- ENTREE de SECOURS -



vendredi 31 mai 2019

Bikini Bowfishing for Tilapia - Central Florida - Part 1

https://www.youtube.com/watch?v=BSF0KzIzgcc

16 commentaires:

  1. Voici ce qu'on trouve dans la version payante de Yuka


    Thomas Chenel
    31 Mai 2019, 13:09


    L'application nutritionnelle Yuka, qui compte déjà plus de 8,5 millions utilisateurs, a lancé récemment une option premium payante sur iOS. Elle est disponible sur iPhone depuis la publication d'une mise à jour sur l'App Store, le 20 mai dernier. Les utilisateurs d'Android peuvent quant à eux y avoir accès depuis janvier. Ce nouveau service de Yuka, qui évalue l'impact sur la santé de plus de 450 000 produits alimentaires et 150 000 produits cosmétiques en France, est facturé 15 euros par an. Il offre plusieurs fonctionnalités, dont la possibilité de scanner sans connexion internet des produits avec son smartphone, de consulter son historique de façon illimitée et, surtout, d'effectuer des recherches par produit sans code barre, souligne le magazine LSA.

    Pour Yuka, lancé en janvier 2017, cette option payante doit constituer une nouvelle source de revenus récurrente. La startup propose déjà, depuis juin 2017, un "programme nutrition" vendu à 59 euros sur son blog, permettant aux utilisateurs de bénéficier de conseils ("les 10 règles d'or") pour mieux s'alimenter, avec des idées de recettes et la possibilité de poser des questions au nutritionniste en charge du service. En octobre 2017, Yuka a aussi lancé un programme de dons pour que ses utilisateurs puissent contribuer directement à son financement.

    Mais l'entreprise tire déjà "l'essentiel" de ses revenus de la version premium à 15 euros de l'application.

    https://www.businessinsider.fr/voici-ce-quon-trouve-dans-la-version-payante-de-yuka/

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  2. Ces 8 pays affichent de meilleurs résultats scolaires que la France sans dépenser plus


    Chisato Goya
    24 Mai 2019, 14:23


    Dépenser plus ne garantit pas forcément de meilleurs résultats. Cette affirmation est vraie dans différents domaines, dont l'éducation. Kai L. Chan, professeur émérite de l'INSEAD Innovation & Policy Initiative, a classé différents pays en fonction du retour sur investissement en matière d'éducation et a partagé les résultats de ses calculs dans un article publié sur un blog de l'école. Il en ressort notamment que les Etats-Unis sont le pays qui dépensent le plus d'argent par étudiant en études supérieures ce qui n'empêche pas, dans l'ensemble, qu'ils ne soient classés qu'en 42e position pour le GMAT, un test standardisé en anglais qui permet de mesurer les compétences jugées importantes pour l'étude du management.

    Selon des chiffres fournis par Kai L. Chan à Business Insider France, plusieurs pays ont obtenu de meilleurs scores au classement PISA (évaluation visant à tester les compétences des élèves de 15 ans en lecture, sciences et mathématiques) et au test GMAT par rapport à la France alors qu'ils disposaient d'un budget public par étudiant inférieur à celui de l'Hexagone. La France a obtenu 1056 comme résultats combinés au PISA et au GMAT avec 2407 dollars dépensés par étudiant. Huit pays sur les 66 répertoriés par le chercheur (tous les pays de l'OCDE y figurent et la plupart des pays du G20) dépensent moins et obtiennent de meilleurs résultats que la France.

    Voici les huit pays qui ont obtenu de meilleurs résultats scolaires que la France alors qu'ils dépensent moins d'argent pour chaque élève.

    8. République tchèque — 1062 comme résultats combinés au PISA et au GMAT avec 1448 dollars dépensés par élève.

    7. Slovénie — 1069 pour 1831 dollars dépensés par élève.

    6. Estonie — 1072 pour 1721 dollars dépensés par élève.

    5. Espagne — 1073 pour 1635 dollars dépensés par élève.

    4. Pologne — 1077 pour 1440 dollars dépensés par élève.

    3. Japon — 1078 pour 1526 dollars dépensés par élève.

    2. Chine — 660 pour 1311 dollars dépensés par élève.

    1. Corée du Sud — 1101 pour 2018 dollars dépensés par élève.

    https://www.businessinsider.fr/classement-pays-meilleurs-resultats-scolaires-que-france

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  3. Les Etats-Unis dépendent de la Chine pour près de 80 % de ses médicaments


    par Tyler Durden
    Ven., 31/05/2019 - 12:55


    Les experts avertissent que les États-Unis sont devenus trop dépendants de la Chine pour tous nos médicaments, nos analgésiques, nos antibiotiques, nos vitamines, notre aspirine et de nombreux médicaments pour le traitement du cancer.

