- ENTREE de SECOURS -



lundi 27 décembre 2021

Dr Toubiana face à une anti-scientifique

https://www.youtube.com/watch?time_continue=7&v=C3zJrBJkXmY&feature=emb_logo

Pr Perronne 


40 commentaires:

  1. Voici comment la crise énergétique se transforme en faim puis… en guerre ?


    Par Chris MacIntosh
    Homme international
    27 décembre 2021


    Nous avons déjà mis en garde contre une énorme crise alimentaire et des problèmes d'approvisionnement sur le marché des engrais. Eh bien, maintenant c'est pire parce que c'était AVANT que nous ayons la crise du gaz naturel. Pourquoi est-ce important ?

    Le gaz naturel est L'intrant essentiel dans la fabrication d'engrais. L'urée est essentiellement de l'ammoniac à l'état solide, dont le processus consiste à faire réagir de l'ammoniac avec du gaz carbonique. Et nous savons tous maintenant - grâce aux nazis du climat - que le gaz carbonique est actuellement le diable. Le problème, bien sûr, est que sans gaz naturel, il n'y a pas d'urée, et sans urée, il n'y a pas d'engrais. Et sans engrais… eh bien, nous nous mangerons les uns les autres.

    Voici les prix spot de l'urée.

    - voir graphique sur site -

    Quelque chose d'autre que nous avions noté il y a quelque temps (en Corée) mais qui semble maintenant être un problème plus important.

    Voici un article sur un agriculteur australien qui prévient que la crise de l'approvisionnement en urée pourrait mettre un terme à une vie normale d'ici quelques semaines.

    Voici ce qu'il dit :

    "Non seulement nous ne pourrons pas élever de bétail et nous ne pourrons pas faire pousser de nourriture et nous ne pourrons pas faire pousser de céréales ou quelque chose du genre, mais même si nous le pouvions, nous ne pourrons pas le déplacer, car nous pouvons "Ne faites pas tourner une roue dans un camion parce que nous n'avons pas d'Adblue", (AdBlue est nécessaire pour les véhicules diesel - la moitié de tous les camions sur les routes australiennes fonctionnent au diesel).

    En février, nous n'aurons peut-être pas de camion sur les routes en Australie, nous n'aurons peut-être pas de train sur les rails.

    "Donc, littéralement, tout le pays s'est arrêté en février."

    Le fermier poursuit alors :

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  2. « Allez jeter un œil dans votre placard et allez jeter un œil dans votre réfrigérateur et je vous garantis à peu près tous les articles là-bas, à un moment donné, de l'urée a été utilisée pour produire cet article, que ce soit un steak, une salade ou un boîte de fèves au lard.

    En nous déplaçant vers l'Europe, nous assistons à une véritable crise énergétique qui s'y déroule, aggravée par des politiques de plus en plus destructrices de la part des chaussures pointues (produisons plus d'énergie solaire et éolienne lorsqu'elles s'avèrent à la fois inadéquates et extrêmement coûteuses) et une crise de la chaîne d'approvisionnement.

    Jetez un œil aux prix de l'énergie en Europe.

    - voir graphique sur site -

    Nous assistons donc ici au début de ce qui promet d'être une tempête. Pensez froid et faim et vous avez la bonne image.

    - voir graphique sur site -

    Cette électricité provient en grande partie du gaz naturel, et ce gaz naturel provient de ces Russkies en pointe.

    Les prix du gaz en Europe dépassent les 100 euros avec les yeux rivés sur la Russie.

    Le prix de référence du gaz naturel en Europe est passé au-dessus de 100 euros, soit 190 dollars par baril d'équivalent pétrole, avant une série d'enchères pour la capacité des pipelines qui sont considérées comme un test de la volonté de la Russie d'atténuer la crise de l'approvisionnement.

    Les enchères à jour pour l'espace sur les pipelines ukrainiens et la capacité de la station de compression allemande de Mallnow fourniront un signal fort sur le sérieux avec lequel la Russie envisage d'augmenter les flux vers l'ouest. Alors que le plus grand fournisseur de la région a déclaré son intention de continuer à remplir les sites de stockage européens jusqu'à la fin décembre, il n'a pas utilisé les enchères à court terme pour expédier plus de carburant.

    Donc en ce moment nous avons cette situation qui va vous faire tourner la tête. L'Europe est en panne d'essence. Ils ont passé la majeure partie de la dernière décennie à se débarrasser de leur propre énergie domestique, la remplaçant par des boules et des jouets, qui, bien qu'ils aient marqué le tableau de bord des réveils, se sont avérés catastrophiques pour produire… eh bien, de l'électricité.

    Avec les Européens maintenant froids et très bientôt affamés, nous sommes dus à une guerre. N'oubliez pas qu'historiquement, la flambée des prix des denrées alimentaires a provoqué des troubles civils, des révolutions et des guerres. Sur le plan positif, il est également connu pour guérir l'obésité, donc il y a ça.

    Revenons à l'urée et à la nourriture. Vous ne pouvez pas faire d'engrais sans urée et sans gaz naturel. À mesure que le prix de l'un ou de l'autre augmente (les deux le sont), cela a un impact significatif sur le prix des engrais. Le prix des engrais impacte à son tour le prix des denrées alimentaires. En effet, le fertiliseur est le deuxième élément de coût de la plupart des productions agricoles. Le premier étant… vous l'avez deviné, le diesel.

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  3. - voir graphique sur site -

    Nous avons maintenant un marché haussier non seulement pour l'urée, mais aussi pour le gaz naturel et, pour couronner le tout, également pour le diesel.

    S'attendre à ce que les prix des denrées alimentaires restent stables alors que les ingrédients nécessaires à leur production montent en flèche nous impressionne comme c'est comiquement stupide.

    Reprinted with permission from International Man.

    https://www.lewrockwell.com/2021/12/no_author/heres-how-the-energy-crisis-turns-into-hunger-and-then-war/

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    1. 'Pire' encore, certains pays ont (depuis 40 ans !!) abandonné le curage des ruisseaux !! L'envasement est très dangereux. Si le dragage des fleuves & rivières est délaissé, il s'ensuivra naturellement une hausse attendue du niveau d'eau de ces fleuves & rivières. Donc: débordements, inondations et navigabilité restreinte voire impossible.

      Mais pourquoi donc ? Alors que depuis toujours des cantonniers s'affairaient à cette tâche, il leurs a été interdit d'en prélever la terre déposée en fond ! Motif: La hausse attendue du niveau des... mers & des océans !!! HAHAHAHAHA ! Ce n'est PAS une blague !!

      Depuis DES millions d'années DES milliards de km³ d'eaux (venues des pluies, des fleuves & des rivières) se sont déversé dans les mers & océans sans qu'elles ou ils ne montent !!! Çà alors !!

      Ce sont les politiques tenues par les dictateurs-psychopathes au pouvoir qui entendent parler de ce qu'ils ne connaissent pas. Des idiots, des attardés-mentaux, des criminels qui projettent, qui programment, qui imposent (par exemple:) la piqûre létale pour tous ! Administration d'un poison (appelé frauduleusement 'vaccin') qui fera peu à peu disparaître la totalité des habitants de la planète Terre, sous couvert d'être assuré de l'efficacité du remède proposé contre des nano-poussières (appelées virus) intelligentes au point de pouvoir libérer leur poison mortel intérieur par réception d'un signal hertzien émis par téléphone !

      Et, malgré cette dictature trisomique mise-en-place, le niveau des mers & océans n'a pas grimpé d'un millimètre !!! et n'a donc pas remonté dans les fleuves & rivières et n'a donc pas créé des inondations dues à cette hausse des bassins maritimes et océaniques ! pareillement qu'il n'y a PAS de virus empoisonné dans l'air mais UNIQUEMENT distribué en seringues, pas plus que de 'réchauffement climatique' ou de dettes fabriquées par la planche-à-billets !

      Aujourd'hui, ils s'amusent avec l'énergie, l'engrais, et demain le 'Great Reset' ?

      Le monde manque juste de Démocratie ('Par le Peuple, Pour le Peuple').

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  4. Les prix des engrais sont désormais suffisamment élevés – Yara fait tourner ses usines d'engrais à plein régime


    Olaf Zinke, AGRARHEUTE*
    27 Décembre 2021


    Les prix élevés des engrais poussent les fabricants d'engrais à se remettre à produire. Si la production tourne à plein régime, l'offre finira par rattraper la demande et les prix des engrais baisseront à nouveau. Les analystes estiment que cela pourrait se produire au second semestre 2022.

    Yara annonce le redémarrage de ses usines d'engrais. La production est à nouveau rentable, dit-on. Les analystes du monde entier se disputent sur les conséquences de la hausse des prix des engrais sur l'offre et la demande – et sur l'évolution future des prix.

    Les prix des engrais azotés et autres engrais minéraux avaient récemment atteint de nouveaux records en Europe et aux États-Unis, mais aussi en Chine et en Russie, dépassant largement les précédents sommets historiques.

    Une grande partie de la production européenne d'ammoniac de Yara, le plus grand producteur européen d'engrais azotés, est en train de redémarrer, selon ses propres dires. « Le prix des engrais azotés est remonté à un niveau tel qu'il est rentable pour nous de démarrer la production. En outre, le prix mondial de l'ammoniac a lui aussi très fortement augmenté », a déclaré un porte-parole de Yara à l'agence de presse Reuters.

    Les prix des engrais azotés et d'autres engrais minéraux avaient récemment atteint de nouveaux records en Europe et aux Etats-Unis, mais aussi en Chine et en Russie – nettement supérieurs aux précédents records historiques. L'entreprise a déclaré dans un communiqué qu'elle s'efforçait certes de continuer à approvisionner ses clients, mais qu'elle ne pouvait pas exclure de réduire à nouveau sa production d'ammoniac en cas de besoin.

