- ENTREE de SECOURS -



mercredi 29 mai 2019

« L’urgence climatique est un leurre » (François Gervais)

par Thierry Godefridi
le 25 mai 2019 


Qui n’a rencontré un scientifique qui lui dise, « le réchauffement – changement, dérèglement, etc. – climatique, je n’y croirai plus le jour où je lirai un article dans une revue scientifique qui démontre que c’est du pipeau ! » ?

« L’urgence climatique est un leurre », le livre de François Gervais, physicien et expert reviewer du rapport AR5 du GIEC (Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat), professeur émérite de l’université de Tours et ancien directeur d’un laboratoire du CNRS, contient des dizaines de références aux travaux, déclarations, articles dans des revues scientifiques à comité de lecture de spécialistes du climat qui démontrent que la propagande climatique est la fumisterie la plus éhontée et la plus dispendieuse de l’Histoire de l’Humanité.

Le gaz carbonique, ce polluant, a été déclaré coupable des pires maux de la terre : la disparition de la banquise (en retard de quelques années – décennies ? siècles ? millénaires ? Qu’importe ! – sur les prédictions qu’Al Gore a proférées en 2008), la hausse du niveau des mers, les sécheresses, les inondations, les canicules, les blizzards, les séismes, les tsunamis, certaines maladies… Qu’en est-il ?

En fait, relève François Gervais, la combustion des ressources fossiles a entraîné une augmentation du taux de gaz carbonique dans l’air de 0,03% à 0,04% en volume, c’est à dire que, « parmi 10.000 molécules d’air sec, on compte à peu près 7.808 molécules d’azote, 2.096 molécules d’oxygène, 92 atomes d’argon, gaz qualifié de « rare », et seulement 4 molécules de gaz carbonique. » Le fait de passer de 3 à 4 molécules de gaz carbonique, une molécule supplémentaire parmi 10.000 molécules d’air sec ou 10.500 molécules d’air humide, justifie-t-il un tel émoi ?

Outre que l’effet prétendument néfaste de cette molécule supplémentaire est indiscernable, François Gervais rappelle que le carbone n’est nullement un polluant, bien au contraire. Il est irremplaçable pour notre organisme, indispensable pour la faune et pour la flore. Lutter contre ce fertilisant gratuit pour la végétation et la chaîne marine se ferait au détriment des 70% de la population mondiale qui vivent dans des zones rurales ou côtières.

Depuis la fin du siècle dernier, le réchauffement du climat s’est avéré moindre (jusqu’à dix fois!) que les modèles ne le prévoyaient et de nombreuses observations font valoir que le soleil exerce dans les variations du climat une influence beaucoup plus déterminante que l’Homme.

Selon certains travaux, nous pourrions même être à la veille d’une période de refroidissement climatique. Non seulement il n’y a pas de quoi nous taxer tant et plus pour éviter un quelconque réchauffement, mais encore cela devrait-il nous inciter à préserver nos sources d’énergie abondante à coûts réduits et à nous méfier de la précarité des sources intermittentes afin de nous prémunir contre le froid, car ce dernier tue beaucoup plus sûrement que la chaleur. « Dans l’histoire de la planète, constate François Gervais, des concentrations <de gaz carbonique > très supérieures à la valeur actuelle n’ont pas empêché des glaciations. »

Antero Ollila, de l’Ecole de science et de technologie de l’Université d’Aalto (Finlande), est parvenu à construire un modèle combinant variabilité naturelle du climat depuis le dernier petit âge glaciaire de 1630 à 2015 et contribution anthropique. Ce modèle reproduit l’évolution passée du climat à 0,09° C près, bien plus fidèlement que ne le permettent les modèles utilisés par le GIEC. Envisageant une augmentation du gaz carbonique dans l’atmosphère supérieure à la moyenne des observations et différents scénarios d’irradiance solaire, le professeur finlandais arrive à la conclusion que, dans tous les scénarios, la température de la planète baisserait de quelques dixièmes de degrés à partir de 2020 !

Cette étude, qui est l’une des plus complètes sur l’avenir climatique de la planète, n’a rien d’alarmiste. « Gageons qu’à ce titre, conclut François Gervais dans L’urgence climatique est un leurre, un livre remarquable de limpidité, à lire de toute urgence (climatique), il est à craindre que cette étude n’intéresse pas les médias. Taxer le soleil, les planètes, les nuages ? Sans doute nos dirigeants trouveront-ils plus commode et plus rentable de continuer à taxer le carbone. »

« Alors, avant de voter, réfléchissez quand même un peu ! », pourrions-nous donc ajouter, en cette veille d’élections européennes, fédérales et régionales en Belgique, comme l’avait lancé une polémiste sur une chaîne de télévision belge à forte audience lors d’un débat qui lui a coûté son job.

L’urgence climatique est un leurre, François Gervais, 304 pages, Editions du Toucan, L’Artilleur.

24 commentaires:

  1. 5 inconvénients majeurs de la taxe carbone aux frontières européennes

    La taxe carbone lutte contre le méchant carbone, elle fait payer les étrangers, et elle protège nos industries. Ou pas. Explications.


    Par Rémy Prud’homme.
    29 MAI 2019


    Les politiciens français sont très majoritairement d’accord sur une proposition : établir une taxe carbone aux frontières de l’Europe. Cette mesure figure dans les programmes d’à peu près toutes les listes des candidats aux élections européennes. Elle a tout pour plaire, pensent-ils : elle lutte contre le méchant carbone, elle fait payer les étrangers, et elle protège nos industries. En réalité, elle présente au moins cinq inconvénients majeurs.

    1 — Elle suppose une taxe carbone dans chacun des pays européens. Elle ne peut être qu’un complément, pas un substitut. On ne peut pas faire payer aux produits brésiliens ou indiens un impôt dont seraient exonérés les produits français. Ce serait du Trump ; et du Trump en pire, car le président des États-Unis vise des pays et des produits bien précis, ce que ne saurait faire une taxe frappant le carbone en général. Qui peut sérieusement croire que les 27 pays européens vont se mettre d’accord sur un taux de taxe carbone unique ? Et si les taux sont différents, quel sera le taux de la taxe aux frontières ? Celui de la Suède ou celui de la Pologne ?

    2 — Une telle taxe serait en pratique très difficile à mettre en œuvre. Son assiette serait le contenu carbone des produits importés. Bien malin qui dira le contenu carbone d’une chemise bangladeshie ? Celui d’une batterie chinoise ? Très élevé si cette batterie a été fabriquée avec de l’électricité au charbon, vingt fois moins si elle a été fabriquée avec de l’électricité nucléaire ou éolienne. On imagine les dizaines de milliers de fonctionnaires de la Commission nécessaires, du Portugal à la Bulgarie. Les fraudes à la TVA, que l’on peine à contrôler, seront des bagatelles à côté des fraudes à la taxe carbone.

    3 — Le discours protectionniste oublie que moins d’importations, c’est aussi moins d’exportations. Carbone ou pas, une taxe à l’importation est une taxe, et elle entraîne des mesures de rétorsion ; le bras de fer entre les États-Unis et la Chine l’illustre assez clairement. En face des emplois sauvés par la diminution des importations, il y a les emplois perdus par la diminution des exportations : le bilan n’est pas nécessairement positif.

