- ENTREE de SECOURS -



vendredi 20 août 2021

Dr. Richard Fleming (Dallas TX) 4:03:35

https://odysee.com/@ThierryFarhi:9/dr.richard-fleming-event-2021-tout-ce-que-vous-devez-savoir-sur-le-covid:2 

40 commentaires:

  1. Les vaccins COVID-19 sont un génocide, selon un médecin légendaire


    Vendredi 20 août 2021
    par : Mary Villareal


    (Natural News) Le Dr Vladimir Zelenko, un médecin new-yorkais certifié à la pointe de la lutte contre la pandémie, a fait la une des journaux avec son succès retentissant dans le traitement des patients atteints de coronavirus (COVID-19) avec un protocole qui comprenait l'utilisation d'hydroxychloroquine .

    Ses taux de réussite sont impressionnants : 100 % pour les patients à faible risque et 99,3 % pour les patients à haut risque.

    Le «protocole Zelenko» comprend des médicaments coûteux, sûrs et efficaces, mais les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont empêché la diffusion des informations.

    Zelenko pense que les vaccins COVID-19 pourraient réduire l'espérance de vie de plusieurs décennies en fonction de plusieurs facteurs, notamment si vous devez obtenir des rappels. Michael Yeadon, ancien vice-président et scientifique en chef de la recherche sur les allergies et les voies respiratoires chez Pfizer, pense de la même manière. Il en va de même pour le virologue de renommée mondiale Luc Montagnier, qui a remporté le prix Nobel pour sa découverte du virus de l'immunodéficience humaine (VIH).

    Zelenko : Les vaccins sont des « coups de mort empoisonnés »

    Dans son récent témoignage, Zelenko a qualifié les vaccins COVID-19 de « coups de mort empoisonnés ». Il a déclaré que les vaccins font plus de mal que de bien et qu'ils ne sont pas sûrs, efficaces ou nécessaires. Il a noté que forcer quelqu'un à subir des injections expérimentales équivaut à un génocide. (Connexe : représentant de Moderna : Tout le monde qui prend le vaccin COVID-19 fait « en grande partie » partie d'un essai clinique.)

    Dans son témoignage, Zelenko a déclaré qu'il est important d'évaluer ces injections expérimentales et que poser les bonnes questions est absolument essentiel avant de se faire vacciner. Selon Zelenko, vous devez savoir si la substance injectée dans votre circulation sanguine est sûre, voir des preuves convaincantes que les vaccins fonctionnent et savoir si vous en avez vraiment besoin.

    Les données ont montré que la principale cause de décès après avoir reçu des vaccins COVID-19 implique des caillots sanguins, qui surviennent dans les trois à quatre jours suivant la vaccination dans 40% des cas. Zelenko a expliqué qu'une fois inoculé, le corps devient une usine de production de protéines de pointe, produisant des milliards de cette protéine virale qui migrent vers l'endothélium - la paroi interne de vos vaisseaux sanguins.

    Lorsque les cellules sanguines circulent dans les vaisseaux sanguins, de minuscules pointes « épineuses » les endommagent et provoquent des caillots sanguins. Ils surviennent généralement dans le cœur et peuvent entraîner une crise cardiaque. S'ils se produisent dans le cerveau, les caillots sanguins peuvent entraîner un accident vasculaire cérébral.

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  2. Les caillots sanguins ne sont pas les seuls effets secondaires des vaccins COVID-19. Des cas de myocardite chez les jeunes adultes et de fausse couche chez les femmes enceintes ont été signalés. Ces complications sont survenues quelques jours après avoir reçu le vaccin.

    Zelenko a déclaré que la sous-déclaration faisait partie du problème. Le nombre réel d'effets secondaires est impossible à déterminer, étant donné que la Food and Drug Administration (FDA) n'a pas insisté sur un système robuste de collecte de données post-vaccination.

    Lorsque l'on considère les données réelles, la vaccination de masse n'est pas nécessaire. Zelenko a noté que la peur est un outil extrêmement utile pour manipuler le comportement des gens. Il a déclaré que la peur a été utilisée pour créer une motivation psychologique pour obtenir un vaccin qui n'est pas médicalement nécessaire, présente de nombreux risques potentiels et une efficacité très discutable.

    Zelenko a noté que les gouvernements du monde entier utilisent COVID pour commettre le crime ultime contre l'humanité en autorisant l'expérimentation humaine sur leur propre peuple.

    Protéger votre santé après la vaccination

    Les personnes qui regrettent de se faire vacciner peuvent toujours protéger leur santé. Après les trois premiers mois suivant la vaccination, les risques de coagulation et d'autres effets secondaires diminuent.

    La supplémentation en zinc est importante pour prévenir ou traiter les infections tôt car elle altère la réplication virale. Il est également nécessaire de prendre le complément avec un ionophore de zinc tel que la quercétine, l'hydroxychloroquine ou l'ivermectine.

    Pour plus d'informations et de mises à jour liées à la pandémie de coronavirus, visitez Pandemic.news.

    Les sources comprennent :

    NaturalHealth365.com
    VerveTimes.com

    https://www.naturalnews.com/2021-08-20-covid-19-vaccines-equal-to-genocide.html

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  3. Pourquoi la protéine Spike est toxique dans le COVID-19... Et aussi dans les vaccins ARNm et ADN


    le 20/08/2021 à 18:33


    ANALYSE - Des chercheurs, des universitaires, des statisticiens et quelques journalistes essayent d’alerter la population sur la « mortalité vaccinale », c’est-à-dire sur les morts provoquées par la vaccination COVID, qui se chiffrent déjà en milliers de personnes et qui est aussi accompagnée de centaines de milliers d’effets secondaires graves dans le monde. Ces personnes qui alertent, trop peu nombreuses si on considère la gravité de la situation, sont victimes de censure et les États ainsi que les firmes pharmaceutiques, par la bouche des médias, nient ou ignorent ces chiffres alors même que ces données sont officielles et accessibles si on fait l’effort de les rechercher (CDC-VAERS, Eudravigilance) et on estime que ces remontées ne représentent qu’environ 10% de la réalité.

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    Issu de (Starr TN et al., 2020)

    Le but de cet article est d’évoquer les mécanismes biologiques pouvant expliquer la toxicité des vaccins qui utilisent des technologies génétiques à base d’ARNm et d’ADN, basées sur la fabrication par l’organisme humain d‘une réplique proche de la protéine spike du SARS-CoV2. Une fois cette protéine produite, elle induit une réaction immunitaire qui permet l’élaboration d’anticorps contre le virus SARS-CoV2, responsable de la pathologie du COVID.

    Introduction sur la protéine Spike

    La maintenant célèbre protéine « Spike » (protéine « de pointe » en français) permet au virus SARS-CoV2 (le virus qui provoque le COVID) de s’ancrer sur les cellules humaines grâce à son récepteur : l’ACE2. L’image ci-dessus représente cette liaison avec en rouge les protéines spike du virus qui lui donnent d’ailleurs le nom de coronavirus (couronne) ; la partie rose de la protéine spike (RBD ou domaine de liaison au récepteur) est la partie précise qui permet la liaison au récepteur ACE2 (en bleu) et permet ensuite au virus de pénétrer dans la cellule humaine où il va libérer son ARN et se répliquer avant d’infecter d’autres cellules.

    Le récepteur ACE2 est une protéine qui traverse la membrane des cellules qui la contiennent (on dit qu’elle est transmembranaire), et s’appelle Angiotensin-converting enzyme 2.

    Pourquoi la Spike est toxique

    Commençons par parler du virus. Notre « malchance », comme déjà écrit dans ma lettre d’information à l’attention des parlementaires, est que le récepteur ACE2 est une protéine clé pour notre santé ! C’est une enzyme (une protéine qui facilite des réactions chimiques) qui a des missions extrêmement positives et cruciales pour notre organisme : elle aide à réguler la pression sanguine et surtout, ce qui est particulièrement clé dans la pathologie du COVID, elle est très importante pour lutter contre l’inflammation dans notre organisme ! Et le COVID est une pathologie inflammatoire.

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  4. Le virus se fixe donc sur une protéine très utile pour l’équilibre de notre santé. En étant sollicitée/occupée par son lien avec le virus, l’ACE2 ne peut plus jouer son rôle anti-inflammatoire essentiel. Cela crée un déséquilibre avec une autre enzyme avec laquelle elle est normalement en balance : l’ACE (l’Angiotensin-converting enzyme) qui elle, active l’inflammation et qui elle, est laissée libre par le virus. La conséquence de ce déséquilibre ACE2/ACE est une hyper-inflammation qui se développe par l’intermédiaire de quatre voies biochimiques majeures qui seront ré-évoquées dans cet article.

    Donc c’est précisément en se liant à ACE2 que la protéine spike du virus SARS-CoV2 produit une part significative de l’inflammation que l’on observe dans le COVID ! Et qui peut conduire au fameux « orage de cytokines », à la pneumonie et au syndrome de détresse respiratoire aiguë potentiel (ARDS) avec coagulation et enfin à la mort.

    Et c’est cette même protéine spike que l’on demande aux vaccins ARNm et ADN de produire en grande quantité (incontrôlée) dans notre organisme ! Avec la même affinité pour le récepteur ACE2, donc capable de déclencher les mêmes processus inflammatoires que la spike du virus, ceci étant bien connu dans la littérature scientifique depuis dix ans au moins et donc aussi par les fabricants de vaccins.

    Une toxicité diffuse de spike dans l’organisme, disséminée par le virus mais aussi par les vaccins

    Le deuxième problème très préoccupant qui décuple la toxicité de cet interaction Spike/ACE2 est que ces récepteurs ACE2 sont présents à peu près partout dans l’organisme : pharynx, trachée, poumons, sang, cœur, vaisseaux, intestins, cerveau, organes génitaux masculins et reins, et aussi dans les liquides organiques (mucus, salive, urine, liquide céphalo-rachidien, sperme et lait maternel) (Trypsteen W et al., 2020).

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    Aperçu du niveau d’expression des récepteurs ACE2 dans l’organisme - Le gradient de couleur (orange) indique le niveau bas ou élevé d’expression d’ACE2 dans les tissus ou les fluides biologiques. Les plus hauts niveaux ont été détectés dans la cavité orale, le tractus gastrointestinal et le système reproducteur masculin - De (Trypsteen W et al., 2020)

    Cela a pour conséquence pour le virus, de pouvoir créer cette inflammation dans de nombreux organes. D’ailleurs, la majorité des patients atteints de COVID présentent divers autres symptômes en plus de troubles respiratoires, notamment des dysfonctionnements neurologiques, cardiovasculaires, intestinaux et rénaux (Argenziano MG et al., 2020) (Huang Cet al., 2020) (Lin L et al., 2020) (Chu KH et al., 2005) (Mao L et al., 2020).

