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huemaurice54 décembre 2021 à 07:59
Conséquences de l'abolition de l'étalon-or

Par David Stockman
Homme international
4 décembre 2021

Avant qu'Alan Greenspan ne tombe du chariot à la poursuite du pouvoir, de la position, des éloges et de la richesse du gouvernement, dans son discours de 1966, « L'or et la liberté économique », il a déclaré ce qui suit :

En l'absence de l'étalon-or, il n'y a aucun moyen de protéger l'épargne de la confiscation par l'inflation. Il n'y a pas de réserve de valeur sûre… La politique financière de l'État-providence exige qu'il n'y ait aucun moyen pour les propriétaires de richesse de se protéger.

C'est le secret minable des tirades des étatistes du bien-être contre l'or. Les dépenses déficitaires sont simplement un stratagème de confiscation des richesses. L'or fait obstacle à ce processus insidieux. Il se présente comme un protecteur des droits de propriété. Si l'on saisit cela, on n'a aucune difficulté à comprendre l'antagonisme des étatistes envers l'étalon-or.

Lorsque Greenspan a pris la parole en 1966, la dette publique n'était que de 325 milliards de dollars et s'élevait à 40 % du PIB. Et ce chiffre était en baisse constante par rapport au pic de 125 % de la Seconde Guerre mondiale.

Pas plus. La dette publique atteint désormais 28 100 milliards de dollars et 127 % du PIB et augmente à une vitesse vertigineuse.

Ce qui s'est passé, c'est qu'une fois que le boom technologique alimenté par la Fed dans les années 1990 a manqué d'essence avec l'effondrement des dotcom au printemps 2000, la production industrielle aux États-Unis s'est retrouvée bloquée.

Au cours de la première période entre 1972 et 2000, le bilan de la Fed a augmenté d'environ 500 milliards de dollars, soit 18 milliards de dollars par an.

Mais au cours des 21 dernières années depuis lors, le bilan de la Fed a grimpé de 7 600 milliards de dollars, soit 362 milliards de dollars par an.

Lorsque la banque centrale injecte 20 fois plus de crédit fiduciaire dans l'économie chaque année, cela doit aller quelque part.

Comme le montre de façon spectaculaire le graphique ci-dessous, le marché boursier est devenu le grand puisard monétaire qui a absorbé la marée inflationniste.

Le marché boursier a enregistré un gain de valeur stupéfiant de 38 300 milliards de dollars au cours des 25 dernières années, soit bien plus du double de la hausse de 14 500 milliards de dollars du PIB nominal, ce qui signifie que le marché boursier est désormais capitalisé à 200 % du revenu national.

La valeur du marché boursier a augmenté de 6,3 fois au cours du dernier quart de siècle de folie de l'impression monétaire, tandis que le revenu national n'a augmenté que de 2,7 fois.

Ce qui a poussé le marché aux sommets actuels des saignements de nez, c'est une manie spéculative purement alimentée par la banque centrale et une expansion multiple du ratio bénéfices/bénéfices (P/E) qui est sans aucun fondement plausible.

Mais cela ne peut conduire qu'à un effondrement de la bulle boursière mondiale de 90 000 milliards de dollars lorsque les banques centrales sont finalement obligées de jeter l'éponge sur leur idiotie « d'inflation transitoire ».

Cela conduit également à des décennies d'inflation à la consommation.

Variation en glissement annuel de l'IPC des biens durables, 2012-2021

Reprinted with permission from International Man

https://www.lewrockwell.com/2021/12/david-stockman/consequences-of-abolishing-the-gold-standard/
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huemaurice54 décembre 2021 à 08:00
La longue histoire du commerce et des marchés en Afrique

Par Lipton Matthews.
Un article du Mises Institute
4 DÉCEMBRE 2021

Les réformes du marché en Afrique peuvent être contrecarrées par une propagande affirmant que les marchés sont une importation occidentale. Bien que cette croyance soit courante, elle est manifestement absurde. Les marchés étaient florissants en Afrique avant le colonialisme, et partout où ils sont réprimés, il en résulte une paupérisation sociale, comme le souligne l’économiste William Hutt dans son étude révolutionnaire intitulée The Economics of the Colour Bar. Les marchands de l’Afrique précoloniale organisaient des réseaux commerciaux à grande échelle qui s’étendaient sur plusieurs régions.

LES MARCHÉS EN AFRIQUE PRÉCOLONIALE

Selon Alberta O. Akrong (2019), la diversité du commerce africain, qui transitait sur les voies terrestres et fluviales, a renforcé l’accessibilité du continent aux ressources stratégiques. Comme ailleurs, en Afrique précoloniale, les Africains ont conçu des mécanismes pour permettre le commerce.

Dans ses recherches, Gareth Austin documente une litanie de ces institutions, notamment les facilités de crédit rotatif et les sociétés secrètes.

