Greenwald: Le procureur du président du Parlement américain Assange pose "de graves menaces à la liberté de la presse"
par Tyler Durden Samedi, 17/11/2018 - 17h40
La divulgation "accidentelle" de Julian Assange, fondateur de WikiLeaks, a été secrètement inculpée par le ministère de la Justice du district oriental de Virginie, qui a déclenché une tempête sur la liberté de la presse et la protection offerte aux journalistes par le Premier amendement.
À partir de 2010, le ministère de la Justice sous Obama a commencé à établir une distinction entre WikiLeaks et les autres organes de presse. L'ancien procureur général Eric Holder a insisté sur le fait que l'organisation d'Assange ne méritait pas les mêmes protections en première modification lors de l'affaire Chelsea Manning, dans laquelle l'ancien analyste du renseignement de l'armée avait été reconnu coupable par une cour martiale d'avoir divulgué des milliers de rapports de guerre afghans classifiés.
En fin de compte, l’administration précédente a conclu qu’elle ne pouvait pas engager de poursuites pénales contre Assange et WikiLeaks en raison de la protection offerte par le Premier amendement.
Il semble toutefois que le ministère de la justice Trump ait maintenant trouvé un moyen, éventuellement en vertu de la loi sur l'espionnage, de mettre en accusation Assange - une initiative qui aurait de nombreuses implications pour les journalistes et les organes de presse.
Glenn Greenwald de The Intercept, journaliste et auteur, a publié au journal The Guardian une série de reportages publiés par Edward Snowden, qui a divulgué des informations sur les programmes de surveillance mondiaux à partir de documents classifiés.
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Via l'interception
Glenn Greenwald | 16 novembre 2018
Comme l'a conclu le MJ Obama, les poursuites contre Julian Assange pour publication de documents font peser de graves menaces sur la liberté de la presse
LE DÉPARTEMENT DE JUSTICE TRUMP a révélé par inadvertance dans un dossier judiciaire qu'il avait inculpé Julian Assange dans un acte d'accusation scellé. La divulgation s’est produite par une erreur de couper-coller remarquablement amateur, dans laquelle des procureurs ont involontairement utilisé un langage secret tiré des accusations scellées d'Assange dans un document déposé dans une affaire non liée. Bien que le document ne spécifie pas quelles accusations ont été portées contre Assange, le Wall Street Journal a déclaré qu’elles «pourraient impliquer la Loi sur l’espionnage, qui criminalise la divulgation d’informations relatives à la défense nationale».
Au cours des deux dernières années, des journalistes et d'autres ont prétendu de manière mélodramatique que le gouvernement Trump avait porté atteinte à la liberté de la presse en raison d'actes insignifiants, tels que le président scandalait des insultes pour adolescents sur Twitter à Chuck Todd et Wolf Blitzer ou interdisait Jim Acosta des conférences de presse à la Maison Blanche. en raison de son refus d’arrêter quelques minutes de lissage afin de permettre à d’autres journalistes de poser des questions. Pendant ce temps, les menaces réelles et réelles à la liberté de la presse qui ont commencé avec le MJ Obama et se sont intensifiées avec le MJ Trump - telles que les tentatives agressives de fouiller et de poursuivre des sources - ont été largement ignorées, voire applaudies.
Mais poursuivre Assange et / ou WikiLeaks pour publication de documents classifiés serait dans un univers totalement différent de menaces à la liberté de la presse. Les reportages sur les actes secrets d'agents gouvernementaux ou d'acteurs financiers puissants - y compris en publiant des documents obtenus sans autorisation - sont au cœur du journalisme d'investigation. Des documents du Pentagone aux documents de Panama en passant par les déclarations de Snowden à la publication des déclarations de revenus de Trump sur les journaux de guerre d'Irak et d'Afghanistan, certains des plus importants journalisme de ces dernières décennies ont eu lieu car il est légal et constitutionnel de publier des documents secrets même si les sources de ces documents les ont obtenues par des moyens illicites, voire illégaux.
Le DOJ Obama - malgré le lancement d'attaques notoirement agressives contre la liberté de la presse - a reconnu ce principe essentiel lorsqu'il s'agissait de WikiLeaks. Il a passé des années à chercher à savoir s'il pouvait accuser criminellement Assange et WikiLeaks d'avoir publié des informations classifiées. Il a finalement décidé de ne pas le faire et ne pouvait pas le faire, conformément à la garantie sur la liberté de la presse du Premier amendement. Après tout, a conclu le MJ Obama, une telle poursuite constituerait une grave menace pour la liberté de la presse car il n'y aurait aucun moyen de poursuivre Assange pour avoir publié des documents classifiés sans poursuivre également le New York Times, le Washington Post, le Guardian et d'autres pour exactement la même chose.
Comme le Washington Post l’a dit en 2013 quand il a expliqué la décision du MJ Obama de ne pas poursuivre Assange:
Les responsables de la justice ont déclaré qu'ils avaient beaucoup regardé Assange, mais avaient compris qu'ils avaient ce qu'ils décrivent comme un «problème du New York Times». Si le ministère de la Justice inculpait Assange, il devrait également poursuivre le New York Times et d'autres organes de presse et écrivains qui ont publié des accusations. matériel classifié, y compris le Washington Post et le journal britannique The Guardian.
L'année dernière, le MJ Trump sous Jeff Sessions et la CIA sous Mike Pompeo ont commencé de manière agressive en promettant de faire ce que le MJ Obama avait refusé de faire - à savoir poursuivre Assange pour avoir publié des documents classifiés. En tant que directeur de la CIA, Pompeo a prononcé l’un des discours les plus terrifiants et les plus opposants à la liberté de la presse entendus depuis des années. Il a déclaré: «Nous devons reconnaître que nous ne pouvons plus laisser à Assange et à ses collègues la latitude d’utiliser les valeurs de la liberté d’expression contre nous, "Ajoutant que WikiLeaks a" prétendu que les libertés du Premier Amendement des États-Unis les protègent de la justice ", mais:" ils l'ont peut-être cru, mais ils ont tort. "
Remarquablement, le discours du chef de la CIA et du membre du Congrès de longue date de la CIA, choisi depuis longtemps par Donald Trump, ressemblait (et ressemble encore) à la vision démocrate classique quand ils exhortaient l’administration Trump à poursuivre Assange en justice. Mais au moment du discours de Pompeo, le porte-parole du MJ Obama, Matt Miller, m'a insisté sur le fait que de telles promesses de poursuivre Assange étaient "creuses", car le Premier amendement interdirait de telles poursuites:
Mais la grande ironie est que beaucoup de démocrates vont se rallier au MJ Trump sur le MJ Obama. Leur mépris émotionnel et personnel à l’égard d’Assange - parce qu’il est persuadé qu’il a aidé à vaincre Hillary Clinton: le crime le plus grave - l'emporte largement sur les inquiétudes relatives aux menaces que les tentatives de l'administration Trump pour criminaliser la publication de documents font peser sur la liberté de la presse.
Cela reflète l'ironie plus large de l'ère Trump pour les démocrates. Alors qu'ils prétendent trouver l'autodératisme et les attaques contre la liberté de la presse de l'administration Trump si répugnants, ils utilisent l'autre côté de la bouche pour imiter la mentalité autoritaire de Jeff Sessions et de Mike Pompeo que toute personne ayant publié des documents préjudiciables à Hillary ou qui ont été jugés "classifiés" par le gouvernement américain devraient aller en prison.
Pendant les années Obama, l'idée qu'Assange pouvait être poursuivi pour publication de documents était considérée comme si extrême et si dangereuse que même les médias centristes qui le méprisaient sonnaient l'alarme sur la dangerosité d'une telle poursuite. La page éditoriale du Washington Post, en faveur de la sécurité et de la sécurité, publiée en 2010 sous le titre «Ne faites pas payer les WikiLeaks», a averti:
De telles poursuites sont une mauvaise idée. Le gouvernement n'a pas à inculper quelqu'un qui n'est pas un espion et qui n'est pas légalement tenu de garder ses secrets. Cela criminaliserait l'échange d'informations et mettrait en péril les organisations de médias responsables qui vérifient et vérifient les documents et prennent au sérieux la protection des sources et des méthodes lorsque des vies ou la sécurité nationale sont mises en danger.
Contrairement aux démocrates, les républicains ont été assez cohérents quant à leur désir de voir poursuivre WikiLeaks. Comme le notait Newsweek en 2011: «Sarah Palin a exhorté M. Assange à être poursuivi« avec la même urgence que ses dirigeants Al-Qaïda et les dirigeants talibans », et William Kristol, du Weekly Standard, veut que les États-Unis utilisent« nos divers actifs pour harceler, arracher ou neutraliser Julian Assange et ses collaborateurs. '' Certains faucons démocrates, tels que Joe Lieberman et Dianne Feinstein, se sont associés à Palin et Kristol pour demander des poursuites contre WikiLeaks, mais le large consensus qui se dégageait de Democratica et des cercles libéraux était que cela était beaucoup trop dangereux pour la presse. libertés.
À la suite des révélations des registres de guerre d'Irak et d'Afghanistan en 2010, Donald Trump a lui-même déclaré à Brian Kilmade, de Fox and Friends, qu'il pensait qu'Assange méritait la "peine de mort" pour avoir publié ces documents (une sanction que Trump avait également défendue pour Edward Snowden 2013):
Qu'est-ce qui a changé depuis ce consensus de l'ère Obama ? Une seule chose: en 2016, WikiLeaks a publié des documents qui avaient un impact négatif sur les démocrates et la campagne Clinton plutôt que sur les guerres de l'ère Bush, donnant aux démocrates une volonté parfaite, voire un désir ardent, de hiérarchiser leur mépris personnel pour Assange par rapport aux principes de la liberté fondamentale de la presse, libertés civiles ou principes constitutionnels. C’est aussi simple et aussi ignoble que cela.
C’est cette mentalité autoritaire et autoritaire qui est sur le point de mettre les démocrates de toutes sortes au lit avec la faction la plus extrémiste et la plus dangereuse de Trump alors qu’ils s’unissent pour créer des précédents en vertu desquels la publication d’informations - longtemps sacro-sainte par quiconque se soucie de la presse libertés - peuvent maintenant être légalement punis.
Rappelons que la DNC elle-même poursuit actuellement WikiLeaks et Assange pour avoir publié les courriels DNC et Podesta qu’ils ont reçus: des courriels jugés dignes de l'actualité par littéralement tous les principaux médias, qui les rapportaient sans relâche. Jusqu'à présent, les poursuites pénales engagées contre Assange par le ministère de la Justice (Trump) contre Assange avaient été jugées comme la plus grande menace à l'époque de la liberté de la presse pour la société de presse, car elle visait à rendre la publication de documents, qui est au cœur du journalisme, légalement punissables. Les tentatives du MJ Trump de criminaliser ces actes ne sont que la prochaine étape logique de cette transformation en une attaque à grande échelle contre les droits fondamentaux de la presse.
LES ARGUMENTS JUSTIFIANT les poursuites d’Assange par l’administration Trump sont fondés sur une combinaison d’ignorance juridique, de mensonges factuels et d’autoritarisme dangereux.
L'idée fausse la plus répandue est que contrairement au New York Times et au Washington Post, WikiLeaks peut être légitimement poursuivi pour avoir publié des informations confidentielles, car il ne s'agit pas d'un «média d'information légitime». Les démocrates qui avancent cet argument ne semblent pas se soucier de l'exactitude de cette information. le point de vue rejeté comme intenable par le MJ Obama.
Pour commencer, la garantie sur la liberté de la presse du Premier amendement ne se limite pas aux «organes de presse légitimes» - peu importe ce que cela pourrait vouloir dire. Le Premier amendement ne concerne pas seulement une catégorie de personnes autorisée à exercer la profession de «journaliste». Il protège non pas un groupe de privilégiés appelé «journalistes professionnels», mais plutôt une activité: utiliser la presse (qui à l'époque de la La promulgation de First Amendment signifiait la presse à imprimer littérale) pour informer le public de ce que le gouvernement faisait. Tout le monde a également droit à cette protection constitutionnelle: rien ne permet de justifier pourquoi le Guardian, les ex-fonctionnaires du MJ devenus transformés en blogueurs, ou Marcy Wheeler sont libres de publier des informations classifiées, contrairement à Julian Assange et WikiLeaks.
Au-delà de cela, WikiLeaks est depuis longtemps reconnu dans le monde entier comme un débouché journalistique essentiel. Ils ont remporté des prix prestigieux en journalisme, notamment le prix Martha Gellhorn pour l’excellence en journalisme, ainsi que le prix du meilleur journalisme en Australie. Au-delà de cela, il a collaboré avec les principaux journaux de la planète, dont le New York Times, le Guardian, El Pais et d'autres, pour publier certaines des histoires les plus importantes de ces dernières décennies. Il n'est pas nécessaire d'être un «débouché journalistique légitime» pour bénéficier des protections du Premier Amendement relatives à la liberté de la presse, mais même si c'était le cas, WikiLeaks possède depuis longtemps tous les indices d'un média.
Il y a ensuite l’affirmation selon laquelle WikiLeaks fait plus que publier des documents: il aide ses sources à les voler. C’est ce qu’affirmait hier soir John Sipher, ancien agent de la CIA, qui tentait de justifier les actes du MJ Trump en réponse aux préoccupations d’un journaliste au sujet des menaces à la liberté de la presse que cela poserait:
Ce que dit Sipher dit qu'il y a une fabrication complète. Lorsque le DOJ Obama a envisagé la possibilité de poursuivre Assange en justice, c'est la théorie qu'il a testée qu'elle pourrait peut-être prouver que WikiLeaks n'a pas simplement reçu passivement les documents de Chelsea Manning, mais a collaboré avec elle sur la manière de les voler.
Mais le MJ Obama a conclu que cette théorie ne justifierait pas les poursuites car, contrairement au mensonge de Sipher, il n'y avait absolument aucune preuve qu'Assange aurait collaboré avec Manning pour voler les documents. Comme le dit la poste: "Les responsables ont déclaré que, bien qu'Assange ait publié des documents classifiés, il ne les a pas divulgués, ce qui, selon eux, affecte considérablement leur analyse juridique."
Il en va de même pour la publication par WikiLeaks des e-mails DNC et Podesta. Personne n'a jamais présenté la moindre preuve de ce que WikiLeaks avait travaillé sur le piratage de ces courriels. Il n’existe aucune preuve que WikiLeaks ait jamais fait autre chose que de recevoir passivement des documents volés d’une source puis de les publier - exactement comme le New York Times l’a fait lorsqu’il a reçu les Pentagon volés volés, et exactement comme le Guardian et le Washington Post l’ont fait. reçu les documents Snowden.
De plus, les journalistes reçoivent souvent plus que passivement des informations, mais travaillent souvent avec des sources avant la publication d'articles: les encourageant, les cajolant et les persuadant de fournir davantage d'informations. Accepter la thèse selon laquelle un journaliste peut être poursuivi pour avoir fait plus que recevoir passivement des informations - ce que personne n'a encore prouvé avec Assange - risquerait lui-même de criminaliser des aspects fondamentaux du journalisme.
Il y a ensuite l’affirmation selon laquelle WikiLeaks a en quelque sorte cessé d’être un véritable débouché pour les journalistes, car il s’agissait d’aider une des campagnes présidentielles au détriment de l’autre. Ceci est juste une autre version du faux argument selon lequel seuls les «vrais journalistes» - peu importe ce que cela peut vouloir dire, quel que soit le choix qui en découle - ont le droit d'utiliser une presse gratuite pour diffuser des informations. Cette revendication est une pure ignorance juridique.
Mais supposons, pour l’argumentation, qu’il est vrai que WikiLeaks a agi pour aider la campagne Trump et devrait donc être exclu des protections du Premier Amendement. Pour voir à quel point cet argument est pernicieux, regardez comment il a été récemment exprimé par Ryan Goodman, ancien responsable du Pentagone, et Bob Bauer, conseiller du Conseil de l'administration Obama, en justifiant la poursuite de WikiLeaks:
Il ressort clairement des révélations d’un critique interne de WikiLeaks et d’autres documents que Julian Assange a visé Hillary Clinton et a cherché à collaborer avec la campagne Trump et les Russes pour assurer sa défaite. Ce n’est pas une «fonction de presse légitime». Et l’association du plan d’attaque de la campagne de Wikileaks avec l’activité journalistique standard amoindrit les distinctions essentielles pour la protection de la presse libre.
Juste réfléchir aux implications de cette définition incroyablement restrictive du journalisme. Cela signifierait que tous les médias favorisant un candidat ou un parti politique au détriment d'un autre ne sont pas engagés dans des «fonctions de presse légitimes» et ne bénéficient donc pas des protections prévues par le Premier amendement.
Quelqu'un sur la planète doute-t-il que des médias tels que MSNBC et Vox favorisent le parti démocrate au détriment du parti républicain et que les personnes qu'ils emploient en tant que journalistes ont passé tout ce qu'ils pouvaient pour aider les démocrates à gagner et les républicains à perdre? Quelqu'un doute-t-il que les journalistes de MSNBC et de Vox ont passé l'année 2016 à faire tout ce qui était en leur pouvoir pour aider Hillary Clinton à remporter la victoire et Donald Trump à perdre? Aucune personne ayant la plus infime honnêteté intellectuelle ne pourrait nier l’avoir fait.
Cela signifie-t-il que Rachel Maddow et Ezra Klein - en vertu de l'avantage d'un parti politique sur l'autre - ne sont pas de véritables journalistes, qu'ils ne sont pas engagés dans des "fonctions de presse légitimes" et ne bénéficient donc pas des protections du Premier Amendement, ce qui signifie qu'ils peuvent être poursuivis par le MJ Trump sans avoir la possibilité de revendiquer les droits d'une presse libre? Énoncer cette proposition, c'est illustrer les impulsions tyranniques qui la sous-tendent. Comme Marcy Wheeler, autrement sympathique aux arguments avancés par l'article de Goodman / Bauer, le dit:
Comme Dan Froomkin a écrit en réponse à cet article, il trouve certaines des actions d'Assange «méprisables» et «abhorrant la publication inattendue et insouciante des courriels qui ne méritent pas d'être publiés et qui sont blessants» (j'ai exprimé des opinions extrêmement critiques sur WikiLeaks décisions de publication). Mais Froomkin reconnaît néanmoins que "Assange reste un journaliste" et que "à l'époque de Trump, lorsque le président des États-Unis se servait de son bureau pour attaquer des journalistes et le journalisme lui-même, le Premier amendement est un rempart essentiel de la liberté". les gens qui se soucient de la liberté de la presse - plutôt que de prétendre s'en soucier quand cela convient à leurs intérêts politiques du moment - raisonneront.
Mais c’est exactement le but. Ni les factions les plus autoritaires de l'administration Trump derrière cette poursuite, ni leurs alliés bizarres et tout aussi tyranniques du parti démocrate ne se soucient le moins du monde de la liberté de la presse. Ils ne se soucient que d’une chose: mettre Julian Assange derrière les barreaux, car (dans le cas des responsables de Trump) il a révélé des crimes de guerre américains et parce que (dans le cas des démocrates), il a révélé la corruption aux plus hauts niveaux de la DNC qui a forcé la démission des cinq plus hauts responsables du parti démocrate et a porté atteinte à la réputation politique des démocrates.
Ils sont prêts à créer un précédent qui criminaliserait la fonction essentielle du journalisme d’investigation, car même s’ils ont passé deux ans à dénoncer de manière effrénée les "attaques les plus insignifiantes contre la liberté de la presse", ils ne se soucient pas du tout de cette valeur. Ils veulent protéger uniquement le journalisme qui défend leurs intérêts politiques, tout en laissant derrière les barreaux des personnes qui publient des informations qui sapent leurs intérêts politiques. C’est cette mentalité autoritaire et nocive qui a uni les pires éléments de l’administration Trump et du Parti démocrate qui prétend trouver des actions tyranniques répréhensibles, mais qui sont souvent les leaders pour les défendre.
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Cela pourrait n'être que l'histoire passionnante, édifiante de Christophe Caze et Lionel Dumont, qui trouvent dans l'islam et la guerre sainte une raison de vivre, une exaltation, un rôle que ne leur accorde pas la société. Cela pourrait n'être que l'histoire de deux jeunes garçons un peu paumés, pas à leur place, enrôlés dans un conflit - celui de l'ex-Yougoslavie - qui n'est pas vraiment le leur, et qui finissent pathétiquement à la tête d'un gang qui sèmera la terreur dans le nord de la France... Mais à travers le parcours des deux « Ch'tis d'Allah », c'est aussi une autre histoire que nous rappelle le réalisateur de ce documentaire (déjà diffusé sur France 3 en 2012), Olivier Pighetti : le récit d'un conflit particulièrement meurtrier au cœur de l'Europe.
Mais à travers le parcours des deux « Ch'tis d'Allah », c'est aussi une autre histoire que nous rappelle le réalisateur de ce documentaire (déjà diffusé sur France 3 en 2012), Olivier Pighetti : le récit d'un conflit particulièrement meurtrier au cœur de l'Europe.
MOUDJAHIDIN AFGHANS
Christophe Caze et Lionel Dumont rejoignent l'armée bosniaque pour combattre aux côtés de leurs frères de religion. Ils vont se rencontrer dans une brigade composée essentiellement de moudjahidin afghans qui ont combattu et fait plier l'Armée rouge, dans une autre guerre. Des fanatiques dont l'objectif n'est pas l'indépendance de la Bosnie, contrairement à l'armée régulière, mais bien l'islamisation du pays, puis celle de l'Europe tout entière. Très cruels - attention, beaucoup d'images de ce film sont difficiles à voir -, ces moudjahidin se retrouvent même en porte-à-faux avec l'armée bosniaque. A leur contact, les deux Français vont en tout cas se radicaliser.
