Covid-19 : Pourquoi et comment les initiateurs du confinement mondial pourraient être poursuivis pour Crimes contre l'Humanité
par Julien G. 05 déc. 2021
Des centaines d'avocats et de médecins ont uni leurs forces pour poursuivre les CDC (Centres pour le Contrôle et la prévention des Maladies), l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et le Groupe de Davos (Forum Economique Mondial) pour crimes contre l'humanité, dans ce qu'il convient d'appeler un « second tribunal de Nuremberg ».
Reiner Fuellmich et son équipe ont collecté des milliers de preuves scientifiques attestant du manque de fiabilité total des tests PCR et de la fraude qui les sous-tend. Le 15 novembre dernier, Fuellmich a été l'invité d'une commission d'enquête parlementaire polonaise sur le Covid-19, à Varsovie.
1. Le plus grand procès de l'histoire depuis celui de Nuremberg se prépare...
Humansarefree en a fait état en mars : les technocrates qui ont poussé les gouvernements à confiner leurs citoyens doivent-ils être jugés pour crimes contre l'humanité ?
C'est en tout cas ce que pense une équipe de plus de centaines d'avocats et d'experts médicaux dirigée par l'Allemand Reiner Fuellmich, l'un des avocats les plus puissants d'Europe, a lancé la plus grande action en justice de l'histoire contre l'OMS (Organisation mondiale de la santé) et le Davos Group (Forum économique mondial dirigé par Klaus Schwab, plus de 80 ans) pour crimes contre l'humanité.
Le Dr Reiner Fuellmich est un avocat germano-américain, c'est lui qui a gagné des procès de plusieurs millions de dollars contre la fraude de la Deutsche Bank et celui contre Volkswagen pour la fraude au Dieselgate.
Il est membre fondateur du "Comité Corona".
Beaucoup d'informations erronées ont circulé sur l'action qu'il mène avec un groupe d'avocats de plusieurs pays et il très conscient du fait que la désinformation fait rage et sert possiblement à dénigrer ou dévaloriser l'action que son groupe mène.
C'est pourquoi Il a confirmé qu'il y aura un procès, mais ce ne sera pas un Nuremberg 2.0 mais plutôt un Tribunal International établi spécifiquement pour la crise du Corona.
Dans une interview, Fuellmich expose sa vision des choses, dont voici quelques extraits :
« Selon l'article 147, la conduite d'expériences biologiques sur des humains est une violation grave de la Convention. »
« Le vaccin « expérimental » viole les 10 codes de Nuremberg qui prévoient la peine de mort pour ceux qui violent ces traités internationaux. »
Fuellmich a également ajouté que tout cela était déjà prévu depuis un certain temps pour être « mis en œuvre en 2050 »
Il pense que c'est dans cette précipitation qu'ils font tant d'erreurs. Par exemple, « les fabricants de vaccins n'avaient pas prévu qu'il y aurait autant d'effets secondaires et de décès »
"L'Europe est le principal champ de bataille de cette guerre. C'est parce qu'elle est complètement en faillite. Les fonds de pension ont été complètement pillés. C'est pourquoi ils veulent mettre l'Europe sous contrôle avant que les gens sachent ce qui se passe" poursuit Fuellmich.
Mais qui sont ces gens qui tirent les ficelles ? « C'est un groupe d'environ 3 000 super-riches. Ce groupe comprend, entre autres, la clique de Davos autour de Klaus Schwab », selon Fuellmich.
Ce qu'ils veulent? « Le contrôle total sur les personnes. Ils soudoient les médecins, le personnel hospitalier et les politiciens »
« Les personnes qui ne coopèrent pas sont menacées. Ils utilisent toutes sortes de techniques psychologiques pour manipuler les gens ».
« Les médias grand public racontent une fausse réalité, affirmant que la majorité des gens sont favorables aux mesures et aux vaccins », conclut Fuellmich.
« Ce n'est certainement pas vrai. »
« Presque tout le monde à qui je parle en Allemagne sait, par exemple, qu'un masque ne protège de rien, c'est parce que maintenant presque tout le monde est informé via les médias alternatifs. Les vieux médias sont en train de mourir ».
Pour affirmer ces propos, il a mené plus de 150 interviews avec des experts du monde entier, tels que le Pr Luc Montagnier et Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, pour en arriver à la conclusion que "tout ceci n'a rien de sanitaire, et n'a jamais rien eu de sanitaire".
Il revient notamment sur l'aspect économique de la pandémie, en montrant que "ceux qui récupèrent actuellement des parts de marchés dans le monde, sont aussi ceux, si on suit l'argent, qui sont derrière ce qui est en train de se passer".
Selon lui, les PME, notamment occidentales, sont en train d'être phagocytées par les géants économiques tels qu'Amazon ou rachetées par les chinois. Toujours selon lui, les populations du monde entier se rendent petit à petit compte que les gouvernements continuent de placer leurs pions pour contrôler leur "vie quotidienne".
En assemblant tous les éléments qu'il liste, il en arrive à la conclusion que : "Tout ceci n'est pas un accident. C'est intentionnel."
2.« L'arnaque » des tests PCR
La guerre a éclaté dans la littérature scientifique qui frappe le noyau existentiel de Covid-19 et son virus causal proposé.
Au cœur de la controverse se trouve le fait que les créateurs du test le plus couramment utilisé, la RT-PCR, ont publié des instructions sur la manière de tester le CoV-2 du SRAS « sans avoir de matériel viral disponible », selon leurs propres termes, en se basant plutôt sur la séquence génétique des scientifiques chinois publiée sur Internet
L'article « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par PCR en temps réel » a été publié 24 heures après avoir été soumis à Eurosurveillance, échappant clairement à l'examen des pairs.
Ses auteurs principaux étaient Christian Drosten et Victor Corman, d'où le titre « article Corman-Drosten ».
Il a fourni la « recette », ou le flux de travail pour le test de diagnostic Covid-19, rapidement appliqué dans le monde entier, après qu'il ait été accepté comme norme de test par l'OMS.
La vérité se révèle dans les chiffres, a déclaré M. Fuellmich, citant des chiffres qui montrent que le COVID-19 n'a pas provoqué d'augmentation statistiquement significative du nombre de décès en 2020 par rapport aux années précédentes.
Le groupe d'avocats et de médecins affirment que les tests utilisés pour identifier le COVID-19 étaient défectueux et qu'ils ont été utilisés pour commettre des crimes contre l'humanité.
Fuellmich et son équipe présentent les tests PCR comme défectueux, et affirment que l'ordre donné aux médecins de qualifier tout décès par comorbidité comme un décès Covid, comme une fraude.
Le test PCR n'a jamais été conçu pour détecter des agents pathogènes et son résultat est inexact dans presque 100% des cas à 35 cycles. Tous les tests PCR contrôlés par le CDC sont réglés entre 37 et 45 cycles.
Même le CDC reconnaît que les tests de plus de 28 cycles ne permettent pas d'obtenir un résultat positif fiable.
Cela invalide plus de 90 % des prétendus cas de « contaminations » par le Covid détectés par l'utilisation de ce test défectueux.
