La Russie vérifiera si les États-Unis ont réellement atterri sur la lune
par Tyler Durden Samedi, 24/11/2018 - 20h30
Selon l'agence Associated Press, le chef de l'agence spatiale russe Roscosmos s'est engagé à vérifier si les États-Unis se sont effectivement posés sur la lune.
Discutant d'une proposition de mission russe sur la Lune, Dmitri Rogozine a déclaré en plaisantant dans une vidéo publiée samedi sur Twitter:
"Je réponds aux questions du président moldave: s'il y avait des Américains sur la lune ... Nous nous sommes fixé cet objectif de voler et de vérifier s'ils y étaient ou non."
Rogozin répondait à une question de savoir si la NASA avait atterri sur la lune il y a près de 50 ans.
Bien que les commentaires de Rogozin aient pu être faits en plaisanterie, en 2015, un ancien porte-parole du Comité d'enquête russe a demandé l'ouverture d'une enquête sur les atterrissages de la lune aux États-Unis.
En attendant que la Russie puisse "vérifier" l'atterrissage sur la lune, nous prévoyons une discussion animée sur le rayonnement de la ceinture de Van Allen et sur les réflecteurs laser ...
Remarque importante: AUCUN télescope terrestre ou satellite n'a pu matérialiser le 'drapeau americain planté sur la lune' !!
(...) En attendant que la Russie puisse "vérifier" l'atterrissage sur la lune, nous prévoyons une discussion animée sur le rayonnement de la ceinture de Van Allen et sur les réflecteurs laser ...(...)
Effectivement, la 'ceinture de Van Allen' cause problème et empêche tout être vivant de la traverser...
L'assassinat qui aurait pu déclencher la Troisième guerre mondiale: WaPo
par Tyler Durden Samedi, 24/11/2018 - 22:00 Écrit par Stephen Knott via le Washington Post,
Nous connaissons Dallas, mais JFK a failli être assassiné lors de la crise des missiles à Cuba ...
L'assassinat du président John F. Kennedy, le 22 novembre 1963, a brisé la psyché américaine.
Cet événement traumatisant a été à plusieurs reprises revisité et commémoré, mais peu d'attention a été portée sur la proximité du meurtre de Kennedy un peu plus d'un an avant sa mort à Dallas. Si le président avait été assassiné à ce moment-là, cela aurait probablement conduit à une guerre catastrophique entre les États-Unis et l'Union soviétique qui aurait totalement changé le visage de l'histoire.
Alors qu'il effectuait une visite à la tombe d'Abraham Lincoln, à Springfield, Illinois, au plus fort de la crise des missiles cubains le 19 octobre 1962, un homme armé avait Kennedy dans son champ de vision télescopique alors qu'il se trouvait dans une piste ouverte et lente limousine. Le scénario ressemblait étrangement à ce qui s’est passé à Dallas l’année suivante, mais pour une raison quelconque, le tireur de Springfield a tenu son feu, épargnant à la nation et au monde un possible assassinat.
Kennedy était à Springfield pour faire campagne pour que les démocrates se présentent aux élections à la mi-mandat de 1962 à la Chambre et au Sénat. Avant de prononcer un discours public à l'Illinois State Fairgrounds, le président a rendu une visite privée à la tombe de Lincoln. Sur le chemin de la tombe, un «employé du ministère de la Sécurité publique de l’Illinois» a remarqué deux hommes sur la voie du cortège du président avec un fusil.
Selon le rapport des services secrets, le responsable de la sécurité publique chargé de l'alerte «a vu un canon de fusil à mire télescopique ressortant du deuxième étage. La police locale a été arrêtée et livrée à des agents spéciaux des services secrets », deux hommes qui étaient beaux-frères.
Les services secrets ont noté qu '«un fusil semi-automatique de calibre .22 et une caisse pleine de munitions pour le fusil long .22 ont été saisis».
Les hommes ont admis «avoir pointé le pistolet par la fenêtre du parcours du défilé. Cependant, ils ont affirmé qu’ils n’avaient fait que tester la puissance du viseur télescopique afin de déterminer s’il valait la peine de l’enlever afin de mieux regarder le président lorsque le cortège revient.
Comme il n'y avait aucune preuve du contraire et qu'aucun des deux hommes n'avait de dossier antérieur, les poursuites ont été refusées.
Ces deux hommes avaient un fusil chargé dirigé vers le président lors de son passage en cortège motorisé, mais avaient décidé de ne pas appuyer sur la gâchette. Les services secrets sont intervenus pour appréhender les hommes avant que la limousine du président ne les repasse une seconde fois. Pendant un bref instant, cependant, la vie du président était suspendue à la décision d’un jeune homme de 20 ans de ne pas appuyer sur la gâchette.
Il n'y a aucune preuve suggérant un lien entre ces deux hommes et l'Union soviétique. Mais à l'époque, toute violence dirigée contre Kennedy aurait probablement déclenché la guerre. Après tout, ce quasi-incident à Springfield a eu lieu trois jours après que Kennedy ait été informée par la CIA que l’Union soviétique construisait des sites de missiles nucléaires à Cuba. L'administration Kennedy avait nié les rumeurs d'une telle construction depuis des mois et le président avait été bouleversé par un geste aussi audacieux et trompeur du Kremlin.
S'en sont suivis les fameux «13 jours» de délibérations secrètes de la part de Kennedy et un petit cercle de conseillers connus sous le nom de «Comité exécutif» (Comité exécutif du Conseil de sécurité nationale), ainsi que des échanges tout aussi secrets avec le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev. par le procureur général Robert Kennedy et un membre du KGB. Ces échanges ont permis d’éviter une guerre qui aurait eu des résultats catastrophiques.
En fait, la période la plus critique de la crise des missiles cubains s’est avérée être 72 heures après le quasi-assassinat de Kennedy dans l’Illinois. C’est la crise internationale, et non le tireur, qui a poussé Kennedy à raccourcir son voyage de campagne dans l’Illinois pour revenir à Washington et délibérer sur une réponse à la crise des missiles de Cuba. Le président craignait que la crise ne débouche sur un conflit nucléaire, le "dernier échec", a-t-il dit, et a résisté aux conseils de ceux qui préconisaient une frappe préventive sur les sites de missiles. À la fin, Kennedy a rejeté les demandes de bombardement ou d’invasion de Cuba.
Si Kennedy avait été tué ou blessé à Springfield, le vice-président Lyndon B. Johnson et un noyau de conseillers déjà enclins à une sorte de frappe aérienne ou d’invasion de Cuba auraient probablement approuvé une telle attaque. Une tentative d'assassinat contre un président américain dans le cadre d'une confrontation «entre deux yeux» avec l'Union soviétique aurait amené de nombreux responsables à soupçonner l'implication du Kremlin. Les Soviétiques avaient déjà été surpris gisant sur les missiles de Cuba et toute négation de leur part concernant la tentative d'assassinat de Kennedy aurait été vue de la même manière.
L’exclusion de Kennedy de ce processus décisionnel, que ce soit par mort ou par blessure grave par balle, aurait changé le cours de l’histoire. Un public enragé et un groupe restreint de conseillers prédisposés à penser que les pires intentions de l’Union soviétique auraient exercé une pression énorme sur Johnson pour qu’il réagisse avec force.
Des générations d’érudits et de praticiens ont beaucoup appris sur la résolution des conflits en étudiant la gestion par Kennedy de la crise des missiles à Cuba. Malheureusement, comme le révèlent les événements du 22 novembre 1963, les responsables de la sécurité du gouvernement n’ont appris rien au lendemain du quasi-accident sur la route qui mène à la tombe de Lincoln. S'ils avaient saisi les signaux d'alarme de l'appel rapproché, tels que le risque de limousines ouvertes et la nécessité de se protéger contre les tirs, ils auraient peut-être sauvé les Américains du traumatisme brûlant qui les attendait.
Un accord de grève avec le Mexique pour mettre fin à la "capture et la remise à l'eau", fait attendre les demandeurs d'asile au Mexique
par Tyler Durden Samedi, 24/11/2018 - 14:20
Mise à jour (19h00 HNE): Donald Trump a confirmé des informations antérieures selon lesquelles son nouveau contrat avec le Mexique mettrait fin à une "interception" dans une série de tweets, dans lesquels il a de nouveau menacé de fermer la frontière sud "si cela devenait nécessaire". WaPo a rapporté plus tôt que les menaces de Trump de fermer la frontière avaient aidé à convaincre la nouvelle administration mexicaine d'accepter la nouvelle politique.
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Alors que les postes-frontières atteignent les sommets de la présidence Trump (ils sont 60 000 le mois dernier) et que les juges fédéraux bloquent encore une fois les plans du président sur la répression des passages frontaliers, l'administration Trump a négocié discrètement un accord avec le Mexique qui contourne les tribunaux américains pour mettre en œuvre l'un des plus grands succès de la politique d'immigration de Trump à ce jour: un plan qui maintiendra les demandeurs d'asile d'Amérique centrale aux États-Unis du côté mexicain de la frontière pendant le traitement de leurs demandes.
Le Washington Post, qui a annoncé la nouvelle de l'accord samedi après-midi (la nouvelle a été une surprise totale pour beaucoup, alors que l'Administration Trump et les représentants du nouveau président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador ont réussi à la négocier en secret), a déclaré que le nouveau plan - provisoirement intitulé "Restez au Mexique" - mettra fin à la pratique du "catch and release": lorsque les demandeurs d'asile sont libérés aux États-Unis pour attendre leur audition devant un juge des affaires d'asile. En vertu des nouvelles règles, après avoir été examinés à un point d'entrée américain, les demandeurs d'asile devaient attendre leur comparution devant le tribunal, devant un juge de l'immigration. Le jour de l'audience, ils seraient escortés par des officiers américains dans un palais de justice américain. Toutefois, s'ils ne bénéficiaient pas de l'asile, ils seraient relâchés au Mexique dans l'attente d'une décision finale ou, si leur demande était rejetée, ils seraient expulsés par les États-Unis dans leur pays d'origine.
Des agents d’asile et d’autres agents de l’immigration se dirigent déjà vers un poste-frontière situé à San Diego pour commencer à appliquer cette politique avant que les caravanes largement médiatisées d’immigrants d’Amérique centrale, devenues l’une des questions dominantes du cycle électoral pré-intermédiaire, frontière.
Les responsables américains ont déclaré que la libération de l'espace de détention leur permettrait de traiter les demandes plus rapidement. Le Mexique et les États-Unis espèrent que cette politique encouragera davantage de migrants à rester au Mexique, où de nombreux emplois dans les usines et les usines de montage restent vacants (probablement parce que les salaires ne représentent qu'une petite fraction de ce qu'ils sont aux États-Unis).
Des fonctionnaires américains décrivant le système sous le couvert de l'anonymat ont déclaré qu'ils seraient en mesure de traiter au moins deux fois plus de demandes d'asile qu'aujourd'hui, car elles ne seraient pas limitées par des contraintes d'espace de rétention aux points d'entrée américains. Le port d'entrée de San Ysidro dans la région de San Diego accepte environ 60 à 100 demandes d'asile par jour.
Près de 5 000 Américains d'Amérique centrale sont arrivés à Tijuana ce mois-ci dans le cadre de groupes de caravanes. Plusieurs milliers d'autres sont en route vers la ville, où un terrain de baseball a été transformé en un camp de tentes gonflé. Le maire de la ville a déclaré vendredi une "crise humanitaire" et déclaré que les contribuables de la ville ne paieraient pas la note pour les soins des migrants.
Un groupe de dirigeants d’entreprises de la ville a déclaré qu’il avait ouvert des milliers de postes dans les usines de montage de la ville, ou maquiladoras, invitant des migrants d’Amérique centrale à travailler dans les usines. Bien que les salaires ne représentent qu’une petite fraction des salaires versés aux États-Unis, les responsables mexicains ont déclaré que l’offre de travail était une des raisons pour lesquelles ils croient que le plan Reste au Mexique réussira. A travers le pays, 100 000 emplois sont disponibles pour les demandeurs d'asile d'Amérique centrale, ont déclaré des responsables.
L’accord a été finalisé avec l’aide de la secrétaire à la Sécurité intérieure, Kirstjen Nielsen, ce qui lui a valu un rare éloge de la part de son patron, qui aurait tenté de la licencier en raison de sa faiblesse apparente en matière d’immigration.
L’accord a été conclu la semaine dernière à Houston lors d’une réunion entre Marcelo Ebrard, le nouveau ministre des Affaires étrangères du Mexique, et de hauts responsables américains, tels que le secrétaire d’État Mike Pompeo et le secrétaire à la Sécurité intérieure, Kirstjen Nielsen, selon des responsables américains et mexicains.
Nielsen se bat pour conserver son poste depuis la fin du trimestre et, bien que Trump ait annoncé à ses collaborateurs qu’il envisageait de la remplacer, le président l’a félicitée cette semaine pour avoir "essayé".
Bien que l’entente soit censée être une solution "à court terme", le plan "à moyen et long terme", selon des responsables mexicains, stipule que les migrants centraméricains "restent au Mexique".
"Pour le moment, nous avons accepté cette politique de rester au Mexique", a déclaré Olga Sánchez Cordero, nouvelle ministre mexicaine de l'Intérieur, haut responsable de la politique intérieure de López Obrador, entrée en fonction le 1er décembre. Dans un entretien avec le Washington Post, elle a appelé cela une "solution à court terme".
"La solution à moyen et à long terme est que les gens ne migrent pas", a déclaré Sánchez Cordero. "Le Mexique a les bras ouverts et tout, mais imaginez, caravanes après carrières, cela nous poserait également problème."
L’accord est l’indication la plus claire à ce jour que Trump et AMLO entretiennent une relation plus cordiale que beaucoup ne l’espéraient. Et même si une contestation judiciaire du plan pourrait encore se matérialiser, les tribunaux américains n’ont pas compétence au Mexique. Dans cet esprit, il semble que Trump ait enfin trouvé un moyen de contourner les "juges Obama" qui ont été les plus gros obstacles à sa politique d'immigration.
Carlos Ghosn a sous-estimé le salaire de 100 millions de dollars: rapport
par Tyler Durden Samedi, 24/11/2018 - 16:35
Cela fait presque une semaine que les procureurs de Tokyo ont embarqué dans l'avion privé du légendaire chef d'entreprise automobile Carlos Ghosn et l'ont emmené menotté à sa nouvelle résidence temporaire: une cellule de 24 mètres carrés au centre de détention de Tokyo. Depuis, personne n'a plus entendu parler de Ghosn, même si les médias affirment que l'ambassadeur de France au Japon lui a rendu visite.
Entre-temps, il a été évincé du conseil d’administration de Nissan et (temporairement) relevé de ses fonctions de directeur général chez Renault. Les spéculations sur le possible effondrement de l'alliance Nissan-Renault-Mitsubishi créée par Ghosn se sont multipliées, le Wall Street Journal publiant vendredi un rapport détaillé sur les ressentiments à l'égard de Renault qui se construisaient chez Nissan, où des cadres supérieurs, y compris éventuellement Hirohito Saikawa , se sont hérissés devant l'influence exercée par des hommes qu'ils considéraient comme des intrus étrangers (certains ont même suggéré que l'arrestation de Ghosn résultait d'un complot organisé dans une salle de conférence orchestrée par Saikawa).
Mais si beaucoup reste incertain pour Ghosn et pour les sociétés qu’il dirigeait jusqu’à récemment, les détails de ses actes reprochés restent vagues.
Dans l'explication peut-être la plus détaillée sur les circonstances de l'arrestation de Ghosn, la nature de ses actes reprochés et les tensions naissantes entre Nissan et Renault, le WSJ a rapporté plus tôt cette semaine que les procureurs estimaient que les 44 millions manquants - le montant de la sous-déclaration présumée de Ghosn Son revenu sur 5 ans comprend un type de rémunération à base d’actions appelée droits à la plus-value des actions. Ceux-ci sont payés lorsque le cours de l'action dépasse un niveau donné. Il est important de rappeler que Ghosn n'a toujours pas été officiellement inculpé, pas plus que son complice présumé, le directeur de Nissan, Greg Kelly.
Et maintenant, un rapport publié dans le Kyodo News au Japon affirme que le montant que Ghosn est soupçonné de ne pas avoir déclaré au total pourrait être plus du double de ce montant de 44 millions de dollars. Entre 2010 et aujourd'hui, Ghosn aurait peut-être sous-déclaré ses revenus de près de 12 milliards de yens, soit environ 100 millions de dollars. En plus de la sous-déclaration, Ghosn fait également l'objet d'une enquête pour utilisation abusive des fonds d'une joint-venture néerlandaise entre Nissan et Renault afin d'acheter des "logements sociaux" (résidences de luxe au Brésil et au Liban) qui servaient de résidence personnelle.
Mais il a été arrêté par les procureurs de Tokyo pour avoir prétendument rapporté une rémunération d'environ 4,99 milliards de yens de moins qu'il n'avait touché en cinq ans à compter d'avril 2010. Il aurait reçu près de 100 milliards de yens au cours de cette période.
Les procureurs envisagent également de préparer un dossier contre une sous-déclaration présumée de 3 milliards de yens supplémentaires de rémunération perçue sur trois ans à compter d'avril 2015.
Ghosn est également soupçonné de ne pas avoir déclaré environ 4 milliards de yens de droits à la plus-value des actions, un système similaire aux options d’achat d’actions qui verse des primes aux dirigeants si le cours des actions de la société dépasse un certain niveau.
Ghosn aurait également utilisé des résidences achetées par la société aux Pays-Bas, au Brésil, en France et au Liban sans payer de loyer, tout en obligeant la société à payer les voyages de sa famille et ses dépenses privées de consommation et de restauration.
Quelle que soit la preuve découverte par l'enquête interne de Nissan sur les méfaits de Ghosn, elle doit être assez convaincante. Après que deux membres du conseil d’administration de Renault aient initialement hésité à voter pour évincer Ghosn jeudi, Nissan leur a fourni des grands livres détaillant les allégations de sous-déclaration de revenus de Ghosn. Alors qu'il était sous-payé par rapport à d'autres dirigeants de même envergure dans son secteur, M. Ghosn a également tiré les salaires de ses fonctions de président-directeur général de Renault et de président de Mitsubishi.
Après avoir lu les registres, ils auraient convenu que les preuves étaient suffisantes pour voter pour destituer Ghosn et Kelly. Selon Kyodo News, Nissan aurait découvert que Ghosn avait communiqué à Kelly deux chiffres à utiliser lors de la déclaration de sa rémunération. Un ensemble de chiffres représentant ce que Ghosn a réellement fabriqué et un autre ensemble de chiffres plus petit qu'il souhaitait rapportés à l'échange.
Dans le même temps, son ex-femme, Rita, a donné des détails sordides sur la vie personnelle de Ghosn, qui a laissé entrevoir des abus pendant leur mariage dans un message crypté publié sur les médias sociaux: "Tous les narcissistes sont des hypocrites. Ils prétendent avoir la morale et les valeurs derrière des portes closes, ils mentent, insultent, critiquent, manquent de respect et sont abusifs. Ils peuvent faire et dire tout ce qu'ils veulent, mais comment osez-vous leur dire quoi que ce soit ou les critiquer ? Ils ont tout un ensemble de règles pour d'autres, mais ne suivent aucune de leurs propres règles, et ne pratiquent rien de ce qu'ils prêchent. "
En résumé, lorsque les procureurs de Tokyo auront achevé leur enquête, Ghosn pourrait être à jamais coupé du style de vie qui lui permettait de s'offrir un somptueux mariage au palais de Versaille.
13 illustrations de la bienveillance du capitalisme
Samedi, 24/11/2018 - 16h10 Écrit par George Reisman via le Mises Institute,
Par «nature bienveillante du capitalisme», j'entends le fait qu'il favorise la vie humaine et le bien-être et qu'il le fait pour tous. Un grand nombre de grands penseurs, allant de John Locke à Ludwig von Mises et Ayn Rand, ont développé de nombreuses idées de ce type, élaborées au cours de plus de trois siècles. J'en présente autant que je peux dans mon livre Capitalism.
Je vais brièvement aborder environ une douzaine de ces idées que je considère comme les plus importantes et qui, je pense, prises toutes ensemble, rendent irrésistible le cas du capitalisme. Permettez-moi de dire que je m'excuse pour la brièveté de mes discussions. Chacune des idées dans lesquelles je m'engage nécessiterait à elle seule une discussion plus longue que le temps qui m'a été alloué pour parler aujourd'hui. Heureusement, je peux me fier au fait que, du moins dans mon livre, je pense les avoir présentées avec le détail qu’elles méritent.
Et maintenant, laissez-moi commencer.
1) La liberté individuelle - caractéristique essentielle du capitalisme - est le fondement de la sécurité, au sens à la fois de la sécurité personnelle et de la sécurité économique. La liberté signifie l'absence d'initiation de la force physique. Quand on est libre, on est en sécurité - à l'abri - des crimes de droit commun, car ce qui est libre, c'est des actes tels que voies de fait, batterie, vol, viol et meurtre, qui représentent tous le déclenchement de la force physique. Ce qui est encore plus important, bien sûr, c’est que, lorsque l’on est libre, on est libéré de l’initiation de la force physique par le gouvernement, qui est potentiellement beaucoup plus meurtrière que celle de tout gang criminel privé. (La Gestapo et le KGB, par exemple, avec leur asservissement et le meurtre de millions de personnes, ont rendu les criminels privés presque aussi gentils en comparaison.)
Le fait que la liberté soit l'absence d'initiation de la force physique signifie également que la paix est un corollaire de la liberté. Là où il y a liberté, il y a paix, parce qu'il n'y a pas recours à la force: dans la mesure où la force n'est pas utilisée, le recours à la force pour se défendre ou pour se venger n'est pas nécessaire.
La sécurité économique procurée par la liberté découle du fait que chacun peut choisir de faire ce qu’il juge être le plus avantageux pour son intérêt, sans craindre d’être arrêté par la force physique de quiconque, tant que lui-même ne le fait pas. initier l'utilisation de la force physique. Cela signifie, par exemple, qu'il peut occuper le poste le mieux rémunéré qu'il trouve et achète auprès des fournisseurs les plus compétitifs qu'il peut trouver; dans le même temps, il peut conserver tous ses revenus et en économiser autant qu'il le souhaite, en investissant ses économies de la manière la plus rentable qui soit. La seule chose qu'il ne puisse pas faire, c'est utiliser la force lui-même. L'usage de la force étant interdit, un individu augmente ses revenus en utilisant sa raison pour trouver comment offrir aux autres des biens et des services plus nombreux ou de meilleure qualité pour le même montant, puisqu'il s'agit du moyen de les inciter volontairement à dépenser une plus grande partie de leurs fonds dans l'achat de lui plutôt que de concurrents. Ainsi, la liberté est la base de la sécurité économique de chacun, autant que l’exercice de sa raison et la raison de ses fournisseurs le permettent.
2) Une augmentation continue de l'offre de ressources naturelles accessibles et utilisables sur le plan économique est possible, car l'homme convertit une fraction plus grande de l'infini virtuel qu'est la nature en biens et en richesses économiques, sur la base à la fois d'une connaissance croissante de la nature et d'un pouvoir physique croissant sur la nature. il. (Pour plus de précisions, voir "L’environnementalisme à la lumière de Menger et Mises" dans le numéro de l’été 2002 de The Quarterly Journal of Austrian Economics.)
3) La production et l'activité économique, de par leur nature même, servent à améliorer l'environnement de l'homme. En effet, du point de vue de la physique et de la chimie, toute production et activité économique consistent en un réarrangement d’éléments chimiques de même nature dans différentes combinaisons et en leur déplacement dans des lieux géographiques différents. Le but de ce réarrangement et de ce mouvement n’est essentiellement rien d’autre que de donner aux éléments chimiques une meilleure relation avec la vie et le bien-être humains. Il place les éléments chimiques dans des combinaisons et des emplacements où ils offrent une plus grande utilité, un avantage plus grand pour les êtres humains.
La relation entre les éléments chimiques fer et cuivre, par exemple, et la vie et le bien-être de l’homme s’améliore considérablement lorsqu’ils sont extraits du sous-sol et qu’ils apparaissent dans des produits tels que les automobiles, les réfrigérateurs et les câbles électriques. La relation entre des éléments chimiques tels que le carbone, l'hydrogène, l'oxygène et l'azote et la vie et le bien-être de l'homme est améliorée lorsqu'il est possible de les transformer en énergie électrique. La relation entre un morceau de terre et la vie et le bien-être de l'homme est améliorée lorsque, au lieu de dormir dans un sac de couchage et de prendre des précautions contre les serpents, les scorpions et autres animaux sauvages, il peut dormir dans un environnement moderne et bien construit. maison qui est construite sur elle, avec tous les utilitaires et appareils que nous prenons pour acquis.
La totalité des éléments chimiques dans leur relation à l'homme constitue l'environnement extérieur matériel de l'homme, et c'est précisément ce que la production et l'activité économique servent à améliorer, de par leur nature même.
4) La division du travail, une caractéristique dominante du capitalisme, qui ne peut exister que sous une forme très développée, procure entre autres avantages majeurs les gains énormes résultant de la multiplication de la quantité de connaissances entrant dans le processus de production et de son maintien. , augmentation progressive. Il suffit de considérer que chaque occupation, chaque sous-occupation possède son propre corpus de connaissances. Dans une société capitaliste à division du travail, il y a autant de corps de connaissances distincts entrant dans le processus de production qu'il y a d'emplois distincts. L’ensemble de ces connaissances profite à chaque individu, en sa qualité de consommateur, lorsqu’il achète les produits fabriqués par d’autres - et en grande partie en sa qualité de producteur, dans la mesure où sa production est aidée par l'utilisation de biens d'équipement précédemment produits par d'autres.
Ainsi, un individu donné peut travailler comme menuisier, par exemple. Son savoir spécialisé est celui de la menuiserie. Mais en tant que consommateur, il tire parti de toutes les autres occupations distinctes du système économique. L'existence d'un tel corpus étendu de connaissances est essentielle à l'existence même de nombreux produits - tous les produits dont la production nécessite plus de connaissances qu'un individu ou un petit nombre d'individus peuvent en posséder. Bien entendu, ces produits comprennent des machines qui ne pourraient tout simplement pas être fabriquées en l’absence d’une vaste division du travail et du vaste ensemble de connaissances qu’elle représente.
