- ENTREE de SECOURS -



mardi 10 août 2021

Les pseudovaccins anticovid (injections géniques) ne protègent ni les vaccinés, ni leurs contacts

 Par Dre Nicole Delépine

Mondialisation.ca, 06 août 2021


Chaque jour nous sommes harcelés par la propagande vaccinale qui répète « seule la vaccination peut mettre fin à l’épidémie » « les vaccins sont efficaces contre le variant delta » « une fois la population vaccinée il n’y a plus de risque ».

Ces affirmations sont totalement mensongères. Les vaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta, ne protègent ni les vaccinés ni leurs contacts et ne préviennent pas les reprises de l’épidémie. Ils sont incapables de mettre fin à l’épidémie.

Pour s’en convaincre il suffit de regarder les évolutions récentes de l’épidémie dans les pays champions de la vaccination décrites dans les publications de l’OMS (OMS Covid Dashboard) et les courbes de OurWorldinData Covid.

En Grande-Bretagne l’épidémie repart malgré l’Astra Zeneca

La vaccination Astra Zeneca a été suivie par une augmentation importante des cas et de la mortalité pendant deux mois ; Janvier et février 2021 ont ainsi établi les records mensuels de nouvelles contaminations et de morts depuis le début de l’épidémie. Avec près de 70% de vaccinés les responsables de la politique sanitaire espéraient que la population bénéficierait d’une immunité contre le covid, mais la forte reprise de l’épidémie depuis le 26 mai a mis fin à leur illusion  en démontrant  que les pseudovaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta.

L’incapacité des injections anti-covid à protéger les vaccinés et leurs contacts a été récemment illustrée par l’épidémie de plus de 100 cas qui a touché les 1300 marins du HMS Queen Elizabeth, alors qu’ils avaient tous été complètement vaccinés depuis plus de trois mois.

De plus, contrairement aux annonces répétées de nos gouvernants, les injections anti-covid ne protègent ni des formes graves, ni de la mort. Santé Publique Angleterre, faisant le bilan des derniers mois, a constaté que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4%) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : “les personnes vaccinées meurent plus que les non-vaccinées”.

En Israël, les injections Pfizer n’empêchent pas la reprise de l’épidémie

Même phénomène en Israël où la vaccination a été suivie d’une explosion de cas et de morts pendant deux mois. Après une accalmie de 3 mois, une reprise de l’épidémie qui s’accélère depuis début juillet montre que le vaccin Pfizer est inefficace contre le variant delta.

En Israël les vaccinés représentent actuellement près de la moitié des nouveaux cas. Et contrairement aux annonces des labos et des gouvernants, recevoir l’injection Pfizer ne protège pas non plus des formes graves : en Israël les vaccinés sont actuellement plus nombreux en réanimation que les non vaccinés : 71% de ces 118 Israéliens sérieusement atteints (serious, critical) sont totalement vaccinés !

Pire encore, la proportion de malades graves vaccinés est supérieure à la proportion de personnes totalement vaccinées (61%.)

Ces chiffres commencent à faire douter les autorités sanitaires de l’efficacité du vaccin Pfizer. Le gouvernement a réintroduit l’obligation légale de porter des masques dans les lieux publics, deux semaines seulement après son abandon et conseille maintenant une troisième injection aux plus de 60 ans. Lui qui prétendait qu’après deux injections les Israéliens seraient libres et protégés, accuse ses concitoyens d’indiscipline au lieu de reconnaître que le vaccin Pfizer est inefficace. Néanmoins, selon les médias israéliens, le ministère de la Santé a annoncé qu’à partir du 1er août, tout Israélien de plus de 18 ans recevant sa première dose recevra le vaccin Moderna. Aucune explication pour ce changement. 

