- ENTREE de SECOURS -



vendredi 13 août 2021

SAUVONS NOS ENFANTS = Dangerosité des vaccins et Myocardites

https://odysee.com/@PhilippeLeBel:4/SAUVONS-NOS-ENFANTS---Dangerosit%C3%A9-des-vaccins-et-Myocardite-!:4 

20 commentaires:

  1. SARS-CoV-2 : le cas VAERS_1166062-1


    le 13 août 2021


    Le 10 août 2021 la banque de données du CDC américain ( https://wonder.cdc.gov/vaers.html ) a mis en ligne le cas VAERS_1166062-1. De quoi s’agit-il ? C’est un événement parmi des centaines de milliers d’autres rapporté par un médecin traitant ou hospitalier au sujet d’un effet adverse de la « vaccination » à l’aide d’ARN messager. Le taux de rapport est estimé entre 10 et 20 % ce qui signifie que le nombre de cas figurant dans la banque de données du CDC devrait être multiplié par 5 à 10 pour refléter la réalité des effets adverses de cette « vaccination ». Le cas VAERS_1166062-1 est exemplaire car il décrit la mort d’un enfant de 5 mois nourri au sein par sa mère à qui venait d’être administrée la seconde dose du « vaccin » Pfizer. L’enfant commença a développer une sorte d’eczéma avec de la fièvre. Il cessa de se nourrir. Transporté dans le service de soins intensifs l’enfant décéda deux jours plus tard. Le diagnostic établi fut une atteinte généralisée de l’ensemble des organes vitaux provoquée par la présence de multiple thromboses. Il s’agit en termes savants d’un cas de purpura throbocytopénique thrombotique (lien en fin de billet).

    La page du CDC mentionne qu’aucune étude n’a été réalisée sur l’effet de ce traitement par ARN messager auprès des femmes enceintes ni des femmes allaitantes ajoutant qu’en l’état des connaissances sur le fonctionnement de ce médicament dans le corps il ne devrait pas présenter de danger pour les femmes enceintes ou les femmes allaitantes.

    Ce que le CDC n’a pas dit est le fait que la protéine spike néo-synthétisée par la mère allaitante est passée dans le lait et a intoxiqué le nouveau-né et ce dernier en est mort. Nulle part le rapport VAERS_1166062-1 ne fait état d’une relation entre la « vaccination » et la mort de l’enfant même si l’objet du VAERS est justement de rapporter tous les effets adverses de cette injection d’ARN messager. Il est vrai que le CDC est un organisme fédéral dont les relations avec les grandes firmes pharmaceutiques ne sont pas claires, ce qui a été révélé par les courriels d’Anthony Fauci. Jamais ce type d’information ne sera mentionné par les grands médias occidentaux. Il a fallu le courage de Donna Laframboise pour que je puisse écrire ce bref billet. Source : nofrakkingconsensus.com

    https://www.nhlbi.nih.gov/health-topics/thrombotic-thrombocytopenic-purpura

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/08/13/sars-cov-2-le-cas-vaers_1166062-1/

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    1. Effectivement, comme le sont contaminants (hommes et femmes) les nouveaux inoculés simplement en respirant ils peuvent tuer autour d'eux ! ils sont également désormais dépourvus de système immunitaire et de pouvoir reproductif.

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  2. Qui régit la santé publique ?


    Le blog de Bien-être-soi
    Par Marie-France de Meuron
    Mondialisation.ca, 11 août 2021


    Selon les idéologies, la santé publique relève du gouvernement, du peuple ou du système médical. Où en sommes-nous aujourd’hui ? Sur quel concept appuyons-nous la notion de « santé publique » ? A qui la confions-nous ? Qui s’en empare ?

    Cette appellation est très usitée actuellement. En fait, qui aujourd’hui définit la santé publique, la gère, l’organise, la contrôle, la protège, l’anime ?

    Basiquement, la santé publique est l’état sanitaire d’une société.

    L’OMS définit la santé comme « un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ». Dans cette définition par l’Organisation mondiale de la santé, OMS, depuis 1946, la santé représente « l’un des droits fondamentaux de tout être humain, quelles que soient sa race, sa religion, ses opinions politiques, sa condition économique ou sociale »1,Note 1. Elle implique la satisfaction de tous les besoins fondamentaux de la personne, qu’ils soient affectifs, sanitaires, nutritionnels, sociaux ou culturels.2.

    Par ailleurs, « la santé résulte d’une interaction constante entre l’individu et son milieu » et représente donc « cette « capacité physique, psychique et sociale des personnes d’agir dans leur milieu et d’accomplir les rôles qu’elles entendent assumer d’une manière acceptable pour elles-mêmes et pour les groupes dont elles font partie »4.

    En Suisse, l’Office fédéral de la santé publique OFSP protège la santé publique, élabore la politique de la santé et veille à ce que le système de santé suisse soit performant et financièrement viable. En ces temps de covidémie comment l’OFSP protège-t-il la santé publique ?

    Un avocat honoraire en fait un bilan : Quelle est la crédibilité des avis de l’OFSP ?

    Voilà des mois que cet organisme, dont les dirigeants ne sont pas élus, dictent aux citoyens du pays le plus démocratique du monde ce qu’ils doivent faire en piétinant les libertés que ces mêmes citoyens se sont accordées, par consensus et validées par le suffrage universel.

    Au passage, on peut se demander pourquoi cet organisme imite – même si c’est avec de franches nuances – les états voisins dont un auteur décrit très bien les Restrictions sanitaires : nouveaux codes d’une nouvelle société : Depuis un an et demi, l’épidémie de Covid-19 est le prétexte à l’instauration de mesures liberticides. Au nom d’un droit biaisé à la santé, le système juridique français s’est enrichi, de manière soi-disant temporaire, de mesures de contrainte à l’égard de la population. L’état d’urgence sanitaire, créé pour répondre efficacement et ponctuellement à une épidémie inconnue, s’ancre dans la durée, au point que les Français s’en accommodent.

