Et si les français regardaient enfin en face la vérité sur l'Europe et la France qui bloquent leurs placements et leur liberté financière ?
mardi, 13 novembre 2018 20:11
Je reçois pas mal d'emails tous les jours de français inquiets mais toujours inconscients...
Ils ne peuvent plus placer leur argent à l'étranger, ni même le transférer.
Les blocages sont doubles.
Les banques étrangères demandent un compliance de folie à l'ouverture du compte bancaire quand tout simplement elles refusent désormais l'ouverture du compte...
Les produits comme les ETF américains sont également interdits aux français.
Enfin, les virements deviennent problématiques et sont bloqués parfois sans même avertir le client.
Que se passe t il ?
Les mecs, reveillez vous... !
Si vous croyez 2 secondes que vous allez pouvoir quitter le navire qui sombre librement sans aucune difficulté... ba vous rêvez.
La liberté facile dont j'ai profité, c'est fini.
Maintenant il faut lutter pour la gagner. Et demain, elle ne sera tout simplement plus possible.
J'en parle sur Objectif Eco depuis des années et la vérité, c'est que sur les 10.000 personnes qui me suivent, allez, soyons sympa, 80% sont incrédules !
Le communisme est la réponse au socialisme qui échoue avant un effondrement final.
Le communisme du passé ne marchera pas sur les blancs. Il faut le maquiller en émettant des interdictions feutrées comme le fait de contrôler les gens via les banques au lieu d'un contrôle direct étatique.
Sur le terrain, c'est exactement identique au final.
Mais la forme des occidentaux paumés qui se reveillent est différente et permet de ne pas susciter trop de révolution.
Désolé mais la conclusion est toujours la même. FUYEZ l'EUROPE quand il est encore temps. Cette fois ci, mon conseil est une FUITE PHYSIQUE et non simplement financière.
Que voulez vous ? Que je publie l'intégralité de vos messages pour vous convaincre ? L'intégralité de vos expériences ? Pour que vous vous reveillez !
Je n'écris pas pour vous vendre quelque chose. Je relate ce qui tombe dans ma boîte email par centaines d'occurences, partout dans le monde.
Les choses s'accélèrent. Il est facile pour moi de connaître la tendance politique en France alors que je n'ouvre jamais aucun site français car la France est mon passé et non mon présent ou mon avenir.
Il reste à tout casser 15 ans avant un effondrement final. Ce ne sera pas un évènement particulier à une date particulière, mais un zigzag permanent vers le pire, pendant 15 ans. Donc autant se barrer tout de suite. Les migrants sont toujours les seuls survivants de l'histoire. Il n'y a aucune honte à fuir. Au contraire, c'est être malin que d'abandonner le navire.
La soluce est de faire 'comme les immigrants': voyager en bateau. Bon, là pour vous c'est un peu plus compliqué parce que vous n'avez pas d'argent qui tombe des poches de terroristes milliardaires, vous devez vous-mêmes acheter la coquille de noix.
Donc là, suivant votre fortune et votre amour pour les grands flots, les grands vents et les grands chavirages, vous investissez dans un cata ou trimaran qui bouge moins que les autres. Vous montez à bord pour l'essayer et partez avec !
Après, c'est vous qui voyez ! (faut aimer le poisson !). Faut une ou deux bouteilles de gaz à bord pour faire bouillir votre eau quotidienne.
Comment dessaler l'eau de mer où les poissons chient dedans ? Prendre 2 boites en fer. Une grande et une plus petite. Remplir la plus petite d'urine ou d'eau de mer et la poser au centre d'une poêle sur le feu. Là vous posez la grande boite dessus-dessous en couvercle. Elle, elle va recueillir l'eau qui s'évapore. Cette condensation coulera à l'intérieur de la grande boite et finira dans la poêle.
L'eau dans la poêle est claire, sans odeurs ni bactéries. Elle est pure.
Une mise à jour sur le graphique qui est mortelle pour les modèles climatiques
Les braves gens de la Terre dépensent des milliards de dollars pour prévenir un avenir prédit par des modèles qui, nous le savons, ne fonctionnent pas. Le débat est terminé, les dépenses climatiques sont une quête théologique non scientifique, païenne, pour changer le temps. Juste une autre itération de ce que les druides et les sorciers ont promis depuis des lustres. Ne vous attendez pas à ce que les intérêts acquis qui tirent profit de ce train de sauces au climat doré vous le disent.
Les 23 principaux modèles climatiques couplés mondiaux ne comprennent pas le climat et ne le prédisent pas. Nos émissions de gaz carbonique s'accélèrent, l'effet devrait être amplifié, mais des millions de ballons météorologiques et de satellites qui entourent la Terre 24 heures sur 24 montrent clairement que les modèles sont erronés.
- voir graphique sur site - Modèles climatiques
VARIATIONS TROPICALES DE TEMPERATURES MOYENNES TROPOPHERIQUES MODELES vs OBSERVATIONS
Moyennes sur 5 ans, 1979-2016 - La ligne de tendance passe à zéro en 1979 pour toutes les séries chronologiques Le groupe d’étude sur le climat a placé ce graphique dans une publicité (pourquoi les sceptiques doivent-ils payer pour obtenir des graphiques comme celui-ci - un service public - imprimé ?)
Lisez l'intégralité du PDF Climate Reality ici : https://s3.amazonaws.com/jo.nova/guest/aust/academic/climate-study-group/article%20RMorgan_AustQP_Nov2018%20clear%2001.pdf
Les acolytes et autres parasites diront que les températures de surface mesurées par la NASA et Hadley montrent que les modèles sont cohérents dans les limites des estimations, ainsi que les barres d'erreur, bla, bla, balony blah.
Les adultes répondront que le Hadley Met Center utilise des thermomètres à proximité des tarmacs et des climatiseurs des aéroports (quand ils ont la chance d’avoir même des thermomètres). C’est un ensemble de données volumineux et dégradé qui ne contient pratiquement aucune donnée avant 1950. Il commence par geler les îles tropicales et les bateaux errant à terre, puis ajuste le kazoo pour l’aggraver. L'ensemble de la NASA utilise le même mauvais équipement, les mêmes données troublées et s'ajuste au kazoo au carré. Le passé est en constante évolution, les tendances sont ajustées post-hoc aux modèles et les résultats ne correspondent pas aux données historiques, aux données satellitaires et aux ballons météo.
Ils vont protester et dire que leurs tendances correspondent aux données satellitaires RSS. Ils ne vous diront pas que le jeu de données satellite UAH est préférable, car il est conforme aux ballons météo, affiche des mesures satellitaires incohérentes, utilise trois canaux plutôt qu’un et utilise des satellites exempts de dérive diurne pour estimer les erreurs des autres. Le jeu RSS est incohérent en interne, il commence par les estimations du modèle et non par les observations, laisse une erreur qui crée un réchauffement artificiel, puis le corrige juste à temps pour empêcher la même erreur de créer un refroidissement. Comment appelez-vous un jeu de données avec des erreurs non aléatoires à temps partiel ? Déchet.
Christy Graph contient toutes les données dont nous avons besoin. C’est aussi proche que nous pourrons jamais prouver que les modèles sont des conjectures qui ont échoué.
Arrêtez de verser des milliards de dollars dans un trou.
Merci à Tom Quirk, John Christy et le Climate Study Group.
The Globe and Mail: "Il y a trop d'ours polaires dans certaines parties du Nunavut et le changement climatique n'en a encore affecté aucun, déclare un projet de plan de gestion territorial du gouvernement qui contredit une grande partie de la pensée scientifique conventionnelle" (Les Inuits exposent les fausses données scientifiques d'Environnement Canada!!!)
mardi 13 novembre 2018
Le plan proposé - qui doit être convoqué à des audiences publiques mardi à Iqaluit - indique que le nombre croissant d'ours compromet de plus en plus la sécurité publique et qu'il est temps que les connaissances inuites orientent les politiques de gestion.
«Les Inuits croient qu'il y a maintenant tellement d'ours que la sécurité publique est devenue une préoccupation majeure», indique le document, résultat de quatre années d'études et de consultations publiques.
«Les préoccupations en matière de sécurité publique, combinées aux effets des ours polaires sur d'autres espèces, suggèrent que dans de nombreuses communautés du Nunavut, l'ours polaire pourrait avoir dépassé le seuil de coexistence.»
Les ours polaires ont tué deux Inuits l'été dernier.
Le plan s'appuie fortement sur les connaissances des Inuits, ce qui donne des estimations de population supérieures à celles suggérées par la science occidentale pour la quasi-totalité des 13 populations d'ours inclus.
Les scientifiques disent qu'une seule population d'ours est en croissance; Les Inuit disent qu'il y en a neuf. Environnement Canada dit que quatre populations diminuent; Les Inuits disent que non.
Le plan proposé minimise l'une des principales préoccupations de la communauté scientifique.
«Bien qu'il existe de plus en plus de preuves scientifiques établissant un lien entre les effets du changement climatique et la dégradation de l'état physique des ours et les projections de déclin de la population, aucun déclin n'a été attribué au changement climatique», indique le rapport. «(Savoir inuit) reconnaît que les ours polaires sont exposés aux effets du changement climatique, mais suggère qu'ils sont adaptables.»
Dans sa réponse, Environnement Canada a déclaré que "cela ne correspond pas aux preuves scientifiques". Il cite deux études suggérant le contraire.
Explosion du nombre d’homicides en France: silence radio place Beauvau
17:51 14.11.2018
Le nombre d’homicides suit une évolution inquiétante. D’après les chiffres du ministère de l’Intérieur, ils ont augmenté de plus de 20 % en 2017-2018 par rapport à 2014-2015. Et la période post-attentat n’a pas fait redescendre le thermomètre meurtrier, au contraire. Du côté de la place Beauvau, on préfère – pour le moment – la jouer discret.
«Les attentats survenus dans l'Hexagone en 2015 et 2016 avaient tragiquement fait grimper le nombre d'homicides en France. Mais plus de deux ans après le drame du 14 Juillet à Nice, les chiffres ne sont pas redescendus au niveau qui était le leur avant les tueries». Libération a jeté un pavé dans la marre. Ou plutôt dans la fenêtre du ministère de l'Intérieur. Le quotidien a ainsi publié un article daté du 8 novembre qui réagissait aux dernières données de la place Beauvau, parues via Interstats conjoncture. Le ministère de l'Intérieur communique mensuellement sur les chiffres de la délinquance, et pour cette version à la fin octobre 2018, il annonçait 225 homicides sur les trois derniers mois (d'août à octobre). Des chiffres qui paraissent encourageants au premier abord, car en baisse de 6% par rapport aux trois mois précédents.
Une communication prometteuse dont le rouage a été grippé par l'intervention de Cyril Rizk, un statisticien spécialiste des chiffres de la délinquance. Ce dernier s'est plongé dans les données relatives aux douze derniers mois et a interpellé les journalistes de Libération pour leur faire part de son travail. Le tableau se montre tout de suite moins reluisant. Si l'on prend la période allant d'octobre 2017 à septembre 2018, le nombre de meurtres est en hausse de 23% par rapport à la période d'octobre 2014 à septembre 2015, avec respectivement 805 victimes contre 654. Cela représente 151 morts de plus. Une statistique que Libération commente ainsi:
«Elle marque, en excluant donc les victimes du terrorisme, une rupture avec quinze années de baisse ou de stagnation.»
En effet, il s'agit du plus inquiétant. L'augmentation logique qui avait accompagné les tueries de masse des 13 novembre 2015 à Paris (129 morts) et du 14 juillet à Nice (86 morts) n'a pas été suivie de la baisse espérée.
Comment expliquer que le ministère de l'Intérieur ne communique pas plus sur une telle donnée pourtant révélatrice d'un certain climat ? Pour Cyril Rizk, la lutte contre le terrorisme a changé la donne, comme il l'a expliqué à nos confrères de Libération:
«La lutte contre le terrorisme est devenue la question sécuritaire numéro 1, reléguant les problèmes de sécurité du quotidien à l'arrière-plan.»
D'après un autre article sur le sujet publié le 9 novembre sur sa plateforme Checknews, Libération affirme que le ministère de l'Intérieur «conteste le diagnostic d'une forte hausse, en mettant en cause la fiabilité des données». Christophe Soullez, directeur de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), a également émis des doutes auprès de Checknews, bien qu'il ait admis des possibles raisons de regarder le phénomène de près: «Si les données se confirment, il y a un sujet».
Pourtant, le ministère semblait avoir pris la mesure du problème. Lorsque l'on jette un œil au document «Insécurité et délinquance en 2017: premier bilan statistique» publié en janvier 2017 par Interstats, on y trouve cette analyse à la section «homicides»:
«En 2017, les forces de l'ordre ont constaté 825 homicides en métropole. Ce chiffre est inférieur à celui de l'année 2016 (892), affecté par les attentats terroristes. Hors victimes des attentats, le nombre d'homicides a de nouveau augmenté en 2017, plus faiblement que l'année précédente (+2 % après +11 % en 2016).»
L'Hexagone n'est pas seul à être touché, d'après Cyril Rizk. Le «crime drop», ou la baisse des meurtres constatée pendant des années, bénéficiait également à des pays voisins. Jusqu'à récemment. Selon les informations qu'a confiées le statisticien à Libération, le Royaume-Uni, l'Allemagne ou les Pays-Bas connaissent également une récente poussée du nombre de meurtres.
«La baisse du nombre d'homicides était jusqu'en 2015 un phénomène de fond qui caractérisait les pays de l'Europe de l'Ouest. On ne peut pas exclure que dans un contexte d'attentats faisant de très nombreuses victimes, le niveau latent de la violence mortelle de nature non terroriste ait été influencé», explique-t-il à Checknews.
The Guardian a rapporté dans un article daté du 18 octobre dernier que l'Angleterre et le Pays-de-Galle faisaient face à un taux d'homicide au plus haut depuis dix ans. Comme le souligne Libération, l'Observatoire national de la délinquance a récemment été contacté par son équivalent outre-Manche. L'objet de l'appel ? Savoir si la même tendance était observée en France…
Les scientifiques du climat admettent une erreur mathématique majeure après la publication d'une étude sur le réchauffement planétaire
par Tyler Durden Mer. 14/11/2018 - 20:45
Le co-auteur d'une étude largement citée sur le réchauffement climatique a commis une erreur mathématique majeure découverte six jours après sa publication du 31 octobre par un scientifique indépendant.
L’étude a utilisé une nouvelle méthode de mesure de l’absorption de chaleur par les océans et a conclu - selon des calculs erronés - que 60 % plus de chaleur avait été absorbée qu’on ne le pensait auparavant.
Le rapport a été couvert ou référencé par les points de vente MSM du monde entier, notamment le Washington Post, le New York Times, la BBC, Reuters et d’autres.
Peu de temps après la publication de l'article, Nicholas Lewis, chercheur indépendant basé au Royaume-Uni, a publié un article complet sur son blog, affirmant qu'il avait découvert un "problème majeur" dans la recherche.
"Autant que je sache, leur méthode sous-estime énormément l'incertitude", a déclaré Lewis dans une interview mardi, "ainsi qu'une augmentation significative de près de 30 % de l'estimation centrale."