De plus, dans une société capitaliste à division du travail, une grande partie des membres les plus intelligents et les plus ambitieux de la société, tels que les génies et d’autres individus de grande capacité, choisissent leurs concentrations avec précision dans des domaines qui ont pour effet d’améliorer progressivement augmenter le volume de connaissances appliqué à la production. C’est l’effet que de telles personnes se concentrent sur des domaines tels que la science, l’invention et les affaires.
5) On sait depuis au moins Adam Smith et David Ricardo que l'économie capitaliste tend à égaliser le taux de profit ou le taux de rendement du capital dans toutes les branches du système économique. . Lorsque les taux de rendement sont supérieurs à la moyenne, ils constituent l’incitation et également le moyen d’accroître les investissements et donc d’accroître la production et l’offre, ce qui a ensuite pour effet de réduire les prix et le taux de rentabilité. Lorsque les taux de rendement sont inférieurs à la moyenne, il en résulte une réduction des investissements et une réduction de la production et de l'offre, suivis d'une hausse des bénéfices et du taux de rentabilité. Ainsi, les taux de profit élevés baissent et les taux bas montent.
L’application de ce principe permet non seulement de maintenir les différentes branches d’une économie capitaliste dans un juste équilibre, mais aussi de donner aux consommateurs le pouvoir de déterminer la taille relative des diverses industries, simplement sur la base de: leur modèle d'achat et d'abstention d'achat, pour utiliser les mots de von Mises. Là où les consommateurs dépensent plus, les profits augmentent, et où ils dépensent moins, les bénéfices chutent. En réponse aux profits plus élevés, les investissements et la production sont augmentés et en réponse aux profits ou pertes plus faibles, ils sont diminués. Ainsi, la structure des investissements et de la production est conçue pour suivre la structure des dépenses de consommation.
Peut-être plus important encore, la tendance à la recherche d'un taux de rendement uniforme sur les capitaux investis sert à créer un schéma d'amélioration progressive des produits et des méthodes de production. Toute entreprise donnée peut obtenir un taux de rendement supérieur à la moyenne en introduisant un produit nouveau ou amélioré que les consommateurs veulent acheter, ou une méthode plus efficace et moins coûteuse de production d'un produit existant. Mais alors, le profit élevé dont elle bénéficie attire la concurrence et, une fois que l'innovation est généralement adoptée, le profit élevé disparaît, de sorte que les consommateurs bénéficient pleinement de l'innovation. Ils finissent par avoir de meilleurs produits et des prix plus bas.
Si l'entreprise qui a lancé l'innovation souhaite continuer à dégager un taux de profit exceptionnel, elle doit introduire de nouvelles innovations qui aboutissent aux mêmes résultats. Gagner un taux de profit élevé pendant une période prolongée nécessite l'introduction d'une série d'innovations continues, les consommateurs tirant pleinement parti de toutes les innovations, même les plus récentes.
6) Comme l'a montré von Mises, dans une économie de marché, ce que le capitalisme est bien sûr, la propriété privée des moyens de production profite à tous, aux non-propriétaires comme aux propriétaires. Les non-propriétaires bénéficient des moyens de production détenus par d'autres personnes. Ils obtiennent cet avantage au fur et à mesure qu'ils achètent les produits de ces moyens de production. Pour bénéficier des usines et des équipements de General Motors, ou des gisements de pétrole, des oléoducs et des raffineries d'Exxon, je n'ai pas besoin d'être actionnaire ni obligataire dans ces entreprises. Je dois simplement être en mesure d'acheter une automobile, de l'essence ou tout ce qu'ils produisent.
En outre, grâce au caractère dynamique et progressif du principe de l'uniformité du taux de profit ou du taux de rendement que j'ai expliqué tout à l'heure, le bénéfice général des moyens de production privés pour les non-propriétaires augmente continuellement, ils sont en mesure d'acheter des produits toujours plus nombreux et de meilleure qualité à des prix réels en baisse constante. On ne saurait trop insister sur le fait que ces gains progressifs et l’amélioration générale du niveau de vie qui en découle dépendent fondamentalement des institutions capitalistes de propriété privée des moyens de production, de la recherche du profit et de la concurrence économique, et qu’ils ne seraient pas possibles. sans eux. Ce sont eux qui sous-tendent une initiative individuelle motivée et efficace pour élever le niveau de vie.
7) L’avantage général de l’héritage est un corollaire de l’avantage général découlant de la propriété privée des moyens de production. Non seulement les héritiers, mais aussi les non-héritiers bénéficient de son existence. Les non-héritiers en bénéficient parce que l'institution de l'héritage encourage l'épargne et l'accumulation de capital, dans la mesure où elle amène les individus à accumuler et à maintenir un capital destiné à être transmis à leurs héritiers. L’existence de ce capital supplémentaire accumulé a pour effet d’augmenter le nombre de moyens de production destinés au marché et donc de fournir des produits plus nombreux et de meilleure qualité.
Bien entendu, l’effet du capital supplémentaire se traduit également par une demande supplémentaire de main-d’œuvre et donc par des taux de rémunération plus élevés. Il faut bien comprendre que la demande de main-d’œuvre est un moyen majeur par lequel tous les moyens de production privés fonctionnent au profit des non-propriétaires. Le capital sous-tend la demande de travail ainsi que l'offre de produits.
8) Sous le capitalisme, non seulement le gain d'un homme n'est pas la perte d'un autre, dans la mesure où il résulte d'une augmentation de la production totale, mais aussi, dans les cas les plus importants, à savoir ceux de la construction de grandes fortunes industrielles, le gain d'un homme est positivement le gain des autres hommes. Cela découle du fait que les exigences arithmétiques de la constitution d’une grande fortune associent l’atteinte d’un taux de profit élevé sur le capital pendant une période prolongée et l’épargne et le réinvestissement de la plus grande partie des bénéfices réalisés. , année après année.
Comme nous l’avons vu, le gain d’un taux de profit élevé pendant une période prolongée, face à la concurrence, nécessite l’introduction d’une série d’innovations significatives. Ces innovations représentent des produits meilleurs et moins coûteux pour les consommateurs. L'épargne et le réinvestissement des profits réalisés sur les innovations constituent l'accumulation de moyens de production, qui sert également les consommateurs. Ainsi, tant par leur origine que par leurs profits élevés et par leur disposition, par l'accumulation de capital, les grandes fortunes industrielles représentent des gains correspondants pour le grand public. Par exemple, le vieil homme d'Henry Ford, qui avait commencé avec un capital de 25 000 dollars en 1903 et se terminant avec un capital de 1 milliard de dollars en 1946, était le revers de la médaille de l'individu moyen qui avait la possibilité d'acheter une voiture considérablement améliorée en grande partie dans des usines représentant le milliard de Ford.
9) Comme l'a montré von Mises, la concurrence économique qui règne sous le capitalisme est radicalement différente de la concurrence biologique qui prévaut dans le règne animal. En fait, son caractère est diamétralement opposé. Les espèces animales sont confrontées à des moyens de subsistance rares et naturels, dont elles ne peuvent augmenter l'offre. L'homme, en raison de sa possession de la raison, peut augmenter l'offre de tout ce dont dépendent sa survie et son bien-être. Ainsi, au lieu de la concurrence biologique d'animaux cherchant à s'approvisionner en quantités limitées de produits indispensables à la nature, en raison de la réussite et de la disparition faibles, la concurrence économique sous le capitalisme est une concurrence qui permet d'accroître l'offre de choses le plus, avec le résultat étant pratiquement tout le monde survivant plus longtemps et mieux.
Contrairement aux lions de la jungle, qui doivent rivaliser pour obtenir un nombre limité d'animaux, tels que les zèbres et les gazelles, au moyen du pouvoir de leurs sens et de leurs membres, les producteurs sous le capitalisme sont en concurrence pour une offre limitée en dollars aux mains des consommateurs , pour lesquels ils se font concurrence en proposant les produits les meilleurs et les plus économiques que leur esprit puisse concevoir. Comme cette concurrence est un facteur de création positive de richesses nouvelles et supplémentaires, il n’ya pas de véritables perdants à long terme. Il n'y a que des gagnants.
La concurrence des agriculteurs et des fabricants d’équipements agricoles permet aux affamés et aux faibles de manger et de devenir forts; celle des fabricants pharmaceutiques permet aux malades de recouvrer leur santé; celui des fabricants de lunettes et de prothèses auditives permet à beaucoup de personnes qui ne pourraient ni voir ni entendre autrement. Loin d’être une compétition dont le résultat est "la survie du plus apte", la compétition du capitalisme est plus précisément décrite comme une compétition dont le résultat est la survie de tous, ou du moins de plus en plus, pour de plus en plus longtemps et à jamais meilleur. Le seul sens dans lequel seuls les "plus aptes" survivent est que ce sont les produits et les méthodes de production les plus adaptés qui subsistent, jusqu'à ce qu'ils soient remplacés par des produits et des méthodes de production encore plus adaptés, avec les effets sur la survie humaine décrits ci-dessus.
Comme M. Von Mises l'a également montré, avec le développement de la loi de Ricardo relative à l'avantage comparatif dans le droit des associations, il y a de la place pour tous dans la concurrence du capitalisme. Même ceux qui sont moins capables que les autres à tous égards ont leur place. En fait, dans une large mesure, la concurrence sous le capitalisme, loin d’être un sujet de conflit entre les êtres humains, est un processus d’organisation de ce grand système de coopération sociale appelé division du travail. Il décide à quel moment de ce système global de coopération sociale chaque individu apportera sa contribution spécifique - qui, par exemple, et pour combien de temps, sera un capitaine d’industrie, qui sera le gardien et qui remplira toutes les positions entre les deux.
Dans cette compétition, chaque individu, même limité dans ses capacités, est capable de surpasser tous les autres, aussi supérieur soit-il dans ses capacités, pour sa place spéciale. Littéralement, et comme chaque jour, ceux dont les capacités ne sont pas plus grandes que celles requises pour être concierge sont capables de surpasser, sans aucun doute, les plus grands génies productifs du monde - pour le poste de concierge. Par exemple, Bill Gates pourrait être un homme tellement supérieur qu’en plus de pouvoir révolutionner l’industrie du logiciel, il pourrait peut-être nettoyer cinq fois plus de mètres carrés d’espaces de bureau en même temps que tout concierge vivant actuellement. cest mieux. Mais si Gates gagne un million de dollars par heure sous Microsoft et que les concierges sont prêts à travailler pour, par exemple, 10 dollars de l'heure, ils sont prêts à effectuer le travail à un cent millième du taux horaire que Gates aurait besoin, alors Loin de loin leurs capacités moindres que ce sont eux qui sont "hors de concours" dans ce cas.
Dans le même temps, les génies productifs étant libres de révolutionner les produits et les méthodes de production, ceux dont les capacités ne sont pas supérieures à celles requises pour être concierges peuvent profiter non seulement de la nourriture, des vêtements et du logement, mais aussi de produits tels que les automobiles, les téléviseurs et les ordinateurs personnels, des produits dont ils n'auraient probablement même jamais rêvé l'existence même.
Les pertes liées à la concurrence sont à la plupart des pertes à court diffusez que. Par exemple, une fois que les forgerons et les éleveurs de chevaux mis hors service par l’automobile ont trouvé d’autres types de travail à un niveau comparable, le seul effet durable de l’automobile sur eux a été qu’ils ont eux aussi profité de la avantages de l'automobile sur le cheval. De même, les agriculteurs utilisant des mules, qui ont été licenciés par la concurrence d'agriculteurs utilisant des tracteurs, ne sont pas morts de faim, mais ont simplement dû changer de travail. Lorsqu'ils l'ont fait, ils ont profité à la fois d'une offre plus abondante de denrées alimentaires et d’autres produits, lesquels pourraient être fabriqués précisément sur la base du travail libéré de l’agriculture.
Même dans les cas où une compétition isolée oblige un individu à passer le reste de sa vie dans une station plus basse que celle dont il bénéficiait auparavant, par exemple, le propriétaire d'une fabrique de buggy-whip doit vivre toute sa vie en tant que salarié ordinaire après la fermeture de son automobile, il ne peut même pas prétendre que la concurrence l’a fait souffrir. Tout ce qu’il peut raisonnablement prétendre, c’est simplement qu’à partir de ce moment, les gains immenses qu’il tire de la concurrence sont inférieurs aux gains encore plus immenses qu’il en avait obtenus auparavant. Car la concurrence est à la base de la production et de la fourniture de tout ce qu’il continue à pouvoir acheter et est ce qui est responsable du pouvoir d’achat de chaque dollar de son revenu et de celui de tous les autres. Et, bien sûr, cela revient à élever son revenu réel du niveau auquel il a été réduit. En effet, sous le capitalisme, la concurrence a pour effet d'élever le niveau de vie du salarié moyen au-dessus de celui des personnes les plus riches du monde quelques générations auparavant. (Aujourd'hui, par exemple, le salarié moyen dans un pays capitaliste a un niveau de vie supérieur à celui de la reine Victoria, probablement à tous égards, à l'exception de la possibilité d'employer des employés.)
10) Et maintenant, une fois de plus avec le crédit de Mises, loin d'être le chaos sans plan et "l'anarchie de la production" alléguée par les marxistes, le capitalisme est en réalité un système économique aussi minutieusement et rationnellement planifié qu'il est possible d'avoir. La planification qui se poursuit sous le capitalisme, sans presque jamais être reconnue comme telle, est la planification de chaque participant individuel au système économique. Toute personne qui pense à une activité économique qui pourrait lui être utile et à la manière de la mener à bien participe à la planification économique. Les particuliers envisagent d'acheter des maisons, des automobiles, des appareils ménagers et même des épiceries. Ils planifient les emplois pour lesquels s'entraîner et où offrir et appliquer les capacités qu'ils possèdent. Les entreprises commerciales prévoient d'introduire de nouveaux produits ou d'interrompre les produits existants; ils envisagent de changer leurs méthodes de production ou continuent à utiliser les méthodes qu'ils utilisent actuellement; ils envisagent d'ouvrir des branches ou de fermer des branches; ils prévoient embaucher de nouveaux travailleurs ou des travailleurs mis à pied qu'ils emploient actuellement; ils prévoient d’ajouter à leurs stocks ou de les réduire.
On pouvait encore trouver d’autres exemples de planification économique courante et quotidienne effectuée par des particuliers et des entreprises. La planification économique privée est partout autour de nous et tout le monde y participe. Mais, à tout le monde sauf les étudiants de Mises, il est invisible. Pour ceux qui ignorent Mises, la planification économique est la province du gouvernement.
Une planification économique privée immense et omniprésente existe non seulement, mais elle est également coordonnée, intégrée et harmonisée afin de produire un système économique planifié de manière cohérente. Le moyen par lequel ceci est accompli est le système de prix. Toute la planification économique des particuliers et des entreprises repose sur une considération des prix, les prix constituant des coûts et les prix constituant des revenus ou des revenus. Les personnes qui envisagent d’acheter des biens ou des services de toute nature tiennent toujours compte des prix de ces biens et services et sont disposées à modifier leurs plans en fonction de l’évolution des prix. Les personnes qui envisagent de vendre des biens ou des services tiennent toujours compte des prix auxquels elles peuvent s'attendre pour leurs biens ou leurs services et sont également disposées à modifier leurs plans face aux variations de prix. Les entreprises commerciales, bien sûr, fondent leurs projets sur une considération à la fois des produits des ventes et des coûts, et donc des prix respectifs les constituant, et sont disposés à les modifier en fonction de l’évolution de leur rentabilité.
Ainsi, par exemple, lorsque ma femme et moi avons déménagé pour la première fois en Californie, notre plan de logement consistait à acheter une maison située sur une colline surplombant l'océan Pacifique. Mais après avoir appris le prix de telles maisons, nous avons rapidement décidé de réviser notre plan de logement et de chercher plutôt une maison à plusieurs kilomètres de l’intérieur. De cette façon, nous avons été amenés à modifier notre plan de logement de manière à l’harmoniser avec les plans d’autres personnes, qui envisageaient également d’acheter le type de maison que nous prévoyions à l’origine mais qui, en plus, étaient disposées à de s’engager dans leur plan avec plus d’argent que nous le voulions et pouvions en engager. Les offres plus élevées des autres et notre examen de ces offres ont entraîné une harmonisation de notre plan de logement avec le leur.
De même, un étudiant de première année naïf pourrait avoir un plan de carrière qui l’incitera à se spécialiser en littérature française médiévale ou en poésie de la Renaissance. Mais peu de temps avant le début de sa première année junior, il se rend compte que s’il persiste dans un tel plan de carrière, il peut s’attendre à vivre sa vie affamé dans une mansarde. En revanche, s’il modifie son plan de carrière et ses spécialités dans des domaines tels que la comptabilité ou l’ingénierie, il peut s’attendre à vivre très confortablement. Et donc il change de plan de carrière et de majeur. En modifiant son plan de carrière en tenant compte du revenu éventuel, l’étudiant opère un changement qui correspond mieux aux plans d’autres personnes du système économique. L’exécution des plans d’autrui requiert les services de beaucoup plus de comptables et d’ingénieurs que les services d’experts littéraires.
Un dernier exemple: les consommateurs changent leur régime alimentaire et prévoient donc, par exemple, de manger plus de poisson et de poulet et moins de viande rouge. Cela se traduit par une modification correspondante de leur structure d’achat et une abstention d’achat. Maintenant, pour maintenir leur rentabilité, les supermarchés et les restaurants doivent envisager de modifier leur offre, à savoir, augmenter les quantités respectives de poisson et de poulet et de plats de poisson et de poulet ou de sandwiches qu’ils fournissent, et diminuer les quantités de viande rouge et de viande rouge. plats de viande ou des sandwiches qu'ils fournissent. Ces changements de plan, et les changements d’achat correspondants, de la part des supermarchés et des restaurants entraînent de nouveaux changements de plan et d’achats, de la part de leurs fournisseurs et de leurs fournisseurs, et ainsi de suite, jusqu’à ce que tout le système économique suffisamment réorganisé pour tenir compte de l’évolution des plans et des achats des consommateurs.
Le système de prix et la prise en compte des coûts et des revenus qu’il entraîne de la part de tous induisent une nouvelle planification du système économique en fonction de l’évolution de la demande ou de l’offre, de manière à maximiser les gains et à minimiser les pertes, tout en garantissant de la production se fait de manière à favoriser au maximum la production dans le reste du système économique.
Par exemple, suite à une diminution de l'offre de pétrole brut, le prix du pétrole brut et des produits pétroliers augmentera. Tous les acheteurs individuels considéreront les prix plus élevés en relation avec leurs propres circonstances - dans le cas des consommateurs, leurs propres besoins et désirs; dans le cas des entreprises commerciales, leur capacité à répercuter l’augmentation sur les clients. Et tous examineront les alternatives à l'utilisation de l'huile ou des produits pétroliers mis à leur disposition. Ainsi, sur la base de sa pensée et de sa planification individuelles, chacun des participants réduira sa demande pour les articles de manière à nuire le moins possible à son bien-être. Et de cette manière, la réflexion et la planification de tous les acteurs du système économique qui utilisent du pétrole ou des produits pétroliers entreront dans la détermination du lieu et de la mesure dans laquelle la quantité de pétrole et de produits pétroliers demandés diminue en raison de la hausse de leur prix. Il s’agit clairement de réagir à une perte d’approvisionnement de manière à minimiser la perte. La réduction de l'offre s'accompagnera d'une réduction équivalente de son utilisation dans le moins important des emplois pour lesquels une offre auparavant plus importante était suffisante.
De même, le système de prix et la pensée et la planification individuelles de tous les participants conduisent à maximiser les gains tirés d'une augmentation de l'offre de tout facteur de production rare. L'offre supplémentaire est absorbée par les utilisations pour lesquelles elle est la plus chère, c'est-à-dire pour laquelle elle peut être absorbée avec la moindre baisse de prix.
Ironiquement, alors que le capitalisme est un système économique planifié de manière approfondie et rationnelle et continuellement remanié en fonction de l’évolution des conditions économiques, le socialisme, comme l’a montré Mises, est incapable de planification économique rationnelle. En détruisant le système des prix et ses fondements, à savoir la propriété privée des moyens de production, la recherche du profit et la concurrence, le socialisme détruit la division intellectuelle du travail essentielle à une planification économique rationnelle. C'est la demande impossible que la planification du système économique soit réalisée comme un tout indissociable dans un esprit unique que seule une divinité omnisciente pourrait posséder.
Ce que le socialisme représente est tellement éloigné de la planification économique rationnelle que c'est en réalité l'interdiction de la planification économique rationnelle. En premier lieu, de par sa nature même, il s’agit d’une interdiction de planification économique par tous, à l’exception du dictateur et des autres membres du comité central de planification. Ils doivent jouir d'un privilège de monopole sur la planification, dans la croyance absurde et presque folle que leur cerveau puisse atteindre les capacités de tout-voyant et de tout-savoir des divinités omniscientes. Ils ne peuvent pas. Ainsi, ce que le socialisme représente en réalité, c’est la tentative de substituer la pensée et la planification d’un seul homme, ou tout au plus d’une poignée d’hommes, à la réflexion et à la planification de dizaines et de centaines de millions, voire de milliards d’hommes. De par sa nature, cette tentative de faire en sorte que le cerveau de si peu de personnes ne réponde pas aux besoins de tant d’entre elles n’ait pas plus de chances de succès que de tenter de faire des jambes de si peu le véhicule qui permettrait de porter le poids de tant de personnes.
Pour avoir une planification économique rationnelle, il est nécessaire de penser de manière indépendante et de planifier tous, dans un environnement de propriété privée des moyens de production et du système de prix, c’est-à-dire le capitalisme.
11) J'en viens maintenant au sujet du monopole. Le socialisme est le système de monopole. Le capitalisme est le système de la liberté et de la libre concurrence.
Comme Mises l'a fait remarquer, les besoins essentiels de la vie humaine liés à la nature, tels que l'eau potable, les terres arables et les ressources accessibles de pratiquement tous les minéraux sont généralement disponibles en quantités tellement importantes que toutes les sources disponibles ne peuvent pas être exploitées. Le travail qui serait requis n'est pas disponible. Il est employé sur des terrains et des gisements minéraux plus productifs ou dans les nombreuses activités de fabrication et de commerce, où son emploi est démontré par les prix du marché comme étant plus important que la production d'une offre supplémentaire de produits de base agricoles ou de minéraux.
Dans ces conditions, et en l’absence d’intervention des pouvoirs publics, ce qu’il faut pour qu'un producteur (ou une combinaison de producteurs) puisse devenir le seul fournisseur de quelque chose que ce soit, c’est que le prix qu’il facture soit trop bas pour le justifier pour les autres fournisseurs potentiels. entrez dans le champ. La position de fournisseur exclusif est garantie par la faiblesse du prix et ne constitue pas la base pour imposer un prix élevé.
Le même point essentiel s’applique aux cas où la nécessité d’investir des sommes importantes en capital limite fortement le nombre de fournisseurs. Un capital important est nécessaire pour atteindre des coûts de production unitaires bas, nécessaires pour être rentables à des prix de vente bas.
Le monopole est en réalité le résultat de l'intervention du gouvernement. Plus précisément, il s’agit de la réservation d’un marché ou d’une partie de marché à un ou plusieurs fournisseurs au moyen de l’initiation de la force physique. Les franchises gouvernementales exclusives, les tarifs de protection et les lois sur les licences en sont des exemples.
12) Le capitalisme est un système d'augmentation progressive des salaires réels, de réduction des heures de travail et d'amélioration des conditions de travail. Contrairement à Adam Smith et à Karl Marx, les hommes d’affaires et les capitalistes ne déduisent pas les bénéfices de ce qui était prétendument à l’origine tous les salaires ou de ce qui serait prétendument de manière naturelle et légitime tous les salaires. La forme de revenu originale et principale est le profit, pas le salaire. Les travailleurs manuels produisant et vendant des produits, soit dans l'état "précoce et impoli de la société" d'Adam Smith, soit dans le cadre de la "circulation simple" de Karl Marx, ne rapportaient pas un salaire, mais un revenu de vente. Quand on vend un pain, une paire de chaussures ou tout autre produit, on ne touche pas un salaire mais un revenu de vente. Et justement parce que ces ouvriers ne se comportaient pas comme des capitalistes, c’est-à-dire qu’ils n’achetaient pas pour vendre, mais qu’ils faisaient des dépenses simplement comme consommateurs, ils n’engageaient aucune dépense pour le moyen de produire les biens qu’ils auraient pu vendre, et donc pas d'argent les coûts à déduire de leurs recettes des ventes; c’est-à-dire que l’ampleur de leurs recettes de vente était un profit et non un salaire. Il s’avère que le profit est la première et la première forme de revenu du travail.
Contrairement à Adam Smith et à Karl Marx, le phénomène des salaires et la demande de biens d'équipement n'apparaissent que lors de la venue des capitalistes et de l'accumulation de capital. Les salaires et les dépenses en biens d'équipement apparaissent comme des coûts monétaires de production qui doivent être déduits des recettes des ventes. Plus le système économique est capitaliste au sens large, plus les achats sont faits dans le but de gagner des revenus des ventes, par rapport aux revenus des ventes, plus les salaires et les autres coûts sont élevés par rapport aux revenus des ventes, et donc plus les bénéfices sont faibles, aux recettes des ventes et aux salaires. En d'autres termes, la responsabilité des capitalistes n'est pas la création du phénomène du profit et sa déduction des salaires, mais la création des phénomènes de coûts salariaux et monétaires et leur déduction des revenus des ventes, qui étaient à l'origine tous des bénéfices. Les capitalistes sont responsables de la création des salaires et de la réduction de la proportion des revenus des ventes qui représente un profit. Plus les capitalistes sont nombreux et riches, plus les salaires sont élevés par rapport aux profits.
Le fait que les salariés puissent être disposés à travailler pour gagner le minimum de subsistance, en l’absence de meilleure alternative, et que les hommes d’affaires et les capitalistes, comme tout autre acheteur, préfèrent payer moins que plus, sont des propositions vraies mais tout à fait hors de propos. la détermination du salaire que les salariés doivent réellement accepter. Ces salaires sont déterminés par la concurrence des employeurs pour le travail, élément à la fois le plus fondamentalement utile du système économique et intrinsèquement rare.