Aux Emirats Arabes Unis, champion arabe des injections, celles-ci ne sont pas  plus efficaces

Aux EAU,  la vaccination a débuté en fin décembre 2020 à l’aide de Pfizer et Sinopharm et actuellement plus de 80% de la population a reçu les deux doses de vaccin depuis plus de 3 mois. Mais le nombre de nouvelles contaminations et la mortalité quotidienne restent toujours plus élevés qu’avant la vaccination

Avant la vaccination, en 9 mois d’épidémie, les EAU comptaient 197124 cas et  632 morts. Après 7 mois de vaccination, au 1/8/2021, ces chiffres ont plus que  triplé avec respectivement  682377 cas et 1943 morts. Dans ce pays aussi les injections anticovid ne sont pas efficaces.

Dans ces pays champions des vaccins anti-covid, ceux-ci n’ont pas protégé les vaccinés de la maladie, ni empêché les transmissions, ni prévenu les formes graves, ni évité une nouvelle vague d’infections.

Les campagnes de vaccination ont de plus été suivies à chaque fois pendant deux mois ou plus d’une augmentation forte des contaminations et de la mortalité (hécatombe post vaccinale) établissant les records mensuels de nouveaux cas et de morts depuis le début de l’épidémie.

Catastrophe post vaccinale aux Seychelles

Dans ce petit pays d’environ 100000 habitants les injections anti covid Sinopharm ainsi qu’une version indienne du sérum AstraZeneca ont été administrées à plus de 75% de la population avec des suites franchement délétères.

Avant la vaccination débutée en février 2021 les Seychelles recensaient 1243 cas et 3 morts. Six mois après la vaccination, le 2/8/21 elles comptent 18189 cas et 94 morts malgré le confinement et les autres mesures sanitaires qui leur ont été imposées depuis la campagne d’injections anti-covid.

Catastrophe post vaccinale en Mongolie

Avant la vaccination débutée le 23 février 2021 la Mongolie avait été épargnée par le Covid et ne recensait que 2723 cas et 2 morts. 5 mois après la vaccination, le 2/8/21 malgré une couverture vaccinale très élevée, supérieure à 65% elle comptabilise 164155 cas et 827 morts.

Catastrophe post vaccinale au Cambodge

Avant la vaccination le Cambodge avait été épargné par l’épidémie et ne recensait aucun mort de Covid. La vaccination a commencé le 7 février 2021. Neuf jours plus tard a été observé le premier décès dont le nombre total atteignait 1442 au 2 aout 2021.

Dans ces trois pays, auparavant quasiment indemne de Covid, les injections anti-covid ont exacerbé l’épidémie de manière dramatique

 Pourquoi les injections anti-covid sont-elles aussi inefficaces ?

Contrairement à ce qui est officiellement raconté, les injections actuelles ne sont pas des vaccins (elles ne contiennent pas d’antigènes viral ni de virus inactivé) mais des injections d’ARN messager. Cette technique n’a jamais été utilisée chez l’homme pour lutter contre des infections et les résultats des essais de phase 3 ne seront pas connus avant 2023. Il s‘agit donc d’un traitement totalement expérimental qui n’aurait jamais dû être commercialisé avant la fin et l’analyse des essais cliniques phase 3 (2023). En population réelle, ils se révèlent trop peu efficaces.

L’aggravation dépendante des anticorps[1] [2] [3] [4] peut expliquer les hécatombes post injections

L’explosion précoce des cas et de la mortalité après les campagnes d’injections anti-covid traduit vraisemblablement un phénomène d’anticorps facilitants (aggravation dépendante des anticorps ADE) déjà observé dans plusieurs infections virales, notamment le virus de la dengue, et les infections précédentes à coronavirus le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS). Sa nocivité a été tristement démontrée par la mort de plusieurs centaines d’enfants lors de la catastrophe sanitaire du vaccin Dengvaxia aux Philippines.

L’aggravation dépendante des anticorps (ADE, antibody-dependent enhancement) est un large concept qui survient en lien avec certaines infections virales, lors de réinfection ou de primo-infection, en dépit d’une vaccination. Il peut s’agir : d’une « maladie aggravée associée à l’infection (initiale) » (IAED, infection-associated enhanced disease) ou d’une « maladie aggravée associée à la vaccination » (VAED, vaccine-associated enhanced disease). Le plus souvent, l’ADE survient lorsque la personne présente des taux circulants d’anticorps neutralisants faibles (vaccination insuffisante ou ancienne, personnes âgées, infection peu symptomatique) ou une faible spécificité de ces anticorps, par exemple lors d’immunité croisée entre deux infections virales.