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  5. La protéine spike étant présente dans le SARS-CoV2 (et ses variants) et dans les vaccins la produisant, cette toxicité s’applique donc à la fois au COVID (formes graves mais aussi COVID longs) mais aussi potentiellement à tous les vaccins qui reposent sur une production non maîtrisée de protéine spike par les cellules, au contraire des vaccins qui sont réalisés à partir de virus entier désactivé ou à base de protéine spike désactivée. En effet, on sait maintenant qu’après injection de tels vaccins, on retrouve cette protéine spike à la fois à la surface des cellules (là où les fabricants nous avaient dit qu’elle se retrouverait) mais on retrouve aussi une quantité importante libre et circulant dans le sang et atteignant différents organes y compris le cerveau. Tous ces organes, cerveau compris, exprimant des récepteurs ACE2. L’inflammation peut avoir lieu partout y compris dans des organes vitaux : cœur, cerveau, foie, reins…

    Alors ? pourquoi les dossiers des firmes vaccinales (Moderna, Pfizer) ne donnent que des informations (très incomplètes) sur la toxicité de l’ARNm ? Et rien sur la sécurité de la protéine spike !? Peut-être parce que des chercheurs ont montré que la protéine spike seule pouvait induire des thromboses. Et on parle bien ici de la spike seule, sans le virus entier, comme dans le cas des vaccins ARNm et ADN produisant de la spike (Nuovo GJ, et al., 2021). Il a été démontré en effet qu’une partie des protéines spike synthétisées par les cellules cibles du vaccin se retrouvent sous forme libre et circulent dans le sang où elles peuvent interagir avec les récepteurs ACE2 exprimés par diverses cellules, y compris les plaquettes, favorisant ainsi les phénomènes inflammatoires évoqués (Angeli F et al., 2021) (Zhang S et al., 2020).

    Toxicité de la protéine spike issue des vaccins

    Une étude très intéressante a montré qu’en utilisant un pseudo-virus à la surface duquel on a exprimé la protéine spike (partie S1 qui contient le RBD) du SARS-CoV2 mais dépourvu d'ARN viral, on provoquait une inflammation et des dommages dans les artères et les poumons de souris exposées par voie intratrachéale (Lei et al., 2021). La même chose a été observée sur des cellules humaines épithéliales (celles qui tapissent la paroi de nos vaisseaux) avec attaque des mitochondries (compartiment qui fabrique l’énergie de la cellule). Ce travail montre clairement que la protéine spike seule, non associée au reste du génome viral, est suffisante pour provoquer les dommages cardiovasculaires associés au COVID-19. Les implications pour les vaccins sont évidemment très préoccupantes !

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    Les images prises en microscopie confocale ci-dessus (Lei et al., 2021) montrent la fragmentation de la mitochondrie dans des cellules endothéliales vasculaires traitées avec la protéine Spike SARS-CoV-2 (à droite) par rapport à des cellules normales (à gauche).

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  6. Au moins aussi préoccupant, dans une étude in vitro, des chercheurs ont montré que la spike seule (partie S1) induisait une perte d’intégrité de la barrière hémato-encéphalique (qui sépare les vaisseaux irriguant le cerveau du système nerveux central) sur un modèle reconstituant cette barrière, ce qui suggère la possibilité d’une inflammation dans les vaisseaux du cerveau et dans le cerveau lui-même (Buzhdygan et al., 2020).

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    Ce passage de la barrière hémato-encéphalique a été confirmé chez la souris et la protéine spike a été observée sur les neurones dans tout le cerveau (Rhea EM et al., 2021). C’est très perturbant car on sait que l’ARNm des vaccins peut atteindre le cerveau (Bahl et al., 2017), comme le précise aussi l’Agence Européenne du Médicament (EMA) à hauteur de 2% de la concentration plasmatique (European Medicines Agency, 2021). Cet ARNm peut y produire de la protéine spike et les récepteurs ACE2 étant très nombreux dans le cerveau, on peut s’attendre à des problèmes d’ordre nerveux ou de dégénérescence? notamment de cellules qui ne sont pas renouvelées.

    D’autre part, la protéine spike du SARS-CoV2 et du vaccin en mobilisant ACE2 induit aussi une diminution de la sérotonine, ce qui aggrave ou peut provoquer des états dépressifs voire suicidaires (Klempin F et al., 2018) (de Melo LA et al., 2020).

    À noter aussi que des pertes d’odorat (anosmie) ont été décrites suite à la vaccination chez des sujets négatifs au COVID, ce qui montre que des symptômes identiques au COVID peuvent apparaître et avoir été déclenchés uniquement par la protéine spike (Konstantinidis I et al., 2020).

    Au vu de ces travaux accessibles facilement sur les bases de données ou même Google… tout chercheur ou médecin consciencieux devrait se poser la question de la toxicité de la protéine spike dans les vaccins. Les déclarations de l’AFP, des politiques quelles que soient leur fonction, ou des fameux « fact Checkers » doivent être ignorées au profit d’une vraie recherche critique? car il en va de la santé de la plupart des humains sur cette planète, enfants compris, puisqu’on est entré dans une « logique » de vaccination de masse.

    En fait, de nombreux chercheurs et médecins dans le monde ont conscience et observent la toxicité de ces nouvelles thérapies géniques, mais on leur donne peu de place dans les médias dans ce cadre très contrôlé de la doxa du COVID et de la vaccination comme seule solution à la crise que nous traversons, comme évoqué dans cette vidéo du Conseil Scientifique Indépendant du 29 avril 2021.

    Les préoccupations légitimes sur le sujet passent parfois le filtre, comme cette lettre du Dr J. Patrick Whelan de l’Université de Californie dans un courrier de décembre 2020 à la FDA : https://www.regulations.gov/document/FDA-2020-N-1898-0246

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  7. « Aussi important soit-il d'arrêter rapidement la propagation du virus en immunisant la population, ce serait bien pire si des centaines de millions de personnes subissaient des dommages durables, voire permanents, de leur système microvasculaire cérébral ou cardiaque à la suite d’un défaut d’appréciation à court terme, un effet involontaire des vaccins à base de protéines de pointe, pleine longueur sur ces autres organes.

    Une prudence particulière sera de mise en ce qui concerne la vaccination potentielle à grande échelle des enfants, avant qu'il n'y ait des données réelles sur l'innocuité ou l'efficacité de ces vaccins dans les essais pédiatriques qui ne font que commencer. »

    C’est tout simplement du bon sens, de l’éthique et tout d’abord un peu de recherche bibliographique puisque sa lettre est étayée de publications.

    Ce qui est plus grave encore, c’est que la toxicité de la spike seule (comme dans les vaccins) est connue depuis plus de dix ans (Chen IY et al., 2010) avec le SARS-CoV1 ! Et la protéine spike du SARS-CoV-1 est identique à 76-78% à celle du SARS-CoV-2 (Wan Y et al., 2021). Ainsi, des études in vivo ont démontré que la protéine de pointe du SARS-CoV-1 aggravait l'insuffisance pulmonaire aiguëe par des voies inflammatoires similaires au SARS-CoV2 (Kuba K et al., 2005) (Patra T et al., 2020).

    Encore pire, des études remontant aussi à l'infection par le MERS-CoV et le SARS-CoV-1 ont montré que les vaccins basés sur la protéine spike entière induisaient une forte réponse inflammatoire immunitaire dans de nombreux organes et en particulier dans le poumon et le foie (Czub M et al., 2005) (Weingartl H et al., 2004). Dans ces études in vivo chez le furet, non seulement la vaccination n'a pas empêché l'infection mais les animaux vaccinés ont présenté des réponses inflammatoires significativement plus fortes que les animaux témoins et une nécrose focale dans le tissu hépatique !

    Ces études et d’autres ont montré qu’il était très difficile de vacciner contre les coronavirus (Jaume M et al., 2012. Même Peter Daszak, le directeur d’EcoHealth Alliance qui a servi de relai financier entre le NIAID américain du Dr Fauci en collaboration avec RalphS. Baric (Université Caroline du Nord) et le laboratoire chinois de Wuhan, et qui ont très probablement conduit à l’unicité de ce SARS-Cov2, a écrit sur les coronavirus que « certains d'entre eux peuvent provoquer la maladie du SARS chez des modèles murins humanisés. Ils ne sont pas traitables avec les anticorps monoclonaux thérapeutiques et vous ne pouvez pas vacciner contre eux avec un vaccin ».

    Quels vaccins diffusent la spike et quelles conséquences ?

    En effet, c’est cette grande différence qu’il faut comprendre entre les vaccins :

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  8. les vaccins dits « classiques » où l’on injecte directement l’antigène qui est, soit le virus entier désactivé et contenant toutes les protéines du virus (le vaccin chinois Sinovac, le vaccin français Valneva), soit une protéine (Novavax), qui est à ce jour la spike. Dans les deux cas, la quantité de spike présente est limitée (et désactivée) ; cela va faire produire au corps des anticorps contre le virus mais ces protéines injectées sont en quantité définie et vont ensuite être éliminées.
    les vaccins où l’on injecte de l’ARNm (Pfizer, Moderna) ou de l’ADN (Sputnik, Astrazeneca, Janssen) qui vont faire produire aux cellules humaines la protéine spike qui devient alors l’antigène de façon indirecte. Il faut ajouter qu’on ne sait pas précisément quelles cellules vont le faire et que de plus ce n’est pas leur fonction normale de toute façon !!
    Une étude de Pfizer montre que l’ARNm a été détectée dans la plupart des tissus dès les premiers instants après injection (15 minutes) et les résultats confirment que le site d'injection et le foie sont les principaux sites de distribution (EMA, 2021). De faibles niveaux de radioactivité ont été détectés dans la plupart des tissus, les taux les plus élevés dans le plasma, étant observés une à quatre heures après la dose. Après 48 heures (avec un maximum des concentrations observées 8 à 48h), on retrouve cet ARNm surtout dans le foie (jusqu'à 21,5 %), les glandes surrénales, la rate (≤ 1,1 %) et les ovaires (≤ 0,1 %).

    Ainsi, ce qui paraît « beau » sur le papier, pour beaucoup de scientifiques, semble aussi totalement inconsidéré et potentiellement très dangereux, en dehors même de la toxicité clairement établie de la spike pour de nombreux autres scientifiques ! Même si trop de ces derniers se taisent.

    En réalité, la production de protéine spike par cet ARNm se fait de façon anarchique et on ne sait pas précisément combien de temps cette protéine toxique est produite et demeure présente dans les cellules de nos organes mais aussi dans la circulation sanguine. Il semble qu’on la retrouve après plusieurs semaines avec la possibilité de produire une inflammation chronique dans de nombreux organes.

    En plus de la spike qui est libre et circulante, la spike est aussi exprimée sur les cellules endothéliales et peut activer les plaquettes sanguines et activer la coagulation, ce qui conduit aussi à des thromboses (en libérant du facteur plaquettaire 4 ou PF4) (Hermans C et al, 2021) (Greinacher A et al., 2021).

    Le problème est donc que les vaccins qui induisent la production de protéine spike ont un potentiel inflammatoire et oxydant très fort et sur une durée qu’il est difficile encore d’évaluer, étant donné qu’on ne le sait pas précisément par les études de sécurité très incomplètes des fabricants. L’humanité presque entière fait l’objet d’un test clinique. On verra bien ! Une étude a montré que la protéine était retrouvée pendant au moins 15 jours après vaccination pour Moderna, avec un pic entre un et cinq jours à environ à 68 ng/L (nanogramme = milliardième de gramme par litre de plasma) (Ogata AF et al., 2021). Plus d’études sont nécessaires bien sûr mais ce travail aurait dû être fait et publié par les firmes elles-mêmes, étant donné la toxicité connue de cette protéine, et cela n’a pas choqué ni la FDA, ni l’EMA ni l’OMS !