Dans cette compétition, il est contraire à l'intérêt de tout employeur de permettre aux taux de salaire de descendre au-dessous du point correspondant au plein emploi du type de travail en question dans le lieu en question. Ces taux de salaire bas signifient que la quantité de travail demandée dépasse l’offre disponible, c’est-à-dire qu’il existe une pénurie de main-d’œuvre concernée. Une pénurie de main-d'œuvre est comparable à une enchère dans laquelle il y a toujours deux soumissionnaires ou plus pour un même article. Le seul moyen pour le soumissionnaire qui veut le plus obtenir l'objet, est de surenchérir sur ses rivaux et de rendre l'article trop cher pour eux, de sorte qu'ils doivent se retirer et lui permettre de le sécuriser.
Sur le marché du travail, il peut y avoir des dizaines, voire des centaines de millions de travailleurs. Mais la pénurie de main-d'œuvre signifie qu'il existe des emplois potentiels pour beaucoup plus que ce nombre. Le fait que chacun de nous souhaite bénéficier du travail d’au moins dix autres personnes peut être considéré comme une indication de l’ampleur de la pénurie de main-d’œuvre.
Lorsqu'un taux de salaire devient inférieur au point correspondant au plein emploi du type de travail concerné, il devient possible pour les employeurs qui ne sont pas capables ou disposés de payer ce taux plus élevé d'obtenir du travail aux dépens d'autres employeurs qui sont capables et disposés à payer ce taux plus élevé. La situation est exactement la même que celle du soumissionnaire le plus fort lors d’une vente aux enchères, qui est confronté à la perte de l’article qu’il souhaite acheter au profit d’un autre soumissionnaire plus faible. Le moyen de sécuriser le travail dont il a besoin est d’augmenter les enchères et d’éliminer la concurrence des employeurs les plus faibles.
Face à la pénurie de main-d'œuvre, qui apparaît lorsque des prix plafonds sont imposés à la main-d'œuvre, les employeurs conspirent avec leurs employés pour échapper à l'esprit du contrôle des salaires en donnant des promotions factices. Cela leur permet d'affirmer qu'ils ne violent pas les contrôles alors qu'ils le sont réellement.
Or, étant donné la hauteur des salaires en argent, déterminés par la concurrence des employeurs pour une main-d'œuvre rare, ce qui détermine les salaires réels, c’est-à-dire les biens et les services que les salariés peuvent acheter avec l’argent qu’ils gagnent, c’est le prix . Les salaires réels sont entièrement déterminés autant par les prix que par les salaires. Les salaires réels n'augmentent que lorsque les prix baissent par rapport aux salaires.
Ce qui fait baisser les prix par rapport aux salaires, c’est l’augmentation de la productivité du travail, c’est-à-dire la production par unité de travail. Une augmentation de la productivité du travail signifie une plus grande offre de biens de consommation par rapport à l'offre de travail, et donc une baisse des prix des biens de consommation par rapport aux taux de salaire. Si nous pouvions en quelque sorte mesurer l'offre de biens de consommation, un doublement de la productivité du travail aurait pour effet de doubler l'offre de biens de consommation par rapport à l'offre de travail et, face aux mêmes dépenses globales respectives, d'acheter des biens de consommation. les biens et la main-d’œuvre entraînent une réduction de moitié des prix des biens de consommation face aux mêmes taux de salaire moyens globaux. En d'autres termes, cela doublerait les taux de salaire réels.
L’augmentation de la productivité du travail est toujours l’élément essentiel de la hausse des salaires réels. C’est ce qui permet d’accroître la quantité et le volume des dépenses en argent, qui sont responsables de l’augmentation des salaires monétaires moyens, s’accompagnant de prix qui ne montent pas ou augmentent moins que les salaires.
Et ce qui est responsable de la hausse de la productivité du travail, ce sont les activités des hommes d’affaires et des capitalistes. Leurs innovations progressives et leur accumulation de capital sous-tendent la hausse de la productivité du travail et donc des salaires réels.
13) Enfin, mon dernier point: un système monétaire à cent pour cent de réserves et de métaux précieux rendrait une société capitaliste à la fois anti-inflation et anti-déflation / dépression. L'augmentation modeste de l'offre de métaux précieux, et donc le taux d'augmentation modeste du volume des dépenses qui en découlent, ne pourraient pas faire monter les prix face au taux substantiel auquel la production et l'offre de les biens autres que les métaux précieux augmentent sous le capitalisme. Les prix auraient très probablement tendance à baisser, comme ils l'ont fait au cours du XIXe siècle.
La chute des prix due à l'augmentation de la production ne constitue toutefois pas une déflation. Ils ne signifient aucune réduction du taux de profit moyen, c’est-à-dire du taux de rendement moyen du capital investi. Ils ne signifient pas non plus une plus grande difficulté à rembourser les dettes. Pourtant, une chute des bénéfices et une augmentation soudaine de la difficulté de remboursement de la dette sont des symptômes essentiels de la déflation / dépression.
En effet, la modeste augmentation de la quantité d’argent et du volume des dépenses imputables à un système monétaire basé sur une réserve de cent pour cent et constituée de métaux précieux sert à ajouter une composante positive au taux de rendement et à faciliter un peu le remboursement de la dette. , pas plus difficile. La chute des prix due à l'augmentation de la production n'interfère pas avec cela. Lorsque les prix baissent en raison de l'augmentation de la production face à l'augmentation de la quantité de monnaie et du volume des dépenses, le vendeur moyen est en position de disposer d'une offre de biens à vendre qui est plus importante en proportion que les prix sont plus bas et donc pouvoir gagner plus d'argent, pas moins.
Une véritable déflation accompagnant la dépression est une contraction financière, c'est-à-dire une diminution de la quantité d'argent et / ou du volume des dépenses. C'est ce qui efface la rentabilité et rend le remboursement de la dette plus difficile. Mais une telle contraction est précisément ce que permet d'éviter un système monétaire à cent pour cent de réserves et de métaux précieux. Cela l’empêche car, une fois que l’argent de métal précieux est créé, il ne disparaît pas subitement, comme c’est le cas avec les médias fiduciaires lorsque les banques qui les émettent font faillite. Et parce que son taux d’augmentation est modeste, il n’entraîne aucune réduction artificielle substantielle de la demande de monnaie, mais doit être suivie d’un renversement lorsque l’augmentation de la quantité de monnaie s’arrête ou se ralentit.
L'épargne continue et l'accumulation de capital sous le capitalisme ne réduisent pas non plus le taux de rendement du capital. L'épargne nominale qui découle du revenu monétaire découle en grande partie d'un taux de rendement élevé par l'augmentation de la quantité et du volume des dépenses, et tant que la quantité et le volume des dépenses vont sur une augmentation modeste, cette épargne ne réduit pas le taux de rendement.
S'il n'y avait pas d'augmentation de la quantité de monnaie et du volume des dépenses, le taux de rendement serait inférieur, mais stable au niveau inférieur. L'accumulation de capital se ferait simplement sur la base d'une chute des prix de remplacement, les dépenses inchangées achetant des quantités de biens d'équipement de plus en plus grandes.
Dans un tel contexte, le rôle de l'épargne existe entièrement au niveau brut, où il détermine des questions vitales telles que la mesure dans laquelle le système économique se concentre sur la production de biens d'équipement par rapport à la production de biens de consommation et la durée du marché. période de production. Les éléments essentiels de l’accumulation du capital se révèlent alors comme une production relative de biens d’équipement suffisamment élevée et une période de production suffisamment longue, ainsi que le progrès technique et tout ce qui contribue à accroître la production, et surtout la liberté économique.
Ici, faute de temps. Je dois fermer. Je voudrais le faire en disant que si vous avez trouvé mon exposé d’intérêt aujourd'hui, j’espère que vous explorerez plus amplement et en détail les sujets dont j’ai parlé dans mon livre. Sa totalité et sa substance peuvent être comprises comme un exposé systématique de la nature bienveillante du capitalisme.
Les avocats d'Assange exclus de la visite d'un client avant l'audience devant un tribunal américain
par Tyler Durden Samedi, 24/11/2018 - 15h40
Après avoir été enfermé pendant six ans au sein de l’ambassade équatorienne à Londres, le ministère de la Justice se rapproche enfin de Julian Assange, et le gouvernement du président équatorien, Lenin Moreno, fait tout ce qui est en son pouvoir pour expulser son locataire le plus infâme. En effet, les avocats d’Assange se sont vu refuser l’entrée à l’ambassade équatorienne à Londres, a annoncé WikiLeaks dans un tweet, ce qui n’a fait qu’aider à faire craindre qu’Assange ne soit bientôt expulsé. Et ce qui est pire, il se voit refuser l'accès à un avocat alors que ses besoins sont criants.
WikiLeaks a déclaré que le gouvernement équatorien avait refusé d'autoriser les avocats d'Assange, Aitor Martinez et Jen Robinson, à rencontrer leur client cette semaine, ce qui est un énorme problème pour le lanceur d'alerte, car Assange doit faire face à une audience devant un tribunal américain mardi, et doit se rencontrer. équipe juridique à préparer.
L'audience est appelée pour retirer l'ordonnance de confidentialité relative aux accusations portées contre Assange (qui n'ont été révélées publiquement qu'en raison d'une erreur de copier-coller).
"L'audience aura lieu mardi au tribunal de la sécurité nationale à Alexandria, en Virginie", a tweeté WikiLeaks, ajoutant qu'il s'agissait de "supprimer la décision de secret des accusations américaines à son encontre".
Les visiteurs à Assange n'ont été réintégrés que récemment après avoir été coupés par le gouvernement équatorien. Le gouvernement a également rétabli les communications d'Assange en octobre. Mais cela s'est accompagné de restrictions sur les communications d'Assange.
Autre signe indiquant que Moreno se prépare à évincer Assange, le gouvernement équatorien a récemment révoqué les pouvoirs de l’ambassadeur de l’Équateur à Londres, Abad Ortiz, sans aucune explication. Comme Wikileaks l'a expliqué:
"Tous les diplomates connus d'Assange ont maintenant été transférés hors de l'ambassade."
Assange vit à l'ambassade depuis juin 2012 après avoir demandé la protection des procureurs suédois qui avaient tenté de l'arrêter pour des accusations de crime sexuel. Celles-ci ont depuis été abandonnées, mais Assange craint depuis longtemps une extradition vers les États-Unis après la publication par Wikileaks de milliers de câbles gouvernementaux divulgués par Chelsea Manning.
Alors que la gauche a largement applaudi au malheur d'Assange, des journalistes tels que Glenn Greenwald et Matt Taibbi se sont prononcés pour sa défense et ont mis en garde contre le dangereux précédent que la poursuite d'Assange pourrait créer pour tous les journalistes.
par Tyler Durden Samedi, 24/11/2018 - 13:55 Créé par Jim Quinn via le blog de The Burning Platform,
Et je le trouve un peu drôle, je le trouve un peu triste Les rêves dans lesquels je meurs sont les meilleurs que j’ai jamais faits J'ai du mal à vous dire, j'ai du mal à prendre Quand les gens tournent en rond, c’est très, très Monde fou, monde fou
La version obsédante de Gary Jules du Monde fou de Tears for Fears me parle en ces temps de folie tumultueuse. Il doit parler à beaucoup d'autres, car le clip a été visionné plus de 132 millions de fois. La vidéo mélancolique est tournée du haut d'une école urbaine dans un quartier sombre et décrépit, avec des écoliers créant diverses figures sur le trottoir en béton situé au-dessous. La caméra montre lentement Gary Jules chanter sur le toit et capturer la jungle de béton d'architecture indescriptible, de tours de bureaux identiques, de complexes d'appartements gris, et d'un monde dépourvu de joie et de dynamisme.
La chanson a été influencée par les théories d’Arthur Janov dans son livre The Primal Scream. Le refrain ci-dessus à propos de «ses rêves de mourir étaient les meilleurs qu'il ait jamais eu» est représentatif de l'abandon de ce monde insensé et de l'absence de la monotonie et de la folie de ce monde. Notre ego nous trompe en pensant que la folie de ce monde est en réalité normale. Jour après jour, nous vivons dans un désespoir tranquille. Malgré toutes les preuves, notre monde est en train de devenir incontrôlable et la folie de la foule est visible sur les marchés financiers, les marchés du logement, la politique, la justice sociale et les médias sociaux, le niveau de biais de normalité parmi la population a atteint des niveaux étonnants, alors que nous désespérément essayer de nous convaincre que tout ira bien.
Mais ce ne sera pas le cas.
Les opiacés des masses ne sont pas simplement de la religion, mais de la propagande, de la désinformation, des mensonges et des distractions technologiques conçus par la classe dirigeante du gouvernement invisible pour fournir aux masses de bonnes illusions sur leur pays, leur société et leur situation matérielle. Si les masses se réveillaient et réalisaient qu'elles étaient manipulées, opprimées et bloquées comme des moutons, la révolution balayerait le pays. Les gens sont rendus fous par un sentiment accablant de dissonance cognitive.
La masturbation mentale requise par une vaste bande de la population qui voit l'évidence du déclin, créée par le recours excessif à la dette et la corruption systématique du gouvernement, des finances et des médias, a créé une société de zombies stressés mentalement. Ils savent que les choses ne vont pas, mais admettre la vérité briserait leurs illusions et les obligerait à agir. C’est plus facile de se soigner avec des drogues, de l’alcool et de se perdre dans leur monde fantastique de médias sociaux. Ils préféreraient croire des mensonges réconfortants plutôt que de traiter avec une vérité inconfortable. Ils acceptent les mensonges parce que, sinon, cela produirait un énorme inconfort mental.
Tout autour de moi sont des visages familiers Endroits usés, visages usés Bright et tôt pour leurs courses quotidiennes Aller nulle part, aller nulle part Leurs larmes remplissent leurs verres Pas d'expression, pas d'expression Cache ma tête, je veux noyer mon chagrin Non demain, non demain
Les paroles peuvent être interprétées différemment par différentes personnes, mais les paroles ci-dessus dressent un panorama clair de notre monde fou pour moi. Nous tournons en rond, nous levons tôt tous les matins, suivons la même routine, allons consciencieusement à notre bureau, voyons les mêmes personnes, faisons la même chose et prétendons que c'est important, pour un salaire qui vaut moins chaque jour. Nous faisons cela parce que nous sommes formés comme des animaux pour croire que l’achat de merde dont nous n’avons pas besoin à crédit est le moyen de progresser dans la vie.
Le matérialisme, le consumérisme, la cupidité et le respect des Jones ont été intégrés à notre cerveau au cours des années d’endoctrinement dans les écoles du gouvernement et de propagande médiatique. Très peu de gens réussissent à aller de l'avant. Ils courent juste sur une roue de hamster et ne vont nulle part. C'est pourquoi il y a tant de dépression, de colère et de priorités mal placées dans nos vies.
En marchant dans une rue de n'importe quelle zone urbaine en ruine de ce pays, vous voyez des visages misérables qui regardent d'un air absent alors qu'ils traversent leur vie sur la route de nulle part ou perdent du temps, absorbés par des futilités et des conneries émanant de leurs iGadgets. La vie de tant de personnes est une marche dénuée de sens de la misère et une répétition insensée des tâches quotidiennes. Un immense nuage de tristesse imprègne la vie des masses alors que notre culture répulsive, bâtie sur des désirs épanouissants, le consumérisme, l'égoïsme et la cupidité, aboutit en fin de compte à des êtres humains délirants, déçus et désespérés.
Cette culture dysfonctionnelle a entraîné une montée en flèche des taux de suicide, des surdoses de drogue, de la dépression et de la formation de personnes mentalement instables qui se livrent périodiquement à des razzias de tir sans raison prévisible. Allumez les nouvelles 24 heures sur 24 et essayez de ne pas réaliser que le monde est devenu fou.
Les enfants attendent pour la journée, ils se sentent bien Joyeux anniversaire joyeux anniversaire Fait pour sentir comme chaque enfant devrait Assieds-toi et écoute, assieds-toi et écoute Je suis allé à l'école et j'étais très nerveux Personne ne me connaissait, personne ne me connaissait Bonjour professeur, dites-moi quelle est ma leçon Regarde à travers moi, regarde à travers moi
Notre société n'est pas devenue si ridicule, égarée et défectueuse du jour au lendemain. Des décennies se sont écoulées. Et cela peut être attribué aux efforts délibérés de ceux qui contrôlent le gouvernement pour détruire notre système éducatif et le remplacer par un système d'endoctrinement social. On n’apprend plus aux enfants à penser, mais à ressentir. Les enfants sont élevés par l'État comme rien de plus que des rouages ??dans la machine.
L'unité familiale s'est auto-détruite alors que des millions d'enfants sont élevés dans des foyers sans père, des foyers brisés ou des foyers dysfonctionnels. On ne leur apprend pas comment agir et à penser en aimant les parents à la maison. Ils sont donc facilement exposés au dogme de justice sociale que leur imposent les robots du gouvernement à faible quotient intellectuel qui habitent les salles de classe de nos écoles publiques. Comme Frank Zappa l'a souligné il y a des années, vous devez vous éduquer et ne pas laisser les écoles publiques vous gâcher la tête. Nous n'avons pas tenu compte de ses conseils.
«Abandonne tes études avant que ton esprit ne pourrisse après avoir été exposé à notre système éducatif médiocre. Oubliez le bal des finissants, allez à la bibliothèque et renseignez-vous si vous avez du cran. Certains d'entre vous aiment les rassemblements Pep et les robots plastiques qui vous disent quoi lire.” Frank Zappa
Les enfants qui remettent en question l'autorité ou n'agissent pas de manière soumise sont immédiatement diagnostiqués avec ADD et drogués avant d'être soumis. Le système des écoles publiques ne veut pas de performants, de penseurs critiques ni de quiconque doutant de l’orthodoxie mandatée par son gouvernement. La classe dirigeante (ou Deep State) veut des automates contrôlables, malléables et non pensants qui effectuent les travaux médiocres et peu rémunérateurs, achètent de la merde étrangère avec leurs cartes de crédit et dépendent de l'État pour leur misérable existence. George Carlin l'a compris il y a plusieurs années:
«Ils veulent des travailleurs obéissants. Les gens qui sont juste assez intelligents pour faire fonctionner les machines et faire la paperasse, et juste assez stupides pour accepter passablement tous ces emplois de plus en plus craintifs avec le salaire inférieur, les heures plus longues, les avantages réduits, la fin des heures supplémentaires et la retraite en voie de disparition disparaît à la minute où vous allez le récupérer. C’est un grand club. Et vous n’y êtes pas. Vous et moi ne sommes pas dans le grand club. En passant, c’est le même grand club qu’ils utilisent pour vous battre à la tête avec toute la journée quand ils vous disent quoi croire. Toute la journée, en vous écrasant dans leurs médias, vous disant quoi croire, quoi penser, et quoi acheter. La table est inclinée, les gens. Le jeu est truqué. Et personne ne semble le remarquer. Personne ne semble s'en soucier. "
Des enfants malheureux, drogués, trompés, qui ont été traités comme un nombre, deviennent des adultes malheureux, trop soignés, faciles à manipuler, créant ainsi le monde fou que nous vivons. Les enfants attendent le jour où ils se sentiront bien - comme leur anniversaire - mais ce jour n'arrivera jamais. Ils grandissent et font ce qu'on leur dit - s'endetter énormément pour suivre une formation universitaire sans valeur - apprendre à s'offusquer - se faire passer pour des flocons de neige spéciaux à la recherche d'espaces sûrs. Après avoir été protégés et propagés pendant toute leur jeunesse, ils ne sont absolument pas préparés au monde réel des bas salaires, du travail médiocre et de la réflexion menée par eux-mêmes. Plusieurs générations ont connu ce processus ignoble, mis en œuvre par ceux qui sont au pouvoir.
Ils entrent dans l’âge adulte comme le souhaitent leurs gardiens - asservis à la dette, qui dépendent des médias pour leur dire comment penser - et de l’État pour leur santé et leur bien-être. Ils ne savent pas comment penser de manière critique car leurs jouets technologiques et l’absorption sans fin de la trivialité sur les plateformes de médias sociaux les rendent plus stupides à la minute près. Frank Zappa a compris le danger des médias de masse il y a 45 ans avec sa chanson «I am the Slime».
Il s'est rendu compte que le gouvernement et les méga-entreprises utilisaient la télévision comme outil de propagande, façonnant l'esprit de nos jeunes et les manipulant pour qu'ils soient conformes aux idées, aux opinions, aux habitudes et aux goûts de ceux qui tirent les ficelles de la société. Zappa n'avait aucune idée du contrôle encore plus grand que les sociétés fascistes pourraient prendre une fois Internet et les médias sociaux proliférés dans le monde entier. Combinant le pouvoir de l'État sous surveillance avec les méthodes sournoises sournoises de Google, Facebook et Twitter a créé un camp de concentration sociale avec des gardes armés du gouvernement et des corporations de guerriers de justice sociale fournissant la propagande.
«Je suis vil et pervers. Je suis obsédé et dérangé. J'existe depuis des années mais très peu a changé. Je suis aussi l’outil du gouvernement et de l’industrie. Car je suis destiné à vous diriger et à vous réguler. Vous pensez peut-être que je suis pernicieux, mais vous ne pouvez pas détourner le regard. Je vais vous faire penser que je suis délicieux avec ce que je dis. Je suis le meilleur que tu puisses avoir… tu m'as déjà deviné ? Je suis la boue qui coule de votre téléviseur… »? Frank Zappa
L'impact néfaste des médias sociaux a été documenté dans une étude récente menée dans une université de la Ivy League. Ceux qui ont réduit leur utilisation des médias sociaux ont constaté une diminution significative de la dépression et de la solitude. Les données ont prouvé que passer des heures par jour sur Facebook, Instagram, Twitter et d'autres médias sociaux est préjudiciable à la santé mentale des étudiants.
Les médias sociaux ne sont rien d’autre que des signaux de vertu et de pacification de la part de ceux qui essaient de se faire valoir. Le narcissisme incessant diffusé par les "belles" personnes amène les autres à comparer leur vie à ces élitistes égocentriques peu profonds. Quand des gens normaux passent leurs journées à comparer leur vie ordinaire à la fausse vie géniale des égyptiens qui se pavanent, ils deviennent déprimés et insatisfaits de leur propre vie.
Jusqu'à ce que les gens déposent leurs gadgets, vivent dans le monde réel avec des personnes réelles et cessent d'idolâtrer de fausses icônes superficielles, ils deviendront encore plus instables mentalement. Cela semble peu probable, car les jeunes enfants se voient offrir des gadgets technologiques alors qu'ils sont encore dans leurs lits de créateur. Les masses n'abandonneront jamais volontairement leurs dispositifs provoquant une dépendance et ne traiteront pas les vrais problèmes de manière réelle.
Jusqu'à ce que cette société selfie subisse un retour radical à la réalité, probablement provoquée par une implosion de la dette et un conflit civil ou mondial, les gens continueront à errer aveuglément sur la terre en regardant leurs téléphones intelligents, s'ennuyant à la minute près. Cette folie cessera quand la survie quotidienne deviendra plus importante que le dernier tweet de Kanye et Trump. Tant que les gens ne se soucieront pas davantage de l'endroit où ils vont se procurer leur prochain repas que du nombre de goûts qu'ils obtiennent en publiant une photo de leur dernier repas au restaurant à la mode, la folie continuera.
Si vous pensez que le grand public et nos jeunes agissent follement, les prétendus brillants penseurs financiers instruits à la Ivy League disent: «retenez ma bière». Les guignols académiques de Wall Street, intellectuels et idiots, ont fait ce qu’ils savent faire de mieux: souffler des bulles et créer de la folie sur les marchés. La création de leur dette (ou impression de l'argent) depuis la crise qu'ils ont créée en 2008, en raison de leur politique de régulation monétaire simple / absence de réglementation, a créé la plus grande bulle de dette de l'histoire du monde.
Lorsque vous créez la plus grande bulle de l’histoire, vous aurez au final la plus grande faillite de l’histoire. Ils ont créé la bulle Dot.com et la bulle immobilière en huit ans. Ils ont triplé et créé des bulles d'actions, d'obligations et de biens immobiliers (aka Everything Bubble). Je suis stupéfait de voir le monde financier dégénéré devenir fou, en pensant qu’ils ont gagné des milliards de dollars en se basant sur leurs prouesses en matière d’investissements, alors que cela leur a clairement été transmis par des banquiers centraux corrompus et des apparatchiks du gouvernement.
Comme Charles MacKay l'a constaté tout au long de son histoire, les hommes deviennent fous en troupeaux et ne retrouvent leur santé mentale que sur la base de leur capacité à saisir la réalité quand ils se lavent la tête avec une batte de baseball. L'insouciance des personnes très instruites repose sur une fausse croyance selon laquelle ils sont plus intelligents que les marchés et ont structuré le système de manière à ne jamais perdre.
L'arrogance et l'orgueil de ces maitres délirants de l'univers au cours de leur folle quête de la richesse mènent toujours à leur chute. Ce sont des temps vraiment fous où des millions de personnes peuvent s’arrêter sur des théories du complot ridiculement ridicules selon lesquelles les Russes organisent une élection présidentielle sur le candidat de leur choix. Tant de gens sont si facilement convaincus des idées les plus ridicules (le socialisme fonctionne), que la folie est devenue le sport national. Ce niveau d'idiocratie se terminera sûrement mal pour cette nation.
«En lisant L'Histoire des nations, nous constatons que, comme les individus, ils ont leurs caprices et leurs particularités, leurs saisons d'excitation et d'imprudence, quand ils ne se soucient pas de ce qu'ils font. Nous constatons que des communautés entières fixent soudainement leur esprit sur un seul objet et deviennent fous à la poursuite de celui-ci; que des millions de personnes soient simultanément impressionnées par une illusion et courent après, jusqu'à ce que leur attention soit attirée par une nouvelle folie plus captivante que la première.” Charles MacKay, Les délires populaires extraordinaires et la folie des foules
En tant que sceptique née, je me sens mal à l'aise de vivre sur cette terre d'illusions, d'illusions et de confusions. Je ne fais pas ma place. Je ne veux pas faire ma place. Est-ce que cela me rend anormal ou normal? Je ne veux pas faire partie d'une équipe. Je n'encouragerai pas aveuglément les démocrates ou les républicains. Je n'aime pas beaucoup la vision du monde et les idées d'Obama, de McCain, de Romney et de Clinton. J'ai trouvé Trump divertissant à l'infini et je suis d'accord avec son recul sur la presse, le GOPe et les lunatiques de frontière ouverte de gauche. Les seuls hommes politiques pour lesquels j'ai eu un réel respect viennent de la famille Paul.