    4 — Ce qui est certain en revanche, c’est qu’une telle taxe entraînerait une augmentation des prix et donc une diminution du niveau de vie. Si les produits taxés aux frontières de l’Europe paient la taxe et sont vendus en Europe, le montant de la taxe est supporté pour partie par le producteur étranger et pour partie par le consommateur européen. Si la taxe arrête l’importation de ces produits et suscite une production européenne, celle-ci aura un coût plus élevé, et donc à un prix plus lourd pour le consommateur européen.

    5 — Une telle taxe enfin aurait un impact quantitativement négligeable sur le stock de gaz carbonique et sur le climat, puisque, selon le GIEC, c’est ce stock qui définit la température. L’impact dépend du taux de la taxe et de l’élasticité-prix de la demande de carbone, c’est-à-dire de combustibles fossiles. On peut en donner une évaluation grossière en extrapolant le cas de la France. Pour les carburants, le fuel domestique, le gaz domestique et le gaz industriel (dont l’élasticité-prix varie de -0,17 à -0,28), une augmentation de 60 euros de la taxe carbone entraîne une diminution des rejets annuels de gaz carbonique de 6 Mt (millions de tonnes), soit d’ici 2050 une diminution des rejets cumulés de 6 x 32= 192 Mt de gaz carbonique.

    RépondreSupprimer
  2. La France représentant 10 % des rejets de l’Union européenne, on peut faire l’hypothèse qu’une taxe carbone de ce montant engendrera en Europe une diminution des rejets de gaz carbonique cumulés environ dix fois plus grande, soit 1920 Mt d’ici à 2050. On sait que la moitié des rejets de gaz carbonique sont absorbés par les océans et la végétation. La contribution de l’Europe au stock de gaz carbonique du monde en 2050 sera donc diminuée de 960 Mt, disons pour simplifier de 1 milliard de tonnes (Gt).

    Le stock actuel de gaz carbonique est de 3200 Gt. Selon le GIEC, un doublement de ce stock d’ici 2050 entraînerait en 2050 une augmentation de la température d’environ 1,5°C (c’est ce qu’on appelle la sensibilité). Une variation de 1 Gt engendre donc une variation de température 3200 fois plus modeste, c’est-à-dire de 0,0005°, ou si l’on préfère de 5 dix-millièmes de degré. Tel est le gain climatique d’une taxe carbone européenne de 60 euros par tonne de gaz carbonique ça !

    https://www.contrepoints.org/2019/05/29/345565-5-inconvenients-majeurs-de-la-taxe-carbone-aux-frontieres-europeennes

    RépondreSupprimer
  3. La Californie est la quatrième plus grande économie du monde. Ici, vous comprendrez pourquoi…


    Audrey Duperron
    3 mai 2019


    La Californie a gagné la cinquième place dans la liste des plus grandes économies mondiales l’an dernier. L’État américain a réussi à surpasser la Grande-Bretagne. Le « Golden State » se targue de posséder plusieurs atouts qui lui ont permis de devancer de grands pays tels que le Royaume-Uni ou la France.

    Les États-Unis continuent à être en tête du classement des puissances mondiales, avec un produit intérieur brut (PIB) de 20 500 milliards de dollars. La Chine occupe la seconde place avec 13,46 milliards de dollars, suivie du Japon (5,07 milliards de dollars), de l’Allemagne (4,03 milliards de dollars) et de la Californie (2,94 milliards de dollars). Elle a donc dépassé la Grande-Bretagne, aux prises à des difficultés économiques à la suite du Brexit.

    Taux de croissance

    La Californie compte pour environ un tiers de la population des Etats-Unis, soit 40 millions d’habitants. La Californie a enregistré une croissance économique moyenne de 3 % par an au cours des cinq dernières années. Le Japon (5 fois plus peuplé), l’Allemagne (2 fois plus) et la Grande-Bretagne (un tiers de plus) sont bien plus peuplés, mais leur taux de croissance est pourtant très inférieur. Les Etats-Unis eux-mêmes ont enregistré une croissance moyenne de 2,2 % sur cette période, tandis que les pays de la zone euro se sont développés de 2,4 %.

    Depuis la reprise qui a suivi la crise financière il y a dix ans, la Californie a enregistré une croissance beaucoup plus rapide que celle de pays plus peuplés, tels que le Brésil ou la France. Son PIB est 60 % supérieur à celui du Texas, l’Etat américain qui se classe à la deuxième place.

    La croissance de la population

    De plus, le Golden State dépasse allégrement les autres pays du monde sur une série d’autres indicateurs économiques, allant de la croissance de la population, aux investissements dans le domaine de l’innovation, en passant par la croissance des revenus personnels, et de la richesse issue des actions et obligations.

    Malgré les sécheresses, les inondations, les incendies de forêt, les embouteillages et la flambée du coût de la vie qui explique pourquoi la Californie affiche le taux de pauvreté le plus élevé du pays, la population de l’Etat a augmenté de 19,3 % au cours des vingt dernières années. Au cours de la même période, celles des États-Unis et la Chine ont crû respectivement de 18,3 % et 9,8 %. Celles du Japon et l’Allemagne ont respectivement perdu 0,3 % et 2 %.

    - voir tableau sur site -

    La Californie a également vu son chômage diminuer de 7,9 points de pourcentage, pour tomber à 4,2 % au cours des dix dernières années, contre 6,1 points de pourcentage aux Etats-Unis dans leur ensemble, 3,1 points de pourcentage en Allemagne, 2,8 points de pourcentage au Japon, et 0,5 point de pourcentage en Chine.

    La prospérité de la Californie doit beaucoup à l’attrait qu’elle exerce sur les entreprises mondiales en quête d’innovation, en particulier dans les domaines de la technologie et de la santé. La recherche et le développement représentent 17 % de l’activité économique de l’Etat, contre 16 % en Allemagne, 13 % en Chine, 11 % au Japon et 10 % aux États-Unis.

    RépondreSupprimer
  4. Des rendements accrus sur les marchés financiers

    Le Golden State est également particulièrement favorable pour les investisseurs des marchés financiers. Les bons du Trésor californiens ont enregistré un rendement total de 6,5 % au cours des douze derniers mois, contre 3,9 % pour les bons du Trésor américains. La Chine, le Japon et l’Allemagne ont respectivement perdu 0,3 %, 2,9 % et 5,5 % au cours de la même période.

    En outre, Les sociétés cotées en Californie ont enregistré un rendement de 420 % au cours des dix dernières années, contre 239 % aux États-Unis, 121 % en Allemagne, 70 % au Japon et 57 % en Chine. Et cette performance ne vient pas uniquement du secteur de la technologie ; les secteurs de l’énergie, de la communication, de l’industrie et des biens de consommation y ont également contribué.

    Le chiffre d’affaires des sociétés cotées en Californie a augmenté de 23 % l’an dernier, contre 14 % pour le reste des États-Unis, 19 % pour la Chine, 10 % pour le Japon et 3 % pour l’Allemagne.

    Ces résultats s’expliquent par les marges supérieures des entreprises calliforniennes. Lorsque ces sociétés enregistrent un chiffre d’affaires de 100 dollars, elles en tirent un bénéfice brut moyen de 57 dollars, contre 49 dollars aux États-Unis, 39 dollars au Japon et en Allemagne et 35 dollars en Chine.

