par Tyler Durden
Mar., 13/11/2018 - 05:00
Créé par Michael Snyder via le blog The American Dream,
C'est vraiment en train d'arriver. À un moment donné, l'idée qu'un grand nombre de personnes se permettraient volontiers de se faire implanter une puce électronique paraissait un peu folle, mais c'est maintenant devenu une réalité. Des milliers de passionnés de technologie dans toute l'Europe se sont déjà fait implanter des micropuces, et une société suédoise collabore maintenant avec de très grands employeurs mondiaux pour la mettre en œuvre au niveau de l'entreprise. En fait, Biohax a récemment déclaré à l'un des plus grands journaux britanniques qu'il s'était entretenu avec une "grande société de services financiers" qui compte "des centaines de milliers d'employés"…
Biohax, une société suédoise qui fournit des implants à puce humaine, a déclaré au Telegraph qu'elle était en pourparlers avec un certain nombre de sociétés juridiques et financières britanniques en vue d'implanter le personnel avec les dispositifs.
Un client potentiel, qui ne peut pas être nommé, est une importante société de services financiers employant «des centaines de milliers d’employés».
Pour les entreprises obsédées par la sécurité, ce type de technologie peut sembler présenter de nombreux avantages. Si tous vos employés sont ébréchés, vous saurez toujours où ils se trouvent et vous saurez toujours qui a accès aux zones sensibles ou aux informations sensibles.
Selon un haut responsable de Biohax, la procédure d'implantation d'une puce prend “environ deux secondes”, et elle est généralement implantée à la main…
Selon le rapport, une seringue est utilisée pour placer la puce dans une zone située entre le pouce et l'index. M. Osterlund a déclaré que la procédure ressemblait au perçage des oreilles et prend «environ deux secondes». Les micropuces fonctionnent via la technologie de «communication en champ proche», similaire à celle utilisée par les cartes bancaires sans contact.
«Dans une entreprise de 200 000 employés, vous pouvez proposer cela comme un opt-in», a déclaré Osterlund au Telegraph.
À l'heure actuelle, de nombreuses entreprises utilisent des badges de sécurité et j'ai déjà travaillé dans un bâtiment qui nécessitait un badge de sécurité.
Mais les badges de sécurité peuvent être perdus, volés ou falsifiés. Théoriquement, les implants de micropuce sont beaucoup plus permanents et beaucoup plus sûrs, et c'est l'un des principaux arguments de vente. Voici ce que le médecin en chef de Biohax a récemment déclaré à Fox News…
«L’implant à puce est un moyen sûr d’assurer que l’identité numérique d’une personne est liée à son identité physique. Il permet la gestion des accès de manière à protéger l’autonomie individuelle des utilisateurs et à contrôler la confidentialité de leurs activités en ligne », a déclaré le Dr Stewart Southey, médecin en chef chez Biohax International.
Bien sûr, une fois que cette technologie sera mise en œuvre, certains travailleurs s’y opposeront.
Mais s’il faut choisir entre l’implant ou la perte de leur emploi, combien de travailleurs choisiront-ils de se retrouver au chômage ?
Oui, certains sacrifieront leur emploi. Personnellement, je ne laisserai jamais personne me mettre une puce. Mais comme pour tant d'autres choses, la majorité de la population choisira simplement d'accepter la «nouvelle technologie».
Malheureusement, les principaux médias nous disent ouvertement que cela va se produire. Par exemple, voici un extrait d’un article récent de Fox News intitulé «Êtes-vous prêt pour l’implantation d’une puce ?»…
Vous entrez dans une épicerie et ramassez des œufs. Pas de smartphone ? Aucun problème. Vous passez votre main sur un lecteur et le montant est déduit de votre compte bancaire.
Si cela semble exagéré, vous n'êtes évidemment pas allé en Suède récemment, où des milliers de personnes auraient eu des puces implantées dans leur corps.
Et il n’ya pas si longtemps, la filiale de la NBC à Tampa a décrit une mère qui souhaite désespérément implanter une puce dans son enfant handicapé pour des raisons de sécurité…
Pour Steffany Rodroguez-Neely, la vie est plus occupée que jamais. La mère de trois enfants de la baie de San Francisco a les mains pleines 24h / 24. Les âges de ses enfants vont du nouveau-né à l'adolescent. Alors que cette mère Lutz est fière d’être une mère attentive, active et dévouée, elle est aussi réaliste. Elle sait qu'une urgence peut survenir en quelques secondes, même pour le meilleur des parents.
Quand Steffany a vu la récente tragédie dans le comté de Pasco où un enfant en bas âge a erré dans un étang et s'est noyée, son cœur a été brisé. Alors qu’elle en parle, elle secoue tristement la tête, ferme les yeux et soupire. «C'était horrible, tellement triste. Vous savez, les bons parents ont de mauvaises choses », a déclaré Steffany à la WFLA.
Ils aiment toujours utiliser les enfants pour nous culpabiliser.
Le récit sera que si vous êtes contre des micropuces implantables, vous êtes contre la sécurité des enfants et vous êtes une mauvaise personne. A présent, vous avez vu comment cela fonctionne problème après problème. On ne parlera pas de la tyrannie potentielle que des puces d’identité émises par le gouvernement pourraient déclencher. Au lieu de cela, toute la discussion portera sur les «avantages potentiels» et sur la manière dont cela rendra les choses beaucoup plus sûres «pour les enfants».
Nous vivons vraiment à une époque apocalyptique et beaucoup d’entre nous peuvent voir où tout cela mène. Malheureusement, nous pouvons nous plaindre de tout ce que nous voulons, mais l'ordre du jour ne cesse de progresser.
Il n'y a pas si longtemps, une société du Wisconsin appelée Three Square Market a commencé à implanter des micropuces dans leurs employés «sur une base volontaire». À la suite de cette décision, USA Today a publié un article intitulé «Vous serez ébréché - éventuellement». Voici quelques lignes de cet article…
Vous serez ébréché. C'est juste une question de temps.
À la suite d’une entreprise du Wisconsin qui a intégré des puces électroniques à ses employés la semaine dernière pour écarter les badges et les ouvertures de session, l’Internet est entré dans un débat acharné.
Pouvez-vous voir les astuces psychologiques qu'ils utilisent sur nous ?
Ils veulent que vous croyiez que c'est inévitable et que tout le monde autour de vous finira par céder et se faire ébrécher.
Quant à moi et à ma maison, nous ne serons jamais implantés. Tout sera "volontaire" au début, mais il ne faut pas un génie pour comprendre la fin de cette histoire.
RépondreSupprimerTOUTES les puces sont piratables, volables, contrôlables et mortelles si besoin est.
« Bonjour, Monsieur Phelps. Votre mission, si toutefois vous l'acceptez consistera à vous enfoncer un suppo dans le cul. En cas de refus ce message s’autodétruira dans cinq secondes »
LES LIGNES TÉLÉPHONIQUES FIXES, JEUDI 15 NOVEMBRE, C'EST FINI !
RépondreSupprimerpar MARIE-EVE WILSON-JAMIN
12/11/2018
Sur les 20 millions d'utilisateurs du téléphone fixe, 9,4 millions possèdent encore une ligne traditionnelle.
À partir du 15 novembre 2018, Orange ne proposera plus d'abonnement classique au téléphone fixe. D'ici 2023, tous les clients devront avoir une box pour continuer à utiliser leur ligne.
Fin des lignes fixes programmée ce jeudi 15 novembre 2018
C'est la fin d'une époque ! Ce jeudi 15 novembre 2018, les lignes téléphoniques fixes d'antan vont disparaître. Mais pas de panique si Orange a annoncé qu’il allait progressivement couper le « réseau téléphonique commuté » (RTC), support des services de téléphonie traditionnelle, il ne s'agit pas de la fin des lignes fixes en général.
En effet, cela signifie qu'il faudra nécessairement avoir une box pour appeler depuis une ligne fixe d’ici quelques années. Au final, les appareils ne pourront, à terme, plus être branchés directement sur une prise T. Au final, l'opérateur téléphonique historique n’installera plus de lignes fixes traditionnelles à partir de ce jeudi 15 novembre 2018.
Tous les utilisateurs du téléphone fixe devront donc progressivement prendre une box
Il s'agit donc de la poursuite de la révolution numérique qui rend obsolète une technologie lancée en France il y a 130 ans pour remplacer les opératrices. Les nouveaux clients ou ceux qui déménagent n'auront plus le choix et devront donc opter pour une offre avec un accès à un internet. Puis, à partir de 2023, l’opérateur commencera à couper le RTC. Tous les utilisateurs du téléphone fixe devront donc progressivement prendre une box.
Actuellement l'abonnement à une ligne fixe chez Orange (ex-France Télécom) coûte 17,96 euros avec 55 euros de frais d'installation. Mais cet abonnement ne comprend pas les communications. En passant à une box Internet, le tarif des abonnements paraît plus cher, mais les communications sont illimitées sur les fixes en France. Les abonnements à une box ADSL qui offre à la fois la téléphonie, l'Internet et la télévision sont accessibles aux alentours de 25 euros.
http://www.economiematin.fr/news-lignes-telephoniques-fixes-jeudi-15-novembre-fini
A 'La Poste' la box est à 17€/mois (tel et internet illimité).
SupprimerPLUS DE DIESELS CRIT'AIR 5 À PARIS ET SA BANLIEUE EN JUILLET 2019
RépondreSupprimerpar JEAN-BAPTISTE GIRAUD
13/11/2018
Les véhicules dotées d'une vignette Crit'Air 5, ou même, qui n'en portent pas du tout, seront bannis de Paris et sa banlieue en juillet 2019.
Cette fois c'est quasiment acté : les élus du Grand Paris ont voté lundi 12 novembre la création d'une "zone à faibles émissions", correspondant à Paris et sa couronne. Dans cette zone, dès juillet prochain, les véhicules porteurs d'une vignette Crit'Air de niveau 5 seront bannis.
Plus de diesel dans Paris en 2024 ?
Si vous habitez Paris ou sa banlieue, ou même, que vous habitez plus loin, mais montez réguliérement dans la capitale ou à proximité, lisez bien ce qui va suivre. Les élus du Grand Paris ont en effet décidé que le système "Crit'Air", actuellement utilisé dans Paris et quelques grandes villes de province, allait être étendu à la banlieue de la capitale. Concrétement, toutes les communes situées à l'intérieur de la boucle formée par l'A86 sont censées prendre des arrêtés interdisant la circulation des véhicules porteurs d'une vignette Crit'Air 5, et ce, dès juillet 2019.
En tout, ce sont plus de 5 millions d'habitants qui sont directement concernés par cette ZFE, plus tout ceux qui habitent et vivent en dehors, mais doivent s'y rendre en utilisant leur voiture. Il ne leur reste que quelques mois pour remplacer leur véhicule, si celui-ci fait partie des modèles interdits en juillet 2019. Pour mémoire, il s'agit de véhicules diesel immatriculés avant 2000. Ils représentent aujourd'hui 6 % du parc automobile en circulation. A noter qu'avec la création de cette ZFE, les autres véhicules, c'est à dire immatriculés avant 1997, seront également interdits de circulation dans cette ZFE. IIs représenteraient 8 % des véhicules, mais dans le lot, certains pourraient bénéficier de dérogations. C'est le cas par exemple des véhicules titulaires d'une carte grise collection, ou encore de certains véhicules utilitaires.
Les véhicules Crit'Air 5 dans le viseur, avant les Crit'air 4
Si vous circulez à bord d'un véhicule porteur d'une vignette Crit'Air 4, ou bien 3, le couperet tombera un peu plus tard. Pour l'instant, il est prévu que les véhicules Crit'Air 4, c'est à dire les diesels immatriculés entre 2001 et 2005, seront interdits en 2021. Ils ne représentent encore "que" 14 % du parc automobile à ce jour, et leur nombre devrait mécaniquement avoir baissé d'ici à l'entrée en vigueur de la mesure d'interdiction. Quand aux véhicules porteurs d'une vignette Crit'Air 3, (43 % du parc automobile aujourd'hui !) ils seront bannis de Paris en 2022. Mais tout cela reste théorique. La seule mesure actée, aujourd'hui, c'est l'interdiction des Crit'Air 5 dans Paris, en juillet 2019, et probablement dans les communes limitrophes...
http://www.economiematin.fr/news-plus-de-diesels-crit-air-5-a-paris-et-sa-banlieue-en-juillet-2019
Une nouvelle guerre du pétrole se prépare
RépondreSupprimer12 NOVEMBRE 2018
Dominique Dewitte
L'OPEP et la Russie anticipent leur prochain coup dans le jeu d'échecs qui oppose les pays producteurs de pétrole et les États-Unis.