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  9. Avec la deuxième injection (à partir de 21 jours) c’est un nouveau boost de spike qui est produit alors même que les anticorps et l’organisme sont en train de travailler à l’élimination de cette protéine. Même si Ogata et son équipe observent une présence beaucoup plus courte que pour la première dose (quelques jours), on a potentiellement une inflammation qui peut être chronique et étalée sur plusieurs semaines pouvant ainsi déstabiliser durablement l’équilibre inflammatoire dans les vaisseaux sanguins, le foie, le cerveau, les reins etc.

    On parle donc ici de la possibilité de provoquer les mêmes symptômes que le COVID mais aussi potentiellement de promouvoir toutes les maladies inflammatoires à moyen et long terme (cardiovasculaires, neurologiques, cancers, auto-immunes) en particulier chez les sujets qui ont déjà un terrain inflammatoire (diabète par ex) ou des antécédents. « Nous devrions surveiller soigneusement les conséquences à long terme de ces vaccins, surtout lorsqu'ils sont administrés à des individus, par ailleurs en bonne santé » (Suzuki YJ, Gychka SG, 2021).

    Vaccins : effets secondaires graves, morts vaccinales et pathologies inflammatoires à plus long terme

    À court terme, on observe donc une mortalité importante largement sous-évaluée par les États et les médias avec environ 1000 morts déjà en France.

    Beaucoup de personnes avaient prévu cette sous-évaluation, étant donné que les entreprises pharmaceutiques se sont déresponsabilisées des effets secondaires graves vis-à-vis des États qui eux, ont fait de même avec les citoyens. C’est ce qui explique en bonne partie qu’on estime que les remontées des effets secondaires ne représentent qu’environ 10% de la réalité.

    Au niveau de ces effets graves, on sait en particulier que des thromboses sont dues directement à la vaccination, ainsi que des myocardites et péricardites, AVC etc. avec des taux élevés de D-dimères (marqueur de la coagulation) et de CRP (protéine C réactive : marqueur de l’inflammation) (Greinacher A et al., 2021) (Diaz GA et al., 2021) (Dionne A et al., 2021).

    La thrombose est la présence anormale d'un caillot de sang qui entraîne une occlusion partielle ou totale? soit d'une veine (thrombose veineuse ou "phlébite"), soit d'une artère (infarctus, AVC).

    La myocardite est une inflammation du myocarde (muscle qui, en se contractant, permet au sang de circuler dans les vaisseaux sanguins et de nourrir les organes du corps) entraînant la destruction de ses cellules et diminuant ainsi sa capacité de contraction et sa capacité à fournir un apport en sang. Progressivement, le cœur n'est donc plus capable de pomper du sang. L'inflammation peut s'étendre à tout le muscle cardiaque ou se limiter à une ou quelques zones. Une inflammation étendue dans tout le cœur peut entraîner une insuffisance cardiaque importante, de graves troubles du rythme cardiaque et parfois une mort subite.

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  10. - voir photo sur site -

    L’inflammation à la base de ces phénomènes survient très probablement, comme évoqué précédemment, quand les protéines spike circulantes viennent réagir avec les récepteurs ACE2 omniprésents dans l’organisme et dérégler l’équilibre ACE2/ACE (Seneff S and Nigh, 2021) (Ogata AF et al., 2021). Et justement, on sait que dans presque toutes les conditions pathologiques, en particulier celles du système cardiovasculaire mais aussi neuro-dégénératives, il existe une diminution du rapport ACE2/ACE au sein des organes (Bernardi S et al., 2012) (Lavrentyev EN et al., 2009) (Mizuiri S et al., 2008) (Yuan YM et al., 2015) (Kehoe PG et al., 2016).

    Dans une étude post vaccination avec le vaccin AstraZeneca des thromboses ont été observées chez onze sujets (entre 22 et 49 ans, moyenne 36 ans) ayant développé des thromboses veineuses dont neus cérébrales, trois avec des embolies pulmonaires. Six des patients sont décédés de ces effets secondaires graves, à un âge ou on ne meurt presque jamais du COVID (Greinacher A et al., 2021).

    Devant le silence assourdissant et le déni des politiques, des médecins de plateau de télévision aux multiples conflits d’intérêts, c’est finalement les chercheurs qui expriment leurs craintes devant ces effets graves et demandent au moins que l’on fasse un suivi post vaccinal : « L'évaluation doit inclure une formule sanguine complète, une analyse des D-dimères, du fibrinogène, un panel de coagulation, des fonctions rénales et hépatiques et des électrolytes, ainsi qu'un test ELISA PF4-héparine si disponible » (Long B et al., 2021).

    Pour ce qui est de la neurotoxicité, les effets secondaires graves post vaccination peuvent être liés vraisemblablement à la circulation de l’ARNm vers le cerveau mais aussi à la circulation de spike libre dans le sang qui passe la barrière hématoencéphalique (Buzhdygan et al., 2020) (Rhea EM et al., 2021). En plus des effets neurologiques observés (dont paralysie de Bell) dans les premiers mois de vaccination, les maladies neurodégénératives seront à suivre dans les années à venir. (Voir Stéphanie Seneff SARS-Cov2 Vaccines & neurodegenerative disease)

    Des hépatites aussi sont observées suite à la vaccination impliquant potentiellement des réactions auto-immunes (Bril F et al., 2019) (Rocco A et al., 2021) dont certaines mortelles (Rela M et al., 2021). Les auteurs s’excusent presque de l’exprimer (ici AstraZeneca) : « Alors qu'un patient s'est rétabli sans incident, un autre a succombé à une maladie du foie… Nous espérons que notre rapport ne dissuadera pas les campagnes de vaccination COVID. Cependant, nous espérons également faire prendre conscience de ses effets secondaires potentiels et du rôle accru de la pharmacovigilance dans l'orientation du traitement ».

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  11. Il est à noter que les études préliminaires sur les vaccins, comme AstraZeneca par exemple, le furent sur des sujets assez jeunes et ont exclu les participants atteints de troubles sévères et/ou non contrôlés de maladies cardiovasculaires, gastro-intestinales, hépatiques, rénales, endocriniennes/métaboliques, de maladies neurologiques, ainsi que les personnes immunodéprimées, les femmes enceintes (Voysey M et al., 2021). C’est donc une façon de minimiser les effets secondaires graves et au final ces populations sont les premières à être vaccinées massivement parce que fragiles…

    Facilitation par les anticorps (ADE en anglais)

    Il faut aussi rappeler le phénomène appelé ADE (facilitation par les anticorps en français), où, quand on a des anticorps défectueux ou pas assez compétents (ils sont appelés facilitants), les cellules immunitaires portant les anticorps contre le virus le reconnaissent, mais au lieu de le détruire, vont l’« ingérer » et finalement contribuer à sa diffusion. La production d’anticorps facilitants a été observée dans de nombreuses maladies virales et/ou après vaccination (virus de la dengue, Zika, Ebola, VIH, SARS-CoV, MERS-CoV, rougeole, péritonite infectieuse féline, etc.).

    Ceci a été brillamment vulgarisé par les Dr Fantini et Sabatier (Univ Aix- Marseille) dans cet article.

    En résumé, il existe trois catégories d’anticorps fabriqués suite à une infection virale ou une vaccination :

    les anticorps qui n’ont aucun effet sur l’infection virale (anticorps neutres),
    les anticorps qui bloquent l’infection virale (anticorps neutralisants),
    les anticorps qui facilitent l’infection virale (anticorps facilitants).
    Dans le contexte actuel, si les anticorps qui sont acquis par les personnes qui se vaccinent avec les vaccins actuels, basés sur l'ARNm et ADN du SARS-CoV2 initial (février 2020), devenaient inefficaces pour détruire le variant delta ou les futurs variants (parce que ces virus auraient trop évolué, muté), alors ces variants se multiplieraient encore plus facilement au contact de ces anticorps (dits alors facilitants), et les personnes infectées peuvent faire souvent une forme plus grave.

    Les auteurs de cet article ont aussi publié leur travail de modélisation, qui montre que les anticorps facilitant la diffusion du virus (ADE), ont plus d’affinités avec la protéine spike que les anticorps neutralisants en ce qui concerne le variant delta (au contraire de ce qui est observé avec la souche originale du ARS-Cov2 de 2020, Wuhan/D614G) !

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  12. D'où la conclusion des auteurs : "Nous suggérons donc d’évaluer au plus vite, dans les sérums d’individus vaccinés, la balance neutralisation/ADE sur le variant Delta." (Yahi Net al., 2021). Cela pourrait expliquer l’inefficacité constatée des vaccins Pfizer et Moderna par exemple (utilisés en France) sur les contaminations. En ce qui concerne l’évolution de la pathologie en formes graves, pour l’efficacité de la vaccination il est un peu tôt pour en parler, et les données officielles manquent de transparence, nous serons fixés en octobre-novembre.

    Ce phénomène se produit beaucoup plus fréquemment avec des vaccins qu’avec les anticorps produits lors d’une infection (Ulrich H et al., 2020) (Lee WS et al., 2020) (Cardozo T et al., 2021). C’est aussi un phénomène qui pourrait expliquer en partie le très grand nombre de vaccinés qui développent le COVID et en meurent, comme les non vaccinés (ex d’Israël, UK, Islande). Il n’est pas idéal, voire dangereux, de vacciner en pleine épidémie.

    Possibilité d’intégration de l’ARN à l’ADN

    Tous les scientifiques reconnaissent qu’on ne connaît pas les risques de ce vaccin à long terme. Le plus grand serait que cet ARNm ou ADN s’intègre à notre génome et produise de la protéine spike. Ce genre de phénomène, en plus de produire de la spike de façon continue, peut aussi venir interférer au niveau du génome sur des gènes promoteurs de tumeurs et induire des cancers. Ceci est un phénomène possible et décrit, réalisé par les enzymes de type transcriptases inverses (d’ARN à ADN).

    La possibilité, et ce serait le pire, que l’ARN s’intègre définitivement dans l’ADN (deux enzymes au moins du corps humain sont capables de le faire) (Zhang, L et al., 2021) (Chandramouly G et al., 2021). Là, il s’agirait alors d’une flambée de cancers qui pourraient être observée entre un et dix ans. Maladies neurologiques et auto-immunes peuvent aussi en découler (Seneff S and Nigh, 2021).

    Note sur les adjuvants

    Certains des nanolipides utilisés par Pfizer ou Moderna pour encapsuler l’ARNm, n’ont jamais été utilisés, ni en injection, ni par voie orale, non présentés sur le site de référence de l’ECHA (type nanolipides ALC-1059) et dont les sous-produits sont des cancérigènes potentiels connus (N,N-Dimethyltetradecylamine) (EMA, 2021).

