- ENTREE de SECOURS -



mardi 31 août 2021

PART 2 - Dr. Richard Fleming (RF, PhD, MD, JD) : Event 2021 - Tout ce que vous devez savoir sur le covid (2:45:43)

Dr Lee-Meng Yan de 48:00 à 55:50 et de 1:09:00 à 1:10:00

https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/FlemmingEvent2021PART2:5 

50 commentaires:

  1. Effets catastrophiques et encore trop méconnus des injections géniques anticovid 19


    10 AOÛT 2021
    Dr. Nicole Delepine


    Il rêvait d’être pilote de chasse, il restera cardiaque dans le meilleur des cas si ce faux vaccin ne l’emporte pas dans les prochains jours. Il rêvait de vacances en Grèce avec sa copine, il ne partira jamais, mort dans les heures qui ont suivi l’injection supposée « libératrice » …

    Comment vont réagir tous ces « jeunes » vaccinés qui se croient libres, enfin, après des mois de privation de liberté alternant confinement et restrictions de degré variable, lorsque leur belle liberté va être entachée d’accidents vasculaires d’un ami ou d’un copain, qui se multiplient après quelques mois d’euphorie, et au minimum de nouvelles privations, si les manifestations n’emportent pas ce pass de la honte dans la tempête populaire ? L’exemple du « modèle » israélien devrait les avertir mais comme chacun sait, il n’y a plus d’infos, que des mensonges à la télévision et des éléments sur les réseaux sociaux désavoués par les trolls. Alors on va à la plage, on verra bien….

    Pourtant un regard sur la base de données officielles devrait au moins semer le doute avant d’aller se faire injecter cet OGM et devrait au moins faire réfléchir autant que pour acheter un shampoing bio …

    - voir graphique sur site -

    Si le projet de ce papier était une revue exhaustive des effets secondaires des injections géniques, il devient impossible sur un temps court, car les évènements graves ou sérieux (appelés « blessures » trop souvent dans les textes par suite d’une mauvaise traduction de l’anglais) sont trop nombreux pour permettre un rapport rapide pourtant nécessaire voire indispensable pour les « candidats » au vaccin sur injonction gouvernementale et médiatique. Nous citerons donc ici quelques articles significatifs pour donner une idée de l’ampleur du sujet.

    LE NOMBRE D’EFFETS INDÉSIRABLES DÉCLARÉS EN LIEN AVEC VACCINS ANTI-COVID A DÉJÀ LARGEMENT DÉPASSÉ, EN QUELQUES MOIS, LE TOTAL DES EFFETS INDÉSIRABLES RAPPORTÉS, DEPUIS LA CREATION DE LA BASE DE PHARMACOVIGILANCE DE L’OMS EN 1968, POUR LES 15 VACCINS LES PLUS DISTRIBUÉS.[1]

    L’Etude d’Enzololo[2] de début aout rapporte les éléments importants des bases de pharmacovigilance disponibles et les synthétise.

    « La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants ».

    La page d’accueil précise que pour chaque événement indésirable enregistré, le médicament est « soupçonné », mais que cela ne signifie pas automatiquement qu’il soit la cause de l’événement ». De façon générale, on estime que seulement 1 % à 10 % des événements indésirables réels sont rapportés.

    Vaccins anti-Covid : depuis décembre 2020, donc essentiellement en 2021, alors que 3,3 milliards de doses avaient été administrées à 2 milliards de personnes : pour toutes les tranches d’âges pour lesquelles les vaccins anti-covid ont été autorisés :

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  2. le nombre d’effets indésirables déclarés en lien avec vaccins anti-Covid a déjà largement dépassé, en quelques mois, le total des effets indésirables rapportés, depuis la création de la base de pharmacovigilance de l’OMS en 1968, pour les 15 vaccins les plus distribués.

    Selon l’OMS : les effets indésirables des vaccins anti-Covid sont inhabituellement nombreux : l’OMS en a déjà enregistré 1,37 million (soupçonnés), quand les 15 familles de vaccins les plus courants en ont suscité moins d’1,7 million en 50 ans (soupçonnés aussi).

    Comment nier qu’il s’agit d’un signal inquiétant ? Et précisons que tous ces vaccins répertoriés ont également été distribués à des millions de personnes dans le monde et chaque année et que le nombre global de vaccins anticovid injectés n’est pas supérieur aux vaccins classiques administrés et n’explique donc pas ce pic énorme d’effets secondaires graves.

    - voir graphique sur site -

    Selon la VAERS :

    La base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés, par suite d’un vaccin. Et 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées. C’est également cohérent avec ce que semble révéler EudraVigilance pour l’Europe, avec une hausse des décès rapportés après la vaccination anti-Covid sans commune mesure avec ce qui se voyait jusqu’ici.

    Les dernières données de VAERS incluent 2 nouveaux rapports de décès d’adolescents à la suite du vaccin COVID. Les données VAERS publiées début aout par les CDC ont montré un total de 545 338 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge à la suite de vaccins contre la COVID, et un nombre de décès atteignant 12 366 et 70 105 effets délétères graves entre le 14 décembre 2020 et le 30 juillet 2021.[3]

    - voir graphique sur site -

    Si l’on exclut les « déclarations étrangères » déposées dans VAERS, 443 201 événements indésirables, dont 5 739 décès et 35 881 accidents graves, ont été signalés aux États-Unis.

    Aux États-Unis, 344,9 millions de doses de vaccin contre la COVID avaient été administrées en date du 30 juillet :

    139 millions de doses du vaccin de Moderna

    193 millions de doses de Pfizer

    13 millions de doses du vaccin Johnson &Johnson (J&J) contre la COVID.

    Sur les 5 739 décès signalés aux États-Unis sur cette base au 30 juillet, 13 % sont survenus dans les 24 heures suivant la vaccination, 19 % dans les 48 heures suivant la vaccination et 34 % chez des personnes qui ont présenté des symptômes dans les 48 heures suivant la vaccination.

    Ces chiffres sont bien inférieurs aux chiffres évalués par d’autres sources qui montent à 45 000 décès qui seraient directement liés aux pseudovaccins anticovid.[4] Mais rappelons une nouvelle fois que ces injections sont encore en essai thérapeutique en phase 3 en AMM conditionnelle et qu’avant la « crise covid », l’essai d’un médicament nouveau était toujours stoppé après quelques dizaines de décès au maximum (grippe aviaire après 26 décès, H1N1 après cinquante décès etc..). Les milliers de morts indéniables dans le monde entier auraient dû faire stopper en urgence cette expérimentation, si elle relevait vraiment de la médecine.

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  3. EN CE QUI CONCERNE LES ENFANTS DE 12 à 17 ans

    Les données américaines de cette semaine pour les jeunes de 12 à 17 ans montrent :

    15 741 événements indésirables au total, dont 947 jugés graves et 18 décès signalés. Deux des neuf décès étaient des suicides.
    « Les décès les plus récents signalés comprennent un garçon de 15 ans (VAERS ID. 1498080) qui avait déjà eu la COVID, a reçu un diagnostic de cardiomyopathie en mai 2021 et est décédé quatre jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin de Pfizer le 18 juin, lorsqu’il s’est effondré sur le terrain de soccer et est entré en tachycardie ventriculaire ; et une jeune fille de 13 ans (VAERS ID. 1505250) décédée après avoir souffert d’une maladie cardiaque après avoir reçu sa première dose de Pfizer. »

    Parmi les autres décès, mentionnons deux garçons de 13 ans (VAERS ID. 1406840 et 1431289) décédés deux jours après avoir reçu le vaccin de Pfizer, un garçon de 13 ans décédé après avoir reçu Moderna (VAERS ID. 1463061), trois jeunes de 15 ans (VAERS ID. 1187918, 1382906 et 1242573), cinq jeunes de 16 ans (VAERS ID. 1420630, 1466009, 1225942, 1475434 et 1386841) et trois jeunes de 17 ans (VAERS ID. 1199455, 1388042 et 1420762).
    2 323 cas d’anaphylaxie ont été signalés chez des jeunes de 12 à 17 ans, dont 99 %
    ont été attribués au vaccin de Pfizer.

    406 cas de myocardite et de péricardite (inflammation cardiaque) avec 402 cas attribués au vaccin de Pfizer.
    77 rapports de troubles de la coagulation du sang, avec tous les cas attribués à Pfizer.

    RAPPELONS QUE LES ENFANTS NE RISQUENT RIEN DU COVID : AUCUN MORT D’ENFANT OU DE JEUNE SANS COMORBIDITÉ

    Où est le bénéfice par rapport à ce risque indéniable de l’injection ?

    Selon les CDC les chiffres sont comparables [5]

    Une étude publiée par les Centers for Disease Control and Prevention a montré que 9 246 événements indésirables ont été signalés chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans, dont 863 événements graves, 14 décès et 397 rapports de myocardite.

    Les CDC ont reconnu que près de 400 enfants âgés de 12 à 17 ans avaient souffert d’inflammation cardiaque après avoir reçu le vaccin Pfizer/BioNTech.

    L’étude des CDC a également inclus 14 rapports de décès après la vaccination chez les adolescents. Parmi les personnes décédées, quatre étaient âgées de 12 à 15 ans, et 10 sont survenues chez des jeunes de 16 à 17 ans.

    Les décès examinés par les CDC comprenaient deux rapports d’embolie pulmonaire, deux suicides, deux hémorragies intracrâniennes, un rapport d’insuffisance cardiaque et un trouble sanguin rare.[6]

    Le mois dernier, The Defender a fait état d’un garçon de 13 ans qui, selon une autopsie préliminaire, est mort d’une myocardite trois jours après avoir reçu sa deuxième dose du vaccin Pfizer.

    Les autorités sanitaires du Michigan ont signalé le décès de l’enfant de 13 ans aux CDC, qui ont déclaré enquêter. On ne sait pas si la mort du garçon est l’une des six personnes qui font toujours l’objet d’une enquête du CDC.

    Résultats globaux pour les jeunes de 12 à 17 ans

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  4. Selon l’étude des CDC[7], en date du 16 juillet, environ 8,9 millions d’adolescents américains âgés de 12 à 17 ans avaient reçu le vaccin Pfizer-BioNTech. Le VAERS a reçu 9 246 déclarations après la vaccination de Pfizer-BioNTech dans ce groupe d’âge — 90,7 % d’entre elles concernaient des effets secondaires non graves et 9,3 % des déclarations d’effets secondaires graves, y compris la myocardite (4,3 % ou 397 déclarations).

    Les CDC ont également examiné les événements indésirables pour le groupe d’âge des 12 à 17 ans signalés au cours de la même période à V-safe, un système de surveillance de la sécurité basé sur un téléphone intelligent contrôlé par les CDC et des partenaires privés.

    Selon l’étude, 129 000 adolescents américains âgés de 12 à 17 ans se sont inscrits à V-safe après la vaccination Pfizer BioNTech. Ils ont signalé des réactions locales (63,4 %) et systémiques (48,9 %) avec une fréquence similaire à celle rapportée dans les essais cliniques de préautorisation. Les réactions systémiques étaient plus fréquentes après la dose deux.

    L’étude a indiqué qu’un petit nombre de participants V-safe ont déclaré qu’ils avaient été hospitalisés après la vaccination, cependant V-safe n’enregistre pas de raison d’hospitalisation, et il n’est pas possible de déterminer si l’hospitalisation était liée à la vaccination. Bien qu’elles soient exécutées par le CDC, les données V-safe ne sont pas accessibles au public.

    Réactions les plus courantes liées à la myocardite

    Bien que l’étude des CDC n’ait lié ouvertement aucun des décès survenus dans le groupe des 12 à 17 ans à l’inflammation cardiaque, elle a révélé que les événements indésirables graves les plus fréquemment signalés dans ce groupe d’âge comprenaient des douleurs thoraciques, une augmentation des niveaux de troponine[8], une myocardite, une augmentation de la protéine c réactive et des résultats négatifs du test SARS-CoV-2. Selon les CDC, les résultats étaient compatibles avec un diagnostic de myocardite, inflammation du muscle cardiaque qui peut conduire à l’arythmie cardiaque et la mort.

    Selon les chercheurs de l’Organisation nationale pour les maladies rares, la myocardite peut résulter d’infections, mais « le plus souvent, la myocardite est le résultat de la réaction immunitaire du corps aux dommages cardiaques initiaux ». Selon la Mayo Clinic, une myocardite sévère peut endommager de façon permanente votre muscle cardiaque, ce qui peut causer une insuffisance cardiaque définitive.

    RISQUES ACCRUS DE MYOCARDITE ET DE PERICARDITE SIGNALES PAR LA FDA SUR FICHES D’INFORMATION PFIZER

    Le 25 juin, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a ajouté un avertissement aux fiches d’information des patients et des fournisseurs pour les vaccins Pfizer et Moderna contre la COVID indiquant un risque accru de myocardite et de péricardite après la vaccination. Les mises en garde indiquent que les rapports d’effets secondaires suggèrent des risques accrus de myocardite et de péricardite, en particulier après la deuxième dose et avec apparition des symptômes quelques jours après la vaccination.

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  5. La mise à jour de la FDA a fait suite à un examen de l’information et à une discussion par la réunion de l’ACIP[9] le 23 juin, au cours de laquelle le comité a reconnu 1 200 cas d’inflammation cardiaque chez des jeunes de 16 à 24 ans et a déclaré que les vaccins contre la COVID à ARNm devraient porter une déclaration d’avertissement.

    Les responsables de la santé ont déclaré que les avantages de recevoir un vaccin contre la COVID l’emportent toujours sur les risques. Les médecins et autres commentateurs publics ont accusé les CDC lors de la réunion d’exagérer le risque de COVID pour les jeunes et de minimiser le risque des vaccins.

    Pfizer et son partenaire vaccinal BioNTech ont soumis une demande en mai à la FDA demandant l’approbation complète de la FDA de son vaccin contre la COVID. Pfizer a été le premier fabricant de vaccins contre la COVID aux États-Unis à demander une approbation complète.

