- ENTREE de SECOURS -



samedi 4 décembre 2021

🚨 LE CHEMIN POUR SORTIR DU TRAUMATISME - Reiner Füllmich, Ariane Bilhéran, Viviane Fischer💣️ 22 Novembre 2021

Coupures de son (en français) sur Odysee (Google).

Comme le dit la Dr en Psychopathologie Ariane Bilheran "Nous sommes tous constitué de virus" (c-à-dire de poussières). (D'où, l')Éradication impossible du virus.

31:30 Reiner Füllmich parle de la peur des autorités d'être découvertes et condamnées face au Peuple dans 'le principe de réalité'.

https://odysee.com/@Jean-Phil:0/LeTotalitarismeEtLeD%C3%A9lireParano%C3%AFaque-ArianeBilh%C3%A9ranReinerFuellmich:4 

50 commentaires:

  1. Alerte : effondrement du récit du vaccin


    Par Vasko Kohlmayer
    4 décembre 2021


    Le fait que les vaccins injectés dans les populations du monde entier soient inutiles et ne fonctionnent pas contre le Coronavirus est de plus en plus reconnu et reconnu de différentes manières.

    Le Kennedy Center, par exemple, exige que tous les participants à son gala annuel des distinctions honorifiques, qui auront lieu ce week-end, présentent un test négatif alors même que le Centre exige également que tous soient vaccinés.

    Il s'agit d'une reconnaissance directe que les vaccins ne protégeront pas les participants contre l'infection.

    La Suisse exige désormais que les voyageurs vaccinés et non vaccinés passent des tests lorsqu'ils arrivent d'une longue liste de pays.

    C'est une autre reconnaissance que les vaccins ne protègent pas contre l'infection.

    Le Royaume-Uni commencera à administrer le quatrième coup de Covid aujourd'hui. Ceci en moins d'un an !

    C'est un aveu qui donne à réfléchir que les trois coups précédents n'ont pas réussi à générer une protection adéquate contre le coronavirus.

    L'intervalle entre le deuxième et le troisième coup était de six mois. L'intervalle entre le troisième et le quatrième coup est maintenant de trois mois. Combien de temps pensez-vous que le quadruple piqué sera protégé ? Quel sera l'intervalle entre le quatrième et le cinquième coup ?

    Il y a moins de six mois, le récit des « vaccins merveilleusement efficaces qui nous protégeront contre le virus et mettront fin à la pandémie » se propageait encore.

    Il y a à peine trois mois, Big Pharma, Fauci et leurs collaborateurs de l'establishment scientifique affirmaient encore qu'il s'agissait de "la pandémie des non vaccinés".

    Il y a seulement quelques semaines, ils affirmaient encore que les vaccins « protégeraient contre les graves Covid et la mort ».

    Nous savons maintenant que plus de quatre-vingts pour cent des personnes gravement malades et mourantes en Angleterre ont été vaccinées.

    La dure vérité est que les vaccins n'offrent pas de protection fiable contre l'infection, le Covid sévère ou la mort.

    Certaines données suggèrent en effet que les vaccins rendent les gens vulnérables à la maladie et à ses déprédations.

    Nous avons vu que certains des pays les plus vaccinés au monde ont subi des poussées généralisées de Covid 19.

    En Grande-Bretagne, huit cas graves et décès de Covid sur dix figurent parmi les doubles et triples piqûres, même si le taux de vaccination du pays est de 70 %.

    Il est temps que les gens se réveillent et reconnaissent ce qui se passe juste sous leurs yeux.

    Ce à quoi nous assistons, c'est l'effondrement en cours du récit du vaccin Covid dont chaque partie s'avère avoir été un mensonge.

    Si vous avez la mémoire longue, vous vous souvenez peut-être encore du moment où il a été dit que les vaccins étaient efficaces à 95 %.

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  2. Mais comme cette affirmation a été faite il y a des années et des mois et que de nombreuses personnes l'ont apparemment déjà oubliée, les vaccinateurs espèrent la vider de leur mémoire.

    Ils doublent même leur mise et demandent des mandats pour forcer leurs concoctions inefficaces et dangereuses dans le corps des gens.

    Ils ne doivent pas être autorisés à s'en tirer avec leur trahison.

    Il est temps de nous rappeler toutes les fausses allégations et désinformation, et d'appeler les vaccinateurs et leurs collaborateurs à rendre des comptes.

    https://www.lewrockwell.com/2021/12/vasko-kohlmayer/alert-collapsing-of-the-vaccine-narrative

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  3. Plus de preuves que la théorie du complot de Covid est un fait


    Par Paul Craig Roberts
    PaulCraigRoberts.org
    4 décembre 2021


    Les pratiques coercitives de restriction des déplacements des personnes et de vaccination obligatoire contre le Covid se répandent dans les pays autrefois libres. L'Allemagne a maintenant rejoint l'Autriche, l'Italie et l'Australie pour ressusciter le Troisième Reich.

    La ruée vers le totalitarisme est inexplicable selon le récit officiel. Toutes les autorités sanitaires reconnaissent désormais que les « vaccins » à ARNm n'empêchent pas l'infection et n'empêchent pas les vaccinés de propager l'infection. C'est la raison pour laquelle on dit aux vaccinés qu'ils ont besoin de rappels tous les 6 mois et qu'ils doivent continuer à porter les masques inefficaces. La raison pour laquelle les injections de rappel protègent alors que les injections précédentes ne le font pas n'est pas expliquée.

    Il n'est pas non plus expliqué pourquoi l'accent est mis sur la protection contre un virus qui a une très faible mortalité, tuant principalement ceux avec des morbidités existantes qui ne sont pas traités efficacement. En revanche, les systèmes de notification des vaccins indésirables aux États-Unis, au Royaume-Uni et dans l'UE révèlent un plus grand nombre de décès et de blessures dus au « vaccin » qu'à celui de Covid. Nous avons également des preuves que les jeunes qui ne sont pas mis en danger par Covid sont sérieusement mis en danger par le vaccin avec des enfants vaccinés et de jeunes stars du sport en bonne santé qui meurent de crise cardiaque. Nous avons également des preuves que le « vaccin » attaque le système immunitaire humain inné, rendant les vaccinés moins capables de repousser tous les virus et maladies comme le cancer.

    En d'autres termes, toutes les preuves sont contre la vaccination. Il n'y a aucune preuve en sa faveur.

    Alors pourquoi la coercition pour forcer une vaccination dangereuse qui ne fait que du mal ?

    Il n'est tout simplement pas possible que les agences de santé publique en Autriche, en Italie, en Allemagne et en Australie ignorent les preuves que les «vaccins» Covid sont un échec total et un danger.

    Tous les responsables de la santé publique sont-ils achetés par des pots-de-vin de Big Pharma, ou le soupçon qu'une réduction de la population mondiale est-il en cours est-il un fait plutôt qu'une théorie du complot ?

    https://www.lewrockwell.com/2021/12/paul-craig-roberts/more-evidence-that-the-covid-conspiracy-theory-is-a-fact/

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  4. Le pouvoir d'emprisonner — La vie en pays pandémique


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    4 décembre 2021


    À partir de minuit le 15 novembre 2021, l'Autriche a commencé un autre verrouillage à l'échelle nationale, apparemment pour freiner l'augmentation des cas de COVID.1 Ce qui rend ce verrouillage unique, c'est qu'il ne s'applique qu'aux résidents âgés de 12 ans et plus qui ont refusé le vaccin expérimental COVID. Une exception est faite pour les personnes non vaccinées qui se sont «récemment remises du COVID-19».

    Ils ne sont autorisés à sortir de leur porte d'entrée que pour un travail « essentiel », des achats « essentiels » (comme de la nourriture), un exercice rapide et se faire vacciner. Toutes autres activités de loisirs de plein air sont interdites. Le verrouillage affecterait environ 2 millions des 8,9 millions d'habitants.

    Des contrôles ponctuels aléatoires sont prescrits pour s'assurer qu'aucune personne en bonne santé non vaccinée n'erre dans les rues, et les amendes pour violation de l'ordre de verrouillage peuvent aller jusqu'à 1 450 € (environ 1 640 $).

    Deux jours plus tôt à peine, il avait été suggéré que le verrouillage n'affecterait que la partie nord de l'Autriche et de Salzbourg2, mais cela a rapidement changé pour inclure l'ensemble du pays. Il est difficile de voir cette action comme autre chose qu'une punition pour refus d'être un cobaye médical, étant donné que le chancelier Alexander Schallenberg a qualifié le taux de jab COVID de 65 % du pays de « honteusement bas ».3

    Qu'en pensent les Autrichiens ?

    Le premier jour de la quarantaine autrichienne des non vaxxés, Freddie Sayers de Unherd.com est descendu dans la rue pour savoir ce que les Autrichiens en pensent. Il écrit :4

    «Ce qui me frappe le plus, c'est l'inflexion de classe dans l'ensemble. Nous avons commencé ce matin dans l'une des rues commerçantes les plus chics de la vieille ville, pleine de magasins Rolex et Karl Lagerfeld dans lesquels des habitants aisés se sont alignés pour exprimer leur soutien au verrouillage. Il y a très peu de sympathie pour une minorité truculente qui est considérée comme « stupide » et « l'avoir amené sur eux-mêmes ».

    Dans la même rue, cependant, si vous approchez les personnes portant des gilets fluorescents, gardant les magasins et faisant les livraisons, vous avez tendance à obtenir une réponse différente. Ils sont plus réticents à nous parler, mais décidément moins solidaires. "C'est des conneries", fut la réponse concise d'un homme.

    Les questions sur l'efficacité pratique d'une telle mesure ne semblent pas très intéressantes. Quand je demande aux gens s'ils savent que les personnes vaccinées peuvent également contracter et transmettre le COVID, ils ont tendance à l'écarter comme un détail mineur.

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  5. Pas une seule personne dont nous avons parlé jusqu'à présent n'a évoqué le résultat pratique probable de cette nouvelle politique – il s'agit simplement d'un durcissement de la politique de passeport vaccinal qui jusqu'à présent n'a manifestement pas réussi à contenir la dernière vague d'infections…

    Je ne peux pas échapper au sentiment que la motivation est au moins en partie punitive. Ils ne comprennent pas les gens qui ne se font pas vacciner, ils ne les aiment pas et ils en ont un peu peur – donc le plus simple est de les retirer complètement de la société. »

    Les totalitaires ignorent la volonté du peuple

    Il est intéressant de noter que cette dernière série de blocages intervient malgré des protestations publiques persistantes et continues. En fait, certaines régions d'Europe organisent régulièrement des manifestations de masse depuis plus d'un an, mais les chefs de gouvernement ignorent catégoriquement la volonté du peuple et les médias grand public refusent de rendre compte de ces rassemblements.

    Et, alors que les échecs des tirs COVID deviennent de plus en plus évidents, les manifestations publiques contre les mandats et les blocages s'accélèrent. Comme le rapporte The Vaccine Reaction5, Vienne, Amsterdam, La Haye, Rome, Bruxelles, Rotterdam et d'autres villes européennes ont toutes organisé des manifestations de masse le week-end des 19 et 20 novembre 2021. Certaines de ces villes sont parmi les plus vaccinées d'Europe. . Les rapports sur la réaction au vaccin :6

    "Nov. Le 19 décembre 2021, le gouvernement autrichien a annoncé un nouveau verrouillage national de 10 à 20 jours… Le gouvernement est également devenu le premier U.E. pays à instituer la vaccination obligatoire, donnant aux citoyens une date limite au 1er février 2022 pour se faire vacciner.

    Le lendemain, des dizaines de milliers d'Autrichiens sont descendus dans les rues en sifflant, soufflant du cor et frappant du tambour à Vienne. Agitant des drapeaux autrichiens, scandant « Résistance » et brandissant des pancartes proclamant « non à la vaccination » et « ça suffit » et « à bas la dictature fasciste », ils ont marché jusqu'à la place des Héros devant l'ancien palais de la Hofburg, dans le centre de Vienne.

    Il y a eu un autre grand rassemblement le 27 novembre à Graz, Sankt Poelten et Klagenfurt. Cette fois, ils ont scandé "Paix, liberté, pas de dictature"...

    [L]e chef du parti populiste autrichien FPO, Herbert Kickl, a qualifié l'annonce de vaccination obligatoire du gouvernement d'"inconstitutionnelle" et a déclaré que "l'Autriche est désormais une dictature". « qui croit qu'il devrait penser et décider pour nous. » Il a dit :

    « ... En près de deux ans, le gouvernement n'a pas été en mesure de développer des stratégies efficaces pour protéger la population. Au lieu de cela, il a mis en place un nouveau harcèlement semaine après semaine pour restreindre petit à petit les droits fondamentaux des personnes en bonne santé. Et maintenant, nous avons atteint un niveau de vaccination obligatoire que personne ne pensait réellement possible. Nous ne pouvons et ne devons pas supporter cela.

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  6. Les Européens réclament la liberté

    Plusieurs autres pays européens sont également dans la tourmente, car leurs gouvernements ignorent la demande de liberté du peuple. L'Allemagne, qui signale également un nouveau pic de cas, préparerait une loi pour obliger les gens à travailler à domicile à moins qu'ils n'aient une « raison professionnelle impérieuse » d'être au bureau, auquel cas ils doivent prouver qu'ils ont obtenu le Jab COVID ou montrez un test PCR négatif.7

    En Belgique, qui a un taux de jab COVID de 76%, les responsables gouvernementaux ont renforcé ses restrictions COVID, déclenchant une manifestation d'au moins 35 000 personnes dans le centre de Bruxelles. Les gens criaient « Liberté ! Liberté! Liberté!" et chanter « Bella Ciao », une chanson antifasciste.8

    Le rassemblement est resté pacifique jusqu'à la toute fin, lorsqu'un petit nombre de personnes ont affronté la police, qui a sorti des gaz lacrymogènes et des canons à eau. Quarante-deux manifestants ont été arrêtés ; deux ont été arrêtés.

    Des violences ont également éclaté aux Pays-Bas lors d'une manifestation contre le verrouillage. Le 12 novembre 2021, le gouvernement a imposé des limites au nombre de personnes autorisées dans chaque foyer. Les bars, restaurants, cafés et supermarchés étaient tous confrontés à 20h00 obligatoires. fermeture et les magasins « non essentiels » ont dû fermer à 18 heures. Ils ont également annulé un certain nombre d'événements publics. Selon la réaction au vaccin :9

    "Nov. Le 19 septembre, sept personnes ont été blessées lorsque la police néerlandaise a utilisé des canons à eau et tiré sur des manifestants anti-verrouillage en lançant des pierres et des feux d'artifice, en blessant deux et en arrêtant 20 personnes lors d'une manifestation dans l'une des principales zones commerçantes de Rotterdam.

    La police anti-émeute portant des boucliers et des matraques et des officiers à cheval et dans des fourgons de police ont patrouillé dans les rues après la confrontation qui a laissé au moins une voiture de police incendiée et des dizaines de vélos détruits.

    Les gens se battent également pour la liberté en Italie, où des milliers de personnes se sont rassemblées au Circus Maximus à Rome, le 20 novembre 2021, pour protester contre l'exigence du Green Pass. Un manifestant portait une banderole qui disait : « Les gens comme nous n'abandonnent jamais.

    L'Australie, où certains des dépassements les plus ahurissants se sont produits ces dernières semaines, riposte également. Le 27 novembre 2021, Millions March against Mandatory Vaccination a organisé des manifestations dans 30 villes, dont Sydney et Melbourne, où des milliers de personnes se sont rassemblées. Ici, les manifestants portaient des pancartes disant « Ne plus jamais verrouiller » et « Moins de gouvernement, plus de liberté ».

    Les pouvoirs de quarantaine inconstitutionnels du CDC

    Partout dans le monde, nous assistons à des violations de plus en plus tyranniques des droits de l'homme et des libertés fondamentales, et alors que la Cour suprême a récemment suspendu le mandat de vaccin du président Biden pour les entreprises de 100 employés ou plus, en attendant un examen judiciaire,10,11 les Américains ne sont pas sortis des bois encore.

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  7. Comme indiqué dans un éditorial du New York Times en janvier 201712, il y a lieu de s'inquiéter de l'autorité des Centers for Disease Control and Prevention de mettre les Américains en quarantaine à volonté. À cette époque, nous ne savions pas comment ce pouvoir pouvait être utilisé. Aujourd'hui, vous n'avez pas besoin d'une imagination très vive pour voir comment ce règlement de 2017 pourrait être retiré comme une sécurité intégrée si les mandats échouent. Tel que rapporté par le NYT à l'époque :13

    « Les règles décrivent pour la première fois comment le gouvernement fédéral peut restreindre les voyages inter-États pendant une crise sanitaire, et elles établissent une surveillance interne pour savoir si une personne doit être détenue, sans fournir une voie claire et directe pour contester une ordonnance de quarantaine devant un tribunal fédéral. .