    Il y aussi la présence d’adjuvants allergisants, comme le PEG qui peut entraîner jusqu’à un choc anaphylactique (Shiraishi K et al., 2019) (Kounis NG et al., 2021)

    Un point préoccupant, en plus de la toxicité de la spike, est que ces naonolipides sont aussi connus pour entraîner des problèmes de coagulation. En fait, Moderna l’admet, même si on lit le brevet sur l’injection de vaccin ARNm encapsulé dans des nanolipides, qui est la base de la technique des vaccins actuels: WO 2017/099823 Al. COMPOSITIONS AND METHODS FOR DELIVERY OF THERAPEUTIC AGENTS. 15 June 2017.

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  13. « Dans certains modes de réalisation, l'effet indésirable comprend une coagulopathie, une coagulation intravasculaire disséminée (DIC), la thrombose vasculaire, la pseudo-allergie liée à l'activation du complément (CARPA), la réponse de phase aiguë (APR), ou une combinaison de celles-ci. » Il est même prévu dans ce brevet l’ajout d’anticoagulants, antiallergiques ! :

    « Dans certains modes de réalisation, l'agent (molécule qu’on peut ajouter) inhibe l'activation plaquettaire. Dans certains modes de réalisation, l'agent est un inhibiteur de l'agrégation plaquettaire. Dans certains modes de réalisation, l'inhibiteur de l'agrégation plaquettaire est l'aspirine ou le clopidrogrel (PLAVIX®). Dans certains modes de réalisation, l'inhibiteur de l'agrégation plaquettaire est choisi parmi l'aspirine/pravastatine, le cilostazol, le prasugrel, l'aspirine/dipyridamole, le ticagrelor, le cangrelor, l'élinogrel, le dipyridamole et la ticlopidine. Dans certains modes de réalisation, l'agent inhibe le CD36 » (MODERNA, 2017). »

    On note clairement que les effets néfastes de ces nanolipides ont beaucoup en commun avec ceux du COVID, y compris dans leur mode d’action inflammatoire (voie du complément) (Bumiller-Bini V et al., 2021) !

    Conclusion

    Pour toutes les raisons exposées dans cet article et étayées par la littérature scientifique, on s’aperçoit que les formes graves et les décès observés, en particulier avec les vaccins de type ARNm et ADN que l’on nomme un peu rapidement vaccins, même s'ils produisent bien des anticorps dirigés contre le virus SARS-CoV2, peuvent être expliqués par des mécanismes biologiques et biochimiques.

    Cette toxicité, en particulier due à la protéine spike, est connue depuis plus de dix ans. Certains des adjuvants et les nanolipides entourant l’ARNm sont aussi préoccupants et peuvent participer aux effets secondaires graves observés, dont, en particulier, les thromboses.

    Nous n’avons pas suffisamment de recul sur ces technologies géniques comme les nomme l’inventeur lui-même, Robert Malone. Il serait plus sage de recommander des vaccins classiques (malgré les risques présents aussi d’ADE) ou avec une protéine spike désactivée et des adjuvants plus sûrs et connus. Cela pourrait d’ailleurs inciter de nombreux citoyens éclairés ou non à se faire vacciner.

    Nous assistons donc à une totale expérimentation à l’aveugle à l’échelle planétaire et c’est inacceptable, car le risque est totalement inconsidéré notamment au vu de la mortalité et de la létalité faible de cette maladie du COVID. La létalité (mortalité chez les gens qui contractent le virus) est en moyenne, dans le monde, située entre 0.5 et 1% contre 0.1% pour la grippe (John Hopkins data, july 2021).

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  14. Il est encore temps de regarder en face les vrais bénéfices et les vrais risques de cette vaccination, et en particulier chez les jeunes, alors qu’il sont très peu affectés par la maladie, et que les vaccins n’empêchent pas la contamination. Ne perdons pas de vue que la vaccination, en dehors des populations à risques, s’adresse à des sujets sains, à qui l’éthique impose de ne leur faire courir aucun risque, primum non nocere.

    Références

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    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/pourquoi-la-proteine-spike-est-toxique-dans-le-covid-19-et-aussi-dans-les-vaccins

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  18. 215 000 personnes se joignent à la cinquième semaine de manifestations contre le mandat français du passeport vaccinal COVID-19, qui bloque désormais l'accès aux épiceries


    vendredi 20 août 2021
    par : Nolan Barton


    (Natural News) Des dizaines de milliers de manifestants sont descendus dans les rues de France pour la cinquième semaine consécutive pour manifester contre le mandat gouvernemental de passeport pour le vaccin contre le coronavirus (COVID-19).

    On estime que 215 000 personnes ont rejoint les manifestations à Paris, Nice, Marseille et d'autres villes françaises. Il s'agit d'une légère baisse par rapport aux 237 000 personnes qui ont manifesté la semaine précédente, selon le ministère français de l'Intérieur. La quatrième semaine de manifestations a été la plus importante et comprenait des marches à Paris, Nice, Montpellier et Lyon, où la police a utilisé des gaz lacrymogènes sur des manifestants qui ont lancé des objets sur la police.

    Environ 1 600 policiers ont été déployés ce week-end pour trois marches distinctes à Paris. Les autorités n'ont pas indiqué s'il y avait eu des arrestations.

    Les manifestants s'opposaient à la vaccination obligatoire pour les travailleurs de la santé et à l'utilisation de cartes de santé pour accéder à de nombreuses activités publiques intérieures. Ils scandaient souvent « liberté », « le laissez-passer équivaut à l'apartheid » et « reprenez votre laissez-passer », en référence au passeport vaccinal.

    Les passeports COVID-19 limitent les libertés et isolent la société

    Certains citoyens français ont déclaré aux médias que les passeports COVID-19 limitent leurs libertés et sont un moyen de séparer la société à des fins politiques plutôt que pour des raisons de santé. Le Parlement français a approuvé fin juillet la loi sur le laissez-passer sanitaire COVID-19. La plus haute juridiction du pays a confirmé la loi au début du mois, ainsi qu'une loi rendant obligatoire la vaccination contre le COVID-19 pour tous les agents de santé.

    La nouvelle réglementation approuvée par le président français Emmanuel Macron a rendu obligatoire un cycle complet de vaccination contre le COVID-19, un test négatif ou être récemment guéri du virus pour profiter des activités de routine. Macron, qui risque sa réélection l'année prochaine, espère encourager tous les Français à se faire vacciner contre le COVID-19 et ainsi vaincre le virus et sa variante delta à propagation rapide.

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  19. Depuis le 9 août, un pass santé était obligatoire en France pour manger dans un restaurant ou prendre un verre dans un café, à l'intérieur comme en terrasse. Il était également requis pour les transports interurbains, y compris les trains à grande vitesse et les vols intérieurs. Le pass santé n'est pas nécessaire dans les métros et les transports suburbains. (Connexe : Les passeports pour les vaccins viennent de devenir une réalité en France.)

    Les établissements qui n'appliquent pas les règles seront passibles de sanctions tandis que les employés pourraient faire face à des suspensions de salaire s'ils ne se font pas vacciner. Un passeport sanitaire sera également requis pour les visites non urgentes dans les établissements médicaux. Les jeunes de 12 à 17 ans sont exemptés des règles jusqu'au 3 septembre.

    Le pass est déjà requis depuis le 21 juillet pour visiter les lieux culturels tels que les cinémas, les théâtres et les musées. Sa prolongation a été approuvée par le Conseil constitutionnel français le 5 août.

    Le porte-parole du gouvernement français, Gabriel Attal, a déclaré que le laissez-passer, qui, selon les règles actuelles, sera requis jusqu'au 15 novembre, est nécessaire pour éviter de nouvelles restrictions au milieu d'une quatrième vague de la pandémie de COVID-19.

    Certains médias ont affirmé que les manifestations faisaient partie du mouvement "anti-vax", mais de nombreux manifestants français ont déclaré qu'ils soutenaient les vaccins mais pas les restrictions. "Je suis pour le vaccin et je l'ai eu il y a des mois, mais pas le laissez-passer sanitaire, qui est discriminatoire", a déclaré un manifestant.

    Les critiques soutiennent que les règles empiètent sur les libertés civiles dans un pays où la liberté individuelle est très prisée.

    Florian Philippot, ancien vice-président du Front national et l'un des principaux opposants au laissez-passer sanitaire, a affirmé qu'"il y a beaucoup de principes constitutionnels qui sont foulés aux pieds par cette loi".

    "Jusqu'à présent sur la crise du COVID, le Conseil constitutionnel ne s'est pas fait remarquer pour sa capacité à aller à l'encontre des décisions du gouvernement, c'est le moins qu'on puisse dire", a-t-il déclaré.

    Les Canadiens et les Italiens manifestent contre les passeports vaccinaux COVID-19

    Il y a également eu des manifestations au Québec, au Canada, qui ont récemment rendu obligatoires les passeports vaccinaux COVID-19 pour les restaurants, les bars et les gymnases. (Connexe: Québec prévoit de pousser les passeports vaccinaux, citant la variante delta comme justification.)

    «Ce devrait être le choix de chaque personne de se faire vacciner. Avec les passeports, c'est un moyen de nous forcer [à nous faire vacciner] », a déclaré Véronique Whalen de Montréal, la ville la plus peuplée de la province de Québec.

    Des manifestations ont également eu lieu récemment dans plusieurs villes italiennes contre l'introduction de nouvelles mesures exigeant une preuve du statut COVID-19 pour assister à des événements en salle.

    Le pass vert, une extension du certificat numérique COVID de l'Union européenne, est devenu obligatoire en Italie au début du mois pour entrer dans les cinémas, les musées et les salles de sport en salle ou pour manger à l'intérieur dans les restaurants. Le personnel scolaire et universitaire, ainsi que les étudiants universitaires, ont également besoin du laissez-passer pour entrer sur le campus. Le laissez-passer sera requis sur les vols intérieurs et les trains longue distance à partir du 1er septembre.

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  20. Plus de 1 000 personnes se sont rassemblées sur la Piazza del Popolo dans le centre de Rome en criant « Pas de laissez-passer vert ! » et « Liberté ! » Des milliers d'autres ont défilé à Milan. Une centaine de personnes du mouvement « No Vax » se sont également rassemblées à Naples, s'opposant spécifiquement aux vaccinations des enfants. Ils criaient « Ne touchez pas aux enfants » et « Honte ! Honte!"

    Le laissez-passer vert prouve que les porteurs ont été vaccinés avec au moins une dose, se sont rétablis du COVID-19 au cours des six derniers mois ou ont été testés négatifs au cours des 48 heures précédentes.

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    Sources include:

    TheEpochTimes.com
    TimesofIsrael.com
    TheLocal.it

    https://www.naturalnews.com/2021-08-20-french-vaccine-passport-protests-enter-fifth-week.html

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  21. Les phénomènes d’aggravation dépendante des anticorps (ADE) et la Covid-19


    le 26 juillet 2021


    Par : Les scientifiques (Pharmaciens, Médecins et Docteurs es science) du collectifs Reinfocovid
    Des études suggèrent que les vaccins anti-Covid peuvent déclencher une réaction immunitaire chez certaines personnes, qui pourrait les amener à développer des symptômes plus graves en cas d’exposition au virus sauvage que si elles n’avaient pas été vaccinées

    Les phénomènes d’aggravation dépendante des anticorps (ADE) et la Covid-19

    A RETENIR

    Des études suggèrent que les vaccins anti-Covid peuvent déclencher une réaction immunitaire chez certaines personnes, qui pourrait les amener à développer des symptômes plus graves en cas d’exposition au virus sauvage que si elles n’avaient pas été vaccinées.