Retraçant la primauté des marchés en Afrique de l’Ouest précoloniale, il offre un récit captivant des réseaux commerciaux :

« Parmi les diasporas haoussa qui effectuaient la majeure partie du commerce de longue distance de la moitié orientale de l’Afrique de l’Ouest, les caravanes commerciales se déplaçaient entre les places de marché, où les itinérants logeaient chez des propriétaires du même groupe ethnique, qui leur présentaient des partenaires commerciaux locaux et les aidaient généralement à conclure des contrats. Des crédits étaient également disponibles entre les membres d’une même diaspora : le « risque moral » était réduit par l’appartenance commune. Il était également réduit par une religion commune, qui, dans le cas des diasporas haoussa, était l’Islam… »

L’ethnicité et la religion ont joué un rôle important comme leviers du commerce en Afrique précoloniale. Par exemple, contrairement aux Haoussas, qui professaient l’Islam, la communauté Aro utilisait la religion indigène comme outil pour légitimer le commerce. Il est indéniable que les marchés étaient cruciaux en Afrique précoloniale, mais nous admettons volontiers qu’ils n’étaient pas fondés sur une confiance impersonnelle. Les arrangements en Afrique précoloniale reflètent ce que les économistes décrivent comme une « confiance limitée« . En raison de la faible confiance des groupes extérieurs, l’expansion du commerce à travers les réseaux était une entreprise réalisable mais difficile.
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huemaurice54 décembre 2021 à 08:00
En effet, il est surprenant de constater qu’en Afrique précoloniale, l’intervention de l’État dans l’économie était minime, comme l’affirme Peter Wickens dans son texte définitif intitulé An Economic History of Africa.

Birgit Muller nous apprend que les Igbos n’avaient pas d’autorité centrale pour diffuser les monnaies :

« Comme les monnaies Igbo n’étaient pas émises par une autorité centrale, la stabilité de leur valeur dépendait uniquement de leur approvisionnement restreint.[…] La rareté des monnaies métalliques a été garantie pendant des siècles par le fait qu’elles devaient être produites selon un processus très compliqué ou importées de commerçants européens très éloignés. »

Cependant, même si le commerce décentralisé était la norme, Grietjie Verhoef, dans son essai « Pre-colonial Africa : Diversité dans l’organisation et la gestion de l’économie et de la société », Grietjie Verhoef estime que les puissants marchands avaient de nombreuses occasions de monopoliser les routes commerciales. Ainsi, dans certains territoires, comme l’Afrique de l’Ouest, les souverains autorisaient la gestion décentralisée des entreprises privées, tandis qu’en Afrique de l’Est, les commerçants musulmans monopolisaient les routes commerciales.

La recherche a également réfuté l’argument selon lequel, à l’époque précoloniale, l’État Asante en Afrique de l’Ouest était l’acteur prédominant de l’économie. Gareth Austin réfute cette proposition en affirmant que le secteur privé constituait une force puissante dans l’économie d’exportation, permettant ainsi aux roturiers de se procurer des richesses par le biais du commerce et de la production pour les marchés internationaux et nationaux.

En plus d’enrichir les roturiers, le commerce a contribué à promouvoir la paix dans les communautés africaines. Dans une vue d’ensemble du commerce en Afrique, Emmanuel Akyeampong note qu’en raison de son importance pour stimuler la richesse, le commerce rendait la conquête prohibitive.

« En effet, la survie et la prospérité des communautés africaines étaient tellement liées aux avantages mutuels du commerce, que les spécialistes des contacts pré-européens ont noté qu’au milieu du bassin du Niger en Afrique de l’Ouest et dans l’océan Indien, la conquête externe était contre-productive et que des systèmes régionaux basés sur l’hétérarchie et non la hiérarchie ont émergé. »
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huemaurice54 décembre 2021 à 08:00
LES EFFETS DES MARCHÉS DANS L’AFRIQUE CONTEMPORAINE

Puisque nous avons établi la pertinence culturelle des marchés dans l’histoire africaine, nous pouvons maintenant illustrer les effets lucratifs des marchés dans l’Afrique contemporaine. En examinant la littérature pour trouver les ingrédients de la réussite économique, Germinal Van conclut que la protection des droits de propriété renforce la croissance économique en stimulant la liberté économique.

Appliquant ses conclusions à l’Afrique, Van écrit :

« La capacité de posséder des biens est une étape essentielle vers la création d’une valeur économique.[…] Pour que les acteurs des économies africaines puissent créer de la valeur économique sur le continent, ils doivent pouvoir posséder des biens et les utiliser pour créer des échanges. C’est l’échange qui a lieu sous le concept des droits de propriété qui augmente la liberté économique d’un pays. »

Le Rwanda est un exemple éclatant des effets positifs d’une plus grande liberté économique. Dans l’indice de liberté économique 2020, le Rwanda est passé de la catégorie « modérément libre » à la catégorie « majoritairement libre ». Les réformes du marché libre ont propulsé le PIB par habitant du Rwanda à plus de 2000 dollars en 2019, contre à peine 700 dollars en 1995.

De même, l’analyse économique indique que la liberté économique est même associée à une croissance inclusive en Afrique subsaharienne, discréditant ainsi l’affirmation selon laquelle les libertés économiques engendrent des inégalités flagrantes.

L’hypothèse selon laquelle les marchés en Afrique sont un résidu du colonialisme occidental est un mythe. Les marchés libres sont essentiels pour améliorer les conditions de vie en Afrique. Les Africains doivent libérer leur esprit des chaînes de la propagande postcoloniale et embrasser la liberté économique pour récolter les fruits de la prospérité.

Traduction Justine Colinet pour Contrepoints

https://www.contrepoints.org/2021/12/04/415951-la-longue-histoire-du-commerce-et-des-marches-en-afrique
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huemaurice54 décembre 2021 à 08:02
Environnement, climat… quelle place pour les libéraux ?