    ACCIDENTS PREOCCUPANTS CHEZ LES JEUNES VACCINES : LES SUICIDES ET TROUBLES DU COMPORTEMENT

    Les données récentes du VAERS concernant les jeunes vaccinés contre le covid montrent aussi des troubles de la sérié psychiatrique : suicide, tentatives de suicide -idées suicidaires, changements d’état mental dangereusement altérés/psychose chez les jeunes sans AUCUN antécédent de maladie mentale.

    - voir graphique sur site -

    On peut lire quelques descriptions sur twitter : un jeune de 17 ans de l’Ohio décédé par suicide 4 jours après avoir reçu son injection. Un autre du même âge du Michigan, mort par suicide avec une arme à feu 8 jours après le vaccin. Un garçon de 17 ans en Iowa a fait 2 tentatives de suicide commençant 10 jours après l’injection fatidique. « Il a dit que c’était comme si un interrupteur était éteint dans sa tête. Sa dépression et son anxiété ont empiré. Il n’a pas mangé pendant une semaine… » Il était toujours écœuré. Il suit une thérapie. Sa mère a dit qu’il n’était plus le même depuis qu’il s’est fait vacciner.

    Une fille de 15 ans en Géorgie en bonne santé et sans aucun antécédent de maladie mentale, a décompensé 14 jours après la 2e dose. On « l’a trouvée désorientée, pieds nus, errant dans le quartier au milieu de la nuit ». Les dépistages de drogue et le bilan médical sont tous négatifs.

    Et d’autres témoignages décrits par @AMcA32449832[10] sur twitter.

    FERTILITÉ ET PSEUDOVACCIN

    Depuis plusieurs mois des généticiens attirent l’attention sur les risques importants de ces injections sur la fertilité, étant donné l’attraction de la fameuse protéine spike, que nous fabriquons à la suite du « vaccin », pour les ovaires et les testicules.

    Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter[11].

    « Les Drs Wolfgang Wodarg et Michael Yeadon expliquent que le nouveau vaccin contient une substance similaire à celle produite par le corps de la femme lorsqu’elle attend un enfant (syncitine 1), substance qui, chez la mère, sert à produire le placenta qui nourrit le bébé.

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  6. Il est donc possible que les anticorps de la femme vaccinée (anticorps programmés pour détruire le virus) confondent la syncytine 1 contenue dans le morceau de virus avec la syncytine 1 produite par le corps de la femme en vue de la grossesse, empêchant par conséquent la formation du placenta.

    Les vaccins anti-covid à ARNm agiraient donc comme un abortif permanent puisque l’absence de placenta ferait mourir de faim l’embryon humain, mais ne l’empêcherait pas d’être conçu.

    Par conséquent, vaccination de masse peut vouloir dire « stérilisation de masse« … [12]

    Possible complication d’autant plus insupportable que les femmes sans antécédent particulier en âge de procréer ne risquent rien du covid. Il serait indispensable qu’elles soient en tous cas correctement informées de ce risque.

    LES VACCINS ANTICOVID, LA PROTEINE SPIKE ET SES COMPLICATIONS CARDIOVASCULAIRES : AVC, INFARCTUS, perte de cohérence de mémoire chez personnes âgées, troubles du comportement chez les plus jeunes etc.

    « La protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps s’elle entre en circulation. ~ Dr. Byram Bride

    L’ARNm pénètre dans votre circulation sanguine et s’accumule dans divers organes, principalement la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et, chez les femmes, les ovaires. La protéine de pointe se rend également dans votre cœur, votre cerveau et vos poumons, où des saignements et/ou des caillots sanguins peuvent survenir, et est expulsée dans le lait maternel. » Une fois dans votre circulation sanguine, la protéine de pointe se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Comme expliqué par Bridle, lorsque cela se produit, plusieurs choses peuvent se produire :

    Les plaquettes peuvent s’agglutiner. Les plaquettes, ou thrombocytes, sont des cellules spécialisées de votre sang qui arrêtent le saignement. Lorsqu’il y a des dommages aux vaisseaux sanguins, ils s’agglutinent pour former un caillot sanguin. C’est pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à la fois au [SRAS-CoV-2 de] la COVID-19 et aux vaccins.
    Cela peut provoquer des saignements anormaux (en particulier des troubles des règles chez des vaccinées ou proches de vaccinées qui auront récupéré de la protéine spike)
    Dans votre cœur, cela peut causer des problèmes cardiaques
    Dans votre cerveau, il peut causer des dommages neurologiques
    Il est important de noter que les personnes qui ont été vaccinées contre COVID-19 ne devraient pas donner de sang, vu comment le vaccin et la protéine de pointe sont tous deux transférés. Chez les patients fragiles recevant le sang, les dommages pourraient être mortels. »[13],[14]. Malheureusement actuellement les centres de transfusion français n’abordent pas ce lourd sujet.

    Nous ne pouvons détailler ici tous les accidents liés à ces perturbations de la coagulation et aux thrombus qui en découlent et qui selon certains seraient visibles sur 60% des IRM cérébrales de personnes vaccinées. Elles sont donc à risque et il est conseillé aux vaccinés d’obtenir de leur médecin une surveillance de dimères tous les 15 jours et si ceux-ci sont élevés d’obtenir une IRM cérébrale et un examen cardiaque. Prévenir ces accidents vasculaires serait à discuter avec votre docteur, éventuellement via de petites doses d’aspirine au cas par cas en fonction de vos autres traitements etc. et pas à l’aveugle.

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  7. VACCINATION NON SEULEMENT INUTILE, MAIS MORTIFÈRE

    Et pourtant ces pseudovaccins ne protègent pas, ni les vaccinés, ni les autres. Voyez les expérience à ciel ouvert d’Israël et de Grande-Bretagne.
    En Israël, « 85 à 90 % des hospitalisations actuelles concernent des vaccinés » à 2 doses. 95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid-19 sont des vaccinés [15]!

    En Grande-Bretagne un rapport de Public Health England précise que « sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin, 163 avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, ce qui représente environ 63,4% ».

    LE REMÈDE CONTRE L’HYSTÉRIE ET LA FOLIE VACCINALE ? LE PEUPLE

    Les manifestations populaires pacifiques rejetant l’obligation d’un pass sanitaire qui a incité tant de jeunes et de professionnels dans les dangers d’une vaccination inutile pour eux doivent s’amplifier.

    La résistance au pass via la désertification des terrasses sera également efficace car partagée. Les multiples photos de cafés vides des Champs élysées à la Bretagne etc. donnent espoir que ce boycott du pass et des mesures liberticides aient la même éefficacité qu’en Russie où il sauta en trois semaines, boycott accompagné de plaintes aux administrations.[16]

    [1] https://www.businessbourse.com/2021/08/03/dr-eric-menat-je-nai-jamais-vu-une-augmentation-aussi-importante-des-effets-secondaires-officiels-plus-de-100-fois-quavec-tous-les-autres-vaccins-reunis/

    [2] : https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/120721/covid-19-les-vaccinsvu-travers-la-pharmacovigilance

    Covid-19 – Les vaccins vu à travers la pharmacovigilance de l’OMS 12 juil. 2021 Par Enzo Lolo – Mediapart fr Enquête dans les données de pharmacovigilance mondiale de l’OMS.

    Notons que Médiapart a censuré le document ! selon l’auteur enzololo le 5 aout : « Ça devient presque anecdotique dans le paysage, mais Mediapart vient de supprimer mon billet d’il y a quelques jours « les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS » (que je vous mets en PJ). Le plus humiliant est qu’ils se justifient par ce truc d’une dégoulinante nullité mâtinée de malhonnêteté intellectuelle : https://factandfurious.com/fact-checking/non-les-effets-indesirables-des-vaccins-covid19-ne-sont-pas-dix-fois-superieurs-aux-autres-vaccins

    [3] Les données proviennent directement des rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.

    Chaque vendredi, VAERS rend publics tous les rapports d’accidents vaccinaux reçus à une date précise, habituellement environ une semaine avant la date de délibération. Les rapports soumis au VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’un lien de causalité puisse être confirmé.

    [4] https://leohohmann.com/2021/06/21/behind-the-vaccine-veil-doctor-cites-whistleblowers-inside-cdc-who-claim-injections-have-already-killed-50000-americans/

    [5]Dans l’ensemble, l’étude des CDC a examiné les effets secondaires chez les jeunes de 12 à 17 ans signalés au Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS) entre le 14 décembre 2020 et le 16 juillet 2021. Le VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour la déclaration des effets indésirables des vaccins aux États-Unis.

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  8. [6] L’auteure correspondante du CDC, Anne M. Hause, Ph.D., a déclaré :

    « Les impressions concernant la cause du décès n’indiquaient pas une tendance suggérant une relation de cause à effet avec la vaccination ; toutefois, la cause du décès de certains défunts est en attente de la réception de renseignements supplémentaires.

    Tous les décès ont été examinés par les médecins des CDC et six décès sont en attente d’une analyse plus approfondie. Aucun des rapports de décès n’a été déterminé comme avoir été causé par une inflammation cardiaque.

    [7] CDC Study on 12- to 17-Year-Olds Who Got Pfizer Vaccine : 397 Reports of Heart Inflammation, 14 Deaths • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org)

    [8] Enzyme que l’on dose en cas de suspicion d’infarctus pour confirmer le diagnostic

    [9] Advisory Committee on Immunization Practices

    Le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) est un comité des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis qui fournit des conseils sur le contrôle efficace des maladies évitables par la vaccination dans la population civile des États-Unis

    [10] Le 1 er aout 2021 Tweet : 18 ans garçon de Virginie-Occidentale – en bonne santé, psychose développée 4 jours après la vaccination, nécessitant une hospitalisation de 27 jours

    [11] 7 AOÛT 2021 Les vaccins contre le coronavirus attaquent le placenta et la fertilité, le Dr Yeadon demande aux femmes de les rejeter | Aube Digitale

    [12] 10 bonnes raisons de refuser le vaccin contre la Covid – Résumé. (wordpress.com)

    [13] Chercheur : « Nous avons fait une grosse erreur » sur le vaccin COVID-19 + La charge de la preuve incombe à Big Pharma… » 27 juillet 2021 par mirastnews in Europe /Par le Dr Joseph Mercola

    [14]Le médecin émérite Sucharit BHAKDI qui explique clairement les phénomènes de coagulation post vaccinaux.
    Vidéos doublées en français :
    https://odysee.com/@reseau-influence:a/Message-urgent-DR-Sucharit-Bhakdi-et-le-changement-de-narratif-(covid19)-(post%C3%A9-par-Dr-Perronne)-(1):7?src=embed

    [15] https://vigilance-pandemie.info/2021/08/09/israel-vaccines-hospitalises/ à lire en totalité si vous voulez comprendre ce qui nous arrive

    [16] 2 millions de plaintes en 3 semaines, et victoire ! – Boris Karpov (tvs24.ru)

    « Il faut savoir que depuis 10 ans, le gouvernement russe a développé des services en ligne parfaitement efficaces. Vous voulez écrire au FSB ? Au procureur ? Au percepteur ? A un ministre ? Ça se fait en ligne ! Réponse garantie sous 10 jours ! Des juristes préparent donc des lettres « standard » de plaintes contre le maire de Moscou, destinées à toutes les administrations. Car bien sur les mesures sont totalement illégales et violent tous les codes, et la Constitution !

    Un porte-parole de la Prokurature de Moscou déclare qu’ils reçoivent en moyenne 5.000 plaintes par jour, tous les jours. Et les gens écrivent au FSB pour accuser le maire de « trahison », au ministère du travail pour se plaindre de la violation du code du travail, etc. etc. C’est un véritable raz de marée. »

    […] Injections géniques anticovid : effets indésirables catastrophiques et trop méconnus – Dre Nicole Delépine – 10 août 2021 ► https://docteur.nicoledelepine.fr/injections-geniques-anticovid-effets-indesirables-catastrophiques-… […]

    Vers un holocauste vaccinal ? Dr. Vladimir Zelenko - Strategikadit :
    16 août 2021 à 15 h 52 min
    […] « Injections géniques anticovid : effets indésirables catastrophiques et trop méconnus » (Dr. Nicole Delepine, 10/8/2021) […]

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  9. Dr. Vladimir Zelenko sur la dangerosité des vaccins, la corruption pharmaceutique massive derrière l’épidémie de COVID-19 et l’hypothèse d’une arme biologique génocidaire – La Voix de Dieu Magazinedit :
    14 août 2021 à 13 h 13 min
    […] « Injections géniques anticovid : effets indésirables catastrophiques et trop méconnus » ~ Nicole Delepine, 10/8/2021 […]

    Dangerosité des vaccins et corruption pharmaceutique – RegnumGalliaeRegnumMariaedit :
    14 août 2021 à 11 h 27 min
    […] Injections géniques anticovid : effets indésirables catastrophiques et trop méconnus » ~ Nicole Delepine, […]

    Vers un holocauste vaccinal ? Dr. Vladimir Zelenko – Profession Gendarmedit :
    14 août 2021 à 6 h 34 min
    […] « Injections géniques anticovid : effets indésirables catastrophiques et trop méconnus » (Dr. Nicole Delepine, 10/8/2021) […]

    Dr. Vladimir Zelenko sur la dangerosité des vaccins, la corruption pharmaceutique massive derrière l’épidémie de COVID-19 et l’hypothèse d’une arme biologique génocidaire (VIDÉO) - Divulgation.frdit :
    13 août 2021 à 9 h 38 min
    […] « Injections géniques anticovid : effets indésirables catastrophiques et trop méconnus » ~ Nicole Delepine, 10/8/2021 […]

    Injections géniques anticovid : effets indésirables catastrophiques et trop méconnus – Profession Gendarme :
    11 août 2021 à 6 h 39 min
    […] LE NOMBRE D’EFFETS INDÉSIRABLES DÉCLARÉS EN LIEN AVEC VACCINS ANTI-COVID A DÉJÀ LARGEMENT DÉPASSÉ, EN QUELQUES MOIS, LE TOTAL DES EFFETS INDÉSIRABLES RAPPORTES, DEPUIS LA CRÉATION DE LA BASE DE PHARMACOVIGILANCE DE L’OMS EN 1968, POUR LES 15 VACCINS LES PLUS DISTRIBUES.[1] […]

    https://docteur.nicoledelepine.fr/injections-geniques-anticovid-effets-indesirables-catastrophiques-et-trop-meconnus/

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    1. Pourquoi la guerre contre l'Afghanistan est-elle terminée ? Parce que la guerre ne tue que 10 000 personnes alors que les injections létales actuelles en tuent DES centaines de millions !!
      Et en plus les cons en redemandent ! HAHAHAHAHA !