Les États-Unis font tout ce qu'ils peuvent pour éviter une augmentation des prix du pétrole en faisant pression sur les États du Golfe pour qu'ils augmentent leurs rendements de production. Le baril de pétrole brut coûtait 20 % de moins vendredi qu'il y a un mois, lorsque l'on avait atteint le prix le plus élevé en 4 ans.
L'évolution du cours du pétrole WTI sur les 4 dernières années
Ce qui se passe aujourd'hui sur les marchés pétroliers est particulièrement fascinant en raison des conséquences économiques, géopolitiques mais aussi nationales pour de nombreux pays.
Le prix du pétrole s'est effondré il y a deux ans. A la suite de cet effondrement, un baril se négociait à moins de 30 dollars. Sous l'impulsion de l'Arabie saoudite, l'OPEP a signé une alliance avec la Russie en décembre 2016. La production a été réduite et le prix s'est stabilisé stabilisé pendant un certain temps, entre 50 et 70 dollars le baril. Jusqu'à ce que les sanctions contre l'Iran et le chaos au Venezuela aient propulsé le prix du baril de pétrole à plus de 70 dollars il y a un mois.
Le boycott de l'Iran n'existe pas
Ce n’est que lorsque le président des États-Unis, Donald Trump, a exhorté les États du Golfe à augmenter leur production et a permis à 8 pays de continuer à s’approvisionner en Iran (y compris les 3 plus gros lients de la République islamique : la Chine, l’Inde et le Japon) que les prix ont repris une nouvelle spirale descendante. Téhéran est également soulagé, car ces 8 pays absorbent environ les trois quarts de la production iranienne.
Trump voulait éviter à tout prix que les prix remontent dans les stations services américaines dans la perspective des élections de mi-mandat, ce qui aurait contrarié ses plans. Résultat : les marchés sont soudainement confrontés à un excédent plutôt qu'à un déficit. Une fois de plus, Trump a gagné et le prix du pétrole est 20 % plus bas qu’il y a un mois. Désormais, le cours du pétrole brut s'établit à environ 60 dollars le baril et le pétrole légèrement meilleur du Brent à 70 dollars. À Washington, cette victoire est célébrée car, selon les experts, producteurs et consommateurs peuvent vivre avec un tel prix.
Les Saoudiens pensent à un monde sans l'OPEP
Mais c'est sans compter sur l’Arabie saoudite, qui se prépare à un nouvel affrontement avec les États-Unis. Les Saoudiens comprennent mal le pragmatisme du président américain dans le conflit avec l'Iran. De même, ils envisagent également un monde sans OPEP. L'OPEP se réunira à nouveau le 5 décembre avec une nouvelle réduction de la production comme unique sujet à l'ordre du jour.
L’OPEP ne veut même pas attendre jusqu’à cette date, car le ministre omanais du Pétrole, Mohammed bin Hamad al-Rumhi, a déjà déclaré que la majorité des membres de l’OPEP et de sympathiques producteurs de pétrole étaient favorables à une réduction de la production pétrolière mondiale. La Russie y participe également, avec pour principal objectif de mettre les bâtons dans les roues de Trump.
Ajoutez à cela un accord récent entre le gouvernement irakien et les autorités kurdes visant à débloquer les stocks existants, ce qui se traduira désormais par 200 000 à 400 000 barils supplémentaires sur les marchés mondiaux chaque jour. La guerre du pétrole entre donc dans une nouvelle phase.
https://fr.express.live/2018/11/12/une-nouvelle-guerre-du-petrole-se-prepare
Blâmer le changement climatique pour moins d'incendies, des sécheresses plus courtes et des vents plus faibles
RépondreSupprimerNovember 14th, 2018
Grâce à la conflagration californienne, Global Climate Superstition est de retour pour nous dire que les incendies dans les centrales à charbon provoquent des incendies dans les forêts. Les scientifiques, d’autre part, constatent que lorsque les émissions ont augmenté, les incendies de forêt ont diminué dans le monde entier, les sécheresses n’ont pas empiré et les vents ont ralenti.
Les sorciers jouent sur le dos à l'époque où les gens transportaient leurs cuirassés à la guerre, les méga-creusets étaient vraiment des méga. En dépit de toute la mécanisation (ou probablement à cause de cela), la combustion de biomasse globale a été plus faible au cours du siècle dernier que jamais depuis Jules César.
Si le gaz carbonique est la force motrice derrière les incendies, nous en avons apparemment besoin de plus.
En matière de feu, la température n’est pas aussi importante que la vitesse du vent, la charge en combustible et la densité des incendiaires.
Aux dernières nouvelles, les vents ralentissaient globalement à une vitesse de 0,5 km / heure. L’excellent Global Stilling ne peut pas être nocif pour les incendies (même s’il ne peut pas être bon pour les parcs éoliens). Peut-être qu'un vent légèrement plus lent n'est pas pertinent. Mais alors, si un demi kilomètre par heure de vent ne compte pas, pourquoi un demi-degré de réchauffement ? À en juger par la superficie brûlée par les incendies, pas.
Comme le souligne Willis Eschenbach, la Californie ne se réchauffe que de 0,02 ° C par décennie et la pluie n’a diminué que «de moins de cinq centièmes de pouce (1,1 mm) de signification».
Le réchauffement climatique signifie moins de feux de forêt
La région en train d'être brûlée dans le monde a été… réduite.
- voir graphique sur site -
Incidence et superficie des incendies brûlés dans le monde, graphique, annuel. 2018.
Figure 2. Incendies de forêt (a) et superficie correspondante brûlée (b) dans la région méditerranéenne européenne pour la période 1980-2010. Source: San-Miguel-Ayanz et al. [37]
Comme le disent Doerr et Santini, ce n’est pas seulement le passé récent, mais aussi la tendance à long terme:
L'analyse des enregistrements de charbon de bois dans les sédiments (Marlon et al) et d'enregistrements du ratio isotopique dans les carottes de glace (Wang et al) suggère que la combustion de biomasse mondiale au cours du siècle dernier a été plus faible que jamais au cours des 2000 dernières années.
Serait-ce une coïncidence ? Peut-être que les camions alimentés aux combustibles fossiles, les bulldozers, les hélicoptères et les tronçonneuses, ainsi que les satellites à lanceurs de combustibles fossiles sont plus efficaces pour la création de coupe-feux, l'identification des incendies localisés et la prévention de la propagation des incendies ?
Le réchauffement climatique signifie moins de sécheresses
RépondreSupprimerLa sécheresse mondiale n’a pas changé au cours des 60 dernières années. (Sheffield et al).
Les sécheresses ne s'aggravent pas non plus aux États-Unis.
- voir graphique sur site -
Indice de gravité de la sécheresse, États-Unis, graphique.
Sécheresses aux États-Unis de 1895 à 2018 Source NNDC CDO
Au bon vieux temps, Megadroughts a duré 242 ans. La Californie n'a même pas été un État aussi longtemps.
Les sécheresses médiévales étaient pires, méga-creusets, graphique.
- voir graphique sur site -
Graphique de Cook et al, adapté par The Mercury News et rendu amusant et intéressant par Tony Heller.
Appelez-moi à 2260AD si la sécheresse n’a pas duré.
Meilleurs voeux à Anthony Watts et à tous ceux qui se trouvent près des incendies en Californie.
Voir Climate Depot pour plus d'informations et mises à jour.
RÉFÉRENCES
[1 ^] Cook, et al (2015) Les méga-genoughs et les pluviaux du Vieux Monde à l'ère commune, Les progrès de la science 06 nov. 2015: Vol. 1, non 10, e1500561 DOI: 10.1126 / sciadv.1500561
Sheffield, Wood & Roderick (2012) Peu de changements dans la sécheresse mondiale au cours des 60 dernières années, Letter Nature, vol 491, 437.
Doerr et Santin (2017) Tendances mondiales des incendies de forêt et de leurs impacts: perceptions et réalités dans un monde en mutation. Philos Trans R Soc Lond B Biol Sci. 5 juin 2016, 371 (1696). pii: 20150345. doi: 10.1098 / rstb.2015.0345.
Marlon JR, Bartlein PJ, C Carcaillet, DG Gavin, SP Harrison, PE Higuera, F Joos, Power MJ, IC Prentice. 2008. Climat et influences humaines sur la combustion de biomasse mondiale au cours des deux derniers millénaires. Nat. Geosci. 1, 697-702. (doi: 10.1038 / ngeo313)
Wang Z, Chappellaz J, Park K, Mak JE. 2010. Importantes variations de la biomasse brûlée dans l'hémisphère sud au cours des 650 dernières années. Science 330, 1663-1666. (doi: 10.1126 / science.1197257) [PubMed]
http://joannenova.com.au/2018/11/blame-climate-change-for-fewer-fires-shorter-droughts-slower-winds/#more-61535
Mort du leader des « Policiers en colère »: « Elle a été usée par un rouleau-compresseur »
RépondreSupprimerSputnik
mar., 13 nov. 2018 18:13 UTC
La policière Maggy Biskupski, porte-voix du malaise policier, a été retrouvée morte le 12 novembre après un très probable suicide. Axel Ronde, du syndicat VIGI Île-de-France, a confié son choc à Sputnik. D'après lui, l'administration intimide les policiers qui, comme Maggy Biskupski, osent dénoncer leurs conditions de travail.
maggy
- Photo de Maggy Biskupski -
« C'est une catastrophe. Nous avons tous été très choqués. Je tenais tout d'abord à lui rendre hommage au nom de notre syndicat. Dire à toute sa famille toute l'admiration que nous avions pour elle. Quel gâchis... Tout ce talent que la police nationale a perdu, que nous avons perdu... »
Axel Ronde, secrétaire général du syndicat VIGI du ministère de l'Intérieur et de la Police nationale d'Île de France, a été très touché par la disparition de Maggy Biskupski. Cette policière, connue pour avoir fondé l'association Mobilisation des policiers en colère (MPC), était devenue la porte-voix du malaise de ses collègues. Elle a été retrouvée morte à son domicile de Carrière-sous-Poissy le lundi 12 novembre. Selon une source proche de l'enquête citée par l'AFP, une lettre et son arme de service ont été découvertes sur place. La piste du suicide est fortement privilégiée.
Policière à la brigade anti-criminalité dans les Yvelines et âgée de 36 ans, Maggy Biskupski avait fait sienne la croisade de la défense des conditions de travail de ses collègues. Le 8 octobre 2016, deux véhicules de police étaient attaqués au cocktail Molotov à Viry-Châtillon, dans l'Essonne, blessant grièvement deux gardiens de la paix. La goutte d'eau qui a fait déborder un vase déjà bien rempli. A la suite du terrible événement, Maggy Biskupski décidait de fonder l'association Mobilisation des policiers en colère (MPC). Elle avait été à l'origine d'un élan inédit. Durant plusieurs mois, des milliers de gardiens de la paix en colère, équipés de leurs brassards « police » et pour certains le visage dissimulé, ont défilé la nuit à Paris ou en province. Malgré leur devoir de réserve, ils avaient décidé de montrer leur colère au grand public. Sputnik France avait pu couvrir plusieurs de ces rassemblements. Dans la vidéo qui suit, l'on peut voir Maggy Biskupski expliquer la démarche de ces « policiers en colère ».