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  3. Revenons en Suisse : Dans cette crise, la mission principale de l’OFSP devrait être de mettre en place des campagnes régulières et massives de prophylaxie, invitant les habitants de ce pays à maintenir leur système immunitaire au plus haut. En effet, nous savons désormais que ce sont celles et ceux qui ont un déficit sur ce plan qui paient le plus cher les attaques de ce virus dont la taux de létalité reste, il faut le répéter, marginal en comparaison avec d’autres qui l’ont précédé. Le but de toutes ces restrictions n’est pas de protéger efficacement les citoyens, le vaccin pouvant à l’occasion entraîner la mort du sujet, mais d’éviter une surchauffe de l’appareil hospitalier.

    En fait, pour éviter une surchauffe, il n’aurait pas fallu commencer par dicter aux médecins comment procéder face à un malade suspecté de covid. Refuser de recevoir un patient en début de maladie, c’est se priver de prescrire des traitements précoces. En outre, lors d’une maladie nouvelle, il vaut la peine de découvrir l’apport des thérapies non reconnues par la médecine conventionnelle mais qui offrent des voies d’accès connues depuis longtemps , voire des siècles pour certaines. Pour cela, il aurait fallu tenir compte des êtres humains malades et non de se positionner face à un seul microorganisme.

    D’après la définition de l’OFSP citée supra, on s’attend à ce que le système soit performant et financièrement viable. En ces temps de covidémie, est-ce le cas ? Il est intéressant de lire que les qualificatifs « performant et financièrement viable » sont accolés. En effet, quand on voit les sommes faramineuses allouées aux mesures sanitaires, aux masques, aux tests et aux vaccins, les résultats devraient être fabuleux ! Qu’en est-il en réalité ?

    Etudions, par exemple, la performance de la vaccination. Dre Astrid Stuckelberger, un médecin expert en santé publique explique les dangers de l’injection Pfizer et Moderna qui produit des protéines spike artificielles et qui contient des nanoparticules magnétiques composées de graphène dont la présence n’est pas expliquée.

    Elle mentionne aussi la flagrante relativité de la valeur des tests PCR. Là encore, il y a un grand écart dans la relation entre la performance réelle et les finances engagées.

    L’OFSP est un office qui applique les directives du système fédéral dont elle présente une vitrine par son bulletin hebdomadaire « Magazine d’information pour professionnels de la santé et pour les médias. ». Le contenu laisse songeur : Trois p A4 avec les mêmes images en couleur incitant aux gestes de protection anticovid depuis plus d’un an, la déclaration des maladies infectieuses très en détail (c’est aisé quand il ne s’agit que des chiffres), la statistique Sentinella (encore des chiffres) pour les maladies transmissibles, un chapitre particulier (pas systématique) par exemple sur la situation en Suisse des maladies transmises par les tiques, la liste des spécialités concernant l’assurance maladie et accidents (16 pages/ 31), parfois une page pour inciter au don d’organes ou pour limiter la prise d’antibiotiques.

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  4. Si l’OFSP se limite ainsi, pourquoi se permet-il de donner des directives à la population toute entière, sans tenir compte des différentes catégories d’habitants, directives qui nécessitent beaucoup de temps, de personnel et d’argent alors que l’état de santé actuel est aussi une conséquence de toutes les mesures prises et dont on mesure de mieux en mieux l’impact délétère. Donc il serait temps de corriger le tir comme l’exposent divers collectifs de professionnels de terrain plutôt que d’appliquer des stratégies politiques d’après des statistiques focalisées sur quelques données « élues ».

    La situation des écoles avec ses directeurs, ses enseignants et les jeunes témoigne de toutes les déviations actuelle de la santé.

    Une illustration : La rentrée scolaire qui se prépare montre bien la déstabilisation actuelle de l’équilibre affectif et sanitaire établie depuis plus d’un an dans les écoles. Les témoignages foisonnent et la réponse du gouvernement reste inlassablement la même : vacciner ou masquer.

    Et encore : La Confédération demande que les élèves soient testés régulièrement, une demande à laquelle s’oppose le président de l’association des directeurs d’établissements scolaires de Suisse (VSLCH) . Dans la réalité bien concrète et pragmatique, ce qui s’avère bien plus fondamental pour la santé globale des enfants, ce sont les capacités cognitives des élèves : La pandémie a laissé des traces chez les écoliers. C’est pourquoi Elsbeth Stern, professeure en psychologie cognitive à l’EPF de Zurich, demande des tests pour déterminer l’ampleur des déficits scolaires des enfants. Les élèves ont manqué beaucoup de choses à cause de la pandémie. Dans une interview publiée lundi dans le Tages-Anzeiger, Mme Stern, qui étudie les processus d’apprentissage, prédit que de nombreux élèves de l’école primaire présenteront des déficits de lecture prononcés cette année. Et d’expliquer que cela est dû à un manque d’opportunités d’apprentissage et de pratique régulière.

    De leur côté, des enseignants se sont regroupés dans un collectif pour exposer avec soin dans une LETTRE AUX MEDECINS CANTONAUX qu’il s’agit de considérer les problèmes des écoles de façon panoramique afin de tenir compte des différents paramètres indispensables à la santé et au développement des enfants.

    Il est aussi plus que grand temps de considérer la santé physique des enfants qui commence par la respiration. De nombreuses études ont prouvé les effets délétères des masques et il tombe sous le sens que pour laisser son cerveau travailler pleinement, il faut de l’air frais et non celui récupéré de dessous le masque. A quoi s’ajoute ce constat : Un laboratoire découvre des agents pathogènes dangereux sur des masques pour enfants.