    Ces bons résultats ont aussi permis aux entreprises californiennes de créer plus d’emplois. Le nombre des créations d’emplois a augmenté de 15 % dans le Golden State, contre 8 % en Chine, 7,5 % aux États-Unis, 4 % en Allemagne et 2 % au Japon.

    https://fr.express.live/californie-quatrieme-puissance-economique/

    RépondreSupprimer
  5. MOTO - LES PAYS-BAS INTERDISENT LES HELLS ANGELS

    C'est une première historique pour le club de motards Hells Angels, qui doit fermer toutes ses sections aux Pays-Bas.
    Les Hells Angels ont été fondé en 1948, aux Etats-Unis.


    29.05.2019, 13h56


    La justice néerlandaise a interdit mercredi le célèbre club de motards Hells Angels et ordonné la fermeture de toutes ses sections aux Pays-Bas, estimant qu'il représentait une menace publique. Cette interdiction sur l'ensemble du territoire est une «première mondiale», selon la radio-télévision publique néerlandaise NOS. «L'organisation Hells Angels est un danger pour l'ordre public», a statué le tribunal d'Utrecht, dans le centre des Pays-Bas.

    Les Hells Angels, connus pour leurs motos Harley Davidson et leurs tenues de cuir, ont été fondés aux Etats-Unis en 1948. Ils comptent des branches dans une cinquantaine de pays.

    Un «club hors-la-loi»

    Le groupe se voit lui-même comme «un club hors-la-loi», a déclaré le tribunal, soulignant que ses membres font partie d'une organisation qui «viole l'ordre public» et que son interdiction «est nécessaire pour protéger la société».

    «C'est un club où règne une culture d'illégalité et où l'autorité du gouvernement est écartée», ont estimé les juges, évoquant la «violence grave» d'actes qui lui sont reprochés.

    Le tribunal a fait référence à une série d'incidents auxquels sont liés les Hells Angels, souvent en conflit avec des groupes rivaux.

    Vaste bagarre

    Le club de motards avait notamment été impliqué en 2016 dans une vaste bagarre au cœur du restaurant d'un hôtel de Rotterdam avec des membres d'un groupe rival, où des coups de feu avaient été tirés.

    Un café fréquenté par le gang rival Bandidos avait également été incendié en 2015 dans la ville de Kerkrade, au sud du pays.

    Les Hells Angels sont accusés dans plusieurs pays européens de promouvoir la violence et d'être impliqués dans la criminalité organisée.

    La semaine dernière, les autorités portugaises ont interpellé 17 membres du club, considéré comme «une menace pour la sécurité nationale».

    Longue procédure

    Plus de 40 autres membres sont en détention provisoire depuis juillet dernier. Ils étaient notamment soupçonnés de tentative de meurtre, extorsion, proxénétisme, trafic de drogue et d'armes.

    La décision du tribunal d'Utrecht fait suite à une procédure de longue date engagée par le ministère public contre les Hells Angels, accusés d'être une organisation criminelle. Mais les nombreuses tentatives des autorités néerlandaises pour interdire le club de motards avaient jusqu'à présent échoué.

    La justice néerlandaise avait déjà interdit en 2017 le gang de motards Bandidos, club rival des Hells Angels, ainsi que le club Satudarah l'année suivante. (afp/nxp)

    https://www.lematin.ch/monde/paysbas-interdisent-hells-angels/story/17101556

    RépondreSupprimer
  6. Une entreprise chinoise affirme que son véhicule à hydrogène peut parcourir 500 km en utilisant uniquement de l'eau comme carburant


    par Tyler Durden
    Mar., 28/05/2019 - 21:45


    Un constructeur automobile du centre de la Chine a affirmé avoir construit un véhicule fonctionnant à l'hydrogène, capable de parcourir jusqu'à 500 km en utilisant uniquement de l'eau, a déclaré le South China Morning Post.

    Le véhicule a été fabriqué par Qingnian Cars dans la province du Henan et a été lancé pour la première fois mercredi dernier lorsque les chefs du Parti communiste locaux ont visité l'usine. Le véhicule n'aurait apparemment pas été testé sur de longues distances, mais Ping Qingnian, le directeur général de la société, a déclaré qu'il pourrait parcourir 300 à 500 km en utilisant 300 à 400 litres d'eau comme carburant.

    Qingnian a déclaré: «Le coût [de la recherche et du développement] est un secret commercial que je ne peux pas révéler. Nous y sommes parvenus à moindre coût, c’est la technologie de notre société. "

    «L’eau que nous utilisons est la nôtre, nous n’avons pas à nous rendre au moyen-orient pour acheter de l’essence. L’eau ne pollue pas non plus », a poursuivi Pang, expliquant que le moteur fonctionnait par réaction chimique en utilisant un catalyseur appliqué à un mélange de poudre d’aluminium et d’eau. Il a ajouté que la société pourrait recycler les réactifs utilisés dans le processus.

    L’hydrogène continue de «gagner de la vapeur» sur le marché des véhicules à énergies nouvelles, mais reste toujours beaucoup moins courant que les véhicules électriques. Ces véhicules réagissent généralement à l'hydrogène et à l'oxygène pour alimenter un moteur électrique. Pour alimenter avec de l'eau seule, l'eau doit subir une électrolyse, ce qui crée de l'hydrogène.

    Dans le passé, de nombreuses voitures à hydrogène ont été démystifiées ou considérées comme non rentables ou éconergétiques. Le véhicule de Qingnian a été confirmé par un responsable du bureau de l'industrie et de la technologie de l'information de Nanyang comme "un prototype seulement" et la voiture n'est pas encore en production de masse.

    La société développe la technologie avec l'Université de technologie du Hubei depuis 2006.

    Jiang Feng, professeur de sciences des matériaux à l’Université de Xian Jiaotong, a réagi au scepticisme généralisé sur le Web: «Si vous ne le comprenez pas, vous devriez au moins adopter une attitude tolérante à son égard. Je pense que faire des commentaires chargés d'émotion est inapproprié. "

    https://www.zerohedge.com/news/2019-05-27/chinese-company-says-its-hydrogen-powered-vehicle-can-travel-500km-using-only-0

    RépondreSupprimer
  7. L'ESCROQUERIE AUX 'ENERGIES GRATUITES' !

    LA SUISSE À LA TRAÎNE POUR LE SOLAIRE ET L'ÉOLIEN

    La Fondation suisse de l'énergie a comparé la production solaire et éolienne helvétique à celle des 28 pays de l'Union européenne.


    29.05.2019, 06h07


    La Suisse produit tout juste 250 kilowattheures d'énergie solaire et éolienne par an et par habitant. Ce chiffre correspond à la consommation annuelle d'un lave-vaisselle plus ou moins écologique. HAHAHAHA !

    Seuls quatre pays de l'UE font moins bien.

    La part totale de ces énergies renouvelables à la consommation globale dans le pays reste infime, écrit mercredi la Fondation suisse de l'énergie (SES). Celle-ci a comparé la production solaire et éolienne helvétique à celle des 28 pays de l'Union européenne.