Voir la vidéo ici :
https://fr.sputniknews.com/france/201811131038887430-police-maggy-biskupski-mort-france/
Mais son activisme lui a attiré bien des problèmes. Elle courrait les plateaux de télévision pour porter la voix de ses collègues et a parfois dû faire face à une opposition virulente. Une scène a particulièrement marqué les mémoires. Le 22 septembre dernier, Maggy Biskupski était invitée du plateau des « Terriens du samedi », émission diffusée sur C8 et animée par Thierry Ardisson. Le thème? Les méthodes policières. Un sujet explosif qui avait inspiré une tirade à l'écho désormais glaçant au chroniqueur Yann Moix:
« Si vous venez dire ici que les policiers ont peur, vous savez bien que la faiblesse attise la haine. Dire que vous chiez dans votre froc, alors que vous faites un métier qui devrait prendre cette peur en compte... [...] Je trouve franchement que venir vous victimiser à longueur d'émissions de télévision non seulement vous ridiculise auprès de la population, mais vous ridiculise au carré auprès des populations que vous asseyez à longueur de journée par des humiliations. Car vos cibles préférées, ce sont les pauvres et les milieux défavorisés. »
La policière avait justifié cette peur le lendemain de la diffusion de l'émission sur RMC: « Je suis célibataire en région parisienne, je fais un métier qui m'expose et l'actualité des dernières années montre que l'on hésite plus à frapper du flic, même en dehors de notre profession. On est devenus une cible, aussi, pour les terroristes. »
RépondreSupprimerEn dehors de ces attaques, les prises de positions de Maggy Biskupski lui avaient valu d'être visée avec trois collègues par une procédure de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) pour « manquements » au devoir de réserve. Pour Axel Ronde, qui a rencontré à plusieurs reprises la policière, on touche là à un problème de taille :
« Le fait qu'elle ait été convoquée par l'IGPN pour des prises de parole alors qu'elle était représentante d'une association est inadmissible. Nous-mêmes, en tant que syndicalistes, nous avons fait les frais de ces techniques d'intimidation. Nous avons été auditionnés pendant de nombreuses heures pour nous expliquer sur nos prises de positions dans le cadre de nos activités syndicales. Personnellement, cela m'a valu des sanctions de la part de l'administration. Tout cela est usant. Je pense que Maggy Biskupski a été usée par ce rouleau compresseur qui s'est abattu sur elle et elle a craqué. Maintenant, il faut attendre les conclusions de l'enquête. »
D'après le syndicaliste, il est urgent de réformer ce fameux droit de réserve: « Bien évidemment qu'il est normal qu'un policier ne divulgue pas d'informations sur une enquête en cours. Mais il est différent de ne pas pouvoir dénoncer nos conditions de travail. On nous dit que nous portons atteinte à l'image de la police nationale. C'est tout l'inverse. Nous voulons améliorer le quotidien des fonctionnaires de police et à travers cela, leurs image. Il en va de la sécurité de nos concitoyens. »
Christophe Castaner, ministre de l'Intérieur, a réagi à la mort de la policière: « Je ne vais pas interpréter son geste, il y a une enquête [...]. Quel que soit la cause de son geste, il est dramatique. Mais il faut entendre cette colère des policiers, je l'ai entendue. »
Entendue la colère ? Axel Ronde en doute :
« Les autorités n'ont pas pris la mesure du problème. Elles refusent de voir certains syndicats et associations sur le sujet. Quelques-uns dits "majoritaires" sont reçus mais ce n'est pas le cas pour d'autres, comme nous, qui avons des propositions à faire. Sûrement par peur des répercussions que la mise en lumières des carences existantes dans la police pourraient provoquer. »
Il rappelle que les policiers, dont les effectifs ne représentent qu'une petite partie du nombre total de fonctionnaires, concentrent la grande majorité des sanctions administratives:
« Il n'est pas normal que nous nous fassions sanctionner à tour de bras. Nous ne sommes pas des desperados. »
En attendant, selon les chiffres de la police nationale, 30 policiers se sont donné la mort depuis le 1er janvier 2018. Ils étaient 51 en 2017.
- voir clips sur site :
https://fr.sott.net/article/33129-Mort-du-leader-des-Policiers-en-colere-Elle-a-ete-usee-par-un-rouleau-compresseur
LES SUISSES PRÉFÈRENT TOUJOURS LA VIANDE DE PORC
RépondreSupprimerLes Helvètes ont consommé plus de 50 kg de viande par habitant l'an dernier. Un chiffre en baisse. Le veau et le cheval dégringolent.
Le porc a la préférence des Suisses devant la volaille et le boeuf.
PAR CHRISTINE TALOS
13.11.2018
Après une baisse de 1% en 2016, la consommation de viande a une nouvelle fois reculé de 1,9% l'an dernier pour s’inscrire à 50 kg par an et par personne. C'est l'un des très nombreux chiffres qui figure dans le rapport agricole 2018 de l'Office fédéral de l'agriculture qui vient de paraître.
En 2017, les Suisses ont consommé plus de 427'000 tonnes de viande. Un chiffre en baisse de 1,1 % malgré la croissance démographique. Le recul touche tous les types de viande, mais en particulier le boeuf (-2,1% à 11 kg) et la volaille (-1,8% à 11,8 kg).
Mais malgré ce recul continu, la volaille reste très appréciée. Elle est la viande préférée des Suisses, juste après le porc (22,2 kg par an, soit 44% de la consommation totale). Le boeuf est lui 3e, souligne le rapport dans le volet dévolu au sujet.
En revanche, la consommation de viande de veau a perdu 18% par rapport à 2008 et celle de cheval a dégringolé de 47%, relève le rapport. Même la consommation de viande de porc a décru de plus de 11% en 10 ans. On mange en revanche toujours plus de volaille, avec près de 2kg de plus par an (+9%) dans le même intervalle.
La Suisse 50e
En comparaison internationale, selon les derniers chiffres disponibles, soit ceux de 2013, la Suisse se plaçait au 50e rang mondial des pays les plus gros consommateurs de viande avec près de 52 kg par habitant par année il y a 5 ans. Un classement largement dominé par Hong Kong (110 kg) alors qu'à l'autre bout de l'échelle, les Indiens n'en ont consommé que 2,65 kg par année.
Le rapport précise toutefois que depuis 1984, la consommation mondiale de viande par habitant a augmenté d’environ 40%, tandis qu’en Suisse, elle a diminué de près de 15 %.
Boeuf allemand, volaille brésilienne
Quant à savoir d'où vient la viande que nous consommons, l'enquête annonce que l'an dernier, la Suisse en a produit 478'000 tonnes, ce qui représente un peu plus du quart de la valeur de la production agricole totale de notre pays.
Si la Suisse a exporté l'an dernier 9036 tonnes de viande, elle en aussi importé plus de 91'000 tonnes. L’Allemagne reste notre plus grand fournisseur de bœuf et de porc. C'est le Brésil surtout qui fournit notre volaille (39%) tandis que l'Australie et la Nouvelle-Zélande fournissent à elles seules 66% de la viande de mouton. (nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/suisses-preferent-toujours-viande-porc/story/31252865
Ceux qui pensaient que c'était les petits suisses...
SupprimerFeds "Harden" San Diego - Frontière de Tijuana en tant que migrants LGBT de la Caravane qui sont arrivés en premier
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 13/11/2018 - 22:05
En prévision de l'approche de la caravane de migrants centraméricaine, le Département des douanes et de la protection des frontières (CBP) a annoncé que les travaux avaient commencé mardi pour "renforcer" le passage frontalier entre Tijuana, Mexique et San Diego.
Le travail intervient alors que la première vague de migrants est arrivée à Tijuana lundi; environ 80 demandeurs d'asile homosexuels, lesbiennes et transgenres qui ont été arrêtés par une organisation anonyme après avoir affirmé que des demandeurs d'asile intolérants les harcelaient.
Apparemment, la caravane est pleine de bigots qui ont hâte d'entrer aux États-Unis.
«Nous avons fait l'objet de discrimination, même dans la caravane», a déclaré Erick Dubon, 23 ans, de San Pedro Sula, au Honduras, qui voyageait avec son petit ami, Pedro Nehemias, 22 ans. «Les gens ne nous laisseraient pas monter à bord nous arrivions au fond de la ligne pour les douches, ils nous appelaient des noms laids. "-WaPo
"Ils ont subi de nombreuses violences, notamment le fait que l'abri dans lequel ils vivaient avait été volé et incendié", a déclaré l'avocate de l'immigration, Nicole Ramos. "Ils sont vulnérables."
Un deuxième groupe de 360 migrants s'est rendu à Tijuana mardi matin.
Le CBP a fermé quatre voies aux points d'entrée très fréquentés de San Ysidro et d'Otay Mesa à San Diego afin "d'installer et de prépositionner du matériel d'infrastructure de renforcement du port en vue de la caravane de migrants et des risques potentiels pour la sécurité que cela pourrait causer, "selon CBS News et PBS.
Jeudi, 1 100 Marines du camp de base du Corps de la marine, le camp de Pendleton en Californie, ont été déployés pour renforcer la sécurité des frontières, a rapporté le KFMB, affilié à CBS San Diego. Ils étaient principalement chargés d’installer des cordons en accordéon et de pré-positionner des barrières, des barricades et des clôtures.
...
Des milliers de migrants d'Amérique centrale ont quitté les abris de Guadalajara mardi matin et ont été conduits en autobus à un poste de péage autoroutier pour attendre le trajet jusqu'à leur prochaine destination. La plupart ont semblé vouloir emprunter la route de la côte du Pacifique vers le nord, en direction de la ville frontalière de Tijuana, qui se trouvait encore à environ 1 350 milles. Les migrants ont parcouru environ 1 500 km depuis leur arrivée au Honduras, le 13 octobre, alors que la caravane n’avait en moyenne que 30 milles en moyenne par jour, mais ils parcourent maintenant une distance quotidienne de 185 km ou plus, en partie parce qu’ils comptent plutôt sur l’auto-stop. que marcher.
-CBS Nouvelles
"Le CBP s'est préparé et continuera de se préparer à l'arrivée potentielle de milliers de personnes migrant dans une caravane se dirigeant vers la frontière des États-Unis", a déclaré Pete Flores, directeur des opérations de terrain du San Diego à San Diego.
Au Texas, entre-temps, environ 5 600 soldats ont installé une clôture de fil de fer barbelé le long du fleuve Texas, du côté du Texas, sous le pont international McAllen-Hidalgo, alors que les soldats soutiennent les efforts des autorités douanières et des gardes-frontières américains pour empêcher les demandeurs d'asile d'entrer dans le pays.
RépondreSupprimerLes premiers groupes à arriver à Tijuana ont été servis pour le petit-déjeuner avant de se diriger vers la plage afin de chercher un endroit où rester jusqu'à ce qu'ils tentent de se rendre aux États-Unis. César Palencia, directeur du bureau municipal des affaires de migration de Tijuana, a déclaré qu'il y avait suffisamment d'abris pour 900 migrants dans la ville, mais qu'ils avaient toujours besoin de plus de matelas, de couvertures et de vêtements pour les nouveaux arrivants.
Palencia s'inquiète du fait qu'il n'y aura pas assez de ressources pour le groupe important d'au moins 3 000 migrants attendu dans quelques semaines.
"Nous attendons plus de ces petits groupes, mais nous ne savons pas pour l'instant ce que nous allons faire de la grande caravane", a-t-il déclaré. "Mais nous allons faire de la place."
Pendant ce temps, certains migrants LGBT ont reçu un accueil tiède de la part des habitants de Tijuana.
L'arrivée à Tijuana du groupe LGBT n'a pas été bien accueillie par tous. Santiago Alvarez, un policier en service à l'extérieur de la maison de location, a déclaré que des personnes s'étaient arrêtées en «frappant à la porte, en criant des choses et en leur disant de partir». -WaPo
"Quelques migrants ont été laissés pour acheter quelques objets. Ils ont été harcelés et insultés dans la rue", a déclaré Alvarez.
Le reste des migrants devrait arriver au cours des prochaines semaines, à moins que des organisations anonymes ne les transportent plus tôt à la frontière.
https://www.zerohedge.com/news/2018-11-13/feds-harden-san-diego-tijuana-border-lgbt-caravan-migrants-first-arrive
Rien n'est plus angoissant que de voir des personnes 'dites fauchées' qui ont parcouru des milliers de kilomètres (grâce aux mécènes terroristes ?) arriver à la porte et prêtent à l'enfoncer pour entrer !
SupprimerL'invasion est malsaine et le chantage plébiscité.
VOTATIONS - JUGES ÉTRANGERS: L'ÉCART SE CREUSE CONTRE L'INITIATIVE DE L'UDC
RépondreSupprimerA deux semaines du vote, le troisième sondage de Tamedia sur les votations du 25 novembre montre que l'initiative de l'UDC a perdu du terrain avec 40% des intentions de vote.