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  5. Les recommandations de vaccination par l’OFSP se poursuivent et s’élargissent aux jeunes voire aux enfants. Swissmedic lui vient en renfort et approuve le vaccin Moderna pour les 12-17 ans- On peut se demander déjà si c’était vraiment utile, nécessaire et bienveillant d’effectuer une étude menée auprès de 3732 jeunes de cet âge… Il se pose aussi la question cruciale du consentement éclairé d’un adolescent. l’OFSP lui-même a publié un dossier public de 26 pages concernant les recommandations avec les vaccins à ARNmcontre le covid 19. Je tiens à reporter ici :

    2.3.2 Entretien d’information
    D’un point de vue juridique, les vaccinations sont des atteintes à l’intégrité physique qui ne sont légitimes que si la personne concernée donne son consentement éclairé. Les personnes capables de discernement et souhaitant se faire vacciner ou leurs représentants légaux doivent être informés sur la vaccination, et leur consentement éclairé doit être documenté….

    Pour donner leur consentement éclairé, les personnes intéressées ont besoin d’informations
    sur :
    • la vaccination : type, nombre d’injections, avantages et inconvénients, tolérance, efficacité
    • la nécessité de continuer à respecter les mesures de protection individuelles en vigueur (distance, masque, hygiène, etc.)
    • les alternatives à la vaccination : maladie naturelle, traitement médicamenteux
    • la marche à suivre en cas de survenue d’effets indésirables de la vaccination (EIV)….

    Un quotidien souligne effectivement le sujet : L’Office fédéral de la santé publique annonce ce mardi qu’il «recommande» la vaccination des 12-15 ans. La problématique du consentement dans cette tranche d’âge est notamment au centre des discussions. C’est une chose d’édicter des recommandations, il en va tout autrement de la connaissance de la maturité des forces psychiques de chaque individu, et d’autant plus celle des êtres humains en pleine croissance.

    Comment l’OFSP considère-t-il les avis des médecins ?

    – « Il est urgent de ne pas vacciner les enfants« , déclare Pr Christian VELOT

    – Un message urgent de médecins hongrois : Sauvez les enfants !

    – Des soignants qui sont bien placés pour connaître l’effet des vaccins : « Nous sommes toujours réticents quand nous n’avons pas de connaissance sur tel ou tel produit. Nous savons pertinemment que toute injection comporte un risque et nous n’avons pas assez de recul »

    En outre, il serait judicieux de se poser la question : La vaccination des moins de 18 ans pour se rapprocher de l’objectif quantitatif officiel de vaccination ? Le Comité Consultatif National d’Ethique publie un document explosif malgré ses apparences lissées. C’est un témoignage terrible pour nos sociétés, qui fait ressortir combien les jeunes sont, depuis un an, une simple variable d’ajustement de la politique sanitaire.

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  6. Je reste très perplexe quand je considère à quel point on retire subitement le droit des parents de décider alors que ce sont eux qui sont responsables à tous niveaux de leurs enfants mineurs.

    Quel est le niveau de conscience des gens qui nous gouvernent? N’est-ce que pour éveiller le nôtre afin de Devenir résistant et résilient quand le monde est sous le choc comme nous l’exprime avec tant de vigueur un homme depuis Bali ?

    Des parents ne se sont pas soumis et ont déposé une plainte arguant que les jeunes ne couraient qu’un risque de santé infime en cas d’infection par le Covid-19, ce qui ne justifierait pas de les exposer aux effets secondaires potentiels d’une nouvelle forme de vaccins . Toutefois, la justice fribourgeoise a rejeté leur recours selon l’argument principal qu’un tel accord parental contreviendrait à la Convention des Nations-unies sur les droits de l’enfant. En fait, de quelle nature sont lesdits droits ? Ceux de débattre en classe en exprimant les avis glanés par-ci, par-là, ou en prenant connaissance de ce que représente l’inoculation d’un produit en forçant la barrière naturelle de la peau, produit dont les divers ingrédients ont des impacts qui ne sont pas gérables par tous les organismes selon leurs failles connues ou inconnues.

    Maintenant, de plus en plus de juristes et d’avocats démontrent que le droit est complexe. Voici une avocate qui s’exprime très fortement : » En tant que juriste, torture mentale. Les règles que je connais s’entrechoquent . »

    - voir clip sur site -

    Ainsi le concept de santé publique est le condensé de beaucoup de paramètres humains dont il doit être le représentant et non une notion à gérer comme une seule entité.

    https://www.mondialisation.ca/qui-regit-la-sante-publique/5659121

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    1. Visiblement l'avocate est avocate est non-scientifique !
      A savoir que le 'covide19' et ses co-détenus n'existe pas et n'a JAMAIS existé !
      Pour preuve (demandée par les scientifiques, professeurs et docteurs), il n'a PAS été isolé ! HAHAHAHA !
      C'est koi ke sa ve dire ? Çà que cela veut dire est qu'il n'a JAMAIS été vu ! On ne sait pas à quoi il ressemble et dans les merdias sont dessinés en dessins humoristiques des boules de poils très méchantes ! Hahaha !
      Mais... mais est proposé un remède contre le virus invisible ! (une sorte de dieu uniquement imaginé qui laisserait le monde crever sans intervenir ! Merci qui ?).
      Mais là où çà se corse, c'est que c'est plus qu'un attentat de préfecture mais une solution d'expérimentations géniques d'essais faussement et illégalement appelée 'vaccin'. Et qui, dans sa soupe présentée au menu est un 'bouillon d'onze heure' appelé poison mortel !
      Et c'est là qu'on arrive à l'évidence qu'il y a des millions de fois plus de morts de personnes dites 'vaccinées' que de personnes qui seraient mortes d'avoir respiré un virus qui n'existe pas !!
      HAHAHAHA !
      Et en plus ! (parce que ce n'est pas fini !) il y a les masques infectés de morgellons !! (fils de nano-particules de graphène) identiques à ceux présentés sous forme d'écouvillons à introduire en fosse nasale !!! qui comme pour les inoculés profond prédisposent à la mort !