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  10. La FDA émet un avertissement concernant le risque accru d'inflammation cardiaque causée par Moderna Jab (injection)


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 30 AOT 2021 - 14:14


    Plus tôt ce mois-ci, nous avons signalé la fuite de données d'une étude canadienne qui est arrivée à une conclusion inquiétante : le risque d'effets secondaires rares comme la myocardite et la péricardite - des types d'inflammation cardiaque potentiellement mortelles chez certains patients - était au moins 2,5 fois plus élevé chez le jab Moderna que chez son principal concurrent, produit par Pfizer-BioNTech.

    La fuite des données à la presse était un embarras pour la FDA et le CDC, et ils se sont donc engagés à enquêter. Maintenant, moins de deux semaines plus tard, la FDA vient d'annoncer qu'elle a mis à jour sa "fiche d'information" pour refléter le risque plus élevé d'inflammation cardiaque chez les patients de sexe masculin de moins de 40 ans.

    Pour tous les patients, les données « post-commercialisation » examinées par la FDA montrent que le risque de ressentir ces effets secondaires est le plus élevé dans les 7 jours suivant la réception de la deuxième dose.

    Seul Pfizer a reçu l'approbation complète de la FDA ; le jab Moderna est toujours techniquement sous l'autorisation d'urgence. On ne sait pas si cela retardera ou affectera de quelque manière que ce soit l'approbation par la FDA du jab Moderna.

    Voici le texte complet mis à jour :

    Myocardite et péricardite Les données post-commercialisation montrent des risques accrus de myocardite et de péricardite, en particulier dans les 7 jours suivant la deuxième dose. Le risque observé est plus élevé chez les hommes de moins de 40 ans que chez les femmes et les hommes plus âgés. Le risque observé est le plus élevé chez les hommes de 18 à 24 ans. Bien que certains cas aient nécessité un soutien en soins intensifs, les données disponibles du suivi à court terme suggèrent que la plupart des individus ont eu une résolution des symptômes avec une gestion conservatrice. Aucune information n'est encore disponible sur les séquelles potentielles à long terme. Le CDC a publié des considérations relatives à la myocardite et à la péricardite après la vaccination, y compris pour la vaccination des personnes ayant des antécédents de myocardite ou de péricardite

    Des questions sur le lien entre les injections d'ARNm et l'inflammation cardiaque circulent depuis que ces effets secondaires ont été découverts pour la première fois chez un groupe de soldats américains signalant une douleur thoracique aiguë après leurs vaccinations.

    La nouvelle pèse sur le cours de l'action Moderna, qui a considérablement baissé depuis son sommet du 9 août. Il était en baisse de plus de 3 % lundi après-midi.

    Après avoir vu les gros titres de l'actualité sur Twitter, j'ai profité de l'occasion pour plaisanter sur le jab Moderna.

    - voir doc sur site de la tuerie en cours -

    Les lecteurs peuvent trouver la fiche d'information révisée complète ci-dessous :

    Fournisseurs de fiches d'information sur le vaccin Moderna COVID 19 (1) par Joseph Adinolfi Jr. sur Scribd

    https://www.zerohedge.com/covid-19/fda-issues-warning-about-increased-risk-heart-inflammation-caused-moderna-jab

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    1. Rendez-vous compte qu'ils y en a qui se permettent le luxe d'avoir une myocardite avant de mourir !

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  11. Le pass sanitaire n’est pas obligatoire à l’assemblée, ou se côtoient en espace clos plus de 1500 députés & fonctionnaires.


    ANGEL
    31 AOÛT 2021


    Faites ce que je dis mais pas ce que je fais. Richard Ferrand, le président de l’assemblée nationale, s’était clairement opposé au pass sanitaire à l’assemblée il y a quelques semaines, pointant une « entrave à l’exercice parlementaire » mais aussi (quel culot) une « entrave à la démocratie » et « contraire à la constitution ». Une belle blague.

    https://www.divulgation.fr/manipulations-gouvernance-mondiale/le-pass-sanitaire-nest-pas-obligatoire-a-lassemblee-ou-se-cotoient-en-espace-clos-plus-de-1500-deputes-fonctionnaires/

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  12. Pass sanitaire à perpet' : l'OMS publie un guide pour la certification électronique de la vaccination


    mardi 31 août 2021


    Le 27 août, l'OMS vient de sortir un guide très révélateur pour notre avenir concernant la certification électronique de la vaccination, à l'heure de l'éternelle pandémie du Covid. Ce guide global prévoit notamment la possibilité d'élargir le suivi électronique à d'autres vaccinations et incite tous les pays membres à y recourir, à des niveaux différents en fonction de la réactivité de leur population. Bref, si l'on se soumet, l'on arrive à Pass sanitaire for ever ! Le "nouveau monde" met en place ses instruments.

    L'OMS, qui a vu sa fonction gouvernante décuplée grâce à la crise du Covid, prévoit de faire perdurer son pouvoir au-delà des risques de disparition ou d'apparition d'un virus ou d'un autre. L'intérêt étant bien le transfert des mécanismes de gouvernance à un niveau surpa-étatique, système dans lequel les Etats ne sont que des structures d'exécution. Ainsi, un guide concernant la généralisation et la pérennisation de la certification électronique des vaccins, au-delà de celui contre le Covid, a été publié ce 27 août par l'OMS.

    Selon le document lui-même, en plus des "experts" de l'OMS, il a mis à contribution, notamment, des personnes venant de la Banque mondiale (l'on appréciera la dimension sanitaire), de PATH (une organisation globale axée sur "l'équité sanitaire" et "l'innovation" financée à plus de 20% par le Gouvernement américain et à plus de 50% par des Fondations, dont Bill Gates, Bloomberg ou Open society de Soros), l'Organisation internationale de l'aviation civile, la direction générale pour la santé et la sécurité alimentaire de la Commission européenne, le ministre de la Santé de Nouvelle-Zélande, la direction générale de la communication et des technologies de la Commission européenne, le cabinet juridique Ernst and Young, SNOMED International (organisation internationale d'élaboration des normes de terminologie de la santé - bref, en charge de l'élaboration de la Novlangue sanitaire), le ministère canadien responsable de la politique de l'immigration et des réfugiés (question, comme nous le voyons aujourd'hui en France, effectivement et étrangement liée au Covid), des universités, des groupes technologiques, etc. Et en dernière phrase des remerciements, l'on trouve ceci :

    "This work was funded by the Bill and Melinda Gates Foundation, the Government of Estonia, Fondation Botnar, the State of Kuwait, and the Rockefeller Foundation."

    Sans commentaire.

    En introduction, l'on apprend qu'il s'agit d'un guide intermédiaire pour que les pays aient une approche globale dans ce contexte changeant - pourtant, pas très changeant depuis deux ans ...

    "The current document is written for the ongoing global COVID-19 pandemic; thus, the approach is architected to respond to the evolving science and to the immediate needs of countries in this rapidly changing context; for this reason, the document is issued as interim guidance. The approach could eventually be extended to capture vaccination status to protect against other diseases."

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  13. Donc, les pays n'ont pas de "besoin immédiat" de soigner cette maladie, ils ont un "besoin immédiat" de mettre en place un certificat électronique de vaccination, qui pourra être étendu à d'autres maladies en cas de besoin. Et quand il y a une volonté, l'on trouve un besoin.

    Pour rester dans le monde bisounours, il est bien expliqué que ce n'est qu'un instrument permettant d'établir électroniquement l'existence d'une vaccination. Si c'est un instrument c'est neutre. Certes ... cela met donc en place les "simples" instruments du nouveau monde, monde de surveillance. Un monde qui a besoin de l'électronique pour réaliser son fantasme. Et d'une excuse morale pour le faire passer - le culte sanitaire.

    Et quelques phrases plus loin, l'on voit déjà apparaître l'incitation, notamment pour les voyages :

    "Furthermore, in response to the IHR EC advice to the Secretariat, WHO is actively working to update the design of the ICVP to accommodate the COVID-19 status of travelers, including vaccination, history of infection, and test results consistent with the DDCC:VS specifications. In relation to the ICVP, The IHR EC furthermore recommends States Parties “recognition of all COVID-19 vaccines that have received WHO Emergency Use Listing in the context of international travel. In addition, States Parties are encouraged to include information on COVID-19 status, in accordance with WHO guidance, within the WHO booklet containing the International Certificate of Vaccination and Prophylaxis; and to use the digitized version when available.”

    L'instrument n'est plus si neutre, il a déjà des implications liberticides. Mais au nom de la santé, Amen ! L'illusion de la neutralité de la technologie est très utile pour construire tout système de gouvernance - qui a justement besoin de mettre en place ses propres instruments pour fonctionner.

    Et cette dérive est parfaitement établie dans ce Guide, qui pose bien deux buts - établir l'acte de vaccination dans le cadre de la politique vaccinale classique et surtout, en ce qui intéresse l'actualité, prouver la vaccination dans un but qui n'a rien de sanitaire :

    "2. PROOF OF VACCINATION: Vaccination records can also provide proof of vaccination status for purposes not related to health care."

    Ainsi est donné l'instrument d'apartheid sanitaire. L'utilisation va dépendre, selon ce Guide, de la "maturité sociale" du pays, autrement dit, la population est-elle ou non prête à cette surveillance. Quoi qu'il en soit, ce certificat électronique doit être mis en place par chaque pays membre de l'OMS, de manière différente en fonction de la situation spécifique du pays, de la population. Nous voyons, par exemple, qu'en Russie, le rejet massif conduit à plus de prudence de la part des pouvoirs publics, moins intégrés dans la globalisation et dépendant encore de l'opinion nationale.

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  14. Techniquement, vous trouverez tous les détails dans le Guide, disponible ici en anglais.

    Les gens ont le droit de se vacciner avec des produits récents. Chacun a le droit de faire son choix. Mais personne ne peut, dans une société qui respecte l'homme dans son humanité, conditionner l'accès à la vie sociale à un vaccin, dont aucun recul ne permet de déterminer les effets secondaires.

    Soigner la population est une obligation pour tout pays qui se respecte et qui respecte sa population. La prise en charge médicale ne peut se réduire, dans un pays civilisé, à la vaccination obligatoire de tous avec un produit à peine sorti des labos et l'enfermement des personnes malades, sans soins adaptés.

    Et n'oubliez pas, que tout système totalitaire se met en place grâce à la passivité des populations.

    http://russiepolitics.blogspot.com/2021/08/pass-sanitaire-perpet-loms-publie-un.html

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    1. Je rappelle qu'un 'virus' est une poussière métallique chargée d'électricité (durant 3 semaines), malgré les milliards de milliards de ces nano-particules larguées continuellement par le magma et remontées par les productions de gaz (sans oxygène dans les mers & océans il n'y aurai pas de poisson), seulement une partie infinitésimale est happée lors de tempêtes par les vents (Jet-Stream, alizés, etc) au sommet des vagues et emportée vers la terre (qui ne représente que 22 % de la surface du globe). Ces nano-poussières (injustement appelées aussi 'corona') qui circulent dans les altitudes sont lestées par les pluies, neige et brouillards et tombent au sol. L'eau s'évapore, reste la nano-poussière (de 0,1 à 0,5 µ) au sol et s'envole au moindre coup de vent.

      Nous respirons toutes et tous avec ou sans masque (puisqu'il n'existe pas de masque dits antivirus) 200 000 virus ou microbes par minute (et 2 millions en activité physique). Ce virus (1 chance sur des milliards pour qu'il soit encore chargée) irradie sans danger et n'est la cause d'aucune maladie.
      Par contre, les microbes, eux (vivants) viennent de maladies. Ces maladies typiques appartiennent aux animaux et ne sont qu'accidentellement transmissibles à l'être humain. La découverte de la virologue chinoise Lee Mang-Yan est un séquençage poussé de 50 à 80 qui montre l'addition de diverses maladies rares chez les animaux (Chiens, chats, oiseaux, chevaux, bovins, rats, éléphants, moustiques, serpents, chauve-souris, etc, etc), addition nommée 'covide19'.

      Mais, ce assemblage ayant du mal à se répandre 'naturellement' et rencontrant divers remèdes peu coûteux fut conservé afin d'être proposé en milliards de doses.

      Premièrement, faire une campagne de terreur où l'arrivée d'un méchant virus est sur le point d'envahir la Terre !

      Deuxièmement, alors qu'il n'existe pas de ce microbe dans l'air est proposé une expérimentation génique d'essais illégalement appelée 'vaccin' ou 'vaccin anticovide19'.

      Troisièmement, lors des injections malheureuses sont introduit des nano-particules d'oxyde de graphène (empoisonnement du sang ! Sang noir), des nano-particules d'aluminium (Alzheimer, Parkinson, etc), et mercure. Résultat: Sont désormais transmissibles d'inoculés aux humains en bonne santé par simples expirations !!

      Nota: Dans les inoculations sont glissées divers placebos afin que certaines personnes demeurent en vie. Mais, comme il est proposée une 'seconde dose', la roue tourne et peut être fatale. Rescapé(e) ?: Troisième dose ! Pas encore mort(e) ?! : Quatrième dose ! Véritable coup de chance ? : Cinquième dose ! Etc, etc !

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  15. Comment le « consentement éclairé » est devenu « la coercition des non-informés »


    Par William Sullivan
    27 août 2021


    Il doit y avoir beaucoup d'argent à gagner en colportant des traitements médicaux et des médicaments sur ordonnance aux Américains, sinon il n'y aurait aucun moyen que les publicités présentant ces traitements et médicaments au public soient si abondantes. Mais vous avez peut-être remarqué une caractéristique de ces publicités qui est manifestement absente du discours public pour les vaccins COVID-19.