Je suis tout pour des impôts moins élevés, mais les réductions d’impôt de Trump pour les méga-entreprises et les riches ont peu contribué au sort de l’Américain moyen, tout en permettant aux entreprises de racheter des milliards de leurs actions aux plus hauts du marché pour maintenir la bulle du marché en hausse. Réduire les impôts tout en augmentant considérablement les dépenses du gouvernement en neuf ans de reprise économique est une pure folie. Trump a créé un sursis d'un an sur la récession avec cette injection d'adrénaline financée par dette, ce qui donne à cette économie de Potemkine une vigueur, alors même qu'elle est sur le point de s'effondrer.
Conduire des déficits au-delà du billion de dollars à ce stade du cycle économique est une recette pour le désastre, mais parler à la télé à l'écran se comporte comme si c'était tout à fait normal. Il est insensé de maintenir les taux d’intérêt réels au-dessous de zéro neuf ans après une reprise économique supposée, mais les banquiers centraux intellectuels et idiots et leurs détenteurs de cartels bancaires criminels, qui bénéficient de cette politique insidieuse, agissent comme si c’était normal. Ce n'est pas normal. C’est à peu près aussi anormal que possible.
Cette folie et cette anomalie sont claires pour moi. Je ne peux pas comprendre pourquoi ce n’est pas clair pour les autres. Suis-je fou ? Suis-je celui qui est anormal ? Comment autant de millions de personnes peuvent-elles oublier les faits et la réalité de notre situation ? Ils semblent juste somnambuler dans la vie en croyant ce qu'on leur dit, en pensant comme leurs gardiens veulent le faire, en faisant ce qu'on leur dit de faire, en ne questionnant pas les figures d'autorité et en comblant leur appétit infini de distractions avec leurs gadgets technologiques. Comme Huxley l'avait prédit à la fin des années 50, le fait que les gens se soient adaptés à cette société profondément anormale constitue une mesure de leur maladie mentale. Être normal aujourd'hui est considéré comme anormal.
«Les vraies victimes sans espoir de la maladie mentale se trouvent parmi celles qui semblent les plus normales. "Beaucoup d'entre eux sont normaux parce qu'ils sont si bien adaptés à notre mode de vie, parce que leur voix humaine a été réduite au silence si tôt dans leur vie, qu'ils ne se débattent même pas, ne souffrent pas et ne développent pas de symptômes comme le fait le névrosé." normal pas dans ce que l'on peut appeler le sens absolu du mot; ils ne sont normaux que par rapport à une société profondément anormale. Leur adaptation parfaite à cette société anormale est une mesure de leur maladie mentale. Ces millions de personnes anormalement normales, vivant sans tracas dans une société à laquelle, s’ils étaient pleinement humains, ils ne devraient pas s’adapter. »? Aldous Huxley, le meilleur des mondes revisité
Je refuse d'accepter l'idéologie perpétuée par Deep State et ses collaborateurs dans les médias, le secteur financier, les universités et les salles de conseil d'administration. Je préférerais m'éloigner de la population en général plutôt que de sacrifier mon intégrité en adaptant ma pensée à une pathologie du mensonge, des délires et du déni. Je me sens déjà comme un paria en famille et entre amis. Rencontrer de vieux amis pour un verre et voir comment les médias et la classe politique leur ont lavé le cerveau est déprimant.
Parfois, j’ai douté de ma propre santé en regardant la bourse monter en flèche, année après année, au niveau le plus surévalué de l’histoire. N’aurais-je pas dû suivre la foule et ignorer les faits et la réalité? Groupthink a enrichi des millions de lemmings. Mais, je suis un bâtard têtu et je n’irai jamais avec la foule. Je crois que mes faits sont exacts et je compte voir des millions de lemmings se faire massacrer au cours de la prochaine année environ. C’est déjà commencé, mais ils ont trop subi un lavage de cerveau et seront paralysés par la disparition de leur fausse richesse.
Je sens que j'ai souffert psychologiquement et émotionnellement d'être un homme sensé dans un monde fou. J'ai été aliéné et évité, mais j'ai conservé ma dignité et mon respect de moi-même. J'ai ma famille et je conserve ma capacité à penser de manière critique, à tout remettre en question et à refuser de suivre la foule. C’est une position parfois solitaire, mais j’ai pris cette décision les yeux grands ouverts et la volonté d’en accepter les conséquences.
Je ne m'adapterai pas à une société malade où les vices sont considérés comme des vertus, les mensonges comme la vérité, le sentiment l'emporte sur la pensée, la fiction passe pour un fait, les ennemis sont créés pour instiller la peur et la folie est considérée comme saine. C’est un monde fou, mais j’ai choisi de ne pas être submergé par la folie. Quel est ton choix ?
«Le fait que des millions de personnes partagent les mêmes vices ne confère pas à ces vices de vertus, le fait qu’elles partagent tant d’erreurs ne les rend pas vraies, et le fait que des millions de personnes partagent la même forme de pathologie mentale ne pas rendre ces gens sains d'esprit. ”? Erich Fromm, The Sane Society
Le «soleil artificiel» de la Chine tuera-t-il le pétrole et le charbon ?
07:41 25.11.2018
La Chine aurait créé un «soleil artificiel» plusieurs fois plus chaud que notre étoile. Dans le Tokamak supraconducteur expérimental de pointe (EAST) installé dans la ville de Hefei, des scientifiques ont chauffé du plasma à 100 millions de degrés Celsius. Sputnik s’est entretenu avec Song Yuntao, vice-directeur d’EAST.
Les scientifiques réfléchissent depuis plus d'un demi-siècle au moyen d'obtenir de l'énergie en utilisant la fusion thermonucléaire, a rappelé à Sputnik Song Yuntao, vice-directeur d'EAST, commentant l'expérience réussie des chercheurs chinois qui marque une étape importante dans la création d'un réacteur expérimental thermonucléaire international (ITER).
«C'est potentiellement une révolution technologique parce qu'il s'agit d'obtenir de l'énergie d'une réaction thermonucléaire qui est beaucoup plus sûre que l'énergie nucléaire traditionnelle, qui utilise des éléments radioactifs. Jusqu'à présent, la technologie n'en était toutefois qu'au stade plutôt initial», a —t-il expliqué.
Selon lui, aucun pays n'a encore mis au point de procédé thermonucléaire contrôlé pour produire de l'énergie à l'échelle industrielle, le principal défi consistant à isoler le plasma chauffé à des millions de degrés des parois du réacteur.
«Il ne fait aucun doute que la production d'électricité par la fusion thermonucléaire contrôlée est un objectif réalisable. Mais la réalisation de cet objectif dépend en grande partie du soutien du public et des besoins de la société», a indiqué le scientifique.
Et de rassurer que les sources d'énergie conventionnelles — le pétrole et le charbon — resteraient nécessaires encore longtemps.
«Ce n'est qu'après l'utilisation généralisée de la technologie de la fusion thermonucléaire contrôlée que la demande pour des sources d'énergie classiques chutera de manière significative. Mais c'est un long processus. Il ne sera pas possible de remplacer complètement les produits énergétiques traditionnels dans un proche avenir, bien que ce soit l'objectif que nous nous sommes assigné», a résumé le Chinois.
Le tokamak est une machine expérimentale conçue pour démontrer la faisabilité scientifique et technique de l'énergie de fusion. La Chine a récemment annoncé qu'avec son Experimental Advanced Superconducting Tokamak (EAST), elle avait atteint une température de 100 millions de degrés avec un temps de stabilité pour le plasma confiné de l'ordre de 100 secondes.
Les scientifiques signalent que les défis pour l'énergie au XXIe siècle sont si monstrueux par rapport à la contrainte du réchauffement climatique que l'humanité ne peut pas se permettre de ne pas se lancer dans la course à la production industrielle d'électricité avec des réacteurs à fusion contrôlée.
Comment un euro fragile peut ne pas survivre à la prochaine crise
par Tyler Durden Dimanche, 25.11.2018 - 07:00 Écrit par Brendan Brown via le Mises Institute,
Une forte hausse de l'inflation monétaire américaine a donné naissance à l'euro. Voici une prédiction: il mourra en réponse à un type différent de détonation monétaire américaine: l’émergence soudaine d’un «interlude déflationniste». Et cela pourrait arriver plus tôt que prévu.
L’explication de ce casse-tête semblable à un sphynx commence avec l’abandon par Paul Volcker de la voie de l’argent sain en 1985/6. Le moment décisif est venu lorsque le chef de la Fed de l’époque s'est associé au nouveau secrétaire au Trésor du président Reagan, James Baker, dans le cadre d’une campagne visant à dévaluer le dollar. Le soi-disant «Accord Plaza» de 1985 a lancé l'offensive.
Volcker, le guerrier jadis notoire en matière de dévaluation de l’administration de Nixon (son sous-secrétaire au Trésor), n’a jamais changé de poste, considérant les importants déficits commerciaux des États-Unis comme dangereux. Le diagnostic alternatif - au début du milieu des années 80, constituait une contrepartie transitoire du dynamisme économique américain et de la reprise de la demande mondiale pour un dollar désormais apparemment dur - n'a tout simplement pas été enregistré par ce haut responsable.
D'où l'occasion de restaurer de l'argent solide. Mais cela vient très rarement dans l'histoire - seulement en fait, où une inflation élevée a induit une révulsion politique générale (comme par exemple après la guerre civile) - où l'inflation a été supprimée. Dans le contexte européen, cela a signifié la fin de la brève ère hard-Deutsche Mark (DM) et la naissance de l’euro souple.
La remontée du DM en 1985-1977 par rapport aux autres monnaies européennes, provoquée par la relance de l'inflation américaine, a fait pencher la balance du pouvoir politique en Allemagne en faveur du projet d'Union monétaire européenne (UEM). Les grandes entreprises exportatrices, l’épine dorsale de la CDU, au pouvoir, dirigée par le chancelier Kohl, ont remporté la victoire. Le dur DM, une menace évidente pour leurs profits, a dû disparaître. Le régime monétariste en Allemagne a basculé vers un effondrement final.
Dans le monde entier, il y avait une accélération inévitable de l’inflation à la suite de l’accord Plaza et de la capitulation de Volcker, étant donné que de nombreux pays (notamment le Japon) cherchaient à limiter la chute du dollar contre leur propre pays en suivant l’avance monétaire américaine. L'inflation était évidente sur les marchés d'actifs et de bons marchés. Ce nouveau chaos monétaire est le prolongement de la prochaine expérience de stabilisation des deux côtés de l’Atlantique: la «norme de 2 % d’inflation».
Volcker dans la publicité de pré-lancement de son nouveau livre (Keeping At It: À la recherche d'argent solide et d'un bon gouvernement) critique maintenant la Réserve fédérale et les principales banques centrales étrangères pour avoir poursuivi l'objectif de 2 % d'inflation. Il faut se demander où il est depuis 20 ans. Il semble que, en tant que bureaucrate monétaire, il respecte la règle intemporelle de ne se blâmer en aucun cas pour l’émergence de troubles ultérieurs, en l’occurrence le régime profondément imparfait de 2 %.
Oui, le véritable génie pervers derrière la nouvelle norme a sans doute été Stanley Fischer, le chef intellectuel de l’assaut néo-keynésien, parfaitement au bon moment sur le plan politique, sur le monétarisme. Mais Volcker a fourni l'occasion.
Naissance de la BCE
À la Banque centrale européenne (BCE), qui a ouvert ses portes à la fin de 1998, le professeur Otmar Issing, ancien responsable de la Bundesbank, a guidé l'Europe vers l'adoption de la nouvelle norme des 2 %. L'exceptionnalisme monétaire allemand a pris fin; ou certains diraient que l'Allemagne a abdiqué en tant que souverain de l'argent dur de l'Europe. Sous son régime monétaire, une grande partie de l'Europe occidentale avait bénéficié d'une indépendance monétaire considérable par rapport aux États-Unis, du moins au début du milieu des années 70, lorsque Arthur Burns s'était lancé dans une deuxième grande inflation monétaire.
En revanche, sous le régime des 2 %, la zone euro, y compris l'Allemagne, s'est alignée sur le cycle monétaire américain, partageant tous les hauts et les bas de l'inflation américaine. Et dans le contexte européen, l’inflation d’actifs a été synonyme d’investissements massifs considérables, dont le plus évident est l’affaiblissement de l’économie jadis dynamique de l’Italie et le gonflement du secteur des exportations de l’Europe du Nord (reflétant un euro sous-évalué).
Un test pour l'euro
Dans ces deux distorsions, nous trouvons la vulnérabilité existentielle de l'euro et le prochain choc monétaire américain constituera le test le plus sévère à ce jour. Le choc est le plus susceptible de prendre la forme d'une arrivée soudaine d'un «interlude déflationniste» dans le cadre d'une inflation monétaire longue et susceptible de s'intensifier à long terme.
Plus précisément, à mesure que l'inflation virulente des actifs alimentée par le cycle monétaire mondial actuel (comme toujours mené par la Réserve fédérale) entre dans la phase finale de liquidation (déflation d'actifs) et de récession, il y aura une période de contraction globale du crédit. Cela se reflétera très probablement dans les agrégats monétaires généraux. Les prix et les salaires pourraient subir une certaine pression à la baisse, bien que cela ne soit pas en soi une preuve de déflation monétaire.
Dans cette phase de déflation des actifs, accompagnée d'un ralentissement mondial ou d'une récession, l'Europe serait dans une situation particulièrement dangereuse. Les secteurs d’exportation très étendus du nord de l’Europe sont vulnérables, en particulier à la crise de crédit des marchés émergents en train de s’effondrer. Les banques et les souverains faibles à travers l'Europe tomberaient dans une zone d'insolvabilité. La faiblesse de l'euro et les mesures de renforcement de la part de marché des grands exportateurs d'Europe du Nord devraient attirer la colère de Trumpian.
Il y aurait une tolérance zéro à Washington pour le radicalisme monétaire persistant ou d'un nouveau style en Europe.
Si c’est ce que requiert la cohésion de l’euro, c’est-à-dire la faiblesse perpétuelle de cette monnaie, il ne faut pas le maintenir ensemble.
Les grandes entreprises d’exportation allemandes seraient donc confrontées à une journée de réflexion. L'axe qui relie la Chancellerie de Berlin à la BCE (actuellement l'axe Merkel-Draghi) ne serait plus en mesure de les soutenir (via un euro bon marché). Dans ces circonstances changeantes, la chute de l’euro pourrait bien être la voie la plus prometteuse vers le succès futur. Oui, un DM réincarné ferait baisser les marges bénéficiaires des exportations; mais la menace de la guerre commerciale américano-allemande ou américano-européenne se dissiperait.
La CDU pourrait avoir une nouvelle marge de manœuvre pour s'orienter vers la droite et s'éloigner de l'euro-centrisme dominant de l'ère Merkel, permettant ainsi de reconquérir les électeurs des partis d'extrême droite tout en obtenant le soutien de la classe moyenne de la part d'épargnants longtemps mécontents du soft. euro et taux d’intérêt négatif euro. La crainte redoutée de l'Allemagne dans le chaos politique à la Weimar, comme si la CDU restait figée dans l'euro-centrisme (rejoignant éventuellement les Verts en coalition et renforçant ainsi le soutien des partis extrémistes) pourrait être interrompue.
Oui, l’Italie tomberait de la zone euro. Le potentiel de renaissance de l’argent sain en Europe, avec éventuellement la France, les Pays-Bas et l’Allemagne se réunissant dans une nouvelle union monétaire, serait réel. L’avenir monétaire de l’Europe ne serait plus lié à un fil américain. Cette fenêtre d'opportunité possible pourrait être courte, étant donné le danger potentiel d'une tempête de l'inflation américaine à venir, résultant de la faiblesse catastrophique des finances publiques.
Peter Foster: Un autre rapport admet à contrecoeur que l’énergie «verte» est un flop désastreux
24 novembre 2018 Du Financial Post
Ce rapport devrait être profondément gênant pour le gouvernement de Justin Trudeau
Peter Foster 22 novembre 2018 12h40 HNE
Parmi les centaines de graphiques, diagrammes et tableaux du dernier World Energy Outlook (WEO) publié la semaine dernière par l'Agence internationale de l'énergie, vous devez vous-même préparer une information fondamentale: le pourcentage de la demande mondiale totale en énergie primaire fourni par vent et solaire. La réponse est 1,1%. Les montagnes politiques ont travaillé et produit non seulement une souris, mais - comme le rapport le reconnaît à contrecoeur - une souris extrêmement perturbatrice.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) est devenue ces dernières années une organisation de plus en plus schizophrénique. À la fois source d’information sur l’énergie et objectif du programme de développement durable des Nations Unies axé sur le climat, il doit parler de la «transition vers un avenir sobre en carbone» tout en signalant que cela ne se produit pas. Mais ça va !
Ce rapport devrait être profondément embarrassant pour le gouvernement libéral de Justin Trudeau, qui a fait preuve de vertu comme un défilé qui ne mène nulle part, bien qu'il puisse certainement revendiquer un véritable leadership dans la voie la plus énergique de la transition: tuer le combustible fossile industrie par édit.
Le rapport WEO, encore une fois, prévoit que l'utilisation mondiale des combustibles fossiles - et les émissions associées - se poursuivra jusqu'en 2040, le pétrole, le gaz et le charbon continuant de dominer le tableau de l'énergie. Mais il a également du mal à mettre le vent et le solaire au premier plan. Solar a connu une année «record» en 2017. L'activité solaire en Chine est «en plein essor». Les nouveaux ajouts éoliens et solaires «ont dépassé ceux des combustibles fossiles en 2017, tirés par le soutien des politiques et la baisse des coûts.
«Soutien aux politiques» signifie des subventions d’une valeur de plusieurs centaines de millions de dollars. Pour ce qui est de la baisse des coûts, l’énergie solaire est au moins deux fois plus chère en tant que générateur que le charbon et presque deux fois plus chère que le gaz.
Enfin, et surtout, le rapport confirme ce qui aurait dû être évident dès le début: plus les systèmes éoliens et solaires sont «variables» dans tout système électrique, plus ils le rendent à la fois plus coûteux et moins fiable.
Le terme énergie renouvelable variable, ERV, pourrait plus précisément être décrit comme Énergie renouvelable non fiable, URE, en raison du fait terriblement évident que le soleil ne brille pas la nuit, et parfois pas le jour non plus, alors que le vent ne toujours souffler. Ainsi, plus les systèmes éolien et solaire font partie de votre système, plus ils exigent des contorsions techniques de la part de l’alimentation de secours et de la structure du réseau. La partie efficace du système doit se transformer en un bretzel technique pour compenser la partie inefficace. Accommoder le manque de fiabilité a conduit à la perversité pure et simple. L’adoption généralisée de l’énergie éolienne et solaire dans Energiewende («transition énergétique») en Allemagne a entraîné une augmentation des émissions globales, principalement des installations de secours alimentées au charbon. Pendant ce temps, le Godot vert sert à stocker la batterie, qui est toujours sur le point de se présenter, mais ne le fait jamais complètement. Pourtant, l’AIE a un scénario pour cela: «Que se passera-t-il si le stockage de la batterie devient vraiment bon marché ?
L’approvisionnement n’est pas le seul domaine où des éoliennes et des énergies solaires coûteuses et peu fiables doivent être hébergées. Il existe également une «flexibilité de la demande». Cela implique d’installer des panneaux solaires sur votre toit ou d’adopter ou d’être contraint d’adopter des «compteurs intelligents» permettant de surveiller la consommation d’électricité d’un ménage de manière minutieuse. Selon le rapport, «la propagation de l'énergie solaire photovoltaïque sur les toits et la chute des coûts des technologies numériques, associées à des options abordables d'énergie éolienne et solaire, créent une foule de nouvelles opportunités permettant aux consommateurs de jouer un rôle plus actif dans leurs propres besoins en énergie. "
Mais l'éolien et le solaire ne sont pas "abordables" et peu de gens veulent jouer "un rôle plus actif" dans la satisfaction de leurs besoins en énergie (c'est-à-dire, à moins d'être fortement "soutenus par la politique" pour coller des panneaux solaires sur leurs toits). Ils veulent juste actionner un commutateur.
En ce qui concerne les compteurs intelligents, l'AIE note que de nombreux pays "ont réussi à déployer des compteurs intelligents à grande échelle, tels que le Canada, le Danemark, la Finlande, l'Italie, la Norvège, l'Espagne et la Suède". Un tel succès serait-il comparable au programme de compteurs intelligents en La vérificatrice provinciale Bonnie Lysyk a accusé l’Ontario de coûter un milliard de dollars de plus et de ne pas travailler comme prévu, alors que plusieurs milliers de mètres constituaient un risque d’incendie ?
Bien qu'il ne mentionne rien des absurdités attachées à la Loi sur l'énergie verte de l'Ontario, le rapport WEO confirme que le Canada dispose du programme de tarification des émissions le plus strict au monde, au moins jusqu'en 2025, à 35 dollars la tonne (en dollars américains 2017), ce qui cimente son désavantage concurrentiel. D'autres pays, tels que l'Union européenne et la Corée, sont prêts à prendre des engagements légèrement plus dommageables jusqu'en 2040 (43 et 44 dollars américains respectivement), mais ces niveaux sont loin d'être à la hauteur de ce qui aurait été requis par le scénario imaginaire «Développement durable». , ”Qui, pour les pays développés, s’élève à 63 USD en 2025 et à 140 USD en 2040. En fait, ces chiffres, comme la plupart des projections de l’AIE, ne valent pas la figue solaire.
Le scénario de développement durable résout non seulement la question du climat, mais tient également compte de l'accès universel à l'énergie moderne et à la pollution atmosphérique. Encore plus étonnant, il réalise tout cela en imposant des pans d’énergie coûteuse et peu fiable, mais sans le moindre impact sur la croissance économique. Comment? En supposant simplement que.
La solution à Mayhem politique du rapport est inévitablement à demander plus - et plus complexe - politique. “Une approche intégrée peut-elle stimuler une action plus rapide?” Demande-t-il. Étant donné que les gouvernements ont foiré si mal, pourraient-ils bousiller moins si elles essaient de faire beaucoup plus ?
At least they are assured of firm support from the IEA.
S'il devait y avoir une baisse du volume mondial de gaz carbonique cela signifierait une baisse constante de la progression des arbres et de l'épanouissement des fruits & légumes et, surtout, une baisse donc du volume d'oxygène disponible !! Car, c'est la végétation qui transforme le gaz carbonique en oxygène et, moins il y a du gaz carbonique moins il y aura donc de cultures qui ont besoin de ce gaz indispensable.
Le gaz carbonique est introduit en serre afin de favoriser la pousse des plantes. Les dictateurs font tout pour diriger le monde vers la famine
Nous pouvons éliminer les combustibles fossiles, pas de problème !
le 24 novembre 2018 Par Andy May
Le président français Macron a mis en place une nouvelle taxe sur les carburants afin de dissuader les conducteurs de brûler des carburants fossiles dans leurs voitures. La hausse des prix du carburant qui en a résulté a provoqué plus de 250 000 manifestants et émeutes. Les sondages indiquent que 62 % de la population pense qu'il est erroné de donner la priorité au changement climatique provoqué par l'homme plutôt qu'au prix du carburant. Les émeutes ont fait deux morts et plus de 600 blessés. Près de 100 policiers ont été blessés.
La popularité de Macron est tombée à 21 %, mettant en garde les autres dirigeants qui tentent de lutter contre le changement climatique en augmentant les taxes sur les carburants fossiles. Bien que Macron soit impopulaire pour de nombreuses raisons, l’augmentation des taxes sur l’essence a été l’étincelle qui a enflammé les manifestations et les émeutes.
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Figure 1. La police anti-émeute face aux manifestants de la «veste jaune» devant une barricade en flammes à Paris le 24 novembre 2018. Source: News.com.au.
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Figure 2. Police anti-émeute et manifestant en veste jaune sur les Champs-Élysées à Paris. Source: News.com.au.
Morale de l'histoire ? Déchaînez tout ce que vous voulez sur un possible changement climatique provoqué par l’homme, mais n’osez pas toucher à mes combustibles fossiles ! Le dernier mot dit que Macron va faciliter sa «transition énergétique». Code pour céder, sans doute.
[Un] Scientific American affirme qu'il est facile d'éliminer les combustibles fossiles, citant un article de Mark Jacobson et Mark Delucci, et créera plus d'emplois qu'il ne serait perdu. Ils affirment également qu'un plan visant à éliminer les combustibles fossiles à New York permettrait d'économiser 33 milliards de dollars. Si vous croyez cela, j'ai un pont à Brooklyn que je peux vous vendre à moitié prix.
Le remplacement des combustibles fossiles par des énergies renouvelables est un problème incroyablement complexe. J'ai essayé d'expliquer certaines des difficultés ici. J'ai également discuté des coûts de l'énergie renouvelable ici. Une discussion plus technique et complète sur le remplacement des combustibles fossiles par des énergies renouvelables au Texas, par Peter Davies, peut être vue en deux parties sur le site Web de Judith Curry, ici et ici.
Davies a découvert que la conversion de l’État du Texas des énergies fossiles en énergies renouvelables à 100 % devrait être techniquement réalisable, mais très onéreuse. Il a utilisé le Texas pour mener son étude car l'État dispose de très bonnes données sur la consommation d'énergie ainsi que sur le vent et l'ensoleillement abondants. De plus, le réseau texan est en grande partie isolé du reste du pays, ce qui facilite son analyse. En gros, comme l'écrit Davies: "Si un réseau 100 % renouvelable ne fonctionne pas pour le Texas, il ne fonctionnera pas ailleurs."
Au Texas, les facteurs de capacité photovoltaïque solaire (PV) sont en moyenne d’environ 32%, ce qui est bien supérieur à la moyenne américaine (probablement autour de 20 %). Le facteur moyen de capacité éolienne au Texas est également d’environ 32 % et dans certaines régions, il atteint presque 50 %. Davies conclut qu'un mélange de PV solaire et de vent, ainsi que d'un stockage suffisant pour les nuits sans vent, peut fournir au Texas une alimentation adéquate. Il y a également suffisamment de terrains disponibles pour les installations, qui couvriront 11 600 kilomètres carrés.
