- ENTREE de SECOURS -



lundi 13 décembre 2021

WaterLight : cette lampe torche se recharge avec de l’eau de mer

 par Aphadolie

12/12/2021 

La technologie a beau évolué, ce ne sont pas toutes les régions du monde qui peuvent en profiter. À l’extrémité nord de l’Amérique du Sud par exemple, du côté des frontières entre la Colombie et la Venezuela, la communauté Wayúu n’a pas accès à l’électricité. Et les conditions météorologiques de la région ne sont pas vraiment propices à l’utilisation des équipements solaires…

Baptisée Waterlight, une lampe torche conçue par le designer colombien Miguel Mojica propose quarante-cinq jours de lumière avec un demi-litre d’eau de mer. Son déploiement pourrait s’effectuer auprès de populations isolées qui n’ont pas encore accès l’électricité.

À ce jour, des centaines de millions de personnes à travers le monde n’ont pas encore accès à l’électricité. Des progrès sont tout de même en cours. À l’échelle mondiale, le nombre de personnes sans accès à l’électricité est en effet passé de 1,2 milliard en 2010 à 759 millions en 2019. Les lignes électriques atteignent donc de plus en plus de ménages, là où d’autres se rabattent sur de mini-réseaux composés de panneaux solaires ou de générateurs diesel.

Toutefois, pour certains ménages isolés, ces options ne sont toujours pas envisageables. C’est là qu’intervient le projet WaterLight, développé par le designer Miguel Mojica, inspiré par les communautés indigènes pauvres de La Guajira, en Colombie. Sa création a reçu un Cannes d’Argent dans la catégorie design et deux bronzes en innovation et responsabilité sociale au Cannes Lions International Festival of Creativity 2021.

45 jours de lumière avec un demi-litre d’eau de mer

Désormais proposée par la start-up colombienne d’énergie renouvelable E-Dina, la lampe est en bois. Elle est également étanche et propose un bracelet rappelant des motifs chers aux Wayuu, une communauté indigène vivant sur la péninsule isolée de La Guajira.

L’intérieur de la lampe contient des plaques de magnésium et de cuivre qui font réagir les électrolytes du liquide salin pour générer de l’électricité grâce à l’ionisation. Un demi-litre d’eau salée peut permettre d’assurer quarante-cinq jours de lumière non-stop. L’énergie générée peut également être utilisée pour charger de petits appareils tels que des téléphones portables ou des tablettes.

WaterLight se révèle également comme une alternative plus efficace que les lanternes à énergie solaire dans la mesure où elle se régénère instantanément, tandis qu’outre le fait qu’elles ne fonctionnent que s’il y a du soleil, les lanternes solaires doivent transformer l’énergie solaire en énergie alternative dans le but de charger leurs batteries.

Enfin, notez que WaterLight est fabriqué à partir de matériaux recyclables et propose une durée de vie de 5 600 heures.

« Je suis convaincu que nous sommes de plus en plus conscients de l’impact que nous avons sur la planète et je crois au changement que nous, les nouvelles générations de designers, sommes en train de créer, car nous nous engageons pour un design durable et responsable. »

« Aujourd’hui, c’est une réalité ; la durabilité est devenue une exigence essentielle lors de la conception, ce qui aidera à résoudre les nouveaux défis qui apparaîtront à l’avenir », a déclaré Miguel Mojica.

Il s’agit de WaterLight, un appareil qui fournit une alimentation électrique en utilisant uniquement de l’eau salée.

Source :

https://www.edinaenergy.com/

https://www.waterlight.com.co/

https://sciencepost.fr/waterlight-lampe-eau-de-mer/

https://www.neozone.org/innovation/waterlight-cette-lampe-portable-se-charge-avec-de-leau-salee-ou-de-lurine/

https://www.worldbank.org/en/news/press-release/2021/06/07/report-universal-access-to-sustainable-energy-will-remain-elusive-without-addressing-inequalities

https://aphadolie.com/2021/12/12/waterlight-cette-lampe-torche-se-recharge-avec-de-leau-de-mer

30 commentaires:

  1. La poliomyélite – La plus grande escroquerie médicale de tous les temps.


    13 October 2021


    L’histoire de la polio.

    La maladie la plus souvent invoquée pour défendre les vaccins est sans conteste la poliomyélite. Par coïncidence, c’est aussi le plus grand mensonge et la plus grande escroquerie médicale de tous les temps. Les toxines causant la “polio” sont bien documentées. Le virus responsable de la polio n’a jamais existé.

    1824 : Les ouvriers métallurgistes souffraient depuis des siècles d’une paralysie similaire à la polio, causée par le plomb et l’arsenic présents dans les métaux qu’ils travaillaient. Le scientifique anglais John Cooke observe : “Les fumées de ces métaux, ou leur réception en solution dans l’estomac, provoquent souvent des paralysies”.

    1890 : Aux États-Unis, on commence à pulvériser de l’arséniate de plomb jusqu’à 12 fois par été pour tuer le carpocapse des pommes.

    1892 : Des épidémies de polio commencent à se produire dans le Vermont, une région de culture de pommes. Dans son rapport, l’inspecteur du gouvernement, le Dr Charles Caverly, note que les parents signalent que certains enfants tombent malades après avoir mangé des fruits. Il déclare que ” la paralysie infantile se produit généralement dans des familles comptant plusieurs enfants, et comme aucun effort n’a été fait pour les isoler, il est très probable qu’elle n’est pas contagieuse ” (un seul enfant de la famille ayant été touché).

    1907 : L’arséniate de calcium est utilisé principalement sur les cultures de coton.

    1908 : Dans une ville du Massachusetts comptant trois usines de coton et des vergers de pommiers, 69 enfants tombent soudainement malades de paralysie infantile.

    1909 : Le Royaume-Uni interdit les importations de pommes en provenance des États-Unis en raison de la présence de résidus importants d’arséniate de plomb.

    1921 : Franklin D. Roosevelt développe la polio après avoir nagé dans la baie de Fundy, au Nouveau-Brunswick. La toxicité de l’eau pourrait être due à des écoulements polluants.

    1943 : Introduction du DDT, un pesticide neurotoxique. Au cours des années suivantes, son utilisation se généralise dans les foyers américains. Par exemple, du papier peint imprégné de DDT a été placé dans les chambres d’enfants.

    1943 : Une épidémie de polio dans la ville britannique de Broadstairs, dans le Kent, est liée à une laiterie locale où les vaches étaient lavées au DDT.

    1944 : Albert Sabin rapporte qu’une cause majeure de maladie et de décès des troupes américaines basées aux Philippines était la poliomyélite. Les camps militaires américains y sont pulvérisés quotidiennement avec du DDT pour tuer les moustiques. Les colonies philippines voisines n’ont pas été touchées.

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  2. 1944 : Le NIH rapporte que le DDT endommage les mêmes cellules de la corne antérieure qui sont endommagées dans la paralysie infantile.

    1946 : Gebhaedt montre que la saisonnalité de la polio est en corrélation avec la récolte des fruits.

    1949 : Le Dr Morton Biskind, endocrinologue, praticien et chercheur médical, constate que le DDT provoque ” des lésions de la moelle épinière similaires à celles de la polio humaine “.

    1950 : Le directeur médical de l’hygiène industrielle de la santé publique américaine, J.G. Townsend, note la similitude entre l’empoisonnement au parathion et la polio et pense que certaines polio pourraient être causées par la consommation de fruits ou de légumes contenant des résidus de parathion.

    1951 : Le Dr Biskind traite ses patients atteints de polio comme des victimes d’empoisonnement, en éliminant les toxines de la nourriture et de l’environnement, en particulier le lait et le beurre contaminés par le DDT. Le Dr Biskind écrit : “Bien que les jeunes animaux soient plus sensibles aux effets du DDT que les adultes, dans la mesure où la littérature disponible est concernée, il ne semble pas que les effets de telles concentrations sur les nourrissons et les enfants aient même été pris en compte.

    1949-1951 : D’autres médecins déclarent avoir du succès dans le traitement de la polio avec des antitoxines utilisées pour traiter les empoisonnements, le dimercaprol et l’acide ascorbique. Exemple : Le Dr. F. R. Klenner rapporte : Lors de l’épidémie de poliomyélite en Caroline du Nord en 1948, 60 cas de cette maladie ont été pris en charge… Le traitement consistait en des doses massives de vitamine C toutes les deux à quatre heures. Les enfants jusqu’à quatre ans recevaient une injection de vitamine C par voie intramusculaire… Tous les patients étaient cliniquement bien portants au bout de 72 heures.”