Opinion : la question environnementale est un défi immense pour l’humanité, qui transcende tous les aspects de la vie politique. Quelle position possible pour les libéraux ? Le débat doit s’ouvrir.

Par Benjamin Faucher.
4 DÉCEMBRE 2021

En 2019, le Parlement européen a déclaré l’état d’urgence climatique. Il faut dire que les sujets liés à l’environnement ont pris soudainement une ampleur considérable en 2019 : réchauffement climatique, extinction des espèces, effondrement de la société humaine… plus personne ne peut les éviter.

En tant qu’acteurs du débat politique, les libéraux ont évidemment leur rôle à jouer. Pourtant, face à l’ampleur des enjeux, force est de constater que nombre d’entre eux ne sont pas à la hauteur, loin de là.

L’ensemble de notre économie et de notre mode de vie repose sur l’utilisation d’énergies fossiles qui produisent du gaz carbonique (charbon, pétrole, gaz), et une exploitation des Matières Premières considérées comme illimitées et donc gratuites.

Ce modèle pose deux problèmes :

L’augmentation de la concentration en gaz carbonique dans l’atmosphère

Celle-ci modifie le climat, et augmente la température moyenne de la planète. Si rien n’est fait, cette température augmentera de plus de deux degrés d’ici 2050. Les pires scénarios de l'IPCC évoquent alors la possibilité de seuils qui, sur la base de boucles de rétroaction positive peuvent provoquer un emballement de cette augmentation, rendant la Terre inhabitable et comparable à une étuve.

L’approvisionnement de nos pays en énergie

Sans énergie peu chère qui alimente notre économie, notre niveau de vie s’effondrera.

En fait, ce sont les premiers libéraux qui avaient compris le problème. Les physiocrates pensaient en effet que seule l’agriculture produisait de la richesse, puisque la terre donnait un surplus entre la graine semée et la plante récoltée.

En fait, c’est davantage l’énergie apportée par le Soleil qui était la valeur ajoutée. C’est toujours le cas aujourd’hui : la croissance, phénomène apparu au début du XIXe siècle provient directement de notre capacité à utiliser l’énergie du Soleil sous une forme ou une autre : charbon, pétrole, biomasse, vent, chaleur…

LE SILENCE DES LIBÉRAUX

Face à ces problèmes à la fois complexes et effrayants, les libéraux sont souvent absents. Certains se contentent de ne pas considérer le problème. Que ce soit par déni idéologique ou par ignorance, cette position n’est plus tenable. Réfléchir sur l’action humaine et politique sans intégrer le problème écologique revient à penser un monde qui n’existe pas, à avoir une pensée hors sol.

Il faut dire que la position est confortable : depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la plupart des citoyens des pays de l’OCDE a échappé à l’Histoire. Ce temps est bel et bien révolu, et les libéraux qui se targuent de ne pas avoir une pensée qui fonctionne en système devraient être ceux qui adaptent leur idéologie à la réalité du monde.

Une réaction assez courante est le climatoscepticisme. Honnêtement, la question de la réalité du problème environnemental n’est pas un sujet d’opinion, mais de fait. Nous lui accordons notre confiance pour la médecine, la biologie moléculaire, la physique quantique… alors pourquoi pas pour le climat ? Parier notre avenir sur une erreur monumentale de cette communauté semble pour le moins risqué.
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huemaurice54 décembre 2021 à 08:03
De plus, la réaction de certains climatosceptiques dans le débat ne fait pas honneur aux illustres penseurs qui ont fait la tradition libérale. Se moquer de Greta Thunberg est peut-être drôle (et il ne s’agit en aucun cas ici de vouloir le prohiber) mais ne fait pas avancer le débat d’un iota.

Alors, quelle place pour les libéraux ? D’abord, ceux-ci peuvent apporter des réponses théoriques et concrètes : taxe carbone, privatisation des terres… cependant, il ne faut pas non plus rester dans notre zone de confort.

INTÉRÊT DE LA TAXE CARBONE

La question de la taxe carbone est intéressante, mais la véritable question est de savoir pour faire quoi ?

S’il s’agit d’un moyen de financement de mesures pro-environnementales de l’État, alors il y a tromperie sur la marchandise : une taxe ayant pour but de modifier les comportements ne ramène, si elle est efficace, absolument rien à l’État. Certains suggèrent que le prix du carbone devrait refléter le prix que nous sommes prêts à payer en échange de la pollution émise.

Ce genre de solution est raisonnable pour les problèmes environnementaux softs et réversibles : pollution, diminution de la qualité de l’air et de l’alimentation… Mais dans le cas de problèmes plus graves (gaz carbonique, raréfaction des matières premières) ce raisonnement confortable rencontre deux difficultés.

celui qui paye les conséquences de l’acte dommageable n’est pas forcément celui qui le commet : c’est un problème à externalités négatives.
quel serait le prix d’une planète habitable ? La réponse est évidemment l’infini.
La taxe carbone doit donc être conçue de telle manière que le coût de l’émission de gaz carbonique soit supérieur à ce qu’elle rapporte.

Nous l’avons vu, le problème environnemental est un problème d’externalité négative. Ne nous cachons pas derrière notre petit doigt : l’intervention de l’État paraît inévitable, et sûrement de manière massive. Cela n’est certes pas plaisant, mais nous n’avons pas le choix.