    De nombreux autres grands fabricants d'engrais, comme l'entreprise américaine CF Industries Holdings, BASF ou Stickstoffwerke Piesteritz, ont aussi considérablement réduit leur production. L'entreprise norvégienne d'engrais Yara a désormais remis en service la majeure partie de sa production européenne d'ammoniac, suite à la hausse des prix des engrais prêts à l'emploi.

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  5. Les prix élevés du gaz naturel sont-ils la cause de cette explosion des prix ?

    Yara peut produire 8,5 millions de tonnes d'ammoniac par an dans le monde, dont 4,9 millions de tonnes en Europe.

    La semaine dernière, des agriculteurs américains avaient écrit au Département de la Justice pour demander aux autorités d'enquêter sur le prix élevé des engrais. Les agriculteurs estiment en effet que les prix élevés du gaz naturel ne jouent qu'un rôle limité dans les prix des engrais. On soupçonne plutôt le manque de concurrence dû à la forte concentration du marché dans le secteur d'être une cause déterminante de l'explosion des prix.

    Yara et d'autres producteurs estiment que la hausse record des prix du gaz naturel et les problèmes logistiques sont à l'origine de la flambée des prix qui, selon eux, a rendu impossible une production rentable d'engrais. Yara (et d'autres fabricants) a donc réduit ou complètement arrêté la production d'ammoniac dans de nombreuses usines en Europe à partir de septembre.

    En incluant les travaux de maintenance planifiés et les arrêts non planifiés, la production européenne d'ammoniac de Yara ne représentait plus que 30 pour cent de sa capacité normale de septembre à novembre, indique le plus grand producteur européen d'engrais azotés dans un communiqué.

    Selon l'entreprise, celle-ci a tenté de remplacer la production d'ammoniac non rentable en Europe par un approvisionnement à partir d'usines situées hors d'Europe et du réseau mondial de négoce et d'expédition d'ammoniac de Yara. Le groupe peut produire 8,5 millions de tonnes d'ammoniac par an dans le monde, dont 4,9 millions de tonnes en Europe.

    Selon les analystes, les prix européens du gaz en gros ont parfois augmenté de 700 % cette année. Mardi, le prix de référence européen du gaz naturel était 570 % plus élevé qu'au début de l'année 2021.

    Les conséquences sur l'offre et la demande d'engrais

    Ce qui pourrait arriver, c'est que les agriculteurs de certaines régions du monde (comme les États-Unis) obtiennent leur azote, mais que les agriculteurs d'autres parties du monde pourraient être très peu approvisionnés.

    Malgré les prix records des engrais dans le monde en 2021, la demande mondiale d'engrais azotés devrait augmenter en 2022, estiment les analystes. Selon cette lecture, un effondrement de la demande ne serait pas en vue. C'est ce que montrent différentes études. Toutefois, personne ne sait vraiment comment le comportement d'achat des agriculteurs va évoluer en raison des prix exorbitants des engrais et de l'explosion des coûts de production. Beaucoup dépendra de la direction que prendront les prix des céréales dans les prochains mois et après la nouvelle récolte.

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  6. Il est également possible que les prix élevés des engrais entraînent à moyen terme une forte augmentation de l'offre, de la production – et une forte baisse des prix des engrais – comme après le dernier record de prix. Tout semble possible à l'heure actuelle. Mais cela devrait encore prendre du temps. Selon l'organisation internationale des fabricants d'engrais IFA, le taux de croissance de la demande totale d'engrais devrait ralentir au cours de la campagne 2021/22.

    M. Chris Lawson, directeur du département des engrais de la société de conseil londonienne CRU, a déclaré au portail agricole DTN que la baisse de la demande liée à la hausse des prix de l'azote avait été surestimée. Selon M. Lawson, l'azote est un produit assez inélastique. Bien qu'il y ait des problèmes d'offre qui entraînent des prix nettement plus élevés, les agriculteurs continuent d'acheter et d'utiliser le nutriment le plus important.

    « Il y a différents points de vue sur la perturbation de la demande », souligne toutefois également M. Lawson. « Ce qui pourrait arriver, c'est que les agriculteurs de certaines régions du monde (comme les États-Unis) obtiennent leur azote, mais que les agriculteurs d'autres parties du monde pourraient être très peu approvisionnés. »

    La plupart des analystes estiment également que l'une des principales raisons de la hausse des prix de l'azote est le prix très élevé du gaz naturel, notamment en Europe. Les prix du gaz naturel ont augmenté dans le monde entier à mesure que les pays rouvrent leurs économies et lèvent les restrictions liées à la Covid-19.

    Les prix des engrais ne baisseront pas avant le second semestre 2022

    En septembre, le fabricant américain CF Industries avait également arrêté la production dans deux usines d'azote britanniques en raison de l'explosion du prix du gaz naturel. Une usine a été rouverte une semaine plus tard, l'autre en octobre.

    Alors que certains agriculteurs, mais aussi des analystes, pensent que les fabricants d'engrais réduisent leur production afin d'augmenter les prix, M. Lawson est convaincu que les fabricants d'engrais azotés produisent autant que possible. De nombreux fabricants retardent même l'entretien de leurs installations afin de pouvoir continuer à produire les tonnes d'azote dont ils ont tant besoin, a-t-il ajouté. Pour profiter des prix extrêmement élevés – faut-il ajouter – comme le fait actuellement le fabricant européen Yara.

    Si la production tourne à plein régime, l'offre finira par rattraper la demande et les prix des engrais baisseront à nouveau. M. Lawson pense que cela sera visible dans la deuxième moitié de 2022.
    ____________

    * Olaf Zinke travaille pour agrarheute en tant que rédacteur cross-média pour les opérations et les marchés. Il analyse les marchés agricoles et des produits de base nationaux et internationaux depuis trois décennies et a travaillé à ce titre pour diverses institutions.

    Source : Düngerpreise sind jetzt hoch genug – Yara fährt Düngerwerke hoch | agrarheute.com

    https://seppi.over-blog.com/2021/12/les-prix-des-engrais-sont-desormais-suffisamment-eleves-yara-fait-tourner-ses-usines-d-engrais-a-plein-regime.html

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  7. Le « monde d’hier » est bien derrière « nous »


    par Lucien Samir Oulahbib1.
    27 décembre 2021


    Ne « nous » leurrons pas (et le 27 décembre le confirmera), la Secte hygiéniste scientiste affairiste (la SHSA) aux manettes également en France (au sens de se constituer de plus en plus comme « race » globale purifiée) persiste et signe dans son néonazisme (tout en le niant). Eh oui, selon ses prothèses, il faut de plus en plus « travailler à distance », s’éloigner les uns des autres. Eh oui, il faut de plus en plus, et ce tous « les trois mois » détruire nos fonctions immunitaires naturelles, car elles sont un concurrent industriel de fait pour ce « Grand Reset » multiforme qui nous considère comme autant de particules malléables et corvéables à merci formant ces flux mondiaux dont les courbes montent et descendent en temps réel sur les grands écrans multicolores de la gestion globale, ces tableaux, côtés en Bourse grâce à la planche à billets des banques centrales, cet art « vivant » postmoderne ou plutôt « morbide » qu’il est si agréable d’observer dans son jacuzzi en écoutant entre deux ricanements fielleux les incohérences méticuleuses des zombies assignés à la Propagande, tandis qu’un Serviteur muselé sert le saladier de coke.

    Car cette Secte est de plus en plus composée de zombies cooptés (il suffit donc de dire « oui ») comme « morts-vivants » en marche. C’est ce que Maurice Blanchot conseillait dans « L’espace littéraire » (1955) et qui a tant influencé Michel Foucault. Il ne s’agit plus en effet de « vivre » (cette « domination »), mais survivre (disait aussi Derrida), au sens de se rendre insensible à toute organisation, comme putréfié, pourri, mort. C’est que vie et mort, vérité et mensonge, entrent en équivalence, ce qui permet ainsi de surmonter le vivre et ses passions par la mort et ses destructions ou le comportement viral lui-même : devenir virus/parasite (et l’État est le fromage idéal pour ce faire) puis chercher (pour s’amuser) l’hôte par lequel l’on persistera à (se) détruire afin d’être artiste. Ainsi selon Blanchot (1955), Orphée doit se retourner afin qu’Eurydice devienne statue, et c’est le fait même de se retourner qui EST l’œuvre d’art à accomplir, la statue finale n’étant que sa matérialisation éphémère, un peu aussi comme Don Juan qui ayant aussitôt séduit va vers sa prochaine cible, et ce mouvement est le but même (la création) à atteindre. Pour le devenir « Créateur » (plus à la mode que « dieu » qui est « mort », remember [rappelez-vous]).

    Mais tout cela est maquillé bien sûr par un système sophistiqué de trompe-l’œil (comme toutes ces belles notes savantes de Foucault en bas de page : fresques et bas-reliefs d’une connaissance inutile) afin de ne plus voir le Réel, mais sa simulation Potemkine qui arrive même à tromper nombre de savants et d’esprits affûtés (rappelez-vous leur nombre considérable qui soutenait, avec verve, les totalitarismes précédents).

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  8. La preuve de ce rouleau compresseur du devenir rhinocéros façon Ionesco (les « masquocéros ») s’érige par exemple dans cette confusion absolue, méticuleusement assénée, entre « cas » et « malades » quand bien même ce dernier variant serait bien moins virulent, comme si aussi les millions de personnes infectées naguère par la grippe traditionnelle n’avaient jamais existé et que nous n’avions pas depuis ces deux ans passés appris comment s’en protéger par les traitements préventifs et précoces de plus en plus soigneusement écartés par ailleurs.