Créditée de 45 % des intentions de vote à mi-octobre, l'initiative de l'UDC a subi les assauts d'une campagne qui lui reproche de vouloir isoler la Suisse sur la plan international.
PAR ERIC FELLEY
14.11.2018, 06h29
Le soutien à l'initiative de l'UDC «pour le droit suisse contre les juges étrangers», ou «pour l'autodétermination», recule à 40 % contre 44% deux semaines auparavant. C'est ce que montre le troisième sondage Tamedia, réalisé les 8 et 9 novembre derniers auprès de quelque 13 300 personnes dans toute la Suisse.
La dynamique semble être en faveur du camp du non qui passe de 53 à 58 %. L'écart se creuse en défaveur de l'UDC, malgré une campagne intensive qui s'est déplacée sur le thème de la défense de la démocratie directe. Dans un communiqué publié lundi, l'UDC espère toutefois un «oui»le 25 novembre pour peser sur la politique internationale du Conseil fédéral, en particulier pour faire barrage à la signature par la Suisse du Pacte sur les migrations de l'ONU. Deux débats sont prévus au Parlement durant la session d'hiver, le 29 novembre aux Etats et le 6 décembre au National. Le résultat de la votation pourrait avoir une influence sur cette question.
L'UDC de plus en plus seule
Par rapport aux deux premiers sondages, on remarque un affaiblissement du soutien des sympathisants du PLR, qui sont passés de 31 % à 26 %. On remarque aussi que l'initiative est davantage rejetée par les 18-34 ans et les plus de 65 ans. Entre les deux, le résultat est plus équilibré. Au niveau des régions, la Suisse romande refuse plus largement avec 62% de non, la Suisse alémanique avec 55 % de non, tandis que le Tessin l'accepte avec 57 % de oui.
Les cornes perdent la majorité
Le soutien à l'initiative pour les vaches à cornes recule, lui, à 45 % d'avis favorables contre 52 % défavorables. C'est un retournement de majorité alors que les deux premiers sondages étaient positifs à 53 % et 51 %. Quant à la loi sur la surveillance des assurés, son acceptation reste stable à 67 % de oui, contre 68 % lors du sondage précédent
Le sondage a été réalisé online les 8 et 9 novembre auprès de 13 298 personnes. La marge d'erreur est de 1,4%. (Le Matin)
https://www.lematin.ch/suisse/juges-etrangers-ecart-creuse-linitiative-ludc/story/18000816
SupprimerToutes les tentatives sont bonnes pour créer par de faux sondages la division et le rejet de la seule Démocratie au monde !
Il est certain que dès lors que des juges étrangers seraient nommés, tous les tribunaux suisses deviendraient anti-suisse !
L'affiche de l'opposition à la Suisse montre "Nous nous isolons pas" !! C'est-à-dire qu'ils prônent aux Suisses de se rendre à la dictature environnante et d'abandonner la liberté et la Démocratie !!
Déficit, carburants, etc : si on arrêtait de prendre les Français pour des pigeons ?
RépondreSupprimerLe pouvoir est strictement incapable de maîtriser la dépense publique et qui fait feu de tout bois pour comprimer par tout moyen (dont notamment des prélèvements insensés) le déficit qu’il doit présenter à Bruxelles.
Par Thierry Benne.
Un article de l’Iref-Europe
14 NOVEMBRE 2018
Tous les Français ont en mémoire la célèbre injonction du Président Georges Pompidou à l’un de ses proches : « Cessez d’emmerder les Français. » Même si on déplore son inefficacité actuelle, cette mise en garde est toujours valable aujourd’hui à considérer le flux continu des taxes et des contraintes nouvelles dont ce gouvernement inonde le pays.
Mais insensiblement le problème s’est encore aggravé et les Français ont de plus en plus le sentiment qu’en plus de les « emmerder » (cf. la limitation générale de vitesse à 80 km/h, sans du tout tenir compte de la plus ou moins grande dangerosité de la voie), on les abuse et on leur cache la vérité. À savoir : un pouvoir strictement incapable de maîtriser la dépense publique et qui fait feu de tout bois pour comprimer par tout moyen (dont notamment des prélèvements insensés) le déficit qu’il doit présenter à Bruxelles.
Commençons par l’ascension vertigineuse des taxes sur les carburants, qui ont un effet délétère sur le pouvoir d’achat des Français, au moins de ceux qui supportent et au-delà la totalité du coût de leurs déplacements quotidiens en voiture. Parce que n’habitant pas Paris ou sa banlieue immédiate, ni quelque autre grande métropole richement desservie, ils ne bénéficient pas de la prise en charge par la collectivité des deux tiers du coût du train, du métro, du tramway ou encore des bus ; tous ces modes de transports qui, en province, dans les villes moyennes ou dans les campagnes et à condition qu’il s’en trouve, ne passent pas au pied de leur logement.
Pour faire passer la pilule, qui est quand même un peu dure à avaler (les taxes représentent désormais quasiment 60 % du prix à la pompe !), le Premier ministre ne cesse de proclamer que seule sa politique représente la voie du courage et de l’avenir, puisque ces sacrifices permettront de quitter progressivement l’enfer de pollution dans lequel nous pataugeons lamentablement pour gagner sans coup férir l’Éden écologique qu’il nous promet.
Sauf que l’on apprend ceci dans le rapport spécial du Sénat sur la transition écologique du projet de loi de finances 2018 :
Sur les 3,9 milliards d’euros de recettes supplémentaires en 2018, seuls 184 millions d’euros de TICPE seront alloués au compte d’affectation spéciale « Transition énergétique » pour financer les engagements passés au titre du développement des énergies renouvelables.
Et le reste de la fiscalité écologique est à l’avenant au point que Ségolène Royal, orfèvre en la matière, n’a pas hésité à qualifier de « pas sérieuse et pas honnête » la démarche du gouvernement qui consiste à utiliser le prétexte de l’écologie pour combler en réalité le déficit du budget général.
En fait, il s’agit une fois de plus d’un honteux hold-up fiscal sur les automobilistes et routiers, assorti d’une information mensongère sciemment colportée par tout le groupe majoritaire, ministre de l’Action et des Comptes publics en tête.
UNE POLLUTION FORT « SÉLECTIVE »
RépondreSupprimerSur un plan technique mais nullement négligeable, sait-on que 41 % de l’émission des particules nocives de notre parc roulant proviennent tout simplement du « trio infernal » que représente la conjonction abrasive du revêtement routier, des freins et des pneus. Or ces freins et ces pneus équipent actuellement la totalité des véhicules, qu’ils recourent au gazole, à l’essence ou à la fée électricité (qui manifestement ne résout pas tout : le recyclage ultime des batteries risquant notamment de réserver quelques surprises).
Quant à l’état et à la qualité de notre réseau routier, les derniers audits ont largement détaillé tout le mal qu’on peut en penser. Mais sans doute est-ce encore un peu tôt pour encourager dès demain la propulsion sur coussin d’air, qui mettrait radicalement fin à cette pollution aussi sournoise que prégnante ? Et quant aux 48 000 morts que l’on attribue chaque année assez généreusement à la pollution urbaine, il est admis qu’en moyenne et en croisant les divers polluants recensés, la part du trafic automobile roulant n’excède guère un tiers.
Or il ne semble pas qu’on se préoccupe autant des deux autres tiers liés notamment aux facteurs résidentiels et aux installations industrielles ou énergétiques. Le métro parisien, transport vertueux par excellence et entièrement aux mains d’individus parfaitement exemplaires, mérite à lui seul une mention spéciale.
En effet, il affiche dans ses tunnels comme dans ses couloirs un taux d’air pollué qui, aux heures de pointe, peut être jusqu’à 16 fois plus vicié que l’air extérieur, seule préoccupation de Madame Hidalgo. Pourtant pour l’instant on cherche en vain sur la toile l’étude publique qui dévoilerait le taux de mortalité propre au moyen de transport de loin le plus utilisé dans la capitale et « pneumologiquement » le plus dangereux.
On est stupéfait d’apprendre par la RATP qu’ « il n’existe pour l’heure aucune norme en matière de particules dans les espaces souterrains » qu’empruntent quotidiennement plus de 4 millions de voyageurs franciliens. Ce qui montre à quel point on peut faire confiance aux autorité publiques pour préserver notre santé à chaque fois qu’au lieu de pointer un abus privé, il faut dénoncer un scandale public. Et encore ne dit-on rien des métros de province qui présentent peu ou prou les mêmes risques avec une communication publique tout aussi largement défaillante ! Mais, faute pour l’instant de radars verbalisant la pollution souterraine (quel dommage !), pourquoi ne pas augmenter, comme pour les carburants, de 40 ou 50 % le prix des tickets des métros ou des RER circulant en sous-sol pour financer d’urgence l’assainissement de leurs atmosphères confinées ?
LE MIRACLE DU KÉROSÈNE : UN CARBURANT ULTRAPOLLUANT SANS TAXE !
En restant un instant encore dans le domaine des transports et des carburants : pourquoi donc, alors que l’État n’a plus un sou vaillant, continue-t-il à exonérer entièrement le kérosène ? Ce carburant est comme chacun sait l’un des plus polluants qui soit, puisque son empreinte carbone au km/passager excède de 50 % celle d’une voiture et de quelque 40 fois celle d’un TGV !
Alors plutôt que de surtaxer sans cesse davantage les automobilistes et les transporteurs routiers cloués au sol, il faudrait peut-être aussi pour le bien de la planète (dont on nous rebat tant les oreilles) avoir le réflexe élémentaire de lever un peu le nez ou de regarder la mer afin de mettre fin à l’archaïsme des exonérations des carburants des transports aériens et du tourisme maritime.
En effet selon le Réseau Action Climat et pour le seul transport aérien, le manque à gagner pour l’État se montait en 2017 à 800 millions d’euros pour les vols intérieurs (que d’autres États n’hésitent pas à taxer) et à 3 milliards d’euros si l’on inclut les vols internationaux (mais cette fois en révisant au préalable la convention de Chicago, conclue en… 1944, c’est-à-dire à une époque où les préoccupations écologistes n’étaient pas vraiment prioritaires).
RépondreSupprimerCar ces carburants actuellement détaxés n’en polluent pas moins parfois très lourdement la planète en général, comme nos ports (demandez donc aux résidents près des quais à Marseille !) et nos aéroports (Roissy et Orly en tête, mais leurs voisins ne sont pas de vrais Parisiens protégés bec et ongles par Madame Hidalgo, seulement des banlieusards de droit commun polluables à merci !) en particulier.
Comment ne pas légitimement s’étonner que toute la sphère écologiste observe un prudent silence-radio sur cette grave anomalie qui profite, c’est vrai, à son moyen de transport préféré, notamment pour les grand-messes qu’elle organise chaque année une fois à Kyoto, une autre fois à Bali, tandis que la prochaine COP 24 se tiendra en décembre en Pologne à Katowice.
Or, chacune de ces manifestations très courues draine généreusement du monde entier plusieurs milliers de participants et de journalistes. Rappelons enfin, pour que chacun se rende bien compte à quel degré d’ineptie on en est arrivé, que le protocole de Kyoto entré en vigueur en 2005 laisse expressément hors de son champ les vols internationaux, car les avions – c’est bien connu – cessent immédiatement de polluer dés qu’ils franchissent une frontière !
LA FRANCE N’A PAS LA TAILLE CRITIQUE
Quand on nous prêche les vertus de l’exemplarité, on a le droit de rester sceptique. Aux États-Unis, le Président Trump ne nous a-t-il pas brutalement claqué la porte au nez en se retirant des accords que nous pilotions ? En Chine aussi dont, malgré quelques récents progrès et des promesses encourageantes, la puissance polluante demeure largement à la mesure de la puissance économique.
Enfin en dépit de tous les refrains apaisants qu’on nous sert sur nos liens privilégiés avec l’Allemagne, comment oublier que ni notre Président, ni son gouvernement, n’ont apparemment élevé la moindre protestation officielle contre les émissions des nombreuses centrales à charbon de Madame Merkel ? Or celles-ci ruinent depuis plusieurs années une bonne partie nos propres efforts en nous envoyant généreusement, portés par des vents mauvais, leurs effluves nauséabonds par-delà les frontières, les monts et les fleuves.