    Considérons cette publicité (ou l'une des centaines exactement semblables) vous suppliant de vous faire vaxxer comme moyen de « revenir à la vie », montrant des images heureuses de passeports de voyage, d'université, de repas de famille et de grands-parents en visite. Mais, nous assure-t-on, « c'est bien d'avoir des questions », comme « comment les vaccins ont-ils été testés ? » et « pourquoi devrais-je me faire vacciner ? »

    Comment ont-ils été testés ? « Dans des essais cliniques rigoureux menés auprès d'adultes d'origines diverses », nous assure-t-on. Eh bien, c'est un soulagement.

    Pourquoi devrais-je me faire vacciner ? Parce que « se protéger permet aussi de protéger les gens autour de soi ». Vous ne dites pas ? Je n'avais pas entendu ça.

    "Retour à la vie ?" les fins commerciales. "C'est à vous."

    Il y a deux choses que l'Américain moyen pourrait remarquer ici.

    La première est que cette publicité, tout comme chaque argumentaire sur le vaccin COVID jamais créé, nous traite, nous, le consommateur sceptique mais potentiel, comme un enfant persuadé par un parent désespéré de croire que le Père Noël s'est vraiment présenté la veille de Noël. « Je l'ai vu sur l'application Santa Tracker. Honnête!"

    La seconde est l'absence de toute cette divulgation en petits caractères qui apparaît généralement au bas de la plupart des publicités pharmaceutiques américaines, accompagnée d'une récitation rapide de ces effets secondaires potentiels horribles d'une voix agréable. Et curieusement, après ne pas avoir été rappelé qu'il y a des effets secondaires potentiels aux vaccins COVID ou quels sont ces effets secondaires, on ne nous rappelle pas non plus que nous devrions parler à notre médecin avant de « décider » de prendre ce nouveau médicament.

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  16. En fin de compte, il y a une raison pour laquelle tous ces fabricants de médicaments américains et leurs pitchmen ont toujours mis toutes ces révélations inconfortables dans leurs publicités, et ce n'est pas parce qu'ils sont vraiment de mauvais vendeurs ou parce qu'ils aiment faire l'objet d'innombrables parodies pour présenter effets secondaires qui sont souvent pires que le remède qu'ils promettent.

    Nan. C'est en partie grâce à cette petite nuisance d'un concept appelé «consentement éclairé».

    « Le consentement éclairé au traitement médical », selon l'American Medical Association, « est fondamental à la fois pour l'éthique et le droit. Les patients ont le droit de recevoir des informations et de poser des questions sur les traitements recommandés afin qu'ils puissent prendre des décisions réfléchies concernant les soins.

    Les sociétés pharmaceutiques vendant leurs marchandises en Amérique, presque uniquement dans le contexte mondial, sont en mesure de commercialiser des médicaments sur ordonnance directement auprès de patients potentiels. Pour cette raison, la Food and Drug Administration (FDA) cherche à maintenir l'honnêteté des vendeurs de médicaments, estimant que cela fait partie du processus par lequel les patients potentiels sont informés, et les oblige donc à présenter les effets négatifs de tout traitement médical aux côtés des potentiels. avantages.

    L'autre raison, ce sont les avocats spécialisés dans les blessures corporelles, qui parcourront chaque annonce publiée par une société pharmaceutique pour trouver un client qui subit un impact négatif en raison d'un effet secondaire non divulgué, mais c'est une autre histoire.

    En résumé, cela semble être la raison pour laquelle les publicités sur les vaccins COVID n'incluent pas d'effets secondaires pour informer le public de tout effet secondaire potentiellement négatif. C'est une faille. Ils ne divulguent pas les détails car ils ne commercialisent pas une marque spécifique du produit auprès du public. C'est juste une annonce d'intérêt public qui (par coïncidence, j'en suis sûr) fait ce que les pitchmen de Pfizer, Johnson & Johnson ou Moderna ne pourraient pas légalement faire en matière de protection des consommateurs - et c'est présenter leurs produits en promettant à tous de ce vague avantage sans présenter aucun des effets secondaires potentiellement négatifs.

    Ainsi, les publicités pour le vaccin COVID ne sont ni informatives ni équilibrées, bien qu'elles soient présentées comme telles. Et encore plus sinistre que cela, ils semblent offrir la fausse proposition de nous laisser le choix de prendre le jab.

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  17. Ce n'est pas un prétexte très convaincant, pour être juste. Même le langage dans les publicités équivaut à une menace à peine voilée que le non-respect sera puni. Vous ne pouvez pas « revenir à la vie » à moins que vous ne receviez la photo, présume-t-il sans vergogne.

    Mais il est présenté comme si tout cela pouvait être une question de choix personnel. "C'est bien d'avoir des questions", nous dit-on. Il n'est tout simplement pas acceptable de parvenir à une conclusion impliquant une décision de ne pas prendre le jab (injection) pour quelque raison que ce soit. Vous êtes libre d'avoir des réserves à ce sujet, bien sûr, tant que ces réserves finissent (et, espérons-le, bientôt, le reste de la société compte sur vous !) et leurs pitchmen.

    Ceci, comme les masques et comme stupides les rituels de distanciation auxquels nous nous sommes habitués l'année dernière, n'est que du théâtre.

    Lorsque vous vous asseyez pour le jab, l'infirmière vous donnera probablement sept pages d'avertissements et de divulgations. Peut-être que, si elle est vraiment honnête, comme on l'a été en faisant la piqûre à mon beau-frère, elle vous dira que cette liste de divulgations fait environ six pages de plus que l'ensemble typique de divulgations qui accompagne un « normal » vaccin.

    Bien sûr, vous pouvez mettre vos lecteurs et jeter un coup d'œil à tous ces avertissements et divulgations pendant quelques minutes comme si les informations qu'ils contiennent pouvaient affecter votre décision de laisser cette infirmière plonger le contenu de cette seringue dans votre bras, mais ce n'est que du théâtre aussi. Il n'y a rien là-dedans qui vous fasse changer d'avis. L'infirmière sait que vous allez la laisser faire, tout comme vous savez probablement, comme lui, que vous n'aurez peut-être pas de travail le mois prochain si vous n'en avez pas.

    Face à la menace de COVID, et bien que ce virus soit miraculeusement mortel pour les enfants et la plupart des individus en bonne santé tout en ne menaçant qu'un groupe démographique assez spécifique de la société à un niveau significatif, le gouvernement a supprimé notre droit d'aller à l'église, notre droit de conduire commerce dans nos communautés, le droit de nos enfants à l'éducation pour laquelle nous payons trop cher, et même notre capacité à nous sourire quand nous nous croisons à l'épicerie.

    Si vous travaillez pour le gouvernement, pensez-vous, ne serait-ce qu'un instant, que le même gouvernement qui vous a fait tout cela ne ferait pas tout à l'intérieur et même au-delà de son nouveau pouvoir de vous forcer à prendre ces vaccins comme conditions d'emploi ?

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  18. Si vous travaillez dans le secteur privé, êtes-vous assez naïf pour penser que cette coercition n'est peut-être pas imminente pour vous, sous la forme de léviathans corporatifs obéissant aux ordres du gouvernement avec qui il partage désormais ouvertement un lit afin de forcer vous, à tout prix, vous plonger à contrecœur dans votre bras les médicaments que notre gouvernement a déjà achetés à ces compagnies pharmaceutiques ?

    Ils ne sont pas intéressés par notre consentement et sont profondément intéressés à limiter notre accès à l'information. Il n'y a pas de « consentement éclairé » impliqué ici.

    C'est juste de la tyrannie. Rien de plus. Rien de moins.

    https://www.americanthinker.com/articles/2021/08/coog30gmailcom_how_informed_consent_became_coercion_of_the_uninformed.html

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  19. COVID : les députés votent pour un transfert de souveraineté à l’Europe


    Éric Verhaeghe
    30 août 2021


    Personne n'en a parlé, mais les députés français ont adopté sous le manteau une bien étrange résolution sur le COVID et les crises sanitaires la semaine dernière. Cette résolution appelle à une coordination européenne "renforcée" dans le domaine de la santé et des crises sanitaires. Il fallait donc comprendre que le retour à la souveraineté en matière sanitaire dont parlait Macron et son équipe l'an dernier était en fait un retour vers la souveraineté européenne, mais pas la souveraineté nationale. Et un mensonge de plus !

    Résolution de l'Assemblée Nationale sur les crises sanitaires de Société Tripalio
    Que cela soit dit : les députés français veulent plus d’Europe en matière de santé, démarchent qu’ils habillent notamment sous l’appellation en novlangue de “relocalisation des chaînes d’approvisionnement stratégiques dans le domaine sanitaire lorsque cela est possible”. Voilà, donc quand le gouvernement Philippe a parlé l’an dernier de “relocalisation” et de “souveraineté”, il s’agissait de relocaliser en Europe, mais pas forcément en France.

    Une résolution contre la souveraineté sanitaire
    Le texte de la résolution mérite vraiment d’être lu. Il s’agit, pour le Parlement, d’exprimer aux instances européennes la volonté du peuple français sur tel ou tel sujet. En l’espèce, c’est la gestion des crises sanitaires qui est ici traitée.

    On retiendra du texte qu’il appelle :

    à une accélération de la campagne de vaccination en Europe “pour limiter la propagation du virus et des variants”
    à soutenir “les propositions de la Commission européenne du 11 novembre dernier pour renforcer l’Europe de la santé qui pérennisent les mesures ad hoc ayant bien fonctionné pendant la crise”
    à renforcer les “mandats des agences sanitaires qui doivent être les garantes de l’autonomie de réflexion et d’action de l’Union européenne et plaide pour un développement élargi de leur communication afin de rendre leurs activités plus lisibles et accessibles aux citoyens européens”
    à “la création de la nouvelle agence sanitaire permanente, l’Autorité de préparation et de réaction en cas d’urgence sanitaire (HERA)”
    à “la création d’un cloud de données sanitaires à l’échelle européenne pour faciliter le partage de l’information et des connaissances scientifiques, dans le respect du règlement général sur la protection des données (RGPD)”
    à “une éventuelle modification des traités dans le cadre de la Conférence pour l’avenir de l’Union, afin de clarifier et de renforcer explicitement les compétences européennes en matière sanitaire qui sont actuellement disséminées dans les traités”
    Bref, toujours plus de multilatéralisme européen, toujours plus de bureaucratie dominatrice cachée sous l’étiquette “agence indépendante”, et toujours moins de prise sur les politiques publiques offerte aux citoyens ordinaires. L’Assemblée Nationale ne pouvait pas mieux illustrer le naufrage de la démocratie…

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  20. Une Assemblée Nationale très Great Reset compatible
    On notera que toutes ces propositions sont parfaitement en ligne avec les écrits de Klaus Schwab et de son Great Reset, ce qui pose une fois de plus la question du poids du gouvernement profond dans les grandes options publiques.

    Ainsi, la création d’un grand “Cloud” européen en matière de santé (bien entendu respectueux du règlement général sur la protection des données privées, qui pourrait imaginer le contraire ?) participe de cette idée que le contact tracking doit désormais être piloté en dehors des Etats-nations et de leurs vieilles libertés.

    On retrouve par ailleurs tous les mantra de Davos : échanges des bonnes pratiques entre pays, partenariats publics-privés renforcés pour financer une recherche dont les grands thèmes seraient décidés au niveau multilatéral et non national, création d’une sorte de fonction publique hospitalière supra-nationale qui échapperait aux décisions des Etats-membres. Tout est fait ici pour instrumentaliser la crise du COVID au profit d’une disparition des échelons nationaux et d’une concentration des pouvoirs entre les mains d’une bureaucratie incontrôlable, européenne, qui bloquera toute velléité d’autres sorties de l’Union que la Grande-Bretagne, et qui minorera le poids du suffrage universel dans les décisions.

    Les chiens nationaux aboient, la caravane multilatérale passe.

    https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/08/30/covid-les-deputes-votent-pour-un-transfert-de-souverainete-a-leurope/

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  21. La FDA essaie de renommer un médicament miracle en un vermifuge pour chevaux


    August 31st, 2021


    La FDA a lancé un programme de marketing pour rebaptiser le médicament miracle du Japon comme une simple pâte de cheval et ainsi enterrer les 3,8 milliards de doses administrées à des humains très autres que les chevaux, dont beaucoup se trouvaient en Afrique subsaharienne. Un autre jour, ce serait un horriblement raciste. Quand est-ce que 200 millions d'Africains comptent pour rien ?

    La FDA peut espérer sauver les gens d'accidents d'automédication, mais regrettera de dire une soupe à demi-vérité et de brûler plus de ce qui reste dans leur seau de confiance. Après tout, ils veulent que le public leur confie leur vie, mais il suffit d'une conversation révélatrice pour annuler des années de propagande. Si la FDA ne mentionne pas que quelque 200 millions d'humains utilisent l'ivermectine chaque année, que cachent-ils d'autre ? Qu'il a remporté un prix Nobel et coûte 1 $ par jour ?

    La FDA et le Guardian and co, forment les lecteurs à se moquer de quiconque pose des questions sur l'ivermectine. C'est encore le vieil Argumentum By Derision. L'outil des intimidateurs, pas des scientifiques.

    Martin Pengelly de The Guardian a reçu le message que la FDA envoyait :

    Avant l'autorisation complète aux États-Unis du vaccin contre le coronavirus Pfizer, la Food and Drug Administration (FDA) fédérale a envoyé un message simple aux Américains envisageant d'utiliser l'ivermectine, un médicament utilisé pour vermifuger le bétail, au lieu de se faire vacciner contre Covid.

    « Vous n'êtes pas un cheval », dit-il. « Vous n'êtes pas une vache. Sérieusement, vous tous. Arrête ça."

    En effet, Seigneur ! Aucune personne cool ne prendra plus jamais de médicaments pour vaches. Mais disons, les vétérinaires n'utilisent-ils pas de pénicilline ..?

    Le raisonnement selon lequel la médecine animale ne peut pas être une médecine humaine ne tient pas debout : beaucoup de médicaments pour les animaux de ferme sont aussi des médicaments pour les humains. Comme l'aspirine. Valium. Prednisone. Propofol. Tramadol. Dexaméthazone. doxycycline Amoxicilline. Bénazépril. etc etc etc.

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  22. Avertissement de la FDA sur l'ivermectine
    ….

    La FDA va doubler ou rien – non pas pour sauver des vies américaines, mais pour sauver leur propre réputation. Le bruit court que l'ivermectine semble aider beaucoup de gens, et à quoi cela ressemblerait-il si la FDA américaine n'était pas aussi avancée que l'Inde, le Pérou et le Mexique ?

