSupprimerdimanche 01 janvier 2023
par : Belle Carter
(Natural News) Les administrateurs de la Chambre des représentants des États-Unis ont demandé à tous les législateurs et au personnel de désinstaller TikTok des appareils officiels, qualifiant l'application de risque pour la sécurité du peuple américain.
Selon la correspondance électronique officielle, le personnel doit supprimer et ne jamais réinstaller l'application de tout appareil émis par le Congrès. "Le Bureau de la cybersécurité a estimé que l'application mobile TikTok présentait un risque élevé pour les utilisateurs en raison d'un certain nombre de risques de sécurité", a déclaré le courrier électronique du Comité sur l'administration de la Chambre alors que le 117e Congrès concluait ses travaux.
L'application appartenant à l'entreprise chinoise avait également été interdite sur les appareils gouvernementaux dans le cadre du projet de loi de dépenses omnibus de 1,7 billion de dollars.
Plusieurs législateurs ont voulu aller encore plus loin et interdire entièrement l'application aux États-Unis. Le sénateur Marco Rubio et le membre du Congrès Mike Gallagher ont présenté le projet de loi intitulé "Anti-social CCP Act", qui indique que la plate-forme d'hébergement de vidéos abrégées est la technologie d'espionnage de la Chine communiste sur les Américains.
Un porte-parole de la plate-forme de médias sociaux a déclaré que cette décision était "une interdiction politiquement motivée qui ne fera rien pour faire progresser la sécurité nationale des États-Unis".
Cependant, la société mère de TikTok, ByteDance, a récemment admis que quatre de ses employés avaient utilisé l'application pour espionner des journalistes du Financial Times et de BuzzFeed News.
Dans un e-mail interne de l'entreprise vu par le New York Times, l'entreprise a déclaré avoir demandé à quatre employés de trouver la source des communications internes divulguées l'été dernier. Les employés ont décidé d'accéder aux adresses IP et à d'autres données de plusieurs citoyens américains via leurs comptes TikTok, mais n'ont finalement pas trouvé ce qu'ils cherchaient.
"La confiance du public que nous avons déployé d'énormes efforts pour bâtir va être considérablement sapée par l'inconduite de quelques individus", a déclaré le PDG de ByteDance, Liang Rubo, dans un e-mail interne.
Le PDG de TikTok, Shou Zi Chew, a déclaré qu'il était déçu par les employés et que l'entreprise prend la sécurité des données "incroyablement au sérieux". TikTok a initialement nié les allégations, insistant sur le fait qu'il ne collectait pas "d'informations de localisation GPS précises auprès des utilisateurs américains" et n'utilisait que des adresses IP pour aider à afficher "du contenu et des publicités pertinents".
Les grandes entreprises technologiques détournent des données personnelles pour contrôler la vie des gens
RépondreSupprimerLes critiques et les observateurs disent que les géants de la technologie prennent le contrôle de la vie de leurs utilisateurs en détournant des données personnelles. Il a été discuté en détail dans le livre intitulé "The Age of Surveillance Capitalism", écrit par Shoshana Zuboff, psychologue sociale et professeur à l'Université de Harvard. (Connexe : Shoshana Zuboff : Les grandes entreprises technologiques détournent des données personnelles pour contrôler la vie des gens.)
Dans une critique du livre, le célèbre promoteur de la médecine alternative, le Dr Joseph Mercola, a déclaré que les informations – également appelées «flux de données comportementales excédentaires» – sont recueillies à l'insu des internautes. Les technocrates les utilisent pour surveiller les comportements d'achat et les préférences des utilisateurs qui leur donneraient la possibilité de générer des profits pour eux-mêmes.
« Nous sommes devenus le produit. Nous sommes la véritable source de revenus dans cette économie numérique », a souligné Mercola.
Dans un documentaire vidéo, Zuboff a déclaré : « Le terme « capitalisme de surveillance » n'est pas un terme arbitraire. Pourquoi surveiller ? Parce que ce doivent être des opérations conçues comme indétectables, indéchiffrables, masquées par une rhétorique qui vise à nous égarer, à nous obscurcir et à nous embrouiller tous, tout le temps.
Dans la vidéo, l'auteur explique comment le capitalisme de surveillance est né. Selon elle, une start-up nommée Google a eu du mal à survivre après la crise des dot.com de 2000 qui a fait éclater la bulle Internet.
Mais le moteur de recherche a reçu un coup de pouce lorsque ses fondateurs Larry Page et Sergey Brin ont accidentellement découvert que les « données résiduelles » laissées par les utilisateurs lors de leurs recherches sur Internet pouvaient être échangées et vendues. En compilant ces données résiduelles, ils pourraient prédire le comportement des internautes et garantir aux annonceurs une audience plus ciblée.
Visitez BigTech.news pour plus d'informations sur l'application chinoise Tiktok.
Regardez la vidéo ci-dessous qui parle de TikTok surpris en train d'espionner des journalistes américains.
Cette vidéo provient de la chaîne NewsClips sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
RépondreSupprimerIndiana poursuit Tiktok pour accès aux données des consommateurs et contenu sexuel.
De nouvelles recherches révèlent que des sites de médias sociaux comme Meta, Instagram et Tiktok peuvent surveiller les frappes au clavier pour obtenir des informations privées.
Les anciens agents de surveillance israéliens occupent des centaines de postes auprès de grands géants de la technologie comme Google, Facebook, Microsoft.
Des employés de Facebook accusés d'avoir « détourné » des comptes d'utilisateurs licenciés après avoir accepté des pots-de-vin de pirates extérieurs.
Sources include:
RT.com 1
Twitter.com
RT.com 2
ChildrensHealthDefense.org
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-01-01-congress-bans-tiktok-on-official-devices.html
Art Artificiel
RépondreSupprimerThéodore Dalrymple
30 décembre 2022
Pour nous tous qui gribouillons pour la publication, aussi bas soit-il, toutes les activités autres que l'écriture prennent tout au plus une importance secondaire. Même les repas, nécessaires comme ils le sont sans aucun doute, peuvent apparaître comme des interruptions indésirables de la véritable activité de la vie, qui est l'écriture. Nous sommes susceptibles d'oublier que la lecture en général, et notre travail en particulier, n'ont pas la même importance pour 99,99 % de la population, y compris cette partie de celle-ci qui a un grand pouvoir sur nos vies, que pour nous. C'est une pensée humiliante (c'est-à-dire pour les gribouilleurs) que dans de nombreuses petites villes, il est plus facile de trouver une cigarette électronique ou de se faire tatouer que d'acheter un livre.