De retour en France après la fin de ce conflit, ils tentent de récolter des fonds afin d'importer le djihad dans l'Hexagone... Avec d'autres Français convertis à l'islam, ils fondent le Gang de Roubaix, qui s'illustrera dans des attaques très violentes de fourgons blindés ou de magasins. Christophe Caze trouvera finalement la mort, abattu par la police belge. Lionel Dumont, lui, arrêté en Bosnie en 2003, trahi par un ancien gradé de sa brigade, purge depuis 2007 une longue peine à la prison de la Santé, à Paris.
SA et Vic à haut risque de pannes d'électricité cet été
Même l'AEMO prévient des pannes de courant, car la BoM prévoit des conditions chaudes et sèches. El Nino sur le chemin, et j'entends des rumeurs selon lesquelles les niveaux de Snowy Hydro Dam ne sont pas géniaux.
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Selon un rapport d'AEMO, il y aura des pannes de courant cet été si rien n'est fait Stéphanie Dalzell, ABC News
Selon le dernier rapport de l'Australian Energy Market Operator (AEMO), Victoria et l'Australie-Méridionale risquent fort de faire des coupures de courant cet été si aucune mesure n'est prise.
Pas assez d'approvisionnement? Mettez un autre million de dollars sur le barbecue:
Pour empêcher cela, l'AEMO a constitué des réserves d'énergie d'urgence, qui ne sont généralement pas disponibles sur le marché et ne sont accessibles que lorsque l'offre ne répond pas à la demande.
Ces réserves d'urgence - également appelées ressources RERT (Reliability et Emergency Reserve Trader) - ne sont pas bon marché.
C’est seulement de l’argent:
Le rapport indique que l’été dernier, l’énergie d’urgence a coûté près de 52 millions de dollars aux contribuables de Victoria et de l’Australie méridionale.
Cela équivaut à une moyenne de 6 $ de plus par facture de ménage.
Ce n'est rien. La vague de chaleur de deux jours de janvier dernier a coûté 400 millions de dollars - 45 $ par personne à Victoria et 70 $ chacun en Afrique du Sud. Ce ne sont que deux jours d’électricité. Les familles devaient trouver 200 $ pour payer deux jours d'électricité. C’est une urgence.
Quand est la capacité, pas la capacité? Andrew White, de The Australian, explique qu’une partie de la situation d’urgence tient au fait qu’un générateur thermique vient de dire à l’AEMO que 240 MW ne seront pas disponibles comme prévu pour l’été.
La demande de réserves a été accrue cette saison par la perte de 240 mégawatts de production thermique que ses propriétaires ont dit à l'opérateur du marché ne seront pas disponibles pour faire face à des pics de demande à court terme ou à une perte de production ailleurs sur le marché national de l'électricité.
L’opérateur australien du marché de l’énergie cherche à obtenir jusqu’à 930 MW d’énergie de réserve pour renforcer le NEM pendant un été plus chaud et sec et une saison de feu de brousse anticipée.
L'ensemble du réseau national australien NEM a une capacité de production de 55 000 MW. Mais une pénurie de 240 MW crée une urgence. Quelque chose ne s’ajoute pas ici…
Et si 5 000 MW de capacité éolienne ou solaire n'étaient pas disponibles demain? Ce n’est pas une urgence, c’est comme d’habitude. Chaque jour, nous payons pour la réserve de secours, de peur que les générateurs éoliens et solaires ne prennent leur congé.
Les mesures d’urgence comprennent ... "rappelant les centrales à gaz mises hors service en Tasmanie, dans le Queensland et en Afrique du Sud, les générateurs diesel et les" mesures de réaction à la demande "qui paient les utilisateurs pour qu’ils coupent leur courant."
Que faisons-nous lorsque les énergies renouvelables sont source d'instabilité et de flambée des prix - ajoutez plus:
Toutefois, l'exploitant du système a déclaré qu'une plus grande capacité de production et de stockage de l'énergie entrerait sur le marché à temps pour l'été. Pas moins de 2100 MW de nouvelles capacités énergétiques - principalement issues de la production éolienne et solaire - seront ajoutés au réseau d’ici décembre.
Encore 2GW d'énergies renouvelables à venir le mois prochain. Juste ce dont nous avons besoin!
Le plan de préparation à l'été de l'AEMO est ici.
Pourtant, ce n’est pas comme si il n’y avait que 12 jours jusqu’à l’été….
J'ai visionné la vidéo de Marfoogle News plus tôt aujourd'hui, un youtuber américain qui a son podcast et qui reçoit des appels lors de ses diffusions. Il a été contacté le 15 novembre lors de son émission en direct par un homme qui se dit sergent d'état-major. L'homme, qui prétend s'appeler Jim, dit avoir reçu un ordre de déploiement le 14 novembre, avec un délai de 72 heures, alors qu'il se trouve en congé parental. Il dit que le rappel d'un membre des Forces armées qui est en congé de maladie ou en congé parental est extrêmement rare puisque ce sont des conditions qui sont respectées dans l'armée. Il n'a reçu que très peu de détails sur la raison de son rappel, sauf quelques bribes d'informations provenant de ses contacts qui lui ont dit que le déploiement implique une opération domestique, soit en sol américain, et que le lieu concerné serait le nord du Texas. Il termine la discussion, d'une voix chevrotante, en disant qu'il se prépare au pire.
Marfoogle a obtenu, par un autre membre de l'armée qui l'a contacté, une prétendue copie de l'ordre de déploiement provenant du Département de l'Armée reçue via le Army Knowledge Online (AKO) (voir à 7:13). Cet ordre indique que le soldat est appelé pour le 16 novembre à se rendre à la base militaire de Lubbock au Texas pour une durée indéterminée, mais de moins de 12 mois. La seule indication concernant le déploiement est ceci: support à l'opération Hot Musket.
Je ne sais pas quoi penser de tout ça, mais si cet ordre de déploiement est véritable, c'est forcément pour un événement majeur: désordres à la frontière par la caravane de migrants ? Invasion par des cartels et autres groupes armés ? Dans tous les cas, je me garde informée!
Je n'ai pu m'empêcher de faire des liens avec l'opération Jade Helm (menée en 2015) et quelques autres informations que j'ai publiées dans le passé.
Les exercices Jade Helm concernent, lit-on dans un document officiel du Commandement des opérations spéciales de l'Armée, des exercices de "guerre non-conventionnelle" dans les États du Texas, du Nouveau-Mexique, Arizona, Californie, Nevada, Utah et du Colorado. Les États du Texas, de l'Utah et une portion de la Californie sont identifiés, dans ce même document, comme des territoires hostiles où sont logés des "poches de résistance". https://fr.scribd.com/doc/258605525/Jade-Helm-Martial-Law-WW3-Prep-Document-1
Sur le site des Forces armées canadiennes, on peut lire qu'une "guerre non-conventionnelle" est "un nouveau paradigme de sécurité dans lequel les soulèvements ne sont pas « des conflits discrets entre des insurgés et un régime établi, mais des confrontations complexes et multidimensionnelles à caractère politique, social, culturel et économique" .
"Jade Helm 15": Préparation à une invasion mexicaine financée par la Russie ? (ne vous arrêtez pas au titre !) http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2015/03/jade-helm-15-preparation-une-invasion.html
Judical Watch a publié un article le 14 avril dernier où on peut lire qu'un accord existe entre l'État islamique (ISIS) et divers cartels de la drogue pour installer deux bases du groupe djihadiste au Mexique (au moins deux camps)
Le maire de Tijuana demande au gouvernement fédéral d'expulser les migrants provenant d'Amérique centrale
samedi 17 novembre 2018
Est-ce que les Mexicains sont un peuple raciste qui refuse d'aider son prochain ? Bien sûr que non. Mais ils se sentent clairement envahis et menacés par cette marée de migrants à l'intérieur de laquelle un groupe d'individus se comportent comme des sauvages. Des journalistes sur le terrain affirment que certains d'entre eux s'en prennent aux locaux pour exiger de la nourriture et des biens ou pour carrément les voler. Imaginez les pères et les mères de famille qui doivent craindre pour la sécurité de leurs enfants.
Je crois qu'il y a une certaine proportion d'individus de cette caravane qui souhaitent vraiment trouver une vie meilleure et qui sont prêts à suivre les règles exigées par le gouvernement américain pour intégrer la société américaine. Mais il ne s'agit que d'un groupe d'agitateurs au sein de la masse de migrants, déjà fragilisés physiquement et psychologiquement, pour déclencher les hostilités envers les citoyens locaux et les autorités. Si en plus ils sont expulsés, s'ils ne voient aucune issue malgré tout le chemin parcouru, s'ils se sentent pris comme des rats, le pire de l'être humain va resurgir et ça risque de dégénérer des deux côtés de la frontière.
Le président de la municipalité de Tijuana, Juan Manuel Gastélum, a déclaré jeudi qu'il demanderait au gouvernement fédéral l'expulsion des milliers de migrants centraméricains arrivés dans la ville ces derniers jours à la recherche d'un asile aux États-Unis, affirmant qu'ils font partie des "mariguanos" (fumeurs de cannabis ?) et qu'ils attaquent les locaux. Les migrants, dit-il, arrivent de façon agressive et grossière et qu'ils défient l'autorité.
Par conséquent, il demandera au ministère de l'Intérieur "d'appliquer l'article 33 de la Constitution" qui régit le séjour des étrangers dans le pays et note que le pouvoir exécutif peut "expulser les ressortissants étrangers sur la base de la loi."
EFFETS NUISIBLES SUR LA SANTE DES RAYONNEMENTS ÉLECTROMAGNÉTIQUES
Effets de la FEM sur la santé
SAMEDI 17 NOVEMBRE 2018
Donc, si vous avez regardé cette vidéo, vous savez qu'il y a quelque chose à craindre concernant la FEM. Quels sont ces dangers potentiels pour la santé ? Eh bien, commençons par parler de certaines des maladies qui, selon certaines études, peuvent être causées par un rayonnement électromagnétique:
Asthme. Une étude en Californie a suivi 626 enfants pendant 13 ans. Elle a constaté que les champs magnétiques supérieurs à 0,3 mG (moyenne) pendant la grossesse augmentaient le risque de contracter l’asthme à l’âge de 13 ans. Une relation dose-réponse claire a été trouvée. Pour chaque augmentation de 1mG de CEM, il y avait une augmentation de 15 % du taux d'asthme chez les enfants.
Cela signifie, par exemple, que les enfants de mères dont l'exposition moyenne était de 2mG pendant la grossesse étaient 3,5 fois plus susceptibles de souffrir d'asthme pendant l'enfance. Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine - Août 2011.
Cancer des glandes salivaires. Une étude israélienne indique que les personnes qui utilisaient un téléphone portable 22 heures par mois ou plus étaient 50 % plus susceptibles de développer un cancer de la glande parotide que celles qui utilisaient un téléphone cellulaire rarement ou jamais. Santé24 le 19 février 2008.
Tumeur au cerveau. Une analyse de plusieurs études antérieures a conclu que l'utilisation du téléphone cellulaire sur 10 ans augmente le risque de contracter certains types de tumeurs au cerveau (2,4 fois pour le neurome acoustique et 2 fois pour les gliomes). Pubmed - septembre 2007
Cancer lymphatique et cancer de la moelle osseuse. Des chercheurs de l’Université de Tasmanie et de l’Université de Bristol ont étudié les dossiers de 850 patients atteints d’un cancer de la lymphatique et de la moelle osseuse. Ils ont conclu que les personnes vivant à moins de 300 mètres d'une ligne à haute tension pendant de longues périodes (en particulier dans l'enfance) étaient jusqu'à cinq fois plus susceptibles de développer ces maladies plus tard dans la vie. (Internal Medicine Journal, septembre 2007.) Physorg.com, 24 août 2007.
Fausse couche. Des chercheurs californiens ont découvert que les champs électromagnétiques générés par des appareils électriques (tels que des aspirateurs domestiques, des sèche-cheveux et des mixeurs d'aliments) pourraient augmenter considérablement le risque de fausse couche. New Scientist, janvier 2002.
Suicide. Des chercheurs américains ont découvert que le taux de suicide chez 5 000 travailleurs des services d’électricité exposés à des CEM extrêmement basses était le double de celui d’un groupe témoin de même taille. L'effet était particulièrement visible chez les jeunes travailleurs. (Journal de médecine du travail et de l'environnement, 15 mars 2000) .UNC.EDU / news / archives March 2000.
Ce sont quelques-uns des effets les plus graves connus des CEM. De nombreux autres effets ont été rapportés. Cependant, d'autres peuvent être actuellement inconnus, non confirmés ou non déclarés.
La maladie d'Alzheimer Cancer du cerveau (adulte et enfant) Cancer du sein (homme et femme) Dépression (menant également au suicide) Maladie cardiaque Leucémie (adulte et enfant) Fausse couche Autres conditions et symptômes
Les allergies Asthme Autisme Pression artérielle (élevée) Difficultés de concentration Dépression Électro-sensibilité Fatigue Infections fréquentes Maux de tête Changements hormonaux Système immunitaire endommagé Dégâts nerveux Trouble du sommeil Problèmes de peau Anomalies du sperme Acouphènes
Cette liste est loin d'être complète. C’est parce que nous réagissons tous différemment au stress des CEM.
- voir clip sur site -
Si vous avez le temps (15 minutes), regardez cette présentation vidéo du Dr Magda Havas qui montre non seulement les effets néfastes des CEM, mais également des utilisations bénéfiques et curatives pour certaines fréquences électromagnétiques spécifiques.
Effets sur la santé de la tour cellulaire
Une étude d'enquête utilisant un questionnaire a été réalisée en 2002 par Roger Santini (SeePubmed). Le questionnaire a été envoyé à 530 personnes vivant à proximité de tours de téléphonie cellulaire (stations de base pour téléphones portables).
Les personnes qui affirmaient vivre plus près d'une tour de téléphonie se plaignaient beaucoup plus souvent - pour tout un éventail de problèmes de santé - que celles qui vivaient plus loin. Voici un graphique montrant ces résultats - que je ne trouve malheureusement plus en ligne, mais l'étude est disponible sur Pubmed. Cette image telle que présentée ici est un peu difficile à déchiffrer, mais je pense que vous en comprendrez l'essentiel.
Effets sur la santé de la tour cellulaire Tour de cellule causant des problèmes de santé [Partage Social/] L'information donne du pouvoir ! Partageons-le !
Ce type de «science» est-il trop fragile pour être pris au sérieux par les organisations gouvernementales? Je parle des autorités qui publient de longs rapports concluant qu’il n’existe pas d’éléments fiables suffisants pour déduire des effets concrets sur la santé des niveaux d’exposition actuels aux CEM.
Personnellement, je trouve cette étude suffisamment convaincante pour nous recommander de réduire notre exposition aux champs électromagnétiques à fréquences radioélectriques pulsées, même s’il n’y avait pas d’autres preuves. Qu'est-ce que tu penses ?
Etude Bamberg
Cette étude de Santini n’était pas la première fois que ce type de preuve était publié. En 2005, un groupe de médecins allemands a analysé les plaintes de 356 patients sur la base de l'exposition à long terme aux CEM de chaque patient. (J'aimerais savoir comment ils ont déterminé ça.)
Ils ont constaté que plus son exposition aux CEM était élevée, plus le patient serait susceptible de présenter un large éventail de problèmes médicaux, allant de problèmes mineurs (même si les problèmes de santé ne sont jamais vraiment mineurs) à des maladies majeures - telles que troubles du rythme cardiaque, tumeurs, etc. diabète et hypertension. Leur rapport conclut:
«Ceci est une preuve supplémentaire pour soutenir les effets néfastes potentiels sur la santé qui pourraient être synonymes de la technologie à micro-ondes pulsées qui nous entoure dans la vie quotidienne. Les membres du corps médical commencent à exprimer leurs préoccupations et il convient de garder à l'esprit qu'ils ont une expérience directe de personnes réelles confrontées à de vrais problèmes. Il est important de ne pas écarter ces preuves en raison d'un manque de contrôle expérimental, car il semble qu'un certain nombre de professionnels qualifiés ont indépendamment constaté les mêmes tendances. À tout le moins, cela devrait nécessiter une recherche plus organisée sur ces résultats ». (Voir document PDF).
Si de petits groupes de personnes aux ressources très limitées peuvent rassembler ce type de preuves, pourquoi les grandes organisations ne peuvent-elles pas mener des recherches similaires, mais de manière plus rigoureuse et à une échelle beaucoup plus grande ? À qui pouvons-nous faire confiance ?
Mais à qui pourrions-nous faire confiance pour examiner cette question de manière objective? Toute organisation intéressée par ce domaine et disposant des fonds nécessaires bénéficie déjà du déploiement généralisé de cette technologie. Donc, ne vous laissez pas prendre par leurs assurances. Gardez plutôt l'esprit ouvert jusqu'à ce que les preuves sur les effets des CEM sur la santé satisfassent tout le monde. (Je crois que ce ne sera jamais le cas.)
Entre-temps, agissons avec prudence et supposons qu’il puisse y avoir un feu derrière toute cette fumée ! J'espère que vous pourrez toujours éviter les effets sur la santé liés aux CEM. Heureusement, il existe de nombreuses façons de réduire l'exposition électromagnétique pour vous-même, votre famille et vos proches.
Vous pouvez trouver ces articles utiles:
Risques pour la santé de la tour cellulaire Lignes électriques et sous-stations Conseils de protection EMF Quels types de CEM sont nocifs Téléphones portables Compteurs intelligents Qu'est-ce que la FEM vous fait Comment mesurer les champs électromagnétiques
Selon un journaliste d'investigation qui s'est infiltré dans la caravane de migrants en route vers les États-Unis, il y a clairement un agenda politique derrière leur arrivée à la frontière américaine (les citoyens de la ville de Tijuana voient cette caravane comme une invasion et des confrontations ont lieu en ce moment)
samedi 17 novembre 2018
Ami Horowitz, qui a fait plusieurs reportages alors qu'il se trouvait parmi les migrants, rapporte sur les ondes de Fox News que les démarches qui orientent la caravane sont non seulement organisées, mais extrêmement bien financées (nourriture, eau, médicaments). Il ne sait pas exactement de quels groupes provient cet argent, quoiqu'il nomme que George Soros a déjà été impliqué dans des programmes de migrants, mais il suppose que cette marée humaine cache des visées pas très nette.
Il dénonce les médias de masse qui tentent de faire croire qu'il s'agit de personnes composées de femmes et d'enfants qui fuient une situation de vie misérable pour tenter de trouver une vie meilleure, mais il insiste sur le fait que 90 à 95% des membres de la caravane sont des hommes.
Des confrontations ont actuellement lieu dans la ville frontalière de Tijuana entre les migrants et les citoyens de la ville qui ne veulent pas d'eux et qui demandent leur expulsion.
https://www.youtube.com/watch?v=m9ZmpKWS0ZM
Plus de 2000 migrants de la caravane se trouvaient vendredi à Tijuana, à la frontière avec les États-Unis, au nord-ouest du Mexique, où le maire exige leur expulsion. Au cours des 3 prochains jours, ils seront 5000 personnes!
Pourquoi les États-Unis ont-ils acheté du gaz russe ?
18:15 18.11.2018 Olga Lechtchenko
Trois méthaniers ont acheminé du gaz naturel liquéfié (GNL) produit en Russie vers les côtes américaines, depuis le lancement de Yamal LNG. Comment les États-Unis qui rivalisent avec la Russie sur le marché du gaz européen ont-ils pu l’admettre Et quel rôle ont joué des navires français dans cette histoire Décryptage.
Le gaz russe trace sa route vers les côtes américaines. La première cargaison produite au sein de l'usine, Yamal LNG, lancée fin 2017 dans l'Arctique russe, s'est amarrée à Boston fin janvier. Une deuxième beaucoup moins médiatisée, a suivi en février, mais voilà que cette semaine, Moscou a confirmé que les États-Unis se sont fait livrer au total trois méthaniers de gaz naturel liquéfié (GNL) issu du site de Yamal.
Ces molécules russes qui font voir rouge aux autorités US
Comment se fait-il que les États-Unis, prêts à tout pour conquérir le marché européen de gaz et y devancer la Russie, sont allés jusqu'à acheter du GNL à cette dernière? Encore en mars, Rick Perry, secrétaire américain à l'Énergie, se disait, devant le Sénat, «stupéfait par la présence de molécules russes dans un méthanier accosté à Boston alors que les États-Unis produisaient eux-mêmes des volumes importants du gaz».
«Ce n'est qu'en partie qu'on peut qualifier les États-Unis d'exportateur net de gaz. Selon leurs propres estimations, leurs exportations ont dépassé de 4 milliards de mètres cubes leurs importations en 2017. Pour comparer, le volume de la consommation aux États-Unis s'approche de 800 milliards de mètres cubes, ce qui permet d'évaluer si cet excédent est important», explique à Sputnik Alexandre Frolov, directeur adjoint de l'Institut russe de l'énergétique nationale.
Un coup du destin
C'est dans ce contexte, mais également avec un brin de hasard, que la main invisible du marché a poussé les États-Unis à se faire livrer un bon lot de «molécules russes» en janvier 2018.