    Les autorités étatiques et locales étaient auparavant celles qui traitaient habituellement de tels problèmes pendant les épidémies… Il est impératif que chaque fois que la prochaine épidémie frappe, les mesures de santé d'urgence soient fondées sur des preuves scientifiques et guidées par des règles claires et équitables pour protéger les gens contre la privation injustifiée de leurs libertés…

    Un contrôle judiciaire rapide a toujours été important pendant les crises épidémiques. Les gens peuvent généralement contester immédiatement l'ordre de quarantaine d'un État. En effet, dans plusieurs États, le gouvernement doit obtenir l'approbation d'un juge avant de mettre quelqu'un en quarantaine.

    Malheureusement, les nouvelles règles donnent au C.D.C. une surveillance interne importante de la décision de mise en quarantaine, avec jusqu'à trois niveaux d'examen interne par les agences. Cet examen interne n'a pas de limite de temps explicite et pourrait facilement s'étendre sur des semaines pendant qu'une personne en bonne santé croupit en quarantaine.

    Et comme les tribunaux fédéraux attendent souvent qu'une agence ait terminé son processus interne avant d'envisager d'entendre un appel, nous ne saurons pas avant la prochaine crise si un juge fédéral acceptera d'entendre une pétition d'une personne détenue devant le C.D.C. l'examen est terminé. De plus, le C.D.C. dispose désormais d'une autorité légale claire pour assumer le rôle de quarantaine des États dans de nombreux cas et pour restreindre les voyages entre les États. »

    Avance rapide jusqu'à la fin d'octobre 2021, et la directrice du CDC, Rochelle Walensky, a déclaré officiellement qu'« il existe un plan » pour fournir aux travailleurs non vaccinés « une éducation et des conseils »,14 ce qui ressemble énormément à coller des personnes dans des camps de rééducation de la FEMA. Ainsi, les pouvoirs de quarantaine du CDC peuvent encore être utilisés.

    Le père fondateur des confinements

    Dans un article de la mi-novembre 2021 pour Brownstone15, Jeffrey Tucker examine comment est née l'idée de verrouillages à l'échelle nationale en réponse à une pandémie infectieuse, et de qui elle est venue de l'esprit.

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  8. Le plan de mise en quarantaine des personnes à domicile et de fermeture des entreprises privées comme forme de réponse à la pandémie a été inventé par le Dr Rajeev Venkayya, président de la Global Vaccine Business Unit chez Takeda Pharmaceuticals et ancien responsable de la politique de pandémie pour la Fondation Gates.

    Comme à presque toutes les révolutions de l'histoire, une petite minorité de fous avec une cause l'a emporté sur la rationalité humaine des multitudes… Il s'agit maintenant de reconstruire une vie civilisée qui ne soit plus si fragile qu'elle permette à des fous de tout dévaster. que l'humanité a travaillé si dur pour construire. ~ Jeffrey Tucker
    Dans son livre « The Premonition », Michael Lewis identifie Venkayya comme le « père des blocages » proverbial. En 2005, Venkayya a dirigé un groupe d'étude sur le bioterrorisme sous la direction du président de l'époque, George W. Bush, qui aurait exigé un « plan de l'ensemble de la société » pour faire face aux menaces de pandémie.

    Bush voulait quelque chose qui engloberait les frontières, les voyages et le commerce, pas seulement l'évaluation conventionnelle des menaces, la distribution de produits thérapeutiques et le développement de vaccins. La réponse de Venkayya était des blocages en gros. Mais la base de cette idée est au mieux discutable.

    Une idée dépourvue de science

    Tucker explique :16

    "Dr. Venkayya a commencé à chercher des personnes qui pourraient trouver l'équivalent domestique de l'opération Tempête du désert pour faire face à un nouveau virus. Il n'a trouvé aucun épidémiologiste sérieux pour l'aider. Ils étaient trop intelligents pour y adhérer.

    Il est finalement tombé sur le véritable innovateur du verrouillage travaillant chez Sandia National Laboratories au Nouveau-Mexique. Il s'appelait Robert Glass, un informaticien sans formation médicale, encore moins connaissant les virus. Glass, à son tour, a été inspiré par un projet d'expo-sciences sur lequel travaillait sa fille de 14 ans.

    Elle a théorisé (comme le jeu de cooties de l'école primaire) que si les écoliers pouvaient s'espacer davantage ou même ne pas être à l'école du tout, ils arrêteraient de se rendre malades.

    Glass a couru avec l'idée et a lancé un modèle de contrôle des maladies basé sur des ordonnances de séjour à domicile, des restrictions de voyage, des fermetures d'entreprises et une séparation humaine forcée. Fou, non ? Personne en santé publique n'était d'accord avec lui mais comme tout manivelle classique, cela convainc encore plus Glass...

    Glass s'imaginait être plus intelligent que 100 ans d'expérience en santé publique. Un gars avec un ordinateur sophistiqué résoudrait tout ! Eh bien, il a réussi à convaincre certaines personnes, y compris une autre personne qui traînait à la Maison Blanche nommée Carter Mecher, qui est devenue l'apôtre de Glass.

    Veuillez considérer la citation suivante du Dr Mecher dans le livre de Lewis : « Si vous aviez tout le monde et que vous enfermiez chacun dans sa propre chambre et que vous ne les laissiez parler à personne, vous n'auriez aucune maladie. »

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  9. Enfin, un intellectuel a un plan pour abolir la maladie – et la vie humaine telle que nous la connaissons aussi ! Aussi absurde et terrifiant que cela soit – une société entière non seulement en prison mais en isolement cellulaire – cela résume toute la vision de Mecher de la maladie.

    C'est aussi complètement faux. Les agents pathogènes font partie de notre monde; ils ne sont pas générés par le contact humain. Nous nous les transmettons les uns aux autres comme prix de la civilisation, mais nous avons également développé des systèmes immunitaires pour y faire face. C'est de la biologie de 9e année, mais Mecher n'en avait aucune idée.

    L'enfer déchaîné

    Le 12 mars 2020, le plan de Venkayya, maintenant vieux de 15 ans, a été mis en pratique et des écoles à travers les États-Unis ont été fermées même s'il n'y avait pas la moindre preuve suggérant que les établissements d'enseignement étaient des foyers de propagation virale. En effet, la science actuelle suggérait le contraire, que les enfants n'étaient pas de bons porteurs d'infection et ne représentaient pas une menace sérieuse pour les adultes.

    Cependant, rien de tout cela n'avait d'importance. Les modèles de Glass et Mecher suggéraient que les fermetures d'écoles réduiraient les taux de transmission de 80 %. Comme l'a noté Tucker, ce que nous voyons "n'est pas la science mais le fanatisme idéologique en jeu". Il continue :17

    « Comme pour presque toutes les révolutions de l'histoire, une petite minorité de fous avec une cause a prévalu sur la rationalité humaine des multitudes. Quand les gens s'en apercevront, les feux de la vengeance seront très chauds. La tâche est maintenant de reconstruire une vie civilisée qui n'est plus si fragile qu'elle permette à des fous de dévaster tout ce que l'humanité a travaillé si dur pour construire.

    Je ne pourrais pas être plus d'accord. Dans le même temps, nous devons également reconnaître les fondements psychologiques dominants de la société dans son ensemble qui ont permis à cette minorité d'intervenir et de tenter de nous écraser.

    Conditions psychologiques qui permettent le totalitarisme

    Comme l'a expliqué le professeur de psychologie Mattias Desmet dans l'interview ci-dessus, la raison pour laquelle tant de personnes ont souscrit à ce qui sont clairement des mesures pandémiques illogiques est que suffisamment d'entre nous étaient psychologiquement affaiblis pour commencer.

    Cela a à son tour permis à une condition psychologique connue sous le nom de « formation de masse » de se produire. Elle peut être comparée à une forme d'hypnose de masse, car elle élimine en masse la capacité de pensée critique des gens. Cela se trouve aussi être une condition préalable au totalitarisme. Quatre conditions de base doivent être remplies par une grande partie de la société pour que la formation de masse se produise :

    1. Manque de lien social — L'isolement social était un problème répandu bien avant la pandémie. Dans une enquête, 25% des personnes interrogées ont déclaré qu'elles n'avaient pas un seul ami proche.

    2. Considérer la vie comme dénuée de sens et sans but — Desmet cite des recherches montrant que la moitié de tous les adultes estiment que leur travail n'a aucun sens, n'apportant aucune valeur à eux-mêmes ou aux autres.

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  10. Dans un autre sondage, réalisé en 2012, 63 % des personnes interrogées ont déclaré qu'elles faisaient du « somnambulisme » tout au long de leurs journées de travail, ne mettant aucune passion dans leur travail. Ainsi, la condition n° 2 pour l'hypnose de formation de masse était également remplie, avant même que la pandémie ne frappe.

    3. Anxiété flottante généralisée et mécontentement flottant - L'anxiété flottante fait référence à une anxiété qui n'a pas de cause apparente ou distincte. À en juger par la popularité des antidépresseurs et autres médicaments psychiatriques, la condition n° 3 était également remplie bien avant la pandémie.

    4. Frustration et agression flottantes et généralisées - Cela a tendance à suivre naturellement les trois précédents. Ici encore, la frustration et l'agressivité n'ont pas de cause discernable.

    La formation de masse donne naissance au totalitarisme

    Lorsque ces quatre conditions sont remplies par une partie suffisamment importante de la société, elles sont mûres pour l'hypnose de formation de masse - et la montée du totalitarisme. Tout ce qui est nécessaire est une histoire dans laquelle la cause de l'anxiété est identifiée, tout en fournissant simultanément une stratégie pour neutraliser cette cause.

    En acceptant et en participant à n'importe quelle stratégie, les personnes souffrant d'anxiété flottante se sentent équipées des moyens de contrôler leur anxiété et d'éviter la panique. Ils se sentent aussi soudainement reconnectés avec les autres, car ils ont tous identifié le même ennemi juré.

    Ils sont unis dans une lutte héroïque contre la représentation mentale de leur angoisse, et cette solidarité retrouvée donne à leur vie le sens et le but qui leur manquaient auparavant. Cela explique pourquoi tant de gens ont adhéré à un récit clairement illogique et pourquoi ils sont prêts à participer à la stratégie prescrite - "même si c'est tout à fait absurde", dit Desmet.

    La formation de masse est une condition très dangereuse, surtout pour ceux qui sont sous son charme, mais aussi pour tous ceux qui ne le sont pas. L'« intoxication mentale » qui en résulte rend les gens disposés à faire des choses qui sont clairement mauvaises et totalement immorales, allant jusqu'à tuer volontairement leur propre famille et eux-mêmes, si on leur dit que c'est pour le plus grand bien. Bref, des masses de gens deviennent profondément crédules et autodestructrices, ce qui n'est pas une bonne combinaison.

    Étant donné que l'autodestruction est intégrée dans le système totalitaire à partir de la base, les régimes totalitaires ne peuvent pas être maintenus indéfiniment. Ils s'effondrent alors qu'ils sont détruits de l'intérieur. Mais cela peut être un enfer tant que cela dure, car le totalitarisme construit sur la formation de masse conduit presque toujours à des atrocités odieuses commises au nom du bien.

    Plan d'action

    La bonne nouvelle, c'est que comprendre la psychologie qui nous a conduits ici nous donne aussi la réponse pour s'en sortir. La stratégie clé, insiste Desmet, est la dissidence, et le faire haut et fort. Pas violemment, mais constamment et fréquemment. Nous devons nous unir et parler contre le totalitarisme pour deux raisons :

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  11. Donner à la majorité lâche une alternative valable — En règle générale, seulement 30 % des personnes dans une société totalitaire sont en fait sous le charme hypnotique de la formation de masse. Un autre 40 % accepte simplement parce qu'ils craignent de se démarquer ou d'aller à contre-courant.
    Les 30% restants ne sont pas hypnotisés et veulent réveiller les autres. En se regroupant, les dissidents offrent à la majorité de 40 % une alternative à la simple adhésion de peur d'être ostracisés.

    Une fois que les dissidents vocaux et la majorité consentante sont réunis, la formation de masse s'effondre et l'État totalitaire est terminé, car ce sont ceux qui acceptent ce qu'ils savent être faux qui permettent à la formation de masse de s'enraciner et de se développer. Une fois qu'ils ne participent plus et ne nourrissent plus ce processus, la prise de contrôle totalitaire ne peut pas réussir.

    2. S'exprimer limite les atrocités commises par un régime totalitaire — Dans une dictature traditionnelle, le dictateur assouplit généralement son emprise une fois que les dissidents sont réduits au silence, mais dans un système totalitaire, c'est le contraire qui se produit. Une fois que les voix dissidentes sont réduites au silence, c'est à ce moment-là que les véritables atrocités se déroulent, contre amis et ennemis.

    Nous pouvons déjà en voir des signes. Plus les gens se conforment, pire c'est. « Faites-vous vacciner et vous n'aurez pas besoin de porter de masque » est devenu « vous devez porter un masque même si vous êtes vacciné, et, en passant, vous n'êtes pas complètement vacciné à moins d'avoir tous les rappels, oh, et même si tout le monde est vacciné, nous devrons peut-être encore verrouiller si le nombre de cas augmente, oh, et vous ne pouvez pas travailler à moins d'être complètement vacciné ou d'avoir accès à des soins médicaux » – cela est juste allé de mal en pis.

    Dans quel univers impie les gens condamnent-ils d'autres personnes à mourir de maladies traitables ou leur interdisent-elles d'acheter de la nourriture « afin de sauver des vies » ? Je ne peux penser qu'à un seul pour le moment, et nous y sommes.

    Ne serait-ce que pour limiter la dévaluation et la destruction de la vie qui est garantie dans tout système totalitaire, nous ne devons jamais, jamais, nous taire. Ce qu'ils font est mal et il faut l'arrêter.

    Une fois que nous sommes libérés de la menace totalitaire, nous devons nous attaquer aux quatre conditions de base de la formation de masse, pour empêcher que cette condition ne réapparaisse. Mais pour l'instant, nous devons nous concentrer sur l'unité et la lutte contre la tyrannie et la suppression de nos droits et libertés donnés par Dieu.

    Sources and References

    1, 3, 7 Euronews November 15, 2021
    2 The Pulse November 13, 2021
    4 Unherd November 15, 2021
    5, 6, 8, 9 The Vaccine Reaction November 30, 2021
    10 The Defender November 17, 2021
    11 OSHA November 12, 2021
    12, 13 NYT January 23, 2021 (Archived)
    14 Daily Wire October 24, 2021
    15, 16, 17 Brownstone November 15, 2021

    https://www.lewrockwell.com/2021/12/joseph-mercola/the-power-to-imprison-life-in-pandemicland/

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  12. Médecine totalitaire : le gouvernement américain inflige effectivement une « amende » aux hôpitaux s'ils utilisent de l'ivermectine ou tout autre produit non approuvé


    December 4th, 2021


    Enfin, une explication détaillée de la façon dont les bureaucrates décident efficacement des décisions des médecins et des patients dans les hôpitaux des États-Unis. Quelque chose qui explique pourquoi les hôpitaux travaillent de manière déconcertante pour empêcher les médecins d'utiliser des protocoles alternatifs. De l'argent.

    Il existe un système de paiement aux hôpitaux qui les punit efficacement pour l'utilisation d'ivermectine ou de tout autre traitement en dehors du protocole autorisé. Le montant d'argent impliqué n'est pas divulgué mais "l'avocat Thomas Renz et les dénonciateurs de CMS ont calculé un paiement total d'au moins 100 000 $ par patient".

    Les hôpitaux doivent rembourser ces paiements « bonus » s'ils utilisent des médicaments en dehors du protocole approuvé. Cela s'applique-t-il aussi aux vitamines?

    Si les paiements étaient vraiment de cette taille, la gestion hospitalière serait très efficacement contrôlée, et il y aurait peu de concurrence, pas de marché libre, et seulement l'illusion du choix.

    L'AAPS ou Association of American Physicians and Surgeons a commencé en 1943, et après 75 ans, étonnamment, semble toujours s'en tenir à l'intention initiale - parler au nom des médecins qui veulent servir les patients et la liberté de faire ce qu'ils pensent être le mieux.