    1950 : Le Dr Biskind présente au Congrès américain des preuves que les pesticides sont la principale cause des épidémies de polio. Il est rejoint par le Dr. Ralph Scobey qui déclare avoir trouvé des preuves évidentes d’empoisonnement en analysant les traces chimiques dans le sang des victimes de la polio.

    Commentaire : C’était un non-lieu. La théorie de la causalité virale ne devait pas être remise en question. Les carrières d’éminents virologues et d’autorités sanitaires étaient menacées. Les idées de Biskind et Scobey sont tournées en ridicule.

    1953 : Les vêtements sont rendus imperméables aux mites en les lavant dans de l’EQ-53, une formule contenant du DDT.

    1953 : Le Dr Biskind écrit : “On savait déjà en 1945 que le DDT était stocké dans les graisses corporelles des mammifères et qu’il apparaissait dans leur lait… pourtant, loin d’admettre une relation de cause à effet entre le DDT et la polio qui est si évidente et qui, dans n’importe quel autre domaine de la biologie, serait immédiatement acceptée, pratiquement tout l’appareil de communication, tant profane que scientifique, a été consacré à nier, dissimuler, supprimer, déformer et tenter de convertir en son contraire cette preuve accablante. La diffamation, la calomnie et le boycottage économique n’ont pas été négligés dans cette campagne”.

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  3. 1954 : Une législation reconnaissant les dangers des pesticides persistants est promulguée, et l’élimination progressive du DDT aux États-Unis s’accélère parallèlement à un transfert des ventes de DDT vers les pays du tiers monde.

    (Notez que l’élimination progressive du DDT coïncide avec le début de la vaccination généralisée contre la polio. Cela dit, les cas de polio ne montent en flèche que dans les communautés qui acceptent le vaccin antipoliomyélitique, car ce dernier contient des métaux lourds et d’autres toxines, de sorte que le récit de la paralysie recommence. Comme les vaccins contre la polio provoquent d’énormes pics de polio, le public mal informé demande davantage de vaccins contre la polio et le cycle s’emballe de manière exponentielle).

    1956 : l’American Medical Association impose à tous les médecins agréés de ne plus classer la polio comme telle. Tous les diagnostics de polio sont rejetés au profit du syndrome de Guillian-Barre, de la PFA (paralysie flasque aiguë), de la paralysie de Bell, de l’infirmité motrice cérébrale, de la SLA (maladie de Lou-Gehrig), de la SEP, de la MD, etc. Ce tour de passe-passe a été fabriqué dans le seul but de donner au public l’impression que le vaccin contre la polio avait réussi à faire reculer la polio ou à l’éradiquer. Le public a mordu à l’hameçon et, jusqu’à ce jour, de nombreux arguments en faveur des vaccins sont alimentés par le mensonge fabriqué concernant l’éradication de la polio par le vaccin.

    1962 : Publication de Silent Spring de Rachel Carson.

    1968 : Abandon de l’homologation du DDT aux États-Unis.

    2008 : La paralysie flasque aiguë (PFA) fait toujours rage dans de nombreuses régions du monde où l’utilisation de pesticides est élevée, et où le DDT est toujours utilisé. La PFA, la sclérose en plaques, la paralysie de Bell, l’infirmité motrice cérébrale, la sclérose latérale amyotrophique (maladie de Lou Gehrig) et le syndrome de Guillain Barré sont tous des diagnostics de type “panier de crabes”, aux symptômes similaires, liés à l’empoisonnement par les métaux lourds et à une charge toxique élevée.

    2008 : L’OMS déclare sur son site web : Il n’y a pas de remède à la polio. Ses effets sont irréversibles”.

    Conclusion :

    La croyance moderne selon laquelle la polio est causée par un virus est une tragédie permanente pour les enfants du monde. Les fonds publics sont gaspillés pour des vaccins inutiles et dangereux alors que les enfants pourraient être traités avec des antitoxines. Un débat sur le mythe de la vaccination est justifié, ainsi qu’une enquête complète sur le véritable programme exécuté contre l’humanité, impliquant la science, les produits chimiques, les vaccins, le domaine médical en général et le gouvernement.

    Propositions de ressources pour vérifier ces informations :

    https://learntherisk.org/vaccines/diseases/#Polio

    https://www.westonaprice.org/health-topics/environmental-toxins/pesticides-and-polio-a-critique-of-scientific-literature/

    Source (anglais) : https://truth11.com/2021/10/09/the-history-of-polio-the-go-to-disease-to-defend-vaccines-is-polio-coincidently-its-also-the-greatest-lie-and-medical-con-job-of-all-time/

    https://cv19.fr/2021/10/13/la-poliomyelite-la-plus-grande-escroquerie-medicale-de-tous-les-temps/

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    1. Comme pour le 'SARScov2' qui n'existe pas dans l'air, la mort ne se cache que dans la seringue ! Qui en veut ? Si t'es piqué tu l'as ! Pas belle la vie ?

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  4. Belgique : l’aberration du port du masque pour les enfants dès 6 ans

    OPINION : en Belgique, l’obligation de porter le masque dans les écoles dès l’âge de 6 ans est avant tout une mesure politique qui aura un impact négatif sur le bien-être et le développement des enfants.


    Par Baudoin Collard.
    13 DÉCEMBRE 2021


    L’obligation de porter le masque dans les écoles dès l’âge de 6 ans est avant tout une mesure politique qui, malgré tous les efforts de dédramatisation de ces derniers jours, ne peut qu’avoir un impact négatif sur le bien-être et le développement des enfants. Ils s’adaptent mais à quel prix ?

    De plus, on peut douter de l’intérêt d’une mesure décidée vendredi alors même que les chiffres de contaminations suggèrent que le pic de la quatrième (ou la cinquième ? )vague a été atteint et que, toute chose restant égale par ailleurs, les contaminations sont appelées à diminuer.

    LE MASQUE : UNE MESURE INUTILE ET INJUSTE POUR LES ENFANTS

    Rappelons tout d’abord que les enfants développent rarement des formes graves du covid. Selon un rapport de Sciensano publié en septembre 2021, la très grande majorité des infections chez les enfants est asymptomatique. Selon le même rapport, sur la tranche d’âge 6-17 ans seuls 239 enfants ont nécessité une hospitalisation entre septembre 2020 et juin 2021 et moins de 5 enfants (entre 0 et 17 ans) seraient décédés du covid sur cette même période.

    Le port du masque n’est donc pas une mesure destinée à protéger les enfants mais plutôt à protéger les adultes et à pallier le manque d’investissements structurels dans les soins de santé. Les enfants servant une fois de plus de variable d’ajustement du gouvernement face à une épidémie qu’il est incapable de maitriser.

    Tout cela alors même que le port du masque chez les enfants de moins de 12 ans ne fait l’objet d’aucun consensus scientifique. En effet, s’il est généralement admis que le masque peut diminuer le risque de transmission, cet effet réducteur est largement tributaire d’une application stricte de règles d’hygiène contraignantes qu’il est peu réaliste de voir appliquer correctement par des enfants de 6 ans même sous la supervision d’un adulte.

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  5. A contrario, le port du masque a des effets négatifs directs très clairs : gêne pour respirer, trouble de la concentration, maux de tête, irritabilité, fatigue, buée sur les lunettes,… sont les effets indésirables les plus souvent rapportés.

    Si les effets à long terme d’une obligation prolongée sont encore mal connus, on peut déjà craindre de plus grandes difficultés à communiquer, à percevoir et transmettre des émotions, et à se sociabiliser à un âge pourtant critique pour le développement émotionnel et relationnel. Ces craintes sont d’ailleurs reprises par le GEMS dans son rapport du 19 novembre, ainsi que par l’OMS dans un rapport sur les masques daté du 5 juin 2020.

    De plus, tous les enfants ne réagissant pas de la même façon, il est fort à craindre que le port du masque accroîtra encore les inégalités scolaires.