    Le fait que cette Secte, désormais une monstruosité en roue libre, n’ait cure de ces distinctions de base (sans oublier sa volonté têtue, opiniâtre, de dissoudre méticuleusement la notion même de citoyenneté, d’identité, de sexe) est bien aussi la preuve même qu’elle continuera à détruire (elle en fait même sa philosophie) tant qu’elle ne sera pas mise hors d’état de nuire. À charge ensuite à une tératologie digne de ce nom d’en faire l’autopsie objective bien sûr.

    source : https://nouveau-monde.ca

    https://reseauinternational.net/le-monde-dhier-est-bien-derriere-nous/

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  9. Retour à la normale …


    le 27 décembre 2021


    Après une semaine agitée comme l’océan l’était il y a quelques jours j’accuse le coup et indéniablement mes 20 ans sont bien loin. J’admire ces Parisiens dociles qui ont reçu trois doses d’ARN messager. Sans l’avouer clairement mes quatre petits-enfants et leurs parents ont admis que cette thérapie génique ne servait à rien puisque, selon les informations dont ils disposaient, à leur arrivée à Orly (l’aéroport sud de Paris) ils devraient se soumettre à un test RT-PCR qui, comme chacun le sait, n’est pas fiable. D’où la vraie question : « à quoi sert ce pseudo-vaccin ? »

    Mon cadeau de Noël consistait en deux bouteilles de rhum Bielle, beaucoup plus efficace que les gels hydro-alcooliques pour se désinfecter les mains mais ce serait un véritable gâchis d’en faire cet usage. Et aussi deux livres : « La religion écologiste » de Christian Gerondeau et « Enquête sur un virus » de Philippe Aimar. Intellectuellement ce fut un plaisir car parmi nous sept il y avait votre serviteur, titulaire de deux doctorats, deux normaliens, ma fille, docteur en mathématiques, et son époux, agrégé de mathématiques, et deux polytechniciennes, les deux plus jeunes attendant leur tour … Nous avons naturellement parlé de la catastrophe du système dit de l’Éducation nationale française et je reconnais que des enfants vivant dans un environnement familial de hauts diplômés sont naturellement favorisés sans entrer dans des considérations d’élitisme stupides. Il est vrai que le proverbe « les chats ne font pas des chiens » ou l’inverse, je ne sais plus, s’applique clairement.

    Enfin, malgré des cerveaux bien remplis, toute cette petite famille aime bien ripailler, avec une tendance vers les fruits de la mer, lotte, soles, coquilles Saint-Jacques et les bons vins espagnols qui n’ont rien à envier aux vins français.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/12/27/retour-a-la-normale/

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  10. COVID, le prix à payer


    dimanche, 26 décembre 2021 10:26
    H. Dumas


    Encore une fin d’année catastrophique, ou plutôt voici une nouvelle année qui commence mal, au choix.

    Quelques-unes de ces incohérences qui nous perturbent gravement :

    le “vaccin” contre COVID, contrairement à ce qui nous est laissé supposer, n’est pas gratuit, nous le payons par l’impôt.
    Bien pire, nous n’en connaissons pas le coût, alors que c’est nous qui payons.
    Le “vaccin” obligatoire, tout rappel confondu, serait efficace à un gros 50%, sans qu’une certitude scientifique ne soit apportée sur ces chiffres. C’est un peu comme si les hommes de l’Etat nous obligeaient à leur acheter une voiture qui aurait une chance sur deux de voir sa direction se casser en nous projetant contre un arbre.
    Étrange similitude entre COVID et collectivisme. C’est à dire un projet collectif qui isole. Un même révélateur d’isolation : la peur de l’autre par qui arriverait le déchaînement de la violence mortelle.
    L’exigence du sacrifice du plus grand nombre au profit incertain d’une minorité dont le destin ne change pas malgré ce sacrifice. Un échec total, qui justifie paradoxalement l’intensification du sacrifice inutile.
    Une élite non concernée qui s’épanouit et se renforce au détriment de l’ensemble, qui échappe aux contraintes sans conséquence notable pour elle.
    Supporterions-nous un chauffage qui ne chauffe pas, un réfrigérateur qui ne rafraîchirait pas, un transport immobile ? Comment pouvons-nous accepter un “vaccin” qui ne vaccine pas ? Qui simplement réduirait le risque d’une maladie dont on sait que son destin naturel est de disparaître. Un peu comme la carence du chauffage s’estompe l’été venu, sans besoin du chauffagiste.
    Guerres napoléoniennes, 14-18, 39-45 et COVID, même scénario : sacrifice de la jeunesse aux fantasmes de la vieillesse, mais sans même les “faits d’armes”. Le bide complet.

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  11. Un silence assourdissant des 220 000 médecins français qui, hors quelques exceptions respectables, ont avalé les couleuvres des hommes de l’Etat. Par incompétence ? Par intérêt ? Par désespérance ?
    Cette liste n’est pas exhaustive. COVID a été l’unique star des informations depuis deux ans.

    La société COVID, un immense désert où l’humanité a le derrière en l’air et la tête dans le sable.

    Attention aux coups de soleil sur les fesses et aux vertiges quand tous relèveront la tête.

    Bonnes fêtes quand même. H. Dumas

    https://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/liberalisme/covid-le-prix-a-payer.html

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    1. Ne confondons pas les guerres physiques avec des contes pour enfants ! Par définitions l'invisible est invincible. C'est pourquoi un nano-groupuscule de criminels (à la tête d’États !!) ont suggéré que tout le monde (7,9 milliards d'êtres humains) serait asymptomatique car chacun de nous respire 200 000 virus ou microbes PAR MINUTE ! (soit DES milliards depuis ce matin) et donc, grâce aux faux tests RT-PCR, l'on peut y voir des millions de trucs et leur donner des noms !

      Mais, l'objectif réel n'est pas de dire que tout le monde a respiré DES milliards de trains de milliards de microbes et de virus depuis sa naissance et que personne n'en est mort, l'objectif est d'apporter un faux remède qui ne s'appellera pas anti-microbes (antibiotique) mais... anti-virus (bombe Pliz anti-poussières !)!!

      Un virus EST UNE POUSSIÈRE. Mais, aux poussières naturelles et parfaitement inoffensives émises par le magma ont été ajoutées celles fabriquées en laboratoires nazies (nazional socialiste) ! Et, ces virus (appelés aussi 'poussières intelligentes') ont la particularité de renfermer un poison non détectable de l'extérieur. L'objectif est bien-sûr d'empoisonner les personnes à qui elles ont été injectées et non d'apporter un antidote anti-poussières !!

      Il y a donc dans le monde 2 sortes de gens: Ceux qui comprennent et ceux qui refusent de comprendre.

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  12. Matrixxx Groove : le vaccin COVID est une arme biologique qui tue des enfants


    dimanche 26 décembre 2021
    par : Mary Villareal


    (Natural News) L'ancienne employée de Pfizer et dénonciatrice, Karen Kingston, a déclaré aux hôtes de Matrixxx Grooove Jeffrey Pedersen et Shannon Townsend que le vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) est une arme biologique qui nuit aux enfants du monde entier.

    Kingston a partagé une étude récente suggérant que la vaccination COVID fait augmenter le taux de mortalité. Le document a montré que sur le nombre total de doses de vaccin mises dans les bras des Américains jusqu'au 15 décembre, il y a plus de 20 000 décès liés au vaccin. Avec 200 millions d'injections, 20 000 décès donneraient un taux de mortalité d'environ 0,01 %, ce qui est le prix à payer pour l'insertion d'armes biologiques dans le corps humain.

    Il existe un taux de mortalité vaccinale d'un sur 10 000 sur la base de cette référence, mais ce nombre est très prudent car les effets indésirables et les décès sont gravement sous-déclarés dans le système VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System). Pour les enfants âgés de zéro à 17 ans, il existe un risque de décès sur 25 000 à cause du vaccin. C’est une de trop, car les enfants en bonne santé n’ont pratiquement aucune chance de mourir de COVID-19.

    En examinant le risque de décès par COVID jusqu'au 11 mai de l'année dernière et avant le début de la vaccination de masse chez les adultes et les enfants, le taux de mortalité était de 1,1 à 250 000.

    Une étude montre une corrélation entre les taux de mortalité et la vaccination chez les enfants
    Une nouvelle étude a souligné qu'il existe une corrélation entre la mortalité et les premières semaines de vaccination chez les enfants.

    Les enfants de plus de 14 ans qui sont vaccinés augmentent leur risque de décès par rapport à la population générale pendant les cinq à six premières semaines. Si un enfant survit aux cinq à six premières semaines de vaccination, le risque de décès par COVID est plus faible. Cependant, pour le groupe d'âge non vacciné, pour les enfants de 0 à 14 ans, la plupart des associations mortalité et vaccination chez les adultes sont positives. (Connexe : Karen Kingston : l'approbation du vaccin Pfizer fait partie d'un complot visant à nuire aux enfants – Brighteon.TV.)

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    Il existe également des effets indésirables indirects de la vaccination des adultes sur la mortalité des enfants âgés de 0 à 14 ans pendant les 15 à 18 premières semaines suivant la vaccination. Cela signifie que lorsque les adultes sont vaccinés et qu'ils côtoient des enfants pendant 18 semaines après leur dernière vaccination, le risque de décès chez les enfants de moins de 14 ans augmente.

    Les hospitalisations dues au COVID-19 ont également augmenté à mesure que de plus en plus d'adultes se font vacciner, et les risques pour les enfants, en particulier dans la tranche d'âge de zéro à quatre ans, augmentent considérablement.

    Avec les données présentées, le concept de vaccination de masse, censée protéger les autres et la société, nuit aux enfants et augmente le risque de décès.