    La prime de Biden sur votre vie: paiements incitatifs des hôpitaux pour COVID-19
    Par Elizabeth Lee Vliet, M.D. et Ali Shultz, J.D. – https://www.truthforhealth.org/

    Les patients sont incarcérés dans les hôpitaux :

    La combinaison qui permet cette perte tragique et évitable de centaines de milliers de vies comprend (1) la loi CARES, qui offre aux hôpitaux des primes incitatives pour tout ce qui concerne COVID-19 (tests, diagnostic, admission à l'hôpital, utilisation du remdesivir et les ventilateurs, signalant les décès dus au COVID-19 et les vaccinations) et (2) les renonciations aux droits coutumiers et de longue date des patients par les Centers for Medicare and Medicaid Services (CMS).

    La création d'une « urgence pandémique nationale » a justifié de telles actions radicales qui outrepassent la prise de décision médicale de chaque médecin et les droits des patients. La loi CARES incite les hôpitaux à utiliser des traitements dictés uniquement par le gouvernement fédéral sous les auspices du NIH. Ces « primes » doivent être remboursées si elles ne sont pas « gagnées » en faisant le diagnostic COVID-19 et en suivant le protocole COVID-19.

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  13. Les frais d'hospitalisation comprennent :

    Un test PCR requis « gratuit » dans la salle d'urgence ou lors de l'admission pour chaque patient, avec des frais payés par le gouvernement à l'hôpital.
    Ajout d'un bonus pour chaque diagnostic positif de COVID-19.
    Un autre bonus pour une admission COVID-19 à l'hôpital.
    Un bonus « boost » de 20 % de Medicare sur la totalité de la facture d'hôpital pour l'utilisation de remdesivir au lieu de médicaments tels que l'ivermectine.
    Un autre paiement de bonus plus important à l'hôpital si un patient COVID-19 est ventilé mécaniquement.
    Plus d'argent à l'hôpital si la cause du décès est répertoriée comme COVID-19, même si le patient n'est pas décédé directement de COVID-19.
    Un diagnostic COVID-19 fournit également des paiements supplémentaires aux coroners.
    En dehors des hôpitaux, les mesures de qualité des médecins MIPS relient les revenus des médecins à la rémunération basée sur les performances pour le traitement des patients avec des médicaments COVID-19 EUA. L'omission de déclarer l'information à la CMS peut coûter au médecin 4 % du remboursement.

    En raison de l'obscurcissement du codage médical et du jargon juridique, nous ne pouvons pas être certains du montant réel que chaque hôpital reçoit par patient COVID-19. Mais l'avocat Thomas Renz et les dénonciateurs de CMS ont calculé un paiement total d'au moins 100 000 $ par patient.

    ht dadgervais

    Certaines histoires sont vraiment poignantes

    Veronica Wolski a été effectivement emprisonnée à l'hôpital pendant trois semaines, a refusé les traitements prescrits par ses médecins, forcée de suivre des traitements dont elle ne voulait pas. Toute une équipe de médecins spécialistes extérieurs s'est jointe à nous, a engagé des avocats et a tout fait pour la faire sortir de l'hôpital. Ils ont même mis en place une équipe avec une ambulance avec du matériel et des médicaments prêts à la transporter mais l'hôpital ne l'a pas libérée et elle est décédée seule.

    - voir clip sur site -

    Il existe maintenant un programme appelé l'équipe de soins mobiles Veronica Wolinski - ils répondent aux demandes d'autres patients piégés dans des hôpitaux dans lesquels ils ne veulent pas être aux États-Unis.

    Dernier mot : De toute évidence, les statistiques aux États-Unis ont été désespérément compromises par ces paiements incitatifs, mais gardez à l'esprit que les statistiques d'autres pays avec d'autres systèmes montrent que le coronavirus du PCC est un problème. Le monde regarde les chiffres Omicron se dérouler et espère que la nouvelle variante sera "la variante que nous attendions tous" et moins malveillante. Nous recherchons des données d'hospitalisation de populations avec des patients plus âgés, à la fois vaccinés et non vaccinés. Et cela prend huit jours pour que les gens aient besoin d'être hospitalisés, et cela peut prendre plus de temps pour les réactions ADE (où les personnes vaccinées souffrent d'un pire résultat.) Cochez, cochez, cochez…

    https://joannenova.com.au/2021/12/totalitarian-medicine-the-us-government-is-effectively-fining-hospitals-if-they-use-ivermectin-or-anything-not-approved/

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  14. Maintenant ou jamais : La grande « transition » doit être imposée


    3 décembre 2021
    par Alastair Crooke.


    Une nouvelle vague de restrictions, de nouveaux confinements et - finalement - des billions de dollars en nouveaux chèques de stimulation sont peut-être en perspective.

    Avez-vous suivi les nouvelles de la semaine dernière ? Les mandats de vaccination sont partout : un pays après l'autre redouble d'efforts pour tenter de forcer, ou de contraindre légalement, la vaccination de toute la population. Les mandats sont imposés en raison de l'augmentation massive des cas de Covid - surtout dans les endroits où les thérapies géniques expérimentales à ARNm ont été déployées en masse.

    Et (ce n'est pas une coïncidence), ce « marqueur » est apparu au moment où les décès dus au Covid aux États-Unis en 2021 ont dépassé ceux de 2020. Cela s'est produit en dépit du fait que l'année dernière, aucun Américain n'a été vacciné (et cette année, 59% le sont). Cette « afflux » d'ARNm n'est manifestement pas une panacée.

    Bien sûr, l'establishment pharmaceutique sait que les vaccins ne sont pas une panacée. Il y a des « intérêts supérieurs » en jeu ici. Ils sont plutôt motivés par la crainte de voir se refermer la fenêtre de mise en œuvre de leur série de « transitions » aux États-Unis et en Europe. Biden a encore du mal à faire passer son plan de dépenses sociales « Go-Big » et son programme de transition écologique au Congrès avant les élections de mi-mandat dans un an. Et le pic d'inflation pourrait bien couler le programme Build Back Better (BBB) de Biden.

    Le temps presse. Les élections de mi-mandat ne sont que dans 12 mois, après quoi la fenêtre législative se referme. La « transition » écologique est également bloquée (par les inquiétudes liées au fait que le passage trop rapide aux énergies renouvelables met en danger les réseaux électriques et augmente indûment les coûts de chauffage), et l'establishment pharmaceutique sait qu'un nouveau variant B.1.1.529 a fait un grand saut dans l'évolution avec 32 mutations de sa protéine spike. Cela le rend « clairement très différent » des variants précédents, ce qui pourrait entraîner de nouvelles vagues d'infection échappant aux « défenses vaccinales ».

    Traduction : une nouvelle vague de restrictions, de nouveaux confinements, et - finalement - des billions de dollars en nouveaux chèques de stimulation pourraient être en perspective. Et qu'en est-il de l'inflation, pourrait-on se demander.

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  15. C'est une course pour les États-Unis et l'Europe, où la pandémie est de retour en force dans toute l'Europe, pour faire passer leurs programmes de réinitialisation, avant que les variants ne s'emparent des questions avec des hôpitaux bondés de vaccinés et de non-vaccinés, avec des émeutes dans les rues, et des mandats de masques sur les marchés de Noël (du moins s'ils ouvrent). Les nouvelles de cette semaine laissaient présager un grand retournement de situation : les mandats de vaccination et les confinements, même dans les zones hautement vaccinées, sont de retour. Et les gens n'aiment pas ça.

    La fenêtre pour la Réinitialisation pourrait se refermer rapidement. Un observateur, notant toute l'activité frénétique de l'élite, a demandé : « Avons-nous finalement atteint le sommet de Davos ? » Le passage à l'autoritarisme en Europe est-il un signe de désespoir, alors que l'on craint que les diverses « transitions » prévues dans le cadre de la Réinitialisation (technocratie financière, climatique, vaccinale et managériale) ne soient jamais mises en œuvre ?

    Il s'agit plutôt d'un raccourcissement, les plans de dépenses étant entravés par l'accélération de l'inflation, la transition climatique ne parvenant pas à s'imposer dans les pays les plus pauvres (et chez nous non plus), la technocratie étant de plus en plus discréditée par les résultats négatifs des épisodes pandémiques, et la théorie monétaire moderne se heurtant à un mur, à cause de - eh bien, encore de l'inflation.

    La grande « transition » est conçue comme une transition extrêmement coûteuse vers les énergies renouvelables et vers un nouveau corporatisme numérisé et robotisé. Elle nécessite un financement important (inflationniste) qui doit être voté, et une énorme dépense parallèle (inflationniste) d'aide sociale qui doit être approuvée par le Congrès également. Les dispositions sociales sont nécessaires pour apaiser tous ceux qui se retrouveront ensuite sans emploi, en raison de la « transition » climatique et du passage à une sphère corporative numérisée. Mais - de manière inattendue pour certains « experts » - l'inflation a frappé - les statistiques les plus élevées depuis 30 ans.

    De puissants intérêts oligarchiques se cachent derrière la Réinitialisation. Ils ne veulent pas la voir s'effondrer, ni voir l'Occident éclipsé par ses « concurrents ». Il semble donc que, plutôt que de faire marche arrière, ils vont mettre les bouchées doubles et tenter d'imposer la conformité à leurs électeurs : ne tolérer aucune dissidence.

    Un essai de 1978 intitulé « Le pouvoir des impuissants », rédigé par le dissident de l'époque et futur président tchèque Vaclav Havel, commence de manière moqueuse par ces mots :
    « Un SPECTRE hante l'Europe de l'Est : le spectre de ce que l'on appelle en Occident la "dissidence". Ce spectre n'est pas apparu de nulle part. Il est une conséquence naturelle et inévitable de la phase historique actuelle du système qu'il hante ».
    Eh bien, aujourd'hui, comme le note Michael Every de Rabobank, « l'Occident connaît la polarisation, les protestations de masse, les émeutes, les discussions sur les vaccinations obligatoires en Europe, et Yanis Varoufakis qui affirme que le capitalisme est déjà mort ; et qu'un techno-féodalisme se profile ». Aujourd'hui, les élections de mi-mandat aux États-Unis sont encore plus urgentes. Le retour de Trump (même s'il se limite au Congrès), couperait les jambes de Build Back Better et glacerait également Bruxelles.

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  16. Cependant, c'est précisément cette révolution technologique, sur laquelle Varoufakis attire l'attention, qui a à la fois redéfini l'électorat démocrate et transformé les oligarques de la technologie en milliardaires. En créant de manière algorithmique un magnétisme de contenu similaire, diffusé en cascade à ses clients, elle a à la fois étouffé la curiosité intellectuelle et créé le « parti non informé », qui est la classe managériale d'aujourd'hui - le parti de la méritocratie accréditée ; le parti, surtout, qui se considère avec suffisance comme les « gagnants » de l'ère à venir - qui ne veut pas risquer un regard derrière le rideau ; mettre son « espace sûr » à l'épreuve.

    De manière perverse, ce cadre d'universitaires, d'analystes et de banquiers centraux professionnellement encadrés, insiste sur le fait qu'il croit totalement à ses mèmes : que leur approche technologique est à la fois efficace et bénéfique pour l'humanité, sans tenir compte des opinions divergentes qui tourbillonnent autour d'eux dans les interstices d'Internet.

    La principale fonction de ces mèmes aujourd'hui, qu'ils soient émis par le « commandement » des vaccins pharmaceutiques, le commandement de la « transition » MMT, le commandement de la « transition » énergétique ou la « transition » technocratique managériale mondiale, est de tracer une « ligne Maginot » - une frontière idéologique défensive, un « Grand Récit » en quelque sorte - entre « la vérité » telle que définie par les classes dirigeantes et toute autre « vérité » qui contredit leur récit. En d'autres termes, il s'agit de conformité.

    Il était bien entendu que toutes ces transitions bouleverseraient les modes de vie de l'humanité, qui sont anciens et profondément enracinés et déclencheraient la dissidence - c'est pourquoi de nouvelles formes de « discipline » sociale seraient nécessaires. (D'ailleurs, les dirigeants de l'UE appellent déjà leurs mandats officiels des « commandements »). De telles disciplines sont actuellement testées en Europe - avec les mandats de vaccination (même si les scientifiques leur disent que les vaccins ne peuvent pas être la solution miracle à laquelle ils aspirent). Comme le fait remarquer un membre de la haute « loge », favorable à une forme de gouvernance mondiale, pour faire accepter de telles réformes aux gens, il faut les effrayer.

    Oui, le collectif des « transitions » doit avoir son « grand récit global » - aussi creux soit-il (c'est-à-dire la lutte pour défendre la démocratie contre l'autoritarisme). Mais la nature de la guerre des thèmes culturels d'aujourd'hui fait que son contenu n'est guère plus qu'une coquille rhétorique, dépourvue de toute sincérité en son cœur.

    Elle sert principalement de décoration à un projet d'ordre supérieur : La préservation des « règles de la route » mondiales, conçues pour refléter les intérêts des États-Unis et de leurs alliés, en tant que base à partir de laquelle l'embrayage des « transitions » peut être élevé à un ordre géré au niveau mondial qui préserve l'influence de l'élite et le contrôle des principaux actifs.

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  17. Cette politique de mème-politique artisanale et crédité est là pour rester, et maintenant elle est « partout ». Elle a depuis longtemps dépassé les clivages partisans. Ce qu'il faut retenir ici, c'est que la mécanique de la mème-mobilisation est projetée, non seulement dans le « foyer » occidental (au niveau micro), mais aussi à l'étranger, dans la « politique étrangère » américaine (c'est-à-dire au niveau macro).

    Et, tout comme dans l'arène domestique, où la notion de politique par la persuasion est perdue (avec des mandats vaccinaux appliqués par des canons à eau et la police anti-émeute), la notion de politique étrangère gérée par l'argumentation, ou la diplomatie, a également été perdue.

    La politique étrangère occidentale est moins axée sur la géostratégie, mais plutôt sur les trois « grandes questions emblématiques » - la Chine, la Russie et l'Iran - auxquelles on peut donner une « charge » émotionnelle afin de mobiliser avec profit certaines « circonscriptions » identifiées dans la guerre culturelle intérieure des États-Unis. Tous les différents courants politiques américains jouent à ce jeu.

    L'objectif est de « pousser » les esprits américains (et ceux de leurs alliés) à se mobiliser sur une question donnée (par exemple en faveur d'un plus grand protectionnisme pour les entreprises face à la concurrence chinoise), ou alternativement, selon une vision sombre, afin de délégitimer une opposition ou de justifier des échecs. Ces mobilisations sont destinées à obtenir un avantage partisan national relatif, plutôt qu'à avoir un objectif stratégique.

    Lorsque cette guerre des mèmes crédibilisée s'est installée aux États-Unis, des millions de personnes vivaient déjà une réalité dans laquelle les faits n'avaient plus aucune importance, où des choses qui ne se sont jamais produites officiellement se sont produites. Et d'autres choses qui se sont manifestement produites ne se sont jamais produites : pas officiellement, en tout cas. Ou étaient des « théories de la conspiration d'extrême droite », des « fake news », de la « désinformation » ou autre, alors que les gens savaient qu'elles ne l'étaient pas.

    La Russie et la Chine sont donc confrontées à une réalité dans laquelle les élites européennes et américaines se dirigent dans la direction opposée à la pureté épistémologique et aux arguments fondés. En d'autres termes, la nouvelle « normalité » consiste à générer un grand nombre de réalités contradictoires, pas seulement des idéologies contradictoires, mais de véritables « réalités » mutuellement exclusives, qui ne pourraient pas exister simultanément... et qui sont destinées à déconcerter les adversaires - et à les déséquilibrer.

    Il s'agit d'un jeu très risqué, car il oblige les États visés à adopter une position de résistance, qu'ils le souhaitent ou non. Il souligne que la politique n'est plus une question de stratégie réfléchie : Il s'agit d'être prêt à ce que les États-Unis perdent stratégiquement (même militairement), afin de gagner politiquement. C'est-à-dire gagner une victoire éphémère en ayant suscité une réponse psychique inconsciente favorable parmi les électeurs américains.

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  18. La Russie, la Chine, l'Iran ne sont que des « images » appréciées principalement pour leur potentiel de charge émotionnelle dans cette guerre culturelle occidentale (dont ces États ne font pas partie). Le résultat est que ces États deviennent des antagonistes à la présomption américaine de définir un « code de conduite » mondial auquel tous doivent adhérer.

    Ces pays comprennent exactement l'objectif de ces « règles » chargées de valeurs et de droits. Il s'agit de forcer ces États à se conformer aux « transitions », ou à subir l'isolement, le boycott et les sanctions - de la même manière que les choix imposés à ceux qui, en Occident, ne souhaitent pas se faire vacciner (c'est-à-dire pas de vaccin, pas de travail).

