- ENTREE de SECOURS -



vendredi 10 décembre 2021

Suède et Allemagne : aucun décès d'enfants à cause du COVID

 

PAR TYLER DURDEN

VENDREDI 10 DÉC 2021 - 06:30

Rédigé par Paul Elias Alexander via le Brownstone Institute,


La décision des parents de vacciner leur enfant contre le Covid est vraiment une question de gestion des risques.

Les parents doivent sérieusement considérer que le Covid-19 est une maladie moins dangereuse pour les enfants que la grippe.

Cela s'est avéré être le cas et de manière assez stable près de 20 mois maintenant.

Les enfants n'acquièrent pas facilement cet agent pathogène, ne se transmettent pas à d'autres enfants, ne se propagent pas aux adultes, ne l'emportent pas chez eux, tombent gravement malades ou en meurent. C'est aussi simple que cela. Nous savons que les enfants ont tendance à ne pas transmettre le virus Covid-19 et que le concept de propagation asymptomatique a été sévèrement remis en question, en particulier pour les enfants.

Les enfants, s'ils sont infectés, ne propagent tout simplement pas Covid-19 aux autres, que ce soit à d'autres enfants, à d'autres adultes de leur famille ou autre, ni à leurs enseignants. Cela a été démontré avec élégance dans une étude réalisée dans les Alpes françaises. La littérature pédiatrique est une science claire à ce sujet. Des données écrasantes montrent que le fardeau des maladies graves ou des décès associés au SRAS-CoV-2 chez les enfants et les adolescents est très faible (statistiquement nul).

Les données suédoises de Ludvigsson ont fait état des 1 951 905 enfants en Suède (au 31 décembre 2020) âgés de 1 à 16 ans qui fréquentaient l'école sans pratiquement aucun confinement ni masque. Ils ont trouvé zéro (0) décès.

« Bien que la Suède ait maintenu les écoles et les écoles maternelles ouvertes, nous avons trouvé une faible incidence de Covid-19 grave chez les écoliers et les enfants d'âge préscolaire pendant la pandémie de SRAS-CoV-2. »

Une étude allemande récente (rassemblant des preuves provenant de trois sources 1) une étude nationale de séroprévalence (l'étude SARSCoV-2 KIDS), 2) le système de notification statutaire allemand et 3) un registre national sur les enfants et les adolescents hospitalisés avec le SRAS-CoV-2 ou le syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique (PIMS-TS)) ont signalé qu'il n'y avait eu aucun (0) décès chez les enfants de 5 à 18 ans au cours de la période d'étude.

Les gouvernements et les responsables de la santé publique sont à l'origine de cette pandémie de peur et de propagande. Mais les parents désireux d'évaluer cela uniquement à partir d'un rapport bénéfice/risque pourraient se demander : « Si mon enfant présente peu ou pas de risque, un risque proche de zéro de séquelles graves ou de décès, et donc aucun bénéfice du vaccin, il pourrait pourtant y avoir des dommages potentiels et des méfaits encore inconnus du vaccin (comme déjà signalés chez les adultes qui ont reçu les vaccins), alors pourquoi devrais-je soumettre mon enfant à un tel vaccin ?

Et en présence des risques potentiels, ainsi que du fait qu'un vaccin contre le Covid-19 n'est tout simplement pas indiqué chez les enfants, pourquoi un parent permettrait-il à son enfant de se faire vacciner avec des vaccins encore expérimentaux ? Les enfants doivent vivre normalement, librement et s'ils sont exposés au SRAS-CoV-2, nous pouvons être assurés que dans la grande majorité des cas, ils n'auront que des symptômes bénins tout en développant une immunité naturellement acquise et sans danger ; une immunité nettement supérieure à celle qui pourrait être provoquée par un vaccin.

L'immunité innée chez les enfants qu'ils accompagnent et qui fonctionne pour les protéger fonctionnera ici et a fonctionné à merveille ici (anticorps innés et cellules NK, ainsi que d'autres composants du compartiment immunitaire inné). Cette approche accélérerait également le développement de l'immunité collective dont on a tant besoin et sur laquelle on a beaucoup écrit.

En plus des préoccupations liées aux séquelles immédiates ou à long terme des nouveaux vaccins à ARNm chez les enfants, des données claires suggèrent que les vaccins pourraient ne pas être aussi efficaces contre l'infection et se propager qu'initialement rapporté.

Nous avons également des rapports sur les anticorps vaccinaux fonctionnant pour supprimer les anticorps innés (potentiellement dévastateurs pour les enfants qui en dépendent comme première ligne de défense) et les surpassant étant donné que les anticorps vaccinaux sont spécifiques et ont une grande affinité pour leur antigène, tandis que les anticorps innés sont non spécifique et de faible affinité. C'est un énorme problème, surtout si l'immunité vaccinale l'emporte sur les anticorps immunitaires naturellement acquis, etc.

Alors pourquoi nous précipitons-nous pour vacciner nos enfants ? Drs. Fauci du NIAID, Walensky du CDC et Francis Collins du NIH sont ici imprudents avec les développeurs de vaccins, par ex. Pfizer et Moderna, car ils savent que ces vaccins manquent de tests de sécurité appropriés et nous ne savons pas ce qui arrivera aux enfants à long terme.

Il s'agit vraiment de décisions de gestion des risques que nous, en tant que personnes libres (en tant que parents), sommes vraisemblablement autorisés à prendre aux États-Unis. Il ne s'agit pas seulement de science. N'oubliez pas non plus que les enfants ne peuvent pas donner un consentement éclairé approprié, par ex. un enfant de 8 mois, un enfant d'un an.


C'est une question éthique très importante. Le taux de mortalité chez les enfants, par ex. moins de 12 ans, est aussi proche de zéro que possible. Aucune des politiques de verrouillage et de fermeture des écoles n'a fonctionné et toutes ont échoué avec des dommages écrasants pour les populations.

Nous avons masqué nos enfants, fermé des écoles, verrouillé, provoqué une vague de suicides chez les adultes ainsi que chez nos enfants en raison de ces politiques, et maintenant nous cherchons à vacciner les enfants avec un vaccin pour lequel nous n'avons pas de données sur le long terme nuit. Peut-on se demander pourquoi il y a une perte de confiance et pourquoi les parents pourraient être réticents à se conformer à tous les décrets émis par les gouvernements concernant la santé ?

https://www.zerohedge.com/covid-19/sweden-germany-no-deaths-children-due-covid

30 commentaires:

  1. La question est: Pourquoi les enfants ne sont-ils pas porteurs de 'covide19' ?

    PARCE QU'IL N'EXISTE QU'EN SERINGUES !!!

    Et, comme les enfants ne sont pas piqués... (et leurs parents certainement pareil qu'eux !)

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  2. Station SSCA: uniformiser la gestion du passeport vaccinal pour la sécurité de tous


    Marie-Soleil Brault
    Le Soleil
    9 décembre 2021 9h00


    Les bornes de validation automatique du passeport vaccinal sont en route pour devenir la norme au Québec. Les raisons sont multiples : donner un vent de répit au personnel, standardiser les mesures de contrôle sanitaires et pallier la pénurie de main-d’œuvre. Et la jeune pousse québécoise, Station SSCA, a pris les devants : installée dans une trentaine d’entreprises et d’organismes publics, dont le CIUSSS de l’Est-de-l’Île-de-Montréal, elle prévoit aussi faire sa place au CIUSSS du Québec.