    Pourquoi vous ne devriez pas utiliser l'ivermectine pour traiter ou prévenir le COVID-19
    Le travail de la FDA consiste à évaluer soigneusement les données scientifiques sur un médicament pour s'assurer qu'il est à la fois sûr et efficace pour un usage particulier, puis de décider de l'approuver ou non. L'utilisation de tout traitement pour COVID-19 qui n'est pas approuvé ou autorisé par la FDA, à moins qu'il ne fasse partie d'un essai clinique, peut causer de graves dommages.

    Étant donné que leur travail consiste à évaluer les données scientifiques, la FDA ne donne aucune des raisons auxquelles nous nous attendions. Ils ne disent pas que l'ivermectine est inefficace, ne fonctionne pas, ou qu'elle se lie à la mauvaise partie du virus, arrête la production d'anticorps ou n'atteint pas les tissus dont elle a besoin aussi, ou quelque chose comme ça.

    Ils ne peuvent pas dire ça, parce qu'apparemment ils n'ont pas regardé :

    « La FDA n'a pas examiné les données pour soutenir l'utilisation de l'ivermectine chez les patients COVID-19 pour traiter ou prévenir COVID-19 ; cependant, certaines recherches initiales sont en cours.

    À quel point nous sentons-nous bien à ce sujet ? 644 000 Américains sont morts jusqu'à présent, mais la FDA n'a pas trouvé le temps, dans la pire pandémie des 100 dernières années, d'organiser même la recherche ?

    Si c'est si peu coûteux et à faible risque, pourquoi la FDA a-t-elle mis 16 mois pour commencer à l'examiner ?
    Les médicaments préapprouvés ne sont-ils pas les plus rapides et les moins chers à tester car ils ont déjà passé la plupart des contrôles de sécurité et sont en pleine production ? Si oui, quel programme la FDA a-t-elle pour filtrer les médicaments pré-approuvés afin de les réutiliser. Si la FDA ne le fait pas, qui devrait le faire et pourquoi la FDA n'a-t-elle pas demandé cela ?
    La Frontline Covid-19 Critical Care Alliance of Doctors estime que la FDA est trompeuse.

    Ils conviennent que les gens devraient parler à leur médecin et ne pas prendre de médicaments conçus pour les animaux – mais soulignent qu'il existe 40 essais médicaux dans le monde qui montrent qu'il est sûr et efficace, et que 10 à 20 % de tous les médicaments aux États-Unis sont prescrits. sans étiquette".

    « En raison de ses nombreux antécédents d'utilisation en toute sécurité, les professionnels de la santé peuvent avoir confiance en
    prescrire de l'ivermectine », a déclaré le Dr Pierre Kory, président et médecin-chef de la FLCCC. « Au cours des 40 années qui se sont écoulées depuis sa première approbation, plus de 3,8 milliards de personnes ont été traitées
    Pour plus d'informations sur l'Alliance FLCCC, le protocole de prophylaxie et de traitement ambulatoire précoce I-Mask+ pour COVID-19 et le protocole de traitement hospitalier MATH+ pour COVID-19, veuillez visiter www.flccc.net avec une moyenne de seulement 160 événements indésirables signalés par année. C'est un meilleur bilan de sécurité que plusieurs vitamines.

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  23. La FDA ne citera pas ses détracteurs, mais ses détracteurs n'ont pas peur de ce que dit la FDA (même si c'est ennuyeux). Les voici:

    Voici ce que vous devez savoir sur l'ivermectine
    La FDA n'a pas approuvé l'ivermectine pour une utilisation dans le traitement ou la prévention du COVID-19 chez l'homme. Les comprimés d'ivermectine sont approuvés à des doses très spécifiques pour certains vers parasites, et il existe des formulations topiques (sur la peau) pour les poux de tête et les affections cutanées comme la rosacée. L'ivermectine n'est pas un antiviral (un médicament pour traiter les virus).
    La prise de fortes doses de ce médicament est dangereuse et peut causer de graves dommages.
    Si vous avez une ordonnance d'ivermectine pour une utilisation approuvée par la FDA, obtenez-la auprès d'une source légitime et prenez-la exactement comme prescrit.
    N'utilisez jamais de médicaments destinés aux animaux sur vous-même. Les préparations d'ivermectine pour les animaux sont très différentes de celles approuvées pour les humains.
    Un médicament retardé est un médicament refusé. Il ne doit pas en être ainsi.

    Les médecins australiens peuvent prescrire de l'ivermectine hors indication. Parlez à votre médecin. Montrez-leur le résumé d'une page des essais critiques sur l'ivermectine et le protocole IMASK.


    REFERENCES

    Andy Crump and Satoshi Omura (2011) Ivermectin, ‘Wonder drug’ from Japan: the human use perspective ,Proc Jpn Acad Ser B Phys Biol Sci. Feb 10; 87(2): 13–28. doi: 10.2183/pjab.87.13

    https://joannenova.com.au/2021/08/fda-trying-to-rebrand-a-wonder-drug-as-just-a-horse-dewormer/

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    1. Même si pour vous rassurer on vous dit que la mort n'est qu'une loterie car il existe beaucoup de placebos, lors des inoculations, toutes les chances sont de votre côté ! On vous pique : vous crevez ! Yâhoo !

      (...) La FDA essaie de renommer un médicament miracle en un vermifuge pour chevaux (...)

      On ne dit pas ''Un remède deux cheval" mais "Un remède deux chevaux !" (surtout si vous n'avez qu'un solex).

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  24. La proposition de San Diego sur la lutte contre la « désinformation » du COVID suscite des inquiétudes quant à la liberté d’expression.


    FLORENT
    31 AOÛT 2021


    La controverse grandit à San Diego (CA) après que le conseil des superviseurs du comté a présenté une proposition visant à déclarer que « la désinformation en matière de santé est une crise de santé publique » et à adopter des mesures pour tenter de « combattre » les opinions jugées fausses ou trompeuses. En tant que défenseur de la liberté d’expression, je ne partage pas certaines des objections faites à ces propositions.

    Cependant, un élément est profondément préoccupant.

    À première vue, la proposition demande aux agences gouvernementales de combattre les mauvaises informations par de meilleures informations sur Covid. Je n’ai aucun problème avec de tels programmes d’information. Même si les gens ne sont pas d’accord avec le point de vue du gouvernement sur les vaccins ou les mandats, ils sont libres d’exprimer leurs opinions opposées dans l’exercice de la liberté d’expression. Par exemple, si je me suis opposé aux lois sur le Big Gulp et aux lois interdisant certains aliments ou certaines publicités, j’ai toujours reconnu le rôle légitime (et souvent positif) du gouvernement dans la mise en avant de ce qu’il considère comme une bonne science ou de bonnes pratiques.

    Ce qui me préoccupe, c’est ce point :

    « e). S’associer à des entités fédérales, étatiques, territoriales, tribales, privées, à but non lucratif, de recherche et autres entités locales pour identifier les meilleures pratiques permettant de mettre fin à la diffusion de fausses informations sur la santé et élaborer et mettre en œuvre des recommandations coordonnées. »

    Il y a une différence entre contrer et arrêter la désinformation. Cette dernière a été l’objectif des membres démocrates du Congrès qui ont cherché à censurer les points de vue opposés sur des sujets allant de la fraude électorale au changement climatique en passant par le Covid. La censure directe à partir de bureaux « fédéraux, étatiques ou territoriaux » serait sujette à des contestations au titre du premier amendement. Toutefois, la proposition fait également référence à des entités privées et autres qui seraient engagées dans la lutte contre la désinformation.

    Comme nous l’avons vu précédemment, le PDG de Twitter, Jack Dorsey, a participé à une audience clé au cours de laquelle il a présenté ses excuses pour avoir censuré l’article de Hunter Biden en promettant de renforcer la censure. L’un des moments les plus effrayants est venu du sénateur du Delaware Chris Coons qui a démontré l’essence même du danger de la « pente glissante ».

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  25. Dorsey : Eh bien, l’information trompeuse, comme vous le savez, est un grand problème. Il est difficile de le définir de manière complète et cohérente. Nous avons voulu élargir notre approche pour commencer à nous concentrer sur la plus grande gravité du préjudice. Nous nous sommes concentrés sur trois domaines, les médias manipulés, que vous avez mentionnés, l’intégrité civique autour de l’élection, spécifiquement dans la santé publique, spécifiquement autour du COVID. Nous voulions nous assurer que nos ressources aient le plus grand impact là où nous pensons que la gravité du préjudice sera la plus grande. Nos politiques sont des documents vivants. Elles sont appelées à évoluer. Nous les compléterons, mais nous avons pensé qu’il était important de concentrer nos énergies et de prioriser le travail autant que nous le pouvions.

    Coons : Eh bien, M. Dorsey, je terminerai par ceci. Je ne peux pas penser à un plus grand mal que le changement climatique, qui transforme littéralement notre planète et cause des dommages à notre monde entier. Je pense que nous faisons l’expérience d’un préjudice important en ce moment même. Je reconnais que la pandémie et la désinformation au sujet de COVID-19, les médias manipulés causent également des dommages, mais je vous invite à reconsidérer cela, car aider à diffuser le négationnisme climatique, à mon avis, facilite et accélère davantage l’une des plus grandes menaces existentielles pour notre monde. Merci donc à nos deux témoins.

    Notamment, Dorsey commence par le même argument que les défenseurs de la liberté d’expression : « Eh bien, l’information trompeuse, comme vous le savez, est un vaste problème. Il est difficile de le définir de manière complète et cohésive. » Cependant, au lieu de soulever ensuite des inquiétudes quant à la censure de points de vue et de commentaires sur la base d’une catégorie aussi amorphe, Coons a insisté sur l’élargissement des catégories de matériel censuré pour empêcher les gens de partager tout point de vue qu’il considère comme du « négationnisme climatique »…

    Il existe, bien entendu, un large éventail d’opinions que différentes personnes ou différents groupes pourraient déclarer « nuisibles ». En effet, le sénateur du Connecticut Richard Blumenthal a semblé prendre le sens inverse de Twitter en admettant qu’il avait eu tort de censurer l’article de Biden. M. Blumenthal a déclaré qu’il était « préoccupé par le fait que vos deux entreprises sont, en fait, en train de reculer ou de se retrancher, que vous ne prenez pas de mesures contre la désinformation dangereuse ». En conséquence, il a exigé une réponse à cette question :

    « Allez-vous vous engager à appliquer le même type de règles de modification robuste du contenu lors des prochaines élections, y compris la vérification des faits, l’étiquetage, la réduction de la diffusion de la désinformation et d’autres mesures, même pour les politiciens lors du second tour des élections à venir ? »

    « Modification robuste du contenu » est le nouveau terme orwellien pour la censure.

    L’objectif du gouvernement doit être de combattre ce qu’il considère comme un mauvais discours par un meilleur discours, et non d’essayer d’empêcher ou de réduire au silence ceux qui sont considérés comme trompeurs.

    Source : https://www.zerohedge.com/covid-19/san-diego-proposal-combatting-covid-misinformation-triggers-free-speech-concerns

    Traduction : https://www.divulgation.fr/

    https://www.divulgation.fr/manipulations-gouvernance-mondiale/la-proposition-de-san-diego-sur-la-lutte-contre-la-desinformation-du-covid-suscite-des-inquietudes-quant-a-la-liberte-dexpression/

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    1. C'est aussi tout ce qui différencie une Démocratie (La Suisse) des dictatures monarchiques, républicaines ou impériales.

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  26. Le syndicat de la police de New York menace de poursuivre si la ville exige que les flics se fassent vacciner


    Lundi 30 août 2021
    par : Ramon Tomey


    (Natural News) Le plus grand syndicat de policiers de la ville de New York a annoncé son intention d'engager des poursuites judiciaires dès que les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) deviendront obligatoires pour les forces de l'ordre. Le président de la Police Benevolent Association (PBA), Patrick Lynch, a déclaré que le syndicat protégerait le droit de ses membres de refuser la vaccination. Sa menace est venue après que le maire de New York, Bill de Blasio, a demandé aux employés de la ville de se faire vacciner contre le COVID-19.

    Lynch a déclaré dans un e-mail obtenu par le New York Post : « Si la ville tente d'imposer un mandat de vaccination aux membres de la PBA, nous engagerons une action en justice pour défendre le droit de nos membres à prendre de telles décisions médicales personnelles. » Il a ajouté dans le même e-mail que la ville "n'a pas indiqué si elle tenterait d'imposer des mandats de vaccination aux autres travailleurs de la ville, y compris les policiers".

    Le commissaire de police de New York, Dermot Shea, a déclaré en 2020 que les agents ne seraient pas tenus de se faire vacciner contre le COVID-19. Cependant, il semble avoir changé de position au fil du temps – déclarant récemment qu'il soutiendrait «à cent pour cent» un mandat de vaccination. « Tout le monde… dans tout le pays devrait vraiment adopter ces vaccins », a-t-il déclaré.

    Shea a noté que le vaccin Pfizer/BioNTech a reçu l'approbation complète de la Food and Drug Administration. "Je pense que tout le monde [pas encore vacciné] devrait faire la queue pour l'obtenir", a-t-il poursuivi. Le département de police de la ville de New York (NYPD), fort de 36 000 personnes, a déjà perdu un total de 60 employés à cause de COVID-19 au moment de la rédaction.

    Les organes de presse locaux ont rapporté que les membres du NYPD qui ne présentent pas de preuve d'inoculation de COVID-19 doivent se masquer pendant leur service, à la fois à l'intérieur et à l'extérieur. Le service de police a déclaré dans un bulletin que les agents qui ne respectaient pas les mandats relatifs aux masques pourraient faire face à des "mesures disciplinaires".

    En janvier 2021, les syndicats de New York ont ​​fait pression pour que les flics obtiennent des postes prioritaires dans la campagne de vaccination de la ville. Cependant, les agents du NYPD eux-mêmes avaient des doutes sur les vaccins COVID-19. Selon les derniers chiffres, seulement 47 % des effectifs en uniforme et civils du NYPD ont été vaccinés contre le COVID-19.

