- ENTREE de SECOURS -



samedi 18 décembre 2021

LA DR CARRIE MADEJ NOUS MET EN GARDE: LE VACCINÉ N'AURA PLUS DE DROITS HUMAINS !!!

En plus de l'empoisonnement par les nano-particules d'oxyde de graphène (contenues dans les flacons injectables, les masques, les gels hydroalcoolique et les écouvillons pour les faux tests PCR) votre corps est infesté par ces nano-poussières et APPARTIENT donc aux fabricants d'expérimentations géniques d'essais frauduleusement appelées 'vaccins' ! Votre corps ne vous appartient plus et êtes considéré comme de la merde !

https://rumble.com/embed/vhp1k9/?pub=4 

20 commentaires:

  1. Rumble — Depuis 2013, tous les vaccins génétiquement modifiés et à ARNm sont légalement trans-humains et légalement identifiés comme tels et n'ont plus rien de commun avec le droit humain ou tout autre droit étatique, et il faut considérer que cela s'applique dans le monde entier, les brevets sont soumis aux lois américaines....

    https://www.supremecourt.gov/opinions/12pdf/12-398_1b7d.pdf

    Achat des brevets COVID19 par Richard Rothschild une première fois en 2015 contrat effectué au pays bas et une seconde fois aux USA en 2017 !!! Et pour bien saisir cette fois la gravité et le vice de ces brevets voici une petite explication rapide mais qui éclaire bien leurs intentions funestes:
    Avis d'enquête sur le statut et la responsabilité:

    - en 2013, dans une affaire de la Cour suprême des États-Unis, Pathology v. Myriad Genetics, Inc., 569 U.S. 576, la Cour a statué que la modification du génome humain via une injection d'ARNm crée un nouveau génome qui peut être breveté et détenu par le titulaire du brevet.

    - toute personne ayant reçu le prétendu vaccin est maintenant "brevetée" et appartient aux Vermines.

    - toutes les personnes qui ont été vaccinées sont considérées comme des "trans-humains".

    - les trans-humains ne sont pas considérés comme naturels et n'ont donc pas de droits naturels et inaliénables.

    - les trans-humains ne sont pas considérés comme des humains, ils n'ont donc pas de droits humains.

    - les trans-humains ne peuvent pas avoir de droits civils égaux, car toute norme d'"égalité" des droits a été détruite.

    - la résolution H.J. 48 du 116e Congrès, (2019-2020) propose un amendement constitutionnel selon lequel les droits protégés par les accords constitutionnels s'appliquent aux "personnes physiques uniquement".

    - lisez ceci comme un plan de fraude délibéré, malveillant et vicieux conçu pour échapper aux obligations constitutionnelles, pour redéfinir les personnes vivantes comme des "choses" et des esclaves, au profit de sociétés commerciales étrangères.

    - toute personne qualifiée de "trans-humain" est protégée par les mesures prises par les assemblées des États américains, qui interdisent toute réclamation contre des personnes vivantes fondée sur l'ingestion d'ARNm breveté et font de l'application d'une telle réclamation contre un homme ou une femme vivant un crime capital méritant la mort par pendaison ou par peloton d'exécution.

    - les personnes lésées par cette même fraude hideuse sont invitées et encouragées à rejoindre leurs assemblées d'État.

    - les membres de l'armée qui ont été privés de leur santé et de leurs droits et utilisés comme cobayes dans l'abus de confiance sont invités à rejoindre nos assemblées d'État en tant que ressortissants d'État.

    - l'existence d'un virus n'a pas été prouvée, mais il existe un système de fraude vicieux et prémédité lié au faux vaccin, qui est conçu pour priver les Américains de leurs identités et de leurs droits les plus fondamentaux.

    - les responsables sont des habitants du district de Columbia et sont évidemment coupables de trahison, de génocide malveillant et de crimes prémédités contre l'humanité.

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  2. - nous, les Américains, ne sommes pas des citoyens américains, même si la moitié de notre population a été victime de ces criminels et que des millions d'Américains ont été délibérément mal identifiés, escroqués et ciblés pour le génocide par ces criminels qui se réfugient dans le District de Columbia.
    Il est temps que la communauté internationale se joigne au gouvernement américain actuel pour mettre un terme à ces crimes commerciaux vicieux et pour arrêter et punir tous ceux qui perpétuent ces atrocités.

    Anna Maria Riezinger, Fiduciaire
    Les États-Unis d'Amérique

    Anna von Reitz révèle une logique fondamentale, comme nous sommes multidimensionnels, nous sommes énergie dans l'éther, mais solide en 3D, via l'injection anti-COVID nous serions coupés peut-être ( je ne détiens pas la vérité) de notre multidimentionalité et donc deviendrions l'objet du fameux ( BREVET COVID19 ) déposé par R.Rothschild en 2015 et 2017) ainsi que nos progénitures. Sur le plan contractuel, du coup notre ADN pourrait alors leur appartenir s'ils émettaient une réclamation. Bien sûr il y a possibilité de contestation mais le prouver et obtenir gain de cause dans un système corrompu jusqu'à l'os dans lequel nous sommes plongés actuellement, est vraiment une autre paire de manches !!!