Ce risque avait été évoqué par l’académie de médecine en janvier 2021[5] : « le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants ».

La fuite immunitaire avec l’apparition des variants explique l’incapacité à prévenir les futures rechutes

L’Académie avait averti que la généralisation d’un traitement insuffisamment efficace facilite l’apparition des variants ainsi « au plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Le Pr Delfraissy et quatre autres membres du comité scientifique dans un article [6] en anglais malheureusement non relayé en France avaient averti : « la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variantes ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue… Au niveau de la population…, ils pourraient induire une sélection virale et une fuite, rendant de plus en plus éloignée la perspective d’obtenir une immunité collective. »

Conclusions

L’examen des faits avérés publiés par l’OMS montrent que les injections anti-covid actuelles sont incapables de protéger ceux qui les reçoivent de la maladie, ni des formes graves, ni d’en mourir.

Elles n’empêchent pas non plus la transmission aux contacts. Elles sont inefficaces contre le variant delta et donc incapables de prévenir les récidives des épidémies.

Les campagnes d’injection sont presque constamment suivies par une recrudescence de cas et de morts pendant plus de deux mois.

Comme elles exposent de plus à des complications graves, parfois mortelles comme le montre (entre autres) le site européen chargé de la surveillance des effets secondaires des médicaments dépendant de l’agence européenne, il n’existe aucune justification médicale à les conseiller et encore moins de les imposer directement ou indirectement par l’artifice d’un passe discriminatoire.

Les irresponsables ne sont pas ceux qui doutent des injections anti-covid expérimentales, mais bien ceux qui veulent les imposer sans attendre les résultats définitifs des essais phase 3 et refusent de recommander les traitements précoces qui ont fait leurs preuves dans de nombreux pays dont l’Inde.

Dre Nicole Delépine

Notes

[1] Stéphane KORSIA-MEFFRE VACCINS CONTRE LA COVID-19 : DOIT-ON S’INQUIÉTER DU RISQUE DE MALADIE AGGRAVÉE CHEZ LES PERSONNES VACCINÉES ? 03 novembre 2020

[2] Lee, W.S., Wheatley, A.K., Kent, S.J. et al. Antibody-dependent enhancement and SARS-CoV-2 vaccines and therapies. Nat Microbiol 5, 1185–1191 (2020). https://doi.org/10.1038/s41564-020-00789-5

[3] Eroshenko, N., Gill, T., Keaveney, MK et al. Implications de l’amélioration de l’infection dépendante des anticorps pour les contre-mesures du SRAS-CoV-2. Nat Biotechnol 38, 789-791 (2020). https://doi.org/10.1038/s41587-020-0577-1

[4] Ricke DO. Two Different Antibody-Dependent Enhancement (ADE) Risks for SARS-CoV-2 Antibodies. Front Immunol. 2021 Feb 24 ;12 :640093. doi : 10.3389/fimmu.2021.640093. PMID : 33717193 ; PMID : PMC7943455.

[5] Communiqué de l’Académie de médecine : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ? 11/1/21

[6]Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract the Lancet public health 18 février 2021 DOI VOLUME 6, NUMÉRO 4, E199-E200,1 AVRIL 2021 : https://doi.org/10.1016/S2468 2667(21)00036-0

La source originale de cet article est Mondialisation.ca

Copyright © Dre Nicole Delépine, Mondialisation.ca, 2021

https://www.mondialisation.ca/les-pseudovaccins-anticovid-injections-geniques-ne-protegent-ni-les-vaccines-ni-leurs-contacts/5659027

10 commentaires:

  1. « Les vaccinés sont des innocents voués au massacre » — Dr Roger Hodkinson


    Sott.net
    mar., 10 août 2021 14:59 UTC


    « Les scientifiques savent, ils ont juste peur de le dire. »