Et vient maintenant un autre coup porté à notre estime de soi, cette caractéristique mentale qui est la plus fondamentale de tous les droits de l'homme modernes. Mon collègue écrivant dans cet auguste journal, M. Charles Norman, m'a récemment alerté sur un site qui, grâce à l'intelligence artificielle, produira un court essai cohérent et même convaincant sur presque tous les sujets. Il a illustré les pouvoirs du site en lui demandant une critique marxiste-léniniste de Winnie-the-Pooh, citant les travaux du regretté historien marxiste et féroce snob Eric Hobsbawm. Les paragraphes résultants, générés en quelques secondes, étaient mieux écrits que beaucoup de doctorants contemporains ne pourraient le faire, et se rapprochaient en fait de ce que j'aurais moi-même écrit si on m'avait demandé de produire quelque chose sur le même sujet.
J'ai ensuite essayé une analyse marxiste de "Le morse et le charpentier" de Lewis Carroll. Avec un vrai manque d'humour marxiste, la réponse est revenue presque instantanément que, entre autres, les huîtres du poème souffraient d'une fausse conscience, dans la mesure où elles avaient été dupées par le morse et le charpentier pour se promener avec eux dans la croyance que leurs exploiteurs pensaient bien à eux.
« Se pourrait-il que les écrivains soient un jour aussi redondants que, disons, les charrons ou les crieurs publics ?
Je n'ai pas pu m'empêcher de demander au site une critique de moi-même, et en quelques secondes j'ai eu ce que je pensais être une critique parfaitement raisonnable, bien qu'en fin de compte erronée (bien sûr), de mon travail, à savoir qu'il était fondé sur l'impression et l'anecdote plutôt que sur une recherche statistique sérieuse. J'utilise des stéréotypes et il est impossible de dire si les histoires que je raconte sont vraies ou non. Ce sont précisément les critiques que je me ferais si je critiquais mon travail de l'extérieur, pour ainsi dire. Le fait que je puisse me défendre de ces critiques n'est ni ici ni là : L'étonnant, et un peu alarmant, c'est que le site d'IA soit capable de générer une critique parfaitement raisonnable, exprimée de façon claire, concise et cohérente, en une matière de secondes. L'élégance et l'esprit y manquent, mais peut-être (non, presque certainement) seront-ils possibles un jour, ajoutés comme du sel ou du poivre à un plat, selon que l'auteur de la question les souhaite ou non.
Cependant, être étonné n'est pas la même chose qu'être satisfait. Se pourrait-il que les écrivains soient un jour aussi redondants que, disons, les charrons ou les crieurs publics ? Et puis, pensant à la question du point de vue purement égoïste, que ferais-je à la place ? Pour l'instant je peux me consoler qu'aucun simple ordinateur ne puisse égaler mon style, mais nous n'en sommes encore qu'aux balbutiements de l'intelligence artificielle.
RépondreSupprimerLa redondance ne sera pas le destin des seuls écrivains : les peintres, les chanteurs d'opéra, les pianistes, les médecins, en fait tout le monde, seront licenciés, comme l'avait prédit Isaac Asimov. Il ne nous restera plus qu'à nous distraire du mieux que nous pourrons ; mais quand la distraction devient toute l'affaire de la vie, il en résulte un ennui d'un genre particulier.
J'ai longtemps pensé que le divertissement, ou plutôt l'omniprésence du divertissement, est l'une des plus grandes causes d'ennui dans le monde moderne. Et l'ennui est lui-même un état d'esprit largement sous-estimé dans la production de l'inconduite humaine et donc de la misère.
La raison pour laquelle une trop grande proportion de divertissement dans la vie d'une personne conduit à l'ennui (bien qu'il ne soit pas toujours facile de décider si la poule de l'ennui vient avant l'œuf du divertissement) est que la réalité peut rarement se compléter avec elle pour une stimulation et une excitation brutes. . La réalité, le monde réel, évolue très lentement par rapport au monde tel qu'il est décrit dans le divertissement, mais les gens doivent encore pour le moment entrer dans le monde réel de temps en temps ; ils ne peuvent pas mener des vies entièrement virtuelles.
Lorsqu'ils entrent dans le monde réel, ils le trouvent donc ennuyeux et ennuyeux par rapport à leurs divertissements ; il faut de la discipline mentale et de l'entraînement pour trouver le vrai monde d'intérêt à une époque de distraction.
Mes patients me demandaient souvent comment ils pouvaient se retrouver, toujours dans l'hypothèse que ce qu'il y avait à y trouver ressemblait au Cullinan Diamond, c'est-à-dire d'une valeur inestimable ; à quoi je répondis qu'il était beaucoup plus important pour eux de pouvoir se perdre, c'est-à-dire se perdre dans un intérêt actif qui occupait leur esprit. Le problème avec mon sage conseil était que je ne pouvais jamais trouver de réponse à la question qu'ils posaient, assez naturellement après avoir donné le conseil, à savoir "Comment puis-je faire cela ?"
Si quelqu'un est arrivé à l'âge adulte sans avoir développé le genre d'intérêt que je conseillais, peut-il alors le développer sur ordonnance, parce qu'il pense que cela lui ferait du bien ? Il y a ici une légère analogie avec la foi religieuse : c'est très bien de dire, comme beaucoup le font, que la croyance religieuse est consolatrice et a des effets bénéfiques à la fois individuellement et socialement, mais si vous ne pouvez pas donner votre assentiment à ses doctrines, ces avantages sont tous à côté. le point. La religion observée uniquement pour ses bienfaits psychologiques ou sociaux et non pour ses vérités ne peut survivre très longtemps. Ses avantages reposent sur la conviction que ses doctrines sont vraies.
Ici, il est temps de prendre connaissance de ce que l'intelligence artificielle dit de moi : ses opinions [c'est-à-dire mes] peuvent être considérées comme simplistes et manquant de nuances.
RépondreSupprimerQuand, cependant, je change le mot « critique » de mon travail en « forces », je lis « Il est connu pour son style d'écriture clair et engageant… et a un large éventail d'intérêts [qui] lui donne une perspective unique. »
Pour l'instant, il faut l'intelligence humaine, et j'espère qu'elle le fera toujours, pour décider laquelle de ces évaluations est la plus pertinente.
Le dernier livre de Theodore Dalrymple est Ramses: A Memoir, publié par New English Review.
https://www.takimag.com/article/artificial-art/
(...) (bien qu'il ne soit pas toujours facile de décider si la poule de l'ennui vient avant l'œuf du divertissement) (...)
SupprimerInfo comme étant redondante, 'entre la poule et l’œuf qui est arrivé en premier ?'
Perso, je dirai (c'est perso !) que le premier était le coq. Because que toutes les poules font des œufs même sans jamais avoir rencontré de coq et que cet œuf peut être couvé durant 110 ans il n'éclora jamais un poussin si le coq n'était présent.