    Petit rappel, les ROTHSCHILD DÉTIENNENT LE BREVET COVID19
    https://eveilhomme.com/2020/10/14/explosif-nous-avons-la-preuve-que-les-rothschild-ont-brevete-les-tests-biometriques-covid-19-en-2015-et-2017/

    LE VACCINÉ ANTI-COVID DEVIENT DONC POUR LA PREMIÈRE FOIS DANS L'HISTOIRE UNE "MARCHANDISE" APPARTENANT AUX DÉTENTEURS DU BREVET COVID SELON L'ARTICLE DE LOI DE LA COUR SUPRÊME AMÉRICAINE QUI DÉTIENT LES BREVETS DEPUIS 2013 (IL SUFFIT JUSTE DE VÉRIFIER SUR LEUR SITE TOUT EST STIPULÉ):
    https://www.supremecourt.gov/opinions/12pdf/12-398_1b7d.pdf

    FAITES VOS PROPRES RECHERCHES !!!

    https://www.divulgation.fr/manipulations-gouvernance-mondiale/larnaque-la-plus-incroyable-dont-vous-ne-savez-rien/

    AUTRE LIEN DU DR CARRIE MADEJ;
    https://www.medicatrix.be/covid-19-avez-vous-deja-entendu-parler-du-protocole-luciferase

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  3. Laissez les enfants tranquilles, ils sont innocents du Covid.


    Par Dre Nicole Delépine et Dr Gérard Delépine
    Mondialisation.ca, 08 décembre 2021



    L’enfant ne participe pas à la transmission du Covid. L’aggravation des brimades sanitaires des enfants sera inefficace et dangereuse. Le masque prolongé est toxique et les injections géniques inefficaces et dangereuses.

    Pour élargir leur marché et pousser à la vaccination des enfants qui ne peuvent en espérer aucun bénéfice, les marchands de vaccins et leurs complices prétendent que l’enfant est facteur de transmission de la maladie et instrumentalisent l’amour des enfants pour leurs grands-parents. « Vaccinez-vous pour ne pas risquer de contaminer papy et mamie ».

    Ils n’ont pas hésité à les effrayer en montrant à la télé une fiction montrant une grand-mère dans un lit de réanimation « parce que son petit-fils lui a rendu visite une semaine auparavant sans être vacciné. »

    Pour accréditer cette fable certains propagandistes des pseudo vaccins (comme K Lacombe ou Jean Castex), ont même accusé publiquement leurs enfants d’être à l’origine de leur maladie pour ne pas reconnaître que la vraie responsable est l’inefficacité des 2 injections qu’ils ont reçues.

    Propagande doublement mensongère car l’enfant ne constitue pas un vecteur de contamination significatif et qu’en plus les pseudo vaccins anti-covid sont incapables de protéger des contaminations.

    L’enfant atteint est habituellement contaminé par ses parents.

    Les enfants sont moins sensibles à la contamination par le Sars CoV 2 mais peuvent être atteints. Lors de la première vague les enfants et adolescents de moins de 19 ans représentaient seulement 1% des cas anglais et 2% et des cas de Covid recensés dans le monde. Les moins de 15 ans représentent 1 à 5% des cas des grandes séries internationales publiées.[1, 2, 3]

    Au début de l’épidémie, les chaines de contamination étaient beaucoup plus faciles à analyser car l’incidence dans la population était faible, minorant le risque d’un contact infectieux méconnu. Pour cette raison nous avons focalisé nos recherches sur les enquêtes épidémiologiques des premiers mois de l’épidémie, beaucoup plus probante que les tentatives d’analyses tardives lorsque l’incidence de la maladie était élevée.

    L’origine familiale de la contamination des enfants est retrouvée dans la quasi-totalité des cas. La transmission se fait essentiellement par voie aérienne dans des locaux petits et peu aérés mais peut aussi utiliser le contact des surfaces contaminées en particulier des chambres et salles de bain partagées par les membres d’une même famille lors de l’isolement d’un malade au domicile familial que ce soit en Corée [6], à Singapour [7] ou en Chine [8,9,10].

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  4. Madewell ZJ.[11] Dans sa métanalyse de 54 études regroupant 77758 patients conclue :

    « les environnements intérieurs surpeuplés, tels que les ménages, sont des environnements à haut risque pour la transmission du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2). Etant donné que les personnes suspectées ou confirmées d’infection sont référées pour être isolées à domicile, les ménages continueront d’être un lieu important de transmission du SRAS-CoV-2. »

    La contamination quasi exclusive des enfants par des contacts familiaux suggère que l’activité scolaire, diminuant le temps passé à domicile, est ainsi susceptible de diminuer le risque de contamination des enfants.