Au cours des mois pénibles qui ont suivi, au milieu des fermetures d'usines, de l'effondrement économique, des fermetures d'écoles et de la panique générale, peu de gens étaient conscients des immenses problèmes que posait le papier, qui proposait tragiquement une méthode de test qui donnerait entre 80 et 97 pour cent de faux résultats positifs, en raison de l'absence d'un étalon-or qui serait le virus lui-même.
Tout a commencé le 30 novembre 2020, lorsque le document de base de Corman-Drosten a été remis en question par 22 scientifiques internationaux qui ont écrit une lettre demandant la rétractation du document, ainsi qu'une critique approfondie citant 10 erreurs dans le document qu'ils jugeaient « fatales ».
Intitulé « L'examen externe par les pairs du test RTPCR pour détecter le SRAS-Cov-2 révèle 10 failles majeures au niveau moléculaire et méthodologique : L'auteur principal de l'article est le Dr Pieter Borger, un expert en biologie moléculaire de l'expression des gènes. Plusieurs autres noms estimés sont associés à cet article, notamment celui du Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et critique sans détour d'une grande partie de la soi-disant science qui se cache derrière les mesures de verrouillage, de masquage et de fermeture des écoles prises par l'OMS à l'échelle mondiale.
Reiner Fuellmich a déclaré dans une interview : « Nous pensons que pour faire s'écrouler ce château de cartes, nous devons nous attaquer au test PCR. Le fait est qu'il n'y a pas d'infections asymptomatiques ».
Cette affirmation aurait été étayée par un article de Wuhan, publié par Nature.com, qui n'a trouvé aucun « virus viable » dans les cas de PCR positifs.
Le 15 novembre dernier, Me Reiner Fuellmich a été l'invité d'une commission d'enquête parlementaire polonaise sur le Covid-19.
À Varsovie, il a ainsi participé à l'inauguration du projet "Nuremberg 2.0", à l'initiative de cette même commission, qui se trouve être un think-tank d'intellectuels polonais. On y retrouve par exemple Grzegorz Braun, le professeur Mirosław Piotrowski, Paweł Skutecki et Me Jacek Wilk, secondés par les avocats Arkadiusz Tetela, Krzysztof Łopatowski et Jarosław Litwin.
En description du vidéo retraçant la conférence (de trois heures), le projet est ainsi présenté :
« Une initiative citoyenne née tant de l'urgence du moment que d'un cri du cœur. L'objectif est de pousser les Polonais conscients et responsables à rassembler la documentation qui décrit les délits, violations du droit, abus et omissions des autorités et à témoigner au sujet des tragédies individuelles dont le public général n'est peut-être pas au courant aujourd'hui... [...] Nous allons nous-mêmes rassembler et classer la documentation ; nous préparons des actions en justice où les accusations sont spécifiées, et nous agirons en justice contre les fauteurs directs ou indirects des délits en question. Nous dresserons également des archives de documentation professionnelle, sur lequel fondement nous publierons des annales juridiques intitulées "Les annales Nuremberg 2.0" ».
Ce projet a été lancé suite aux « décisions du gouvernement polonais, et plus spécifiquement celles du ministère de la Santé et des agences qui lui sont subordonnées, qui ont causé de graves préjudices et injustices, dont la plupart des victimes sont des Polonais - des citoyens de la République de Pologne. »
Concernant son titre, qui paraîtra sûrement provocateur pour certains lecteurs, les auteurs précisent qu'il « fait référence aux procès que rapportent les livres d'histoire, où le système NSDAP du Troisième Reich a été poursuivi pour les délits perpétrés par ceux qui portaient les politiques et ordonnances mises en œuvre par ledit système. Le nom du projet est purement symbolique ».
Le lendemain de la conférence, les instigateurs du projet ont rédigé une « Déclaration de Varsovie contre le nouveau totalitarisme », qui marque les débuts de ces travaux.
Ce document conclu ainsi :
« Il est de notre devoir de résister à l'autorité qui abuse de ses prérogatives, de même qu'il est nécessaire de lutter contre la dictature sous toutes ses formes. Nous ne protestons pas uniquement contre les différentes formes de harcèlement, mais avant tout contre la puissance tyrannique qui n'a pas de nom qui gouverne aujourd'hui le monde de la finance, des médias, de la surveillance policière et de la politique.
La dignité humaine, la vérité et la loi naturelle ne pourront pas à titre définitif perdre contre le nouveau totalitarisme. Restons fermement aux côtés des valeurs humaines les plus précieuses. Soyons unis, gardons le courage et soyons actifs. Nous allons certainement gagner ! »
Fausses couches et autres effets secondaires tragiques des coups d'ARNm
Par Joseph Mercola Mercola.com 9 décembre 2021
À chaque jour passant, la liste des personnes souffrant de conséquences tragiques des thérapies de gènes romantiques commercialisées comme des "vaccins" Covid devient plus longtemps. Les manchons d'athlètes professionnels et amateurs se sont effondrés et sont morts au cours des dernières semaines et les médias traditionnels agissent comme si ces choses sont normales ou inexplicables.
Ils ne sont ni. Ils sont anormaux et totalement explicables lorsque vous savez comment le tir Covid détruit votre cœur et bouque votre sang. Parmi les dernières victimes est Florian Dagoury, titulaire du record du monde en matière d'aptitude à haleine statique. Avant son pfizer Jabs, il a pu tenir son souffle pendant 10 minutes et 30 secondes.
Après sa deuxième dose, sa performance de plongée a été réduite d'environ 30%, et il a été diagnostiqué avec une myocardite, une péricardite et une régurgitation mitrale triviale, une condition dans laquelle la vanne mitrale dans le cœur devient fuite, permettant au sang de s'écouler en arrière dans le ventricule gauche .
Dagoury a partagé son expérience sur Instagram: 1,2
«Après ma 2e dose, j'ai remarqué que ma fréquence cardiaque était bien supérieure à la normale et que mes capacités de respiration ont diminué de manière significative. Pendant le sommeil, je suis à 65-70 poudre au lieu de 37-45 ppm. Pendant la journée, je suis maintenant toujours de plus de 100 mois au lieu de 65 ppm, même lorsque je m'assieds et me détends. Une fois que j'ai même atteint [ed] 177 ppm tout en dînant avec des amis!
Dix jours après mon 2nd Jab, je suis allé voir un cardiologue et il m'a dit que c'est un effet secondaire commun du vaccin contre Pfizer, rien à craindre, il suffit de reposer, il passera. 40 jours après le 2e jab, je n'avais pas de progrès, je suis donc allé voir un autre cardiologue et j'ai reçu un diagnostic de myocardite et de régurgitation du mitral trivial!