    L’intérêt sanitaire du port du masque par de jeunes enfants est faible et face aux multiples effets indésirables, il est éthiquement inacceptable de leur imposer un traitement dont le bilan global serait largement négatif (principe fondamental en médecine: « primum non nocere« : « d’abord, ne pas nuire »). Dans une société apaisée, cet argument devrait suffire à convaincre toute personne raisonnable de l’absence d’intérêt à cette obligation.

    VERS UNE POLARISATION CROISSANTE DE LA SOCIÉTÉ EN BELGIQUE

    En agissant dans la précipitation, le gouvernement envoie un mauvais signal à une population déjà soumise à de fortes tensions. En désignant d’abord les personnes non-vaccinées puis les enfants comme étant les responsables de la hausse des contaminations et des hospitalisations, le gouvernement semble vouloir jeter de l’huile sur le feu au lieu d’appeler à l’unité nationale.

    Cette communication est telle qu’il devient difficile de ne pas se demander si ces différentes déclarations n’ont finalement pas pour but délibéré de diviser la population et faire l’impasse sur la mauvaise gestion de la crise.

    En effet, cela fait plusieurs mois que différents experts, politiciens et citoyens appellent le gouvernement à prendre des mesures simples et relativement peu contraignantes comme l’aération des classes, le placement de sondes de mesure du gaz carbonique et l’utilisation de tests rapides. Des mesures finalement imposées dans l’urgence et l’improvisation la plus totale après des mois d’inaction.

    De même, l’obligation de porter un masque a été décidée dans la confusion générale juste avant le week-end de son application et sans discussion avec les différentes parties impliquées, et ce alors que la ministre chargée de l’enseignement avait promis le contraire deux semaines plus tôt. Cette absence de concertation met à mal la confiance entre directions, enseignants et parents d’élèves, fruits de longues années de dialogue.

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  6. EN CONCLUSION

    Pour de nombreux citoyens, cette mesure qui vise les enfants est la goutte d’eau qui fait déborder le vase : beaucoup d’efforts ont été consentis par la population dans des circonstances difficiles. L’accumulation de mesures incohérentes et souvent même contradictoires risque fort de saper son adhésion aux mesures sanitaires en place.

    Par ailleurs, il reste de nombreuses zones d’ombres concernant le port du masque dans les écoles primaires, notamment :

    De nombreux enfants portent le masque à l’extérieur dans la cour de récréation alors même qu’il est déconseillé de porter le masque lors d’efforts physiques (jouer à touche-touche, au foot, etc.) et que de nombreuses études démontrent que les contaminations restent limitées à l’extérieur.
    Il n’est nulle part précisé la durée des mesures du CODECO de vendredi ni les objectifs à atteindre pour y mettre fin, ou encore les modalités prévues pour en évaluer l’efficacité. Ce flou artistique laisse planer la crainte que cette mesure soit destinée à se prolonger, voire à annoncer une future pression à la vaccination des 6-12 ans dont le ministre se cache à peine.
    Quid des aspects juridiques de cette décision du CODECO ? En Flandre, un article paru dans le magazine Knack pose clairement la légalité de cette obligation et suggère qu’il ne s’agit en l’état que d’une recommandation.
    Plus interpellant encore, qu’en est-il de la constitutionnalité de cette mesure, en particulier l’Article 22bis qui prévoit que :
    Chaque enfant a droit au respect de son intégrité morale, physique, psychique et sexuelle.
    Chaque enfant a le droit de s’exprimer sur toute question qui le concerne; son opinion est prise en considération, eu égard à son âge et à son discernement.
    Chaque enfant a le droit de bénéficier des mesures et services qui concourent à son développement.
    Dans toute décision qui le concerne, l’intérêt de l’enfant est pris en considération de manière primordiale.
    Nous exhortons le gouvernement à revenir sur sa décision aussi inutile que néfaste d’imposer le masque à l’école. En attendant, nous demandons aux directions d’établissement et aux professeurs de faire preuve d’un maximum de compréhension et d’empathie et d’user de toute les marges de manœuvre à leur disposition afin d’alléger au maximum les règles pesant sur les enfants qui ont déjà suffisamment enduré de contraintes durant ces deux dernières années !

    Enfin, nous appelons les parents à s’unir et à s’organiser au sein de l’école de leurs enfants afin de poursuivre le dialogue avec la direction et les différents niveaux de pouvoirs pour trouver la meilleure solution dans l’intérêt des enfants.

    https://www.contrepoints.org/2021/12/13/416684-belgique-laberration-du-port-du-masque-pour-les-enfants-des-6-ans

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    1. Les 'masques' proposés sont en 150 microns d'écart de mailles ! HAHAHAHA !

      IL N'EXISTE PAS (dans le monde) des masques dits 'anti-poussières' (virus) ou des masques dits 'anti-microbes' !

      Pourquoi ? Parce que les microbes comme les nano-poussières parfaitement inoffensives appelées 'virus' ! (HAHAHA !) sont de dimensions inférieures au micron (1 millième de millimètre, 1 millionième de centimètre, 1 milliardième de mètre). Donc: L'AIR NE PASSE PAS. C'est comme si vous vous mettiez un sac en plastique sur la tête !

      AVEC ou SANS masque NOUS RESPIRONS TOUTES & TOUS 200 000 microbes ou poussière PAR MINUTE !
      Soit DES milliards depuis ce matin et DES milliards de trains de milliards depuis notre naissance et NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOOOORT(E) ! Çà alors !!

      Les politichiens ou les merdias NE SONT PAS des scientifiques !!

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  7. Un scientifique des données a déclaré à RFK, Jr. : « VAERS raconte une histoire très effrayante »

    Lors d'un récent épisode du podcast "The Defender", Robert F. Kennedy, Jr. a interviewé la scientifique des données et chercheuse en immunologie Jessica Rose, Ph.D., au sujet des données alarmantes provenant du Vaccine Adverse Event Reporting System.


    Par Jeremy Loffredo
    Défense de la santé des enfants
    13 décembre 2021


    Dans un récent épisode du podcast « The Defender », Robert F. Kennedy, Jr. a interviewé la scientifique des données et chercheuse en immunologie Jessica Rose, Ph.D., à propos du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) et de ce qu'il nous dit sur le vaccin COVID blessures, surtout chez les enfants.

    "VAERS raconte une histoire très effrayante", a déclaré Rose à Kennedy.

    Les données du VAERS montrent 618 548* rapports d'événements indésirables (au 29 octobre), mais ce nombre ne tient pas compte de la sous-déclaration, a expliqué Rose. (Au 19 novembre, les dernières données du VAERS montrent 664 745 événements indésirables, à l'exclusion des rapports étrangers).

    "Si vous considérez le facteur de sous-déclaration, que j'ai basé sur les données cliniques de phase 3 de Pfizer - qui sont probablement des données discutables de toute façon - le facteur de sous-déclaration est de 31", a-t-elle déclaré. Donc, pour obtenir un décompte précis des événements indésirables, "vous devez multiplier les nombres VAERS par au moins 31", a expliqué Rose. « C'est vraiment bouleversant. Nous sommes dans des millions*.

    Rose a déclaré que les données du VAERS montrent également qu'il y a "des enfants qui reçoivent des injections inappropriées de ces produits".

    Elle a déclaré à Kennedy que les rapports soumis au VAERS montrent que de jeunes enfants reçoivent des vaccins COVID non encore autorisés pour leur groupe d'âge. Au 29 octobre, 38 % des enfants décédés après le vaccin avaient moins de 2 ans.

    "Alors quelqu'un doit m'expliquer cela parce que nous ne sommes pas censés faire des injections aux bébés", a-t-elle déclaré.

    Regardez l'interview ici :

    https://www.lewrockwell.com/2021/12/no_author/data-scientist-tells-rfk-jr-vaers-is-telling-a-very-frightening-story/

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  8. Les inoculations de COVID tuent les gens


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    13 décembre 2021


    - voir clip sur site -

    La vidéo ci-dessus présente le Dr Peter McCullough, cardiologue, interniste et épidémiologiste, et rédacteur en chef de deux revues à comité de lecture, qui a été en première ligne des médias et de la médecine pour lutter pour un traitement COVID précoce. McCullough a également été franc sur les dangers potentiels des injections de COVID et leur manque de nécessité. Curieusement, les agences qui décident actuellement n'ont pas le pouvoir de dicter la façon dont la médecine est pratiquée.