«Ce méthanier qui avait été solennellement chargé en présence de Vladimir Poutine devait initialement mettre le cap sur la Chine», rappelle Igor Iouchkov, analyste de la Fondation pour la sécurité nationale énergétique, dans une interview accordée à Sputnik. Or, une panne de gazoduc entre la Norvège et le Royaume-Uni, survenue en plein hiver, ainsi que la flambée des prix qu'elle a entraînée, ont mis leur grain de sel dans ces projets. Le méthanier brise-glace Christophe de Margerie, avec du gaz produit à l'usine de Novatek, est parti du village arctique russe de Sabetta en direction de la blonde Albion. Au moment où le navire a pris la mer, le GNL à son bord a changé de propriétaire: dès lors, il appartenait à la société malaisienne Petronas.
Le GNL à bord du Christophe de Margerie est arrivé au Royaume-Uni avant de changer encore de propriétaire et passer aux mains du géant français Engie. «On aurait pu laisser le gaz là, mais une vague de froid a touché les États-Unis. La capacité de transit du gazoduc près de Boston s'est avérée insuffisante pour alimenter la ville et ses environs», explique Igor Iouchkov. «Engie a fait charger le gaz à bord d'un autre méthanier (le français Gaselys, ndlr), et il a pris la direction de Boston. C'était la toute première cargaison produite à Sabetta et elle est partie pour les États-Unis». Un marché qui devient d'autant plus curieux que le gaz est issu de l'usine de Novatek, société russe frappée par les sanctions américaines.
Mais pourquoi les États-Unis, l'un des plus gros producteurs du GNL au monde, n'ont-ils pas pu satisfaire eux-mêmes leurs besoins? La réponse réside dans la législation du pays. «Une ancienne loi qui est toujours en vigueur veut que les cargaisons soient transportées entre les ports du pays uniquement par des navires construits et immatriculés aux États-Unis», poursuit Igor Iouchkov. Il ajoute que cette mesure visait initialement à soutenir la construction navale.
Or, la loi a joué un mauvais tour aux Américains. «Aucun méthanier n'a été produit aux États-Unis, tous étant d'origine étrangère. Ainsi, il est impossible de charger du GNL dans un port pour le transporter dans un autre à bord d'un navire étranger. Cela fait que les États-Unis sont contraints d'acheter le gaz à l'étranger et dans ce cas-là, le GNL russe a été assez attractif en termes de prix», ajoute l'analyste.
Il faudrait tout de même préciser que Rick Perry avait plutôt raison en évoquant des «molécules russes». «Qualifier de russe ce GNL n'est possible que du point de vue de ses origines, car on a vu changer à plusieurs reprises son propriétaire au cours du trajet», observe M.Iouchkov.
Qui plus est, le marché du gaz est régi avant tout par les lois de l'économie et la politique a du mal à s'en faire obéir.
«Les États ont très peu d'emprise sur le marché du gaz, il faut avant tout faire attention aux opérateurs qui y jouent», note Alexandre Frolov.
«Les politiques peuvent introduire des sanctions contre la Russie, contre ses sociétés, mais la communauté d'affaires va chercher à acheter du gaz avant tout à un prix compétitif», dit Igor Iouchkov. Et de conclure: «Si les Américains font des bénéfices et que cela n'est pas interdit par la loi, ils interagiront de leur plein gré avec les sociétés russes».
L'économie l'emporte donc sur la politique… Au moins, sur ce terrain.
Qui ou quoi est vraiment responsable des énormes feux de forêt en Californie ?
par Tyler Durden Dim, 18/11/2018 - 13:40 Écrit par Bruce Bialosky, op-ed via Townhall.com,
Une fois encore, devant l’échec de la «presse» à nous sensibiliser sur un problème, nous avons décidé de partir à la recherche de la vérité sur ce qui semble être l’augmentation significative des énormes incendies de forêt. Une fois que nous avons fait la recherche, nous avons découvert des différences majeures dans les faits par rapport aux aboiements aléatoires chez les HSH.
Commençons par cet aspect simple. Les incendies de forêt sont une chose normale. Souvent causés par la foudre ou d’autres causes naturelles, ils sont le moyen utilisé par Dieu pour défricher les forêts. Dans ces défrichements de forêts naturelles, la faune qui y habite est menacée ou son habitat est détruit. Ce qui a changé, c’est l’intervention de l’humanité dans le processus naturel. La question qui se pose est de savoir quels autres facteurs peuvent causer le changement d'intensité des récents incendies de forêt.
Nous sommes également venus armés d'une pensée. Si vous pensez que le réchauffement climatique rend la vie plus difficile pour la gestion des forêts, vous devez soutenir le défrichage adéquat des forêts. Sinon, nous aurons des incendies encore plus intenses.
Pour cette rubrique, outre la lecture de tout ce qui est disponible, nous nous sommes tournés vers deux sources: notre service national des forêts et l’Union of Concerned Scientists pour obtenir des perspectives différentes.
En parlant avec Chris French, chef adjoint du Service des forêts (FS) par intérim, nous avons reçu un aperçu de la situation actuelle des incendies de forêt.
Lorsqu'on lui a demandé quelle était, à son avis, la principale cause des incendies de forêt intenses, M. French a immédiatement répondu: «Les forêts sont surpeuplées. Il y a plus d’arbres qu’il ya 100 ans. »Il a ajouté que le bon travail du Service des forêts dans la lutte contre les incendies de forêt avait récemment contribué au problème. Cela signifiait toutefois que leur objectif était en grande partie orienté vers l’entretien des forêts, ce qui entraînait la formation des éléments qui alimentaient un feu, tels que broussailles, arbres morts ou plus de densité.
Les changements que souhaiteraient voir Chris French seraient un défrichement plus actif des forêts et des sous-bois. Il souhaite également faire plus de feux contrôlés lorsque les risques sont minimisés. Si vous vous demandez pourquoi ils ne le font pas maintenant, c'est à cause des contraintes budgétaires.
Quel ministère ne préconise pas l'ajout de fonds dans leur budget ? Dans ce cas, il peut vraiment y avoir une justification. En raison de l'excellent travail accompli par les FS, ils consacraient 85 % de leur budget à l'entretien des forêts et 15 % à la suppression des incendies.
Au cours des dernières années, lorsque les incendies de forêt sont devenus plus intenses, ils ont dépensé plus d'argent en répression et moins en dépollution, ce qui a entraîné un cercle vicieux: moins d'argent dépensé en dépollution. À ce stade, Chris French a déclaré qu’il était projeté que 60% de leur budget était consacré à la répression, ce qui laisse moins de dollars précieux pour le dédouanement. Les projets de loi budgétaires récents du Congrès ont augmenté le budget du Service forestier, fournissant ainsi un financement supplémentaire pour le déblaiement, espérant ainsi mettre fin au plus grand nombre d’incendies et réduire les dépenses consacrées à la suppression.
Pendant le déminage effectué par le Service forestier, French a déclaré qu'ils étaient contrôlés par une myriade de lois fédérales limitant leurs actions. Ces lois incluent, entre autres, la Loi sur l’air pur, la Loi sur la gestion des forêts naturelles, la Loi sur les espèces en voie de disparition et la Loi sur la politique environnementale nationale. Le Service forestier doit mettre les informations à la disposition du public avant qu’il n’effectue ses travaux de déminage. Ils ne sont pas toujours interrogés, mais très souvent, des groupes d'intérêts interviennent armés de dossiers juridiques pour arrêter le travail prévu.
À l'heure actuelle, des groupes tentent d'empêcher l'adoption de certains aspects du projet de loi sur l'agriculture qui augmenteraient le financement du déboisement, car ils s'opposent à l'exploitation forestière, même s'il est clair qu'une grande partie des terres en question ont une densité trois fois plus importante.
Juste une pensée: si vous avez des préoccupations au sujet de la destruction de l’habitat naturel et si vous limitez ainsi le dégagement approprié des zones en question, que dites-vous de ce qui arrive à la forêt mal défrichée lors d’un incendie majeur lorsque l’habitat est détruit et la vie des animaux est-elle mise en danger ?
Un autre point soulevé par French concernait les risques plus élevés aujourd'hui.
Il a déclaré: "Les gens vivent plus près des endroits où se trouvent les dangers d'incendie, causant plus de dégâts et plus de pertes en vies humaines." Nous avons demandé si cela ressemblait à toutes les personnes vivant dans les plaines inondables aujourd'hui. Sa réponse: "Exactement."
Ce type d’incendie a un nouveau nom accrocheur - les incendies d’interface urbaine. The Forest Serviced définit l’interface entre zones sauvages et zones urbaines comme le lieu où «maisons et zones sauvages se rencontrent ou s’entremêlent». Comme Chris French l'a décrit, "les êtres humains et leur développement se rencontrent ou se mélangent avec du combustible forestier". Celles-ci étaient appelées zones d'incendie. J'habite dans l'un d'eux et nous devons faire une autorisation spéciale chaque année pour nous assurer que si un incendie se déclare, il y aura peu de carburant pour alimenter le feu. Ma vie s’est construite pendant soixante-dix ans. Cette nouvelle situation décrit les récents incendies en Californie, où des personnes se sont rendues plus loin dans ces régions pour se rendre chez elles.
Quelle est la responsabilité du gouvernement dans ces cas ? Peu de gens limiteraient le droit des gens de construire des maisons sur des propriétés privées. Moins de personnes suggéreraient que les autorités ne protègent pas ces personnes du danger en cas d'incendie, de coulée de boue ou si leur maison est emportée par les inondations. Beaucoup se demanderont si le gouvernement devrait encourir un risque financier pour aider les survivants à se reconstruire dans les zones en question. D'autres diraient que cela encourage simplement les comportements douteux.
Bien que nous puissions tous ressentir de la tristesse pour ceux qui ont perdu leur maison à la suite des incendies, beaucoup ont construit des maisons dans des zones qui présentent un danger inhérent pour être «à l’écart du brouhaha». Leur choix; leur risque. Construire une maison près d'une forêt et ne pas accepter l'incertitude du feu frôle la folie.
En traitant avec un groupe environnemental aujourd'hui, on prévoit qu'un point central sera le réchauffement planétaire / le changement climatique. En fait, l'article que j'ai tiré du site Web de l'Union of Concerned Scientists (UCS) s'intitule "Le réchauffement de la planète alimente-t-il les risques d'incendie ?" La colonne est un mélange d’avertissements sur la façon dont le réchauffement de la planète augmente le nombre d’incendies de forêt et l’encouragement à éliminer davantage de forêts. J'ai parlé à Rachel Cleetus, économiste principale et directrice des politiques du programme climat et énergie de l'UCS.
Mme Cleetus a brossé un tableau quelque peu différent. Elle a également transmis un rapport de 64 pages qu'elle a personnellement rédigé pour l'UCS à ce sujet. Elle était très consciente des nombreux facteurs en jeu et faisait écho à bon nombre des thèmes évoqués par le FS, notamment la nécessité de disposer d’un budget plus important, en particulier avec l’argent supplémentaire dépensé pour le déboisement.
Cleetus ne savait pas si l'organisation venait de soutenir les procédures que le FS avait préconisées ou préconisées. Elle a déclaré qu'ils ne participaient pas à empêcher le SF de faire son travail comme le font souvent d'autres intérêts.
Elle a toutefois précisé que le principal risque accru de grands incendies était le nombre accru de personnes vivant dans ces zones et la gestion (ou l’absence de gestion) de la forêt.
Que vous croyiez ou non au réchauffement de la planète / au changement climatique, il est évident que le service forestier doit maîtriser une gestion forestière appropriée pour réduire les risques d'incendies majeurs. Pour le moment, la seule façon de le faire est de consacrer plus de ressources au problème afin de mettre un terme à la spirale descendante de dépollution nécessaire pour enrayer / réduire au minimum le risque d'incendies majeurs.
Il est certain que les gouvernements fédéral et régionaux doivent préciser qu'ils n'assumeront aucune responsabilité en cas de perte financière si quelqu'un vit dans une zone d'incendie. Les citoyens doivent évaluer si la joie d'être dans ces zones vaut la peine d'être exposée à leurs biens et éventuellement à leur vie.
Une chose que nous savons avec certitude, c’est que les fausses accusations selon lesquelles tout cela est dû aux changements de facteurs environnementaux sont fausses. Bien que la NGC soit investie dans la question des changements climatiques, elle soutient qu’il existe d’autres facteurs tels que proposés par le FS.
Le changement climatique / le réchauffement climatique n'est pas la réponse à tout sur notre planète.
Si les humains n'étaient pas là il n'y aurait pas de forêt ! Pas de routes coupe-feu, pas de canaux pour irriguer les régions. Or, comme pour les problèmes d'immigration où des centaines de millions de personnes quittent des pays pour envahir et tuer celui d'accueil, la faute est aux Dirigeants de pacotille. Des dictateurs qui refusent de draguer les fleuves & rivières pour créer des inondations, des morts et des milliards de dégâts, des moins-que-rien qui refusent de déboiser des forêts pour que les incendies brûlent le maximum de personnes et de maisons, des nazies qui paient des criminels pour qu'ils se déplacent et terrorisent les populations !
"Les migrants sont des porcs": un membre de la caravane dit aux habitants de Tijuana "qu'ils nous traitent comme des animaux"
par Tyler Durden Dimanche, 18/11/2018 - 13:00
Les habitants de Tijuana, au Mexique, ne sont pas trop gentils avec des milliers de membres d'une caravane de migrants - ils lancent des insultes, des pierres et même des coups de poing sur les Centraméricains arrivés par milliers dans le but de demander l'asile aux États-Unis, rapporte le journal. AP.
Ivis Muñoz, 26 ans, a envisagé de retourner au Honduras. Le cultivateur de café a appelé son père à Atima, au Honduras, samedi pour le consulter sur son prochain déménagement quelques jours après avoir été attaqué sur une plage par des habitants de Tijuana. Son père lui a dit de tenir le coup.
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Munoz était endormi sur une plage de Tijuana avec environ deux douzaines d'autres migrants lorsque des rochers se sont abattus sur eux vers 2 heures mercredi. Il a entendu un homme crier dans l’obscurité: «Nous ne voulons pas de vous ici ! Rentrez dans votre pays ! »Munoz et les autres se sont levés et ont cherché refuge, se dirigeant vers les rues résidentielles voisines. Quand le soleil s'est levé, ils ont pris un camion qui passait au centre-ville de Tijuana. Maintenant, il reste au complexe sportif. -AP
Un autre membre de la caravane, Carlos Padilla, âgé de 57 ans, du Honduras, a déclaré qu'un résident de Tijuana avait crié: "Les migrants sont des cochons" au passage.
Le maire de Tijuana, Juan Manuel Gastelum, a évoqué l’arrivée de tant de migrants à la fois comme une "avalanche" que la ville aura du mal à gérer. Il calcule qu'ils resteront dans la ville pendant au moins six mois au cours du processus de demande d'asile. À raison d'environ 100 demandes par jour, les inspecteurs des frontières des États-Unis ne seront pas en mesure de traiter les 3 000 noms actuellement enregistrés dans un cahier que les migrants ont rassemblé en route.
Pour le moment, la grande majorité de la caravane est campée sur un terrain de baseball en terre battue, sur un terrain de sport en plein air et sous des gradins. La ville a ouvert le complexe une fois que les autres abris ont atteint leur capacité d'accueil maximale, tandis que des groupes d'églises se sont mobilisés pour fournir des douches portables, des salles de bains et des éviers. Dans le même temps, les entreprises locales se sont plaintes de vols et de vols de migrants par les migrants.
Francisco Lopez, 50 ans, possède un magasin de meubles à proximité. Il a ajouté qu'un groupe de migrants avait acheté de la nourriture dans une petite épicerie à quelques portes d'ici et qu'il craignait que la criminalité dans la région n'augmente à mesure que les migrants restent longtemps au refuge.
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En dehors du complexe, des groupes de migrants sillonnaient la rue pour recevoir des dons de vêtements et de glacières remplies d’eau embouteillée, déposés par des organisations caritatives et d’autres personnes cherchant à aider les migrants.
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Les responsables de Tijuana ont déclaré avoir transformé le gymnase municipal et le complexe récréatif en un abri afin d'empêcher les migrants d'accéder aux espaces publics. Les refuges privés de la ville ont une capacité maximale de 700 personnes. Le complexe municipal peut accueillir jusqu’à 3 000 personnes; à partir de vendredi soir, il y avait 2 397 migrants. -AP
Selon le gouvernement fédéral, près de 10 000 migrants pourraient éventuellement se retrouver à Tijuana.
Alden Rivera, ambassadeur du Honduras au Mexique, a visité samedi le complexe sportif de plein air. Rivera s'attend à ce que les migrants aient besoin d'être hébergés pendant huit mois ou plus, et a déclaré qu'il travaillait avec le Mexique pour obtenir plus de fonds pour les nourrir et les soigner. Il s'attend à ce que le nombre de migrants à Tijuana atteigne 3 400 au cours du week-end, et 1 200 autres migrants se sont rendus à Mexicali, une autre ville frontalière située à quelques heures à l'est de Tijuana. 1 500 migrants supplémentaires prévoient d’atteindre la région frontalière américaine la semaine prochaine. -AP
1 800 Honduriens sont rentrés dans leur pays depuis que la caravane a commencé son voyage le 13 octobre, selon Rivera. Il espère que d'autres suivront.
"Nous voulons qu'ils rentrent au Honduras", a déclaré Rivera, notant que chaque migrant devait décider de demander l'asile au Mexique, de faire la queue pour obtenir l'asile américain ou de rentrer chez lui. Selon le ministère mexicain de l'Intérieur, 2 697 migrants centraméricains avaient demandé l'asile mexicain dans le cadre d'un programme lancé le 26 octobre pour accélérer la vérification des pouvoirs des personnes souhaitant vivre, travailler et étudier dans le sud du Mexique.
Felipe Garza, un résident de Tijuana âgé de 55 ans, reconnaît que la population locale n’est pas vraiment ravie d’aider les migrants bien que lui et d’autres membres de son église leur aient remis du café et des petits pains au refuge municipal improvisé. "C’est inconfortable de recevoir une telle multitude de personnes, mais c’est une réalité à laquelle nous devons faire face", a-t-il déclaré.
Garza a supposé que si les Centraméricains se comportaient bien, Tijuana les embrasserait tout comme l'ont fait des milliers d'Haïtiens en 2016. Ces Haïtiens ont depuis ouvert des restaurants, des salons de coiffure et se sont inscrits dans les universités locales.
L'officier de police Victor Coronel est d'accord mais se demande combien la ville peut encore supporter. "La seule chose que nous puissions faire est d'espérer que le président (Donald) Trump ouvre un peu son cœur", a déclaré Coronel. -AP
Trump "ouvrir son cœur" pourrait être un voeu pieux, cependant, alors qu'il avait tweeté il y a à peine deux jours: "N'est-il pas ironique que de grandes caravanes de personnes marchent vers notre frontière et cherchent l'asile des États-Unis, car elles craignent d'être dans leur pays - pourtant, ils brandissent fièrement le drapeau de leur pays. Est-ce possible ? Oui, parce que tout cela est un gros con, et que le contribuable américain en paie le prix ! "
LES PREMIERS FLOCONS DE LA SAISON ATTENDUS EN PLAINE
Une dépression d'altitude va toucher le pays lundi. Elle devrait occasionner quelques faibles chutes de neige, jusqu'à basse altitude.
18.11.2018, 19h35
L'hiver va faire une brève irruption en Suisse en ce début de semaine. Le puissant anticyclone qui est actuellement centré sur la Scandinavie va conduire de l'air froid venant de Russie sur notre pays, selon MeteoNews.
Lundi matin, il ne fera pas plus de 2 degrés à Genève ou à Lausanne. Dans le courant de la journée, une dépression d'altitude se dirigeant sur les Alpes va apporter davantage d'humidité. De quoi produire ça et là quelques flocons, d'abord en Valais, puis sur le reste de la Suisse romande. «La quantité de neige devrait toutefois rester modeste», estime Patrick Suter, spécialiste de l'agence météorologique.
TROP SEC POUR LA SAISON
Les températures devraient rester stables entre 4 et 5 degrés jusqu'à mercredi, avant un léger redoux jeudi. Et le week-end prochain risque d'être pluvieux. De quoi réduire un peu le déficit de précipitations qui touche le pays cette année. Les sols sont en effet actuellement beaucoup trop secs pour la saison. «Depuis plusieurs mois, un certain retard s'accumule en matière de pluviométrie», rappelle Patrick Suter.
Et le temps presse, car l’absorption de l'eau par les sols se trouvera entravée avec l'arrivée de l'hiver et du gel. «Si le temps ne change pas bientôt, nous débuteront l'été prochain avec un déficit», prévient le météorologue. (Le Matin)
Oh, ces GAN: la technique du doigt de scanner pourrait donner de fausses empreintes digitales
18 NOVEMBRE 2018 par Nancy Owano, Tech Xplore
Évolution variable latente avec un réseau formé. À gauche, un aperçu de haut niveau de CMA-ES et un encadré à droite montre comment les variables latentes sont évaluées. Crédit: arXiv: 1705.07386 [cs.CV] https://arxiv.org/abs/1705.07386
Nouvelles des systèmes biométriques: Les fausses empreintes digitales peuvent imiter les vraies. Un réseau de neurones a réussi à extraire de fausses empreintes digitales, ces empreintes digitales conçues pour fonctionner comme des clés maîtresses pour votre identification.