D'un point de vue technique, le Texas pourrait être entièrement alimenté par l'énergie solaire et éolienne, avec des batteries de secours et par le stockage de gaz renouvelable (méthane et hydrogène). Qu'en est-il du coût? Davies estime le coût de l’électricité de gros en 2030 entre 6,1 et 9,2 cents le kWh (kilowattheure). Cependant, il s'agit clairement d'une estimation très basse car il n'inclut pas tous les coûts en capital. Il assume zéro les coûts d'infrastructure, tels que les routes, les permis et les coûts de réglementation. Il inclut le coût de l'équipement mais ignore le transport et l'installation. De plus, son coût en méthane renouvelable semble excessivement bas. Enfin, il ignore le coût du terrain requis et ne traite pas de la transition de l’essence et du diesel aux véhicules électriques.
Le prix de gros actuel de l’électricité au Texas est d’environ 2,5 cents le kilowatt-heure. Au plus fort du récent boom des combustibles fossiles, entre 2005 et 2008, il se situait entre 5,5 et 7,5 cents en raison du coût élevé des combustibles fossiles à l'époque. De 2002 à nos jours, il s’est établi en moyenne à environ 4,3 cents. Ainsi, le passage du Texas à l’énergie renouvelable à 100 % est 40 à 210 % plus élevé que ce que nous sommes habitués à payer. C'est beaucoup moins que le différentiel observé en Allemagne avec leur programme energiewende. Dans la figure 3, nous pouvons voir le supplément (en cents par kWh) que les consommateurs allemands doivent payer pour soutenir le programme.
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Figure 3. Surtaxe sur les prix de l’électricité (en cents américains par kWh) pour financer le programme energiewende en Allemagne. Source: (Andor, Frondel et Vance 2017).
Même avec les énormes surtaxes renouvelables imposées aux consommateurs allemands d'énergie, ils ne représentent encore que 36% de l'énergie renouvelable en 2017. Le Texas dispose de beaucoup plus de vent et de soleil que l'Allemagne (l'intensité du soleil de l'Allemagne est comparable à celle de l'Alaska). L'Allemagne devrait être plus élevée, mais malgré tout, les chiffres de Davies pour la transition du Texas vers les énergies renouvelables à 100% semblent trop bas. Mais, même en acceptant les chiffres de Davies, une augmentation des coûts de l’électricité de 40 à 200% au Texas pourrait encore provoquer des manifestations et des émeutes. La transition est techniquement possible, mais économiquement invraisemblable. Les dirigeants politiques du Texas et des États-Unis devraient accorder une attention particulière à ce qui se passe en France aujourd'hui.
Comme le soulignent (Andor, Frondel et Vance 2017), si vous continuez à augmenter le prix de l'énergie «propre», vous finirez par atteindre un point où le public ne veut pas payer. Ceci est apparemment arrivé en France.
Andor, Mark, Manuel Frondel, and Colin Vance. 2017. “Germany’s Energiewende: A Tale of Increasing Costs and Decreasing Willingness-to-Pay.” 30. https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=2928760.
(...) "Si un réseau 100 % renouvelable ne fonctionne pas pour le Texas, il ne fonctionnera pas ailleurs." (...)
Nota que le Texas à la 'même' superficie que la France.
L'escroquerie sur les coûts véritables vient que les éoliennes et panneaux solaires sont SUBVENTIONNES ! C'est-à-dire que la citoyen qui reçoit la facture doublée l'a déjà payé 2, 3 ou 4 fois précédemment !!! Car AUCUNE 'énergie gratuite' n'est gratuite et ne le sera JAMAIS ! Les scientifiques ont prouvé que ces moyens mis en œuvre ne pourront JAMAIS être rentable.
Le point sur le cycle solaire de novembre 2018 - la chaleur persiste-t-elle ou refroidit-elle ?
24 novembre 2018 David Archibald
En lisant les données solaires, ce que nous recherchons à court terme est le mois probable du minimum du cycle solaire 24/25 et l’amplitude probable du cycle solaire 25. Bien entendu, la quête de la vérité devient plus facile à l’approche du minimum, au moins apparemment. Le cycle solaire 24 semble être inhabituel car il est court tout en étant faible et le cycle solaire 25 ressemble à une répétition du cycle solaire 24 en termes d'amplitude.
Le concept du Super Grand Solaire Profond Minimum est de nouveau à la mode pour le moment. Il n'y a aucun signe de cela dans les données. Cela dit, l’activité du cycle solaire 24 a été rétablie et si la connexion de l’activité solaire à la température atmosphérique est réelle, la température de la planète va chauffer pendant quelques années supplémentaires à la suite de cela.
La période chaude moderne est maintenant dans le rétroviseur et nous sommes revenus au niveau d'activité du 19ème siècle. La chaleur et la douceur sont ennuyeuses; le climat va devenir beaucoup plus intéressant. Ainsi, le froid record actuellement dans le nord-est des États-Unis pourrait devenir plus courant.
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Figure 1: Surface des taches solaires hémisphériques et flux F10.7 de 1985 à 2018
La superficie des taches solaires correspond au flux F10.7. Les hémisphères solaires ont des tendances d'activité différentes qui peuvent durer des décennies. La cause en est une inconnue de la science solaire.
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Figure 2: Angle d'inclinaison de la feuille de courant héliosphérique 1976 - 2018
Le cycle solaire n’est pas terminé tant que la couche de courant héliosphérique n’est pas aplatie. La figure 2 montre que l'activité a émergé de la forme en coin qui était celle de septembre 2019 en tant que mois d'aplatissement. Si ce cycle se termine comme le cycle solaire 23, cela signifie que le déclin s'accentuera pour atteindre le même point. Le mois d'aplatissement, et donc le véritable changement d'un cycle à l'autre, ne coïncide pas nécessairement avec le mois de minimum dérivé du flux F10.7:
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Figure 3: Angle d'inclinaison de la feuille de courant héliosphérique aligné sur le mois de minimum
Le cycle solaire 23 était un cas particulier en termes de longueur dans le registre des instruments modernes. Le cycle solaire 24 suit les cycles solaires 21 et 22 et semble durer 10 ans.
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Figure 4: Nombre de flux F10.7 et nombre de neutrons d'Oulu 1964 - 2018
La figure 4 montre l'un des signes indiquant que la période chaude moderne a pris fin en 2006. Le comptage de neutrons à Oulu se démarque du flux F10.7 qu'il suivait de près. Quelque chose a changé au soleil.
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Figure 5: Pression de débit du vent solaire, 1967 - 2018
Comme le montre la figure 4 dans le flux F10.7, l'activité solaire a été renvoyée au cycle solaire 24 avec une activité beaucoup plus élevée après le pic du cycle solaire. Cet effet est plus prononcé dans la pression du vent solaire qui est encore plus forte, si tard dans le cycle, qu’avant le pic du cycle solaire en 2014. Il convient de noter l’activité du vent solaire faible et chaotique au début des années 1970 de l'enregistrement d'instrument. Une rupture de tendance en 2006 est évidente à la fin de la période chaude et moderne.
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Figure 6: Indice de flux et de F10.7 1964 - 2018
L'activité géomagnétique a été rétablie dans le cycle solaire 24. La rupture en 2006 est assez évidente.
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Figure 7: Flux F10.7 des cycles solaires 19 à 24 alignés sur le mois du minimum
Il semble que le cycle solaire 24 n’atteindra pas la durée moyenne du cycle des 300 dernières années, soit 11,1 années.
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Figure 8: Champ magnétique interplanétaire de 1966 à 2018
Le champ magnétique interplanétaire (FMI) était plat au cours de la période de refroidissement des années 70 mais restait supérieur au niveau moyen du cycle solaire 24. Le FMI est en déclin depuis trois décennies - le déclin du secteur des taches solaires est présenté par hémisphère dans la Figure 10 suivants. Tout comme l’activité dans la zone des taches solaires hémisphériques de la figure 10 a une limite supérieure, le FMI au cours des trois derniers cycles a une limite inférieure apparente indiquée par la ligne rouge. Pour arriver à cette ligne par le minimum solaire en 2019, il faudra un déclin rapide de l'activité d'ici.
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Figure 9: Surface des taches solaires par hémisphère 1874 - 2018
Parce que la représentation normale de l'activité solaire par nombre de taches solaires ou flux F10.7 additionne les hémisphères nord et sud, cela dissimule le fait que les hémisphères ont des pilotes différents ou réagissent différemment au même pilote. Comme le montre la figure 9, une fois que l’activité de l’hémisphère est désagrégée, la planéité de l’activité au cours des dernières décennies du petit âge glaciaire est évidente et le passage à un niveau d’activité supérieur à partir de 1933.
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Figure 10: Zone de taches solaires 1985 - 2018
Pour une vieille boule de plasma bâclée, le Soleil fait preuve de beaucoup de discipline. L'activité des deux hémisphères a rebondi au-dessus de leurs lignes bleues respectives au-dessus, ce qui implique un forçage multidécadique.
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Figure 11: Zone de taches solaires de 1874 à 1924
De manière similaire à la figure 10, il y a eu une période de quatre décennies à partir de la fin du 19ème siècle au cours de laquelle la zone de taches solaires de l'hémisphère solaire nord a été conduite par un forçage multidécadique cohérent.
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Figure 12: Champ polaire solaire aligné au minimum pour les cycles solaires 22 - 25
L'amplitude de l'intensité du champ polaire solaire au minimum solaire est prédictive de l'amplitude du prochain cycle solaire. Après des débuts faibles, cette activité a suivi celle de la période qui a précédé le cycle solaire 24 et il semble que l’amplitude de 25 sera sensiblement la même. Tout comme la somme des activités des hémisphères solaires est un compromis trompeur, le mois de minimum de champ polaire peut fortement s'écarter du mois officiel de maximum du cycle solaire, comme le montre le tableau suivant:
Il est justifié de faire en sorte que le mois de la feuille de courant héliosphérique aplati, le mois du cycle solaire minimum et le mois du champ polaire minimum comme cycle solaire maximal.
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Figure 13: Données GISP2 Be10 40 000 BC à 0 AD
Il y a des années, dans des commentaires sur le WUWT, quelqu'un a fait observer que le climat, au sens pluridimensionnel, est contrôlé par le champ magnétique du Soleil. Le meilleur disque à long terme est le disque de béryllium 10 (Be10) de la calotte glaciaire antarctique. La figure 13 montre que l’enregistrement Be10 présente des tendances qui durent des dizaines de milliers d’années. Les pointes froides des Dryas plus âgés et des Dryas plus jeunes sont associées à des pointes dans Be10, ce qui indique qu'un champ magnétique solaire plus faible a permis aux rayons cosmiques galactiques d'inonder les planètes internes du système solaire, d'entrer en collision avec des atomes d'azote dans la haute atmosphère et de produire le pointes dans le disque.
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Figure 14: Colorant 3 Be10 enregistrer 1424 à 1985
Si le champ magnétique solaire provoque des changements climatiques, la chaleur des dernières quatre-vingts années de la période moderne de réchauffement devrait être associée à une dépression en Be10 relative par rapport aux siècles du petit âge glaciaire. La figure 14 montre que cela est évident dans l'enregistrement Be10. Les pointes des Sporer, Maunder et Daltona minima sont évidentes, en particulier la décennie extrêmement froide des années 1690. Il en va de même pour la rupture d'activité entre le petit âge glaciaire et la période chaude de 1933.
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Figure 15: Index aa 1868 - 2018
Notre plus long enregistrement géomagnétique, mesuré par les instruments, est l'indice aa. Cela montre également les pauses claires au début et à la fin de la période chaude moderne. Le récent sommet a été de 26,9 en septembre 2015. L'activité du cycle solaire 24 a été réapprovisionnée au cours de la seconde moitié du cycle.
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Figure 16: Indice aa cumulatif par rapport à la moyenne à long terme 1868 - 2018
Les changements du niveau d'activité associés au début et à la fin de la période chaude moderne sont confirmés en comparant l'indice aa cumulatif à la moyenne à long terme de l'enregistrement.
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Figure 17: Indice aa comparé à la température de l'hémisphère nord à six ans de retard
L'une des raisons pour lesquelles il est si agréable de vivre sur cette planète est que le climat ne réagit pas instantanément aux changements de l'activité solaire; les effets sont lissés et décalés. La corrélation entre l'indice aa et l'hémisphère nord suggère que la corrélation de décalage culmine à six ans.
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Figure 18: Transect Nord Atlantique du transect entre 59N et 800 mètres de profondeur
Il s'agit d'un graphique préparé par le professeur Ole Humlum à partir de son site Climate4you. Le diagramme a été mis à jour pour la dernière fois le 13 août 2018 avec les données Argo jusqu'en juin 2018. Le décalage de six ans est difficile à tirer du record de température moderne où il est assombri par des oscillations de la circulation. Mais il existe un calorimètre couvrant 70 % de la surface de la Terre qui n’est pas trop affecté par les événements se déroulant dans l’atmosphère. La figure 18 montre un décalage de huit ans entre la fin de la période chaude moderne et les basses températures dans l'Atlantique Nord.
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Figure 19: Average temperature along 59 N, 30-0W, 0-800m depth
Cette zone correspond à la majeure partie du courant de l'Atlantique Nord. C'est également un graphique préparé par le professeur Ole Humlum à partir de son site Climate4you. Le diagramme a été mis à jour pour la dernière fois le 13 août 2018 avec les données Argo jusqu'en juin 2018. La température a commencé à baisser à partir de la fin de la période tempérée moderne en 2006, mais a vraiment plongé une fois que le retard de huit ans a débuté en 2014.
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Figure 20: Données sur le gaz carbonique en Antarctique datant de 800 000 ans et relatives à la réponse de croissance des plantes
Certaines personnes ont récemment eu les larmes aux yeux parce que les niveaux de gaz carbonique dans l'atmosphère sont bien plus élevés aujourd'hui que leur fourchette au cours des 800 000 dernières années, comme le montrent les données sur les carottes de glace de l'Antarctique. Pour une raison étrange, ils pensent que c'est une mauvaise chose quand le contraire est vrai. Comme l'indique le document: Les réactions des usines à la réduction des émissions de gaz carbonique du passé, la croissance des plantes a réagi à l'augmentation du niveau de gaz carbonique dans l'atmosphère depuis le début de la révolution industrielle. Chaque augmentation de 1 ppm augmente la productivité de la plante de 0,3 pour cent. Il n’est donc pas surprenant que la production mondiale de céréales continue d’augmenter, même si les fortes augmentations dues à la génétique sont derrière nous.
La figure 20 montre quelle aurait été la croissance de la plante au cours des 800 000 dernières années par rapport à la concentration atmosphérique au moment de la rédaction du document, soit 368 ppm. La population actuelle de la planète, composée de sept milliards de personnes, ne pourrait pas être maintenue au niveau des 800 000 dernières années. J'ai gentiment annoté le graphique avec des zones de sécurité relative. Nous sommes maintenant au début de la zone de sécurité avec la concentration actuelle de 408 ppm. Heaven nous aide lorsque la concentration atmosphérique recommence à baisser, contrairement à ce qui se produira lorsque nous aurons épuisé les combustibles fossiles et que les océans continueront leur chiffre impitoyable de 800 ans, emportant la majeure partie de notre gaz carbonique, durement acquis, dans le Davy Deep, où il ne servira à rien à l'homme ou à la bête.
Effectivement, les 75 % de notre planète sont recouvert d'eau et, c'est elle qui absorbe les 85 % de notre gaz carbonique indispensable ! Car, si la terre occupe le quart restant, la végétation est loin de l'occuper entièrement !!!
Ce qui revient à dire que très bientôt le gaz carbonique deviendra un gaz rare qui se traduira donc par une végétation raréfiée et donc: une conversion en oxygène ENCORE PLUS RARE !!!
Les dictateurs refusent d'interdire le diesel qui tue plus de 40 000 personnes par an en France (ou en Allemagne ou au R-U) pour le remplacer par des moteurs essence (comme au Japon) et taxe le gaz carbonique indispensable parce qu'il ose faire pousser des plantes qui le recyclent en oxygène !!!
Combien de revenus les ménages français ont perdu entre 2008 et 2016 ?
16:23 25.11.2018
Les ménages français ont perdu en moyenne 440 euros de revenu disponible entre 2008 et 2016, d’après une étude de l’Observatoire français des conjonctures économiques apparue dans la dernière édition diffusée par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Dans l'édition 2018 de «Portrait social de la France» relayée par l'Insee le 20 novembre, le revenu disponible des ménages aurait baissé en moyenne de 440 euros dans l'Hexagone entre 2008 et 2016. Le calcul a été effectué par l'Office français des conjonctures économiques (OFCE).
Selon l'OFCE, des «facteurs explicatifs possibles» de cette diminution sont, entre autres, les réformes socio-fiscales «visant le redressement structurel des comptes publics engagées à la suite de la crise économique».
Comme l'indique l'étude, il existe pourtant d'importantes disparités en fonction du niveau de vie.
«Les effets de ces réformes diffèrent selon la place des ménages dans la distribution des niveaux de vie. Les ménages les plus aisés ont été les plus mis à contribution», précise l'Insee.
En effet, les 5 % des ménages les plus modestes ont «vu leur revenu disponible annuel s'accroître de plus de 450 euros et les 5 % au-dessus l'ont vu s'accroître de 890 euros du fait des réformes des prestations». Par contre, les 5 % du «haut de la distribution ont vu leur revenu disponible annuel diminuer de 5.640 euros».
En outre, d'après l'étude, la multiplication des familles monoparentales et des personnes qui vivent seules a également contribué à cette baisse.
Le développement du temps partiel ou l'augmentation du taux de chômage n'auraient pas par contre eu d'«effet significatif» sur le revenu des Français, précise l'Insee.
La Russie vérifiera si les États-Unis ont réellement atterri sur la lune
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 24/11/2018 - 20h30
Selon l'agence Associated Press, le chef de l'agence spatiale russe Roscosmos s'est engagé à vérifier si les États-Unis se sont effectivement posés sur la lune.
Discutant d'une proposition de mission russe sur la Lune, Dmitri Rogozine a déclaré en plaisantant dans une vidéo publiée samedi sur Twitter:
"Je réponds aux questions du président moldave: s'il y avait des Américains sur la lune ... Nous nous sommes fixé cet objectif de voler et de vérifier s'ils y étaient ou non."
Rogozin répondait à une question de savoir si la NASA avait atterri sur la lune il y a près de 50 ans.
Bien que les commentaires de Rogozin aient pu être faits en plaisanterie, en 2015, un ancien porte-parole du Comité d'enquête russe a demandé l'ouverture d'une enquête sur les atterrissages de la lune aux États-Unis.
En attendant que la Russie puisse "vérifier" l'atterrissage sur la lune, nous prévoyons une discussion animée sur le rayonnement de la ceinture de Van Allen et sur les réflecteurs laser ...
https://www.zerohedge.com/news/2018-11-24/russia-verify-whether-usa-actually-landed-moon
Remarque importante: AUCUN télescope terrestre ou satellite n'a pu matérialiser le 'drapeau americain planté sur la lune' !!
Supprimer(...) En attendant que la Russie puisse "vérifier" l'atterrissage sur la lune, nous prévoyons une discussion animée sur le rayonnement de la ceinture de Van Allen et sur les réflecteurs laser ...(...)
Effectivement, la 'ceinture de Van Allen' cause problème et empêche tout être vivant de la traverser...
L'assassinat qui aurait pu déclencher la Troisième guerre mondiale: WaPo
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 24/11/2018 - 22:00
Écrit par Stephen Knott via le Washington Post,
Nous connaissons Dallas, mais JFK a failli être assassiné lors de la crise des missiles à Cuba ...
L'assassinat du président John F. Kennedy, le 22 novembre 1963, a brisé la psyché américaine.
Cet événement traumatisant a été à plusieurs reprises revisité et commémoré, mais peu d'attention a été portée sur la proximité du meurtre de Kennedy un peu plus d'un an avant sa mort à Dallas. Si le président avait été assassiné à ce moment-là, cela aurait probablement conduit à une guerre catastrophique entre les États-Unis et l'Union soviétique qui aurait totalement changé le visage de l'histoire.
Alors qu'il effectuait une visite à la tombe d'Abraham Lincoln, à Springfield, Illinois, au plus fort de la crise des missiles cubains le 19 octobre 1962, un homme armé avait Kennedy dans son champ de vision télescopique alors qu'il se trouvait dans une piste ouverte et lente limousine. Le scénario ressemblait étrangement à ce qui s’est passé à Dallas l’année suivante, mais pour une raison quelconque, le tireur de Springfield a tenu son feu, épargnant à la nation et au monde un possible assassinat.
Kennedy était à Springfield pour faire campagne pour que les démocrates se présentent aux élections à la mi-mandat de 1962 à la Chambre et au Sénat. Avant de prononcer un discours public à l'Illinois State Fairgrounds, le président a rendu une visite privée à la tombe de Lincoln. Sur le chemin de la tombe, un «employé du ministère de la Sécurité publique de l’Illinois» a remarqué deux hommes sur la voie du cortège du président avec un fusil.
Selon le rapport des services secrets, le responsable de la sécurité publique chargé de l'alerte «a vu un canon de fusil à mire télescopique ressortant du deuxième étage. La police locale a été arrêtée et livrée à des agents spéciaux des services secrets », deux hommes qui étaient beaux-frères.
Les services secrets ont noté qu '«un fusil semi-automatique de calibre .22 et une caisse pleine de munitions pour le fusil long .22 ont été saisis».
Les hommes ont admis «avoir pointé le pistolet par la fenêtre du parcours du défilé. Cependant, ils ont affirmé qu’ils n’avaient fait que tester la puissance du viseur télescopique afin de déterminer s’il valait la peine de l’enlever afin de mieux regarder le président lorsque le cortège revient.
Comme il n'y avait aucune preuve du contraire et qu'aucun des deux hommes n'avait de dossier antérieur, les poursuites ont été refusées.
Ces deux hommes avaient un fusil chargé dirigé vers le président lors de son passage en cortège motorisé, mais avaient décidé de ne pas appuyer sur la gâchette. Les services secrets sont intervenus pour appréhender les hommes avant que la limousine du président ne les repasse une seconde fois. Pendant un bref instant, cependant, la vie du président était suspendue à la décision d’un jeune homme de 20 ans de ne pas appuyer sur la gâchette.
Il n'y a aucune preuve suggérant un lien entre ces deux hommes et l'Union soviétique. Mais à l'époque, toute violence dirigée contre Kennedy aurait probablement déclenché la guerre. Après tout, ce quasi-incident à Springfield a eu lieu trois jours après que Kennedy ait été informée par la CIA que l’Union soviétique construisait des sites de missiles nucléaires à Cuba. L'administration Kennedy avait nié les rumeurs d'une telle construction depuis des mois et le président avait été bouleversé par un geste aussi audacieux et trompeur du Kremlin.
RépondreSupprimerS'en sont suivis les fameux «13 jours» de délibérations secrètes de la part de Kennedy et un petit cercle de conseillers connus sous le nom de «Comité exécutif» (Comité exécutif du Conseil de sécurité nationale), ainsi que des échanges tout aussi secrets avec le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev. par le procureur général Robert Kennedy et un membre du KGB. Ces échanges ont permis d’éviter une guerre qui aurait eu des résultats catastrophiques.
En fait, la période la plus critique de la crise des missiles cubains s’est avérée être 72 heures après le quasi-assassinat de Kennedy dans l’Illinois. C’est la crise internationale, et non le tireur, qui a poussé Kennedy à raccourcir son voyage de campagne dans l’Illinois pour revenir à Washington et délibérer sur une réponse à la crise des missiles de Cuba. Le président craignait que la crise ne débouche sur un conflit nucléaire, le "dernier échec", a-t-il dit, et a résisté aux conseils de ceux qui préconisaient une frappe préventive sur les sites de missiles. À la fin, Kennedy a rejeté les demandes de bombardement ou d’invasion de Cuba.
Si Kennedy avait été tué ou blessé à Springfield, le vice-président Lyndon B. Johnson et un noyau de conseillers déjà enclins à une sorte de frappe aérienne ou d’invasion de Cuba auraient probablement approuvé une telle attaque. Une tentative d'assassinat contre un président américain dans le cadre d'une confrontation «entre deux yeux» avec l'Union soviétique aurait amené de nombreux responsables à soupçonner l'implication du Kremlin. Les Soviétiques avaient déjà été surpris gisant sur les missiles de Cuba et toute négation de leur part concernant la tentative d'assassinat de Kennedy aurait été vue de la même manière.
L’exclusion de Kennedy de ce processus décisionnel, que ce soit par mort ou par blessure grave par balle, aurait changé le cours de l’histoire. Un public enragé et un groupe restreint de conseillers prédisposés à penser que les pires intentions de l’Union soviétique auraient exercé une pression énorme sur Johnson pour qu’il réagisse avec force.
Des générations d’érudits et de praticiens ont beaucoup appris sur la résolution des conflits en étudiant la gestion par Kennedy de la crise des missiles à Cuba. Malheureusement, comme le révèlent les événements du 22 novembre 1963, les responsables de la sécurité du gouvernement n’ont appris rien au lendemain du quasi-accident sur la route qui mène à la tombe de Lincoln. S'ils avaient saisi les signaux d'alarme de l'appel rapproché, tels que le risque de limousines ouvertes et la nécessité de se protéger contre les tirs, ils auraient peut-être sauvé les Américains du traumatisme brûlant qui les attendait.
https://www.zerohedge.com/news/2018-11-24/assassination-could-have-sparked-wwiii-wapo
Un accord de grève avec le Mexique pour mettre fin à la "capture et la remise à l'eau", fait attendre les demandeurs d'asile au Mexique
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 24/11/2018 - 14:20
Mise à jour (19h00 HNE): Donald Trump a confirmé des informations antérieures selon lesquelles son nouveau contrat avec le Mexique mettrait fin à une "interception" dans une série de tweets, dans lesquels il a de nouveau menacé de fermer la frontière sud "si cela devenait nécessaire". WaPo a rapporté plus tôt que les menaces de Trump de fermer la frontière avaient aidé à convaincre la nouvelle administration mexicaine d'accepter la nouvelle politique.