Ce symbole hautement polluant et dommageable pour nos poumons gaulois confirme d’ailleurs que les Verts d’Outre-Rhin, qui ont fait débrancher d’un coup le nucléaire, ont ceci de commun avec les nôtres, que la logique, la cohérence et la solidarité ne les étouffent pas.
Il est vrai que lorsqu’on fait du « en même temps » la marque de fabrique de sa parole comme de son action, on privilégie inévitablement l’ambiguïté dont, chacun le sait, nul ne sort qu’à ses dépens. Mais – et on l’oublie trop souvent – on compte aussi parmi les victimes tous ceux qu’on a bernés en les jugeant pas assez intelligents pour mériter la vérité.
Cette démarche dolosive, cette défiance hautaine, ces présentations tronquées, les Français ne les supportent déjà plus et ils les admettront de moins en moins à l’avenir. Ils attendent notamment que, pour les prochaine réformes – et tout spécialement celle des retraites –, le Président et le gouvernement leur disent rapidement et entièrement la vérité et qu’en chiffrant honnêtement les enjeux, ils renoncent définitivement à une attitude qui n’est pas digne du peuple qu’ils dirigent.
https://www.contrepoints.org/2018/11/14/330130-deficit-carburants-etc-si-on-arretait-de-prendre-les-francais-pour-des-pigeons
L’agriculture biologique doit remonter le temps de… 70 ans !
RépondreSupprimerUn arrêt de la Cour de Justice de l’Union Européenne a mis un coup d’arrêt aux techniques modernes d’amélioration des plantes. En toute logique, il impose à l’agriculture biologique de revenir aux variétés d’avant 1950 dans de nombreux cas.
Par André Heitz.
14 NOVEMBRE 2018
Le mercredi 25 juillet 2018, la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) a rendu un arrêt très attendu aux conséquences incalculables pour la science, la technologie, l’amélioration des plantes, la production de semences et plants et l’agriculture dans son ensemble – bref, pour la filière de la génétique qui va de la paillasse du chercheur à la table du consommateur (communiqué de presse ici).
LE LÉGISLATEUR EUROPÉEN EN DÉLIRE
Il s’agissait essentiellement d’interpréter la directive 2001/18/CE du Parlement européen et du Conseil, du 12 mars 2001, relative à la dissémination volontaire d’organismes génétiquement modifiés dans l’environnement et abrogeant la directive 90/220/CEE du Conseil, et de préciser son application aux nouvelles techniques d’amélioration des plantes (NBT pour new breeding techniques) dont le porte-étendard est le système CRIPR/Cas9.
Cette directive est un monument d’impéritie législative. Les rédacteurs ont défini l’« organisme génétiquement modifié » sur le mode XXL, comme « un organisme, à l’exception des êtres humains, dont le matériel génétique a été modifié d’une manière qui ne s’effectue pas naturellement par multiplication et/ou par recombinaison naturelle ». Pour revenir à une taille raisonnable, ils ont prévu des exceptions – des « techniques [qui] ne sont pas considérées comme entraînant une modification génétique ». Et comme cela ne suffisait toujours pas, des exemptions : « La présente directive ne s’applique pas aux organismes obtenus par les techniques de modification génétique énumérées à l’annexe I B. » Cherchez ladite annexe – d’une brièveté telle que le procédé rédactionnel relève tout simplement de la volonté sadomasochiste de créer un labyrinthe – et vous trouverez « la mutagenèse ».
Des poseurs de mines astucieux – ils fourmillent à Bruxelles et dans les capitales – ont aussi introduit un considérant – un énoncé liminaire en principe sans effet juridique mais susceptible de fournir un éclairage sur les intentions et motivations du législateur… et acquérir malgré tout un effet fonctionnel. Donc, « (17) La présente directive ne devrait pas s’appliquer aux organismes obtenus au moyen de certaines techniques de modification génétique qui ont été traditionnellement utilisées pour diverses applications et dont la sécurité est avérée depuis longtemps. »
LA CONFÉDÉRATION PAYSANNE DÉTESTE LES VARIÉTÉS TOLÉRANTES À CERTAINS HERBICIDES
Passons à la scène française, car l’arrêt fait suite à des manœuvres judiciaires dont le maître d’œuvre est la Confédération Paysanne – un syndicat fort impliqué dans l’anticapitalisme et le refus des nouvelles technologies génétiques et chimiques – accompagnée dans l’aventure par huit organisations (Réseau Semences Paysannes, Les Amis de la Terre France, Collectif Vigilance OGM et Pesticides 16, Vigilance OG2M, CSFV 49, OGM dangers, Vigilance OGM 33, Fédération Nature et Progrès).
S’agit-il pour la Conf’ de faire progresser les intérêts de ses adhérents ? Non ! Ou oui si l’on considère que cela passe par la péjoration des conditions dans lesquelles opère l’agriculture productive, péjorativement qualifiée de « productiviste » ou « industrielle ».
La Conf’ mène donc bataille contre – selon les circonstances – les variétés tolérantes aux herbicides (VTH) ou les variétés rendues tolérantes aux herbicides (VrTH).
UN PEU D’AGRONOMIE ET DE SCIENCE
RépondreSupprimerUn herbicide peut être total (comme le glyphosate jusqu’à l’arrivée des OGM conçus pour le tolérer) ou sélectif (comme ces produits, encore disponibles en jardinerie jusqu’à la fin de l’année, utilisés par les amateurs pour éliminer les pissenlits de leur belle pelouse).
Mais voilà qu’en 1996, dans un champ de soja du Kansas désherbé avec un herbicide de la famille des imidazolinones, on a trouvé des tournesols qui avaient vaillamment survécu. Ils étaient porteurs d’une mutation naturelle – d’une modification de leur patrimoine génétique qui en a fait les premiers VTH (technologie Clearfield®.
Ces VTH – utilisées judicieusement cela va de soi – constituent un progrès agronomique et économique considérable. C’est une nouvelle option de désherbage s’ajoutant aux anciennes (mises en œuvre essentiellement en présemis/prélevée) et permettant de contrôler, en un seul passage, un large éventail de mauvaises herbes, et ce, en cours de culture lorsque la flore à combattre est mieux connue.
Différence entre les sojas originellement tolérants à l’imazamox et les tournesols nouvellement tolérants ? Sur ce point, ainsi que sur les risques éventuels, aucune. Ces tournesols sont-ils des « éponges à pesticides » comme le clame la propagande (comme si l’agriculteur s’amusait à inonder son champ de l’herbicide) ? Pas plus que les autres plantes cultivées tolérant l’herbicide en question.
Ce que la nature fait… naturellement, l’Homme peut aussi, naturellement, le faire en laboratoire. Il peut par exemple cultiver des cellules in vitro en présence de l’herbicide pour sélectionner celles qui survivent (portant donc une mutation naturelle) et régénérer des plantes entières tolérantes. Ou provoquer, en espérant en trouver qui sont intéressantes. Et si la manip’ produit une tolérance à un herbicide, on obtient une VrTH selon la sémantique des anti-OGM et anti-pesticides. C’est par exemple le cas des tournesols Express Sun® tolérant le tribénuron-méthyl.
Différences entre variétés originellement tolérantes, VTH et VrTH ? Sur le plan des principes, aucune.
Comment provoquer ou induire des mutations ?
La méthode « antique », mise au point avant et en œuvre après la deuxième guerre mondiale, utilise l’irradiation ou des substances chimiques. Elle est hautement aléatoire, produisant beaucoup de déchets et peu de pépites qu’il faut souvent extraire à grand-peine en éliminant , dans la mesure du possible, toutes les modifications génétiques indésirables.
Les nouvelles méthodes consistent à utiliser des outils du génie biomoléculaire dont le système CRISPR/Cas9 est devenu l’emblème. Ils permettent d’obtenir une transformation ciblée avec une très haute précision, notamment supprimer une paire de bases d’un gène (ce qui inactive le gène), remplacer une paire de base par une autre (cela offre notamment des perspectives en thérapie génique) ou insérer une séquence plus ou moins longue.
UN CONSEIL D’ÉTAT COMPLAISANT ?
Les techniques modernes font ainsi le pont entre les mutations naturelles et induites et la transgenèse – l’insertion dans le génome d’une plante (ou d’un autre organisme) d’une séquence génétique (typiquement un gène) provenant d’un autre organisme. Se prévalant de la directive 2001/18/CE, la Conf’, ses partenaires de l’opération judiciaire et ses amis font campagne sur le thème des « OGM cachés » – que les Faucheurs Volontaires s’emploient à vandaliser sous l’œil plutôt bienveillant des pouvoirs publics.
La Conf’ et ses partenaires ont donc « demandé au Premier ministre l’abrogation des dispositions de l’article D. 531-2 du code de l’environnement et l’interdiction de la culture et la commercialisation des variétés de plantes, notamment de colza, rendues tolérantes aux herbicides. » L’article en cause transcrit en droit français le capharnaüm législatif de la directive décrit ci-dessus.
RépondreSupprimerConfrontés au silence de M. Manuel Valls, ils s’adressent au Conseil d’État, mais avec une conclusion différente. Il n’est plus question d’interdiction, mais de moratoire.
Quoi qu’il en soit, le Conseil d’État « interprète » la demande « [c]ompte tenu de l’argumentation de la requête » comme portant uniquement sur l’exclusion « du champ d’application des dispositions du même code régissant les organismes génétiquement modifiés [d]es variétés obtenues par mutagénèse ». Et il a adressé quatre questions préjudicielles à la Cour de Justice de l’Union Européenne.
UNE RÉPONSE DE LA COUR DES PLUS SURPRENANTES
La réponse de la Cour – l’arrêt du 25 juillet 2018 – en a surpris plus d’un. La Cour n’a pas suivi, comme elle le fait généralement (mais pas toujours, Kokopelli en a fait l’amère expérience) l’avocat général Michal Bobek qui avait proposé une démarche nuancée, en fonction du résultat obtenu avec les nouvelles techniques d’amélioration des plantes.
Le juriste peut aussi s’étonner que la Cour se soit livrée à un travail d’exégèse au mépris du principe interpretatio cessat in claris selon lequel un tribunal doit s’abstenir d’interpréter des textes clairs, dépourvus de toute ambiguïté, imprécision ou maladresse rédactionnelle. Elle a aussi pris pour argent comptant les arguments de la Conf’ et consorts sur les risques (allégués) des nouvelles techniques, sans s’en référer à l’important corpus d’expertise sur la question.
Mais la Cour dit le droit… qui s’impose aux tribunaux nationaux et, par extension à la société.
UN RIDEAU DE CONTRAINTES ADMINISTRATIVES ET POLITIQUES TOMBE SUR LA GÉNÉTIQUE MODERNE
La Cour a constaté que « les organismes obtenus au moyen de techniques/méthodes de mutagenèse constituent des organismes génétiquement modifiés » au sens de la directive. C’était incontournable et cela a dû plaire à la mouvance anti-OGM et anti-pesticides… jusqu’à ce qu’ils se soient aperçus des dégâts collatéraux.
Incorporant ensuite le considérant 17 dans le dispositif législatif, elle déclare que « ne sont exclus du champ d’application de ladite directive que les organismes obtenus au moyen de techniques/méthodes de mutagenèse qui ont été traditionnellement utilisées pour diverses applications et dont la sécurité est avérée depuis longtemps ».
Là, c’est le scientifique et le praticien qui sont aussi interloqués : sont exclus, en bref, les produits des techniques connues et appliquées en 2001, année de l’adoption de la directive, soit celles recourant à des rayonnements ou des substances chimiques mutagènes… les produits de techniques aléatoires qui s’apparentent au cassage de cailloux, « dont la sécurité est avérée depuis longtemps » par le simple fait que les chercheurs et sélectionneurs sont attentifs à ce qu’ils font. Et les produits des nouvelles technologies qui s’apparentent à l’orfèvrerie sont soumis aux procédures – rédhibitoires pour la culture en Europe – d’évaluation, d’autorisation de dissémination et de mise en marché, de suivi, de traçabilité et d’étiquetage !
Et comme l’opinion dite « publique » est hostile aux OGM et que les pouvoirs politiques et législatifs sont frileux – leur culture sera sans nul doute interdite, à moins d’une improbable prise de conscience des conséquences dévastatrices et d’un accès tout aussi improbable de courage politique.