Donc, s'il y a œuf il n'y a pas forcément de poule (ou de coq).
C'est une nouvelle ère
RépondreSupprimer30 décembre 2022
Charles Hugh Smith
Cette dynamique - qui aggrave les problèmes en forçant plus de tout ce qui fonctionnait à l'époque précédente dans une nouvelle ère saturée et de plus en plus instable - reçoit peu d'attention ou de compréhension.
Les époques peuvent durer des décennies, et seuls ceux qui ont vécu assez longtemps pour se souvenir des époques précédentes ont connu la transition d'une époque à l'autre. L'ère de la financiarisation, de la mondialisation et du pétrole/gaz naturel bon marché et abondant a commencé il y a plus de 40 ans en 1981.
L'ère des technologies numériques / Internet a pris son envol il y a environ 30 ans. Toutes ces dynamiques se sont accélérées au début des années 2000, il y a environ 20 ans.
Seuls les 60 ans et plus ont travaillé à une époque antérieure (avant 1981).
Toutes ces dynamiques entrent dans une phase de turbulence non linéaire, car les changements dépassent la capacité d'auto-correction de ces systèmes hautement simplifiés / optimisés.
Cette instabilité non linéaire est accélérée en faisant plus de ce qui a fonctionné à l'ère précédente, dans la croyance erronée que les années 2020 ne sont qu'une extension des époques qui ont commencé il y a 40 et 30 ans.
Les correctifs qui ont fonctionné dans le passé ne résoudront pas l'instabilité non linéaire car toutes ces dynamiques ont atteint la saturation : ajouter plus de dette ne génère plus d'expansion organique de la productivité, cela ne fait que gonfler une bulle crédit-actif encore plus grande et plus instable.
La mondialisation a été optimisée jusqu'au point de saturation : les inconvénients potentiels pour la sécurité nationale l'emportent sur les gains marginaux restants dans la rentabilité des entreprises.
La financiarisation a tellement déformé l'économie que le pari sur des spéculations inutiles est désormais considéré comme le meilleur (ou le seul) moyen d'avancer.
Lorsqu'un système a absorbé tout ce qu'il peut absorber, en ajouter davantage n'est qu'un gaspillage de ressources.
Nous sommes entrés dans une nouvelle ère, et donc les correctifs et les incitations qui ont fonctionné au cours des 40 dernières années ne fonctionnent plus.
L'idée que les 30 dernières années n'étaient pas une ère permanente mais une anomalie qui touche à sa fin ne convient pas à tous ceux qui n'ont connu que les "30 glorieuses" années d'énergie bon marché, d'actifs en plein essor et de prix en baisse en raison de l'hyper-mondialisation et l'hyper-financiarisation.
RépondreSupprimerL'idée que cette nouvelle ère puisse évoluer de manière imprévisible est également un anathème pour une culture et une économie technocratiques qui se targuent de tout prévoir et de tout contrôler avec du crédit et de l'argent.
Les 40 dernières années d'abondance matérielle ont nourri la conviction que la solution à toute pénurie est de créer plus d'argent, car une partie de ce nouvel argent servira inévitablement à éliminer la rareté.
L'idée que certaines pénuries ne peuvent pas être résolues en créant plus d'argent ne tient pas.
Il peut s'avérer que toutes les leçons que nous avons apprises au cours des 40 dernières années seront non seulement inutiles dans cette nouvelle ère, mais aussi désastreusement contre-productives.
Leur succès sans précédent pendant des décennies peut nous aveugler sur le pouvoir des solutions précédentes d'aggraver nos problèmes qu'ils ne l'auraient été si nous avions reconnu la nouvelle ère pour ce qu'elle est plutôt que de voir l'avenir comme une extension transparente de l'ère précédente.
Cette dynamique - qui aggrave les problèmes en forçant plus de tout ce qui fonctionnait à l'époque précédente dans une nouvelle ère saturée et de plus en plus instable - reçoit peu d'attention ou de compréhension.
Cette dynamique nous aide à comprendre pourquoi des systèmes qui semblaient permanents et éternels peuvent se déstabiliser et s'effondrer à une vitesse étonnante.
Nous pensions y remédier en faisant davantage ce qui fonctionnait par le passé, mais nous accélérions en fait les turbulences et la déstabilisation.
Nous avons du mal à abandonner l'idée que le passé récent est un guide précis pour l'avenir. Dans les ères stables, c'est généralement le cas, mais pas lorsqu'une ère se termine et qu'une nouvelle commence.
https://www.oftwominds.com/blogdec22/new-era12-22.html
Le grain de blé (comme toutes autres herbes) germe et pousse gratuitement depuis des millions d'années.
SupprimerSon prix est défini par sa rareté ainsi qu'à son travail pour tenir la plante arrosée et amendée et pour le couper pour en extraire de la farine.
Oui mais voilà que sont arrivées les machines ! Et, ces dernières peuvent travailler 24/24 h et 7/7 j sans demander salaire sinon énergie.
Donc: le prix du grain devrait être inférieur à ce qu'il était au temps des faucheurs de blé.
Mais voilà qu'est arrivée l'Inflation. Qu'est-ce ? L'inflation est la baisse de la valeur d'une monnaie (dont le champs de blé s'en fout royalement !).
Nous avons donc là 2 sujets: le grain de blé et son prix affiché.
Une vache va paître et ne demande jamais son prix au brin d'herbe. Inflation zéro.
Là arrive sa valeur marchande vis-à-vis des coûts de l'énergie, de l'amortissement de la machine à couper (moissonneuse-batteuse) ainsi que le paiement de l'employé conducteur à quoi faut-il ajouter un impôt foncier sur les terres achetées et qui appartiendraient toujours à l’État et plus encore aux coûts d'arrosage avec de l'eau gratuite mais qui est taxée ! (plus les frais de stockage et de transport + distribution).
On sent là qu'il y a manigance et escroquerie qui vont de pair.
2022… L'année qui a marqué la fin de l'hégémonie américaine
RépondreSupprimerCulture stratégique
2 janvier 2023
La guerre en Ukraine a dominé l'année écoulée. D'autres crises mondiales liées à la flambée des prix de l'énergie et des denrées alimentaires sont des dommages collatéraux du conflit en Ukraine.
Le conflit n'est pas simplement un conflit localisé au centre de l'Europe aux portes de la Russie impliquant un régime réactionnaire anti-russe à Kiev. Le conflit représente une confrontation historique entre les États-Unis et leurs alliés dans l'alliance militaire de l'OTAN qu'ils dirigent, et la Russie. La confrontation a été longue à venir.