    Selon Fox Business, selon la FDA, au moins 80% des ingrédients actifs contenus dans l’ensemble des médicaments en provenance de l’Amérique provenaient de l’étranger, principalement de Chine. Et ce n’est pas seulement les ingrédients, la Chine veut devenir le principal fabricant de médicaments génériques dans le monde. Jusqu'à présent, les entreprises chinoises fabriquent des génériques pour tout, de l'hypertension artérielle aux médicaments de chimiothérapie. 90 % des ordonnances américaines concernent des médicaments génériques.

    Rosemary Gibson dit que tout cela fait partie du plan de la Chine.

    «Dans cinq à dix ans, nous risquons de perdre notre industrie des médicaments génériques, car la Chine utilisera le même livre de lecture et réduira ses ventes à celles de ses propres producteurs et les poussera à la faillite», a déclaré Gibson, auteur de «China Rx - Exposing the risk de la dépendance de l'Amérique à la Chine pour les médicaments."

    Que se passera-t-il si la Chine souhaite réduire l'approvisionnement en médicaments de notre médicament ou en altérer la qualité ?

    "Imaginez si la Chine éteignait cet embout", a déclaré Rosemary Gibson, auteure de "China RX: Les risques de la dépendance de l'Amérique à l'égard de la Chine en matière de médecine".

    "L'objectif de la Chine est de devenir la pharmacie mondiale à l'échelle mondiale - dit-elle. Elle veut perturber, dominer et remplacer les entreprises américaines et occidentales."

    De nombreux médicaments utilisés sur nos troupes et nos anciens combattants peuvent également être achetés en Chine, rapporte Fox Business.

    Cliquez ici pour plus d'informations sur Fox Business :

    https://www.foxbusiness.com

    https://www.zerohedge.com/news/2019-05-31/us-dependent-china-almost-80-its-medicine

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  4. Les Etats-Unis dépendent de la Chine pour près de 80 % de ses médicaments


    par Tyler Durden
    Ven., 31/05/2019 - 12:55


    Les experts avertissent que les États-Unis sont devenus trop dépendants de la Chine pour tous nos médicaments, nos analgésiques, nos antibiotiques, nos vitamines, notre aspirine et de nombreux médicaments pour le traitement du cancer.

    Selon Fox Business, selon la FDA, au moins 80% des ingrédients actifs contenus dans l’ensemble des médicaments en provenance de l’Amérique provenaient de l’étranger, principalement de Chine. Et ce n’est pas seulement les ingrédients, la Chine veut devenir le principal fabricant de médicaments génériques dans le monde. Jusqu'à présent, les entreprises chinoises fabriquent des génériques pour tout, de l'hypertension artérielle aux médicaments de chimiothérapie. 90 % des ordonnances américaines concernent des médicaments génériques.

    Rosemary Gibson dit que tout cela fait partie du plan de la Chine.

    «Dans cinq à dix ans, nous risquons de perdre notre industrie des médicaments génériques, car la Chine utilisera le même livre de lecture et réduira ses ventes à celles de ses propres producteurs et les poussera à la faillite», a déclaré Gibson, auteur de «China Rx - Exposing the risk de la dépendance de l'Amérique à la Chine pour les médicaments."

    Que se passera-t-il si la Chine souhaite réduire l'approvisionnement en médicaments de notre médicament ou en altérer la qualité ?

    "Imaginez si la Chine éteignait cet embout", a déclaré Rosemary Gibson, auteure de "China RX: Les risques de la dépendance de l'Amérique à l'égard de la Chine en matière de médecine".

    "L'objectif de la Chine est de devenir la pharmacie mondiale à l'échelle mondiale - dit-elle. Elle veut perturber, dominer et remplacer les entreprises américaines et occidentales."

    De nombreux médicaments utilisés sur nos troupes et nos anciens combattants peuvent également être achetés en Chine, rapporte Fox Business.