D’abord parce que en termes d’énergie, les infrastructures sont de facto très souvent contrôlées et subventionnées par la puissance publique. Ensuite parce que le problème environnemental est global et pose des questions géopolitiques qui nécessitent une coordination importante entre pays.

ÉCOLOGIE LIBÉRALE CONTRE ÉCOLOGIE COLLECTIVISTE

Le rôle des libéraux est de s’assurer que cette intervention soit minimale, et ne cache pas une idéologie collectiviste. En effet, l’intervention de l’État doit à tout prix rester utilitariste.

Contre Aurélien Barrau, je pense que nous devons rappeler qu’il est hors de question de changer le rapport des individus au monde et de réaliser une révolution poétique. C’est aux individus de choisir ce qu’est pour eux la vie bonne, dans le cadre où ça ne pose pas de problème aux autres.

De plus, il serait peut-être utile de rappeler que l’État n’est pas forcément le mieux placé pour trouver des solutions. Le rôle de l’État pourrait se limiter à déclarer « dans cinq ans, le plastique est complètement interdit », et laisser les acteurs privés trouver des solutions pour le remplacer. L’État de droit fixe un cadre, les individus s’adaptent.
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huemaurice54 décembre 2021 à 08:03
De même, il faut absolument s’opposer aux bêtises de l’extrême gauche qui tente de récupérer la question idéologique. Je suis très agacé d’entendre des accusations de la part des communistes contre les libéraux qui essaieraient de se greenwasher. Comme si le communisme n’avait jamais été une idéologie productiviste…

Et n’évoquons pas l’alliance « rouge-verte » prônée par certains qui voudraient que les ouvriers s’emparent des moyens de production pour obliger les entreprises à avoir un comportement écologiquement vertueux. En quoi les ouvriers seraient incités à ne pas polluer, si cela leur permet de conserver leur emploi ?

Enfin, il faut s’opposer à la vision manichéenne qui voudrait que ceux qui rejettent du gaz carbonique sont les méchants capitalistes et que ceux qui en subissent les conséquences soient le peuple oppressé. Soyons sérieux, l’usage du plastique facilite la vie de tout le monde : facilitation du transport et donc du choix individuel, matériel médical et de recherche… Et la réside bien le problème.

Si la décroissance est nécessaire, ça fera mal et pour tout le monde, contrairement aux idées fausses véhiculées par beaucoup d’opposants aux libéraux.

La question environnementale est un défi immense pour l’humanité, qui transcende tous les aspects de la vie politique. Cela n’est pas facile et demande un vrai travail de remise en cause individuel, mais il est temps que les libéraux sortent la tête du sable, et s’emparent avec honnêteté du sujet et fassent entendre leur voix.

Article publié initialement le 20 décembre 2019.

https://www.contrepoints.org/2021/12/04/358857-environnement-climat-quelle-place-pour-les-liberaux
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huemaurice54 décembre 2021 à 08:05
Les hôpitaux tuent DÉLIBÉRÉMENT des patients atteints de COVID-19 en refusant de leur donner des médicaments qui sauvent des vies – Brighteon.TV

vendredi 03 décembre 2021
par : Arsenio Toledo

(Natural News) Le Dr Bryan Ardis a été rejoint par le Dr Elizabeth Vliet lors de l'épisode du 1er décembre de "The Dr. Ardis Show" sur Brighteon.TV pour parler à Jodi Carroll, dont la mère est décédée du coronavirus de Wuhan (COVID-19) en raison de la négligence de l'hôpital qui était censé lui sauver la vie.

La mère de Carroll, Carolyn, du comté de Milam, au Texas, a commencé à présenter des symptômes de COVID-19 fin juin. Elle a essayé d'attendre quelques jours pour voir si elle irait mieux d'elle-même. Mais le 4 juillet, son état s'est aggravé et elle s'est immédiatement rendue à l'hôpital Baylor Scott & White de College Town, dans le comté voisin de Brazos. (Connexe: les discussions du Dr Bryan Ardis avertissent que les protocoles hospitaliers de Covid tuent inutilement des patients – Brighteon.TV.)

Dès que Carolyn est arrivée à l'hôpital, les médecins lui ont dit qu'elle avait attendu trop longtemps pour être soignée et qu'elle devait rentrer chez elle. Elle ne devrait revenir à l'hôpital que si elle s'aggravait.

Dès le lendemain, les niveaux d'oxygène dans le sang de Carolyn tombent à 70, et sa famille l'a donc ramenée immédiatement à l'hôpital et elle a été admise.

Dès son admission, la santé de Carolyn a commencé à décliner régulièrement.

"En tant que famille, nous n'avons pas eu l'impression que l'hôpital agissait avec un sentiment d'urgence, ils ne semblaient pas informés de la science actuelle sur les médicaments et les thérapies multi-médicaments séquentielles qui traitaient efficacement d'autres patients COVID à travers le pays", dit Carroll.

Dans une autre interview, Carroll a souligné que les médecins et les infirmières de Baylor Scott & White n'adoptaient pas une "approche proactive et agressive du traitement", mais plutôt une approche plus prudente et "attentiste".

"C'était inquiétant, comme vous pouvez l'imaginer", a déclaré Carroll lors de l'interview avec KBTX. « Nous n’étions pas d’accord philosophiquement depuis le début. »

Carroll et les autres membres de sa famille ont demandé un deuxième avis. Après avoir essayé de consulter d'autres praticiens de la santé, ils ont estimé que leur relation avec les principaux soignants de Carolyn est soudainement devenue « combative ».