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  7. « Wakeup Call » : Pfizer Vax n'est efficace que contre les infections à 42 % en juillet


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 12 AOT 2021 - 15:20


    Cette semaine, le Dr Fauci a confirmé qu'« à un moment donné dans le futur », tout le monde aura probablement besoin d'un rappel pour le vaccin Covid-19 en raison d'une « efficacité décroissante ».

    Maintenant, Axios rapporte qu'une nouvelle étude de préimpression qui a «déjà attiré l'attention des hauts responsables de l'administration Biden» sur l'efficacité des vaccins contre de nouvelles variantes, le jab de Pfizer étant particulièrement préoccupant.

    L'étude a révélé que le vaccin Pfizer n'était efficace que contre l'infection à 42% en juillet, lorsque la variante Delta était dominante. "Si ce n'est pas un signal d'alarme, je ne sais pas ce que c'est", a déclaré un haut responsable de Biden à Axios.

    L'étude, menée par nference et la Mayo Clinic, a comparé l'efficacité des vaccins Pfizer et Moderna dans le système de santé de la Mayo Clinic au fil du temps de janvier à juillet. -Axios

    Les chiffres globaux suggèrent que les vaccins offrent une immunité robuste (mais inférieure à celle annoncée) dès le début, pour ensuite chuter fortement en efficacité au fil du temps.

    Entre janvier et juillet, le vaccin de Moderna s'est avéré efficace à 86 % contre l'infection au cours de la période d'étude, tandis que celui de Pfizer était à 76 %. En ce qui concerne l'hospitalisation, le vaccin de Moderna était efficace à 92%, tandis que celui de Pfizer était à 85%.

    La chute des moyennes a bien sûr été la forte baisse d'efficacité observée en juillet, Moderna s'étant avéré efficace à seulement 72% contre les infections et Pfizer à 42%.

    Dans d'autres États comme la Floride, le risque d'infection en juillet chez ceux qui avaient pris le vaccin Moderna était d'environ 60% inférieur à celui des personnes complètement vaccinées avec Pfizer.

    Plus via Axios :

    Pourquoi c'est important : Bien qu'elle n'ait pas encore été évaluée par des pairs, l'étude soulève de sérieuses questions sur l'efficacité à long terme des deux vaccins, en particulier celle de Pfizer.

    On ne sait pas si les résultats signifient une réduction de l'efficacité au fil du temps, une efficacité réduite contre Delta, ou une combinaison des deux.
    « Sur la base des données dont nous disposons jusqu'à présent, il s'agit d'une combinaison des deux facteurs », a déclaré Venky Soundararajan, auteur principal de l'étude. « Le vaccin Moderna est probablement – ​​très probablement – ​​plus efficace que le vaccin Pfizer dans les régions où Delta est la souche dominante, et le vaccin Pfizer semble avoir une durabilité d'efficacité plus faible. »
    Il a ajouté que son équipe travaille sur une étude de suivi qui tentera de faire la différence entre la durabilité des deux vaccins et leur efficacité contre Delta.
    Apportez les boosters.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/wakeup-call-pfizer-vax-only-42-effective-against-infection-july

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    1. (...) Pfizer Vax n'est efficace que contre les infections à 42 % (...)

      Ce qui veut dire que 58 % des personnes qui se sont faites inoculés profond sont mortes et que 42 % des heureuses bénéficiaires de la grâce présidentielle ont eu droit au sérum phy (eau saline injectée) ! Hourra !

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  8. Les informations médicales sont supprimées pour couvrir le faux récit de Covid


    Par Paul Craig Roberts
    PaulCraigRoberts.org
    13 août 2021


    Chers lecteurs : Il ne fait plus de doute que les informations scientifiques fournies par des experts de renom sont supprimées afin de protéger les faux récits de Covid et de vaccins.

    Les bureaucrates médicaux, les politiciens et les préstitués nous disent que le vaccin Covid offre un niveau élevé de protection et que les nouveaux cas ou « variante delta » font partie des non vaccinés. C'est un mensonge flagrant contredit par les rapports officiels du monde entier. Nous savons avec certitude que 75 % de ce qui est étiqueté « nouveaux cas », « cas révolutionnaires », « variante delta » font partie des personnes entièrement vaccinées. Les bases de données sur les effets indésirables des vaccins nous indiquent également que les décès et les maladies associés aux vaccins augmentent rapidement. Un certain nombre d'experts hautement crédibles affirment que la variante delta présumée est en fait les maladies causées par le vaccin.

    Une autre information troublante est que ce sont les vaccinés qui sont la menace pour la santé publique, pas les non vaccinés. Les vaccinés ont éliminé les agents pathogènes du vaccin tout comme les patients de Covid ont éliminé les agents pathogènes du virus. Avec la moitié de la population américaine désormais vaccinée, les personnes vaccinées donnent des maladies Covid à la population en bonne santé.

    Les preuves sont claires que le vaccin Covid est un jeu perdant et perdant et a fait des dizaines de millions d'Américains vaccinés des menaces pour tout le monde, y compris d'autres qui sont vaccinés.