Qui est essentiellement une inflammation des muscles cardiaques causés par le système immunitaire et de minuscules fuites de sang des vannes qui ne se ferment plus correctement. Je me lance maintenant pour atteindre 8 minutes de souffle, 150m Dyn [Apnée Amic Apnea) et j'ai même une forte envie de respirer [E] faire des plongées de 40 m. 30% diminuent de ma performance de plongée. "
De nombreux athlètes perdent leur carrière
Les autres athlètes professionnels dont les carrières sont maintenant en attente comprennent le joueur de tennis français Jeremy Chardy, qui a commenté sa situation: 3
«Depuis que j'ai eu mon vaccin ... je me débats. Je ne peux pas m'entraîner. Je ne peux pas jouer ... c'est frustrant, surtout que je n'ai pas 10 ans à jouer. Je regrette d'avoir le vaccin, mais je n'aurais pas pu savoir que cela se produirait ... c'est difficile parce que je m'amusais et je veux jouer plus longtemps. "
Une autre est Antoine Mechin, une triathlète âgée de 32 ans dont la carrière est en attente indéfinie, car il a développé de l'embolie pulmonaire après avoir pris sa deuxième dose de moderna. Ce qui en fait d'autant plus tragique est que Mechin a souffert de douleur et d'essoufflement après le premier coup, mais on lui dit que ses symptômes étaient probablement simplement stressant et fatigue. Il est allé avec la seconde et a maintenant de graves dégâts pulmonaires. Mechin a dit:
"Dommageant des personnes en bonne santé à préserver la santé des plus faibles, un choix de logique arrière. Je ne serais plus vacciné s'il devait être fait à nouveau. "
Le plus grand signal de sécurité dans l'histoire de la médecine
Par toute mesure objective, les tirs de Covid sont les médicaments les plus dangereux jamais lancés. Le signal de sécurité est absolument massif. Voici un résumé de la capture d'écran de Openvaers 'Novembre 19 novembre, Rapport (Dernières disponibles au moment de cet article), 4 annoncez certains des effets les plus courants rapportés à la suite de la JAB Covid.
Selon les calculs de Steve Kirsch, directeur exécutif du Fonds de traitement anticipé Covid-19, des événements indésirables sont sous-déclarés de manière conservatrice d'un facteur de 41,5 afin qu'il soit possible de multiplier ces chiffres d'ici 41 pour se rapprocher de l'impact du monde réel .
Pour une illustration visuelle de la dangereuse des tirs de Covid, comparativement à tous les autres vaccins du marché, il suffit de regarder ce graphique openvaers. Il parle pour lui-même.
Signal de sécurité ignoré: fausse couche post-injection
Pendant que nous commençons à en apprendre davantage sur les dommages causés au cœur et les caressons, les coups de covidation provoquent, un effet troublant qui n'atteint pas l'attention qu'elle mérite est une fausse couche. Au 19 novembre 2021, 3 071 fausses couches ont été signalées au système de reporting d'événements indésirables aux États-Unis (VAERS). Il y avait aussi: 6
18,024 cas de troubles menstruels 6 654 cas d'hémorragie vaginale / utérine 1 216 cas de douleur ou de gonflement testiculaire 395 cas de dysfonctionnement érectile
Tous ces effets indiquent les tirs ayant un impact négatif sur la santé de la reproduction humaine. Un document récent7 dans la science, la politique de santé publique et la loi traite des préoccupations en matière de procréation, notant que «l'utilisation des vaccins d'ARNm pendant la grossesse est maintenant généralement considérée comme sûre ... L'article influent parrainé par le CDC de Shimabukuro et. al.8 (2021) Utilisé pour soutenir cette idée, sur une inspection plus proche, fournit peu d'assurance ... "
En particulier, obtenir le tir Covid au cours des 20 premières semaines de grossesse est extrêmement risqué - le risque de fausse couche est entre 82% et 91% - mais Shimabukuro et. Al. caché cette superbe découverte dans leur papier9. Voici comment ils l'ont fait.
Comment Shimabukuro et. Al. Caché signal de sécurité massive
Selon Shimabukuro et. Al., 10 Le taux de fausse couche dans les 20 premières semaines de la grossesse était de 12,6% (104 fausses couches sur 827 grossesses), ce qui n'est que légèrement au-dessus de la moyenne normale de 10%. Cependant, il y a un problème distinct avec ce calcul. Comme expliqué dans la science, la politique de santé publique et le document de droit: 11
"... une inspection plus étroite des 827 femmes du dénominateur de ce calcul révèle qu'entre 700 à 713 femmes ont été exposées au vaccin après que le délai d'enregistrement du résultat s'était écoulé (jusqu'à 20 semaines de grossesse)."
Pour clarifier, Shimabukuro et. Al. Les femmes incluses dans le groupe de 827 qui n'ont effectivement pas tiré le tir au cours de leurs 20 premières semaines de grossesse. Comme ils n'ont pas eu le tir avant la grossesse, ils n'auraient pas été menacés pour une fausse couche du tir au premier trimestre.
Mettez un autre moyen, car le troisième trimestre est après la semaine 20, vous ne devriez pas inclure les femmes qui ont obtenu le tir au troisième trimestre lorsque vous essayez de déterminer le taux de fausse couche entre ceux injectés avant la semaine 20. J'espère que cela est clair.
Si vous n'incluez que les femmes qui étaient à risque d'effets secondaires au cours des 20 premières semaines, car elles ont eu le tir au cours de ces 20 premières semaines, il n'y a que 114 ou, au plus, 127 d'entre eux sont restés dans ce groupe. Et cela change considérablement le calcul! Ce que nous avons réellement, 104 fausses couches sur 127, ce qui est de 82%, soit éventuellement aussi élevé que 104 sur 114, soit 91%.
Parmi ces 104 fausses couples, 96 d'entre elles ont eu lieu avant 13 semaines de gestation, ce qui suggère fortement que l'obtention d'un tir Covid au cours du premier trimestre est une recette absolue pour la catastrophe.
La science, la politique de santé publique et le document de droit soulignent plusieurs autres problèmes liés à l'analyse de Shimabukuro qui composé la confusion, y compris le fait qu'ils utilisaient des périodes de chevauchement de l'exposition et des résultats:
«L'exposition au vaccin a été définie par le trimestre (perïpente, premier, deuxième et troisième). Les résultats ont été définis comme des femmes d'abord exposées au vaccin contre l'ARNm avant 20 semaines de gestation; et d'abord exposé de la gestation de 20 semaines. Le nourrisson a été suivi pendant 28 jours pendant la période périnatale (naissance-28 jours). "12
Cela me frappe comme une stratégie intentionnelle de mauvaiseidation pour confondre et obscurcir. Ils auraient facilement pu utiliser les mêmes périodes d'exposition et de résultat, soit les trois trimestres, soit des semaines 1 à 20 ans et des semaines 21 à 40.
D'autres statistiques d'événements indésirables comprenaient un taux de natalité prématuré de 9,4% (60 naissances sur 636), une incidence de 3,2% de petite taille pour l'âge gestationnel et une incidence de 2,2% de défauts de naissance (16 naissances sur 724).
Un autre problème avec le papier de Shimabukuro
Un autre détail mineur trouvé dans les notes de papier de Shimabukuro pour réduire et cacher le risque de fausse couche. Les auteurs affirment que le taux normal de fausse couche dans la littérature publiée est compris entre 10 % et 26 %.
Toutefois, le taux de 26 % comprend des grossesses cliniquement non reconnues et, étant donné que la cohorte sous enquête ne comprenait que des grossesses de grossesse cliniquement - significatives, des femmes qui savaient qu'ils étaient enceintes - cette statistique de 26 % ne s'applique pas. Fondamentalement, il est inclus de vous confondre à croire que l'incidence de la fausse couche est bien supérieure à ce qu'elle est réellement.