    Éminent professeur à Alberta, une des plus grandes universités du Canada, Roger Hodkinson alerte sur les produits expérimentaux nommés « vaccins » anti-Covid-19 et sur les manipulations des discours face à la maladie, dont il explique qu'aujourd'hui nous savons que ce n'est « pas pire qu'une mauvaise grippe saisonnière. »

    Le professeur Roger Hodkinson : « nous vivons actuellement un cauchemar médical. »
    Professeur en pathologie, ancien PDG d'un grand laboratoire privé à Edmonton, dans l'Alberta, actuellement dirigeant d'une petite entreprise de biotechnologie, le professeur Roger Hodkinson est l'ancien président du comité du Collège royal des médecins et chirurgiens d'Ottawa. Il a aussi occupé pendant les 20 dernières années le poste de président d'une société de biotechnologie médicale basée en Caroline du Nord, chargée de vendre un test Covid-19. Il est spécialiste en pathologie, y compris en virologie, et a été formé à l'université de Cambridge au Royaume-Uni. Il a également déclaré en novembre 2020 qu'ils s'agissait du « plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance ».

    Dans la vidéo qui suit, il explique :

    « Je n'ai plus rien à prouver, j'ai une carrière très bien remplie, je me sens obligé de me lever et de prendre des coups. Dans la grande majorité, je suis triste de le dire, les médecins et scientifiques tombent dans la décision binaire du choix entre l'éthique et le revenu, et choisissent le revenu car ils savent que s'ils se lèvent ils vont se faire massacrer. »

    Dans cet entretien, le professeur Roger Hodkinson revient sur les discours de peur pour encourager les injections expérimentales nommés « vaccins » anti-Covid-19 et évoque entre autres, les différents scandales autour du Covid-19 tels que Ferguson et ses grotesques modélisations et les falsifications de Fauci. Un témoignage avec des paroles intenses. Pour le professeur Roger Hodkinson, « nous vivons actuellement un cauchemar médical ».

    « [...] L'échelle des complications potentielles en dehors de la dépendance des anticorps, l'échelle des complications qui pourraient se produire est si gigantesque que c'est un vrai cauchemar. Et le grand public, ces innocents voués au massacre, est gardé intentionnellement ignorant [par la propagande]. Pas seulement par le manque de contre propagande, mais par une opération psychologique destiné spécifiquement avec une grande sophistication à installer la peur afin que la « vaccination » soit encouragée. Si ce n'est pas la conséquence la plus malsaine de cette triste période de l'Histoire de la médecine, c'est tout simplement scandaleux. Et c'est pourquoi je me lève et je m'exprime.
    [...]

    RépondreSupprimer
  2. Je ne veux pas descendre dans le terrier du lapin pour défendre le « vaccin ». Analyser les données sur le « vaccin » et patati et patata, non, c'est une distraction. Vous échouerez dans les arguments contre les personnes qui le défendent. Vous devez revenir aux bases, aux bases fondamentales : pour commencer, il n'y jamais eu d'urgence de santé publique. Il n'y a aucune raison de se précipiter pour commercialiser ces produits. Le simple fait qu'ils soient maintenant disponibles pour le mauvais prétexte, n'est pas une raison pour les utiliser sur qui que ce soit.
    [...]

    La « vaccination » doit être arrêtée immédiatement. [Ces produits] sont dangereux, ils n'ont pas été testés [de la manière habituelle, à savoir cliniquement avec un suivi des patients et un groupe témoin]. Il n'y a pas de raison de les utiliser tant qu'il n'aura pas été prouvé qu'ils sont sûrs. Ils utilisent le mot « sûr » de la manière la plus orwellienne qui soit.
    [...]

    Les gouvernement n'écoutent pas les bonnes personnes, ils écoutent les gens qui ont un intérêt direct dans leur propre survie. Et leur propre survie dépend de leurs accords avec le gouvernement. »
    Et bien plus plus dans la vidéo qui suit :

    Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org

    https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/roger-hodkinson

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est bien pourquoi le Pr Raoult a perdu ma confiance, il disait la vérité, c'est vrai, mais il ne l'a jamais dit toute ! et, quand ON SAIT ce que contient la seringue, quand ON SAIT que le 'covid19' N'EXISTE PAS, et que l'on dit aux gens d'aller... se faire vaxxiner !!!!
      Il y a des personnes qui du Serment d’Hippocrate s'en TORCHE LE CUL !