    Les enfants ne contaminent pas les autres

    Au 3 décembre 2021 la recherche sur PubMed avec les items « Children Covid transmission » fait apparaître une liste de près de 2800 articles qui tous démontrent spécifiquement l’extrême rareté de la transmission du Covid par les enfants.

    Quelques articles, écrits par des auteurs qui ne traitent pas de malades et très repris par les médias accusent les enfants d’être responsables de la propagation de l’infection sans présenter de faits avérés. Il s’agit le plus souvent de virologues ou de mathématiciens très liés aux fabricants de vaccins ou aux organismes responsables des campagnes de vaccinations qui ne traitent pas de patients et se basent sur des résultats de laboratoires ou des simulations fausses pour suggérer que les enfants pourraient contaminer autrui.

    Leurs conclusions, le plus souvent prudemment écrites au conditionnel sont diffusées par les médias à l’indicatif et présentées comme des preuves pour amplifier la peur. Revenons au monde réel.

    Après 20 mois d’épidémie, et plus de 262 millions d’infectés comptabilisés par l’OMS seuls quelques cas (moins de dix) de transmission du virus par un enfant infecté ont été rapportés.

    Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays (dont au moins 4 en France) ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 18 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

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  5. – L’étude de l’Inserm [12] est très démonstrative. L’enfant des Contamines, premier cas infantile français, infecté par un adulte revenant de Singapour, a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, ni même les deux autres enfants de sa fratrie.

    – L’étude de l’institut Pasteur [13], a porté sur 1340 personnes de la région de Creil, dont 139 infectées. Parmi 510 enfants, ils en ont identifié trois qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

    – L’étude Coville [14], du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 605 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans conclut : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

    Fabienne Cahn-Sellem, membre du bureau de l’Association française de pédiatrie ambulatoire précise :

    « Concernant les enfants de moins de dix ans, nous nous appuyons sur les études qui ont déjà eu lieu. Selon l’étude Covid, pour laquelle nous avons fait 500 prélèvements, les enfants ne se contaminent pas entre eux et ne contaminent pas l’adulte. C’est dans l’autre sens : ce sont les adultes qui contaminent les enfants. L’école, les crèches, ont continué pour les enfants de soignants. Or nous n’y avons pas plus d’infections. » « si un enseignant contamine l’enfant, l’enfant n’est pas contaminant.« [15]

    L’absence de contamination à partir des enfants a été également constatée aux Pays-Bas [16], en Irlande [17], en Australie [18], en Finlande [19], en Grèce [20], en Corée du Sud [21], à Singapour, en Israël [22].

    En Angleterre Ladhani SN et al responsables de l’analyse de la première vague de l’épidémie concluent : « nos résultats fournissent des preuves supplémentaires contre le rôle des enfants dans l’infection et la transmission du SRAS-CoV-2 »[23].

    Benjamin Lee et William V. Raszka confirment dans la grande revue pédiatrique américaine : transmission du COVID-19 et enfants : « l’enfant n’est pas à blâmer. »[24]

    L’aggravation des protocoles sanitaires imposés aux enfants n’a donc aucune chance de limiter la diffusion de l’épidémie, aucune justification. Ces brimades inutiles obèrent la qualité de l’enseignement, leur bien-être et leur santé physique et psychologique.

    Par rapport aux adultes, l’incidence et la gravité de la maladie du COVID-19 sont très faibles chez les enfants, et leur rôle dans la propagation de la maladie est infime.

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  6. Par conséquent, pour justifier la vaccination des enfants, les pseudovaccins COVID-19 devraient avoir une sécurité et une efficacité pleinement démontrées dans la prévention, non seulement des complications mais de la transmission. Ce qui est contraire aux faits scientifiquement établis en décembre 2021.

    Si nos dirigeants voulaient vraiment stopper l’épidémie de cas, ils devraient encourager les traitements précoces (qui ont fait leurs preuves comme les anti paludéens en Afrique tropicale) des malades cliniques et les traitements préventifs des personnes en contact prolongé et direct, ou l’Ivermectine en Inde, et abandonner la politique du « tout pseudo vaccin » actuellement inefficace.[25]

    Et sur le combat des familles

    https://odysee.com/@NikitaGouëzel:0/protegerlesenfants

    Notes :

    1 Lu X et al Chinese Pediatric Novel Coronavirus Study Team. SARS-CoV-2 Infection in Children. N Engl J Med. 2020 Apr 23;382(17):1663-1665. doi: 10.1056/NEJM c2005073. Epub 2020 Mar 18. PMID: 32187458; PMCID: PMC7121177.