    Station sanitaire à contrôle d’accès (SSCA) a déjà introduit dans la province une centaine de bornes pour faciliter le quotidien des travailleurs. Parmi ses clients : le Centre Bell, le Drakkar de Baie-Comeau, Rodeo FX, ainsi que trois résidences pour personnes âgées (RPA), dont le Marronnier, à Laval.

    Présidente de l’entreprise, Elisabeth Nadeau a fait sa carrière en tant qu’infirmière auxiliaire spécialisée en pharmacologie, pour ensuite bifurquer vers les soins médico-esthétiques. Une industrie dans laquelle certaines brèches au niveau de l’hygiène l’ont poussé à conceptualiser une solution pour automatiser le circuit d’aseptisation dans les cliniques d’esthétique.

    Toutefois, lorsque la pandémie a sonné, les priorités ont changé : la santé a pris le dessus sur la beauté. Mme Nadeau a donc décidé d’appliquer la logique du circuit automatisé pour inclure les protocoles sanitaires et le VaxiCode.

    Gally-Code

    Que ce soit dans une RPA, un centre événementiel ou pour une grande entreprise, les étapes sont créées pour isoler les travailleurs le plus possible du mécontentement de certains clients, mais surtout, pour rediriger le personnel où il sera le plus utile, indique la présidente.

    En premier lieu, les gestionnaires développent un questionnaire selon leur établissement. Une question, deux boutons : oui ou non. Si la réponse est conforme, la prochaine apparaît et ainsi de suite.

    Si une des réponses n’est pas conforme, l’accès est immédiatement refusé. Le gestionnaire et la réceptionniste en seront notifiés.

    Êtes-vous accompagné de personnes d’une même bulle? Avez-vous des symptômes? Si toutes les réponses respectent les conditions émises par le gestionnaire en place, le visiteur sera ensuite redirigé vers une borne Gally-Code, où il validera son passeport vaccinal.

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  3. La borne peut être reliée directement aux portes. Si le passeport est valide, ces dernières s’ouvriront automatiquement. En temps réel, la personne chargée des vérifications recevra une notification et pourra ensuite confirmer le tout avec une carte d’identité.

    Entreprises et résidences
    En RPA, la station sanitaire à contrôle d’accès permet de mieux gérer les bulles familiales, ce qui d’ailleurs, souligne Mme Nadeau, est tout un casse-tête pour la réceptionniste.

    Il est standard pour les RPA de garder un registre des visites, mais en format papier, «qui doit être informatisé à la fin de la journée et prend du temps aux réceptionnistes», précise la présidente.

    L’automatisation du circuit permet donc de protéger «au maximum la réceptionniste de tout le chialage qu’elle a a subir et de libérer la charge, mais aussi de réduire le risque de contagion causé par la proximité lors des vérifications».

    Même son de cloche pour les entreprises. Toutefois, Mme Nadeau ajoute que Station SSCA développe actuellement une méthode pour segmenter l’information recueillie dans le registre. D’un côté, les données personnelles comme le nom, le prénom, le sexe et la date de naissance ne seront accessibles qu’à la Santé publique, en cas d’infection.

    De l’autre côté, certaines informations sont importantes pour des commerces, remarque-t-elle. Le registre permet de connaître les groupes d’âge et sexe de la clientèle, mais aussi les heures d’achalandage pour mieux adapter l’horaire avec le personnel. Cependant, le détenteur d’une borne Gally-Code n’aura pas accès directement à ces données.

    Et ce, «pour essayer de garder le plus possible les informations confidentielles, assure-t-elle. Donc au lieu de dire, Elisabeth Nadeau, 39 ans, ce serait plutôt une personne du groupe “femme, 30 à 40 ans”.»

    «En étant capable d’avoir un registre précis, de qui a été là de telle heure à telle heure, on peut garder l’information confidentielle à ce groupe de personnes. La Santé publique pourra me dire à quel moment la personne est venue et il sera possible d’exporter exactement les noms des personnes touchées lors de cette période», explique-t-elle.

    Les données sont stockées dans des serveurs hébergés au Québec, chez Google Cloud. Le processus a aussi été validé par la sécurité informatique du CIUSSS de l’Est-de-l’Île-de-Montréal, confirme Mme Nadeau.

    La Station SSCA peut également être employée avec les achats en ligne. Lors de l’acquisition d’un billet, si les informations sont identiques à la lettre avec le passeport vaccinal, la transaction va pouvoir être conclue. «Quand je vais aller chercher mon billet, ou l’utiliser, je n’aurai qu’une pièce d’identité à présenter», indique-t-elle.

    L’avantage : sauver du temps d’attente aux événements ou lors de visites. «On passe trois personnes avec Gally-Code pour une personne avec VaxiCode Vérif», confirme la présidente.

    L’entreprise prévoit aussi trouver un distributeur pancanadien afin de s’exporter à l’international.

    https://www.lenouvelliste.ca/2021/12/09/station-ssca-uniformiser-la-gestion-du-passeport-vaccinal-pour-la-securite-de-tous-e36cef4b080ff27c6487a5ac61e6f15a?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#Echobox=1639105192

    https://conscience-du-peuple.blogspot.com/2021/12/borne-de-scan-au-quebec.html

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    1. Le monde de l'horreur se découvre au Québec !
      Les infectés (donc: inoculés) passent au vert et entre aux magasins !

      Les personnes saines de corps et d'esprit (refusant la piqûre létale) restent dehors !!

      Des personnes inoculées pensent encore qu'elles ont besoin de leur téléphone sur elle alors qu'elles peuvent passer devant la borne sans ! Pourquoi ? Parce que les inoculés sont porteurs de puces (que relaient les nano-particules d'oxyde de graphène) et sont donc des 'téléphones ambulants' (qui reçoivent des messages/des ordres sans le savoir).

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  4. L’institut Curie appelle la BAC pour empêcher une cancéreuse non-vaccinée d’entrer dans ses locaux – Témoignage choc de Stéphanie


    par Aphadolie
    10/12/2021


    - voir clip sur site -

    Les hôpitaux publics réservent-ils un traitement inhumain aux malades non-vaccinés ? Voici le témoignage-choc de Stéphanie, victime d’un cancer agressif du sein à 33 ans, abandonnée pendant 4 heures dans le froid parce que le test qu’elle présentait était périmé depuis quelques heures seulement, faute d’avoir pu obtenir une ordonnance dans les temps.

    Pour l’empêcher d’entrer dans ses locaux, l’institut Curie a fait intervenir la Brigade Anti-Criminalité.

    La vaccination a-t-elle rendu les soignants vaccinés inhumains ?