    Alors que le concept de vaccination de masse semble être bon pour la société, c'est en fait un mensonge. Les gens croient qu'ils sont de bons membres de la société, mais en protégeant les aînés et les personnes âgées, ils mettent également les enfants en danger de mort, les enfants de moins d'un an ayant les taux de mortalité les plus élevés.

    Dans l'ensemble, l'étude a montré qu'il y a peu ou pas de preuves que les vaccins réduisent la propagation et la transmission dans la communauté, car les essais cliniques utilisent des cas de COVID symptomatiques et non asymptomatiques comme critère d'évaluation clinique. Étant donné qu'il n'y a pas d'exigence de test hebdomadaire du coronavirus chez les participants pour la plupart des études, elles ne sont pas conçues pour estimer l'efficacité du vaccin pour réduire l'infection.

    Comme les vaccins ne semblent pas réduire la propagation dans la communauté pour la plupart des groupes d'âge, les mandats de vaccination sont tous peu judicieux et ne présentent pas beaucoup d'avantages pour eux, à part l'augmentation de la part de marché disponible pour les entreprises.

    Regardez l'épisode complet du 21 décembre de "Matrixxx Grooove" avec Jeffrey Pedersen et Shannon Townsend dans la vidéo ci-dessous: Branchez-vous sur "Matrixxx Groove" du lundi au vendredi de 12h à 13h. sur Brighteon.TV.

    - voir clip sur site -

    Cette vidéo provient de Brighteon.TV.

    Les sources comprennent :

    Brighteon.com
    ResearchGate.net

    https://www.naturalnews.com/2021-12-26-covid-vaccine-is-a-bioweapon-killing-kids.html

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  14. Laurent Toubiana révèle les vrais chiffres du Covid-19 en France


    par Le Média en 4-4-2.
    27 décembre 2021


    Laurent Toubiana, épidémiologiste (depuis 30 ans), lance un chiffre qui va à l’encontre des habituels et dominants discours de peur : 40 malades en une semaine pour pour 100 000 habitants en France (0,04 % de la population sur une semaine). Ce chiffre vient de plusieurs réseaux dont le réseau Sentinelle.

    En une semaine 12,9 malades ont été hospitalisés pour 100 000 habitants (2,8 admissions en soins critiques pour 100 000 habitants). Pour 100 000 habitants, il y a 5800 lits d’hôpitaux. Les hôpitaux ne sont donc pas submergés de malades covid, contrairement aux mensonges diffusés depuis deux ans par les médias.

    Laurent Toubiana souhaite que les Français sortent de leur torpeur et se rendent compte que les 33 milliards tirés de leurs poches ont été dépensés pour une épidémie qui n’en est pas une et qui n’a, au plus fort, fait que 140 malades pour 100 000 habitants, ce qui est une épidémie banale. Interrogé par CNews, il a droit à une réflexion réplique pleine d’empathie et de respect de la part de la « journaliste » : « Tout le monde se tromperait à l’échelle nationale sauf vous. » A quoi il répond : « Tout le monde ne se trompe pas. En réalité on a publié une tribune qui a été signée par deux mille chercheurs et professionnels de santé. Malheureusement cette tribune a été enterrée. Il y a énormément de gens en France qui ont conscience de ce mensonge ».

    La tribune des scientifiques déterrée !
    La tribune des 2000 scientifiques analyse la propagande de masse en soutien du mythe de l’épidémie, pour aller vers la réalité qui est :

    – La prétendue « pandémie du siècle » n’a jamais menacé les personnes âgées de moins de 60 ans.

    – Il est fallacieux de présenter une courbe des « cas positifs » (qui dépend de nombreux facteurs, à commencer par la fréquence des tests) comme une courbe du nombre de « malades ».

    – La vaccination se dirige vers 100 % de couverture de la population générale sans que cela ne change rien à la dynamique des épidémies successives provoquées par les variants.

    – La vaccination intégrale est une structure psychorigide aveugle sourde à toute remise en cause. En l’occurrence, il est tabou de parler d’effets indésirables graves liés à la vaccination des jeunes.

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  15. – Cette idéologie industrielle et scientiste de la vaccination intégrale fonctionne comme les religions en temps de crise par le passé. Elle a ses grands prêtres et ses dévots, qui monopolisent la parole sur les plateaux de télévision. Elle a son inquisition médiatique qui excommunie les penseurs déviants. Elle produit massivement des boucs-émissaires (les non-vaccinés) qui sont traités comme autrefois les pestiférés ou les lépreux.

    Cette tribune peut être lue dans son entier ici.

    source : https://lemediaen442.fr

    https://reseauinternational.net/laurent-toubiana-revele-les-vrais-chiffres-du-covid-19-en-france/

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  16. Échec complet d’un vaccin qui ne sert à rien en termes de protection de la santé publique (sinon engraisser le lobby pharmaceutique et accompagner le Grand Reset) …


    27 décembre 2021
    par Vincent Gouysse.


    « Efficacité » tombée à 34 % contre Omicron, quatre mois après la première salve vaccinale (et ils sont sans aucun doute généreux !…)

    Trois mois entre deux doses de rappel ? Au début, les « experts » fanfaronnaient et prédisaient au moins 1 an « d’immunité forte », pour faire avaler la pilule !

    Parce que la troisième dose sera plus efficace ? Non, puisque Israël a déjà commencé à administrer la quatrième….

    « Vaccins » bricolés à ARN-m ciblant la protéine spike favorisant la sélections de variants résistants (et ça, ce n’est pas la faute des non-vaccinés…) vs vaccins entiers inactivés (chinois) : tout le monde peut désormais bien comprendre pourquoi l’Occident a retenu la 1ère solution ! Déjà deux ans de pandémie permanente…

    Lol, on prend vraiment les gens pour des cons !… Apprenons à vivre avec, puisque le Covid devient de moins en moins létal à mesure qu’il mute et qu’il circule (l’Afrique du Sud estime qu’omicron est cinq fois moins virulent que le delta), dépistons réellement (pas en aveugle pour se donner bonne conscience) et traitons correctement et précocement les malades (on connaît des traitements efficaces et bon marché) ; on nous épargnera tout ce cirque vaccinal et ce qui l’accompagne…

    Moi, je propose qu’on passe directement à une injection mensuelle avec l’établissement d’un pass vaccinal inviolable basé sur une puce RFID !

    Quelle déchéance de la pensée critique…

    *
    À voir absolument, deux courtes vidéos récentes de la généticienne A. Henrion-Caude et du professeur Christian Perronne :

    A. Henrion-Caude et le Pr C. Perronne

    - voir clips sur site -

    La généticienne Alexandra Henrion-Caude pose une question simple aux français injectés

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  17. PS : Voyez également la remarquable interview donnée en ce 24 décembre 2021 par le professeur Christian Perronne qui démontre (entre autres choses !) comment le Capital muselle toute la « presse libre » et a déjà opté pour une nouvelle forme de fascisme, lui permettant ainsi de manoeuvrer à sa guise la galère occidentale voguant vers le Grand Reset !…

    Vincent Gouysse pour http://www.marxisme.fr

    https://reseauinternational.net/echec-complet-dun-vaccin-qui-ne-sert-a-rien-en-termes-de-protection-de-la-sante-publique-sinon-engraisser-le-lobby-pharmaceutique-et-accompagner-le-grand-reset-maj/

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    1. Comme les poussières empoisonnées (appelées coronacircus19') s'éliminent ou s'élimineraient (selon les organismes) en 3 ou 6 mois, il est donc nécessaire de refaire une injection de prise totale de contrôle du rat-de-laboratoire qui regarde la télé, pour qu'il ne zappe pas une ixième dose et demeure le con né/formaté/demeuré-l'idiot/ qui crève la gueule ouverte.

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  18. Héritage : nouveau plan fiscal contre les morts

    Impôt sur l'héritage : par tous les moyens, les hommes de l’État essaient de s’approprier le fruit des


    le 28 décembre 2021
    Philippe Lacoude


    À juste titre, les droits de succession sont appelés « death tax » – impôt sur la mort – par les Américains.

    De fait, dès le décès d’une personne, les hommes de l’État se comportent comme des voleurs de temps révolus, arrivant comme des charognards pour dévaliser le défunt.

    Moins visibles qu’autrefois sur les champs de bataille, les voleurs contemporains bloquent les comptes en banque, immobilisent les véhicules, et envoient les suppôts de l’État – notaires et commissaires-priseurs, toujours prêts à défendre leur maladive relation symbiotique avec le fisc – inventorier tout ce qui peut l’être.

    Dans quel but ?
    Par tous les moyens, les hommes de l’État essaient de s’approprier le fruit des efforts de l’épargne d’autrui.

    L’armée, le mammouth de l’EdNat, les systèmes de subvention de l’oisiveté, l’assistance aux pauvres qu’ont froid, la sécu et la police – tous à la diète financière et gérés au micro-poil sans gabegie aucune ! – ont besoin d’encore plus de « pognon de dingue© » pour propulser le pays vers davantage de sécurité, de meilleurs soins, et des scores PISA toujours plus élevés qui font l’envie de trous à rats comme Singapour, la Suisse ou le Luxembourg qui, eux, n’ont ni la chance d’avoir des revenus per capita deux fois plus élevés que les Français, ni la chance d’avoir peu de crimes, ni la chance d’avoir des enfants lettrés et sains de corps, ni, surtout, la chance d’avoir un État qui pompe 61 % de la production nationale – et plus encore en proportion de la production marchande !

    Comme chacun le sait, si l’État pouvait mettre la main sur 70 % de la fortune du Français le plus riche, par la malheureuse circonstance de son décès, il construirait immédiatement des routes, des hôpitaux, des écoles, et surtout des centres de recherches performants qui éviteraient à ses futurs prix Nobel de devoir s’expatrier.