* * *
Alors que les postes-frontières atteignent les sommets de la présidence Trump (ils sont 60 000 le mois dernier) et que les juges fédéraux bloquent encore une fois les plans du président sur la répression des passages frontaliers, l'administration Trump a négocié discrètement un accord avec le Mexique qui contourne les tribunaux américains pour mettre en œuvre l'un des plus grands succès de la politique d'immigration de Trump à ce jour: un plan qui maintiendra les demandeurs d'asile d'Amérique centrale aux États-Unis du côté mexicain de la frontière pendant le traitement de leurs demandes.
Le Washington Post, qui a annoncé la nouvelle de l'accord samedi après-midi (la nouvelle a été une surprise totale pour beaucoup, alors que l'Administration Trump et les représentants du nouveau président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador ont réussi à la négocier en secret), a déclaré que le nouveau plan - provisoirement intitulé "Restez au Mexique" - mettra fin à la pratique du "catch and release": lorsque les demandeurs d'asile sont libérés aux États-Unis pour attendre leur audition devant un juge des affaires d'asile. En vertu des nouvelles règles, après avoir été examinés à un point d'entrée américain, les demandeurs d'asile devaient attendre leur comparution devant le tribunal, devant un juge de l'immigration. Le jour de l'audience, ils seraient escortés par des officiers américains dans un palais de justice américain. Toutefois, s'ils ne bénéficiaient pas de l'asile, ils seraient relâchés au Mexique dans l'attente d'une décision finale ou, si leur demande était rejetée, ils seraient expulsés par les États-Unis dans leur pays d'origine.
Des agents d’asile et d’autres agents de l’immigration se dirigent déjà vers un poste-frontière situé à San Diego pour commencer à appliquer cette politique avant que les caravanes largement médiatisées d’immigrants d’Amérique centrale, devenues l’une des questions dominantes du cycle électoral pré-intermédiaire, frontière.
Les responsables américains ont déclaré que la libération de l'espace de détention leur permettrait de traiter les demandes plus rapidement. Le Mexique et les États-Unis espèrent que cette politique encouragera davantage de migrants à rester au Mexique, où de nombreux emplois dans les usines et les usines de montage restent vacants (probablement parce que les salaires ne représentent qu'une petite fraction de ce qu'ils sont aux États-Unis).
Des fonctionnaires américains décrivant le système sous le couvert de l'anonymat ont déclaré qu'ils seraient en mesure de traiter au moins deux fois plus de demandes d'asile qu'aujourd'hui, car elles ne seraient pas limitées par des contraintes d'espace de rétention aux points d'entrée américains. Le port d'entrée de San Ysidro dans la région de San Diego accepte environ 60 à 100 demandes d'asile par jour.
Près de 5 000 Américains d'Amérique centrale sont arrivés à Tijuana ce mois-ci dans le cadre de groupes de caravanes. Plusieurs milliers d'autres sont en route vers la ville, où un terrain de baseball a été transformé en un camp de tentes gonflé. Le maire de la ville a déclaré vendredi une "crise humanitaire" et déclaré que les contribuables de la ville ne paieraient pas la note pour les soins des migrants.
RépondreSupprimerUn groupe de dirigeants d’entreprises de la ville a déclaré qu’il avait ouvert des milliers de postes dans les usines de montage de la ville, ou maquiladoras, invitant des migrants d’Amérique centrale à travailler dans les usines. Bien que les salaires ne représentent qu’une petite fraction des salaires versés aux États-Unis, les responsables mexicains ont déclaré que l’offre de travail était une des raisons pour lesquelles ils croient que le plan Reste au Mexique réussira. A travers le pays, 100 000 emplois sont disponibles pour les demandeurs d'asile d'Amérique centrale, ont déclaré des responsables.
L’accord a été finalisé avec l’aide de la secrétaire à la Sécurité intérieure, Kirstjen Nielsen, ce qui lui a valu un rare éloge de la part de son patron, qui aurait tenté de la licencier en raison de sa faiblesse apparente en matière d’immigration.
L’accord a été conclu la semaine dernière à Houston lors d’une réunion entre Marcelo Ebrard, le nouveau ministre des Affaires étrangères du Mexique, et de hauts responsables américains, tels que le secrétaire d’État Mike Pompeo et le secrétaire à la Sécurité intérieure, Kirstjen Nielsen, selon des responsables américains et mexicains.
Nielsen se bat pour conserver son poste depuis la fin du trimestre et, bien que Trump ait annoncé à ses collaborateurs qu’il envisageait de la remplacer, le président l’a félicitée cette semaine pour avoir "essayé".
Bien que l’entente soit censée être une solution "à court terme", le plan "à moyen et long terme", selon des responsables mexicains, stipule que les migrants centraméricains "restent au Mexique".
"Pour le moment, nous avons accepté cette politique de rester au Mexique", a déclaré Olga Sánchez Cordero, nouvelle ministre mexicaine de l'Intérieur, haut responsable de la politique intérieure de López Obrador, entrée en fonction le 1er décembre. Dans un entretien avec le Washington Post, elle a appelé cela une "solution à court terme".
"La solution à moyen et à long terme est que les gens ne migrent pas", a déclaré Sánchez Cordero. "Le Mexique a les bras ouverts et tout, mais imaginez, caravanes après carrières, cela nous poserait également problème."
L’accord est l’indication la plus claire à ce jour que Trump et AMLO entretiennent une relation plus cordiale que beaucoup ne l’espéraient. Et même si une contestation judiciaire du plan pourrait encore se matérialiser, les tribunaux américains n’ont pas compétence au Mexique. Dans cet esprit, il semble que Trump ait enfin trouvé un moyen de contourner les "juges Obama" qui ont été les plus gros obstacles à sa politique d'immigration.
https://www.zerohedge.com/news/2018-11-24/trump-strikes-deal-mexico-end-catch-and-release
Carlos Ghosn a sous-estimé le salaire de 100 millions de dollars: rapport
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 24/11/2018 - 16:35
Cela fait presque une semaine que les procureurs de Tokyo ont embarqué dans l'avion privé du légendaire chef d'entreprise automobile Carlos Ghosn et l'ont emmené menotté à sa nouvelle résidence temporaire: une cellule de 24 mètres carrés au centre de détention de Tokyo. Depuis, personne n'a plus entendu parler de Ghosn, même si les médias affirment que l'ambassadeur de France au Japon lui a rendu visite.
Entre-temps, il a été évincé du conseil d’administration de Nissan et (temporairement) relevé de ses fonctions de directeur général chez Renault. Les spéculations sur le possible effondrement de l'alliance Nissan-Renault-Mitsubishi créée par Ghosn se sont multipliées, le Wall Street Journal publiant vendredi un rapport détaillé sur les ressentiments à l'égard de Renault qui se construisaient chez Nissan, où des cadres supérieurs, y compris éventuellement Hirohito Saikawa , se sont hérissés devant l'influence exercée par des hommes qu'ils considéraient comme des intrus étrangers (certains ont même suggéré que l'arrestation de Ghosn résultait d'un complot organisé dans une salle de conférence orchestrée par Saikawa).
Mais si beaucoup reste incertain pour Ghosn et pour les sociétés qu’il dirigeait jusqu’à récemment, les détails de ses actes reprochés restent vagues.
Dans l'explication peut-être la plus détaillée sur les circonstances de l'arrestation de Ghosn, la nature de ses actes reprochés et les tensions naissantes entre Nissan et Renault, le WSJ a rapporté plus tôt cette semaine que les procureurs estimaient que les 44 millions manquants - le montant de la sous-déclaration présumée de Ghosn Son revenu sur 5 ans comprend un type de rémunération à base d’actions appelée droits à la plus-value des actions. Ceux-ci sont payés lorsque le cours de l'action dépasse un niveau donné. Il est important de rappeler que Ghosn n'a toujours pas été officiellement inculpé, pas plus que son complice présumé, le directeur de Nissan, Greg Kelly.
Et maintenant, un rapport publié dans le Kyodo News au Japon affirme que le montant que Ghosn est soupçonné de ne pas avoir déclaré au total pourrait être plus du double de ce montant de 44 millions de dollars. Entre 2010 et aujourd'hui, Ghosn aurait peut-être sous-déclaré ses revenus de près de 12 milliards de yens, soit environ 100 millions de dollars. En plus de la sous-déclaration, Ghosn fait également l'objet d'une enquête pour utilisation abusive des fonds d'une joint-venture néerlandaise entre Nissan et Renault afin d'acheter des "logements sociaux" (résidences de luxe au Brésil et au Liban) qui servaient de résidence personnelle.
Mais il a été arrêté par les procureurs de Tokyo pour avoir prétendument rapporté une rémunération d'environ 4,99 milliards de yens de moins qu'il n'avait touché en cinq ans à compter d'avril 2010. Il aurait reçu près de 100 milliards de yens au cours de cette période.
Les procureurs envisagent également de préparer un dossier contre une sous-déclaration présumée de 3 milliards de yens supplémentaires de rémunération perçue sur trois ans à compter d'avril 2015.
Ghosn est également soupçonné de ne pas avoir déclaré environ 4 milliards de yens de droits à la plus-value des actions, un système similaire aux options d’achat d’actions qui verse des primes aux dirigeants si le cours des actions de la société dépasse un certain niveau.
Ghosn aurait également utilisé des résidences achetées par la société aux Pays-Bas, au Brésil, en France et au Liban sans payer de loyer, tout en obligeant la société à payer les voyages de sa famille et ses dépenses privées de consommation et de restauration.
RépondreSupprimerQuelle que soit la preuve découverte par l'enquête interne de Nissan sur les méfaits de Ghosn, elle doit être assez convaincante. Après que deux membres du conseil d’administration de Renault aient initialement hésité à voter pour évincer Ghosn jeudi, Nissan leur a fourni des grands livres détaillant les allégations de sous-déclaration de revenus de Ghosn. Alors qu'il était sous-payé par rapport à d'autres dirigeants de même envergure dans son secteur, M. Ghosn a également tiré les salaires de ses fonctions de président-directeur général de Renault et de président de Mitsubishi.
Après avoir lu les registres, ils auraient convenu que les preuves étaient suffisantes pour voter pour destituer Ghosn et Kelly. Selon Kyodo News, Nissan aurait découvert que Ghosn avait communiqué à Kelly deux chiffres à utiliser lors de la déclaration de sa rémunération. Un ensemble de chiffres représentant ce que Ghosn a réellement fabriqué et un autre ensemble de chiffres plus petit qu'il souhaitait rapportés à l'échange.
Dans le même temps, son ex-femme, Rita, a donné des détails sordides sur la vie personnelle de Ghosn, qui a laissé entrevoir des abus pendant leur mariage dans un message crypté publié sur les médias sociaux: "Tous les narcissistes sont des hypocrites. Ils prétendent avoir la morale et les valeurs derrière des portes closes, ils mentent, insultent, critiquent, manquent de respect et sont abusifs. Ils peuvent faire et dire tout ce qu'ils veulent, mais comment osez-vous leur dire quoi que ce soit ou les critiquer ? Ils ont tout un ensemble de règles pour d'autres, mais ne suivent aucune de leurs propres règles, et ne pratiquent rien de ce qu'ils prêchent. "
En résumé, lorsque les procureurs de Tokyo auront achevé leur enquête, Ghosn pourrait être à jamais coupé du style de vie qui lui permettait de s'offrir un somptueux mariage au palais de Versaille.
https://www.zerohedge.com/news/2018-11-24/carlos-ghosn-underestimated-pay-much-100-million-report
13 illustrations de la bienveillance du capitalisme
RépondreSupprimerSamedi, 24/11/2018 - 16h10
Écrit par George Reisman via le Mises Institute,
Par «nature bienveillante du capitalisme», j'entends le fait qu'il favorise la vie humaine et le bien-être et qu'il le fait pour tous. Un grand nombre de grands penseurs, allant de John Locke à Ludwig von Mises et Ayn Rand, ont développé de nombreuses idées de ce type, élaborées au cours de plus de trois siècles. J'en présente autant que je peux dans mon livre Capitalism.
Je vais brièvement aborder environ une douzaine de ces idées que je considère comme les plus importantes et qui, je pense, prises toutes ensemble, rendent irrésistible le cas du capitalisme. Permettez-moi de dire que je m'excuse pour la brièveté de mes discussions. Chacune des idées dans lesquelles je m'engage nécessiterait à elle seule une discussion plus longue que le temps qui m'a été alloué pour parler aujourd'hui. Heureusement, je peux me fier au fait que, du moins dans mon livre, je pense les avoir présentées avec le détail qu’elles méritent.
Et maintenant, laissez-moi commencer.
1) La liberté individuelle - caractéristique essentielle du capitalisme - est le fondement de la sécurité, au sens à la fois de la sécurité personnelle et de la sécurité économique. La liberté signifie l'absence d'initiation de la force physique. Quand on est libre, on est en sécurité - à l'abri - des crimes de droit commun, car ce qui est libre, c'est des actes tels que voies de fait, batterie, vol, viol et meurtre, qui représentent tous le déclenchement de la force physique. Ce qui est encore plus important, bien sûr, c’est que, lorsque l’on est libre, on est libéré de l’initiation de la force physique par le gouvernement, qui est potentiellement beaucoup plus meurtrière que celle de tout gang criminel privé. (La Gestapo et le KGB, par exemple, avec leur asservissement et le meurtre de millions de personnes, ont rendu les criminels privés presque aussi gentils en comparaison.)
Le fait que la liberté soit l'absence d'initiation de la force physique signifie également que la paix est un corollaire de la liberté. Là où il y a liberté, il y a paix, parce qu'il n'y a pas recours à la force: dans la mesure où la force n'est pas utilisée, le recours à la force pour se défendre ou pour se venger n'est pas nécessaire.
La sécurité économique procurée par la liberté découle du fait que chacun peut choisir de faire ce qu’il juge être le plus avantageux pour son intérêt, sans craindre d’être arrêté par la force physique de quiconque, tant que lui-même ne le fait pas. initier l'utilisation de la force physique. Cela signifie, par exemple, qu'il peut occuper le poste le mieux rémunéré qu'il trouve et achète auprès des fournisseurs les plus compétitifs qu'il peut trouver; dans le même temps, il peut conserver tous ses revenus et en économiser autant qu'il le souhaite, en investissant ses économies de la manière la plus rentable qui soit. La seule chose qu'il ne puisse pas faire, c'est utiliser la force lui-même. L'usage de la force étant interdit, un individu augmente ses revenus en utilisant sa raison pour trouver comment offrir aux autres des biens et des services plus nombreux ou de meilleure qualité pour le même montant, puisqu'il s'agit du moyen de les inciter volontairement à dépenser une plus grande partie de leurs fonds dans l'achat de lui plutôt que de concurrents. Ainsi, la liberté est la base de la sécurité économique de chacun, autant que l’exercice de sa raison et la raison de ses fournisseurs le permettent.
2) Une augmentation continue de l'offre de ressources naturelles accessibles et utilisables sur le plan économique est possible, car l'homme convertit une fraction plus grande de l'infini virtuel qu'est la nature en biens et en richesses économiques, sur la base à la fois d'une connaissance croissante de la nature et d'un pouvoir physique croissant sur la nature. il. (Pour plus de précisions, voir "L’environnementalisme à la lumière de Menger et Mises" dans le numéro de l’été 2002 de The Quarterly Journal of Austrian Economics.)
RépondreSupprimer3) La production et l'activité économique, de par leur nature même, servent à améliorer l'environnement de l'homme. En effet, du point de vue de la physique et de la chimie, toute production et activité économique consistent en un réarrangement d’éléments chimiques de même nature dans différentes combinaisons et en leur déplacement dans des lieux géographiques différents. Le but de ce réarrangement et de ce mouvement n’est essentiellement rien d’autre que de donner aux éléments chimiques une meilleure relation avec la vie et le bien-être humains. Il place les éléments chimiques dans des combinaisons et des emplacements où ils offrent une plus grande utilité, un avantage plus grand pour les êtres humains.
La relation entre les éléments chimiques fer et cuivre, par exemple, et la vie et le bien-être de l’homme s’améliore considérablement lorsqu’ils sont extraits du sous-sol et qu’ils apparaissent dans des produits tels que les automobiles, les réfrigérateurs et les câbles électriques. La relation entre des éléments chimiques tels que le carbone, l'hydrogène, l'oxygène et l'azote et la vie et le bien-être de l'homme est améliorée lorsqu'il est possible de les transformer en énergie électrique. La relation entre un morceau de terre et la vie et le bien-être de l'homme est améliorée lorsque, au lieu de dormir dans un sac de couchage et de prendre des précautions contre les serpents, les scorpions et autres animaux sauvages, il peut dormir dans un environnement moderne et bien construit. maison qui est construite sur elle, avec tous les utilitaires et appareils que nous prenons pour acquis.
La totalité des éléments chimiques dans leur relation à l'homme constitue l'environnement extérieur matériel de l'homme, et c'est précisément ce que la production et l'activité économique servent à améliorer, de par leur nature même.
4) La division du travail, une caractéristique dominante du capitalisme, qui ne peut exister que sous une forme très développée, procure entre autres avantages majeurs les gains énormes résultant de la multiplication de la quantité de connaissances entrant dans le processus de production et de son maintien. , augmentation progressive. Il suffit de considérer que chaque occupation, chaque sous-occupation possède son propre corpus de connaissances. Dans une société capitaliste à division du travail, il y a autant de corps de connaissances distincts entrant dans le processus de production qu'il y a d'emplois distincts. L’ensemble de ces connaissances profite à chaque individu, en sa qualité de consommateur, lorsqu’il achète les produits fabriqués par d’autres - et en grande partie en sa qualité de producteur, dans la mesure où sa production est aidée par l'utilisation de biens d'équipement précédemment produits par d'autres.
Ainsi, un individu donné peut travailler comme menuisier, par exemple. Son savoir spécialisé est celui de la menuiserie. Mais en tant que consommateur, il tire parti de toutes les autres occupations distinctes du système économique. L'existence d'un tel corpus étendu de connaissances est essentielle à l'existence même de nombreux produits - tous les produits dont la production nécessite plus de connaissances qu'un individu ou un petit nombre d'individus peuvent en posséder. Bien entendu, ces produits comprennent des machines qui ne pourraient tout simplement pas être fabriquées en l’absence d’une vaste division du travail et du vaste ensemble de connaissances qu’elle représente.
RépondreSupprimerDe plus, dans une société capitaliste à division du travail, une grande partie des membres les plus intelligents et les plus ambitieux de la société, tels que les génies et d’autres individus de grande capacité, choisissent leurs concentrations avec précision dans des domaines qui ont pour effet d’améliorer progressivement augmenter le volume de connaissances appliqué à la production. C’est l’effet que de telles personnes se concentrent sur des domaines tels que la science, l’invention et les affaires.
5) On sait depuis au moins Adam Smith et David Ricardo que l'économie capitaliste tend à égaliser le taux de profit ou le taux de rendement du capital dans toutes les branches du système économique. . Lorsque les taux de rendement sont supérieurs à la moyenne, ils constituent l’incitation et également le moyen d’accroître les investissements et donc d’accroître la production et l’offre, ce qui a ensuite pour effet de réduire les prix et le taux de rentabilité. Lorsque les taux de rendement sont inférieurs à la moyenne, il en résulte une réduction des investissements et une réduction de la production et de l'offre, suivis d'une hausse des bénéfices et du taux de rentabilité. Ainsi, les taux de profit élevés baissent et les taux bas montent.
L’application de ce principe permet non seulement de maintenir les différentes branches d’une économie capitaliste dans un juste équilibre, mais aussi de donner aux consommateurs le pouvoir de déterminer la taille relative des diverses industries, simplement sur la base de: leur modèle d'achat et d'abstention d'achat, pour utiliser les mots de von Mises. Là où les consommateurs dépensent plus, les profits augmentent, et où ils dépensent moins, les bénéfices chutent. En réponse aux profits plus élevés, les investissements et la production sont augmentés et en réponse aux profits ou pertes plus faibles, ils sont diminués. Ainsi, la structure des investissements et de la production est conçue pour suivre la structure des dépenses de consommation.
Peut-être plus important encore, la tendance à la recherche d'un taux de rendement uniforme sur les capitaux investis sert à créer un schéma d'amélioration progressive des produits et des méthodes de production. Toute entreprise donnée peut obtenir un taux de rendement supérieur à la moyenne en introduisant un produit nouveau ou amélioré que les consommateurs veulent acheter, ou une méthode plus efficace et moins coûteuse de production d'un produit existant. Mais alors, le profit élevé dont elle bénéficie attire la concurrence et, une fois que l'innovation est généralement adoptée, le profit élevé disparaît, de sorte que les consommateurs bénéficient pleinement de l'innovation. Ils finissent par avoir de meilleurs produits et des prix plus bas.
Si l'entreprise qui a lancé l'innovation souhaite continuer à dégager un taux de profit exceptionnel, elle doit introduire de nouvelles innovations qui aboutissent aux mêmes résultats. Gagner un taux de profit élevé pendant une période prolongée nécessite l'introduction d'une série d'innovations continues, les consommateurs tirant pleinement parti de toutes les innovations, même les plus récentes.
RépondreSupprimer6) Comme l'a montré von Mises, dans une économie de marché, ce que le capitalisme est bien sûr, la propriété privée des moyens de production profite à tous, aux non-propriétaires comme aux propriétaires. Les non-propriétaires bénéficient des moyens de production détenus par d'autres personnes. Ils obtiennent cet avantage au fur et à mesure qu'ils achètent les produits de ces moyens de production. Pour bénéficier des usines et des équipements de General Motors, ou des gisements de pétrole, des oléoducs et des raffineries d'Exxon, je n'ai pas besoin d'être actionnaire ni obligataire dans ces entreprises. Je dois simplement être en mesure d'acheter une automobile, de l'essence ou tout ce qu'ils produisent.
En outre, grâce au caractère dynamique et progressif du principe de l'uniformité du taux de profit ou du taux de rendement que j'ai expliqué tout à l'heure, le bénéfice général des moyens de production privés pour les non-propriétaires augmente continuellement, ils sont en mesure d'acheter des produits toujours plus nombreux et de meilleure qualité à des prix réels en baisse constante. On ne saurait trop insister sur le fait que ces gains progressifs et l’amélioration générale du niveau de vie qui en découle dépendent fondamentalement des institutions capitalistes de propriété privée des moyens de production, de la recherche du profit et de la concurrence économique, et qu’ils ne seraient pas possibles. sans eux. Ce sont eux qui sous-tendent une initiative individuelle motivée et efficace pour élever le niveau de vie.
7) L’avantage général de l’héritage est un corollaire de l’avantage général découlant de la propriété privée des moyens de production. Non seulement les héritiers, mais aussi les non-héritiers bénéficient de son existence. Les non-héritiers en bénéficient parce que l'institution de l'héritage encourage l'épargne et l'accumulation de capital, dans la mesure où elle amène les individus à accumuler et à maintenir un capital destiné à être transmis à leurs héritiers. L’existence de ce capital supplémentaire accumulé a pour effet d’augmenter le nombre de moyens de production destinés au marché et donc de fournir des produits plus nombreux et de meilleure qualité.
Bien entendu, l’effet du capital supplémentaire se traduit également par une demande supplémentaire de main-d’œuvre et donc par des taux de rémunération plus élevés. Il faut bien comprendre que la demande de main-d’œuvre est un moyen majeur par lequel tous les moyens de production privés fonctionnent au profit des non-propriétaires. Le capital sous-tend la demande de travail ainsi que l'offre de produits.
8) Sous le capitalisme, non seulement le gain d'un homme n'est pas la perte d'un autre, dans la mesure où il résulte d'une augmentation de la production totale, mais aussi, dans les cas les plus importants, à savoir ceux de la construction de grandes fortunes industrielles, le gain d'un homme est positivement le gain des autres hommes. Cela découle du fait que les exigences arithmétiques de la constitution d’une grande fortune associent l’atteinte d’un taux de profit élevé sur le capital pendant une période prolongée et l’épargne et le réinvestissement de la plus grande partie des bénéfices réalisés. , année après année.
Comme nous l’avons vu, le gain d’un taux de profit élevé pendant une période prolongée, face à la concurrence, nécessite l’introduction d’une série d’innovations significatives. Ces innovations représentent des produits meilleurs et moins coûteux pour les consommateurs. L'épargne et le réinvestissement des profits réalisés sur les innovations constituent l'accumulation de moyens de production, qui sert également les consommateurs. Ainsi, tant par leur origine que par leurs profits élevés et par leur disposition, par l'accumulation de capital, les grandes fortunes industrielles représentent des gains correspondants pour le grand public. Par exemple, le vieil homme d'Henry Ford, qui avait commencé avec un capital de 25 000 dollars en 1903 et se terminant avec un capital de 1 milliard de dollars en 1946, était le revers de la médaille de l'individu moyen qui avait la possibilité d'acheter une voiture considérablement améliorée en grande partie dans des usines représentant le milliard de Ford.
RépondreSupprimer9) Comme l'a montré von Mises, la concurrence économique qui règne sous le capitalisme est radicalement différente de la concurrence biologique qui prévaut dans le règne animal. En fait, son caractère est diamétralement opposé. Les espèces animales sont confrontées à des moyens de subsistance rares et naturels, dont elles ne peuvent augmenter l'offre. L'homme, en raison de sa possession de la raison, peut augmenter l'offre de tout ce dont dépendent sa survie et son bien-être. Ainsi, au lieu de la concurrence biologique d'animaux cherchant à s'approvisionner en quantités limitées de produits indispensables à la nature, en raison de la réussite et de la disparition faibles, la concurrence économique sous le capitalisme est une concurrence qui permet d'accroître l'offre de choses le plus, avec le résultat étant pratiquement tout le monde survivant plus longtemps et mieux.
Contrairement aux lions de la jungle, qui doivent rivaliser pour obtenir un nombre limité d'animaux, tels que les zèbres et les gazelles, au moyen du pouvoir de leurs sens et de leurs membres, les producteurs sous le capitalisme sont en concurrence pour une offre limitée en dollars aux mains des consommateurs , pour lesquels ils se font concurrence en proposant les produits les meilleurs et les plus économiques que leur esprit puisse concevoir. Comme cette concurrence est un facteur de création positive de richesses nouvelles et supplémentaires, il n’ya pas de véritables perdants à long terme. Il n'y a que des gagnants.