    Par : Éric Verhaeghe


    L’institut Curie a la réputation d’un établissement de pointe qui soigne des cancers « compliqués ». Cette utilité sociale lui vaut une bonne image. Mais l’irruption de la vaccination obligatoire pousse-t-elle cette honorable institution à une inhumanité tout à fait inattendue vis-à-vis des non-vaccinés ? Nous publions aujourd’hui le témoignage-choc de Stéphanie, « soignée » à l’institut Curie, dans les conditions qu’elle nous explique.

    L’interview de Stéphanie sur l’inhumanité de l’Institut Curie, nous pouvions bien entendu la « prendre » de façon très analytique, très intellectuelle, en dénonçant pour la énième fois la rupture d’égalité (d’aucuns diraient la ségrégation) dont les non-vaccinés sont victimes jusque dans les hôpitaux. Mais nous avons considéré qu’un traitement aussi froid et aussi distant ne ferait pas honneur à la leçon de vie que Stéphanie nous a donnée pendant une demi-heure en parlant de son cancer, de ses souffrances, et du tourment inutile créé par cette démente histoire de passe sanitaire dont les chiffres officiels montrent chaque jour un peu plus l’absurdité.

    Le Covid tue-t-il plus que le cancer ?

    Mais nous avons estimé qu’un point de vue aussi abstrait ne rendait pas suffisamment compte de l’interview de Stéphanie. Pendant trente minutes, cette jeune patiente de 33 ans, qui a appris sa maladie au mois de mai, nous a donné une très impressionnante leçon de vie, de volonté, de combativité, et d’optimisme. Elle nous a parlé de tout sans tabou, et elle s’est confiée.

    Elle doit, demain, entrer à l’hôpital pour subir une ablation du sein. Nous sommes de tout cœur avec elle. Mais au lieu de lui garantir une sérénité optimale durant son combat contre la maladie, Emmanuel Macron et Olivier Véran ont décidé de lui compliquer la tâche en exigeant d’elle qu’elle soit vaccinée, sous peine de devoir multiplier à l’infini les tests de dépistage.

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  5. Comme elle le fait elle-même remarquer, cette obsession de dépister le Covid chez les non-vaccinés est une aberration, dans la mesure où les soignants qui lui demandent de se faire vacciner n’ont aucun scrupule à sortir dans la boulangerie d’à côté avec leur blouse blanche qu’ils contaminent allègrement et ramènent leurs courses sans aucun protocole particulier dans les locaux même où des cancéreux sont pris en charge. Pourquoi les non-vaccinés font-ils l’objet d’une surveillance renforcée, alors même que les vaccinés, qui peuvent être contagieux, n’ont aucune obligation de test ?

    Au fond, tout se passe comme si, dans notre société, on partait du principe que le Covid est plus dangereux que le cancer… C’est la fameuse théorie selon laquelle un malade du cancer doit surtout être surveillé pour une potentielle affection au Covid…

    L’inhumanité des vaccinés apparaît au grand jour

    Donc, sous prétexte qu’un cancéreux n’est pas vacciné, on lui cherche des poux dans la tête. On lui demande avec une rigidité inhumaine et absurde, de fournir des tests à la pelle, sans tenir compte des conséquences de ces demandes abusives sur sa santé, y compris sa santé mentale. On rajoute du tracas à l’angoisse.

    Au point où l’honorable Institut Curie fait intervenir la brigade anti-criminalité contre une cancéreuse qui présente un test périmé depuis… quelques heures seulement. Sans tenir compte de la fatigue que procurent des déplacements longs depuis le domicile jusqu’au centre de soins, ou jusqu’aux cabinets médicaux qui prescrivent ces tests incessants.

    Dans quel gouffre moral sommes-nous tombés pour que des médecins qui ont prononcé le serment d’Hippocrate fassent intervenir une brigade anti-criminalité contre l’une de leurs patientes atteintes d’une affection grave dont la seule faute est de ne pas être vaccinée ? Est-ce cela, la médecine « inclusive », la « protection » que l’État prétend nous apporter contre la maladie ?

    Une belle leçon d’humanité

    Nous voulions remercier tout spécialement Stéphanie dans le combat courageux et très digne qu’elle mène contre la maladie. Elle nous a donné une très belle leçon de vie. Nous laissons chacun se forger une doctrine sur ce sujet. Mais nous tenions tout particulièrement à la laisser s’exprimer : ses mots se passent largement, selon nous, de commentaires.

    Et nous voulions lui assurer tout notre soutien en espérant que les vaccinés reviendront à la raison, abandonneront leur aveuglement de taliban, et retrouveront la voie des bonnes vieilles valeurs de tolérance qui ont fait la beauté de ce pays.

    Et puisque nous sommes dans les vœux pieux, nous adorerions qu’ils relisent les controverses médicales sur la compatibilité entre vaccin et cancer. Car, à ce jour, il n’existe pas de consensus scientifique de bonne foi sur l’intérêt d’être vacciné quand on souffre d’un cancer.

    https://aphadolie.com/2021/12/10/institut-curie-bac-cancereuse-non-vaccinee/

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  6. L’IHU de Didier Raoult annonce avoir découvert un nouveau variant du Covid-19


    10 déc. 2021, 10:21


    Dans un tweet publié le 9 décembre, l'institut hospitalo-universitaire dirigé par Didier Raoult a annoncé avoir identifié un nouveau variant du coronavirus. Pour l'instant, aucune information supplémentaire n'a été divulguée. Le 9 décembre, l'IHU de Marseille a indiqué sur Twitter avoir détecté un nouveau variant du Covid-19, qui serait issu de patients de Forcalquier dans les Alpes-de-Haute-Provence.

    Baptisé «variant IHU», il a été déposé sur le réseau GISAID (Global initiative on sharing avian influenza data), réseau de partage de données scientifiques, sous le nom de «B.1.640.2». Lire aussi Selon l'OMS, il n'y a «aucune augmentation de la sévérité» des symptômes avec le variant Omicron Pour l’instant, l'IHU dirigé par le professeur Didier Raoult n'a pas communiqué d'autres informations sur ce variant qui s'ajoute à la longue liste des «versions» du virus identifiées jusqu'à présent.

    Les nouveaux variants ne sont pas forcément plus menaçants que leurs prédécesseurs : après avoir suscité de fortes inquiétudes, voire la panique, le variant Omicron ne semble en effet pas, selon les données actuelles, causer de formes plus sévères de la maladie.

    Mis en cause par un article de Mediapart en novembre, puis par une enquête interne pour plusieurs infractions à la déontologie dans sa promotion de l'hydroxychloroquine comme traitement contre le Covid-19, le professeur Didier Raoult a écopé d'un «blâme» le 3 décembre, sur décision de de l'Ordre des médecins de Nouvelle-Aquitaine.

    «Une décision de préservation de paix sociale qui témoigne du ridicule des accusations théâtrales de l’Ordre des médecins !», s'était défendu son avocat Fabrice Di Vizio. A la retraite depuis fin août 2021 en tant que professeur d'université praticien hospitalier, il devrait quitter la direction de l'IHU au plus tard fin juin 2022.

    https://francais.rt.com/france/93522-ihu-didier-raoult-annonce-avoir-decouvert-nouveau-variant-covid-19

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    1. Chaque piqûre de maladies différentes apporte son lot de déploiements et de recombinaisons. Les personnes inoculées sont donc amenées à fabriquer elles-mêmes ces 'nouveaux-bébés-monstres' ou hydres comme le relatait le Dr Andreas Noak.