    Jamais auparavant dans l'histoire du monde une expérience aussi irresponsable et dangereuse n'avait été menée sur des populations entières. Selon les bases de données officielles EudraVigilance, MHRA et VAERS, au 1er août 2021, il y avait 34 052 décès et 5 460 000 problèmes de santé associés aux injections du vaccin Covid. Comme il est universellement admis que seul un faible pourcentage des effets indésirables des vaccins sont signalés, les chiffres réels sont beaucoup plus élevés. Si les inquiétudes de certains experts sont au rendez-vous, les vaccins tueront plus de personnes que le Covid.

    Trois graphiques que les effrayants de la variante Delta ne veulent pas que vous voyiez

    J'accuse ! Les «vaccins» basés sur les gènes tuent des gens. Les gouvernements du monde entier vous mentent au peuple, aux populations qu'ils sont censés servir

    Pire que la maladie ? Examen de certaines conséquences involontaires possibles des vaccins à ARNm contre COVID

    https://www.lewrockwell.com/2021/08/paul-craig-roberts/medical-information-is-being-suppressed-to-cover-up-for-the-false-covid-narrative/

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  9. Les injections de COVID alimentent-elles des mutations plus dangereuses ?


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    13 août 2021


    Les injections massives contre le COVID-19 favoriseront-elles la mutation de versions plus dangereuses du SARS-CoV-2 ? Dans la vidéo ci-dessus, WhatsHerFace se demande pourquoi le gouvernement britannique achète pour 6 millions de livres de sacs mortuaires, ou "stockage temporaire du corps", alors même que les responsables gouvernementaux annoncent que le taux de vaccination actuel a "créé un mur de protection" contre l'infection. 1

    Si c'est vrai, pourquoi s'attendent-ils à un « scénario de mort excessive » nécessitant un nombre massif de sacs mortuaires ? L'accord d'approvisionnement restera en vigueur pour une période de quatre ans. Le gouvernement britannique sait-il quelque chose qu'il ne partage pas avec le public ?

    Ont-ils jeté un coup d'œil à la science réelle et réalisé que la vaccination de masse pendant une pandémie active pourrait encourager des mutations qui échappent aux défenses induites par le vaccin, ou que les injections de modification génétique pourraient rendre les vaccinés plus susceptibles de contracter une maladie grave et de mourir par un mécanisme connu sous le nom d'anticorps -amélioration dépendante (ADE) ou le terme plus descriptif, amélioration immunitaire paradoxale (PIE) ?

    D'où viennent les variantes et pourquoi maintenant ?

    WhatsHerFace met en évidence certaines des réponses données par les professionnels de la santé sur les réseaux sociaux lorsqu'on leur a demandé pourquoi aucune variante problématique n'est apparue au cours de la première année, lorsqu'aucune injection de COVID n'était disponible, et n'est apparue qu'après le début de la campagne d'injection de masse.

    Selon l'une de ces réponses, "Notre surveillance était nulle au début et il faut du temps pour que les variantes apparaissent, mais une fois qu'elles arrivent, elles deviennent endémiques." Fait intéressant, comme indiqué dans un article du 15 février 2021 dans The Conversation2, les variantes avec un «comportement sensiblement différent» ne sont apparues qu'à la mi-décembre 2020, ce qui se trouve être l'heure exacte à laquelle les premiers coups de COVID ont été lancés. en dehors.

    Les vérificateurs de faits ont tenté de démystifier tout lien entre les déploiements de tirs COVID et l'émergence de variantes en montrant que des variantes ont été identifiées dans diverses zones avant que les tirs ne soient introduits dans ces mêmes régions. Cependant, comme l'a noté WhatsHerFace, les fabricants de vaccins menaient des essais à grande échelle dans ces régions bien avant que les vaccins ne soient disponibles pour le public.

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  10. Par exemple, Pfizer a recruté plus de 46 000 participants aux États-Unis, en Argentine, au Brésil, en Afrique du Sud, en Allemagne et en Turquie3, et Oxford/AstraZeneca a injecté 23 000 participants au Royaume-Uni, au Brésil et en Afrique du Sud.

    "Maintenant, c'est très intéressant", dit WhatsHerFace, "parce que vous constaterez en fait que chacun des domaines où les variantes sont apparues pour la première fois se trouve être les mêmes pays où les essais ont eu lieu."

    L'histoire de la variante Delta

    La variante Delta (B.1.617.2) a été initialement identifiée en Inde les 1er et 11 décembre 2020. Alors que les jabs COVID n'ont été déployés en Inde qu'à la mi-janvier 2021, les essais de phase 3 du Covaxin de Biotech ont été lancés à Bharat, en Inde. , le 16 novembre 2020. Au 22 décembre 2020, 22 500 bénévoles avaient reçu le jab.

    Par ailleurs, le gouvernement indien a rendu public le Covaxin avant la fin des essais de phase 3 et en l'absence de données sur l'innocuité ou l'efficacité. Selon certains vaccinologues, l'émergence de variantes potentiellement plus problématiques à la suite de déploiements de vaccination de masse pendant une pandémie active est précisément ce à quoi vous vous attendez.

    Le Dr Geert Vanden Bosche,4 dont le curriculum vitae comprend des travaux avec GSK Biologicals, Novartis Vaccines, Solvay Biologicals et la Fondation Bill & Melinda Gates, a publié une lettre ouverte5 à l'Organisation mondiale de la santé, le 6 mars 2021.

    Dans la lettre, Bosche a averti que la mise en œuvre d'une campagne mondiale de vaccination de masse au plus fort de la pandémie pourrait créer un « monstre incontrôlable » où la pression évolutive forcerait l'émergence de nouvelles mutations potentiellement plus dangereuses.