      OUI la corruption existe !

      Supprimer
  3. Une lettre ouverte à la personne qui m'a transmis le virus


    Par Tom Woods
    11 août 2021


    Extrait de la lettre de Tom Woods :

    Je n'ai aucune idée de qui vous êtes, mais nos chemins se sont presque sûrement croisés le mois dernier à Las Vegas.

    Même maintenant, je ne changerais rien à ce voyage, d'ailleurs, qui était génial. L'existence du virus, c'est vrai, a rendu ma vie une fraction d'un pour cent plus dangereuse qu'avant. Mais comme je n'ai pas de troubles mentaux, je n'avais pas calibré ma tolérance au risque de manière si précise qu'un si petit changement me ferait radicalement changer ma vie.

    Naturellement, si vous saviez que vous étiez malade, vous auriez dû rester à la maison. De tous les conseils qu'ils ont donnés – port du masque, distanciation sociale et tout le reste – rester à la maison lorsque vous êtes malade serait de loin le plus bénéfique, mais c'est pourtant ce que nous entendons le moins pressé.

    Dans le même temps, The Hill rapporte que vous pouvez facilement confondre les symptômes du virus avec des allergies, il est donc tout à fait possible de ne pas savoir que vous êtes contagieux. Je ne vois aucune raison de présumer de la mauvaise volonté de votre part.

    Chaque fois que je sors de chez moi, je prends un risque. Nous sommes tous. Je ne vous blâme pas pour les contraintes imposées par la réalité.

    Si le risque d'être frappé par la foudre décuplait demain, cela n'affecterait en rien mon comportement. N'étant pas névrosé, je ne vis pas ma vie comme si le taux actuel de coups de foudre était précisément aussi élevé que je peux le tolérer.

    Il est devenu presque impossible d'avoir une conversation rationnelle à ce sujet. D'une part, la plupart des gens sont scandaleusement mal informés. Demandez à une personne moyenne quelle est la probabilité qu'une personne de sa cohorte d'âge doive être hospitalisée pour COVID, et sa réponse sera décuplée d'un facteur 10, voire 100. Garanti.

    D'ailleurs, je ne peux pas croire combien de personnes pensent que les masques accomplissent quoi que ce soit. Les « études » risibles sur les masques supposent généralement ce qu'elles ont pour but de prouver, et/ou se limitent à des délais étrangement arbitraires, avant que les explosions de COVID ne se propagent.

    Des dizaines de pays ont vu leurs graphiques COVID devenir presque verticaux après (pas nécessairement immédiatement après, mais après) l'introduction du masquage à grande échelle, ce à quoi ressembleraient les graphiques si les masques n'accomplissaient absolument rien. Ces lieux sont ignorés, car personne n'en est informé.

    Pendant ce temps, il n'y a eu pratiquement aucun décès par COVID en Suède au cours du mois dernier, et le reste de la Scandinavie se porte également très bien malgré très peu de masquage ou d'autres restrictions.

    RépondreSupprimer
  4. Le monde agit comme si ces pays n'existaient pas. Comme d'habitude avec les gens « vous êtes à blâmer pour le virus », les réussites comme celles-ci n'ont aucun intérêt, car il n'y a personne qu'ils peuvent diaboliser – et diaboliser les gens est leur passe-temps préféré.

    Le cas du Népal est également intéressant. Après un verrouillage qui a pris fin en juillet 2020, ils ont décidé pour l'essentiel de procéder comme d'habitude. C'est un pays pauvre et ils ont choisi l'approche radicale et inouïe consistant à renverser une politique qui les aurait fait mourir de faim.

    Et devine quoi ?

    Ils vont bien.