Cela n'avait pas à se produire de cette manière violente et atroce.
La Russie avait depuis longtemps averti les États-Unis et ses partenaires de l'OTAN que l'expansion de l'alliance vers les frontières de la Russie constituait une menace stratégique inacceptable pour la sécurité. Les avertissements de Moscou sont restés lettre morte année après année.
Il y a près d'un an, la Russie a proposé une voie diplomatique ultime pour éviter les conflits en appelant à un traité de sécurité global, basé sur le principe précédemment accepté de « sécurité indivisible ». Cette initiative diplomatique a été rejetée du revers de la main par Washington et ses alliés européens.
Moscou avait averti à plusieurs reprises qu'il n'accepterait pas la poursuite de la militarisation du régime néonazi de Kiev. Huit ans de guerre de faible intensité contre les russophones dans l'ancien sud-est de l'Ukraine devaient cesser. La militarisation de l'Ukraine par l'OTAN et son adhésion vantée à l'alliance étaient la ligne rouge de la Russie. Ce sont les États-Unis et leurs partenaires de l'OTAN qui ont choisi de franchir cette ligne. Dans ce cas, le président russe Vladimir Poutine s'est engagé à prendre des mesures militaro-techniques. Le démantèlement militaire du régime de Kiev qui a commencé le 24 février en a été le résultat.
Ce qui s'est passé est une quasi-guerre entre l'OTAN et la Russie. L'Ukraine a été inondée d'arsenaux de l'OTAN. Des attentats sont perpétrés au plus profond de la Russie et les politiciens et experts occidentaux parlent imprudemment et grossièrement d'assassiner les dirigeants russes et de faire pression pour un changement de régime à Moscou.
Il est clair que l'Ukraine a été l'occasion de déclencher des plans impériaux de longue date des États-Unis pour attaquer la Russie. La richesse naturelle de la Russie est un prix convoité pour les ambitions d'hégémonie mondiale de Washington. La guerre en Ukraine a apporté des gains partiels à Washington. L'Europe est plus que jamais soumise à la tutelle américaine. La vente de gaz et d'armes à l'Europe a profité à l'économie capitaliste chancelante des États-Unis. Les Russes ont été tenus à l'écart, les Américains à l'intérieur et les Allemands (les Européens) à terre, comme les fondateurs de l'OTAN l'envisageaient peu après la Seconde Guerre mondiale.
Les relations géopolitiques entre les États-Unis/l'Occident et l'Union soviétique/la Russie ont longtemps été ponctuées d'épisodes de détente, comme l'a noté le regretté érudit respecté Stephen F Cohen dans son dernier livre, War With Russia?
Dans les années 1930, il y a eu une détente après que les États-Unis ont finalement accepté de reconnaître la souveraineté de l'Union soviétique. Cette détente a produit une alliance opportune afin de vaincre l'Allemagne nazie. Mais dès que le Troisième Reich a été vaincu, les États-Unis et leur allié britannique sont rapidement passés à une nouvelle ère d'hostilité connue sous le nom de guerre froide.
La détente a repris sous la présidence de John F Kennedy dans les années 1960 en raison de la crainte d'une destruction mutuellement assurée par la guerre nucléaire. Plusieurs traités historiques de maîtrise des armements ont été négociés au cours des décennies suivantes.
RépondreSupprimerCependant, suite à l'effondrement de l'Union soviétique en 1991, les États-Unis ont rapidement adopté un nouveau fanfaron impérial et un mépris pour la Fédération de Russie. La notion arrogante de superpuissance unique et de domination totale s'est imposée.
Malgré les promesses antérieures, les États-Unis et leur véhicule de l'OTAN pour la puissance militaire américaine ont empiété sans relâche sur les frontières de la Russie, doublant plus que le nombre de leurs membres sur une période de 30 ans. Les exercices de guerre visant la Russie et les nouvelles installations de missiles à travers l'Europe, la déchirure des traités de contrôle des armements et le recrutement délibéré d'anciennes républiques soviétiques étaient tous des signes d'une chose : la Russie devait être conquise d'une manière que l'Allemagne nazie des décennies précédentes pouvait pas atteindre.
Le modèle de détente intermittente des États-Unis envers Moscou a toujours été un jeu cynique d'opportunisme. Après la prétendue fin de la guerre froide, Washington a adopté le point de vue systémique selon lequel la Russie n'était plus une puissance qui devait être respectée. C'était une cible à subjuguer.
Mais il y avait un problème. La Russie a refusé de se remettre en conformité. Moscou a affirmé ses intérêts stratégiques de sécurité et a refusé de céder aux ambitions américaines. L'intervention militaire de la Russie à la fin de 2015 pour défendre son allié syrien d'une guerre de changement de régime menée par les États-Unis en utilisant des mandataires terroristes était une démonstration audacieuse.
Il fut un temps où Moscou recherchait sincèrement la diplomatie pour résoudre les hostilités. Mais la prise de conscience est maintenant que les ambitions de domination mondiale à somme nulle de Washington sont implacables et insatiables. Washington et les médias vaniteux américains sont doués pour le narcissisme et les prétentions de vertu. Lorsqu'ils parlent d'"ordre mondial fondé sur des règles", ils signifient en réalité une domination totale sous l'hégémonie américaine, toujours présomptueusement bénigne.
Le résultat est soit que vous êtes un vassal pour servir les intérêts impériaux américains ou un ennemi à cibler avec agression et finalement destruction.
L'insistance de la Russie à défendre ses intérêts stratégiques a exposé le visage laid de la puissance américaine sous le masque génial. Ce n'est pas seulement la fin d'une année, c'est la fin d'un siècle de fanfaronnade impériale américaine présumée. Les prétentions de la puissance américaine bien-pensante ont été exposées. La demande de Washington au reste du monde est l'assujettissement. Il en a toujours été ainsi mais sous une forme latente.
RépondreSupprimerLa nature néfaste de la puissance américaine est maintenant clairement visible dans sa brutalité nue des relations de plus en plus maniaques avec la Russie et la Chine.
La ligne russe dans le sable au-dessus de l'Ukraine a révélé la violence qui sous-tend la puissance américaine. Ce pouvoir est insoutenable et inacceptable dans un monde soi-disant fondé sur la Charte des Nations Unies. Le conflit en Ukraine est un carrefour. Soit un monde multipolaire émerge sur la base du droit international et de relations équitables, comme l'envisagent les Nations Unies au milieu des cendres de la Seconde Guerre mondiale, soit le monde est condamné à l'embrasement à cause de l'hégémonie impérialiste à somme nulle de Washington.