    Avec quels résultats ?
    Hélas, comme nous l’avons rappelé récemment dans Contrepoints dans une série sur la fiscalité (co-écrite avec Pascal Salin), la fiscalité du capital (ici, ici et là) est la pire forme que l’on puisse concevoir.

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  19. L’épargne est constitutive de capital. Ce dernier est un des deux facteurs de production essentiels – l’autre étant le travail. Dans une société qui pénalise le travail par toutes sortes de mécanismes micro-économiques consternants de bêtise, tout manque de capital vient obérer la production.

    Par conséquent, toute mesure contre l’épargne – aussi minime puisse-t-elle paraître – a des conséquences sur les revenus.

    La France manque cruellement d’entreprises de taille intermédiaire (ETI, celles qui emploient entre 250 et 5000 salariés) comparativement aux autres pays et il est généralement admis que la raison se trouve être l’effrayante fiscalité française du capital.

    Rappelons qu’en 1981, la France et l’Allemagne avaient le même nombre d’ETI mais qu’il n’en reste aujourd’hui que 5300 en France, contre 12 500 en Allemagne, 10 500 en Grande-Bretagne, et 8000 en Italie.

    Supprimer les droits de succession
    Regardons également les grandes fortunes américaines. Elles sont toutes issues de familles de la classe moyenne aisée : les parents de Bill Gates lui ont avancé les fonds pour constituer le capital de Microsoft. Même histoire chez Jeff Bezos : ses parents lui ont donné les 300 000 dollars avec lesquels il a démarré Amazon en 1994.

    Si nous examinons la liste de Forbes des 400 premières fortunes américaines, il se dégage une conclusion particulièrement claire : tous ceux qui ont fait fortune en fondant une entreprise sont issus des classes moyennes. S’ils n’étaient pas là, le classement ressemblerait à une liste d’héritiers.

    La liste des plus jeunes milliardaires est encore plus intéressante : seulement trois d’entre eux ont hérité de leurs fortunes.

    En France, 51,2 % des milliardaires ont hérité de leur fortune contre seulement 28,9 % aux États-Unis.

    Les nouvelles grosses entreprises récentes semblent être le fruit d’une bonne éducation, souvent écourtée, combinée à un apport personnel des parents des classes moyennes.

    Le meilleur moyen de manquer de nouvelles entreprises – et des emplois qu’elles créent – est donc clair : il convient d’adopter une lourde fiscalité des droits de succession ou de donation, ce qui garantit qu’il manquera des fonds aux futurs Bezos ou Gates français, dont on ne peut pas dire qu’ils sont pléthore en la « Starteupe Naichionne© ».

    Le Conseil d’analyse économique à propos de l’héritage
    C’est dans ce contexte que l’on apprend que l’inénarrable Conseil d’analyse économique (CAE) – comité Théodule rattaché au Premier ministre et dont l’« indépendance » est garantie par le fait qu’aucun des ponctionnaires qui le composent ne travaille dans l’horrible « secteur privé » – propose d’alourdir les droits de succession.

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  20. Aussi incroyable que ceci puisse paraître, la « logique » – si l’on veut appeler ça ainsi – serait que la France souffrirait du fait que « l’héritage prend un poids de plus en plus prépondérant dans le niveau des ménages et contribue à accroître les inégalités patrimoniales » selon Capital, un journal dont on pensait naïvement qu’il tirait son nom du capitalisme mais dont on se rend compte qu’il le tire des œuvres de Karl Marx.

    Le rapport remis en septembre au gouvernement sort opportunément à Noël pour rappeler que « la pandémie a remis en avant la question brûlante des inégalités en France » selon La Tribune, un journal subventionné par l’État.

    Selon son journaliste, « si le revenu global des Français a été préservé, beaucoup de personnes ont perdu leur travail en seulement quelques jours sans vraiment de filets de sécurité ». Comprenez des filets qui auraient pu être payés si on dépouillait un peu plus de cadavres…

    Et « à quelques mois de la présidentielle, les débats sur l’héritage et la fiscalité, pour l’instant peu présents dans la bataille des idées, pourraient raviver les propositions des candidats à l’Élysée ». En clair, le rapport est sorti pour forcer les candidats à la présidentielle à se prononcer sur la question…

    Héritage : quelques perles du rapport
    Le rapport raisonne merveilleusement faux sur de nombreux points d’une façon qui est aussi effrayante que spectaculaire.

    En particulier, après avoir remarqué qu’« en France, la part de la fortune héritée dans le patrimoine total représente désormais 60 % contre 35 % au début des années 1970 », on devrait conclure qu’il manque une source de création de nouveau capital à la France au lieu de conclure qu’il faudrait taxer les transferts intergénérationnels.

    La raison pour laquelle on passe de 35 % à 60 % en 50 ans est pourtant parfaitement évidente : en 1994, Jules Bésosse, le Français, est allé demander 300 000 euros au Crédit Agricole pour démarrer son Amazon. Et comme tous les citoyens de la « Starteupe Naichionne © » qui ont demandé un crédit à une banque française, il a essuyé un échec…

    La France manque cruellement de capital. Il ne s’y forme aucune nouvelle entreprise de taille significative.

    A chaque fois qu’un Français a une bonne idée, il doit la réaliser à l’étranger ou aller quémander des sous auprès d’organismes complètement politisés et sclérosés comme la Banque publique d’investissement (BPI), qui est au Venture Capital ce que MacDonald est à la gastronomie.

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  21. Quel contraste avec les débuts d’Amazon ! Dès que Jeff Bezos a pu prouver – avec l’apport initial de ses parents (300 000 dollars) et de ses 20 amis (environ 1 000 000 dollars) – qu’il pouvait vendre des livres en masse, l’argent s’est mis à affluer ! Après l’entrée en bourse de Netscape, Bezos a décidé de ne même pas essayer de faire des profits mais plutôt de grossir le plus vite possible : « penser autrement aurait été une faute professionnelle de gestion », dit-il.

    Sauf que pour se faire, il faut pouvoir opérer à pertes, et il faut donc des montagnes d’argent d’investisseurs privés : pour Bezos, faire des « bénéfices signifiaient lésiner sur le marketing, la publicité et les infrastructures. Désormais, ces trois éléments formaient un trépied soutenant le nouveau mantra d’entreprise d’Amazon : « Get Big Fast » (Devenir gros vite). Amazon a terminé l’année 1996 avec des ventes de 15,7 millions de dollars, soit un bond de 3000 % par rapport à 1995. Ses pertes se sont élevées à 6,2 millions de dollars, contre 30 3000 dollars en 1995. Mais à ce moment-là, l’appréhension des investisseurs à propos d’Internet avait succombé à l’hystérie […] Je leur donnais des morceaux de papier avec la croissance de nos ventes hebdomadaires […] et ils disaient : Où envoyons-nous le chèque ? » (ici).

    Si la fiscalité américaine avait ressemblé un tant soit peu aux propositions du rapport de nos sauveurs du CAE, Amazon n’aurait jamais employé 810 000 personnes aux États-Unis (en septembre 2020).

    En France, la meilleure façon de faire de l’argent est d’en hériter ou d’aller en faire ailleurs… Matraqués fiscalement, sans l’avantage des retraites par capitalisation, les classes moyennes ont du mal à se constituer un capital. D’où la hausse de la part du capital hérité dans le total du capital des Français !

    N’en déplaise aux génies du CAE, si les politiques économiques françaises d’aujourd’hui étaient appliquées avec le même zèle dans un pays du tiers monde, son État serait instantanément en cessation de paiement et sous tutelle du FMI.

    La raison pour laquelle ce n’est pas le cas vient entièrement du fait que la France bénéficie des 500 dernières années d’accumulation de capital, à la force du poignet, depuis les Médicis au moins. Les éminents membres du CAE sont payés – avec l’argent des contribuables – parce que l’État peut se permettre de dilapider 5 siècles d’efforts.

    Sa première industrie d’exportation, le tourisme, est essentiellement le produit direct de cette accumulation de capital sous la forme de somptueux monuments et d’œuvres d’art, c’est-à-dire du capital (certes nationalisé) à l’état pur. On ne peut pas avoir l’ambition d’être un grand pays sans avoir une formation de capital conséquente !

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  22. L’autre idée amusante du rapport est que l’on commence à additionner les héritages. Car, voyez-vous, ceux qui héritent 10 fois de la somme de, disons, cent mille euros paient bien moins de droits de succession que ceux qui héritent bêtement en une seule fois de la somme de un million d’euros. Ah, si seulement les gens voulaient bien mourir comme il faut et dans l’ordre…

    La solution évidente à ce problème simple serait de baisser drastiquement les taux les plus élevés et de supprimer les abattements : à recettes égales, un impôt à taux faible à large base est toujours préférable à un impôt à taux élevé et à assiette étroite. Ceci est la proposition numéro 1 de tout cours d’économie de la fiscalité depuis Turgot et Adam Smith…

    Que le lecteur de Contrepoints se rassure : l’idée n’effleure même pas la surface de ce rapport ! On aura donc une usine à gaz à la mode de Bercy. La seule consolation est qu’Hseize nous fera un magnifique graphique marrant pour nous expliquer tout ceci…

    Pas question de se demander si la France – championne du monde des impôts sur la mort avec la Belgique et la Corée du Sud – ne devrait pas défiscaliser complètement ce domaine (comme le propose Pascal Salin, ce Noël) à l’instar des États-Unis (en dessous de 11,2 millions de dollars), ou de la Suède, ou de l’Italie.

    Non ! Selon le rapport, « une réforme viserait à accentuer la progressivité effective de la fiscalité sur les héritages ».

    Évidemment, en plus des maigres réductions fiscales comme la transmission de la nue-propriété à des taux (un peu) réduits, le rapport s’attaque à l’énorme gâteau de l’assurance-vie qu’il préconise de taxer fissa-fissa.