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  7. Poutine fait preuve d'une certaine retenue quant à la loi sur les QR Codes


    vendredi 10 décembre 2021
    Karine Bechet-Golovko à 10:43


    La force et la profondeur de la réaction - négative - à l'égard de l'introduction des QR Codes en Russie ne cesse de grandir. Il ne s'agit pas que de réactions dans les réseaux sociaux, mais ce qui est beaucoup plus important, dans la vie réelle, quotidienne. Lors de son entretien annuel avec le Conseil des droits de l'homme hier, le Président russe a fait preuve d'une certaine retenue quant à l'application des lois sur les QR Codes en Russie : s'il ne remet pas en cause le principe, il reste très prudent quant à leur utilisation, rappelant qu'il ne doit s'agir "que" d'une loi-cadre.

    Les réactions négatives contre les QR Codes ne faiblissent pas en Russie. Deux exemples pour illustrer un phénomène de rejet, qui se généralise de plus en plus. L'on parle beaucoup de la réaction politique des élus communistes, mais elle ne fait que refléter la position de la population.

    Ainsi, à Barnaoul, centre administratif de la région de l'Altaï, les centres commerciaux ont décidé d'eux-mêmes, allant ouvertement contre le décret du Gouverneur local, de ne pas contrôler les QR Codes, non seulement à l'entrée, mais dans les magasins des centres à toute étape de la promenade et de l'achat. Et non seulement de facto ils le font, mais en plus ils l'affichent et ainsi l'affirment.

    A Moscou, voulant faire preuve d'un progressisme à toute épreuve, le Recteur de l'Université des sciences techniques Baumanka, l'une des plus réputées de Russie, avait instauré les QR Codes pour les étudiants. Il faut préciser que le ministère de la recherche n'a pas voulu prendre la responsabilité politique d'une mesure aussi impopulaire et le 2 novembre a adopté un décret ordonnant aux directeurs d'établissements du supérieur de s'appuyer sur les recommandations de Rospotrebnadzor (qui ne sont pas des actes normatifs) pour décider eux-mêmes comment "lutter contre le coronavirus". Les étudiants de Baumanka ont estimé que les QR Codes portent atteinte à leur dignité et se sont révoltés contre eux, la révolte regroupant vaccinés et non-vaccinés. Après une rencontre avec le Recteur le 6 décembre, avec parents et étudiants, celui-ci a promis d'annuler la ségrégation des étudiants fondée sur les QR Codes et de laisser l'accès à l'enseignement supérieur à tous. Le Conservatoire, qui a eu cette tentation aussi, l'a annulée encore plus rapidement, il faut dire que la réaction des enseignants et des étudiants a été sans appel.

    Bref, l'introduction des QR Codes en Russie ne pourra se faire que par la force. Mais est-dans l'intérêt du pouvoir, d'autant plus que ces mesures ne sont pas justifiées sur le plan sanitaire, comme cela est déjà démontré ?

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  8. Hier, Poutine s'est entretenu avec les membres du Conseil des droits de l'homme, qui s'inquiètent des détails techniques de ces mesures, sans bien entendu en remettre en cause le principe. Le Président non plus ne remet pas en cause le principe des QR Codes, mais le discours devient plus prudent :

    "Il faut être très prudent lors de l'adoption de ces décisions. Avant d'adopter des restrictions liées à l'utilisation des moyens de transport, il faut comprendre sur quoi cela va déboucher. Et vérifier si le système de transport est prêt, afin de ne pas limiter les droits des gens, mais garantir en même temps la sécurité et protéger la santé de ces personnes, dont nous nous soucions tant."

    Limiter l'accès aux transports sans porter atteinte aux droits des gens est impossible, imposer des QR Codes pour accéder à l'espace public est en soi une ségrégation et donc en soi constitutif d'une atteinte aux droits des gens, que rien ne peut jamais justifier dans une société humaniste.

    En plein covidisme conquérant, l'on notera au moins un infléchissement du discours public, qui laisse enfin entrer un peu d'espoir, ou tout au moins l'ombre d'un espoir.

    http://russiepolitics.blogspot.com/2021/12/poutine-fait-preuve-dune-certaine.html

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    1. Aujourd'hui on ne se vaccine plus, on se suicide.
      Le suicide volontaire s'appelle 'Expérimentation génique d'essais' où les trisomiques testent la piqûre létale pour tous.
      Bon débarras.

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  9. Doctothon : 300 docteurs s’exprimeront ce vendredi sur la crise sanitaire pendant 24 h

    Image illustrée d'une... étoile jaune !!
    C'est tout dire sur les invités !

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/doctothon-300-docteurs-vendredi-10

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  10. Liste noire : les 105 médicaments qu'il faut écarter selon la revue Prescrire

    Les médicaments qu'il vaut mieux éviter de prendre.


    le 10/12/2021 à 08:42



    Chaque année, Prescrire liste des centaines de noms de molécules que la revue conseille de ne pas utiliser pour se soigner.

    Entre efficacité et effets indésirables, il faut parfois choisir. Mais quand la balance penche plus sur les effets négatifs que positifs, il vaut mieux être au courant, surtout en matière de santé.

    C'est le but du bilan publié chaque année par la revue Prescrire qui liste les médicaments qu'il vaut mieux éviter de prendre.

    Pour 2022, la liste noire mise à jour révèle 105 références.

    "Des médicaments plus dangereux qu'utiles"
    "Fin 2021, parmi les médicaments analysés par Prescrire entre 2010 et 2021 et autorisés en France ou dans l'Union européenne, ont été recensés 105 médicaments plus dangereux qu'utiles dans toutes les indications figurant dans leur autorisation de mise sur le marché, dont 89 sont commercialisés en France", précise les auteurs de la liste.

    Dans la balance bénéfices-risques, voici la liste (non-exhaustive) des molécules qu'il est conseillé d'éviter.

    La fenfluramine, un médicament ajouté à la liste de l'an dernier
    La revue fait ressortir la fenfluramine, ce vieil amphétaminique, est devenue autorisée dans la maladie de Dravet, une forme rare et grave d'épilepsie infantile, alors qu’elle expose à des états de mal convulsif plus fréquents et à des risques cardiovasculaires graves à long terme, comme le précise Prescrire.

    Sinon les médicaments classés par catégorie

    Pour la douleur et la rhumatologie
    Ils sont plus connus sous le nom de Dolirhume, Actifed ou autre Humex Rhume, ou encore le Voltarène...

    Les molécules pour les soins en douleur et la rhumatologie à éviter sont : l'acéclofénac et le diclofénac, les coxibs : le célécoxib, l'étoricoxib et le parécoxib.

    Il y a aussi le kétoprofène en gel, le méloxicam, le piroxicam et le ténoxicam. Et la diacéréine, la glucosamine, la méphénésine, le méthocarbamol, le thiocolchicoside, le dénosumab, le romosozumab, la capsaïcine.