La Russie, la Chine et un nombre croissant de nations appellent à un monde multipolaire de parité dans les relations fondées sur le droit international. Les États-Unis sont exposés plus que jamais en tant que puissance suprémaciste en puissance abritant des notions illusoires de prérogatives exceptionnelles. Les États-Unis, dans les conditions politiques qui prévalent, sont incapables et réticents à se conformer à un monde multipolaire. Un tel monde de relations pacifiques est fondamentalement un anathème pour Washington. Par conséquent, son bilan belliciste est à lui seul par rapport à toute autre nation de l'histoire.
La position de la Russie en Ukraine a révélé le belliciste mondial. Et cette position de défi marque la fin de l'hégémonie présumée des États-Unis.
https://www.lewrockwell.com/2023/01/no_author/2022-the-year-that-marked-the-end-of-americas-hegemony/
Jamais dans l'histoire des nations un chef d’État n'a bombardé sont propre Peuple parce qu'il n'avait pas voté pour lui. Et pourtant, le dictateur de Kiev l'a fait ! L'a fait durant... durant huit (8 !) ans SANS QUE LA PRESSE INTERNATIONALE OU CHEFS D’ÉTATS NE S'EN ÉMEUVENT !!
SupprimerC'est alors qu'un pays au grand cœur décida de se porter secours à ce Peuple victime des nazis.
Il n'en fallait pas plus pour que d'autres nazis s'en offusquent et déclarent la guerre au pays salvateur afin d'y entreposer des armes de guerre au plus près de ses frontières !
Le “Maître du Globe” nous apporte les bombes nucléaires
RépondreSupprimerPar Manlio Dinucci
Mondialisation.ca,
31 décembre 2022
Les États-Unis -comme annoncé le mois dernier*- ont commencé en décembre à envoyer en Italie et autres pays européens les nouvelles bombes nucléaires B61-12. Le confirme un document officiel du Département de la US Air Force. Il établit “les normes de sécurité pour les opérations des avions C-17 qui transportent des armes B61-12 dans l’aire de responsabilité du Commandement Européen des États-Unis”. Cette aire, dans la géographie du Pentagone, comprend non seulement l’Europe mais toute la Fédération Russe.
Le document spécifie quelles armes nucléaires sont transportées avec les C-17 Globemaster, les plus grands avions USA de transport militaire. Ils apportent des États-Unis en Europe les bombes qu’elles remplacent : les B61-3, B61-4 et B61-7. Une seule B61-12 a en effet quatre options de puissance selon l’objectif à toucher. Les C-17 Globemaster -spécifie encore le document- transportent aussi d’autres armes nucléaires : B61-11, W78 W80-1, B83-1, W87-0.
Les normes de sécurité listées dans le document confirment la dangerosité des opérations de chargement, transport et déchargement des armes nucléaires. Il peut y avoir “la probabilité d’incendie d’un avion avec des armes nucléaires à bord” et une défaillance de l’avion pendant qu’il est en vol contraignant à “un atterrissage d’urgence” ou au “largage d’une arme nucléaire”.
Le déploiement sur notre territoire national des nouvelles bombes nucléaires USA -armes de première frappe (first strike) avec guidage de précision et capacités anti-bunker, dont sont dotés surtout les chasseurs F-35- expose l’Italie en première ligne dans la toujours plus périlleuse confrontation entre OTAN et Russie. Ce faisant l’Italie viole le Traité de Non-Prolifération des Armes Nucléaires, ratifié en 1975, qui stipule : “Chaque État militairement non-nucléaire s’engage à ne pas recevoir de quiconque des armes nucléaires, directement ou indirectement”.
L’émission se termine avec une interview de l’historien Franco Cardini sur le silence du gouvernement et du parlement italiens et sur la phase historique que nous vivons.
Voir Grandangolo du 4 novembre
https://www.byoblu.com/2022/11/04/sotto-lalbero-di-natalela-nuova-bomba-nucleare-usa-b61-12-grandangolo-pangea/
Bref résumé de la revue de presse internationale Grandangolo
de vendredi 30 décembre 2022 à 20h30 sur la chaine italienne Byoblu
https://www.byoblu.com/2022/12/30/il-padrone-del-globo-ci-porta-le-bombe-nucleari-grandangolo-pangea-la-rassegna-stampa-internazionale-di-byoblu-79-puntata/
Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio
https://www.mondialisation.ca/le-maitre-du-globe-nous-apporte-les-bombes-nucleaires/5673725
La Russie et l’Iran ouvrent une route commerciale annonciatrice d’un bloc
RépondreSupprimerPar M. K. Bhadrakumar
Mondialisation.ca,
30 décembre 2022
Suite à la guerre en Ukraine, la mer d’Azov devient une mer intérieure pour la Russie, encadrée par la péninsule de Crimée et l’embouchure du Don. Les réseaux maritimes et ferroviaires de la région s’étendent jusqu’aux plateformes iraniennes de la mer Caspienne et débouchent finalement sur l’océan Indien. Un article de fond paru dans Bloomberg la semaine dernière, intitulé « La Russie et l’Iran construisent une route commerciale qui défie les sanctions », met en avant ce projet « déjouant les sanctions » dans la région.
Le mois dernier, la Mehr News Agency a rapporté qu’une première cargaison de 12 millions de tonnes de céréales russes à destination de l’Inde avait déjà transité par l’Iran. L’heure est venue pour le corridor commercial intérieur connu sous le nom de corridor international de transport Nord-Sud ou INSTC, qui a été lancé en 2000 pour relier la mer Baltique à l’océan Indien.
Ironiquement, les « sanctions infernales » de l’Occident contre Moscou ont donné vie à l’INSTC. Moscou finalise actuellement les règles qui donneraient aux navires en provenance d’Iran le droit de passage sur les voies navigables intérieures de la Volga et du Don !
L’INSTC a été conçu comme un réseau de transport multimodal de 7200 km de long comprenant des voies maritimes, routières et ferroviaires pour transporter des marchandises entre la Russie, l’Asie centrale et les régions caspiennes, l’Iran et l’Inde. À la base, il s’agit d’un projet russo-iranien qui vise à contrer la militarisation des sanctions par l’Occident.
Mais leurs intérêts convergents ne s’arrêtent pas là. Les sanctions occidentales les incitent à chercher à développer leurs économies de manière optimale. La Russie et l’Iran se tournent vers le marché asiatique et, ce faisant, forment un nouveau bloc commercial totalement dépourvu de présence occidentale. « L’objectif est de protéger les liens commerciaux de l’ingérence occidentale et d’en établir de nouveaux avec les économies géantes et à croissance rapide de l’Asie », note Bloomberg.