Jean-Claude Juncker – aux opinions en matière d’OGM largement connues – lançant la Commission dans une révision de la réglementation européenne ? En plus confronté à l’hostilité affichée de nombreux États membres et aux jeux politiciens du Parlement Européen, de surcroît à l’aube d’élections qui se révéleront probablement catastrophiques pour l’idée européenne ? Ne rêvons pas…
RépondreSupprimerUN DÉSASTRE ANNONCÉ POUR L’AGRICULTURE ET L’ALIMENTATION
Il reste à voir comment le Conseil d’État se prononcera sur la requête de la Conf’ et de ses partenaires. Mais c’est un pan entier de la génétique végétale qui, après les OGM issus de la transgenèse, se dérobe déjà à l’Europe : les nouvelles techniques, mais aussi les anciennes techniques de mutations induites devenues largement obsolètes.
C’est toute la filière qui est affectée, de la paillasse du chercheur à la table du consommateur. Le premier pourra toujours émigrer (comme le fit Mme Emmanuelle Charpentier, une des pionnières de la techniques CRISPR/Cas9) ; le second – s’il n’est pas intoxiqué par la propagande qui en aura fait des « OGM » – consommer des produits améliorés sur le plan nutritionnel qui nous viendront de l’étranger, notamment en raison des règles du commerce international (comme c’est le cas aujourd’hui pour, par exemple, le soja GM).
Oubliez les variétés rendues résistantes à une maladie grâce à CRISPR/Cas9 et permettant de réduire l’usage des pesticides… Oubliez la lutte contre le gaspillage alimentaire grâce à des pommes ne brunissant pas quand elle sont coupées… et les pommes de terre produisant peu d’acrylamide, suspecté d’être cancérogène… Ce sont des OGM ! Et « OGM = danger », n’est-il pas ?
L’AGRICULTURE BIOLOGIQUE, VICTIME COLLATÉRALE
Les idéologues du bio interdisent les « OGM ». Le règlement (CE) 834/2007 relatif à la production biologique et à l’étiquetage des produits biologiques et abrogeant le règlement (CEE) no 2092/91 se réfère à la directive 2001/18/CE pour leur définition. L’arrêt de la CJUE est de ce fait indirectement applicable au bio.
De plus, le règlement (CE) 834/2007 contient aussi un considérant auquel il faut donner un effet utile, législatif, selon le raisonnement de la Cour : « (9) Les organismes génétiquement modifiés (OGM) et les produits obtenus à partir d’OGM ou par des OGM sont incompatibles avec le concept de production biologique et avec la perception qu’ont les consommateurs des produits biologiques. Ils ne devraient donc être utilisés ni dans l’agriculture biologique ni dans la transformation des produits biologiques. »
Le nouveau règlement sur l’agriculture biologique qui devrait entrer en vigueur en janvier 2021 se fait encore plus pressant. Il convient de le citer ici pour bien montrer les dérives idéologiques et sectaires, auxquelles le législateur européen donne son plein appui : « (23) L’utilisation des rayonnements ionisants, du clonage animal et d’animaux polyploïdes obtenus artificiellement, ou d’organismes génétiquement modifiés (OGM) ainsi que de produits obtenus à partir d’OGM ou par des OGM est incompatible avec le concept de production biologique et avec la perception qu’ont les consommateurs des produits biologiques. Une telle utilisation devrait donc être interdite en production biologique. »
Notons incidemment qu’on passe de 40 à… 124 considérants. Dans les deux cas, le résultat est clair : l’agriculture biologique doit renoncer à utiliser toute variété qui, par la grâce d’un arrêt de la Cour malheureux est devenue un « OGM »… « incompatible avec le concept de production biologique et avec la perception qu’ont les consommateurs des produits biologiques ».
RépondreSupprimerLes spécialistes de la casuistique objecteront peut-être que les règlements bios européens excluent de la définition des OGM ce qui est « obtenu par les techniques de modification génétique énumérées à l’annexe I.B de [la] directive [2001/18/CE] ». Mais, dans beaucoup d’espèces cultivées, les variétés modernes sont issues de géniteurs, parfois anciens, « dont le matériel génétique a été modifié d’une manière qui ne s’effectue pas naturellement par multiplication et/ou par recombinaison naturelle ».
Ainsi, tous les blés modernes comportent des séquences génétiques importées d’espèces dites « voisines » – certaines plutôt éloignées – souvent au prix de véritables acrobaties ou cascades de laboratoire. Voyez l’histoire de Renan, la variété de blé la plus prisée de l’agriculture biologique… Dans les tomates, 10 % du génome est issu d’espèces voisines par croisements interspécifiques… qui ne s’effectuent pas naturellement. La liste est longue…
Pour se conformer à ses idéologues, au législateur et au juge – et faire honneur à ses discours et engagements vis-à-vis des consommateurs –, l’agriculture biologique ferait bien de revenir aux variétés anciennes, disons d’avant 1950, et de renoncer à des espèces comme le triticale (un croisement intergénérique entre le blé et le seigle).
Rappelons l’ambition de la Conf’ (et de ses amis) : « Nous nous opposons à toute culture d’OGM en France »…
https://www.contrepoints.org/2018/11/14/329973-lagriculture-biologique-doit-remonter-le-temps-de-70-ans
Dans les pays étrangers où règne la famine les terres abondent pourtant. Mais, ce qui manque est des semences suffisamment multiplicatrices, des produits de traitements contre les maladies et l'invasion d'herbes et les engrais.
SupprimerC'est-à-dire qu'il manque tout pour y vivre !
Les températures antarctiques ont récemment plongé près du plus froid théoriquement possible sur Terre !
RépondreSupprimerDavid Middleton
13 novembre 2018
Cette histoire avait déjà été abordée ici à WUWT… Mais pourquoi n’a-t-on pas fait cette manchette dans le Washington Post, le New York Times, etc. ? Oui… C'était une question rhétorique.
Températures de surface ultra-basses en Antarctique oriental d'après la cartographie infrarouge thermique par satellite: les endroits les plus froids de la planète
T. A. Scambos, G. G. Campbell, A. Pope, T. Haran, A. Muto, M. Lazzara, C. H. Reijmer, M. R. van den Broeke
Première publication: 25 juin 2018
[…]
Résumé en langage clair
La température de l'air mesurée la plus basse sur Terre est de -89,2 ° C le 23 juillet 1983, observée à la station Vostok en Antarctique (Turner et al., 2009, https://doi.org/10.1029/2009JD012104). Cependant, les données satellitaires recueillies pendant la nuit polaire antarctique de 2004 à 2016 révèlent une vaste région du haut plateau de l'Antarctique oriental au-dessus de Vostok qui atteint régulièrement des températures de surface de la neige de -90 ° C et en dessous. Celles-ci se trouvent dans des dépressions topographiques peu profondes près de la partie la plus haute de la calotte glaciaire, à une altitude de 3 800 à 4 050 m. Des comparaisons avec des stations météorologiques automatisées situées à proximité suggèrent que la température de l'air lors de ces événements est proche de -94 ± 4 ° C ou d'environ -138 F. Les conditions ultracourbes (inférieures à -90 ° C) se produisent plus fréquemment lorsque le vortex polaire antarctique est fort. Cette température semble être à peu près aussi basse que possible, même par temps clair et par temps très sec, car la chaleur émise par l'air froid et clair est presque égale à celle émise par la neige extrêmement froide.
[…]
Lettres de recherche géophysique
Des comparaisons avec des stations météorologiques automatisées situées à proximité suggèrent que la température de l'air lors de ces événements est proche de -94 ± 4 ° C ou d'environ -138 F. Les conditions ultracourbes (inférieures à -90 ° C) se produisent plus fréquemment lorsque le vortex polaire antarctique est fort. Cette température semble être à peu près aussi basse que possible, même par temps clair et par temps très sec, car la chaleur émise par l'air froid et clair est presque égale à celle émise par la neige extrêmement froide.
Le texte intégral de l'article est encore disponible.
Combien de moins de froid aurait-il pu obtenir à 280 ppmv de gaz carbonique ? Probablement pas plus froid du tout.
Dans un langage encore plus simple…
28 juin 2018, 12h58
«C’est presque comme une autre planète» - La température la plus froide sur Terre enregistrée en Antarctique
Trevor Nace
Alors que l'été commence à chauffer, les scientifiques viennent de publier la température la plus froide jamais enregistrée sur Terre. Au cours de la longue et sombre saison hivernale de l’Antarctique, les températures ont suffisamment baissé pour ressembler aux autres planètes.
La température qu'ils ont mesurée ? Un négatif époustouflant de 144 degrés Fahrenheit (-97,8 degrés Celsius). À cette température, quelques bouffées d’air provoqueraient des hémorragies dans les poumons et entraîneraient rapidement la mort.
RépondreSupprimerLa température a été enregistrée à l’aide de mesures satellitaires effectuées au centre de l’Antarctique, au plus profond de l’hiver, sans soleil. Ces résultats, récemment publiés dans la revue Geophysical Research Letters, sont proches de la température théorique la plus froide que la Terre puisse atteindre.
[…]
Forbes
Ces résultats, récemment publiés dans la revue Geophysical Research Letters, sont proches de la température théorique la plus froide que la Terre puisse atteindre.
L'histoire a été couverte à Forbes, Fortune, NatGeo et à quelques autres endroits… Et c'était pire que ce que l'on pensait auparavant…
Live Science Planet Earth
L'endroit le plus froid sur Terre est encore plus froid que ne le pensaient les scientifiques
Par Mindy Weisberger, rédactrice principale | 26 juin 2018
Les scientifiques savaient déjà que les températures les plus basses jamais mesurées sur Terre étaient sur une crête de glace gelée dans l'est de l'Antarctique, près du pôle Sud. Mais ils ont récemment découvert que les températures pouvaient chuter même plus bas que celles mesurées auparavant.
En 2013, l'analyse des données satellitaires a permis de localiser des poches éparses d'air extrêmement froid sur le plateau de l'Antarctique oriental, entre Dome Argus et Dome Fuji - des températures qui ont plongé à un minimum de 135 degrés Fahrenheit (moins de 93 degrés Celsius).
Cependant, une nouvelle analyse des mêmes données suggère que, dans de bonnes conditions, ces températures peuvent chuter à près de moins 148 ° F (moins 100 ° C), ce qui est probablement le plus froid sur Terre, ont annoncé des chercheurs dans une nouvelle étude.
[…]
Science en direct
Malgré les points extrêmes du réchauffement de Gorebal, repoussant la Terre au maximum thermique du Pliocène, du Miocène, du Paléocène-Eocène, du Crétacé, de Vénus… bien dans les limites du bruit de l'Holocène. Il fait toujours aussi froid que théoriquement possible en Antarctique.
https://wattsupwiththat.com/2018/11/13/antarctic-temperatures-recently-plunged-close-to-the-theoretically-coldest-achievable-on-earth/
Nous avons un problème d'identité
RépondreSupprimerPar Walter E. Williams
14 novembre 2018
Selon un rapport publié récemment dans le New York Times, des responsables du Département de la santé et des services sociaux ont diffusé une proposition visant à définir le sexe. Leur mémo indique: «Le sexe signifie le statut d'une personne en tant qu'homme ou femme basé sur des traits biologiques immuables identifiables par ou avant la naissance.» Ils ajoutent: «Le sexe indiqué sur l'acte de naissance d'une personne, tel que délivré à l'origine, constituera une preuve définitive de l'identité de la personne à moins d’être réfuté par des preuves génétiques fiables. » Je pense que cette dernière affirmation manque de rigueur. Ce sont les chromosomes, et non ce qui figure sur le certificat de naissance, qui déterminent le sexe. Par conséquent, si un fœtus a XX chromosomes, une femme est née et si un fœtus a des chromosomes XY, un homme est né.
Ce qui est un cas ouvert et fermé en biologie peut devenir confus dans l’arène politique / sociale, en particulier lorsque l’on parle de sexe. Par ailleurs, avant les temps modernes, le terme genre était utilisé uniquement pour désigner la grammaire de certaines langues, comme le français, dans laquelle les noms et les pronoms sont masculins, féminins ou neutres et exigent des mots qui leur sont syntaxiquement associés. Le genre est devenu complètement dissocié du raisonnement biologique. Par exemple, dans le passé, lorsqu'une personne s'était inscrite pour un compte Facebook, les termes «homme» et «femme» étaient les seules options. En 2014, Facebook a introduit 50 options de genre, y compris intersexué, non conforme, non binaire et androgyne (http://tinyurl.com/y9sb3a3j).