    Cliquez ici pour plus d'informations sur Fox Business :

    https://www.foxbusiness.com

    https://www.zerohedge.com/news/2019-05-31/us-dependent-china-almost-80-its-medicine

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  5. Science et propagande : plus personne ne réfléchit

    Le travail scientifique se résume aujourd’hui à marteler de pseudo-évidences : « C’est comme ça ! »
    Pourquoi ? Qui se pose encore la question ?

    Par Michel de Rougemont.
    1 JUIN 2019


    L’Institut national de recherche agronomique français publie des pamphlets de propagande destinés au grand public ; il faut bien montrer que l’on travaille dans le sens des modes ambiantes, c’est-à-dire sustainable, healthier, carbon free and pesticide free. C’est ce dernier thème qui interpelle car le but énoncé est sans équivoque possible : « Vers une agriculture sans pesticides chimiques » (brochure en anglais pour être enfin lue au-delà de l’Hexagone). À ce sujet on n’oubliera pas non plus que deux initiatives constitutionnelles feront l’objet d’un vote en Suisse, l’une visant à ne plus subventionner les agriculteurs utilisant des pesticides de synthèse, l’autre à les interdire totalement ainsi que l’importation de denrées alimentaires produites avec de tels moyens horriblement artificiels.

    Il faudrait s’attendre que les raisons de viser cet objectif soient discutées et pesées avant d’exposer des stratégies et des plans d’action pour l’atteindre.

    Que nenni ! une fois encore, la question du pourquoi n’est plus posée, comme c’est le cas avec les « transitions » de toutes sortes et avec le « sauvetage » du climat. Le prix Nobel de chimie 2017 décrète de manière parfaitement didactique : « On ne doit plus brûler d’énergies fossiles1. Parce qu’il le faut ». Comme le dit si bien ma petite fille de 4 ans : « c’est comme ça ! ».

    Une forte réduction allant jusqu’à l’élimination des pesticides de synthèse est adoptée comme un axiome ; ça ressemble plutôt à un acte de foi, destructrice comme trop souvent.

    Voilà un document très officiel d’une institution d’un État membre de l’UE. Les rédacteurs de ce prospectus se sont mis aux ordres d’oukases politiques décrétés on ne sait où ni comment. Ce sont des apparatchiks, comme il y en a beaucoup trop dans de telles institutions, sans liberté académique ni réelles responsabilités, mais seraient-ils capables de les assumer ? On ne se préoccupe donc que d’organiser ce démantèlement et de se répartir des mandats de R&D.

    La gestion du risque n’a plus aucune importance, même s’il ne sert à rien de diminuer à grands frais un risque minime et déjà suffisamment maîtrisé sauf à entretenir les anxiétés et les suspicions. Les considérations économiques ne doivent plus compter, le portemonnaie des Européens repus en supportera les conséquences. Et aucune mise en dépendance géopolitique qu’un défaut d’autosuffisance de notre continent pourrait entraîner ne semble déranger personne.

    Arrêt du nucléaire, bannissement des OGM, élimination de la chimie de synthèse (pas seulement en agriculture), interdiction de la téléphonie 5G, des moteurs diesel : devant chaque indication de simple danger, il faut répondre par la renonciation. Le risque n’a plus de limite tolérable car personne ne veut en endosser la responsabilité. Les baby-boomers (mes contemporains), leurs enfants et petits-enfants ne savent pas pourquoi ils sont [encore] prospères et en si bonne santé ; il ne leur reste que la pantophobie.

    J’ai entendu je ne sais où qu’il y aurait une loi de psychologie sociale qui dit que l’énormité des scandales et des récriminations va en proportion inverse de la gravité du problème présenté. Les performances de l’enseignement et de la formation professionnelle sont défaillantes, on ne s’en préoccupe que du bout des lèvres. Par contre, un loup en liberté dans une bergerie ou des nanogrammes de glyphosate dans le pipi, ça c’est de la plus haute importance.

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  6. À force de n’accepter plus aucun risque – sauf la certitude de rester abruti – il n’y aura plus aucun progrès possible. C’est le but des écolocrates qui dictent leur agenda à tout le reste de la classe politique et médiatique. Ils ne savent pas ce qu’ils font, ce n’est pas une raison de leur pardonner.