En examinant des données statistiques, le risque de fausse couche tombe d'un taux de risque moyen global de 21,3 % pour la durée de la grossesse dans son ensemble, à seulement 5 % entre les semaines 6 et 7, jusqu'à 1% entre les semaines 14 et 20.13
Ainsi, lorsque vous considérez que le risque normal de fausse couche n'est que de 5% au moment où vous entrez la semaine 6 (et de nombreuses femmes ne réalisent même pas qu'ils sont enceintes avant cette période), un risque de fausse couche de 82% à 91% est Aucune augmentation négligeable. Cela devrait également faire comprendre à chacun de se rendre compte que la recommandation de cette injection aux femmes enceintes est un crime répréhensible contre l'humanité.
Donner aux femmes enceintes Les thérapies à base de gènes expérimentaux sont irresponsables de manière répréhensible et suggérer que les données de sécurité sont "accumulées" n'est que de la propagande pure. Tout est toujours dans la phase expérimentale et toutes les données sont préliminaires. Cela prendra des années pour obtenir une image plus claire de la manière dont ces injections affectent les jeunes femmes et leurs bébés.
Compte tenu des preuves présentées ici, nous suggérons le retrait immédiat de l'utilisation de la vaccin contre l'ARNm pendant la grossesse (catégorie x) et ceux qui allaitent, parallèlement au retrait des vaccins d'ARNm aux enfants ou à celles de l'âge de l'enfant dans la population en général ... ~ Science, Santé publique Politique, et la loi, novembre 2021 Les femmes de l'allaitement doivent également être conscientes que l'ARNm du tir Covid, ainsi que la protéine Spike, peuvent transférer le lait maternel. C'est un autre moyen par lequel les nourrissons peuvent être mis à risque de problèmes de santé aigu et / ou à long terme. Donc, si vous avez eu un coup de covideur après avoir donné naissance, veuillez comprendre que vous ne transférez pas d'anticorps protecteurs.
Vous transférez le vaccin lui-même et la protéine toxique de la pointe de votre corps produit, à votre bébé. En mars 2020, un bébé âgé de 5 mois est mort de la thrombocytopénie thrombocytopénie thrombotique dans les jours suivant sa mère qui a reçu sa deuxième dose du vaccin contre Pfizer.14,15 En plus de cet étui mortel, il y a au moins 72 autres cas où les tout-petits ont avait une réaction indésirable au lait maternel d'une mère vaccinée.16
En terminant, je vous exhorte à lire ces points forts sélectionnés de la science, de la politique de santé publique et du document de droit: 17
«Les conclusions balayantes de la sécurité que Shimabukuro et al. (2021) Ne sont pas convaincants ... [m] des mécanismes qui peuvent être perturbés par l'injection comprennent la syncytine-1 (Syn1), une protéine fusogène d'origine rétrovirale, essentielle à la fusion cellulaire et au développement placentaire.
Des études sont nécessaires pour déterminer si l'ARNm a codé la protéine HR1 (ou HR1A28) ou HR2 a la capacité d'inhiber par inadvertance Syn1, empêchant ainsi la fusion de cellules requise pour la fixation placentaire, entraînant une perte de grossesse.
Les études de rongeurs effectuées par Pfizer et Moderna pour déterminer s'il pouvait être un impact sur la fécondité et le développement peut être répété dans les primates du vieux monde, tels que les macaques, car ils ont des protéines Syn1 et Syn2 similaires à l'homme, tandis que les rats ne le font pas. .
La présence d'autoantibodies à Syn1 a été étudiée par Mattar et al., Et bien qu'un changement de base de base d'autoanticie à syn1 se produisit dans les 15 femmes enceintes exposées à la première dose du produit Pfizer-Biontech, le changement n'a pas été jugé suffisamment élevé pour être considéré comme biologiquement significatif.
Compte tenu de la petite taille de l'échantillon, ces résultats peuvent indiquer que d'autres enquêtes sont nécessaires. En outre, une expression SYN1 altérée est associée à la pré-éclampsie, à l'hémolyse, aux enzymes hépatiques élevées et au syndrome de basse plaque bas, à la restriction de la croissance intra-utérine et au diabète gestationnel dans les études d'observation.
SyncTyin-1 est également requis pour la fusion Gametete (récepteurs SYN1 et ACET2 présents dans le sperme et les ovocytes) et, en outre, trouvé dans les testicules34 et les ovaires. Dans la société COMIRNATY (Pfizer / Biontech Vaccine ARNA) Insert soumis à la Food and Drug Administration (FDA), les fabricants indiquent que la déficience potentielle de la fertilité masculine n'a pas été évaluée ...
Nous interrogeons les conclusions du Shimabukuro et al. Étudiez pour soutenir l'utilisation du vaccin contre l'ARNm en début de grossesse ... L'hypothèse selon laquelle l'exposition à la cohorte du troisième trimestre est représentative de l'effet de l'exposition pendant la grossesse est discutable et ignore l'expérience passée de médicaments tels que la thalidomide.
La preuve de la sécurité du produit lorsqu'elle est utilisée dans les premier et deuxième trimestres ne peut être établie tant que ces cohortes ont été suivies au moins la période périnatale ou la sécurité à long terme déterminée pour l'un des bébés nés pour les mères inoculées pendant la grossesse.
De plus, le fabricant du produit, Pfizer, contredit ces assurances, indiquant: "Les données disponibles sur la COMIRNATY administrées aux femmes enceintes sont insuffisantes pour éclairer les risques liés à la grossesse" et "on ignore si la comirnaty est excrétée dans le lait maternel" comme Les données ne sont pas disponibles pour évaluer les effets de la comirnaty sur le nourrisson allaire "...
En raison de la nature du déploiement de la vaccination contre l'ARNm, les prestataires de soins de santé doivent signaler toute question de la grossesse pour déterminer davantage la sécurité de ce produit ...
Compte tenu des preuves présentées ici, nous suggérons le retrait immédiat de la consommation de vaccin contre l'ARNm pendant la grossesse (catégorie X) et de ces allaiter, parallèlement au retrait des vaccins d'ARNm aux enfants ou à celles d'âge de l'âge de la population en général, jusqu'à ce que des données plus convaincantes concernant Aux impacts de sécurité et de longue durée sur la fécondité, la grossesse et la reproduction sont établis dans ces groupes. "
Sources and References
1 Instagram Florian Dagoury 2 Thecovidworld.com Florian Dagoury 3 thecovidworld.com Jeremy Chardy 4 Open VAERS Summary Report November 19, 2021 5 SKirsch.io/vaccine-resources 6 Open VAERS Reproductive Health Data as of November 19, 2021 7, 11, 12, 17 Science, Public Health Policy, and the Law November 2021; 4: 130-143 8, 9, 10 NEJM 2021; 384: 2273-2282 13 Medical News Today January 12, 2020 14 Twitter Alex Berenson April 23, 2021 15 Twitter VAERS detail 16 Medalerts.org 11/5/2021 VAERS data
Covid-19 : Pourquoi et comment les initiateurs du confinement mondial pourraient être poursuivis pour Crimes contre l'Humanité
RépondreSupprimerpar Julien G.