    Cette approche reflète une tentative de l'équipe Biden de jouer sur les deux tableaux avec ces trois « États emblématiques » : Se féliciter de la conformité aux « questions de transition », mais se montrer hostile à toute dissidence quant à l'élaboration d'un cadre réglementaire susceptible de faire passer les « transitions » du niveau national au niveau supranational.

    Mais les praticiens américains de la politique des mèmes comprennent-ils que la position de la Russie et de la Chine - en réponse - n'est pas une contre-mobilisation factice destinée à « marquer le coup » ? Que leur vision est en désaccord avec « les règles » ? Se rendent-ils compte que leurs « lignes rouges » pourraient bien être des « lignes rouges » au sens propre ? L'Occident est-il désormais tellement accro aux mèmes qu'il ne peut plus reconnaître les véritables intérêts nationaux ?

    Ce point est essentiel : Lorsque l'Occident s'exprime, il regarde toujours par-dessus son épaule, l'impact psychique national et plus large lorsqu'il « marque un point » (par exemple en pratiquant des attaques par des bombardiers à capacité nucléaire aussi près des frontières de la Russie qu'ils l'osent). Et quand la Russie et la Chine disent « Voici notre ligne rouge », ce n'est pas un mème - elles le pensent vraiment.

    source : https://www.strategic-culture.org
    traduit par Réseau International

    https://reseauinternational.net/maintenant-ou-jamais-la-grande-transition-doit-etre-imposee/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=maintenant-ou-jamais-la-grande-transition-doit-etre-imposee

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  19. Une enquête espagnole révèle que les passeports vaccinaux n'ont aucun impact sur les taux d'infection


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 04 DÉCEMBRE 2021 - 08:10
    Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Une enquête menée par des experts en Espagne a conclu que les passeports vaccinaux n'avaient pas d'impact significatif sur la réduction des taux d'infection au COVID-19.

    Les détails de l'étude, réalisée par le comité interrégional Covid d'Espagne, ont été obtenus par El Pais et rapportés par le Telegraph.

    En examinant la manière dont le programme a été mis en œuvre dans d'autres pays européens, les experts ont constaté qu'obliger les gens à présenter une preuve de vaccination pour entrer dans des lieux comme les bars, les restaurants et les cinémas « ne réduit pas les niveaux de transmission ».

    « Dans les pays européens où [le système] est utilisé, les cas augmentent considérablement, même s'il est vrai que leur niveau de vaccination est bien inférieur à celui de l'Espagne », indique le rapport.

    Bien que l'Espagne n'ait pas de passeport vaccinal au niveau national, huit régions sur 17 utilisent un système similaire.

    Les chercheurs ont également conclu que les schémas de passeport vaccinal "contribuent à une fausse impression que les personnes vaccinées ne sont pas infectées", alors qu'en fait "environ 40% des personnes vaccinées sont susceptibles d'être infectées et de transmettre l'infection", indique le rapport.

    Les seuls points positifs d'un tel programme sont qu'il « avertit les gens qu'il existe toujours un danger de pandémie et encourage la vaccination chez les réticents ».

    En d'autres termes, bien que les passeports vaccinaux n'aient aucun impact perceptible sur leur objectif déclaré – réduire la propagation du COVID-19 – ils réussissent à garder les gens craintifs et conformes.

    Et c'est peut-être le but premier.

    « Les résultats sont similaires aux preuves trouvées par le gouvernement britannique – que les passeports vaccinaux pourraient augmenter les taux de Covid dans le pays », écrit Ken Macon.

    « Le gouvernement du Pays de Galles, au Royaume-Uni, a également constaté que, malgré l'introduction des passeports vaccinaux, ils ne pouvaient trouver aucune preuve qu'ils travaillaient. »

    De nombreux pays européens ont imposé des régimes de passeport vaccinal qui séparent les piqués des non piqués.

    Dans certains cas, l'option de fournir un résultat de test négatif a été supprimée, ce qui signifie que seuls ceux qui sont complètement vaccinés (et peuvent encore propager le virus) sont autorisés à entrer dans les sites.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/spanish-investigation-finds-vaccine-passports-have-no-impact-infection-rates

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  20. URGENT : les vaccins COVID vous empêcheront d'acquérir une immunité totale même si vous êtes infecté et que vous vous rétablissez


    Vendredi 03 décembre 2021
    par : News Editors


    (Natural News) Ne le prenez pas de moi, je ne peux même plus tweeter.

    (Article republié depuis AlexBerenson.Substack.com)

    Prenez-le d'un petit endroit que j'appelle le gouvernement britannique. Qui a admis aujourd'hui, dans son dernier rapport de surveillance vaccinale, que :

    "Les niveaux d'anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l'infection après deux doses de vaccination." (Page 23)

    - voir clip sur site -

    Qu'est-ce que cela signifie? Plusieurs choses, toutes mauvaises. Nous savons que les vaccins n'arrêtent pas l'infection ou la transmission du virus (en fait, le rapport montre ailleurs que les adultes vaccinés sont désormais infectés à des taux bien PLUS ÉLEVÉS que les non vaccinés).

    Ce que les Britanniques disent, c'est qu'ils découvrent maintenant que le vaccin interfère avec la capacité innée de votre corps après l'infection à produire des anticorps contre non seulement la protéine de pointe, mais d'autres morceaux du virus. Plus précisément, les personnes vaccinées ne semblent pas produire d'anticorps contre la protéine de la nucléocapside, l'enveloppe du virus, qui sont un élément crucial de la réponse chez les personnes non vaccinées.

    Cela signifie que les personnes vaccinées seront beaucoup plus vulnérables aux mutations de la protéine de pointe MÊME APRÈS QU'ELLES ONT ÉTÉ INFECTÉES ET RÉCUPÉRÉES UNE FOIS (ou plus d'une fois, probablement).

    Cela signifie également que le virus est susceptible de sélectionner des mutations qui vont exactement dans cette direction, car celles-ci lui donneront essentiellement une énorme population vulnérable à infecter. Et c'est probablement encore plus de preuves que les vaccins peuvent interférer avec le développement d'une immunité solide à long terme après l'infection.

    A part ça, tout va bien.

    LA SOURCE:

    https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1027511/Vaccine-surveillance-report-week-42.pdf

    En savoir plus sur : AlexBerenson.Substack.com

    https://www.naturalnews.com/2021-12-03-covid-vaccines-keep-you-acquiring-full-immunity.html

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  21. Un responsable de la FDA a demandé au censure de Google une vidéo YouTube que l'agence n'a pas aimée


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 04 DÉCEMBRE 2021 - 14:30
    Rédigé par Alex Berenson via la sous-pile « Vérités non signalées »,


    Les efforts fédéraux pour censurer les médias sociaux étendent les discussions passées avec des entreprises comme YouTube sur les grandes lignes de la "désinformation" de Covid-19 à des demandes spécifiques de suppression de publications individuelles, révèle un e-mail d'un responsable de la FDA.

    Dans l'e-mail du 30 avril, le directeur des médias sociaux de la Food and Drug Administration, Brad Kimberly, a déclaré à un lobbyiste de Google que l'agence s'attendait à ce que YouTube tire une vidéo vantant le potentiel d'un nouveau traitement par anticorps monoclonal pour Covid. (Google possède YouTube.)

    "Dans l'ensemble, la vidéo est très problématique en ce qui concerne la désinformation sur COVID", a écrit Kimberly au lobbyiste Jan Fowler Antonaros.

    "Cette vidéo devrait être retirée."

    YouTube a initialement refusé de supprimer la vidéo. Cependant, il a depuis été mis hors ligne.

    La fréquence à laquelle la FDA a fait d'autres demandes de censure est inconnue, car l'agence cache apparemment l'existence de ses efforts en réponse aux demandes de la Freedom of Information Act.

    En octobre, j'ai demandé à la FDA et à plusieurs agences gouvernementales de divulguer à la fois leurs discussions internes à mon sujet et leurs communications avec des sociétés de médias sociaux comme Twitter et YouTube au sujet de la censure de la « désinformation » de Covid en général.

    Le 30 novembre, la FDA a répondu qu'elle avait trouvé des e-mails à mon sujet – principalement en réponse aux questions que j'avais posées en avril et mai pour un article sur le VAERS, le système fédéral de déclaration des événements indésirables des vaccins. Mais la FDA a déclaré qu'elle n'avait pu trouver aucun e-mail entre ses responsables et les sociétés de médias sociaux répondant à ma demande.

    - voir doc sur site -

    Pourtant, au bas des e-mails contenant les discussions de l'agence à mon sujet se trouvait l'e-mail entre Kimberly et Antonaros - apparemment joint par accident, car il n'avait rien à voir avec moi.

    * * *

    L'anticorps monoclonal, leronlimab, est développé par une petite société pharmaceutique en difficulté appelée CytoDyn, dont les actions se négocient à environ 1 $ l'action. CytoDyn a vanté à plusieurs reprises le léronlimab, mais les résultats des essais cliniques suggèrent que le médicament est inutile contre Covid.

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  22. En mai, la FDA a déclaré publiquement que « les données actuellement disponibles ne soutiennent pas le bénéfice clinique du léronlimab pour le traitement du COVID-19 » et a déclaré qu'elle n'avait pas l'intention d'approuver le médicament. (SOURCE : https://www.fda.gov/drugs/drug-safety-and-availability/statement-leronl…)

    Le léronlimab n'étant toujours pas approuvé, il n'est effectivement pas disponible pour les patients. Ainsi, quels que soient ses effets secondaires potentiels ou son manque d'efficacité, ce n'est en fait un risque pour personne - à l'exception des investisseurs de Cytodyn, qui ne sont pas la préoccupation de la FDA.

    En réponse à l'e-mail de Kimberly, Antonaros a répondu le 6 mai que YouTube avait examiné la vidéo et constaté qu'elle n'enfreignait PAS les directives de l'entreprise - probablement parce qu'elle ne promettait pas que le leronlimab guérirait Covid, ne faisait que vanter son potentiel et encourageait la FDA à l'autoriser. dans le cadre d'une autorisation d'utilisation d'urgence.

    Pourtant, la vidéo a depuis disparu de YouTube. Il est désormais disponible uniquement sur Internet Archive.

    - voir clip sur site -

    (SOURCE : https://web.archive.org/web/20211024082638/)

    * * *

    Il est facile de comprendre la frustration de la FDA à l'égard du léronlimab et du CytoDyn.

    Mais les campagnes des entreprises et des patients conçues pour pousser l'agence à approuver de nouveaux traitements (parfois de valeur marginale ou sans valeur) sont courantes et sont bien antérieures à Covid. En fin de compte, l'agence a l'autorité finale sur la question de savoir si un médicament peut être vendu et prescrit aux États-Unis, peu importe combien une entreprise se plaint.

    Ce qui est nouveau, ce sont les efforts de l'agence pour effacer de telles campagnes d'Internet.

    Et, apparemment, prétendre que ce n'est pas le cas. Ma demande initiale d'accès à l'information à la FDA incluait une demande que l'agence fournisse :

    Tout e-mail ou autre communication entre des responsables de la FDA et des cadres, des gestionnaires ou d'autres employés de Twitter, Facebook et sa filiale Instagram, et Google et sa filiale YouTube concernant COVID et Sars-Cov-2, y compris MAIS NON LIMITÉ AUX efforts visant à façonner le public opinion sur les blocages et les vaccins et les efforts d'application de la lutte contre la "désinformation" des cinq plateformes de médias sociaux mentionnées ci-dessus.

    Pourtant, l'agence a déclaré qu'elle n'avait trouvé aucun enregistrement répondant à cette demande - pas un seul - même s'il en avait accidentellement fourni un.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/fda-official-demanded-google-censor-youtube-video-egncy-didnt

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  23. Rare avertissement de blizzard émis pour Hawaï


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 04 DÉCEMBRE 2021 - 11h00


    Ce week-end, Hawaï fait face à une tempête de neige dangereuse, car plus d'un pied de neige devrait tomber avec des rafales de vent de plus de 100 mph.

    - voir carte sur site -

    "Un front froid traversera la chaîne d'îles ce soir et vendredi, puis s'arrêtera près de la grande île samedi", a tweeté le National Weather Service (NWS) à Honolulu. "La basse pression va baisser vers l'État plus tard dans le week-end et au début de la semaine prochaine, avec un temps humide attendu dans la majeure partie de l'État."

    NWS a déclaré un avertissement de blizzard pour les sommets de Big Island jusqu'à dimanche matin.

    - voir carte sur site -

    "Les voyages pourraient être très difficiles, voire impossibles", a déclaré NWS. "La poudrerie réduira considérablement la visibilité à certains moments, avec des périodes de visibilité nulle."

    "Les vents forts provoqueront probablement d'importants amoncellements de neige", a-t-il ajouté.

    - voir carte sur site -

    La neige sur l'île tropicale peut en surprendre plus d'un, mais elle est courante à des altitudes plus élevées. Cependant, les blizzards sont rares et surviennent tous les 2-3 ans.

    Une veille de crue éclair est en vigueur pour les basses altitudes jusqu'à lundi après-midi.

    "Des inondations importantes peuvent se produire en raison du débordement des ruisseaux et des drainages", a déclaré le NWS. « Des routes dans plusieurs zones peuvent être fermées, ainsi que des dommages matériels dans les zones urbaines ou basses en raison du ruissellement … Des glissements de terrain peuvent également se produire dans les zones à terrain escarpé. »

    Et, bien sûr, Greta Thunberg et son gang de jeunes sur le changement climatique, qui crachent généralement le récit d'armageddon environnementaliste de la gauche, restent silencieux alors que des conditions de blizzard sont attendues à Hawaï ce week-end.

    https://www.zerohedge.com/weather/rare-blizzard-warning-issued-hawaii

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  24. Covid : comment l’irrationalité s’est emparée de nos sociétés

    Le texte qui suit est une application des travaux de psychologie cognitive au cas de la gestion de l’épidémie de covid.


    Par Samuel Fitoussi.
    5 DÉCEMBRE 2021


    Face au covid, il existe un dilemme fondamental entre liberté et santé, entre la sévérité des restrictions et le nombre de vies sauvées. Le rôle des pouvoirs publics est de trouver le bon compromis, à la faveur d’analyses coûts-bénéfices.

    Or, depuis dix-huit mois, un certain nombre de biais et d’erreurs systématiques de raisonnement faussent la rationalité des décisions et favorisent la mise en place de restrictions excessives.

    Le texte qui suit est une application des travaux de psychologie cognitive au cas de la gestion de l’épidémie.

    LE BIAIS D’ANCRAGE

    29 janvier 2020. Donald Trump annonce la suspension de tous les vols en provenance de la Chine. La décision est condamnée unanimement : on trouve choquant qu’un homme bafoue avec tant de légèreté la liberté de voyager de millions de personnes.

    En juillet 2021, Joe Biden annonce que tout voyageur – même vacciné – provenant de Chine, du Royaume-Uni, d’Irlande, du Brésil, d’Afrique du Sud, d’Inde, d’Iran et de n’importe quel pays membre de l’Union européenne, se verra refuser l’entrée sur le sol américain. Aucune condamnation.

    Que s’est-il passé entretemps ?

    Dans un magasin, si le premier t-shirt que vous voyez coûte 9 euros, le second à 25 euros vous paraîtra cher. Si le premier t-shirt coûte 50 euros, le second à 25 euros vous paraîtra bon marché.

    C’est le biais d’ancrage, mis en lumière pour la première fois en 1974 par Daniel Kahneman et Amos Tversky, psychologues israéliens. Une première information vous fournit un référentiel arbitraire en fonction duquel vous raisonnez ensuite.

    Au printemps 2020, face à une situation d’urgence absolue – hôpitaux débordés, pénuries d’équipements et de tests, méconnaissance du virus – la plupart des pays occidentaux se tournent vers une solution de dernier recours : le confinement. Survenu très tôt dans la crise, le confinement crée ce référentiel, ce cadre cognitif par lequel nous évaluons depuis toutes les autres restrictions.

    À l’annonce de chaque nouvelle mesure, nous nous souvenons que nous avons accepté pire et en concluons que la nouvelle mesure (restrictions de voyages, couvre-feux à 21 heures, à 20 heures, à 19 heures, à 18 heures, masque à l’extérieur, QR codes pour s’assoir en terrasse) est acceptable.

    Et donc, pour en revenir aux États-Unis : en comparaison avec l’interdiction de dépasser les frontières de nos appartements, l’interdiction de franchir certaines frontières nationales nous paraît être un non-évènement.

