- ENTREE de SECOURS -



mardi 3 août 2021

RADIO Podcast - Rencontre avec Louis Fouché - 26 Juillet 2021

 

70 commentaires:

  1. Que se passe-t-il ? Pas de mandat de santé publique et pourtant la dénigrement des non vaccinés continue


    LUNDI 2 AOÛT 2021


    Les vaccins Covid-19 ne sont pas efficaces pour prévenir la contagion et la transmission de variantes émergentes, telles que la variante Delta, et n'empêchent pas l'apparition de symptômes de longue durée chez les sujets entièrement vaccinés :

    Manas Mishra (2021, 30 juillet). La plupart des cas de COVID-19 dans l'épidémie du Massachusetts parmi les vaccinés, selon le CDC. Reuters. https://www.reuters.com/world/us/majority-covid-19-cases-large-public-events-were-among-vaccinated-us-cdc-study-2021-07-30/

    30 juillet (Reuters) – Les trois quarts des personnes infectées par COVID-19 lors d'événements publics de juillet dans une ville de Cape Cod dans le Massachusetts ont été entièrement vaccinées, a montré une étude des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis.

    L'étude, publiée vendredi, a suggéré que la variante Delta du virus était très contagieuse. L'épidémie s'est produite à Provincetown à Cape Cod, selon les autorités sanitaires du comté de Barnstable. L'étude du CDC a révélé que les individus vaccinés présentaient une quantité de virus similaire à celle des non vaccinés, suggérant que, contrairement aux autres variantes, les personnes vaccinées infectées par la variante Delta pourraient transmettre le virus, a déclaré le CDC….

    ÉGALEMENT

    Lire : Document interne du CDC sur les infections percées (2021, 30 juillet) : https://www.washingtonpost.com/context/cdc-breakthrough-infections/94390e3a-5e45-44a5-ac40-2744e4e25f2e/
    Les vaccins Covid-19 sont extrêmement dangereux. J'ai vécu directement cette dangerosité et je connais plus de personnes blessées par le vaccin que par le virus.

    Pourtant, malgré ces échecs flagrants, l'administration Biden et les médias grand public continuent de promouvoir la vaccination quasi obligatoire.

    Il n'y a AUCUNE RAISON IMPERATIVE DE SANTÉ PUBLIQUE pour rendre obligatoire les vaccins si les vaccinés sont aussi contagieux que les non vaccinés.

    De plus, étant donné que la vaccination ne prévient pas les longs covid (voir NPR ici) et parce qu'elle présente des risques mortels de caillots sanguins, de myocardite et de maladie neurologique, la justification de la vaccination obligatoire s'effondre encore plus. Voir ces alertes de la FDA :

    FDA. 2021, 25 juin. Mise à jour sur le coronavirus (COVID-19). https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/coronavirus-covid-19-update-june-25-2021

    RépondreSupprimer
  2. FDA. 2021, 27 février. Vaccin Janssen COVID-19. https://www.fda.gov/emergency-preparedness-and-response/coronavirus-disease-2019-covid-19/janssen-covid-19-vaccine

    La vaccination devrait être un CHOIX PERSONNEL, mais ce n'est pas comme les employeurs et les agences gouvernementales l'exigent. Voir mon article ici : https://majiasblog.blogspot.com/2021/06/approval-mandatory-vaccine-mandates-for.html

    Blâmer les non vaccinés pour la propagation de Covid-19 est tout aussi problématique et alimente de profondes divisions politiques qui sont considérées comme la vie ou la mort. De plus, il est fondamentalement faux que les non vaccinés soient seuls ou même principalement responsables de la conduite des variantes dangereuses :

    Sally Robertson, B.Sc. 6 juillet 2021 La vaccination contre le COVID-19 pourrait être le résultat de l'évolution des variantes « plus adaptées » du SRAS-CoV-2. https://www.news-medical.net/news/20210706/COVID-19-vaccination-may-be-stemming-evolution-of-e2809cfittere2809d-SARS-CoV-2-variants.aspx

    Soundararajan V, et al. Les vaccins COVID-19 atténuent la diversité génomique du SRAS-CoV-2 : les patients non vaccinés présentent plus de variance mutationnelle antigénique. medRxiv, 2021. doi : https://doi.org/10.1101/2021.07.01.21259833, https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.07.01.21259833v1

    Ce bouc émissaire sur les non vaccinés va à l'encontre de toutes les meilleures pratiques en matière de communication de crise et de risque et est fondamentalement défectueux sur le plan éthique.
    Quelque chose de très MAL se prépare et je suis profondément attristé que tant de démocrates aient succombé à la peur et stigmatisent et dénigrent vigoureusement toutes les personnes qui s'inquiètent d'une entreprise de vaccins défectueuse qui cause des dommages vasculaires et des caillots, en particulier chez les jeunes.

    Je ne m'attendais pas à ce que le côté gauche du centre devienne fasciste dans son mépris des droits libéraux fondamentaux de la personne, mais le voilà devant nous.

    Enfin, si vous n'avez pas lu le rapport des Républicains sur la possibilité d'une fuite de laboratoire, je vous recommande fortement de jeter un œil ici : https://www.scribd.com/document/518404441/Copy-of-Add-a- Little-Bit-of-Body-Text-18#fullscreen&from_embed

    Même le NYT remet maintenant en question les efforts visant à détourner l'attention d'une fuite potentielle de laboratoire, comme illustré dans cet article :

    Bret Stephens (2021, 27 juillet). La désinformation sur Covid vient aussi d'en haut. New York Times, https://www.nytimes.com/2021/07/27/opinion/covid-health-misinformation.html

    Mais la vérité plus grande – obscurcie jusqu'à récemment par des efforts fervents (y compris par Fauci) pour rejeter la théorie des fuites de laboratoire pour les origines de la pandémie – est que l'establishment scientifique du gouvernement américain a soutenu la recherche de gain de fonction qui méritait beaucoup plus de public débat qu'il n'en a eu. Il est également incontestable que les bénéficiaires de ce financement se sont livrés à des tactiques trompeuses et à un mensonge pur et simple pour protéger leurs recherches de l'examen public tout en dénonçant leurs détracteurs comme des comploteurs.
    Bien que je reste agnostique quant au lieu d'origine, il est tout à fait clair pour moi qu'il ne s'agit pas d'un virus de type sauvage auquel nous avons affaire et que vacciner avec l'intention que notre corps produise ses dangereuses protéines de pointe (voir l'étude de l'institut Salk ici doi.org/10.1161/CIRCRESAHA.121.318902) va être un autre exemple d'orgueil technologique qui a mal tourné.

    http://majiasblog.blogspot.com/2021/08/what-is-going-on-no-public-health.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Premièrement, cette injection est soit mortelle à court terme, moyen terme mais pas à long terme car avant la fin de l'année les piqués seront morts.

      Deuxièmement, cette injection assure des tests en direct (qui seraient refusés par les animaux !) qui introduisent des nano-particules d'oxyde de graphène (les même qui infectent les masques neufs qui sont vendus en pharmacies et proposés aux gros cons qui les achètent pour en respirer ! Hahahaha !). Ces nano-particules sont facilement captables et téléguidables par téléphone ou très bientôt grâce à la 5G qui n'aura plus besoin de passer par les portables pour que les cons robotisés obéissent aux ordres envoyés (C'est pas beau le progrès ?). Car, ces nano-particules peuvent s'assembler soit en caillots pour créer des bouchons dans la circulation sanguine et tuer immédiatement, soit s'assembler 'en file indienne' pour former des fils (morgellons) aussi appelés 'antennes'.
      Notons que ces mêmes antennes peuvent être introduite directement par voie nasale lors de 'test' (uniquement proposés aux cons qui s'y prêtent, je vous rassure !). C'est le 'premier pas' vers le transhumanisme. L'Avenir c'est le Futur ! Vivez aujourd'hui votre mort de demain !
      Retour vers le pas sûr: Antenne posée vous obéirez aux ordres reçus. Vous n'aurez plus de souvenirs. Vous allez vous contentez d'exécuter les victimes désignées ! Froidement ! Valeureusement ! Héroïquement ! Vous marcherez dans les pas des nazis qui vous accompagnent ou qui vous poussent par la fenêtre !
      Dites merci tant que vous y êtes.

      Supprimer
  3. Les injections expérimentales anti-Covid-19 doivent devenir obligatoires pour tout le monde... Obéissez !


    M.K. Scarlett
    lun., 02 août 2021 12:21 UTC


    Le passe « sanitaire » généralisé ne suffit pas à certains. Le président de la Fédération hospitalière de France, Frédéric Valletoux, juge que face au « variant Delta », il faut mettre en place l'obligation dite « vaccinale » pour toute la population. L'homme qui est également maire de Fontainebleau a déclaré ce 1er août dans le Journal du dimanche :

    « Nous n'avons plus le luxe de prendre des demi-mesures. »

    Pour lui, le passe « sanitaire » est une de ces « demi-mesures », et constitue déjà un outil dépassé.

    Cette homme qui se fait la voix des hôpitaux et des Ehpad publics, et que nous n'avions pour ainsi jamais entendu jusqu'à aujourd'hui, exprime comme suit les raisons — mensongères — de l'urgence à injecter à tout le monde un des quatre produits expérimentaux nommés « vaccins » — parfois même deux produits différents et qui sait dans un avenir proche, trois ou quatre ? (après tout l'Union européenne a conclu un contrat de 1,8 milliard de « doses », ce qui correspond à quatre doses par personne) :

    « la rapidité inédite de cette quatrième vague [...] partout, les indicateurs repartent à la hausse [...] le contexte épidémique nous montre les limites des mesures intermédiaires [à savoir le passe « sanitaire » qui] a fonctionné à court terme mais ne suffira pas à atteindre une vraie immunité collective. »
    Et voilà qu'ils reviennent avec leur idée d'immunité collective, alors que ces produits ne sont en aucun cas des « vaccins » et qu'ils ne peuvent donc en aucun cas contribuer à la moindre immunité collective, en fait, ce serait même tout l'inverse : il faudrait suspendre toutes ces injections !

    Selon ce quidam, donc, l'exécutif devrait
    « assumer ce cap de l'obligation avec volontarisme [notamment parce que] chaque jour qui passe voit les antivaccins durcir leurs propos. Il est temps d'aller au-delà de l'incitation pour franchir la dernière marche. »
    La dernière marche pour qui ? La dernière marche de quoi ?

    RépondreSupprimer
  4. Frédéric Valletoux appelle Emmanuel Macron et le gouvernement à ce que la France devienne une « nation pionnière » en rendant l'injection obligatoire pour tout le monde, parce que selon ses propos dans l'article du JDD :

    « C'est une mesure simple, claire et efficace, quand la mise en œuvre du passe s'annonce, elle, d'une complexité rare, notamment dans les hôpitaux pour tracer une frontière entre les patients pour lesquels il sera demandé à l'entrée et les autres. »
    Tracer une frontière, construire un mur... Et après on vient nous dire qu'il ne s'agit pas d'apartheid, que nous ne sommes pas en dictature, etc.

    Au passage, le fait d'avoir dès le départ utilisé le terme « vaccin » pour parler de produits expérimentaux qui ne sont pas des vaccins, fait qu'aujourd'hui, toute personne qui ne veut pas servir de cobaye dans une étude de phase III expérimentale, se voit marqué du sceau de l'infamie parce que soi-disant « anti-vaxx », ce qui par ailleurs revient à ignorer comme si elles n'existaient pas, les personnes vaccinées mais opposées au passe « sanitaire » qui manifestent depuis deux samedis consécutifs et qui sont elles aussi considérées comme des « anti-vaxx » . On pourra noter, ici, comme dans d'autres cas où la valeur des mots est inversée, la perversité de la chose.

    Pour information, Frédéric Valletoux est un ancien journaliste économique qui a notamment travaillé pour Les Échos. Comme précisé plus haut, il est aussi maire de Fontainebleau en Seine-et-Marne depuis octobre 2005, il est aussi président du conseil d'administration puis du conseil de surveillance de l'hôpital de cette ville et conseiller régional depuis 2010. Il a présidé la Fédération hospitalière Ile-de-France avant d'être élu à la présidence de la Fédération Hospitalière Française en octobre 2011. Encore un exemple de chaises tournantes dans le monde médiatico-politique.

    Par ailleurs, la Fédération hospitalière de France est une association créée en 1924 qui réunit plus de 1 000 établissements publics de santé et autant de structures médico-sociales, soit la quasi-totalité des établissements du secteur public. Elle est constituée de 28 fédérations hospitalières régionales. Son conseil d'administration est composé d'élus, de médecins, d'usagers et de chefs d'établissements.

    En janvier dernier, Frédéric Valletoux était pour un reconfinement. Il y a trois semaines, il était aussi en faveur de rendre l'accès aux tests PCR payant. Ce n'est pas grave si le CDC vient de déclarer que ces tests PCR ne font pas la différence entre la grippe et le Covid. Entre parenthèses, c'est ce que ceux qui sont appelés par la doxa « complotistes » ont affirmé quasiment depuis le début : ces tests ne font pas la distinction entre les différents débris viraux de tel ou tel coronavirus présents dans les échantillons prélevés. Pire, ils ne permettent même pas de savoir si vous êtes malade, ils n'ont pas été conçus pour ça, selon les aveux même de Kary Mullis, son inventeur, paix à son âme. Ces tests PCR sont amplifiés jusqu'à 45 fois, alors qu'ils ne devraient pas dépasser un seuil d'amplification de 25 et l'OMS admet que les tests PCR à seuil de cycle élevé produisent des faux positifs pour le Covid-19, puisque la possibilité de cultiver du virus décroit dès lors que les cycles d'amplification augmentent.

    RépondreSupprimer
  5. Actuellement, le passe « sanitaire » s'obtient si vous remplissez une des conditions suivantes :

    1. La vaccination, à la condition que les personnes disposent d'un schéma vaccinal complet et du délai nécessaire après l'injection finale, soit :

    7 jours après la 2e injection pour les vaccins à double injection (Pfizer, Moderna, AstraZeneca).

    4 semaines après l'injection pour les vaccins avec une seule injection (Johnson & Johnson)

    7 jours après l'injection pour les vaccins chez les personnes ayant eu un antécédent de Covid (1 seule injection).

    2. La preuve d'un test négatif de moins de 48h pour le « pass sanitaire activités » pour l'accès aux grands événements concernés et maximum 72h pour le contrôle sanitaire « voyages ».

    Tous les tests RT-PCR et antigéniques génèrent une preuve dès la saisie du résultat par le professionnel de santé dans SI-DEP, qui peut être imprimée en direct et qui est également mise à disposition du patient via un mail et un SMS pour aller la récupérer sur le portail SI-DEP (https://sidep.gouv.fr). Sur TousAntiCovid, l'importation de la preuve dans l'application est à la main du patient.

    Les délais en vigueur pour la validité des tests (48h ou 72h selon les cas) sont stricts au moment de l'entrée sur le site de l'événement ou de l'embarquement (pas de flexibilité à 2 ou 3 jours).

    3. Le résultat d'un test RT-PCR ou antigénique positif attestant du rétablissement de la Covid-19, datant d'au moins 11 jours et de moins de 6 mois.
    Les tests positifs RT-PCR ou antigénique de plus de 11 jours et moins de 6 mois (pris en compte à date) permettent d'indiquer un risque limité de réinfection à la Covid-19.
    Je passe sur les formalités à remplir type QR code, etc., et laisse le loisir à ceux que cela intéresse ou qui ne pourront pas s'y soustraire (quelles que soient leurs raisons) d'aller visiter le site gouvernemental.

    Ce qu'il est important de noter à ce stade, c'est qu'à la suite d'un « cafouillage législatif » (et apparemment d'un « bug informatique » qui aurait figé le système plusieurs heures), obtenir un QR code prouvant que l'on a contracté le Covid il y a moins de 6 mois pour obtenir le supposé « Sésame ouvre-toi » est devenu mission impossible pour certaines personnes précédemment testés positives, mais pas forcément malades (je dis « supposé » car nous savons bien que ça ne va pas durer et que le confinement, les restrictions, les masques en extérieur, les couvre-feux et autres éléments de coercition vont très revenir, pour tout le monde). En gros, les données ont expiré, grâce à la CNIL et au nom des libertés — quel cirque ! En effet, suite à l'avis de la CNIL du 8 mai 2020, le temps de conservation de ces données sensibles, initialement fixé à un an par le gouvernement, a été abaissé à trois mois par les députés... dans un amendement adopté à l'Assemblée nationale le 21 juillet 2021 et cette décision n'est pas rétroactive : il est donc impossible de récupérer les données supérieurs à 3 mois, parce qu'elles sont déjà effacées ! Selon Legifrance :

    « Les données à caractère personnel collectées par ces systèmes d'information à ces fins ne peuvent être conservées à l'issue d'une durée de trois mois après leur collecte. »
    Toutefois :

    RépondreSupprimer
  6. « La durée de conservation de certaines données à caractère personnel peut être prolongée, pour la seule finalité de traitement mentionnée au 4° du II et, au plus tard, jusqu'à la date mentionnée au premier alinéa du présent I »
    La « date mentionnée au premier alinéa du présent I » étant le 31 décembre 2021.

    Rappelez-vous qu'il y a de grandes chances pour que ces tests ne soient plus d'ici à quelques semaines « gratuits » (en fait pris en charge par la Sécurité sociale, à savoir par nos impôts). Ils seront payants et dans certains cas, pas remboursés (on peut imaginer qu'ils ne le soient plus du tous, passé un certain stade). Combien préféreront un produit expérimental nommé « vaccin » gratuit que d'avoir à payer un test PCR deux fois par semaine ? — Je renvoie le lecteur à cet article dans lequel j'évoque la manne financière que représentent ces tests PCR.