    En effet, les vaccins pourraient déclencher un renforcement de la maladie par les anticorps (ADE). Cela signifie que les personnes vaccinées pourraient, paradoxalement, souffrir d’une maladie plus grave lorsqu’elles sont exposées au virus sauvage que si elles n’avaient pas été vaccinées.
    L’ADE est bien connue pour être un risque pour les infections à coronavirus, ainsi que pour la dengue. L’ADE est une réponse immunitaire paradoxale qui rend une personne précédemment exposée à la maladie, ou à un vaccin la ciblant, plus – et non moins – vulnérable en cas d’infection ultérieure.
    Les risques d’ADE peuvent être associés au taux d’anticorps (qui peut diminuer au fil du temps après la vaccination) et également si les anticorps sont dérivés d’expositions antérieures à d’autres coronavirus.

    Les phénomènes d’ADE (Antibody-dependent enhancement) :

    Aggravation dépendante des anticorps ou Renforcement de l’infection par les anticorps ou VAED (vaccine-associated enhanced disease – maladie aggravée par la vaccination).
    En général, les stratégies de vaccination produisent des anticorps de haute affinité dirigés contre les protéines à la surface des particules virales, contribuant ainsi à l’élimination de l’agent pathogène. Ces anticorps réduisent l’infectivité par différents mécanismes. Cependant, une concentration sous-optimale d’anticorps neutralisants ou des anticorps à réaction croisée favorisent le phénomène d’ADE. Des complexes virus-anticorps facilitants se fixent sur les récepteurs FcγRII (CD32) de la membrane de cellules immunitaires (essentiellement des monocytes, des macrophages et des cellules dendritiques, parfois des lymphocytes B), favorisant leur infection par le virus en cause [1].

    En termes simples, l’ADE est donc un phénomène immunologique par lequel une réponse immunitaire antérieure à un virus peut rendre un individu plus sensible à une infection analogue ultérieure [2]. Au lieu d’une reconnaissance et d’une élimination du virus, le développement préalable d’anticorps spécifiques du virus à un niveau non neutralisant peut faciliter l’absorption du virus, ce qui favorise sa réplication.

    Les cas d’infections virales avec des phénomènes d’ADE connus

    Qu’elle soit observée après une primo-infection ou après une vaccination, l’aggravation dépendante des anticorps (ADE) a été signalée dans plusieurs infections virales, notamment le virus de la dengue, le syndrome respiratoire aigu sévère (SARS), l’infection par le coronavirus du syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS), mais également l’infection au virus respiratoire syncytial et la péritonite infectieuse féline (PIF), une infection à coronavirus chez le chat.

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  22. L’exemple le mieux décrit d’aggravation associée à l’infection initiale concerne la dengue. L‘ADE est associée à 90 % des cas de fièvre hémorragique du virus de la dengue (DENV) et de syndrome de choc du DENV [3]. Il est également suggéré que l’ADE a contribué à la gravité de l’épidémie de virus Zika (ZIKV) en Amérique latine par le biais de la réactivité séro-croisée du DENV [4]. D’autre part, il a été démontré que Dengvaxia, le premier vaccin vivant-atténué contre le DENV, protégeait les enfants ayant déjà été infectés par le DENV mais exposait les personnes n’ayant jamais été infectées par le DENV à un risque de maladie plus élevé [5]. Ainsi, la vaccination contre la dengue d’enfants âgés de 2 à 8 ans, séronégatifs pour cette maladie, s’est traduite par des formes aggravées 3 ans après la vaccination, dont une quinzaine de décès [6]. L’hypothèse étant que leur immunité humorale résiduelle n’était ni suffisante, ni suffisamment spécifique, augmentant ainsi le risque d’ADE. Cette vaccination est désormais réservée aux enfants de plus de 9 ans, souvent séropositifs en zone endémique.

    Rôle de l’ADE dans l’infection par les coronavirus

    L’ADE dans le contexte de la péritonite infectieuse féline

    L’ADE a été signalée dès les années 1980 dans le virus de la péritonite infectieuse féline (PIFV), un alphacoronavirus très répandu chez les chats sauvages et domestiques. Les chats porteurs d’anticorps maternels ou ayant reçu un vaccin contre le PIFV ont développé plus rapidement la maladie. De plus les chats vaccinés avec un vaccin recombinant contenant le gène codant pour la protéine Spike meurent plus rapidement que les animaux témoins non vaccinés lorsqu’ils sont exposés à un virus virulent [7]. Il a été signalé que des anticorps monoclonaux (AcM) non neutralisants ou des AcM neutralisants dilués dirigés contre la protéine Spike du PIVF renforçaient l’infection virale [8]. Ainsi, les anticorps dirigés contre la protéine Spike jouent un rôle dans le développement de l’ADE dans l’infection par le PIFV. En outre, 50 % des chats immunisés passivement avec des anticorps anti-PIFV ont développé une péritonite lorsqu’ils ont été exposés au même sérotype de PIFV. Il s’agit d’une observation contrastée par rapport au virus de la dengue où l’ADE se produit entre différents sérotypes.

    L’ADE dans le contexte du SARS et du MERS

    L’expérience préclinique avec les candidats vaccins contre le syndrome respiratoire aigu sévère (SARS) et le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) a soulevé des inquiétudes quant au potentiel de renforcement dépendant des anticorps (ADE) induit par la protéine Spike du coronavirus [9–12]. En effet, dans les infections par le SARS-CoV et le MERS-CoV, l’ADE était médiée par des anticorps dirigés contre les protéines Spike.

    En effet, dans le contexte des essais vaccinaux contre le SARS (SARS-CoV), une VAED a été observée dans plusieurs études animales :

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  23. chez le furet, après vaccination avec un vaccin rMVA (recombinant Modified Vaccinia Ankara), le challenge infectieux a provoqué des hépatites [13]
    chez la souris, des lésions pulmonaires ont été observées après challenge infectieux [14]
    chez le macaque rhésus chinois (vaccin entier inactivé, vaccin peptidique) avec des lésions pulmonaires [15]
    Dans le cadre des essais vaccinaux contre le MERS (MERS-CoV), une VAED a été observée chez des souris (vaccin entier inactivé) [11].

    L’ADE dans le contexte de la Covid-19

    La plupart des vaccins anti-Covid incorporent la protéine Spike du SARS‑CoV‑2 ou son domaine de liaison au récepteur (RBD) comme immunogènes. Il est donc raisonnable de supposer que les anticorps spécifiques de la protéine Spike peuvent contribuer à la gravité de la maladie pendant l’infection par le SARS-CoV-2

    Une étude chinoise met en évidence, in vitro, l’existence d’anticorps facilitants dans la Covid-19, en particulier chez les personnes ayant souffert de formes sévères de Covid-19 [16]. Une autre étude a montré que, in vitro, l’exposition de macrophages au sérum de patients convalescents après une Covid-19 entraînait l’apparition de profils cytokiniques inflammatoires exagérés [17].

    L’ADE du SARS-CoV-2 a également été décrite par un nouveau mécanisme d’entrée cellulaire dépendant du FcγRII et indépendant de l’ACE2. Les auteurs déclarent que cela justifie une préoccupation dans l’évaluation de la sécurité de tout vaccin humain contre le SARS-CoV-2 [18]

    L’échec des vaccins contre le SARS et le MERS dans les essais sur les animaux a impliqué une pathogenèse cohérente avec une amorce immunologique qui pourrait impliquer une auto-immunité dans les tissus pulmonaires en raison d’une exposition antérieure à la protéine Spike du SARS et du MERS. La pathogenèse de l’exposition au SARS-CoV-2 dans COVID-19 pourrait conduire à des résultats similaires [19].

    Enfin, une étude récente [20] montre que :

    Les vaccinés ont des concentrations d’anticorps supérieurs aux convalescents mais ces anticorps sont liants et non neutralisants.
    La majorité des anticorps induits par le vaccin n’ont pas d’activité neutralisante
    Les anticorps liants mais non-neutralisants peuvent participer au phénomène d’aggravation de l’infection par les anticorps

    La différence entre une primo-infection par le virus et la vaccination
    Après une infection par le SARS-CoV-2, la plupart des personnes développent une réponse immunitaire objectivable par la production d’anticorps dirigés contre le virus. Les anticorps produits sont des anticorps dirigés contre les protéines de nucléocapside (anti-N) et contre la protéine de surface du virus (anti-S, anti-S1/RBD).

    Après une vaccination contre la Covid-19 avec les vaccins actuels (ARNm ou extrait synthétique de la protéine S), seuls les anticorps anti-S, anti-S1 et anti-RBD apparaissent, les épitopes (les parties reconnues par le système immunitaire) de la protéine N de la nucléocapside n’étant pas intégrés dans les formulations et donc non présentés au système immunitaire.

    L’activité neutralisante des anticorps est décrite comme amoindrie en post-vaccination par rapport à la neutralisation constatée après la maladie.

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  24. Conclusion

    Compte tenu des données antérieures sur les multiples tentatives de vaccination contre le SARS-CoV-1 et le MERS-CoV qui ont échoué en raison d’un phénomène d’ADE dans des modèles animaux, il est raisonnable de supposer un risque d’ADE similaire pour les anticorps et les vaccins contre le SARS-CoV-2.

    La possibilité de risques d’ADE associés à la diminution des concentrations d’anticorps au fil du temps reste aujourd’hui inconnue.

    Pour être clair, cela signifie que si vous vous faites vacciner, vous risquez en fait de contracter une maladie plus grave si vous êtes exposé à l’avenir à l’une ou l’autre des souches mutées du SARS-CoV-2. C’est pourquoi il est important d’être prudent avant de recommander la vaccination de personnes qui ont déjà été infectées par le SARS-CoV-2 ou qui présentent une infection active par le SARS-CoV-2.

    Références

    Cloutier M, Nandi M, Ullah A, Allard H. Since January 2020 Elsevier has created a COVID-19 resource centre with free information in English and Mandarin on the novel coronavirus COVID- 19 . The COVID-19 resource centre is hosted on Elsevier Connect , the company ’ s public news and information . 2020.