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  25. LE BIAIS D’ACTION

    Évoqué pour la première fois par les économistes Richard Patt et Anthony Zeckhauser en 2000, le biais d’action désigne la croyance – plutôt logique en apparence – que face à un problème, il est toujours préférable d’agir que de ne pas agir. Le biais explique par exemple pourquoi l’homéopathie plait tant pour soigner des petits maux et pourquoi au football, les gardiens choisissent presque toujours, face à un penalty, de plonger plutôt que de rester au milieu, solution qui leur offrirait pourtant une meilleure chance d’arrêter le ballon.

    En janvier 2021, lorsque le gouvernement décale le couvre-feu de 19 heures à 18 heures, l’impact sanitaire est probablement nul (voire négatif puisque l’on incite aux rassemblements intérieurs) mais au moins, on ne reste pas les bras croisés.

    En juillet 2021, les maires ou préfets qui rétablissent l’obligation du port du masque en extérieur ne sauvent aucune vie mais peuvent mieux se regarder dans la glace : ils agissent.

    Dans les deux cas, la perte de bien-être pour les Français est en revanche bien réelle. On peut se demander combien de restrictions, depuis 18 mois, répondent uniquement au besoin instinctif de « faire quelque chose ».

    Le biais d’action explique aussi pourquoi le principe de précaution est toujours évoqué de manière asymétrique. On entend que par précaution, il faut confiner 66 millions de personnes six semaines (agir) car on connait mal la maladie, alors qu’on entend moins que par précaution il ne faut pas confiner 66 millions de personnes six semaines (ne pas agir) car on connait mal les effets du confinement.

    LE BIAIS D’ILLUSION DE CONTRÔLE

    Théorisé par Ellen Langer, psychologue américaine, ce biais désigne notre tendance à sous-estimer l’importance des facteurs externes et à surestimer l’importance des facteurs internes, à n’expliquer une situation donnée que par des causes sur lesquelles on possède un levier d’action.

    Pendant les périodes de sécheresse, certaines tribus sacrifiaient des enfants pour apaiser les dieux. Si la sécheresse prenait fin, c’était grâce au sacrifice, sinon il fallait sacrifier d’autres enfants. Au bout d’un moment, la situation finissait toujours par s’améliorer, validant la stratégie des chefs de tribu.

    En France depuis 18 mois, quand les courbes descendent c’est grâce aux restrictions, quand elles montent c’est parce qu’on n’a pas assez restreint.

    C’est le biais d’action qui encourage la tribu à sacrifier des enfants, c’est le biais d’illusion de contrôle qui conduit à s’en féliciter. C’est le biais d’action qui nous encourage à fermer les remontées mécaniques, c’est le biais d’illusion de contrôle qui nous conduit à nous en féliciter.

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  26. LE BIAIS D’INSENSIBILITÉ AUX ORDRES DE GRANDEUR

    En 1992, William Desvousges, économiste américain, demande à trois groupes de participants combien chacun serait prêt à payer pour sauver un certain nombre d’oiseaux de la noyade.

    Résultat : les participants qui peuvent sauver 20 000 oiseaux souhaitent payer moins (78 dollars) que ceux qui peuvent en sauver 2000 (80 dollars), tandis que ceux qui peuvent en sauver 200 000 ne donnent que 88 dollars. Conclusion : l’importance que nous accordons à un problème n’est quasiment pas affectée par le nombre de personnes que le problème affecte.

    Daniel Kahneman – lauréat du prix Nobel d’économie en 2002 pour ses travaux sur les biais cognitifs – donne l’explication suivante : puisqu’il est impossible de se représenter un très grand nombre d’éléments, nous réduisons le problème à une seule image mentale, un prototype. Pour évaluer la souffrance de 2000 ou de 200 000 oiseaux, les participants imaginent un oiseau se débattant dans l’eau – image indépendante du nombre d’oiseaux concernés.

    Lorsque l’on cherche à estimer ce qui est plus grave entre, par exemple, 5000 morts supplémentaires du covid ou l’instauration du port du masque obligatoire dans les écoles, on imagine, d’un côté, une personne âgée en détresse respiratoire et de l’autre, un écolier masqué. La première image étant infiniment plus dramatique que la seconde, on en conclut que la seconde option est préférable à la première. Le fait qu’ils soient 5000 à être concernés par la première et 12,9 millions par la seconde n’entre pas en considération.

    LE BIAIS D’INSENSIBILITÉ À LA DURÉE

    En 1993, Kahneman diffuse à des sujets plusieurs vidéos désagréables, d’intensités et de longueurs variables. Il leur demande ensuite de classer les vidéos des plus déplaisantes aux plus plaisantes. L’unique facteur qui influence le classement : l’intensité des images. La longueur de la vidéo ne joue aucun rôle. C’est le biais d’insensibilité à la durée : nous jugeons la valeur d’une expérience en fonction du plaisir moyen qu’elle nous apporte sans égard pour le temps qu’elle dure et donc pour la somme de bien-être ou de mal-être qu’elle nous fournit.

    En octobre 2020, lorsque le gouvernement choisit de mettre en place un couvre-feu, il est prévu qu’il durera six semaines. Au fil des mois, alors que le couvre-feu ne cesse d’être reconduit, presque tous ceux qui approuvaient sa mise en place le 17 octobre continuent d’approuver sa reconduction, comme si le prolongement de la mesure dans le temps n’exerçait aucune influence sur sa balance coût-bénéfice.

    Nous succombons au biais d’insensibilité à la durée : nous jugeons « le couvre-feu », pas « un couvre-feu d’une durée de… ». Le processus mental à l’œuvre est semblable à celui du biais précédent : qu’il s’agisse d’un couvre-feu de six semaines ou de huit mois, l’image mentale que nous utilisons pour estimer son coût est la même : une soirée moyenne sous couvre-feu.

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  27. LE BIAIS DE VICTOIRE DES POSITIONS LES MOINS COÛTEUSES SOCIALEMENT

    Il a imposé l’idée que la saturation des réanimations avait un coût infini.

    En mars 2020, il est décidé que nous n’accepterons pas la saturation des réanimations et les désastres qu’elle impliquerait (décès, tri des patients, déprogrammations, soignants exténués, chaos…). Sauf qu’à ce stade, nous croyons que l’alternative à la saturation des réanimations est un confinement de un mois, pas trois confinements et 8 mois de couvre-feux. Peu importe, nous ne remettrons plus jamais en cause l’idée que la non-saturation des réanimations doit être la ligne rouge guidant les politiques publiques et acceptons donc l’hypothèse implicite suivante : la saturation des réanimations possède un coût infini.

    Pourquoi cette hypothèse s’est-elle imposée comme une évidence ?

    Octobre 2020. Arguez qu’il faut re-confiner le pays, on risque de vous rétorquer que vous ne savez pas mener d’analyse coût-bénéfice. Arguez qu’on peut accepter la saturation des réanimations, on risque de vous traiter d’égoïste sans âme.

    Une des deux positions plus coûteuse socialement est donc moins exprimée. Puisque notre cerveau associe les idées beaucoup répétées avec ce qui est vrai (biais de vérité illusoire) la seconde position perd des adhérents, elle est repoussée à la marge du débat. Il devient donc de plus en plus coûteux de la tenir (puisqu’en plus d’être un égoïste vous devenez un extrémiste), elle est donc encore moins exprimée, perd d’autres adhérents, est repoussée davantage à la marge. Elle finit par disparaître complètement des cerveaux. Cercle vicieux, généralisable à un tas de sujets, qui montre que ce n’est pas uniquement la validité d’une position qui la rend dominante mais aussi (et parfois surtout) son acceptabilité sociale.

    Notez que je n’écris pas qu’il fallait accepter la saturation des réanimations, simplement que le choix de ne pas l’accepter a été effectué pour les mauvaises raisons, puisqu’il qu’il a été admis arbitrairement qu’on n’optimiserait pas la balance santé (y compris réanimations) – liberté, mais la balance santé – liberté sous contrainte de non-saturation des réanimations. De façon toute aussi arbitraire, il aurait pu être décidé qu’on optimiserait la balance santé – liberté sous contrainte de ne pas imposer à 66 millions de Français 8 mois d’affilée sous couvre-feu et confinement. Ce qui aurait impliqué une ligne rouge et donc un élément au coût infini : irrationnel aussi.

    LA CROYANCE SELON LAQUELLE ON NE PEUT PAS LAISSER DES GENS MOURIR

    Nous faisons chaque année des choix de société qui impliquent que la vie humaine a un prix. Par exemple, les 10 000 à 15 000 morts annuels de la grippe sont évitables, mais on choisit de ne pas les éviter car on considère que le différentiel de liberté entre une situation avec des restrictions anti-grippe et une situation sans restrictions possède un coût social plus élevé que celui des décès.

    Ainsi, il existe un nombre de décès X que l’on préfère à la suppression d’un degré de liberté Y, un ratio décès évités/bien-être supprimé X/Y en dessous duquel une restriction n’est plus acceptable.

    C’est à la lumière de cette réalité qu’il faut évaluer le bien-fondé de chaque nouvelle restriction, plutôt qu’au nom de principes abstraits.

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  28. LA CROYANCE SELON LAQUELLE LA LIBERTÉ DES UNS S’ARRÊTE LÀ OÙ COMMENCE CELLE DES AUTRES

    Depuis 18 mois, cette formule est brandie pour justifier toute nouvelle mesure. Elle est fausse, dangereuse, et porteuse de projets de sociétés totalitaires. Dans le cadre du covid, la liberté de faire x ou y s’arrêterait là où commencerait la liberté d’un autre de ne pas se faire contaminer.

    D’abord, la formule est disqualifiée par le fait qu’on peut, en toute situation, la renverser :

    La liberté de l’un de ne pas se faire contaminer s’arrête là où commence la liberté de l’autre de faire x ou y.

    Ensuite, pour la grippe, on constate chaque année que la liberté des uns de prendre le métro sans masque (par exemple) ne s’arrête pas là où commence celle des autres de ne pas être contaminés. Il y a un donc un niveau de risque que l’on est en droit de faire courir aux autres. Le covid étant plus létal et contagieux que la grippe, il est possible que ce soit, dans la plupart des situations, la liberté des uns à ne pas être contaminés qui mérite de primer par rapport à celle des autres de vivre librement. Mais l’exemple montre que la formule n’est pas absolue et qu’il faut raisonner au cas par cas, en balance liberté supprimée pour l’un, liberté obtenue (santé) pour l’autre.

    En outre, il faut noter que l’accessibilité d’un vaccin modifie complètement la balance car il atténue les bénéfices liés à la réduction de la probabilité de contamination (une contamination entraîne 90 % moins de formes graves aujourd’hui), alors qu’il ne change pas le coût des restrictions.

    Toutes choses égales par ailleurs, une restriction justifiée par la balance liberté supprimé-liberté obtenue il y a 6 mois n’est donc plus forcément justifiée aujourd’hui.

    LE BIAIS DES COÛTS IRRÉCUPÉRABLES

    En 1973, les gouvernements français et britannique découvrent que Le Concorde, leur projet d’avion supersonique, ne pourra pas être rentable. Pour ne pas « perdre » les 300 millions d’euros déjà investis, ils décident de mener le projet à son terme. Bilan : 1,5 milliard d’euros dépensés pour un retentissant échec commercial. Influencés par une décision prise antérieurement, les gouvernements français et britannique ont succombé au biais des coûts irrécupérables.

    Octobre 2020. Alors que le nombre de cas de covid explose, le gouvernement est confronté à un dilemme : confiner la France à nouveau ou accepter des milliers de décès supplémentaires ? Un élément complique l’analyse : choisir la deuxième option, ce serait rendre, a posteriori, le premier confinement vain, puisque la plupart des décès évités au printemps surviendraient à l’automne. C’est donc en partie la volonté irrationnelle de ne pas « avoir fait tous ces efforts pour rien » qui guide le choix de re-confiner, plutôt qu’une analyse mettant en balance les coûts et bénéfices futurs des différentes options.

    Lors de guerres déclenchées par des rois trop orgueilleux, il fallait ne jamais capituler pour que les soldats ne soient pas morts en vain.

    Aujourd’hui, il faut restreindre éternellement la liberté pour que les confinements n’aient pas été vains.

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  29. LE BIAIS DE PENSÉE DÉSIDÉRATIVE

    Il s’agit du biais qui nous pousse à former nos croyances non pas en fonction de la réalité mais en fonction de ce qu’il est agréable d’imaginer.

    Depuis 18 mois, beaucoup sont tombés sous l’emprise d’une pensée désidérative : nous n’avons à compromettre ni notre santé ni notre liberté puisque nous pouvons éradiquer le virus.

    Prenant leurs désirs pour des réalités, ces commentateurs passent à côté du fait que la situation des pays zéro-covid n’est en rien comparable avec la situation française : ces pays ont agi tôt, n’ont pas six frontières terrestres, ne font pas partie d’une union politique de 447 millions d’habitants, et surtout, il n’est pas donné qu’ils s’en sortent mieux que la France sur la durée. Tant pis, cette pensée désidérative a beaucoup d’influence dans le débat public, puisqu’elle motive consciemment ou inconsciemment la position de beaucoup de partisans d’un durcissement des mesures : pourquoi laisser traîner le problème alors qu’il suffirait de taper un grand coup pour en finir ?

    En 2011, Christopher Booker, écrivain britannique, décrit ce qu’il nomme le cycle du fantasme (les parenthèses sont les miennes) :

    Lorsque nous nous lançons dans une ligne de conduite inconsciemment motivée par une pensée désidérative (nous pouvons vaincre le virus), tout peut sembler aller bien pendant un certain temps : c’est l’étape du rêve (le confinement). Mais ce faux-semblant ne peut jamais être réconcilié avec la réalité et cela conduit à une étape de frustration dès que les choses commencent à mal tourner (la remontée des courbes), ce qui incite à un effort plus déterminé pour maintenir le fantasme en vie (re-confinement).

    Le biais de pensée désidérative nous pousse aussi à sous-estimer la durabilité de ce qui nous affecte négativement.

    En mars 2020, nous sommes persuadés que le confinement n’est qu’une courte parenthèse et que la vie normale (le monde d’après, encore mieux que le monde d’avant) ne tardera pas à reprendre. Aujourd’hui, une des raisons du large soutien au passe sanitaire est la certitude qu’il disparaîtra dans quelques mois. Personne n’a envie de présenter pendant plusieurs années un QR code pour s’asseoir en terrasse et donc personne ne s’imagine qu’il faille pendant plusieurs années présenter un QR code pour s’asseoir en terrasse. Pourtant, les vaccins nécessiteront sûrement des rappels.

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  30. LE BIAIS DE CONFORMISME

    En 1951, Salomon Asch, pionnier de la psychologie sociale, pose à plusieurs participants une question simple.

    Certains répondent seuls : ils se trompent dans moins de 1 % des cas.

    D’autres, soumis à la même question, observent d’abord six autres participants (des complices de l’expérimentateur), choisir, unanimes, une mauvaise réponse. Ceux-ci se conforment, dans 37 % des cas, au choix des six complices.

    C’est l’illustration du biais de conformisme : nous avons tendance à adopter sans fondements rationnels les comportements de ceux qui nous entourent.

    Plusieurs raisons l’expliquent.

    Premièrement, nous considérons que si les autres modifient leur comportement, ils possèdent peut-être des informations que nous n’avons pas et/ou comprennent mieux la situation que nous. C’est ce que Salomon Asch nomme l’influence informationnelle.

    En février, lorsque l’Italie est frappée par le virus, la seule région qui a connu une tension hospitalière comparable est la région de Wuhan. Incertaine de la voie à suivre, l’Italie se conforme donc à la méthode chinoise : le 9 mars, elle confine ses 60 millions d’habitants. Les dirigeants italiens auraient-ils même eu l’idée d’employer une telle méthode sans le précédent chinois ?

    Deuxièmement, dès lors que face à un problème, certains agissent, la charge de justification est modifiée : ce n’est plus à ceux qui adoptent le comportement d’expliquer pourquoi ils agissent, mais à ceux qui n’agissent pas de justifier leur inaction. Il s’agit d’une forme de pression sociale. Dans les jours qui suivent la décision italienne, dans les pays touchés par la maladie il devient plus difficile de justifier de ne pas confiner que de justifier de confiner. Preuve de la modification de cette charge de justification : depuis 18 mois, c’est le choix suédois de ne pas confiner qui est scruté et interrogé.

    Enfin, (surtout ?) il est toujours beaucoup moins coûteux de se tromper avec les autres (diffusion de la responsabilité) que seul (s’exposer, cible unique, aux critiques).

    Ainsi, il sera souvent rationnel de préférer la quasi-certitude d’avoir tort avec la majorité au petit risque d’avoir tort seul (voire au risque d’avoir raison seul). C’est ce que Salomon Asch nomme l’influence normative.