"Nous avions l'impression d'entrer dans une relation combative avec les mêmes médecins qui auraient dû défendre et aider ma mère de manière urgente", a déclaré Carroll.
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huemaurice54 décembre 2021 à 08:06
Carroll et sa famille ont tenté d'obtenir une consultation éthique avec l'hôpital, mais cette demande a été rejetée. Sa famille a ensuite été forcée de porter l'hôpital devant un tribunal pour obtenir une ordonnance d'interdiction temporaire. Ils ont également tenté d'obtenir une injonction temporaire obligatoire pour forcer l'hôpital à administrer les médicaments appropriés à Carolyn. Ils ont perdu cette audience le 28 juillet et Carolyn est décédée le 1er août.

"Nous avons fait appel sur la base de la compassion, de l'éthique, de la science et du droit", a déclaré Carroll lors de son entretien avec KBTX. «Mais finalement, nous avons été déjoués et déjoués par une équipe juridique et médicale très professionnelle et avisée de Baylor Scott & White. Ils ont pu faire valoir de nombreux arguments que, malheureusement, nous n'avons tout simplement pas été en mesure de combattre. »

Carroll ne veut pas que d'autres familles aient la même expérience

Lorsque Carroll tentait de poursuivre Baylor Scott & White en justice, elle et sa famille ont essayé d'amener l'hôpital à utiliser les médicaments qu'ils voulaient en vertu de la loi sur le droit d'essayer.

Signée en 2018, la loi sur le droit d'essayer offre un soulagement aux patients qui ont l'impression d'avoir épuisé toutes les autres options de traitement et qui souhaitent essayer des thérapies moins orthodoxes.

"L'idée est de permettre à cette famille de demander au tribunal ou à l'hôpital d'abord d'essayer d'obtenir une approbation pour un nouvel essai de médicament sur un médicament expérimental qui n'est pas approuvé par la FDA", a déclaré Gaines West, un avocat local qui a pratiqué le droit pendant près de 50 ans.

Mais les pouvoirs de la loi sur le droit d'essayer sont encore limités, et West dit qu'il faudra du temps pour que les applications potentielles de la loi soient développées davantage.

"Je suis heureux que nous ayons la loi sur le droit d'essayer parce que maintenant nous avons un moyen qui n'a peut-être pas encore été testé - ce n'est pas un moyen éprouvé - mais nous avons un moyen pour les familles et les individus de venir et de dire , 'Hé, il y a une option ici, et nous n'avons plus d'autres options, alors essayons ceci.'”

Carroll et West pensent que les personnes ayant des membres de leur famille qui se voient également refuser des soins médicaux appropriés peuvent consulter les lois locales et fédérales sur la négligence médicale, contacter les organisations qui ont les ressources nécessaires pour poursuivre les hôpitaux en justice et essayer de forcer l'hôpital à traiter selon le droit pour essayer d'agir.

Carroll tend maintenant la main à d'autres familles qui ont traversé ou traversent actuellement des épreuves similaires pour obtenir des ressources, des encouragements et une éducation.

"Nous avons un dicton familial qui dit:" Carrolls n'abandonne jamais "", a déclaré Carroll. "Cela fait partie de l'héritage de notre précieuse mère Carolyn qui nous a appris que Carrolls n'abandonne jamais, et cela s'appliquera à notre processus de guérison et de pardon."
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huemaurice54 décembre 2021 à 08:06
Ardis, Vliet et Carroll ont beaucoup plus à dire sur la façon dont les hôpitaux traitent – ou ne traitent pas – les patients COVID-19. Regardez l'intégralité de l'épisode du 1er décembre de « The Dr. Ardis Show » avec le Dr Bryan Ardis, mettant en vedette les Dr Elizabeth Vliet et Jodi Carroll ici :

- voir clip sur site -

"The Dr. Ardis Show" avec le Dr Bryan Ardis est diffusé tous les mercredis de 10h à 11h sur Brighteon.TV.

Apprenez-en plus sur la façon dont les hôpitaux refusent de traiter correctement les patients COVID-19 en lisant les derniers articles sur Pandemic.news.

Sources include:

Brighteon.com
KBTX.com

https://www.naturalnews.com/2021-12-03-hospitals-are-deliberately-killing-covid-patients.html
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huemaurice54 décembre 2021 à 08:06
Le Texan a facturé 4 000 $ pour un test COVID-19, dit qu'il se sent «trompé»

vendredi 03 décembre 2021
par : Ramon Tomey

(Natural News) Un résident du Texas a reçu des factures médicales s'élevant à plus de 4 000 $ après avoir été testé pour le coronavirus de Wuhan (COVID-19).

Jaden Janak a été testé pour COVID-19 après le décès de sa grand-mère de 75 ans des suites de la maladie l'année dernière. Il s'est rendu à l'urgence et à l'hôpital de Tulsa pour bénéficier d'un test COVID-19 rapide, qu'il a d'abord supposé gratuit. Dans la plupart des cas, l'assurance médicale couvre souvent les frais de test COVID-19.

Janak a eu une mauvaise surprise lorsqu'il a reçu deux factures médicales totalisant plus de 4 000 $. La première facture d'un montant d'environ 2 700 $ couvrait les frais de salle d'urgence et de laboratoire. Pendant ce temps, la deuxième facture lui a facturé environ 1 300 $ pour les honoraires du médecin.