Lewis a ajouté qu'il avait tendance «à lire un grand nombre d'articles et que, ayant à la fois une formation en mathématiques et en physique, j'ai tendance à les examiner attentivement et à voir s'ils ont un sens. Et là où ils n’ont pas de sens - avec celui-ci, il est assez évident que cela n’a pas de sens - je les examine plus en profondeur. "
Lewis a fait valoir dans des études et commentaires antérieurs que les climatologues prédisaient un réchauffement excessif en raison de leur recours à des simulations informatiques, et que les données actuelles provenant de la planète elle-même suggéraient que le réchauffement planétaire serait moins grave que prévu. -Washington Post
"Lorsque nous avons été confrontés à ses idées, il est immédiatement devenu évident qu'il y avait un problème", a déclaré Ralph Keeling, scientifique au Scripps Institute of Oceanography, co-auteur du document avec Laure Resplandy, scientifique et auteur principal à l'Université de Princeton. "Nous sommes reconnaissants de le signaler rapidement afin que nous puissions le corriger rapidement."
Keeling a déclaré qu'ils avaient refait les calculs depuis, constatant que l'océan était toujours plus chaud que l'estimation utilisée par le GIEC. Cependant, cette augmentation de la chaleur a une plage de probabilité plus grande qu'on ne le pensait initialement - entre 10 et 70 %, comme l'ont déjà montré d'autres études.
"Nos marges d'erreur sont trop importantes maintenant pour nous faire une idée précise de la quantité de réchauffement qui se produit dans l'océan", a déclaré Keeling. «Nous avons vraiment réduit les marges d'erreur.» -San Diego Union-Tribune
"J'accepte la responsabilité de ce qui s'est passé parce que c'est mon rôle de m'assurer que ce genre de détails est bien communiqué", a déclaré Keeling au Washington Post mardi.
Keeling a corrigé l'erreur de calcul dans une note du vendredi:
Note du co-auteur Ralph Keeling, 9 novembre 2018: Je travaille avec mes co-auteurs pour résoudre deux problèmes qui ont été portés à notre attention depuis leur publication. Ces problèmes, liés au traitement incorrect des erreurs systématiques dans les mesures d’O2 (Oxygène) et à l’utilisation d’un rapport d’échange constant O2: C terrestre de 1,1, n’annulent ni la méthodologie de l’étude ni les nouvelles connaissances en biogéochimie des océans sur lesquelles elle repose. Nous nous attendons à ce que l'effet combiné de ces deux corrections ait une faible incidence sur nos calculs d'absorption de chaleur globale, mais avec des marges d'erreur plus importantes. Nous refaisons les calculs et préparons les corrections d’auteurs pour soumission à Nature. -Scripps.ucsd.edu (voir post ci-dessous "Étude: Réchauffement des océans détecté à partir de mesures de gaz atmosphériques")
Les scientifiques ont soumis une correction à la revue Nature, qui a publié l'étude.
L'IPCC ('GIEC' auxquels des dictatures ont rajouté le 'titre' d'expert / Rappel que la qualité d'expert est purement honorifique et que TOUT LE MONDE peut se dire 'expert' !) est un nano-groupuscule de malfaiteurs (siégeant à l'ONU à N-Y) qui ne comprend AUCUN scientifique/Puisqu'il leur fait la chasse).
Étude: Réchauffement des océans détecté à partir de mesures de gaz atmosphériques
Une équipe dirigée par des scientifiques de Scripps et de l'Université de Princeton utilise des mesures d'oxygène et de gaz carbonique pour déduire l'augmentation de la température de l'océan
01 nov. 2018 Embargoed par: Nature jusqu'à 11 heures, le 31 octobre
Contact média: Robert Monroe Téléphone: 858-534-3624 Courriel: scrippsnews@ucsd.edu
Note du co-auteur Ralph Keeling, 9 novembre 2018: Je travaille avec mes co-auteurs pour résoudre deux problèmes qui ont été portés à notre attention depuis leur publication. Ces problèmes, liés au traitement incorrect des erreurs systématiques dans les mesures d’O2 et à l’utilisation d’un rapport d’échange constant O2: C terrestre de 1,1, n’annulent ni la méthodologie de l’étude ni les nouvelles connaissances en biogéochimie des océans sur lesquelles elle repose. Nous nous attendons à ce que l'effet combiné de ces deux corrections ait une faible incidence sur nos calculs d'absorption de chaleur globale, mais avec des marges d'erreur plus importantes. Nous refaisons les calculs et préparons les corrections d’auteurs pour soumission à Nature.
Selon une étude menée par des chercheurs de la Scripps Institution of Oceanography de l'Université de Californie à San Diego et de l'Université de Princeton, les océans ont absorbé une énergie calorifique 150 fois supérieure à celle que les humains produisent chaque année.
Les chercheurs ont constaté que le réchauffement des océans indiquait que la Terre était plus sensible aux émissions de combustibles fossiles qu'on ne le pensait auparavant. L'auteur principal de l'étude, Laure Resplandy, professeure adjointe en géosciences à Princeton, a déclaré que cette estimation est supérieure de plus de 60 % à celle du dernier rapport d'évaluation du Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations Unies (GIEC).
L'étude paraît dans la revue Nature le 1 novembre.
«Imaginez si la profondeur de l'océan n'était que de 30 pieds», a déclaré Resplandy, ancien chercheur postdoctoral à Scripps Oceanography. "Nos données montrent qu'il aurait augmenté de 6,5 (11,7) par décennie depuis 1991. En comparaison, l'estimation du dernier rapport d'évaluation du GIEC correspondrait à un réchauffement de seulement 4 (7,2) par décennie."
Les scientifiques savent que l'océan absorbe environ 90 % de l'énergie excédentaire produite par le réchauffement de la Terre. Connaître la quantité d'énergie réelle permet d'estimer le réchauffement de surface auquel on peut s'attendre, a déclaré le co-auteur Ralph Keeling, Scripps. Géophysicien océanographe et ancien conseiller postdoctoral de Resplandy.
"Le résultat augmente considérablement la confiance que nous pouvons accorder aux estimations du réchauffement de l'océan et contribue donc à réduire les incertitudes quant à la sensibilité du climat", a déclaré Keeling.
La sensibilité au climat sert à évaluer les émissions admissibles pour les stratégies d'atténuation. La plupart des climatologues ont convenu au cours de la dernière décennie que si les températures moyennes mondiales dépassaient les niveaux préindustriels de 2 (3,6), il est pratiquement certain que la société sera confrontée aux conséquences généralisées et dangereuses du changement climatique.
Les découvertes des chercheurs suggèrent que si la société veut que la température ne dépasse pas ce niveau, les émissions de dioxyde de carbone, principal gaz à effet de serre produit par les activités humaines, doivent être réduites de 25% de plus que ce qui avait été estimé auparavant, a déclaré Resplandy.
Les résultats des chercheurs sont les premiers à provenir d'une technique de mesure indépendante de la méthode dominante à la base des recherches existantes, a-t-elle déclaré.
Pour calculer le contenu thermique total, les estimations précédentes reposaient sur des millions de mesures de la température des océans. Beaucoup provenaient d'un réseau de capteurs robotiques mis au point par les chercheurs de Scripps, connus sous le nom d'Argo. Des lacunes dans la couverture ont toutefois rendu cette approche incertaine. Argo effectue des mesures complètes de la température et de la salinité des océans à travers le monde, mais les données complètes du réseau ne datent que de 2007 et ne mesurent que la moitié supérieure de l'océan. Plusieurs réévaluations du contenu calorifique ont été effectuées ces dernières années à l'aide des données sur la température de l'océan, y compris les dernières données Argo, qui ont conduit à une révision à la hausse de l'estimation du GIEC.
Resplandy et ses co-auteurs ont utilisé les mesures de haute précision de l'oxygène et du dioxyde de carbone dans l'air effectuées par Scripps dans des stations du monde entier. Ils ont ainsi déterminé la quantité de chaleur accumulée par les océans au cours de la période étudiée. Ils ont mesuré la chaleur des océans en examinant la quantité combinée d'O2 et de gaz carbonique dans l'air, une quantité qu'ils appellent «oxygène potentiel atmosphérique» ou APO. La méthode dépend du fait que l'oxygène et le dioxyde de carbone sont moins solubles dans les eaux plus chaudes.
À mesure que l'océan se réchauffe, ces gaz sont libérés dans l'air, ce qui augmente les niveaux d'APO. L’APO est également influencée par la combustion de combustibles fossiles et par un processus océanique impliquant l’absorption d’un excès de gaz carbonique provenant de combustibles fossiles. En comparant les changements observés dans l'APO observés avec les changements attendus dus à l'utilisation de combustibles fossiles et à l'absorption de dioxyde de carbone, les chercheurs ont pu calculer la quantité d'APO émise par l'océan qui se réchauffait. Cette quantité coïncide avec le contenu calorifique en énergie de l'océan.
Les chercheurs estiment que les océans du monde ont absorbé plus de 13 zettajoules d'énergie calorifique chaque année entre 1991 et 2016. Le joule est l'unité standard d'énergie. Une zettajoule équivaut à un sextillion (ou au nombre 1 suivi de 21 zéros).
Resplandy et Keeling ont travaillé avec les coauteurs Yassir Eddebbar et Mariela Brooks de Scripps, Rong Wang de l’Université Fudan en Chine, Laurent Bopp de l’École Normale Supérieure en France, Matthew Long du Centre national de recherche sur l’atmosphère, John Dunne du NOAA, fluide géophysique. Dynamics Laboratory et Wolfgang Koeve et Andreas Oschlies du Centre GEOMAR Helmholtz pour la recherche océanographique en Allemagne.
L'étude, intitulée «Quantification de l'absorption de chaleur des océans par les modifications de la composition en O2 et en gaz carbonique dans l'atmosphère», a été financée par le bureau du programme climat de la National Oceanic and Atmospheric Administration (subvention NA13OAR4310219) et le Princeton Environmental Institute.
Note de l'éditeur (6 novembre): Le titre du communiqué de presse a été modifié depuis sa publication originale pour mettre en valeur les aspects les plus récents de la recherche.
(...) Les scientifiques savent que l'océan absorbe environ 90 % de l'énergie excédentaire produite par le réchauffement de la Terre. (...)
Remarquez la tournure de la phrase 'absorbe environ 90 %' ! Laissant entendre que cette chaleur viendrait de l'extérieur (gaz, soleil). Or, un scientifique SAIT que la Terre est une boule de feu dans ses profondeurs. Ce magma réchauffe continuellement les mers et océans (voir sur VENTUSKY la température des océans très loin des tropiques).
(...) À mesure que l'océan se réchauffe, ces gaz sont libérés dans l'air, ce qui augmente les niveaux d'APO. L’APO est également influencée par la combustion de combustibles fossiles et par un processus océanique impliquant l’absorption d’un excès de gaz carbonique provenant de combustibles fossiles. (...)
Effectivement, comme il en est pour les volcans terrestres, les sous-marins et sous-océaniques émettent eux aussi des quantité de gaz (comme il en est pour le pétrole abiotique avec le butane/propane). Il en ressort que ces émanations magmatiques incluent la combustion de toutes sortes de composants tels que charbon et pétrole en plus des millions de produits toxiques libérés par eux.
Lois sur les armes à feu Red Flag: Encore une arme gouvernementale pour la conformité et le contrôle
par Tyler Durden Mer. 14/11/2018 - 23:45 Écrit par John Whitehead via le Rutherford Institute,
"Ceux qui ne peuvent pas se souvenir du passé sont condamnés à le répéter." - George Santayana
On n'apprend jamais.
Entre de bonnes (ou de mauvaises) mains, les plans bienveillants peuvent facilement être mis à des fins malveillantes.
Même la loi ou le programme gouvernemental le mieux intentionné peut être - et a été - perverti, corrompu et utilisé pour promouvoir des objectifs illégitimes une fois que le profit et le pouvoir ont été ajoutés à l'équation.
Lutte contre le terrorisme, lutte contre la drogue, lutte contre l'immigration illégale, systèmes de confiscation d'avoirs, systèmes de sécurité routière, systèmes de sécurité scolaire, domaine éminent: tous ces programmes ont été lancés en tant que réponses légitimes à des préoccupations pressantes et sont depuis devenus des armes de la conformité et le contrôle dans les mains de l'état policier.
Notez les mots: les lois sur les armes à feu, qui autorisent la police à retirer les armes des personnes soupçonnées de menaces, ne feront que renforcer le pouvoir du gouvernement.
Ces lois, qui gagnent en popularité en tant que moyen législatif permettant de saisir les armes à feu de personnes considérées comme un danger pour elles-mêmes ou pour autrui, constituent un autre cheval de Troie, une manœuvre furtive de la part de l’État policier visant à obtenir un pouvoir accru sur une population peu méfiante et en grande partie crédule.
Treize États ont maintenant des lois sur le drapeau rouge. Ce nombre augmente.
Comme le rapporte le Washington Post, ces lois «autorisent un membre de la famille, un colocataire, un agent de la force publique ou tout autre type de professionnel de la santé à déposer une pétition [devant un tribunal] demandant à ce que le domicile d’une personne soit temporairement débarrassé de toute arme à feu. Il n’exige pas de diagnostic de santé mentale ni d’arrestation ».
Au milieu de ce qui ressemble à une épidémie de tirs en masse, ces lois sur la confiscation des armes à feu - lois sur les ordonnances de protection contre les risques extrêmes (ERPO) - peuvent apaiser les craintes de ceux qui croient que moins d'armes à feu entre les mains de la population en général rendra notre société plus sûre.
Bien sûr, ça ne marche pas toujours comme ça.
N'importe quoi - couteaux, véhicules, avions, autocuiseurs - peut devenir une arme lorsqu'il est utilisé avec des intentions mortelles.
Avec ces lois sur les armes à feu drapeau rouge, l’intention est de désarmer les individus qui représentent une menace potentielle.
«Nous devons arrêter les personnes dangereuses avant qu’elles agissent»: c’est la raison qui sous-tend le soutien de la NRA à ces lois «drapeau rouge», et à première vue, il semble parfaitement raisonnable de vouloir désarmer des individus manifestement suicidaires et / ou posant «Danger immédiat» pour eux-mêmes ou pour les autres.
Le problème se pose, bien sûr, lorsque vous mettez le pouvoir de déterminer qui constitue un danger potentiel aux mains des organismes gouvernementaux, des tribunaux et de la police.
Nous avons déjà emprunté cette voie.
N'oubliez pas que c'est le même gouvernement qui utilise les mots «anti-gouvernement», «extrémiste» et «terroriste» de manière interchangeable.
C’est le même gouvernement dont les agents sont en train de faire volte-face avec des évaluations de la menace, des avertissements de détection du comportement, des «mots» et des rapports d’activité «suspects» utilisant des yeux et des oreilles automatisés, des médias sociaux, des logiciels de détection de comportement et des espions citoyens. identifier les menaces potentielles.
C’est le même gouvernement qui répète sans cesse la loi sur l’autorisation de la défense nationale (NDAA), qui permet à l’armée de détenir des citoyens américains n’ayant aucun accès à leurs amis, à leur famille ou aux tribunaux si le gouvernement les considère comme une menace.
C'est le même gouvernement qui a de plus en plus de listes d'idéologies, de comportements, d'affiliations et d'autres caractéristiques susceptibles de marquer une personne suspecte et de se voir attribuer le statut d'ennemi potentiel de l'État (commun aux centres de fusion et aux organismes chargés de l'application de la loi).
Par exemple, si vous croyez et exercez vos droits en vertu de la Constitution (à savoir, votre droit de parler librement, d'adorer librement, de vous associer à des individus qui partagent vos vues politiques, de critiquer le gouvernement, de posséder une arme, d'exiger un mandat d'arrêt être interrogé ou fouillé, ou toute autre activité considérée comme potentiellement anti-gouvernementale, raciste, fanatique, anarchique ou souveraine), vous pourriez être au sommet de la liste de surveillance terroriste du gouvernement.