    En mars 2020, Boris Johnson attend sept jours avant de se conformer à la décision des autres grandes nations européennes (la France confine le 17, le Royaume-Uni le 24) : il subit encore, dans l’opinion publique, les répercussions de ce choix.

    Phénomène de mimétisme qui soulève une question intéressante : que ce serait-il passé si le virus n’était pas né en Chine, dictature qui par essence accorde moins de poids à la liberté, mais dans une démocratie libérale ?

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  31. LE BIAIS D’INDUCTION

    Le problème de l’induction désigne le fait d’utiliser le passé pour prédire le futur et donc de surestimer la probabilité que le futur ressemble au passé.

    Une idée énoncée dès le XVIIIe siècle par le philosophe David Hume :

    Ce n’est pas la raison mais l’habitude qui permet de supposer que le futur sera conforme au passé.

    Et reprise de façon amusante par Bertrand Russell, qui ironise sur la mauvaise surprise qui attend le poulet raisonnant par induction :

    L’homme qui l’a nourri tous les jours finit par lui tordre le cou.

    Dans le cadre politique, le biais d’induction nous pousse à sous-estimer la probabilité de chamboulements majeurs dans les 10, 20 ou 50 prochaines années. Ainsi, lorsque nous évaluons les conséquences à long terme des restrictions, nous projetons ces conséquences dans une France semblable à celle d’aujourd’hui et accordons peu d’égard aux coûts liés à la constitution d’un précédent.

    Par exemple, le fait que les confinements et les couvre-feux soient devenus des outils de politique publique conventionnels augmente la probabilité d’utilisation de ces outils dans le futur. Problème auquel nous accordons peu d’égard puisque le biais d’induction nous projette dans un monde où nous serons toujours d’accord (ou pas trop en désaccord) avec les justifications des confinements.

    De même, si on n’est pas anti-vaccin, on aura tendance à sous-estimer la probabilité que l’on puisse un jour se retrouver dans la frange de la population qui refuse une pratique sociale ou médicale encouragée par le gouvernement.

    Ainsi, lorsque l’on analysera les coûts du passe sanitaire, on accordera un poids insuffisant aux conséquences de la normalisation du procédé d’exclusion d’une partie de la population possédant certaines convictions (ici, convictions anti-vaccin).

    LE BIAIS DE DICTATURE DES MINORITÉS INTRANSIGEANTES

    Nassim Nicholas Taleb, qui a théorisé le processus, prend l’exemple d’un dîner où deux invités sur vingt sont des juifs pratiquants. Asymétrie fondamentale : les non-juifs peuvent manger de la nourriture casher alors que les juifs pratiquants ne peuvent pas ne pas manger casher. L’hôte préparera donc un dîner casher. La préférence d’une minorité est imposée à tous.

    Dans le cadre du covid, il existe de nombreuses asymétries de ce type.

    Par exemple : une personne ne craignant pas le virus accepte de porter un masque, alors qu’une personne craignant le covid refusera certaines interactions avec des interlocuteurs non-masqués. Imaginez qu’un vendeur préfère interagir sans masque mais ne connaisse pas les préférences du client qui entre dans sa boutique. Le client préfère lui aussi interagir sans masque mais ne connaît pas les préférences du vendeur.

    Dans le doute, les deux garderont leur masque : le coût potentiel de ne pas le porter (l’autre peut refuser l’interaction ou formuler une remontrance) est supérieur au coût de le porter (buée dans les lunettes). La préférence d’une minorité intransigeante est imposée alors même qu’aucun membre de cette minorité n’est présent.

    Limitée au phénomène ci-dessus, la dictature de la minorité est plutôt bénéfique, le covid étant une maladie contagieuse. Le problème, c’est qu’il s’agit d’un processus sans fin. Lorsque le port du masque devient la norme, une nouvelle minorité intransigeante naît, exigeant qu’on s’écarte de la situation en place pour aller vers une nouvelle norme permettant encore davantage de limitation des risques. Et de cette nouvelle norme naissent encore d’autres intransigeants…

    L’important est donc de garder en tête que les codes de conduite en vigueur ne reflètent pas toujours les préférences de la majorité. La loi, puisqu’elle permet de renforcer ou d’affaiblir ces normes, doit tenir compte de ce biais.

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  32. LE BIAIS DE MÉCONNAISSANCE DE L’EFFET NOCEBO

    Il conduit à une surestimation de l’ampleur du problème posé par le covid long.

    Le 24 juin 2021, The Guardian publie un article abondamment repris affirmant que 37,7 % des malades du covid développent un covid long, c’est-à-dire des séquelles persistant plus de 12 semaines après leur rétablissement.

    La méthodologie de l’étude : on présente à 508 707 anciens malades une liste de 29 symptômes (variant d’insuffisance respiratoire à simple fatigue) et on leur demande s’ils souffrent encore d’au moins l’un de ces symptômes. Il y a 37,7 % de réponses positives.

    Le 31 décembre 2020, Pfizer publie les résultats d’efficacité de son vaccin. Chez les 2298 participants du groupe contrôle (ceux à qui on n’a rien injecté, mais qui ne le savent pas) 33,4 % déclarent ressentir, suite à l’injection, de la fatigue, 33,7 % des maux de tête, 11,7 % des coups de froid, et 10,8 % des douleurs musculaires. C’est l’effet nocebo : lorsque l’on s’attend à souffrir, le cerveau peut anticiper la douleur et déclencher par lui-même des symptômes psychologiques ou même réels. Dans l’estimation de l’ampleur du covid long, en plus de l’effet nocebo, s’ajoute un autre biais : la fausse attribution de maux réels (fatigue, dépression…) au fait d’avoir eu le covid.

    Ainsi, il est évident que :

    La plupart des études qui visent à estimer la réalité du covid long, puisqu’elles ne comparent pas avec un groupe contrôle (idéalement, des patients qui croiraient avoir eu le covid mais ne l’auraient pas eu, ce qui est impossible à trouver en pratique), surestiment massivement l’ampleur du phénomène.
    Plus les médias reprendront ces études sans esprit critique en alarmant sur les prétendus dangers du covid long, plus les gens souffriront du covid long.
    Ce biais peut sembler mineur mais il devient important de le pointer du doigt car à mesure que la couverture vaccinale progresse et que sont éliminées la plupart des formes graves de la maladie, le danger du covid long sera de plus en plus évoqué pour justifier la poursuite de certaines restrictions.

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  33. LE BIAIS DE CONTINUATION DU PLAN

    En 1999, la Nasa analyse dix-neuf catastrophes aériennes. Première cause d’accidents : l’incapacité du pilote à dévier du plan initial pour s’adapter à des éléments nouveaux. L’étude constate même que plus le pilote s’approche de la piste d’atterrissage, moins les conditions extérieures n’ont d’influence sur ses décisions. C’est le biais de continuation du plan : lancés vers un objectif, nous devenons aveugles à notre environnement et réticent à tout changement de trajectoire.

    Au début de la crise, il existe une différence non seulement de degré mais aussi de nature entre le covid et la grippe : contrairement à la grippe, le covid pose un problème d’ordre collectif. Cela pour deux raisons : 1) les taux de contagiosité et de létalité sont suffisamment élevés pour conférer à chacun le devoir de ne pas contaminer l’autre 2) le risque de débordement des hôpitaux est élevé. Face à un problème collectif, nous nous tournons vers des solutions collectives.

    Dix-huit mois plus tard, un élément change complètement la donne : le vaccin. Le point 1) semble être rendu inopérant par la possibilité de réduire son risque individuel de décès de 95% et le point 2) semble être rendu inopérant par la forte couverture vaccinale des personnes à risque (le Royaume-Uni vient par exemple de connaître une vague de variant Delta avec un pic à plus de 50 000 cas quotidiens sans le moindre problème de capacité hospitalière). Le covid devient donc, comme la grippe, un problème d’ordre individuel.

    Pourtant, ce changement ne semble pas avoir été internalisé puisque nous continuons à chercher des solutions collectives (pass sanitaire, masques obligatoires, fermeture de frontières…) sans réintroduire le concept de responsabilité individuelle face au risque. Approuver le pass sanitaire, par exemple, c’est accepter l’idée que la société possède encore le devoir de limiter la circulation virale alors que le vaccin est individuellement accessible à tous : une pente glissante puisque cette idée légitimise la poursuite de restrictions à jamais.

    Lancés depuis un an et demi vers un objectif (la limitation de circulation virale) et proche de ce qui nous semble être le graal (l’immunité collective), nous ne dévions pas de trajectoire (les solutions collectives) car nous ne nous adaptons pas à notre nouvel environnement (le changement de paradigme qu’induit l’accessibilité d’un vaccin).

    (Notez que je n’écris pas que le pass sanitaire est indéfendable, simplement que pour le défendre il faudrait (au minimum) démontrer que le covid reste un problème d’ordre collectif et donc que a) les vaccinés contre le covid sont considérablement plus à risque du covid que de la grippe et/ou que b) le pourcentage de vaccinés chez les personnes à risque est encore insuffisant pour garantir la non-saturation des hôpitaux. Se contenter d’affirmer que la mesure limitera les contaminations et incitera à la vaccination est insuffisant puisque le même raisonnement justifierait la mise en place d’un pass de vaccination contre la grippe.)

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  34. LE BIAIS DE CONFIRMATION

    Le biais de confirmation est le fait de remarquer de manière disproportionnée ce qui permet de confirmer ses opinions pré-existantes.

    Si, par exemple, l’auteur d’un texte sur les biais cognitifs pense que les restrictions sanitaires ont été excessives, il risque de s’intéresser uniquement aux biais ayant conduit à trop restreindre la liberté, oubliant que d’autres biais ont pu avoir l’effet inverse.

    Article mis à jour le 13/08/21 à 17h44
    Article publié initialement le 11/08/2021.

    https://www.contrepoints.org/2021/12/05/403080-covid-comment-lirrationalite-sest-emparee-de-nos-societes

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    1. N'allons pas nous réfugier derrière des pathologies qui nous échappent, comme la très bien expliqué aujourd'hui la docteur en Psychopathologie Ariane Bilheran, il n'y a pas à excuser des criminels d'un crime intentionnel, car même s'ils [les ministres et journalistes] ne sont ni docteurs, professeurs ou scientifiques ils sont tous entourés de ! Et, n'allons pas croire que cet entourage corrompus leur ait soufflé à l'oreille d'enfermer une personne grippée avec toute sa famille !! N'allons pas croire que ces putains de psychopathes qui dirigent ne connaissaient pas la composition des flacons et des seringues !!!

      Depuis 1927 de l'aluminium est ajouté dans TOUS les vaccins afin que la personne développe tôt ou tard la maladie d’Alzheimer ou Parkinson ! Inimaginable y a seulement 50 ans de trouver des personnes âgées portant des couches-culottes comme les nouveaux-nés ! Aujourd'hui... c'est 'presque tous' qui en portent !!! Faut dire que la putain de télé à la con leur conseille de manger... bio !! C'est-à-dire avec des fruits, des légumes malades qui n'ont JAMAIS reçus de remèdes !!! C'est çà l'expérience ! C'est l'essai ! Bouffer du phylloxéra, du mildiou, de l'oïdium et après 'on verra' !

      On leur conseillerait même de bouffer de la vache folle, de la tremblante du mouton, de la grippe aviaire ou du lapin qui a la myxomatose !! Bêh ouais ! ce sont des animaux auxquels aucun remède n'a été apporté ! On pensait que c'était pour votre santé de vous faire bouffer du bio comme aux siècles précédents (tous 100 % !) où les gens crevaient tous à 40 ans !

      Aujourd'hui, faute de vaccins, des criminels qui connaissent sciemment la composition de ce qu'ils ou elles vont inoculer à la victime ignare, ils ou elles injectent des Expérimentations Génique d'Essais !!! composées de 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !!! (poison mortel violent !). Ces 40 000 milliards de nano-particules par seringues vont - suivant une longueur d'onde appropriée - se décortiquer dans l'organisme et provoquer la mort immédiate de la trisomique vaccinée !!

      Pareillement qu'ils ou elles savent toutes et tous que TOUS les faux-masques dits 'antivirus' !!! (bleus-blancs) contiennent des nano-particules d'oxyde de graphène !! comme TOUS les hydrogels !! comme TOUS les écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR' !!

      Rappelons que le 'covide19coronadeltaomicrondemesdeux' n'est PAS DANS L'AIR ! mais DANS LA SERINGUE ! Dans la seringue uniquement ! Vous êtes piqué: vous l'avez !
      Pas belle la vie ?

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  35. LUTTE CONTRE LE TABAGISME:

    Le prix des cigarettes pourrait bientôt presque doubler


    5 décembre 2021, 08:47


    L’Association suisse pour la prévention du tabagisme souhaite une augmentation des taxes sur les cigarettes. Celles-ci coûteraient en moyenne 14 francs (13,49€) , contre 8 (7,71€) actuellement.

    Le prix des cigarettes pourrait augmenter, si la proposition du milieu anti-tabagisme fait son chemin à Berne.

    Augmenter le prix des cigarettes pour réduire le nombre de personnes qui en fument. C’est le plan du «lobby anti-tabac», rapporte la «NZZ am Sonntag» du jour. Le paquet le moins cher passerait de 5,50 francs à 10,20. «Par rapport au niveau des salaires et des coûts en Suisse, les 5,50 francs (5, 30 €) pour un paquet de cigarettes sont très bon marché», a déclaré au journal dominical Wolfgang Kweitel, le chargé des affaires publiques de l’Association suisse pour la prévention du tabagisme (AT).

    Le parlement a décidé en mars dernier de taxer les e-cigarettes, réputées moins nocives. Or, selon l’AT, le renchérissement du prix de chaque produit avec de la nicotine doit correspondre au risque pour la santé. La cigarette classique doit donc être plus coûteuse, de manière à inciter à choisir l’alternative électronique.

    Politique de santé publique

    Une augmentation du prix provoque une réduction du nombre de fumeurs, selon des études. D’ailleurs, 80% de ceux-ci sont devenus accros avant leur majorité, indique le journal. Puisque les plus jeunes sont sensibles à leur portemonnaie, l’incitation financière est jugée efficace pour lutter contre cette addiction. Le journal rappelle que 9500 personnes en décèdent chaque année en Suisse.

    Entre 2003 et 2013, le Conseil fédéral avait augmenté progressivement la taxe sur le tabac de 1,70 franc . La «NZZ am Sonntag» indique que, depuis 2011, le taux de fumeurs est assez stable : environ 27% chez les personnes de plus de 15 ans.

    La proposition de l’AT récolte le soutien d’autres associations actives dans la prévention : la Ligue pulmonaire, la Ligue contre le cancer, Addiction Suisse et la FMH, l'organisation faîtière des médecins.

    https://www.lematin.ch/story/les-cigarettes-pourraient-bientot-couter-presque-le-double-809051461580

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    1. Et oui ! La Démocratie en Suisse c'est finie !
      Le 'vote' du 28 l'a rayé d'un 'trait de plume' !
      C'est pour votre santé ! (comme dirait Amélie Paul).

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  36. Session d'hiver 2021:

    Oui à des incitations pour remplacer les vieilles chaudières à bois

    Le Conseil des États a accepté d'introduire des incitations financières pour leur remplacement par des installations modernes.


    par Eric Felley, Christine Talos
    jeudi, 02.12.2021


    14:29
    Oui à des incitations pour remplacer les vieilles chaudières à bois
    Le Conseil des États a accepté, par 23 voix contre 12, d'introduire des incitations financières pour le remplacement d'anciennes chaudières à bois par des installations modernes de chauffage au bois. Pour le motionnaire Jacob Stark (UDC/TG), il s'agit d'éviter leur remplacement par des systèmes plus gourmands en électricité. Les moyens à disposition pour encourager les énergies renouvelables sont limités, a tenté d'argumenter la ministre de l'environnement Simonetta Sommaruga. Mieux vaut les utiliser là où ils sont les plus efficaces. Sans succès.

    13:30
    Vitesse minimale de connexion à Internet: motion suspendue
    Le Conseil des Etats a tacitement suspendu pour un maximum d'un an l'examen d'une motion du National demandant que la vitesse minimale de connexion à Internet passe à 80 Mbit/s. La Chambre veut attendre les travaux du gouvernement sur le très haut débit. «En décembre encore, je soumettrai au Conseil fédéral un projet qui permettra d'étendre la concession de service universel au 1er janvier 2023. Cela signifie qu'en plus de l'offre à haut débit de 10 mégabits par seconde qui vient d'être introduite, nous voulons maintenant inclure un service à haut débit de 80 mégabits par seconde dans la concession de service universel», a lancé la conseillère fédérale en charge du dossier Simonetta Sommaruga.