S’adressant à un groupe de rédacteurs en chef russes de haut niveau lundi à Moscou, le ministre des Affaires étrangères, Lavrov, a déclaré : « Soyez assurés que, dans un avenir proche, nous verrons une sérieuse diminution de la capacité de l’Occident à « diriger » l’économie mondiale comme il l’entend. Qu’il le veuille ou non, il devra s’asseoir et discuter ». C’est là le nœud du problème – obliger les puissances occidentales à négocier.
À court terme, le décollage de l’INSTC dépendra de quelques grands projets. Lundi, le vice-Premier ministre russe Alexander Novak a parlé d’un réseau énergétique impliquant la Russie, l’Iran, l’Asie centrale et la région de l’Asie du Sud.
Novak a déclaré :
« Un afflux constant de devises nationales donne confiance au marché. Au début de l’année, nous avons été confrontés à une situation où l’on ne savait pas très bien quoi faire de ces monnaies. Actuellement, elles sont échangées en bourse et assurent un roulement mutuel des échanges… Si au début de l’année, ce volant d’inertie oscillait très fort, en quelques mois, il s’est banalisé et nous avons commencé à échanger régulièrement des monnaies nationales ».
La dédollarisation est un des fondements de l’INSTC. C’est une chose.
RépondreSupprimerDeuxièmement, Novak a révélé que la Russie et l’Iran pourraient conclure un accord sur l’échange de fournitures de pétrole et de gaz d’ici la fin de l’année. Comme il l’a dit, « si nous parlons de perspective, cela inclut les exportations de gaz vers l’Afghanistan, le Pakistan – soit en utilisant les projets d’infrastructure d’Asie centrale, soit par le biais d’un échange à partir du territoire de l’Iran. C’est-à-dire que nous recevrons leur gaz dans le sud du pays [Iran], et en échange nous fournirons du gaz dans le nord pour les consommateurs iraniens ».
Novak a ajouté : « Nous prévoyons environ 5 millions de tonnes [de pétrole] par an et jusqu’à 10 milliards de mètres cubes [de gaz] dans un premier temps ». Le Pakistan est intéressé par l’approvisionnement en gaz russe. Novak a fait référence à l’accord conclu par la Russie avec l’Azerbaïdjan, qui doit augmenter ses approvisionnements en gaz, et « lorsqu’ils augmenteront leur production de gaz, nous pourrons discuter des échanges ».
Le Pakistan a un avantage inhérent, car tous les pays participants de l’INSTC, à l’exception de l’Inde, se trouvent être également membres de l’Initiative Ceinture et Route chinoise. À un moment donné, les deux ports iraniens désignés dans l’INSTC – Bandar Abbas et Chabahar – seront probablement reliés au port de Gwadar, qui est la porte d’entrée du corridor économique Chine-Pakistan (CPEC) menant au Xinjiang, et un élément important de la BRI.
Il est clair que l’INSTC donnera naissance à un réseau de corridors économiques internationaux. L’Iran est destiné à devenir le centre d’intérêts stratégiques convergents avec des dimensions économiques importantes qui détermineront de nouvelles alliances et auront un impact sur la géopolitique de l’Asie du Sud et de l’Ouest au XXIe siècle.
Les États-Unis ont mené une guerre de l’information pour démolir le CPEC et alimenter les sentiments anti-chinois dans l’opinion publique pakistanaise. Mais c’est une tentative désespérée de dénigrer l’INSTC en tant que projet géopolitique et il est peu pratique de menacer les États régionaux de s’associer à ce qui est une route commerciale intercontinentale qui n’est pas la franchise d’un seul pays. Après tout, comment sanctionner un bloc commercial ?
Les faits parlent d’eux-mêmes. Les essais effectués par l’INSTC pour transporter des conteneurs de Mumbai à Saint-Pétersbourg en utilisant le corridor commercial ont permis de réduire le délai de livraison des cargaisons de 45 jours à 25 jours à des tarifs 30% moins chers qu’en passant par le canal de Suez, ce qui justifie les espoirs d’une meilleure connectivité et l’utilité du corridor. Il est clair que le potentiel commercial de l’INSTC est immense.
Cependant, la Russie et l’Iran sont déterminés à se découpler de l’Occident. Lavrov a déclaré lundi : « Nous ne pouvons plus compter sur ces gens. Ni notre peuple ni l’histoire ne nous le pardonneront si nous le faisons… nous avons trop ouvertement et naïvement mis notre foi dans les assurances que nous avons entendues au début des années 1990 au sujet d’une maison européenne commune et de la nécessité d’une division internationale du travail qui s’appuierait sur les meilleures performances et les avantages compétitifs de chaque pays, de sorte qu’en rassemblant nos efforts et en économisant nos ressources, nous serions en mesure d’obtenir les résultats les meilleurs et les plus rentables. Tout cela n’était que des paroles en l’air ».
L’Iran et l’Union économique eurasiatique [comprenant la Russie, la Biélorussie, le Kazakhstan et le Kirghizstan] auraient finalisé les termes d’un accord de libre-échange portant sur plus de 7500 types de produits. Un marché de 700 milliards de dollars s’ouvre aux produits et services iraniens dès la prochaine année iranienne [à partir du 21 mars 2023].
RépondreSupprimerL’accord de libre-échange encourage la libre circulation des biens et des services et prévoit des politiques communes dans le domaine macroéconomique, des transports, de l’industrie et de l’agriculture, de l’énergie, du commerce et des investissements étrangers, des douanes, de la réglementation technique, de la concurrence et de la réglementation antitrust. Ce sera un changement de donne pour l’INSTC, qui transformera la dynamique du pouvoir dans la vaste masse continentale eurasienne et dans la région du Golfe. L’INSTC représente un axe stratégique entre la Russie et l’Iran, construit autour d’une route commerciale annonçant un bloc commercial non occidental d’États régionaux en roue libre ayant des intérêts communs dans la résistance à l’hégémonie occidentale.
https://www.mondialisation.ca/la-russie-et-liran-ouvrent-une-route-commerciale-annonciatrice-dun-bloc/5673721
Vous n'avez pas besoin d'être un théoricien du complot pour vous inquiéter du Forum économique mondial
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 02 JANVIER 2023 - 16:30
Écrit par Toby Young via The Daily Sceptic,
Samuel Greg, Distinguished Fellow en économie politique à l'American Institute for Economic Research et auteur, plus récemment, de The Next American Economy: Nation, State, and Markets in an Uncertain World, a écrit un bon article pour le Spectator sur le WEF à la veille de Davos 2023.