En outre, comme le met en garde un éditorial du New York Times, vous pourriez être un extrémiste anti-gouvernemental (terroriste national) aux yeux de la police si vous craignez que le gouvernement complote de confisquer vos armes à feu, si vous croyez que l'économie est une réalité. s'effondrer et le gouvernement déclarera bientôt la loi martiale, ou si vous portez un nombre inhabituel d'autocollants de pare-chocs politiques et / ou idéologiques sur votre voiture.
Laissez cela couler dans un instant.
Examinons maintenant ce qui s’est passé dans le Maryland après la tentative d’un policier d’appliquer la nouvelle loi sur l’état du drapeau rouge de l’État, entrée en vigueur le 1er octobre.
Un lundi à cinq heures du matin, deux policiers se sont présentés au domicile de Gary Willis, âgé de 61 ans, pour lui signifier une ordonnance du tribunal l’obligeant à rendre ses armes. Willis a répondu à la porte en tenant un pistolet.
Un lundi à cinq heures du matin, deux policiers se sont présentés au domicile de Gary Willis, âgé de 61 ans, pour lui signifier une ordonnance du tribunal l’obligeant à rendre ses armes. Willis a répondu à la porte en tenant un pistolet.
Rappelez-vous, dans certains États, il suffit de répondre à la porte en tenant une arme à feu pour vous faire tuer par des policiers qui ont tendance à tirer en premier et à poser des questions plus tard.
Willis a d'abord mis son arme de côté pendant qu'il parlait à la police. Cependant, lorsque la police a tenté de lui signifier l'ordre de confiscation des armes à feu, Willis serait devenu «en colère» et aurait repris son arme. À ce stade, une lutte s'ensuivit, provoquant le déclenchement du pistolet. Bien que personne n'ait été blessé, l'un des policiers a abattu Willis.
Selon le chef de la police du comté d'Anne Arundel, la fusillade était un signe que la loi du drapeau rouge était nécessaire.
Ce que la police ne peut dire avec certitude, c’est ce qu’elle a empêché en tirant et en tuant Willis.
C’est là que réside le danger de ces lois «drapeau rouge», en particulier, et des lois antérieures à la criminalité telles que celles-ci en général.
C’est le monde que l’auteur de science-fiction Philip K. Dick a imaginé pour Minority Report, dans lequel le gouvernement est omniprésent, tout-savoir et tout-puissant, et si vous osez sortir des sentiers battus, des équipes de police SWAT vêtues de noir craquer quelques crânes pour mettre la populace sous contrôle.
Dans l’état policier dystopique de Dick, la police associe surveillance étendue, technologies de prévision du comportement, fouille de données et technologie précognitive pour capturer les criminels avant qu’ils ne puissent faire le moindre mal: le crime préalable.
Dans Minority Report, réalisé par Steven Spielberg, la technologie sur laquelle s'appuie John Anderton, chef du département de pré-crime à Washington, se révèle faillible, le désignant comme le prochain criminel et ciblant lui pour des mesures préventives. En conséquence, Anderton se trouve non seulement en train de prouver son innocence, mais également contraint de prendre des mesures drastiques pour éviter d'être capturé dans un État de surveillance qui utilise des données biométriques et des réseaux informatiques sophistiqués pour suivre ses citoyens.
Au fil des jours, l'État policier américain se rapproche beaucoup du monde fictif de Minority Report sur la prévention de la criminalité.
Par exemple, la police dans les grandes villes américaines a testé un outil qui lui permet d'identifier les individus - ou les groupes d'individus - les plus susceptibles de commettre un crime dans une communauté donnée. Ces personnes sont ensuite informées que leurs mouvements et leurs activités seront étroitement surveillés et que toute activité criminelle (de leur part ou de leurs associés) entraînera des peines sévères.
En d’autres termes, le fardeau de la preuve est renversé: vous êtes coupable avant d’avoir une chance de prouver votre innocence.
Creusez sous la surface de ce type d’État de surveillance / police et vous constaterez que le véritable objectif de la prévention du crime n’est pas la sécurité mais le contrôle.
Les lois sur les armes à feu au drapeau rouge ne font que nous rapprocher de plus en plus d'une société suspecte où tout le monde est potentiellement coupable d'un crime ou d'un autre et doit être inoffensif.
Là où beaucoup d'Américains se trompent, c'est en supposant naïvement que vous devez faire quelque chose d'illégal ou de dangereux pour pouvoir être signalé et ciblé pour une forme quelconque d'intervention ou de détention.
En fait, les services de police des États-Unis s’emploient à identifier et à gérer les éventuelles «menaces» extrémistes, violentes ou non, avant qu’elles ne puissent devenir de véritables menaces depuis un certain temps déjà.
De la même manière que le USA Patriot Act a été utilisé comme un front pour faire progresser l'État de surveillance, permettant au gouvernement d'établir un programme d'espionnage national de grande envergure qui ferait de chaque citoyen américain un suspect, le programme gouvernemental du gouvernement rend activités par ailleurs légitimes et non violentes, potentiellement extrémistes.
En fait, tout ce que vous avez à faire ces jours-ci pour vous retrouver sur une liste de contrôle du gouvernement ou faire l'objet d'un examen minutieux est d'utiliser certains mots clés (tels que nuage, porc et pirates), surfer sur Internet, communiquer à l'aide d'un téléphone bégayer, conduire une voiture, rester dans un hôtel, assister à un rassemblement politique, s'exprimer sur les médias sociaux, paraître malade mental, servir dans l'armée, être en désaccord avec un responsable de l'application des lois, appeler malade pour travailler, acheter du matériel dans une quincaillerie , prenez des leçons de pilotage ou de navigation de plaisance, semblez suspicieux, paraissez confus ou nerveux, bougez ou sifflez ou sentez mauvais, soyez vu en public en agitant un pistolet-jouet ou tout ce qui ressemble de loin à un pistolet (comme une lance à eau, une télécommande ou une canne mobile) ), regarder un officier de police, interroger l’autorité gouvernementale, sembler être en faveur des armes à feu ou en faveur de la liberté, ou vivre généralement aux États-Unis.
Soyez averti: une fois sur la liste du gouvernement, qu'il s'agisse d'une liste de surveillance des terroristes, d'une liste de surveillance de la santé mentale, d'une liste de surveillance des dissidents ou d'une liste de surveillance des armes à feu, il n'y a pas de moyen bien défini de s'en sortir. ou non, vous devriez réellement être là-bas.
Vous serez suivi où que vous alliez.
Vous serez signalé comme une menace potentielle et traité en conséquence.
C’est un crime qui a précédé le crime sur une échelle idéologique et qui a été long à venir.
Le gouvernement a mis en place son réseau de surveillance pré-crime de concert avec des centres de fusion (répartis dans 78 pays, avec des partenaires du secteur privé et du monde entier), des agences de collecte de données, des scientifiques du comportement, des entreprises, des médias sociaux et des organisateurs communautaires. et en s'appuyant sur des technologies de pointe pour la surveillance, la reconnaissance faciale, la surveillance prédictive, la biométrie et l'épigénétique comportementale (dans laquelle les expériences de vie modifient le patrimoine génétique).
C’est le point de vue de l’État policier américain sur les terreurs dystopiques annoncées par George Orwell, Aldous Huxley et Phillip K. Dick, qui sont toutes réunies dans un même paquet oppressif de pré-crime et de pré-pensée.
Si vous n’avez pas encore peur, vous devriez l’être.
Relier les points.
Commencez par les pouvoirs conférés au gouvernement par le USA Patriot Act, notez la définition toujours plus large que donne le gouvernement de ce qu'il considère comme un «extrémiste», puis ajoutez les pouvoirs de détention du gouvernement en vertu du NDAA, la surveillance de grande portée de la National Security Agency. réseaux et centres de fusion qui collectent et partagent des données de surveillance entre services de police locaux, étatiques et fédéraux.
Ajoutez à cela des dizaines de milliers de drones de surveillance armés qui couvriront bientôt le ciel américain, une technologie de reconnaissance faciale qui vous identifiera et vous suivra où que vous soyez et quoi que vous fassiez. Et pour compléter le tableau, ajoutez les centres anti-criminalité en temps réel déployés dans différentes villes du pays, qui tenteront de "prédire" les crimes et d'identifier les criminels avant qu'ils ne surviennent, en s'appuyant sur une surveillance généralisée, des algorithmes mathématiques complexes et des programmes de pronostic.
J'espère que vous commencez à comprendre à quel point le gouvernement a facilement permis d'identifier, de désigner, de cibler, de désamorcer et de détenir toute personne qu'il considérait comme une menace potentielle pour diverses raisons, allant de la maladie mentale au statut militaire. avoir contesté son autorité pour simplement figurer sur la liste des personnalités non grata du gouvernement.
Cela me ramène à ces lois sur les armes à feu drapeau rouge.
À court terme, ces lois sur la confiscation des armes à feu peuvent temporairement retarder ou décourager ceux qui souhaitent infliger des actes de violence à autrui, mais elles ne résoudront pas la folie, la haine ou l'instabilité qui poussent quelqu'un à appuyer sur une gâchette, à lancer une bombe ou à déchaîner la violence. sur un autre.
Ces lois ne nous épargneront pas non plus la violence impulsée par le gouvernement et dirigée par l'État policier américain, ni le contrecoup du complexe militaro-industriel ancré dans la guerre, imprégné de violence et à but lucratif, deux éléments qui restent largement sous-estimés et sous-estimés. de la discussion sur la violence armée en Amérique.
À long terme, toutes ces lois sur la confiscation des armes à feu feront en sorte que, lorsque la police sera enfin réprimée, «nous, le peuple», sommes sans défense face à l’arsenal d’armes du gouvernement.
Après tout, le thème le plus important et le plus cohérent dans la Constitution, y compris le deuxième amendement, est le fait qu’il ne s’agit pas simplement d’une énumération de nos droits, mais était censé constituer une entrave évidente aux pouvoirs du gouvernement.
William O. Douglas, juge à la Cour suprême, a bien compris cette tension. "La Constitution n'est pas neutre", a-t-il remarqué. «Il a été conçu pour aider le gouvernement à se débarrasser du gouvernement.»
De cette manière, les libertés inscrites dans la Déclaration des droits dans leur ensemble constituent un rempart contre un État policier. À notre détriment, ces droits ont été progressivement affaiblis, érodés et sapés au cours des dernières années.
Pourtant, sans aucun d'entre eux, y compris le droit de posséder et de porter les armes prévu par le Deuxième Amendement, nous sommes encore plus vulnérables aux aléas des policiers incontrôlables, des dictateurs bienveillants, des hommes politiques généreux et des bureaucrates trop ambitieux.
Vous pouvez éliminer toutes les armes à feu, mais cela n'éliminera pas nécessairement la violence. Ces mêmes personnes assez malades pour se rendre dans une école primaire ou un cinéma et ouvrir le feu à l'aide d'une arme à feu peuvent tout aussi causer des dégâts avec des bombes artisanales fabriquées à partir d'autocuiseurs et d'une poignée de couteaux.
Il n’est même pas question de savoir si les Américains ont besoin d’armes pour se défendre contre toute menace manifeste pour leur sécurité ou leur bien-être, bien qu’une étude réalisée par un économiste de la Quinnipiac University indique que des lois moins restrictives et dissimulées sur le port des armes sauvent des vies, tandis que le contrôle des armes à feu peut mettre en danger des vies. En fait, le journaliste Kevin Carson, écrivant pour CounterPunch, suggère qu'interdire à des Américains de posséder des armes serait aussi dangereusement inefficace que la prohibition et la guerre contre la drogue:
Ce qu’auront des lois strictes sur les armes à feu, c’est faire passer le niveau de l’état de police, de l’anarchie et de la pathologie sociale en général de la même manière que la prohibition et la guerre contre la drogue. Je m'attendrais à ce qu'une guerre contre les armes à feu accroisse le volume du crime organisé et donne le pouvoir aux gangs criminels qui se disputent le contrôle du marché noir, exactement comme Prohibition dans les années 1920 et les lois strictes en matière de drogue depuis les années 1980. Je pense que cela entraînera une érosion supplémentaire des protections contre les perquisitions et perquisitions du Quatrième amendement, une militarisation accrue de la police locale via des équipes SWAT et une nouvelle expansion de l'empire sordide de la confiscation civile, des témoignages de prisonnier pris au piège, des pièges, des preuves le plaidoyer de chantage.
En vérité, le débat sur la possession d’une arme à feu en Amérique est en réalité un débat sur la question de savoir qui doit prendre les décisions et contrôler le match. En d’autres termes, c’est la même lutte acharnée qui perdure dans toutes les confrontations entre le gouvernement et les citoyens sur la question de savoir qui devient le maître et qui est relégué au rang du serviteur.
La Constitution est claire sur ce point, avec sa multitude d'interdictions de la part du gouvernement. En tant qu'auteur Edmund A. Opitz a observé en 1964:
Personne ne peut lire notre Constitution sans conclure que ceux qui l’ont écrite veulent que leur gouvernement soit sévèrement limité; les mots «non» et «non» employés pour restreindre le pouvoir gouvernemental apparaissent 24 fois dans les sept premiers articles de la Constitution et 22 fois plus dans la Déclaration des droits.
En résumé, le droit de porter les armes aux termes du Deuxième Amendement reflète non seulement un souci de défense personnelle, mais sert également à contrôler le pouvoir politique des autorités au pouvoir. C’est un avertissement implicite contre les atteintes des libertés publiques par les gouvernements, un avertissement lancé au-dessus de l’arc pour décourager toute violation illégale de notre personne ou de nos biens. En tant que tel, il renforce cet équilibre nécessaire dans la relation citoyen-État.
Certes, les dictateurs des régimes passés ont très bien compris ce principe. Comme Adolf Hitler l'a noté, «L'erreur la plus stupide que nous puissions faire serait de permettre aux races sujettes de posséder des armes. L’histoire montre que tous les vainqueurs qui ont permis à leurs races respectives de porter les armes ont préparé leur propre chute.
Il n’est donc pas surprenant que dès décembre 1935, les Juifs d’Allemagne aient été empêchés d’obtenir une licence de tir, car les autorités pensaient que leur permettre de le faire «mettrait en danger la population allemande».
À la fin de 1938, des ordres spéciaux interdisaient aux Juifs de posséder des armes à feu. La peine de possession d'armes était de vingt ans dans un camp de concentration.
Le reste, comme on dit, appartient à l'histoire.
Pourtant, comme je l'explique clairement dans mon livre intitulé Battlefield America: La guerre contre le peuple américain, nous devons nous garder de répéter cette histoire.
Le thème qui n'est JAMAIS abordé est "Pourquoi les sociétés changent et ne sont plus comme avant ?"
Avant, il y avait une voiture par foyer, en admettant que chacun ait eut 4 enfants il devrait y avoir un nombre de véhicules multiplié par 4 sur les routes. Or, ce nombre est proche de cent !! Familles très nombreuses ? (Hahaha !) NON ! Immigration. Immigration ne veut pas dire surpopulation car, quelqu'un qui immigre... n'est plus là. On parle donc uniquement de concentration (d'un côté) et de désertification de l'autre. Donc, qui modifie la structure des sociétés ?: Les immigrés qui imposent et veulent reproduire en pays d'accueil ce qu'il ont fuit depuis leur lieu de naissance !
Notez bien qu'au travers des 'armes à feu' qui se traduit par: Ne jamais laissé de décision au Peuple ! s'ébauche des plans pour empêcher l'arrivée et mise en place de la Démocratie (où c'est le Peuple qui propose SES propres lois et vote SES propres lois.).