    Le Danemark, premier de classe, produit 2500 kWh d'énergie éolienne et solaire par an et par habitant. Ces sources couvrent près de la moitié des besoins énergétiques danois. La Suisse en produit dix fois moins pour une couverture de seulement 3,7%. L'Allemagne suit avec une production de 1905 kWh, puis la Suède avec 1691 kWh.

    Seule la Hongrie, la Slovénie, la Slovaquie et la Lettonie se placent derrière la Suisse en matière d'énergie solaire et éolienne. Pour un pays qui se vante volontiers de sa politique énergétique progressiste, cela laisse songeur, note la responsable du projet Tonja Iten, citée dans le communiqué.

    Croissance à un niveau très bas

    Si le développement du solaire en Suisse est en croissance continue, «à un niveau très bas» (3,5% de la production totale), l'énergie éolienne, elle, stagne et ne représente que 0,2% de la production.

    Il existe pour l'heure 36 grandes installations éoliennes en Suisse. L'an dernier, aucune n'a été construite. L'Autriche, pays voisin et également sans accès à la mer, en compte vingt fois plus.

    Avec 60% d'énergie hydraulique, le mix énergétique suisse fait mieux que celui de l'UE. Mais la lenteur du développement des installations photovoltaïques et éoliennes contraste avec l'énorme potentiel de ces énergies en Suisse.

    Fort potentiel

    L'Office fédéral de l'énergie a récemment estimé que la Suisse pourrait produire 67 térawattheures (TWh) d'électricité solaire sur les toits ou façades. Cette quantité dépasse nettement la consommation d'énergie de 58 TWh par an en Suisse. De plus, le coût des installations photovoltaïques et éoliennes a fortement baissé ces dernières années.

    Ce potentiel contraste avec la «politique de retenue» pratiquée par la Suisse dans le domaine de la photovoltaïque surtout. Le supplément sur les coûts de transport y a certes augmenté de 2,3 centime par kWh l'an dernier, mais cet encouragement est limité dans le temps, les suppléments sont répartis de manière inefficace et bloqués par une «politique rigoureuse de listes d'attente».

    RépondreSupprimer
  8. Résultat: les exploitants d'installations photovoltaïques doivent patienter longtemps pour obtenir leur indemnité. Et les nouveaux projets n'ont aucune chance d'obtenir une rétribution de l'injection. Pour les grandes installations, le produit réalisé sur le marché de l'électricité est trop bas pour qu'elles puissent se refinancer.

    Outils d'encouragement

    Selon la SES, la plupart des Etats de l'UE mettent en place des outils d'encouragement des énergies renouvelables et protègent les nouvelles centrales des fluctuations de prix par des rémunérations minimales garanties dans la loi. L'UE entend atteindre ainsi ses ambitieux objectifs climatiques.

    «La Suisse ferait bien de suivre ces efforts», conclut Tonja Iten. Il est urgent de remplacer l'énergie nucléaire et fossile par un développement des énergies renouvelables. Ce n'est qu'ainsi que le tournant énergétique pourra être réalisé en Suisse. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/suisse/suisse-traine-solaire-eolien/story/10282451

    RépondreSupprimer
  9. Les pays du monde revisités.


    le 28 mai 2019


    Le site Visual Capitalist nous offre une représentation cartographique du monde en rapportant la surface de chaque pays à sa population et le résultat est surprenant. Comme on pouvait s’y attendre la Chine et l’Inde occupent un espace prépondérant. L’Europe et l’Afrique, quoiqu’on dise de ce dernier continent, ressemblent presque à une mosaïque de confetti négligeables et l’Océanie est presque invisible sur la carte.

    - voir carte sur site -

    Le Vietnam, l’Indonésie et les Philippines montrent clairement leur importance démographique tandis que le Japon, onzième pays le plus peuplé du monde derrière le Mexique, le Brésil, le Nigéria, la Russie et le Pakistan, occupe une place considérable (comme les Philippines) en raison de sa nature insulaire.

    Sur cette carte (lien, et pouvant être agrandie), il y a 15266 carrés représentant au total 7,633 milliards d’habitants, la Russie et le Canada ressemblent à des nains comme l’Australie alors que le Bangladesh, petit Etat en superficie, est massivement peuplé et apparaît comme s’il était beaucoup plus étendu. Aux Amériques le Mexique semble plus étendu que le Canada et le Brésil peut se féliciter d’être l’Etat le plus grand après les USA. Enfin, pour l’Afrique, des pays comme le Botswana, la Namibie et le Tchad on presque disparu alors que le Nigéria dont la ville de Lagos doit devenir dans les prochaines décennies la plus grande ville du monde apparaît le plus grand pays de ce continent.

    Comme pour les transports aériens tout se passe donc en Asie du sud-est. Dans quelques décennies l’épicentre économique et financier mondial se trouvera dans cette région, l’Europe ne sera plus qu’un assemblage artificiel de petits pays sur le déclin et peut-être qu’il en sera de même des USA si on s’en tient aux prévisions d’Emmanuel Todd …

    Source : ZeroHedge et https://www.visualcapitalist.com/wp-content/uploads/2018/09/population-cartogram.html

    https://jacqueshenry.wordpress.com

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. N'oublions pas qu'au m² les pays les plus peuplés sont Macao et Monaco !

      Supprimer
  10. Les millénaristes attribuent le manque d'économies au changement climatique - No 401k


    May 29th, 2019


    Qui a besoin d’épargner pour la retraite si le monde s’effondre
    (Ceux qui croient que le Grand Gouvernement sont aussi ceux qui s'attendent à obtenir l'aide du gouvernement quand ils en ont besoin).

    Le changement climatique est l'excuse ultime à usages multiples pour pratiquement tout ce que vous voulez:

    Les jeunes attribuent le changement climatique à leurs petits équilibres 401 (k)
    par Kari Paul

    Comme beaucoup de personnes de son âge, Rodriguez pense que le changement climatique aura des effets catastrophiques sur notre planète. Quelque 88% des millennials - un pourcentage plus élevé que tout autre groupe d’âge - admettent que le changement climatique se produit, et 69% affirment que cela aura un impact sur leur vie. En proie à un flot incessant d’actualités déprimantes, de nombreux jeunes sont sceptiques quant à l’épargne pour un avenir incertain.

    Rodriguez dit. "Les systèmes météorologiques sont déjà désactivés et je ne pense pas que ce soit hyperbolique d’être un peu apocalyptique."

    Être élevé sur la propagande climatique pourrait ne pas être bon pour votre santé:

    Le nombre de personnes âgées de 18 à 25 ans signalant des symptômes de dépression majeure a augmenté de 52% entre 2005 et 2017, tandis que les adultes plus âgés n’ont connu aucune augmentation du stress psychologique à ce moment,

    Mais ce pourrait être une autre catastrophe qui est vraiment à blâmer

    "Ce qui s'est passé en 2008 a été un point d'éclair financier incroyable pour la génération Y", dit-il. «Après avoir vu leurs parents perdre un emploi ou une maison, les Millennials doivent faire face à une profonde méfiance envers les institutions financières et le marché boursier. Cela fait ressortir une pensée catastrophique, car ils ont déjà assisté à une catastrophe. "

    Ne faites pas confiance au "capitalisme" mais faites-vous confiance aux "comités gouvernementaux"

    Le nombre de personnes de la génération Y qui perçoivent le capitalisme de manière positive est passé de 68 en 2010 à seulement 45 en 2017.