    2 Ladhani SN et al COVID-19 in children: analysis of the first pandemic peak in England. Arch Dis Child. 2020 Dec;105(12):1180-1185.

    3 Wu Z, McGoogan JM. Caractéristiques et enseignements importants de l’épidémie de maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) en Chine : résumé d’un rapport de 72 314 cas du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies. JAMA 2020. 24 février

    4 Ong SWX, et al Transmission modes of severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 and implications on infection control: a review. Singapore Med J. 2020 Jul 30. doi: 10.11622/smedj.2020114. Epub ahead of print. PMID: 32729311.

    5 Hu X et al The distribution of SARS-CoV-2 contamination on the environmental surfaces during incubation period of COVID-19 patients. Ecotoxicol Environ Saf. 2021 Jan 15;208:111438. doi:

    6 Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. 2020 Mar 23;35(11)

    7 Agence gouvernementale de Singapour. COVID-19 : cas à Singapour [Internet]. Singapour, Agence gouvernementale de Singapour. 2020 ; [cité le 12 mars 2020. Disponible sur : https://www.gov.sg/article/covid-19-cases-in-Singapore

    8 Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020

    9 LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9

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  7. 10 Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars; S1473-3099 (20) 30198-5.

    11 Madewell ZJ et al Household Transmission of SARS-CoV-2: A Systematic Review and Meta-analysis. JAMA Netw Open. 2020 Dec 1;3(12):e2031756. doi: 10.1001/jamanetworkopen.2020.31756. PMID: 33315116; PMCID: PMC7737089.

    12 Danis K et al. Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020. Clinical Infectious Diseases. 2020.

    13 Arnaud Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv preprint doi: https://doi.org/10.1101/2020.06.25.2014017

    14 Cohen R et col. Assessment of SARS-CoV-2 infection by Reverse transcription-PCR and serology in the Paris area: a cross-sectional study. BMJ Paediatr Open. 2020 Dec 29;4(1):e000887. doi: 10.1136/bmjpo-2020-000887. PMID: 33665371; PMCID: PMC7778737.

    15 https://www.sudradio.fr/societe/coronavirus-les-enfants-ne-contaminent-pas-ladulte

    16 Les enfants et le COVID-19. 20 juillet 2020. [cité le 13 août 2020]. https://www.rivm.nl/fr/roman-coronavirus-covid-19/enfants-et-covid-19

    17 Heavey L, et al . No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveillance: bulletin Europeen sur les maladies transmissibles = European communicable disease bulletin. 2020 May 25(21)…

    18 Australian National Centre for Immunisation Research and Surveillance (NCIRS). COVID-19 in schools – the experience in NSW [Internet]. Sydney: NCIRS; 2020. http://ncirs.org.au/sites/default/files/2020- 04/NCIRS%20NSW%20Schools%20COVID_Summary_FINAL%20public_26%20April%202020.pdf

    19 Dub T et al. Transmission of SARS-CoV-2 following exposure in school settings: experience from two Helsinki area exposure incidents. medRxiv. 2020:2020.07.20.20156018

    20Helena C. et al Transmission dynamics of SARS-CoV-2 within families with children in Greece: a study of 23 clusters

    21 Kim J, et al. Rôle des enfants dans la transmission domestique du COVID-19. Arch Dis Enfant. 2020. 7 août 4

    22 Stein-Zamir C, et al. A large COVID-19 outbreak in a high school 10 days after schools’ reopening, Israel, May 2020. Euro Surveill. 2020;25(29):pii=2001352

    23 Ladhani SN, et al. COVID-19 in children: analysis of the first pandemic peak in England. Arch Dis Child. 2020 Dec;105(12):1180-1185. doi: 10.1136/archdischild-2020-320042. Epub 2020 Aug 12. PMID: 32796006; PMCID: PMC7431771

    24 Benjamin Lee et William V. Raszka Transmission du COVID-19 et enfants: l’enfant n’est pas à blâmer

    Pediatrics août 2020, 146 (2) e2020004879; DOI: https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879

    25 Mr Castex ne peut pas l’ignorer puisqu’il a été contaminé malgré ses injections et il sait aussi que les injections n’évitent pas les formes graves puisqu’il vient de perdre du covid19 un de ses assistants pourtant lui aussi à jour de ses injections.