    « Il ne fait aucun doute que la poursuite des campagnes de vaccination de masse permettra à de nouvelles variantes virales plus infectieuses de devenir de plus en plus dominantes et entraînera finalement une augmentation spectaculaire des nouveaux cas malgré des taux de couverture vaccinale améliorés. Il ne fait aucun doute non plus que cette situation conduira bientôt à une résistance complète des variantes circulantes aux vaccins actuels », a écrit Bossche.6

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  11. Les vaccins «fuyants» favorisent les mutations

    En bref, lorsque les vaccins qui ne fournissent pas une immunité robuste sont surutilisés, ils permettent aux virus de muter de manière potentiellement dangereuse. Lorsque vous abusez d'un antibiotique qui ne parvient pas à éradiquer les bactéries, les bactéries résistantes aux antibiotiques peuvent prospérer.

    De la même manière, la surutilisation d'un vaccin qui ne confère pas d'immunité peut permettre au virus de muter à l'intérieur des individus vaccinés en des variantes qui échappent à l'immunité induite par le vaccin.

    Et, comme nous le savons déjà, les injections de COVID n'empêchent pas l'infection ou la transmission, par conséquent les variantes créées à l'intérieur des individus vaccinés se propageront, attaquant à la fois les vaccinés et les non vaccinés. Cette hypothèse a été confirmée dans une étude de 20157 dans PLOS Biology, qui a révélé que « une vaccination imparfaite peut améliorer la transmission d'agents pathogènes hautement virulents ». Comme l'expliquent les auteurs :8

    « Il existe une attente théorique selon laquelle certains types de vaccins pourraient provoquer l’évolution d’agents pathogènes plus virulents (« plus chauds »). Cette idée découle de l'idée que la sélection naturelle élimine les souches pathogènes qui sont si « chaudes » qu'elles tuent leurs hôtes et, par conséquent, elles-mêmes.

    Les vaccins qui permettent aux hôtes de survivre mais n'empêchent pas la propagation de l'agent pathogène relâchent cette sélection, permettant l'évolution d'agents pathogènes plus chauds. Ce type de vaccin est souvent appelé vaccin qui fuit. Lorsque les vaccins empêchent la transmission, comme c'est le cas pour la quasi-totalité des vaccins utilisés chez l'homme, ce type d'évolution vers une virulence accrue est bloqué.

    Mais lorsque les vaccins fuient, permettant au moins une certaine transmission d'agents pathogènes, ils pourraient créer les conditions écologiques qui permettraient à des souches chaudes d'émerger et de persister.

    Cette théorie s'est avérée très controversée lorsqu'elle a été proposée pour la première fois il y a plus de dix ans, mais nous rapportons ici des expériences avec le virus de la maladie de Marek chez la volaille qui montrent que les vaccins commerciaux modernes qui fuient peuvent avoir précisément cet effet : ils permettent la transmission de souches autrement trop mortelles pour persister.

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  12. Ainsi, l'utilisation de vaccins qui fuient peut faciliter l'évolution de souches pathogènes qui exposent les hôtes non vaccinés à un risque accru de maladie grave. »

    Cette recherche a été rapportée dans un certain nombre de publications médiatiques grand public, notamment Live Science9, Newsweek10 et National Geographic.11

    « … le besoin le plus crucial en ce moment est que les scientifiques des vaccins reconnaissent la pertinence de la biologie évolutive dans leur domaine. Le mois dernier, lorsque plus de 1 000 scientifiques des vaccins se sont réunis à Washington, D.C., lors du Congrès mondial des vaccins, la question de l'évolution induite par les vaccins n'était au centre d'aucune session scientifique.

    Une partie du problème, selon l'écologiste Andrew Read, est que les chercheurs ont peur : ils sont nerveux à l'idée d'en parler et d'attirer l'attention sur les effets évolutifs potentiels, car ils craignent que cela n'alimente davantage la peur et la méfiance du public envers les vaccins. …"

    Les vaccins COVID, qui ne vous immunisent pas contre le virus mais qui atténuent plutôt les symptômes d'infection, sont un exemple parfait de vaccins qui fuient qui peuvent permettre au virus de muter au sein de l'hôte légèrement malade, qui transmet ensuite le virus muté à d'autres. De cette façon, les tirs peuvent alimenter une chaîne sans fin d'épidémies.

    NPR souligne comment les vaccins stimulent l'évolution virale

    Dans un article du 9 février 2021,13 NPR a souligné ce risque, déclarant que « les vaccins pourraient entraîner l'évolution de plus de mutants COVID-19 ». Selon le correspondant scientifique de NPR Richard Harris, « le virus est toujours en train de muter. Et s'il arrive que l'un d'eux produise une mutation qui le rend moins vulnérable au vaccin, ce virus pourrait simplement se multiplier chez un individu vacciné. »

    Cependant, le simple fait d'avoir un virus en train de muter en vous n'est pas nécessairement dangereux. La charge virale joue également un rôle important dans la détermination du danger potentiel d'un individu vacciné porteur d'une mutation. Si votre charge virale est faible, le risque que vous transmettiez le virus muté à d'autres est également faible. Si votre charge virale est élevée, le risque de transmission augmente en conséquence.

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  13. En ce qui concerne la variante Delta, il y a de mauvaises nouvelles pour ceux qui ont reçu un ou plusieurs vaccins COVID, car la recherche14 montre que les personnes entièrement vaccinées qui développent des infections révolutionnaires avec la variante Delta ont les mêmes charges virales que les personnes non vaccinées infectées par ce virus . Tel que rapporté par Reuters le 2 août 2021 : 15

    « Parmi les personnes infectées par la variante Delta du coronavirus, les personnes entièrement vaccinées avec des infections « révolutionnaires » peuvent être tout aussi susceptibles que les personnes non vaccinées de transmettre le virus à d’autres, suggèrent de nouvelles recherches. Plus la quantité de coronavirus dans le nez et la gorge est élevée, plus le patient est susceptible d'infecter les autres.