Les travaux ont été réalisés par des chercheurs qui ont présenté leur communication lors d’une conférence sur la sécurité biométrique à Los Angeles. "DeepMasterPrints: la génération de MasterPrints pour les attaques de dictionnaire via une évolution de variable latente" est disponible sur le serveur arXiv. Presque toutes les affiliations d’auteurs sont issues de l’Université de New York et une autre de la Michigan State University. NVIDIA a fait don de processeurs pour leurs recherches.
Au cœur de leurs recherches se trouve une technique d’apprentissage automatique, DeepMasterPrints, qui caractérise les fausses impressions. Les chercheurs ont écrit que "les expériences avec trois appareils de comparaison d'empreintes digitales et deux jeux de données différents montrent que la méthode est robuste et ne dépend pas des artefacts d'un matcher d'empreinte digitale ou d'un jeu de données particulier".
Alors, quelles sont les voies de la falsification que les chercheurs ont empruntées ?
Alex Hern, journaliste technique pour The Guardian, a expliqué aux lecteurs la technique: la plupart des lecteurs d’empreintes digitales ne lisent pas l’ensemble du doigt en même temps, a-t-il déclaré.
Les lecteurs font leur imagerie sur une partie du doigt qui touche le scanner. Hern a déclaré que la comparaison avait lieu entre l'analyse partielle et les enregistrements partiels. Voici ce qui se passe: "Cela signifie qu'un attaquant ne doit correspondre qu'à une ou plusieurs dizaines ou centaines d'empreintes digitales partielles enregistrées pour pouvoir accéder."
Un autre élément qui fonctionne dans les tentatives de falsification réside dans la manière dont certaines caractéristiques des empreintes digitales sont plus courantes que d'autres. "Cela signifie qu'une fausse empreinte qui contient beaucoup de caractéristiques très communes est plus susceptible de correspondre à d'autres empreintes digitales que le pur hasard ne le laisserait penser", a déclaré Hern.
Avec ces faiblesses, ils ont utilisé une technique qui a fonctionné pour leurs fins. Les faux qu'ils ont créés ressemblaient de manière convaincante à une véritable empreinte digitale - pour un œil humain. Ceci est remarquable car une technique précédente "créait des empreintes dentaires déchiquetées et à angle droit qui tromperaient un scanner mais pas une inspection visuelle", a déclaré Hern.
La technique d'apprentissage automatique était le Generative Adversarial Network. La technique a réussi à créer des empreintes digitales correspondant le plus possible à des empreintes partielles partielles. (Prasad Ramesh in Packt: "Un réseau GAN est formé sur un jeu de données d'empreintes digitales, puis LVE recherche dans les variables latentes du réseau du générateur une image d'empreinte digitale qui maximise les chances de correspondance. Cette correspondance ne réussit que lorsqu'un grand nombre d'identités différentes sont impliqués, ce qui signifie que des attaques individuelles spécifiques ne sont pas aussi probables. ")
La méthode est comparée à une "attaque par dictionnaire" contre les mots de passe, dans laquelle un pirate informatique lance une liste pré-générée de mots de passe courants sur un système de sécurité.
Comme Hern l'a fait remarquer, les attaques peuvent ne pas être en mesure de pénétrer dans des comptes spécifiques mais "lorsqu'elles sont utilisées contre des comptes à grande échelle, elles génèrent suffisamment de succès pour en valoir la peine".
Que disent les détectives de la sécurité en réaction à leur présentation: Naked Security a déclaré que les conclusions étaient un peu inquiétantes.
"Si quelqu'un développait cela en exploit, peut-être en imprimant les images avec de l'encre capacitive, cela pourrait poser des problèmes pour de nombreux systèmes de reconnaissance d'empreintes digitales", a déclaré Danny Bradbury dans Naked Security.
Oui, mais cela nous amène à la grande question: faut-il simplement écarter les empreintes digitales en tant qu'outil d'identification?
Sam Medley, Notebookcheck, dirait que non, les résultats de la recherche n'invalident pas les scanners d'empreintes digitales en tant que mesure de sécurité. Medley a écrit: "Les chercheurs admettent volontiers que, même si quelqu'un pouvait utiliser quelque chose comme DeepMasterPrints pour pirater quelque chose comme un smartphone ou un ordinateur, il lui faudrait beaucoup travailler pour optimiser l'IA pour un système spécifique."
En fait, les auteurs eux-mêmes ont souligné la valeur de leur approche. "Au-delà de l'application de la génération de DeepMasterPrints, cet article montre avec succès l'utilité de rechercher dans l'espace latent d'un réseau générateur des images ou d'autres artefacts répondant à un objectif donné. Cette idée est étonnamment sous-explorée et pourrait s'avérer utile dans la créativité informatique. recherche ainsi que d’autres domaines de la sécurité ".
Une nouvelle industrie spatiale émerge: le service sur orbite
17 novembre 2018 par Ivan Couronne
Imaginez un aéroport où des milliers d'avions, vides de carburant, sont abandonnés sur le tarmac. C’est ce qui se passe depuis des décennies avec les satellites qui entourent la Terre.
Lorsque les satellites sont à court de carburant, ils ne peuvent plus conserver leur orbite précise, ce qui les rend inutilisables même si leur matériel est toujours intact.
"Il s'agit littéralement de gaspiller des centaines de millions de dollars", a déclaré ce mois-ci Al Tadros, vice-président des infrastructures spatiales et de l'espace civil chez SSL, lors d'une réunion réunissant les principaux acteurs du secteur émergent du secteur de l'orbite en orbite. réparer ou réparer des satellites lorsqu'ils sont dans l'espace.
Ces dernières années, de nouvelles sociétés aérospatiales ont été créées pour tenter de prolonger la durée de vie des satellites, sachant que de nombreux clients trouveraient cela plus rentable que de relancer de nouveaux.
En 2021, sa société lancera un véhicule, dans le cadre de son programme RSGS (Robotic Servicing of Geosynchronous Satellites), capable de desservir deux à trois douzaines de satellites sur une orbite géostationnaire lointaine, à quelque 36 000 km de la Terre. il y a environ 500 satellites actifs, la plupart dans les télécommunications.
Cet engin spatial non habité sera capable de se verrouiller sur un satellite pour l'inspecter, de le ravitailler en carburant, voire même de le réparer ou de changer des composants, et de le replacer sur la bonne orbite.
Tadros le décrit comme "équivalent à un camion de service AAA en orbite géostationnaire".
Et "c’est une très grande opportunité financière", ajoute-t-il. Le géant des télécommunications Intelsat, qui exploite 50 satellites géostationnaires, a choisi une option différente et signé un contrat avec Space Logistics, une filiale de Northrop Grumman, pour son MEV, un "système très simple", a indiqué à l'AFP Ken Lee, vice-président du Conseil un camion."
Lors de son lancement en 2019, le vaisseau spatial s’attachera à un satellite en panne et le repositionnera sur la bonne orbite.
Le MEV restera attaché et utilisera son propre moteur pour rester en orbite.
Trop de débris
Les services de maintenance sur orbite pourraient également aider à réduire le problème épineux du montage de débris spatiaux.
Sur les 23 000 objets spatiaux recensés par l'armée américaine, 1 900 seulement sont des satellites actifs.
Le reste - qui se déplace à une vitesse de 20 000 à 30 000 km / h - comprend près de 3 000 satellites inactifs, 2 000 pièces de roquettes (comme le deuxième étage de roquettes) et des milliers de fragments produits par deux événements clés. : l'explosion de missile délibérée d'un satellite chinois en 2007 et la collision en 2009 d'un satellite Iridium avec un satellite russe vieillissant.
Aucune solution à court terme n'a été identifiée pour les déchets spatiaux à petite échelle, mais certaines sociétés souhaiteraient pouvoir retirer les satellites obsolètes de leur orbite.
Depuis 2008, la France demande aux opérateurs de satellites de prendre des mesures pour "désorbiter" leurs engins spatiaux en les programmant pour qu’ils réintègrent l’atmosphère de la Terre dans 25 ans, afin de les incendier, selon Laurent Francillout, responsable de la sécurité de l’espace au Centre français Études spatiales (CNES).
En ce qui concerne les satellites en orbite géostationnaire, leur option de fin de vie consiste à s’éloigner de la Terre jusqu’à une "orbite de cimetière" située à 200 km (300 km) plus loin.
"Nous essayons de promouvoir ces principes" dans d'autres pays, a déclaré Francillout à l'AFP.
Astroscale, une petite société japonaise fondée en 2013, développe un système permettant d'approcher et de capturer les débris spatiaux et les satellites brisés.
Bien qu’il n’ait pas encore de clientèle, le directeur des opérations, Chris Blackerby, estime que l’entreprise serait "très viable".
Un lancement d'essai est prévu pour 2020.
Le futur «remorqueur spatial» d’Airbus, prévu pour 2023, est en cours de construction afin de saisir les vieux satellites et de les repousser à 200 km au-dessus de la Terre afin qu’ils se consument.
Le problème des débris spatiaux ne fait que s'aggraver.
Le nombre de satellites dans l'espace a déjà augmenté de 50% en cinq ans, selon la Satellite Industry Association, et la croissance se poursuit.
Aux États-Unis, le débat se poursuit sur la nécessité de mieux réglementer le trafic spatial dans le monde afin d'éviter les accidents et de gérer les conflits futurs.
"Nous ne voulons pas du Far West", a déclaré Fred Kennedy, directeur du bureau de la technologie tactique à la DARPA, la branche de recherche technologique du Pentagone, soulignant que les Etats-Unis, avec sa flotte de satellites militaires, souhaitaient établir un son pratiques au-delà des frontières de la Terre.
Enlevez un poids: les larmes, la joie que kilo obtient mise à jour historique (Mise à jour)
16 novembre 2018 par John Leicester
Lors d'un vote historique, plus de 50 pays ont unanimement approuvé la refonte du système de mesure international qui sous-tend le commerce mondial et d'autres activités humaines, s'unissant vendredi à de nouvelles définitions du kilogramme et d'autres unités, ce qu'ils ne font pas sur de nombreux autres points.
Les scientifiques, pour qui la mise à jour représentait des décennies de travail, applaudissaient et même pleuraient, alors que les délégués réunis à Versailles disaient "oui" ou "oui" au changement, salué comme une révolution dans la façon dont l'humanité mesure et quantifie son monde.
La redéfinition du kilogramme, l'unité de masse approuvée dans le monde entier, a été le changement le plus attendu. Depuis plus d'un siècle, le kilogramme est défini comme la masse d'un cylindre en alliage de platine et d'iridium conservé dans une chambre haute de sécurité en France. Cet artefact, surnommé "Le Grand K", est le seul vrai kilogramme au monde depuis 1889.
Maintenant, avec le vote, le kilogramme et toutes les autres principales unités de mesure seront définis à l’aide de valeurs numériques qui s’ajustent aisément sur une carte de portefeuille. Ces chiffres ont été lus aux délégués nationaux avant leur vote. La mise à jour entrera en vigueur le 20 mai. Les scientifiques présents à la réunion étaient étourdis par l'excitation: certains portaient même des tatouages ??sur leurs avant-bras qui célébraient la science.
Le prix Nobel William Phillips a qualifié cette mise à jour de "la plus grande révolution de la mesure depuis la révolution française", qui a inauguré le système métrique des mètres et des kilogrammes.
Le Grand K et ses six exemplaires officiels, conservés ensemble dans le même coffre-fort à la périphérie de Paris et appelés collectivement "l'héritier et les épargnants", seront retirés sans être oubliés. Les scientifiques veulent continuer à les étudier pour voir si leurs masses changent avec le temps.
La mise à jour n'aura aucun impact perceptible pour la plupart des gens. Les balances de salle de bains ne vont pas devenir subitement plus gentilles et les kilos et les grammes ne changeront pas dans les supermarchés.
Mais la nouvelle définition du kilogramme basée sur une formule présentera de nombreux avantages par rapport à la bosse en métal fabriquée avec précision qui a établi la norme du 19ème au 21ème siècle, à travers des périodes de prodigieuses réalisations humaines et de folies époustouflantes, y compris les deux guerres mondiales.
Contrairement à un objet physique, la formule du kilo, désormais connue sous le nom de "kilo électrique", ne peut pas capter les particules de poussière, se décomposer avec le temps ou tomber et être endommagée, mais sera plus facile à partager.
"Si nous restons là où nous sommes et que quelqu'un a accidentellement abandonné le kilogramme ou s'il y avait une contamination que nous ne pouvions pas contrôler, alors tout le système n'aurait plus de tête. Nous sommes dans le chaos", a déclaré Barry Inglis, un scientifique d'Australie. «C’est la chose qui nous inquiète vraiment, je pense, depuis peut-être 15 ans ou plus, c’est à quel point le système est vulnérable, car il ne dépend que de ce petit morceau de platine iridié.
Le kilo redéfini devrait permettre des mesures plus précises des masses très, très petites ou très très grandes et aider à inaugurer des innovations dans les domaines de la science, de l'industrie, du climat et dans d'autres domaines. Dans le cadre des efforts déployés par l’humanité pour quantifier et comprendre le monde, qui remonte à plusieurs siècles, lorsque les anciens Babyloniens mesuraient la masse avec des pierres, le vote a marqué une étape importante, ont convenu les scientifiques.
"Ces unités, les constantes choisies maintenant, incluent tout ce que nous savons, tout ce que nous avons toujours su et nous fournissent ce tremplin pour aller poursuivre ces choses que nous ne connaissons pas", a déclaré Jon Pratt de l'Institut américain des normes et de la technologie. . Il a ajouté que la réunion de vendredi "venait de me laisser dans une flaque de larmes".
Les définitions mises à jour pour l'ampère, le kelvin et la taupe ont également été approuvées vendredi.
Humanity utilise sept unités de mesure principales: le mètre pour la longueur, le kilogramme pour la masse, la seconde pour le temps, l'ampère pour le courant électrique, le kelvin pour la température, la mole pour la quantité d'une substance et la candela pour l'intensité lumineuse.
Sur les sept, le kilo est le dernier qui repose encore sur un artefact physique, Le Grand K. Avec le temps, la science derrière la nouvelle définition du kilo devenant plus accessible et abordable, la mise à jour devrait également signifier que les pays n'auront pas à envoyer de leurs propres kilos rentrés en France pour être vérifiés occasionnellement contre Le Grand K, comme ils l’ont fait jusqu’à présent, pour vérifier si leur masse était toujours exacte.
"Nous avons assuré la pérennité du système", a déclaré Martin Milton, directeur du Bureau international des poids et mesures.
Le bureau est le gardien du système, ainsi que de Le Grand K et de ses copies, qui sont stockés dans un coffre-fort qui nécessite trois clés, conservées par trois personnes différentes, pour les déverrouiller. Très rarement ils ont vu la lumière du jour.
"Nous avons mis en place un système qui ne dépend pas de quelque chose qui date de 140 ans", a déclaré Milton.
Un climatologue révèle une erreur scientifique et met en échec une importante étude sur le réchauffement de l'océan
16 novembre 2018 par Joshua Emerson Smith
Des chercheurs de l’Université de Californie, de la Scripps Institution of Oceanography de San Diego et de l’Université de Princeton sont récemment revenus des conclusions scientifiques publiées le mois dernier qui montraient que les océans s’échauffaient considérablement plus rapidement que prévu par le changement climatique.
Dans un article publié le 31 octobre dans la revue Nature, des chercheurs ont découvert que la température des océans s'était réchauffée de 60 % de plus que celle décrite par le Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations Unies.
La conclusion a toutefois été examinée après que le mathématicien Nic Lewis, critique du consensus scientifique autour du réchauffement provoqué par l’homme, ait publié une critique de l’article sur le blog de Judith Curry, une autre critique connue.
"Les conclusions du ... document ont été examinées par des pairs et publiées dans la plus grande revue scientifique du monde et ont été largement couvertes par les médias anglophones", a écrit Lewis. "Malgré cela, un rapide examen de la première page du document était suffisant pour faire naître des doutes quant à l'exactitude de ses résultats."
Le co-auteur, Ralph Keeling, spécialiste du climat à la Scripps Institution of Oceanography, a blâmé tout le blâme et a remercié Lewis de l'avoir alerté sur cette erreur.
"Quand nous avons été confrontés à ses idées, il est immédiatement devenu évident qu'il y avait un problème là-bas", a-t-il déclaré. "Nous sommes reconnaissants de le signaler rapidement afin que nous puissions le corriger rapidement."
Keeling a déclaré qu'ils avaient refait les calculs depuis, constatant que l'océan était toujours plus chaud que l'estimation utilisée par le GIEC. Cependant, cette augmentation de la chaleur a une plage de probabilité plus grande qu'on ne le pensait initialement - entre 10 et 70%, comme d'autres études l'ont déjà montré.
"Nos marges d'erreur sont trop importantes maintenant pour nous faire une idée précise de la quantité de réchauffement qui se produit dans l'océan", a déclaré Keeling. "Nous avons vraiment gommé les marges d'erreur."
Une correction a été soumise à la revue Nature.
Selon le dernier rapport du GIEC, les émissions climatiques doivent être réduites de 20% d'ici 2030, puis ramenées à zéro d'ici 2075 pour que le réchauffement ne dépasse pas 2 degrés Celsius (3,6 degrés Fahrenheit) au-dessus des niveaux préindustriels.
Les auteurs de la récente étude avaient précédemment affirmé que les niveaux d'émissions dans les décennies à venir devraient être réduits de 25% pour rester au-dessous de ce plafond de 2 degrés.
Alors que les articles sont examinés par des pairs avant d'être publiés, les nouvelles découvertes doivent toujours être reproduites avant d'être largement acceptées par la communauté scientifique, a déclaré Gerald Meehl, climatologue au National Center for Atmospheric Research de Boulder, dans le Colorado.
"Voici comment fonctionne le processus", a-t-il déclaré. "Chaque document qui sort n'est pas infaillible ou infaillible. S'il ne résiste pas à l'examen, vous examinez les résultats." Le rapport s'appuyait sur une nouvelle approche qui pourrait encore révolutionner la manière dont les scientifiques mesurent la température de l'océan.
Une grande partie des données sur les températures des océans reposent actuellement sur la baie Argo, des dispositifs robotiques flottant à différentes profondeurs. Le programme, qui a débuté en 2000, présente des lacunes dans la couverture.
En comparaison, Keeling et Laure Resplandy, chercheuse à l’Environment Institute de l’Université de Princeton et co-auteur du rapport, calculaient la chaleur en fonction de la quantité d’oxygène et de gaz carbonique sortant de l’océan, en remplissant des flacons en verre contenant de l’air recueilli dans les stations de recherche situées à globe.
Keeling a déclaré qu'ils continueraient à expérimenter les données dans les années à venir afin de les affiner.
"C'est une nouvelle méthode prometteuse, mais nous n'avons pas obtenu la précision dès le premier passage", a-t-il déclaré.
L'étude est toujours la première à confirmer le réchauffement de l'océan en utilisant une méthode indépendante de la mesure directe de la température de l'océan.
(...) En comparaison, Keeling et Laure Resplandy, chercheuse à l’Environment Institute de l’Université de Princeton et co-auteur du rapport, calculaient la chaleur en fonction de la quantité d’oxygène et de gaz carbonique sortant de l’océan, (...)
Le gaz carbonique NE QUITTE PAS l'eau pour l'air car il se dissout dans l'eau. Il est transformé par le phytoplancton en nano-particules de carbone.
Les millions (milliards ?) de sources chaudes qui constituent le fond des bassins maritimes & océaniques émettent aussi du gaz carbonique (comme tous volcans terrestres), mais ce gaz mélangé à l'eau ne peut s'en échapper sous sa forme initiale.
Faut vraiment qu'elles soient bargeots pour ne pas comprendre d'où viennent les chaleurs maritimes & océaniques !
Greenwald: Le procureur du président du Parlement américain Assange pose "de graves menaces à la liberté de la presse"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 17/11/2018 - 17h40
La divulgation "accidentelle" de Julian Assange, fondateur de WikiLeaks, a été secrètement inculpée par le ministère de la Justice du district oriental de Virginie, qui a déclenché une tempête sur la liberté de la presse et la protection offerte aux journalistes par le Premier amendement.
À partir de 2010, le ministère de la Justice sous Obama a commencé à établir une distinction entre WikiLeaks et les autres organes de presse. L'ancien procureur général Eric Holder a insisté sur le fait que l'organisation d'Assange ne méritait pas les mêmes protections en première modification lors de l'affaire Chelsea Manning, dans laquelle l'ancien analyste du renseignement de l'armée avait été reconnu coupable par une cour martiale d'avoir divulgué des milliers de rapports de guerre afghans classifiés.
En fin de compte, l’administration précédente a conclu qu’elle ne pouvait pas engager de poursuites pénales contre Assange et WikiLeaks en raison de la protection offerte par le Premier amendement.
Il semble toutefois que le ministère de la justice Trump ait maintenant trouvé un moyen, éventuellement en vertu de la loi sur l'espionnage, de mettre en accusation Assange - une initiative qui aurait de nombreuses implications pour les journalistes et les organes de presse.
Glenn Greenwald de The Intercept, journaliste et auteur, a publié au journal The Guardian une série de reportages publiés par Edward Snowden, qui a divulgué des informations sur les programmes de surveillance mondiaux à partir de documents classifiés.