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  11. Il faut aussi souligner l'association colchicine avec de la poudre d’opium et du tiémonium et la quinine.

    En ce qui concerne la pneumologie et les problèmes ORL
    Les molécules pour soigner les problèmes pneumologiqes et ORL à éviter sont : l’ambroxol et la bromhexine, l’oxomémazine, la pentoxyvérine, la pholcodine, l'alpha-amylase, le tixocortol en pulvérisation buccale.

    Ainsi que les décongestionnants par voie orale ou nasale comme l'éphédrine, la naphazoline, l'oxymétazoline, la phényléphrine, la pseudoéphédrine, le tuaminoheptane et la xylométazoline, mais aussi le mannitol inhalé et le roflumilast.

    En ce qui concerne la dermatologie et l'allergologie
    Les molécules dans les soins dermatologiques ou allergologiques à éviter sont : le finastéride, la méquitazine, le pimécrolimus dermique, le tacrolimus dermique et la prométhazine injectable.

    En ce qui concerne la cancérologie, les greffes, l'hématologie
    Les molécules dans les soins de cancérologie, des greffes et de l'hématologie à éviter sont : le défibrotide, le mifamurtide, le panobinostat, la trabectédine, le vandétanib et la vinflunine.

    En ce qui concerne la cardiologie
    Les molécules dans les soins cardiologiques à éviter sont : l'aliskirène, le bézafibrate, le ciprofibrate et le fénofibrate.

    Il y a aussi la dronédarone, l'ivabradine, le nicorandi, l'olmésartan, la ranolazine, la trimétazidine, le vernakalant.

    Côté diabétologie et nutrition
    Pour la diabétologie et la nutrition, les molécules à éviter sont : l'alogliptine, la linagliptine, la saxagliptine, la sitagliptine, la vildagliptine.

    Il y a aussi la pioglitazone, l'orlistat et l'association bupropione avec naltrexone.

    En ce qui concerne la gastro-entérologie
    Les molécules à éviter pour soigner les problèmes gastro-entérologiques sont : l'acide obéticholique, les argiles médicamenteuses, la diosmectite - comme le Smecta, l’hydrotalcite, la montmorillonite beidellitique alias monmectite et le kaolin.

    La dompéridone comme le Motilium, le dropéridol et la métopimazine. Sont aussi notés le prucalopride, le trinitrate de glycéryle.

    En ce qui concerne la gynécologie et endocrinologie
    Les molécules à éviter pour soigner les problèmes gynécologiques et endocrinologiques comme la tibolone et l'ulipristal.

    En infectiologie
    Seule la moxifloxacine est notée sur la liste noire.

    En neurologie
    Les molécules à éviter pour soigner les problèmes neurologiques sont : le donépézil, la galantamine, la rivastigmine, la mémantine, l'alemtuzumab, le natalizumab, le tériflunomide, la fenfluramine, la flunarizine et l’oxétorone.

    À noter également le Ginkgo biloba, le naftidrofuryl, le piracétam et la tolcapone.

    En ce qui concerne la psychiatrie et autres dépendances
    Les molécules à éviter pour soigner les problèmes psychiatriques et autres dépendances sont : l'agomélatine, le citalopram et l'escitalopram, la duloxétine, le milnacipran et la venlafaxine.

    L'eskétamine, la tianeptine, la dapoxétine et l'étifoxine.

    En ce qui concerne l'ophtalmologie
    La seule molécule à éviter pour soigner les problèmes ophtalmologiques notée sur la liste noire est l'idébénone.

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  12. Pour le sevrage tabagique
    En ce qui concerne les traitements pour le sevrage tabagique pour la seule référence listée est la bupropione.

    En ce qui concerne l'urologie
    Seul le pentosane polysulfate oral est à éviter dans les traitements concernant l'urologie.

    https://www.midilibre.fr/2021/12/09/liste-noire-les-105-medicaments-quil-faut-ecarter-selon-la-revue-prescrire-9981296.php

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    1. "J'ai essayé le SAFAIMAL en 10 mg et c'est trop pour moi je préfèrerai du SAFAIMAL en 5 mg"
      "Désolé mais le SAFAIMAL en 5 mg n'existe pas. Par contre il y a du SAFAIMOINMAL en 5 mg !"

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  13. Une conseillère aux États veut réglementer la pollution lumineuse

    Céline Vara demande au Conseil fédéral de préciser dans la loi les limites à partir de laquelle la surabondance de lumière artificielle devient nuisible à l’homme et à l’environnement.


    par Christine Talos
    10 décembre 2021, 08:03


    L’augmentation de la pollution lumineuse relègue le paysage nocturne naturel à des espaces toujours plus restreints et les étoiles deviennent toujours plus difficiles à observer la nuit.

    Aussi surprenant que cela puisse paraître, il n’y a rien ou presque dans la législation fédérale actuelle qui réglemente les émissions de lumière artificielle en Suisse. Pour faire simple: chacun peut éclairer un immeuble avec des lampes extérieures allumées vingt-quatre heures sur vingt-quatre, placer des guirlandes de Noël éblouissantes dans son jardin ou laisser des enseignes publicitaires briller toute la nuit comme bon lui semble. Devant ce constat, la conseillère aux États Céline Vara (Verts/NE) vient de déposer une motion auprès du Conseil fédéral pour qu’il pose un cadre général aux pratiques en vigueur.

    En effet, cette absence de règles claires peut être gênante. «Il existe quelques jurisprudences fédérales hétéroclites, mais qui ne traitent que de cas spécifiques», explique la Neuchâteloise. Ce qui place parfois le Tribunal fédéral dans une situation délicate quand des actions en justice sont menées. «Le TF doit alors s’appuyer sur des dispositions très générales pour rendre des décisions», explique la Neuchâteloise. Et de citer l’exemple de la commune de Val-de-Ruz, qui a décidé d’éteindre les lumières la nuit, y compris sur les passages pour piétons. Au grand dam du Canton de Neuchâtel, qui s’y est opposé pour des raisons de sécurité.

    Conséquences désastreuses

    Or la pollution lumineuse est un vrai problème. D’autant qu’elle est en hausse constante avec une augmentation globale de 6 % par an, rappelle Céline Vara. Selon un rapport de l’Office fédéral de l’environnement paru fin octobre, les émissions lumineuses ont même doublé ces vingt-cinq dernières années. La faute aux nouvelles technologies d’éclairage (ndlr: comme les LED) qui permettent d’atteindre de plus fortes intensités lumineuses à moindres coûts, explique l’OFEV.

    Mais cet excès de lumière peut avoir des conséquences désastreuses sur l’environnement et la biodiversité. Des études ont montré que la pollution lumineuse perturbait le sens de l’orientation des oiseaux migrateurs volant de nuit et pouvait les dévier de leur itinéraire. Elle peut aussi nuire aux animaux nocturnes, en morcelant leurs habitats, en diminuant leur rayon d’action et en réduisant la nourriture à leur disposition, selon l’OFEV. En outre, le bien-être de l’être humain en souffre également dans une mesure croissante, souligne-t-il. D’où des actions en justice qui sont menées de plus en plus souvent.