    Les « responsables de la santé publique » étaient perplexes, mais à ce stade, qui peut être surpris par cela ? Ce que nous appelons en riant notre établissement de « santé publique » s'est ridiculisé pendant tout ce fiasco.

    Le Népal est à 340 décès par million. Comparez cela à des pays verrouillés comme le Royaume-Uni (1909), l'Espagne (1756), la Belgique (2170) ou le Pérou (5883).

    De retour aux États-Unis, le pic de Sun Belt de 2020 s'est produit sans aucun changement de comportement de quelque nature que ce soit. Les gens « COVID est de votre faute » sont trop déterminés à blâmer quelqu'un pour manifester de la curiosité à ce sujet, même si cela devrait absolument éveiller la curiosité.

    COVID va et vient selon les saisons et les régions, et passe devant nos masques idiots et nos autocollants de sol de six pieds.

    Avec mon ami Tim Scott, j'ai créé un site Web où les gens peuvent tester leur capacité à déterminer quelles mesures d'atténuation alléguées ont accompli quoi. S'ils fonctionnent, il devrait être facile et évident de choisir quelle ligne sur un graphique représente un état ou un pays qui l'a mis en œuvre et quelle ligne représente celui qui ne l'a pas fait.

    Donc vas-y. Tentez votre chance. Si l'une des folies accomplissait quelque chose, ce serait un jeu d'enfant : CovidChartsQuiz.com

    Nous avons des discussions non censurées sur tout cela au sein du Tom Woods Show Elite, mon groupe privé de plus en plus indispensable.

    Maintenant, c'est vrai : j'étais définitivement allongée au lit pendant un certain temps. Mais pas un seul enfant n'aurait dû manquer un seul entraînement de basket-ball pour m'empêcher de tomber malade. Imaginez l'égoïsme impliqué dans ce genre de demande.

    Vissez ça.

    Et vous ne devriez pas non plus, vous, mystérieuse personne de Las Vegas, avoir pitié de moi. Je ne veux pas que tu restes chez toi ! Je ne veux pas que tu refuses de vivre ! Je suis content que tu aies vécu ta vie, profitant des choses qui font que la vie vaut la peine d'être vécue. Le simple fait de préserver votre existence biologique est indigne d'un être humain.

    RépondreSupprimer
  5. C'est particulièrement le cas lorsqu'on ne nous a donné aucune indication sur ce qui constituerait précisément un avertissement. Tout cela n'est qu'arbitraire empilé sur un arbitraire plus anti-scientifique.

    Nous devrions tous être inspirés par les paroles de Lord Sumption au Royaume-Uni :

    « Quelle sorte de vie pensons-nous protéger ? Il y a plus dans la vie que d'éviter la mort. La vie est un verre entre amis. La vie est un match de football bondé ou un concert en direct. La vie est une fête de famille avec enfants et petits-enfants. La vie est compagnie, un bras dans le dos, des rires ou des larmes partagés à moins de deux mètres. Ces choses ne sont pas seulement des extras facultatifs. Ils sont la vie même. Ils sont fondamentaux pour notre humanité, pour notre existence en tant qu'êtres sociaux. Bien sûr, la mort est permanente, tandis que la joie peut être temporairement suspendue. Mais la force de ce point dépend de son caractère temporaire.

    Merci, personne de Las Vegas, d'avoir refusé d'être inhumain, d'avoir refusé d'être un automate et d'avoir dit oui à ces choses qui nous apportent de la joie et donnent un sens à notre vie.

    https://www.lewrockwell.com/2021/08/thomas-woods/an-open-letter-to-the-person-who-gave-me-the-virus/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est TOUS LES JOURS qu'il y a dans le monde des personnes qui ne se sentent pas bien, qui souffrent, qui ont des vertiges, douleurs au ventre, à la tête ou ailleurs. Certaines personnes même en meurent.