    Tirado SMC, Yoon KJ. Antibody-dependent enhancement of virus infection and disease. Viral Immunol. 2003. doi:10.1089/088282403763635465

    Guabiraba R, Ryffel B. Dengue virus infection: Current concepts in immune mechanisms and lessons from murine models. Immunology. 2014. doi:10.1111/imm.12188

    Bardina S V., Bunduc P, Tripathi S, Duehr J, Frere JJ, Brown JA, et al. Enhancement of Zika virus pathogenesis by preexisting antiflavivirus immunity. Science (80- ). 2017. doi:10.1126/science.aal4365

    Halstead SB. Dengvaxia sensitizes seronegatives to vaccine enhanced disease regardless of age. Vaccine. 2017. doi:10.1016/j.vaccine.2017.09.089

    Thomas SJ, Yoon IK. A review of Dengvaxia®: development to deployment. Hum Vaccines Immunother. 2019. doi:10.1080/21645515.2019.1658503

    Vennema H, de Groot RJ, Harbour DA, Dalderup M, Gruffydd-Jones T, Horzinek MC, et al. Early death after feline infectious peritonitis virus challenge due to recombinant vaccinia virus immunization. J Virol. 1990. doi:10.1128/jvi.64.3.1407-1409.1990 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC249267/pdf/jvirol00058-0453.pdf

    Takano T, Yamada S, Doki T, Hohdatsu T. Pathogenesis of oral type I feline infectious peritonitis virus (FIPV) infection: Antibody-dependent enhancement infection of cats with type I FIPV via the oral route. J Vet Med Sci. 2019/04/23. 2019;81: 911–915. doi:10.1292/jvms.18-0702

    Liu L, Wei Q, Lin Q, Fang J, Wang H, Kwok H, et al. Anti-spike IgG causes severe acute lung injury by skewing macrophage responses during acute SARS-CoV infection. JCI insight. 2019. doi:10.1172/jci.insight.123158

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    Agrawal AS, Tao X, Algaissi A, Garron T, Narayanan K, Peng BH, et al. Immunization with inactivated Middle East Respiratory Syndrome coronavirus vaccine leads to lung immunopathology on challenge with live virus. Hum Vaccines Immunother. 2016. doi:10.1080/21645515.2016.1177688

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  25. Jiang S. Don’t rush to deploy COVID-19 vaccines and drugs without sufficient safety guarantees. Nature. 2020;579: 321. doi:doi: 10.1038/d41586-020-00751-9.

    Weingartl H, Czub M, Czub S, Neufeld J, Marszal P, Gren J, et al. Immunization with Modified Vaccinia Virus Ankara-Based Recombinant Vaccine against Severe Acute Respiratory Syndrome Is Associated with Enhanced Hepatitis in Ferrets. J Virol. 2004;78: 12672–12676. doi:10.1128/jvi.78.22.12672-12676.2004

    Tseng C-T, Sbrana E, Iwata-Yoshikawa N, Newman PC, Garron T, Atmar RL, et al. Immunization with SARS Coronavirus Vaccines Leads to Pulmonary Immunopathology on Challenge with the SARS Virus. PLoS One. 2012;7: e35421. Available: https://doi.org/10.1371/journal.pone.0035421

    Wang Q, Zhang L, Kuwahara K, Li L, Liu Z, Li T, et al. Immunodominant SARS coronavirus epitopes in humans elicited both enhancing and neutralizing effects on infection in non-human primates. ACS Infect Dis. 2016;2: 361–376. doi:10.1021/acsinfecdis.6b00006

    Wu F, Yan R, Liu M, Liu Z, Wang Y, Luan D, et al. Antibody-dependent enhancement (ADE) of SARS-CoV-2 infection in recovered COVID-19 patients: studies based on cellular and structural biology analysis. medRxiv. 2020; 2020.10.08.20209114. doi:10.1101/2020.10.08.20209114

    Wan Y, Shang J, Sun S, Tai W, Chen J, Geng Q, et al. Molecular Mechanism for Antibody-Dependent Enhancement of Coronavirus Entry. J Virol. 2020;94: e02015-19. doi:10.1128/jvi.02015-19

    Coish JM, MacNeil AJ. Out of the frying pan and into the fire? Due diligence warranted for ADE in COVID-19. Microbes Infect. 2020;22: 405–406. doi:10.1016/j.micinf.2020.06.006

    Lyons-Weiler J. Pathogenic priming likely contributes to serious and critical illness and mortality in COVID-19 via autoimmunity. J Transl Autoimmun. 2020. doi:10.1016/j.jtauto.2020.100051

    Amanat F, Thapa M, Lei T, Ahmed SMS, Adelsberg DC, Carreno JM, et al. The plasmablast response to SARS-CoV-2 mRNA vaccination is dominated by non-neutralizing antibodies that target both the NTD and the RBD. medRxiv. 2021; 2021.03.07.21253098. Available: https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.03.07.21253098v1

    https://reinfocovid.fr/science/les-phenomenes-daggravation-dependante-des-anticorps-ade-et-la-covid-19/

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  26. Tous les médecins savent…


    Par Bionic Mosquito
    21 août 2021


    … ce port de masque communautaire généralisé ne fait rien pour réduire ou interdire la propagation d'un virus respiratoire.

    … que les masques, après avoir été portés, sont traités comme une matière dangereuse.

    … que les masques limitent l'apport libre d'oxygène.

    … que les masques limitent la bonne expiration de gaz carbonique.

    … que ceux qui ne sont pas correctement formés au port d'un masque ne portent pas de masques correctement ou efficacement

    … que le fait de se toucher constamment le visage en raison du port du masque présente plus de risques que de ne pas porter de masque du tout.

    … cet homme a eu affaire à des virus corona pendant toute l'histoire… et a très bien survécu.

    … que les virus mutent.

    … qu'un corps sain est la meilleure défense contre les complications graves d'une infection virale.

    … que les personnes présentant de multiples comorbidités sont les plus susceptibles de développer des complications graves ou même de mourir à la suite d'une exposition à une infection respiratoire.

    … qu'il faut normalement 7 à 10 ans ou plus pour obtenir l'approbation de tout nouveau traitement médicamenteux ou dispositif médical.

    … qu'aucun vaccin contre un virus corona n'a jamais réussi à passer les essais cliniques.

    … que cela est également vrai pour les piqûres actuelles, car l'essai clinique est en cours – incluant maintenant des milliards de personnes dans le monde.

    … qu'un vaccin efficace ne nécessite pas de rappels en quelques mois.

    … que les anticorps dérivés de la maladie offrent une meilleure immunité que les anticorps dérivés, ou concoctés, via un vaccin.

    …vacciner quelqu'un qui a déjà des anticorps pour un virus donné est dangereux.

    Conclusion

    Tous les médecins savent ces choses. Pourtant, très peu de médecins disent tout cela.

    Reprinted with permission from Bionic Mosquito.

    https://www.lewrockwell.com/2021/08/bionic-mosquito/all-doctors-know/

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    1. (...) … que les virus mutent. (...)

      Un virus est une poussière (corona de 0,1 à 0,5 µ) qui NE FAIT PAS DE PETITS et n'est PAS une chenille devenue papillon ! Elle est chargée électriquement et donc: elle irradie. Que des cellules à côté soient atteintes ne s'appelle pas une mutation mais une infection.

      (...) … qu'aucun vaccin contre un virus corona n'a jamais réussi à passer les essais cliniques. (...)

      Effectivement les rhumes et grippes sont des coronas.

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  27. Le NYT admet que les barrières en plastique COVID offrent un faux sentiment de sécurité et pourraient aggraver les choses


    Par Tyler Durden
    Zéro haie
    21 août 2021


    Vous connaissez ces barrières en plastique Covid-19 qui ont surgi partout pour nous séparer physiquement depuis 18 mois ? Il s'avère qu'ils n'aident probablement pas et peuvent aggraver les choses.

    En bref, ce qui peut fonctionner pour les gouttelettes ne fonctionne pas sur un virus en aérosol.

    Selon le New York Times, « les scientifiques qui étudient les aérosols, le flux d'air et la ventilation disent que la plupart du temps, les barrières n'aident pas et donnent probablement aux gens un faux sentiment de sécurité. Et parfois, les barrières peuvent empirer les choses.

    En plus d'étouffer le flux d'air et la ventilation, les barrières peuvent dévier les germes vers des passants innocents tels qu'un autre travailleur ou client.

    Dans des conditions normales dans les magasins, les salles de classe et les bureaux, les particules d'air expiré se dispersent, transportées par les courants d'air et, selon le système de ventilation, sont remplacées par de l'air frais environ toutes les 15 à 30 minutes. Mais ériger des barrières en plastique peut modifier le flux d'air dans une pièce, perturber la ventilation normale et créer des « zones mortes », où les particules d'aérosol viral peuvent s'accumuler et devenir très concentrées. -NYT

    « Si vous avez une forêt de barrières dans une salle de classe, cela va interférer avec une bonne ventilation de cette pièce », a déclaré Linsey Marr, professeur de génie civil et environnemental à Virginia Tech. "Les aérosols de tout le monde vont être piégés et coincés là et s'accumuler, et ils finiront par se répandre au-delà de votre propre bureau."

    Cela dit, il existe « certaines situations » dans lesquelles les boucliers transparents peuvent être protecteurs – car ils peuvent empêcher les éternuements humides d'éclabousser sur les autres, mais Covid-19 se propage largement par transmission par aérosol – qui se moque des barrières en plastique (et des masques) .

    Une étude publiée en juin et dirigée par des chercheurs de Johns Hopkins, par exemple, a montré que les écrans de bureau dans les salles de classe étaient associés à un risque accru d'infection à coronavirus. Dans un district scolaire du Massachusetts, des chercheurs ont découvert que des cloisons en plexiglas avec parois latérales dans le bureau principal entravaient la circulation de l'air. Une étude portant sur des écoles en Géorgie a révélé que les barrières de bureau avaient peu d'effet sur la propagation du coronavirus par rapport aux améliorations de la ventilation et au masquage.

    Avant la pandémie, une étude publiée en 2014 a révélé que les cloisons de séparation des bureaux faisaient partie des facteurs pouvant avoir contribué à la transmission de la maladie lors d'une épidémie de tuberculose en Australie.

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  28. Des chercheurs britanniques ont mené des études de modélisation simulant ce qui se passe lorsqu'une personne d'un côté d'une barrière – comme un client dans un magasin – exhale des particules en parlant ou en toussant dans diverses conditions de ventilation. L'écran est plus efficace lorsque la personne tousse, car les particules les plus grosses ont un élan plus important et frappent la barrière. Mais lorsqu'une personne parle, l'écran ne piège pas les particules exhalées - qui flottent simplement autour de lui. Alors que le commis du magasin peut éviter un coup immédiat et direct, les particules sont toujours dans la pièce, ce qui présente un risque pour le commis et les autres personnes qui peuvent inhaler l'air contaminé. -NYT

    "Nous avons montré cet effet de blocage des particules plus grosses, mais aussi que les plus petits aérosols se déplacent sur l'écran et se mélangent dans l'air ambiant en cinq minutes environ", a déclaré Catherine Noakes, professeure d'ingénierie environnementale pour les bâtiments à l'Université de Leeds. "Cela signifie que si les gens interagissent pendant plus de quelques minutes, ils seraient probablement exposés au virus quel que soit l'écran."

    Selon une étude de 2013 menée par Noakes sur l'effet des cloisons entre les lits d'hôpitaux, alors que certaines personnes étaient protégées des germes, les barrières en plastique acheminaient l'air vers les autres personnes présentes dans la pièce. Elle dit que la plupart des écrans qu'elle a vus sont "mal positionnés et ne seront probablement pas très utiles".

    "Je pense que cela peut être un problème particulier dans des endroits comme les salles de classe où les gens sont présents pendant de plus longues périodes", a poursuivi Noakes. « Un grand nombre d'écrans individuels entravent la circulation de l'air et créent des poches de risque plus élevé et plus faible qui sont difficiles à identifier. »

    On doit se demander, qu'est-ce qui ne fonctionne pas en ce moment ?