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Via l'interception
Glenn Greenwald | 16 novembre 2018
Comme l'a conclu le MJ Obama, les poursuites contre Julian Assange pour publication de documents font peser de graves menaces sur la liberté de la presse
LE DÉPARTEMENT DE JUSTICE TRUMP a révélé par inadvertance dans un dossier judiciaire qu'il avait inculpé Julian Assange dans un acte d'accusation scellé. La divulgation s’est produite par une erreur de couper-coller remarquablement amateur, dans laquelle des procureurs ont involontairement utilisé un langage secret tiré des accusations scellées d'Assange dans un document déposé dans une affaire non liée. Bien que le document ne spécifie pas quelles accusations ont été portées contre Assange, le Wall Street Journal a déclaré qu’elles «pourraient impliquer la Loi sur l’espionnage, qui criminalise la divulgation d’informations relatives à la défense nationale».
Au cours des deux dernières années, des journalistes et d'autres ont prétendu de manière mélodramatique que le gouvernement Trump avait porté atteinte à la liberté de la presse en raison d'actes insignifiants, tels que le président scandalait des insultes pour adolescents sur Twitter à Chuck Todd et Wolf Blitzer ou interdisait Jim Acosta des conférences de presse à la Maison Blanche. en raison de son refus d’arrêter quelques minutes de lissage afin de permettre à d’autres journalistes de poser des questions. Pendant ce temps, les menaces réelles et réelles à la liberté de la presse qui ont commencé avec le MJ Obama et se sont intensifiées avec le MJ Trump - telles que les tentatives agressives de fouiller et de poursuivre des sources - ont été largement ignorées, voire applaudies.
Mais poursuivre Assange et / ou WikiLeaks pour publication de documents classifiés serait dans un univers totalement différent de menaces à la liberté de la presse. Les reportages sur les actes secrets d'agents gouvernementaux ou d'acteurs financiers puissants - y compris en publiant des documents obtenus sans autorisation - sont au cœur du journalisme d'investigation. Des documents du Pentagone aux documents de Panama en passant par les déclarations de Snowden à la publication des déclarations de revenus de Trump sur les journaux de guerre d'Irak et d'Afghanistan, certains des plus importants journalisme de ces dernières décennies ont eu lieu car il est légal et constitutionnel de publier des documents secrets même si les sources de ces documents les ont obtenues par des moyens illicites, voire illégaux.
RépondreSupprimerLe DOJ Obama - malgré le lancement d'attaques notoirement agressives contre la liberté de la presse - a reconnu ce principe essentiel lorsqu'il s'agissait de WikiLeaks. Il a passé des années à chercher à savoir s'il pouvait accuser criminellement Assange et WikiLeaks d'avoir publié des informations classifiées. Il a finalement décidé de ne pas le faire et ne pouvait pas le faire, conformément à la garantie sur la liberté de la presse du Premier amendement. Après tout, a conclu le MJ Obama, une telle poursuite constituerait une grave menace pour la liberté de la presse car il n'y aurait aucun moyen de poursuivre Assange pour avoir publié des documents classifiés sans poursuivre également le New York Times, le Washington Post, le Guardian et d'autres pour exactement la même chose.
Comme le Washington Post l’a dit en 2013 quand il a expliqué la décision du MJ Obama de ne pas poursuivre Assange:
Les responsables de la justice ont déclaré qu'ils avaient beaucoup regardé Assange, mais avaient compris qu'ils avaient ce qu'ils décrivent comme un «problème du New York Times». Si le ministère de la Justice inculpait Assange, il devrait également poursuivre le New York Times et d'autres organes de presse et écrivains qui ont publié des accusations. matériel classifié, y compris le Washington Post et le journal britannique The Guardian.
L'année dernière, le MJ Trump sous Jeff Sessions et la CIA sous Mike Pompeo ont commencé de manière agressive en promettant de faire ce que le MJ Obama avait refusé de faire - à savoir poursuivre Assange pour avoir publié des documents classifiés. En tant que directeur de la CIA, Pompeo a prononcé l’un des discours les plus terrifiants et les plus opposants à la liberté de la presse entendus depuis des années. Il a déclaré: «Nous devons reconnaître que nous ne pouvons plus laisser à Assange et à ses collègues la latitude d’utiliser les valeurs de la liberté d’expression contre nous, "Ajoutant que WikiLeaks a" prétendu que les libertés du Premier Amendement des États-Unis les protègent de la justice ", mais:" ils l'ont peut-être cru, mais ils ont tort. "
Remarquablement, le discours du chef de la CIA et du membre du Congrès de longue date de la CIA, choisi depuis longtemps par Donald Trump, ressemblait (et ressemble encore) à la vision démocrate classique quand ils exhortaient l’administration Trump à poursuivre Assange en justice. Mais au moment du discours de Pompeo, le porte-parole du MJ Obama, Matt Miller, m'a insisté sur le fait que de telles promesses de poursuivre Assange étaient "creuses", car le Premier amendement interdirait de telles poursuites:
Mais la grande ironie est que beaucoup de démocrates vont se rallier au MJ Trump sur le MJ Obama. Leur mépris émotionnel et personnel à l’égard d’Assange - parce qu’il est persuadé qu’il a aidé à vaincre Hillary Clinton: le crime le plus grave - l'emporte largement sur les inquiétudes relatives aux menaces que les tentatives de l'administration Trump pour criminaliser la publication de documents font peser sur la liberté de la presse.
RépondreSupprimerCela reflète l'ironie plus large de l'ère Trump pour les démocrates. Alors qu'ils prétendent trouver l'autodératisme et les attaques contre la liberté de la presse de l'administration Trump si répugnants, ils utilisent l'autre côté de la bouche pour imiter la mentalité autoritaire de Jeff Sessions et de Mike Pompeo que toute personne ayant publié des documents préjudiciables à Hillary ou qui ont été jugés "classifiés" par le gouvernement américain devraient aller en prison.
Pendant les années Obama, l'idée qu'Assange pouvait être poursuivi pour publication de documents était considérée comme si extrême et si dangereuse que même les médias centristes qui le méprisaient sonnaient l'alarme sur la dangerosité d'une telle poursuite. La page éditoriale du Washington Post, en faveur de la sécurité et de la sécurité, publiée en 2010 sous le titre «Ne faites pas payer les WikiLeaks», a averti:
De telles poursuites sont une mauvaise idée. Le gouvernement n'a pas à inculper quelqu'un qui n'est pas un espion et qui n'est pas légalement tenu de garder ses secrets. Cela criminaliserait l'échange d'informations et mettrait en péril les organisations de médias responsables qui vérifient et vérifient les documents et prennent au sérieux la protection des sources et des méthodes lorsque des vies ou la sécurité nationale sont mises en danger.
Contrairement aux démocrates, les républicains ont été assez cohérents quant à leur désir de voir poursuivre WikiLeaks. Comme le notait Newsweek en 2011: «Sarah Palin a exhorté M. Assange à être poursuivi« avec la même urgence que ses dirigeants Al-Qaïda et les dirigeants talibans », et William Kristol, du Weekly Standard, veut que les États-Unis utilisent« nos divers actifs pour harceler, arracher ou neutraliser Julian Assange et ses collaborateurs. '' Certains faucons démocrates, tels que Joe Lieberman et Dianne Feinstein, se sont associés à Palin et Kristol pour demander des poursuites contre WikiLeaks, mais le large consensus qui se dégageait de Democratica et des cercles libéraux était que cela était beaucoup trop dangereux pour la presse. libertés.
À la suite des révélations des registres de guerre d'Irak et d'Afghanistan en 2010, Donald Trump a lui-même déclaré à Brian Kilmade, de Fox and Friends, qu'il pensait qu'Assange méritait la "peine de mort" pour avoir publié ces documents (une sanction que Trump avait également défendue pour Edward Snowden 2013):
Qu'est-ce qui a changé depuis ce consensus de l'ère Obama ? Une seule chose: en 2016, WikiLeaks a publié des documents qui avaient un impact négatif sur les démocrates et la campagne Clinton plutôt que sur les guerres de l'ère Bush, donnant aux démocrates une volonté parfaite, voire un désir ardent, de hiérarchiser leur mépris personnel pour Assange par rapport aux principes de la liberté fondamentale de la presse, libertés civiles ou principes constitutionnels. C’est aussi simple et aussi ignoble que cela.
C’est cette mentalité autoritaire et autoritaire qui est sur le point de mettre les démocrates de toutes sortes au lit avec la faction la plus extrémiste et la plus dangereuse de Trump alors qu’ils s’unissent pour créer des précédents en vertu desquels la publication d’informations - longtemps sacro-sainte par quiconque se soucie de la presse libertés - peuvent maintenant être légalement punis.
RépondreSupprimerRappelons que la DNC elle-même poursuit actuellement WikiLeaks et Assange pour avoir publié les courriels DNC et Podesta qu’ils ont reçus: des courriels jugés dignes de l'actualité par littéralement tous les principaux médias, qui les rapportaient sans relâche. Jusqu'à présent, les poursuites pénales engagées contre Assange par le ministère de la Justice (Trump) contre Assange avaient été jugées comme la plus grande menace à l'époque de la liberté de la presse pour la société de presse, car elle visait à rendre la publication de documents, qui est au cœur du journalisme, légalement punissables. Les tentatives du MJ Trump de criminaliser ces actes ne sont que la prochaine étape logique de cette transformation en une attaque à grande échelle contre les droits fondamentaux de la presse.
LES ARGUMENTS JUSTIFIANT les poursuites d’Assange par l’administration Trump sont fondés sur une combinaison d’ignorance juridique, de mensonges factuels et d’autoritarisme dangereux.
L'idée fausse la plus répandue est que contrairement au New York Times et au Washington Post, WikiLeaks peut être légitimement poursuivi pour avoir publié des informations confidentielles, car il ne s'agit pas d'un «média d'information légitime». Les démocrates qui avancent cet argument ne semblent pas se soucier de l'exactitude de cette information. le point de vue rejeté comme intenable par le MJ Obama.
Pour commencer, la garantie sur la liberté de la presse du Premier amendement ne se limite pas aux «organes de presse légitimes» - peu importe ce que cela pourrait vouloir dire. Le Premier amendement ne concerne pas seulement une catégorie de personnes autorisée à exercer la profession de «journaliste». Il protège non pas un groupe de privilégiés appelé «journalistes professionnels», mais plutôt une activité: utiliser la presse (qui à l'époque de la La promulgation de First Amendment signifiait la presse à imprimer littérale) pour informer le public de ce que le gouvernement faisait. Tout le monde a également droit à cette protection constitutionnelle: rien ne permet de justifier pourquoi le Guardian, les ex-fonctionnaires du MJ devenus transformés en blogueurs, ou Marcy Wheeler sont libres de publier des informations classifiées, contrairement à Julian Assange et WikiLeaks.
Au-delà de cela, WikiLeaks est depuis longtemps reconnu dans le monde entier comme un débouché journalistique essentiel. Ils ont remporté des prix prestigieux en journalisme, notamment le prix Martha Gellhorn pour l’excellence en journalisme, ainsi que le prix du meilleur journalisme en Australie. Au-delà de cela, il a collaboré avec les principaux journaux de la planète, dont le New York Times, le Guardian, El Pais et d'autres, pour publier certaines des histoires les plus importantes de ces dernières décennies. Il n'est pas nécessaire d'être un «débouché journalistique légitime» pour bénéficier des protections du Premier Amendement relatives à la liberté de la presse, mais même si c'était le cas, WikiLeaks possède depuis longtemps tous les indices d'un média.
Il y a ensuite l’affirmation selon laquelle WikiLeaks fait plus que publier des documents: il aide ses sources à les voler. C’est ce qu’affirmait hier soir John Sipher, ancien agent de la CIA, qui tentait de justifier les actes du MJ Trump en réponse aux préoccupations d’un journaliste au sujet des menaces à la liberté de la presse que cela poserait:
Ce que dit Sipher dit qu'il y a une fabrication complète. Lorsque le DOJ Obama a envisagé la possibilité de poursuivre Assange en justice, c'est la théorie qu'il a testée qu'elle pourrait peut-être prouver que WikiLeaks n'a pas simplement reçu passivement les documents de Chelsea Manning, mais a collaboré avec elle sur la manière de les voler.
RépondreSupprimerMais le MJ Obama a conclu que cette théorie ne justifierait pas les poursuites car, contrairement au mensonge de Sipher, il n'y avait absolument aucune preuve qu'Assange aurait collaboré avec Manning pour voler les documents. Comme le dit la poste: "Les responsables ont déclaré que, bien qu'Assange ait publié des documents classifiés, il ne les a pas divulgués, ce qui, selon eux, affecte considérablement leur analyse juridique."
Il en va de même pour la publication par WikiLeaks des e-mails DNC et Podesta. Personne n'a jamais présenté la moindre preuve de ce que WikiLeaks avait travaillé sur le piratage de ces courriels. Il n’existe aucune preuve que WikiLeaks ait jamais fait autre chose que de recevoir passivement des documents volés d’une source puis de les publier - exactement comme le New York Times l’a fait lorsqu’il a reçu les Pentagon volés volés, et exactement comme le Guardian et le Washington Post l’ont fait. reçu les documents Snowden.
De plus, les journalistes reçoivent souvent plus que passivement des informations, mais travaillent souvent avec des sources avant la publication d'articles: les encourageant, les cajolant et les persuadant de fournir davantage d'informations. Accepter la thèse selon laquelle un journaliste peut être poursuivi pour avoir fait plus que recevoir passivement des informations - ce que personne n'a encore prouvé avec Assange - risquerait lui-même de criminaliser des aspects fondamentaux du journalisme.
Il y a ensuite l’affirmation selon laquelle WikiLeaks a en quelque sorte cessé d’être un véritable débouché pour les journalistes, car il s’agissait d’aider une des campagnes présidentielles au détriment de l’autre. Ceci est juste une autre version du faux argument selon lequel seuls les «vrais journalistes» - peu importe ce que cela peut vouloir dire, quel que soit le choix qui en découle - ont le droit d'utiliser une presse gratuite pour diffuser des informations. Cette revendication est une pure ignorance juridique.
Mais supposons, pour l’argumentation, qu’il est vrai que WikiLeaks a agi pour aider la campagne Trump et devrait donc être exclu des protections du Premier Amendement. Pour voir à quel point cet argument est pernicieux, regardez comment il a été récemment exprimé par Ryan Goodman, ancien responsable du Pentagone, et Bob Bauer, conseiller du Conseil de l'administration Obama, en justifiant la poursuite de WikiLeaks:
Il ressort clairement des révélations d’un critique interne de WikiLeaks et d’autres documents que Julian Assange a visé Hillary Clinton et a cherché à collaborer avec la campagne Trump et les Russes pour assurer sa défaite. Ce n’est pas une «fonction de presse légitime». Et l’association du plan d’attaque de la campagne de Wikileaks avec l’activité journalistique standard amoindrit les distinctions essentielles pour la protection de la presse libre.
Juste réfléchir aux implications de cette définition incroyablement restrictive du journalisme. Cela signifierait que tous les médias favorisant un candidat ou un parti politique au détriment d'un autre ne sont pas engagés dans des «fonctions de presse légitimes» et ne bénéficient donc pas des protections prévues par le Premier amendement.
Quelqu'un sur la planète doute-t-il que des médias tels que MSNBC et Vox favorisent le parti démocrate au détriment du parti républicain et que les personnes qu'ils emploient en tant que journalistes ont passé tout ce qu'ils pouvaient pour aider les démocrates à gagner et les républicains à perdre? Quelqu'un doute-t-il que les journalistes de MSNBC et de Vox ont passé l'année 2016 à faire tout ce qui était en leur pouvoir pour aider Hillary Clinton à remporter la victoire et Donald Trump à perdre? Aucune personne ayant la plus infime honnêteté intellectuelle ne pourrait nier l’avoir fait.
RépondreSupprimerCela signifie-t-il que Rachel Maddow et Ezra Klein - en vertu de l'avantage d'un parti politique sur l'autre - ne sont pas de véritables journalistes, qu'ils ne sont pas engagés dans des "fonctions de presse légitimes" et ne bénéficient donc pas des protections du Premier Amendement, ce qui signifie qu'ils peuvent être poursuivis par le MJ Trump sans avoir la possibilité de revendiquer les droits d'une presse libre? Énoncer cette proposition, c'est illustrer les impulsions tyranniques qui la sous-tendent. Comme Marcy Wheeler, autrement sympathique aux arguments avancés par l'article de Goodman / Bauer, le dit:
Comme Dan Froomkin a écrit en réponse à cet article, il trouve certaines des actions d'Assange «méprisables» et «abhorrant la publication inattendue et insouciante des courriels qui ne méritent pas d'être publiés et qui sont blessants» (j'ai exprimé des opinions extrêmement critiques sur WikiLeaks décisions de publication). Mais Froomkin reconnaît néanmoins que "Assange reste un journaliste" et que "à l'époque de Trump, lorsque le président des États-Unis se servait de son bureau pour attaquer des journalistes et le journalisme lui-même, le Premier amendement est un rempart essentiel de la liberté". les gens qui se soucient de la liberté de la presse - plutôt que de prétendre s'en soucier quand cela convient à leurs intérêts politiques du moment - raisonneront.
Mais c’est exactement le but. Ni les factions les plus autoritaires de l'administration Trump derrière cette poursuite, ni leurs alliés bizarres et tout aussi tyranniques du parti démocrate ne se soucient le moins du monde de la liberté de la presse. Ils ne se soucient que d’une chose: mettre Julian Assange derrière les barreaux, car (dans le cas des responsables de Trump) il a révélé des crimes de guerre américains et parce que (dans le cas des démocrates), il a révélé la corruption aux plus hauts niveaux de la DNC qui a forcé la démission des cinq plus hauts responsables du parti démocrate et a porté atteinte à la réputation politique des démocrates.
Ils sont prêts à créer un précédent qui criminaliserait la fonction essentielle du journalisme d’investigation, car même s’ils ont passé deux ans à dénoncer de manière effrénée les "attaques les plus insignifiantes contre la liberté de la presse", ils ne se soucient pas du tout de cette valeur. Ils veulent protéger uniquement le journalisme qui défend leurs intérêts politiques, tout en laissant derrière les barreaux des personnes qui publient des informations qui sapent leurs intérêts politiques. C’est cette mentalité autoritaire et nocive qui a uni les pires éléments de l’administration Trump et du Parti démocrate qui prétend trouver des actions tyranniques répréhensibles, mais qui sont souvent les leaders pour les défendre.
Nous comptons sur l’aide de lecteurs comme vous pour que notre salle de presse à but non lucratif reste forte et indépendante. Rejoignez-nous
https://www.zerohedge.com/news/2018-11-17/greenwald-doj-prosecution-julian-assange-poses-grave-threats-press-freedom
Les ch'tis d'Allah : le gang de Roubaix
RépondreSupprimerLe Monde
ven., 20 juin 2014 09:58 UTC
Cela pourrait n'être que l'histoire passionnante, édifiante de Christophe Caze et Lionel Dumont, qui trouvent dans l'islam et la guerre sainte une raison de vivre, une exaltation, un rôle que ne leur accorde pas la société. Cela pourrait n'être que l'histoire de deux jeunes garçons un peu paumés, pas à leur place, enrôlés dans un conflit - celui de l'ex-Yougoslavie - qui n'est pas vraiment le leur, et qui finissent pathétiquement à la tête d'un gang qui sèmera la terreur dans le nord de la France... Mais à travers le parcours des deux « Ch'tis d'Allah », c'est aussi une autre histoire que nous rappelle le réalisateur de ce documentaire (déjà diffusé sur France 3 en 2012), Olivier Pighetti : le récit d'un conflit particulièrement meurtrier au cœur de l'Europe.
Mais à travers le parcours des deux « Ch'tis d'Allah », c'est aussi une autre histoire que nous rappelle le réalisateur de ce documentaire (déjà diffusé sur France 3 en 2012), Olivier Pighetti : le récit d'un conflit particulièrement meurtrier au cœur de l'Europe.
MOUDJAHIDIN AFGHANS
Christophe Caze et Lionel Dumont rejoignent l'armée bosniaque pour combattre aux côtés de leurs frères de religion. Ils vont se rencontrer dans une brigade composée essentiellement de moudjahidin afghans qui ont combattu et fait plier l'Armée rouge, dans une autre guerre. Des fanatiques dont l'objectif n'est pas l'indépendance de la Bosnie, contrairement à l'armée régulière, mais bien l'islamisation du pays, puis celle de l'Europe tout entière. Très cruels - attention, beaucoup d'images de ce film sont difficiles à voir -, ces moudjahidin se retrouvent même en porte-à-faux avec l'armée bosniaque. A leur contact, les deux Français vont en tout cas se radicaliser.
De retour en France après la fin de ce conflit, ils tentent de récolter des fonds afin d'importer le djihad dans l'Hexagone... Avec d'autres Français convertis à l'islam, ils fondent le Gang de Roubaix, qui s'illustrera dans des attaques très violentes de fourgons blindés ou de magasins. Christophe Caze trouvera finalement la mort, abattu par la police belge. Lionel Dumont, lui, arrêté en Bosnie en 2003, trahi par un ancien gradé de sa brigade, purge depuis 2007 une longue peine à la prison de la Santé, à Paris.
- voir clip sur site:
https://fr.sott.net/article/33137-Les-ch-tis-d-Allah-le-gang-de-Roubaix
SA et Vic à haut risque de pannes d'électricité cet été
RépondreSupprimerMême l'AEMO prévient des pannes de courant, car la BoM prévoit des conditions chaudes et sèches. El Nino sur le chemin, et j'entends des rumeurs selon lesquelles les niveaux de Snowy Hydro Dam ne sont pas géniaux.