    Donc, peu importe, il faut tester, tester, tester, car en attendant la sacro-sainte obligation « vaccinale », ça remplit les poches des prédateurs de Big Pharma & Co. Et ce sont de toute façon les mêmes prédateurs de Big Pharma & Co qui remplissent aussi leurs poches avec ces produits expérimentaux nommés « vaccins ».

    L'abus de faiblesse généralisé exercé sur les populations par les Pouvoirs en place atteint des sommets de corruption : ils essayent (en France aujourd'hui, mais dans d'autres pays depuis plusieurs mois) d'inciter les jeunes — notamment, mais pas que — qui ne se sont pas encore fait injecter leur « dose » de le faire en les appâtant avec des cadeaux, et donc de les corrompre ! « Entrez dans notre monde corrompu, les jeunes, soyez corrompus vous aussi, faites passer le message aux autres, plus on est de fous, plus on rit, vous allez voir, c'est tellement génial de se faire piquer, vous allez protéger les autres, vous serez un héros ! »

    Pourquoi faut-il de toute urgence piquer tout le monde ? Serait-ce parce que les fioles ont des dates de péremption et qu'elles pourraient finir à la poubelle, comme l'a craint récemment le gouvernement israélien ? Le gouvernement français en a-t-il vraiment quelque chose à faire ? Que sont devenus les « vaccins » H1N1 non injectés ? Ils sont partis à la poubelle. On pourrait aussi se demander pourquoi, puisque les contrats sont signés et que Big Pharma empoche déjà l'argent sur le dos des citoyens, le gouvernement veut absolument utiliser le plus vite possible toutes ces « doses ». Pensez-vous que ce soit vraiment par peur d'avoir à les jeter à la poubelle et d'être « éventuellement » confronté à la colère populaire (qui serait légitime) pour être à ce point des « gaspilleurs » ? Ou la raison financière n'est-elle pas la seule qui entre en jeu dans cette volonté d'injecter, injecter, injecter, vite, le plus vite possible ? C'est quoi le Plan ? Et c'est quoi le Grand Plan ? Comment tous ces mensonges sont-ils possibles ?

    Il est intéressant de noter que selon un article publié le 1er août dernier dans Financial Times, Pfizer et Moderna augmentent le prix de leurs produits expérimentaux nommés « vaccins » en Europe : Pfizer passe ainsi de 15,50 euros à 19,50 euros et Moderna de 19 euros à 21,50 euros. Et puisque ce sont les contribuables qui payent, nous assistons au transfert d'argent des citoyens vers les plus riches le plus massif de tous les temps ! Et ce n'est pas fini...

    RépondreSupprimer
  7. Selon cet article de France Inter, la Direction générale de la santé aurait déclaré que pour obtenir aujourd'hui son passe « sanitaire » :
    « Il est nécessaire de, soit avoir un schéma vaccinal complet, soit se faire dépister de nouveau pour obtenir une preuve de test négatif. »
    Donc, exit le test qui prouve que vous avez déjà contracté le Covid. Il ne reste déjà plus que deux options sur trois.

    Mais alors, et puisque les tests PCR ne font pas la différence entre la grippe et le Covid (ils ne l'ont jamais fait, mais maintenant, c'est officiel), si le gouvernement décide — officiellement — qu'ils sont devenus obsolètes, si apporter la preuve que l'on a déjà contracté le virus par le passé devient impossible pour une grande partie de la population déjà testée positive, quelles sont les options listées plus haut qui resteront sur le passe « sanitaire », à votre avis ? Une seule. L'injection, et l'injection seulement. Le passe « sanitaire » deviendra très vite le passe « d'injection anti-Covid » qui prouve que vous vous êtes prosterné devant le nouveau Dieu, et que vous êtes potentiellement prêt à recommencer dans quelques mois. Il faut injecter, injecter, injecter.

    Revenons aux déclarations du quidam mentionné plus haut. Dans un autre tweet daté du 29 juillet dernier, il déclare que les « hôpitaux d'Outre-Mer font face à une situation très critique » et que « les professionnels sur place ont besoin de renforts pour franchir la vague ! ». Alors que les syndicats UGTG de la Guadeloupe dénoncent une manipulation des chiffres concernant les personnes hospitalisées. Franchir la vague ! Ce sera quoi le prochain cri : Alerte au tsunami ! ?

    L'arnaque est d'autant plus criante qu'en Guadeloupe, « le service de réanimation peut accueillir 22 malades, indiquait Patrick Portécop médecin chef du pôle Urgences soins critiques. Une capacité qui peut passer à "une cinquantaine de lits en réanimation, en mettant en commun les moyens du public et du privé", soit le centre hospitalier de Basse-Terre, la clinique des Eaux Claires, ainsi que la déprogrammation des activités chirurgicales. Un dispositif déjà mis en œuvre durant la 2e vague de coronavirus, en Guadeloupe, en mars 2020. » (FranceInfo, 26 juillet 2021).

    En bref, pour faire croire à un tsunami de Covid, limitez au maximum la capacité hospitalière, fermez de plus en plus de lits (comme c'est le cas en métropole, et ça ne date pas d'hier), et le tour est joué : services « saturés », situation « critique », branlebas de combat, tout le monde sur pont ! Au passage, déprogrammez des opérations chirurgicales, pour certaines vitales - après tout, on ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs, et l'éradication de cette ignoble pandémie jamais vue de mémoire d'homme vaut bien « quelques » victimes collatérales !

    RépondreSupprimer
  8. Au lendemain des annonces présidentielles du 12 juillet dernier, et notamment sur le fait que les personnels des hôpitaux, cliniques et maisons de retraite, ainsi que les professionnels et bénévoles auprès des personnes âgées seront — si la Loi passe l'écueil mou du Conseil constitutionnel dirigé par Laurent Fabius, impliqué (entre autres) dans le scandale du sang contaminé mais jamais condamné — dans l'obligation de se faire injecter un produit expérimental contre le Covid-19 d'ici le 15 septembre, Frédéric Valletoux avait estimé qu'il s'agissait
    « d'un devoir et une responsabilité vis-à-vis des plus fragiles. »
    Pas très novateur comme propos. Et au rythme de l'augmentation des « effets indésirables » qui vont du point d'injection à la mort, les plus fragiles pourraient bien être demain tous ceux qui se seront fait injecter leurs produits expérimentaux nommés « vaccins ».

    Par ailleurs, un élargissement de cette obligation d'être injecté à l'ensemble de la population française a d'ores et déjà été évoqué par la Haute autorité de santé, qui a recommandé le 16 juillet de « mener une réflexion » sur le sujet. Quatre jours plus tôt, lors de son allocution annonçant l'extension du passe « sanitaire », le président Emmanuel Macron avait préparé à cette éventualité :
    « En fonction de l'évolution de la situation, nous devrons sans doute nous poser la question de la vaccination obligatoire pour tous les Français. »
    Amen à la fenêtre d'Overton.

    La question n'est pas posée, la question ne se pose pas. Il n'y a pas de question. Pas plus qu'il n'y a de « réflexion » sur le sujet. Il n'y a que la réponse. L'injection. « Partout. À tout moment. »

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est L'INJECTION LÉTALE ou LA MORT PAR BALLES !

      Attention: Du fait de l'injection de nano-particules de graphène (40 mille milliards de nano-particules d'oxyde de graphène en un seule injection !!), vous serez suivi 24 h/24 par proximité de votre téléphone !

      Supprimer
  9. Préavis de grève national contre l'obligation vaccinale des soignants


    mar., 03 août 2021 11:44 UTC


    Percevant enfin l'ampleur de la colère qui règne parmi le personnel soignant après les menaces de salaire bloqué et de licenciement à l'encontre de ceux qui refusent la "vaccination" contre le Covid, les syndicats montent dans le train en marche. Le syndicat SUD Santé Sociaux appelle à une grève illimitée, dénonçant l'obligation pour les soignants d'être vaccinés à partir du 15 septembre.

    Tout le personnel soignant devra être vacciné à partir du 15 septembre sous peine de voir leur «contrat de travail» suspendu a indiqué Élisabeth Borne, ministre du Travail, le 13 juillet dernier. Un chantage qui ne passe pas !

    «Nous ne sommes pas contre la vaccination mais cela doit rester un choix libre», explique Jean-Marc Devauchelle - secrétaire général de la fédération SUD santé sociaux. Le syndicat a donc lancé un appel à la grève illimitée à l'échelle nationale à compter du 4 août, contre l'obligation vaccinale chez les soignants.

    «Nous sommes toujours réticents quand nous n'avons pas de connaissance sur tel ou tel produit. Nous savons pertinemment que toute injection comporte un risque et nous n'avons pas assez de recul comme on pourrait l'avoir dans le cas de la prise d'un Doliprane ou d'autres vaccins», souligne le syndicaliste qui s'inquiète également des conséquences de cette obligation sur le moral du personnel soignant et des démissions qu'elle pourrait engendrer. «C'est sûr qu'il y en aura. Reste à savoir si ça sera à la marge ou s'il y en aura beaucoup. Je serais incapable de dire s'il y aura de nouveau une hémorragie comme il y a eu ces derniers mois».

    Les syndicats sont en réalité bien forcés de suivre les appels à la grève locaux. Des préavis de grève illimitée à partir du 4 août ont été déposés dans les Bouches-du-Rhône à Marseille. À Lyon également, une grève illimitée a débuté depuis le 29 juillet contre l'obligation vaccinale des soignants. De même en Corse où c'est la CGT du centre hospitalier de Bastia qui a appelé à la grève depuis le 30 juillet.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. A partir du 15 Septembre: ZÉRO PERSONNEL SOIGNANT !!

      Supprimer
  10. Le préfet de Guadeloupe donne ses consignes à la directrice de l'ARS: « On adopte un ton grave et catastrophique ! » - ou l'hystérisation des masses par la peur


    mar., 03 août 2021 12:15 UTC


    Le préfet de Guadeloupe qui a reçu des consignes de l'Élysée donne les mêmes consignes à la directrice de l'ARS qui transmet ces consignes par le biais des médias au peuple guadeloupéen qui, comprenant cette supercherie venue de Paris, s'insurge encore plus contre cette machination.

    Dans la vidéo ci-dessous, avant la conférence de presse, le préfet de Guadeloupe - qui ignore être enregistré - dicte le ton à la directrice de l'ARS : « On adopte un ton grave et catastrophique ! »

    https://twitter.com/_LEGENERALOFF/status/1422501137291304960?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1422501137291304960%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.sott.net%2Fembed%2FVbzvwHPoQu3-vv9Bt3F688SsyID

    Petit rappel sur la situation « grave et catastrophique » en Guadeloupe : Les syndicats UGTG de la Guadeloupe dénoncent une manipulation des chiffres concernant les personnes hospitalisées
    préfet guadeloupe

    Utiliser la peur pour hystériser et inciter les masses à obéir ? Ils l'admettent eux-mêmes, mais puisque tout le monde (ou presque) s'en fout, ils continuent !
    Des scientifiques qui avaient encouragé l'utilisation de la peur pour contrôler les comportements lors de la crise du Covid reconnaissent que cette tactique était totalitaire

    « Les scientifiques membres d'un comité qui a encouragé l'utilisation de la peur pour contrôler le comportement des gens pendant la pandémie de Covid ont admis que ces méthodes étaient « non éthiques » et « totalitaires ».

    Les membres du Scientific Pandemic Influenza Group on Behaviour (SPI-B) ont regretté ces tactiques dans un nouveau livre sur le rôle de la psychologie dans la réponse du gouvernement au Covid-19.

    Le SPI-B a averti en mars de l'année dernière que les ministres devaient augmenter « le niveau perçu de menace personnelle » du Covid-19 car « un nombre substantiel de personnes ne se sentent toujours pas suffisamment menacées personnellement ».

    Gavin Morgan, un psychologue de l'équipe, a déclaré :
    « Il est clair que l'utilisation de la peur comme moyen de contrôle n'est pas éthique. L'utilisation de la peur a des relents de totalitarisme. Ce n'est pas une position éthique pour un gouvernement moderne. Je suis par nature une personne optimiste, mais tout cela m'a donné une vision plus pessimiste des gens. »
    M. Morgan s'est entretenu avec l'auteur Laura Dodsworth, qui a passé un an à enquêter sur les tactiques du gouvernement pour son livre A State of Fear, publié lundi.

    RépondreSupprimer
  11. Les ministres ont été accusés à plusieurs reprises d'avoir exacerbé la menace de la pandémie pour justifier les mesures de confinement et contraindre le public à les respecter - une allégation qui sera examinée par la prochaine enquête publique sur la réponse à la pandémie.

    Le SPI-B est l'un des sous-comités qui conseillent le groupe consultatif scientifique pour les urgences (Sage), dirigé par Sir Patrick Vallance, le conseiller scientifique en chef.

    Un scientifique du SPI-B a déclaré à Mme Dodsworth :
    « En mars [2020], le gouvernement était très inquiet de la conformité et pensait que les gens ne voudraient pas être enfermés. Des discussions ont eu lieu sur le fait que la peur était nécessaire pour encourager la conformité, et des décisions ont été prises sur la façon d'augmenter la peur. La façon dont nous avons utilisé la peur est dystopique ».

    « L'utilisation de la peur a définitivement été éthiquement discutable. C'était comme une expérience bizarre. En fin de compte, ça s'est retourné contre nous parce que les gens ont eu trop peur ».
    Un autre membre du SPI-B a déclaré :

    « On pourrait appeler la psychologie "contrôle de l'esprit". C'est ce que nous faisons... Nous essayons clairement de le faire de manière positive, mais cela a été utilisé de manière néfaste dans le passé ».
    Un autre a prévenu que « les gens utilisent la pandémie pour s'emparer du pouvoir et faire passer des choses qui ne se produiraient pas autrement... Nous devons faire très attention à l'autoritarisme qui s'insinue ». »Des scientifiques qui avaient encouragé l'utilisation de la peur pour contrôler les comportements lors de la crise du Covid reconnaissent que cette tactique était totalitaire.

    RépondreSupprimer
  12. NYC ordonne aux restaurants et aux gymnases d'exiger une preuve de vaccination de tous les clients


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 03 AOT 2021 - 10:35


    C'est peut-être le rare éditorial élogieux dans le New York Post totalement anti-de Blasio qui a inspiré le maire à imposer des mesures COVID encore plus restrictives, mais après avoir été critiqué pour son refus d'ordonner le masquage obligatoire à New York, le maire Bill de Blasio est aurait prévu de nouvelles mesures qui doubleraient son approche « axée sur les vaccins » pour lutter contre la variante delta.

    Après que la Bay Area et la Louisiane ont chacune adopté des règles de masque obligatoires, il semble que le maire De Blasio double son approche axée sur les vaccins, ordonnant des politiques encore plus restrictives. Selon le NYT, le maire prévoit d'annoncer que New York exigera une preuve de vaccination pour les personnes participant à une gamme d'activités intérieures, des repas à l'intérieur aux salles de sport et aux spectacles à Broadway et ailleurs. Le plan du maire est "sa dernière tentative pour stimuler davantage de vaccinations", a déclaré le NYT, alors que le taux de vaccination des adultes de la ville oscille à seulement 66 %.

    Pour faciliter cela, NYC créera son propre passeport vaccinal. Notamment, les non vaccinés seront toujours autorisés à dîner à l'extérieur.

    Dans le cadre du nouveau programme, la ville de New York créera un pass santé appelé « Key to NYC Pass » pour fournir la preuve de vaccination requise pour les travailleurs et les clients dans les restaurants, les gymnases, les divertissements et les spectacles.

    Cette mesure s'apparente à une politique imposée en France par le président Emmanuel Macron ses conseillers en santé. Le NYT a déclaré que la politique aurait inspiré des millions de Français à prendre rendez-vous pour la vaccination.

    En France, les gens devront bientôt présenter un pass sanitaire - fournissant une preuve de vaccination ou un test négatif récent - pour se rendre dans les bars intérieurs, les restaurants et les gymnases. Il a déjà été mis en œuvre dans des parcs d'attractions, des théâtres et des lieux accueillant plus de 50 personnes. À New York, une preuve de vaccination sera requise et il n'y aura pas d'option de test.

    Les restrictions en France ont incité des millions de personnes à prendre des rendez-vous pour les vaccins et ont également déclenché une série de protestations parmi les personnes qui ont déclaré que cela portait atteinte à leurs libertés personnelles.

    Le programme commencera plus tard ce mois-ci après une période de transition, prendra pleinement effet à la mi-septembre lorsque les écoles devraient rouvrir et que davantage de travailleurs pourraient commencer à retourner dans leurs bureaux. Ainsi, toute personne souhaitant s'entraîner dans les gymnases de New York devra se faire vacciner. Notamment, Equinox et SoulCycle, deux des chaînes de gym haut de gamme les plus populaires opérant dans la ville, ont déclaré plus tôt cette semaine qu'elles exigeraient une preuve de vaccination.

    RépondreSupprimer
  13. Selon le NYT, "la politique est similaire aux mandats émis en France et en Italie le mois dernier et serait la première du genre aux États-Unis".

    Certains critiques, dont Donald Trump Jr., ont qualifié cette politique de création d'une société à deux vitesses.

    Nous nous demandons à quel point cet effort serait perçu différemment si le titre était "De Blasio ordonne aux restaurants de refuser l'accès à 1 New-Yorkais noir sur 7"

    Le maire de Blasio a hésité à rétablir le masque obligatoire malgré les critiques, bien qu'il ait "encouragé" les New-Yorkais à porter des masques. Il semble que cette décision de « doubler » sur la première approche du vaccin soit une tentative de contrecarrer les critiques du maire. Et comme le souligne le NY Post, le maire pourrait être sur quelque chose : comme l'explique le NYP, "exiger que même les vaxxés se masquent élimine une incitation majeure à se faire piquer en premier lieu, et augmenter les taux de vax est le meilleur moyen de empêcher COVID de faire des dégâts plus importants. »

    https://www.zerohedge.com/covid-19/nyc-orders-restaurants-and-gyms-demand-proof-vaccination-all-customers

    RépondreSupprimer
  14. Brève. « Note added in proof »

    le 3 août 2021


    Mes lecteurs ne vont pas comprendre la signification de ce billet et je ne leur en tiens par rigueur. Il s’agit d’envoyer une lettre à l’éditeur d’une revue scientifique, une note brève, confirmant les résultats exposés dans un manuscrit soumis à l’appréciation du comité de lecture de la dite revue (« peer-review »), manuscrit accepté mais non encore publié. J’ai été confronté à cette situation une seule fois dans ma carrière de tout petit chercheur en chimie biologique, je crois me souvenir qu’il s’agissait du Biochemical Journal.