    Ainsi, en plus de détourner l’assurance-vie pour que son produit serve au financement de la dette publique, – à travers d’opaques mécanismes financiers que l’épargnant moyen ne comprendra que le jour où il se retrouvera comme les investisseurs de Madoff –, on ponctionnera aussi les avoirs au moment de la mise en bière de l’épargnant.

    Conséquences absurdes
    Que signifierait l’application des recommandations de ce rapport farfelu ?

    Prenons par exemple, une personne d’âge moyen qui hériterait d’un appartement d’un million d’euros de ses parents. Le rapport préconise la fin de la transmission de la nue-propriété du vivant de ces derniers. En d’autres termes, l’héritier subirait des taux plus élevés sur une somme majorée.

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  23. Il n’aurait pas le choix et devrait vendre le bien. Ceci aurait pour conséquence une baisse des prix de l’immobilier, ceteris paribus, mais également une baisse du total du capital disponible en France, et donc un appauvrissement du pays. Un plus grand nombre encore de logements seraient possédés par des individus ou des fonds étrangers. Au fil de quelques générations, les Français deviendraient locataires des riches Américains et Chinois.

    Pour les entreprises, ce serait encore pire qu’aujourd’hui. Les 7000 entreprises de taille intermédiaire (ETI) qui manquent à la France (par rapport à l’Allemagne) ne seraient pas près de voir le jour. Celles qui existent disparaitraient progressivement, par faillite ou absorption au fil des héritages.

    Pourquoi faire ?
    Les impôts sur le capital sont absolument délétères en matière de croissance économique et peuvent être instantanément réfutés comme tels.

    Mais on ne parle jamais de leur pendant : les dépenses publiques.

    Car, chaque fois que l’on prend un euro à Mr Bernard Arnault, on enlève un euro de capital extrêmement productif pour en faire un euro de dépense publique supplémentaire, dont le rendement est soit absolument nul (car immédiatement destructif de valeur s’il est consommé), soit négatif quand il finance l’oisiveté ou, pire encore, des fadaises pseudo-intellectuelles d’un Conseil Théodule d’analyse prétendument économique…

    https://www.contrepoints.org/2021/12/28/418043-heritage-nouveau-plan-fiscal-contre-les-morts

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    1. Avant Léonard de Vinci, Christophe Colomb et Gutenberg, les années antérieures à 1500 étaient pauvres depuis des siècles (depuis toujours). Ce qui manquait était l'instruction (oubliez Charlemagne avec 'ses écoles' !). Mais, l'arrivée de l'imprimerie n'a pas résolu le problème du jour au lendemain car personne ne savait lire ! Ainsi, le savoir se transmettait-il depuis toujours de bouches à oreilles. Et, quand quelqu'un meurt...
      Le véritable boum est l'arrivée de l'Internet.
      Le savoir du monde ! La discussion en toutes les langues ! La transmission de l'intelligence à des millions, puis milliard de personnes !

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  24. L'atmosphère la plus ancienne sur Mercure


    23 DÉCEMBRE 2021
    par David Appell , Phys.org


    Mercure est une planète des plus inhabituelles. La plus petite planète du système solaire et la planète la plus proche du soleil, elle est dans une résonance de rotation 3:2, tournant lentement et connaissant une chaleur torride jusqu'à 430 degrés Celsius, et le côté nuit glacial, jusqu'à -170 degrés Celsius. En raison de son noyau riche en fer beaucoup plus grand que celui de la Terre, il a la deuxième densité moyenne la plus élevée du système solaire, à seulement 1,5% en dessous de celle de la Terre. Malgré sa proximité avec le soleil, la surface de Mercure s'est avérée, de manière surprenante, riche en éléments volatils tels que le sodium et le soufre.

    Notamment, la séparation de la planète en un noyau riche en fer et un manteau rocheux (la région géologique entre le noyau et la croûte) suggère que Mercure avait un océan de magma au début de sa formation. Comme tout liquide, cet océan se serait évaporé, mais dans le cas de Mercure, les températures auraient probablement été si élevées que la vapeur n'était pas composée d'eau, mais de roche. Dans une nouvelle étude publiée dans The Planetary Science Journal, Noah Jäggi et ses collègues ont modélisé comment l'évaporation de la surface de cet océan de magma formerait une atmosphère et ont déterminé si les pertes de l'atmosphère pourraient modifier la composition de Mercure, abordant une question ouverte de pourquoi modérément volatil des éléments comme le sodium se sont accumulés à la surface de Mercure. Leurs résultats ont été surprenants, a déclaré à Phys.org Jäggi, un étudiant diplômé de l'Université de Berne.

    Les premiers océans de magma planétaire ne sont pas inhabituels, a expliqué Lindy Elkins-Tanton, directrice de la School of Earth and Space Exploration de l'Arizona State University. "Nous pensons que toutes les planètes rocheuses ont un ou plusieurs - peut-être plusieurs - océans de magma au fur et à mesure qu'ils se forment. Les impacts de l'accrétion vers la fin de la formation des planètes ne sont que énergétiques ; ils feront fondre les planètes à une certaine profondeur. »

    Le système solaire primitif était un endroit rugueux et actif, plein de roches volantes, de collisions massives et de bombardements intensifs. La chaleur générée par ces événements, en plus de la désintégration radioactive et de la chaleur produite par le réglage gravitationnel du noyau riche en fer de Mercure, a maintenu la surface et l'intérieur de la planète en fusion. Les modèles indiquent que ces processus ont fait monter la température de la surface à environ 2 400 K (3 860 degrés Fahrenheit/2126°C). L'évaporation puis la perte atmosphérique pourraient-elles changer la composition de Mercure ?

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  25. Jäggi et son équipe ont supposé deux tailles initiales pour Mercure, une plus grande qu'aujourd'hui, comme certains scientifiques le supposent, et quatre compositions océaniques magmatiques possibles. Les espèces volatiles comme le gaz carbonique, le monoxyde de carbone, l'hydrogène (H2) et l'eau se dissolvent dans le magma et peuvent s'échapper sous forme de gaz lorsque la pression est relâchée. Des éléments rocheux comparables non volatils tels que le silicium, le sodium ou le fer ne peuvent exister sous forme de gaz tels que le monoxyde de silicium (SiO) qu'à des températures très élevées que l'on pense avoir existé dans l'océan magma primitif. La différence entre les espèces gazeuses volatiles et non volatiles est que, pour une température donnée, les espèces volatiles ont des pressions de vapeur d'équilibre beaucoup plus élevées que les non volatiles. C'est la pression que l'atmosphère exerce à la surface atmosphère-magma lorsque les deux coexistent.

    L'équipe de recherche a exécuté un modèle couplé intérieur-atmosphère pour déterminer l'effet de l'évaporation de l'océan dans l'atmosphère, et après avoir pris en compte les processus chimiques et physiques atmosphériques, la perte de masse résultante de l'atmosphère vers l'espace ou vers la planète. Pendant ce temps, la planète se refroidissait. Le magma liquide commence à cristalliser à 1 700 K (2 600 degrés Fahrenheit), ce qui fait de 1 500 K utilisé par Jäggi une bonne approximation de la durée de vie de la fonte de surface et définit le point final de la perte de masse provenant de l'océan magmatique de Mercure.

    Tant dans le cas volatil que non volatil, l'océan de magma s'évapore pour alimenter l'atmosphère. Les molécules peuvent s'échapper de l'atmosphère de l'une des quatre manières suivantes : chauffage du plasma par le vent solaire de particules chargées ; photoévaporation d'espèces atmosphériques à partir de photons solaires à très haute énergie tels que les rayons X et les photons ultraviolets du soleil profondément dans la haute atmosphère créant un écoulement de gaz (également appelé échappement hydrodynamique); Des jeans s'échappent, où des molécules de haute altitude, à grande vitesse et de faible masse s'échappent du sommet de l'atmosphère avant de rencontrer une autre collision moléculaire ; et la photoionisation, où les photons de haute énergie produisent des ions qui s'échappent par divers moyens.

    Le modèle de l'équipe a révélé que parmi les quatre mécanismes d'échappement potentiels, l'échappement de Jeans était négligeable, les autres entraînant des pertes de masse de 1 million à 4 milliards de kilogrammes par seconde, selon le moment de la formation de Mercure et les hypothèses sur l'efficacité de chauffage, avec la partie supérieure gamme provenant de l'échappement hydrodynamique - "d'insignifiant à prédominant", a déclaré Jäggi, en fonction de l'efficacité avec laquelle les espèces atmosphériques sont chauffées et de la quantité de rayonnement produite et délivrée par le soleil primitif.

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  26. Mais surtout, la perte totale de masse des deux atmosphères très différentes testées - volatile et non volatile - s'est avérée assez similaire. Compte tenu de la perte de masse, l'échelle de temps résultante du modèle pour un échange chimique efficace entre l'intérieur et l'atmosphère était inférieure à 10 000 ans, ce qui implique que les processus d'échappement atmosphérique ne représentent qu'environ 0,3% de la masse initiale de Mercure, soit moins de 2,3 kilomètres de croûte. (Le rayon actuel de Mercure est de 2 440 km.)

    Ainsi, la perte de masse cumulée ne semble pas avoir modifié de manière significative la composition du manteau en vrac de Mercure au cours de la phase océanique de magma. Ainsi, les temps de refroidissement, qui dépendent de l'effet de serre induit, ont déterminé la quantité de matière perdue au cours de la durée de vie de l'océan magmatique.