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  14. Comme pour les rayons non ionisants

    Pour Céline Vara, il est donc indispensable de légiférer. Au niveau fédéral, «différents textes légaux exigent que l’être humain, les animaux, la nature et l’environnement soient protégés des immiscions lumineuses», relève la sénatrice. «Pourtant, contrairement à d’autres domaines environnementaux, cette protection n’a jusqu’ici pas été concrétisée dans une ordonnance», regrette-t-elle. Pour le coup, elle propose que Berne s’appuie sur le spectre de longueur d’onde de la lumière visible, comme elle le fait déjà pour les rayons non ionisants invisibles (champs électromagnétiques des lignes électriques, hautes fréquences de la téléphonie mobile, etc. ).

    «Je ne demande pas que la lumière soit éteinte à minuit», précise Céline Vara. Pour elle, tout est possible, mais il faut impérativement fixer un cadre légal pour que Cantons, Communes et collectivités sachent sur quelles règles s’appuyer afin de diminuer du mieux possible la pollution lumineuse. «D’autant qu’à l’heure où l’on doit régler le problème de notre approvisionnement en énergie, cela permettrait d’une façon simple et non coûteuse de réaliser des économies en électricité», conclut-elle.

    https://www.lematin.ch/story/une-senatrice-veut-reglementer-la-pollution-lumineuse-773236549851

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    1. L'inoculée du jour:
      Quand la débilité trisomique à la Gretamoilescouilles s'empare du Conseil fédéral !
      A quand l'extinction du soleil pour éviter la pollution atmosphérique inter-galactique ?

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  15. «LAVERIES AUTOMATIQUES DU 81E ÉTAGE»:

    Les États-Unis, «le meilleur endroit» pour blanchir de l’argent


    9 décembre 2021, 21:10


    La secrétaire au Trésor américain, Janet Yellen, a taclé son propre pays, jeudi, en matière de lutte contre la corruption et la fraude fiscale.

    «Il y a des raisons de penser qu’à l’heure actuelle le meilleur endroit pour cacher et blanchir des gains acquis frauduleusement est en fait les États-Unis», a estimé Janet Yellen.

    Si les petits pays sont souvent perçus comme des paradis majeurs pour dissimuler de l’argent au fisc ou blanchir de l’argent, «d’énormes quantités de fonds illicites» se retrouvent dans le système financier américain, a déploré jeudi la secrétaire au Trésor, Janet Yellen.

    «Braquer les projecteurs»
    «Il y a des raisons de penser qu’à l’heure actuelle le meilleur endroit pour cacher et blanchir des gains acquis frauduleusement est en fait les États-Unis», a estimé Janet Yellen dans un discours prononcé jeudi à l’occasion du Sommet sur la démocratie.

    La Suisse ou les îles Caïmans sont depuis longtemps dans le collimateur des fiscs du monde entier. Mais la ministre américaine a contesté l’idée selon laquelle les fonds émanant de la corruption ou des activités illégales ne sont envoyés que vers les «pays disposant de réglementations financières souples et secrètes», affirmant qu’ils sont plutôt susceptibles de «passer – ou d’atterrir – sur nos marchés».

    Elle a mis en avant la stratégie anticorruption que l’administration du président Joe Biden a déployée cette semaine.

    Il faut «braquer les projecteurs» sur «les zones d’ombre» aux États-Unis, a-t-elle justifié, citant certains États américains qui autorisent la création de sociétés écrans sans qu’on sache à qui elles appartiennent réellement.

    «Dans les gratte-ciel de Miami ou de Central Park»

    Le Congrès américain avait adopté en janvier dernier une loi imposant aux sociétés américaines de déclarer au gouvernement fédéral leurs bénéficiaires effectifs, marquant une rupture pour les États-Unis, où la législation en la matière peut être extrêmement souple, par exemple dans des États comme le Delaware, fief du président Joe Biden.

    La proposition créerait une base de données pour enregistrer les «propriétaires effectifs» de toutes les entreprises et de nombreuses fiducies, c’est-à-dire toute personne qui possède 25% d’une entreprise ou peut prendre des décisions pour l’entreprise.

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  16. Une réglementation similaire s’appliquera aux transactions immobilières, «parce que de nombreux acteurs corrompus peuvent cacher leur argent dans les gratte-ciel de Miami ou de Central Park», a souligné Mme Yellen jeudi, les qualifiant de «laveries automatiques du 81e étage».

    Cette «alchimie financière… tourne en dérision nos institutions libres et équitables», a-t-elle également opiné.

    Elle a dénoncé enfin le «système de fiscalité défaillant des États-Unis, qui permet aux personnes les mieux payées et aux plus grandes entreprises de rester impunies en cas de fraude».

    https://www.lematin.ch/story/les-etats-unis-le-meilleur-endroit-pour-blanchir-de-largent-970562637367

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    1. Y a pas de quoi fouetter un chat ! (ni une chatte d'ailleurs).

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  17. Un tribunal britannique décide que Julian Assange peut être extradé vers les États-Unis


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 10 DÉC 2021 - 06:49


    Plus de 2,5 ans se sont écoulés depuis que le fondateur de Wikileaks, Julian Assange, a été traîné de l'ambassade équatorienne à Londres après 7 ans passés cachés des autorités britanniques, au cours desquels Assange a lutté dans une longue bataille judiciaire, tout en restant emprisonné. Et pourtant, il semble que le véritable cauchemar d'Assange ne fasse que commencer alors que la Haute Cour britannique a statué vendredi qu'il pourrait être extradé vers les États-Unis pour faire face à des accusations qui pourraient le voir emprisonner pour le reste de sa vie.

    Les juges de la Royal Courts of Justice de Londres ont annulé un juge de première instance qui avait décidé il y a près d'un an qu'Assange ne devrait pas être extradé vers les États-Unis en raison de la menace qu'il soit exposé à des préjudices physiques injustes (sans parler de la possibilité très réelle que Assange pourrait se suicider, comme le juge l'a reconnu). Ils ont décidé qu'Assange pouvait être extradé vers les États-Unis, garantissant pratiquement qu'il serait jugé dans une salle d'audience américaine.

    Assange peut faire appel de la décision, mais il est clair à ce stade que les jetons sont contre lui. Le gouvernement américain poursuit discrètement des accusations contre le fondateur de Wikileaks en vertu de la loi sur l'espionnage depuis des années. Selon ce qui a été révélé publiquement, Assange fait face à un acte d'accusation de 18 chefs d'accusation aux États-Unis, la plupart des accusations étant axées sur la violation de la loi sur l'espionnage. S'il était reconnu coupable, Assange pourrait être emprisonné jusqu'à 175 ans.

    En réponse à la décision, Wikileaks a critiqué les États-Unis pour avoir tenté d'éviter la responsabilité en couvrant l'incident de « meurtre collatéral » au cours duquel deux journalistes de Reuters ont été tués en Irak, ainsi que des civils innocents, par l'armée américaine. Les images tristement célèbres de cet incident, qui ont été publiées pour la première fois par Assange après avoir été divulguées par Chelsea Manning (à l'époque où elle était une analyste du renseignement de l'armée nommée Bradley Manning).