    Cette petite note, donc, pour apporter une éclairage complémentaire au billet précédent sur ce blog s’agissant de la traduction d’un article de Paul Craig Roberts. Voici le lien pour que mes lecteurs clarifient leurs idées :

    - voir doc sur site -

    Ce lien met un terme à une controverse relative à la présence d’oxydes magnétiques dans la formulation des pseudo-vaccins à ARN messager. Nulle part dans cet article parfaitement documenté n’apparaît la présence de tels produits. Bonne lecture (en anglais).

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/08/03/breve-note-added-in-proof/

    RépondreSupprimer
  15. Les gangs de rue à l’assaut de Montréal: «La répression ne servira à rien»


    12:21 03.08.2021


    Les incidents impliquant des armes à feu sont en augmentation à Montréal. La situation inquiète les autorités, de même que plusieurs groupes communautaires et de parents. Pour Jean Claude Bernheim, expert en criminologie, le profil des bandes qui s’affrontent a changé, mais les problèmes à l’origine de la violence restent les mêmes.

    «Des groupes profitent peut-être de la pandémie pour conquérir de nouveaux territoires», laisse tomber Jean Claude Bernheim, expert en criminologie, préoccupé par la hausse des crimes par arme à feu à Montréal. Le 2 août, une énième fusillade sur l’île a fait un mort et plusieurs blessés.

    «C’est une situation des plus classiques. Il faut rappeler que dans les années 1980-1990, Montréal a été aux prises avec ce même genre de conflit et plus de 70 personnes ont été tuées ou gravement blessées. […] À l’époque, on parlait plutôt des mafias italiennes, grecque, etc., alors que maintenant, on parle plutôt de gangs de rue. Au fil des années, les groupes criminels ont évolué, mais pas les situations», observe-t-il.

    Acte de violence

    Car à en croire les récents titres de journaux, rien ne va plus dans la métropole québécoise. Selon les données recensées par le Journal de Montréal, au moins 16 incidents impliquant des armes à feu y sont survenus durant le seul mois de juillet. À la mi-juin, trois fusillades ont eu lieu en une seule nuit, du jamais vu depuis plusieurs années dans une ville réputée beaucoup plus sûre que la plupart de ses consœurs nord-américaines.

    La pandémie, amplificateur de la violence

    Chargé de cours en criminologie dans plusieurs universités canadiennes, Jean Claude Bernheim estime que les mesures de confinement pourraient avoir détérioré la qualité de vie des résidents des zones les plus touchées: «on voit que ce sont des populations plus ou moins marginalisées qui sont les plus concernées». Des quartiers surtout situés dans le Nord et l’Est de la ville, réputés pour accueillir de nombreux immigrés, principalement issus d’Haïti et de pays du Maghreb.

    «Avec la pandémie, on a observé une diminution de la criminalité traditionnelle. Mais de l’autre côté, le confinement et les mesures ont accentué certaines problématiques sociales, en particulier dans les quartiers où la violence se manifeste le plus», souligne-t-il.

    D’après les chiffres du Service de police de la Ville de Montréal, les crimes contre les personnes commis avec une arme à feu ont augmenté de 10% entre 2019 et 2020, mais si la tendance se maintient, 2021 sera la plus violente de ces trois années.

    RépondreSupprimer
  16. Parents et organismes consternés

    Le 27 juillet dernier, une grande marche «pour la paix» a été organisée par la Coalition de la Petite-Bourgogne, un organisme communautaire implanté dans ce quartier montréalais.

    De nombreux parents inquiets pour leurs enfants ont participé à la marche. De plus, plusieurs politiciens ont manifesté leur soutien à la cause, parmi lesquels le chef du Parti libéral du Québec, Dominique Anglade, qui représente l’opposition officielle à Québec.

    «Le Canada est censé être le meilleur pays au monde. Comment se fait-il que les armes circulent autant dans les rues?», a déclaré à La Presse le père d’une victime d’une fusillade âgée de 21 ans, à l’occasion de la marche.
    Auteur du livre L’Affaire Camara (Éd. du Méridien) –ouvrage portant sur une importante erreur judiciaire–, Jean Claude Bernheim verrait comme une fausse solution le déploiement de renforts de police: «la répression ne servira à rien», tranche notre interlocuteur:

    «Il n’y a pas de solution simple aux problèmes complexes. Considérant les études sur le sujet, on sait pertinemment qu’une plus grande répression pourrait même exacerber la problématique. Quand Toronto a commencé à connaître cette réalité y a quelques années, les autorités ont opté pour un plus grand contrôle policier et les résultats n’ont pas du tout été au rendez-vous.»

    La prochaine campagne électorale fédérale débute dans quelques jours. L’augmentation des fusillades à Montréal et Toronto pourrait-elle en devenir un thème important ? Jean Claude Bernheim estime que c’est possible, mais ne s’attend pas à des discours très innovants en matière de prévention de la criminalité:

    «Idéalement, le rôle des politiciens est de ramener les problèmes au niveau où ils se situent réellement en tenant compte de la réalité du terrain. Mais généralement, si on regarde la tendance, les politiciens se contentent de réclamer plus de contrôle et de répression», déplore-t-il.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Il ne s'agit là que de bandes de dégénérés payés pour semer la violence, la mort afin de renforcer la police répressive au service de la dictature monarchique.

      Supprimer
  17. L'incendie de la batterie Tesla Megapack en Australie s'est enfin éteint après quatre jours de combustion


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 02 AOT 2021 - 22:00


    Il y a quatre jours, nous avons signalé qu'une unité de batterie Tesla Megapack de la taille d'un conteneur d'expédition dans le plus grand projet de stockage d'énergie au monde, exploité par la société française Neoen SA, à Victoria en Australie, surnommée "Victorian Big Battery", a pris feu lors d'un essai.

    La Victoria Country Fire Authority (CFA) a publié lundi une déclaration selon laquelle la batterie de 13 tonnes a finalement été éteinte après quatre jours, selon Bloomberg.

    "Il y avait une batterie en feu pour commencer, mais elle s'est propagée à une deuxième batterie qui était très proche de celle-ci", a déclaré le chef des pompiers de la CFA Ian Beswicke dans un communiqué. CFA n'a pas encore déterminé l'origine de la combustion spontanée de la batterie Tesla.

    Vendredi, lorsque l'incendie a été signalé pour la première fois, les responsables de la CFA étaient tellement préoccupés par les vapeurs toxiques émanant de l'unité de batterie qu'ils ont émis des avertissements sur la qualité de l'air pour les banlieues environnantes et ont exhorté les gens à se déplacer à l'intérieur.

    Le problème avec les batteries lithium-ion est qu'en plus d'émettre des fumées toxiques lors d'un incendie, la simple quantité d'eau pour éteindre le feu n'est pas respectueuse de l'ESG.

    Pour une batterie de voiture Tesla ordinaire pesant environ 1 200 livres, il faut environ 20 tonnes d'eau pour éteindre l'incendie. Certains incendies de véhicules Tesla ont emporté plus de 75 tonnes d'eau.

    Imaginez maintenant une batterie de 13 tonnes, soit environ 26 000 livres, qui prend feu et la quantité d'eau nécessaire pour l'éteindre. La CFA n'a pas divulgué le nombre de tonnes d'eau nécessaires pour éteindre l'incendie, mais les déclarations montrent qu'il a fallu quatre jours pour éteindre les flammes.

    En ce qui concerne les quantités considérables de gaz et de fumée émises par l'incendie de la batterie lithium-ion, aucune donnée quantifiable n'a encore été publiée par CFA détaillant l'impact environnemental.

    L'ensemble de la pression ESG en faveur de la "technologie verte" sur le réseau semble merveilleux, mais en cas d'incident, les pompiers n'ont pas la technologie pour éteindre rapidement et efficacement un incendie de batterie lithium-ion.

    https://www.zerohedge.com/technology/tesla-megapack-battery-fire-australia-finally-extinguished-after-four-days-burning

    RépondreSupprimer
  18. Approche d'un point de basculement dans l'alimentation électrique


    Message d'invité par Rafe Champion
    August 3rd, 2021


    Nous installons l'énergie éolienne et solaire à un rythme soutenu et l'on s'attend à ce que cela continue et que les ER pénètrent de plus en plus le système à mesure que l'énergie au charbon s'estompe. Dans le SE, nous avons encore juste assez d'énergie conventionnelle pour nous débrouiller presque tout le temps, mais le point de basculement viendra lorsque nous perdrons quelques autres centrales au charbon et nous aurons besoin d'un approvisionnement continu en ER. Il n'y aura pas assez d'électricité conventionnelle pour garder les lumières allumées pendant les nuits sans vent.

    Le fait est que RE peut DÉPLACER l'énergie au charbon mais pas la REMPLACER.

    Note de Jo : Avec la triste disparition de Catallaxy, j'ai invité Rafe à continuer ici à bloguer sur l'énergie et l'électricité en Australie. Ainsi, le format du blog s'adaptera quelque peu pour tenter de combler une partie de ce vide.

    https://joannenova.com.au/2021/08/approaching-a-tipping-point-in-the-power-supply/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Depuis le 21 Juin, l'Australie est en hiver.

      Que les chaudières de chauffage central soient à gaz, fuel ou charbon elles ont toutes besoin de l'électricité !

      Et, plonger tout un pays dans le noir complet comme au 19 ème siècle n'est plus acceptable aujourd'hui car sont plus que rares les foyers dotés de cheminées !! Le pire est que la dictature veut empêcher les gens de faire du feu ! Oui, Vous avez bien lu !! Les empêcher de faire du feu !!

      C'est la dictature monarchique qui se prolonge. A quand l'indépendance de l'Australie ?

      Supprimer
  19. En provenance de Russie avec 50 % d'approvisionnement en moins : les prix du gaz naturel européen explosent pour atteindre des sommets alors que Poutine tourne les vis


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 03 AOT 2021 - 05:45


    Ce bruit de succion géant, ce sont des milliards d'"euros excédentaires" qui sont transférés à la Russie alors que Poutine montre ses muscles à l'Europe à quel point les prix record du gaz naturel peuvent être "transitoires".

    Les prix du gaz naturel en Europe ont atteint un nouveau record, car un resserrement lent dans un premier temps, puis beaucoup plus rapide, de l'offre russe devrait provoquer une crise du stockage sur le continent.

    - voir carte sur site -

    Comme l'observe Stephen Stapczynski de Bloomberg, le gaz russe s'écoule via le gazoduc Yamal-Europe qui traverse la Biélorussie et la Pologne jusqu'à Mallnow, en Allemagne...

    - voir grapique sur site -

    ... a soudainement chuté au cours du week-end, laissant l'Europe hors de temps pour reconstituer les stocks avant l'hiver. Comme le montre le graphique ci-dessous, la quantité de gaz entrant en Allemagne à la station de compression de Mallnow a plongé de près de moitié, signalant que la Russie traverse moins le Yamal-Europe dans ce qui pourrait être un tir du Kremlin à travers l'arc européen, et un rappel qui littéralement garde les lumières ouvertes pendant l'hiver.

    - voir carte sur site -

    Comme le note Bloomberg, l'extraordinaire crise mondiale de l'approvisionnement en gaz naturel a alimenté « des hausses de prix époustouflantes des Pays-Bas à la Chine, et les investisseurs sont prêts à voir si les gains se prolongent ». En effet, il n'y a pas que l'Europe : les prix du gaz naturel liquéfié en Asie s'approchent d'un sommet saisonnier alors que les importateurs se font concurrence pour l'approvisionnement au milieu des températures estivales plus chaudes. Pendant ce temps, aucune des capacités du 4T pour acheminer davantage de gaz vers l'Europe via Mallnow n'a été réservée lors d'une vente aux enchères lundi.

    RépondreSupprimer
  20. Alors que se passe-t-il ? Appelez cela une tempête parfaite d'approvisionnements en baisse, un manque de stocks suffisants et une posture géopolitique continue alors que la Russie fait pression sur les autorités de l'UE pour approuver le projet de double pipeline Nord Stream 2 à travers la mer Baltique et en Allemagne, alors que les expéditeurs de gaz manquent de temps. et, en effet, des options pour approvisionner l'Europe de manière adéquate cet hiver. Dans le pire des cas, les prix du gaz européen pourraient exploser à des niveaux suborbitaux, ce qui ferait la fierté de Jeff Bezos si le continent ne parvenait pas à s'approvisionner en quantités suffisantes de gaz naturel.

    Selon Platts, les hubs britanniques NBP et néerlandais TTF ont nettement dépassé leurs sommets précédents en septembre 2018, lorsque les séquelles du système météorologique «Beast from the East» plus tôt cette année-là ont soutenu les prix du marché au comptant et épuisé les réserves de stockage. à des creux de plusieurs années. Et bien que le stock de stockage européen soit maintenant approximativement aux niveaux de 2018, cela a été soutenu par une position de départ beaucoup plus élevée, et les circonstances entourant l'approvisionnement russe en Europe sont très différentes cette année.

    En effet, l'analyse de Platts a révélé que la situation se prépare depuis deux ans, les flux russes vers l'Europe via l'Ukraine, comme le prescrit l'accord de transport négocié par l'UE de décembre 2019 comme principal facteur contributif.

    De plus, la société d'État russe Gazprom Export n'effectue pas de réservations de capacités de transport ukrainiennes à un niveau proche du niveau auquel les flux de 2018 pourraient être atteints et a injecté des montants minimes dans son propre espace de stockage européen.

    Par conséquent, le stockage européen ne se remplit pas rapidement et il est peu probable qu'il soit suffisamment réapprovisionné d'ici le début de l'hiver, faisant du stockage une source clé de levier pour le Nord Stream 2 de la Russie et, par conséquent, un champ de bataille clé dans la phase finale politique.

    En effet, par rapport à l'année comparable la plus pertinente, 2018, les exportations russes vers l'UE via Nord Stream 1, Yamal et l'Ukraine vers la Slovaquie ont chuté de 26,5 milliards de mètres cubes au cours des deux années de stockage à partir d'avril 2019. Si rien ne change, comme Gazprom Export La directrice générale Elena Burmistrova a récemment déclaré lors d'une conférence de presse que non, alors 20 Gcm supplémentaires pourraient potentiellement être indisponibles pour le stockage européen, bien qu'avec l'aggravation de la situation géopolitique de jour en jour, "quelque chose" va définitivement changer.

    Selon Platts, en utilisant les données de Gas Infrastructure Europe, au cours des deux hivers de stockage entre octobre 2018-mars 2019 et octobre 2019-mars 2020, l'Europe a demandé 43 Gm3 de retrait de stockage pour répondre à la demande. L'hiver dernier, il a fallu 68 Gcm.

    RépondreSupprimer
  21. Alors que l'analyse a montré que les exportations norvégiennes ont également baissé au cours de cette période et sont inférieures d'une année à l'autre en raison de la maintenance retardée par la pandémie en cours, l'augmentation des importations de GNL et des volumes de gazoducs en provenance d'Algérie a plus que compensé dans les zones où de meilleures alternatives d'approvisionnement existent.

    Dans les régions où ces alternatives ne sont pas aussi étendues, comme l'Allemagne, qui devrait voir plus de 10 Gm3 de gaz d'origine russe en moins retenus cette année par rapport à 2018, la situation de stockage pourrait rapidement devenir critique. Alors que certains peuvent pointer vers un démarrage à froid de la livraison estivale pour les injections rabougries jusqu'à présent, cela ne pourrait représenter au mieux que 13,15 Gcm d'un déficit de stockage de 24,36 Gcm cette année si les flux actuels sont extrapolés, ne laissant que 5,5 Gcm dans le stockage européen d'ici la fin de l'hiver . Cela exclut le potentiel d'injections hivernales, qui peuvent être refusées comme elles l'étaient au début de l'été.

    Un scénario probable dans lequel la production norvégienne reviendrait aux volumes de 2018 et le GNL se maintient aux niveaux de l'année de stockage 2020 ne verrait toujours l'inventaire de stockage qu'aux plus bas post-« Beast » et avec un potentiel de réapprovisionnement qui se détériore. Au pire, si le temps anormalement froid de la livraison de l'hiver 2020 devait se répéter, le différentiel supplémentaire de 9,16 Gcm retiré en conséquence a le potentiel de drainer le stockage à des niveaux dangereusement bas.

    Oui, il y a une chance non négligeable que l'Europe puisse littéralement geler.

    Dans "Beast from the East" de 2018, les prix du gaz au comptant ont encore grimpé en flèche avec des stockages européens remplis à 28 % à 29,27 Gcm en raison de l'influence régionale, en particulier du Royaume-Uni, où des rapports ont fait état de commerçants NBP perdant le bénéfice d'une année entière car ils étaient pris de court. des prix spot records.

    Ainsi, l'une des raisons pour lesquelles les prix d'hiver ont augmenté est que des couvertures doivent être mises en place dans toute l'Europe pour garantir un approvisionnement rare et immuniser les expéditeurs contre les flambées de prix. La livraison en hiver étant encore dans plus de trois mois, cela coûtera probablement de plus en plus cher. Cela signifie également qu'entre-temps, les prix du gaz naturel européen pourraient grimper à des niveaux encore plus élevés dans les semaines à venir.