    Dans un comté du Wisconsin, après que Delta est devenu prédominant, les chercheurs ont analysé 16 charges virales sur des échantillons d'écouvillonnage du nez et de la gorge obtenus lorsque les patients ont été diagnostiqués pour la première fois. Ils ont trouvé des charges virales similaires chez les patients vaccinés et non vaccinés, avec des niveaux souvent suffisamment élevés pour permettre l'excrétion du virus infectieux.

    " Une hypothèse clé " sous-jacente à la réglementation actuelle visant à ralentir la transmission du COVID-19 " est que ceux qui sont vaccinés courent un très faible risque de transmettre le virus à d'autres ", a déclaré la co-auteure de l'étude Katarina Grande de Public Health Madison & Dane County à Madison, Wisconsin.

    Les résultats, cependant, indiquent « que les personnes vaccinées devraient prendre des mesures pour empêcher la propagation du virus COVID-19 à d’autres », a-t-elle ajouté. »

    La variante Lambda montre des signes de résistance aux vaccins

    Le dernier coronavirus sur le bloc est Lambda, qui a été identifié pour la première fois au Pérou. Il se répand maintenant en Amérique du Sud. Comme la variante Delta, Lambda est plus infectieux que le virus SARS-CoV-2 d'origine. Contrairement à Delta, il semble plus résistant aux anticorps induits par le vaccin.

    Selon Reuters17, trois mutations de la protéine de pointe « l'aident à résister à la neutralisation par les anticorps induits par le vaccin ». Alors que certains prétendent que l'émergence de Delta et Lambda justifie un troisième rappel, les chercheurs de l'Université Rockefeller soulignent qu'une troisième dose pourrait augmenter le nombre d'anticorps, mais cela n'améliorera pas leur capacité à neutraliser les virus.18,19

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  14. Si une troisième dose ne peut neutraliser aucune des variantes mieux que deux doses, alors nous sommes de retour au début de ce cercle vicieux où une neutralisation imparfaite entraîne une mutation supplémentaire.

    L'article de l'Université Rockefeller souligne également la protection supérieure offerte par l'immunité naturelle, ce que vous obtenez après vous être remis d'une infection. Selon les auteurs, « les anticorps mémoire sélectionnés au fil du temps par une infection naturelle ont une puissance et une étendue plus grandes que les anticorps induits par la vaccination ».

    La plupart des cas identifiés de Covid-19 dans une ville du comté de Barnstable, dans le Massachusetts, en juillet (74 %) concernaient des personnes entièrement vaccinées. La plupart, mais pas tous, avaient la variante Delta. De plus, quatre des cinq patients hospitalisés ont été complètement vaccinés. Un seul n'a pas été complètement vacciné. ~ Sharyl Attkisson
    Par souci de transparence, l'un des coauteurs, Michel Nussenzweig, a déclaré à Reuters que si une injection mise à jour capable de protéger contre une ou plusieurs variantes spécifiques devenait disponible, "alors ce serait le choix".

    Je mentionne cela, parce que la déclaration d'intérêts concurrents sur ce document révèle que l'Université Rockefeller « a déposé une demande de brevet provisoire en rapport avec ce travail… (brevet américain 63/021.387). Le brevet a été concédé sous licence par l'Université Rockefeller à Bristol Meyers Squib.

    Une déclaration d'intérêt concurrent identique peut également être trouvée sur d'autres articles récents, y compris un article pré-imprimé20 intitulé « Développement de la puissance, de la largeur et de la résilience aux mutations d'évasion virale dans les anticorps neutralisants SARS-CoV-2 ».

    Au moment d'écrire ces lignes, je n'ai reçu que des messages d'erreur en essayant d'accéder à l'office américain des brevets pour confirmer ce que pourrait être le brevet américain 63/021,387, mais sur la base des documents portant cette déclaration d'intérêt concurrent, il semble que l'Université Rockefeller pourrait être breveter un nouveau vaccin COVID contre les variantes.

    Les premiers vaccins COVID semblent inefficaces contre les nouvelles variantes

    Alors que Moderna et Pfizer augmentent les prix de leurs injections COVID individuelles de 10 % et 25 % respectivement,21 les preuves de leur inefficacité continuent de s'accumuler.

    Dans un rapport du 30 juillet 202122, Sharyl Attkisson a cité des données23 des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, qui montrent que 74% des diagnostics de COVID-19 dans le comté de Barnstable, Massachusetts, entre le 6 juillet et le 25 juillet 2021, et 80% des hospitalisations, ont été parmi les entièrement vaccinés.

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  15. « Le rapport contredit plusieurs faux rapports qui prétendent que les vaccins sont « 100 % efficaces » pour prévenir les hospitalisations », écrit Attkisson24.

    « Cela contredit également de faux rapports qui impliquent que les personnes vaccinées ne propagent pas Covid-19. Selon le CDC, les personnes entièrement vaccinées présentent une « charge virale » tout aussi élevée que les personnes non vaccinées qui sont infectées.

    Le CDC a publié de nouvelles données25 sur le sujet dans son rapport hebdomadaire. Il indique que la plupart des cas identifiés de Covid-19 dans une ville du comté de Barnstable, dans le Massachusetts, en juillet (74 %) étaient parmi des personnes entièrement vaccinées.

    La plupart, mais pas tous, avaient la variante Delta. De plus, quatre des cinq patients hospitalisés ont été complètement vaccinés. Un seul n'a pas été complètement vacciné. Aujourd'hui, le CDC a également reconnu que la charge virale de Covid-19 est « aussi élevée » chez les personnes vaccinées et non vaccinées. C'est un résultat, disent les responsables, de la variante Delta.