Il a déclaré à Anna Werner, correspondante de CBS News : « Je me sentais très en colère. Je me suis senti trompé. Que se passe-t-il si cela arrive à quelqu'un d'autre et qu'il croit vraiment qu'il est personnellement responsable de ces frais ? Comment vont-ils pouvoir joindre les deux bouts, étant donné l'état de l'économie ? »

Le couple de Caroline du Sud, Barry et Jamie Constanzo, a également connu le problème en septembre. Ils prévoyaient de rendre visite à leurs petits-enfants lorsqu'ils ont développé ce qu'ils pensaient initialement être des symptômes de COVID-19. Les Constanzos se sont rendus au Conway Medical Center, le seul endroit avec des tests COVID-19 rapides à l'époque.

Bien qu'ils aient été testés négatifs pour le SRAS-CoV-2, ils ont reçu une facture commune de 570 $. Les Constanzo devaient initialement payer 771 $ chacun pour des frais d'urgence, mais l'assureur a refusé de payer l'intégralité des frais. Ainsi, le couple fait maintenant appel de leur projet de loi.

Barry Constanzo a déclaré : « Ils vous disent que vous êtes négatif, puis ils vous demandent pourquoi vous êtes ici – et ensuite ils regardent dans vos oreilles, votre nez et votre bouche. La prochaine chose que vous savez – vous recevez une facture, non liée au COVID. »

Son épouse Jamie Constanzo a déclaré: "Pourquoi irais-je dans un hôpital ou dans n'importe quel site de test pour COVID si j'étais là pour des allergies?" Compte tenu de ce qui s'est passé, elle a conseillé aux personnes souhaitant passer un test COVID de se rendre dans une pharmacie au lieu d'un hôpital. (Connexe : exemples plus stupides de tests COVID-19 à grande échelle.)

Les hôpitaux, les assureurs médicaux répondent aux plaintes
Blue Cross et Blue Shield of Texas (BCBS), l'assureur de Janak, ont émis un premier chèque pour les factures. Cependant, un deuxième chèque qui lui a été envoyé n'est jamais arrivé. Cela a laissé Janak lutter contre la facture d'hôpital et recevoir des appels de recouvrement pendant près d'un an. BCBS a déclaré plus tard que le deuxième chèque lui serait réémis.

Pendant ce temps, Tulsa ER & Hospital a déclaré à CBS News qu'il accepterait tout paiement que BCBS enverrait à Janak et qu'une fois qu'ils l'auront reçu, il n'aura plus d'arriérés. Les responsables de l'hôpital ont ajouté qu'ils avaient depuis modifié le processus avec le BCBS afin que les patients comme Janak ne soient plus au milieu. Les paiements vont désormais directement à l'hôpital dans le cadre du nouveau régime.
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huemaurice54 décembre 2021 à 08:07
BlueChoice HealthPlan de Caroline du Sud, le fournisseur d'assurance de Constanzos, n'a pas répondu aux demandes répétées de commentaires.

Pendant ce temps, Conway a déclaré que le couple aurait dû se rendre au test COVID-19 au volant gratuit s'il voulait se faire tester sans payer. « Le Conway Medical Center propose des tests au volant COVID-19 gratuits sept jours sur sept, de 8 h à 16 h. Si un patient se présente à notre service des urgences pour demander uniquement des tests COVID-19, il est référé au test au volant gratuit », ont déclaré les responsables de l'hôpital à CBS News.

Selon l'hôpital, les Constanzo sont allés au mauvais endroit – la tente de triage du service d'urgence. Comme ils se trouvaient techniquement aux urgences, l'hôpital a déclaré qu'il était "légalement tenu de les évaluer médicalement, de les traiter et de les faire sortir". Conway a traité les Constanzos pour des allergies, ce que le couple n'a pas demandé.

Le test COVID-19 est une arnaque

Il semble que le test COVID-19 recherché et facturé par Janak et le couple Constanzo soit une arnaque, comme le révèle un document interne de la Food and Drug Administration (FDA). Sur la base du document, le test de réaction en chaîne par polymérase de transcription inverse (RT-PCR) a utilisé un mélange de cellules de virus humains et de virus du rhume. Ce mélange a été utilisé "puisqu'aucun isolat de virus quantifié du 2019-nCoV n'était disponible au moment où le test a été développé".

Le document de la FDA a également admis que, sur la base des recommandations des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), le regroupement d'un maximum de quatre échantillons "peut être utilisé" avec les tests RT-PCR. Le CDC a cité "une forte demande pour des approches de test à plus haut débit" et "une pénurie mondiale de réactifs d'extraction d'acide nucléique" pour ces orientations. (Connexe : un document de la FDA admet que le test PCR « covid » a été développé sans échantillons de covid isolés pour l'étalonnage du test, admettant effectivement qu'il teste autre chose.)

Cependant, le document a averti que le regroupement d'échantillons RT-PCR ensemble "a le potentiel de diminuer la sensibilité" à mesure que les échantillons deviennent dilués. Cela se traduirait par « une faible concentration de matériel génétique viral en dessous de la limite de détection d'un test donné ». Les tests RT-PCR ont été surnommés le «gold standard» pour les tests COVID-19.