    Ironiquement, Bloomberg note que les avancées à grande échelle peuvent encourager les services publics en Europe à passer au charbon à combustion plus sale, même si ce carburant est également proche d'un record. Et juste comme ça, le masque ESG/Green4eva si noble de l'Europe est sur le point de tomber dès qu'il devient clair que l'alternative est soit des prix record, soit de s'emmitoufler bien au chaud pour survivre à l'hiver. Certains producteurs, qui avaient retardé l'approvisionnement au comptant de GNL dans l'espoir que les prix chuteraient, doivent maintenant mordre la balle et acheter le carburant à des tarifs exorbitants.

    https://www.zerohedge.com/markets/russia-50-less-supply-european-nat-gas-prices-hit-record-putin-turns-screws

    RépondreSupprimer
  22. Le premier petit réacteur nucléaire au monde est maintenant en construction


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 03 AOT 2021 - 05:00
    Rédigé par Charles Kennedy via OilPrice.com,


    La China National Nuclear Corporation (CNNC) a lancé mardi la construction du premier petit réacteur nucléaire terrestre au monde, dans le cadre de ses efforts pour acquérir une position de leader sur le marché des réacteurs modulaires.

    La construction du projet de démonstration de la centrale nucléaire de Changjiang, dans la province de Hainan, dans le sud de la Chine, a commencé, selon la publication locale Global Times.

    Le début de la construction du petit réacteur nucléaire « Linglong One » intervient quatre ans plus tard que prévu initialement, en raison de retards dans les autorisations réglementaires, note Reuters.

    Le petit réacteur était initialement prévu pour voir le début de la phase de construction en 2017.

    Un an plus tôt, le petit réacteur Linglong One était devenu le premier à passer un examen de sûreté de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).

    Une fois achevé et mis en service, le petit réacteur nucléaire devrait répondre aux besoins énergétiques annuels d'environ 526 000 ménages, rapporte le Global Times, sans donner de calendrier pour l'achèvement.

    CNNC a développé la technologie des petits réacteurs au cours des dix dernières années, selon le point de vente.

    Selon l'Association nucléaire mondiale, l'intérêt est croissant pour une technologie plus petite et plus simple pour produire de l'énergie nucléaire, en raison de la baisse des coûts et du désir de fournir de l'électricité loin des grands systèmes de réseau.

    "Dans l'ensemble, la recherche et le développement SMR en Chine sont très actifs, avec une concurrence vigoureuse entre les entreprises encourageant l'innovation", a déclaré l'association, notant que les États-Unis, le Royaume-Uni et le Canada développent et soutiennent également leur technologie de petits réacteurs nationaux respective.

    Aux États-Unis, les petits réacteurs modulaires avancés (SMR) sont un élément clé de l'objectif du ministère de l'Énergie de développer des options d'énergie nucléaire sûres, propres et abordables, selon le DOE. Le Ministère a apporté son soutien au développement de SMR légers refroidis à l'eau, qui font l'objet d'un examen d'autorisation par la Commission de réglementation nucléaire (NRC) et seront probablement déployés de la fin des années 2020 au début des années 2030.

    https://www.zerohedge.com/energy/worlds-first-small-nuclear-reactor-now-under-construction

    RépondreSupprimer
  23. Est-ce vraiment ce qui se cache derrière la guerre contre l'accession à la propriété ?


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 03 AOT 2021 - 07:44
    Rédigé par Kit Knightly via Off-Guardian.org,


    Devenir une « nation de locataires » fait clairement partie de la nouvelle normalité...

    La « grande réinitialisation » naissante est une bête à multiples facettes. Nous parlons beaucoup des passeports vaccinaux et des blocages et des aspects liés à Covid – et nous devrions – mais il y a plus que cela.

    N'oubliez pas qu'ils veulent que vous « ne possédiez rien et soyez heureux ». Et tout en haut de la liste des choses que vous ne devriez certainement pas posséder, se trouve votre propre maison.

    Les gros titres à ce sujet ont été constants au cours des dernières années, mais cela s'est accéléré à la suite de la « pandémie » (comme tant d'autres). Un agenda caché aux dernières pages, derrière les gros chiffres rouges insignifiants de Covid, mais peut-être pas moins sinistre.

    Vous pouvez trouver des articles partout sur le net qui parlent de la location plutôt que de la possession.

    Le mois dernier, par exemple, Bloomberg a publié un article intitulé :

    L'Amérique devrait devenir une nation de locataires »

    Ce qui fait l'éloge de ce qu'ils appellent «la liquéfaction du marché du logement» et expose joyeusement l'idée que «les caractéristiques mêmes qui ont fait de l'achat d'une maison un investissement abordable et stable touchent à leur fin».

    The Atlantic a publié « Pourquoi vaut-il mieux louer que posséder » en mars.

    Les pages financières de Business Insider à Forbes à Yahoo et Bloomberg sont à nouveau remplies de listes intitulées « 9 façons de louer mieux que d'acheter », ou similaire.

    D'autres publications y sont plus personnelles, avec des chroniques anecdotiques sur le fait d'ignorer les conseils financiers et de refuser d'acheter votre maison. Vox, jamais du genre à vendre son agenda avec une quelconque subtilité, a un article intitulé :

    L'accession à la propriété peut faire ressortir le pire en vous

    Ce qui soutient littéralement que l'achat d'une maison peut faire de vous une mauvaise personne :

    C'est la chose la plus importante que vous puissiez acheter. Et cela pourrait faire de vous une mauvaise personne.

    Alors, quel est exactement le récit ici ? Quelle est l'histoire derrière l'histoire ?

    La réponse courte est assez simple : il s'agit de cupidité et de contrôle.

    C'est presque toujours le cas, en fin de compte.

    RépondreSupprimer
  24. La réponse plus longue est un peu plus compliquée. De grandes sociétés d'investissement telles que Vanguard et Blackrock, ainsi que des sociétés de location telles que American Homes 4 Rent, achètent des maisons unifamiliales en nombre record – parfois des quartiers entiers à la fois.

    Ils paient bien au-dessus de la valeur marchande, ce qui exclut du marché les familles qui souhaitent posséder ces maisons, ce qui fait monter le marché du logement tandis que la récession créée par le confinement fait baisser les salaires et crée des millions de nouveaux chômeurs.

    Bien sûr, cela motive les gens à vendre les maisons qu'ils possèdent déjà.

    Partout en Amérique, les gens sont aux prises avec des maisons d'une valeur inférieure à ce pour quoi ils les ont achetées depuis le krach économique de 2008, et sont impatients de prendre l'argent des sociétés d'investissement privées qui paient 10 à 20 % de la valeur marchande. Combinez une récession économique avec un boom immobilier créé et vous avez une énorme population de vendeurs motivés.

    Bien sûr, beaucoup de ces vendeurs ne réalisent pas, jusqu'à ce qu'il soit trop tard, que même s'ils tentent de réduire leurs effectifs ou de déménager dans une zone moins chère, ils peuvent être complètement exclus du marché et contraints de louer.

    Ainsi, au cours de la dernière année, la part de l'investissement privé dans les achats de maisons individuelles aurait été multipliée par dix, passant de 2 % en 2018 à plus de 20 % cette année.

    Comme de plus en plus de personnes sont obligées de louer, bien sûr, les propriétés locatives seront de plus en plus demandées. Cela entraînera à son tour le coût de la location.

    Market Watch a déjà signalé qu'au cours de la dernière année, les loyers ont augmenté plus de 3 fois plus vite que ne l'avait prévu le gouvernement.

    Ce problème est susceptible de s'aggraver dans un proche avenir.

    Hier soir, le Congrès a « accidentellement échoué » à prolonger l'interdiction d'expulsion liée à Covid.

    Ce qui signifie que ce week-end, alors que les sénateurs ajournent dans les maisons d'été qu'ils ne louent probablement pas, l'interdiction prendra officiellement fin et de nombreuses personnes verront probablement leur maison saisie ou leurs propriétaires les expulser.

    Les bâtiments nouvellement vides seront une frénésie alimentaire pour les énormes propriétaires d'entreprise. Qui descendront sur les banques comme des hyènes affamées pour s'emparer des propriétés saisies pour des centimes par dollar. Tout comme ils l'ont fait en 2008.

    Rien de tout cela n'est un secret, cela a été couvert par le grand public. Tucker Carlson a même fait un segment dessus début juin.

    Le Wall Street Journal titrait, en avril, « Si vous vendez une maison ces jours-ci, l'acheteur pourrait être un fonds de pension », et rapportait :

    RépondreSupprimer
  25. Les investisseurs en quête de rendement s'approprient les maisons unifamiliales, concurrencent les Américains ordinaires et font monter les prix

    Cependant, depuis lors, quelque chose a clairement changé. La machine de propagande s'est mise en marche pour défendre Wall Street de tout contrecoup.

    Aucun meilleur exemple de ce changement ne peut être trouvé que The Atlantic, qui a publié cette histoire en 2019 :

    QUAND WALL STREET EST VOTRE PROPRIÉTAIRE

    Avec l'aide du gouvernement fédéral, les investisseurs institutionnels sont devenus des acteurs majeurs du marché locatif. Ils ont promis de rendre les bénéfices à leurs investisseurs et la commodité à leurs locataires. Les investisseurs sont contents. Les locataires ne le sont pas.

    … et cette histoire le mois dernier :

    BLACKROCK NE RUINE PAS LE MARCHÉ DU LOGEMENT AMÉRICAIN

    Le vrai méchant n'est pas un Wall Street Goliath sans visage ; ce sont vos voisins et les gouvernements locaux qui arrêtent la construction de nouvelles unités.

    Pour en revenir au bien Vox, nous avons :

    Wall Street n'est pas à blâmer pour le marché chaotique du logement

    Qui a couru quelques jours seulement après l'article d'Atlantic, et est pratiquement identique.

    Ces deux articles (étrangement similaires) soutiennent que Wall Street et les sociétés de capital-investissement ne peuvent être blâmées pour l'achat de maisons, et que le vrai problème est le manque d'offre pour répondre à la demande.

    Vous voyez, toutes les personnes « égoïstes » qui possèdent déjà une maison (ils ont dit que cela faisait de vous une mauvaise personne) bloquent la construction de nouvelles maisons et font ainsi grimper le coût de la propriété par la rareté.

    Cela a été un argument logiquement erroné autour du marché du logement pendant des décennies.

    Qu'il n'y ait pas assez de maisons à acheter est manifestement absurde lorsque les données du recensement américain indiquent qu'il y a actuellement plus de 15 millions de maisons vides. C'est suffisant pour héberger 30 fois plus de tous les quelque 500 000 sans-abri américains.

    Il y a plein de maisons, il n'y a tout simplement pas assez d'argent pour les acheter.

    La raison en est la même raison pour laquelle la Californie a d'énormes « camps de sans-abri » dans ses grandes villes, et que tant de gens doivent devenir locataires au lieu de propriétaires : stagnation des salaires.

    Depuis des décennies, les augmentations de salaire sont en retard par rapport à l'augmentation du coût de la vie. Dans les années 1960, un emploi à temps plein pouvait permettre un niveau de vie décent pour une famille de quatre personnes ou plus. De nos jours, les deux parents travaillent, parfois plusieurs emplois chacun.

    RépondreSupprimer
  26. Ce sont d'énormes quantités de déréglementation financière qui ont créé cette situation. Donc, que vous croyiez ou non aux excuses BlackRock de Vox, d'une manière ou d'une autre, Wall Street est très certainement à blâmer.

    Mais ce n'est pas qu'une question d'argent. Ce n'est jamais le cas. Tout comme la guerre contre l'argent liquide n'est pas seulement une question d'efficacité, et la poussée environnementale ne concerne pas seulement le changement climatique. Idem pour le véganisme. Il s'agit de contrôle. Tout comme les vaccins, les confinements et les masques.

    Il s'agit toujours de contrôler.

    C'est un cliché souvent utilisé, mais non moins vrai pour cela, que la propriété « donne aux gens un intérêt dans la société ». Une maison familiale est une source de sécurité pour l'avenir et quelque chose à laisser à vos enfants. C'est aussi la souveraineté et la vie privée. Votre propre espace que personne d'autre ne peut contrôler ou emporter.

    En bref : Un propriétaire est indépendant. Un locataire ne l'est pas. Un locataire peut être contrôlé. Un propriétaire ne peut pas.

    C'est le même raisonnement derrière la façon dont les travailleurs ont été encouragés à contracter des emprunts et à devenir des esclaves pour dettes. Si vous limitez les options des gens, si vous leur faites compter sur vous pour un toit au-dessus de leur tête, vous avez le contrôle sur eux.

    Il existe un excellent article sur cette situation intitulé "Vos nouveaux suzerains féodaux".

    Sous le féodalisme, la terre n'appartenait pas à la classe ouvrière, mais leur était fournie par les barons terriens, d'où le terme "Land Lord". Si vous manquiez de respect à votre Seigneur, ou enfreigniez ses règles, ou s'il percevait qu'un autre paysan/animal de ferme/culture serait une meilleure utilisation de la terre, il pourrait la reprendre.

    Essentiellement, le comportement des serfs était contrôlé par leur dépendance à l'égard de la noblesse pour un lieu de vie. C'est vraiment la dynamique qu'ils recherchent ici.

    Les contrats de location peuvent être remplis de toutes les conditions souhaitées par le propriétaire, et plus les personnes désespérées obtiendront plus de leurs droits de consommateur, elles céderont.

    Peut-être que vous accepterez des compteurs intelligents qui surveillent vos habitudes d'utilisation d'Internet ou d'électricité, puis vendront les données à des modélisateurs comportementaux et des spécialistes du marketing viral.

    Peut-être devrez-vous accepter certaines limitations d'électricité ou des pénuries d'eau afin de « combattre le changement climatique ».

    Peut-être que ce sera pire que ça.

    Peut-être qu'ils iront à la dystopie d'entreprise de style Black Mirror. Peut-être que, grâce à des programmes d'affiliation, la méga-entreprise de capital-investissement qui possède votre maison de location a des liens avec McDonald's et, en tant que telle, vous obligera à ne pas manger dans des franchises de restauration rapide concurrentes, ou vous demandera d'observer au moins quatre-vingt-dix secondes de publicités Disney par journée.

    RépondreSupprimer
  27. Ce sera peut-être aussi simple que d'inclure le statut vaccinal dans le contrat de location, ce qui empêchera les personnes non vaccinées de trouver un logement.

    Peut-être qu'ils veulent juste rendre les pauvres malheureux.

    Après tout, les super-riches ont tout l'argent dont ils pourraient avoir besoin, et tout le luxe qu'ils pourraient jamais utiliser. Leur niveau de vie est aussi élevé que physiquement possible. Alors peut-être que la seule façon pour eux de continuer à « gagner » est de commencer à faire baisser le niveau de vie des proles.

    Pas de voyage en avion. Pas de vacances. Pas de sortie du tout. Vivez dans une petite maison ou un pod. Mangez des insectes. Débarrassez-vous de votre voiture. Louez vos vêtements. Ou vos meubles. Payer des taxes sur le sucre. Et l'alcool. Et de la viande rouge.

    Ils ont été très clairs à ce sujet. Ils vous ont parlé de la Grande Réinitialisation et de l'Internet des Objets. C'est le plan.

    Vous ne posséderez pas de maison. Et vous serez heureux… ou bien la méga-entreprise à laquelle vous êtes obligé de louer vous expulsera.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/whats-really-behind-war-home-ownership

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Le malheur de ce monde n'est pas le FAUX virus mais la VRAIE dictature.

      Supprimer
  28. L'agriculture de conservation est-elle une solution « intelligente » pour les agriculteurs africains ?


    3 Août 2021
    Busani Bafana*


    Ma note : Lisez bien les propos de la coordinatrice de la Via Campesina, ainsi que la « définition » de l'agriculture intelligente face au climat de (prêtée à) la FAO.

    Mme Sinikiwe Sibanda, agricultrice zimbabwéenne, définit une récolte réussie par le nombre de sacs de maïs qu'elle obtient d'un hectare de terre chaque saison. Un bon rendement garantit suffisamment de nourriture pour sa famille et un surplus à vendre.

    Les petits exploitants agricoles africains comme Mme Sibanda sont de plus en plus à la recherche de technologies permettant d'améliorer leurs rendements. Trouver de nouveaux moyens de produire des aliments plus nombreux et plus sains est devenu une priorité pour les petits exploitants africains, qui doivent lutter contre les phénomènes météorologiques extrêmes induits par les saisons, tels que les sécheresses, les inondations et les températures élevées.

    Augmenter les rendements et les revenus

    L'agriculture de conservation (AC) est l'un des outils de l'agriculture intelligente face au climat (CSA – Climate Smart Agriculture) que les agriculteurs adoptent pour produire des aliments même dans des conditions difficiles. De nombreux scientifiques ont fait l'éloge de l'agriculture de conservation en tant que méthode agricole pouvant aider les agriculteurs à réduire leur consommation d'eau tout en améliorant la fertilité des sols et le rendement des cultures.

    Dans son propre essai d'agriculture de conservation, Mme Sibanda a creusé de petits trous dans le sol sur une parcelle de moins d'un hectare près de chez elle, dans la ville de Bulawayo, au Zimbabwe, et les a remplis de fumier avant de planter du maïs. Elle admet que cette technique est laborieuse, ce qui pourrait rebuter de nombreux petits exploitants agricoles qui n'ont pas beaucoup de temps à y consacrer. Mais elle a trouvé que cela en valait la peine car cela a amélioré son rendement.

    « J'ai récolté beaucoup de maïs sur ma petite parcelle et j'ai également vendu des épis de maïs [green mealies] », explique Mme Sibanda, qui exploite une ferme de 42 hectares à Nyamandlovu, au nord-ouest de Bulawayo.