    Le changement climatique est peut-être en partie responsable de la hausse des prix de l'énergie. Alors que les gens manquent de revenus disponibles pour payer des prix de l'énergie plus élevés, ils n'ont peut-être pas d'argent à économiser.

    h / t Pat

    http://joannenova.com.au/2019/05/millenials-blame-climate-change-for-lack-of-savings-no-401k/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Après s'en être pris aux scientifiques (interdits de plateaux télé, de micro radio et de colonnes de journaux) et remplacé ces gens instruits par des politiciens, journalistes ou 'climatologues' (qualité non-reconnue comme pluitologues, ventologues, etc) qui n'ont jamais fait 1 heure de science dans leur vie !!! ils s'en prennent aux moutards dans les classes maternelle et CM2 pour assurer d'attirer l'attention avec des gosses les larmes aux yeux et la culotte pleine !

      C'est du Greta tout chié !

      Supprimer
  11. FAUNE LES CHIMPANZÉS SE NOURRISSENT DE CRABES

    Des chercheurs zurichois ont découvert que les chimpanzés guinéens s'adonnent à un régime alimentaire bien particulier: les crabes d'eau douce.


    29.05.2019, 12h46


    Les chimpanzés mangent des crabes d'eau douce sur une base régulière, ont constaté des chercheurs zurichois en Guinée. Une découverte qui laisse supposer que nos ancêtres hominiens faisaient de même il y a plusieurs millions d'années.

    Une habitude alimentaire en toute saison

    Kathelijne Koops et son équipe de l'Institut d'anthropologie de l'Université de Zurich (UZH) ont observé des chimpanzés dans la région des monts Nimba en Guinée.

    Ces singes mangent des crabes d'eau douce toute l'année, indépendamment de la saison sèche ou humide et de l'abondance d'autres sources de nourriture, rapportent les chercheurs dans le Journal of Human Evolution.

    Pas d'assèchement des cours d'eau

    Les lits des cours d'eau où pêchent les chimpanzés ne s'assèchent jamais, si bien que la récolte est stable tout au long de l'année. Les mères avec des petits sont particulièrement assidues.

    Pour les scientifiques, cela tient au fait que les crabes sont une importante source d'acides gras et de micro-nutriments comme le sodium et le calcium, importants pour la santé de la mère et de l'enfant.

    Développement du cerveau favorisé

    Ces recherches sur les habitudes alimentaires du plus proche parent vivant d'Homo sapiens peuvent aider à mieux comprendre comment et pourquoi nos ancêtres ont commencé il y a 1,95 million d'années à manger des animaux aquatiques, tortues, crocodiles et poissons notamment.

    Il est possible que cette alimentation riche en acides gras poly-insaturés ait favorisé le développement du cerveau.

    Des chimpanzés pêcheurs de crabes

    Selon Mme Koops, citée mercredi dans un communiqué de l'UZH, cela montre d'une part que les chimpanzés des forêts pêchent aussi le crabe, et pas seulement leurs congénères vivant sur les côtes ou au bord de lacs et de rivières.

    D'autre part, ces résultats laissent supposer que la faune aquatique était aussi une composante régulière de l'alimentation des hominiens qui ont précédé l'être humain.

    Cette nourriture n'était probablement pas qu'un complément occasionnel. Elle pourrait avoir joué un rôle essentiel dans l'alimentation des mères et de leurs petits, conclut l'UZH. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/sante/chimpanzes-nourrissent-crabes/story/13318511

    RépondreSupprimer
  12. L'esclavage n'est ni étrange ni particulier


    Par Walter E. Williams
    29 mai 2019


    L’outil favori de la gauche pour l’attaque de la fondation de notre nation est que l’esclavage a été sanctionné. Ils font valoir que les fondateurs ont ignoré les promesses de notre Déclaration d'indépendance «que tous les hommes sont créés égaux, qu'ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, parmi lesquels figurent la vie, la liberté et la recherche du bonheur». Ces très ignorants les gens, universitaires ou non, veulent nous faire croire que l'esclavage est inhabituel, comme le suggérait l'historien Kenneth Stampp dans son livre, «Institution particulière: l'esclavage dans l'Ante-Bellum Sud». Mais l'esclavage n'est en aucun cas particulier, étrange, inhabituel ou unique aux États-Unis

    Comme l’a écrit David P. Forsythe, professeur de sciences politiques à l’Université du Nebraska-Lincoln, dans son livre «The Globalist», «le fait est resté qu’au début du XIXe siècle, environ les trois quarts de toutes les personnes en vie étaient pris au piège des leurs; soit sous une forme d'esclavage ou de servage ». L'esclavage était courant chez les peuples anciens - Égyptiens, Babyloniens, Assyriens, Hittites, Grecs, Perses, Arméniens et bien d'autres. Un grand nombre de chrétiens ont été réduits en esclavage lors des guerres ottomanes en Europe. Les esclaves blancs étaient monnaie courante en Europe, du moyen âge aux âges sombres. Ce n’est qu’au XVIIe siècle que la traite négrière atlantique a commencé avec des Européens assistés par des Arabes et des Africains.

    L'esclavage est l'une des plus horribles injustices. Lors de notre Convention constitutionnelle de 1787, le dilemme était tel qu'il menaçait de saboter la tentative de créer une union entre les 13 colonies. Regardons une partie du débat. Dans une lettre adressée au délégué de la Pennsylvanie, Robert Morris, George Washington a écrit: «Aucun homme vivant ne souhaite plus sincèrement que moi qu'un plan soit adopté pour son abolition.» Dans un discours prononcé devant la Convention constitutionnelle, James Madison a déclaré: , «Nous avons vu la simple distinction de couleur opérée au cours de la période la plus éclairée, une des bases du règne le plus oppressant jamais exercé par l'homme sur l'homme». Dans les comptes rendus de la Convention de James Madison, il écrit: «(La Convention) pensait il est faux d’admettre dans la Constitution l’idée qu’il puisse exister des biens chez les hommes.

    John Jay, dans une lettre à R. Lushington: «Il est très souhaitable que l'esclavage soit aboli. L’honneur des États, ainsi que la justice et l’humanité, à mon avis, les appelent très fort à émanciper ces malheureux. Lutter pour notre propre liberté et nier cette bénédiction à autrui implique une incohérence qu'il ne faut pas excuser. "Patrick Henry a déclaré:" Je pense que le temps viendra où l'occasion sera offerte d'abolir ce mal déplorable. "George Mason a déclaré: «L’augmentation du nombre d’esclaves affaiblit les États; et un tel commerce est diabolique en soi et honteux pour l'humanité. "

    RépondreSupprimer
  13. Les délégués du Nord à la Convention, ainsi que d’autres opposants à l’esclavage, ne voulaient compter que les peuples libres de chaque État pour déterminer leur représentation à la Chambre des représentants et au collège électoral. Les délégués du Sud voulaient compter les esclaves comme toute autre personne. Cela aurait donné aux États esclavagistes une plus grande représentation à la Chambre et au collège électoral. Si les États esclavagistes n'avaient pas du tout pu compter leurs esclaves, la Constitution n'aurait pas été ratifiée et il n'y aurait pas eu d'union. Le compromis prévoyait que les esclaves soient comptés pour les trois cinquièmes d’une personne lorsqu’ils décident de la représentation à la Chambre des représentants et au collège électoral.