Plus d'américains sont morts des overdoses de drogue en 2017 que les armes à feu, les accidents de voiture et le suicide ensemble
par Tyler Durden Mer. 14/11/2018 - 21:05 Écrit par Anna Giaritelli via le Washington Examiner,
Les surdoses de drogue ont entraîné plus de décès aux États-Unis en 2017 que toute autre année enregistrée et ont été la principale cause de décès dans le pays, selon un rapport de la Drug Enforcement Administration publié vendredi.
Selon le NIH, plus de 72 000 personnes sont mortes d'une surdose de drogue en 2017 - environ 200 par jour. Ce nombre est plus de quatre fois supérieur au nombre de personnes décédées en 1999 de la toxicomanie: 16 849.
Les chiffres sont en hausse d'environ 15% par rapport aux 63 632 décès liés à la drogue en 2016.
Depuis 2011, plus de personnes sont mortes de surdoses de drogue que de violences armées, d'accidents de la route, de suicides ou d'homicides, a déclaré le rapport de la DEA.
En 2017, 40 100 personnes sont décédées dans des incidents impliquant un véhicule. 15 549 personnes ont été abattues, sans compter le suicide; 17 284 ont été victimes d'homicide, bien qu'une partie non spécifiée de ce nombre comprenne des victimes de coups de feu; et près de 45 000 se sont suicidés.
La DEA a attribué la légère hausse des décès de l'année dernière à une hausse du nombre de décès liés aux opioïdes. L'agence a déclaré que 49 060 personnes sont décédées des suites d'une consommation abusive d'opioïdes, contre 42 249 en 2016.
Parmi ces décès d’opioïdes, les opioïdes synthétiques sont responsables de près de 20 000. Plus de gens sont morts d'eux que l'héroïne. Selon le rapport de la DEA, le fentanyl synthétique et les types de drogues comparables sont moins chers que l’héroïne, ce qui les rend plus attractifs pour les acheteurs.
La DEA a également constaté que les surdoses de drogue liées à l'héroïne avaient doublé de 2013 à 2016, parce que des fabricants produisant illégalement du fentanyl synthétique avaient enrobé l'héroïne d'opioïdes.
Le président Trump a déclaré l'épidémie d'opioïdes «urgence nationale» en octobre 2017. Le mois dernier, il a signé un projet de loi exhaustif prévoyant un financement de 8,5 milliards de dollars pour des projets connexes visant à réduire la dépendance et le nombre de décès.
Le procureur général, Jeff Sessions, a relevé une tendance positive dans l'étude.
"Les données préliminaires du CDC montrent que les décès par surdose de drogue ont en fait commencé à diminuer vers la fin de 2017 et que les ordonnances d'opioïdes ont considérablement diminué", a déclaré Sessions dans un communiqué.
Les vagues de migrants de la caravane arrivent à Tijuana et commencent à grimper la barrière de frontière de San Diego
par Tyler Durden Mer. 14/11/2018 - 14:00
Alors que les premières vagues de migrants d'Amérique centrale arrivent à Tijuana, on peut voir des dizaines de personnes du côté mexicain de la frontière escalader la barrière - qui a curieusement une large plate-forme au sommet, et aucun fil de rasoir n'a été déployé plus à l'intérieur des terres.
La patrouille des frontières a publié mardi une déclaration dans laquelle elle affirmait que certaines des personnes se trouvant à la clôture étaient des membres qui voyageaient dans le cadre de la caravane de migrants d'Amérique centrale originaire du Honduras.
Les migrants qui ont atteint la barrière frontalière dans cette zone viennent du Honduras, du Guatemala, du Nicaragua et d'El Salvador. Beaucoup marchent et auront encore besoin de plus de temps pour atteindre la frontière, et ceux qui sont arrivés semblaient déjà le faire avec l'aide d'autobus ou d'un autre moyen de transport. -Washington examinateur
Lundi, la première vague de migrants est arrivée à Tijuana; environ 80 demandeurs d'asile homosexuels, lesbiennes et transgenres qui ont été arrêtés par une organisation anonyme après avoir affirmé que des demandeurs d'asile intolérants les harcelaient.
«Nous avons fait l'objet de discrimination, même dans la caravane», a déclaré Erick Dubon, 23 ans, de San Pedro Sula, au Honduras, qui voyageait avec son petit ami, Pedro Nehemias, 22 ans. «Les gens ne nous laisseraient pas monter à bord nous arrivions au fond de la ligne pour les douches, ils nous appelaient des noms laids. "-WaPo
Dans le même temps, le Département des douanes et de la protection des frontières des États-Unis (CBP) a annoncé que des travaux avaient été entrepris mardi pour "durcir" la frontière entre Tijuana, Mexique et San Diego, en utilisant du fil de rasoir et d'autres mesures. Pas juste à la plage, apparemment.
Comme nous l'avions annoncé mardi, le CBP a fermé quatre voies aux points d'entrée très fréquentés de San Ysidro et d'Otay Mesa à San Diego afin "d'installer et de prépositionner du matériel d'infrastructure de renforcement des ports en vue de la caravane de migrants et de la sécurité potentielle risque que cela puisse causer ", selon CBS News et PBS.
Jeudi, 1 100 Marines du camp de base du Corps de la marine, le camp de Pendleton en Californie, ont été déployés pour renforcer la sécurité des frontières, a rapporté le KFMB, affilié à CBS San Diego. Ils étaient principalement chargés d’installer des cordons en accordéon et de pré-positionner des barrières, des barricades et des clôtures.
...
Des milliers de migrants d'Amérique centrale ont quitté les abris de Guadalajara mardi matin et ont été conduits en autobus à un poste de péage autoroutier pour attendre le trajet jusqu'à leur prochaine destination. La plupart ont semblé vouloir emprunter la route de la côte du Pacifique vers le nord, en direction de la ville frontalière de Tijuana, qui se trouvait encore à environ 1 350 milles. Les migrants ont parcouru environ 1 500 milles depuis leur arrivée au Honduras, le 13 octobre, alors que la caravane n’avait en moyenne que 30 milles en moyenne par jour, mais ils parcourent maintenant une distance quotidienne de 185 milles ou plus, en partie parce qu’ils comptent plutôt sur l’auto-stop que marcher.
AUSTRALIE - DES GROUPES TERRORISTES PROMETTENT DES ATTAQUES
Une semaine après l'attaque au couteau à Melbourne, d'autres attaques sont annoncées par des groupes terroristes. L'attaque au couteau perpétrée à Melbourne la semaine dernière a couté la vie à une personne.
15.11.2018, 05h53
Des organisations affiliées à l'Etat islamique (EI) ont affirmé qu'il y aurait de nouvelles opérations contre l'Australie et d'autres pays occidentaux. Des affiches représentant l'attaque au couteau perpétrée à Melbourne la semaine dernière ont été mises en ligne.
«Australie, ne crois pas que tu es épargnée par nos attaques», peut-on lire sur une affiche mise en ligne mercredi par la fondation média Dera' al Sunni (bouclier sunnite en français), selon le centre américain de surveillance des groupes islamistes et extrémistes SITE. Une photographie du véhicule incendié par l'assaillant vendredi à Melbourne y figure aussi.
L'assaillant de 30 ans, d'origine somalienne, avait tué une personne et a blessé deux autres à coups de couteau avant d'être abattu par la police. Il avait au préalable incendié son véhicule rempli de bouteilles de gaz.
Une autre affiche mise en ligne et citée par SITE montre un cliché tiré des réseaux sociaux, où l'on voit l'auteur en train d'essayer de porter des coups de couteau à un policier. «Melbourne aujourd'hui. Quelle sera demain la prochaine ville?», peut-on lire en surimpression sur l'image. Le groupe sunnite radical EI avait revendiqué la responsabilité de l'attaque le jour même sans fournir d'éléments de preuve à l'appui. (ats/nxp)
Le plus terrible ransomware de l’histoire d’Internet est de retour
08:35 15.11.2018
19 mois après le plus grand piratage à rançon de l'histoire, le virus WannaCry est de retour, selon Kaspersky Lab. Selon la société, près de 29% d’ordinateurs des clients de la société ont été de nouveau attaqués.
Le puissant virus WannaCry, qui a attaqué des ordinateurs du monde entier en 2017, est de nouveau devenu le virus extorqueur le plus répandu, ont annoncé des experts de Kaspersky Lab dans leur rapport.
Selon les analystes, ces derniers mois, WannaCry s'est classé au premier rang des attaques sur les ordinateurs des clients de la société. Le nombre d'attaques de ce virus représente près de 29 % du total.
Le coupable de la plus importante cyberattaque de l’histoire dévoilé
La deuxième place après WannaCry est occupée par les nouvelles versions du cheval de Troie GandCrab. Ce programme extorqueur a attaqué ces derniers temps un peu plus de 12 % des ordinateurs. Le décrypteur Cryakl occupe le troisième rang du classement. Il est à l'origine d'environ 9 % des attaques commises.
En mai 2017, l'attaque de WannaCry a touché près de 300.000 ordinateurs dans 150 pays. Le matériel infecté par le ransomware prenait en otages les données personnelles de l'utilisateur après que celui-ci a cliqué sur un lien contenu, par exemple, dans un e-mail. Le virus réalisait alors un chiffrement des données et proposait de les déchiffrer en échange d'une rançon en Bitcoins. De nombreuses grandes entreprises ont ainsi été touchées, comme le constructeur automobile Renault, le groupe espagnol Telefonica, la Deutsche Bahn allemande, etc.
Les pirates ont utilisé une faille de sécurité du système d'exploitation Windows initialement exploitée par l'Agence nationale de la sécurité (NSA), EternalBlue, dont l'existence a été révélée en avril par les groupes de hackers appelés The Shadow Brokers et Equation Group.
L’hacktivisme est en construction, il a besoin de trouver ses marques, de mieux s’auto-réguler pour gagner en crédibilité et en puissance.
Par Yannick Chatelain. Un article de The Conversation 15 NOVEMBRE 2018
Après avoir identifié un certain nombre de forces et faiblesses de l’hactivisme (cf. Partie 1 : Hacktivisme et Cause À Défendre (CAD) : Forces, faiblesses, opportunités et menaces !)), poursuivons son analyse SWOT en abordant dans cette seconde partie les opportunités et les menaces qui le concernent.
OPPORTUNITÉS
Dans certains pays, la loi protège celles et ceux qui, pour le bien collectif, dénoncent des abus, quel que soit le type d’organisation dont ils émanent (collectivité, entreprise…). Si l’aide apportée aux lanceurs d’alertes (hacktivistes à part entière) existe au travers d’organisation comme transparency france depuis plus de dix ans, leur défense a été renforcée par la loi depuis peu. Le dispositif « Lanceurs d’alerte » mis en place le 1?? janvier 2018) par le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères peut être consulté à titre d’exemple. La réalité de la protection légale du lanceur d’alerte devra être validée par la preuve. Cette évolution est porteuse d’espoir.
MENACES
“L’insincérité” éventuelle des gouvernances quant à leur réelle volonté de protection d’hacktivistes spécifiques tels que les lanceurs d’alertes peut conduire à la mort sociale de ces derniers. Cette mort sociale demeure un risque fort.
Des lois qui peuvent transformer des actions légitimes en actions illégales et rendre délictueux ce qui ne l’était pas. Le pouvoir peut avoir la tentation de criminaliser ce qui est juste, à seule fin de défendre et couvrir des pratiques déloyales qui lui sont profitables. C’est là, à mon sens, l’un des risques majeurs du projet de loi fake news.
L’absence de modus vivendi établi et clair (par exemple le nombre de signataires minimum, la validité des signatures lors de pétitions… ) conduit à la non prise en compte et au non au traitement par les gouvernements « démocratiques » des actions citoyennes massives effectuées via Internet.
L’obscurantisme technologique intentionnel : le déficit de vulgarisation et d’information sur certains choix technologiques qui s’opèrent dans notre société surinformatisée empêche le citoyen d’avoir un avis suffisamment éclairé pour prendre position sur des décisions prises qui le concernent directement. Les machines à voter sont un exemple parmi d’autres.
Le désintérêt des citoyens qui, pris dans un quotidien difficile peuvent ne pas se sentir concernés par la chose publique. Il peut entretenir l’idée que s’impliquer dans les débats publics sur Internet est sans utilité ou pas à sa portée.
L’hacktivisme est en construction, il a besoin de trouver ses marques, de mieux s’auto-réguler pour gagner en crédibilité et en puissance. Il pourra s’inspirer, dans l’action, de ce type d’analyse SWOT, pour évoluer et devenir à moyen terme un mode d’action et d’expression citoyenne pris en considération par les gouvernances du « monde libre ».
Tout le monde veut gouverner, personne ne veut être citoyen. Où est donc la cité ? Louis Antoine de Saint-Just
À suivre
Yannick Chatelain, Enseignant Chercheur. Head of Development. Digital I IT, Grenoble École de Management (GEM)
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.
CLIMAT - LE RÉCHAUFFEMENT EST AUSSI MAUVAIS POUR LES SPERMATOZOÏDES
Des insectes soumis à des hausses de température ont vu leur fertilité baisser. L'homme pourrait aussi être concerné. Quelques degrés en plus et la qualité du sperme de coléoptères est en chute libre.
MICHEL PRALONG 15.11.2018, 06h58
Les effets du réchauffement climatique ne se font pas ressentir que sur l'environnement. Ils peuvent aussi modifier la biologie de certaines espèces. Des chercheurs de l'Université d'East Anglia, à Norwich (GB), l'ont vérifié sur des coléoptères rouges de la farine (Tribolium castaneum).
Ils ont divisé les insectes en deux groupes: un vivant à une température normale, l'autre soumis à des hausses de 5 à 7 °C durant 5 jours. Selon leurs résultats publiés dans «Nature Communications», le deuxième groupe a eu deux fois moins de descendants que le premier. Leur nombre de spermatozoïdes était 75% moins élevé que chez les coléoptères vivant à température normale. Même leur appétit sexuel était diminué, s'accouplant deux fois moins que les autres.
Selon les scientifiques, cela pourrait être l'une des raisons qui explique pourquoi les populations d'insectes ont drastiquement diminué au cours des 25 dernières années. Si les résultats de cette étude ne peuvent pas être appliqués tels quels à l'homme, le fait d'avoir prouvé qu'une hausse des températures affectait des spermatozoïdes pourrait tout de même être une piste pour comprendre un fait avéré: la qualité et le nombre de spermatozoïdes humains sont en constante baisse depuis des années.
Comme l'a constaté ce site anti-suisses et anti-scientifiques, c'est en Afrique (pays chaud) qu'il y a le plus de monde tandis qu'au Groenland (pays froid) il n'y a pas assez ! Çà alors !
Et si les français regardaient enfin en face la vérité sur l'Europe et la France qui bloquent leurs placements et leur liberté financière ?
RépondreSupprimermardi, 13 novembre 2018 20:11
Je reçois pas mal d'emails tous les jours de français inquiets mais toujours inconscients...
Ils ne peuvent plus placer leur argent à l'étranger, ni même le transférer.
Les blocages sont doubles.
Les banques étrangères demandent un compliance de folie à l'ouverture du compte bancaire quand tout simplement elles refusent désormais l'ouverture du compte...
Les produits comme les ETF américains sont également interdits aux français.
Enfin, les virements deviennent problématiques et sont bloqués parfois sans même avertir le client.
Que se passe t il ?
Les mecs, reveillez vous... !
Si vous croyez 2 secondes que vous allez pouvoir quitter le navire qui sombre librement sans aucune difficulté... ba vous rêvez.
La liberté facile dont j'ai profité, c'est fini.
Maintenant il faut lutter pour la gagner. Et demain, elle ne sera tout simplement plus possible.
J'en parle sur Objectif Eco depuis des années et la vérité, c'est que sur les 10.000 personnes qui me suivent, allez, soyons sympa, 80% sont incrédules !