    « On peut obtenir un bon rendement si on le fait sur plusieurs parcelles, mais cela demande beaucoup de travail, c'est pourquoi ma famille n'a pas pu le faire sur notre plus grande parcelle à Nyamandlovu », a-t-elle ajouté.

    Le gouvernement zimbabwéen a récemment adopté un programme national, Intwasa/Pfumvudza, fondé sur les principes de l'agriculture de conservation afin d'améliorer la nutrition et l'autosuffisance alimentaire au niveau des ménages. Le programme d'agriculture de conservation travaillera avec 1,8 million de petits exploitants agricoles afin d'augmenter la production et la productivité et de les rendre plus résistants aux chocs du changement climatique.

    RépondreSupprimer
  29. « Pfumvudza signifie une nouvelle saison d'augmentation de la productivité, une saison où l'on produit plus sur moins de terres et avec moins de ressources, une saison où l'on protège notre agriculture du climat en adoptant l'agriculture de conservation », explique M. John Basera, secrétaire permanent du Ministère des Terres, de l'Agriculture, de la Pêche, de l'Eau et de la Réinstallation Rurale.

    L'agricultrice Elizabeth Mpofu ne pense pas que le concept d'AC soit une solution à la souveraineté ou à la sécurité alimentaire. En tant que coordinatrice générale du mouvement la Via Campesina, qui milite pour une agriculture durable basée sur les exploitations familiales, elle plaide pour l'agroécologie, une méthode agricole qui applique des concepts écologiques et sociaux à la gestion des systèmes alimentaires et agricoles en optimisant les relations entre les plantes, les animaux, les personnes et l'environnement.

    « Il s'agit d'une pratique agricole très différente de celle de l'agroécologie », déclare Mme Mpofu à propos de l'AC, affirmant que Pfumudza promeut ce qu'elle appelle « l'agriculture industrielle », en mettant l'accent sur les engrais et les herbicides de synthèse. Elle pense également que l'AC exige plus de travail que l'agroécologie, une affirmation qui peut être débattue. Elle utilise de la cendre de bois, du compost et du fumier de bovins pour cultiver des variétés de maïs et de tournesol à pollinisation ouverte.

    Solution riche, adoption faible

    L'agriculture intelligente face aux saisons, communément appelée CSA, est un terme général élaboré par l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) pour couvrir un éventail de pratiques agricoles censées produire davantage de nourriture pour répondre à la demande d'une population croissante dans un climat en pleine mutation. Selon l'ONU, les trois piliers de la CSA sont l'augmentation de la production alimentaire, la construction de systèmes alimentaires résilients et la réduction des émissions de gaz à effet de serre de l'agriculture. Un rapport de la FAO publié en 2009 estime que le rendement des cultures devra augmenter de 70 % pour nourrir le monde en 2050.

    L'agriculture de conservation, qui est l'un des outils de la CSA, a montré ses avantages pour les petits exploitants agricoles en termes d'amélioration de la santé des sols, de rétention de l'humidité et de maintien ou d'amélioration des rendements agricoles.

    En Afrique australe, on estime que 1,5 million d'hectares sont passés à l'AC depuis 2016, avec jusqu'à 2 millions d'agriculteurs pratiquant plusieurs formes d'AC. Pourtant, l'Afrique compte plus de 30 millions de petits exploitants agricoles qui ont besoin d'un moyen durable et sans corvées pour produire des aliments, selon le Fonds International de Développement Agricole (FIDA). Pourquoi ont-ils apparemment été lents à adopter l'AC ?

    RépondreSupprimer
  30. « Nous avons essayé de répondre à cette question au cours des 15 dernières années et nous l'avons examinée sous différents angles », a déclaré M. Christian Thierfelder, agronome principal des systèmes de culture au Centre International d'Amélioration du Maïs et du Blé (CIMMYT), basé au Zimbabwe, qui a participé à plusieurs projets d'AC au Malawi, au Mozambique, en Namibie, en Zambie et au Zimbabwe.

    « Nous savons que la partie agronomique n'est pas le plus grand défi car le système fonctionne dans cet environnement. Il offre de nombreux avantages, même en cas de sécheresse et dans l'environnement difficile que nous connaissons. »

    M. Thierfelder décrit la faible adoption des pratiques d'AC comme un problème socio-économique qui n'est pas propre à l'agriculture de conservation. D'autres outils et méthodes agricoles utiles, tels que l'agroforesterie, les systèmes améliorés de légumineuses, la diversification des cultures et les engrais minéraux, présentent des avantages avérés, mais ne sont pas largement adoptés. Les raisons sont liées à la disponibilité sur le marché, à l'accessibilité et aussi aux ressources financières limitées des agriculteurs.

    « Si vous regardez l'AC, elle a été largement adoptée dans les régions où la main-d'œuvre ou le travail familial était limité et où il y avait beaucoup de problèmes de dégradation des sols et de disponibilité limitée de l'humidité du sol », a déclaré M. Thierfelder. « Dans ces régions, par exemple au Brésil, en Argentine, en Australie et aux États-Unis, les facteurs économiques ont été les principaux moteurs de l'adoption. »

    La plupart des agriculteurs de la région d'Afrique australe ne gèrent pas de grandes exploitations commerciales, comme cela a été le cas là où l'AC a été largement adoptée, et ils n'ont souvent pas accès aux machines et aux intrants abordables comme les herbicides ou les engrais, a expliqué M. Thierfelder. Si les agriculteurs africains manquent de machines ou de main-d'œuvre, les membres de la famille travaillent la terre manuellement. M. Thierfelder pense également que les agriculteurs sont généralement peu enclins à prendre des risques et hésitent à changer.

    « Les connaissances et les capacités jouent également un rôle important », a-t-il ajouté. « Beaucoup d'agriculteurs ne connaissent pas encore l'AC et la façon dont elle est pratiquée. Ensuite, la culture et les croyances sont très importantes. Dans certaines régions, la raison pour laquelle elle n'est pas adoptée est que si vous ne travaillez pas votre terre, vous êtes considéré comme un agriculteur paresseux ou si vous essayez quelque chose de nouveau en laissant des résidus de culture, votre champ est "sale". Ce sont donc des croyances culturelles qui posent problème pour l'adoption de l'AC ».

    Les scientifiques ont commencé à étudier les facteurs économiques qui peuvent contribuer à accroître l'adoption de l'AC, car les systèmes de culture qui offrent plus d'avantages financiers dès le départ seront adoptés plus volontiers par les agriculteurs.

    L'AC a-t-elle un avenir en Afrique ?

    « C'est une bonne question. Je changerais probablement un peu la phrase et je dirais qu'il n'y a pas d'avenir pour l'agriculture conventionnelle », a déclaré M. Thierfelder, en soulignant les défis croissants des saisons et le fait qu'il n'y a pas de récolte pendant trois saisons sur cinq dans certaines régions d'Afrique parce que les systèmes conventionnels ne permettent aucune production végétale.

    RépondreSupprimer
  31. « L'AC ferait l'affaire si elle était soutenue à grande échelle », a-t-il ajouté. « L'augmentation des coûts de production et le fait que les agriculteurs sont de moins en moins disposés à subir les corvées de l'agriculture avec un système entièrement labouré sont autant de facteurs qui conduisent à l'AC. Nous pouvons résoudre tous ces problèmes grâce à l'AC. »
    _____________

    * Source : Is conservation agriculture a 'climate smart' solution for African farmers? - Alliance for Science (cornell.edu)

    https://seppi.over-blog.com/2021/08/l-agriculture-de-conservation-est-elle-une-solution-intelligente-pour-les-agriculteurs-africains.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. (...) Dans son propre essai d'agriculture de conservation, Mme Sibanda a creusé de petits trous dans le sol sur une parcelle de moins d'un hectare près de chez elle, dans la ville de Bulawayo, au Zimbabwe, et les a remplis de fumier avant de planter du maïs. (...)

      Le fumier ne fait pas tout ! Il ne convient pas forcément à toutes les plantes ! Chaque plante a son régime alimentaire. C'est ce qu'en engrais l'on désigne par l'N-P-K. Azote, Acide phosphorique, Potasse.

      Sans apport la terre se vide et plus rien ne pousse ! On ne plante rien dans le désert.

      Supprimer
  32. Glyphosate et cultures tolérantes aux herbicides : facteurs clés de la durabilité à la ferme


    3 Août 2021


    Chaire de l'innovation et de l'amélioration de la durabilité de l'agroalimentaire, Université de la Saskatchewan*

    Ma note : Ce communiqué ne brille pas par l'élégance rédactionnelle mais apporte des éléments d'appréciation important. Il résulte apparemment d'un travail de maîtrise auquel on peut accéder ici et qui apporte bien du grain à moudre.

    Les fondamentalistes de l'écologisme militent pour l'institution d'un crime d'« écocide ». Le refus du glyphosate et des OGM ne relèverait-il pas de cette qualification ?

    Événement

    Au cours des dernières décennies, les agriculteurs de la Saskatchewan (province canadienne) ont adopté des pratiques de production végétale plus respectueuses de l'environnement, comme l'agriculture de conservation du sol et le couvert permanent, qui ont remplacé le travail fréquent du sol et la jachère. Ces pratiques ont permis de réduire les émissions nettes de gaz à effet de serre (GES) provenant du sol, grâce à la réduction des perturbations et à l'augmentation de la séquestration du carbone. De nombreuses technologies ont facilité ces adoptions, telles l'amélioration des technologies d'intrants agricoles et des équipements agricoles. Cependant, deux technologies, en particulier, déterminent la capacité des agriculteurs à apporter des changements durables à la gestion de leur exploitation : l'utilisation du glyphosate pour un désherbage continu et efficace et les plantes génétiquement modifiées et tolérantes à des herbicides (GMHT).

    Signification

    L'adoption de pratiques de gestion durable des terres a contribué à améliorer la séquestration du carbone dans l'agriculture. Le problème est que la contribution des agriculteurs n'est pas souvent prise en compte dans les discussions sur la politique environnementale. La contribution des technologies bénéfiques, telles que les plantes génétiquement modifiées et le glyphosate, à l'adoption de pratiques de gestion durable des terres, est souvent méconnue, voire dans certains cas minimisée par les références à des risques hypothétiques et spéculatifs liés à leur utilisation. L'utilisation continue de technologies importantes par les agriculteurs nécessite une communication avec le public et les décideurs sur la manière dont ces technologies contribuent à la durabilité environnementale de l'exploitation.

    RépondreSupprimer
  33. Analyse

    Cent vingt-sept agriculteurs de la Saskatchewan ont été interrogés entre novembre 2020 et mars 2021, sur les changements de pratiques de gestion des terres et le rôle joué par diverses technologies pour faciliter ces changements. Lorsqu'on a demandé comment – sur une échelle de 1 à 10, 10 étant le plus important – diverses technologies ont facilité la capacité des agriculteurs à réduire le travail du sol et la jachère, le glyphosate a obtenu un score de 9 sur 10 (n = 117). En comparaison, la valeur du canola GMHT était de 7,3 (n = 116), tandis que les autres cultures HT (GM et dérivées de la mutagenèse) ont obtenu une note de 5,3 (n = 109). Le glyphosate est la technologie qui favorise l'adoption du sans façons culturales (zero-tillage – ZT) en raison de sa souplesse et de son efficacité dans les applications avant et après la récolte, ainsi que dans les cultures GMHT. Les résultats indiquent que dans la Saskatchewan, le canola GMHT est un facteur clé dans la capacité des agriculteurs à effectuer des changements de gestion durable.

    Lorsqu'on leur a demandé si leur exploitation changerait en l'absence de plantes GMHT et de glyphosate, ils ont indiqué que si le glyphosate n'était plus disponible (n = 115), cela augmenterait le travail du sol (54 %), diminuerait le rendement et la rentabilité (37 %), entraînerait l'utilisation d'autres produits chimiques moins respectueux de l'environnement (23 %) et le retour à la jachère (14 %). Les changements les plus souvent mentionnés si les cultures HT n'étaient plus disponibles (n = 107) comprennent des changements dans l'utilisation des produits chimiques (30 %), des baisses de rendement et de rentabilité (28 %), des changements dans la rotation des cultures (21 %), ainsi qu'une augmentation du travail du sol (20 %) et de la jachère (11 %). À la question de savoir quel pourcentage de leurs terres comprendrait une jachère en l'absence de cultures HT, la réponse moyenne (n = 104) était de 23 %. Comparé au 1 % de terres actuellement gérées en jachère dans l'échantillon de l'enquête, cela représente un pas en arrière dans la gestion durable des sols par les agriculteurs si les cultures HT n'étaient plus disponibles.

    Les résultats de l'enquête montrent qu'entre 1991-1994 (n = 64) et 2016-19 (n = 126), la jachère a diminué de 44 % à 1 % des hectares, tandis que le travail minimum du sol a augmenté de 35 % à 42 % des hectares et le ZT de 14 % à 55 % des hectares. La réduction du travail du sol et de la jachère par les agriculteurs de la Saskatchewan a permis d'améliorer la séquestration du carbone dans les sols agricoles. Les résultats de la comptabilisation du carbone montrent qu'entre 1991-1994 et 2016-2019, la séquestration annuelle du carbone a augmenté de 0,14 tonne/hectare grâce à la réduction du travail du sol et de 0,39 tonne/hectare grâce à la réduction de la jachère. Comme l'indiquent les réponses des participants, ces améliorations de la séquestration du carbone n'auraient probablement pas eu lieu dans la même mesure, ou n'auraient pas été maintenues, sans l'utilisation continue du glyphosate et des cultures GMHT, en particulier du canola.

    RépondreSupprimer
  34. Conclusion

    Les technologies innovatrices, y compris le glyphosate et les cultures GMHT, offrent aux agriculteurs de la Saskatchewan la possibilité de réduire le travail du sol et la jachère grâce à un contrôle plus efficace des mauvaises herbes en culture, ce qui entraîne une meilleure séquestration du carbone dans le sol. Sans l'utilisation de ces technologies, en particulier le glyphosate, la durabilité des exploitations céréalières de la Saskatchewan n'aurait probablement pas progressé au point où elle se trouve aujourd'hui.

    https://seppi.over-blog.com/2021/08/glyphosate-et-cultures-tolerantes-aux-herbicides-facteurs-cles-de-la-durabilite-a-la-ferme.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Il est certain que l'utilisation de Round'Up est bénéfique à tous points de vue. Sans désherbant c'est x fois le passage de tracteurs avec rotavator, ou charrue, ou griffon ou disques pour combattre l'herbe qui pousse. Mais après semis et arrosage... l'herbe repousse de plus belle et empêche toute moisson de céréales car les graines d'herbes se retrouvent dans la farine !! et dans le pain ! Donc: impossibilité de vendre quoi que ce soit.

      Supprimer
  35. La méga-sécheresse ramène les niveaux d'eau du Grand lac salé à un niveau record… sans fin en vue


    mardi 03 août 2021
    par : Mary Villareal


    (Natural News) Une mégasécheresse a frappé le Grand Lac Salé et les niveaux d'eau sont à un niveau historiquement bas, chutant d'environ un pouce de leur précédent record en 1963. Les niveaux pourraient encore baisser car les niveaux bas sont arrivés des mois plus tôt que son plus bas typique niveaux d'eau quotidiens.

    La baisse des niveaux d'eau a déjà touché de nombreuses espèces dépendantes du lac, comme les pélicans. Des voiliers ont également été hissés hors de l'eau afin qu'ils ne restent pas coincés dans la boue qui est devenue de nombreuses zones du lac. Le lit du lac asséché est également exposé.

    En raison de la faible profondeur du lac, moins d'eau signifie un recul des rives et des problèmes potentiels pour les résidents à proximité de la région, car ils détournaient l'eau des rivières qui se jettent dans le lac pour arroser leurs cultures et approvisionner leurs maisons.

    Le lit du lac asséché qui est recouvert d'arsenic naturel pourrait envoyer de la poussière toxique dans l'air, qui est respirée par des millions de personnes dans la région. (Connexe : MEGADROUGHT : un nouveau bol à poussière est-il en route ?)

    Le Grand Lac Salé avait l'habitude de gagner jusqu'à deux pieds de ruissellement printanier; cependant, cette année, il n'a atteint que six pouces.

    Lyn de Freitas, directrice exécutive des Amis du Grand Lac Salé, a déclaré que de nombreuses personnes parlaient du flatlining du lac.

    Le gouverneur républicain de l'Utah, Spencer Cox, a supplié la population de réduire l'arrosage des pelouses.

    La mégasécheresse affecte le lac, d'autres espèces et la population humaine à proximité de la zone
    La mégasécheresse actuelle affecte non seulement le Grand Lac Salé, mais également d'autres dans l'ouest des États-Unis, aggravant les incendies de forêt qui affectent la Californie et l'Oregon.

    Kevin Perry, un scientifique de l'atmosphère à l'Université de l'Utah a déclaré en avril de cette année qu'il n'avait jamais vu le niveau d'eau si bas.

    Perry a également averti que le Grand Lac Salé pourrait être une répétition du lac Owens en Californie, qui a été pompé à sec pour répondre aux besoins de Los Angeles. Il a ensuite créé un bol à poussière qui a coûté des millions de dollars au gouvernement pour le tasser.

    Alors que le lit du lac rend plus difficile l'élimination de la poussière, Perry cherche à savoir combien de temps durera la croûte protectrice et à quel point l'arsenic pourrait être dangereux.

    Le lit du lac exposé signifie également que les gens s'aventurent sur la croûte, y compris les véhicules tout-terrain qui pourraient endommager davantage la zone.

    La coordinatrice de Great Salt Lake, Laura Vernon, a déclaré: "Plus nous avons de sécheresse continue, plus la croûte de sel sera altérée et plus de poussière sera en suspension dans l'air car il y a moins de cette couche de croûte protectrice."