    Sur le web:

    https://blog.mr-int.ch/?p=5254

    Prière de m’expliquer comment brûle-t-on de l’énergie

    https://www.contrepoints.org/2019/06/01/345782-science-et-propagande-plus-personne-ne-reflechit

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    1. Depuis des décennies les scientifiques sont interdits de plateaux-télé, de micro radio et de colonnes de journaux et ont été remplacés par des politiciens !! et des journalistes et n'ont pas plus que leurs chefs fait 1 heure de sciences dans leur vie !
      Seuls invités des clowns escrocs qui se font appeler 'climatologue' ! (qualité non-reconnue comme pluitologue ou ventologue).

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  7. General Electric, victime collatérale des énergies renouvelables

    Pour l’instant, les énergies renouvelables ont tué les turbines à gaz. La déconfiture de General Electric a bien d’autres causes, et date de plus longtemps. Mais sa conversion au « Green » pourrait bien lui porter le coup de grâce.


    Par Michel Negynas.
    31 MAI 2019


    General Electric est une icône du rêve américain ; elle a créé, perfectionné, ou industrialisé tout ce qu’on peut trouver de haute technologie aujourd’hui. C’était le résultat d’une lignée de grands capitaines d’industrie : Charles Coffin, Reginald Jones, Jack Welsh à ses débuts… C’était une gestion rigoureuse et même terrible pour les salariés les moins brillants, assortie d’un flair pour l’innovation vraie. Bref, une alliance réussie entre le monde des ingénieurs et celui du management.

    Mais General Electric est en faillite ! Que s’est il donc passé ?

    General Electric est entré dans le rang des grandes multinationales perdant le sens de leur histoire, via des chefs abandonnant leurs propres repères. En fait, la réussite de Welsh, sacré meilleur manager de tous les temps, était un trompe l’œil : moins d’innovation endogène, acquisitions à marche forcée dans des secteurs divers, dont, évidemment, le miroir aux alouettes du numérique, et le green business.

    GE était surnommé « Green Electric » en 2015 avec son programme de croissance verte Ecomagination.

    ON NE PEUT AVOIR LE BEURRE ET L’ARGENT DU BEURRE

    Le management pragmatique était abandonné au profit du département financier qui générait les profits. Dans la ronde infernale des achats et des ventes, GE a battu un record : Immelt, le successeur de Welsh, affirmait fièrement qu’il avait acheté ou vendu pour 100 milliards de dollars. En réalité, si certains deals étaient gagnants, d’autres furent catastrophiques. Les crises (11 septembre, subprimes, fluctuations du baril) sont passées par là. Les dettes devinrent abyssales.

    Pourtant, General Electric est toujours le leader des moteurs d’avion, des turbines à vapeur et à gaz, ses scanners et IRM sont toujours à la pointe…

    Mais les déboires financiers ont affolé les investisseurs. En un an, GE a détruit 120 milliards de capital. La question est maintenant si la survie des vraies activités passe par un éclatement du groupe. En attendant, il faut « fermer ou vendre », comme disait Welsh, et cela, quelque soit la rationalité.

    On arrive alors à une situation bizarre, et c’est là que les Énergies Renouvelables entrent en scène.

    LES ALÉAS DE LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE

    Parmi les deals gagnants de GE, il y a les éoliennes d’ENRON. GE les a achetées pour 350 millions alors qu’ENRON était en faillite, et elles ont généré 10 milliards de revenus en 2017, aux frais du consommateur et du contribuable !

    Parmi les deals perdants, il y a Alstom, acheté pour 10 milliards, et en particulier la division turbines à gaz. Voici pourquoi.

    On pourrait penser que la volonté de baisser nos émissions de gaz carbonique est favorable aux turbines à gaz : le gaz en lui-même émet moins que le charbon, certains types de turbines ont un rendement de 60 %, et elles seules peuvent secourir les fluctuations à court terme des éoliennes et du solaire. Mais tout n’est pas si simple. Le prix du KWh gaz est très élevé avec ce genre d’unités.

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  8. Il faut un taux d’énergies renouvelables très important, comme en Allemagne, pour que le recours aux turbines à gaz soit nécessaire. Et les possesseurs de centrales à charbon réussissent à augmenter aussi leur flexibilité. En outre, l’Allemagne et le Danemark, en Europe, « diluent » ces problèmes de fluctuation sur leurs voisins qui ne sont pas encore équipés d’ENR au même niveau.