    Comme Axios nous le rappelle, le cas d'Assange a de sérieuses implications pour les journalistes aux États-Unis et dans le monde.

    L'affaire a soulevé des questions importantes sur les protections du premier amendement pour les éditeurs d'informations classifiées, car Assange soutient qu'il agissait en tant que journaliste lorsqu'il a publié des documents du gouvernement américain divulgués sur l'Irak et l'Afghanistan.

    Dans un communiqué, la rédactrice en chef de WikiLeaks, Kristinn Hrafnsson, a déclaré que « la vie de Julian est une fois de plus gravement menacée, de même que le droit des journalistes de publier des documents que les gouvernements et les entreprises trouvent gênants ».

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  18. La fiancée d'Assange, Stella Morris, a qualifié la décision de "dangereuse et malavisée" et a déclaré que son équipe juridique avait l'intention de faire appel – ce que ses avocats ont également affirmé dans une lettre qui a été partagée sur les réseaux sociaux.

    - voir sur site -

    Dans leur pétition visant à annuler la décision de la juridiction inférieure de bloquer l'extradition d'Assange, les États-Unis ont réussi à apaiser les inquiétudes des juges concernant la santé mentale et physique d'Assange, et que le risque de suicide d'Assange serait considérablement réduit. Les autorités américaines ont assuré qu'Assange ne serait pas placé dans les conditions les plus restrictives à moins qu'il ne fasse quelque chose à l'avenir pour le justifier.

    En rendant le jugement, le Lord Chief Justice Lord Burnett a déclaré: "Ce risque est, à notre avis, exclu par les assurances qui sont offertes."

    "Il s'ensuit que nous sommes convaincus que, si les assurances avaient été données au juge, elle aurait répondu différemment à la question pertinente."

    Le juge Timothy Holroyde s'est dit satisfait des assurances données par les États-Unis concernant le traitement d'Assange en détention. Holroyde a déclaré que l'affaire doit maintenant être renvoyée à la Westminster Magistrates' Court avec l'ordre que les juges l'envoient au gouvernement britannique pour décider si Assange doit ou non être extradé.

    Certes, tout n'est pas encore perdu pour Assange. Reuters a rapporté que l'appel inévitable d'Assange enverrait probablement la question de son extradition à la Cour suprême du Royaume-Uni.

    Comme nous l'avons mentionné ci-dessus, les avocats des États-Unis ont offert à la Haute Cour britannique quatre assurances, notamment qu'Assange ne serait pas soumis à l'isolement cellulaire avant ou après son procès, et qu'il ne serait pas détenu à la prison ADX Florence Supermax dans le Colorado - un prison fédérale qui abrite certains des criminels les plus infâmes d'Amérique. À la lumière des informations faisant état de la détérioration de la santé d'Assange, les États-Unis ont également promis qu'il recevrait toute l'aide clinique et psychiatrique nécessaire.

    Ils ont fait valoir que la maladie mentale d'Assange "n'est même pas proche" d'être suffisamment grave pour l'empêcher d'être extradé, mais ont également rassuré les Britanniques qu'Assange serait autorisé à être transféré en Australie pour purger toute peine de prison qui lui serait infligée plus près de chez lui.

    Les États-Unis ont insisté sur le fait qu'en publiant des milliers de pages de documents classifiés, Assange mettait des vies américaines en danger. On ne sait pas quand Assange sera extradé, mais maintenant que la Haute Cour a statué, il est probable qu'il sera transféré de l'autre côté de l'Atlantique pour être jugé aux États-Unis très bientôt. Ce procès sera probablement couvert de près par la presse internationale, comme tous les autres chapitres de la bataille juridique d'Assange qui a duré près d'une décennie.

    Les lecteurs peuvent trouver l'acte d'accusation de 130 pages contre Assange ci-dessous :

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  19. - voir sur site -

    « États-Unis -V- Julian Assange Judg... » par Zerohedge

    La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova, écrivant sur sa chaîne Telegram, a fustigé le jugement de la Haute Cour du Royaume-Uni tout en soulignant l'ironie que cela se soit produit lors de la Journée internationale des droits de l'homme.

    "Ce verdict honteux dans cette affaire politique contre un journaliste et personnalité publique est une autre manifestation de la vision du monde cannibale du tandem anglo-saxon", a-t-elle déclaré.

    La bande de fidèles partisans d'Assange s'est rassemblée devant le tribunal après la décision, scandant « libérez Julian Assange » et « pas d'extradition ». Ils ont attaché des centaines de rubans jaunes aux portes du tribunal et brandi des pancartes disant que "le journalisme n'est pas un crime".

    https://www.zerohedge.com/political/british-court-rules-julian-assange-can-be-extradited-us

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  20. UN ALIMENT SUR HUIT CONTIENT DU PÉTROLE, BON APPÉTIT !


    par PERRINE DE ROBIEN
    10/12/2021


    12,5% des aliments contiennent du pétrole.

    Selon une enquête choc de Foodwatch, les dérivés d’hydrocarbures sont omniprésents dans l’alimentation en Europe. Une petite tartine de pétrole, ça vous tente ?

    Une substance toxique et cancérigène dans notre nourriture

    Les aliments hyper transformés sont accusés de contenir trop de sel, de sucre, de gras… Mais parfois, ils contiennent des substances bien pires. Certains contiennent des dérivés d’hydrocarbures, bref : du pétrole. Selon Foodwatch qui a mené des tests sur 152 produits de grande consommation achetés en France, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Autriche et en Belgique, un produit sur huit (12,5%), soit 19 dans cinq pays, présentent une contamination aux MOAH.

    La contamination de nos aliments par des hydrocarbures aromatiques d’huiles minérales (MOAH) est dangereuse pour la santé mais invisible à l’œil nu. Selon Foodwatch, il s’agit d’« une substance toxique soupçonnée par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) d'être cancérigène et génotoxique ». Miam.

    Knorr, Nutella, Milky Way… Quels aliments contiennent des hydrocarbures ?

    « En France, les aliments concernés sont : les cubes de bouillon légumes Knorr sans sel et les cubes Knorr/Puget aux herbes et à l’huile d’olive, les cubes de bouillon légumes sans sel Jardin Bio Etic de Léa Nature, les cubes de bouillon de bœuf déshydraté de la marque Pouce d’Auchan et Fruit d’Or Oméga 3 », assure Foodwatch. D’autres produits tels que des céréales Quaker au chocolat du Nutella, de la pâte à tartiner Delhaize bio et de la pâte à tartiner Milky Way figurent également sur la liste noire.