Outre la confusion des eaux autour du sexe, la race est devenue confuse. La sénatrice Elizabeth Warren a longtemps affirmé qu'elle avait un héritage amérindien. Les universités de Harvard et de Pennsylvanie la considéraient comme une contribution au programme de la diversité raciale de leurs facultés de droit en faisant partie de leurs facultés. Récemment, de nombreuses personnes ont douté de son héritage, du démocrate du Massachusetts sous le pseudonyme de «Pocahontas» (elle a également été surnommée Lieawatha). Elle a récemment tenté de régler le problème par le biais d’une analyse ADN. Elle est seulement entre 1 / 64ème et 1 / 1024ème Amérindienne.
Rachel Dolezal a eu recours à ce nouveau programme libéral lui permettant de déterminer l’identité de son identité pour occuper un poste de présidente du Spokane (Washington), bureau de la NAACP, et devenir professeur d’études africaines à l’Université de l’est de Washington. Dolezal est né dans le Caucase, mais a choisi d'être une personne noire. elle a été démasquée par ses parents blancs. La NAACP a défendu Dolezal en déclarant: «L’identité raciale d’une personne n’est pas un critère qualificatif ni une norme disqualifiante pour les dirigeants de la NAACP.» En passant, pour Dolezal, elle est toujours une personne noire. Elle a un nouveau nom légal, Nkechi Amare Diallo, qui signifie «don de Dieu» chez Ibo.
Vous pourriez demander: «Williams, quel est le problème ? C’est l’Amérique, et les gens sont ce qu’ils prétendent être. »Voici une chose à considérer: pour que les hommes âgés de 17 à 21 ans puissent passer le test de remise en forme de l’Armée, ils doivent faire 35 pompes, effectuer 47 redressements assis et courir pendant 3 km en 16 minutes 36 secondes. Les femmes du même groupe d’âge réussissent le test d’aptitude physique en effectuant 13 pompes, en effectuant 47 redressements assis et en parcourant 3 km en 19 minutes et 42 secondes (http://tinyurl.com/yaphmzl). Serait-il acceptable que les hommes qui ne peuvent pas satisfaire à l'exigence masculine prétendent être des femmes ?
Supposons qu'un homme soit déclaré coupable et condamné à une peine de dix ans à la prison d'État de Californie, Corcoran. Devrait-il pouvoir prétendre qu'il est une femme et être autorisé à purger sa peine à la California Institution for Women ? Devant la Cour suprême des États-Unis, il y a l'affaire Students for Fair Admissions v. Harvard. Les plaignants allèguent que le bureau des admissions de l'université est discriminatoire à l'égard des personnes d'origine asiatique. Ces étudiants asiatiques, avec des scores SAT hors normes, auraient facilement pu éviter la discrimination anti-asiatique simplement en prétendant qu'ils étaient noirs ou hispaniques. Qui à Harvard aurait osé contester leur revendication raciale ? Après tout, il est politiquement incorrect sur les campus universitaires de suggérer que la couleur de sa peau, la forme de ses yeux ou le son de sa voix indiquent sa race.
RépondreSupprimerLes privilèges étant déterminés par la race et le sexe, nous avons besoin de quelque chose comme la loi de 1950 sur l’enregistrement démographique de l’époque de l’apartheid en Afrique du Sud pour définir clairement qui appartient à quelle race et en quel sexe et ainsi prévenir la fraude raciale et sexuelle.
https://www.lewrockwell.com/2018/11/walter-e-williams/we-have-an-identity-problem/
La machine à propagande de l'industrie du vaccin antigrippal de 4,3 milliards de dollars bat son plein
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
14 novembre 2018
La saison de la grippe est de nouveau sur nous - la période de l’année où le message permanent est «Avez-vous déjà reçu votre vaccin antigrippal ?» Compte tenu des nombreuses études montrant que les vaccins antigrippaux offrent une protection minimale contre la maladie, même lorsqu'ils sont bien adaptés aux souches virales en circulation, cette vaccination continue d'être vantée, votre première ligne de défense contre la grippe suggérant que cette campagne annuelle a pour objectif principal de générer la conformité aux bénéfices dans un but lucratif plutôt que d'améliorer réellement et de protéger la santé publique.
Données douteuses utilisées pour les campagnes annuelles de vaccination antigrippale
Les statistiques révèlent que, la plupart des années, les vaccins antigrippaux sont au mieux efficaces de 50 à 60 % dans la prévention de l'influenza de type A ou B confirmée en laboratoire et nécessitant des soins médicaux.1 Au cours de la décennie 2005-2015, l'efficacité du vaccin antigrippal a été inférieure à 50 %. la moitié du temps.2
Le vaccin antigrippal 2017/2018 était un parfait exemple de cette tendance. L’efficacité globale ajustée du vaccin contre l’infection par les virus grippaux A et B n’était que de 36 % 3.
Selon une méta-analyse de 2014, 4 71 personnes doivent être vaccinées pour éviter un seul cas de grippe - un ratio qui témoigne de l'inefficacité de cette routine annuelle. Les éléments de preuve5 (qui ont été confirmés trois ans plus tard6) suggèrent que la vaccination antigrippale peut doubler le risque de contracter une grippe pandémique ou une infection plus grave.
Des recherches7 publiées en 2011 ont également averti que le vaccin contre la grippe saisonnière semblait affaiblir le système immunitaire des enfants et augmenter leurs risques de contracter la maladie par des virus grippaux non inclus dans le vaccin.
Lorsqu’on a comparé les échantillons de sang d’enfants en bonne santé non vaccinés et d’enfants vaccinés chaque année, le groupe non vacciné avait naturellement accumulé plus d’anticorps sur une plus grande variété de souches grippales que le groupe vacciné.8
Les preuves montrent également que vous pouvez vous faire vacciner, présenter peu ou pas de symptômes, continuer à disséminer et transmettre la grippe à d’autres personnes.9,10 Les vaccins antigrippaux sont également associés à des effets secondaires débilitants, voire permanents, tels que le syndrome de Guillain-Barré et les blessures chroniques à l’épaule. administration du vaccin.
La saison des grippes 2018/2019 ramène le vaccin par vaporisation nasale qui a échoué
Les vaccins antigrippaux sont par nature une tâche délicate, car les virus grippaux évoluent constamment et les responsables de la santé publique doivent deviner au moins six mois avant le début de la saison grippale quelles souches des virus grippaux de types A et B pourraient finir par être prédominantes pour que les fabricants de médicaments puissent fabriquer le virus. vaccins.
Lorsque les souches choisies ne correspondent pas aux souches responsables de la majeure partie de la maladie au cours d’une saison grippale donnée, le taux d’échec du vaccin augmente considérablement. Mais il est également important de réaliser que la majorité des maladies respiratoires de type grippal que l’on ressent au cours d’une saison grippale donnée n’est pas une grippe de type A ou B11.
Lorsque vous avez mal à la gorge, au nez qui coule, à la gorge, à la fatigue, à une fièvre légère, à des courbatures et à une toux, il s'agit le plus souvent d'un autre type d'infection respiratoire virale ou bactérienne non liée aux virus de la grippe12.
RépondreSupprimerEn fait, les données 13,14,15,16 montrent que d'autres types de virus sont responsables d'environ 80% de toutes les infections respiratoires au cours d'une saison grippale donnée. Le vaccin antigrippal ne protège ni ne prévient aucun de ces autres types d'infections respiratoires provoquant des symptômes de syndrome grippal.
Le risque de contracter la grippe de type A ou B, causée par l’une des trois ou quatre souches du virus de la grippe incluses dans le vaccin, est beaucoup plus faible que celui de contracter un autre type d’infection virale ou bactérienne pendant la saison de la grippe.
Cela dit, il existe plusieurs types de vaccins antigrippaux parmi lesquels choisir au cours d’une année donnée. Cette année, le vaccin vaccinal nasal vivant atténué (FluMist), que le Comité consultatif du CDC sur les pratiques d'immunisation n'a pas recommandé pendant les saisons 2016/2017 et 2017/2018 en raison de son extrême inefficacité, est de nouveau recommandé par le CDC. .17
Pour la saison 2018/2019, FluMist est approuvé pour les femmes non enceintes âgées de 2 à 49 ans. Les exceptions18 comprennent les enfants prenant des médicaments contenant de l'aspirine ou du salicylate, ceux dont la fonction immunitaire est supprimée, les enfants âgés de 2 à 4 ans souffrant d'asthme, ont pris un médicament antiviral au cours des 48 heures précédentes et quelques autres.
Vaccin antigrippal à haute dose pour personnes âgées - «Les coûts dépassent les avantages», selon les experts canadiens
Vous disposez également des vaccins antigrippaux inactivés injectables, notamment un vaccin à haute dose pour les personnes âgées de plus de 65 ans, qui contient quatre fois plus d'antigène que la dose habituelle du vaccin standard. Au Canada, des experts en maladies infectieuses se sont prononcés contre le vaccin, affirmant qu’il n’était pas assez efficace pour justifier son coût élevé, qui est environ cinq fois supérieur à celui du vaccin antigrippal ordinaire.19
Selon Bonnie Henry, responsable de la santé de la province de la Colombie-Britannique, des recherches suggèrent que 200 personnes âgées devraient être vaccinées avec Fluzone High-Dose pour prévenir un seul cas de grippe et que 4 000 devraient être vaccinées pour éviter une hospitalisation liée à la grippe20.
En raison de leurs performances médiocres, la Colombie-Britannique, le Québec, l'Alberta, le Nouveau-Brunswick et Terre-Neuve ne couvriront pas le coût de Fluzone High-Dose pour les personnes âgées qui, autrement, se feraient vacciner gratuitement contre la grippe. Le Globe and Mail rapporte: 21
«Les politiques divergentes font partie d'un débat permanent sur le vaccin antigrippal ciblé qui, selon les experts, aura des implications majeures pour les futurs programmes de vaccination antigrippale - et sur les coûts que cela coûte pour les mettre en œuvre…
Danuta Skowronski, responsable épidémiologique de la grippe et des agents pathogènes respiratoires émergents au Centre for Disease Control de la Colombie-Britannique, a déclaré que les avantages ne justifiaient pas le prix.
Elle a également déclaré que le nouveau vaccin contre la grippe n'avait été étudié que depuis quelques saisons et qu'il restait des questions en suspens que les responsables de la politique de la santé devraient examiner avant de se retrouver enfermés dans un coûteux accord pluriannuel.
Par exemple, des recherches récentes suggèrent que les personnes qui se font vacciner plusieurs fois tous les ans peuvent effectivement subir une immunité réduite les années suivantes. Cela pourrait avoir des conséquences pour les personnes âgées qui reçoivent une forte dose du vaccin antigrippal, a-t-elle déclaré.
RépondreSupprimerCe que vous devez savoir sur les vaccins antigrippaux à base de cellules de rein et d'insecte de chien
Le vaccin antigrippal quadrivalent appelé Flucelvax, disponible depuis la saison 2017/2018, est un nouveau venu dans la gamme de vaccins. Approuvé pour les personnes de plus de 4 ans, ce vaccin est unique en ce qu’il utilise des cellules de rein de chien (MDCK) pour la production.22
Traditionnellement, les virus de la souche du vaccin candidat, c’est-à-dire les virus sélectionnés pour être inclus dans le vaccin, ont été produits à partir d’œufs de poule fertilisés. Au lieu de cela, les virus Flucelvax sont cultivés dans des cellules animales en culture.23 (Une autre technologie relativement nouvelle utilise des cellules d’insecte (ver de l’armée) pour produire un vaccin antigrippal quadrivalent recombinant, Flublok, destiné aux personnes de plus de 18 ans.24,25)
Alors que l'efficacité des vaccins antigrippaux conventionnels laisse encore beaucoup à désirer, le nouveau vaccin Flucelvax a été présenté comme une version nouvelle et améliorée qui protégerait davantage de personnes une fois la saison de la grippe arrivée. En réalité, une étude26 réalisée par la FDA (Food and Drug Administration) américaine a révélé que son bénéfice était plutôt modeste.