    Ma question pour ceux qui condamnent le compromis des trois cinquièmes est la suivante: les Noirs auraient-ils été mieux lotis si les délégués du congrès du Nord restaient fidèles à leurs armes, sans faire de compromis, et si un syndicat n'avait jamais été formé? Pour former un syndicat, les délégués du nord ont accepté à contrecœur l'esclavage. L'abolitionniste Frederick Douglass a compris le compromis, affirmant que la clause des trois cinquièmes était "un handicap absolu imposé aux États esclavagistes" qui les privait des "deux cinquièmes de leur fondement naturel de représentation".

    Voici mon hypothèse sur les personnes qui utilisent l'esclavage pour saccager leurs fondateurs: Ils méprisent nos garanties constitutionnelles de liberté. L’esclavage n’est qu’un simple outil de posture morale qu’ils utilisent pour tenter de réduire le respect de notre Constitution.

    https://www.lewrockwell.com/2019/05/walter-e-williams/slavery-is-neither-strange-nor-peculiar/

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. (...) Les esclaves blancs étaient monnaie courante en Europe, du moyen âge aux âges sombres. (...)

      C'est vrai que les esclaves a la peau blanche ont toujours été plus nombreux que les bronzés d'Afrique, mais de cela: les livres d'écoles n'en parlent pas ! IUFM oblige !

      L'esclavage a été la première réaction de l'homme (fort) sur la femme et les enfants (faibles). Ce n'est que très tard que l'esclave humain céda la place à l'animal domestiqué puis à la voiture.

      Supprimer
  14. Les peuples blancs et leurs exploits se dirigent vers la corbeille de l'histoire


    Par Paul Craig Roberts
    PaulCraigRoberts.org
    29 mai 2019


    Le monde occidental s’effondre si rapidement que je crains d’y survivre.

    Les mandataires et les politiciens occidentaux ont diabolisé Poutine, Maduro, l’Iran et Trump au même titre que les historiens de la propagande patriotique occidentaux ont diabolisé Adolf Hitler. Mais personne n'est aussi diabolisé que les Blancs et, chose curieuse, c'est une auto-diabolisation - des Blancs qui diabolisent des Blancs.

    On peut comprendre pourquoi les anciennes colonies britanniques et françaises, de l’Afrique au moyen-orient, en passant par l’Inde, et l’ancienne colonie de Washington aux Philippines et ses États fantoches latino-américains jetteraient un regard de dégoût sur les visages blancs et utiliseraient un langage dur. Mais pourquoi le New York Times, CNN, NPR et des professeurs blancs dans l'ensemble du système universitaire, des conseils scolaires, des politiciens blancs, tels que le français Macron, Jean-Claude Juncker de la Communauté européenne et l'Allemande Merkel, ainsi qu'un large éventail d'hommes politiques britanniques et scandinaves diaboliser les Blancs ? En Scandinavie, une femme blonde qui raconte son viol par la dernière vague de «migrants» du tiers monde invités dans le pays par les politiciens scandinaves fous est rejetée en tant que raciste. Les Scandinaves m'ont dit qu'il était de plus en plus difficile de dénoncer les crimes commis par les migrants car ce rapport est considéré comme un crime motivé par la haine.

    Pourquoi la fausse histoire est-elle créée pour soutenir cette haine des Blancs ? Il n'y a pas si longtemps, j'ai écrit à propos d'un homme blanc qui avait écrit dans CounterPunch que Robert E. Lee possédait 200 esclaves et aimait en abuser. J’ai souligné que Lee avait passé sa vie, jusqu’à la sécession de Virignia, en tant qu’officier de l’armée américaine qui combattait pour l’empire américain contre le Mexique et contre les «Indiens». Il n’avait jamais eu 200 esclaves ni une plantation. C’était un officier de l’armée américaine tellement apprécié de Washington qu’on lui a offert un commandement de l’Union lorsque le Nord a décidé d’envahir le Sud pour préserver l’Empire.

    La fausse histoire de Lee en est un exemple. Je l'ai utilisé parce qu'il montre à quel point les mensonges qui composent maintenant «l'histoire» américaine sont scandaleux. Bien qu'ils ne soient liés à aucun fait connu, ils entrent néanmoins dans les livres d'histoire.

    Les études sur les Noirs évitent le fait que les capitaines de la marine britanniques qui ont amené des esclaves africains dans les colonies britanniques qui devinrent plus tard les États-Unis ont acheté les esclaves noirs au roi noir du Dahomey, qui a capturé ses compagnons noirs lors de guerres d'esclaves contre d'autres tribus noires. Les États-Unis ont élevé des générations entières sur la fausse histoire selon laquelle les Blancs haïssaient les Noirs et décidaient de les capturer en Afrique et de les transformer en esclaves pour les battre et les maltraiter.

    Alors, comment la diversité et le multiculturalisme contribuent-ils à créer une société viable lorsque l’éducation et le divertissement enseignent que les Blancs sont des racistes ?

    RépondreSupprimer
  15. Toute réponse des Blancs à des accusations est considérée comme une preuve qu'il s'agit de racistes qui ne reconnaissent pas leurs péchés et ne s'en repentent pas avec des réparations somptueuses et des actes d'automutilation.

    La diversité est devenue une valeur telle que les grandes universités ont décidé de se détruire pour promouvoir la diversité. L'Université d'Oxford, la plus célèbre université du monde, a décidé de baisser ses normes afin de promouvoir la diversité. Au cours des quatre prochaines années, Oxford rejettera 25% des candidats qualifiés afin de laisser de la place aux candidats non qualifiés qui sont "privés" en raison de normes qui génèrent des "inégalités".

    Au revoir la valeur d'une éducation Oxford. Le degré, jadis prestigieux, est en train de devenir égal à celui d’un collège communautaire. Le ciel interdit qu’il n’y ait autre chose que l’égalité. Les parents qui se sont sacrifiés pour envoyer leurs enfants dans des écoles privées pour les préparer au succès à Oxford ont gaspillé leur sacrifice et leur argent, car les qualifications requises pour l'admission de 25% de leurs enfants ne sont pas suffisantes pour l'admission en faveur de la diversité. Plus votre score est bas, plus vous êtes diversifié et favorisé.

    Partout en Angleterre, ou comme on l'appelle maintenant le Royaume-Uni, les universités sont en train d'être détruites, comme aux États-Unis. Il y a non seulement l'exemple d'Oxford, mais le même phénomène se produit dans toute l'Angleterre et aux États-Unis. L'université de Nottingham s'est détruite elle-même. Par exemple, le département de philosophie de l’université était classé, ce qui signifiait qu’un diplôme supérieur signifiait quelque chose au sujet de l’expertise de ses diplômés dans ce domaine.

    Mais la «diversité» est intervenue et la bourse a pris le choc. Les professeurs qui avaient un solide bilan de recherche ont été écartés et une diversité non qualifiée a été utilisée à leur place. En conséquence, l’université a perdu sa réputation de doctorat. en philosophie.