    La Food and Drug Administration des États-Unis, par exemple, n'a pas le pouvoir de dire aux médecins quoi faire ou comment traiter les patients. Les National Institutes of Health sont un organisme de recherche gouvernemental et ne peuvent pas dire aux médecins comment traiter les patients.

    Idem pour les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, qui est un organisme d'analyse épidémiologique. C'est le travail des médecins en exercice d'identifier des protocoles de traitement appropriés et efficaces, ce qui est précisément ce que fait McCullough depuis le début de cette pandémie.

    En août 2020, l'article phare de McCullough « Bases pathophysiologiques et justification du traitement ambulatoire précoce de l'infection par le SRAS-CoV-2 » a été publié en ligne dans l'American Journal of Medicine.1

    Un article de suivi, « Traitement multidrogues séquentiel hautement ciblé et multidimensionnel de l'infection ambulatoire précoce à haut risque par le SRAS-CoV-2 (COVID-19) » a été publié dans Reviews in Cardiovascular Medicine en décembre 2020.2 Il est devenu la base d'un guide de traitement à domicile .

    Les injections de COVID sont dangereuses et inefficaces

    En ce qui concerne les injections de COVID, McCullough cite des recherches montrant que les personnes les plus à risque de mourir de COVID-19 sont également les plus à risque de mourir de la piqûre de COVID. De plus, les injections provoquent de graves lésions cardiaques chez les jeunes dont le risque de mourir du COVID est sans conséquence.

    Il souligne que le signal de sécurité est très clair, avec 19 249 décès signalés au système américain de déclaration des événements indésirables des vaccins au 19 novembre 2021.3

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  9. Le signal est également cohérent à la fois en interne et en externe. Un certain nombre d'effets secondaires sont signalés en nombre élevé, et très proche du moment de l'injection, qui valident le soupçon que les injections sont en cause. Les données américaines sont également cohérentes avec les données d'autres pays, comme le système Yellow Card au Royaume-Uni.

    Malgré cela, pas un seul examen de la sécurité n'a été effectué pour éliminer les facteurs de risque et autres. « Nous avons commencé le programme depuis près d'un an et il n'y a eu aucune tentative d'atténuation des risques », déclare McCullough. Dans le même temps, il y a eu de grossières tentatives pour contraindre les Américains à prendre les photos – tout, de la bière gratuite ou une danse gratuite aux loteries d'un million de dollars et aux bourses versées aux universités d'État.

    De telles incitations sont une violation indéniable de l'éthique de la recherche qui interdisent strictement toute forme de coercition sur des sujets humains. Comme suspecté et prédit, à peine la corruption a-t-elle cessé de fonctionner que les responsables gouvernementaux ont commencé à parler de mandats de vaccination.

    Le président Biden a tristement déclaré que sa patience face à "l'hésitation à la vaccination" "s'épuisait". L'insinuation était que si les gens ne recevaient pas le coup, ils feraient face à de graves répercussions, et nous voyons maintenant ces répercussions se produire jour après jour, car des gens sont licenciés et expulsés de l'école pour avoir refusé le jab.

    Pendant ce temps, ils n'ont même pas déterminé quel vaccin est le plus efficace, ce qui est remarquable. Si le gouvernement voulait vraiment mettre fin à la pandémie avec un vaccin, ne déterminerait-il pas quel vaccin fonctionne le mieux et ne favoriserait-il pas son utilisation ? Mais non, ils nous disent que n'importe quel coup fera l'affaire.

    "Le fait qu'il n'y ait pas de rapport de sécurité, ils ne vous disent pas si vous prenez le meilleur vaccin, le fait que c'est un peu déformé lié à votre capacité à travailler et à aller à l'école, que nous violons le Code de Nuremberg, violant la déclaration d'Helsinki — ça ne colle tout simplement pas. Cela ne semble pas bon pour ceux qui font la promotion du vaccin », a déclaré McCullough.

    Ajoutez à tout cela le constat désormais clair que les tirs n'offrent qu'une protection limitée pendant une très courte période – six mois au mieux. Selon McCullough, il existe plus de 20 études montrant que l'efficacité tombe à zéro au bout de six mois. Ils ont également eu une efficacité très limitée contre la variante Delta, qui a été la souche prédominante pendant plusieurs mois.

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  10. Pourquoi le tapis de course Booster est un tel danger pour la santé

    J'ai souvent déclaré que, selon toute vraisemblance, votre risque d'effets secondaires augmenterait à chaque injection supplémentaire. McCullough cite des recherches montrant que votre corps produira la protéine de pointe toxique SARS-CoV-2 pendant 15 mois.

    Si votre corps produit toujours la protéine de pointe - qui est à l'origine des caillots sanguins et des dommages cardiovasculaires - et que vous prenez une injection supplémentaire tous les six mois, il viendra un moment où votre corps ne pourra tout simplement pas supporter les dommages causés par tous les pics. protéine produite.

    Considérez également ceci : alors que vous n'obtenez au maximum que six mois de protection contre un tir donné, chaque injection causera des dommages pendant 15 mois. Si nous continuons avec les boosters, il sera finalement impossible d'éliminer la protéine de pointe.

    Alors que la protéine de pointe est la partie du virus choisie comme antigène, la partie qui déclenche une réponse immunitaire, c'est aussi la partie du virus qui cause la pire maladie. La protéine de pointe est responsable des problèmes cardiaques et vasculaires liés au COVID-19, et elle a le même effet lorsqu'elle est produite par vos propres cellules.

    Il provoque des caillots sanguins, une myocardite et une péricardite, des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques et des dommages neurologiques, pour n'en nommer que quelques-uns. Comme l’a noté McCullough, la protéine de pointe de ce virus a été génétiquement modifiée pour être plus dangereuse pour l’homme que tout autre coronavirus précédent, et c’est ce que les injections de COVID programment pour que vos cellules produisent. "Ils sont tout simplement extrêmement dangereux pour l'homme", déclare McCullough.

    La myocardite sera probablement généralisée

    Il poursuit en discutant des recherches de 2017,4 qui ont montré que la myocardite chez les enfants et les jeunes survient à un taux de quatre cas par million par an. En supposant qu'il y ait 60 millions d'enfants américains, le taux de fond de myocardite serait de 240 cas par an. Combien de cas de myocardite ont été signalés au VAERS à la suite d'une injection de COVID jusqu'à présent ? 14 428 au 19 novembre 201,5

    "Les médecins n'ont jamais vu autant de cas de myocardite", a déclaré McCullough, citant des recherches montrant que parmi les enfants âgés de 12 à 17 ans, 87% sont hospitalisés après avoir reçu le vaccin. "C'est à quel point c'est dangereux", dit-il. "C'est fréquent, et c'est sévère."

    Pourtant, la FDA affirme que la myocardite après le coup de COVID est «rare et bénigne». Nous recevons maintenant également des rapports de cas mortels de myocardite chez des adultes dans la trentaine et la quarantaine. « La myocardite ressemble actuellement à une catastrophe sans réserve », déclare McCullough, à la fois pour les jeunes et les adultes.

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  11. Les enfants âgés de 12 à 17 ans sont cinq fois plus susceptibles d'être hospitalisés pour une myocardite induite par le jab COVID qu'ils ne le sont pour une infection à COVID.
    Malheureusement, les enfants ne tirent aucun avantage des injections, c'est donc un risque et aucun avantage pour eux. McCullough souligne qu'il n'y a eu aucune épidémie enregistrée dans les écoles et aucune transmission d'enfant à enseignant. Il estime que 80% des enfants d'âge scolaire sont déjà immunisés, ce qui expliquerait cela.

    Pendant ce temps, les recherches citées dans l'interview ont révélé que les enfants âgés de 12 à 17 ans sont cinq fois plus susceptibles d'être hospitalisés pour une myocardite induite par le jab COVID qu'ils ne le sont pour une infection à COVID. Ces données contredisent l'affirmation selon laquelle les problèmes cardiaques induits par le COVID sont un problème bien plus grave que les dommages cardiaques induits par le « vaccin ».

    Et n'oublions pas que si vous prenez une photo COVID, vous avez 100 % de chances d'être exposé à tout risque associé à cette photo. D'un autre côté, si vous refusez l'injection, il n'y a pas 100% de chances que vous obteniez le COVID-19, et encore moins que vous en mouriez. Vous avez moins de 1% de chance d'être exposé au SRAS-CoV-2 et de tomber malade.