      Mais, il a été révélé - depuis x années - que l'alimentation y est pour beaucoup.
      Or, pour appuyer sur les blessures et faire qu'il y ait encore plus de malades, ont été proposés... de consommer des plantes, des fruits, malades !!! C'est-à-dire que, comme toutes les plantes du monde attrapent des maladies (comme tous les animaux), ces fruits & légumes n'ont JAMAIS reçu de remèdes !!! AUCUN traitement contre les maladies cryptogamiques ou contre les bestioles qui bouffent les plantes !
      Ainsi, afin de favoriser la famine dans le monde, on été mis en pépinières des 'jardins bio' !! Oui ! Vous avez bien lu ! Des jardins comme il en existaient il y a 200 ans et où tout le monde crevait de faim et mourait à 40 ans !

      Aujourd'hui, nouvelle séance hégémonique avec l'apparition du virus qui n'existe pas !!! mais contre qui est proposé un vaccin !! (HAHAHAHA !)

      Çà c'est du top 11 Septembre avec ses 'avions en aluminium qui coupent de leurs ailes des poutrelles d'acier de 80 cm !! HAHAHAHA ! Même au cinéma on aurait crié au navet ! Mais là, le cinéma était dehors ! Retransmis gratos sur toutes les télés du monde !! Après 'Alerte à Malibu', le 'Marathon de Boston' ou 'L'école de Sandy Hook à Newton', voici qu'arrive (en exclusivité à New-York:) 'Le 11 Septembre' (coproduction hollywoodienne avec Sylverstein-Bush-Cheney-Giuliani, guest star Ben Laden dans le rôle du 'terroriste').

      Revenons aux injections; les dits 'remèdes' du savant laboratoire de Frankenstein, ne sont que des poisons mortels ! Des inoculations de solutions létales qui tuent parfois (selon les organismes) dans les heures qui suivent l'inoculation, parfois dans les semaines ou les mois, mais, ouf, ce qui est certain est que toutes les personnes qui ont acceptés de se faire inoculer (sans rire !) seront crevés avant la fin de l'année !
      Donc, c'est bien ce que dit le 'vaccin': J'empêche la souffrance !

      Supprimer
  6. Les données du monde réel montrent que les vaccins Covid sont inefficaces


    Par Vasko Kohlmayer
    11 août 2021


    « Le vaccin Covid-19 de Pfizer et BioNTech n’est efficace qu’à 39 % en Israël, où la variante delta est la souche dominante selon un nouveau rapport du ministère de la Santé du pays », lit-on dans un rapport de CNBC. L'étonnement est la première réaction lorsque l'on tombe sur cette information, car il n'y a pas si longtemps, les fabricants de vaccins affirmaient que leurs produits étaient efficaces à 92 à 98%.

    Les affirmations initiales des fabricants, cependant, ont été régulièrement révisées à la baisse à mesure que des données du monde réel arrivaient. En mars de cette année, des nouvelles sont venues d'Afrique du Sud selon lesquelles «le vaccin AstraZeneca n'empêche pas le B1351 Covid». Quelques mois plus tard, le Hill a publié un article d'un virologue de la Baylor School of Medicine qui a observé :

    « Une nouvelle étude publiée dans le New England Journal of Medicine a révélé que le vaccin Pfizer-BioNTech n'offre qu'une protection à 51 % contre B.1.351 d'Afrique du Sud.

    Il y a quelques semaines à peine, nous avons appris que les receveurs du vaccin de Sinovac Biotech n'avaient plus d'anticorps après six mois. Cela signifie en fait que seulement six mois après avoir été injecté dans le corps des gens, le vaccin a une efficacité de zéro pour cent pour protéger contre Covid-19.

    Même en tenant compte des variantes, les données concrètes montrent clairement que les affirmations initiales concernant l'efficacité du vaccin étaient grandement exagérées. Ceci, bien sûr, n'est pas une surprise pour quiconque connaît la dynamique de l'industrie pharmaceutique. Les fabricants de médicaments ont tendance à surestimer l'efficacité de leurs produits, tout en faisant de leur mieux pour minimiser leurs effets secondaires. C'est dans ce but qu'ils mènent des essais qui sont manipulés pour obtenir les résultats qu'ils souhaitent. Malheureusement, ils s'en tirent trop souvent à cause de la corruption du système par ce qu'on appelle la capture réglementaire. C'est pourquoi les résultats des essais des fabricants ne sont presque jamais reproduits par des essais indépendants ou des données réelles.