    11:57
    Climat: la coopération entre scientifiques et politiciens sera renforcée
    La collaboration entre politiciens et scientifiques doit être renforcée dans le domaine de la protection du climat. Le Conseil des Etats a accepté jeudi par 24 voix contre 10 une motion d'Othmar Reichmuth (Centre/SZ), demandant la création d'une nouvelle commission d'experts.

    La commission est appelée à remplacer l'Organe consultatif sur les changements climatiques, qui sera dissous à la fin de l'année. Elle devra soutenir l'ensemble du Conseil fédéral et non seulement le Département fédéral de l'environnement (DETEC), car le climat touche de très nombreux domaines.

    11:51
    Pas de débat urgent au Conseil National
    Le Conseil national ne tiendra pas de débat urgent lors de la session d'hiver. Le groupe UDC demandait avec une interpellation urgente un débat sur un approvisionnement sûr en électricité. Les Verts voulaient débattre d'une augmentation écoresponsable de la sécurité d'approvisionnement. Un conseiller national UDC voulait lui une discussion sur les soins intensifs en période d'urgence.

    Le bureau du National a transformé ces interpellations urgentes en questions urgences, ont indiqué jeudi les services du Parlement sur Twitter. Le Conseil fédéral devra y répondre par écrit d'ici la fin de la session d'hiver. Aucune discussion n'aura lieu.

    11:48
    Loi sur le gaz carbonique: les objectifs climatiques doivent être poursuivis
    Le rejet de la loi sur le gaz carbonique ne doit pas empêcher la Suisse de poursuivre ses objectifs climatiques. Le Conseil des Etats a décidé jeudi à l'unanimité de prolonger plusieurs mesures jusqu'à fin 2024. Le projet vise à éviter un vide juridique en attendant la nouvelle révision de la loi sur le gaz carbonique. Des mesures incontestées, mais limitées jusqu'à 2021, doivent être prolongées trois années supplémentaires. Il s'agit notamment de permettre à la Suisse d'avoir encore un objectif de réduction à partir de 2022.

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  37. La loi en vigueur exigeait une diminution de 20 % par rapport à 1990 d'ici 2020, et une réduction annuelle supplémentaire de 1,5% en 2021. Le projet propose de continuer ainsi. Trois quarts des réductions devront être effectuées en Suisse. Les mesures mises en œuvre à l'étranger pourront aussi être prises en compte dans l'objectif annuel.

    Députés et sénateurs divergent encore sur un point. Les premiers souhaiteraient prolonger les conventions d'objectifs avec les organisations existantes. Les partenariats public-privé ont permis à l'économie d'atteindre ses objectifs climatiques, plaident-ils. Une telle disposition viole le droit des marchés publics, selon Simonetta Sommaruga. Le Conseil des États a tacitement biffé cet ajout. Le dossier repasse au National.

    07:45
    Une commission recommande le certificat pour les fêtes en famille

    Le Conseil fédéral doit vivement recommander – mais pas l’imposer – le certificat Covid pour les rencontres en famille et entre amis à partir de 11 personnes. Tel est l'avis de la commission de la sécurité sociale et de la santé publique du National, consultée au sujet des mesures proposées par le gouvernement mardi.

    La commission les soutient pour la plupart, en particulier l’extension de l’obligation de présenter un certificat à toutes les activités sportives et culturelles d’amateurs qui se déroulent à l’intérieur (par 14 voix contre 11) et la réduction de la durée de validité des certificats obtenus à la suite d’un test (par 13 voix contre 8 et 2 abstentions).

    En ce qui concerne le télétravail, la commission est favorable à la recommandation du home office et non pas à son obligation. Mais elle estime que l’obligation de porter un masque dans les espaces clos partagés ne doit pas s’appliquer aux entreprises qui mettent sur pied des tests groupés répétés.

    Elle estime aussi que des dispositions proportionnées doivent être prises pour les voyageurs arrivant en Suisse afin que ces derniers ne soient pas soumis à des règles de quarantaine trop strictes, ce qui porterait préjudice au tourisme.

    mercredi, 01.12.2021

    15:13
    Les parlementaires vont retrouver leurs "cages" en plexiglas dès lundi

    Ce n'est pas de gaieté de coeur, c'est certain. Après avoir réintroduit le port du masque et renforcer la capacité des tests lors de cette session d'hiver, la Délégation administrative des Chambres fédérales a dû se résoudre à faire remettre les parois en pexiglas, qui avaient été enlevés à la fin de la session de septembre.

    La Délégation administrative a entrepris les démarches nécessaires pour que le montage soit réalisé ces prochains jours, afin que les salles des conseils soient prêtes pour lundi prochain. Maigre consolation pour les parlementaires: assis à leur place, ils pourront enlever leur masque.

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  38. La Délégation administrative a examiné l’opportunité d'autres restrictions concernant l’accès au Palais du Parlement et aux tribunes des salles des conseils, ainsi que les manifestations extraparlementaires. Elle y renonce pour l’heure et évaluera de nouveau la situation le lundi 6 décembre 2021 à la lumière des décisions du Conseil fédéral.

    10:19
    Selon Alain Berset, la Suisse va connaître un record de cas dès aujourd'hui ou les jours suivants
    Lors du débat aux Conseil des Etats sur la modification de la loi Covid-19, Alain Berset a précisé mercredi matin que la Suisse allait connaître un record de cas aujourd'hui ou dans les jours qui suivent: «Le plus haut niveau jamais atteint dans ce pays depuis le début de la pandémie». Il a évoqué plus de 10'000 cas.

    10:19
    Faillite: les Etats se rallient au National
    Le projet de loi sur la lutte contre l'usage abusif de la faillite est à bout touchant. Le Conseil des Etats s'est rallié mercredi de justesse au National sur la question du contrôle des comptes des entreprises, éliminant une des dernières divergences.

    La réforme vise à mieux appliquer l'interdiction pénale d'exercer une activité en cas notamment de crimes ou délits dans la faillite et de poursuite pour dettes. Elle veut empêcher que des personnes ne profitent de la faillite d'une société pour échapper à leurs obligations et les faire assumer par les assurances sociales.

    Point d'achoppement entre les deux Chambres jusqu'ici: la possibilité offerte aux entreprises de ne pas se soumettre au contrôle restreint de leurs comptes (opting-out) par un organe de révision. Le National a refusé en septembre de limiter cette possibilité, à l'instar de ce que prévoit la réforme du Conseil fédéral. Souhaitant un compromis, la commission des affaires juridiques de la Chambre des cantons proposait que cette renonciation au contrôle restreint soit maintenue.

    09:45
    L''accès aux documents officiels doivent être gratuits
    L'accès aux documents officiels devrait être gratuit. Le Conseil des Etats s'est finalement laissé convaincre mercredi par une modification de la loi sur la transparence en ce sens. Contre l'avis de leur commission préparatoire, les sénateurs sont entrés en matière par 25 voix contre 18.

    Le projet, déjà largement accepté par le National, fait suite à une initiative d'Edith Graf-Litscher (PS/TG). Il veut rendre gratuit l'accès aux documents officiels. Des exceptions sont prévues pour les demandes particulièrement complexes qui demandent un surcroît important de travail.

    Un maximum 2000 francs pourrait être alors demandé. Cela correspond aux règles générales en vigueur. Le requérant doit être prévenu à l'avance si l’autorité envisage de prélever un émolument, ainsi que du montant de celui-ci.

    09:21
    Ignazio Cassis reporte la fête présidentielle
    Durant cette session d'hiver, le chef du Département des affaires extérieures, Ignazio Cassis, va remplacer Guy Parmelin. En raison de la situation de la pandémie, le Tessinois reporte la fête présidentielle qui aurait dû avoir le 16 décembre prochain au Tessin. Elle se déroulera probalement l'été prochain, précise le DFAE.

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  39. mardi, 30.11.2021

    13:52
    Impôt anticipé: oui des sénateurs à l'entrée en matière
    Le Conseil des Etats a commencé de se pencher sur la réforme de l'impôt anticipé mardi. Les sénateurs ont accepté l'entrée en matière. La réforme veut exonérer les personnes morales domiciliées en Suisse et les investisseurs étrangers de l’impôt anticipé sur les placements suisses portant intérêts. Elle prévoit aussi la suppression du droit de timbre de négociation sur les obligations suisses.

    Actuellement, les obligations d'entreprises suisses sont pour la plupart émises à l'étranger, parce qu'il n'y a pas d'impôt anticipé, selon le ministre des finances Ueli Maurer. Près de la moitié des émissions ont été perdues ces dernières années, car les procédures sont trop compliquées et trop onéreuses en Suisse. Le projet entend simplement rapatrier ces émissions, a-t-il souligné. En supprimant l'impôt anticipé, il sera plus intéressant pour les investisseurs d'acheter des obligations suisses en Suisse. Le secteur financier en sera renforcé.

    Pour la gauche, il n'est pas nécessaire de stimuler encore plus la place financière suisse. «Lui accorder de nouveaux privilèges est la dernière chose qu'on veut», selon Paul Rechsteiner (PS/SG). La suppression des impôts discutée aurait en outre des conséquences financières. Des pertes de recettes malvenues après la pandémie, qui a creusé la dette, estime la gauche.

    Les débats vont se poursuivre ultérieurerement.

    13:09
    Oui à l'affectation à l'AVS des bénéfices que tire la BNS des taux négatifs
    Le Conseil national accepté une initiative parlementaire qui demande les bénéfices que la BNS tire des intérêts négatifs soient versés à l'AVS. Une fois n'est pas coutume, c'est l'addition des voix de la gauche, PS et Vert.e.s, avec celles de l'UDC qui a permis de faire passer l'idée par 108 à 71. Cette proposition est également en suspens dans la réforme AVS 21.

    12:51
    Le Conseil national veut passer 3000 bus régionaux à l'électrique
    Le Conseil fédéral doit élaborer une solution globale avec les cantons, les communes et la branche ppour soutenir les ransports publics électriques. Le Conseil national a largement soutenu mardi une motion de sa commission des transports.

    L'objectif est de passer quelque 3000 bus régionaux ou locaux vers une consommation non fossile, a expliqué pour la commission Martin Candinas (C/GR). Cette stratégie globale de promotion des bus électriques doit tenir compte du transport régional de voyageurs et du trafic local.

    Cette motion, soutenue par le Conseil fédéral, prévoit aussi de rapidement limiter l'exonération de l'impôt sur les huiles minérales dont bénéficient les transports publics et d'affecter les recettes supplémentaires à la promotion de véhicules de transport utilisant des énergies non fossiles.

    Mais l'UDC s'y est opposée. Benjamin Giezendanner (UDC/AG) a estimé qu'il s'agissait d'une fausse incitation: "La décarbonisation oui, mais le tout-électrique, non". Il faut donner une chance à l'hydrogène et à l'innovation avec d'autres énergies synthétiques, pour éviter tout problème avec l'approvisionnement en courant. Les parlementaires UDC se sont succédés à la tribune pour critiquer la stratégie énergétique de la Confédération. Mais la motion a été soutenue par 119 voix contre 55. Elle passe au Conseil des Etats.

    11:06
    Le projet «Cargo sous terrain» est sous toit
    Les Chambres se sont finalement mises d'accord mardi sur la loi sur le transport de marchandises. Il n'y aura pas de disposition spéciale sur les expropriations.

    La loi vise à permettre et faciliter le projet «Cargo sous terrain». "Elle règle les conditions pour sa mise sur pied et son exploitation", a expliqué la ministre des transports Simonetta Sommaruga. Le projet est totalement privé et la Confédération ne participera pas à son financement.

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  40. «Cargo sous terrain» vise à transférer le transport de marchandises de la route à des tunnels souterrains. Il prévoit un tunnel à triple voie, exploité 24 heures sur 24. Il doit relier les principaux centres logistiques du Plateau et de la Suisse du Nord-Ouest, de Genève à Saint-Gall et de Bâle à Lucerne, avec des connexions internationales.

    Le projet doit permettre d'assimiler la hausse du trafic de marchandises, qui devrait se monter à 37% d'ici 2040. Lancé en 2013 par des milieux privés, le projet coûterait en tout entre 30 et 35 milliards de francs. La responsabilité de la planification et du financement du projet incombera à la société anonyme Cargo sous terrain (CST).

    Les actionnaires doivent rester majoritairement suisses tout au long de la durée de vie de l'installation. En cas de difficultés financières, Berne pourra exiger des garanties, voire le démantèlement ou le changement d'affectation en concertation avec les cantons.

    10:41
    Plus de 200 milions de soutien aux transports publics
    Les transports publics doivent à nouveau être soutenus. Le Conseil national a approuvé mardi un deuxième paquet de mesures pour les aider à faire face aux pertes financières liées à la pandémie de coronavirus et ce jusqu'à la fin 2021. L'UDC 'est opposée à ces aides estimant que a Confédération ne doit pas couvrir les déficits structurels des entreprises de transports.

    Le Conseil fédéral estime que les besoins financiers s'élèveront au total à 215 millions de francs: 150 pour le transport régional de voyageurs, 50 pour le transport local et 15 pour le touristique. Le transport de marchandises devrait lui à nouveau bénéficier de 25 millions.

    09:47
    Santé des pilotes d'avion: les Chambres toujours divisées
    En mars 2015, un A320 de Germanwings s'était crashé dans les Alpes françaises. Le pilote Andreas Lubitz avait volontairement précipité son avion contre une montagne.
    En mars 2015, un A320 de Germanwings s'était crashé dans les Alpes françaises. Le pilote Andreas Lubitz avait volontairement précipité son avion contre une montagne.

    Les Chambres ne sont toujours pas d'accord sur la révision de la loi sur l'aviation qui voudrait permettre aux médecins de communiquer plus simplement à l'Office fédéral de l'aviation civile lorsqu'ils ont des doutes sur les capacités des pilotes.

    Contrairement aux Etats qui l'avait adoptée en septembre, le National a refusé mardi, par 88 voix contre 82, de simplifier cette procédure. La droite a jugé qu'elle donnerait une obligation morale aux médecins d'annoncer un problème. Ce qui romprait la relation de confiance entre le pilote et son médecin.

    Le dossier retourner une nouvelle fois aux Etats. Pour rappel, 6 ans après le drame de Germanwings, la Suisse veut adapter à son tour sa sécurité aérienne. Les Chambres se sont déjà mises d'accord sur l'utilisation d'alcooltests aléatoires.

    08:23
    Pas de festivités pour le nouveau président du Conseil des Etats
    Le nouveau président du Conseil des Etats ne tiendra pas de festivités pour fêter son élection. Thomas Hefti, de Glaris, a annoncé ce mardi aux sénateurs qu'en raison de la situation pandémique, la réception prévue avec son canton ce 1er décembre avait été annulée. Elle aura lieu si tout va bien lors de la session d'été prochaine, a-t-il souligné.

    07:35
    Un Conseil fédéral peut-être à 9 membres ?
    Le Conseil fédéral devrait être élargi. Le Conseil national a soutenu lundi par 102 voix contre 79 une initiative parlementaire de Nadine Masshardt (PS/BE) souhaitant faire passer le nombre de ses membres de sept à neuf.

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  41. lundi, 29.11.2021

    20:00
    La loi ADN ne fait toujours pas l'unanimité entre les Chambres
    L'utilisation du phénotypage dans les enquêtes criminelles doit être limitée aux infractions les plus graves. Le National a suivi lundi le Conseil des Etats sur ce point de la loi sur les profils d'ADN.

    Concernant les délais d’effacement des profils d’ADN en cas d’acquittement, de classement ou de non-entrée en matière, la conservation et l'utilisation de ces profils ne doit pas seulement revenir au tribunal des mesures de contrainte. Le National a tacitement maintenu cette divergence avec le Conseil des Etats.

    Il s'est en revanche rangé à son avis sur deux autres points. Les profils ADN pourront être effacés après 20 ans en cas d’irresponsabilité de l’auteur. Et aucun échantillon ADN ne sera prélevé après un suicide.

    Le projet repasse au Conseil des États.

    https://www.lematin.ch/story/le-parlement-va-se-pencher-sur-la-loi-covid-le-budget-et-d-un-milliard-a-l-ue-312877776519

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    1. Et oui ! La Démocratie en Suisse c'est finie !
      Le 'vote' du 28 l'a rayé d'un 'trait de plume' !
      C'est pour votre santé ! (comme dirait Amélie Paul).

      (...) il s'agit d'éviter leur remplacement par des systèmes plus gourmands en électricité. (...)

      Fini les allumettes électriques ! Vive le silex ! Faites du feu bio ! HAHAHAHA !