Alors que les vaccins antigrippaux n’avaient dans l’ensemble que 24 % d’efficacité pour prévenir les hospitalisations liées à la grippe chez les personnes âgées de 65 ans et plus, le vaccin Flucelvax avait un taux d’efficacité de 26,5 % dans cette population, ce qui n’est guère une amélioration majeure.
On sait depuis un certain temps que la croissance des vaccins antigrippaux dans les œufs peut entraîner des mutations problématiques qui les rendent moins efficaces contre les virus de la grippe en circulation. Ce fut le cas durant la saison grippale 2016-2017, lorsque les virus H3N2 étaient prévalents.
En écrivant dans PNAS, 27 chercheurs ont noté que «les souches de vaccin humaines cultivées dans des œufs possèdent souvent des mutations adaptatives qui augmentent l'attachement du virus aux cellules de poulet». Ils ont identifié une mutation de la souche de vaccin antigrippal produisant des anticorps qui ne fonctionnaient pas bien pour neutraliser le H3N2. virus circulant cette année.
Mais l’espoir que les vaccins à base de cellules puissent résoudre ce problème apparaît trop optimiste. Le Dr John Treanor, expert en vaccins antigrippaux au centre médical de l'Université de Rochester, a déclaré à STAT News en 201728. «Il n'y avait aucune preuve convaincante que le [vaccin cellulaire antigrippal en culture cellulaire] était meilleur, alors pourquoi dépenser de l'argent supplémentaire pour acheter ça ?
C'était avant l'arrivée des données de la FDA pour la saison 2017-2018, ce qui prouvait que l'efficacité était pratiquement identique à la version conventionnelle à base d'œufs.
Manque de science des vaccins de qualité et de transparence
Peter Doshi, rédacteur en chef du BMJ, souligne dans son article de 2013 29 «Influenza: un vaccin marketing par Marketing Disease» que le manque de données scientifiques de qualité sous-tendant l’appel annuel à la vaccination antigrippale et le manque de transparence du gouvernement. Il a souligné que, lorsqu’il commercialisait des vaccins antigrippaux, le CDC ne tenait pas son engagement de "fonder toutes les décisions de santé publique sur des données scientifiques de la plus haute qualité, dérivées ouvertement et objectivement". The Vaccine Reaction résume en partie les commentaires de Doshi: 30
RépondreSupprimer«La promotion des vaccins antigrippaux est l’une des politiques de santé publique les plus visibles et les plus agressives aujourd’hui… Un examen plus approfondi des politiques en matière de vaccins antigrippaux montre que, même si leurs partisans recourent à la rhétorique scientifique, les études sous-jacentes à la politique sont souvent de faible qualité et ne justifient pas les responsables. ' réclamations.
Le vaccin pourrait être moins bénéfique et moins sûr que ce qui a été prétendu, et la menace de grippe semble exagérée… Des politiques de vaccination obligatoires ont été adoptées… obligeant certaines personnes à prendre le vaccin sous peine de perdre leur emploi.
La principale affirmation des CDC qui alimente la pression en faveur de la vaccination antigrippale est que la grippe s'accompagne d'un risque de complications graves pouvant entraîner la mort…
Le seul essai randomisé du vaccin antigrippal chez les personnes âgées n'a révélé aucune diminution du nombre de décès. Cela signifie que les vaccins antigrippaux sont approuvés pour une utilisation chez les personnes âgées en dépit d'éventuels essais cliniques démontrant une réduction du nombre de conséquences graves.
Même lorsque le vaccin correspond étroitement au type de grippe prévalent… des essais contrôlés randomisés chez des adultes en bonne santé ont montré que vacciner entre 33 et 100 personnes entraînait un cas de grippe de moins… Pour la plupart des gens, et peut-être pour la plupart des médecins, il suffit de affirmer que les vaccins sauvent des vies, et il est supposé qu'il doit y avoir une recherche solide derrière. "
Les mandats de vaccination antigrippale pour les travailleurs de la santé reposent sur quatre essais non valides
Un exemple parfait de ce dont parle Doshi a été publié en janvier 2017. Cette analyse scientifique31, 32 de quatre essais contrôlés randomisés, qui prétendent que la vaccination des travailleurs de la santé contre la grippe offre une protection significative aux patients, était en fait surestimée, et manifestement. Selon les auteurs:
«En attribuant les avantages pour le patient à la couverture vaccinale élargie du personnel de santé, il a été constaté que chaque essai contrôlé randomisé en grappe violait le principe mathématique fondamental de la dilution en signalant des pourcentages de réduction plus importants avec moins de résultats pour chaque patient… et / ou une réduction de la mortalité des patients dépassant même valeurs prédites dérivées favorablement d’au moins six à 15 fois.
Si extrapolé à tous les établissements de soins de longue durée et au personnel hospitalier des États-Unis, le nombre de demandes antérieures d'essais contrôlés randomisés par groupe nécessaires pour vacciner de 8 signifierait invraisemblablement que> 200 000 et> 675 000 décès de patients, respectivement, pourraient être empêchés chaque année par la santé vaccination contre le virus des travailleurs de la santé, dépassant de manière inconcevable les estimations de la mortalité totale de la population américaine due à la grippe saisonnière chaque année ou pendant la pandémie de 1918, respectivement.
Un recalibrage plus réaliste basé sur les données réelles des patients montre qu’au moins 6 000 à 32 000 travailleurs hospitaliers devraient être vaccinés avant que le décès d’un seul patient puisse potentiellement être évité. »
RépondreSupprimerLes chercheurs ont conclu que ces quatre essais, qui sont à la base des politiques de vaccination forcée des travailleurs de la santé "attribuent de manière invraisemblable des réductions importantes du risque pour les patients à la vaccination du personnel de santé, émettant de sérieux doutes sur leur validité", ajoutant que "l'impression les travailleurs de la santé placent leurs patients à un niveau élevé de risque d'influenza, c'est exagéré ».
Scientifiques indépendants incapables d'obtenir des données sur les essais de vaccins
L’Europe souffre également du même manque de transparence dans la recherche sur les vaccins et les politiques publiques, comme en témoigne le fait que les scientifiques de Cochrane n’ont pas réussi à obtenir les données nécessaires sur les essais de vaccins nécessaires pour évaluer la qualité de 11 essais cliniques sur le vaccin contre le VPH menés par l’Agence européenne du médicament. EMA).
Des informations détaillées sur la conception, la conduite et les résultats d’une étude ne peuvent être trouvées que dans le rapport d’étude clinique (RSE) de l’essai, que les fabricants de médicaments sont tenus de présenter lorsqu’ils demandent un nouveau permis de médicament. Rapports de Transparimed.org: 33
«Depuis 2014, en théorie, des scientifiques indépendants peuvent accéder à ces documents en déposant une demande auprès du régulateur européen. En pratique, l’équipe Cochrane rapporte:
«Après trois ans, nous n'avions obtenu que 18 rapports d'études cliniques (62% des 29 rapports de l'EMA)… Malheureusement, les rapports manquaient encore de sections importantes, telles que des protocoles et des récits de dommages graves… Seuls trois rapports incluaient des formulaires de rapport de cas remplis… Un Un rapport d'étude de 4 263 pages a été publié dans 17 dossiers de sept lots répartis sur 12 mois. "
De plus, les scientifiques de Cochrane ont découvert que l’EMA elle-même ne recevait pas toujours toutes les preuves scientifiques, certains des CSR soumis étant incomplets. Les tentatives de l’équipe pour obtenir les CSR directement des sociétés pharmaceutiques ont également été infructueuses. Selon Cochrane:
«Bien que GlaxoSmithKline ait publié des versions de ses rapports d’études cliniques dans son registre d’essais, les rapports manquent souvent de récits d’événements indésirables graves et de formulaires de notification des cas, et les données relatives aux événements indésirables graves que nous avons téléchargées ont été fortement rédigées.»
Il va sans dire que, sans accès au CSR, les scientifiques indépendants tels que le groupe Cochrane ne peuvent évaluer les avantages et les inconvénients des médicaments ou des vaccins sous examen avec un degré de précision ou de confiance significatif.
«À notre avis, les chercheurs indépendants devraient pouvoir obtenir des rapports d’études cliniques complets et non validés dans un délai raisonnable, sans trop de contraintes ni de limites», écrit Cochrane.
«Les régulateurs devraient publier des rapports d'études cliniques complets et cohérents… Des changements urgents sont essentiels pour une évaluation ouverte et transparente des inconvénients et des avantages des interventions.»
Le professeur fait une revendication bizarre sur les «droits de vaccination» des enfants
RépondreSupprimerPar ailleurs, Arthur L. Caplan, Ph.D., 34 ans, professeur à l’Université de New York (NYU) et fondateur de la Division de l’éthique médicale à la NYU School of Medicine, a soulevé bien des sourcils en affirmant que l’enfant présumé le droit d'être vacciné annule le droit légal des parents d'exercer leur consentement éclairé à la vaccination au nom des enfants mineurs.
En clair, Caplan estime que les enfants mineurs devraient être vaccinés conformément aux recommandations du gouvernement, que les parents aient ou non pris la décision éclairée de refuser un ou plusieurs vaccins à leur enfant. Comme indiqué dans The Vaccine Reaction 35, Caplan "affirme que la vaccination des enfants est un impératif moral supérieur au respect des droits des parents en matière de consentement éclairé".
«Je tiens à souligner une position morale qui, selon moi, n’a pas suffisamment retenu l’attention, à savoir que chaque enfant a le droit d’être vacciné», a déclaré Caplan. «Nous continuons à parler du droit des parents à dire oui ou non, à éviter des mandats ou des exigences, ou à faire ce qu’ils choisissent de faire. Quelqu'un doit prendre la parole et dire: «Eh bien, qu’en est-il des enfants? N’ont-ils aucun droit?
Caplan estime que si les parents refusent de vacciner leurs enfants, le gouvernement a le droit de déroger à leur droit légal de prendre des décisions en matière de soins médicaux pour leurs enfants. Caplan affirme que le gouvernement a le devoir de vacciner les enfants sans le consentement des parents et par la force, le cas échéant. "
En d'autres termes, Caplan affirme que les parents devraient être empêchés de prendre des décisions en matière de soins médicaux, en particulier de vaccination, pour le compte de leurs enfants mineurs si ces décisions ne sont pas conformes à la politique gouvernementale. Quel genre de liberté est-ce? Venant d'un éthicien médical autoproclamé, c'est effrayant et ahurissant. C’est à peine qu’un pas de tous les enfants soit traité comme une propriété du gouvernement.
Chose troublante, des tentatives visant à faire avancer ce type de politique et de loi de santé publique sont déjà en cours et les parents doivent partout se joindre à la lutte pour conserver leur droit de prendre des décisions médicales en faveur de leurs enfants mineurs. Si les représentants du gouvernement peuvent vacciner votre enfant contre votre volonté, rien ne dit où il finira. Tel que rapporté par The Vaccine Reaction:
«Une législation a été introduite dans des États comme la Californie qui chercherait à conférer au gouvernement le droit de prendre des décisions en matière de soins de santé pour les enfants, même contre la volonté de leurs parents, si l'État considère que ces décisions sont dans l'intérêt supérieur de l'enfant.
Une telle législation permettrait également aux autorités gouvernementales de prendre légalement en charge la garde physique des enfants dans les cas où les parents refusent de se conformer à un mandat les obligeant ou les obligeant à vacciner leurs enfants.
Le processus de réflexion de Caplan repose essentiellement sur le fait que les parents devraient être privés de leur droit de consentement éclairé, du moins en ce qui concerne la vaccination des enfants. Caplan semble apparemment que les décisions éclairées des parents en matière de soins de santé ne sont tout simplement pas pertinentes si ces décisions sont en contradiction avec la politique du gouvernement.
Mais c’est précisément ce «droit légal de longue date de prendre des décisions volontaires et bien informées concernant les produits pharmaceutiques et les procédures médicales qui comportent des risques pour leurs enfants», déclare Barbara Loe Fisher du Centre national d’information sur les vaccins. l'exploitation de leurs enfants par des personnes en position de force dans la société qui ont un intérêt personnel ou professionnel à obliger chaque enfant à utiliser des produits pharmaceutiques qui ne sont ni sans danger ni efficaces pour tous les enfants. "
RépondreSupprimerSources and References
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