Il soutient que si vous vous souciez de la liberté, de la démocratie et de l'autodétermination nationale, il est parfaitement rationnel de s'inquiéter de l'influence de Klaus Schwab et de ses partisans. Non pas parce qu'ils sont les marionnettistes contrôlant les politiciens à travers l'Occident, mais parce que leurs idées imprègnent les échelons supérieurs de l'élite mondiale. En particulier, la croyance de Schwab dans la forme de gouvernement technocratique descendante illustrée par l'UE.
Il n'exerce aucun pouvoir politique formel et ne peut obliger personne à faire quoi que ce soit. Néanmoins, depuis sa fondation en 1971, le WEF est devenu une organisation qui incarne la confiance suprême dans l'impératif d'un type particulier de personne dirigeant le monde du haut vers le bas. Dans son célèbre essai de 2004 intitulé «Dead Souls», le politologue Samuel P. Huntington a appelé ce prototype «Davos Man».
Surnom astucieux dont ni Schwab ni le WEF n'ont jamais réussi à se débarrasser, Davos Man était la description abrégée de Huntington des "universitaires, fonctionnaires internationaux et cadres d'entreprises mondiales, ainsi que des entrepreneurs de haute technologie prospères" qui pensaient de la même manière et avaient tendance à considérer les loyautés et les frontières nationales « comme des résidus du passé ». Davos Man a également regardé avec un dédain non dissimulé, a suggéré Huntington, ceux qui ne comprenaient pas le programme – quel que soit le contenu du programme.
C'est là que réside le problème le plus profond avec le WEF. C'est une chose que les gens se réunissent dans des contextes internationaux pour discuter de problèmes, partager des idées et réseauter. Les chefs d'entreprise, les politiciens et les types d'ONG le font tout le temps.
C'en est une autre pour une organisation comme le WEF de décider que le moment est venu de réorganiser le monde du haut vers le bas et de refaire la planète à l'image corporatiste. L'idéal que vise Schwab, à en juger par ses discours et ses écrits, s'apparente à une UE mondialisée, avec ses voies bureaucratiques supranationales et enracinées transposées au niveau international, et les leviers du pouvoir entre les mains d'hommes de confiance de Davos et les femmes.
En bref, il est facile de caricaturer le WEF et Schwab comme quelque chose qui ressemble au Spectre fictif d'Ian Fleming et à son cerveau criminel Ernst Stavro Blofeld. Pourtant, le programme actuellement poursuivi dans des contextes tels que Davos est suffisamment alarmant pour que quiconque croit en la préservation de choses comme la liberté, la souveraineté et la décentralisation du pouvoir soit concerné.
A lire en entier...
RépondreSupprimerRobert Malone a une vision plus salée de l'agenda actuel du WEF sur sa sous-pile, en particulier non. 4 sur la liste des priorités du WEF : « Se préparer à la prochaine pandémie nécessite de mettre fin aux disparités en matière de santé.
Cela rappelle inconfortablement la nouvelle idéologie toxique dont j'ai parlé hier, qui combine l'aversion extrême au risque - aux pandémies, au changement climatique, aux discours de haine, etc. - avec "l'équité", ce qui signifie un engagement à protéger les groupes "vulnérables", par ex. les minorités ethniques et la communauté LGBTQ+.
Ainsi, l'argument pour, disons, maintenir les mandats de masque en place pour toujours ressemblerait à ceci : les maladies virales aéroportées ont un effet négatif disproportionné sur les personnes marginalisées parce qu'elles ont moins accès aux soins de santé, donc les gouvernements ont le devoir moral d'imposer des mandats de masques.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/you-dont-have-be-conspiracy-theorist-be-worried-about-world-economic-forum
Top Heavy : Visualiser la part de chaque pays dans l'économie mondiale
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 02 JANVIER 2023 - 04:30
Alors que 2022 touche à sa fin, nous pouvons récapituler de nombreux jalons historiques de l'année, comme la population de la Terre atteignant 8 milliards et l'économie mondiale dépassant les 100 000 milliards de dollars.
Dans ce graphique, Avery Koop de Visual Capitalist visualise le PIB mondial à l'aide des données du FMI, présentant les plus grandes économies et la part de l'activité économique mondiale qu'elles représentent.
Le produit intérieur brut (PIB) est un indicateur général de l'activité économique d'un pays. Il mesure la valeur totale de la production économique (biens et services) produite dans un laps de temps donné par les secteurs privé et public.
- voir graph sur site -
Les poids lourds du PIB
L'économie mondiale peut être considérée comme un gâteau, la taille de chaque tranche représentant la part du PIB mondial apportée par chaque pays. Actuellement, les plus grosses parts du gâteau sont détenues par les États-Unis, la Chine, le Japon, l'Allemagne et l'Inde, qui représentent ensemble plus de la moitié du PIB mondial.
Voici un aperçu de la part du Top 10 des pays dans l'économie mondiale de 101,6 billions de dollars :
- voir liste sur site -
Cinq pays seulement représentent plus de la moitié du PIB mondial en 2022 : les États-Unis, la Chine, le Japon, l'Inde et l'Allemagne. Fait intéressant, l'Inde a remplacé le Royaume-Uni cette année parmi les cinq premières économies.
En ajoutant cinq autres pays (les 10 premiers) représentent 66 % de l'économie mondiale, et les 25 premiers pays représentent 84 % du PIB mondial.
Les plus petites économies du monde
Le reste du monde — les 167 nations restantes — représente 16 % du PIB mondial. Bon nombre des plus petites économies sont des îles situées en Océanie.
Voici un aperçu des 20 plus petites économies du monde :
- voir liste sur site -
Tuvalu a le plus petit PIB de tous les pays avec seulement 64 millions de dollars. Tuvalu est l'un des douze pays dont le PIB est inférieur à un milliard de dollars.
L'économie mondiale en 2023
À l'approche de 2023, il y a beaucoup d'incertitude économique. De nombreux experts anticipent une brève récession, même si les avis divergent sur la définition de « brève ».
Certains experts pensent que la Chine inversera la tendance au ralentissement économique. Si cette prédiction se réalise, le pays pourrait posséder une part encore plus importante du gâteau du PIB mondial dans un avenir proche.
https://www.zerohedge.com/economics/top-heavy-visualizing-every-countrys-share-global-economy
Après l'arrivée de 100 000 migrants en 2022, l'Italie s'apprête à agir contre les ferries des ONG
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 02 JANVIER 2023 - 13:35
Écrit par Olivier Bault via Remix News,
Le gouvernement de Meloni obligera bientôt les navires des ONG battant pavillon de pays comme la France, l'Allemagne et la Norvège à accepter les migrants qu'ils ramassent en mer Méditerranée
Le seuil de 100 000 migrants illégaux arrivés par la mer en Italie cette année a été franchi le 21 décembre, et ce nombre n'est pas seulement une étape symbolique, mais sert également d'appel à l'action pour le gouvernement conservateur italien.