05 déc. 2021
Des centaines d'avocats et de médecins ont uni leurs forces pour poursuivre les CDC (Centres pour le Contrôle et la prévention des Maladies), l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et le Groupe de Davos (Forum Economique Mondial) pour crimes contre l'humanité, dans ce qu'il convient d'appeler un « second tribunal de Nuremberg ».
Reiner Fuellmich et son équipe ont collecté des milliers de preuves scientifiques attestant du manque de fiabilité total des tests PCR et de la fraude qui les sous-tend. Le 15 novembre dernier, Fuellmich a été l'invité d'une commission d'enquête parlementaire polonaise sur le Covid-19, à Varsovie.
1. Le plus grand procès de l'histoire depuis celui de Nuremberg se prépare...
Humansarefree en a fait état en mars : les technocrates qui ont poussé les gouvernements à confiner leurs citoyens doivent-ils être jugés pour crimes contre l'humanité ?
C'est en tout cas ce que pense une équipe de plus de centaines d'avocats et d'experts médicaux dirigée par l'Allemand Reiner Fuellmich, l'un des avocats les plus puissants d'Europe, a lancé la plus grande action en justice de l'histoire contre l'OMS (Organisation mondiale de la santé) et le Davos Group (Forum économique mondial dirigé par Klaus Schwab, plus de 80 ans) pour crimes contre l'humanité.
Le Dr Reiner Fuellmich est un avocat germano-américain, c'est lui qui a gagné des procès de plusieurs millions de dollars contre la fraude de la Deutsche Bank et celui contre Volkswagen pour la fraude au Dieselgate.
Il est membre fondateur du "Comité Corona".
Beaucoup d'informations erronées ont circulé sur l'action qu'il mène avec un groupe d'avocats de plusieurs pays et il très conscient du fait que la désinformation fait rage et sert possiblement à dénigrer ou dévaloriser l'action que son groupe mène.
C'est pourquoi Il a confirmé qu'il y aura un procès, mais ce ne sera pas un Nuremberg 2.0 mais plutôt un Tribunal International établi spécifiquement pour la crise du Corona.
Dans une interview, Fuellmich expose sa vision des choses, dont voici quelques extraits :
« Selon l'article 147, la conduite d'expériences biologiques sur des humains est une violation grave de la Convention. »
« Le vaccin « expérimental » viole les 10 codes de Nuremberg qui prévoient la peine de mort pour ceux qui violent ces traités internationaux. »
Fuellmich a également ajouté que tout cela était déjà prévu depuis un certain temps pour être « mis en œuvre en 2050 »
Il pense que c'est dans cette précipitation qu'ils font tant d'erreurs. Par exemple, « les fabricants de vaccins n'avaient pas prévu qu'il y aurait autant d'effets secondaires et de décès »
RépondreSupprimer"L'Europe est le principal champ de bataille de cette guerre. C'est parce qu'elle est complètement en faillite. Les fonds de pension ont été complètement pillés. C'est pourquoi ils veulent mettre l'Europe sous contrôle avant que les gens sachent ce qui se passe" poursuit Fuellmich.
Mais qui sont ces gens qui tirent les ficelles ? « C'est un groupe d'environ 3 000 super-riches. Ce groupe comprend, entre autres, la clique de Davos autour de Klaus Schwab », selon Fuellmich.
Ce qu'ils veulent? « Le contrôle total sur les personnes. Ils soudoient les médecins, le personnel hospitalier et les politiciens »
« Les personnes qui ne coopèrent pas sont menacées. Ils utilisent toutes sortes de techniques psychologiques pour manipuler les gens ».
« Les médias grand public racontent une fausse réalité, affirmant que la majorité des gens sont favorables aux mesures et aux vaccins », conclut Fuellmich.
« Ce n'est certainement pas vrai. »
« Presque tout le monde à qui je parle en Allemagne sait, par exemple, qu'un masque ne protège de rien, c'est parce que maintenant presque tout le monde est informé via les médias alternatifs. Les vieux médias sont en train de mourir ».
Pour affirmer ces propos, il a mené plus de 150 interviews avec des experts du monde entier, tels que le Pr Luc Montagnier et Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, pour en arriver à la conclusion que "tout ceci n'a rien de sanitaire, et n'a jamais rien eu de sanitaire".
Il revient notamment sur l'aspect économique de la pandémie, en montrant que "ceux qui récupèrent actuellement des parts de marchés dans le monde, sont aussi ceux, si on suit l'argent, qui sont derrière ce qui est en train de se passer".
Selon lui, les PME, notamment occidentales, sont en train d'être phagocytées par les géants économiques tels qu'Amazon ou rachetées par les chinois.
Toujours selon lui, les populations du monde entier se rendent petit à petit compte que les gouvernements continuent de placer leurs pions pour contrôler leur "vie quotidienne".
En assemblant tous les éléments qu'il liste, il en arrive à la conclusion que : "Tout ceci n'est pas un accident. C'est intentionnel."
2.« L'arnaque » des tests PCR
La guerre a éclaté dans la littérature scientifique qui frappe le noyau existentiel de Covid-19 et son virus causal proposé.
Au cœur de la controverse se trouve le fait que les créateurs du test le plus couramment utilisé, la RT-PCR, ont publié des instructions sur la manière de tester le CoV-2 du SRAS « sans avoir de matériel viral disponible », selon leurs propres termes, en se basant plutôt sur la séquence génétique des scientifiques chinois publiée sur Internet
L'article « Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par PCR en temps réel » a été publié 24 heures après avoir été soumis à Eurosurveillance, échappant clairement à l'examen des pairs.
Ses auteurs principaux étaient Christian Drosten et Victor Corman, d'où le titre « article Corman-Drosten ».
Il a fourni la « recette », ou le flux de travail pour le test de diagnostic Covid-19, rapidement appliqué dans le monde entier, après qu'il ait été accepté comme norme de test par l'OMS.
RépondreSupprimerLa vérité se révèle dans les chiffres, a déclaré M. Fuellmich, citant des chiffres qui montrent que le COVID-19 n'a pas provoqué d'augmentation statistiquement significative du nombre de décès en 2020 par rapport aux années précédentes.
Le groupe d'avocats et de médecins affirment que les tests utilisés pour identifier le COVID-19 étaient défectueux et qu'ils ont été utilisés pour commettre des crimes contre l'humanité.
Fuellmich et son équipe présentent les tests PCR comme défectueux, et affirment que l'ordre donné aux médecins de qualifier tout décès par comorbidité comme un décès Covid, comme une fraude.
Le test PCR n'a jamais été conçu pour détecter des agents pathogènes et son résultat est inexact dans presque 100% des cas à 35 cycles. Tous les tests PCR contrôlés par le CDC sont réglés entre 37 et 45 cycles.
Même le CDC reconnaît que les tests de plus de 28 cycles ne permettent pas d'obtenir un résultat positif fiable.
Cela invalide plus de 90 % des prétendus cas de « contaminations » par le Covid détectés par l'utilisation de ce test défectueux.
Au cours des mois pénibles qui ont suivi, au milieu des fermetures d'usines, de l'effondrement économique, des fermetures d'écoles et de la panique générale, peu de gens étaient conscients des immenses problèmes que posait le papier, qui proposait tragiquement une méthode de test qui donnerait entre 80 et 97 pour cent de faux résultats positifs, en raison de l'absence d'un étalon-or qui serait le virus lui-même.