    Il est donc déterministe à 100 % que prendre le cliché vous expose aux risques du cliché, et à moins de 1 % déterministe que vous attraperez le COVID si vous ne prenez pas le cliché.

    COVID-19 sans rapport avec les taux de vaccination

    Comme l'a noté McCullough, les taux de COVID sont maintenant plus élevés dans les zones les plus vaccinées qu'ils ne l'étaient avant le déploiement du vaccin. Cela aussi nous dit qu'ils ne fonctionnent pas et ne valent pas le risque.

    Il cite une recherche6 publiée le 30 septembre 2021 dans le European Journal of Epidemiology, qui n'a trouvé aucune relation entre les cas de COVID-19 et les niveaux de vaccination dans 68 pays du monde et 2 947 comtés aux États-Unis. incidences de la COVID-19. Selon les auteurs :7

    « [L]a ligne de tendance suggère une association légèrement positive telle que les pays avec un pourcentage plus élevé de population entièrement vaccinée ont des cas de COVID-19 plus élevés pour 1 million de personnes. »

    L'Islande et le Portugal, par exemple, où plus de 75 % de leurs populations sont entièrement vaccinées, ont enregistré plus de cas de COVID-19 pour 1 million d'habitants que le Vietnam et l'Afrique du Sud, où seulement environ 10 % de la population est entièrement vaccinée.8 Les comtés américains ont montré la même chose. Les nouveaux cas de COVID-19 pour 100 000 personnes étaient « largement similaires », quel que soit le pourcentage de la population d'un État qui était complètement vacciné.

    « Il ne semble y avoir aucun signe significatif de diminution des cas de COVID-19 avec des pourcentages plus élevés de population complètement vaccinée », ont écrit les auteurs.9 Notamment, sur les cinq comtés américains avec les taux de vaccination les plus élevés – allant de 84,3 % à 99,9 % entièrement vaccinés - quatre d'entre eux figuraient sur la liste des « hautes transmissions » des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis. Pendant ce temps, 26,3 % des 57 comtés à « faible transmission » ont des taux de vaccination inférieurs à 20 %.

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  12. L'étude a même pris en compte un délai d'un mois qui pourrait survenir chez les personnes complètement vaccinées, car il est dit qu'il faut deux semaines après la dose finale pour qu'une « immunité totale » se produise. Pourtant, « aucune association discernable entre les cas de COVID-19 et les niveaux de vaccination complète » n'a été observée.10

    Les taux d'hospitalisation pour une infection COVID sévère ont également augmenté, passant de 0,01 % en janvier 2021 à 9 % en mai 2021, et le taux de mortalité COVID est passé de 0 % à 15,1 % au cours de la même période.11 En bref, tout empire, pas mieux, plus les gens reçoivent ces clichés.

    Permettre à l'immunité naturelle de se développer est vraiment la seule voie rationnelle à suivre. Mais là encore, les jabs COVID ne visent pas à protéger la santé publique. Il s'agit d'introduire un système de contrôle socio-économique via des passeports vaccinaux, ce que McCullough ne discute pas dans cette interview. Rien n'a de sens si vous le regardez d'un point de vue médical. Cela n'a de sens que si vous le voyez pour ce qu'il est, à savoir un système de contrôle.

    L'immunité naturelle est «infiniment meilleure» que l'immunité vaccinale

    Selon McCullough, "l'immunité naturelle est infiniment meilleure que l'immunité vaccinale", et des études l'ont confirmé à maintes reprises. La raison pour laquelle l'immunité naturelle est supérieure à l'immunité induite par le vaccin est que les virus contiennent cinq protéines différentes.

    Le coup de COVID induit des anticorps contre une seule de ces protéines, la protéine de pointe, et aucune immunité contre les cellules T. Lorsque vous êtes infecté par le virus entier, vous développez des anticorps contre toutes les parties du virus, ainsi que des cellules T mémoire.

    Cela signifie également que l'immunité naturelle offre une meilleure protection contre les variantes, car elle reconnaît plusieurs parties du virus. S'il y a des alternances significatives avec la protéine de pointe, comme avec la variante Delta, l'immunité induite par le vaccin peut être éludée. Ce n'est pas le cas avec l'immunité naturelle, car les autres protéines sont encore reconnues et attaquées.

    Voici un échantillon de publications savantes qui ont étudié l'immunité naturelle en ce qui concerne l'infection par le SRAS-CoV-2. Il y en a plusieurs autres en plus de ceux-ci :12

    - voir cadre sur site -

    La réinfection est très rare

    McCullough souligne qu'il n'y a pas non plus besoin de s'inquiéter de la réinfection si vous avez déjà eu COVID une fois. Le fait est que, bien que des cas révolutionnaires se poursuivent parmi ceux qui ont reçu une ou plusieurs injections de COVID-19, il est extrêmement rare d'obtenir COVID-19 une fois que vous vous êtes remis de l'infection.

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  13. Combien rare ? Des chercheurs irlandais ont mené une revue systématique portant sur 615 777 personnes qui s'étaient rétablies du COVID-19, avec une durée maximale de suivi de plus de 10 mois.24

    « La réinfection était un événement rare », ont-ils noté, « aucune étude ne signalant une augmentation du risque de réinfection au fil du temps ». Le taux de réinfection absolu variait de 0 % à 1,1 %, tandis que le taux de réinfection médian n'était que de 0,27 %.25,26,27

    Une autre étude a révélé des résultats tout aussi rassurants. Il a suivi 43 044 personnes positives aux anticorps anti-SRAS-CoV-2 jusqu'à 35 semaines, et seulement 0,7% ont été réinfectées. Lorsque le séquençage du génome a été appliqué pour estimer le risque de réinfection au niveau de la population, le risque a été estimé à 0,1 %28.

    Il n'y avait aucune indication de déclin de l'immunité sur sept mois de suivi, contrairement à l'injection de COVID-19, qui a conduit les chercheurs à conclure que « la réinfection est rare. L'infection naturelle semble provoquer une forte protection contre la réinfection avec une efficacité > 90 % pendant au moins sept mois. »29

    "C'est un one-and-done", dit McCullough. Si vous l'avez eu une fois, vous ne l'aurez plus. Il déconseille également d'utiliser les tests PCR après avoir confirmé une fois le COVID-19, car tous les tests positifs ultérieurs ne seront que des faux positifs.

    Options de traitement précoce

    En conclusion, si vous contractez le COVID-19, sachez qu'il existe plusieurs options de traitement précoce très efficaces et qu'un traitement précoce est essentiel, à la fois pour prévenir les infections graves et pour prévenir le « COVID longue distance ». Voici quelques suggestions:

    • Décontamination bucco-nasale : le virus, en particulier la variante Delta, se réplique rapidement dans la cavité nasale et la bouche pendant trois à cinq jours avant de se propager au reste du corps. Vous devez donc frapper là où il est le plus susceptible de se trouver. le début.

    Research30 a démontré que l'irrigation de vos voies nasales avec 2,5 millilitres de povidone iodée à 10 % (un antimicrobien) et une solution saline standard, deux fois par jour, est un remède efficace.

    Une autre option légèrement moins efficace consistait à utiliser un mélange de solution saline avec une demi-cuillère à café de bicarbonate de sodium (un alcalinisant). Vous pouvez également vous gargariser avec ces derniers pour tuer les virus dans votre bouche et votre gorge. Lorsqu'il est fait régulièrement, il peut être une stratégie préventive très efficace. Vous pouvez trouver des guides de traitement imprimables sur TruthForHealth.org.

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  14. • Peroxyde nébulisé — Une stratégie similaire consiste à utiliser du peroxyde d'hydrogène nébulisé, dilué avec une solution saline à une solution à 0,1 %. Le peroxyde d'hydrogène et le sérum physiologique31,32 ont tous deux des effets antiviraux.

    Dans un communiqué de presse du 10 mai 2021 en médecine orthomoléculaire33, le Dr Thomas E. Levy – certifié par le conseil en médecine interne et en cardiologie – a discuté de l'utilisation de ce traitement pour COVID-19 en particulier. Levy a en fait écrit un livre entier sur la nébulisation de peroxyde intitulé « Rapid Virus Recovery », que vous pouvez télécharger gratuitement sur MedFox Publishing.