Le communisme est la réponse au socialisme qui échoue avant un effondrement final.
Le communisme du passé ne marchera pas sur les blancs. Il faut le maquiller en émettant des interdictions feutrées comme le fait de contrôler les gens via les banques au lieu d'un contrôle direct étatique.
Sur le terrain, c'est exactement identique au final.
Mais la forme des occidentaux paumés qui se reveillent est différente et permet de ne pas susciter trop de révolution.
Désolé mais la conclusion est toujours la même. FUYEZ l'EUROPE quand il est encore temps. Cette fois ci, mon conseil est une FUITE PHYSIQUE et non simplement financière.
Que voulez vous ? Que je publie l'intégralité de vos messages pour vous convaincre ? L'intégralité de vos expériences ? Pour que vous vous reveillez !
Je n'écris pas pour vous vendre quelque chose. Je relate ce qui tombe dans ma boîte email par centaines d'occurences, partout dans le monde.
Les choses s'accélèrent. Il est facile pour moi de connaître la tendance politique en France alors que je n'ouvre jamais aucun site français car la France est mon passé et non mon présent ou mon avenir.
Il reste à tout casser 15 ans avant un effondrement final. Ce ne sera pas un évènement particulier à une date particulière, mais un zigzag permanent vers le pire, pendant 15 ans. Donc autant se barrer tout de suite. Les migrants sont toujours les seuls survivants de l'histoire. Il n'y a aucune honte à fuir. Au contraire, c'est être malin que d'abandonner le navire.
http://www.objectifeco.com/riche-rentier/argent/investir/et-si-les-francais-regardaient-enfin-en-face-la-verite-sur-l-europe-et-la-france-qui-bloquent-leurs-placements-et-leur-liberte-financiere.html
La soluce est de faire 'comme les immigrants': voyager en bateau. Bon, là pour vous c'est un peu plus compliqué parce que vous n'avez pas d'argent qui tombe des poches de terroristes milliardaires, vous devez vous-mêmes acheter la coquille de noix.
SupprimerDonc là, suivant votre fortune et votre amour pour les grands flots, les grands vents et les grands chavirages, vous investissez dans un cata ou trimaran qui bouge moins que les autres. Vous montez à bord pour l'essayer et partez avec !
Après, c'est vous qui voyez ! (faut aimer le poisson !). Faut une ou deux bouteilles de gaz à bord pour faire bouillir votre eau quotidienne.
Comment dessaler l'eau de mer où les poissons chient dedans ? Prendre 2 boites en fer. Une grande et une plus petite. Remplir la plus petite d'urine ou d'eau de mer et la poser au centre d'une poêle sur le feu. Là vous posez la grande boite dessus-dessous en couvercle. Elle, elle va recueillir l'eau qui s'évapore. Cette condensation coulera à l'intérieur de la grande boite et finira dans la poêle.
L'eau dans la poêle est claire, sans odeurs ni bactéries. Elle est pure.
Les modèles climatiques sont une blague
RépondreSupprimerNovember 14th, 2018
Une mise à jour sur le graphique qui est mortelle pour les modèles climatiques
Les braves gens de la Terre dépensent des milliards de dollars pour prévenir un avenir prédit par des modèles qui, nous le savons, ne fonctionnent pas. Le débat est terminé, les dépenses climatiques sont une quête théologique non scientifique, païenne, pour changer le temps. Juste une autre itération de ce que les druides et les sorciers ont promis depuis des lustres. Ne vous attendez pas à ce que les intérêts acquis qui tirent profit de ce train de sauces au climat doré vous le disent.
Les 23 principaux modèles climatiques couplés mondiaux ne comprennent pas le climat et ne le prédisent pas. Nos émissions de gaz carbonique s'accélèrent, l'effet devrait être amplifié, mais des millions de ballons météorologiques et de satellites qui entourent la Terre 24 heures sur 24 montrent clairement que les modèles sont erronés.
- voir graphique sur site -
Modèles climatiques
VARIATIONS TROPICALES DE TEMPERATURES MOYENNES TROPOPHERIQUES MODELES vs OBSERVATIONS
Moyennes sur 5 ans, 1979-2016 - La ligne de tendance passe à zéro en 1979 pour toutes les séries chronologiques
Le groupe d’étude sur le climat a placé ce graphique dans une publicité (pourquoi les sceptiques doivent-ils payer pour obtenir des graphiques comme celui-ci - un service public - imprimé ?)
Lisez l'intégralité du PDF Climate Reality ici :
https://s3.amazonaws.com/jo.nova/guest/aust/academic/climate-study-group/article%20RMorgan_AustQP_Nov2018%20clear%2001.pdf
Les acolytes et autres parasites diront que les températures de surface mesurées par la NASA et Hadley montrent que les modèles sont cohérents dans les limites des estimations, ainsi que les barres d'erreur, bla, bla, balony blah.
Les adultes répondront que le Hadley Met Center utilise des thermomètres à proximité des tarmacs et des climatiseurs des aéroports (quand ils ont la chance d’avoir même des thermomètres). C’est un ensemble de données volumineux et dégradé qui ne contient pratiquement aucune donnée avant 1950. Il commence par geler les îles tropicales et les bateaux errant à terre, puis ajuste le kazoo pour l’aggraver. L'ensemble de la NASA utilise le même mauvais équipement, les mêmes données troublées et s'ajuste au kazoo au carré. Le passé est en constante évolution, les tendances sont ajustées post-hoc aux modèles et les résultats ne correspondent pas aux données historiques, aux données satellitaires et aux ballons météo.
Ils vont protester et dire que leurs tendances correspondent aux données satellitaires RSS. Ils ne vous diront pas que le jeu de données satellite UAH est préférable, car il est conforme aux ballons météo, affiche des mesures satellitaires incohérentes, utilise trois canaux plutôt qu’un et utilise des satellites exempts de dérive diurne pour estimer les erreurs des autres. Le jeu RSS est incohérent en interne, il commence par les estimations du modèle et non par les observations, laisse une erreur qui crée un réchauffement artificiel, puis le corrige juste à temps pour empêcher la même erreur de créer un refroidissement. Comment appelez-vous un jeu de données avec des erreurs non aléatoires à temps partiel ? Déchet.
Christy Graph contient toutes les données dont nous avons besoin. C’est aussi proche que nous pourrons jamais prouver que les modèles sont des conjectures qui ont échoué.
Arrêtez de verser des milliards de dollars dans un trou.
Merci à Tom Quirk, John Christy et le Climate Study Group.
http://joannenova.com.au/2018/11/climate-models-are-a-joke/
The Globe and Mail: "Il y a trop d'ours polaires dans certaines parties du Nunavut et le changement climatique n'en a encore affecté aucun, déclare un projet de plan de gestion territorial du gouvernement qui contredit une grande partie de la pensée scientifique conventionnelle" (Les Inuits exposent les fausses données scientifiques d'Environnement Canada!!!)
RépondreSupprimermardi 13 novembre 2018
Le plan proposé - qui doit être convoqué à des audiences publiques mardi à Iqaluit - indique que le nombre croissant d'ours compromet de plus en plus la sécurité publique et qu'il est temps que les connaissances inuites orientent les politiques de gestion.
«Les Inuits croient qu'il y a maintenant tellement d'ours que la sécurité publique est devenue une préoccupation majeure», indique le document, résultat de quatre années d'études et de consultations publiques.
«Les préoccupations en matière de sécurité publique, combinées aux effets des ours polaires sur d'autres espèces, suggèrent que dans de nombreuses communautés du Nunavut, l'ours polaire pourrait avoir dépassé le seuil de coexistence.»
Les ours polaires ont tué deux Inuits l'été dernier.
Le plan s'appuie fortement sur les connaissances des Inuits, ce qui donne des estimations de population supérieures à celles suggérées par la science occidentale pour la quasi-totalité des 13 populations d'ours inclus.
Les scientifiques disent qu'une seule population d'ours est en croissance; Les Inuit disent qu'il y en a neuf. Environnement Canada dit que quatre populations diminuent; Les Inuits disent que non.
Le plan proposé minimise l'une des principales préoccupations de la communauté scientifique.
«Bien qu'il existe de plus en plus de preuves scientifiques établissant un lien entre les effets du changement climatique et la dégradation de l'état physique des ours et les projections de déclin de la population, aucun déclin n'a été attribué au changement climatique», indique le rapport. «(Savoir inuit) reconnaît que les ours polaires sont exposés aux effets du changement climatique, mais suggère qu'ils sont adaptables.»
Dans sa réponse, Environnement Canada a déclaré que "cela ne correspond pas aux preuves scientifiques". Il cite deux études suggérant le contraire.
Source:
https://www.theglobeandmail.com/canada/article-so-many-bears-draft-plan-says-nunavuts-polar-bear-population-is/
http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2018/11/the-globe-and-mail-il-y-trop-dours.html
Explosion du nombre d’homicides en France: silence radio place Beauvau
RépondreSupprimer17:51 14.11.2018
Le nombre d’homicides suit une évolution inquiétante. D’après les chiffres du ministère de l’Intérieur, ils ont augmenté de plus de 20 % en 2017-2018 par rapport à 2014-2015. Et la période post-attentat n’a pas fait redescendre le thermomètre meurtrier, au contraire. Du côté de la place Beauvau, on préfère – pour le moment – la jouer discret.
«Les attentats survenus dans l'Hexagone en 2015 et 2016 avaient tragiquement fait grimper le nombre d'homicides en France. Mais plus de deux ans après le drame du 14 Juillet à Nice, les chiffres ne sont pas redescendus au niveau qui était le leur avant les tueries». Libération a jeté un pavé dans la marre. Ou plutôt dans la fenêtre du ministère de l'Intérieur. Le quotidien a ainsi publié un article daté du 8 novembre qui réagissait aux dernières données de la place Beauvau, parues via Interstats conjoncture. Le ministère de l'Intérieur communique mensuellement sur les chiffres de la délinquance, et pour cette version à la fin octobre 2018, il annonçait 225 homicides sur les trois derniers mois (d'août à octobre). Des chiffres qui paraissent encourageants au premier abord, car en baisse de 6% par rapport aux trois mois précédents.
Une communication prometteuse dont le rouage a été grippé par l'intervention de Cyril Rizk, un statisticien spécialiste des chiffres de la délinquance. Ce dernier s'est plongé dans les données relatives aux douze derniers mois et a interpellé les journalistes de Libération pour leur faire part de son travail. Le tableau se montre tout de suite moins reluisant. Si l'on prend la période allant d'octobre 2017 à septembre 2018, le nombre de meurtres est en hausse de 23% par rapport à la période d'octobre 2014 à septembre 2015, avec respectivement 805 victimes contre 654. Cela représente 151 morts de plus. Une statistique que Libération commente ainsi:
«Elle marque, en excluant donc les victimes du terrorisme, une rupture avec quinze années de baisse ou de stagnation.»
En effet, il s'agit du plus inquiétant. L'augmentation logique qui avait accompagné les tueries de masse des 13 novembre 2015 à Paris (129 morts) et du 14 juillet à Nice (86 morts) n'a pas été suivie de la baisse espérée.
Comment expliquer que le ministère de l'Intérieur ne communique pas plus sur une telle donnée pourtant révélatrice d'un certain climat ? Pour Cyril Rizk, la lutte contre le terrorisme a changé la donne, comme il l'a expliqué à nos confrères de Libération:
«La lutte contre le terrorisme est devenue la question sécuritaire numéro 1, reléguant les problèmes de sécurité du quotidien à l'arrière-plan.»
D'après un autre article sur le sujet publié le 9 novembre sur sa plateforme Checknews, Libération affirme que le ministère de l'Intérieur «conteste le diagnostic d'une forte hausse, en mettant en cause la fiabilité des données». Christophe Soullez, directeur de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), a également émis des doutes auprès de Checknews, bien qu'il ait admis des possibles raisons de regarder le phénomène de près: «Si les données se confirment, il y a un sujet».
Pourtant, le ministère semblait avoir pris la mesure du problème. Lorsque l'on jette un œil au document «Insécurité et délinquance en 2017: premier bilan statistique» publié en janvier 2017 par Interstats, on y trouve cette analyse à la section «homicides»:
RépondreSupprimer«En 2017, les forces de l'ordre ont constaté 825 homicides en métropole. Ce chiffre est inférieur à celui de l'année 2016 (892), affecté par les attentats terroristes. Hors victimes des attentats, le nombre d'homicides a de nouveau augmenté en 2017, plus faiblement que l'année précédente (+2 % après +11 % en 2016).»
L'Hexagone n'est pas seul à être touché, d'après Cyril Rizk. Le «crime drop», ou la baisse des meurtres constatée pendant des années, bénéficiait également à des pays voisins. Jusqu'à récemment. Selon les informations qu'a confiées le statisticien à Libération, le Royaume-Uni, l'Allemagne ou les Pays-Bas connaissent également une récente poussée du nombre de meurtres.
«La baisse du nombre d'homicides était jusqu'en 2015 un phénomène de fond qui caractérisait les pays de l'Europe de l'Ouest. On ne peut pas exclure que dans un contexte d'attentats faisant de très nombreuses victimes, le niveau latent de la violence mortelle de nature non terroriste ait été influencé», explique-t-il à Checknews.
The Guardian a rapporté dans un article daté du 18 octobre dernier que l'Angleterre et le Pays-de-Galle faisaient face à un taux d'homicide au plus haut depuis dix ans. Comme le souligne Libération, l'Observatoire national de la délinquance a récemment été contacté par son équivalent outre-Manche. L'objet de l'appel ? Savoir si la même tendance était observée en France…
https://fr.sputniknews.com/france/201811141038901146-homicide-violence-france-gouvernement-societe/
C'est ce qui est appelé 'La guerre silencieuse', c'est ceux qui sont appelés 'Les réfugiés climatique'.
SupprimerLes scientifiques du climat admettent une erreur mathématique majeure après la publication d'une étude sur le réchauffement planétaire
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer. 14/11/2018 - 20:45
Le co-auteur d'une étude largement citée sur le réchauffement climatique a commis une erreur mathématique majeure découverte six jours après sa publication du 31 octobre par un scientifique indépendant.
L’étude a utilisé une nouvelle méthode de mesure de l’absorption de chaleur par les océans et a conclu - selon des calculs erronés - que 60 % plus de chaleur avait été absorbée qu’on ne le pensait auparavant.
Le rapport a été couvert ou référencé par les points de vente MSM du monde entier, notamment le Washington Post, le New York Times, la BBC, Reuters et d’autres.
Peu de temps après la publication de l'article, Nicholas Lewis, chercheur indépendant basé au Royaume-Uni, a publié un article complet sur son blog, affirmant qu'il avait découvert un "problème majeur" dans la recherche.
"Autant que je sache, leur méthode sous-estime énormément l'incertitude", a déclaré Lewis dans une interview mardi, "ainsi qu'une augmentation significative de près de 30 % de l'estimation centrale."
Lewis a ajouté qu'il avait tendance «à lire un grand nombre d'articles et que, ayant à la fois une formation en mathématiques et en physique, j'ai tendance à les examiner attentivement et à voir s'ils ont un sens. Et là où ils n’ont pas de sens - avec celui-ci, il est assez évident que cela n’a pas de sens - je les examine plus en profondeur. "
Lewis a fait valoir dans des études et commentaires antérieurs que les climatologues prédisaient un réchauffement excessif en raison de leur recours à des simulations informatiques, et que les données actuelles provenant de la planète elle-même suggéraient que le réchauffement planétaire serait moins grave que prévu. -Washington Post
"Lorsque nous avons été confrontés à ses idées, il est immédiatement devenu évident qu'il y avait un problème", a déclaré Ralph Keeling, scientifique au Scripps Institute of Oceanography, co-auteur du document avec Laure Resplandy, scientifique et auteur principal à l'Université de Princeton. "Nous sommes reconnaissants de le signaler rapidement afin que nous puissions le corriger rapidement."