    Cela a eu un impact négatif sur les diplômés qui ont payé l’argent de leurs parents et des années de leur vie pour obtenir des diplômes dont l’administration corrompue a jeté la valeur pour plaire à la «diversité».

    Loin de jouir de la suprématie, les hommes blancs se voient refuser l'égalité. Ils sont discriminés lors de l'admission à l'université et de l'emploi. La liberté d'expression leur est refusée. Selon les épouses des militaires, les hommes blancs se voient refuser toute promotion alors que l'armée parvient à équilibrer la diversité. Google tire les hommes blancs pour énoncer des faits de base. Les écoliers blancs sont brimés et féminisés. L'accusation de suprématie des Blancs est utilisée pour rassembler les Blancs à l'arrière du bus. Tandis qu’ils sont assis là et sucent leur pouce, les Blancs sont disséminés hors de toute existence.

    Maintenant que même MLK est un «criminel sexuel», les États-Unis peuvent peut-être cesser de renverser des statuts et «annuler» des personnes.

    Les médias nous empoisonnent avec la haine

    https://www.lewrockwell.com/2019/05/paul-craig-roberts/white-peoples-and-their-achievements-are-headed-for-the-trasn-bin-of-history/

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Ne poussons pas le bouchon trop loin, les grandes villes ont toutes leurs quartiers Noirs/Blancs mais aussi chinois, italiens, etc et, qui s'assemble se ressemble.

      Or, le tort qu'ont certaines communautés et de ne pas s'ouvrir à l'éducation. Cette anomalie tend à disparaître avec le Net mais demeure encore en pays arriérés où il y a même la religion qui domine !!

      Supprimer
  16. LES VERTS SONT CONTRE NATURE

    Delingpole: Pour survivre, les conservateurs britanniques doivent «se débarrasser de la merde verte»


    JAMES DELINGPOLE
    28 Mai 2019 7h40


    Outre le Parti du Brexit, l’un des grands gagnants des élections au Parlement européen - en Allemagne, en France, en Autriche, en Suède, en Irlande, en Belgique, aux Pays-Bas, au Danemark et au Royaume-Uni - était le groupe des Verts.

    Il y a une leçon cachée dans cette histoire - mais ce n’est pas ce que vous pourriez penser. Et c’est tout à fait le contraire de la conclusion du Parti conservateur.

    Dans l’esprit des conservateurs, les questions écologiques sont l’une de ces causes politiquement neutres, moralement et socialement positives que vous pouvez accepter sans trahir vos principes ni aliéner votre base.

    Cette illusion est généralisée, comme en témoigne le nombre de candidats à la direction des conservateurs qui ont décidé de faire campagne sur une plate-forme respectueuse de l'environnement. Rory Stewart, Michael Gove, Boris Johnson, Jeremy Hunt, Matt Hancock, et même Dominic Raab, un homme à la tête dure et supposée être à la droite, ont tous, avec un degré d'enthousiasme modéré, mentionné l'environnement et le changement climatique parmi leurs priorités urgentes.

    Et chaque fois qu'ils le font, cela me confirme à quel point ils sont incapables de sauver le parti conservateur du marasme, et encore moins de conduire la Grande-Bretagne vers un avenir prometteur après le Brexit en tant que Premier ministre.

    Combien de fois dois-je expliquer cela ? Les Verts ne se soucient pas, ne nourrissent pas les sauveurs de la planète. Ils sont des pastèques, vert à l'extérieur rouge à l'intérieur.

    S'ils se soucient réellement de la nature, ils ne voudront certainement pas mettre en avant des projets préjudiciables à l'environnement tels que les éoliennes industrielles ou les biocarburants. Pour les Verts, les questions environnementales ne sont qu'un masque commode, à la mode et câlin pour dissimuler leur programme agressif anticapitaliste, anti-croissance, anti-humain, redistributif et pesant lourdement sur le gouvernement.

    Pour un candidat conservateur, embrasser même une fraction du programme des Verts est à peu près aussi ridicule et suicidaire que de se faire passer pour une nationalisation de l’industrie, des taxes plus élevées ou une répression de la liberté d’expression.

    Oui, les conservateurs peuvent - et devraient - croire en la conservation. Mais le mouvement écologiste moderne est tout à fait autre chose et les conservateurs devraient l’éviter comme la peste.

    Pour comprendre pourquoi il est si important que les conservateurs de l'après-Thérèse-May comprennent maintenant et plus rapidement que jamais, je vous invite à prendre du recul et à vous demander pourquoi les conservateurs sont actuellement si mépris et méfiants. beaucoup de leurs partisans naturels.

    Je suggèrerais que les réponses pourraient inclure: absence de spin, inauthenticité, malhonnêteté, signalisation de la vertu, désespoir malsain de courtiser les bonnes opinions du Guardian et de la BBC.

    Les gens n’aiment pas les conservateurs, en résumé, parce qu’ils ont renoncé au conservatisme. Ils pensent, à l'instar de leur modèle, Tony Blair, que quelques “initiatives accrocheuses” suffiront à nous distraire de leur incompétence.

    RépondreSupprimer
  17. Et dans peu de domaines, cela est-il plus évident que leur adhésion totale au programme de gauche sur l'énergie et l'environnement, masquée par une préoccupation politiquement neutre sur le «changement climatique».

    Dans ce contexte, il convient de lire cet essai de Rainer Zitelmann dans Tichys Einblick, qui comprend les Verts comme la plupart des hommes politiques britanniques ne le comprennent pas.

    Il écrit:

    La logique du Parti Vert, en revanche, est toujours: "Ce n’est jamais assez". Une fois que vous avez fermé toutes les centrales nucléaires, les centrales au charbon deviennent la prochaine cible. Comme une secte apocalyptique, la fin du monde imminente se propage. Et malgré le slogan énoncé que «la peur n’est pas un bon guide en politique» (qui est la devise habituelle du débat sur l’immigration), les propos alarmistes concernant la fin du monde constituent désormais leur sensation dominante. C’est un peu le mantra de la «justice sociale» que les Verts propagent aussi maintenant: peu importe ce qui a été fait, ce n’est jamais assez et il doit toujours être de plus en plus radical.

    Les médias grand public, en particulier la télévision, sont depuis longtemps entre les mains vertes, ce que nous avons appris grâce à des sondages sur l'affinité politique des journalistes. Entre-temps, les Verts réussissent également à utiliser intelligemment les médias sociaux, comme l'a montré la vidéo de Rezo et l'initiative de 70 Youtubers récemment.

    Les défenseurs des Verts dominent depuis longtemps les institutions sociales allemandes, en particulier les médias et les établissements d’enseignement, mais aussi les principales églises. Le fait que 36% des électeurs pour la première fois aient voté entre-temps pour le Parti vert (dans ce groupe électoral, la CDU n’a que deux points de pourcentage d’avance sur la comédie de gauche PARTY) est également une conséquence du fait que, dans les écoles, les doctrines vertes sont propagées comme suit: certitudes de l'éducation scolaire moderne.