Tout a commencé le 30 novembre 2020, lorsque le document de base de Corman-Drosten a été remis en question par 22 scientifiques internationaux qui ont écrit une lettre demandant la rétractation du document, ainsi qu'une critique approfondie citant 10 erreurs dans le document qu'ils jugeaient « fatales ».
Intitulé « L'examen externe par les pairs du test RTPCR pour détecter le SRAS-Cov-2 révèle 10 failles majeures au niveau moléculaire et méthodologique : L'auteur principal de l'article est le Dr Pieter Borger, un expert en biologie moléculaire de l'expression des gènes. Plusieurs autres noms estimés sont associés à cet article, notamment celui du Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et critique sans détour d'une grande partie de la soi-disant science qui se cache derrière les mesures de verrouillage, de masquage et de fermeture des écoles prises par l'OMS à l'échelle mondiale.
Reiner Fuellmich a déclaré dans une interview : « Nous pensons que pour faire s'écrouler ce château de cartes, nous devons nous attaquer au test PCR. Le fait est qu'il n'y a pas d'infections asymptomatiques ».
Cette affirmation aurait été étayée par un article de Wuhan, publié par Nature.com, qui n'a trouvé aucun « virus viable » dans les cas de PCR positifs.
3. Un « Nuremberg 2.0 » en Pologne ?
RépondreSupprimerLe 15 novembre dernier, Me Reiner Fuellmich a été l'invité d'une commission d'enquête parlementaire polonaise sur le Covid-19.
À Varsovie, il a ainsi participé à l'inauguration du projet "Nuremberg 2.0", à l'initiative de cette même commission, qui se trouve être un think-tank d'intellectuels polonais. On y retrouve par exemple Grzegorz Braun, le professeur Mirosław Piotrowski, Paweł Skutecki et Me Jacek Wilk, secondés par les avocats Arkadiusz Tetela, Krzysztof Łopatowski et Jarosław Litwin.
En description du vidéo retraçant la conférence (de trois heures), le projet est ainsi présenté :
« Une initiative citoyenne née tant de l'urgence du moment que d'un cri du cœur. L'objectif est de pousser les Polonais conscients et responsables à rassembler la documentation qui décrit les délits, violations du droit, abus et omissions des autorités et à témoigner au sujet des tragédies individuelles dont le public général n'est peut-être pas au courant aujourd'hui...
[...] Nous allons nous-mêmes rassembler et classer la documentation ; nous préparons des actions en justice où les accusations sont spécifiées, et nous agirons en justice contre les fauteurs directs ou indirects des délits en question. Nous dresserons également des archives de documentation professionnelle, sur lequel fondement nous publierons des annales juridiques intitulées "Les annales Nuremberg 2.0" ».
Ce projet a été lancé suite aux « décisions du gouvernement polonais, et plus spécifiquement celles du ministère de la Santé et des agences qui lui sont subordonnées, qui ont causé de graves préjudices et injustices, dont la plupart des victimes sont des Polonais - des citoyens de la République de Pologne. »
Concernant son titre, qui paraîtra sûrement provocateur pour certains lecteurs, les auteurs précisent qu'il « fait référence aux procès que rapportent les livres d'histoire, où le système NSDAP du Troisième Reich a été poursuivi pour les délits perpétrés par ceux qui portaient les politiques et ordonnances mises en œuvre par ledit système. Le nom du projet est purement symbolique ».
Le lendemain de la conférence, les instigateurs du projet ont rédigé une « Déclaration de Varsovie contre le nouveau totalitarisme », qui marque les débuts de ces travaux.
Ce document conclu ainsi :
« Il est de notre devoir de résister à l'autorité qui abuse de ses prérogatives, de même qu'il est nécessaire de lutter contre la dictature sous toutes ses formes. Nous ne protestons pas uniquement contre les différentes formes de harcèlement, mais avant tout contre la puissance tyrannique qui n'a pas de nom qui gouverne aujourd'hui le monde de la finance, des médias, de la surveillance policière et de la politique.
La dignité humaine, la vérité et la loi naturelle ne pourront pas à titre définitif perdre contre le nouveau totalitarisme. Restons fermement aux côtés des valeurs humaines les plus précieuses. Soyons unis, gardons le courage et soyons actifs. Nous allons certainement gagner ! »
https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/12/05/covid-19-pourquoi-et-comment-les-initiateurs-du-confinement-mondial-pourraient-etre-poursuivis-pour-crimes-contre-lhumanite/
Fausses couches et autres effets secondaires tragiques des coups d'ARNm
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
9 décembre 2021
À chaque jour passant, la liste des personnes souffrant de conséquences tragiques des thérapies de gènes romantiques commercialisées comme des "vaccins" Covid devient plus longtemps. Les manchons d'athlètes professionnels et amateurs se sont effondrés et sont morts au cours des dernières semaines et les médias traditionnels agissent comme si ces choses sont normales ou inexplicables.
Ils ne sont ni. Ils sont anormaux et totalement explicables lorsque vous savez comment le tir Covid détruit votre cœur et bouque votre sang. Parmi les dernières victimes est Florian Dagoury, titulaire du record du monde en matière d'aptitude à haleine statique. Avant son pfizer Jabs, il a pu tenir son souffle pendant 10 minutes et 30 secondes.
Après sa deuxième dose, sa performance de plongée a été réduite d'environ 30%, et il a été diagnostiqué avec une myocardite, une péricardite et une régurgitation mitrale triviale, une condition dans laquelle la vanne mitrale dans le cœur devient fuite, permettant au sang de s'écouler en arrière dans le ventricule gauche .
Dagoury a partagé son expérience sur Instagram: 1,2
«Après ma 2e dose, j'ai remarqué que ma fréquence cardiaque était bien supérieure à la normale et que mes capacités de respiration ont diminué de manière significative. Pendant le sommeil, je suis à 65-70 poudre au lieu de 37-45 ppm. Pendant la journée, je suis maintenant toujours de plus de 100 mois au lieu de 65 ppm, même lorsque je m'assieds et me détends. Une fois que j'ai même atteint [ed] 177 ppm tout en dînant avec des amis!
Dix jours après mon 2nd Jab, je suis allé voir un cardiologue et il m'a dit que c'est un effet secondaire commun du vaccin contre Pfizer, rien à craindre, il suffit de reposer, il passera. 40 jours après le 2e jab, je n'avais pas de progrès, je suis donc allé voir un autre cardiologue et j'ai reçu un diagnostic de myocardite et de régurgitation du mitral trivial!