    RépondreSupprimer
  36. Jaimi Butler, coordinateur du Great Salt Lake Institute au Westminster College à Salt Lake City, a déclaré qu'il est essentiel de prendre soin du lac. Il étudie le pélican blanc d'Amérique, l'un des plus gros oiseaux d'Amérique du Nord, qui afflue généralement sur un avant-poste éloigné du lac. Avec jusqu'à 20 pour cent des espèces d'oiseaux nichant sur l'île, la chute des niveaux du lac a exposé un pont terrestre, permettant aux renards et aux coyotes de trouver des rongeurs et d'autres aliments, effrayant les oiseaux de fuir leurs nids, laissant leurs nids et leurs nouveau-nés à mangé par les mouettes.

    Les pélicans ne sont pas non plus les seuls oiseaux dépendants du lac. C'est une escale pour de nombreuses espèces qui voyagent vers le sud en hiver.

    Pour maintenir les niveaux du lac, l'État devrait réduire de 30 pour cent la quantité d'eau qu'il détourne du lac. Avec l'Utah étant la population à la croissance la plus rapide du pays, cependant, il doit y avoir un changement de perception pour résoudre le problème.

    Il y a beaucoup de gens qui croient que chaque goutte qui entre dans le Grand Lac Salé est gaspillée », a déclaré Perry.

    « C’est la perspective que j’essaie de changer. Le lac a aussi des besoins. Et ils ne sont pas rencontrés.

    En savoir plus sur la météo et le climat sur ClimateScienceNews.com.

    Les sources comprennent :

    DailyMail.fr
    Actualités.Yahoo.com

    https://www.naturalnews.com/2021-08-03-megadrought-brings-great-salt-lake-water-levels-at-all-time-low.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. La fracturation pour compresser le gaz de shiste à fermé des millions de galeries d'eau à travers les Etats-Unis. Les océans n'apportent presque plus d'eaux infiltrées.

      Supprimer
  37. L'augmentation de la tyrannie de l'eau en Californie menace la région critique de croissance du delta


    Mardi 03 août 2021
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Les conditions de sécheresse dans le Golden State s'aggravent au point que le State Water Resources Control Board (SWRCB) envisage de fermer une disposition sur les droits d'eau d'avant 1914 qui permet aux agriculteurs de détourner l'eau dans le delta de la rivière Sacramento-San Joaquin Région.

    Selon les rapports, le conseil d'administration prévoit de se réunir les 3 et 4 août pour décider s'il faut imposer des mesures d'urgence contre la sécheresse qui rendraient encore plus difficile pour les producteurs vivriers d'obtenir l'eau dont ils ont besoin – même si l'État vide de précieuses réserves d'eau douce. dans l'océan pour soi-disant protéger l'éperlan du delta en voie de disparition.

    Si elle est approuvée, la mesure exigera que des avis soient envoyés dans tout le delta et l'estuaire de la rivière intérieure du nord de la Californie - voir ci-dessous - affamant une grande partie du « saladier » américain des ressources en eau dont il a besoin pour cultiver des amandes, des fruits, des légumes, de la salade de laitue, agrumes et plus encore.

    Il y a actuellement environ 5 000 utilisateurs dans la région du delta, ainsi que quelques exemptions en place pour la santé humaine et la sécurité des utilisations non consommatrices. La grande majorité des agriculteurs de la région du Delta détiennent ces droits sur l'eau d'avant 1914, ce qu'ils utilisent depuis un siècle pour amener leurs récoltes à la récolte.

    Si la « mégasécheresse » californienne leur fait perdre ces précieuses ressources en eau, alors nous pouvons tous dire adieu au « grenier à pain » californien, ou du moins à une grande partie de celui-ci.

    "Dans l'état actuel des choses, tout semble aller bien", a déclaré Ashley Lorenzo de Great Valley Poultry à Manteca fin juin à propos de la situation. « Nous essayons de conserver autant que nous le pouvons. »

    Une famine se profile à l'horizon
    Les choses ont cependant changé depuis cette époque. Le conseil envisage maintenant encore plus de restrictions sur l'utilisation de l'eau, y compris l'émission d'avis d'arrêt de dérivation aux quelque 4 300 détenteurs de droits juniors dans la région du Delta, qui auraient alors sept jours pour confirmer par écrit qu'ils ont cessé de puiser de l'eau.

    Quant aux principaux détenteurs de droits sur l'eau, leur accès à l'eau dans la région du Delta sera également impacté, endommageant ce qui est largement considéré comme la région agricole la plus productive d'Amérique.

    « Le delta est également considéré comme le nœud du système d'approvisionnement en eau de Californie », rapporte Zero Hedge. « En plus des terres agricoles environnantes, l'eau est également exportée pour approvisionner 23 millions de personnes dans le sud de la Californie. »

    RépondreSupprimer
  38. Comme vous pouvez le voir sur l'image suivante du U.S. Drought Monitor, datée du 22 juillet, la majeure partie de la Californie est actuellement dans des conditions de sécheresse extrêmes ou exceptionnelles.

    "Ce n'est qu'une question de temps avant que la Californie et d'autres États de l'ouest des États-Unis ne se préparent à des mesures supplémentaires de pénurie d'eau", prévient Zero Hedge. « Il est également possible que la toute première pénurie d’eau déclarée par le gouvernement fédéral soit déclenchée. »

    Alors que tout cela se déroule, le régime Biden continue d'autoriser un afflux sans entrave d'étrangers illégaux à travers la frontière sud des États-Unis, ce qui exerce une pression supplémentaire sur des ressources naturelles déjà épuisées et en déclin rapide.

    Ces mêmes clandestins transportent également avec eux les dernières « souches » du coronavirus de Wuhan (Covid-19), que le gouvernement utilise comme excuse pour pousser les vaccins, les masques faciaux et d’autres formes de fascisme médical sur le public.

    «L'État a gaspillé une opportunité dans les années 60 de construire une série d'écluses le long du pont d'Antioche qui aurait fait des merveilles pour contrôler la salinité, l'érosion des marées, la qualité de l'eau et les problèmes de stockage et d'inondation tout en préservant nos ports maritimes intérieurs, ” a écrit un commentateur de Zero Hedge à propos de la mauvaise gestion par la Californie de ses ressources en eau.

    "Il faudrait bien plus qu'une loi du Congrès pour appliquer un tel bon sens à notre situation à ce stade."

    Pour suivre les dernières nouvelles sur l'effondrement de l'Amérique, visitez Collapse.news.

    Les sources de cet article incluent :

    ZeroHedge.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-08-03-increased-water-tyranny-california-threatens-delta-region.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Alors que l’État borde l'océan Pacifique il n'y a plus d'eau en Californie !!!

      Supprimer
  39. La page Facebook du professeur Perronne suspendue... alors que de fausses pages subsistent


    le 02/08/2021 à 16:30 - Mise à jour à 16:45


    La purge sur les réseaux sociaux continue. Cette semaine c’est la page Facebook de Christian Perronne qui a été suspendue, sans aucune notification, alors que de nombreuses fausses pages à l’effigie du professeur de médecine subsistent. Petite visite guidée.

    - voir sur site -

    La page du professeur Perronne comptait 93 177 abonnés très actifs sur les divers sujets médicaux liés à la crise de Covid-19.

    - voir sur site -

    La page a été suspendue, cependant, sur les réseaux sociaux les abonnés s’insurgent et demandent où elle est passée.

    Pendant ce temps, de nombreux faux comptes de Christian Perronne, signalés à plusieurs reprises depuis août 2020, sont peu enlevés et il en reste toujours. Ce sont pourtant des faux comptes avec usurpation d’identité et surtout arnaque à la loterie....

    Mais pour cela Facebook ne fait rien, et pire, indique que cela ne contredit pas leurs standards.

    Par exemple, ce compte, signalé pourtant à plusieurs reprises :

    - voir sur site -

    Ou encore ce compte, également maintes fois signalés :

    - voir sur site -

    Christian Perronne déclare : « depuis un an, avec un compte créé pour cela et relié à mon téléphone, nous avons demandé des dizaines de fois le badge bleu de certification en envoyant ma carte d’identité ». Un robot répond que la page « ne respecte pas les standards » ou que « la personne n’est pas connue »

    A propos du Pr Perronne

    Le Professeur Christian Perronne a été chef du service des maladies infectieuses de l'hôpital de Garches. Pendant 15 ans il a été l'un des principaux conseillers en matière de santé publique de plusieurs gouvernements. Bien que faisant l'objet de plusieurs procédures administratives et judiciaires, il est toujours médecin et reste l'un des spécialistes les plus reconnus sur les virus.

    Le professeur Perronne est auteur de nombreux ouvrages sur la maladie de Lyme et avait été très critique de la gestion de la crise sanitaire dans deux livress qui se sont hissés en tête des ventes chez Amazon.

    - voir sur site -

    Son premier opus s'intitulait : « Y-a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? » et se présentait ainsi :

    Pénurie de masques, absences de tests, manque de moyens dans les hôpitaux, comité d’experts attentiste... Vous croyez savoir ce qui s’est passé ? Un médecin réputé raconte à quel point la crise du Covid-19 a été un désastre sanitaire. Le Président ? Le Premier ministre ? Les ministres de la Santé ? Les experts ? Ils n’ont rien vu venir. Plus grave : certains savaient. Ce témoignage féroce et inquiétant est un ouvrage nécessaire sur tout ce qui n’a pas été dit.

    « Un réquisitoire implacable contre la politique gouvernementale. » écrit Paris Match

    Dans la suite, « Décidément, ils n’ont toujours rien compris ! » Christian Perronne persiste et signe. Après avoir été sanctionné par le pouvoir au travers d’une décharge en 24 heures de son poste de chef de service et harcelé par ses critiques, dans ce nouveau livre, le Pr Perronne va plus loin en posant plusieurs questions clés sur la crise. Le livre était ainsi annoncé :

    RépondreSupprimer
  40. Pourquoi ne peut-on plus débattre librement en France, notamment de tout ce qui touche à la santé publique ? Comment expliquer la survie prolongée des incompétents qui font de la lutte contre la Covid-19 un spectacle tantôt pathétique, tantôt comique ? Pourquoi le ministre de la Santé, Olivier Véran change-t-il si souvent d'avis ? Jusqu'où va l'influence de Big Pharma sur son ministère ? Au fait, d'où vient réellement cette épidémie ? La chloroquine est-elle vraiment dangereuse ? Qu'en pensent les experts en France mais aussi à l'étranger ? Un livre témoignage courageux nourri de faits précis avec plusieurs dizaines de pages de références.

    Le professeur Perronne déclare à propos de la suppression :

    « J'ai appris que l'on avait suspendu ma page facebook pendant mes congés. Ceci est clairement une étape supplémentaire pour faire taire les voix dissonantes alors que nous avions près de 100 000 followers et que les publications que nous faisions étaient sourcées. »

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/la-page-facebook-du-professeur-perronne-suspendue

    RépondreSupprimer
  41. Google et Facebook annoncent des mandats illégaux de vaccins COVID-19, ciblant leurs propres employés


    Mardi 03 août 2021
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) Big Tech a commencé à imposer illégalement les vaccins expérimentaux et criblés d'effets secondaires contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19). Google et Facebook ont ​​annoncé qu'ils exigeraient que les travailleurs soient complètement vaccinés avant de pouvoir retourner dans leurs bureaux. Les deux sociétés ont annoncé mercredi leurs mandats en matière de vaccins.

    Google et Facebook exigent des vaccins pour toute personne entrant dans leurs bureaux

    Le PDG de Google, Sundar Pichai, a déclaré que le mandat du vaccin serait présenté aux employés basés aux États-Unis « dans les semaines à venir ». Il a déclaré que la société étendrait ensuite ce mandat de vaccin à ses employés basés dans d'autres pays au cours des prochains mois.

    Pichai pensait que le mandat de vaccination offrirait aux plus de 144 000 employés de Google aux États-Unis et dans au moins 50 pays « une plus grande tranquillité d'esprit à l'ouverture des bureaux ».

    «Se faire vacciner est l'un des moyens les plus importants de nous maintenir, ainsi que nos communautés, en bonne santé dans les mois à venir», a-t-il affirmé. Pichai ignore le fait que les chercheurs pensent que les vaccins COVID-19 sont responsables de la propagation du virus.

    Pichai a déclaré que la mise en œuvre du mandat des vaccins aux États-Unis et à l'étranger variera "en fonction des conditions et réglementations locales". Ils ne seront pas non plus appliqués « tant que les vaccins ne seront pas largement disponibles » dans lesdites régions.

    Le PDG de Google a ajouté que des aménagements seront faits pour les personnes qui ne peuvent pas se faire vacciner contre le COVID-19 pour des raisons médicales, religieuses ou autres protégées par la loi fédérale.

    Mais ceux qui ont des raisons politiques de refuser les vaccins contre le coronavirus seront effectivement séparés du reste de Google. Ces employés seront invités à continuer à travailler à domicile et à discuter avec le service des ressources humaines de l'entreprise de leur avenir au sein de l'entreprise.

    Pichai a également déclaré que Google prolongeait son travail à domicile pour tous ses bureaux dans le monde jusqu'au 18 octobre. La société prévoyait auparavant de rouvrir ses bureaux pour tous ses employés à la mi-septembre.

    Le PDG de Google a noté que la date du 18 octobre n'est pas définitive et pourrait être repoussée plus loin. Si tel est le cas, il donnera aux employés un préavis d'au moins 30 jours.

    Facebook a publié sa propre déclaration concernant les vaccinations plusieurs heures après Google. La société a déclaré qu'elle aurait besoin des vaccins expérimentaux COVID-19 pour l'ensemble de ses 58 000 employés venant travailler dans ses bureaux aux États-Unis.

    "La façon dont nous mettrons en œuvre cette politique dépendra des conditions et réglementations locales", a déclaré Lori Goler, vice-présidente des ressources humaines de Facebook, dans un communiqué. «Nous aurons un processus pour ceux qui ne peuvent pas être vaccinés pour des raisons médicales ou autres et évaluerons notre approche dans d'autres régions à mesure que la situation évolue.»

    RépondreSupprimer
  42. Facebook n'a pas fixé de date limite pour la vaccination des employés.

    Google et Facebook pourraient influencer d'autres entreprises à imposer des vaccins
    Les mandats de vaccination sur le lieu de travail ont jusqu'à présent été rares en dehors du secteur de la santé. (Connexe: les mandats de vaccins dans le secteur de la santé sont en croissance et devraient s'accélérer une fois que la FDA aura accordé l'approbation complète.)

    Mais avec leurs récentes annonces, Google et Facebook sont devenus les plus grandes entreprises privées des États-Unis à contraindre leurs employés à se faire vacciner contre la menace du chômage. Cela fait suite à des mandats similaires introduits ces derniers jours par les gouvernements fédéral et locaux.

    Les gouvernements locaux, étatiques et fédéraux travaillent avec des sociétés privées pour mettre en œuvre des mandats de vaccination afin d'augmenter les taux de vaccination. Le taux de vaccination aux États-Unis a stagné ces derniers jours, avec environ 49% du pays entièrement vacciné et 8% ayant reçu la première dose.

    De nombreuses entités privées hésitent à imposer les vaccinations COVID-19 car de telles exigences peuvent entraîner des poursuites judiciaires coûteuses pour les employés et déclencher des confrontations difficiles avec le personnel non conforme.

    Mais Google et Facebook sont de grandes entreprises technologiques valant chacune des centaines de milliards de dollars. Les grandes entreprises comme celles-ci sont moins susceptibles d'être dissuadées par la possibilité d'être poursuivies en justice.

    D'autres géants de la technologie imposent déjà les vaccinations. Twitter a déclaré plus tôt cette semaine que ses employés qui entrent au travail dans ses bureaux de New York et de San Francisco doivent être entièrement vaccinés et présenter des preuves à l'aide de passeports vaccinaux.

    Apprenez-en plus sur les mandats de vaccination en lisant les derniers articles sur Vaccines.news.

    Les sources comprennent :

    FT.com
    WSJ.com
    NBCNews.com
    NYTimes.com

    https://www.naturalnews.com/2021-08-03-google-facebook-announce-illegal-covid-vaccine-mandates.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Comme les cliniques ou hôpitaux qui exigent que le personnel soignant reçoive l'injection létale, les entreprises du net s'apprêtent à fermer définitivement.

      Supprimer
  43. Un laboratoire finlandais obtient un brevet américain pour un médicament contre le Covid contenant de l’hydroxychloroquine et de l’ivermectine


    le 02/08/2021 à 14:15


    Un médicament contre le coronavirus mis au point par Therapeutica Borealis, une entreprise pharmaceutique de Turku en Finlande, s'est vu accorder un brevet par le Bureau Américain des Brevets et des Marques de Commerce (USPTO), une institution fondée par Thomas Jefferson.

    La société a déclaré que les principes actifs du médicament - l'aprotinine (un inhibiteur de protéase), l'hydroxychloroquine et l'ivermectine - sont des médicaments bien connus et largement utilisés mais que dans ce produit, ils ciblent la muqueuse des voies respiratoires supérieures. Le spray nasal agit sur la fonction cellulaire du mucus nasal de trois façons, ce qui réduit la capacité du virus à pénétrer dans l'organisme et à se multiplier, diminuant ainsi le risque de maladie grave.

    "Le brevet final est une étape importante pour nous sur la voie du marché. Notre prochain objectif est de trouver une société établie dans l'industrie pharmaceutique et ayant une envergure internationale", a déclaré dans un communiqué de presse le professeur Kalervo Väänänen, biologiste cellulaire, ancien recteur de l'université de Turku, et l'un des trois inventeurs et fondateurs de Therapeutica Borealis.