    • Optimisation de la vitamine D — La recherche a montré qu'un niveau de vitamine D supérieur à 50 ng/mL réduit le risque de mortalité par COVID à près de zéro.34

    •Autres nutraceutiques clés — La vitamine C, le zinc, la quercétine et la NAC ont tous un soutien scientifique.

    • Médicaments clés — Pour les infections aiguës, l'ivermectine, l'hydroxychloroquine ou des anticorps monoclonaux peuvent être utilisés. Alors que les anticorps monoclonaux et l'hydroxychloroquine doivent être utilisés dès le début du processus de la maladie, l'ivermectine s'est avérée efficace à tous les stades de l'infection.

    La doxycycline ou l'azithromycine sont également généralement ajoutées pour traiter toute infection bactérienne secondaire, ainsi que le budésonide inhalé (un stéroïde). Les stéroïdes oraux sont utilisés à partir du cinquième jour en cas de faiblesse pulmonaire et de l'aspirine ou de la NAC peuvent être ajoutés pour réduire le risque de coagulation. Dans l'interview, McCullough discute de l'utilisation de chacun de ces médicaments et d'autres.

    Un médicament avec lequel je ne suis pas d'accord est l'aspirine à pleine puissance. Je pense qu'une alternative potentiellement meilleure, au moins plus sûre, serait d'utiliser les enzymes lumbrokinase et serrapeptase, car elles aident à décomposer et à prévenir les caillots sanguins naturellement.

    Sources and References

    1 American Journal of Medicine January 2021; 134(1): 16-22
    2 Reviews in Cardiovascular Medicine 2020; 21(4): 517-530
    3 OpenVAERS Data as of November 19, 2021
    4 Journal of the American Heart Association November 18, 2017; 6:e005306
    5 OpenVAERS Adverse Events Reports as of November 19, 2021
    6, 7, 8, 9, 10, 11 European Journal of Epidemiology September 30, 2021
    12 Reddit COVID-19 and Immunity
    13 Science Immunology October 8, 2020; 5(52): eabe0367
    14 BMJ 2021;372:n99
    15 Science February 5, 2021; 371(6529): eabf4063
    16 medrxiv February 8, 2021 DOI: 10.1101/2021.01.15.21249731
    17 medRxiv April 24, 2021 (PDF)
    18 BioRxiv April 29, 2021 DOI: 10.1101/2021.04.28.441880
    19 Immunity June 16, 2020; 52(6): 971-977.E3
    20 Nature 2021; 595: 421-425
    21 E Clinical Medicine 2021; 36: 100902 (PDF)
    22 Cure-hub June 11, 2021
    23 Nature June 14, 2021
    24, 25 Rev Med Virol. 2021;e2260
    26 The Blaze July 14, 2021
    27 News Rescue July 15, 2021
    28, 29 medRxiv January 15, 2021
    30 medRxiv August 17, 2021 DOI: 10.1101/2021.08.16.21262044
    31 EMPR.com February 6, 2020
    32 The Journal of Pediatrics September 2007; 151(3): 266-270.el
    33 Orthomolecular Medicine May 10, 2021
    34 Nutrients October 2021; 13(10): 3596

    https://www.lewrockwell.com/2021/12/joseph-mercola/the-covid-shots-are-killing-people/

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    1. Ils ont plusieurs seringues à la main et vous posent question:

      "Avec laquelle vous préférez mourir ?"

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  15. Le contrôle mental de « formation de masse » est utilisé pour transformer le monde en un état policier totalitaire


    Dimanche 12 décembre 2021
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Le Dr Mattias Desmet, professeur de psychologie à l'Université de Gand en Belgique, a élaboré une thèse qui pourrait expliquer pourquoi tant de personnes acceptent toujours la shamdémie du coronavirus de Wuhan (Covid-19).

    Desmet l'appelle « Mass-Formation », un phénomène dans lequel les individus se détachent tellement de la réalité et des relations saines les uns avec les autres qu'ils finissent par s'accrocher à des idées artificielles qui les relient, mais de manière synthétique.

    En démoralisant la société avec un flot constant de saleté (c'est-à-dire LGBTQ, Hollywood, le terrorisme financier, la religion corrompue), les ingénieurs sociaux ont réussi à rompre les liens qui unissaient la société ensemble. Cela a créé un sentiment de perte chez beaucoup, et ce que Desmet décrit comme « l'anxiété flottante » (FFA).

    «Il doit y avoir beaucoup de personnes socialement isolées ou de personnes qui souffrent d'un manque de lien social», dit Desmet. « Les personnes qui éprouvent un manque de « sensation ». Incapable de tirer des conclusions sensées. »

    "Il y a beaucoup d'anxiété flottante (FFA). Free-Floating parce qu'il n'y a rien à quoi connecter leur anxiété. Pas de point focal. Impossible d'identifier la cause, donc aucun moyen de le gérer. Il y a aussi beaucoup de mécontentement psychologique flottant. Les gens peuvent ressentir leur vie quotidienne comme dépourvue de but ou de sens. »

    Le Covid est devenu l'identité de beaucoup de gens

    La FFA, soutient Desmet, est l'un des phénomènes psychologiques les plus douloureux à vivre, conduisant souvent à des attaques de panique. C'est un état d'esprit confus et flou dans lequel quelque chose cause cette anxiété, mais le cerveau ne sait pas ce que c'est.

    C'est là que la plandémie entre en jeu. Au bon moment, les pouvoirs en place ont déclenché une « crise » qui a donné un objet à l'anxiété sans but des gens. Cela leur a donné un objectif nouvellement découvert : vaincre un « virus » en portant un masque, en restant à l'écart des autres humains et en se faisant « vacciner ».

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  16. « Si une grande partie de la population est disposée à suivre cette stratégie pour faire face à cet objet d'anxiété quel qu'en soit le prix, alors, dans un deuxième temps, les personnes entament une bataille collective et héroïque avec cet objet d'anxiété et, de cette manière, un nouveau type de un lien social émerge, et avec cela un nouveau type de « création de sens » ou d'objectif », dit Desmet.

    « Soudain, la vie est entièrement dirigée vers la lutte contre cet objet d'anxiété. Cela crée un nouveau sentiment de connexion avec les autres dans la formation de masse.

    Tout cela a déjà été fait, il est important de le noter. À la fin des années 1970, la Russie a mis en scène une plandémie qui, tout comme l'actuelle, a été utilisée pour inaugurer un État policier médical.

    Et c'est d'ailleurs la solution finale : s'emparer complètement de la planète et soumettre tous ceux qui y vivent sous un autoritarisme absolu. C'est le but de la plandémie, de la variante « Omicron » (débile) et de tous les autres aspects de cette imposture.

    Parce que de nombreuses personnes se sont attachées à l'idée du virus, toute leur existence et même leur identité dépendent du récit qui l'entoure. Les Covidiens de la Branche sont désormais liés à la fiction, et il n'y a pas lieu d'en détacher certains d'entre eux – probablement jamais.

    "La résistance à comprendre que le récit est faux ou erroné est motivée par la peur de revenir à l'état d'anxiété flottante et de vouloir continuer à vivre l'intoxication mentale", prévient Desmet.

    « Cela explique pourquoi argumenter sur la base de faits ne fonctionnera pas. Les faits ne comptent plus pour eux. Compte tenu des faits, ils sont incapables de tirer des conclusions sensées, même dans leur propre intérêt… La formation de masse est également similaire à l'hypnose de masse en termes de volonté des gens de supporter des choses normalement intolérables.

    Les dernières nouvelles sur la destruction artificielle de la société peuvent être trouvées sur Collapse.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Thomas Casey.Wordpress.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-12-12-mass-formation-mind-control-social-engineering-totalitarianism.html

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  17. La Chine crée des « cochons humanisés » à utiliser dans la recherche sur le COVID


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 12 DÉC 2021 - 17:00


    Dans les années qui ont précédé COVID, le témoignage le plus visible de la mesure dans laquelle Pékin était disposé à pousser ses scientifiques au-delà des limites de ce que la communauté internationale jugeait « acceptable » était ses prouesses en matière d’édition de gènes. Il y a quelques années, un scientifique chinois a choqué le monde, et s'est même retrouvé emprisonné dans son pays d'origine pour avoir donné une mauvaise image du PCC, lorsqu'il a dévoilé les premiers bébés humains génétiquement modifiés au monde. Les jumelles ont vu leur matériel génétique modifié in utero pour les rendre immunisées contre l'infection par le VIH de leur père.