    Aux États-Unis, la conversion au gaz se fait souvent en transformant des chaudières à charbon. Et partout dans le monde on a besoin de très grosses centrales de base : c’est le charbon qui gagne. Les centrales à gaz sont trop petites, trop chères.

    Le résultat est que si dans un avenir lointain les turbines à gaz ont leur place, pour l’instant, le marché dégringole. En Europe, on en a même arrêté pas mal : elles ne sont plus rentables avec des prix de marchés de l’électricité maintenus artificiellement à la baisse par les subventions aux ENR et leur obligation d’achat par les réseaux. En 2015 déjà, on pouvait lire sur L’Usine Nouvelle : « Il y a 125 000 MW de centrales à gaz en Europe, précise Fabien Roques, le directeur de l’IHS Cera, un cabinet d’analyses spécialisé dans l’industrie et l’énergie. Parmi celles-ci, 110 000 MW ne couvrent pas leurs coûts d’investissements. Nous estimons le déclassement probable de 25 000 MW dans les années à venir. »

    (Source)

    La situation est identique dans tous les pays subventionnant les ENR, et pour tous les fabricants. Tous ont des stocks de turbines invendues. Siemens et Mitsubishi sont à la même enseigne. Mais ils s’en sortiront. Ce n’est pas le cas d’un GE aux abois.

    GE va simplifier ses activités, privilégier l’aviation, et couper là où c’est le moins bon, les business pourris qui entraînent les bons avec eux : comme par exemple les turbines à gaz.

    Pour l’instant, les ENR ont donc tué les turbines à gaz. La déconfiture de GE a bien d’autres causes, et date de plus longtemps. Mais sa conversion au « Green » pourrait bien lui porter le coup de grâce.

    GE est punie par où elle a péché.

    Si on lit les rapports, entre l’ADEME, le ministère de l’Écologie, ou Natixis, on ne sait plus très bien combien la transition énergétique va rapporter d’emplois : 100 000 ? 900 000 ? Voire 18 millions ? Ou zéro ? Mais on est déjà certains qu’elle en fera perdre 1000 à Belfort.

    https://www.contrepoints.org/2019/05/31/345682-general-electric-victime-collaterale-des-energies-renouvelables

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    1. CAPACITE CALORIFIQUE des COMBUSTIBLES


      Feu de bois:. .............................16 MJ/kg
      Charbon: ..............................13/30 MJ/kg
      Gaz naturel:.............................. 39 MJ/m3
      Pétrole brut: .........................45/46 MJ/kg
      Uranium (réacteur REP): 500.000 MJ/kg

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  9. La cible d'énergie renouvelable sur 18 ans signifie un réseau coûteux et instable, et toujours 75% de charbon


    June 1st, 2019


    Une nouvelle grande étude réalisée par les nerds des réseaux d’électricité (et je veux dire de la meilleure façon possible) montre qu’après tout l’argent et les souffrances de 20 années de transition forcée, l’électricité australienne est passée de 85% de charbon à 75% de charbon, coûtant des milliards et, en prime, l’électricité plus chère et instable. Nous avons chassé du lignite, mais l'avons échangé contre du charbon noir. Au lieu d’évacuer le charbon, l’énergie solaire et éolienne supplémentaire a remplacé le gaz et l’hydroélectricité.

    Les auteurs sont de véritables experts indépendants et le rapport est incroyablement détaillé - cela est donc rare - mais souffre toujours de graves inconvénients:

    - L’équipe ne conteste pas la nécessité d’une transition artificielle et coûteuse. Presque tous les problèmes qu’ils décrivent sont causés par les politiques gouvernementales qui obligent notre réseau à changer le climat et à produire de l’électricité de qualité et fiable.

    - Dans un réseau ruiné par une politique inepte, les solutions impliquées impliquent presque toutes davantage de réglementation et de politique gouvernementale. Si nos prix de l'essence sont trop élevés, nous pourrions interdire les ventes à l'étranger, mais nous perdrions alors les recettes d'exportation. La main gauche vole de la droite. La solution du marché libre consiste à utiliser un autre combustible, tel que le charbon ou les armes nucléaires, ou à rechercher plus de gaz. Lorsque le nouveau rapport indique "Les centrales thermiques vieillissent et il est très peu probable que elles soient remplacées par de nouvelles centrales au charbon", elles n’ajoutent rien - mais uniquement parce que la politique du gouvernement l’empêche.