    Dès le départ, les virologues disaient qu'il y aurait des variantes naturelles au Covid-19. Ils ont également prédit avec précision que l'efficacité des vaccins Covid-19 s'épuiserait en quelques mois, et non en années. Maintenant, le CDC confirme que les vaccins Covid-19 actuels ne fonctionnent pas efficacement contre Covid-19.

    En revanche, les millions d'Américains qui ont combattu les infections à Covid-19, avec ou sans symptômes, se révèlent jusqu'à présent avoir une immunité plus grande et plus durable que ceux qui ont été vaccinés. Cela aussi a été prédit par les virologues. »

    On dit maintenant aux Américains que la variante Delta est une pandémie parmi les non vaccinés, même si les données ne corroborent pas cette affirmation. Le CDC semble essayer de soutenir ce récit en ne signalant pas d'infections chez les personnes vaccinées à moins qu'elles ne soient hospitalisées ou ne meurent.

    Même alors, ils ne les reconnaissent que s'ils ont un test PCR positif à un seuil de cycle (CT) inférieur à 28,26 alors que les personnes non vaccinées sont toujours testées à un CT de 40 ou plus. Plus le CT est élevé, plus le risque de faux positif est grand.

    Les données israéliennes montrent une efficacité décroissante du tir de Pfizer

    Israël recommande désormais un troisième rappel pour les personnes de plus de 60 ans, car les données27 montrent que l'injection de Pfizer n'est efficace qu'à 39 % (réduction du risque relatif) contre la variante Delta, contre 64 % d'efficacité relative deux semaines plus tôt.

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  16. Au 2 août 2021, 66,9% des Israéliens avaient reçu au moins une dose d'injection de Pfizer ; 62,2 % avaient reçu deux doses.28 Un jour plus tôt, le 1er août, la directrice des services de santé publique d'Israël, le Dr Sharon Alroy-Preis, avait annoncé que la moitié de toutes les infections au COVID-19 figuraient parmi les personnes entièrement vaccinées.29 Des signes de maladie plus grave parmi complètement vaccinés font également leur apparition, a-t-elle déclaré, en particulier chez les personnes de plus de 60 ans.

    Traitements alternatifs

    En conclusion, rappelez-vous qu'il existe plusieurs protocoles de traitement différents pour COVID-19 qui semblent tout aussi efficaces pour les variantes que pour le virus d'origine, notamment les suivants :

    Protocole I-MASS de prévention et de traitement à domicile de la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance
    Le protocole de prévention et de traitement ambulatoire précoce I-MASK+ de la FLCCC
    Le protocole de gestion I-RECOVER du FLCCC pour le syndrome COVID-19 long-courrier
    Peroxyde d'hydrogène nébulisé pour la prévention et le traitement du COVID-19, comme détaillé dans l'étude de cas du Dr David Brownstein30 et le livre électronique gratuit du Dr Thomas Levy, « Rapid Virus Recovery ». Levy pense que le peroxyde d'hydrogène nébulisé peut également être une stratégie inestimable pour lutter contre la toxicité des protéines de pointe31 car, en plus d'être un puissant antiviral, il augmentera et accélérera également la guérison cellulaire, en partie en améliorant l'oxygénation
    Sources et références

    1 BBC August 3, 2021
    2 The Conversation February 15, 2021
    3 NEJM 2020; 383: 2603-2615, Participants
    4 geertvandenbossche.org
    5, 6 geertvandenbossche.org Letter to the WHO March 6, 2021 (PDF)
    7, 8 PLOS Biology July 2015; 13(7): e1002198
    9 Live Science July 29, 2015
    10 Newsweek July 27, 2015
    11 National Geographic July 27, 2015
    12 Quanta Magazine May 10, 2018
    13 NPR February 9, 2021
    14, 16 MedRxiv July 31, 2021 DOI: 10.1101/2021.07.31021261387
    15, 17, 19 Reuters August 2, 2021
    18 BioRxiv July 29, 2021 DOI: 10.1101/2021.07.29.454333
    20 BioRxiv March 8, 2021 DOI: 10.1101/2021.03.07.434227
    21 Zero Hedge August 2, 2021
    22, 24 SharylAttkisson.com July 30, 2021
    23, 25 CDC MMWR July 30, 2021; 70
    26 CDC.gov COVID-19 Vaccine Breakthrough Case Investigation Guidelines (PDF)
    27 CNBC July 23, 2021
    28 Our World in Data, Data for Israel
    29 Bloomberg August 1, 2021 (Archived)
    30 Science, Public Health Policy and The Law July 2020; 1: 4-22 (PDF)
    31 Orthomolecular Medicine News Service, June 21, 2021

    https://www.lewrockwell.com/2021/08/joseph-mercola/are-covid-shots-fueling-more-dangerous-mutations/

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    1. (...) WhatsHerFace se demande pourquoi le gouvernement britannique achète pour 6 millions de livres de sacs mortuaires, (...)

      Voir en Georgie des millions de cercueils (modèle familial pour 4 ou 6 personnes) en plastique noir empilés dans un champs.

      Rappel que le terme de 'mutant' n'EXISTE PAS chez les virus (qui ne sont pas des microbes/bactéries, c-à-d des vivants), car ils ne sont que des poussières et, ces nano-particules (de 0,1 à 0,5µ) ne font PAS des 'petits' !
      Le terme propre à cette structure est qu'elle est chargée électriquement et qu'elle irradie. Elle endommage donc les cellules qui créent une 'maladie' contaminante. C'est pourquoi, les personnes qui se sont faites inoculées sont dangereuses car elles expirent/propagent leur maladie (appelée désormais 'covide' ou 'delta', etc, etc, car chaque dose de chaque laboratoire apporte sa solution létale inoculée puis aéroportée).

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