    Nicole Delépine : Pédiatre, cancérologue, ancienne chef de service de cancérologie pédiatrique à l’hôpital R Poincaré Garches APHP France

    Site www.docteurnicoledelepine.fr et site ametist.org pour la défense des enfants atteints de cancer

    https://www.mondialisation.ca/laissez-les-enfants-tranquilles-ils-sont-innocents-du-covid/5663052

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    1. Depuis bientôt 2 ans circule seulement la rumeur qu'un virus (nano-poussière inoffensive) circulerait dans l'air avec ses petites ailes ou ses turbo-réacteurs ! Oui mais voilà: PERSONNE NE L'A VU ! Le dit virus (maintenant nano-particules d'oxyde de graphène sortie de laboratoires) n'est existant qu'en seringues ! Achetez un flacon c'est moins cher ! HAHAHA !
      Or, comme C'EST LA MORT qui est au bout de l'aiguille, ce sont donc celles et ceux qui acceptent de se faire inoculer qui l'ont ! (la mort à court ou moyens-terme !)

      Donc, comme l'a dit la Dr Carrie Madej, dès lors qu'est injecté une substance (brevetée) dans votre corps, votre corps APPARTIENT au cuisinier qui a fait la soupe !
      Vous imagineriez-vous verser des royalties aux chaînes, Royco, Maggi, William Saurin ou Blanquette de Limoux ? Bêh là: SI ! Votre corps devient une merde sans cervelle écrasée sous les roues des carrosses des criminels qui dirigent !

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  8. Noël : les Verts voient rouge et broient du noir

    Pour un vert , notamment pendant Noël, la meilleure solution consiste à s’enfermer chez lui dans une pièce sans lumière et sans chauffage.


    le 19 décembre 2021
    Michel Gay


    Pour un écologiste voulant sauver la planète, notamment pendant la période commerciale de Noël, la meilleure solution consiste à s’enfermer chez lui dans une pièce sans lumière et sans chauffage.

    Noël est un moment de ripailles, de lumières et de déplacements en famille pour fêter la naissance de Jésus pour les uns, le solstice d’hiver pour d’autres, ou encore la magie d’une tradition.

    Mais limiter son « impact écologique » en devenant un « lutin vert », ou mieux encore, ne pas fêter Noël, voilà un acte écologique et responsable…

    Pas de cadeaux inutiles dans la hotte
    Noël souligne des tendances contradictoires entre l’abondance festive et la sobriété « exigée » par la crise climatique.

    Cette période est donc propice à la réflexion sur des changements de comportements.

    En effet, chaque cadeau matériel, même un livre, participe au réchauffement climatique par sa fabrication, sa livraison et sa destruction. C’est ce que le journaliste Georges Monbiot appelait en 2012 « le cadeau de la mort » :

    « Apprenez et récitez un poème à chacun, racontez une blague, mais arrêtez de détruire la planète pour leur dire que vous tenez à eux. Cela ne fait que prouver l’inverse ».

    Succès garanti…

    Pour ceux qui ont tout de même besoin de quelque chose d’utile, ou pour les enfants rarement adeptes des cadeaux virtuels et peu sensibles à la poésie de Baudelaire ou de Rimbaud, vous pouvez offrir des jeux de construction ou des figurines taillés dans du bois mort local.

    Repas : que manger ?
    Le gibier chassé localement (biches, cerfs, sangliers…) est une viande naturelle « bio » produite sans consommation d’énergie. C’est festif, pas cher, et le faible bilan carbone est imbattable…

    En revanche, l’élevage bovin émet beaucoup plus de gaz à effet de serre que les exploitations de fruits, légumes, et céréales.

    La viande sur la table de Noël contribuera donc davantage au réchauffement climatique qu’un repas végétarien ou, mieux encore, végan car le fromage est parfois plus « émetteur » que certaines viandes.

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  9. La dinde ou le chapon constituent une solution intermédiaire : un kilo de volaille produit 10 fois moins d’émissions de gaz à effet de serre qu’un kilo de bœuf.

    Quant au saumon, les associations écologistes dénoncent les conditions de son élevage intensif utilisant des antibiotiques. Il est préférable de le remplacer par de la truite provenant d’un petit élevage artisanal local ou, pour ceux qui habitent près de la mer, par du poisson pêché sur le littoral et par des fruits de mer pour limiter l’impact écologique de l’assiette.

    Renoncez au sapin, malheureux !
    Le sapin devient aussi un choix politique. Ne pas en installer resterait le choix le plus respectueux de la planète. Il est cultivé sur des surfaces travaillées par des tracteurs, des débroussailleuses, et des engrais à la place d’une vraie forêt.

    Le sapin peut cependant être admis avec un minimum d’ornement (pas de neige carbonique…) des éclairages avec des leds et une crèche en carton recyclé (facultative puisque cela devient un acte politique et rebelle).

    En 2019, selon l’Agence de la transition écologique (ADEME), 5,8 millions de sapins naturels ont été vendus en France (dont 80 % cultivés sur le territoire métropolitain), contre 1,15 million de sapins artificiels.

    Toutefois, consacrer 4000 à 5000 hectares (et une dizaine d’années !) à la culture de sapins jetés après 15 jours d’utilisation ou, au mieux, qui finissent broyés pour en faire du compost, n’a pas grand sens écologique.