    - Les marchés en mutation et le schéma «Design» ne nous sauveront pas - cela ne rendra pas plus dense l’énergie à faible densité, ni la fiabilité de l’approvisionnement intermittent, les batteries à meilleur marché ou l’ouverture de vastes terrains proches de la demande en électricité. Tous ces problèmes sont structurels - et chaque solution implique de jeter de l'argent.

    Ce rapport est très utile pour identifier les problèmes, mais pas tellement pour trouver des solutions. Pour être juste, Paul McArdle et son équipe ne vendent pas leur rapport en tant que tel. Ce n’est pas leur travail, c’est celui d’Angus Taylor.

    Le marché national de l’électricité manque de «pensée holistique» et risque de «ne pas laisser la lumière allumée»
    Stephen Letts, ABC

    Le marché national australien de l’électricité et les producteurs d’électricité peinent à élaborer un plan cohérent pour «garder les lumières allumées» en raison des limites imposées par la politique et la tarification, selon une étude indépendante majeure du secteur.

    Non, les problèmes sont dus aux ambitions politiques - voulons-nous des nuages 50Hz ou moelleux ? La pensée holistique commence par la vérification des hypothèses ennuyeuses qui sous-tendent l'ensemble de la mission: «existe-t-il un lien de cause à effet» ou notre politique énergétique est-elle dictée par les hashtags de Twitter et les noms d'appels de noms ? Est-ce que n'importe qui, n'importe où sur la Terre, peut trouver des observations enregistrées par des instruments réels qui montrent que le modeste réseau australien 50GW empêchera la mer de monter ? Il n’y a probablement pas de modèle validé sur Terre qui le montre, ni même de modèle non validé.

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  10. Ce qu’ils démontrent, c’est que le système dans son ensemble est chaotique, contradictoire, comporte des incitations perverses et n’aboutit pas à grand-chose. Dites bonjour aux problèmes liés à la planification centralisée v101.

    Points clés de ABC:

    Les nouvelles capacités sont générées par la construction et la conclusion d'accords plutôt que par les besoins
    Le charbon noir remplace le lignite tandis que le solaire et le vent poussent le gaz et l'hydroélectricité
    Les mécanismes de prix ont encouragé le «strict minimum» plutôt que des générateurs fiables
    Le point clé de Jo:

    "M. McArdle a déclaré que, quelle que soit sa façon de voir les choses, le réseau évoluait vers un environnement à plus haut risque et des prix sous-jacents plus élevés."

    Après 18 ans d'objectif d'énergie renouvelable, nous utilisons toujours 75% de charbon.
    Le point de départ de l’étude est que 75% du réseau électrique «volumineux» en 2018 provenait encore de la combustion du charbon. "En dépit de l'objectif obligatoire en matière d'énergie renouvelable [MRET] commencé il y a 18 ans, le NEM est passé d'environ 85% [charbon] en 2007 à son niveau actuel de manière beaucoup plus lente que ce que beaucoup de gens souhaitent voir", indique le rapport.

    Bien que l'éolien et le solaire aient dominé la nouvelle capacité mise en service au cours des cinq dernières années, le niveau global de production au charbon a été relativement stable au cours des dernières années. Le charbon noir a largement remplacé les centrales de lignite fermées, tandis que l’énergie éolienne et solaire a remplacé la production d’hydroélectricité et de gaz.

    Les modèles d'enchères sont plus volatils (moins comme un marché libre):

    L’évolution des modèles d’enchères en matière d’énergie entraîne une volatilité croissante et une concentration de prix extrêmement bas (inférieurs à 0 $ / MWh) ou élevés (supérieurs à 300 $ / MWh).

    … Les prix moyens sur la courbe ne cessent d'augmenter.

    Les piles ne sont pas la solution:

    Le stockage sur batterie est une solution, mais il ne représente toujours qu'une infime fraction de l’offre. Même les centrales hydroélectriques pompées du projet Snowy représentent moins de 1% de l'énergie consommée dans le NEM.

    Les investissements du gouvernement fédéral dans l’hydroélectricité permettront aux énergies renouvelables de remplacer complètement l’énergie produite à partir du charbon.

    Le rapport indique que le stockage sur batterie est actuellement mieux adapté à de brèves rafales d’énergie ou à des interventions d’urgence.