Keeling a déclaré qu'ils avaient refait les calculs depuis, constatant que l'océan était toujours plus chaud que l'estimation utilisée par le GIEC. Cependant, cette augmentation de la chaleur a une plage de probabilité plus grande qu'on ne le pensait initialement - entre 10 et 70 %, comme l'ont déjà montré d'autres études.
"Nos marges d'erreur sont trop importantes maintenant pour nous faire une idée précise de la quantité de réchauffement qui se produit dans l'océan", a déclaré Keeling. «Nous avons vraiment réduit les marges d'erreur.» -San Diego Union-Tribune
"J'accepte la responsabilité de ce qui s'est passé parce que c'est mon rôle de m'assurer que ce genre de détails est bien communiqué", a déclaré Keeling au Washington Post mardi.
Keeling a corrigé l'erreur de calcul dans une note du vendredi:
Note du co-auteur Ralph Keeling, 9 novembre 2018: Je travaille avec mes co-auteurs pour résoudre deux problèmes qui ont été portés à notre attention depuis leur publication. Ces problèmes, liés au traitement incorrect des erreurs systématiques dans les mesures d’O2 (Oxygène) et à l’utilisation d’un rapport d’échange constant O2: C terrestre de 1,1, n’annulent ni la méthodologie de l’étude ni les nouvelles connaissances en biogéochimie des océans sur lesquelles elle repose. Nous nous attendons à ce que l'effet combiné de ces deux corrections ait une faible incidence sur nos calculs d'absorption de chaleur globale, mais avec des marges d'erreur plus importantes. Nous refaisons les calculs et préparons les corrections d’auteurs pour soumission à Nature. -Scripps.ucsd.edu (voir post ci-dessous "Étude: Réchauffement des océans détecté à partir de mesures de gaz atmosphériques")
RépondreSupprimerLes scientifiques ont soumis une correction à la revue Nature, qui a publié l'étude.
https://www.zerohedge.com/news/2018-11-14/climate-scientists-admit-major-math-error-after-global-warming-study-debunked
L'IPCC ('GIEC' auxquels des dictatures ont rajouté le 'titre' d'expert / Rappel que la qualité d'expert est purement honorifique et que TOUT LE MONDE peut se dire 'expert' !) est un nano-groupuscule de malfaiteurs (siégeant à l'ONU à N-Y) qui ne comprend AUCUN scientifique/Puisqu'il leur fait la chasse).
SupprimerÉtude: Réchauffement des océans détecté à partir de mesures de gaz atmosphériques
RépondreSupprimerUne équipe dirigée par des scientifiques de Scripps et de l'Université de Princeton utilise des mesures d'oxygène et de gaz carbonique pour déduire l'augmentation de la température de l'océan
01 nov. 2018
Embargoed par:
Nature jusqu'à 11 heures, le 31 octobre
Contact média:
Robert Monroe
Téléphone: 858-534-3624
Courriel: scrippsnews@ucsd.edu
Note du co-auteur Ralph Keeling, 9 novembre 2018: Je travaille avec mes co-auteurs pour résoudre deux problèmes qui ont été portés à notre attention depuis leur publication. Ces problèmes, liés au traitement incorrect des erreurs systématiques dans les mesures d’O2 et à l’utilisation d’un rapport d’échange constant O2: C terrestre de 1,1, n’annulent ni la méthodologie de l’étude ni les nouvelles connaissances en biogéochimie des océans sur lesquelles elle repose. Nous nous attendons à ce que l'effet combiné de ces deux corrections ait une faible incidence sur nos calculs d'absorption de chaleur globale, mais avec des marges d'erreur plus importantes. Nous refaisons les calculs et préparons les corrections d’auteurs pour soumission à Nature.
Selon une étude menée par des chercheurs de la Scripps Institution of Oceanography de l'Université de Californie à San Diego et de l'Université de Princeton, les océans ont absorbé une énergie calorifique 150 fois supérieure à celle que les humains produisent chaque année.
Les chercheurs ont constaté que le réchauffement des océans indiquait que la Terre était plus sensible aux émissions de combustibles fossiles qu'on ne le pensait auparavant. L'auteur principal de l'étude, Laure Resplandy, professeure adjointe en géosciences à Princeton, a déclaré que cette estimation est supérieure de plus de 60 % à celle du dernier rapport d'évaluation du Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations Unies (GIEC).
L'étude paraît dans la revue Nature le 1 novembre.
«Imaginez si la profondeur de l'océan n'était que de 30 pieds», a déclaré Resplandy, ancien chercheur postdoctoral à Scripps Oceanography. "Nos données montrent qu'il aurait augmenté de 6,5 (11,7) par décennie depuis 1991. En comparaison, l'estimation du dernier rapport d'évaluation du GIEC correspondrait à un réchauffement de seulement 4 (7,2) par décennie."
Les scientifiques savent que l'océan absorbe environ 90 % de l'énergie excédentaire produite par le réchauffement de la Terre. Connaître la quantité d'énergie réelle permet d'estimer le réchauffement de surface auquel on peut s'attendre, a déclaré le co-auteur Ralph Keeling, Scripps. Géophysicien océanographe et ancien conseiller postdoctoral de Resplandy.
"Le résultat augmente considérablement la confiance que nous pouvons accorder aux estimations du réchauffement de l'océan et contribue donc à réduire les incertitudes quant à la sensibilité du climat", a déclaré Keeling.
La sensibilité au climat sert à évaluer les émissions admissibles pour les stratégies d'atténuation. La plupart des climatologues ont convenu au cours de la dernière décennie que si les températures moyennes mondiales dépassaient les niveaux préindustriels de 2 (3,6), il est pratiquement certain que la société sera confrontée aux conséquences généralisées et dangereuses du changement climatique.
Les découvertes des chercheurs suggèrent que si la société veut que la température ne dépasse pas ce niveau, les émissions de dioxyde de carbone, principal gaz à effet de serre produit par les activités humaines, doivent être réduites de 25% de plus que ce qui avait été estimé auparavant, a déclaré Resplandy.
RépondreSupprimerLes résultats des chercheurs sont les premiers à provenir d'une technique de mesure indépendante de la méthode dominante à la base des recherches existantes, a-t-elle déclaré.
Pour calculer le contenu thermique total, les estimations précédentes reposaient sur des millions de mesures de la température des océans. Beaucoup provenaient d'un réseau de capteurs robotiques mis au point par les chercheurs de Scripps, connus sous le nom d'Argo. Des lacunes dans la couverture ont toutefois rendu cette approche incertaine. Argo effectue des mesures complètes de la température et de la salinité des océans à travers le monde, mais les données complètes du réseau ne datent que de 2007 et ne mesurent que la moitié supérieure de l'océan. Plusieurs réévaluations du contenu calorifique ont été effectuées ces dernières années à l'aide des données sur la température de l'océan, y compris les dernières données Argo, qui ont conduit à une révision à la hausse de l'estimation du GIEC.
Resplandy et ses co-auteurs ont utilisé les mesures de haute précision de l'oxygène et du dioxyde de carbone dans l'air effectuées par Scripps dans des stations du monde entier. Ils ont ainsi déterminé la quantité de chaleur accumulée par les océans au cours de la période étudiée. Ils ont mesuré la chaleur des océans en examinant la quantité combinée d'O2 et de gaz carbonique dans l'air, une quantité qu'ils appellent «oxygène potentiel atmosphérique» ou APO. La méthode dépend du fait que l'oxygène et le dioxyde de carbone sont moins solubles dans les eaux plus chaudes.
À mesure que l'océan se réchauffe, ces gaz sont libérés dans l'air, ce qui augmente les niveaux d'APO. L’APO est également influencée par la combustion de combustibles fossiles et par un processus océanique impliquant l’absorption d’un excès de gaz carbonique provenant de combustibles fossiles. En comparant les changements observés dans l'APO observés avec les changements attendus dus à l'utilisation de combustibles fossiles et à l'absorption de dioxyde de carbone, les chercheurs ont pu calculer la quantité d'APO émise par l'océan qui se réchauffait. Cette quantité coïncide avec le contenu calorifique en énergie de l'océan.
Les chercheurs estiment que les océans du monde ont absorbé plus de 13 zettajoules d'énergie calorifique chaque année entre 1991 et 2016. Le joule est l'unité standard d'énergie. Une zettajoule équivaut à un sextillion (ou au nombre 1 suivi de 21 zéros).
Resplandy et Keeling ont travaillé avec les coauteurs Yassir Eddebbar et Mariela Brooks de Scripps, Rong Wang de l’Université Fudan en Chine, Laurent Bopp de l’École Normale Supérieure en France, Matthew Long du Centre national de recherche sur l’atmosphère, John Dunne du NOAA, fluide géophysique. Dynamics Laboratory et Wolfgang Koeve et Andreas Oschlies du Centre GEOMAR Helmholtz pour la recherche océanographique en Allemagne.
L'étude, intitulée «Quantification de l'absorption de chaleur des océans par les modifications de la composition en O2 et en gaz carbonique dans l'atmosphère», a été financée par le bureau du programme climat de la National Oceanic and Atmospheric Administration (subvention NA13OAR4310219) et le Princeton Environmental Institute.
Note de l'éditeur (6 novembre): Le titre du communiqué de presse a été modifié depuis sa publication originale pour mettre en valeur les aspects les plus récents de la recherche.
https://scripps.ucsd.edu/news/study-ocean-warming-detected-atmospheric-gas-measurements
(...) Les scientifiques savent que l'océan absorbe environ 90 % de l'énergie excédentaire produite par le réchauffement de la Terre. (...)
SupprimerRemarquez la tournure de la phrase 'absorbe environ 90 %' ! Laissant entendre que cette chaleur viendrait de l'extérieur (gaz, soleil). Or, un scientifique SAIT que la Terre est une boule de feu dans ses profondeurs. Ce magma réchauffe continuellement les mers et océans (voir sur VENTUSKY la température des océans très loin des tropiques).
(...) À mesure que l'océan se réchauffe, ces gaz sont libérés dans l'air, ce qui augmente les niveaux d'APO. L’APO est également influencée par la combustion de combustibles fossiles et par un processus océanique impliquant l’absorption d’un excès de gaz carbonique provenant de combustibles fossiles. (...)
Effectivement, comme il en est pour les volcans terrestres, les sous-marins et sous-océaniques émettent eux aussi des quantité de gaz (comme il en est pour le pétrole abiotique avec le butane/propane). Il en ressort que ces émanations magmatiques incluent la combustion de toutes sortes de composants tels que charbon et pétrole en plus des millions de produits toxiques libérés par eux.
Lois sur les armes à feu Red Flag: Encore une arme gouvernementale pour la conformité et le contrôle
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer. 14/11/2018 - 23:45
Écrit par John Whitehead via le Rutherford Institute,
"Ceux qui ne peuvent pas se souvenir du passé sont condamnés à le répéter."
- George Santayana
On n'apprend jamais.
Entre de bonnes (ou de mauvaises) mains, les plans bienveillants peuvent facilement être mis à des fins malveillantes.
Même la loi ou le programme gouvernemental le mieux intentionné peut être - et a été - perverti, corrompu et utilisé pour promouvoir des objectifs illégitimes une fois que le profit et le pouvoir ont été ajoutés à l'équation.
Lutte contre le terrorisme, lutte contre la drogue, lutte contre l'immigration illégale, systèmes de confiscation d'avoirs, systèmes de sécurité routière, systèmes de sécurité scolaire, domaine éminent: tous ces programmes ont été lancés en tant que réponses légitimes à des préoccupations pressantes et sont depuis devenus des armes de la conformité et le contrôle dans les mains de l'état policier.
Notez les mots: les lois sur les armes à feu, qui autorisent la police à retirer les armes des personnes soupçonnées de menaces, ne feront que renforcer le pouvoir du gouvernement.
Ces lois, qui gagnent en popularité en tant que moyen législatif permettant de saisir les armes à feu de personnes considérées comme un danger pour elles-mêmes ou pour autrui, constituent un autre cheval de Troie, une manœuvre furtive de la part de l’État policier visant à obtenir un pouvoir accru sur une population peu méfiante et en grande partie crédule.
Treize États ont maintenant des lois sur le drapeau rouge. Ce nombre augmente.
Comme le rapporte le Washington Post, ces lois «autorisent un membre de la famille, un colocataire, un agent de la force publique ou tout autre type de professionnel de la santé à déposer une pétition [devant un tribunal] demandant à ce que le domicile d’une personne soit temporairement débarrassé de toute arme à feu. Il n’exige pas de diagnostic de santé mentale ni d’arrestation ».
Au milieu de ce qui ressemble à une épidémie de tirs en masse, ces lois sur la confiscation des armes à feu - lois sur les ordonnances de protection contre les risques extrêmes (ERPO) - peuvent apaiser les craintes de ceux qui croient que moins d'armes à feu entre les mains de la population en général rendra notre société plus sûre.
Bien sûr, ça ne marche pas toujours comme ça.
N'importe quoi - couteaux, véhicules, avions, autocuiseurs - peut devenir une arme lorsqu'il est utilisé avec des intentions mortelles.
Avec ces lois sur les armes à feu drapeau rouge, l’intention est de désarmer les individus qui représentent une menace potentielle.
«Nous devons arrêter les personnes dangereuses avant qu’elles agissent»: c’est la raison qui sous-tend le soutien de la NRA à ces lois «drapeau rouge», et à première vue, il semble parfaitement raisonnable de vouloir désarmer des individus manifestement suicidaires et / ou posant «Danger immédiat» pour eux-mêmes ou pour les autres.
Le problème se pose, bien sûr, lorsque vous mettez le pouvoir de déterminer qui constitue un danger potentiel aux mains des organismes gouvernementaux, des tribunaux et de la police.
RépondreSupprimerNous avons déjà emprunté cette voie.
N'oubliez pas que c'est le même gouvernement qui utilise les mots «anti-gouvernement», «extrémiste» et «terroriste» de manière interchangeable.
C’est le même gouvernement dont les agents sont en train de faire volte-face avec des évaluations de la menace, des avertissements de détection du comportement, des «mots» et des rapports d’activité «suspects» utilisant des yeux et des oreilles automatisés, des médias sociaux, des logiciels de détection de comportement et des espions citoyens. identifier les menaces potentielles.
C’est le même gouvernement qui répète sans cesse la loi sur l’autorisation de la défense nationale (NDAA), qui permet à l’armée de détenir des citoyens américains n’ayant aucun accès à leurs amis, à leur famille ou aux tribunaux si le gouvernement les considère comme une menace.
C'est le même gouvernement qui a de plus en plus de listes d'idéologies, de comportements, d'affiliations et d'autres caractéristiques susceptibles de marquer une personne suspecte et de se voir attribuer le statut d'ennemi potentiel de l'État (commun aux centres de fusion et aux organismes chargés de l'application de la loi).
Par exemple, si vous croyez et exercez vos droits en vertu de la Constitution (à savoir, votre droit de parler librement, d'adorer librement, de vous associer à des individus qui partagent vos vues politiques, de critiquer le gouvernement, de posséder une arme, d'exiger un mandat d'arrêt être interrogé ou fouillé, ou toute autre activité considérée comme potentiellement anti-gouvernementale, raciste, fanatique, anarchique ou souveraine), vous pourriez être au sommet de la liste de surveillance terroriste du gouvernement.