    L'insignifiance de la perte totale de masse atmosphérique de Mercure, échappement hydrodynamique mis à part, était surprenante, a déclaré Jäggi. "Cela nous dit qu'il doit y avoir plus aux mesures de teneur élevée en sodium à la surface de Mercure, car elles ne peuvent pas être accumulées ni perdues en quantité significative compte tenu de nos taux de perte modélisés et de la durée de vie des océans de magma." Les résultats pourraient être étendus à la lune, une exoplanète ou une planète semblable à la Terre qui commence dans une phase de magma chaud "avec un budget volatile fourni par ses blocs de construction".

    https://phys.org/news/2021-12-earliest-atmosphere-mercury.html

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  27. COMMENT L'AUTOMATISATION RÉSOUT LE PROBLÈME DE TRAITEMENT DES FAUX POSITIFS PAR LES ÉQUIPES DE CYBERSÉCURITÉ


    par GUILLAUME MAGUET
    28/12/2021


    25% des alertes de cybersécurité seraient en réalité des faux positifs

    L'un des plus grands défis de la cybersécurité est l'ampleur même de la tâche. Les réseaux informatiques modernes sont extrêmement complexes, combinant des centaines de composants qui interagissent constamment de différentes manières. Les acteurs de la menace disposent ainsi d'une vaste surface d'attaque et d'une myriade d'options pour exploiter les failles, les lacunes et s'infiltrer dans le réseau. En effet, la cybersécurité est extrêmement dynamique, les attaquants exploitant continuellement de nouvelles vulnérabilités, développant de nouveaux logiciels malveillants et découvrant des moyens d'échapper aux solutions de sécurité existantes ou de les contrer.

    L'ampleur du défi signifie que les stratégies de sécurité s'articulent généralement autour d'une tentative de couvrir le plus de terrain possible. Les entreprises seront armées d'une gamme d'outils de sécurité configurés pour détecter des signatures de menaces connues ou des signes de comportement inhabituel indiquant une activité malveillante. Un seul incident de sécurité pouvant entraîner des millions d’euros de perte d'activité et d'efforts de récupération, la plupart des décideurs opteront pour une approche du type "mieux vaut prévenir que guérir" qui signale tout risque potentiel.

    Cependant, un maillage aussi large revient invariablement à déterrer beaucoup plus de menaces potentielles que le personnel de sécurité ne peut en gérer. Pour chaque menace réelle détectée, il y aura inévitablement un grand nombre de faux positifs, c'est-à-dire des alertes qui absorbent les ressources de sécurité mais ne représentent aucune menace réelle pour l'organisation.

    D'où viennent les faux positifs ?

    La plupart des stratégies de sécurité s'articulent autour d'outils de gestion des informations et des événements de sécurité (SIEM) qui servent d'agrégateurs de données de journal pour des solutions telles que les pare-feux, la détection et la réponse aux points d'accès (EDR) et les antivirus. Le SIEM rassemble les journaux des outils de détection de l'infrastructure informatique et les transforme en alertes que l'équipe de sécurité peut analyser et résoudre. Bien que ces solutions se soient améliorées ces dernières années, il est encore fréquent que le personnel ne reçoive que peu d'informations contextuelles, ce qui l'empêche de hiérarchiser correctement sa réponse.

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  28. Les faux positifs sont le résultat de ces outils d'analyse et de détection de sécurité qui signalent à tort une activité bénigne comme une menace potentielle. C'est généralement le cas lorsqu'un fichier ou une application présente des similitudes avec la signature de la menace ou les tactiques, techniques et procédures (TTP) d'un logiciel malveillant connu. Parfois, c'est simplement parce que l'outil d'analyse n'a pas l’expérience nécessaire pour faire la différence avec précision. À l'autre extrémité de l'échelle se trouvent les faux négatifs, c'est-à-dire les menaces authentiques qui ont été négligées par les outils de sécurité.

    Comme le garçon qui criait au loup, ou quelqu'un qui déclenche à plusieurs reprises l'alarme incendie, un afflux de faux positifs va rapidement épuiser les ressources, l'attention et la patience d'une équipe de sécurité, causant plusieurs problèmes qui peuvent exposer l'organisation à un risque accru.

    Comment les faux positifs augmentent le risque
    Le problème le plus courant causé par un grand nombre de faux positifs est le temps qu'il faut pour les résoudre. Chaque alerte doit être correctement analysée et résolue, le temps nécessaire variant selon la nature de l'alerte.

    En moyenne, 10 heures sont consacrées au traitement des faux positifs, sur une semaine de 39h*. Cela signifie qu'environ un quart d'une semaine est consacré à cocher des alertes qui ne présentent aucun danger pour l'organisation.

    Les faux positifs sont généralement beaucoup plus nombreux que les véritables menaces. Dans un exemple frappant, une grande organisation qui recevait environ 75 000 alertes par jour, finalement, seules deux de ces alertes étaient susceptibles d'être des menaces valables.

    La gestion de toutes ces fausses alertes détourne les équipes des véritables menaces. Les outils SIEM présentent souvent les alertes avec peu ou pas de contexte, de sorte que les équipes sont obligées de les parcourir par ordre chronologique sans pouvoir les hiérarchiser efficacement. En conséquence, il peut s'écouler des jours, voire des semaines, avant qu'une menace sérieuse ne soit correctement évaluée.

    Les acteurs de la menace adorent ce genre de retard, temps de réaction, car cela leur permet de disposer d'un temps d'arrêt supplémentaire. Une véritable alerte qui se trouve au numéro 200 de la liste des tâches à accomplir peut annoncer la présence d'un acteur de la menace dans l'environnement, qui est libre d'errer sans être dérangé pendant des jours. Dans de nombreux cas, même un retard de 15 minutes peut entraîner la perte de la piste qui aurait pu être utilisée pour découvrir et arrêter un intrus, si bien qu'un retard de plusieurs jours est une cause totalement perdue.

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  29. Le danger de l'épuisement des analystes

    Outre l'exposition accrue au risque que représentent des temps de réponse aussi lents, le fait que l'équipe de sécurité passe une grande partie de sa journée à s'épuiser dans des activités répétitives et à faible valeur ajoutée crée un mauvais environnement de travail. Sans surprise, 90 % des personnes interrogées dans le cadre du rapport* ont déclaré qu'elles considéraient que les faux positifs contribuaient au moral bas du personnel. Les analystes qui se sentent épuisés par le traitement d'un nombre incalculable d'alertes commenceront à être moins performants, et la rotation du personnel risque d'être élevée.

    Les analystes de sécurité ont tendance à avoir un esprit curieux qui s'épanouit en résolvant des énigmes et des défis. Beaucoup d'entre eux commenceront à considérer, à juste titre, que le travail quotidien à travers les faux positifs est un gaspillage de leurs talents et de leur formation, et il est courant de voir le personnel de sécurité changer d’emploi.

    Cette situation est particulièrement problématique dans un secteur qui souffre déjà d'une grave pénurie de professionnels qualifiés et expérimentés. Les meilleurs analystes sont capables de s'appuyer sur des années d'expérience. Lorsqu'un expert en la matière s'en va, l'équipe se retrouve avec un vide dans ses connaissances. Cela a souvent un effet sur l’utilisation et la valeur des solutions de sécurité, les outils devenant souvent des objets de consommation courante lorsque l'expert part et que son remplaçant n'a pas son expertise.

    Pourquoi l'automatisation est la solution

    Le volume d'alertes de menaces qui bombarde l'équipe SOC (de taille moyenne) est bien trop important pour que le personnel humain puisse y faire face seul. Même s'ils pouvaient suivre l'afflux de nouvelles alertes, le fait que des analystes qualifiés passent un quart de leur journée à cocher des faux positifs est mauvais pour la productivité, le retour sur investissement et le moral.

    La réponse est l'automatisation par l'intelligence artificielle. Le niveau surhumain de vitesse, d'endurance et d'attention aux détails requis pour ce travail ne peut être atteint que par des solutions analytiques alimentées par l'intelligence artificielle (IA). Des outils tels que l'IA, le Machine Learning (ML) et le Deep Learning (DL) ont eu un impact significatif sur la réduction des faux positifs et la prévention des menaces inconnues.

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  30. L'IA est devenue un terme générique couvrant un certain nombre de sous-ensembles technologiques différents, mais le trait commun est une solution capable d'ingérer des données afin d'établir et de reconnaître des modèles. Dans le domaine de la sécurité, cela se traduit le plus souvent par des solutions de ML. Ces outils peuvent être entraînés sur des données relatives aux menaces jusqu'à ce qu'ils puissent reconnaître de manière fiable différents types d'attaques, les TTP courants, et réagir automatiquement si nécessaire. Une fois formées, les solutions peuvent traiter d'énormes ensembles de données bien plus rapidement que le meilleur analyste humain, et sans risque de baisse de moral et d'épuisement.

    Les processus peuvent être automatisés de sorte que les faux positifs et les menaces réelles mais de faible niveau sont analysés et résolus en quelques secondes sans intervention humaine. Le personnel de sécurité peut ainsi se concentrer sur les aspects les plus gratifiants et les plus utiles de son travail.

    Cependant, bien qu'il s'agisse d'outils puissants pour faire face à l'afflux constant d'alertes, les solutions ML traditionnelles présentent des failles qui peuvent être manipulées par les acteurs de la menace. Les attaquants peuvent utiliser leurs propres outils de Machine Learning pour créer des ensembles de données empoisonnés, en trompant le modèle de l'outil de sécurité pour qu'il identifie à tort une menace comme quelque chose de bénin. Si la machine reconnaît cet ensemble de données comme sûr, elle crée un faux négatif qui permet à l'attaquant de se glisser dans l'environnement et de créer une porte dérobée.

    Les outils ML traditionnels reposent aussi généralement sur des flux de données provenant d'outils tels que les antivirus et les systèmes de détection et de réponse aux points d'accès (EDR), ce qui signifie que la technologie ne peut que réagir aux menaces identifiées, et non les prévoir. Les acteurs de la menace sont devenus plus habiles à lancer des attaques qui auront un impact bien avant que les systèmes EDR puissent recueillir suffisamment de données pour évaluer la menace.