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Selon un rapport d'AEMO, il y aura des pannes de courant cet été si rien n'est fait
Stéphanie Dalzell, ABC News
Selon le dernier rapport de l'Australian Energy Market Operator (AEMO), Victoria et l'Australie-Méridionale risquent fort de faire des coupures de courant cet été si aucune mesure n'est prise.
Pas assez d'approvisionnement? Mettez un autre million de dollars sur le barbecue:
Pour empêcher cela, l'AEMO a constitué des réserves d'énergie d'urgence, qui ne sont généralement pas disponibles sur le marché et ne sont accessibles que lorsque l'offre ne répond pas à la demande.
Ces réserves d'urgence - également appelées ressources RERT (Reliability et Emergency Reserve Trader) - ne sont pas bon marché.
C’est seulement de l’argent:
Le rapport indique que l’été dernier, l’énergie d’urgence a coûté près de 52 millions de dollars aux contribuables de Victoria et de l’Australie méridionale.
Cela équivaut à une moyenne de 6 $ de plus par facture de ménage.
Ce n'est rien. La vague de chaleur de deux jours de janvier dernier a coûté 400 millions de dollars - 45 $ par personne à Victoria et 70 $ chacun en Afrique du Sud. Ce ne sont que deux jours d’électricité. Les familles devaient trouver 200 $ pour payer deux jours d'électricité. C’est une urgence.
Quand est la capacité, pas la capacité?
Andrew White, de The Australian, explique qu’une partie de la situation d’urgence tient au fait qu’un générateur thermique vient de dire à l’AEMO que 240 MW ne seront pas disponibles comme prévu pour l’été.
La demande de réserves a été accrue cette saison par la perte de 240 mégawatts de production thermique que ses propriétaires ont dit à l'opérateur du marché ne seront pas disponibles pour faire face à des pics de demande à court terme ou à une perte de production ailleurs sur le marché national de l'électricité.
L’opérateur australien du marché de l’énergie cherche à obtenir jusqu’à 930 MW d’énergie de réserve pour renforcer le NEM pendant un été plus chaud et sec et une saison de feu de brousse anticipée.
L'ensemble du réseau national australien NEM a une capacité de production de 55 000 MW. Mais une pénurie de 240 MW crée une urgence. Quelque chose ne s’ajoute pas ici…
Et si 5 000 MW de capacité éolienne ou solaire n'étaient pas disponibles demain? Ce n’est pas une urgence, c’est comme d’habitude. Chaque jour, nous payons pour la réserve de secours, de peur que les générateurs éoliens et solaires ne prennent leur congé.
RépondreSupprimerLes mesures d’urgence comprennent ... "rappelant les centrales à gaz mises hors service en Tasmanie, dans le Queensland et en Afrique du Sud, les générateurs diesel et les" mesures de réaction à la demande "qui paient les utilisateurs pour qu’ils coupent leur courant."
Que faisons-nous lorsque les énergies renouvelables sont source d'instabilité et de flambée des prix - ajoutez plus:
Toutefois, l'exploitant du système a déclaré qu'une plus grande capacité de production et de stockage de l'énergie entrerait sur le marché à temps pour l'été. Pas moins de 2100 MW de nouvelles capacités énergétiques - principalement issues de la production éolienne et solaire - seront ajoutés au réseau d’ici décembre.
Encore 2GW d'énergies renouvelables à venir le mois prochain. Juste ce dont nous avons besoin!
Le plan de préparation à l'été de l'AEMO est ici.
Pourtant, ce n’est pas comme si il n’y avait que 12 jours jusqu’à l’été….
http://joannenova.com.au/2018/11/sa-and-vic-at-high-risk-of-blackouts-this-summer/
L'été en Australie c'est pour le 21 Décembre.
Supprimerhttps://www.ventusky.com
Rumeur, je dis bien rumeur, d'un déploiement militaire en sol américain au cours des prochaines heures ou prochains jours
RépondreSupprimersamedi 17 novembre 2018
https://www.youtube.com/watch?time_continue=227&v=9eutpwdJRBI
J'ai visionné la vidéo de Marfoogle News plus tôt aujourd'hui, un youtuber américain qui a son podcast et qui reçoit des appels lors de ses diffusions. Il a été contacté le 15 novembre lors de son émission en direct par un homme qui se dit sergent d'état-major. L'homme, qui prétend s'appeler Jim, dit avoir reçu un ordre de déploiement le 14 novembre, avec un délai de 72 heures, alors qu'il se trouve en congé parental. Il dit que le rappel d'un membre des Forces armées qui est en congé de maladie ou en congé parental est extrêmement rare puisque ce sont des conditions qui sont respectées dans l'armée. Il n'a reçu que très peu de détails sur la raison de son rappel, sauf quelques bribes d'informations provenant de ses contacts qui lui ont dit que le déploiement implique une opération domestique, soit en sol américain, et que le lieu concerné serait le nord du Texas. Il termine la discussion, d'une voix chevrotante, en disant qu'il se prépare au pire.
Marfoogle a obtenu, par un autre membre de l'armée qui l'a contacté, une prétendue copie de l'ordre de déploiement provenant du Département de l'Armée reçue via le Army Knowledge Online (AKO) (voir à 7:13). Cet ordre indique que le soldat est appelé pour le 16 novembre à se rendre à la base militaire de Lubbock au Texas pour une durée indéterminée, mais de moins de 12 mois. La seule indication concernant le déploiement est ceci: support à l'opération Hot Musket.
Je ne sais pas quoi penser de tout ça, mais si cet ordre de déploiement est véritable, c'est forcément pour un événement majeur: désordres à la frontière par la caravane de migrants ? Invasion par des cartels et autres groupes armés ? Dans tous les cas, je me garde informée!
Je n'ai pu m'empêcher de faire des liens avec l'opération Jade Helm (menée en 2015) et quelques autres informations que j'ai publiées dans le passé.
Les exercices Jade Helm concernent, lit-on dans un document officiel du Commandement des opérations spéciales de l'Armée, des exercices de "guerre non-conventionnelle" dans les États du Texas, du Nouveau-Mexique, Arizona, Californie, Nevada, Utah et du Colorado. Les États du Texas, de l'Utah et une portion de la Californie sont identifiés, dans ce même document, comme des territoires hostiles où sont logés des "poches de résistance".
https://fr.scribd.com/doc/258605525/Jade-Helm-Martial-Law-WW3-Prep-Document-1
Sur le site des Forces armées canadiennes, on peut lire qu'une "guerre non-conventionnelle" est "un nouveau paradigme de sécurité dans lequel les soulèvements ne sont pas « des conflits discrets entre des insurgés et un régime établi, mais des confrontations complexes et multidimensionnelles à caractère politique, social, culturel et économique" .
"Jade Helm 15": Préparation à une invasion mexicaine financée par la Russie ? (ne vous arrêtez pas au titre !)
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2015/03/jade-helm-15-preparation-une-invasion.html
Judical Watch a publié un article le 14 avril dernier où on peut lire qu'un accord existe entre l'État islamique (ISIS) et divers cartels de la drogue pour installer deux bases du groupe djihadiste au Mexique (au moins deux camps)
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2015/04/judical-watch-publie-un-article-le-14.html
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2018/11/rumeur-je-dis-bien-rumeur-dun.html
Le maire de Tijuana demande au gouvernement fédéral d'expulser les migrants provenant d'Amérique centrale
RépondreSupprimersamedi 17 novembre 2018
Est-ce que les Mexicains sont un peuple raciste qui refuse d'aider son prochain ? Bien sûr que non. Mais ils se sentent clairement envahis et menacés par cette marée de migrants à l'intérieur de laquelle un groupe d'individus se comportent comme des sauvages. Des journalistes sur le terrain affirment que certains d'entre eux s'en prennent aux locaux pour exiger de la nourriture et des biens ou pour carrément les voler. Imaginez les pères et les mères de famille qui doivent craindre pour la sécurité de leurs enfants.
Je crois qu'il y a une certaine proportion d'individus de cette caravane qui souhaitent vraiment trouver une vie meilleure et qui sont prêts à suivre les règles exigées par le gouvernement américain pour intégrer la société américaine. Mais il ne s'agit que d'un groupe d'agitateurs au sein de la masse de migrants, déjà fragilisés physiquement et psychologiquement, pour déclencher les hostilités envers les citoyens locaux et les autorités. Si en plus ils sont expulsés, s'ils ne voient aucune issue malgré tout le chemin parcouru, s'ils se sentent pris comme des rats, le pire de l'être humain va resurgir et ça risque de dégénérer des deux côtés de la frontière.
Le président de la municipalité de Tijuana, Juan Manuel Gastélum, a déclaré jeudi qu'il demanderait au gouvernement fédéral l'expulsion des milliers de migrants centraméricains arrivés dans la ville ces derniers jours à la recherche d'un asile aux États-Unis, affirmant qu'ils font partie des "mariguanos" (fumeurs de cannabis ?) et qu'ils attaquent les locaux. Les migrants, dit-il, arrivent de façon agressive et grossière et qu'ils défient l'autorité.
Par conséquent, il demandera au ministère de l'Intérieur "d'appliquer l'article 33 de la Constitution" qui régit le séjour des étrangers dans le pays et note que le pouvoir exécutif peut "expulser les ressortissants étrangers sur la base de la loi."
Source:
http://3d3noticias.com/mexico/alcalde-de-tijuana-pide-al-gobierno-federal-expulsar-a-migrantes-centroamericanos/
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2018/11/le-maire-de-tijuana-demande-au.html
RépondreSupprimerGeoengineering Watch Global Alert News, November 17, 2018, #171 ( Dane W...
SATURDAY, NOVEMBER 17, 2018
Chemtrails: (voir clip sur site)
http://newresearchfindingstwo.blogspot.com/2018/11/geoengineering-watch-global-alert-news_17.html
EFFETS NUISIBLES SUR LA SANTE DES RAYONNEMENTS ÉLECTROMAGNÉTIQUES
RépondreSupprimerEffets de la FEM sur la santé
SAMEDI 17 NOVEMBRE 2018
Donc, si vous avez regardé cette vidéo, vous savez qu'il y a quelque chose à craindre concernant la FEM.
Quels sont ces dangers potentiels pour la santé ? Eh bien, commençons par parler de certaines des maladies qui, selon certaines études, peuvent être causées par un rayonnement électromagnétique:
Asthme. Une étude en Californie a suivi 626 enfants pendant 13 ans. Elle a constaté que les champs magnétiques supérieurs à 0,3 mG (moyenne) pendant la grossesse augmentaient le risque de contracter l’asthme à l’âge de 13 ans. Une relation dose-réponse claire a été trouvée. Pour chaque augmentation de 1mG de CEM, il y avait une augmentation de 15 % du taux d'asthme chez les enfants.
Cela signifie, par exemple, que les enfants de mères dont l'exposition moyenne était de 2mG pendant la grossesse étaient 3,5 fois plus susceptibles de souffrir d'asthme pendant l'enfance. Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine - Août 2011.
Cancer des glandes salivaires. Une étude israélienne indique que les personnes qui utilisaient un téléphone portable 22 heures par mois ou plus étaient 50 % plus susceptibles de développer un cancer de la glande parotide que celles qui utilisaient un téléphone cellulaire rarement ou jamais. Santé24 le 19 février 2008.
Tumeur au cerveau. Une analyse de plusieurs études antérieures a conclu que l'utilisation du téléphone cellulaire sur 10 ans augmente le risque de contracter certains types de tumeurs au cerveau (2,4 fois pour le neurome acoustique et 2 fois pour les gliomes). Pubmed - septembre 2007
Cancer lymphatique et cancer de la moelle osseuse. Des chercheurs de l’Université de Tasmanie et de l’Université de Bristol ont étudié les dossiers de 850 patients atteints d’un cancer de la lymphatique et de la moelle osseuse. Ils ont conclu que les personnes vivant à moins de 300 mètres d'une ligne à haute tension pendant de longues périodes (en particulier dans l'enfance) étaient jusqu'à cinq fois plus susceptibles de développer ces maladies plus tard dans la vie. (Internal Medicine Journal, septembre 2007.) Physorg.com, 24 août 2007.
Fausse couche. Des chercheurs californiens ont découvert que les champs électromagnétiques générés par des appareils électriques (tels que des aspirateurs domestiques, des sèche-cheveux et des mixeurs d'aliments) pourraient augmenter considérablement le risque de fausse couche. New Scientist, janvier 2002.
Suicide. Des chercheurs américains ont découvert que le taux de suicide chez 5 000 travailleurs des services d’électricité exposés à des CEM extrêmement basses était le double de celui d’un groupe témoin de même taille. L'effet était particulièrement visible chez les jeunes travailleurs. (Journal de médecine du travail et de l'environnement, 15 mars 2000) .UNC.EDU / news / archives March 2000.
Ce sont quelques-uns des effets les plus graves connus des CEM. De nombreux autres effets ont été rapportés. Cependant, d'autres peuvent être actuellement inconnus, non confirmés ou non déclarés.
RÉSUMÉ DES EFFETS ÉLECTROMAGNÉTIQUES SUR LA SANTÉ
RépondreSupprimerMaladies mettant la vie en danger
La maladie d'Alzheimer
Cancer du cerveau (adulte et enfant)
Cancer du sein (homme et femme)
Dépression (menant également au suicide)
Maladie cardiaque
Leucémie (adulte et enfant)
Fausse couche
Autres conditions et symptômes
Les allergies
Asthme
Autisme
Pression artérielle (élevée)
Difficultés de concentration
Dépression
Électro-sensibilité
Fatigue
Infections fréquentes
Maux de tête
Changements hormonaux
Système immunitaire endommagé
Dégâts nerveux
Trouble du sommeil
Problèmes de peau
Anomalies du sperme
Acouphènes
Cette liste est loin d'être complète. C’est parce que nous réagissons tous différemment au stress des CEM.
- voir clip sur site -
Si vous avez le temps (15 minutes), regardez cette présentation vidéo du Dr Magda Havas qui montre non seulement les effets néfastes des CEM, mais également des utilisations bénéfiques et curatives pour certaines fréquences électromagnétiques spécifiques.
Effets sur la santé de la tour cellulaire
Une étude d'enquête utilisant un questionnaire a été réalisée en 2002 par Roger Santini (SeePubmed). Le questionnaire a été envoyé à 530 personnes vivant à proximité de tours de téléphonie cellulaire (stations de base pour téléphones portables).
Les personnes qui affirmaient vivre plus près d'une tour de téléphonie se plaignaient beaucoup plus souvent - pour tout un éventail de problèmes de santé - que celles qui vivaient plus loin. Voici un graphique montrant ces résultats - que je ne trouve malheureusement plus en ligne, mais l'étude est disponible sur Pubmed. Cette image telle que présentée ici est un peu difficile à déchiffrer, mais je pense que vous en comprendrez l'essentiel.
Effets sur la santé de la tour cellulaire
Tour de cellule causant des problèmes de santé
[Partage Social/]
L'information donne du pouvoir ! Partageons-le !
Ce type de «science» est-il trop fragile pour être pris au sérieux par les organisations gouvernementales? Je parle des autorités qui publient de longs rapports concluant qu’il n’existe pas d’éléments fiables suffisants pour déduire des effets concrets sur la santé des niveaux d’exposition actuels aux CEM.
Personnellement, je trouve cette étude suffisamment convaincante pour nous recommander de réduire notre exposition aux champs électromagnétiques à fréquences radioélectriques pulsées, même s’il n’y avait pas d’autres preuves. Qu'est-ce que tu penses ?
Etude Bamberg
Cette étude de Santini n’était pas la première fois que ce type de preuve était publié. En 2005, un groupe de médecins allemands a analysé les plaintes de 356 patients sur la base de l'exposition à long terme aux CEM de chaque patient. (J'aimerais savoir comment ils ont déterminé ça.)
Ils ont constaté que plus son exposition aux CEM était élevée, plus le patient serait susceptible de présenter un large éventail de problèmes médicaux, allant de problèmes mineurs (même si les problèmes de santé ne sont jamais vraiment mineurs) à des maladies majeures - telles que troubles du rythme cardiaque, tumeurs, etc. diabète et hypertension. Leur rapport conclut:
RépondreSupprimer«Ceci est une preuve supplémentaire pour soutenir les effets néfastes potentiels sur la santé qui pourraient être synonymes de la technologie à micro-ondes pulsées qui nous entoure dans la vie quotidienne. Les membres du corps médical commencent à exprimer leurs préoccupations et il convient de garder à l'esprit qu'ils ont une expérience directe de personnes réelles confrontées à de vrais problèmes. Il est important de ne pas écarter ces preuves en raison d'un manque de contrôle expérimental, car il semble qu'un certain nombre de professionnels qualifiés ont indépendamment constaté les mêmes tendances. À tout le moins, cela devrait nécessiter une recherche plus organisée sur ces résultats ». (Voir document PDF).
Si de petits groupes de personnes aux ressources très limitées peuvent rassembler ce type de preuves, pourquoi les grandes organisations ne peuvent-elles pas mener des recherches similaires, mais de manière plus rigoureuse et à une échelle beaucoup plus grande ?
À qui pouvons-nous faire confiance ?
Mais à qui pourrions-nous faire confiance pour examiner cette question de manière objective? Toute organisation intéressée par ce domaine et disposant des fonds nécessaires bénéficie déjà du déploiement généralisé de cette technologie. Donc, ne vous laissez pas prendre par leurs assurances. Gardez plutôt l'esprit ouvert jusqu'à ce que les preuves sur les effets des CEM sur la santé satisfassent tout le monde. (Je crois que ce ne sera jamais le cas.)
Entre-temps, agissons avec prudence et supposons qu’il puisse y avoir un feu derrière toute cette fumée !
J'espère que vous pourrez toujours éviter les effets sur la santé liés aux CEM. Heureusement, il existe de nombreuses façons de réduire l'exposition électromagnétique pour vous-même, votre famille et vos proches.
Vous pouvez trouver ces articles utiles:
Risques pour la santé de la tour cellulaire
Lignes électriques et sous-stations
Conseils de protection EMF
Quels types de CEM sont nocifs
Téléphones portables
Compteurs intelligents
Qu'est-ce que la FEM vous fait
Comment mesurer les champs électromagnétiques
http://newresearchfindingstwo.blogspot.com/2018/11/harmful-health-effect-of.html
Selon un journaliste d'investigation qui s'est infiltré dans la caravane de migrants en route vers les États-Unis, il y a clairement un agenda politique derrière leur arrivée à la frontière américaine (les citoyens de la ville de Tijuana voient cette caravane comme une invasion et des confrontations ont lieu en ce moment)
RépondreSupprimersamedi 17 novembre 2018
Ami Horowitz, qui a fait plusieurs reportages alors qu'il se trouvait parmi les migrants, rapporte sur les ondes de Fox News que les démarches qui orientent la caravane sont non seulement organisées, mais extrêmement bien financées (nourriture, eau, médicaments). Il ne sait pas exactement de quels groupes provient cet argent, quoiqu'il nomme que George Soros a déjà été impliqué dans des programmes de migrants, mais il suppose que cette marée humaine cache des visées pas très nette.
Il dénonce les médias de masse qui tentent de faire croire qu'il s'agit de personnes composées de femmes et d'enfants qui fuient une situation de vie misérable pour tenter de trouver une vie meilleure, mais il insiste sur le fait que 90 à 95% des membres de la caravane sont des hommes.
https://www.youtube.com/watch?time_continue=149&v=TTwL78ADk7A
Des confrontations ont actuellement lieu dans la ville frontalière de Tijuana entre les migrants et les citoyens de la ville qui ne veulent pas d'eux et qui demandent leur expulsion.
https://www.youtube.com/watch?v=m9ZmpKWS0ZM
Plus de 2000 migrants de la caravane se trouvaient vendredi à Tijuana, à la frontière avec les États-Unis, au nord-ouest du Mexique, où le maire exige leur expulsion. Au cours des 3 prochains jours, ils seront 5000 personnes!
https://www.lapresse.ca/international/etats-unis/201811/16/01-5204480-caravane-2000-migrants-sont-arrives-a-tijuana.php
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2018/11/selon-un-journaliste-dinvestigation-qui.html
Pourquoi les États-Unis ont-ils acheté du gaz russe ?
RépondreSupprimer18:15 18.11.2018
Olga Lechtchenko
Trois méthaniers ont acheminé du gaz naturel liquéfié (GNL) produit en Russie vers les côtes américaines, depuis le lancement de Yamal LNG. Comment les États-Unis qui rivalisent avec la Russie sur le marché du gaz européen ont-ils pu l’admettre Et quel rôle ont joué des navires français dans cette histoire Décryptage.
Le gaz russe trace sa route vers les côtes américaines. La première cargaison produite au sein de l'usine, Yamal LNG, lancée fin 2017 dans l'Arctique russe, s'est amarrée à Boston fin janvier. Une deuxième beaucoup moins médiatisée, a suivi en février, mais voilà que cette semaine, Moscou a confirmé que les États-Unis se sont fait livrer au total trois méthaniers de gaz naturel liquéfié (GNL) issu du site de Yamal.
Ces molécules russes qui font voir rouge aux autorités US
Comment se fait-il que les États-Unis, prêts à tout pour conquérir le marché européen de gaz et y devancer la Russie, sont allés jusqu'à acheter du GNL à cette dernière? Encore en mars, Rick Perry, secrétaire américain à l'Énergie, se disait, devant le Sénat, «stupéfait par la présence de molécules russes dans un méthanier accosté à Boston alors que les États-Unis produisaient eux-mêmes des volumes importants du gaz».