    Bien que l’Anses ait déjà alerté en 2017 sur la présence de ces substances, celles-ci sont encore présentes dans les aliments. « Ces substances dangereuses n'ont pas leur place dans nos assiettes. Or, à chaque fois que nous testons des aliments, nous trouvons ces MOAH en quantité inquiétante : les fabricants qui prétendent accorder la plus grande attention à la sécurité de leurs produits ne sont pas en mesure de garantir l'absence de ces contaminants toxiques. Le problème est mondial et européen. Et la solution est politique : il faut une réglementation de toute urgence pour protéger les consommatrices et consommateurs », assure Karine Jacquemart, directrice de Foodwatch France. En attendant, on peut tout simplement arrêter d’acheter ces produits.

    http://www.economiematin.fr/news-hydrocarbures-aliments

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  21. PANIQUE SUR LA MOUTARDE


    par OLIVIER SANCERRE
    09/12/2021


    La France a produit 4.000 tonnes de graines de moutarde cette année.

    La moutarde va-t-elle commencer à manquer sur les tables ? Les fabricants de la fameuse sauce tirent la sonnette d'alarme : les graines de moutarde, indispensable matière première, commencent à manquer.

    La pénurie de moutarde guette les tables françaises et mondiales. Le principal exportateur de graines de moutarde, à savoir le Canada, produit de moins en moins de matière première. Le pays est passé de 135.000 tonnes en 2020, à 99.000 tonnes cette année. En cause, des événements climatiques inédits, en particulier des épisodes de chaleur dans la province du Saskatchewan qui est la principale à produire des graines. La situation ne devrait pas s'arranger, le ministère de l'Agriculture canadien ayant annoncé une baisse de près de 30% de la production d'ici 2022 : ce ne sont plus que 77.000 tonnes qui seront exportées.

    Précieuses graines de moutarde

    De quoi faire grimper le prix de la tonne qui a atteint cette année 1.700 dollars canadiens, contre 700 dollars en 2020 ! Les fabricants français de moutarde ne peuvent même pas se tourner vers la production locale : l'Hexagone n'a produit que 4.000 tonnes en 2021, contre 12.000 tonnes auparavant. Par conséquent, il faut s'attendre à des prix en forte hausse pour le produit final. « Le prix a été multiplié par trois, là c’est par quatre et on s’attend à une multiplication par cinq », s'alarme Michel Liardet, le président de l'Européenne de Condiments (Bornier, Téméraire, marques distributeur).

    Vers une production 100 % locale

    À BFM Business, le dirigeant trace les grandes lignes d'une solution pour sortir de l'impasse : 100 % de la graine récoltée en France. Mais pour y parvenir, « il faut des moyens », convient-il. L'État doit mettre la main à la poche pour aider le secteur à s'en sortir, estime-t-il. « C’est un vrai enjeu de souveraineté nationale mais il faut qu’on aille beaucoup plus vite ». Il y a urgence pour compenser la baisse des importations canadiennes : l'Européenne de Condiments n'a pu acheter que 100 tonnes de graines de moutarde du Canada, au lieu des 8.000 tonnes habituelles…

    http://www.economiematin.fr/news-panique-sur-la-moutarde

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    1. Quand les paysans sont nombreux on peut toujours se retourner vers un autre. Mais quand il n'y a presque plus de paysans au monde !... C'est là qu'on se rend compte que ce n'est pas une question de climat, de fortes pluies, du froid ou de la chaleur, mais une question de gestion de propriété !!
      Et, aujourd'hui que voit-on ? On voit des friches ! Des champs remplis d'herbes hautes, des ronces, des buissons, etc !
      Parce qu'on ne remplace pas un paysans décédé !
      Faut être né à la campagne pour comprendre çà. Suffit de jeter un coup d’œil aux forums de jardinage pour voir de 'nouveaux propriétaires' de jardin (100 m² ou 200 m²) donner des conseils de cultures dès la première année !!! HAHAHAHA ! Et, 10 ans après leur terrain n'a toujours RIEN donné ! HAHAHA !

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  22. Cadeau (pour temps meilleurs) : les collabos de la répression sanitaire


    vendredi 10 décembre 2021
    Source : E&R



    Rien ne serait possible dans le covidisme, c’est-à-dire le terrorisme sanitaire de l’oligarchie, sans la complicité active et traîtresse du pack médiatique qui parle d’une seule voix, celle de son maître.

    Ces créatures, qu’on ne peut plus compter parmi nos frères humains au sens humaniste, n’ont que la bave aux lèvres et la répression à la bouche. Ils sont tous devenus des inquisiteurs, des traqueurs de résistants, des délateurs au petit pied, qui un jour découvriront qu’après la collaboration, il y a la libération...

    Certains, dans le domaine sanitaire, ou insanitaire, vont tellement loin que leur sort est déjà scellé, en termes d’appartenance ou d’éloignement par rapport au groupe humain.

    Mais d’autres, même en haut lieu, ont senti le danger, et rétropédalent doucement, pour que les vrais maîtres ne s’en aperçoivent pas trop. On sent qu’on est en 1942-1943, après Stalingrad, que le vent peut tourner, et qu’il faut garantir son avenir, vu le Nuremberg sanitaire qui se profile, annoncé par Raoult en 2020 et Di Vizio en 2021.

    Ambivalent, l’inquiétologue Delfraissy est capable de jouer sur les deux tableaux, on n’est jamais trop prudent...

    Dans la veine de l’ambigu Delfraissy, il y a évidemment l’inclassable Blachier, qui joue sur plusieurs tableaux lui aussi, et du jour au lendemain, au point que beaucoup d’antivax et d’anti-pass en sont désorientés.

    Prudent Blachier, qui voit que son camp – répressif – va décidément trop loin. On se répète, mais chez les plus durs, les plus radicaux, les plus acharnés des covidistes, quelque chose a lâché, mentalement.
    Voici le petit dernier de la liste : Yonathan Freund. Il promet, celui-là !

    Nous sommes plus que jamais dans la guerre des 1 % contre les 99 %. Il s’agit de pouvoir, pour les politiques qui l’avaient perdu progressivement sur les peuples depuis la naissance du Net, et qui le récupèrent avec le covido-terrorisme, mais aussi d’argent, pour les multinationales – du Big Tech, du Big Pharma et du Big Bank – qui sont intéressées dans cette opération mondiale et mondialiste, et qui en sont les commanditaires officiels.

    Sauf qu’en bas, malgré les bataillons de policiers qui remplacent les bataillons de soignants manquants (vérifier si d’anciens soignants ne seraient pas devenus de nouveaux flics), volontairement écartés du soin de la nation, tout ne se passe pas comme prévu. En termes de résistance et de libération, la Guadeloupe est en avance sur la métropole.

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  23. C’est le noyau dur des résistants qui permet à un panel plus large de Français, pourtant vaccinés, mais de plus en plus sceptiques depuis l’annonce d’un énième variant et d’une 4e piqûre, de peut-être changer d’avis, pour inverser enfin le sens de l’histoire contemporaine française.

    Et puis, au milieu du delirium covidique jaillissent ici et là des raisons de se réjouir, des petites victoires qui sont comme des petites bulles, qui s’agglomèrent dans la casserole nationale qui bout, qui bout, à l’image de la bête immonde (pour l’oligarchie) qui monte, qui monte...

    Bravo aux soignants résistants !

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Cadeau-pour-temps-meilleurs-les-collabos-de-la-repression-sanitaire-66546.html

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