La concurrence des agriculteurs et des fabricants d’équipements agricoles permet aux affamés et aux faibles de manger et de devenir forts; celle des fabricants pharmaceutiques permet aux malades de recouvrer leur santé; celui des fabricants de lunettes et de prothèses auditives permet à beaucoup de personnes qui ne pourraient ni voir ni entendre autrement. Loin d’être une compétition dont le résultat est "la survie du plus apte", la compétition du capitalisme est plus précisément décrite comme une compétition dont le résultat est la survie de tous, ou du moins de plus en plus, pour de plus en plus longtemps et à jamais meilleur. Le seul sens dans lequel seuls les "plus aptes" survivent est que ce sont les produits et les méthodes de production les plus adaptés qui subsistent, jusqu'à ce qu'ils soient remplacés par des produits et des méthodes de production encore plus adaptés, avec les effets sur la survie humaine décrits ci-dessus.
Comme M. Von Mises l'a également montré, avec le développement de la loi de Ricardo relative à l'avantage comparatif dans le droit des associations, il y a de la place pour tous dans la concurrence du capitalisme. Même ceux qui sont moins capables que les autres à tous égards ont leur place. En fait, dans une large mesure, la concurrence sous le capitalisme, loin d’être un sujet de conflit entre les êtres humains, est un processus d’organisation de ce grand système de coopération sociale appelé division du travail. Il décide à quel moment de ce système global de coopération sociale chaque individu apportera sa contribution spécifique - qui, par exemple, et pour combien de temps, sera un capitaine d’industrie, qui sera le gardien et qui remplira toutes les positions entre les deux.
RépondreSupprimerDans cette compétition, chaque individu, même limité dans ses capacités, est capable de surpasser tous les autres, aussi supérieur soit-il dans ses capacités, pour sa place spéciale. Littéralement, et comme chaque jour, ceux dont les capacités ne sont pas plus grandes que celles requises pour être concierge sont capables de surpasser, sans aucun doute, les plus grands génies productifs du monde - pour le poste de concierge. Par exemple, Bill Gates pourrait être un homme tellement supérieur qu’en plus de pouvoir révolutionner l’industrie du logiciel, il pourrait peut-être nettoyer cinq fois plus de mètres carrés d’espaces de bureau en même temps que tout concierge vivant actuellement. cest mieux. Mais si Gates gagne un million de dollars par heure sous Microsoft et que les concierges sont prêts à travailler pour, par exemple, 10 dollars de l'heure, ils sont prêts à effectuer le travail à un cent millième du taux horaire que Gates aurait besoin, alors Loin de loin leurs capacités moindres que ce sont eux qui sont "hors de concours" dans ce cas.
Dans le même temps, les génies productifs étant libres de révolutionner les produits et les méthodes de production, ceux dont les capacités ne sont pas supérieures à celles requises pour être concierges peuvent profiter non seulement de la nourriture, des vêtements et du logement, mais aussi de produits tels que les automobiles, les téléviseurs et les ordinateurs personnels, des produits dont ils n'auraient probablement même jamais rêvé l'existence même.
Les pertes liées à la concurrence sont à la plupart des pertes à court diffusez que. Par exemple, une fois que les forgerons et les éleveurs de chevaux mis hors service par l’automobile ont trouvé d’autres types de travail à un niveau comparable, le seul effet durable de l’automobile sur eux a été qu’ils ont eux aussi profité de la avantages de l'automobile sur le cheval. De même, les agriculteurs utilisant des mules, qui ont été licenciés par la concurrence d'agriculteurs utilisant des tracteurs, ne sont pas morts de faim, mais ont simplement dû changer de travail. Lorsqu'ils l'ont fait, ils ont profité à la fois d'une offre plus abondante de denrées alimentaires et d’autres produits, lesquels pourraient être fabriqués précisément sur la base du travail libéré de l’agriculture.
Même dans les cas où une compétition isolée oblige un individu à passer le reste de sa vie dans une station plus basse que celle dont il bénéficiait auparavant, par exemple, le propriétaire d'une fabrique de buggy-whip doit vivre toute sa vie en tant que salarié ordinaire après la fermeture de son automobile, il ne peut même pas prétendre que la concurrence l’a fait souffrir. Tout ce qu’il peut raisonnablement prétendre, c’est simplement qu’à partir de ce moment, les gains immenses qu’il tire de la concurrence sont inférieurs aux gains encore plus immenses qu’il en avait obtenus auparavant. Car la concurrence est à la base de la production et de la fourniture de tout ce qu’il continue à pouvoir acheter et est ce qui est responsable du pouvoir d’achat de chaque dollar de son revenu et de celui de tous les autres. Et, bien sûr, cela revient à élever son revenu réel du niveau auquel il a été réduit. En effet, sous le capitalisme, la concurrence a pour effet d'élever le niveau de vie du salarié moyen au-dessus de celui des personnes les plus riches du monde quelques générations auparavant. (Aujourd'hui, par exemple, le salarié moyen dans un pays capitaliste a un niveau de vie supérieur à celui de la reine Victoria, probablement à tous égards, à l'exception de la possibilité d'employer des employés.)
RépondreSupprimer10) Et maintenant, une fois de plus avec le crédit de Mises, loin d'être le chaos sans plan et "l'anarchie de la production" alléguée par les marxistes, le capitalisme est en réalité un système économique aussi minutieusement et rationnellement planifié qu'il est possible d'avoir. La planification qui se poursuit sous le capitalisme, sans presque jamais être reconnue comme telle, est la planification de chaque participant individuel au système économique. Toute personne qui pense à une activité économique qui pourrait lui être utile et à la manière de la mener à bien participe à la planification économique. Les particuliers envisagent d'acheter des maisons, des automobiles, des appareils ménagers et même des épiceries. Ils planifient les emplois pour lesquels s'entraîner et où offrir et appliquer les capacités qu'ils possèdent. Les entreprises commerciales prévoient d'introduire de nouveaux produits ou d'interrompre les produits existants; ils envisagent de changer leurs méthodes de production ou continuent à utiliser les méthodes qu'ils utilisent actuellement; ils envisagent d'ouvrir des branches ou de fermer des branches; ils prévoient embaucher de nouveaux travailleurs ou des travailleurs mis à pied qu'ils emploient actuellement; ils prévoient d’ajouter à leurs stocks ou de les réduire.
On pouvait encore trouver d’autres exemples de planification économique courante et quotidienne effectuée par des particuliers et des entreprises. La planification économique privée est partout autour de nous et tout le monde y participe. Mais, à tout le monde sauf les étudiants de Mises, il est invisible. Pour ceux qui ignorent Mises, la planification économique est la province du gouvernement.
Une planification économique privée immense et omniprésente existe non seulement, mais elle est également coordonnée, intégrée et harmonisée afin de produire un système économique planifié de manière cohérente. Le moyen par lequel ceci est accompli est le système de prix. Toute la planification économique des particuliers et des entreprises repose sur une considération des prix, les prix constituant des coûts et les prix constituant des revenus ou des revenus. Les personnes qui envisagent d’acheter des biens ou des services de toute nature tiennent toujours compte des prix de ces biens et services et sont disposées à modifier leurs plans en fonction de l’évolution des prix. Les personnes qui envisagent de vendre des biens ou des services tiennent toujours compte des prix auxquels elles peuvent s'attendre pour leurs biens ou leurs services et sont également disposées à modifier leurs plans face aux variations de prix. Les entreprises commerciales, bien sûr, fondent leurs projets sur une considération à la fois des produits des ventes et des coûts, et donc des prix respectifs les constituant, et sont disposés à les modifier en fonction de l’évolution de leur rentabilité.
RépondreSupprimerAinsi, par exemple, lorsque ma femme et moi avons déménagé pour la première fois en Californie, notre plan de logement consistait à acheter une maison située sur une colline surplombant l'océan Pacifique. Mais après avoir appris le prix de telles maisons, nous avons rapidement décidé de réviser notre plan de logement et de chercher plutôt une maison à plusieurs kilomètres de l’intérieur. De cette façon, nous avons été amenés à modifier notre plan de logement de manière à l’harmoniser avec les plans d’autres personnes, qui envisageaient également d’acheter le type de maison que nous prévoyions à l’origine mais qui, en plus, étaient disposées à de s’engager dans leur plan avec plus d’argent que nous le voulions et pouvions en engager. Les offres plus élevées des autres et notre examen de ces offres ont entraîné une harmonisation de notre plan de logement avec le leur.
De même, un étudiant de première année naïf pourrait avoir un plan de carrière qui l’incitera à se spécialiser en littérature française médiévale ou en poésie de la Renaissance. Mais peu de temps avant le début de sa première année junior, il se rend compte que s’il persiste dans un tel plan de carrière, il peut s’attendre à vivre sa vie affamé dans une mansarde. En revanche, s’il modifie son plan de carrière et ses spécialités dans des domaines tels que la comptabilité ou l’ingénierie, il peut s’attendre à vivre très confortablement. Et donc il change de plan de carrière et de majeur. En modifiant son plan de carrière en tenant compte du revenu éventuel, l’étudiant opère un changement qui correspond mieux aux plans d’autres personnes du système économique. L’exécution des plans d’autrui requiert les services de beaucoup plus de comptables et d’ingénieurs que les services d’experts littéraires.
Un dernier exemple: les consommateurs changent leur régime alimentaire et prévoient donc, par exemple, de manger plus de poisson et de poulet et moins de viande rouge. Cela se traduit par une modification correspondante de leur structure d’achat et une abstention d’achat. Maintenant, pour maintenir leur rentabilité, les supermarchés et les restaurants doivent envisager de modifier leur offre, à savoir, augmenter les quantités respectives de poisson et de poulet et de plats de poisson et de poulet ou de sandwiches qu’ils fournissent, et diminuer les quantités de viande rouge et de viande rouge. plats de viande ou des sandwiches qu'ils fournissent. Ces changements de plan, et les changements d’achat correspondants, de la part des supermarchés et des restaurants entraînent de nouveaux changements de plan et d’achats, de la part de leurs fournisseurs et de leurs fournisseurs, et ainsi de suite, jusqu’à ce que tout le système économique suffisamment réorganisé pour tenir compte de l’évolution des plans et des achats des consommateurs.
Le système de prix et la prise en compte des coûts et des revenus qu’il entraîne de la part de tous induisent une nouvelle planification du système économique en fonction de l’évolution de la demande ou de l’offre, de manière à maximiser les gains et à minimiser les pertes, tout en garantissant de la production se fait de manière à favoriser au maximum la production dans le reste du système économique.
RépondreSupprimerPar exemple, suite à une diminution de l'offre de pétrole brut, le prix du pétrole brut et des produits pétroliers augmentera. Tous les acheteurs individuels considéreront les prix plus élevés en relation avec leurs propres circonstances - dans le cas des consommateurs, leurs propres besoins et désirs; dans le cas des entreprises commerciales, leur capacité à répercuter l’augmentation sur les clients. Et tous examineront les alternatives à l'utilisation de l'huile ou des produits pétroliers mis à leur disposition. Ainsi, sur la base de sa pensée et de sa planification individuelles, chacun des participants réduira sa demande pour les articles de manière à nuire le moins possible à son bien-être. Et de cette manière, la réflexion et la planification de tous les acteurs du système économique qui utilisent du pétrole ou des produits pétroliers entreront dans la détermination du lieu et de la mesure dans laquelle la quantité de pétrole et de produits pétroliers demandés diminue en raison de la hausse de leur prix. Il s’agit clairement de réagir à une perte d’approvisionnement de manière à minimiser la perte. La réduction de l'offre s'accompagnera d'une réduction équivalente de son utilisation dans le moins important des emplois pour lesquels une offre auparavant plus importante était suffisante.
De même, le système de prix et la pensée et la planification individuelles de tous les participants conduisent à maximiser les gains tirés d'une augmentation de l'offre de tout facteur de production rare. L'offre supplémentaire est absorbée par les utilisations pour lesquelles elle est la plus chère, c'est-à-dire pour laquelle elle peut être absorbée avec la moindre baisse de prix.
Ironiquement, alors que le capitalisme est un système économique planifié de manière approfondie et rationnelle et continuellement remanié en fonction de l’évolution des conditions économiques, le socialisme, comme l’a montré Mises, est incapable de planification économique rationnelle. En détruisant le système des prix et ses fondements, à savoir la propriété privée des moyens de production, la recherche du profit et la concurrence, le socialisme détruit la division intellectuelle du travail essentielle à une planification économique rationnelle. C'est la demande impossible que la planification du système économique soit réalisée comme un tout indissociable dans un esprit unique que seule une divinité omnisciente pourrait posséder.
Ce que le socialisme représente est tellement éloigné de la planification économique rationnelle que c'est en réalité l'interdiction de la planification économique rationnelle. En premier lieu, de par sa nature même, il s’agit d’une interdiction de planification économique par tous, à l’exception du dictateur et des autres membres du comité central de planification. Ils doivent jouir d'un privilège de monopole sur la planification, dans la croyance absurde et presque folle que leur cerveau puisse atteindre les capacités de tout-voyant et de tout-savoir des divinités omniscientes. Ils ne peuvent pas. Ainsi, ce que le socialisme représente en réalité, c’est la tentative de substituer la pensée et la planification d’un seul homme, ou tout au plus d’une poignée d’hommes, à la réflexion et à la planification de dizaines et de centaines de millions, voire de milliards d’hommes. De par sa nature, cette tentative de faire en sorte que le cerveau de si peu de personnes ne réponde pas aux besoins de tant d’entre elles n’ait pas plus de chances de succès que de tenter de faire des jambes de si peu le véhicule qui permettrait de porter le poids de tant de personnes.
Pour avoir une planification économique rationnelle, il est nécessaire de penser de manière indépendante et de planifier tous, dans un environnement de propriété privée des moyens de production et du système de prix, c’est-à-dire le capitalisme.
RépondreSupprimer11) J'en viens maintenant au sujet du monopole. Le socialisme est le système de monopole. Le capitalisme est le système de la liberté et de la libre concurrence.
Comme Mises l'a fait remarquer, les besoins essentiels de la vie humaine liés à la nature, tels que l'eau potable, les terres arables et les ressources accessibles de pratiquement tous les minéraux sont généralement disponibles en quantités tellement importantes que toutes les sources disponibles ne peuvent pas être exploitées. Le travail qui serait requis n'est pas disponible. Il est employé sur des terrains et des gisements minéraux plus productifs ou dans les nombreuses activités de fabrication et de commerce, où son emploi est démontré par les prix du marché comme étant plus important que la production d'une offre supplémentaire de produits de base agricoles ou de minéraux.
Dans ces conditions, et en l’absence d’intervention des pouvoirs publics, ce qu’il faut pour qu'un producteur (ou une combinaison de producteurs) puisse devenir le seul fournisseur de quelque chose que ce soit, c’est que le prix qu’il facture soit trop bas pour le justifier pour les autres fournisseurs potentiels. entrez dans le champ. La position de fournisseur exclusif est garantie par la faiblesse du prix et ne constitue pas la base pour imposer un prix élevé.
Le même point essentiel s’applique aux cas où la nécessité d’investir des sommes importantes en capital limite fortement le nombre de fournisseurs. Un capital important est nécessaire pour atteindre des coûts de production unitaires bas, nécessaires pour être rentables à des prix de vente bas.
Le monopole est en réalité le résultat de l'intervention du gouvernement. Plus précisément, il s’agit de la réservation d’un marché ou d’une partie de marché à un ou plusieurs fournisseurs au moyen de l’initiation de la force physique. Les franchises gouvernementales exclusives, les tarifs de protection et les lois sur les licences en sont des exemples.
12) Le capitalisme est un système d'augmentation progressive des salaires réels, de réduction des heures de travail et d'amélioration des conditions de travail. Contrairement à Adam Smith et à Karl Marx, les hommes d’affaires et les capitalistes ne déduisent pas les bénéfices de ce qui était prétendument à l’origine tous les salaires ou de ce qui serait prétendument de manière naturelle et légitime tous les salaires. La forme de revenu originale et principale est le profit, pas le salaire. Les travailleurs manuels produisant et vendant des produits, soit dans l'état "précoce et impoli de la société" d'Adam Smith, soit dans le cadre de la "circulation simple" de Karl Marx, ne rapportaient pas un salaire, mais un revenu de vente. Quand on vend un pain, une paire de chaussures ou tout autre produit, on ne touche pas un salaire mais un revenu de vente. Et justement parce que ces ouvriers ne se comportaient pas comme des capitalistes, c’est-à-dire qu’ils n’achetaient pas pour vendre, mais qu’ils faisaient des dépenses simplement comme consommateurs, ils n’engageaient aucune dépense pour le moyen de produire les biens qu’ils auraient pu vendre, et donc pas d'argent les coûts à déduire de leurs recettes des ventes; c’est-à-dire que l’ampleur de leurs recettes de vente était un profit et non un salaire. Il s’avère que le profit est la première et la première forme de revenu du travail.
Contrairement à Adam Smith et à Karl Marx, le phénomène des salaires et la demande de biens d'équipement n'apparaissent que lors de la venue des capitalistes et de l'accumulation de capital. Les salaires et les dépenses en biens d'équipement apparaissent comme des coûts monétaires de production qui doivent être déduits des recettes des ventes. Plus le système économique est capitaliste au sens large, plus les achats sont faits dans le but de gagner des revenus des ventes, par rapport aux revenus des ventes, plus les salaires et les autres coûts sont élevés par rapport aux revenus des ventes, et donc plus les bénéfices sont faibles, aux recettes des ventes et aux salaires. En d'autres termes, la responsabilité des capitalistes n'est pas la création du phénomène du profit et sa déduction des salaires, mais la création des phénomènes de coûts salariaux et monétaires et leur déduction des revenus des ventes, qui étaient à l'origine tous des bénéfices. Les capitalistes sont responsables de la création des salaires et de la réduction de la proportion des revenus des ventes qui représente un profit. Plus les capitalistes sont nombreux et riches, plus les salaires sont élevés par rapport aux profits.
RépondreSupprimerLe fait que les salariés puissent être disposés à travailler pour gagner le minimum de subsistance, en l’absence de meilleure alternative, et que les hommes d’affaires et les capitalistes, comme tout autre acheteur, préfèrent payer moins que plus, sont des propositions vraies mais tout à fait hors de propos. la détermination du salaire que les salariés doivent réellement accepter. Ces salaires sont déterminés par la concurrence des employeurs pour le travail, élément à la fois le plus fondamentalement utile du système économique et intrinsèquement rare.
Dans cette compétition, il est contraire à l'intérêt de tout employeur de permettre aux taux de salaire de descendre au-dessous du point correspondant au plein emploi du type de travail en question dans le lieu en question. Ces taux de salaire bas signifient que la quantité de travail demandée dépasse l’offre disponible, c’est-à-dire qu’il existe une pénurie de main-d’œuvre concernée. Une pénurie de main-d'œuvre est comparable à une enchère dans laquelle il y a toujours deux soumissionnaires ou plus pour un même article. Le seul moyen pour le soumissionnaire qui veut le plus obtenir l'objet, est de surenchérir sur ses rivaux et de rendre l'article trop cher pour eux, de sorte qu'ils doivent se retirer et lui permettre de le sécuriser.
Sur le marché du travail, il peut y avoir des dizaines, voire des centaines de millions de travailleurs. Mais la pénurie de main-d'œuvre signifie qu'il existe des emplois potentiels pour beaucoup plus que ce nombre. Le fait que chacun de nous souhaite bénéficier du travail d’au moins dix autres personnes peut être considéré comme une indication de l’ampleur de la pénurie de main-d’œuvre.
Lorsqu'un taux de salaire devient inférieur au point correspondant au plein emploi du type de travail concerné, il devient possible pour les employeurs qui ne sont pas capables ou disposés de payer ce taux plus élevé d'obtenir du travail aux dépens d'autres employeurs qui sont capables et disposés à payer ce taux plus élevé. La situation est exactement la même que celle du soumissionnaire le plus fort lors d’une vente aux enchères, qui est confronté à la perte de l’article qu’il souhaite acheter au profit d’un autre soumissionnaire plus faible. Le moyen de sécuriser le travail dont il a besoin est d’augmenter les enchères et d’éliminer la concurrence des employeurs les plus faibles.
Face à la pénurie de main-d'œuvre, qui apparaît lorsque des prix plafonds sont imposés à la main-d'œuvre, les employeurs conspirent avec leurs employés pour échapper à l'esprit du contrôle des salaires en donnant des promotions factices. Cela leur permet d'affirmer qu'ils ne violent pas les contrôles alors qu'ils le sont réellement.
RépondreSupprimerOr, étant donné la hauteur des salaires en argent, déterminés par la concurrence des employeurs pour une main-d'œuvre rare, ce qui détermine les salaires réels, c’est-à-dire les biens et les services que les salariés peuvent acheter avec l’argent qu’ils gagnent, c’est le prix . Les salaires réels sont entièrement déterminés autant par les prix que par les salaires. Les salaires réels n'augmentent que lorsque les prix baissent par rapport aux salaires.
Ce qui fait baisser les prix par rapport aux salaires, c’est l’augmentation de la productivité du travail, c’est-à-dire la production par unité de travail. Une augmentation de la productivité du travail signifie une plus grande offre de biens de consommation par rapport à l'offre de travail, et donc une baisse des prix des biens de consommation par rapport aux taux de salaire. Si nous pouvions en quelque sorte mesurer l'offre de biens de consommation, un doublement de la productivité du travail aurait pour effet de doubler l'offre de biens de consommation par rapport à l'offre de travail et, face aux mêmes dépenses globales respectives, d'acheter des biens de consommation. les biens et la main-d’œuvre entraînent une réduction de moitié des prix des biens de consommation face aux mêmes taux de salaire moyens globaux. En d'autres termes, cela doublerait les taux de salaire réels.
L’augmentation de la productivité du travail est toujours l’élément essentiel de la hausse des salaires réels. C’est ce qui permet d’accroître la quantité et le volume des dépenses en argent, qui sont responsables de l’augmentation des salaires monétaires moyens, s’accompagnant de prix qui ne montent pas ou augmentent moins que les salaires.
Et ce qui est responsable de la hausse de la productivité du travail, ce sont les activités des hommes d’affaires et des capitalistes. Leurs innovations progressives et leur accumulation de capital sous-tendent la hausse de la productivité du travail et donc des salaires réels.
13) Enfin, mon dernier point: un système monétaire à cent pour cent de réserves et de métaux précieux rendrait une société capitaliste à la fois anti-inflation et anti-déflation / dépression. L'augmentation modeste de l'offre de métaux précieux, et donc le taux d'augmentation modeste du volume des dépenses qui en découlent, ne pourraient pas faire monter les prix face au taux substantiel auquel la production et l'offre de les biens autres que les métaux précieux augmentent sous le capitalisme. Les prix auraient très probablement tendance à baisser, comme ils l'ont fait au cours du XIXe siècle.
La chute des prix due à l'augmentation de la production ne constitue toutefois pas une déflation. Ils ne signifient aucune réduction du taux de profit moyen, c’est-à-dire du taux de rendement moyen du capital investi. Ils ne signifient pas non plus une plus grande difficulté à rembourser les dettes. Pourtant, une chute des bénéfices et une augmentation soudaine de la difficulté de remboursement de la dette sont des symptômes essentiels de la déflation / dépression.
En effet, la modeste augmentation de la quantité d’argent et du volume des dépenses imputables à un système monétaire basé sur une réserve de cent pour cent et constituée de métaux précieux sert à ajouter une composante positive au taux de rendement et à faciliter un peu le remboursement de la dette. , pas plus difficile. La chute des prix due à l'augmentation de la production n'interfère pas avec cela. Lorsque les prix baissent en raison de l'augmentation de la production face à l'augmentation de la quantité de monnaie et du volume des dépenses, le vendeur moyen est en position de disposer d'une offre de biens à vendre qui est plus importante en proportion que les prix sont plus bas et donc pouvoir gagner plus d'argent, pas moins.
RépondreSupprimerUne véritable déflation accompagnant la dépression est une contraction financière, c'est-à-dire une diminution de la quantité d'argent et / ou du volume des dépenses. C'est ce qui efface la rentabilité et rend le remboursement de la dette plus difficile. Mais une telle contraction est précisément ce que permet d'éviter un système monétaire à cent pour cent de réserves et de métaux précieux. Cela l’empêche car, une fois que l’argent de métal précieux est créé, il ne disparaît pas subitement, comme c’est le cas avec les médias fiduciaires lorsque les banques qui les émettent font faillite. Et parce que son taux d’augmentation est modeste, il n’entraîne aucune réduction artificielle substantielle de la demande de monnaie, mais doit être suivie d’un renversement lorsque l’augmentation de la quantité de monnaie s’arrête ou se ralentit.
L'épargne continue et l'accumulation de capital sous le capitalisme ne réduisent pas non plus le taux de rendement du capital. L'épargne nominale qui découle du revenu monétaire découle en grande partie d'un taux de rendement élevé par l'augmentation de la quantité et du volume des dépenses, et tant que la quantité et le volume des dépenses vont sur une augmentation modeste, cette épargne ne réduit pas le taux de rendement.
S'il n'y avait pas d'augmentation de la quantité de monnaie et du volume des dépenses, le taux de rendement serait inférieur, mais stable au niveau inférieur. L'accumulation de capital se ferait simplement sur la base d'une chute des prix de remplacement, les dépenses inchangées achetant des quantités de biens d'équipement de plus en plus grandes.
Dans un tel contexte, le rôle de l'épargne existe entièrement au niveau brut, où il détermine des questions vitales telles que la mesure dans laquelle le système économique se concentre sur la production de biens d'équipement par rapport à la production de biens de consommation et la durée du marché. période de production. Les éléments essentiels de l’accumulation du capital se révèlent alors comme une production relative de biens d’équipement suffisamment élevée et une période de production suffisamment longue, ainsi que le progrès technique et tout ce qui contribue à accroître la production, et surtout la liberté économique.
Ici, faute de temps. Je dois fermer. Je voudrais le faire en disant que si vous avez trouvé mon exposé d’intérêt aujourd'hui, j’espère que vous explorerez plus amplement et en détail les sujets dont j’ai parlé dans mon livre. Sa totalité et sa substance peuvent être comprises comme un exposé systématique de la nature bienveillante du capitalisme.
https://www.zerohedge.com/news/2018-11-24/13-illustrations-benevolence-capitalism
Les avocats d'Assange exclus de la visite d'un client avant l'audience devant un tribunal américain
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 24/11/2018 - 15h40
Après avoir été enfermé pendant six ans au sein de l’ambassade équatorienne à Londres, le ministère de la Justice se rapproche enfin de Julian Assange, et le gouvernement du président équatorien, Lenin Moreno, fait tout ce qui est en son pouvoir pour expulser son locataire le plus infâme. En effet, les avocats d’Assange se sont vu refuser l’entrée à l’ambassade équatorienne à Londres, a annoncé WikiLeaks dans un tweet, ce qui n’a fait qu’aider à faire craindre qu’Assange ne soit bientôt expulsé. Et ce qui est pire, il se voit refuser l'accès à un avocat alors que ses besoins sont criants.