«Ce n'est qu'en partie qu'on peut qualifier les États-Unis d'exportateur net de gaz. Selon leurs propres estimations, leurs exportations ont dépassé de 4 milliards de mètres cubes leurs importations en 2017. Pour comparer, le volume de la consommation aux États-Unis s'approche de 800 milliards de mètres cubes, ce qui permet d'évaluer si cet excédent est important», explique à Sputnik Alexandre Frolov, directeur adjoint de l'Institut russe de l'énergétique nationale.
Un coup du destin
C'est dans ce contexte, mais également avec un brin de hasard, que la main invisible du marché a poussé les États-Unis à se faire livrer un bon lot de «molécules russes» en janvier 2018.
«Ce méthanier qui avait été solennellement chargé en présence de Vladimir Poutine devait initialement mettre le cap sur la Chine», rappelle Igor Iouchkov, analyste de la Fondation pour la sécurité nationale énergétique, dans une interview accordée à Sputnik. Or, une panne de gazoduc entre la Norvège et le Royaume-Uni, survenue en plein hiver, ainsi que la flambée des prix qu'elle a entraînée, ont mis leur grain de sel dans ces projets. Le méthanier brise-glace Christophe de Margerie, avec du gaz produit à l'usine de Novatek, est parti du village arctique russe de Sabetta en direction de la blonde Albion. Au moment où le navire a pris la mer, le GNL à son bord a changé de propriétaire: dès lors, il appartenait à la société malaisienne Petronas.
Le GNL à bord du Christophe de Margerie est arrivé au Royaume-Uni avant de changer encore de propriétaire et passer aux mains du géant français Engie. «On aurait pu laisser le gaz là, mais une vague de froid a touché les États-Unis. La capacité de transit du gazoduc près de Boston s'est avérée insuffisante pour alimenter la ville et ses environs», explique Igor Iouchkov. «Engie a fait charger le gaz à bord d'un autre méthanier (le français Gaselys, ndlr), et il a pris la direction de Boston. C'était la toute première cargaison produite à Sabetta et elle est partie pour les États-Unis». Un marché qui devient d'autant plus curieux que le gaz est issu de l'usine de Novatek, société russe frappée par les sanctions américaines.
La législation américaine a joué un mauvais tour
RépondreSupprimerMais pourquoi les États-Unis, l'un des plus gros producteurs du GNL au monde, n'ont-ils pas pu satisfaire eux-mêmes leurs besoins? La réponse réside dans la législation du pays. «Une ancienne loi qui est toujours en vigueur veut que les cargaisons soient transportées entre les ports du pays uniquement par des navires construits et immatriculés aux États-Unis», poursuit Igor Iouchkov. Il ajoute que cette mesure visait initialement à soutenir la construction navale.
Or, la loi a joué un mauvais tour aux Américains. «Aucun méthanier n'a été produit aux États-Unis, tous étant d'origine étrangère. Ainsi, il est impossible de charger du GNL dans un port pour le transporter dans un autre à bord d'un navire étranger. Cela fait que les États-Unis sont contraints d'acheter le gaz à l'étranger et dans ce cas-là, le GNL russe a été assez attractif en termes de prix», ajoute l'analyste.
Il faudrait tout de même préciser que Rick Perry avait plutôt raison en évoquant des «molécules russes». «Qualifier de russe ce GNL n'est possible que du point de vue de ses origines, car on a vu changer à plusieurs reprises son propriétaire au cours du trajet», observe M.Iouchkov.
Qui plus est, le marché du gaz est régi avant tout par les lois de l'économie et la politique a du mal à s'en faire obéir.
«Les États ont très peu d'emprise sur le marché du gaz, il faut avant tout faire attention aux opérateurs qui y jouent», note Alexandre Frolov.
«Les politiques peuvent introduire des sanctions contre la Russie, contre ses sociétés, mais la communauté d'affaires va chercher à acheter du gaz avant tout à un prix compétitif», dit Igor Iouchkov. Et de conclure: «Si les Américains font des bénéfices et que cela n'est pas interdit par la loi, ils interagiront de leur plein gré avec les sociétés russes».
L'économie l'emporte donc sur la politique… Au moins, sur ce terrain.
https://fr.sputniknews.com/economie/201811181038950250-etats-unis-gaz-russe-gnl/
Qui ou quoi est vraiment responsable des énormes feux de forêt en Californie ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 18/11/2018 - 13:40
Écrit par Bruce Bialosky, op-ed via Townhall.com,
Une fois encore, devant l’échec de la «presse» à nous sensibiliser sur un problème, nous avons décidé de partir à la recherche de la vérité sur ce qui semble être l’augmentation significative des énormes incendies de forêt. Une fois que nous avons fait la recherche, nous avons découvert des différences majeures dans les faits par rapport aux aboiements aléatoires chez les HSH.
Commençons par cet aspect simple. Les incendies de forêt sont une chose normale. Souvent causés par la foudre ou d’autres causes naturelles, ils sont le moyen utilisé par Dieu pour défricher les forêts. Dans ces défrichements de forêts naturelles, la faune qui y habite est menacée ou son habitat est détruit. Ce qui a changé, c’est l’intervention de l’humanité dans le processus naturel. La question qui se pose est de savoir quels autres facteurs peuvent causer le changement d'intensité des récents incendies de forêt.
Nous sommes également venus armés d'une pensée. Si vous pensez que le réchauffement climatique rend la vie plus difficile pour la gestion des forêts, vous devez soutenir le défrichage adéquat des forêts. Sinon, nous aurons des incendies encore plus intenses.
Pour cette rubrique, outre la lecture de tout ce qui est disponible, nous nous sommes tournés vers deux sources: notre service national des forêts et l’Union of Concerned Scientists pour obtenir des perspectives différentes.
En parlant avec Chris French, chef adjoint du Service des forêts (FS) par intérim, nous avons reçu un aperçu de la situation actuelle des incendies de forêt.
Lorsqu'on lui a demandé quelle était, à son avis, la principale cause des incendies de forêt intenses, M. French a immédiatement répondu: «Les forêts sont surpeuplées. Il y a plus d’arbres qu’il ya 100 ans. »Il a ajouté que le bon travail du Service des forêts dans la lutte contre les incendies de forêt avait récemment contribué au problème. Cela signifiait toutefois que leur objectif était en grande partie orienté vers l’entretien des forêts, ce qui entraînait la formation des éléments qui alimentaient un feu, tels que broussailles, arbres morts ou plus de densité.
Les changements que souhaiteraient voir Chris French seraient un défrichement plus actif des forêts et des sous-bois. Il souhaite également faire plus de feux contrôlés lorsque les risques sont minimisés. Si vous vous demandez pourquoi ils ne le font pas maintenant, c'est à cause des contraintes budgétaires.
Quel ministère ne préconise pas l'ajout de fonds dans leur budget ? Dans ce cas, il peut vraiment y avoir une justification. En raison de l'excellent travail accompli par les FS, ils consacraient 85 % de leur budget à l'entretien des forêts et 15 % à la suppression des incendies.
Au cours des dernières années, lorsque les incendies de forêt sont devenus plus intenses, ils ont dépensé plus d'argent en répression et moins en dépollution, ce qui a entraîné un cercle vicieux: moins d'argent dépensé en dépollution. À ce stade, Chris French a déclaré qu’il était projeté que 60% de leur budget était consacré à la répression, ce qui laisse moins de dollars précieux pour le dédouanement. Les projets de loi budgétaires récents du Congrès ont augmenté le budget du Service forestier, fournissant ainsi un financement supplémentaire pour le déblaiement, espérant ainsi mettre fin au plus grand nombre d’incendies et réduire les dépenses consacrées à la suppression.
Pendant le déminage effectué par le Service forestier, French a déclaré qu'ils étaient contrôlés par une myriade de lois fédérales limitant leurs actions. Ces lois incluent, entre autres, la Loi sur l’air pur, la Loi sur la gestion des forêts naturelles, la Loi sur les espèces en voie de disparition et la Loi sur la politique environnementale nationale. Le Service forestier doit mettre les informations à la disposition du public avant qu’il n’effectue ses travaux de déminage. Ils ne sont pas toujours interrogés, mais très souvent, des groupes d'intérêts interviennent armés de dossiers juridiques pour arrêter le travail prévu.
RépondreSupprimerÀ l'heure actuelle, des groupes tentent d'empêcher l'adoption de certains aspects du projet de loi sur l'agriculture qui augmenteraient le financement du déboisement, car ils s'opposent à l'exploitation forestière, même s'il est clair qu'une grande partie des terres en question ont une densité trois fois plus importante.
Juste une pensée: si vous avez des préoccupations au sujet de la destruction de l’habitat naturel et si vous limitez ainsi le dégagement approprié des zones en question, que dites-vous de ce qui arrive à la forêt mal défrichée lors d’un incendie majeur lorsque l’habitat est détruit et la vie des animaux est-elle mise en danger ?
Un autre point soulevé par French concernait les risques plus élevés aujourd'hui.
Il a déclaré: "Les gens vivent plus près des endroits où se trouvent les dangers d'incendie, causant plus de dégâts et plus de pertes en vies humaines." Nous avons demandé si cela ressemblait à toutes les personnes vivant dans les plaines inondables aujourd'hui. Sa réponse: "Exactement."
Ce type d’incendie a un nouveau nom accrocheur - les incendies d’interface urbaine. The Forest Serviced définit l’interface entre zones sauvages et zones urbaines comme le lieu où «maisons et zones sauvages se rencontrent ou s’entremêlent». Comme Chris French l'a décrit, "les êtres humains et leur développement se rencontrent ou se mélangent avec du combustible forestier". Celles-ci étaient appelées zones d'incendie. J'habite dans l'un d'eux et nous devons faire une autorisation spéciale chaque année pour nous assurer que si un incendie se déclare, il y aura peu de carburant pour alimenter le feu. Ma vie s’est construite pendant soixante-dix ans. Cette nouvelle situation décrit les récents incendies en Californie, où des personnes se sont rendues plus loin dans ces régions pour se rendre chez elles.
Quelle est la responsabilité du gouvernement dans ces cas ? Peu de gens limiteraient le droit des gens de construire des maisons sur des propriétés privées. Moins de personnes suggéreraient que les autorités ne protègent pas ces personnes du danger en cas d'incendie, de coulée de boue ou si leur maison est emportée par les inondations. Beaucoup se demanderont si le gouvernement devrait encourir un risque financier pour aider les survivants à se reconstruire dans les zones en question. D'autres diraient que cela encourage simplement les comportements douteux.
Bien que nous puissions tous ressentir de la tristesse pour ceux qui ont perdu leur maison à la suite des incendies, beaucoup ont construit des maisons dans des zones qui présentent un danger inhérent pour être «à l’écart du brouhaha». Leur choix; leur risque. Construire une maison près d'une forêt et ne pas accepter l'incertitude du feu frôle la folie.
En traitant avec un groupe environnemental aujourd'hui, on prévoit qu'un point central sera le réchauffement planétaire / le changement climatique. En fait, l'article que j'ai tiré du site Web de l'Union of Concerned Scientists (UCS) s'intitule "Le réchauffement de la planète alimente-t-il les risques d'incendie ?" La colonne est un mélange d’avertissements sur la façon dont le réchauffement de la planète augmente le nombre d’incendies de forêt et l’encouragement à éliminer davantage de forêts. J'ai parlé à Rachel Cleetus, économiste principale et directrice des politiques du programme climat et énergie de l'UCS.
RépondreSupprimerMme Cleetus a brossé un tableau quelque peu différent. Elle a également transmis un rapport de 64 pages qu'elle a personnellement rédigé pour l'UCS à ce sujet. Elle était très consciente des nombreux facteurs en jeu et faisait écho à bon nombre des thèmes évoqués par le FS, notamment la nécessité de disposer d’un budget plus important, en particulier avec l’argent supplémentaire dépensé pour le déboisement.
Cleetus ne savait pas si l'organisation venait de soutenir les procédures que le FS avait préconisées ou préconisées. Elle a déclaré qu'ils ne participaient pas à empêcher le SF de faire son travail comme le font souvent d'autres intérêts.
Elle a toutefois précisé que le principal risque accru de grands incendies était le nombre accru de personnes vivant dans ces zones et la gestion (ou l’absence de gestion) de la forêt.
Que vous croyiez ou non au réchauffement de la planète / au changement climatique, il est évident que le service forestier doit maîtriser une gestion forestière appropriée pour réduire les risques d'incendies majeurs. Pour le moment, la seule façon de le faire est de consacrer plus de ressources au problème afin de mettre un terme à la spirale descendante de dépollution nécessaire pour enrayer / réduire au minimum le risque d'incendies majeurs.
Il est certain que les gouvernements fédéral et régionaux doivent préciser qu'ils n'assumeront aucune responsabilité en cas de perte financière si quelqu'un vit dans une zone d'incendie. Les citoyens doivent évaluer si la joie d'être dans ces zones vaut la peine d'être exposée à leurs biens et éventuellement à leur vie.
Une chose que nous savons avec certitude, c’est que les fausses accusations selon lesquelles tout cela est dû aux changements de facteurs environnementaux sont fausses. Bien que la NGC soit investie dans la question des changements climatiques, elle soutient qu’il existe d’autres facteurs tels que proposés par le FS.
Le changement climatique / le réchauffement climatique n'est pas la réponse à tout sur notre planète.
https://www.zerohedge.com/news/2018-11-18/who-or-what-really-responsible-huge-forest-fires-california
Si les humains n'étaient pas là il n'y aurait pas de forêt !
SupprimerPas de routes coupe-feu, pas de canaux pour irriguer les régions. Or, comme pour les problèmes d'immigration où des centaines de millions de personnes quittent des pays pour envahir et tuer celui d'accueil, la faute est aux Dirigeants de pacotille. Des dictateurs qui refusent de draguer les fleuves & rivières pour créer des inondations, des morts et des milliards de dégâts, des moins-que-rien qui refusent de déboiser des forêts pour que les incendies brûlent le maximum de personnes et de maisons, des nazies qui paient des criminels pour qu'ils se déplacent et terrorisent les populations !
"Les migrants sont des porcs": un membre de la caravane dit aux habitants de Tijuana "qu'ils nous traitent comme des animaux"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dimanche, 18/11/2018 - 13:00
Les habitants de Tijuana, au Mexique, ne sont pas trop gentils avec des milliers de membres d'une caravane de migrants - ils lancent des insultes, des pierres et même des coups de poing sur les Centraméricains arrivés par milliers dans le but de demander l'asile aux États-Unis, rapporte le journal. AP.
Ivis Muñoz, 26 ans, a envisagé de retourner au Honduras. Le cultivateur de café a appelé son père à Atima, au Honduras, samedi pour le consulter sur son prochain déménagement quelques jours après avoir été attaqué sur une plage par des habitants de Tijuana. Son père lui a dit de tenir le coup.
...
Munoz était endormi sur une plage de Tijuana avec environ deux douzaines d'autres migrants lorsque des rochers se sont abattus sur eux vers 2 heures mercredi. Il a entendu un homme crier dans l’obscurité: «Nous ne voulons pas de vous ici ! Rentrez dans votre pays ! »Munoz et les autres se sont levés et ont cherché refuge, se dirigeant vers les rues résidentielles voisines. Quand le soleil s'est levé, ils ont pris un camion qui passait au centre-ville de Tijuana. Maintenant, il reste au complexe sportif. -AP
Un autre membre de la caravane, Carlos Padilla, âgé de 57 ans, du Honduras, a déclaré qu'un résident de Tijuana avait crié: "Les migrants sont des cochons" au passage.
Le maire de Tijuana, Juan Manuel Gastelum, a évoqué l’arrivée de tant de migrants à la fois comme une "avalanche" que la ville aura du mal à gérer. Il calcule qu'ils resteront dans la ville pendant au moins six mois au cours du processus de demande d'asile. À raison d'environ 100 demandes par jour, les inspecteurs des frontières des États-Unis ne seront pas en mesure de traiter les 3 000 noms actuellement enregistrés dans un cahier que les migrants ont rassemblé en route.
Pour le moment, la grande majorité de la caravane est campée sur un terrain de baseball en terre battue, sur un terrain de sport en plein air et sous des gradins. La ville a ouvert le complexe une fois que les autres abris ont atteint leur capacité d'accueil maximale, tandis que des groupes d'églises se sont mobilisés pour fournir des douches portables, des salles de bains et des éviers. Dans le même temps, les entreprises locales se sont plaintes de vols et de vols de migrants par les migrants.
Francisco Lopez, 50 ans, possède un magasin de meubles à proximité. Il a ajouté qu'un groupe de migrants avait acheté de la nourriture dans une petite épicerie à quelques portes d'ici et qu'il craignait que la criminalité dans la région n'augmente à mesure que les migrants restent longtemps au refuge.
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En dehors du complexe, des groupes de migrants sillonnaient la rue pour recevoir des dons de vêtements et de glacières remplies d’eau embouteillée, déposés par des organisations caritatives et d’autres personnes cherchant à aider les migrants.
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Les responsables de Tijuana ont déclaré avoir transformé le gymnase municipal et le complexe récréatif en un abri afin d'empêcher les migrants d'accéder aux espaces publics. Les refuges privés de la ville ont une capacité maximale de 700 personnes. Le complexe municipal peut accueillir jusqu’à 3 000 personnes; à partir de vendredi soir, il y avait 2 397 migrants. -AP
Selon le gouvernement fédéral, près de 10 000 migrants pourraient éventuellement se retrouver à Tijuana.
RépondreSupprimerAlden Rivera, ambassadeur du Honduras au Mexique, a visité samedi le complexe sportif de plein air. Rivera s'attend à ce que les migrants aient besoin d'être hébergés pendant huit mois ou plus, et a déclaré qu'il travaillait avec le Mexique pour obtenir plus de fonds pour les nourrir et les soigner. Il s'attend à ce que le nombre de migrants à Tijuana atteigne 3 400 au cours du week-end, et 1 200 autres migrants se sont rendus à Mexicali, une autre ville frontalière située à quelques heures à l'est de Tijuana. 1 500 migrants supplémentaires prévoient d’atteindre la région frontalière américaine la semaine prochaine. -AP
1 800 Honduriens sont rentrés dans leur pays depuis que la caravane a commencé son voyage le 13 octobre, selon Rivera. Il espère que d'autres suivront.
"Nous voulons qu'ils rentrent au Honduras", a déclaré Rivera, notant que chaque migrant devait décider de demander l'asile au Mexique, de faire la queue pour obtenir l'asile américain ou de rentrer chez lui. Selon le ministère mexicain de l'Intérieur, 2 697 migrants centraméricains avaient demandé l'asile mexicain dans le cadre d'un programme lancé le 26 octobre pour accélérer la vérification des pouvoirs des personnes souhaitant vivre, travailler et étudier dans le sud du Mexique.
Felipe Garza, un résident de Tijuana âgé de 55 ans, reconnaît que la population locale n’est pas vraiment ravie d’aider les migrants bien que lui et d’autres membres de son église leur aient remis du café et des petits pains au refuge municipal improvisé. "C’est inconfortable de recevoir une telle multitude de personnes, mais c’est une réalité à laquelle nous devons faire face", a-t-il déclaré.
Garza a supposé que si les Centraméricains se comportaient bien, Tijuana les embrasserait tout comme l'ont fait des milliers d'Haïtiens en 2016. Ces Haïtiens ont depuis ouvert des restaurants, des salons de coiffure et se sont inscrits dans les universités locales.
L'officier de police Victor Coronel est d'accord mais se demande combien la ville peut encore supporter. "La seule chose que nous puissions faire est d'espérer que le président (Donald) Trump ouvre un peu son cœur", a déclaré Coronel. -AP
Trump "ouvrir son cœur" pourrait être un voeu pieux, cependant, alors qu'il avait tweeté il y a à peine deux jours: "N'est-il pas ironique que de grandes caravanes de personnes marchent vers notre frontière et cherchent l'asile des États-Unis, car elles craignent d'être dans leur pays - pourtant, ils brandissent fièrement le drapeau de leur pays. Est-ce possible ? Oui, parce que tout cela est un gros con, et que le contribuable américain en paie le prix ! "
https://www.zerohedge.com/news/2018-11-18/migrants-are-pigs-caravan-member-says-tijuana-residents-treat-us-animals
LES PREMIERS FLOCONS DE LA SAISON ATTENDUS EN PLAINE
RépondreSupprimerUne dépression d'altitude va toucher le pays lundi. Elle devrait occasionner quelques faibles chutes de neige, jusqu'à basse altitude.
18.11.2018, 19h35
L'hiver va faire une brève irruption en Suisse en ce début de semaine. Le puissant anticyclone qui est actuellement centré sur la Scandinavie va conduire de l'air froid venant de Russie sur notre pays, selon MeteoNews.
Lundi matin, il ne fera pas plus de 2 degrés à Genève ou à Lausanne. Dans le courant de la journée, une dépression d'altitude se dirigeant sur les Alpes va apporter davantage d'humidité. De quoi produire ça et là quelques flocons, d'abord en Valais, puis sur le reste de la Suisse romande. «La quantité de neige devrait toutefois rester modeste», estime Patrick Suter, spécialiste de l'agence météorologique.
TROP SEC POUR LA SAISON
Les températures devraient rester stables entre 4 et 5 degrés jusqu'à mercredi, avant un léger redoux jeudi. Et le week-end prochain risque d'être pluvieux. De quoi réduire un peu le déficit de précipitations qui touche le pays cette année. Les sols sont en effet actuellement beaucoup trop secs pour la saison. «Depuis plusieurs mois, un certain retard s'accumule en matière de pluviométrie», rappelle Patrick Suter.