En outre, comme le met en garde un éditorial du New York Times, vous pourriez être un extrémiste anti-gouvernemental (terroriste national) aux yeux de la police si vous craignez que le gouvernement complote de confisquer vos armes à feu, si vous croyez que l'économie est une réalité. s'effondrer et le gouvernement déclarera bientôt la loi martiale, ou si vous portez un nombre inhabituel d'autocollants de pare-chocs politiques et / ou idéologiques sur votre voiture.
Laissez cela couler dans un instant.
Examinons maintenant ce qui s’est passé dans le Maryland après la tentative d’un policier d’appliquer la nouvelle loi sur l’état du drapeau rouge de l’État, entrée en vigueur le 1er octobre.
Un lundi à cinq heures du matin, deux policiers se sont présentés au domicile de Gary Willis, âgé de 61 ans, pour lui signifier une ordonnance du tribunal l’obligeant à rendre ses armes. Willis a répondu à la porte en tenant un pistolet.
Un lundi à cinq heures du matin, deux policiers se sont présentés au domicile de Gary Willis, âgé de 61 ans, pour lui signifier une ordonnance du tribunal l’obligeant à rendre ses armes. Willis a répondu à la porte en tenant un pistolet.
Rappelez-vous, dans certains États, il suffit de répondre à la porte en tenant une arme à feu pour vous faire tuer par des policiers qui ont tendance à tirer en premier et à poser des questions plus tard.
Willis a d'abord mis son arme de côté pendant qu'il parlait à la police. Cependant, lorsque la police a tenté de lui signifier l'ordre de confiscation des armes à feu, Willis serait devenu «en colère» et aurait repris son arme. À ce stade, une lutte s'ensuivit, provoquant le déclenchement du pistolet. Bien que personne n'ait été blessé, l'un des policiers a abattu Willis.
RépondreSupprimerSelon le chef de la police du comté d'Anne Arundel, la fusillade était un signe que la loi du drapeau rouge était nécessaire.
Ce que la police ne peut dire avec certitude, c’est ce qu’elle a empêché en tirant et en tuant Willis.
C’est là que réside le danger de ces lois «drapeau rouge», en particulier, et des lois antérieures à la criminalité telles que celles-ci en général.
C’est le monde que l’auteur de science-fiction Philip K. Dick a imaginé pour Minority Report, dans lequel le gouvernement est omniprésent, tout-savoir et tout-puissant, et si vous osez sortir des sentiers battus, des équipes de police SWAT vêtues de noir craquer quelques crânes pour mettre la populace sous contrôle.
Dans l’état policier dystopique de Dick, la police associe surveillance étendue, technologies de prévision du comportement, fouille de données et technologie précognitive pour capturer les criminels avant qu’ils ne puissent faire le moindre mal: le crime préalable.
Dans Minority Report, réalisé par Steven Spielberg, la technologie sur laquelle s'appuie John Anderton, chef du département de pré-crime à Washington, se révèle faillible, le désignant comme le prochain criminel et ciblant lui pour des mesures préventives. En conséquence, Anderton se trouve non seulement en train de prouver son innocence, mais également contraint de prendre des mesures drastiques pour éviter d'être capturé dans un État de surveillance qui utilise des données biométriques et des réseaux informatiques sophistiqués pour suivre ses citoyens.
Au fil des jours, l'État policier américain se rapproche beaucoup du monde fictif de Minority Report sur la prévention de la criminalité.
Par exemple, la police dans les grandes villes américaines a testé un outil qui lui permet d'identifier les individus - ou les groupes d'individus - les plus susceptibles de commettre un crime dans une communauté donnée. Ces personnes sont ensuite informées que leurs mouvements et leurs activités seront étroitement surveillés et que toute activité criminelle (de leur part ou de leurs associés) entraînera des peines sévères.
En d’autres termes, le fardeau de la preuve est renversé: vous êtes coupable avant d’avoir une chance de prouver votre innocence.
Creusez sous la surface de ce type d’État de surveillance / police et vous constaterez que le véritable objectif de la prévention du crime n’est pas la sécurité mais le contrôle.
Les lois sur les armes à feu au drapeau rouge ne font que nous rapprocher de plus en plus d'une société suspecte où tout le monde est potentiellement coupable d'un crime ou d'un autre et doit être inoffensif.
Là où beaucoup d'Américains se trompent, c'est en supposant naïvement que vous devez faire quelque chose d'illégal ou de dangereux pour pouvoir être signalé et ciblé pour une forme quelconque d'intervention ou de détention.
En fait, les services de police des États-Unis s’emploient à identifier et à gérer les éventuelles «menaces» extrémistes, violentes ou non, avant qu’elles ne puissent devenir de véritables menaces depuis un certain temps déjà.
RépondreSupprimerDe la même manière que le USA Patriot Act a été utilisé comme un front pour faire progresser l'État de surveillance, permettant au gouvernement d'établir un programme d'espionnage national de grande envergure qui ferait de chaque citoyen américain un suspect, le programme gouvernemental du gouvernement rend activités par ailleurs légitimes et non violentes, potentiellement extrémistes.
En fait, tout ce que vous avez à faire ces jours-ci pour vous retrouver sur une liste de contrôle du gouvernement ou faire l'objet d'un examen minutieux est d'utiliser certains mots clés (tels que nuage, porc et pirates), surfer sur Internet, communiquer à l'aide d'un téléphone bégayer, conduire une voiture, rester dans un hôtel, assister à un rassemblement politique, s'exprimer sur les médias sociaux, paraître malade mental, servir dans l'armée, être en désaccord avec un responsable de l'application des lois, appeler malade pour travailler, acheter du matériel dans une quincaillerie , prenez des leçons de pilotage ou de navigation de plaisance, semblez suspicieux, paraissez confus ou nerveux, bougez ou sifflez ou sentez mauvais, soyez vu en public en agitant un pistolet-jouet ou tout ce qui ressemble de loin à un pistolet (comme une lance à eau, une télécommande ou une canne mobile) ), regarder un officier de police, interroger l’autorité gouvernementale, sembler être en faveur des armes à feu ou en faveur de la liberté, ou vivre généralement aux États-Unis.
Soyez averti: une fois sur la liste du gouvernement, qu'il s'agisse d'une liste de surveillance des terroristes, d'une liste de surveillance de la santé mentale, d'une liste de surveillance des dissidents ou d'une liste de surveillance des armes à feu, il n'y a pas de moyen bien défini de s'en sortir. ou non, vous devriez réellement être là-bas.
Vous serez suivi où que vous alliez.
Vous serez signalé comme une menace potentielle et traité en conséquence.
C’est un crime qui a précédé le crime sur une échelle idéologique et qui a été long à venir.
Le gouvernement a mis en place son réseau de surveillance pré-crime de concert avec des centres de fusion (répartis dans 78 pays, avec des partenaires du secteur privé et du monde entier), des agences de collecte de données, des scientifiques du comportement, des entreprises, des médias sociaux et des organisateurs communautaires. et en s'appuyant sur des technologies de pointe pour la surveillance, la reconnaissance faciale, la surveillance prédictive, la biométrie et l'épigénétique comportementale (dans laquelle les expériences de vie modifient le patrimoine génétique).
C’est le point de vue de l’État policier américain sur les terreurs dystopiques annoncées par George Orwell, Aldous Huxley et Phillip K. Dick, qui sont toutes réunies dans un même paquet oppressif de pré-crime et de pré-pensée.
Si vous n’avez pas encore peur, vous devriez l’être.
Relier les points.
Commencez par les pouvoirs conférés au gouvernement par le USA Patriot Act, notez la définition toujours plus large que donne le gouvernement de ce qu'il considère comme un «extrémiste», puis ajoutez les pouvoirs de détention du gouvernement en vertu du NDAA, la surveillance de grande portée de la National Security Agency. réseaux et centres de fusion qui collectent et partagent des données de surveillance entre services de police locaux, étatiques et fédéraux.
Ajoutez à cela des dizaines de milliers de drones de surveillance armés qui couvriront bientôt le ciel américain, une technologie de reconnaissance faciale qui vous identifiera et vous suivra où que vous soyez et quoi que vous fassiez. Et pour compléter le tableau, ajoutez les centres anti-criminalité en temps réel déployés dans différentes villes du pays, qui tenteront de "prédire" les crimes et d'identifier les criminels avant qu'ils ne surviennent, en s'appuyant sur une surveillance généralisée, des algorithmes mathématiques complexes et des programmes de pronostic.
RépondreSupprimerJ'espère que vous commencez à comprendre à quel point le gouvernement a facilement permis d'identifier, de désigner, de cibler, de désamorcer et de détenir toute personne qu'il considérait comme une menace potentielle pour diverses raisons, allant de la maladie mentale au statut militaire. avoir contesté son autorité pour simplement figurer sur la liste des personnalités non grata du gouvernement.
Cela me ramène à ces lois sur les armes à feu drapeau rouge.
À court terme, ces lois sur la confiscation des armes à feu peuvent temporairement retarder ou décourager ceux qui souhaitent infliger des actes de violence à autrui, mais elles ne résoudront pas la folie, la haine ou l'instabilité qui poussent quelqu'un à appuyer sur une gâchette, à lancer une bombe ou à déchaîner la violence. sur un autre.
Ces lois ne nous épargneront pas non plus la violence impulsée par le gouvernement et dirigée par l'État policier américain, ni le contrecoup du complexe militaro-industriel ancré dans la guerre, imprégné de violence et à but lucratif, deux éléments qui restent largement sous-estimés et sous-estimés. de la discussion sur la violence armée en Amérique.
À long terme, toutes ces lois sur la confiscation des armes à feu feront en sorte que, lorsque la police sera enfin réprimée, «nous, le peuple», sommes sans défense face à l’arsenal d’armes du gouvernement.
Après tout, le thème le plus important et le plus cohérent dans la Constitution, y compris le deuxième amendement, est le fait qu’il ne s’agit pas simplement d’une énumération de nos droits, mais était censé constituer une entrave évidente aux pouvoirs du gouvernement.
William O. Douglas, juge à la Cour suprême, a bien compris cette tension. "La Constitution n'est pas neutre", a-t-il remarqué. «Il a été conçu pour aider le gouvernement à se débarrasser du gouvernement.»
De cette manière, les libertés inscrites dans la Déclaration des droits dans leur ensemble constituent un rempart contre un État policier. À notre détriment, ces droits ont été progressivement affaiblis, érodés et sapés au cours des dernières années.
Pourtant, sans aucun d'entre eux, y compris le droit de posséder et de porter les armes prévu par le Deuxième Amendement, nous sommes encore plus vulnérables aux aléas des policiers incontrôlables, des dictateurs bienveillants, des hommes politiques généreux et des bureaucrates trop ambitieux.
Vous pouvez éliminer toutes les armes à feu, mais cela n'éliminera pas nécessairement la violence. Ces mêmes personnes assez malades pour se rendre dans une école primaire ou un cinéma et ouvrir le feu à l'aide d'une arme à feu peuvent tout aussi causer des dégâts avec des bombes artisanales fabriquées à partir d'autocuiseurs et d'une poignée de couteaux.
Il n’est même pas question de savoir si les Américains ont besoin d’armes pour se défendre contre toute menace manifeste pour leur sécurité ou leur bien-être, bien qu’une étude réalisée par un économiste de la Quinnipiac University indique que des lois moins restrictives et dissimulées sur le port des armes sauvent des vies, tandis que le contrôle des armes à feu peut mettre en danger des vies. En fait, le journaliste Kevin Carson, écrivant pour CounterPunch, suggère qu'interdire à des Américains de posséder des armes serait aussi dangereusement inefficace que la prohibition et la guerre contre la drogue:
RépondreSupprimerCe qu’auront des lois strictes sur les armes à feu, c’est faire passer le niveau de l’état de police, de l’anarchie et de la pathologie sociale en général de la même manière que la prohibition et la guerre contre la drogue. Je m'attendrais à ce qu'une guerre contre les armes à feu accroisse le volume du crime organisé et donne le pouvoir aux gangs criminels qui se disputent le contrôle du marché noir, exactement comme Prohibition dans les années 1920 et les lois strictes en matière de drogue depuis les années 1980. Je pense que cela entraînera une érosion supplémentaire des protections contre les perquisitions et perquisitions du Quatrième amendement, une militarisation accrue de la police locale via des équipes SWAT et une nouvelle expansion de l'empire sordide de la confiscation civile, des témoignages de prisonnier pris au piège, des pièges, des preuves le plaidoyer de chantage.
En vérité, le débat sur la possession d’une arme à feu en Amérique est en réalité un débat sur la question de savoir qui doit prendre les décisions et contrôler le match. En d’autres termes, c’est la même lutte acharnée qui perdure dans toutes les confrontations entre le gouvernement et les citoyens sur la question de savoir qui devient le maître et qui est relégué au rang du serviteur.
La Constitution est claire sur ce point, avec sa multitude d'interdictions de la part du gouvernement. En tant qu'auteur Edmund A. Opitz a observé en 1964:
Personne ne peut lire notre Constitution sans conclure que ceux qui l’ont écrite veulent que leur gouvernement soit sévèrement limité; les mots «non» et «non» employés pour restreindre le pouvoir gouvernemental apparaissent 24 fois dans les sept premiers articles de la Constitution et 22 fois plus dans la Déclaration des droits.
En résumé, le droit de porter les armes aux termes du Deuxième Amendement reflète non seulement un souci de défense personnelle, mais sert également à contrôler le pouvoir politique des autorités au pouvoir. C’est un avertissement implicite contre les atteintes des libertés publiques par les gouvernements, un avertissement lancé au-dessus de l’arc pour décourager toute violation illégale de notre personne ou de nos biens. En tant que tel, il renforce cet équilibre nécessaire dans la relation citoyen-État.
Certes, les dictateurs des régimes passés ont très bien compris ce principe. Comme Adolf Hitler l'a noté, «L'erreur la plus stupide que nous puissions faire serait de permettre aux races sujettes de posséder des armes. L’histoire montre que tous les vainqueurs qui ont permis à leurs races respectives de porter les armes ont préparé leur propre chute.
Il n’est donc pas surprenant que dès décembre 1935, les Juifs d’Allemagne aient été empêchés d’obtenir une licence de tir, car les autorités pensaient que leur permettre de le faire «mettrait en danger la population allemande».
À la fin de 1938, des ordres spéciaux interdisaient aux Juifs de posséder des armes à feu. La peine de possession d'armes était de vingt ans dans un camp de concentration.
RépondreSupprimerLe reste, comme on dit, appartient à l'histoire.
Pourtant, comme je l'explique clairement dans mon livre intitulé Battlefield America: La guerre contre le peuple américain, nous devons nous garder de répéter cette histoire.
https://www.zerohedge.com/news/2018-11-14/red-flag-gun-laws-yet-another-government-weapon-compliance-and-control
Le thème qui n'est JAMAIS abordé est "Pourquoi les sociétés changent et ne sont plus comme avant ?"
SupprimerAvant, il y avait une voiture par foyer, en admettant que chacun ait eut 4 enfants il devrait y avoir un nombre de véhicules multiplié par 4 sur les routes. Or, ce nombre est proche de cent !! Familles très nombreuses ? (Hahaha !) NON ! Immigration. Immigration ne veut pas dire surpopulation car, quelqu'un qui immigre... n'est plus là. On parle donc uniquement de concentration (d'un côté) et de désertification de l'autre.
Donc, qui modifie la structure des sociétés ?: Les immigrés qui imposent et veulent reproduire en pays d'accueil ce qu'il ont fuit depuis leur lieu de naissance !