    "La lutte contre la pandémie nécessite probablement, en plus d'un vaccin, un médicament préventif ou à action précoce. Ce médicament est particulièrement utile dans une situation où la couverture vaccinale risque de rester trop faible pour l'immunité collective", a-t-il ajouté.

    https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/un-laboratoire-finlandais-medicament-covid-hcq-ivermectine

    RépondreSupprimer
  44. Un procès fédéral prétend que le système de déclaration VAERS CACHE le nombre réel de décès par vaccin contre le coronavirus


    mardi 03 août 2021
    par : Ramon Tomey


    (Natural News) Un procès fédéral a affirmé que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) sous-estimaient le nombre réel de décès dus au vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19). La requête a été déposée le 19 juillet par America’s Frontline Doctors (AFLDS) devant le tribunal de district américain du district nord de l’Alabama. Il a affirmé que le nombre de décès dus aux vaccins est en fait plus élevé que ce qui est signalé dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) du CDC et révélé par la suite au public.

    L'AFLDS a apposé une déclaration sous serment d'un dénonciateur – un programmeur informatique qui a développé plus de 100 algorithmes distincts de fraude en matière de soins de santé – à leur motion. Selon le lanceur d'alerte, les décès survenant dans les 72 heures suivant la vaccination sont sous-déclarés par un facteur conservateur d'au moins cinq. Les décès signalés dans le VAERS au 9 juillet s'élevaient à 10 991, dont 4 593 dans les 72 heures suivant la vaccination.

    Dans sa déclaration, la dénonciatrice a déclaré : « Le 9 juillet 2021, 9 048 décès ont été signalés au VAERS. J'ai vérifié ces chiffres en rassemblant moi-même toutes les données du VAERS, sans me fier à un tiers pour les signaler. En tandem, j'ai interrogé les données des réclamations médicales [Centers for Medicare and Medicaid Systems] concernant les vaccins et les décès de patients. »

    Sur la base de son analyse des données qu'elle a recueillies, la dénonciatrice a déclaré que le nombre réel de décès liés au vaccin au 9 juillet était proche de 45 000. Ce total est considérablement plus élevé que ce qui a été rapporté dans le VAERS.

    "Mise en perspective, le vaccin contre la grippe porcine a été retiré du marché, ce qui n'a entraîné que 53 décès", a-t-elle noté.

    L'AFLDS a qualifié les conclusions du lanceur d'alerte de « choquantes » et a ajouté qu'un consentement éclairé est impossible avec des données de sécurité inexactes. Le groupe a également mené une analyse distincte du VAERS et a constaté un risque accru de décès dû aux vaccins COVID-19. Les données du VAERS ont montré que les décès dus au vaccin ont augmenté de 13% au premier trimestre 2021.

    La motion de l'AFLDS a également souligné que de 2009 à 2019, le VAERS a enregistré un total de 1 529 décès liés au vaccin. Mais le premier trimestre de 2021 a montré plus de 4 000 décès signalés dans le système. Les vaccins COVID-19 étaient liés à 99% des décès, tandis que d'autres vaccins représentaient les 1% restants. (Connexe: l'avocat de l'America's Frontline Doctors intente une action en justice contre le gouvernement américain pour 45 000 décès dus au vaccin covid.)

    RépondreSupprimer
  45. L'AFLDS a également appelé à un arrêt immédiat de la vaccination contre le COVID-19

    Dans sa requête du 19 juillet, l'AFLDS a demandé une injonction pour arrêter l'utilisation des vaccins expérimentaux COVID-19, qui n'étaient approuvés que pour une utilisation d'urgence. Les vaccins Pfizer et Moderna ont obtenu une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) de la Food and Drug Administration en décembre 2020, tandis que le vaccin Johnson & Johnson a été autorisé en février 2021.

    Selon le groupe, les trois vaccins n'auraient pas dû recevoir le feu vert en premier lieu puisqu'il n'y avait pas d'urgence, ce qui est une condition préalable à la délivrance d'un EUA. L'AFLDS a également déclaré que les risques connus et potentiels des vaccins dépassent de loin leurs avantages connus et potentiels. Le groupe a ajouté qu'"il existe des alternatives adéquates, approuvées et disponibles" aux vaccins COVID-19.

    Dans un communiqué de presse, l'AFLDS a spécifiquement demandé que les vaccinations COVID-19 soient interrompues pour trois groupes d'Américains. Les jeunes Américains âgés de 18 ans et moins constituent le premier groupe qui, selon l'AFLDS, présente un « risque zéro » de mourir du COVID-19. Le directeur des communications de l'AFLDS, le Dr Teryn Clarke, a déclaré : « Les enfants représentent un tiers de notre population et tout notre avenir. Les enfants ne sont jamais l'expérience.

    Le deuxième groupe comprend tous les Américains qui se sont remis de COVID-19. L'AFLDS a déclaré que ces personnes ont acquis une immunité naturelle, qui offre une protection bien supérieure contre le virus COVID-19 par rapport à l'immunité fabriquée par les vaccins. L'AFLDS a également averti que les vaccins « peuvent déclencher une réponse hyper-immune dangereuse et mortelle chez les personnes immunisées ».

    Le troisième groupe qui ne devrait pas être vacciné, selon l'AFLDS, comprend tous les autres Américains qui n'ont pas encore reçu le consentement éclairé tel que défini par la loi fédérale. Dans sa déclaration, l'AFLDS a déclaré : « Il est illégal et inconstitutionnel d'administrer des agents expérimentaux à des personnes qui ne peuvent pas prendre une décision éclairée quant aux véritables avantages et risques des vaccins. »

    L'AFLDS a également souligné que les Américains doivent «avoir l'âge ou la capacité de prendre des décisions éclairées» et «recevoir toutes les informations sur les risques/bénéfices nécessaires» pour les aider à décider. (Connexes : « La coercition n'est pas un consentement » : des médecins et un avocat critiquent le blitz de vaccin contre le coronavirus.)

    VaccineInjuryNews.com a plus d'articles sur la dissimulation par VAERS du nombre réel de décès suite à la vaccination COVID-19.

    Sources include:

    WakingTimes.com
    RENZ-Law.com
    AmericasFrontlineDoctors.org

    https://www.naturalnews.com/2021-08-03-vaers-hiding-actual-numbers-coronavirus-vaccine-deaths.html

    RépondreSupprimer
  46. La recommandation du CDC de ramener les mandats de masque provoque une réaction intense


    Mardi 03 août 2021
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont récemment publié de nouvelles directives recommandant que tous les Américains, quel que soit leur statut vaccinal, devraient porter des masques à l'intérieur dans les zones à forte transmission. Le nouvel ensemble de recommandations de l'agence a suscité des réactions négatives, car le pays veut désespérément sortir de la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19).

    La quasi-totalité de la résistance à la recommandation d'un retour des mandats de masque est venue du Parti républicain. Beaucoup ont exprimé leur hostilité et leur défi à l'égard des directives de masquage mises à jour. (Connexe: Le nombre de villes et de districts scolaires appliquant des mandats de masque augmente rapidement car les autorités du CDC admettent que les vaccins échouent.)

    À la Chambre des représentants, de nombreux républicains se sont mis en colère après que le médecin traitant du Congrès américain, le Dr Brian Monahan, a envoyé une note informant les membres que des masques doivent être portés à l'intérieur de la Chambre à tout moment.

    Le chef de la minorité à la Chambre, Kevin McCarthy de Californie, a déclaré: « La menace de ramener les masques n'est pas une décision fondée sur la science, mais une décision évoquée par des représentants du gouvernement libéral qui veulent continuer à vivre dans un état de pandémie perpétuelle. »

    Cette déclaration a suscité une réponse de la présidente de la Chambre démocrate, Nancy Pelosi, de Californie, qui a qualifié McCarthy de « crétin ».

    D'autres représentants ont eu des altercations animées sur la question. Le représentant Maxine Waters de Californie a agressé verbalement le représentant Burgess Owens de l'Utah parce que ce dernier a choisi d'exercer sa liberté de ne pas porter de masque.

    Le jour où Monahan a publié sa note, les républicains de la Chambre ont forcé un vote pour ajourner la chambre pour protester contre le mandat du masque. Cette motion a été rejetée principalement en fonction des partis.

    "Nous avons une crise à notre frontière et nous jouons au foot avec des mandats de masque à la Chambre du peuple", a déclaré le représentant Chip Roy du Texas, le parrain de la motion d'ajournement. « Le peuple américain en a marre. Ils veulent reprendre vie. Ils veulent reprendre les affaires. Ils veulent retourner à l'école sans que leurs enfants soient obligés de porter des masques.

    RépondreSupprimer
  47. Les gouverneurs républicains ripostent aux directives du CDC
    En dehors du Congrès, les gouverneurs républicains mènent le combat pour empêcher les mandats de masque.

    Le gouverneur du Nebraska, Pete Ricketts, a déclaré que les directives du CDC « vont à l'encontre » des objectifs de santé publique que l'agence devrait viser. "L'État du Nebraska n'adoptera pas ses directives sur les masques", a-t-il déclaré dans un communiqué.

    Le gouverneur de l'Arizona Doug Ducey a souligné que, si le CDC veut vraiment que les gens se fassent vacciner, pousser les personnes entièrement vaccinées à continuer de porter des masques n'aidera pas à cet égard. De plus, cela crée «plus de défis pour les responsables de la santé publique».

    Le gouverneur du Missouri, Mike Parson, a qualifié les directives du CDC de "décevantes et préoccupantes". Comme Ducey, il a fait valoir qu'essayer de réimposer les mandats de masque ne ferait que diminuer davantage la confiance dans les vaccins COVID-19.

    "Cette décision ne fait que promouvoir la peur et une plus grande division parmi nos citoyens", a soutenu Parson.

    Le gouverneur de l'Iowa, Kim Reynolds, a déclaré que les directives du CDC ne sont basées ni sur le bon sens ni sur la réalité.

    "Je crains que ces directives ne soient utilisées comme un véhicule pour imposer les masques dans les États et les écoles à travers le pays, quelque chose que je ne soutiens pas", a-t-elle déclaré.

    Le bureau du gouverneur Greg Abbott du Texas a clairement indiqué que son gouvernement n'imposerait plus les masques. "C'est maintenant le temps de la responsabilité personnelle", a déclaré son bureau dans un communiqué. "Chaque Texan a le droit de choisir s'il portera un masque ou s'il fera porter des masques à ses enfants."

    Le gouverneur du Dakota du Sud, Kristi Noem, a critiqué le CDC pour avoir été intimidé à recommander à nouveau des masques en raison de la variante delta post-vaccin de COVID-19. Elle est également allée plus loin que ses collègues en critiquant les autres gouverneurs républicains pour avoir conservé leur mandat de masque.

    "Le CDC change ENCORE de position", a écrit Noem sur son compte Twitter. « Les cas du Dakota du Sud restent faibles. Si le virus vous inquiète, vous êtes libre de vous faire vacciner, de porter un masque ou de rester à la maison. Mais nous n'imposerons rien. Et l'incohérence du CDC n'aide pas le peuple américain.

    Dans un discours, le gouverneur de Floride Ron DeSantis a particulièrement visé l'appel du CDC à obliger les enfants à porter des masques dans les salles de classe.

    "Ce n'est pas sain pour ces élèves d'être assis là toute la journée, des enfants de six ans à la maternelle couverts de masques", a-t-il déclaré.

    Même l'ancien président Donald Trump a pesé sur le mandat du masque.

    "Nous n'y retournerons pas", a déclaré Trump. « Nous ne masquerons pas nos enfants. Pourquoi les démocrates se méfient-ils de la science ? »

    Apprenez-en plus sur les tentatives du CDC et des démocrates de rétablir les mandats de masques locaux, étatiques et fédéraux en lisant les derniers articles sur Pandemic.news.

    Sources include:

    TheHill.com 1
    APNews.com
    TheHill.com 2

    https://www.naturalnews.com/2021-08-03-cdc-recommendation-mask-mandates-spurs-backlash.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Depuis plus d'un an la population mondiale ne communique plus ! Les reconnaissances de personnes connues sont plus qu'hasardeuses compte tenu du port du masque !
      Le masque est prouvé inutile et dangereux car les fibres sont imprégnées de nano-particules d'oxyde de graphène qui tuent.

      Supprimer
  48. La FDA vient d'ordonner aux fabricants de vaccins contre le covid d'utiliser plus d'enfants pour des expériences médicales et des injections de protéines de pointe


    Lundi 02 août 2021
    par : Ethan Huff


    (Natural News) La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis appelle Pfizer et Moderna à recruter davantage d'enfants dans leurs essais respectifs de «vaccin» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).

    Les enfants âgés de cinq à 11 ans sont nécessaires, insiste la FDA, pour déterminer si un effet secondaire «rare» impliquant une inflammation cardiaque est plus fréquent chez les jeunes vaccinés que chez les personnes vaccinées plus âgées.

    La FDA souhaite qu'au moins 3 000 autres très jeunes enfants soient injectés à titre expérimental, selon le New York Times, car cela aiderait prétendument l'agence à déterminer quels groupes d'âge sont les plus affectés par les vaccins contre la grippe Fauci.

    Un porte-parole de Moderna a déclaré au Washington Post qu'il "discutait activement d'une proposition" avec la FDA pour étendre son essai "pour inscrire une base de données de sécurité plus importante qui augmente la probabilité de détecter des événements rares". Le géant pharmaceutique n'a pas encore indiqué la taille de cet essai.

    Quant à Pfizer, il a également annoncé son intention d'étendre ses essais d'injection pour inclure davantage d'enfants innocents. Ces enfants seront recrutés aux États-Unis, en Finlande, en Pologne et en Espagne, et seront envoyés dans plus de 90 sites d'essais cliniques différents à travers le monde.

    La FDA et le CDC veulent assassiner vos enfants

    RépondreSupprimer
  49. La FDA et le CDC veulent assassiner vos enfants

    Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis indiquent qu'il y a maintenant 674 cas confirmés de myocardite et de péricardite parmi les personnes âgées de 30 ans et moins qui ont reçu un vaccin contre le virus chinois.

    La grande majorité de ces cas, qui impliquent une inflammation du cœur et de la muqueuse qui entoure le cœur, sont survenus chez des jeunes qui ont reçu l'une ou l'autre des injections d'ARNm (ARN messager) produites par Pfizer et Moderna.

    Le CDC affirme que lui et ses « partenaires » sont actuellement en train d'enquêter sur ces rapports pour voir « s'il existe un lien avec la vaccination contre le COVID-19 ».

    En juin, la FDA a ajouté un avertissement aux jabs indiquant qu'ils pourraient provoquer une myocardite ou une péricardite, pointant vers les fiches d'information du fabricant qui disent également la même chose, "en particulier après la deuxième dose".

    Pourtant, le CDC insiste sur le fait que le risque est faible et que «tout le monde de 12 ans et plus» devrait «se faire vacciner dès que possible».

    Pendant ce temps, le risque qu'un enfant soit testé «positif» pour la grippe Fauci est pratiquement nul, et le risque de manifester réellement des symptômes est encore plus faible. Les enfants sont à l'abri de la plandémie, en d'autres termes – ou du moins ils l'étaient jusqu'à ce que le gouvernement vienne les chercher aussi.

    Ils sont d'abord venus pour les personnes âgées et les immunodéprimés, et la plupart des gens n'ont rien fait parce qu'ils n'entraient pas dans cette catégorie. Ensuite, ils sont venus pour des adultes en bonne santé, et comme beaucoup d'entre eux étaient fatigués d'être enfermés, ils se sont conformés.

    Maintenant, le gouvernement veut les enfants, et puisque tous les autres groupes d'âge ont été ou sont en train de se faire injecter, il ne reste presque plus personne pour prendre position pour ces innocents.

    « C'est du mal à l'état pur », a écrit un commentateur d'Epoch Times. « Ils ne se soucient de la santé de personne. Ils se soucient de leur agenda.

    «Si vous êtes un parent qui laisse son enfant être un sujet de test pour Pfizer ou Moderna, sachant que l'enfant pourrait être gravement blessé dans le résultat, vous n'êtes même pas humain. Vous êtes une machine », a écrit un autre.

    Beaucoup d'autres avaient des choses similaires à dire, appelant tout cela expérimentation de masse et maltraitance des enfants. Profiter d'humains innocents à des fins de gain financier et d'eugénisme est la quintessence du mal, et le monde semble simplement laisser cela se produire.

    Les dernières nouvelles sur les blessures et les décès causés par les vaccins Trump peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.

    Les sources de cet article incluent :

    TheEpochTimes.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-08-02-fda-orders-covid-vaccine-manufacturers-children-experiments.html

    RépondreSupprimer
  50. Si vous dites la vérité, les nazis des médias sociaux vous interdisent


    3 août 2021
    Paul Craig Roberts


    Twitter suspend un rédacteur scientifique après avoir publié les résultats du test clinique de Pfizer

    Tout ce que la dernière victime des médias sociaux a fait, c'est de publier la propre conclusion écrite de Pfizer.

    Le New York Times et le Washington Post l’ont également publié, et l’illégitime Biden White House a dénoncé le Washington Post et le New York Times pour avoir rapporté Covid « Tinfoil Hat Conspiracy Theory ». Le punk de la Maison Blanche Ben Wakana a tenté de contredire les propres conclusions de Pfizer. Pourquoi la Maison Blanche est-elle si désespérée pour inoculer aux Américains une substance toxique ? Pourquoi le personnel de la Maison Blanche ment-il chaque fois qu'il ouvre la bouche ?

    Le NYT et WaPo ont glissé et ont rapporté la conclusion du test de Pfizer selon laquelle le « vaccin » ne fait rien pour réduire le risque global de décès par Covid.

    De nombreux experts renommés affirment que la vaccination propage la maladie et augmente le risque de décès. Ces experts sont annulés par les médias sociaux nazis et Big Pharma a embauché des shills.