    Selon le Dr Marr de VT, « Une façon de penser aux barrières en plastique est qu'elles sont bonnes pour bloquer des choses comme les boules de crachat mais inefficaces pour des choses comme la fumée de cigarette », ajoutant : « La fumée dérive simplement autour d'elles, donc elles donneront à la personne de l'autre côté un peu plus de temps avant d'être exposé à la fumée. Pendant ce temps, les personnes du même côté que le fumeur seront exposées à plus de fumée, car les barrières la piègent de ce côté jusqu'à ce qu'elle ait une chance de se mélanger dans tout l'espace.

    Ceux qui peuvent être au moins partiellement protégés par une barrière en plastique sont les chauffeurs de bus, les caissiers de banque ou les employés de cabinet médical, dont les barrières sont souvent importantes.

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  29. "S'il y a des particules d'aérosol dans l'air de la classe, ces boucliers autour des étudiants ne les protégeront pas", a déclaré le nouveau doyen de l'ingénierie de l'UC Davis, Richard Corsi. « Selon les conditions de circulation d'air dans la pièce, vous pouvez obtenir un courant descendant dans ces petits espaces dans lesquels vous êtes maintenant confiné et provoquer la concentration de particules dans votre espace. »

    Le problème, disent les experts, est que la plupart des personnes chargées d'ériger des barrières dans les bureaux, les restaurants, les salons de manucure et les écoles ne le font pas avec l'aide d'experts en ingénierie qui peuvent évaluer le débit d'air et la ventilation pour chaque pièce. -NYT

    "La circulation de l'air dans les pièces est assez compliquée", a déclaré Corsi. « Chaque pièce est différente en termes de disposition des meubles, de hauteur des murs et des plafonds, des aérations, de l'emplacement des étagères à livres. Toutes ces choses ont un impact énorme sur le débit réel et la distribution d'air dans une pièce, car chaque salle de classe ou espace de bureau est différent.

    Reprinted with permission from Zero Hedge.

    https://www.lewrockwell.com/2021/08/tyler-durden/nyt-admits-plastic-covid-barriers-provide-false-sense-of-security-could-make-things-worse/

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    Réponses
    1. J'ai vu ces types d'idioties trisomicales dans des couloirs d'hôpitaux de New-York. Le personnel hospitalier portait des visières avec en dessous une masque bleu (dit 'chirurgical') + blouse et gants pour se protéger des... virus ! HAHAHAHAHAHAHA !

      Plus con que çà y a pas ! Et sont sous la très haute direction de 'professeurs' !! HAHAHAHAHA !

      Primo: il n'existe PAS de masque antivirus. Si l'air passe le virus passe. C'est comme de jeter un seau d'eau contre une clôture grillagée et se demander pourquoi toute l'eau a traversé le grillage !! HAHAHAHA !

      Secundo: il n'existe PAS d'appareil air-conditionné qui soit antivirus.

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  30. Juste un coup de plus, s'il vous plaît
    Les médias d'entreprise sont accros à la pandémie.


    Afrique Studio/Shutterstock
    18 AOT 2021|18:00
    CARMEL RICHARDSON


    Je ne suis pas un expert, mais je pense que je peux le dire à un toxicomane quand j'en vois un. Par toutes les marques habituelles – comportement erratique, une histoire différente à chaque fois que vous parlez avec eux et une fixation semblable à la transe sur le sujet de leur dépendance – les médias d'entreprise sont accros à Covid-19.

    Apparemment, une double injection du vaccin Covid-19 n'a pas suffi à apaiser leur manie face à un virus qui est déjà une menace insignifiante pour la plupart des personnes en bonne santé. Lorsque l'administration Biden a annoncé mercredi qu'elle déploierait des « injections de rappel » pour le vaccin Covid en septembre, les médias ont sauté pour être les premiers en ligne pour une nouvelle dose.

    Ne soyez pas confus. Le vaccin original fonctionne toujours, selon le New York Times. Cette injection supplémentaire est simplement nécessaire pour booster le bien que font déjà les deux premiers coups. Bien sûr, c'est exactement ce que dirait un toxicomane, n'est-ce pas ? Le correctif suivant est nécessaire. Vital. Non négociable.

    Les médias d'entreprise sont une créature délicate. Il devient un peu méfiant lorsque vous le questionnez sur son obsession – lorsque vous dites des choses comme « j'ai déjà des anticorps » ou « pourquoi dois-je porter un masque si j'ai été vacciné ? » et « ai-je vraiment besoin d'un autre coup ? » Il commence à transpirer quand il voit les cas de Covid-19 diminuer, s'empresse d'insister sur le fait que cela ne signifie pas que la pandémie est terminée, et s'accroche à chaque variante virale pour laquelle l'alphabet grec a une lettre.

    Les experts ont identifié un phénomène caractéristique du comportement d'un toxicomane : l'auto-tromperie.

    Les centres américains de toxicomanie écrit :

    La double pensée est une forme d'auto-tromperie qui implique la capacité de croire et de vivre des croyances contradictoires. Le terme « double pensée » vient du grand roman de George Orwell, 1984. En termes simples ; doublethink, c'est être capable de dire des mensonges délibérés tout en les croyant et en oubliant tous les faits qui dérangent. Doublethink ne consiste pas seulement à croire à une contradiction (qui ne peut jamais être vraie), mais à voir cette contradiction conduire les actions et le comportement. Toutes ces tactiques deviennent nécessaires pour vivre, selon Orwell.

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  31. En quoi ces tactiques sont-elles nécessaires pour vivre avec une dépendance ? Premièrement, ils aident à fabriquer une réalité dans laquelle l'usage n'est pas désordonné ou addictif. Même si à un certain niveau une personne croit qu'elle devient accro, elle peut faire appel à la conviction toujours à portée de main qu'elle va très bien.

    Nous devons prier pour nos frères et sœurs dans leur combat contre cette maladie débilitante. Ils augmenteront le rappel de leur injection de rappel, avec plus de tampons dans leurs passeports vaccinaux que leurs vrais, avant d'accepter que la pandémie soit terminée.

    https://www.theamericanconservative.com/state-of-the-union/just-one-more-shot-please/

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  32. Le Dr Fauci avertit que les Américains pourraient être confrontés à des injections de rappel INDÉFINITIVEMENT et dit que des infections « révolutionnaires » entièrement vaccinées pourraient encore causer une longue COVID: la FDA approuve la troisième dose pour les personnes dont le système immunitaire est affaibli
    Fauci a déclaré « qu'il y a beaucoup de facteurs » qui entrent en ligne de compte dans la prise de décisions, par exemple si les gens devront systématiquement se faire vacciner contre COVID-19
    Il a déclaré que les chercheurs ont déjà commencé à mener des études donnant des rappels aux personnes qui ont déjà été complètement vaccinées
    Ces études ont montré une promesse pleine d'espoir que les futurs injections de rappel au-delà d'un troisième jab pourraient ne pas être nécessaires
    Mais Fauci a déclaré qu'il était trop tôt pour dire si les gens devraient se faire vacciner régulièrement, comme beaucoup le font avec le vaccin annuel contre la grippe
    Fauci a déclaré que "la seule façon" pour les responsables de la santé publique de s'assurer que des rappels continus seront nécessaires sera de mener d'autres études


    Par ADAM SCHRADER POUR DAILYMAIL.COM et REUTERS
    14 h 21 BST, le 13 août 2021


    Le Dr Anthony Fauci a déclaré jeudi qu'il ne pouvait pas exclure que les gens aient à subir des injections de rappel de COVID-19 indéfiniment alors que le virus continue de monter en flèche.

    Fauci, le conseiller médical en chef du président, a fait ses commentaires dans une interview avec Anderson Cooper sur CNN dans laquelle il a également averti que les personnes entièrement vaccinées avec des infections dites "percées" peuvent toujours obtenir un COVID à long terme.

    "Nous en savons beaucoup plus que nous ne le savions pour commencer, mais il y a évidemment, vous savez, nous devons être humbles face à ce virus", a déclaré Fauci.

    Fauci a déclaré « qu'il y a beaucoup de facteurs » qui entrent en ligne de compte dans la prise de décisions, par exemple si les gens devront systématiquement se faire vacciner contre COVID-19 comme un vaccin annuel contre la grippe.

    Il a déclaré que les chercheurs ont déjà commencé à mener des études donnant des rappels aux personnes qui ont déjà été complètement vaccinées, ce qui a montré la promesse pleine d'espoir que les futures injections de rappel au-delà d'un troisième jab pourraient ne pas être nécessaires.

    « La bonne nouvelle à ce sujet est que l'accélération de la réponse s'accélère. Je veux dire encore mieux que ce que vous obtenez avec les deux doses ensemble. En d'autres termes, cela monte et monte et puis si vous donnez un coup de pouce, cela monte beaucoup », a-t-il déclaré.

    «Je ne sais pas avec certitude, mais cela pourrait signifier que vous induisez une réponse suffisamment élevée – et suffisamment durable – pour que vous n'ayez peut-être pas à vous soucier de ce qui préoccupe les gens, nécessitant un soi-disant coup de pouce chaque année environ. .'

    Il a poursuivi: "J'espère que le degré d'élévation de la réponse que nous verrons avec le coup de pouce pourrait en fait nous donner beaucoup de marge de manœuvre pour ne pas nécessairement avoir souvent besoin d'un coup de pouce."

    «Mais je dois être, comme vous le dites, nous sommes humbles et nous sommes modestes à ce sujet. Nous ne connaissons pas la réponse à cela.

    Le Dr Anthony Fauci a déclaré jeudi qu'il ne pouvait pas exclure des injections de rappel de COVID-19 indéfinies, mais qu'il espère que, si des injections de rappel sont nécessaires, une seule suffira

    Fauci a déclaré que «la seule façon» pour les responsables de la santé publique de s'assurer que des injections de rappel continues seront nécessaires sera de mener des études cliniques et d'observation.

    Cooper a demandé à Fauci comment les futurs vaccins de rappel seraient administrés – à savoir si les gens les recevraient au cabinet de leur médecin et dans les pharmacies ou dans les lieux de vaccination de masse.

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  33. "Nous ne voulons pas prendre de l'avance sur nous-mêmes", a déclaré Fauci.

    " Supposons que cela se produise et que nous prenions la décision de le faire, cela devrait être de manière ordonnée. Donc, vous ne voudriez pas dire, d'accord, maintenant tout le monde va recevoir un troisième coup de pouce. Ce sera une mode ordonnée en temps opportun.

    La Food and Drug Administration des États-Unis travaille avec les fabricants de vaccins Pfizer et Moderna pour permettre à certaines personnes vulnérables de recevoir une troisième injection de rappel de leurs vaccins COVID-19 afin d'améliorer leur réponse immunitaire.

    Rochelle Walensky, directrice des Centers for Disease Control and Prevention, a déclaré jeudi que les injections seraient disponibles pour certaines personnes modérément et gravement immunodéprimées.

    Ce groupe, qui, selon elle, représente moins de 3% des adultes américains, comprendrait des personnes ayant subi des greffes d'organes et certains patients atteints de cancer.

    Walensky a déclaré que le comité consultatif du CDC sur les pratiques de vaccination se réunirait vendredi pour discuter de cette question et proposer des recommandations.

    Certains Américains ont déjà pris sur eux de se faire vacciner eux-mêmes, avant même qu'ils ne soient approuvés.