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  27. Les policiers sont maintenant armés pour se faire vacciner contre leur gré
    De Blasio a étendu le mandat de vaccination ou de test de la ville à plus de 300 000 employés municipaux, a rapporté le Post en juillet. En vertu du mandat, les employés de la ville devaient se faire vacciner contre la COVID-19 ou subir des tests hebdomadaires pour le SRAS-CoV-2. Il a d'abord donné une date limite du 2 août aux travailleurs pour se faire vacciner.

    Les travailleurs des maisons de soins infirmiers et d'autres établissements de vie gérés par la ville devaient présenter une preuve de vaccination avant le 16 août. Pendant ce temps, les employés d'autres agences ont reçu une date limite du 13 septembre pour se faire vacciner. Le NYPD faisait partie des agences auxquelles la date limite de septembre pour la vaccination a été fixée. Dans une annonce de suivi, de Blasio a déclaré que les enseignants et le personnel scolaire doivent également être vaccinés – de peur qu'ils ne soient licenciés pour avoir refusé de le faire. (Connexes: le New Jersey et la ville de New York exigent des vaccins COVID-19 pour les employés des écoles et les fonctionnaires.)

    De plus, le maire de New York a déclaré qu'en plus de subir des tests hebdomadaires, les employés non vaccinés doivent se masquer à tout moment. Ceux qui refuseraient de se conformer à la nouvelle règle seraient renvoyés chez eux et ne recevront aucun paiement pour la journée, a ajouté de Blasio. Il a défendu ses mandats lors d'un point de presse le 26 juillet : « Il s'agit de notre rétablissement, c'est ce que nous devons faire pour ramener la ville de New York [and] il s'agit de protéger les gens.

    NYC n'était pas la seule ville qui a rendu obligatoire la vaccination contre le COVID-19 pour les forces de l'ordre. La ville de Denver a mandaté ses quelque 10 000 employés pour obtenir le vaccin d'ici le 30 septembre. Le mandat de vaccin mis en place par le directeur exécutif du ministère de la Santé publique et de l'Environnement de Denver, Robert McDonald, s'appliquait aux policiers, aux adjoints du shérif et aux pompiers.

    Le directeur exécutif du Département de la sécurité publique de Denver, Murphy Robinson, a déclaré qu'il était prêt à punir et à licencier les employés de la ville refusant le vaccin COVID-19. « [Le] mandat stipule que les employés de la ville doivent être vaccinés. Si nos gens ne s'y conforment pas … alors je suis prêt à faire ce qui est nécessaire », a-t-il déclaré au Denver Post.

    Les remarques de Robinson faisaient suite à une enquête informelle de la Denver Police Protective Association (PPA), qui représentait la majorité des agents du département de police de Denver. Le sondage de la PPA visait à déterminer combien de ses membres étaient vaccinés. Sur les 778 répondants, seuls 332 policiers – environ 43% – ont déclaré avoir reçu le vaccin COVID-19.

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  28. Robinson a déclaré : « J'ai été choqué par ces chiffres. Ce n'est que lorsque le PPA a publié [ses] chiffres que je me suis inquiété. Je pensais que nous avions beaucoup plus de personnes vaccinées. Si nous avons vraiment 57 pour cent de nos officiers non vaccinés, alors un ordre est nécessaire. » (Connexes: Denver va licencier les flics qui refusent le vaccin contre le coronavirus, ce qui aggrave la pénurie d'agents des forces de l'ordre en période d'augmentation de la criminalité.)

    MedicalTyranny.com has more articles about U.S. cities mandating COVID-19 vaccines for police officers.

    Sources include:

    TheEpochTimes.com
    NYPost.com 1
    NYPost.com 2
    DenverPost.com

    https://www.naturalnews.com/2021-08-30-police-union-to-sue-nyc-over-vaccine-mandate.html

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    1. Il y a 2 injections:
      La létale pour tous le monde avec pourcentage qui se réduit dans la part des placebos
      et la rigolote (solution saline, sérum physiologique) réservée au ministres, chefs d’États, pilotes d'avions et, éventuellement, pompiers, flics et militaires !

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  29. Éducation : ce sont les parents qui doivent s’occuper de leurs enfants …


    le 31 août 2021


    Billet à l’occasion de la rentrée scolaire en France.

    J’ai souvent observé mes enfants dans leur milieu familial, qu’il s’agisse de mes aînés « Parisiens » ou de mon dernier « Japonais ». Ils ont toujours été très attentifs à ce que leurs enfants devaient réaliser à la maison malgré le fait que les études commencent à l’entrée de l’école et se terminent quand l’élève quitte cette école. En France les devoirs à la maison et encore moins les devoirs dits de vacances n’existent plus. L’objectif du gros mammouth qu’est l’éducation nationale française est de former des citoyens français qui ne connaissent rien de l’histoire ou de la géographie, qui ne doivent surtout pas lire Stendhal ou Zola et encore moins Voltaire ou Raspail. Ils doivent se contenter de quelques écrits tirés des œuvres de Sartre quand tout va bien. La lecture des auteurs classiques est pourtant la meilleure école pour former un enfant. C’est indéniable. Les parents, s’ils manifestent quelque ambition pour leur progéniture, doivent être attentifs et parfois exigeants. C’est ce que je me suis efforcé modestement de conduire avec mes enfants et ils m’en ont remercié sans l’exprimer clairement. D’ailleurs je ne leur ai jamais demandé un quelconque remerciement, un père doit faire son devoir, c’est tout.

    Il faut également que les parents aient l’intelligence de comprendre que l’un de leurs rejetons peut ne pas être vraiment un intellectuel. Mais le système éducatif français a été modifié au cours des 30 ou 40 dernières années de telle manière que tous les élèves d’une classe d’âge sont traités jusqu’à 16 ans comme identiques. Il n’y a pas de tête qui dépasse. C’est le fameux tronc commun, une décision stupide qui a uniformisé dans la médiocrité l’enseignement. Dans ma jeunesse quand le maître d’école comprenait qu’un de ses élèves était visiblement destiné à un métier manuel il encourageait les parents à lui trouver un apprentissage et quand ce même maître d’école détectait un élève apte à poursuivre des études secondaires puis supérieures il en prenait la responsabilité car souvent les parents de l’enfant savaient à peine lire et écrire. Le cas d’Albert Camus en est un exemple. On peut citer aussi Michel Onfray dont les parents étaient de très modestes employés et est devenu le philosophe polémiste que l’on sait.

    Pourquoi alors confier ses enfants au système éducatif étatique français compte tenu de ses piètres résultats. Les parents, du moins ceux qui le peuvent ou ont encore une once de responsabilité, doivent s’occuper de leurs enfants, c’est leur devoir, puisque l’État n’est plus capable de le faire correctement. Je ne mentionnerai même pas l’université devenue au fil des années l’antichambre du chômage. Je terminerai ces réflexions en répétant, je l’ai déjà mentionné sur ce blog, qu’au Japon un tiers des enfants est rapidement orienté vers des métiers manuels, un autre gros tiers atteindra le baccalauréat mais sera incapable de se plier à de longues études universitaires. Enfin le dernier tiers pourra atteindre le stade d’ingénieur de haut niveau. La société aura toujours besoin de plombiers, de charpentiers ou d’ouvriers qualifiés, de secrétaires et de vendeuses dans les supermarchés. En France ces métiers sont dénigrés et c’est incompréhensible car ils sont dignes de respect et nécessaires au bon fonctionnement de la société …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/08/31/education-ce-sont-les-parents-qui-doivent-soccuper-de-leurs-enfants/

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    1. Rendez-vous compte qu''ancien temps' existait le Compagnonnage où les jeunes traversaient la France pour étudier un métier dans diverses régions. C'était une époque où l'instruction comptait. C'est pourquoi le pays a progressé, il a avancé dans la bonne direction et non la politique tenue à Paris par un nano-groupuscule de personnes qui ne savent rien.

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  30. Le monde derrière les barreaux


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 30 AOT 2021 - 23:20


    Le département américain de la Justice a décidé de fermer temporairement le tristement célèbre centre de détention métropolitain de Brooklyn, New York, en raison d'une série de lacunes concernant le personnel et la sécurité générale.

    La succursale new-yorkaise de l'établissement a fait l'objet d'un examen minutieux après la mort de Jeffrey Epstein.

    Parmi les détenus récents notables figuraient la mondaine et présumée trafiquante sexuelle Ghislaine Maxwell, le musicien R. Kelly et l'ancien avocat de Trump Michael Cohen.

    Les 233 personnes actuellement détenues dans l'établissement seront transférées.

    Même si ce centre de détention spécifique est plutôt petit, les États-Unis sont toujours en tête du monde en ce qui concerne la population carcérale pour 100 000 habitants, comme le montre Florian Zandt de Statista dans le graphique ci-dessous.

    - voir graphique sur site -

    Infographie : Le monde derrière les barreaux | Statistique
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    - USA
    - Salvador
    - Turkménistan
    - Rwanda
    - Palaos
    - Îles vierges
    - Thaïlande
    - Panama
    - Grenade

    Selon les données fournies par l'Institute for Crime & Justice Policy Research de l'Université de Londres, un ratio approximatif de 639 sur 100 000 résidents américains passent actuellement du temps derrière les barreaux. Avec El Salvador et Panama, deux autres pays du continent américain se classent dans le top dix respectivement aux places 2 et 9.

    Les territoires britanniques d'outre-mer sont également représentés avec deux entrées, les îles Vierges et Grenade.

    Ce dernier complète la liste des dix pays ayant les taux de population carcérale les plus élevés avec une valeur de 413 détenus pour 100 000 habitants.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/world-behind-bars

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  31. Les prix des engrais atteignent un niveau élevé de près de dix ans alors que les agriculteurs luttent pour l'approvisionnement


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 30 AOT 2021 - 20:40


    Les prix des engrais en Amérique du Nord approchent de leur sommet d'une décennie cette semaine, car la flambée des prix des produits de base permet aux agriculteurs d'augmenter la production agricole, augmentant la demande de nutriments essentiels à la production alimentaire.

    L'industrie des engrais connaît des contraintes du côté de l'offre alors que la demande augmente.

    La dernière note sur les produits de base de Rabobank expliquait que les agriculteurs élargissaient les plantations et distribuaient plus d'engrais sur les champs pour augmenter les rendements des cultures, car les prix de l'agriculture ont bondi en raison de l'impression de monnaie par la banque centrale, des problèmes météorologiques dans le monde et des problèmes de chaîne d'approvisionnement. La banque néerlandaise prévient que des prix plus élevés freineront les achats d'engrais.

    "Conjugués à la fureur du commerce et de la géopolitique, les prix des engrais approcheront de l'équilibre sous lequel la valeur relative crée la destruction de la demande", a déclaré l'analyste Matheus Almeida.

    Bloomberg énumère plusieurs facteurs qui font augmenter les coûts des engrais, notamment "des taux de fret élevés, des tarifs plus élevés, des coûts énergétiques plus élevés et des contraintes d'approvisionnement en azote, en potasse et en phosphate".

    On ne sait pas combien de temps les prix des engrais resteront à des sommets de 9 ans, mais l'augmentation des coûts agricoles exercera une pression à la hausse sur les prix des denrées alimentaires. Voilà pour le récit « transitoire » que la Réserve fédérale et les médias grand public continuent de pédaler.

    Début mars, nous avons cité le bureau des matières premières de Citi qui a exprimé son optimisme dans l'espace agricole. À l'époque, ils ont souligné: "Nous restons positifs sur tous les noms d'Ag, et notre ordre de classement est MOS, NTR, CF, CTVA et FMC."

    https://www.zerohedge.com/commodities/fertilizer-prices-hit-near-decade-high-farm-demand-increases

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    1. Après les produits de traitements contre les maladies et insectes ravageurs qui touchent le plafond ou sont indisponibles, tandis que les ressources en eaux sont volontairement bouchées par les exploitations de gaz de shiste, voici qu'arrive l'impossibilité de nourrir les plantes afin de plonger le monde dans la famine !!

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  32. L'amarante rugueuse ne fait pas de prisonniers


    31 Août 2021
    Tim Burrack*


    Je crois que j'ai rencontré la pire mauvaise herbe du monde.

    L'amarante rugueuse [Amaranthus tuberculatus] ne fait pas de prisonniers. Elle est grande, prolifique et difficile à éliminer.

    Elle peut atteindre une hauteur de deux mètres. Une seule plante peut libérer un demi-million de graines. Pour l'empêcher d'envahir nos champs de maïs et de soja ici dans l'Iowa, les agriculteurs comme moi doivent la combattre dans une guerre qui dure tout l'été.

    Il n'y a qu'une seule façon pour les cultures de gagner, et c'est grâce aux produits phytosanitaires sûrs et robustes qui nous aident à maîtriser cette terrible mauvaise herbe.

    Malheureusement, quelques personnes qui ne comprennent pas les défis de l'agriculture veulent restreindre les outils fiables qui nous permettent de contrôler l'amarante rugueuse et ses semblables. Si ces ennemis de l'agriculture moderne, qui aiment les mauvaises herbes, parviennent à leurs fins, les agriculteurs auront plus de mal à produire les cultures dont le reste du monde a besoin. La nourriture deviendra moins abondante. Les factures d'épicerie et de nourriture de tout le monde augmenteront. L'environnement en souffrira même.

    Je me demande parfois comment ces critiques pensent que les agriculteurs remplaceraient les produits phytosanitaires. Croient-ils que nous ferions marche arrière et reviendrions à l'époque du travail manuel, lorsque les agriculteurs parcouraient leurs champs et arrachaient les mauvaises herbes de la terre, une par une ?

    Ce serait comme dire que nous devrions tous abandonner nos smartphones et leurs capacités de messagerie et revenir à un système dans lequel nous écririons des lettres à la main, les mettrions dans des enveloppes et lécherions des timbres.

    J'aime autant que quiconque recevoir des notes manuscrites par la poste, mais ce n'est pas une façon de gérer la communication au XXIe siècle.

    Il y a plusieurs années, un chercheur a estimé que sans herbicides et pesticides, la production mondiale des trois cultures les plus importantes – le maïs, le riz et le blé – chuterait immédiatement de 25 %. En outre, 70 millions de personnes supplémentaires devraient se consacrer à l'élimination des mauvaises herbes.