Qui est essentiellement une inflammation des muscles cardiaques causés par le système immunitaire et de minuscules fuites de sang des vannes qui ne se ferment plus correctement. Je me lance maintenant pour atteindre 8 minutes de souffle, 150m Dyn [Apnée Amic Apnea) et j'ai même une forte envie de respirer [E] faire des plongées de 40 m. 30% diminuent de ma performance de plongée. "
De nombreux athlètes perdent leur carrière
Les autres athlètes professionnels dont les carrières sont maintenant en attente comprennent le joueur de tennis français Jeremy Chardy, qui a commenté sa situation: 3
«Depuis que j'ai eu mon vaccin ... je me débats. Je ne peux pas m'entraîner. Je ne peux pas jouer ... c'est frustrant, surtout que je n'ai pas 10 ans à jouer. Je regrette d'avoir le vaccin, mais je n'aurais pas pu savoir que cela se produirait ... c'est difficile parce que je m'amusais et je veux jouer plus longtemps. "
Une autre est Antoine Mechin, une triathlète âgée de 32 ans dont la carrière est en attente indéfinie, car il a développé de l'embolie pulmonaire après avoir pris sa deuxième dose de moderna. Ce qui en fait d'autant plus tragique est que Mechin a souffert de douleur et d'essoufflement après le premier coup, mais on lui dit que ses symptômes étaient probablement simplement stressant et fatigue. Il est allé avec la seconde et a maintenant de graves dégâts pulmonaires. Mechin a dit:
"Dommageant des personnes en bonne santé à préserver la santé des plus faibles, un choix de logique arrière. Je ne serais plus vacciné s'il devait être fait à nouveau. "
RépondreSupprimerLe plus grand signal de sécurité dans l'histoire de la médecine
Par toute mesure objective, les tirs de Covid sont les médicaments les plus dangereux jamais lancés. Le signal de sécurité est absolument massif. Voici un résumé de la capture d'écran de Openvaers 'Novembre 19 novembre, Rapport (Dernières disponibles au moment de cet article), 4 annoncez certains des effets les plus courants rapportés à la suite de la JAB Covid.
Selon les calculs de Steve Kirsch, directeur exécutif du Fonds de traitement anticipé Covid-19, des événements indésirables sont sous-déclarés de manière conservatrice d'un facteur de 41,5 afin qu'il soit possible de multiplier ces chiffres d'ici 41 pour se rapprocher de l'impact du monde réel .
Pour une illustration visuelle de la dangereuse des tirs de Covid, comparativement à tous les autres vaccins du marché, il suffit de regarder ce graphique openvaers. Il parle pour lui-même.
Signal de sécurité ignoré: fausse couche post-injection
Pendant que nous commençons à en apprendre davantage sur les dommages causés au cœur et les caressons, les coups de covidation provoquent, un effet troublant qui n'atteint pas l'attention qu'elle mérite est une fausse couche. Au 19 novembre 2021, 3 071 fausses couches ont été signalées au système de reporting d'événements indésirables aux États-Unis (VAERS). Il y avait aussi: 6
18,024 cas de troubles menstruels
6 654 cas d'hémorragie vaginale / utérine
1 216 cas de douleur ou de gonflement testiculaire
395 cas de dysfonctionnement érectile
Tous ces effets indiquent les tirs ayant un impact négatif sur la santé de la reproduction humaine. Un document récent7 dans la science, la politique de santé publique et la loi traite des préoccupations en matière de procréation, notant que «l'utilisation des vaccins d'ARNm pendant la grossesse est maintenant généralement considérée comme sûre ... L'article influent parrainé par le CDC de Shimabukuro et. al.8 (2021) Utilisé pour soutenir cette idée, sur une inspection plus proche, fournit peu d'assurance ... "
En particulier, obtenir le tir Covid au cours des 20 premières semaines de grossesse est extrêmement risqué - le risque de fausse couche est entre 82% et 91% - mais Shimabukuro et. Al. caché cette superbe découverte dans leur papier9. Voici comment ils l'ont fait.
Comment Shimabukuro et. Al. Caché signal de sécurité massive
Selon Shimabukuro et. Al., 10 Le taux de fausse couche dans les 20 premières semaines de la grossesse était de 12,6% (104 fausses couches sur 827 grossesses), ce qui n'est que légèrement au-dessus de la moyenne normale de 10%. Cependant, il y a un problème distinct avec ce calcul. Comme expliqué dans la science, la politique de santé publique et le document de droit: 11
"... une inspection plus étroite des 827 femmes du dénominateur de ce calcul révèle qu'entre 700 à 713 femmes ont été exposées au vaccin après que le délai d'enregistrement du résultat s'était écoulé (jusqu'à 20 semaines de grossesse)."
Pour clarifier, Shimabukuro et. Al. Les femmes incluses dans le groupe de 827 qui n'ont effectivement pas tiré le tir au cours de leurs 20 premières semaines de grossesse. Comme ils n'ont pas eu le tir avant la grossesse, ils n'auraient pas été menacés pour une fausse couche du tir au premier trimestre.
Mettez un autre moyen, car le troisième trimestre est après la semaine 20, vous ne devriez pas inclure les femmes qui ont obtenu le tir au troisième trimestre lorsque vous essayez de déterminer le taux de fausse couche entre ceux injectés avant la semaine 20. J'espère que cela est clair.
RépondreSupprimerSi vous n'incluez que les femmes qui étaient à risque d'effets secondaires au cours des 20 premières semaines, car elles ont eu le tir au cours de ces 20 premières semaines, il n'y a que 114 ou, au plus, 127 d'entre eux sont restés dans ce groupe. Et cela change considérablement le calcul! Ce que nous avons réellement, 104 fausses couches sur 127, ce qui est de 82%, soit éventuellement aussi élevé que 104 sur 114, soit 91%.
Parmi ces 104 fausses couples, 96 d'entre elles ont eu lieu avant 13 semaines de gestation, ce qui suggère fortement que l'obtention d'un tir Covid au cours du premier trimestre est une recette absolue pour la catastrophe.
La science, la politique de santé publique et le document de droit soulignent plusieurs autres problèmes liés à l'analyse de Shimabukuro qui composé la confusion, y compris le fait qu'ils utilisaient des périodes de chevauchement de l'exposition et des résultats:
«L'exposition au vaccin a été définie par le trimestre (perïpente, premier, deuxième et troisième). Les résultats ont été définis comme des femmes d'abord exposées au vaccin contre l'ARNm avant 20 semaines de gestation; et d'abord exposé de la gestation de 20 semaines. Le nourrisson a été suivi pendant 28 jours pendant la période périnatale (naissance-28 jours). "12
Cela me frappe comme une stratégie intentionnelle de mauvaiseidation pour confondre et obscurcir. Ils auraient facilement pu utiliser les mêmes périodes d'exposition et de résultat, soit les trois trimestres, soit des semaines 1 à 20 ans et des semaines 21 à 40.
D'autres statistiques d'événements indésirables comprenaient un taux de natalité prématuré de 9,4% (60 naissances sur 636), une incidence de 3,2% de petite taille pour l'âge gestationnel et une incidence de 2,2% de défauts de naissance (16 naissances sur 724).
Un autre problème avec le papier de Shimabukuro
Un autre détail mineur trouvé dans les notes de papier de Shimabukuro pour réduire et cacher le risque de fausse couche. Les auteurs affirment que le taux normal de fausse couche dans la littérature publiée est compris entre 10 % et 26 %.
Toutefois, le taux de 26 % comprend des grossesses cliniquement non reconnues et, étant donné que la cohorte sous enquête ne comprenait que des grossesses de grossesse cliniquement - significatives, des femmes qui savaient qu'ils étaient enceintes - cette statistique de 26 % ne s'applique pas. Fondamentalement, il est inclus de vous confondre à croire que l'incidence de la fausse couche est bien supérieure à ce qu'elle est réellement.