    Le gouvernement a créé ce bubb

    http://joannenova.com.au/2019/06/18-years-of-renewable-energy-target-means-an-expensive-and-unstable-grid-and-still-75-coal/#more-64404

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  11. Les associations de consommateurs saisissent le Conseil d’Etat contre la hausse des tarifs d’EDF


    31 mai 2019, 18:24


    Les associations de consommateurs s’attaquent à la hausse des tarifs de l’électricité. Pour eux, elle est «injuste» et a surtout pour but d’assurer la rentabilité des entreprises concurrentes d’EDF.

    «On va saisir le Conseil d'Etat [...] d'ici à peu près quinze jours pour tenter fermement de faire annuler cette hausse», a déclaré le 31 mai sur RTL François Carlier, délégué général de la CLCV, importante association de consommateurs, à propos de l’augmentation des tarifs réglementés de vente (TRV) de l’électricité.

    Annoncée depuis des mois, cette hausse de 5,9% au 1er juin a été confirmée dans une décision publiée au Journal officiel le 30 mai. Elle fait suite aux calculs de la Commission de régulation de l'énergie (CRE) qui l'avait proposée dès le mois de février.

    En pleine crise des Gilets jaunes et de revendications sur le pouvoir d'achat et les coûts de l'énergie en particulier, le gouvernement avait décidé de retarder de trois mois cette hausse, officiellement pour laisser passer la saison hivernale durant laquelle les ménages consomment le plus d'électricité. On peut aussi facilement imaginer que l’échéance des élections européennes a été prise en compte dans ce calendrier.

    Le renchérissement concerne quelque 25 millions de foyers et représentera une hausse de 85 euros par an en moyenne pour un foyer se chauffant à l'électricité. Cette hausse est dénoncée comme «injuste» par les associations de consommateurs CLCV et UFC-Que Choisir, qui vont saisir le Conseil d'Etat pour tenter de la faire annuler. À noter qu'elle a aussi fait l’objet de deux avis défavorables de l’Autorité de la concurrence sur la méthode de calcul.

    Une telle augmentation est injuste […] car elle n’est pas destinée à couvrir l’augmentation des coûts de fourniture d’EDF, mais à aider les opérateurs alternatifs [...] à rester compétitifs

    Sur son site, la CLCV dénonce «une hausse techniquement infondée et juridiquement contestable» et explique : «Une telle augmentation est injuste pour les consommateurs […] car elle n’est pas destinée à couvrir l’augmentation des coûts de fourniture d’EDF, mais à aider les opérateurs alternatifs en grande difficulté financière à rester compétitifs. Près de la moitié des 6 % de hausse servira ainsi à sauvegarder leur viabilité économique et ainsi à faire survivre la concurrence. Les consommateurs n’ont pas à payer pour les sauver de la faillite !»

    Une hausse qui va toucher les plus précaires

    Interrogé par l’AFP, Cédric Musso, directeur de l'action politique de l'UFC-Que Choisir estime que «cette hausse va impacter plus particulièrement les précaires, qui sont des ménages qui se chauffent majoritairement à l'électricité dans des logements mal isolés et avec ce qu'on appelle des grille-pain.»

    Sur Twitter, Xavier Bertrand, président de la région des Hauts-de-France, juge la hausse «inacceptable» et s’interroge : «Est-ce une formule mathématique qui décide ou le gouvernement ?». «Ce n'est pas le gouvernement qui fixe les tarifs», a répliqué sa porte-parole Sibeth Ndiaye le 31 mai sur LCI. Une affirmation contredite par le président d’EDF Jean-Bernard Lévy lui-même qui le 30 mai sur Europe 1 avait déclaré : «Ces tarifs sont fixés par le gouvernement selon des lois qui calculent comment l'électricité doit être payée.»

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  12. Début avril Alain Bazot, le président de l’Union française des consommateurs (UFC-Que choisir), avait aussi démonté cet argument en rappelant dans une tribune que la CRE proposait les variations du TRV [tarif réglementé de vente] «sur la base de formules, de règles, posées par le législateur et l’exécutif [et qu’en conséquence], rien n’empêch[ait] que ces règles de calcul soient revues pour soulager le pouvoir d’achat des consommateurs».