    L’acte le plus responsable serait d’acheter un sapin en pot pouvant être replanté après les fêtes.

    Que penser des sapins en plastique ? Confectionnés à l’étranger, ils doivent être réemployés pendant au moins une vingtaine d’années pour compenser les émissions liées à leur fabrication et à leur transport…

    Sinon, il reste la solution de couper discrètement un sapin dans la forêt près de chez soi… C’est interdit, mais ça c’est écolo !

    Que faire ?
    En attendant une directive imposant ce qu’il est permis de faire, de manger, d’acheter, chacun peut aussi s’en tenir aux plaisirs traditionnels des fêtes de Noël (dites « de fin d’année » en novlangue) et ripailler avec sa famille et ses amis pour éviter de broyer du noir.

    Pour les autres, chacun peut rivaliser d’imagination pour limiter son impact écologique au cri de : « Plus écolo que moi, tu meurs ! ». Pas de viande, pas de fromage, pas de vin (même bio), pas de saumon, du pain trempé dans une soupe de légumes pour tout le monde, une tisane, voire plus si affinités…, et au lit à 21 heures pour une longue nuit sous la couette en plumes de canard de la ferme voisine, avec le chauffage éteint.

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  10. En somme une bonne soirée de Noël écologique !

    Voilà de l’écologie festive tendance bobo !

    Moralité : pour ceux que Noël fait voir rouge car ce n’est pas bon pour la planète, le plus simple est de renoncer aux festivités et, pour les autres, rien n’interdit encore de prendre le contrepied des recommandations moralisantes des Verts !

    https://www.contrepoints.org/2021/12/19/417405-noel-les-verts-voient-rouge-et-broient-du-noir

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    1. Aucune chaleur ne demeure. Notre planète tourne dans un espace glacial du -40 à -60 °C et, toutes les chaleurs émises par le magma montent vers le ciel. L'eau brûlante des geysers vient de la masse ferrique incandescente et s'élève aux montagnes (elle perd 1°C par 100 m) pour ressortir aux sources.

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  11. COP26 : UN BILAN MITIGÉ EN FORME DE SIGNAL D'ALERTE POUR LES INVESTISSEURS


    par JEAN DUCHEIN
    20/12/2021


    Le coût du réchauffement climatique est estimé entre 50 et 250 milliards de dollars par an.

    Les larmes d’Alok Sharma resteront comme un des moments symboliques de la COP26. Le politicien britannique qui présidait la Conférence de Glasgow exprimait ainsi sa profonde désolation face aux médiocres résultats obtenus. Jusqu’au bout, la formulation finale du texte de décision de la COP26 aura donné lieu à d’âpres négociations, aboutissant au Pacte climatique de Glasgow, qu’on peut certes difficilement considérer comme un immense succès.

    Il réaffirme l'objectif de limiter le réchauffement à 1,5 degré, ce qui passe notamment par une exigence de réduction de la production d'énergie au charbon. De nombreux observateurs ont noté que le texte final parle d'efforts de "réduction progressive" du charbon plutôt que de son "élimination", ce qui s’explique par l'intervention de l'Inde et de la Chine au dernier moment. Ce « non-alignement » de la Chine peut apparaître comme une déception mais absolument pas comme une surprise.

    Au-delà des questions sémantiques, la COP26 a été l’occasion de quelques accords connexes faisant l’objet d’une adhésion partielle des pays représentés et dont les impacts sur le réchauffement climatique ne seront pas majeurs. Ainsi, 90 pays ont signé le Global Methane Pledge, un engagement à réduire les émissions de méthane de 30 % d'ici 2030. Un deuxième accord a aussi été trouvé sur l’article 6 de l'Accord de Paris (COP21), qui traite des crédits carbones. L'article 6.4, notamment, fournit un cadre officiel des Nations-Unies pour la création et l'échange de crédits carbone à l’échelle mondiale. Ce cadre comptable commun devrait permettre l’interconnexion de différents systèmes d'échange existants, comme ceux fonctionnant actuellement en Europe, en Chine et dans certaines régions des États-Unis, donnant ainsi une dimension plus internationale au marché du carbone. Un chemin intéressant, mais semé d’embûches, le risque d’un dumping environnemental n’étant pas à écarter.

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  12. Les résultats peu probants de la COP26, du point de vue de l’investisseur, peuvent sembler un non-événement. Nous n’y voyons effectivement aucune leçon majeure de nature à modifier sur le court terme le regard que nous portons sur les marchés financiers. L'accent a été mis sur les technologies vertes pour parvenir à la décarbonisation et la COP26 n’a en réalité fait que confirmer l'élan et le soutien des pays présents à ces technologies. Notre examen des secteurs spécifiques montre que la plupart des résultats de la COP26 étaient souvent attendus, voire déjà annoncés, et n'auront pas d'impact significatif dans l’immédiat.