    Aller au-delà de Machine Learning

    La réponse à cette question est le Deep Learning, le sous-ensemble le plus élevé de l'IA. Cette approche est marquée par sa vitesse de traitement extrêmement élevée, identifiant les brèches potentielles en moins de 20 millisecondes. Cette technologie est relativement nouvelle dans le domaine de la cybersécurité, mais elle a été largement utilisée par des entreprises telles que Tesla et YouTube pour la conduite autonome et la reconnaissance d'images.

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  31. Le Deep Learning implique la création d'un réseau neurologique qui est entraîné sur des échantillons de données brutes constitués de millions de fichiers étiquetés. La principale différence avec le Machine Learning standard est que le Deep Learning ne reçoit pas d'informations sur les fichiers malveillants et les fichiers bénins. Au lieu de cela, il doit apprendre à faire ces déterminations de manière indépendante.

    Au bout du compte, le réseau est capable d'identifier instinctivement le code malveillant, et non plus de réagir aux données de l'EDR, mais de prédire et de prévenir les attaques avant qu'elles ne commencent vraiment. Cette approche plus complexe est également plus difficile à percer pour les criminels, ce qui réduit considérablement le risque posé par les ML adverses et les ensembles de données empoisonnés.

    Pour commencer

    Outre sa capacité exceptionnelle à prédire les attaques et à identifier de manière proactive les menaces émergentes, le Deep Learning se chargera de toutes les tâches analytiques lourdes pour l'équipe de sécurité. Lorsqu'il est correctement intégré dans le produit, le Deep Learning peut réduire le volume d'alertes qu'une équipe de sécurité examine jusqu'à 25 % sur une base hebdomadaire. En conséquence, l'équipe ne sera plus accablée par le poids des faux positifs et des menaces de bas niveau, ce qui lui permettra de se consacrer à des activités plus utiles et de réagir rapidement lorsqu'une menace légitime apparaîtra.

    Cependant, il est important de garder à l'esprit que, aussi puissant soit-il, le Deep Learning n'est pas un bouton magique sur lequel on peut appuyer pour résoudre à lui seul tous les problèmes de sécurité. Les organisations ont toujours besoin d'un cadre solide de solutions de sécurité conventionnelles en place, et en effet, le Deep Learning fonctionne mieux lorsqu'il existe une infrastructure de sécurité solide et multicouche qu'il peut soutenir.

    Par conséquent, les organisations doivent prendre leur temps lorsqu'elles prévoient de se lancer dans le Deep Learning. Il peut être tentant de se précipiter pour acheter la dernière technologie brillante, mais il est important de procéder d'abord à une vérification préalable.

    Les RSSI et les autres décideurs en matière de sécurité doivent évaluer avec soin leur pile actuelle et leurs objectifs de sécurité, et réfléchir à la manière dont le Deep Learning s'intègre. Quels résultats recherchent-ils ? Que vont-ils augmenter ou compléter ? Y a-t-il quelque chose qui ne convienne pas et qui doive être remplacé ou mis à niveau ?

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  32. Lorsqu'ils ont des réponses solides à ces questions, les RSSI peuvent commencer le processus d'intégration du Deep Learning dans leur stratégie de sécurité. Avec un système automatisé alimenté par le Deep Learning, l'équipe de sécurité sera libérée de l'obligation de patauger dans les faux positifs et pourra concentrer toute son énergie à assurer la sécurité de l'organisation.

    * Le rapport Voice of SecOps de Deep Instinct

    http://www.economiematin.fr/news-automatisation-traitement-faux-positifs-cybersecurite-maguet

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  33. Un tiers des Britanniques pensent que la pandémie ne finira jamais, selon un nouveau sondage


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 27 DÉC 2021 - 08:35
    Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Un nouveau sondage révèle qu'un tiers des Britanniques pensent que la pandémie, et toutes les restrictions qui l'accompagnent, ne se termineront JAMAIS.

    Oui vraiment.

    Près de deux ans après le début de la pandémie, le sondage YouGov révèle que « Un tiers (33%) des Britanniques pensent que la pandémie de Covid-19 ne sera jamais effectivement terminée au Royaume-Uni, tandis que seulement 4% des Britanniques pensent que la pandémie est déjà effectivement terminée."

    41 % supplémentaires pensent qu'il faudra encore au moins un an avant la fin de la pandémie, tandis que 21 % pensent qu'il faudra encore plus de deux ans.

    - voir graph sur site -

    Depuis l'essor de la variante Omicron, seulement 12 % des Britanniques pensent que leur vie est revenue à la normale.

    Le Premier ministre Boris Johnson fait toujours l'objet de pressions pour imposer de nouvelles restrictions aux personnes vivant en Angleterre, malgré de nombreuses études prouvant que la variante Omicron est plus douce que les souches précédentes.

    Comme nous l’avons souligné précédemment, les chiffres officiels de l’Angleterre montrent que 65 % des personnes décrites comme des « patients COVID » n’ont été testées positives pour COVID qu’après avoir été admises à l’hôpital pour autre chose.

    La journaliste Allison Pearson, citant des sources du NHS, a également révélé comment seulement 5 % des lits d'hôpitaux sont occupés par des patients COVID en Angleterre et que "l'occupation globale des hôpitaux s'élève actuellement à 89 %", ce qui est un chiffre décent pour le NHS en hiver.

    - voir clip sur site :

    https://www.zerohedge.com/covid-19/third-brits-think-pandemic-will-never-end-new-poll-finds

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  34. Et que je « vaccine », et que je « vaccine » …


    le 28 décembre 2021


    Deux médecins allemands, les Docteurs Bhakdi et Burkhardt, spécialisés en immunologie et en pathologie, ont examiné 15 personnes décédées à la suite de l’administration de l’ARN messager codant pour la protéine de la spicule du SARS-CoV-2 appelée Spike-1. L’âge de ces personnes s’étalait de 28 à 95 ans et toutes sont décédées entre 7 jours et six mois après l’administration du « vaccin ». Les autopsies ont invariablement montré une accumulation de lymphocytes T en réponse à des effets secondaires inflammatoires provoqués par la protéine Spike car ils ont été leurrés par cette protéine étrangère. Si le virus lui-même se localise en premier lieu au niveau de l’épithélium des voies respiratoires et induit alors la production d’immunoglobulines A (IgA) protectrices par les lymphocytes en contact avec le virus l’injection d’ARN messager va favoriser la production par les propres cellules du patient de quantités massives de protéine Spike qui est retrouvée, après autopsie, dans l’ensemble du corps et dans tous les organes vitaux. La présence de cette protéine était supposée induire celle d’immunoglobulines protectrices telles que les IgA mais ce n’est pas le cas, ce sont essentiellement des immunoglobulines G (IgG) circulant alors dans le sang.

    Dès que ces IgG se trouvent en contact avec une molécule Spike, car toutes n’ont pas été neutralisées, et de très loin, alors un mécanisme d’inflammation se développe et ceci peut apparaître n’importe où dans le corps. L’une des situations fatales est une péricardite qui provoque la mort de sujets jeunes. Jamais aucune reconnaissance de la relation de cause à effet entre ces administrations d’ARN messager appelé à tort vaccin n’a été admise par les autorités sanitaires de l’ensemble des pays occidentaux. L’évidence continue à être niée car tous ces décideurs politiques sont soumis à la dictature du lobby pharmaceutique qui impose ses produits mortels en dépit des évidences apportées à la suite d’autopsies et d’études détaillées par approche immunologique et anatomo-pathologique. Les Docteurs Bhakdi et Burkhardt ont été interdits de publication. Les éditeurs des revues scientifiques médicales ont probablement subi la pression du lobby pharmaceutique dans le but de refuser la publication de ces travaux.

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  35. Ce sont en effet des résultats explosifs car ils prouvent deux faits. D’abord l’injection d’ARN messager ne peut pas protéger contre une infection par le virus puisque cette thérapie génique n’induit pas la production d’IgA, il n’y a donc pas de défense immunitaire en « première ligne », c’est-à-dire au niveau de l’épithélium des voies respiratoires. Le vaccin contre la coqueluche induit justement ce type de protection et c’est la raison pour laquelle il est hautement efficace. D’autre part cette thérapie génique provoque des mécanismes d’inflammation destructeurs et souvent mortels pour les deux raisons évoquées plus haut : la protéine Spike a été localisée chez certains sujets plus de 6 mois après l’injection d’ARN messager. Cette protéine étrangère perdure donc dans l’organisme, ce qui n’était pas prévu par les fabricants de ces pseudo-vaccins. En outre il a été impossible chez ces sujets autopsiés de retrouver des lymphocytes T dits « lymphocytes mémoire » dont le rôle est une protection immunologique durable à la suite du contact avec un agent pathogène ou à la suite de l’administration d’un vaccin au sens pasteurien du terme. Aucun de ces lymphocytes T n’était capable de produire des immunoglobulines dirigées contre la protéine Spike. Cette dernière observation est particulièrement importante car elle prouve aussi que cette thérapie génique n’est pas un vaccin : elle ne protège pas et n’immunise pas les patients.

    En conclusion tous les gouvernements occidentaux sont victimes d’une incroyable imposture scientifique et les conséquences sur les populations dans la durée sont pour l’instant totalement inconnues.

    Sources : https://doctors4covidethics.org/on-covid-vaccines-why-they-cannot-work-and-irrefutable-evidence-of-their-causative-role-in-deaths-after-vaccination/ et https://www.bitchute.com/video/wfErug93V94M/ et aussi https://doctors4covidethics.org/dr-explains-basic-immunology/

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/12/28/et-que-je-vaccine-et-que-je-vaccine/

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