RépondreSupprimerEn examinant des données statistiques, le risque de fausse couche tombe d'un taux de risque moyen global de 21,3 % pour la durée de la grossesse dans son ensemble, à seulement 5 % entre les semaines 6 et 7, jusqu'à 1% entre les semaines 14 et 20.13
Ainsi, lorsque vous considérez que le risque normal de fausse couche n'est que de 5% au moment où vous entrez la semaine 6 (et de nombreuses femmes ne réalisent même pas qu'ils sont enceintes avant cette période), un risque de fausse couche de 82% à 91% est Aucune augmentation négligeable. Cela devrait également faire comprendre à chacun de se rendre compte que la recommandation de cette injection aux femmes enceintes est un crime répréhensible contre l'humanité.
Donner aux femmes enceintes Les thérapies à base de gènes expérimentaux sont irresponsables de manière répréhensible et suggérer que les données de sécurité sont "accumulées" n'est que de la propagande pure. Tout est toujours dans la phase expérimentale et toutes les données sont préliminaires. Cela prendra des années pour obtenir une image plus claire de la manière dont ces injections affectent les jeunes femmes et leurs bébés.
Compte tenu des preuves présentées ici, nous suggérons le retrait immédiat de l'utilisation de la vaccin contre l'ARNm pendant la grossesse (catégorie x) et ceux qui allaitent, parallèlement au retrait des vaccins d'ARNm aux enfants ou à celles de l'âge de l'enfant dans la population en général ... ~ Science, Santé publique Politique, et la loi, novembre 2021
Les femmes de l'allaitement doivent également être conscientes que l'ARNm du tir Covid, ainsi que la protéine Spike, peuvent transférer le lait maternel. C'est un autre moyen par lequel les nourrissons peuvent être mis à risque de problèmes de santé aigu et / ou à long terme. Donc, si vous avez eu un coup de covideur après avoir donné naissance, veuillez comprendre que vous ne transférez pas d'anticorps protecteurs.
Vous transférez le vaccin lui-même et la protéine toxique de la pointe de votre corps produit, à votre bébé. En mars 2020, un bébé âgé de 5 mois est mort de la thrombocytopénie thrombocytopénie thrombotique dans les jours suivant sa mère qui a reçu sa deuxième dose du vaccin contre Pfizer.14,15 En plus de cet étui mortel, il y a au moins 72 autres cas où les tout-petits ont avait une réaction indésirable au lait maternel d'une mère vaccinée.16
Il y a beaucoup de cause à une inquiétude
RépondreSupprimerEn terminant, je vous exhorte à lire ces points forts sélectionnés de la science, de la politique de santé publique et du document de droit: 17
«Les conclusions balayantes de la sécurité que Shimabukuro et al. (2021) Ne sont pas convaincants ... [m] des mécanismes qui peuvent être perturbés par l'injection comprennent la syncytine-1 (Syn1), une protéine fusogène d'origine rétrovirale, essentielle à la fusion cellulaire et au développement placentaire.
Des études sont nécessaires pour déterminer si l'ARNm a codé la protéine HR1 (ou HR1A28) ou HR2 a la capacité d'inhiber par inadvertance Syn1, empêchant ainsi la fusion de cellules requise pour la fixation placentaire, entraînant une perte de grossesse.
Les études de rongeurs effectuées par Pfizer et Moderna pour déterminer s'il pouvait être un impact sur la fécondité et le développement peut être répété dans les primates du vieux monde, tels que les macaques, car ils ont des protéines Syn1 et Syn2 similaires à l'homme, tandis que les rats ne le font pas. .
La présence d'autoantibodies à Syn1 a été étudiée par Mattar et al., Et bien qu'un changement de base de base d'autoanticie à syn1 se produisit dans les 15 femmes enceintes exposées à la première dose du produit Pfizer-Biontech, le changement n'a pas été jugé suffisamment élevé pour être considéré comme biologiquement significatif.
Compte tenu de la petite taille de l'échantillon, ces résultats peuvent indiquer que d'autres enquêtes sont nécessaires. En outre, une expression SYN1 altérée est associée à la pré-éclampsie, à l'hémolyse, aux enzymes hépatiques élevées et au syndrome de basse plaque bas, à la restriction de la croissance intra-utérine et au diabète gestationnel dans les études d'observation.
SyncTyin-1 est également requis pour la fusion Gametete (récepteurs SYN1 et ACET2 présents dans le sperme et les ovocytes) et, en outre, trouvé dans les testicules34 et les ovaires. Dans la société COMIRNATY (Pfizer / Biontech Vaccine ARNA) Insert soumis à la Food and Drug Administration (FDA), les fabricants indiquent que la déficience potentielle de la fertilité masculine n'a pas été évaluée ...
Nous interrogeons les conclusions du Shimabukuro et al. Étudiez pour soutenir l'utilisation du vaccin contre l'ARNm en début de grossesse ... L'hypothèse selon laquelle l'exposition à la cohorte du troisième trimestre est représentative de l'effet de l'exposition pendant la grossesse est discutable et ignore l'expérience passée de médicaments tels que la thalidomide.
La preuve de la sécurité du produit lorsqu'elle est utilisée dans les premier et deuxième trimestres ne peut être établie tant que ces cohortes ont été suivies au moins la période périnatale ou la sécurité à long terme déterminée pour l'un des bébés nés pour les mères inoculées pendant la grossesse.
De plus, le fabricant du produit, Pfizer, contredit ces assurances, indiquant: "Les données disponibles sur la COMIRNATY administrées aux femmes enceintes sont insuffisantes pour éclairer les risques liés à la grossesse" et "on ignore si la comirnaty est excrétée dans le lait maternel" comme Les données ne sont pas disponibles pour évaluer les effets de la comirnaty sur le nourrisson allaire "...
RépondreSupprimerEn raison de la nature du déploiement de la vaccination contre l'ARNm, les prestataires de soins de santé doivent signaler toute question de la grossesse pour déterminer davantage la sécurité de ce produit ...
Compte tenu des preuves présentées ici, nous suggérons le retrait immédiat de la consommation de vaccin contre l'ARNm pendant la grossesse (catégorie X) et de ces allaiter, parallèlement au retrait des vaccins d'ARNm aux enfants ou à celles d'âge de l'âge de la population en général, jusqu'à ce que des données plus convaincantes concernant Aux impacts de sécurité et de longue durée sur la fécondité, la grossesse et la reproduction sont établis dans ces groupes. "
Sources and References
1 Instagram Florian Dagoury
2 Thecovidworld.com Florian Dagoury
3 thecovidworld.com Jeremy Chardy
4 Open VAERS Summary Report November 19, 2021
5 SKirsch.io/vaccine-resources
6 Open VAERS Reproductive Health Data as of November 19, 2021
7, 11, 12, 17 Science, Public Health Policy, and the Law November 2021; 4: 130-143
8, 9, 10 NEJM 2021; 384: 2273-2282
13 Medical News Today January 12, 2020
14 Twitter Alex Berenson April 23, 2021
15 Twitter VAERS detail
16 Medalerts.org 11/5/2021 VAERS data
https://www.lewrockwell.com/2021/12/joseph-mercola/miscarriages-and-other-tragic-side-effects-of-the-mrna-shots/