    Fauci n'a pas condamné ceux qui l'avaient fait, mais a déclaré qu'il exhorterait quiconque envisage cela à attendre que davantage de données soient disponibles.

    Dans son interview de jeudi, Fauci a également émis un long avertissement COVID pour les personnes atteintes d'infections percées – celles qui se produisent même lorsque quelqu'un est complètement vacciné.

    Il a déclaré à Cooper que les personnes souffrant d'une infection percée courent toujours un risque de COVID longue, un terme pour ceux qui souffrent de symptômes persistants pendant des mois après que leur corps ait éliminé l'infection.

    "Certainement, si vous vous faites vacciner et que vous contractez une infection révolutionnaire, vous pouvez attraper un long COVID", a déclaré Fauci.

    «Nous n'avons pas assez de données là-dedans pour dire s'il s'agit du même type de risque d'avoir un long COVID des autres. Mais il est probable que ce serait moins parce que vous avez reçu une bonne protection de votre vaccin.

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    Une carte montre le nombre total de cas de coronavirus et de décès aux États-Unis

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    Un graphique montre le nombre quotidien de nouvelles infections à coronavirus par jour depuis le début de la pandémie

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    Un graphique montre le nombre quotidien de nouvelles infections à coronavirus par jour en juillet et août

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  34. Un graphique montre le nombre quotidien de nouveaux décès de coronavirus par jour depuis le début de la pandémie

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    Un graphique montre le nombre quotidien de nouveaux décès de coronavirus par jour en juillet et août

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    Une carte montre les pourcentages d'États américains qui ont été vaccinés jusqu'à présent

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    Un graphique montre le nombre quotidien de COVID-19 vaccinés aux États-Unis

    Fauci a également averti que les enfants peuvent avoir du COVID longtemps – mais son incidence est nettement inférieure à celle d'un adulte.

    "Ce n'est que quelques pour cent des enfants, alors que chez l'adulte, c'est entre 10 % et 30 %", a-t-il déclaré.

    Les chercheurs de la Mayo Clinic ont mené une étude alarmante, qui a été publiée sur un serveur de pré-impression medRxiv.org - ce qui signifie qu'elle n'a pas encore été évaluée par des pairs.

    L'étude a révélé que le vaccin Pfizer-BioNTech n'était efficace que contre l'infection à 42% en juillet, tandis que le vaccin Moderna n'était efficace qu'à 76%.

    Il a été noté que la baisse d'efficacité s'est produite à peu près au moment où la variante Delta du coronavirus a commencé à balayer le monde – ce qui fait craindre que des injections de rappel soient nécessaires pour se protéger particulièrement contre elle et d'autres variantes futures.

    Plus tôt ce mois-ci, Pfizer et Johnson & Johnson ont déclaré qu'ils étaient toujours convaincus que leurs vaccins pouvaient protéger contre les variantes de COVID-19 malgré un récent rapport mettant en garde contre des centaines d'infections révolutionnaires dans une ville du Massachusetts.

    La récente étude du CDC s'est concentrée sur une épidémie dans la ville de Cape Cod à Provincetown, un haut lieu touristique du comté de Barnstable, après le week-end du 4 juillet.

    Il a trouvé 469 cas de COVID-19 associés à plusieurs événements estivaux et à de grands rassemblements publics – même si 69% des résidents du Massachusetts ont été vaccinés.

    Les chercheurs ont déclaré que 346 cas - soit 74% - se sont produits chez des personnes complètement vaccinées. Les scientifiques ont effectué le séquençage de l'ADN sur 133 de ces patients et ont découvert que 119 d'entre eux, soit 89 %, avaient la variante Delta.

    L'étude a révélé que 79 % des patients vaccinés avec une infection percée étaient symptomatiques. Il y avait cinq patients COVID-19 qui ont été hospitalisés, dont quatre étaient complètement vaccinés - bien qu'aucun décès n'ait été signalé.

    Les chercheurs ont découvert que la variante Delta est « hautement transmissible », mais que « la vaccination est la stratégie la plus importante pour prévenir les maladies graves et la mort ».

    L'étude a révélé que les charges virales, qui indiquent la probabilité qu'une personne puisse transmettre le virus à d'autres, étaient similaires chez 127 personnes entièrement vaccinées et 84 personnes non vaccinées ou partiellement vaccinées.

    La nouvelle étude est intervenue après que le CDC a recommandé que même ceux qui sont entièrement vaccinés devraient porter des masques dans les lieux publics intérieurs dans les zones où la transmission de COVID-19 est élevée ou substantielle.

    Partagez ou commentez cet article: Fauci dit qu'il ne peut pas exclure des injections de rappel COVID indéfinies mais dit qu'une suffira, espérons-le

    https://www.dailymail.co.uk/news/article-9889661/Fauci-says-rule-indefinite-COVID-booster-shots-says-one-hopefully-suffice.html

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    1. N'oublions pas qu'il y a aujourd'hui 2 peuples:

      Un nombre infinitésimal de vaccinés d'un côté et en face 7 milliards de personnes qui refusent l'injection létale.

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  35. Pourquoi se trompe-t-on sur le Covid ?


    Par Paul Craig Roberts
    PaulCraigRoberts.org
    21 août 2021


    Pourquoi les entreprises américaines se sont-elles impliquées dans la politique de santé publique ? Pourquoi ont-ils pris une position totalement contredite par tous les faits et toutes les preuves connues ? Regarde ça.

    Ce ne sont pas seulement les gouvernements démocratiques qui sont devenus totalitaires, mais aussi les entreprises privées qui revendiquent le pouvoir d'outrepasser les lois de Nuremberg et obligent les employés à être vaccinés avec le vaccin Covid. Une vaccination est un acte médical et nécessite un consentement éclairé.

    Il est très étrange de trouver des entreprises recrutées pour servir une campagne de marketing forcé. Nous entendons parler de la « pandémie des non vaccinés ». Mais une telle pandémie n'existe pas. Toutes les preuves montrent que la majorité des nouveaux cas sont parmi les doubles inoculés.

    Les fonctionnaires et les presstitués laissent entendre que ce sont ceux qui refusent le vaccin qui sont responsables de la nouvelle épidémie alors qu'au contraire ce sont les personnes vaccinées qui sont à l'origine des variantes et des nouvelles maladies. Comme le Dr Malone, l'inventeur de la technologie d'ARNm utilisée pour créer le vaccin, l'a patiemment expliqué, le vaccin entraîne le virus à produire des variantes qui échappent aux vaccins.

    Compte tenu du nombre énorme de décès et de blessures associés au vaccin, nous sommes confrontés à la conclusion que le vaccin donne aux personnes vaccinées des maladies Covid. Certains ont des symptômes graves, certains meurent, d'autres ne savent pas qu'ils en souffrent. C'est la même chose que pour le virus lui-même.

    L'établissement médical a évité les autopsies des décès liés au vaccin. Le récit ne veut pas les reconnaître. Les personnes ruinées par le vaccin ne peuvent obtenir aucune aide de l'establishment médical. Enfin, une autopsie a été effectuée, et la première autopsie d'un décès dû au vaccin appuie ces conclusions :

    «Cette étude post-mortem ne fait que confirmer nos pires craintes que les injections de Covid fassent plus de mal que de bien, et puissent même accélérer la propagation du virus.

    « Selon le rapport, les chercheurs ont découvert que tout le corps du patient était envahi par des charges élevées d'ARN viral, également connues sous le nom de protéines de pointe induites par le vaccin. Cela a été rapporté par de nombreux chercheurs et par d'autres recherches sur ce que contient réellement le vaccin. [Lire Les vaccins Covid pas aussi efficaces que vous le pensez pour en savoir plus].

    « Cela indique deux choses.

    "1. L'ARNm du vaccin n'est pas localisé au site d'injection où il est censé se trouver, mais se propage sur d'autres organes. [Lire De nouvelles preuves expliquent comment les vaccins à ARNm causent des dommages aux organes pour voir les preuves.]

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  36. « 2. Nous savons que le défunt a été exposé au Covid-19. Le virus était dans tous les organes de son corps. Sur la base de ce que nous savons des vaccins contre les coronavirus dans le passé, cela pourrait être considéré comme un signal d'amélioration dépendante des anticorps [Lire Qu'est-ce que l'amorçage pathogène? Et le document d'information sur le vaccin Pfizer-BioNTech montre des preuves d'un amorçage pathogène chez les personnes âgées]

    « Cela signifie que le vaccin ne peut pas empêcher le virus de se propager [dans le document d'information de Pfizer à la Food and Drug Administration, ils ont déjà laissé entendre à ce sujet, voir la FDA savait qu'il y aurait de nombreux cas de COVID parmi les contrats Pfizer entièrement vaccinés et les fuites montrent qu'ils savaient des effets indésirables et le manque d'efficacité à long terme des vaccins.]

    « Nous avons été programmés pour croire que nous ne pouvons revenir à la normale que grâce aux vaccins. Nos gouvernements ne nous ont pas dit que ces vaccins sont inefficaces et n'offrent pas de protection. [Dans l'article Les vaccins COVID pas aussi efficaces que vous le pensez, on apprend que le taux de réduction réel pour ces vaccins, ce que les scientifiques appellent réduction du risque absolu ou la différence de taux de protection entre les vaccinés et les non vaccinés, est inférieur à 1% pour certains vaccins.] Attendez-vous à une propagande massive de mensonges et de panique, en particulier avec l'avènement des variantes. " Regarde ça.

    Aucune preuve n'existe à l'appui de l'affirmation de la directrice du CDC, Rochelle Walensky, selon laquelle la variante delta est une « pandémie des non vaccinés ».

    Aucune preuve n’existe que le vaccin protège contre Covid. En effet, le vaccin semble propager le virus.

    Nous avons appris qu'il n'existe pas de « totalement vacciné ». Le nouveau programme consiste en des injections de rappel sans fin tous les quelques mois, ce qui entraînera une explosion des effets indésirables du vaccin.

    La politique de Covid est tellement contrefactuelle et tellement contredite par toutes les preuves que les théoriciens du complot qui voient un agenda plus sombre au travail gagnent en crédibilité. Lorsqu'un vaccin a prouvé qu'il ne protège pas mais provoque des décès et des maladies sans précédent, comment une personne intelligente peut-elle arriver à la conclusion que davantage de vaccins est la solution ?

    Comment est-il possible que le président des États-Unis soit si mal conseillé qu'il a déclaré mercredi 18 août :

    « Plus tôt dans la journée, nos experts médicaux ont annoncé un plan de rappels pour chaque adulte américain entièrement vacciné. Cela boostera votre réponse immunitaire, cela augmentera votre protection contre le Covid

    https://www.lewrockwell.com/2021/08/paul-craig-roberts/why-are-we-being-deceived-about-covid/

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    1. Perso, j'aurai posé la question différemment:

      "Pour quel prix êtes-vous prêts à vous faire enculer ?"

      Vous haussez les sourcils ? Bon, disons 1000 dollars. Non ? 10 000 ! Ha-ha ! Vous 'réfléchissez ! et pour 1 million de dollars ? Bon, disons... 1 milliard de dollars et cinquante types vous enculent tous les jours pendant un an !

      Bêh ouais. Un milliard de dollars c'est pas rien.

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