    Nous sommes surpris que cela ne revienne pas davantage lors des discussions sur les efforts scientifiques voyous de Pékin – des discussions qui sont devenues d'autant plus courantes depuis que COVID a fait irruption pour la première fois à Wuhan il y a deux ans.

    Personne ne sait où se trouvent maintenant ces filles génétiquement modifiées (le gouvernement chinois ne le dira pas), mais Pékin a apparemment trouvé un nouveau projet pour ses meilleurs scientifiques en génétique : la plus grande institution de recherche du pays aurait développé des « porcs humanoïdes » mutants qui sont sensibles à la souche humaine du coronavirus en utilisant la première technologie d'édition de gènes au monde.

    Une fois développés, les porcs seront utilisés comme sujets de test alors que les scientifiques testent de nouveaux remèdes en cours de développement pour lutter contre le COVID. Cependant, à ce sujet, le Global Times, l'un des nombreux journaux contrôlés par l'État de Pékin, n'est pas entré dans les détails.

    Une étude publiée en août a montré que les chercheurs de l'Institut de microbiologie de l'Académie chinoise des sciences ont expliqué comment les scientifiques ont utilisé CRISPR, un outil d'édition de gènes, pour supprimer les protections génétiques qui permettent aux porcs de réduire le virus humain. Le projet bénéficie clairement du soutien total du PCC : l'institution de recherche CAS est la plus grande organisation mondiale de ce type et un bras formel du gouvernement chinois.

    Pourquoi des cochons ? Le Global Times, porte-parole du gouvernement chinois, a en fait une explication assez convaincante.

    Les lignées cellulaires et les modèles animaux existants sur les cobayes et certains primates utilisés pour la simulation de l'infection au COVID-19 ne peuvent pas capturer les caractéristiques clés de la physiologie humaine et limitent donc la précision des tests sur l'efficacité des vaccins et des médicaments.

    Nous supposons qu'ils sont aussi bons hôtes que n'importe quel animal de ferme. Ils pourraient même faire d'une pierre deux coups si les porcs inutilisés peuvent ensuite être mangés lors de la prochaine épidémie d'Ebola porcin.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/china-creates-humanized-pigs-be-used-covid-research

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    1. Depuis toujours TOUS les médicaments, vaccins et produits de maquillage contiennent du porc. Maintenant, les porc arabes en Chine ont droit aux gênes des dictateurs de sang royaux ! Hahahaha !

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  18. Quand il n’y a pas d’autre endroit où construire ! L’endroit le plus peuplé de la planète !


    par Aphadolie
    12/12/2021


    Vous avez l’impression que votre appartement est petit et exigu ? Vous n’avez pas assez de mètres carrés ? Alors, bienvenue à Hong Kong.

    - voir clip sur site -

    Elle est considérée comme l’une des villes les plus chères du monde, et environ 50 % de sa population ne vit pas dans les meilleures conditions.

    Hong Kong a recensé 7 520 800 habitants fin 2019. En tant que ville mondiale, Hong Kong compte environ 34 000 résidents de citoyenneté britannique (ils étaient 25 500 en 1996, juste avant la rétrocession) en plus des millions de personnes jouissant d’une nationalité britannique sans citoyenneté (British Nationals (Overseas)), environ 22 000 résidents de nationalité japonaise, environ 60 000 résidents de nationalité américaine, environ 300 000 résidents de nationalité canadienne et entre 18 000 et 20 000 résidents de nationalité française, majoritairement employés par des multinationales ou des entrepreneurs et y vivant avec leurs familles. Le chinois (cantonais et mandarin) et l’anglais sont les deux langues officielles de la ville.

    Hong Kong est la cinquième aire urbaine de Chine (Liste des villes de Chine par nombre d’habitants). Hong Kong est un des territoires les plus densément peuplés avec 6 357 habitants/km2 (la ville abrite le lieu le plus habité la planète : Mong Kok). Près de sept millions d’habitants s’entassent sur 1 092 kilomètres carrés. Si l’on tient compte que, du fait des reliefs, seulement un cinquième du territoire est constructible, la concentration urbaine atteint donc en moyenne plus de 30 000 habitants/km2.

    Quatre grandes familles en situation d’oligopole dominent le marché immobilier : celle de Li Ka-shing — l’homme le plus riche d’Asie — celle de Lee Shau-kee, les frères Thomas et Raymond Kwok et Cheng Yu-tung. À eux cinq, ils représentent 74 % de la production du parc immobilier privé.

    Les pénuries de logements et la spéculation immobilière ont conduit à une augmentation de 430 % des prix depuis 2003. En 2018, le prix du m2 s’élève à 22 000 euros, soit deux fois plus cher qu’à Paris. Paradoxalement, il existe de nombreux logements inoccupés, en raison de la spéculation immobilière. Ces prix sont bien souvent prohibitifs, y compris pour les classes moyennes. Le seul recours reste les logements sociaux, construits par le gouvernement, et dont les prix sont de 40 % inférieur à ceux du privé. Les logements publics sont trop peu nombreux en comparaison de la demande. L’attente pour y devenir locataire est de 4,6 ans pour les candidats prioritaires et de 10 ans pour les autres.

    Source :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Hong_Kong

    https://aphadolie.com/2021/12/12/quand-il-ny-a-pas-dautre-endroit-ou-construire-lendroit-le-plus-peuple-de-la-planete/

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  19. DÈS 2022, LES PRODUITS NEUFS INVENDUS NE POURRONT PLUS ÊTRE DÉTRUITS


    par ANTON KUNIN
    13/12/2021


    Selon une étude publiée par l'Ademe en novembre 2021, 280 à 300 millions d'euros d'invendus sont éliminés chaque année en France.

    C’est le 1er janvier 2022 qu’entre en vigueur en France l’interdiction d’incinérer de nombreux types de produits neufs que les distributeurs n’ont pas pu écouler.

    L’interdiction de destruction d’invendus, une exigence inspirée par des révélations récentes
    La mise au grand jour par les médias, ces dernières années, des pratiques de grands acteurs de la distribution consistant à incinérer des produits neufs qu’ils n’ont pas pu vendre a ému l’opinion. En 2017, on apprenait que le géant de la mode suédois H&M incinérait une dizaine de tonnes d'habits par an. Puis, en 2019, l’émission Capital de M6 révélait qu’Amazon détruisait au moins 3 millions d’invendus par an rien qu’en France.

    La secrétaire d'État à la Transition écologique de l’époque, Brune Poirson, avait tout de suite réagi en assurant : « Dans les mois à venir, une loi va passer au Parlement qui va interdire ce type de pratique ». C’est donc chose faite : la loi du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l'économie circulaire pose une série d’exigences, chacune entrant en vigueur à une échéance donnée. Le 1er janvier 2022, c’est donc le tour de l’interdiction de détruire les invendus.

    Responsabilité élargie du producteur : dès 2022, il sera interdit de détruire les produits invendus
    Le décret d’application instaurant cette mesure n’est pas encore paru, certes. Le ministère de la Transition écologique promet cependant de le publier le 1er janvier 2022. La liste des types de produits pourrait donc évoluer d’ici-là, mais d’après le ministère, seront concernés les familles de produits couvertes par un régime REP (responsabilité élargie du producteur), à savoir les vêtements et chaussures, les produits électriques et électroniques, les meubles, les produits d'hygiène et de puériculture, les équipements de conservation et de cuisson des aliments, les produits d'éveil et de loisirs, les livres et les fournitures scolaires. Dans un deuxième temps, au 1er janvier 2024, il est prévu d’interdire la destruction de l’intégralité des types de produits.

    Les distributeurs devront donc en priorité donner leurs invendus à des associations de lutte contre la précarité et des structures de l’économie sociale et solidaire. Si cela n’est pas possible, en dernier recours, ils devront faire recycler leurs invendus. On peut imaginer que le don pose problème surtout aux marques de vêtements. Le législateur estime néanmoins que cette nouvelle obligation incitera les industriels à mieux gérer leurs stocks et éviter les surplus de production.

    http://www.economiematin.fr/news-interdiction-destruction-invendus-elimination-incineration-loi

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    1. Mesdemoiselles ou mesdames vous allez accouchez ? RETENEZ-VOUS JUSQU'EN 2022 !!
      Votre enfant tout neuf ne pourra pas être inoculé !!!