    Mais attention à cette fausse réassurance. Le flottement politique sensible à la COP26 ne fait que confirmer que l’objectif d’un maintien du réchauffement à 1,5°C est peu probable. L'analyse faite par l'Agence internationale de l’énergie sur la base des engagements climatiques de la COP26 pointe plutôt sur un réchauffement de la planète qui serait de l’ordre de 1,8 degré. Et l’analyse indépendante faite par le Climate Action Tracker trouve même ce résultat optimiste, estimant plutôt que les politiques actuelles entraîneront un réchauffement de 2,7°C. Cet écart persistant entre les objectifs et les conséquences prévisibles de l’agenda actuel doit être pris en compte sérieusement par le secteur financier : loin de lui permettre de se reposer sur leurs deux oreilles, les résultats de la COP26 doivent l’alerter sur la montée des risques physiques liés au climat. Selon nous, c’est dès à présent que les investisseurs doivent scruter et anticiper les impacts potentiel du réchauffement planétaire, par exemple ceux d’événements météorologiques extrêmes sur l'agriculture, les infrastructures, voire la productivité industrielle.

    Les hésitations politiques de la COP26 sont aussi le signe que le secteur privé doit jouer un rôle moteur dans la décarbonisation de l’économie. La place des entreprises sera d’autant plus centrale qu’il ne s’agit pas seulement pour elle de défendre l’intérêt général : c’est aussi la demande des consommateurs qui les pousse à adopter le principe du "zéro émission" en faisant pression sur elles pour qu’elles changent de trajectoire. Nous nous attendons à ce que les actions du secteur privé prennent de l'ampleur au cours des prochaines années, à mesure que cette tendance se poursuit. En tant qu’investisseurs, nous nous devons donc d’être de plus en plus attentifs aux conséquences de ce voyage vers la décarbonisation. Il s’agit d’évaluer les coûts de cette transition et de les intégrer dans la valorisation que nous faisons des entreprises, mais aussi d’identifier quelles sont les stratégies gagnantes à la lumière de ce nouveau paradigme. Cette démarche passe aussi par l’engagement. Par exemple, nous écrivons aux entreprises pour leur demander de définir des objectifs de réduction du gaz carbonique en s’alignant sur les recommandations de l’initiative Science Based Targets. Nous les challengeons aussi sur les impacts potentiels d’une hausse du prix du carbone sur leur activité.

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  13. Après la COP26, le monde de la finance pourrait se réfugier dans le confort du « business as usual ». Mais c’est tout le contraire qu’il faut faire, pour le bien commun, certes, mais aussi, plus prosaïquement, pour le bien matériel des investisseurs qui nous confient leur argent. Si le réchauffement climatique est inéluctable, la transition climatique l’est aussi.

    http://www.economiematin.fr/news-cop26-bilan-mitige-alerte-investisseurs-ecologie-duchein

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    1. (...) Le coût du réchauffement climatique est estimé entre 50 et 250 milliards de dollars par an (...)

      Désolé mais la chaudière Magma marche toute seule et ne demande aucun centime, ELLE CHAUFFE LE MONDE GRATIS !
      Mais, des gros cons de trisomiques de la vert-marq voudraient l'éteindre !! HAHAHAHAHA ! Et même, pour 'sauver des arbres', portent des masques en feuilles de salades ! HAHAHA !

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  14. Cartographié : les drogues illicites les plus courantes dans le monde


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 18 DÉC 2021 - 23:25


    Malgré des lois d'interdiction strictes dans une grande partie du monde, de nombreuses drogues illicites courantes sont encore largement utilisées.

    Les humains ont une relation historique et compliquée avec les drogues. Définies comme des substances chimiques qui provoquent un changement dans notre physiologie ou notre psychologie, de nombreuses drogues sont prises en médecine ou acceptées culturellement, comme la caféine, la nicotine et l'alcool.

    Mais, comme le détaille Omri Wallach de Visual Capitalist ci-dessous, de nombreuses drogues - y compris les médicaments et les substances non médicinales prises comme drogues - sont prises à des fins récréatives et peuvent faire l'objet d'abus. Chaque pays et chaque peuple ont leur propre rapport à la drogue, certains adoptant l'utilisation de substances spécifiques tandis que d'autres les évitent carrément.

    Quelles sont les drogues les plus courantes qui sont considérées comme généralement illicites dans différentes parties du monde ? Les graphiques d'aujourd'hui utilisent les données du Rapport mondial sur les drogues 2021 de l'ONU pour mettre en évidence la drogue la plus répandue dans chaque pays.