    D’ailleurs la méthode de calcul semble poser problème y compris au gouvernement. Fin avril François de Rugy, ministre de la Transition écologique et solidaire, a ainsi annoncé que le gouvernement souhaitait revoir la méthode de calcul des TRV pour l'avenir.

    Le PDG d'EDF, Jean-Bernard Lévy, préfère pour sa part pointer du doigt un autre problème déclarant également sur Europe 1 : «Je rappelle que quand on paie une facture d'électricité, on paie plus du tiers de taxes. C'est comme si on avait une TVA à 55 %.» Et de conclure : «Il faudrait peut-être réfléchir à moins taxer l'électricité puisqu'elle n'émet pas de gaz carbonique.»

    https://francais.rt.com/economie/62601-associations-consommateurs-saisissent-conseil-detat-hausse-tarifs-edf

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    1. Ce n'est pas le nucléaire qui est cher (le prix de l'Uranium est au plus bas) mais la confiance envers les 'énergies gratuites' ! Car, suite aux rapports de rentabilité (plus de 20 ans expliqués), même si le prix des éoliennes baisse et le prix des cellules photovoltaïque aussi... leur capacité à fournir de l'énergie n'augmentent pas !

      Qu'il y ait 1 ou 10 000 éoliennes de plantés, quand il n'y a pas de vent Y A PAS DE VENT ! Donc: zéro énergie ! (mais pas sur les factures qui crèvent le plafond !).

      Donc, comme d'augmenter le prix de l'électricité pour raison d'erreur d'investissement dans ce qui n'a jamais marché, ne marche et ne marchera jamais, les factures doivent être étalées !
      - hausse du prix du gaz !
      - hausse du prix des carburants !

      Faut dire que les éoliennes ne tiennent pas 10 ans et que les réparations coûtent le prix d'une éolienne quant à celles en mer... alors là n'en parlons pas c'est 'hors budget' !

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  13. Une nouvelle hausse des prix de l'électricité en août ?


    Tarifs de l'électricité: la hausse de 5,9% confirmée au 1er juin
    Les taxes sur l'électricité sont trop lourdes pour le patron d'EDF
    Électricité: une "hausse historique" contestée par les associations


    Boursier.com,
    vendredi 31 mai 2019 à 14h46


    Cette fois, ce sont les coûts liés au transport de l'électricité qui pourraient se répercuter sur la facture des abonnés. Une hausse "pas souhaitable"

    Les tarifs régulés d'EDF vont bondir de 5,9% le 1er juin, après la pause octroyée cet hiver à la demande du gouvernement pour calmer la fronde des Gilets Jaunes, très portée sur le pouvoir d'achat. Malgré l'opposition du gendarme de la concurrence, et de plusieurs associations de consommateurs, 28 millions de clients vont recevoir une note plus salée - l'augmentation représente environ 85 euros supplémentaires par an. Il pourrait d'ailleurs s'agir d'une mauvaise surprise, alors que selon un sondage du CSA, 48% des Français ne sont pas au courant de cette hausse.

    Et les tarifs réglementés d'EDF pourraient de nouveau augmenter d'environ 1% le 1er août en raison des coûts liés au transport de l'électricité. Une nouvelle augmentation qui risque à nouveau de provoquer la grogne des consommateurs...

    "Ce n'est pas souhaitable"

    Interrogée vendredi sur France Info sur cette éventualité, Emmanuelle Wargon, la secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, a déclaré : "Ce n'est pas souhaitable mais je ne peux pas me prononcer sur ce qui se passera en août à ce stade."

    Hausse des prix de l'électricité : une nouvelle hausse en août n'est " pas souhaitable" (E. Wargon)par franceinfo

    François de Rugy a taclé cette semaine le rabais de 90% consenti aux salariés d'EDF sur le prix de l'électricité, en réponse aux critiques du patron de l'énergéticien sur la part importante des taxes. Emmanuelle Wargon a en outre souligné que la hausse des tarifs n'était pas directement liée à ce dispositif, estimant cependant que le sujet devait "être rediscuté à l'intérieur de l'entreprise (...) entre le patronat et les salariés".

    https://finance.orange.fr/actualite-eco/article/une-nouvelle-hausse-des-prix-de-l-electricite-en-aout-CNT000001g7pBA.html?fbclid=IwAR3EUxC5Met0_YhNQCcBIhzGn3ClicU64i3qeaWEb4fgOCnO0SkpRhwhIyY

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