      C'est la lutte contre le gaspillage !

      (...) seront concernés les familles de produits couvertes par un régime REP (responsabilité élargie du producteur) (...)

      (...) les produits d'éveil et de loisirs, (...)

      Ne jetez plus vos gosses ! (çà peut encore servir !).

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  20. Pékin arme-t-il votre ADN ?


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 13 DÉC 2021 - 23:00
    Rédigé par James Gorrie via Epoch Times,


    Pourquoi une entreprise américaine de traitement d'ADN partage-t-elle l'ADN des Américains avec la Chine ? La réponse est stupéfiante...

    Si vous avez subi un test COVID-19, il est fort possible que les membres du Parti communiste chinois (PCC) et de l'Armée populaire de libération (APL) aient votre ADN.

    Si tel est le cas, ils en savent probablement plus sur votre santé et vos vulnérabilités ADN que vous. Les implications de cela sont pour le moins inquiétantes.

    La société chargée d'effectuer les tests COVID-19 est Fulgent Genetics, une entreprise nationale de séquençage de l'ADN et de tests de maladies. Selon le site Web de l'entreprise, sa mission déclarée est de « développer des tests génétiques flexibles et abordables qui améliorent la vie quotidienne de ceux qui nous entourent ».

    Apparemment, nous devons croire que Fulgent Genetics est là pour améliorer toutes nos vies.

    Liens profonds avec la Chine

    Le 29 novembre, le bureau du shérif du comté de Los Angeles a envoyé une lettre au conseil des superviseurs du comté de Los Angeles. Cette lettre indiquait que le département du shérif du comté de Los Angeles ne participerait pas aux tests COVID-19 avec Fulgent Genetics.

    La lettre expliquait que la direction des armes de destruction massive du Federal Bureau of Investigations (FBI) avait averti le bureau du shérif Alex Villanueva du risque que des échantillons d'ADN, provenant des tests COVID-19 que Fulgent Genetics devait fournir, seraient "probablement partagés avec la République de Chine.

    Villanueva a également déclaré lors d'un point de presse que « Fulgent avait des liens étroits avec BGI, WuXP et Huawei Technology, qui sont tous liés à l'Académie chinoise des sciences médicales, au Conseil d'État de la République populaire de Chine et sont sous le contrôle de la RPC. . "

    Les questions abondent
    Plusieurs questions me viennent à l'esprit. Qui ou qu'est-ce que la société Fulgent Genetics ?

    Pourquoi une entreprise américaine souhaiterait-elle fournir des échantillons d'ADN américains ?

    Pourquoi diable la Chine voudrait-elle même des échantillons d'ADN d'Américains ?

    Dans quel but ?

    Combien d'échantillons d'ADN américains ont-ils déjà ?

    Et surtout, qu'est-ce que notre ADN a à voir avec les préoccupations du FBI concernant les armes de destruction massive (ADM) en provenance de Chine ?

    Les réponses à ces questions et à d'autres sur le sujet des pires scénarios dystopiques sont discutées ci-dessous. Mais d'abord, quelques informations sur Fulgent Genetics.

    Qui est Fulgent Genetics ?

    La société a été fondée en 2011 par Ming Hsieh, président du conseil d'administration, président et chef de la direction, et James Xie, chef de l'exploitation. Hsieh est administrateur de l'Université Fudan en Chine depuis 2011. Xie a obtenu son baccalauréat en ingénierie de l'Université de Chongqing en Chine en 1987. Sans surprise, les deux hommes ont des liens étroits avec la Chine.

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  21. Et apparemment, Fulgent a partagé l'ADN des Américains d'un océan à l'autre avec la Chine. Comme indiqué dans la déclaration de Villanueva, ce n'est pas la seule société mandataire de l'APL engagée dans la récolte du matériel génétique des Américains. Il y en a d'autres aussi, et des millions et des millions d'ADN de personnes d'Amérique et de nombreux autres endroits dans le monde ont été envoyés en Chine.

    C'est là que les choses deviennent très sombres dans le département des armes de destruction massive. La Chine veut créer une ADM de guerre biologique qui cible votre ADN.

    Une nouvelle ère sombre de la guerre biologique est arrivée

    La guerre biologique n'est pas une nouveauté ; il a été utilisé tout au long de l'histoire. Au 4ème siècle avant JC, les archers scythes ont infecté leurs flèches en les plongeant dans des corps en décomposition. Au 14ème siècle, les Tartares ont catapulté des cadavres infectés par la peste dans les lignes de leurs ennemis lors du siège de Kaffa. Et pendant la Seconde Guerre mondiale, l'armée impériale japonaise a bombardé les villes chinoises avec des puces chargées de peste.

    Mais ces formes de guerre biologique « à l'ancienne » sont un jeu d'enfant par rapport à la dernière technologie d'armes biologiques à base d'ADN qui tire parti de l'intelligence artificielle (IA) et de la génomique. Nous entrons dans une ère nouvelle et très risquée.

    Guerre biologique et manipulation de l'ADN
    Tout comme l'IA et la génomique permettent la manipulation de l'ADN pour aider le corps humain à combattre toutes sortes de maladies, cette même technologie peut également être utilisée pour créer des agents pathogènes uniques qui n'affectent que des personnes spécifiques. Les armes spécifiques à l'ADN peuvent cibler une race, un sexe ou même une famille ou un individu avec une structure d'ADN spécifique.

    Ce n'est pas seulement une possibilité, c'est une probabilité, si ce n'est déjà une réalité. De plus, du moins en théorie, il n'y a pas de retour de flamme aux armes biologiques spécifiques à l'ADN, car elles ne nuisent qu'aux personnes ayant des caractéristiques ADN spécifiées. L'accès de la Chine à l'ADN des Américains est incontestablement un problème de sécurité nationale.

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  22. Les États-Unis contre la Chine dans la « course à la mort 2035 »

    Certaines estimations indiquent que le ou les vainqueurs de la course aux armements biologiques seront déterminés d'ici 2035. Cela pourrait bien être beaucoup plus tôt. Dans la course à la création d'armes biologiques hautement efficaces, ciblées et mortelles, les États-Unis et la Chine sont au coude à coude. Les deux pays ont investi beaucoup d'argent dans l'IA et la génomique. Chacun veut prendre les devants dans la création de ces super armes biologiques à base d'ADN.

    Comme pour toutes les courses aux armements, quelle que soit la nation qui développe la capacité de lancer une attaque biologique sans crainte de retour de flamme, elle sera en position de force. Pas une image heureuse, mais c'est la réalité.

    Mais il ne suffit pas de pouvoir lancer une attaque biologique mortelle, très ciblée ou même ADM. La survie d'une nation dépend aussi de sa capacité à se défendre contre elle. Comme la stratégie de représailles nucléaires (capacité de deuxième frappe) est destinée à dissuader une première frappe, la capacité de représailles d'une nation en matière de guerre biologique peut être un facteur critique pour dissuader de telles attaques.

    Malheureusement, l'IA et la génomique facilitent la création de milliers d'agents pathogènes mortels génétiquement modifiés. D'un autre côté, immuniser des populations entières, ou même un petit nombre de personnes, contre des milliers d'agents pathogènes nouvellement créés est impossible ; du moins en ce moment.

    La technologie de guerre biologique devient virale

    Comme on pouvait s'y attendre, la diffusion rapide de l'information elle-même est un problème. Internet a rendu impossible la dissimulation de la plupart des secrets. Si une technologie existe, au juste prix, elle sera mise à disposition des méchants. Ou, dans le cas de l'APL et de la communauté scientifique chinoise, il sera développé et - si l'expérience actuelle avec le virus CCP est un indicateur - déployé intégralement.

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  23. Cette réalité n'augure rien de bon pour limiter l'accès et l'utilisation d'une nouvelle et dangereuse arme biologique par la Chine ou tout autre adversaire des États-Unis. Si Fulgent et d'autres aident la Chine à développer des agents pathogènes ciblés par l'ADN contre les Américains, il n'y a pas de réponses faciles à une telle menace, et il n'y en a pas non plus de bonnes. Mais saisir tous les matériaux, données et actifs, et poursuivre ces entreprises serait un début.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/beijing-weaponizing-your-dna

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