Le CDC a annoncé en juillet qu'il retirerait sa demande d'autorisation d'utilisation d'urgence pour le test RT-PCR. Il a également appelé les laboratoires d'essais à utiliser un autre test autorisé par la FDA pour déterminer l'infection au COVID-19.

« Le CDC encourage les laboratoires à envisager l'adoption d'une méthode multiplexée pouvant faciliter la détection et la différenciation du SRAS-CoV-2 et des virus de la grippe. De tels tests peuvent faciliter la poursuite des tests pour la grippe et le SRAS-CoV-2 et peuvent économiser du temps et des ressources alors que nous nous dirigeons vers la saison de la grippe. »

Pandemic.news has more articles about COVID-19 testing in hospitals.

Sources include:

CBSNews.com
FDA.gov
CDC.gov

https://www.naturalnews.com/2021-12-03-texan-billed-4000-for-covid-tests.html
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huemaurice54 décembre 2021 à 08:07
Complot criminel: Pfizer et le gouvernement ont caché des milliers de morts et de blessés massifs causés par des piqûres de covid expérimentales

vendredi 03 décembre 2021
par : Lance D Johnson

(Natural News) La même Food and Drug Administration (FDA) qui a tenté de dissimuler une opération de trafic d'organes fœtaux vivants, est la même agence qui a tenté de dissimuler les blessures et la mort généralisées du vaccin à ARNm de Pfizer. En vertu du titre 21, sous-chapitre F des propres réglementations de la FDA, l'agence " doit rendre " immédiatement disponibles " tous les documents sous-jacents à l'autorisation d'un vaccin ".

Au lieu de suivre ses propres réglementations et d'être transparente avec l'autorisation d'utilisation d'urgence (EUA), la FDA a demandé aux tribunaux de retenir toutes les données sur le vaccin de Pfizer jusqu'en 2076. C'est vrai, la FDA a conspiré pour retenir les données critiques sur le vaccin pendant 55 ans !

FDA, Pfizer savait que le vaccin expérimental tuait des gens, dans le complot criminel du siècle
Au moins 30 professeurs et scientifiques de Yale, Harvard, UCLA et Brown demandent un accès accéléré aux dossiers, appelant à une plus grande transparence des données. Heureusement, un juge fédéral du Texas a décidé que les 329 000 documents de Pfizer devaient être publiés à un rythme de 500 pages par mois, mais avec des expurgations. Ce processus de transparence est imposé par un tribunal et se déroulera à un rythme d'escargot. Pendant ce temps, la vie des gens est ruinée par les blessures et la coercition vaccinales, alors que les données sont lentement publiées, la vérité minutieusement exposée.

La définition d'un « vaccin » a dû être complètement modifiée afin de commercialiser et d'autoriser ces nouvelles injections d'ARNm. Les essais cliniques n'ont pas utilisé de normes de diagnostic appropriées, n'ont pas étudié la transmission virale, la mortalité toutes causes confondues, ni comparé les taux de maladie grave. Le processus a également ignoré la myriade de problèmes de santé causés par les vaccins, dont certains mettent délibérément la vie en danger. Les essais cliniques se sont appuyés sur des taux de tests PCR positifs (qui se sont avérés frauduleux) et des symptômes non spécifiques de maladie bénigne sur une courte période. C'est ainsi que les fabricants de vaccins ont obtenu leurs faibles taux d'efficacité des vaccins, qui sont tombés en territoire négatif, lorsque l'efficacité des vaccins dans le monde réel est configurée.

Pfizer a reçu plus de 1 200 rapports de MORT de son vaccin en 3 mois, mais a refusé de le retirer du marché
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huemaurice54 décembre 2021 à 08:08
Les 500 premiers documents EUA de Pfizer ont été publiés, et maintenant le monde sait pourquoi ces informations devaient être cachées jusqu'en 2076. Au cours des trois premiers mois du déploiement du vaccin, il y a eu des rapports volontaires de 1 223 décès et plus de 42 000 rapports indésirables couvrant un total de 158 893 effets indésirables. Un rapport sur 37 était MORT ! Ces données provenaient uniquement des vaccins administrés entre le 1er décembre et le 28 février. Les données ont été collectées aux États-Unis, en Allemagne, au Royaume-Uni, en Italie, en France, en Espagne et dans de nombreux autres pays.

Pfizer savait que son vaccin tuait et blessait des personnes à des taux jamais vus auparavant dans l'histoire de la vaccinologie, mais la FDA a aidé le cartel pharmaceutique entièrement indemnisé à dissimuler cette information et à obtenir l'homologation complète avec son vaccin à ARNm Comirnaty. Les deux entités ont conspiré pour retenir des informations médicales critiques, vitales ou mortelles, qui sont essentielles pour un consentement éclairé, et continuent de permettre aux inoculations dangereuses de provoquer des niveaux sans précédent de troubles du système nerveux, d'événements cardiovasculaires et de réactions auto-immunes.

Pire encore, ces événements indésirables non rédigés ne sont que les rapports volontaires que Pfizer et la FDA ont reçus. Le nombre réel de blessures et de décès liés au vaccin survenus au cours de cette période de trois mois et par la suite est inconnu. Dans les documents, Pfizer a admis qu'il n'y avait pas de données sur l'efficacité du vaccin ou de preuves de sécurité pour les enfants et les femmes enceintes et allaitantes, mais le gouvernement a quand même poussé le vaccin pour les femmes enceintes et les enfants. Selon les documents, la FDA savait également à l'avance que le vaccin pouvait rendre malade et tuer des patients qui ont ensuite été infectés par le covid – dans ce qu'on a appelé une « maladie améliorée associée au vaccin, y compris une maladie respiratoire améliorée associée au vaccin ».