Le chiffre de 100 000 peut être comparé aux 64 055 à la même date il y a un an et aux 33 867 arrivées par la mer en 2020. Le nombre de cette année est le plus élevé depuis 2017, l'année où le gouvernement de gauche de Matteo Renzi a finalement décidé de bloquer contre le travail des ONG consistant à transférer des immigrants illégaux vers l'Europe par le biais d'une coopération passive et parfois active avec les passeurs, en introduisant des règles plus strictes sur la manière dont les navires des ONG étaient autorisés à opérer en mer Méditerranée.
Le gouvernement de Meloni se prépare à agir
À partir de l'année prochaine, cependant, le gouvernement de Giorgia Meloni introduira des règles plus strictes pour les bateaux des ONG opérant en mer Méditerranée afin de les empêcher de coordonner leurs activités avec des passeurs et de rechercher des immigrants potentiels près de la côte libyenne.
Le conseil des ministres italien devait approuver le 28 décembre un projet de décret de sécurité qui comprendra un nouveau code de conduite pour ces ONG et accélérera le traitement des demandes d'asile.
L'un des grands changements que le nouveau gouvernement de droite à Rome prévoit d'introduire est que les migrants embarqués à bord d'un bateau d'ONG dans le cadre d'une prétendue opération de recherche et de sauvetage devront déclarer s'ils ont l'intention de déposer une demande d'asile une fois en Europe . Si tel est le cas, le pays sous pavillon duquel navigue un navire donné sera tenu d'accueillir les demandeurs d'asile et de traiter leurs demandes.
Le nouveau changement de politique pourrait donner aux gouvernements d'Allemagne, de France et d'autres pays des doutes sur le financement des bateaux de migrants opérant en Méditerranée s'ils sont obligés d'accueillir ces migrants.
Un deuxième changement majeur est qu'après une opération de recherche et de sauvetage, un navire d'une ONG devra immédiatement demander un port sûr pour débarquer les migrants secourus et devra naviguer vers son port désigné, sans attendre des jours avant d'avoir d'autres opportunités pour "sauver" les migrants.
Il s'agit de mettre un terme à la pratique de la recherche systématique de candidats à l'immigration clandestine, parfois en coordination avec des passeurs, au lieu de mener de véritables opérations de recherche et de sauvetage.
Les ONG qui violeront les nouvelles règles feront face à des sanctions administratives et pourront éventuellement voir leurs navires saisis par les autorités italiennes en cas de violations répétées.
RépondreSupprimerLa deuxième partie du nouveau «décret de sécurité», qui devra ensuite être approuvé par le parlement italien pour devenir loi et rester en vigueur, prévoira un traitement rapide des demandes d'asile et des procédures de rapatriement plus efficaces pour ceux dont les demandes sont rejetées.
La grande majorité sont des migrants économiques
En 2016, 181 436 immigrés illégaux sont entrés en Italie. Grâce aux nouvelles règles introduites par le ministre de l'Intérieur Marco Minniti à l'été 2017 et à un mémorandum de coopération qui a ensuite été signé avec le gouvernement libyen à Tripoli, le nombre est tombé cette année-là à 119 310.
Le nombre le plus bas – et le nombre de morts le plus bas également – a été atteint en 2019 après plus d'un an avec Matteo Salvini en tant que ministre de l'Intérieur italien, avec "seulement" 19 471 arrivées de migrants par voie maritime. Cependant, ce nombre comprenait une augmentation significative observée de septembre à décembre, lorsque la Ligue de Salvini a été remplacée par le Parti démocrate de centre-gauche en tant que partenaire de coalition du Mouvement 5 étoiles sous le Premier ministre Giuseppe Conte.
À l'instar de ce qui a été observé les années précédentes, la plupart des migrants qui ont traversé la mer Méditerranée sur de petits bateaux de pêche ou de plus gros navires gérés par des ONG européennes cette année n'ont pas échappé à la guerre. Sur les 100 000 arrivés du 1er janvier au 21 décembre, quelque 86 000 venaient de pays en paix. Parmi eux, plus de 20 000 venaient d'Egypte et près de 18 000 de Tunisie. Le Bangladesh est arrivé en troisième position avec plus de 14 000 de ses citoyens parmi ceux qui ont atteint l'Italie par la mer Méditerranée cette année.
Aucun de ces pays n'est en guerre ou connu pour persécuter ses citoyens, il est donc clair que la plupart de ces migrants ont dépensé des milliers d'euros et risqué leur vie dans l'espoir d'un meilleur niveau de vie en Europe.
Il convient également de noter que sur ces plus de 100 000 nouveaux immigrants, plus de 30 000 sont venus de Tunisie en utilisant de petits bateaux et 73 173 ont navigué depuis la côte libyenne entre le 1er janvier et le 20 décembre, dont 22 216 ont été refoulés par les gardes-côtes libyens. . Selon les données du ministère italien de l'Intérieur compilées par Il Giornale, 17 583 autres ont quitté la Turquie ou le Liban.
Cette année, il y a eu 15 navires actifs transportant des migrants en Méditerranée appartenant à 12 ONG différentes, dont une seule est italienne. Les plus gros navires sont exploités par l'association franco-suisse Médecins sans frontières (MSF) et l'association « européenne » SOS Méditerranée dont le siège est en France et qui est financée en grande partie par les collectivités territoriales françaises. Le navire Geo Barents du premier (3 844 migrants débarqués en Italie cette année, au 20 décembre) et l'Ocean Viking du second (2 387) battent pavillon norvégien. L'Allemand Sea Watch n'est arrivé que troisième cette année avec ses deux navires ayant débarqué 1 825 migrants en Italie, mais il disposera d'un navire plus récent et plus gros, le Sea Watch 5, pour embarquer encore plus de migrants à partir de l'année prochaine.
Meloni peut-il réussir ?
RépondreSupprimerLes efforts du gouvernement Meloni pour contrôler l'immigration par voie maritime dépendront beaucoup des accords bilatéraux qu'ils parviendront à conclure avec les pays d'origine de ces migrants. En outre, il reste à voir si le gouvernement de Meloni aura le courage de garder les migrants sous surveillance dans des installations fermées jusqu'à ce que leurs demandes d'asile soient traitées et jusqu'à ce qu'ils soient renvoyés dans leur pays d'origine pour ceux dont les demandes sont rejetées.
Toutes ces actions placeraient nécessairement l'Italie sur une trajectoire de collision avec les élites européennes pro-immigration à Bruxelles, Paris et Berlin.
https://www.zerohedge.com/markets/after-100000-migrants-arrive-2022-italy-set-take-action-against-ngo-ferry-boats
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