    The Washington Post : « Les personnes vaccinées représentaient les trois quarts des personnes infectées lors d’une épidémie massive de Covid-19 dans le Massachusetts, selon une étude pivot du CDC. »

    The New York Times : « Breaking News : La variante Delta est aussi contagieuse que la varicelle et peut être propagée par les personnes vaccinées aussi facilement que les non vaccinés, un C.D.C interne. dit le rapport.

    https://www.zerohedge.com/politique/twitter-suspends-science-writer-after-he-posts-results-pfizer-clinical-test?utm_campaign=&utm_content=Zerohedge%3A+The+Durden+Dispatch&utm_medium=email&utm_source= zh_newsletter

    RépondreSupprimer
  51. Pourquoi l'establishment occidental est-il si désespéré et déterminé à vacciner le monde avec un vaccin mortel ?

    Il y a eu un déluge soudain de propagande de vaccination contre le covid et de propagande de passeport vaccinal au cours du mois dernier, tout comme de plus en plus de preuves émergent que les vaccinations toxiques contre le Covid sont la cause de la nouvelle épidémie de Covid parmi les vaccinés. Dans le monde, il apparaît que 75% des nouveaux cas de Covid sont parmi les vaccinés.

    https://www.zerohedge.com/geophysical/brandon-smith-why-are-globalists-and-governments-so-desperate-100-vaccination-rates?utm_campaign=&utm_content=Zerohedge%3A+The+Durden+Dispatch&utm_medium= email&utm_source=zh_newsletter

    Les parents californiens abandonnent les écoles publiques car ils offrent un endoctrinement à 100% et une éducation ZÉRO

    Je suis arrivé à la conclusion que l'Amérique pourrait avoir une chance si nous remplaçons les anti-américains blancs libéraux/progressistes/gauches dans les états bleus par des Hispaniques et des Asiatiques. Le président Lincoln voulait envoyer tous les Noirs en Amérique centrale ou en Afrique. Je dis gardons les Noirs et envoyons les blancs libéraux/progressistes/gauches dans un autre endroit géographique. Le problème est de savoir comment, en toute conscience, pourrions-nous infliger un tel fléau à un autre pays.

    https://www.zerohedge.com/physical/california-parents-are-pulling-children-public-schools?utm_campaign=&utm_content=Zerohedge%3A+The+Durden+Dispatch&utm_medium=email&utm_source=zh_newsletter

    https://www.paulcraigroberts.org/2021/08/03/if-you-tell-the-truth-social-media-nazis-ban-you/

    RépondreSupprimer
  52. La « grande réinitialisation » de Klaus Schwab comprend la construction de la région


    Par Tim Porter
    August 2, 2021


    Le fondateur transhumaniste du Forum économique mondial promeut la « régionalisation » en tant que compromis post-COVID du mondialisme avec le nationalisme. Les blocs régionaux, les chaînes d'approvisionnement régionales seraient une « solution intermédiaire… une nouvelle version édulcorée » de la mondialisation.

    Depuis 1971, l'économiste et transhumaniste influent Klaus Schwab organise sa retraite d'hiver annuelle à Davos, en Suisse, pour des milliers de mondialistes et d'invités aux vues similaires.

    Dans ses premières années, Schwab a concentré son affaire de Davos sur la place de l'Europe dans le monde, mais en 1987, Schwab a élargi sa vision globale et le Forum économique mondial a été lancé. Son nom complet, « Forum économique mondial, l'Organisation internationale pour la coopération public-privé », donne une meilleure compréhension des sentiments de grand corporatiste (fasciste) de Schwab.

    Au fil des ans, la conférence de fin janvier de Schwab a attiré un véritable who's who des principaux dirigeants d'entreprise, politiciens, économistes, financiers, universitaires, magnats des médias et écologistes, jet-set sur les pistes de Davos pour des discussions sur tout ce qui est mondial. Même le président Donald Trump a semblé présenter ses réfutations « America First » au mondialisme en 2018 et 2020.

    Des personnalités religieuses du monde entier y ont également participé, notamment l'auteur à succès et membre du Council on Foreign Relations, Rick Warren. Son livre, "The Purpose Driven Life", a persuadé de nombreuses églises évangéliques de s'éloigner du culte traditionnel pour se tourner vers le modernisme, l'œcuménisme et le service social.

    Au milieu de la peur du COVID-19 en 2020, Schwab a publié son livre, "COVID-19: The Great Reset". Le livre décrit ses idées sur la façon dont le mondialisme peut récupérer son mojo après avoir subi des revers majeurs au cours des dernières années, notamment par le nationalisme Trumpian et Brexit, et par les fermetures économiques, les restrictions de voyage, les fermetures de frontières et les interruptions de la chaîne d'approvisionnement mondiale pendant la peur du COVID.

    RépondreSupprimer
  53. Transhumanisme

    Les plans audacieux de Schwab pour le reste d'entre nous ne se limitent pas à ceux mentionnés dans sa Grande Réinitialisation. Ses opinions transhumanistes suscitent naturellement l'attention et les critiques les plus sensationnalistes.

    Dans un discours devant le Chicago Council on Global Affairs en 2019, Schwab a paraphrasé une déclaration de l'introduction imprimée de son livre de 2016, « La quatrième révolution industrielle », un événement qui, a-t-il dit au public, « conduira à une fusion de notre identités physiques, numériques et biologiques.

    Pour les naïfs des implications apocalyptiques de cette déclaration, Schwab l'avait clairement indiqué dans une interview télévisée en 2016. Lorsqu'on lui a demandé quand le monde verrait des puces implantées chez l'homme, Schwab a répondu : « Certainement dans les dix prochaines années. Au début, nous les implanterons dans nos vêtements, puis nous pourrions imaginer que nous les implanterons dans notre cerveau ou dans notre peau. Et à la fin, peut-être, il y aura une communication directe entre notre cerveau et le monde numérique. Ce que nous voyons est une sorte de fusion du monde physique, numérique et biologique. »

    « Smart Dust, des réseaux d'ordinateurs complets avec des antennes, chacun beaucoup plus petit qu'un grain de sable, peuvent désormais s'organiser à l'intérieur du corps….les dispositifs implantés aideront probablement également à communiquer des pensées normalement exprimées verbalement via un smartphone « intégré », et des pensées ou des humeurs potentiellement inexprimées en lisant les ondes cérébrales et d'autres signaux », a écrit Schwab dans « La quatrième révolution industrielle ».

    En comparaison, la réaction du public à ces idées audacieuses « en face » peut sembler avoir enfoui certains des autres sujets de Schwab comme la « régionalisation » dans les pages obscures de sa Grande Réinitialisation. Mais la régionalisation devrait mériter à elle seule le label audacieux, car sa mise en place marquerait une ère sans précédent dans l'histoire moderne, rendant obsolète la souveraineté nationale.

    Selon Schwab, la peur du COVID pourrait bien être le prétexte pour inciter les blocs régionaux du monde entier, comme l'Union européenne, à assumer la réglementation de leurs propres chaînes d'approvisionnement régionales. Ce serait leur compromis à court terme entre mondialisme et nationalisme. Cela diffuserait soi-disant les patriotes nationalistes au sein de toutes les nations en détournant leur recul contre la portée excessive des vulnérabilités de la chaîne d'approvisionnement mondiale et les menaces réglementaires à la souveraineté nationale qui étaient évidentes même avant COVID.

    RépondreSupprimer
  54. Ainsi, la « nouvelle version édulcorée de la mondialisation » de Schwab se limiterait aux propres quartiers régionaux des populations nationales, du moins à court terme. Les Américains n'auraient plus à craindre d'être dépendants des produits fabriqués en Chine, mais ils devraient se contenter d'avoir la phrase « Fabriqué en Amérique du Nord » sur ces produits au lieu de « Made in USA ».

    Mais l'approche incrémentielle « pragmatique » de Schwab envers le gouvernement mondial à travers le régionalisme n'est certainement pas une idée nouvelle parmi les mondialistes. Certains de leurs plus exaltés, Henry Kissinger, Zbigniew Brzezinski, Lincoln Bloomfield, Strobe Talbott, Richard N. Gardner et Guy Verhofstadt, ont tous déclaré par euphémisme que le mondialisme ne se produirait finalement que par le processus de régionalisation, avec ses « institutions à compétence limitée ». et des membres sélectionnés.

    Il semble donc que les revers majeurs du mondialisme ces dernières années n'aient pas été imprévus du tout, mais qu'ils aient été pris en compte au préalable dans l'approche plus pragmatique de la régionalisation du mondialisme. Cette approche correspond à la méthode de « dialectique hagélienne » de la stratégie « thèse-antithèse-synthèse » qui a été employée par tous les manipulateurs humains, des négociateurs de contrats aux despotes à travers l'histoire du monde.

    Dans ce cas, avec la thèse (la réalité toujours actuelle) étant l'État-nation, alors l'antithèse imposée (« la sortie », le contraire insoutenable) a été dépassée par le mondialisme dans son état actuel et chaotique. Cela permet de proposer la régionalisation comme la synthèse (la solution) du mondialisme à laquelle les nationalistes, alors assiégés par le chaos sans frontières du mondialisme, finiraient théoriquement par acquiescer. Deux pas en avant pour le mondialisme, un en arrière.

    Une fois que les gouvernements régionaux sont établis et consolident le pouvoir, ils pourraient alors se fondre dans un mondialisme autoritaire avec une opposition minimale.

    "Dix rois"

    Cette approche progressive du mondialisme correspond également à la référence la plus célèbre à un futur gouvernement mondial oppressif, le récit de l'Apocalypse de la Bible. Pour ceux d'entre nous qui croient que le récit biblique est crédible, il est important de noter que le texte biblique n'introduit pas ce futur gouvernement mondial unique en tant que tel, mais comme initialement gouverné par « dix rois » (voir Ap 13 : 1 avec Apoc. 17 :12-13). Il entre dans le récit non pas comme un gouvernement monolithique « mondial », ou même trois gouvernements « trilatéraux » consolidés comme certains le soutiennent, mais comme dix. Les mondialistes ont actuellement assez de mal à regrouper les nations du monde en dix gouvernements, sans parler de trois ou un.

    RépondreSupprimer
  55. Les blocs régionaux ont tenté de s'implanter pendant les années Bush-Obama, mais le nationalisme du président Trump a presque à lui seul désorganisé tout élan vers la régionalisation. Trump a réduit le financement américain des programmes des Nations Unies et d'autres projets d'aide étrangère liés à la construction d'une nation économique/militaire et à la construction de régions multilatérales.

    Trump : Je n'abandonnerai pas les États-Unis au faux chant du mondialisme.

    Pendant ce temps, le Brexit a secoué l'Union européenne, le bloc sud-asiatique de la SAARC n'a pas dépassé l'impasse indo-pakistanaise et l'économie russe a une capacité limitée à souscrire à l'Union eurasienne. Les « syndicats » de style européen envisagés par l'Amérique du Sud et l'Afrique sont dysfonctionnels, car diverses factions et l'instabilité, ainsi qu'un certain recul nationaliste, empêchent tout consensus de leurs pays membres respectifs d'adhérer totalement. L'ASEAN de l'Asie du Sud-Est ne peut pas projeter de la force sans faire face au coup d'État du Myanmar et à l'intimidation maritime de la Chine, tandis que le bloc du CCG du Golfe arabe (Persique) doit faire face à la guerre civile du Yémen et aux menaces de l'Iran.

    Mais maintenant, la peur du COVID a ironiquement insufflé une nouvelle vie au récit mondialiste, bien qu'il vienne, comme le décrit Schwab, "avec une touche régionale". Avec Trump apparemment à l'écart et mondialiste, "Build Back Better" Biden prétendument en charge, la grande réinitialisation de Schwab est maintenant en vogue parmi les élites corporatistes et les gauchistes.

    Si ce groupe peut tenir le nationalisme de Trump à distance et maintenir son monopole médiatique sur son récit, il n'est pas difficile de prévoir que les chaînes d'approvisionnement régionales distinctes de Schwab conduiraient au « nouveau mercantilisme » de Kissinger des « unités régionales » concurrentes. Ce nouveau mercantilisme déclencherait probablement la « crise grave » par excellence de Bloomfield, conduisant finalement au Nouvel Ordre Mondial fédéré de blocs régionaux de Verhofstadt.

    - voir clips sur site :

    https://libertysentinel.org/klaus-schwabs-great-reset-includes-region-building

    RépondreSupprimer
  56. Le Mexique ne sera pas «l'otage» de Big Pharma, a déclaré le président, alors qu'Internet prédit des problèmes après que le pays ait rejeté les coups de Covid pour les enfants


    31 juil. 2021 10:46


    Le Mexique ne sera pas «l'otage» de Big Pharma, a déclaré le président, alors qu'Internet prédit des problèmes après que le pays ait rejeté les inoculations de Covid pour les enfants

    Les utilisateurs des médias sociaux ont émis l'hypothèse que le président Andres Manuel López Obrador pourrait faire face à de graves répercussions après avoir refusé d'acheter des vaccins Covid pour les enfants, jurant que le Mexique ne céderait pas aux pressions des entreprises pharmaceutiques.

    Dans des propos tenus plus tôt cette semaine, le dirigeant mexicain a déclaré que son gouvernement attendait toujours que la communauté scientifique démontre les avantages de la vaccination des mineurs. Jusqu'à ce que des preuves concluantes soient fournies, le Mexique refuserait d'acheter des vaccins pour enfants, a annoncé Obrador, ajoutant que les entreprises pharmaceutiques semblaient se concentrer davantage sur la réalisation de bénéfices que sur la nécessité d'assurer la nécessité médicale alors qu'elles engrangeaient des ventes record de vaccins Covid-19.

    Le Mexique ne sera pas pris en otage par des sociétés pharmaceutiques qui ne veulent que faire des affaires et effrayer les enfants avec l'idée qu'il est nécessaire de se faire vacciner contre le Covid-19.

    Il a également critiqué les plans des sociétés pharmaceutiques visant à introduire des injections de rappel de troisième ou même quatrième dose, estimant que les injections pourraient être «superflues».

    S'exprimant sur le même sujet, le sous-secrétaire à la Santé Hugo López-Gatell a affirmé qu'il n'y avait "aucune preuve scientifique" montrant que le vaccin était "essentiel" pour les mineurs, étant donné le taux élevé de vaccination parmi la population adulte, Excélsior, le deuxième plus ancien quotidien de Mexico, signalé.

    Le Mexique a approuvé une gamme de vaccins Covid pour une utilisation d'urgence, y compris des vaccins développés par Pfizer, AstraZeneca, Johnson & Johnson et Sinovac, ainsi que le russe Sputnik V.

    Comme de nombreux autres pays, le Mexique a déployé son programme de vaccination par phases, en donnant la priorité aux groupes à haut risque. Actuellement, les moins de 18 ans ne sont pas inclus dans la campagne de vaccination.

    Largement ignorées par les médias internationaux, les remarques provocatrices d'Obrador sont devenues virales après qu'une vidéo sous-titrée en anglais de son discours a été partagée sur les réseaux sociaux.

    Plusieurs commentaires ont salué les « cajones » du président mexicain pour avoir dénoncé la cupidité des Big Pharma. Pfizer, par exemple, a réalisé des bénéfices records et a récemment augmenté les estimations de ventes pour l'année complète de son vaccin à 45 milliards de dollars.

    RépondreSupprimer
  57. Chapeau bas à ces gars. Ils ont des billes d'acier.

    – Laisse le pistolet, prends les cannoli (@GrabbingHands1) 31 juillet 2021
    D'autres ont partagé des réactions plus conspiratrices aux commentaires d'Obrador. De nombreux observateurs ont émis l'hypothèse que le président mexicain s'exposait à un danger potentiel ou à un « accident » en critiquant les grandes entreprises pharmaceutiques de manière aussi directe et directe.

    Alors que le Mexique ne se sent pas à l'aise d'administrer le vaccin aux jeunes, de nombreux autres pays ont commencé à proposer le vaccin aux mineurs, à la fois dans le cadre d'essais cliniques et dans le cadre de campagnes de vaccination. Selon la Mayo Clinic, environ 14% des Américains de moins de 18 ans ont reçu au moins un vaccin Covid.

    https://www.rt.com/news/530770-mexico-hostage-vaccines-pharmaceutical-companies/

    RépondreSupprimer
  58. Anthony Fauci affirme qu'avec COVID il n'y a plus de droits individuels


    1 août 2021
    Sundance


    Je suis plus inquiet de ce qui se passe dans les coulisses de l'univers non-COVID alors que tout le monde est distrait par la militarisation délibérée des établissements de santé. C'est l'autre chose, l'activité invisible, qui est la plus gênante lorsque les gauchistes sont aussi retranchés sur un récit singulier.

    Dans ce clip d'Anthony Fauci sur ABC This Week Sunday [Rumble Link], le directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, affirme que les droits individuels n'existent plus à l'époque de COVID-19. Lorsque l'on considère l'état d'esprit de l'extrême gauche, son opinion sur les droits collectifs -vs- les droits individuels est tout à fait conforme à la perspective collectiviste. Ces gens sont dangereux.

    « Le fait est que si vous êtes infecté, même si vous ne présentez aucun symptôme, vous pouvez très bien infecter une autre personne qui peut être vulnérable… Donc, en substance, vous empiétez sur leurs droits individuels. »

    Il ressort des preuves visibles que la variante Delta de COVID-19 pourrait bien être plus transmissible ; peut-être encore plus transmissible en raison de l'excrétion accrue des personnes vaccinées porteuses du virus. Cependant, le taux de mortalité est inférieur à celui de la grippe traditionnelle.

    Tous ces efforts d'atténuation extrêmes semblent conçus pour se protéger contre quelque chose qui ne porte tout simplement pas l'échelle de risque qui correspondrait à la gravité de l'alarme dont nous sommes bombardés. Si vous éteignez la télévision, vous déconnectez des médias d'entreprise et ignorez ces proclamations alarmistes, la vie semble bien se dérouler.

    - voir clips sur site :

    https://theconservativetreehouse.com/blog/2021/08/01/anthony-fauci-claims-with-covid-there-are-no-more-individual-rights/

    RépondreSupprimer