    C’est apparemment ce qui s’est passé avec les vaccins Covid. Les fabricants ont utilisé le sentiment d'urgence provoqué par la pandémie pour mener des essais précipités et incomplets qui ont été conçus pour donner les résultats qu'ils voulaient voir. Il y a tout lieu de croire que l'efficacité de leurs injections était loin de la fourchette de 92 à 98 % qu'ils avaient initialement revendiquée, même pour les variantes en circulation à cette époque.

    Inutile de dire que l'on soupçonne fortement que même le maigre chiffre de 39 % est encore surestimé. Cela ne serait que naturel, puisque toutes les personnes impliquées dans l'entreprise de vaccination - les fabricants, les politiciens, les régulateurs, l'establishment médical et les scientifiques d'entreprise - font de leur mieux pour sauver la face et la réputation face à ce fiasco. Aussi mauvaises que soient les données, nous pouvons être sûrs qu'elles ont été massées pour adoucir le coup.

    RépondreSupprimer
  7. Vous pouvez clairement observer cette tendance à l'œuvre dans l'article de CNBC qui affirme que même si Pfizer n'est efficace qu'à 39 %, il protège toujours contre les maladies graves. Mais ce n'est tout simplement pas vrai, ce que vous pouvez facilement voir si vous prenez la peine d'examiner les données publiées par le gouvernement israélien. À peu près au même moment où CNBC a déposé son rapport, le ministère israélien de la Santé a publié un bulletin qui faisait état des cas de Covid dans le pays. Selon leurs données, il y a eu 137 cas graves en Israël dont 95 étaient complètement vaccinés et 42 non vaccinés ou partiellement vaccinés (voir ici et ici). En d'autres termes, la majeure partie des cas graves concernait ceux qui avaient reçu leurs injections. Si le vaccin était aussi efficace pour protéger contre les maladies graves que le prétend l'article, les chiffres seraient complètement différents. Les chiffres publiés par le ministère israélien de la Santé montrent que les affirmations de l'efficacité de Pfizer à protéger contre les graves Covid sont tout simplement fausses.

    Cela a été confirmé par le témoignage du Dr Kobi Haviv, directeur de l'hôpital Herzog à Jérusalem. Dans une récente interview télévisée, le Dr Haviv a déclaré que les personnes entièrement vaccinées représentaient environ 90 pour cent des hospitalisations. Étant donné que moins de 90 % de la population israélienne est entièrement vaccinée, il semblerait que la vaccination non seulement ne vous empêche pas de contracter la maladie, mais augmente en fait les chances de devenir un cas grave de Covid. Observe le Dr Haviv : « oui, malheureusement, le vaccin… comme on dit, son efficacité diminue. » Et il en est ainsi, en effet. L'interview du Dr Haviv est sur YouTube afin que vous puissiez entendre la vérité directement de sa bouche. Il sera intéressant de voir combien de temps il faudra aux censeurs de l'établissement pour le supprimer.

    https://www.lewrockwell.com/2021/08/vasko-kohlmayer/the-real-world-data-show-the-covid-vaccines-are-ineffective/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Un train de retard !

      Primo: IL N'Y A PAS de 'covid19', c'est un nom inventé comme pour les 'variants' pour faire croire en la présence d'un nouveau virus corona (alors qu'il n'y en a qu'un et existe depuis 10 000 ans).

      Secundo: IL N'Y A PAS de 'vaccins' contre le 'nouveau' virus. Il n'y que des injections qui le transmettent !
      Le but étant que les personnes que se sont faites inoculées profond puisse infecter les autres grâce à leurs expirations d'air chaque xx secondes !

      Il est évident que l'on ne va pas proposer un poison à un attardé-mental tout en lui injectant un contre-poison ! Mais il y a parmi les seringues des placebos qui sont injectés de façon à démontrer que les 'vaccinations' ne tuent pas tout le monde !

      Supprimer