Et le temps presse, car l’absorption de l'eau par les sols se trouvera entravée avec l'arrivée de l'hiver et du gel. «Si le temps ne change pas bientôt, nous débuteront l'été prochain avec un déficit», prévient le météorologue. (Le Matin)
https://www.lematin.ch/suisse/premiers-flocons-saison-attendus-plaine/story/20424512
Oh, ces GAN: la technique du doigt de scanner pourrait donner de fausses empreintes digitales
RépondreSupprimer18 NOVEMBRE 2018
par Nancy Owano,
Tech Xplore
Évolution variable latente avec un réseau formé. À gauche, un aperçu de haut niveau de CMA-ES et un encadré à droite montre comment les variables latentes sont évaluées. Crédit: arXiv: 1705.07386 [cs.CV] https://arxiv.org/abs/1705.07386
Nouvelles des systèmes biométriques: Les fausses empreintes digitales peuvent imiter les vraies. Un réseau de neurones a réussi à extraire de fausses empreintes digitales, ces empreintes digitales conçues pour fonctionner comme des clés maîtresses pour votre identification.
Les travaux ont été réalisés par des chercheurs qui ont présenté leur communication lors d’une conférence sur la sécurité biométrique à Los Angeles. "DeepMasterPrints: la génération de MasterPrints pour les attaques de dictionnaire via une évolution de variable latente" est disponible sur le serveur arXiv. Presque toutes les affiliations d’auteurs sont issues de l’Université de New York et une autre de la Michigan State University. NVIDIA a fait don de processeurs pour leurs recherches.
Au cœur de leurs recherches se trouve une technique d’apprentissage automatique, DeepMasterPrints, qui caractérise les fausses impressions. Les chercheurs ont écrit que "les expériences avec trois appareils de comparaison d'empreintes digitales et deux jeux de données différents montrent que la méthode est robuste et ne dépend pas des artefacts d'un matcher d'empreinte digitale ou d'un jeu de données particulier".
Alors, quelles sont les voies de la falsification que les chercheurs ont empruntées ?
Alex Hern, journaliste technique pour The Guardian, a expliqué aux lecteurs la technique: la plupart des lecteurs d’empreintes digitales ne lisent pas l’ensemble du doigt en même temps, a-t-il déclaré.
Les lecteurs font leur imagerie sur une partie du doigt qui touche le scanner. Hern a déclaré que la comparaison avait lieu entre l'analyse partielle et les enregistrements partiels. Voici ce qui se passe: "Cela signifie qu'un attaquant ne doit correspondre qu'à une ou plusieurs dizaines ou centaines d'empreintes digitales partielles enregistrées pour pouvoir accéder."
Un autre élément qui fonctionne dans les tentatives de falsification réside dans la manière dont certaines caractéristiques des empreintes digitales sont plus courantes que d'autres. "Cela signifie qu'une fausse empreinte qui contient beaucoup de caractéristiques très communes est plus susceptible de correspondre à d'autres empreintes digitales que le pur hasard ne le laisserait penser", a déclaré Hern.
Avec ces faiblesses, ils ont utilisé une technique qui a fonctionné pour leurs fins. Les faux qu'ils ont créés ressemblaient de manière convaincante à une véritable empreinte digitale - pour un œil humain. Ceci est remarquable car une technique précédente "créait des empreintes dentaires déchiquetées et à angle droit qui tromperaient un scanner mais pas une inspection visuelle", a déclaré Hern.
La technique d'apprentissage automatique était le Generative Adversarial Network. La technique a réussi à créer des empreintes digitales correspondant le plus possible à des empreintes partielles partielles. (Prasad Ramesh in Packt: "Un réseau GAN est formé sur un jeu de données d'empreintes digitales, puis LVE recherche dans les variables latentes du réseau du générateur une image d'empreinte digitale qui maximise les chances de correspondance. Cette correspondance ne réussit que lorsqu'un grand nombre d'identités différentes sont impliqués, ce qui signifie que des attaques individuelles spécifiques ne sont pas aussi probables. ")
RépondreSupprimerLa méthode est comparée à une "attaque par dictionnaire" contre les mots de passe, dans laquelle un pirate informatique lance une liste pré-générée de mots de passe courants sur un système de sécurité.
Comme Hern l'a fait remarquer, les attaques peuvent ne pas être en mesure de pénétrer dans des comptes spécifiques mais "lorsqu'elles sont utilisées contre des comptes à grande échelle, elles génèrent suffisamment de succès pour en valoir la peine".
Que disent les détectives de la sécurité en réaction à leur présentation: Naked Security a déclaré que les conclusions étaient un peu inquiétantes.
"Si quelqu'un développait cela en exploit, peut-être en imprimant les images avec de l'encre capacitive, cela pourrait poser des problèmes pour de nombreux systèmes de reconnaissance d'empreintes digitales", a déclaré Danny Bradbury dans Naked Security.
Oui, mais cela nous amène à la grande question: faut-il simplement écarter les empreintes digitales en tant qu'outil d'identification?
Sam Medley, Notebookcheck, dirait que non, les résultats de la recherche n'invalident pas les scanners d'empreintes digitales en tant que mesure de sécurité. Medley a écrit: "Les chercheurs admettent volontiers que, même si quelqu'un pouvait utiliser quelque chose comme DeepMasterPrints pour pirater quelque chose comme un smartphone ou un ordinateur, il lui faudrait beaucoup travailler pour optimiser l'IA pour un système spécifique."
En fait, les auteurs eux-mêmes ont souligné la valeur de leur approche. "Au-delà de l'application de la génération de DeepMasterPrints, cet article montre avec succès l'utilité de rechercher dans l'espace latent d'un réseau générateur des images ou d'autres artefacts répondant à un objectif donné. Cette idée est étonnamment sous-explorée et pourrait s'avérer utile dans la créativité informatique. recherche ainsi que d’autres domaines de la sécurité ".
https://techxplore.com/news/2018-11-gans-scanner-finger-technique-result.html
Après les faux ADN, les communications piratées arrivent les fausses empreintes digitales.
SupprimerUne nouvelle industrie spatiale émerge: le service sur orbite
RépondreSupprimer17 novembre 2018
par Ivan Couronne
Imaginez un aéroport où des milliers d'avions, vides de carburant, sont abandonnés sur le tarmac. C’est ce qui se passe depuis des décennies avec les satellites qui entourent la Terre.
Lorsque les satellites sont à court de carburant, ils ne peuvent plus conserver leur orbite précise, ce qui les rend inutilisables même si leur matériel est toujours intact.
"Il s'agit littéralement de gaspiller des centaines de millions de dollars", a déclaré ce mois-ci Al Tadros, vice-président des infrastructures spatiales et de l'espace civil chez SSL, lors d'une réunion réunissant les principaux acteurs du secteur émergent du secteur de l'orbite en orbite. réparer ou réparer des satellites lorsqu'ils sont dans l'espace.
Ces dernières années, de nouvelles sociétés aérospatiales ont été créées pour tenter de prolonger la durée de vie des satellites, sachant que de nombreux clients trouveraient cela plus rentable que de relancer de nouveaux.
En 2021, sa société lancera un véhicule, dans le cadre de son programme RSGS (Robotic Servicing of Geosynchronous Satellites), capable de desservir deux à trois douzaines de satellites sur une orbite géostationnaire lointaine, à quelque 36 000 km de la Terre. il y a environ 500 satellites actifs, la plupart dans les télécommunications.
Cet engin spatial non habité sera capable de se verrouiller sur un satellite pour l'inspecter, de le ravitailler en carburant, voire même de le réparer ou de changer des composants, et de le replacer sur la bonne orbite.
Tadros le décrit comme "équivalent à un camion de service AAA en orbite géostationnaire".
Et "c’est une très grande opportunité financière", ajoute-t-il.
Le géant des télécommunications Intelsat, qui exploite 50 satellites géostationnaires, a choisi une option différente et signé un contrat avec Space Logistics, une filiale de Northrop Grumman, pour son MEV, un "système très simple", a indiqué à l'AFP Ken Lee, vice-président du Conseil un camion."
Lors de son lancement en 2019, le vaisseau spatial s’attachera à un satellite en panne et le repositionnera sur la bonne orbite.
Le MEV restera attaché et utilisera son propre moteur pour rester en orbite.
Trop de débris
Les services de maintenance sur orbite pourraient également aider à réduire le problème épineux du montage de débris spatiaux.
Sur les 23 000 objets spatiaux recensés par l'armée américaine, 1 900 seulement sont des satellites actifs.
Le reste - qui se déplace à une vitesse de 20 000 à 30 000 km / h - comprend près de 3 000 satellites inactifs, 2 000 pièces de roquettes (comme le deuxième étage de roquettes) et des milliers de fragments produits par deux événements clés. : l'explosion de missile délibérée d'un satellite chinois en 2007 et la collision en 2009 d'un satellite Iridium avec un satellite russe vieillissant.
Aucune solution à court terme n'a été identifiée pour les déchets spatiaux à petite échelle, mais certaines sociétés souhaiteraient pouvoir retirer les satellites obsolètes de leur orbite.
Depuis 2008, la France demande aux opérateurs de satellites de prendre des mesures pour "désorbiter" leurs engins spatiaux en les programmant pour qu’ils réintègrent l’atmosphère de la Terre dans 25 ans, afin de les incendier, selon Laurent Francillout, responsable de la sécurité de l’espace au Centre français Études spatiales (CNES).
RépondreSupprimerEn ce qui concerne les satellites en orbite géostationnaire, leur option de fin de vie consiste à s’éloigner de la Terre jusqu’à une "orbite de cimetière" située à 200 km (300 km) plus loin.
"Nous essayons de promouvoir ces principes" dans d'autres pays, a déclaré Francillout à l'AFP.
Astroscale, une petite société japonaise fondée en 2013, développe un système permettant d'approcher et de capturer les débris spatiaux et les satellites brisés.
Bien qu’il n’ait pas encore de clientèle, le directeur des opérations, Chris Blackerby, estime que l’entreprise serait "très viable".
Un lancement d'essai est prévu pour 2020.
Le futur «remorqueur spatial» d’Airbus, prévu pour 2023, est en cours de construction afin de saisir les vieux satellites et de les repousser à 200 km au-dessus de la Terre afin qu’ils se consument.
Le problème des débris spatiaux ne fait que s'aggraver.
Le nombre de satellites dans l'espace a déjà augmenté de 50% en cinq ans, selon la Satellite Industry Association, et la croissance se poursuit.
Aux États-Unis, le débat se poursuit sur la nécessité de mieux réglementer le trafic spatial dans le monde afin d'éviter les accidents et de gérer les conflits futurs.
"Nous ne voulons pas du Far West", a déclaré Fred Kennedy, directeur du bureau de la technologie tactique à la DARPA, la branche de recherche technologique du Pentagone, soulignant que les Etats-Unis, avec sa flotte de satellites militaires, souhaitaient établir un son pratiques au-delà des frontières de la Terre.
https://phys.org/news/2018-11-space-industry-emerges-on-orbit_1.html#jCp
Enlevez un poids: les larmes, la joie que kilo obtient mise à jour historique (Mise à jour)
RépondreSupprimer16 novembre 2018
par John Leicester
Lors d'un vote historique, plus de 50 pays ont unanimement approuvé la refonte du système de mesure international qui sous-tend le commerce mondial et d'autres activités humaines, s'unissant vendredi à de nouvelles définitions du kilogramme et d'autres unités, ce qu'ils ne font pas sur de nombreux autres points.
Les scientifiques, pour qui la mise à jour représentait des décennies de travail, applaudissaient et même pleuraient, alors que les délégués réunis à Versailles disaient "oui" ou "oui" au changement, salué comme une révolution dans la façon dont l'humanité mesure et quantifie son monde.
La redéfinition du kilogramme, l'unité de masse approuvée dans le monde entier, a été le changement le plus attendu. Depuis plus d'un siècle, le kilogramme est défini comme la masse d'un cylindre en alliage de platine et d'iridium conservé dans une chambre haute de sécurité en France. Cet artefact, surnommé "Le Grand K", est le seul vrai kilogramme au monde depuis 1889.
Maintenant, avec le vote, le kilogramme et toutes les autres principales unités de mesure seront définis à l’aide de valeurs numériques qui s’ajustent aisément sur une carte de portefeuille. Ces chiffres ont été lus aux délégués nationaux avant leur vote. La mise à jour entrera en vigueur le 20 mai.
Les scientifiques présents à la réunion étaient étourdis par l'excitation: certains portaient même des tatouages ??sur leurs avant-bras qui célébraient la science.
Le prix Nobel William Phillips a qualifié cette mise à jour de "la plus grande révolution de la mesure depuis la révolution française", qui a inauguré le système métrique des mètres et des kilogrammes.
Le Grand K et ses six exemplaires officiels, conservés ensemble dans le même coffre-fort à la périphérie de Paris et appelés collectivement "l'héritier et les épargnants", seront retirés sans être oubliés. Les scientifiques veulent continuer à les étudier pour voir si leurs masses changent avec le temps.
La mise à jour n'aura aucun impact perceptible pour la plupart des gens. Les balances de salle de bains ne vont pas devenir subitement plus gentilles et les kilos et les grammes ne changeront pas dans les supermarchés.
Mais la nouvelle définition du kilogramme basée sur une formule présentera de nombreux avantages par rapport à la bosse en métal fabriquée avec précision qui a établi la norme du 19ème au 21ème siècle, à travers des périodes de prodigieuses réalisations humaines et de folies époustouflantes, y compris les deux guerres mondiales.
Contrairement à un objet physique, la formule du kilo, désormais connue sous le nom de "kilo électrique", ne peut pas capter les particules de poussière, se décomposer avec le temps ou tomber et être endommagée, mais sera plus facile à partager.
"Si nous restons là où nous sommes et que quelqu'un a accidentellement abandonné le kilogramme ou s'il y avait une contamination que nous ne pouvions pas contrôler, alors tout le système n'aurait plus de tête. Nous sommes dans le chaos", a déclaré Barry Inglis, un scientifique d'Australie. «C’est la chose qui nous inquiète vraiment, je pense, depuis peut-être 15 ans ou plus, c’est à quel point le système est vulnérable, car il ne dépend que de ce petit morceau de platine iridié.
Le kilo redéfini devrait permettre des mesures plus précises des masses très, très petites ou très très grandes et aider à inaugurer des innovations dans les domaines de la science, de l'industrie, du climat et dans d'autres domaines. Dans le cadre des efforts déployés par l’humanité pour quantifier et comprendre le monde, qui remonte à plusieurs siècles, lorsque les anciens Babyloniens mesuraient la masse avec des pierres, le vote a marqué une étape importante, ont convenu les scientifiques.
RépondreSupprimer"Ces unités, les constantes choisies maintenant, incluent tout ce que nous savons, tout ce que nous avons toujours su et nous fournissent ce tremplin pour aller poursuivre ces choses que nous ne connaissons pas", a déclaré Jon Pratt de l'Institut américain des normes et de la technologie. . Il a ajouté que la réunion de vendredi "venait de me laisser dans une flaque de larmes".
Les définitions mises à jour pour l'ampère, le kelvin et la taupe ont également été approuvées vendredi.
Humanity utilise sept unités de mesure principales: le mètre pour la longueur, le kilogramme pour la masse, la seconde pour le temps, l'ampère pour le courant électrique, le kelvin pour la température, la mole pour la quantité d'une substance et la candela pour l'intensité lumineuse.
Sur les sept, le kilo est le dernier qui repose encore sur un artefact physique, Le Grand K. Avec le temps, la science derrière la nouvelle définition du kilo devenant plus accessible et abordable, la mise à jour devrait également signifier que les pays n'auront pas à envoyer de leurs propres kilos rentrés en France pour être vérifiés occasionnellement contre Le Grand K, comme ils l’ont fait jusqu’à présent, pour vérifier si leur masse était toujours exacte.
"Nous avons assuré la pérennité du système", a déclaré Martin Milton, directeur du Bureau international des poids et mesures.
Le bureau est le gardien du système, ainsi que de Le Grand K et de ses copies, qui sont stockés dans un coffre-fort qui nécessite trois clés, conservées par trois personnes différentes, pour les déverrouiller. Très rarement ils ont vu la lumière du jour.
"Nous avons mis en place un système qui ne dépend pas de quelque chose qui date de 140 ans", a déclaré Milton.
https://phys.org/news/2018-11-weight-grand-kilo.html#jCp
Un climatologue révèle une erreur scientifique et met en échec une importante étude sur le réchauffement de l'océan
RépondreSupprimer16 novembre 2018
par Joshua Emerson Smith
Des chercheurs de l’Université de Californie, de la Scripps Institution of Oceanography de San Diego et de l’Université de Princeton sont récemment revenus des conclusions scientifiques publiées le mois dernier qui montraient que les océans s’échauffaient considérablement plus rapidement que prévu par le changement climatique.
Dans un article publié le 31 octobre dans la revue Nature, des chercheurs ont découvert que la température des océans s'était réchauffée de 60 % de plus que celle décrite par le Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations Unies.
La conclusion a toutefois été examinée après que le mathématicien Nic Lewis, critique du consensus scientifique autour du réchauffement provoqué par l’homme, ait publié une critique de l’article sur le blog de Judith Curry, une autre critique connue.
"Les conclusions du ... document ont été examinées par des pairs et publiées dans la plus grande revue scientifique du monde et ont été largement couvertes par les médias anglophones", a écrit Lewis. "Malgré cela, un rapide examen de la première page du document était suffisant pour faire naître des doutes quant à l'exactitude de ses résultats."
Le co-auteur, Ralph Keeling, spécialiste du climat à la Scripps Institution of Oceanography, a blâmé tout le blâme et a remercié Lewis de l'avoir alerté sur cette erreur.
"Quand nous avons été confrontés à ses idées, il est immédiatement devenu évident qu'il y avait un problème là-bas", a-t-il déclaré. "Nous sommes reconnaissants de le signaler rapidement afin que nous puissions le corriger rapidement."
Keeling a déclaré qu'ils avaient refait les calculs depuis, constatant que l'océan était toujours plus chaud que l'estimation utilisée par le GIEC. Cependant, cette augmentation de la chaleur a une plage de probabilité plus grande qu'on ne le pensait initialement - entre 10 et 70%, comme d'autres études l'ont déjà montré.
"Nos marges d'erreur sont trop importantes maintenant pour nous faire une idée précise de la quantité de réchauffement qui se produit dans l'océan", a déclaré Keeling. "Nous avons vraiment gommé les marges d'erreur."
Une correction a été soumise à la revue Nature.
Selon le dernier rapport du GIEC, les émissions climatiques doivent être réduites de 20% d'ici 2030, puis ramenées à zéro d'ici 2075 pour que le réchauffement ne dépasse pas 2 degrés Celsius (3,6 degrés Fahrenheit) au-dessus des niveaux préindustriels.
Les auteurs de la récente étude avaient précédemment affirmé que les niveaux d'émissions dans les décennies à venir devraient être réduits de 25% pour rester au-dessous de ce plafond de 2 degrés.
Alors que les articles sont examinés par des pairs avant d'être publiés, les nouvelles découvertes doivent toujours être reproduites avant d'être largement acceptées par la communauté scientifique, a déclaré Gerald Meehl, climatologue au National Center for Atmospheric Research de Boulder, dans le Colorado.
"Voici comment fonctionne le processus", a-t-il déclaré. "Chaque document qui sort n'est pas infaillible ou infaillible. S'il ne résiste pas à l'examen, vous examinez les résultats."
RépondreSupprimerLe rapport s'appuyait sur une nouvelle approche qui pourrait encore révolutionner la manière dont les scientifiques mesurent la température de l'océan.
Une grande partie des données sur les températures des océans reposent actuellement sur la baie Argo, des dispositifs robotiques flottant à différentes profondeurs. Le programme, qui a débuté en 2000, présente des lacunes dans la couverture.
En comparaison, Keeling et Laure Resplandy, chercheuse à l’Environment Institute de l’Université de Princeton et co-auteur du rapport, calculaient la chaleur en fonction de la quantité d’oxygène et de gaz carbonique sortant de l’océan, en remplissant des flacons en verre contenant de l’air recueilli dans les stations de recherche situées à globe.
Keeling a déclaré qu'ils continueraient à expérimenter les données dans les années à venir afin de les affiner.
"C'est une nouvelle méthode prometteuse, mais nous n'avons pas obtenu la précision dès le premier passage", a-t-il déclaré.
L'étude est toujours la première à confirmer le réchauffement de l'océan en utilisant une méthode indépendante de la mesure directe de la température de l'océan.
https://phys.org/news/2018-11-climate-contrarian-uncovers-scientific-error.html#jCp
(...) En comparaison, Keeling et Laure Resplandy, chercheuse à l’Environment Institute de l’Université de Princeton et co-auteur du rapport, calculaient la chaleur en fonction de la quantité d’oxygène et de gaz carbonique sortant de l’océan, (...)
SupprimerLe gaz carbonique NE QUITTE PAS l'eau pour l'air car il se dissout dans l'eau. Il est transformé par le phytoplancton en nano-particules de carbone.
Les millions (milliards ?) de sources chaudes qui constituent le fond des bassins maritimes & océaniques émettent aussi du gaz carbonique (comme tous volcans terrestres), mais ce gaz mélangé à l'eau ne peut s'en échapper sous sa forme initiale.
Faut vraiment qu'elles soient bargeots pour ne pas comprendre d'où viennent les chaleurs maritimes & océaniques !