    Cela ressemble à un programme d'emploi formidable, sauf que personne ne veut de ce genre de travail peu technique et peu rémunéré – et c'est particulièrement vrai à un moment comme aujourd'hui aux États-Unis, où le marché du travail est à peu près aussi tendu qu'il peut l'être. Sans protection moderne des cultures, la productivité serait réduite de moitié.

    La perte des outils de protection des cultures aurait également des effets dévastateurs sur l'environnement. Pour nourrir une planète affamée, il faudrait accroître les superficies cultivées, ce qui impliquerait de convertir des millions d'hectares supplémentaires de forêt tropicale en terres agricoles.

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  33. Un ennemi tel que l'amarante rugueuse exige un autre type de solution – une solution sûre à utiliser, reposant sur les meilleures technologies et contribuant à la conservation de l'environnement et à la protection de la biodiversité. Cela signifie des produits de protection des cultures fondés sur la science et continuellement améliorés, qui éliminent les mauvaises herbes dont nous ne voulons pas et favorisent la croissance des cultures dont nous avons besoin.

    Je suis agriculteur depuis des décennies et, au cours de cette période, j'ai vu apparaître et disparaître de nombreuses espèces de mauvaises herbes. Elles ont une chose en commun : elles veulent retirer les nutriments et l'humidité du sol à leurs propres fins, privant mes cultures des ressources qui leur permettent de prospérer.

    Cependant, l'amarante rugueuse est catégoriquement différente. Cinquante plantes peuvent germer sur un mètre carré de sol. On les trouve partout, des hectares les plus fertiles de ma ferme aux lignes de clôture et aux fossés enherbés.

    Cette mauvaise herbe particulière était rare en Iowa jusqu'à récemment. Dans les années 1980, les malherbologistes ne les considéraient même pas comme un problème. Cela a commencé à changer dans les années 1990. Ces dernières années, elles ont vraiment décollé. On pourrait dire qu'elles ont poussé comme des mauvaises herbes, s'épanouissant grâce à une capacité de reproduction élevée et une résistance intégrée aux herbicides traditionnels.

    Tout à coup, elles ont été partout – et elles constituent un énorme problème pour les agriculteurs de ma région.

    Pour l'instant, je suis satisfait de ma capacité à surmonter cette menace. Nous utilisons des produits de protection des cultures efficaces dans nos champs et, dans les zones plus sensibles telles que les cours d'eau, nous fauchons l'amarante rugueuse avant qu'elle ne puisse monter à graines et se propager.

    Pourtant, cela demande une attention constante et beaucoup de travail. Je passe des heures et des jours dans mon tracteur, à m'occuper de ce problème spécifique.

    Je ne me plains pas, car le désherbage fait partie de l'agriculture et c'est la vie que j'ai choisie.

    Mais j'ai une requête à formuler : ne nous privez pas des outils sûrs et efficaces dont nous avons besoin pour vaincre cette menace. L'amarante rugueuse ne fait pas de prisonniers.
    _____________

    * Tim Burrack, agriculteur, Iowa, USA

    Tim produit du maïs, du maïs semence, du soja et du porc. Il s'est beaucoup impliqué dans l'amélioration des écluses du fleuve Mississippi et a voyagé au Brésil pour étudier les changements apportés à leurs infrastructures fluviales, ferroviaires et routières.

    https://seppi.over-blog.com/2021/08/l-amarante-rugueuse-ne-fait-pas-de-prisonniers.html

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  34. Vous voyagez en voiture pour la fête du Travail ? Attendez-vous à payer les prix les plus élevés en sept ans


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 31 AOT 2021 - 09:55


    C'est la fin de l'été et des millions d'Américains sont sur le point de payer les prix du gaz les plus élevés depuis 2014, grâce au coup de l'ouragan Ida sur l'industrie pétrolière en Louisiane.

    Patrick De Haan, responsable de l'analyse pétrolière pour GasBuddy, une application d'économie de carburant, a averti dans un tweet que "de nombreuses raffineries de Louisiane citent toutes la même chose - des temps d'arrêt prolongés possibles, l'électricité étant le plus gros fardeau à l'heure actuelle".

    Haan a déclaré que certains raffineurs étaient en panne en raison de pannes de courant généralisées ou du manque d'approvisionnement en azote, ce qui est crucial pour le processus de raffinage.

    Pour aider à faire face aux pénuries de carburant, l'Environmental Protection Agency (EPA) a émis des dérogations d'urgence en matière de carburant pour la Louisiane et le Mississippi. Les dispenses de pression de vapeur Reid (RVP) aident à augmenter l'approvisionnement en carburant en autorisant d'autres types de carburants avec des normes différentes dans les zones touchées. Ces dérogations temporaires contribuent à garantir qu'un approvisionnement adéquat en carburant est disponible.

    ... et peut-être que les pénuries ont déjà commencé, selon Haan ?

    Ce qui est essentiel, c'est que Colonial Pipeline, le plus grand pipeline de carburant des États-Unis, s'efforce de renvoyer l'essence et le diesel dans ses conduites qui s'étendent du Texas au nord-est.

    Les prix régionaux de l'essence ont grimpé en flèche, a déclaré l'American Automotive Association. En outre, les prix nationaux seront 90 cents plus élevés par gallon qu'ils ne l'étaient pour la fête du Travail l'année dernière.

    "Pour clore une saison de conduite estivale qui aura inévitablement eu les prix moyens de l'essence les plus élevés depuis l'été 2014, les prix à la pompe du week-end de la fête du Travail devraient être les plus élevés en sept ans à 3,11 $ le gallon (3,78 litres)", selon GasBuddy.

    Alors, à quel prix la demande de destruction sera-t-elle atteinte lorsque les consommateurs n'auront pas les moyens de voyager ?

    En plus des prix élevés du carburant, les consommateurs paient des prix beaucoup plus élevés au supermarché.

    Le fait est que l'inflation devient collante et que le discours « transitoire » de la Réserve fédérale commence à perdre de sa crédibilité.

    https://www.zerohedge.com/commodities/traveling-car-labor-day-expect-pay-highest-prices-seven-years

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  35. Qui est vraiment hospitalisé ?


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 31 AOT 2021 - 11:10
    Rédigé par Jennifer Margulis via The Epoch Times


    Les médias grand public rapportent que les cas graves de COVID se produisent principalement parmi les personnes non vaccinées, mais qui sont comptées comme ayant COVID, et qui sont comptées comme non vaccinées boueuses les eaux. (wavebreakmedia/Shutterstock)

    "Je ne vais pas me battre avec l'administration pour savoir où vous mettre", a dit doucement le Dr C., un gastro-entérologue hautement qualifié, à mon ami qui était au lit dans une salle de triage aux urgences. "Nous voulons juste vous mettre dans un lit afin que nous puissions comprendre ce qui ne va pas et vous faire soigner."

    Nous étions à l'hôpital de notre petite ville. Personne ne savait vraiment pourquoi, mais mon ami n'avait pu garder qu'une poignée de framboises depuis une opération compliquée pour un problème de santé chronique trois semaines auparavant. Déshydraté et incapable de manger, mon ami avait vomi violemment après avoir pris juste une gorgée d'eau ou sucé un morceau de glace, et avait perdu près de vingt-cinq livres.

    J'étais aux côtés de mon mari lorsqu'il a eu une attaque de vésicule biliaire si grave qu'elle a fait trembler ses mains. J'ai eu trois accouchements non médicamenteux et j'en ai assisté à beaucoup d'autres, à la fois en tant que journaliste et défenseur des patients. Pourtant, je n'ai jamais vu un humain souffrir autant.

    Diagnostiqué avec un trouble du pancréas, admis comme patient COVID

    Après une batterie de tests, mon ami a été diagnostiqué avec une pancréatite. Mais il était plus facile pour la bureaucratie hospitalière d'enregistrer l'admission comme cas COVID.

    Laissez-moi expliquer. Ce patient ne présentait aucun des symptômes classiques du COVID : pas d'essoufflement, pas de fièvre, pas de frissons, pas de congestion, pas de perte de l'odorat ou du goût, pas de problèmes neurologiques. Les seuls symptômes de COVID que mon ami avait étaient des nausées et de la fatigue, qui pourraient également s'expliquer par la chirurgie. Cependant, près de trois semaines plus tôt, un test COVID était revenu positif.

    Les médias grand public rapportent que les cas graves de COVID concernent principalement des personnes non vaccinées. Un titre de l'Associated Press du 29 juin se lit comme suit : « Presque tous les décès dus au COVID aux États-Unis figurent désormais parmi les non vaccinés. » Un autre, à partir de la même date : « La grande majorité des patients en soins intensifs atteints de COVID-19 ne sont pas vaccinés, selon une enquête ABC News. »

    Est-ce vraiment ce qui se passe ? Ce n'est certainement pas le cas en Israël, le premier pays à vacciner complètement une majorité de ses citoyens contre le virus. Il a maintenant l'un des taux d'infection quotidiens les plus élevés et la majorité des personnes attrapant le virus (77 % à 83 %, selon l'âge) sont déjà vaccinées, selon les données recueillies par le gouvernement israélien.

    Après avoir soigneusement examiné les données disponibles, y compris les profils d'innocuité et d'efficacité des vaccins à ARNm, mon ami avait adopté une approche prudente. Bien qu'étant un médecin qui administre des vaccins au bureau tous les jours, mon ami a choisi d'attendre et de voir. Selon WebMD, un « grand nombre » de travailleurs hospitaliers de première ligne ont également choisi de ne pas se faire vacciner. En effet, divers reportages, de la Californie à New York, confirment que jusqu'à 40 pour cent des travailleurs de la santé ont décidé que les risques des vaccins ne l'emportent pas sur les avantages.

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  36. Après l'admission, j'ai parlé à l'infirmière du service COVID. Elle portait une blouse jetable en plastique jaune, des gants bleu sarcelle et deux masques sous un système respiratoire personnel à recirculation qui bourdonnait si fort qu'elle pouvait à peine entendre. L'infirmière m'a dit qu'elle avait reçu les deux vaccins mais elle se sentait inquiète : « Les deux tiers de mes patients sont complètement vaccinés », a-t-elle déclaré.

    Limites des données

    Comment peut-il y avoir un tel décalage entre ce que l'infirmière du service COVID m'a dit et les rapports des médias grand public ? D'une part, il est très difficile d'obtenir une quelconque précision lorsqu'il s'agit de chiffres réels. En fait, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont reconnu publiquement qu'ils ne disposaient pas de données précises.

    Comme l'a rapporté l'Associated Press, "Le CDC lui-même n'a pas estimé le pourcentage d'hospitalisations et de décès chez les personnes entièrement vaccinées, citant les limites des données."

    Dans le même temps, la collecte des données se fait état par état. Dans la plupart des États, une personne n'est considérée comme complètement vaccinée que quatorze jours après avoir reçu la série complète de vaccins.

    Cela signifie que toute personne entrant dans un hôpital américain qui n'a reçu qu'une seule dose, ou qui a reçu les deux vaccins mais a reçu le second moins de deux semaines auparavant, sera probablement considérée comme « non vaccinée ».

    Ainsi, lorsque le ministère de la Santé et du Contrôle environnemental de la Caroline du Sud a publié un rapport sur la gravité du COVID le 23 juillet 2021, il a signalé des taux de morbidité et de mortalité plus élevés chez les « pas complètement vaccinés ». S'agit-il de personnes qui ont eu un vaccin et sont tombées malades, deux vaccins et sont tombées malades, ou aucun vaccin du tout ? Sans plus de détails, il est impossible de savoir ce qui se passe réellement.

    "Nous n'avons pas de chiffres précis", insiste le Dr James Neuenschwander, un expert en sécurité des vaccins basé à Ann Arbor, Michigan.

    Mais ce que nous savons, dit Neuenschwander, c'est que les vaccins ne sont pas aussi efficaces que les responsables de la santé publique nous l'avaient dit. « C’est un produit qui ne fait pas ce qu’il est censé faire. Il est censé arrêter la transmission de ce virus et il ne le fait pas. »

    Surcompter le COVID

    Ensuite, il y a le problème d'attribuer des maladies graves et des décès dus à d'autres causes au COVID, comme dans le cas de mon ami. Les autorités sanitaires du monde entier le font depuis le début de la crise COVID. Par exemple, un jeune homme du comté d'Orange, en Floride, décédé dans un accident de moto l'été dernier était à l'origine considéré comme un décès par COVID par les autorités sanitaires de l'État (après l'enquête de Fox News, la classification a été modifiée.) Et un ouvrier du bâtiment d'âge moyen est tombé d'un échelle en Croatie et a également été compté comme un décès par COVID (si le COVID a joué un rôle dans sa mort n'est toujours pas clair.)

    Pour brouiller davantage les pistes, même les personnes dont le test de dépistage du COVID est négatif sont parfois comptées comme des décès dus au COVID.

    Prenons le cas de Matthew Irvin, 26 ans, père de trois enfants du comté de Yamhill, en Oregon. Tel que rapporté par KGW8 News, Irvin s'est rendu aux urgences avec des douleurs à l'estomac, des nausées et de la diarrhée le 5 juillet 2020. Mais au lieu de l'admettre à l'hôpital, les médecins l'ont renvoyé chez lui

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  37. Cinq jours plus tard, le 10 juillet 2020, Irvin est décédé. Bien que son test COVID soit revenu négatif deux jours après sa mort et que sa famille ait déclaré aux journalistes et aux responsables de la santé publique que personne dans les environs d'Irvin n'avait de symptômes de COVID, le médecin légiste aurait dit à la famille qu'une autopsie n'était pas nécessaire, énumérant sa mort comme un cas de coronavirus. Il a fallu deux mois et demi à l'Oregon Health Authority pour corriger l'erreur.

    Dans un exemple encore plus frappant de surestimation des décès dus au COVID, une maison de soins infirmiers du New Jersey qui ne compte que 90 lits a été signalée à tort comme ayant 753 décès dus au COVID. Selon un porte-parole, ils ont fait moins d'une vingtaine de morts. En d'autres termes, le nombre de décès a été surestimé de 3 700 %.

    Qui souffre de COVID sévère, vacciné ou non vacciné ?