      Les 'vieilles' cheminées, barbecues ou même poêle à bois !! (le feu date de 10 000 millions d'années !! FAUT LE REMPLACEEEEEER !!). Rendez-vous compte que çà brûle du bois gratuit qu'il y a tout autour des maisons !!! (alors qu'on se casse le cul pour foutre des éoliennes à la place et qui ne marchent jamais !!)
      Faut dire qu'on a fait croire que parce que les arbres inspirent du gaz carbonique et émettent de l'oxygène que c'est grâce à eux que les humains sont en vie !! HAHAHAHAHAHA ! Une forêt n'émet pas plus d'oxygène qu'un seul homme peut en respirer en une heure ! Bêh ouais ! Faut pas croire que les plantes respire comme nous !
      L'oxygène (entr'autres) est fabriqué continuellement par notre magma. La masse ferrique incandescente produit des millions de tonnes de gaz (jusqu'aux plus toxiques) et donc fait vivre les milliards de milliards de poissons (l'eau de mer ce compose de 86 % d'oxygène).
      C'est lui qui fait notre atmosphère où TOUS les gaz se recyclent immédiatement (sans quoi l'être humain n'aurait même pas vu le jour !).

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  42. Coronavirus:

    Dix millions de Français ont reçu une dose de rappel


    par
    La rédaction


    dimanche, 05.12.2021
    04:38
    Outremer: retour au calme à Saint-Martin, barrage allégé en Guadeloupe
    Le calme est revenu vendredi à Saint-Martin, territoire français des Caraïbes, où le début de semaine avait été marqué par des barrages et de graves échauffourées entre manifestants et gendarmes, dont l’un avait été blessé par balles.

    La Guadeloupe, la Martinique et Saint-Martin connaissent un fort mouvement social, né du refus de l’obligation vaccinale pour soignants et pompiers et qui s’est étendue à des revendications politiques et sociales, notamment contre la vie chère, occasionnant violences, pillages et incendies.

    03:27
    Bientôt une dose de rappel pour les plus de 65 ans au Mexique
    Une dose de rappel du vaccin contre le Covid-19 sera administrée dès les prochains jours aux personnes âgées de plus de 65 ans au Mexique, en prévision de l’arrivée de l’hiver et après la détection du premier cas d’Omicron sur son territoire, a annoncé samedi le chef de l’Etat.

    samedi, 04.12.2021

    21:10
    Le Mexique va administrer la dose de rappel
    Une dose de rappel du vaccin contre le Covid-19 sera administrée dès les prochains jours aux personnes âgées de plus de 65 ans au Mexique, en prévision de l’arrivée de l’hiver et après la détection du premier cas d’Omicron sur son territoire, a annoncé samedi le chef de l’Etat.

    «Il est très probable que nous commencions la vaccination de rappel dès mardi prochain» pour la population âgée, a déclaré le président mexicain Andrés Manuel Lopez Obrador au cours d’une conférence de presse. «Nous allons renforcer la vaccination parce qu’il est démontré que c’est utile», a-t-il ajouté.

    20:08
    Plus de 40'000 manifestants à Vienne contre les mesures
    Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté samedi en Autriche pour le troisième week-end consécutif contre les mesures gouvernementales de lutte contre le coronavirus, notamment la vaccination qui sera obligatoire à partir de février, a annoncé la police.

    Plusieurs arrestations ont eu lieu pour troubles à l’ordre public, selon la police qui a recensé «plus de 40'000» manifestants à Vienne, après plusieurs rassemblements dans la capitale. Selon la police, certains manifestants ont jeté des «engins pyrotechniques» sur les forces de l’ordre qui ont répliqué par l’usage de gaz poivre et une contre-manifestation a rassemblé 1500 personnes.

    L’Autriche vit depuis le 22 novembre un nouveau confinement partiel, en vigueur jusqu’au 11 décembre, et elle est le premier pays de l’Union européenne à avoir annoncé que la vaccination serait obligatoire, à partir du 1er février.

    20:01
    Dix millions de Français ont reçu une dose de rappel
    Dix millions de Français ont reçu leur dose de rappel de vaccin contre le Covid-19, a annoncé le ministre de la Santé Olivier Véran, samedi soir. «Dix millions de Français ont fait leur dose de rappel pour maintenir leur protection face au Covid. De nouveaux rendez-vous continueront d’ouvrir chaque jour pour que toutes les personnes éligibles puissent faire leur rappel en temps et en heure», a-t-il tweeté.

    La France compte 67 millions d’habitants et toutes les personnes âgées de plus de 18 ans sont éligibles à la dose de rappel. Il y a dix jours, l’annonce que tous les adultes étaient désormais éligibles à cette dose de rappel avait provoqué un afflux de prises de rendez-vous.

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  43. 19:59
    Premier cas d'Omicron au Chili
    Le Chili a annoncé samedi le premier cas du variant Omicron du coronavirus sur son territoire, chez un voyageur arrivé du Ghana le 25 novembre.

    «Cet étranger, résidant au Chili, est entré dans le pays avec un test PCR négatif», mais le test supplémentaire obligatoire à l’arrivée à l’aéroport a donné un résultat positif, a expliqué dans un communiqué le ministère régional de la Santé de la ville chilienne de Valparaiso, à 120 km à l’ouest de la capitale Santiago.

    Ce passager, qui avait reçu deux doses du vaccin Pfizer, «est en bonne santé et a été placé en isolement», dans un premier temps à son domicile, avant de devoir aller dans une résidence sanitaire, a précisé cette source.

    17:39
    Sans masque, la Première ministre danoise s'excuse
    La Première ministre danoise s’est excusée après avoir été filmée sans masque dans un magasin, contrairement aux nouvelles règles anti-Covid en vigueur.

    La vidéo, publiée en fin de matinée par le quotidien danois Ekstra Bladet, a été prise vendredi par un passant à travers la devanture d’un magasin de vêtements du centre de Copenhague, quatre jours après le retour de l’obligation du port du masque dans certains lieux et transports publics.

    16:16
    Allemagne: une manif' devant le domicile d'une élue fait scandale
    Une manifestation d’opposants aux restrictions anti-Covid qui se sont bruyamment rassemblés, en Allemagne, devant le domicile d’une élue régionale avec des torches et des sifflets a suscité samedi l’indignation de la classe politique.

    Une trentaine de personnes, selon la police, étaient présentes vendredi soir lors de ce «rassemblement non autorisé» devant la maison de la ministre de la Santé du Land de Saxe, dans la commune de Grimma (est).

    Sur une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, on les voit notamment brandir des torches et crier «Paix, liberté, pas de dictature» dans un bruit de sifflets et de tambour. «Les protestations aux flambeaux devant ma maison sont répugnantes et indécentes», a dénoncé l’élue visée, du parti social-démocrate (SPD), Petra Köpping.

    15:09
    Brésil: Rio de Janeiro renonce à célébrer Nouvel An
    La ville de Rio de Janeiro ne célébrera pas le Nouvel An avec les habituelles festivités en raison de l’arrivée au Brésil du nouveau variant Omicron, ont annoncé samedi les autorités municipales. Cette décision fait craindre une possible annulation du célèbre carnaval, déjà annulé l’an dernier en raison de l’épidémie de Covid-19.

    «Nous allons annuler la célébration officielle du Nouvel An», des festivités qui réunissent habituellement sur la plage de Copacabana, avec musique et feux d’artifices, quelque trois millions de personnes, a annoncé «avec tristesse» le maire de la ville, Eduardo Paes, sur Twitter.

    Pour l’instant, le Brésil compte six cas confirmés de personnes contaminées par le variant Omicron.

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  44. 14:49
    Omicron: le Maroc bannit festivals et manifestations culturelles
    Le gouvernement marocain a décidé d’interdire tous les festivals et manifestations culturelles et artistiques en raison de la propagation du nouveau variant Omicron, selon un communiqué.

    Cette décision a été prise «sur la base des dispositions juridiques relatives à la gestion de l’état d’urgence sanitaire et en renforcement des mesures préventives nécessaires visant à limiter la propagation du nouveau coronavirus», indique le communiqué publié vendredi soir. En revanche, le bref communiqué ne précise ni la date d’entrée en vigueur de l’interdiction ni le type de manifestations culturelles et artistiques concernées.

    12:58
    Stations de ski françaises: le pass sanitaire désormais requis
    L’obligation de détention d’un pass sanitaire dans les stations de ski françaises est entrée en vigueur samedi et des contrôles ont été mis en place, conformément au protocole prévu en cas de dégradation de la situation sanitaire, a annoncé Domaines skiables de France (DSF).

    «C’est à partir d’aujourd’hui que c’est applicable», a indiqué à l’AFP Alexandre Maulin, président de DSF, organisation qui représente les exploitants des 250 stations de ski françaises. Le protocole d’accès aux remontées mécaniques des stations de ski prévoyait un pass obligatoire en cas de taux d’incidence national dépassant les 200 cas pour 100'000 habitants. Cette limite a été atteinte en fin de semaine dernière et on est «à 350 aujourd’hui», a expliqué le président.

    11:43
    L'appel à la vaccination d’Angela Merkel dans son dernier podcast
    Angela Merkel, qui quittera le pouvoir la semaine prochaine, a de nouveau plaidé samedi pour la vaccination contre le Covid-19 dans le dernier épisode d’une série de plus de 600 podcasts à travers lesquels elle avait pris l’habitude de s’adresser à ses concitoyens.

    «Je vous demande une nouvelle fois avec insistance de prendre ce virus perfide au sérieux. La nouvelle variante Omicron semble justement être encore plus contagieuse que les précédentes. Faites-vous vacciner. Peu importe qu’il s’agisse d’une primo-vaccination ou d’un rappel. Toute vaccination est utile», a lancé la chancelière sortante dans un message vidéo.

    Elle a de nouveau qualifié la quatrième vague de Covid-19 qui frappe l’Allemagne de «très grave», voire «dramatique» dans certaines régions où les unités de soins intensifs sont surchargées. «C’est d’autant plus amer que cela pourrait être évité. Avec les vaccins efficaces et sûrs, nous avons la clé en main», a insisté Angela Merkel.

    03:48
    Le Covid-19 arrive aux îles Cook
    Un tout premier cas de Covid-19 a été détecté samedi aux îles Cook, archipel du Pacifique de 17'000 habitants jusqu’ici épargné par la pandémie, a annoncé le Premier ministre, Mark Brown. Un garçon de 10 ans a été testé positif au nouveau coronavirus alors qu’il se trouvait en quarantaine avec sa famille après être revenu de l’étranger.

    Les îles Cook se sont complètement isolées du reste du monde au début de la pandémie. Les Cookiens coincés à l’étranger peuvent toutefois se faire rapatrier à bord de quelques rares vols spéciaux depuis la Nouvelle-Zélande, moyennant dix jours de quarantaine à l’arrivée et de multiples tests.

    L’archipel est l’un des pays du monde où le taux de vaccination contre le Covid-19 est le plus élevé: 96% de la population de plus de 12 ans a reçu ses deux doses. Les îles Cook ont l’intention de rouvrir leurs frontières à la Nouvelle-Zélande, sans quarantaine, à partir du 14 janvier.

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  45. vendredi, 03.12.2021

    22:23
    Omicron: la patronne du FMI envisage d’abaisser ses prévisions
    Le Fonds monétaire international envisage de réviser en baisse ses prévisions de croissance mondiale en raison du nouveau variant Omicron qui se répand dans le monde, a indiqué vendredi la directrice générale de l’institution.

    «Un nouveau variant qui pourrait se propager très rapidement peut ébranler la confiance et, en ce sens, nous assisterons probablement à des révisions à la baisse de nos projections d’octobre pour la croissance mondiale», a déclaré Kristalina Georgieva lors d’une conférence Reuters Next.

    En octobre, le FMI avait déjà révisé en baisse ses prévisions de hausse du produit intérieur brut mondial à 5,9% cette année contre 6% en juillet, en raison des problèmes de logistique et une vaccination inégale. Pour 2022, le FMI tablait alors sur une croissance mondiale inchangée à 4,9%.

    21:48
    Rappel vaccinal dès trois mois en Grèce
    Les autorités sanitaires grecques ont annoncé, vendredi, que le rappel vaccinal contre le Covid-19, soit la troisième dose, serait désormais administré à tous les adultes dès trois mois après leur dernière injection, pour lutter contre la recrudescence du virus. Jusqu’ici, le rappel n’était administré, en Grèce, que six mois après la deuxième dose de vaccination.

    Depuis fin octobre, le nombre des contaminations ne cesse d’augmenter en Grèce, étant passée de 3600 le 29 octobre à plus de 6000 une semaine plus tard. Le nombre de décès quotidiens dus au virus se compte en dizaines, les autorités ayant recensé, vendredi, 97 morts en 24 heures et 89 la veille.

    21:36
    L’Irlande décrète de nouvelles restrictions avant Noël
    Le gouvernement irlandais a annoncé, vendredi, la mise en place de nouvelles restrictions pour tenter de limiter les contaminations au Covid-19 et prévenir la propagation du nouveau variant Omicron. Suivant les recommandations des autorités sanitaires, du mardi 7 décembre au 9 janvier, les discothèques devront fermer et la distanciation sociale sera rétablie dans les pubs, restaurants et hôtels, avec service en salle uniquement et six personnes maximum par table.

    La capacité d’accueil est réduite de moitié dans les lieux culturels et pour les événements sportifs, où le port du masque est obligatoire. En outre, il est conseillé de limiter à quatre foyers maximum les rencontres à domicile.

    Pays de cinq millions d’habitants où près de 90% des plus de 12 ans sont totalement vaccinés, l’Irlande a enregistré 5419 cas positifs vendredi. L’épidémie y a fait plus de 5700 morts.

    21:00
    Un rappel recommandé aux Canadiens à risque dès 18 ans
    Les autorités sanitaires canadiennes ont recommandé, vendredi, l’administration d’une dose de rappel de vaccin anti-Covid aux adultes dès l’âge de 18 ans, s’ils sont à risque, dans un contexte d’inquiétude mondiale face au nouveau variant Omicron. La dose de rappel pour les 18 ans et plus devrait être proposée «au moins six mois après l’achèvement de la série vaccinale». La semaine dernière, plus de 2800 cas de Covid-19 ont été signalés en moyenne chaque jour au Canada. Plus de 85% de la population est vaccinée contre le coronavirus.

    19:39
    Octobre, mois le plus meurtrier en Russie, avec 75’000 décès
    La Russie a enregistré 74’893 morts liées au Covid-19, en octobre, le mois le plus meurtrier pour ce pays depuis le début de la pandémie, a annoncé, vendredi, l’agence des statistiques Rosstat. Le bilan total de la pandémie dans le pays s’établissait ainsi à plus de 520’000 morts fin octobre, selon Rosstat, qui a une définition plus large des décès liés au virus que le décompte gouvernemental.

    17:17
    Zimbabwe: pic d’infections malgré des mesures strictes
    Malgré de sévères restrictions pour limiter la propagation du Covid-19, le Zimbabwe a enregistré une forte hausse des infections et identifié son premier cas de variant Omicron. Vendredi, le pays a comptabilisé 1042 nouveaux cas au cours des dernières 24 heures, contre environ 20 nouveaux cas quotidiens il y a 15 jours.

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  46. Le président Emmerson Mnangagwa avait pourtant imposé mardi des mesures strictes, notamment une quarantaine de dix jours à tous les arrivants dans le pays, la prolongation du couvre-feu en vigueur et l’obligation de présenter une preuve de vaccination pour se rendre dans les bars ou les clubs. Malgré cela, un premier cas d’Omicron a été détecté jeudi.

    16:29
    La Belgique avance d’une semaine les congés de Noël des écoles primaires
    Les écoles maternelles et primaires de Belgique fermeront leurs portes pour les congés de Noël avec une semaine d’avance, pour tenter de limiter les contaminations au Covid-19, a annoncé vendredi le premier ministre belge Alexander De Croo. Les vacances de Noël débuteront le 18 décembre, a-t-il affirmé, alors que les autorités sanitaires font état d’une forte dynamique des contaminations chez les enfants.

    Dans les écoles, le port du masque sera désormais obligatoire dès l’âge de 6 ans. Dans le secondaire, les cours seront organisés sous forme hybride, avec au maximum 50% d’enseignement en présentiel jusqu’aux congés de Noël.

    https://www.lematin.ch/story/washington-aux-americains-ne-voyagez-pas-en-suisse-750089488857

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    1. Vous l'attendiez avec impatience ? On vous a dit qu'il y en avait de partout ? C'est faux ! HAHAHA ! C'était une blague ! Il n'existe qu'en seringues ! HAHAHAHA !
      Hé ! Hé ! Ne paaaaartez paaaaas ! Reveneeeeez ! Faut que je vous inocuuuuuule !

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