    Cela ne fonctionne toutefois que parce que l’industrie et le monde des affaires allemands sont opportunistes et ne s’opposent pas au Zeitgeist vert. Les grandes entreprises se sont astucieusement adaptées, comme cela a toujours été le cas. Je me souviens encore de la façon dont le directeur général de Daimler, Dieter Zetsche, s’est déguisé en défenseur de la cause de la campagne verte pour gagner les faveurs du Parti vert lors de la conférence de leur parti. Ou comment Herbert Diess, PDG de VW, a expliqué comment il entend transformer Volkswagen en une entreprise verte.

    Il y a beaucoup de similitudes ici avec la situation au Royaume-Uni (et aux États-Unis, en Australie et même dans une grande partie du monde occidental): les médias, le monde universitaire et l'église sont totalement sous l'emprise du Green Blob, crédule de tous les gobbets de propagande verte nourris Greenpeace, les Amis de la Terre, etc. des écoliers soumis au lavage de cerveau; les entreprises vont bon train; et des verts eux-mêmes, une poussée sans relâche de la fenêtre d'Overton dans la direction de gauche: peu importe les mesures prises par le gouvernement de l'époque pour «lutter contre le changement climatique», peu importe le nombre de gestes de signalisation de vertu qu'il effectue sur des sujets comme le plastique des pailles, cela ne suffira jamais. Toujours plus doit être fait.

    RépondreSupprimer
  18. La grave erreur commise par les principaux partis politiques allemands face à cette menace agressive de la gauche radicale verte est la même que celle que les conservateurs britanniques commettent: essayer de singer la politique des Verts pour attirer certains de leurs partisans.

    Comme l'explique Zitelmann:

    Depuis des années, CDU / CSU et SPD appliquent le programme des Verts: fermeture des centrales nucléaires, élimination progressive du charbon, transformation du secteur énergétique allemand en une économie de commande et de contrôle, etc. Ils ont récemment entrepris de restructurer l'industrie automobile. conformément à une économie planifiée - des «objectifs de flotte» sont imposés dans toute l'UE, définissant quelles voitures peuvent être produites et lesquelles ne le sont pas. Cette stratégie de rapprochement avec les Verts et de reprendre leur programme principal n'a toutefois pas conduit à l'affaiblissement, mais au renforcement du Parti vert: après tout, les électeurs préfèrent choisir l'original, plutôt que la copie.

    Oui. Précisément. Lorsque les conservateurs admirent les Verts, ils ne gagnent pas beaucoup plus de votes: cela confirme tout simplement aux yeux des électeurs verts que les Verts sont définitivement la voie à suivre car même les conservateurs rapaces et haineux admettent enfin que le changement climatique est réel et l’environnementalisme est la seule voie à suivre…

    Les conservateurs devraient tirer une autre leçon connexe: elle vient de l’autre bout du monde lors des élections australiennes de la semaine dernière. Tout le monde - encouragé par la presse écrite australienne de gauche et le radiodiffuseur d’Etat de gauche gauchiste ABC - était convaincu que c’était là l’élection qui allait être gagnée face au changement climatique. Greenpeace l'a en fait présentée comme une «élection climatique». Le parti travailliste australien, militant pour un programme résolument anti-changement climatique, allait évincer le gouvernement libéral en place (c.-à-d. Conservateur) en raison des inquiétudes du public au sujet de l’environnement.

    Ne s'est-il pas passé cependant ? Au lieu de cela, les libéraux ont gagné.

    Bien sûr, il se peut que les gauchistes métropolitains gémelleux considèrent le réchauffement de la planète comme un sujet de grave préoccupation.

    Mais dans le monde réel, ce qui importe le plus aux électeurs, c’est l’économie, la taille de leurs factures d’énergie et le maintien de la lumière.

    Les conservateurs britanniques vont-ils tirer les leçons de l’Allemagne et de l’Australie ?

    Je n’ai encore vu aucune indication qu’ils le feront et c’est le problème.

    La fête du Brexit pour moi. Je ne pouvais jamais faire confiance à une candidate à la direction du parti conservateur qui tient ses données climatiques d'une jeune autiste de 16 ans qui, à son tour, tire ses données climatiques de l'ère glaciaire II.

    Comme l’a dit David Cameron - et c’est la chose la plus vraie qu’il ait jamais dite -, les conservateurs doivent «se débarrasser de la merde verte». Pour eux, ce n’est plus un luxe. C’est une question de vie ou de mort.

    https://www.breitbart.com/europe/2019/05/28/britains-conservatives-are-committing-green-suicide/

    RépondreSupprimer
  19. «Marketing alimentaire: des nuits de" sans "nuit-il à la confiance ? »De Mme Emmanuelle Ducros


    29 mai 2019
    par Seppi
    Glané sur la toile 347


    «Après le bio, le frais et le naturel, la nouvelle mode marketing est au sans. Sans additifs, sans colorants, sans conservateurs et plus dernièrement, sans antibiotiques, sans pesticides.

    Il est obligatoire de dire ce que c'est dans un produit alimentaire. C’est quantifiable. Dire ce que n’est pas un point de vue de la réglementation, c’est beaucoup moins évident. La direction de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) se penche sur la question, pour essayer d’avoir ce qu’ils sont pour l’heure que des allégations.

    Pour comprendre, il faut s’intéresser aux produits alimentaires au sens large du terme. Elles sont encadrées en partie. Un produit ne peut pas, par exemple, être apprécié de qualités thérapeutiques. Il ne peut guérir de rien du tout, ou alors c’est un médicament et il répond aux réglages spécifiques aux médailles. Il peut faire valoir que les avantages sont démontés, par exemple, peuvent être clamés bien qu'ils soient favorisent le transit.

    [...] »

    En tout, quatre minutes de pédagogie bienvenue (aussi ici, sous-titré).

    La conclusion:

    «Les consommateurs ne sont pas idiots. À l'heure des réseaux sociaux, nous avons choisi le plus grave, sans doute de se retrouver dans le train de vendre des vessies pour lanternes. Ce qui est altéré dans ce cas-là, ce n'est pas la santé des consommateurs, c'est leur confiance. Et la confiance, c'est l'ingrédient sans lequel on ne vend absolument rien en agroalimentaire. »

    Nous sommes la stratégie de la segmentation du marché et de la capture de la plus-value sur les peurs et les superstitions alimentaires est une marque d'incivisme et d'irresponsabilité.

    http://seppi.over-blog.com/2019/05/marketing-alimentaire-l-exces-de-sans-nuit-il-a-la-confiance-de-mme-emmanuelle-ducros.html

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Contrairement aux publicités des années 80 où des fabricants exposaient 'Pâtes AUX ŒUFS', 'Pâtes enrichies de 4 œufs au kilo', 'Les pâtes riches !' ! Et le public de s'étonner de mettre des œufs dans les pâtes !!! HAHAHAHA !
      Après 'l'eau bio' (retirée des rayons pour escroquerie) voici qu'arrive la période 'sans'. Effectivement, tout est dans la formule de se passer de tout ! De redevenir l'homme préhistorique !
      Un monde où seuls les riches auront le droit de manger, de boire, de se déplacer en avions, yachts et polluer autant qu'ils le veulent puisque tout leur est permis !
      Même l'énergie gratuite est payante ! C'est tout dire !

      Supprimer