Notez bien qu'au travers des 'armes à feu' qui se traduit par: Ne jamais laissé de décision au Peuple ! s'ébauche des plans pour empêcher l'arrivée et mise en place de la Démocratie (où c'est le Peuple qui propose SES propres lois et vote SES propres lois.).
Plus d'américains sont morts des overdoses de drogue en 2017 que les armes à feu, les accidents de voiture et le suicide ensemble
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer. 14/11/2018 - 21:05
Écrit par Anna Giaritelli via le Washington Examiner,
Les surdoses de drogue ont entraîné plus de décès aux États-Unis en 2017 que toute autre année enregistrée et ont été la principale cause de décès dans le pays, selon un rapport de la Drug Enforcement Administration publié vendredi.
Selon le NIH, plus de 72 000 personnes sont mortes d'une surdose de drogue en 2017 - environ 200 par jour. Ce nombre est plus de quatre fois supérieur au nombre de personnes décédées en 1999 de la toxicomanie: 16 849.
Les chiffres sont en hausse d'environ 15% par rapport aux 63 632 décès liés à la drogue en 2016.
Depuis 2011, plus de personnes sont mortes de surdoses de drogue que de violences armées, d'accidents de la route, de suicides ou d'homicides, a déclaré le rapport de la DEA.
En 2017, 40 100 personnes sont décédées dans des incidents impliquant un véhicule. 15 549 personnes ont été abattues, sans compter le suicide; 17 284 ont été victimes d'homicide, bien qu'une partie non spécifiée de ce nombre comprenne des victimes de coups de feu; et près de 45 000 se sont suicidés.
La DEA a attribué la légère hausse des décès de l'année dernière à une hausse du nombre de décès liés aux opioïdes. L'agence a déclaré que 49 060 personnes sont décédées des suites d'une consommation abusive d'opioïdes, contre 42 249 en 2016.
Parmi ces décès d’opioïdes, les opioïdes synthétiques sont responsables de près de 20 000. Plus de gens sont morts d'eux que l'héroïne. Selon le rapport de la DEA, le fentanyl synthétique et les types de drogues comparables sont moins chers que l’héroïne, ce qui les rend plus attractifs pour les acheteurs.
La DEA a également constaté que les surdoses de drogue liées à l'héroïne avaient doublé de 2013 à 2016, parce que des fabricants produisant illégalement du fentanyl synthétique avaient enrobé l'héroïne d'opioïdes.
Le président Trump a déclaré l'épidémie d'opioïdes «urgence nationale» en octobre 2017. Le mois dernier, il a signé un projet de loi exhaustif prévoyant un financement de 8,5 milliards de dollars pour des projets connexes visant à réduire la dépendance et le nombre de décès.
Le procureur général, Jeff Sessions, a relevé une tendance positive dans l'étude.
"Les données préliminaires du CDC montrent que les décès par surdose de drogue ont en fait commencé à diminuer vers la fin de 2017 et que les ordonnances d'opioïdes ont considérablement diminué", a déclaré Sessions dans un communiqué.
https://www.zerohedge.com/news/2018-11-14/more-americans-died-drug-overdoses-2017-guns-car-crashes-suicide-together
Les vagues de migrants de la caravane arrivent à Tijuana et commencent à grimper la barrière de frontière de San Diego
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer. 14/11/2018 - 14:00
Alors que les premières vagues de migrants d'Amérique centrale arrivent à Tijuana, on peut voir des dizaines de personnes du côté mexicain de la frontière escalader la barrière - qui a curieusement une large plate-forme au sommet, et aucun fil de rasoir n'a été déployé plus à l'intérieur des terres.
La patrouille des frontières a publié mardi une déclaration dans laquelle elle affirmait que certaines des personnes se trouvant à la clôture étaient des membres qui voyageaient dans le cadre de la caravane de migrants d'Amérique centrale originaire du Honduras.
Les migrants qui ont atteint la barrière frontalière dans cette zone viennent du Honduras, du Guatemala, du Nicaragua et d'El Salvador. Beaucoup marchent et auront encore besoin de plus de temps pour atteindre la frontière, et ceux qui sont arrivés semblaient déjà le faire avec l'aide d'autobus ou d'un autre moyen de transport. -Washington examinateur
Lundi, la première vague de migrants est arrivée à Tijuana; environ 80 demandeurs d'asile homosexuels, lesbiennes et transgenres qui ont été arrêtés par une organisation anonyme après avoir affirmé que des demandeurs d'asile intolérants les harcelaient.
«Nous avons fait l'objet de discrimination, même dans la caravane», a déclaré Erick Dubon, 23 ans, de San Pedro Sula, au Honduras, qui voyageait avec son petit ami, Pedro Nehemias, 22 ans. «Les gens ne nous laisseraient pas monter à bord nous arrivions au fond de la ligne pour les douches, ils nous appelaient des noms laids. "-WaPo
Dans le même temps, le Département des douanes et de la protection des frontières des États-Unis (CBP) a annoncé que des travaux avaient été entrepris mardi pour "durcir" la frontière entre Tijuana, Mexique et San Diego, en utilisant du fil de rasoir et d'autres mesures. Pas juste à la plage, apparemment.
Comme nous l'avions annoncé mardi, le CBP a fermé quatre voies aux points d'entrée très fréquentés de San Ysidro et d'Otay Mesa à San Diego afin "d'installer et de prépositionner du matériel d'infrastructure de renforcement des ports en vue de la caravane de migrants et de la sécurité potentielle risque que cela puisse causer ", selon CBS News et PBS.
Jeudi, 1 100 Marines du camp de base du Corps de la marine, le camp de Pendleton en Californie, ont été déployés pour renforcer la sécurité des frontières, a rapporté le KFMB, affilié à CBS San Diego. Ils étaient principalement chargés d’installer des cordons en accordéon et de pré-positionner des barrières, des barricades et des clôtures.
...
Des milliers de migrants d'Amérique centrale ont quitté les abris de Guadalajara mardi matin et ont été conduits en autobus à un poste de péage autoroutier pour attendre le trajet jusqu'à leur prochaine destination. La plupart ont semblé vouloir emprunter la route de la côte du Pacifique vers le nord, en direction de la ville frontalière de Tijuana, qui se trouvait encore à environ 1 350 milles. Les migrants ont parcouru environ 1 500 milles depuis leur arrivée au Honduras, le 13 octobre, alors que la caravane n’avait en moyenne que 30 milles en moyenne par jour, mais ils parcourent maintenant une distance quotidienne de 185 milles ou plus, en partie parce qu’ils comptent plutôt sur l’auto-stop que marcher.
-CBS Nouvelles
https://www.zerohedge.com/news/2018-11-14/waves-caravan-migrants-arrive-tijuana-begin-climbing-border-fence-san-diego
AUSTRALIE - DES GROUPES TERRORISTES PROMETTENT DES ATTAQUES
RépondreSupprimerUne semaine après l'attaque au couteau à Melbourne, d'autres attaques sont annoncées par des groupes terroristes.
L'attaque au couteau perpétrée à Melbourne la semaine dernière a couté la vie à une personne.
15.11.2018, 05h53
Des organisations affiliées à l'Etat islamique (EI) ont affirmé qu'il y aurait de nouvelles opérations contre l'Australie et d'autres pays occidentaux. Des affiches représentant l'attaque au couteau perpétrée à Melbourne la semaine dernière ont été mises en ligne.
«Australie, ne crois pas que tu es épargnée par nos attaques», peut-on lire sur une affiche mise en ligne mercredi par la fondation média Dera' al Sunni (bouclier sunnite en français), selon le centre américain de surveillance des groupes islamistes et extrémistes SITE. Une photographie du véhicule incendié par l'assaillant vendredi à Melbourne y figure aussi.
L'assaillant de 30 ans, d'origine somalienne, avait tué une personne et a blessé deux autres à coups de couteau avant d'être abattu par la police. Il avait au préalable incendié son véhicule rempli de bouteilles de gaz.
Une autre affiche mise en ligne et citée par SITE montre un cliché tiré des réseaux sociaux, où l'on voit l'auteur en train d'essayer de porter des coups de couteau à un policier. «Melbourne aujourd'hui. Quelle sera demain la prochaine ville?», peut-on lire en surimpression sur l'image. Le groupe sunnite radical EI avait revendiqué la responsabilité de l'attaque le jour même sans fournir d'éléments de preuve à l'appui. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/groupes-terroristes-promettent-attaques/story/15141912
Le plus terrible ransomware de l’histoire d’Internet est de retour
RépondreSupprimer08:35 15.11.2018
19 mois après le plus grand piratage à rançon de l'histoire, le virus WannaCry est de retour, selon Kaspersky Lab. Selon la société, près de 29% d’ordinateurs des clients de la société ont été de nouveau attaqués.
Le puissant virus WannaCry, qui a attaqué des ordinateurs du monde entier en 2017, est de nouveau devenu le virus extorqueur le plus répandu, ont annoncé des experts de Kaspersky Lab dans leur rapport.
Selon les analystes, ces derniers mois, WannaCry s'est classé au premier rang des attaques sur les ordinateurs des clients de la société. Le nombre d'attaques de ce virus représente près de 29 % du total.
Le coupable de la plus importante cyberattaque de l’histoire dévoilé
La deuxième place après WannaCry est occupée par les nouvelles versions du cheval de Troie GandCrab. Ce programme extorqueur a attaqué ces derniers temps un peu plus de 12 % des ordinateurs. Le décrypteur Cryakl occupe le troisième rang du classement. Il est à l'origine d'environ 9 % des attaques commises.
En mai 2017, l'attaque de WannaCry a touché près de 300.000 ordinateurs dans 150 pays. Le matériel infecté par le ransomware prenait en otages les données personnelles de l'utilisateur après que celui-ci a cliqué sur un lien contenu, par exemple, dans un e-mail. Le virus réalisait alors un chiffrement des données et proposait de les déchiffrer en échange d'une rançon en Bitcoins. De nombreuses grandes entreprises ont ainsi été touchées, comme le constructeur automobile Renault, le groupe espagnol Telefonica, la Deutsche Bahn allemande, etc.
Les pirates ont utilisé une faille de sécurité du système d'exploitation Windows initialement exploitée par l'Agence nationale de la sécurité (NSA), EternalBlue, dont l'existence a été révélée en avril par les groupes de hackers appelés The Shadow Brokers et Equation Group.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201811151038906519-pc-virus-ransomware-retour/
Les menaces contre l’hacktivisme
RépondreSupprimerL’hacktivisme est en construction, il a besoin de trouver ses marques, de mieux s’auto-réguler pour gagner en crédibilité et en puissance.
Par Yannick Chatelain.
Un article de The Conversation
15 NOVEMBRE 2018
Après avoir identifié un certain nombre de forces et faiblesses de l’hactivisme (cf. Partie 1 : Hacktivisme et Cause À Défendre (CAD) : Forces, faiblesses, opportunités et menaces !)), poursuivons son analyse SWOT en abordant dans cette seconde partie les opportunités et les menaces qui le concernent.
OPPORTUNITÉS
Dans certains pays, la loi protège celles et ceux qui, pour le bien collectif, dénoncent des abus, quel que soit le type d’organisation dont ils émanent (collectivité, entreprise…). Si l’aide apportée aux lanceurs d’alertes (hacktivistes à part entière) existe au travers d’organisation comme transparency france depuis plus de dix ans, leur défense a été renforcée par la loi depuis peu. Le dispositif « Lanceurs d’alerte » mis en place le 1?? janvier 2018) par le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères peut être consulté à titre d’exemple. La réalité de la protection légale du lanceur d’alerte devra être validée par la preuve. Cette évolution est porteuse d’espoir.
MENACES
“L’insincérité” éventuelle des gouvernances quant à leur réelle volonté de protection d’hacktivistes spécifiques tels que les lanceurs d’alertes peut conduire à la mort sociale de ces derniers. Cette mort sociale demeure un risque fort.
Des lois qui peuvent transformer des actions légitimes en actions illégales et rendre délictueux ce qui ne l’était pas. Le pouvoir peut avoir la tentation de criminaliser ce qui est juste, à seule fin de défendre et couvrir des pratiques déloyales qui lui sont profitables. C’est là, à mon sens, l’un des risques majeurs du projet de loi fake news.
L’absence de modus vivendi établi et clair (par exemple le nombre de signataires minimum, la validité des signatures lors de pétitions… ) conduit à la non prise en compte et au non au traitement par les gouvernements « démocratiques » des actions citoyennes massives effectuées via Internet.
L’obscurantisme technologique intentionnel : le déficit de vulgarisation et d’information sur certains choix technologiques qui s’opèrent dans notre société surinformatisée empêche le citoyen d’avoir un avis suffisamment éclairé pour prendre position sur des décisions prises qui le concernent directement. Les machines à voter sont un exemple parmi d’autres.
Le désintérêt des citoyens qui, pris dans un quotidien difficile peuvent ne pas se sentir concernés par la chose publique. Il peut entretenir l’idée que s’impliquer dans les débats publics sur Internet est sans utilité ou pas à sa portée.
TROUVER SES MARQUES
RépondreSupprimerL’hacktivisme est en construction, il a besoin de trouver ses marques, de mieux s’auto-réguler pour gagner en crédibilité et en puissance. Il pourra s’inspirer, dans l’action, de ce type d’analyse SWOT, pour évoluer et devenir à moyen terme un mode d’action et d’expression citoyenne pris en considération par les gouvernances du « monde libre ».
Tout le monde veut gouverner, personne ne veut être citoyen. Où est donc la cité ? Louis Antoine de Saint-Just
À suivre
Yannick Chatelain, Enseignant Chercheur. Head of Development. Digital I IT, Grenoble École de Management (GEM)
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.
https://www.contrepoints.org/2018/11/15/330215-les-menaces-contre-lhacktivisme
CLIMAT - LE RÉCHAUFFEMENT EST AUSSI MAUVAIS POUR LES SPERMATOZOÏDES
RépondreSupprimerDes insectes soumis à des hausses de température ont vu leur fertilité baisser. L'homme pourrait aussi être concerné.
Quelques degrés en plus et la qualité du sperme de coléoptères est en chute libre.
MICHEL PRALONG
15.11.2018, 06h58
Les effets du réchauffement climatique ne se font pas ressentir que sur l'environnement. Ils peuvent aussi modifier la biologie de certaines espèces. Des chercheurs de l'Université d'East Anglia, à Norwich (GB), l'ont vérifié sur des coléoptères rouges de la farine (Tribolium castaneum).
Ils ont divisé les insectes en deux groupes: un vivant à une température normale, l'autre soumis à des hausses de 5 à 7 °C durant 5 jours. Selon leurs résultats publiés dans «Nature Communications», le deuxième groupe a eu deux fois moins de descendants que le premier. Leur nombre de spermatozoïdes était 75% moins élevé que chez les coléoptères vivant à température normale. Même leur appétit sexuel était diminué, s'accouplant deux fois moins que les autres.
Selon les scientifiques, cela pourrait être l'une des raisons qui explique pourquoi les populations d'insectes ont drastiquement diminué au cours des 25 dernières années. Si les résultats de cette étude ne peuvent pas être appliqués tels quels à l'homme, le fait d'avoir prouvé qu'une hausse des températures affectait des spermatozoïdes pourrait tout de même être une piste pour comprendre un fait avéré: la qualité et le nombre de spermatozoïdes humains sont en constante baisse depuis des années.
(Le Matin)
https://www.lematin.ch/sante/sciences/rechauffement-mauvais-spermatozoides/story/28009524
Comme l'a constaté ce site anti-suisses et anti-scientifiques, c'est en Afrique (pays chaud) qu'il y a le plus de monde tandis qu'au Groenland (pays froid) il n'y a pas assez ! Çà alors !
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