    Quels types de médicaments courants sont suivis ?
    Le Rapport mondial sur les drogues examine explicitement l'offre et la demande du marché international des drogues illégales, sans inclure les substances communément légales comme la caféine et l'alcool.

    Les médicaments sont regroupés par classe et par type, avec six principaux types de médicaments considérés comme les médicaments les plus répandus dans le monde.

    Cannabis* : Drogues dérivées du cannabis, dont le chanvre. Cette catégorie comprend la marijuana (fleurs séchées), le haschich (résine) et d'autres pour diverses autres parties de la plante ou des huiles dérivées.

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  15. - voir carte sur site -

    Cocaïne : Drogues dérivées des feuilles des plantes de coca. Étiqueté comme sels de cocaïne sous forme de poudre ou crack pour la cocaïne transformé avec du bicarbonate de soude et de l'eau sous forme de roche.

    Opioïdes : Comprend les opiacés dérivés directement de la plante de pavot à opium, y compris la morphine, la codéine et l'héroïne, ainsi que les alcaloïdes synthétiques.

    - voir carte sur site -

    Stimulants de type amphétamine (ATS) : amphétamine et drogues dérivées de l'amphétamine, y compris la méthamphétamine (également appelée speed), la MDMA et l'ecstasy.

    - voir carte sur site -

    Sédatifs et tranquillisants : comprend d'autres médicaments dont le but principal est de réduire l'énergie, l'excitation ou l'anxiété, ainsi que les médicaments utilisés principalement pour initier ou aider à dormir (également appelés hypnotiques).

    - voir carte sur site -

    Solvants et produits à inhaler : gaz ou produits chimiques qui peuvent provoquer une intoxication mais ne sont pas destinés à être des médicaments, y compris les carburants, les colles et autres substances industrielles.

    Le rapport a également suivi la prévalence des hallucinogènes – des drogues psychoactives qui affectent fortement l'esprit et provoquent un « trip » – mais aucun hallucinogène n'est classé comme la drogue la plus répandue dans un pays.

    *Note de l'éditeur : le cannabis à des fins récréatives est légal dans cinq pays et dans certaines juridictions non fédérales (c'est-à-dire les États). Cependant, dans le contexte de ce rapport, il a été inclus car il est encore largement illicite dans la plupart des pays du monde.

    La drogue la plus répandue dans chaque pays
    Selon le rapport, 275 millions de personnes ont consommé de la drogue dans le monde en 2020. Entre 15 et 64 ans, environ 5,5 % de la population mondiale a consommé de la drogue au moins une fois.

    De nombreux pays ont regroupé différents types de la même classe de médicaments, et quelques-uns, comme l'Arabie saoudite et la Macédoine du Nord, ont répertorié plusieurs types de médicaments différents comme les plus répandus.

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  16. Mais dans l'ensemble, le cannabis était la drogue la plus couramment consommée dans 107 pays et territoires répertoriés.

    Quelle est la prévalence du cannabis dans le monde ? 72 emplacements ou plus des deux tiers de ceux qui ont déclaré ont indiqué que le cannabis était la drogue la plus répandue.

    Sans surprise, il s'agit de pays qui ont légalisé le cannabis récréatif : le Canada, la Géorgie, le Mexique, l'Afrique du Sud et l'Uruguay.

    Quelle est la fréquence des opioïdes et autres médicaments ?
    Bien que la prévalence mondiale du cannabis ne soit pas surprenante, d'autant plus qu'il est légalisé et accepté dans de plus en plus de pays, d'autres drogues sont également bien implantées.

    Les opioïdes (14 emplacements) étaient les drogues les plus répandues au Moyen-Orient, en Asie du Sud et en Asie centrale, y compris en Inde et en Iran. Notamment, l'Afghanistan est le plus grand producteur mondial d'opium, fournissant plus de 90 % de l'héroïne illicite dans le monde.

    Les drogues de type amphétamine (9 emplacements) étaient les troisièmes drogues les plus courantes dans l'ensemble, principalement en Asie de l'Est. La méthamphétamine était la drogue la plus répandue en Chine, en Corée du Sud et au Japon, tandis que l'amphétamine n'était que la drogue la plus courante au Bangladesh.

    Cependant, il est important de noter que la consommation de drogues illicites est difficile à suivre. Les pays asiatiques où le cannabis est moins fréquemment trouvé (ou signalé) pourraient sous-estimer sa consommation. Dans le même temps, l'épidémie d'opioïdes aux États-Unis et au Canada reflète une forte consommation d'opioïdes en Occident.

    Alors que certaines drogues se répandent et que d'autres font face à une « guerre » renouvelée, le paysage va certainement changer au cours des prochaines années.

    https://www.zerohedge.com/medical/mapped-most-common-illicit-drugs-world

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    1. Aujourd'hui le monde préfère se tourner vers cette paix que d'être mercenaire piqué à tuer les autres !

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