    Dans les pays qui comptent le plus grand nombre de personnes vaccinées, nous observons également un nombre élevé d'infections. L'Islande a l'une des populations les plus vaccinées au monde (plus de 82 pour cent) et rapporte que 77 pour cent des nouveaux cas de COVID sont des Islandais entièrement vaccinés, selon Ásthildur Knútsdóttir, directeur général du ministère de la Santé.

    Selon les médias, plus de 85 % de la population adulte israélienne a été vaccinée. Mais un rapport de juillet du ministère israélien de la Santé a révélé que le vaccin de Pfizer n'est efficace qu'à 39 %. Bien que les responsables de la santé israéliens disent au public que les cas sont plus bénins chez les personnes vaccinées, cette recrudescence des cas de COVID et des décès conduit le Premier ministre israélien à émettre de nouvelles restrictions.

    Le Dr Peter McCullough, interniste universitaire et cardiologue en exercice à Dallas, au Texas, affirme qu'un grand nombre de personnes hospitalisées à l'heure actuelle ont effectivement été entièrement vaccinées. "Des personnes entièrement vaccinées sont hospitalisées et … 19 % d'entre elles sont décédées", a déclaré McCullough. « Ce n'est pas une crise des non vaccinés. C'est juste un sujet de discussion. Les vaccinés y participent.

    D'autres médecins voient la même chose. «Dans ma pratique, plusieurs patients entièrement vaccinés ont été admis dans des hôpitaux locaux», explique le Dr Jeffrey I. Barke, un médecin de soins primaires certifié basé à Newport Beach, en Californie. Barke pense qu'une partie du problème est l'exagération de l'efficacité : « Si le vaccin fonctionne si bien, pourquoi poussons-nous maintenant un rappel ?

    Jennifer Margulis, Ph.D., est une journaliste primée et auteure de Your Baby, Your Way: Prendre en charge votre grossesse, votre accouchement et vos décisions parentales pour une famille plus heureuse et en meilleure santé. Lauréate Fulbright et mère de quatre enfants, elle a travaillé sur une campagne pour la survie de l'enfant en Afrique de l'Ouest, a plaidé pour la fin de l'esclavage des enfants au Pakistan à la télévision aux heures de grande écoute en France et a enseigné la littérature postcoloniale à des étudiants non traditionnels de l'intérieur. -ville d'Atlanta. Apprenez-en plus sur elle sur JenniferMargulis.net

    https://www.zerohedge.com/covid-19/whos-really-being-hospitalized

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  38. A tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner


    31 juillet 2021
    Par Reza Moghaddassi


    Pardonnez-moi d’avoir des doutes sur la sûreté de ce que vous appelez en chœur des « vaccins ». Je devrais en effet faire aveuglément confiance à la télé et aux autorités. Je devrais faire confiance aux études fournies par les laboratoires pharmaceutiques même s’ils ont été condamnés ces dernières années à des milliards de dollars d’amendes notamment pour fraude scientifique.

    Pardonnez-moi mon égarement et mon effort pour comprendre la justification scientifique des mesures qui sont prises.
    Pardonnez-moi de chercher à évaluer la proportionnalité des mesures prises par rapport aux risques encourus.
    Pardonnez-moi de confronter le discours des scientifiques lourds de liens et de conflits d’intérêts avec ceux qui n’en ont pas.
    Pardonnez-moi de chercher à comprendre la nature des controverses scientifiques plutôt que de me ranger dans la dictature d’une pensée autorisée arrogante et partiale.
    Pardonnez-moi de ne pas vouloir être le cobaye d’injections expérimentales en cours d’essais cliniques.
    Pardonnez-moi d’oser regarder les chiffres officiels (pourtant largement sous-évalués) des morts et des effets indésirables graves liés aux différents vaccins en cours au lieu de laisser cela aux « experts » ou bien de reconnaître simplement que tous ces évènements ne sont que des coïncidences sans lien de causalité établie.
    Pardonnez-moi de ne pas vouloir faire prendre le risque d’effets secondaires graves à mes enfants alors qu’ils n’ont quasiment aucune chance de faire une forme grave du Covid et que personne n’est capable honnêtement et scientifiquement de reconnaître un rapport bénéfice risque favorable pour eux d’une telle vaccination.

    Pardonnez-moi d’exister.
    Vous avez raison, je ne suis qu’un insolent. Après tout nous sommes dans l’urgence et nous n’avons pas le temps de nous encombrer de la réflexion et de la morale. Ne brisons pas l’unité du troupeau et laissons-nous guider par les « experts » honnêtes et fiables qui nous gouvernent. L’important, ce n’est pas la vérité, ce n’est même pas la réalité, c’est d’être uni dans la guerre contre le virus.
    Vous avez raison, le plus grand danger, ce sont les « complotistes », c’est-à-dire tous ceux qui osent remettre en cause l’intégrité des autorités politiques et scientifiques ou des médias de masse. Ces vilains conspirationnistes vont semer les germes du doute et de la division. Ils risquent, par leur impudence, de pousser les gens à réfléchir.

    Merci en revanche à Pfizer et à Moderna, et à tous les autres, de penser à nous et de nous proposer une offre d’abonnement à vie.
    Merci à leurs amis de longue date dès les bancs de l’université de médecine, puis à travers une collaboration étroite de devenir leurs relais et contribuer ensemble à construire une science véritable au service de la santé.
    Merci aux médias dominants, neutres et indépendants de faire un travail si important de réinformation des masses incultes dont je fais partie.
    Merci bien évidemment aussi à toute l’équipe dirigeante de faire de son mieux, pour notre bien.

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  39. C’est pour notre bien.
    Oui, c’est pour notre bien en effet que les autorités ont continué depuis un an et demi à supprimer des lits à l’hôpital
    C’est pour notre bien qu’ils nous ont imposé le port du masque à l’extérieur sans aucun fondement scientifique.
    C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander de la vitamine D et du zinc en prévention pour renforcer nos défenses immunitaires malgré toutes les études qui confirment leur rôle.
    C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander des traitements précoces peu onéreux malgré l’abondante littérature scientifique et les expériences de terrain qui en montrent l’efficacité et qu’ils recommandent seulement du doliprane et de rester à la maison.
    C’est pour notre bien qu’ils menacent et suspendent tous les médecins qui ont soigné leurs patients avec des résultats époustouflants au lieu de les renvoyer chez eux avec du doliprane.
    C’est pour notre bien qu’ils commandent des millions de dose de remdesivir à 3000 euros la dose en intraveineuse sans études validant ces effets et malgré un retour sur le terrain qui a conclu à son inefficacité, sa toxicité pour les reins et son rôle mutagène.
    C’est pour notre bien qu’ils refusent de s’intéresser au vaccin chinois ou russe, (uniquement pour des raisons sanitaires ! ), même quand on ne disposait pas d’assez de vaccins.
    C’est pour notre bien qu’ils terrorisent et menacent la population pour aller se faire injecter un médicament expérimental sur lequel nous n’avons aucun recul à moyen et long termes.
    C’est pour notre bien que le pouvoir exécutif a créé un conseil de défense totalement secret (pour 50 ans) avec une haute autorité de santé composée d’acteurs en conflits d’intérêt.
    C’est pour notre bien qu’ils incitent les enfants à se faire vacciner alors qu’ils risquent davantage de souffrir des effets secondaires des « vaccins » que du Covid.
    C’est pour notre bien qu’ils lancent une vaccination de masse en pleine pandémie contrairement aux règles habituelles de prudence.
    C’est pour notre bien qu’ils piétinent les libertés les plus fondamentales et scindent à présent le peuple en deux avec deux régimes de droits.
    C’est pour notre bien qu’ils ont interdit la prescription d’hydroxychloroquine jusque-là en vente libre par les médecins.
    C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander l’usage de l’ivermectine, de macrolides et du zinc.
    C’est pour notre bien qu’ils ont méprisé tout le travail de l’IHU méditerranée, le lieu le plus à la pointe de la recherche en France en infectiologie et dont les résultats ont été bien meilleurs qu’ailleurs.
    C’est pour notre bien qu’ils mobilisent et financent des tests PCR peu fiables avec des cycles d’amplifications si nombreuses que le test perd de toute sa pertinence.
    C’est pour notre bien qu’ils comptabilisent comme morts du Covid une majorité de gens morts avec le Covid.
    C’est pour notre bien qu’ils se sont associés avec les GAFAM pour censurer les lanceurs d’alerte sur YouTube, sur Twitter, sur Facebook.
    C’est pour notre bien qu’ils acceptent de décharger les industries pharmaceutiques de toute responsabilité juridique en cas d’effets secondaires des vaccins et qu’ils nous font signer une déclaration de consentement.
    C’est pour notre bien qu’il a été décidé de créer une scission en France entre les vaccinés et les non-vaccinés alors même que les vaccinés peuvent être contaminants.
    C’est pour notre bien qu’on a déclaré comme fous, gâteux, dangereux tous les scientifiques parmi les plus brillants et aux titres académiques les plus prestigieux qui ont eu le malheur de contester la narration officielle sur les évènements.
    Pardonnez-moi de finir par me méfier de ceux qui veulent mon bien. Je suis trop bête pour comprendre.

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  40. Trop bête pour comprendre
    Qu’on a dû changer la définition de ce qu’est un vaccin pour pouvoir dire que ces expériences géniques sont des vaccins.
    Que nous sommes face à un vaccin si nouveau et si révolutionnaire qu’il n’empêche pas de tomber malade ni d’être contaminant.
    Que nous prétendons « vacciner » les gens avec des techniques inédites qui sont en phase expérimentale et dont nous ne connaissons pas les conséquences à moyen terme et à long terme, mais que ceux qui se font vacciner ne seraient pas des cobayes.
    Trop bête pour comprendre

    Qu’on ne connaît pas exactement l’intégralité de la composition des vaccins au nom du secret industriel, mais qu’on ne peut pourtant affirmer qu’il n’y a pas de problèmes.
    Que les industries pourvoyeuses des vaccins dont Pfizer ont été condamnés à plusieurs milliards d’amendes pour fraude scientifique, mais qu’on peut s’appuyer sur leurs seules études pour lancer la campagne vaccinale.
    Que si des spécialistes de la vaccination et des scientifiques dans le monde entier mettent en garde contre les risques de ces vaccins à adénovirus ou à ARN messager, c’est parce qu’ils sont devenus fous ou séniles.
    Que si une personne âgée meurt en ayant le Covid, elle meurt du Covid, mais que si une personne âgée meurt après s’être fait vaccinée elle meurt de vieillesse.
    Que le nombre de morts et d’effets indésirables officiellement signalés par les agences de pharmacovigilance chez les « vaccinés » est sans commune mesure par rapport aux vaccins habituels, mais que nous devons fermer les yeux.
    Trop bête pour comprendre

    Que ces injections géniques évitent les formes graves alors que pourtant en Israël et en Angleterre ultra vaccinés une partie non négligeable des personnes en réanimation sont doublement vaccinés.
    Que ce vaccin est tellement protecteur qu’il faut continuer les gestes barrières, continuer à porter les masques et surtout continuer à craindre les non-vaccinés.
    Qu’il est tellement efficace qu’on parle déjà de « baisse immunitaire », de troisième ou de quatrième doses et pourquoi pas d’un abonnement annuel ou biannuel.
    Trop bête pour comprendre

    Qu’on n’a jamais mis fin aux épidémies de grippe, mais qu’on prétend qu’en « vaccinant » tout le monde nous allons vaincre le coronavirus.
    Que nous faisons partie des pays au monde qui ont le plus de morts par millions d’habitants, mais que nous sommes pourtant les meilleurs et que nous pouvons continuer à nous fier à la même équipe scientifico-politique.
    Que les pays les plus vaccinés sont ceux qui sont les plus touchés par les nouveaux variants, mais que c’est parce que nous ne sommes pas suffisamment vaccinés.
    Que si les vaccinés tombent malades, c’est à cause des non-vaccinés.
    Que l’État est surendetté et n’a pas d’argent, mais qu’il peut débloquer des milliards et des milliards pour financer sa politique sanitaire.
    Que les tests et les vaccins sont gratuits, mais que ce sont les contribuables qui vont devoir les payer.
    Qu’en prétendant sauver une partie infime de la population, nous allons sacrifier la vie de beaucoup d’autres et détruire l’avenir de la nation.
    Oui, je suis trop bête pour comprendre tout cela.
    Je dois avoir l’esprit tellement confus que tout semble s’inverser dans ma tête.
    Je dois apprendre grâce à vous à remettre les choses dans le bon ordre.

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  41. Inversion
    Je dois, en effet, comprendre que :

    La liberté, c’est de se soumettre au pass sanitaire.
    L’immunité artificielle est meilleure que l’immunité naturelle.
    Si les gens vaccinés tombent malades ou développent des formes graves, c’est la preuve que le vaccin marche.
    Si le vaccin fonctionne moins bien contre un nouveau variant, c’est qu’il faut reprendre une dose du même vaccin.
    Toute personne testée positive à un test PCR est une personne malade.
    Toute personne en bonne santé est un malade qui s’ignore et dont il faut se méfier.
    Je suis désolé, je suis un peu lent et il va falloir que je me répète souvent tout cela pour réussir à l’intégrer. Heureusement que les journalistes sont là pour faire preuve de pédagogie et de répétition.
    Merci à vous, tous les gens raisonnables et très intelligents, de veiller sur nous.
    Merci de nous dispenser de penser.

    https://vigilance-pandemie.info/2021/07/31/trop-bete-pour-comprendre/

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    1. Aujourd'hui, à 7h55, j'ai posté un clip sur le docteur Richard Fleming. Au cours du film il a demandé à des personnes de le rejoindre sur la scène et de leur demander de déplier le papier de la posologie du vaccin qui est à l'intérieur de la boite en carton. Le papier explicatif mesure 60 cm de large sur environ 100 cm de haut ! Il est blanc des deux côtés avec au milieu la mention (à 2:09:00) au centre de la page: 'INTENTIONNELLEMENT VIDE' ! C'est-à-dire qu'il n'y a AUCUNE information qui accompagne le faux vaccin !!
      ET POUR CAUSE !! Il s'agit d'une piqûre létale !!

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