C'est le plus grand complot criminel du siècle. Non seulement les vaccins doivent être retirés du marché, mais des ARRESTATIONS doivent être effectuées.

Les sources comprennent :

Infoguerres.com
NaturalNews.com
Reuters.com
PHMPT.org [PDF]

https://www.naturalnews.com/2021-12-03-pfizer-government-concealed-thousands-of-vaccine-deaths.html
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huemaurice54 décembre 2021 à 08:08
L'eurodéputé allemand exige des réponses : « Quand les décès dus aux vaccins seront-ils comptés ?

Vendredi 03 décembre 2021
par : Ethan Huff

(Natural News) Le membre du Parlement européen (MPE) Nicolaus Fest (AfD) d'Allemagne veut savoir pourquoi personne ne compte correctement les décès causés par les "vaccins" du coronavirus de Wuhan (Covid-19).

Au lieu de pousser plus de personnes à se faire injecter, Fest pense que toute la plandémie doit être suspendue jusqu'à ce que davantage de recherches soient effectuées sur l'efficacité présumée et les effets secondaires signalés associés aux injections.

Fest souhaite également que l'industrie pharmaceutique soit tenue responsable de toutes les blessures et décès plutôt que d'être protégée comme elle l'est actuellement.

"Alors maintenant, nous voulons vacciner le monde entier", a déclaré Fest aux législateurs. "Naturellement, on se demande pourquoi car jusqu'à présent, les raisons étaient toutes fausses ou trompeuses."

« Au début », a-t-il ajouté, « ils ont dit qu'ils voulaient seulement vacciner les groupes vulnérables. Donc, les gens de plus de 60 ans. Maintenant, ils disent non, il faut commencer à 18 ans.

Avec un taux de vaccination d'environ 70%, l'Allemagne devrait déjà avoir atteint "l'immunité collective", a ajouté Fest. Maintenant, cependant, le gouvernement veut que ce taux soit de 100 pour cent sans aucun soutien scientifique quant à pourquoi.

"Le sommet de cette absurdité est que les non vaccinés sont un danger pour les vaccinés", a déclaré Fest. "Nous n'avons jamais entendu celui-là auparavant."

Aucune autre industrie ne s'en tire comme le fait Big Pharma

Il s'avère que les « totalement vaccinés » ont une charge virale particulièrement élevée, ce qui les rend plus dangereux pour les autres que les non vaccinés – en supposant que ce dernier groupe est vraiment une menace comme le prétend le gouvernement.

Si quoi que ce soit, les piqûres complètes sont la seule menace réelle maintenant, car il n'a jamais été légitimement prouvé que des personnes en bonne santé non vaccinées sont capables de transférer une maladie à d'autres qu'elles n'ont même pas.

"Les vaccinés ont une charge virale particulièrement élevée, ce qui signifie que pour les groupes vulnérables, il est évidemment plus sûr s'ils sont visités par des personnes non vaccinées", a ajouté Fest.
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huemaurice54 décembre 2021 à 08:09
Fest a poursuivi en expliquant qu'il y a beaucoup plus de cas « révolutionnaires » que ne le prétend le gouvernement. Les percées peuvent, en fait, être la norme plutôt que l'exception.

« La justification la plus récente à entendre ici maintenant est que, puisque les deux premiers vaccins ont donc totalement échoué, nous devrions être vaccinés de toute urgence une troisième fois, avec un vaccin qui échouera probablement, tout comme les deux derniers vaccins l’ont fait la première fois », Fête ajoutée.

"C'est vraiment intelligent", a-t-il poursuivi sarcastiquement.

Officiellement, il y a eu 48 décès causés par les injections. Ceux-ci représentent une infime minorité des décès qui ont en fait été autopsiés, car la plupart des décès post-injection ne sont jamais autopsiés.

En réalité, il y a probablement eu beaucoup plus de décès causés par les injections en Allemagne que seulement 48, mais ils ne seront jamais enregistrés en tant que tels en raison de la falsification du processus.

Cependant, même ces 48 décès méritent que l'on s'y attarde.

« Si une entreprise, comme Nestlé ou Pepsi, ou toute autre entreprise mettait un produit sur le marché et que 48 personnes en mouraient en un an, nous ne parlerions pas de savoir si nous devrions ou non distribuer ce produit. produit au monde », a rapporté la Rair Foundation USA.

« Le Parlement européen devrait parler de l'efficacité des vaccins et de la responsabilité des conseils d'administration des vaccins, explique le député européen Fest. À mon avis, c'est sur cela que ce parlement devrait se concentrer, pas sur la vaccination du monde », a conclu le député européen.

Un commentateur du site Web de la Rair Foundation USA a plaisanté sur le fait que, selon Tony Fauci et Big Pharma, les injections sont sûres et efficaces à 100%. Oh, et il n'y a plus d'immunité collective, apparemment.

Vous trouverez plus d'informations sur les dernières nouvelles sur le coronavirus de Wuhan (Covid-19) sur Pandemic.news.

Les sources de cet article incluent :

RairFoundation.com

NaturalNews.com

https://www.naturalnews.com/2021-12-03-german-mep-when-will-vaccine-deaths-counted.html
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