WikiLeaks a déclaré que le gouvernement équatorien avait refusé d'autoriser les avocats d'Assange, Aitor Martinez et Jen Robinson, à rencontrer leur client cette semaine, ce qui est un énorme problème pour le lanceur d'alerte, car Assange doit faire face à une audience devant un tribunal américain mardi, et doit se rencontrer. équipe juridique à préparer.
L'audience est appelée pour retirer l'ordonnance de confidentialité relative aux accusations portées contre Assange (qui n'ont été révélées publiquement qu'en raison d'une erreur de copier-coller).
"L'audience aura lieu mardi au tribunal de la sécurité nationale à Alexandria, en Virginie", a tweeté WikiLeaks, ajoutant qu'il s'agissait de "supprimer la décision de secret des accusations américaines à son encontre".
Les visiteurs à Assange n'ont été réintégrés que récemment après avoir été coupés par le gouvernement équatorien. Le gouvernement a également rétabli les communications d'Assange en octobre. Mais cela s'est accompagné de restrictions sur les communications d'Assange.
Autre signe indiquant que Moreno se prépare à évincer Assange, le gouvernement équatorien a récemment révoqué les pouvoirs de l’ambassadeur de l’Équateur à Londres, Abad Ortiz, sans aucune explication. Comme Wikileaks l'a expliqué:
"Tous les diplomates connus d'Assange ont maintenant été transférés hors de l'ambassade."
Assange vit à l'ambassade depuis juin 2012 après avoir demandé la protection des procureurs suédois qui avaient tenté de l'arrêter pour des accusations de crime sexuel. Celles-ci ont depuis été abandonnées, mais Assange craint depuis longtemps une extradition vers les États-Unis après la publication par Wikileaks de milliers de câbles gouvernementaux divulgués par Chelsea Manning.
Alors que la gauche a largement applaudi au malheur d'Assange, des journalistes tels que Glenn Greenwald et Matt Taibbi se sont prononcés pour sa défense et ont mis en garde contre le dangereux précédent que la poursuite d'Assange pourrait créer pour tous les journalistes.
https://www.zerohedge.com/news/2018-11-24/assange-lawyers-barred-visiting-client-ahead-us-court-hearing
C'est un monde fou
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 24/11/2018 - 13:55
Créé par Jim Quinn via le blog de The Burning Platform,
Et je le trouve un peu drôle, je le trouve un peu triste
Les rêves dans lesquels je meurs sont les meilleurs que j’ai jamais faits
J'ai du mal à vous dire, j'ai du mal à prendre
Quand les gens tournent en rond, c’est très, très
Monde fou, monde fou
La version obsédante de Gary Jules du Monde fou de Tears for Fears me parle en ces temps de folie tumultueuse. Il doit parler à beaucoup d'autres, car le clip a été visionné plus de 132 millions de fois. La vidéo mélancolique est tournée du haut d'une école urbaine dans un quartier sombre et décrépit, avec des écoliers créant diverses figures sur le trottoir en béton situé au-dessous. La caméra montre lentement Gary Jules chanter sur le toit et capturer la jungle de béton d'architecture indescriptible, de tours de bureaux identiques, de complexes d'appartements gris, et d'un monde dépourvu de joie et de dynamisme.
La chanson a été influencée par les théories d’Arthur Janov dans son livre The Primal Scream. Le refrain ci-dessus à propos de «ses rêves de mourir étaient les meilleurs qu'il ait jamais eu» est représentatif de l'abandon de ce monde insensé et de l'absence de la monotonie et de la folie de ce monde. Notre ego nous trompe en pensant que la folie de ce monde est en réalité normale. Jour après jour, nous vivons dans un désespoir tranquille. Malgré toutes les preuves, notre monde est en train de devenir incontrôlable et la folie de la foule est visible sur les marchés financiers, les marchés du logement, la politique, la justice sociale et les médias sociaux, le niveau de biais de normalité parmi la population a atteint des niveaux étonnants, alors que nous désespérément essayer de nous convaincre que tout ira bien.
Mais ce ne sera pas le cas.
Les opiacés des masses ne sont pas simplement de la religion, mais de la propagande, de la désinformation, des mensonges et des distractions technologiques conçus par la classe dirigeante du gouvernement invisible pour fournir aux masses de bonnes illusions sur leur pays, leur société et leur situation matérielle. Si les masses se réveillaient et réalisaient qu'elles étaient manipulées, opprimées et bloquées comme des moutons, la révolution balayerait le pays. Les gens sont rendus fous par un sentiment accablant de dissonance cognitive.
La masturbation mentale requise par une vaste bande de la population qui voit l'évidence du déclin, créée par le recours excessif à la dette et la corruption systématique du gouvernement, des finances et des médias, a créé une société de zombies stressés mentalement. Ils savent que les choses ne vont pas, mais admettre la vérité briserait leurs illusions et les obligerait à agir. C’est plus facile de se soigner avec des drogues, de l’alcool et de se perdre dans leur monde fantastique de médias sociaux. Ils préféreraient croire des mensonges réconfortants plutôt que de traiter avec une vérité inconfortable. Ils acceptent les mensonges parce que, sinon, cela produirait un énorme inconfort mental.
Tout autour de moi sont des visages familiers
RépondreSupprimerEndroits usés, visages usés
Bright et tôt pour leurs courses quotidiennes
Aller nulle part, aller nulle part
Leurs larmes remplissent leurs verres
Pas d'expression, pas d'expression
Cache ma tête, je veux noyer mon chagrin
Non demain, non demain
Les paroles peuvent être interprétées différemment par différentes personnes, mais les paroles ci-dessus dressent un panorama clair de notre monde fou pour moi. Nous tournons en rond, nous levons tôt tous les matins, suivons la même routine, allons consciencieusement à notre bureau, voyons les mêmes personnes, faisons la même chose et prétendons que c'est important, pour un salaire qui vaut moins chaque jour. Nous faisons cela parce que nous sommes formés comme des animaux pour croire que l’achat de merde dont nous n’avons pas besoin à crédit est le moyen de progresser dans la vie.
Le matérialisme, le consumérisme, la cupidité et le respect des Jones ont été intégrés à notre cerveau au cours des années d’endoctrinement dans les écoles du gouvernement et de propagande médiatique. Très peu de gens réussissent à aller de l'avant. Ils courent juste sur une roue de hamster et ne vont nulle part. C'est pourquoi il y a tant de dépression, de colère et de priorités mal placées dans nos vies.
En marchant dans une rue de n'importe quelle zone urbaine en ruine de ce pays, vous voyez des visages misérables qui regardent d'un air absent alors qu'ils traversent leur vie sur la route de nulle part ou perdent du temps, absorbés par des futilités et des conneries émanant de leurs iGadgets. La vie de tant de personnes est une marche dénuée de sens de la misère et une répétition insensée des tâches quotidiennes. Un immense nuage de tristesse imprègne la vie des masses alors que notre culture répulsive, bâtie sur des désirs épanouissants, le consumérisme, l'égoïsme et la cupidité, aboutit en fin de compte à des êtres humains délirants, déçus et désespérés.
Cette culture dysfonctionnelle a entraîné une montée en flèche des taux de suicide, des surdoses de drogue, de la dépression et de la formation de personnes mentalement instables qui se livrent périodiquement à des razzias de tir sans raison prévisible. Allumez les nouvelles 24 heures sur 24 et essayez de ne pas réaliser que le monde est devenu fou.
Les enfants attendent pour la journée, ils se sentent bien
Joyeux anniversaire joyeux anniversaire
Fait pour sentir comme chaque enfant devrait
Assieds-toi et écoute, assieds-toi et écoute
Je suis allé à l'école et j'étais très nerveux
Personne ne me connaissait, personne ne me connaissait
Bonjour professeur, dites-moi quelle est ma leçon
Regarde à travers moi, regarde à travers moi
Notre société n'est pas devenue si ridicule, égarée et défectueuse du jour au lendemain. Des décennies se sont écoulées. Et cela peut être attribué aux efforts délibérés de ceux qui contrôlent le gouvernement pour détruire notre système éducatif et le remplacer par un système d'endoctrinement social. On n’apprend plus aux enfants à penser, mais à ressentir. Les enfants sont élevés par l'État comme rien de plus que des rouages ??dans la machine.
L'unité familiale s'est auto-détruite alors que des millions d'enfants sont élevés dans des foyers sans père, des foyers brisés ou des foyers dysfonctionnels. On ne leur apprend pas comment agir et à penser en aimant les parents à la maison. Ils sont donc facilement exposés au dogme de justice sociale que leur imposent les robots du gouvernement à faible quotient intellectuel qui habitent les salles de classe de nos écoles publiques. Comme Frank Zappa l'a souligné il y a des années, vous devez vous éduquer et ne pas laisser les écoles publiques vous gâcher la tête. Nous n'avons pas tenu compte de ses conseils.
«Abandonne tes études avant que ton esprit ne pourrisse après avoir été exposé à notre système éducatif médiocre. Oubliez le bal des finissants, allez à la bibliothèque et renseignez-vous si vous avez du cran. Certains d'entre vous aiment les rassemblements Pep et les robots plastiques qui vous disent quoi lire.” Frank Zappa
RépondreSupprimerLes enfants qui remettent en question l'autorité ou n'agissent pas de manière soumise sont immédiatement diagnostiqués avec ADD et drogués avant d'être soumis. Le système des écoles publiques ne veut pas de performants, de penseurs critiques ni de quiconque doutant de l’orthodoxie mandatée par son gouvernement. La classe dirigeante (ou Deep State) veut des automates contrôlables, malléables et non pensants qui effectuent les travaux médiocres et peu rémunérateurs, achètent de la merde étrangère avec leurs cartes de crédit et dépendent de l'État pour leur misérable existence. George Carlin l'a compris il y a plusieurs années:
«Ils veulent des travailleurs obéissants. Les gens qui sont juste assez intelligents pour faire fonctionner les machines et faire la paperasse, et juste assez stupides pour accepter passablement tous ces emplois de plus en plus craintifs avec le salaire inférieur, les heures plus longues, les avantages réduits, la fin des heures supplémentaires et la retraite en voie de disparition disparaît à la minute où vous allez le récupérer. C’est un grand club. Et vous n’y êtes pas. Vous et moi ne sommes pas dans le grand club. En passant, c’est le même grand club qu’ils utilisent pour vous battre à la tête avec toute la journée quand ils vous disent quoi croire. Toute la journée, en vous écrasant dans leurs médias, vous disant quoi croire, quoi penser, et quoi acheter. La table est inclinée, les gens. Le jeu est truqué. Et personne ne semble le remarquer. Personne ne semble s'en soucier. "
Des enfants malheureux, drogués, trompés, qui ont été traités comme un nombre, deviennent des adultes malheureux, trop soignés, faciles à manipuler, créant ainsi le monde fou que nous vivons. Les enfants attendent le jour où ils se sentiront bien - comme leur anniversaire - mais ce jour n'arrivera jamais. Ils grandissent et font ce qu'on leur dit - s'endetter énormément pour suivre une formation universitaire sans valeur - apprendre à s'offusquer - se faire passer pour des flocons de neige spéciaux à la recherche d'espaces sûrs. Après avoir été protégés et propagés pendant toute leur jeunesse, ils ne sont absolument pas préparés au monde réel des bas salaires, du travail médiocre et de la réflexion menée par eux-mêmes. Plusieurs générations ont connu ce processus ignoble, mis en œuvre par ceux qui sont au pouvoir.
Ils entrent dans l’âge adulte comme le souhaitent leurs gardiens - asservis à la dette, qui dépendent des médias pour leur dire comment penser - et de l’État pour leur santé et leur bien-être. Ils ne savent pas comment penser de manière critique car leurs jouets technologiques et l’absorption sans fin de la trivialité sur les plateformes de médias sociaux les rendent plus stupides à la minute près. Frank Zappa a compris le danger des médias de masse il y a 45 ans avec sa chanson «I am the Slime».
Il s'est rendu compte que le gouvernement et les méga-entreprises utilisaient la télévision comme outil de propagande, façonnant l'esprit de nos jeunes et les manipulant pour qu'ils soient conformes aux idées, aux opinions, aux habitudes et aux goûts de ceux qui tirent les ficelles de la société. Zappa n'avait aucune idée du contrôle encore plus grand que les sociétés fascistes pourraient prendre une fois Internet et les médias sociaux proliférés dans le monde entier. Combinant le pouvoir de l'État sous surveillance avec les méthodes sournoises sournoises de Google, Facebook et Twitter a créé un camp de concentration sociale avec des gardes armés du gouvernement et des corporations de guerriers de justice sociale fournissant la propagande.
«Je suis vil et pervers.
RépondreSupprimerJe suis obsédé et dérangé.
J'existe depuis des années mais très peu a changé.
Je suis aussi l’outil du gouvernement et de l’industrie.
Car je suis destiné à vous diriger et à vous réguler.
Vous pensez peut-être que je suis pernicieux, mais vous ne pouvez pas détourner le regard.
Je vais vous faire penser que je suis délicieux avec ce que je dis.
Je suis le meilleur que tu puisses avoir… tu m'as déjà deviné ?
Je suis la boue qui coule de votre téléviseur… »? Frank Zappa
L'impact néfaste des médias sociaux a été documenté dans une étude récente menée dans une université de la Ivy League. Ceux qui ont réduit leur utilisation des médias sociaux ont constaté une diminution significative de la dépression et de la solitude. Les données ont prouvé que passer des heures par jour sur Facebook, Instagram, Twitter et d'autres médias sociaux est préjudiciable à la santé mentale des étudiants.
Les médias sociaux ne sont rien d’autre que des signaux de vertu et de pacification de la part de ceux qui essaient de se faire valoir. Le narcissisme incessant diffusé par les "belles" personnes amène les autres à comparer leur vie à ces élitistes égocentriques peu profonds. Quand des gens normaux passent leurs journées à comparer leur vie ordinaire à la fausse vie géniale des égyptiens qui se pavanent, ils deviennent déprimés et insatisfaits de leur propre vie.
Jusqu'à ce que les gens déposent leurs gadgets, vivent dans le monde réel avec des personnes réelles et cessent d'idolâtrer de fausses icônes superficielles, ils deviendront encore plus instables mentalement. Cela semble peu probable, car les jeunes enfants se voient offrir des gadgets technologiques alors qu'ils sont encore dans leurs lits de créateur. Les masses n'abandonneront jamais volontairement leurs dispositifs provoquant une dépendance et ne traiteront pas les vrais problèmes de manière réelle.
Jusqu'à ce que cette société selfie subisse un retour radical à la réalité, probablement provoquée par une implosion de la dette et un conflit civil ou mondial, les gens continueront à errer aveuglément sur la terre en regardant leurs téléphones intelligents, s'ennuyant à la minute près. Cette folie cessera quand la survie quotidienne deviendra plus importante que le dernier tweet de Kanye et Trump. Tant que les gens ne se soucieront pas davantage de l'endroit où ils vont se procurer leur prochain repas que du nombre de goûts qu'ils obtiennent en publiant une photo de leur dernier repas au restaurant à la mode, la folie continuera.
Si vous pensez que le grand public et nos jeunes agissent follement, les prétendus brillants penseurs financiers instruits à la Ivy League disent: «retenez ma bière». Les guignols académiques de Wall Street, intellectuels et idiots, ont fait ce qu’ils savent faire de mieux: souffler des bulles et créer de la folie sur les marchés. La création de leur dette (ou impression de l'argent) depuis la crise qu'ils ont créée en 2008, en raison de leur politique de régulation monétaire simple / absence de réglementation, a créé la plus grande bulle de dette de l'histoire du monde.
Lorsque vous créez la plus grande bulle de l’histoire, vous aurez au final la plus grande faillite de l’histoire. Ils ont créé la bulle Dot.com et la bulle immobilière en huit ans. Ils ont triplé et créé des bulles d'actions, d'obligations et de biens immobiliers (aka Everything Bubble). Je suis stupéfait de voir le monde financier dégénéré devenir fou, en pensant qu’ils ont gagné des milliards de dollars en se basant sur leurs prouesses en matière d’investissements, alors que cela leur a clairement été transmis par des banquiers centraux corrompus et des apparatchiks du gouvernement.
Comme Charles MacKay l'a constaté tout au long de son histoire, les hommes deviennent fous en troupeaux et ne retrouvent leur santé mentale que sur la base de leur capacité à saisir la réalité quand ils se lavent la tête avec une batte de baseball. L'insouciance des personnes très instruites repose sur une fausse croyance selon laquelle ils sont plus intelligents que les marchés et ont structuré le système de manière à ne jamais perdre.
RépondreSupprimerL'arrogance et l'orgueil de ces maitres délirants de l'univers au cours de leur folle quête de la richesse mènent toujours à leur chute. Ce sont des temps vraiment fous où des millions de personnes peuvent s’arrêter sur des théories du complot ridiculement ridicules selon lesquelles les Russes organisent une élection présidentielle sur le candidat de leur choix. Tant de gens sont si facilement convaincus des idées les plus ridicules (le socialisme fonctionne), que la folie est devenue le sport national. Ce niveau d'idiocratie se terminera sûrement mal pour cette nation.
«En lisant L'Histoire des nations, nous constatons que, comme les individus, ils ont leurs caprices et leurs particularités, leurs saisons d'excitation et d'imprudence, quand ils ne se soucient pas de ce qu'ils font. Nous constatons que des communautés entières fixent soudainement leur esprit sur un seul objet et deviennent fous à la poursuite de celui-ci; que des millions de personnes soient simultanément impressionnées par une illusion et courent après, jusqu'à ce que leur attention soit attirée par une nouvelle folie plus captivante que la première.” Charles MacKay, Les délires populaires extraordinaires et la folie des foules
En tant que sceptique née, je me sens mal à l'aise de vivre sur cette terre d'illusions, d'illusions et de confusions. Je ne fais pas ma place. Je ne veux pas faire ma place. Est-ce que cela me rend anormal ou normal? Je ne veux pas faire partie d'une équipe. Je n'encouragerai pas aveuglément les démocrates ou les républicains. Je n'aime pas beaucoup la vision du monde et les idées d'Obama, de McCain, de Romney et de Clinton. J'ai trouvé Trump divertissant à l'infini et je suis d'accord avec son recul sur la presse, le GOPe et les lunatiques de frontière ouverte de gauche. Les seuls hommes politiques pour lesquels j'ai eu un réel respect viennent de la famille Paul.
Je suis tout pour des impôts moins élevés, mais les réductions d’impôt de Trump pour les méga-entreprises et les riches ont peu contribué au sort de l’Américain moyen, tout en permettant aux entreprises de racheter des milliards de leurs actions aux plus hauts du marché pour maintenir la bulle du marché en hausse. Réduire les impôts tout en augmentant considérablement les dépenses du gouvernement en neuf ans de reprise économique est une pure folie. Trump a créé un sursis d'un an sur la récession avec cette injection d'adrénaline financée par dette, ce qui donne à cette économie de Potemkine une vigueur, alors même qu'elle est sur le point de s'effondrer.
Conduire des déficits au-delà du billion de dollars à ce stade du cycle économique est une recette pour le désastre, mais parler à la télé à l'écran se comporte comme si c'était tout à fait normal. Il est insensé de maintenir les taux d’intérêt réels au-dessous de zéro neuf ans après une reprise économique supposée, mais les banquiers centraux intellectuels et idiots et leurs détenteurs de cartels bancaires criminels, qui bénéficient de cette politique insidieuse, agissent comme si c’était normal. Ce n'est pas normal. C’est à peu près aussi anormal que possible.
Cette folie et cette anomalie sont claires pour moi. Je ne peux pas comprendre pourquoi ce n’est pas clair pour les autres. Suis-je fou ? Suis-je celui qui est anormal ? Comment autant de millions de personnes peuvent-elles oublier les faits et la réalité de notre situation ? Ils semblent juste somnambuler dans la vie en croyant ce qu'on leur dit, en pensant comme leurs gardiens veulent le faire, en faisant ce qu'on leur dit de faire, en ne questionnant pas les figures d'autorité et en comblant leur appétit infini de distractions avec leurs gadgets technologiques. Comme Huxley l'avait prédit à la fin des années 50, le fait que les gens se soient adaptés à cette société profondément anormale constitue une mesure de leur maladie mentale. Être normal aujourd'hui est considéré comme anormal.
RépondreSupprimer«Les vraies victimes sans espoir de la maladie mentale se trouvent parmi celles qui semblent les plus normales. "Beaucoup d'entre eux sont normaux parce qu'ils sont si bien adaptés à notre mode de vie, parce que leur voix humaine a été réduite au silence si tôt dans leur vie, qu'ils ne se débattent même pas, ne souffrent pas et ne développent pas de symptômes comme le fait le névrosé." normal pas dans ce que l'on peut appeler le sens absolu du mot; ils ne sont normaux que par rapport à une société profondément anormale. Leur adaptation parfaite à cette société anormale est une mesure de leur maladie mentale. Ces millions de personnes anormalement normales, vivant sans tracas dans une société à laquelle, s’ils étaient pleinement humains, ils ne devraient pas s’adapter. »? Aldous Huxley, le meilleur des mondes revisité
Je refuse d'accepter l'idéologie perpétuée par Deep State et ses collaborateurs dans les médias, le secteur financier, les universités et les salles de conseil d'administration. Je préférerais m'éloigner de la population en général plutôt que de sacrifier mon intégrité en adaptant ma pensée à une pathologie du mensonge, des délires et du déni. Je me sens déjà comme un paria en famille et entre amis. Rencontrer de vieux amis pour un verre et voir comment les médias et la classe politique leur ont lavé le cerveau est déprimant.
Parfois, j’ai douté de ma propre santé en regardant la bourse monter en flèche, année après année, au niveau le plus surévalué de l’histoire. N’aurais-je pas dû suivre la foule et ignorer les faits et la réalité? Groupthink a enrichi des millions de lemmings. Mais, je suis un bâtard têtu et je n’irai jamais avec la foule. Je crois que mes faits sont exacts et je compte voir des millions de lemmings se faire massacrer au cours de la prochaine année environ. C’est déjà commencé, mais ils ont trop subi un lavage de cerveau et seront paralysés par la disparition de leur fausse richesse.
Je sens que j'ai souffert psychologiquement et émotionnellement d'être un homme sensé dans un monde fou. J'ai été aliéné et évité, mais j'ai conservé ma dignité et mon respect de moi-même. J'ai ma famille et je conserve ma capacité à penser de manière critique, à tout remettre en question et à refuser de suivre la foule. C’est une position parfois solitaire, mais j’ai pris cette décision les yeux grands ouverts et la volonté d’en accepter les conséquences.
Je ne m'adapterai pas à une société malade où les vices sont considérés comme des vertus, les mensonges comme la vérité, le sentiment l'emporte sur la pensée, la fiction passe pour un fait, les ennemis sont créés pour instiller la peur et la folie est considérée comme saine. C’est un monde fou, mais j’ai choisi de ne pas être submergé par la folie. Quel est ton choix ?
«Le fait que des millions de personnes partagent les mêmes vices ne confère pas à ces vices de vertus, le fait qu’elles partagent tant d’erreurs ne les rend pas vraies, et le fait que des millions de personnes partagent la même forme de pathologie mentale ne pas rendre ces gens sains d'esprit. ”? Erich Fromm, The Sane Society
https://www.zerohedge.com/news/2018-11-24/its-mad-mad-world
Le «soleil artificiel» de la Chine tuera-t-il le pétrole et le charbon ?
RépondreSupprimer07:41 25.11.2018
La Chine aurait créé un «soleil artificiel» plusieurs fois plus chaud que notre étoile. Dans le Tokamak supraconducteur expérimental de pointe (EAST) installé dans la ville de Hefei, des scientifiques ont chauffé du plasma à 100 millions de degrés Celsius. Sputnik s’est entretenu avec Song Yuntao, vice-directeur d’EAST.
Les scientifiques réfléchissent depuis plus d'un demi-siècle au moyen d'obtenir de l'énergie en utilisant la fusion thermonucléaire, a rappelé à Sputnik Song Yuntao, vice-directeur d'EAST, commentant l'expérience réussie des chercheurs chinois qui marque une étape importante dans la création d'un réacteur expérimental thermonucléaire international (ITER).
«C'est potentiellement une révolution technologique parce qu'il s'agit d'obtenir de l'énergie d'une réaction thermonucléaire qui est beaucoup plus sûre que l'énergie nucléaire traditionnelle, qui utilise des éléments radioactifs. Jusqu'à présent, la technologie n'en était toutefois qu'au stade plutôt initial», a —t-il expliqué.
Selon lui, aucun pays n'a encore mis au point de procédé thermonucléaire contrôlé pour produire de l'énergie à l'échelle industrielle, le principal défi consistant à isoler le plasma chauffé à des millions de degrés des parois du réacteur.
«Il ne fait aucun doute que la production d'électricité par la fusion thermonucléaire contrôlée est un objectif réalisable. Mais la réalisation de cet objectif dépend en grande partie du soutien du public et des besoins de la société», a indiqué le scientifique.
Et de rassurer que les sources d'énergie conventionnelles — le pétrole et le charbon — resteraient nécessaires encore longtemps.
«Ce n'est qu'après l'utilisation généralisée de la technologie de la fusion thermonucléaire contrôlée que la demande pour des sources d'énergie classiques chutera de manière significative. Mais c'est un long processus. Il ne sera pas possible de remplacer complètement les produits énergétiques traditionnels dans un proche avenir, bien que ce soit l'objectif que nous nous sommes assigné», a résumé le Chinois.
Le tokamak est une machine expérimentale conçue pour démontrer la faisabilité scientifique et technique de l'énergie de fusion. La Chine a récemment annoncé qu'avec son Experimental Advanced Superconducting Tokamak (EAST), elle avait atteint une température de 100 millions de degrés avec un temps de stabilité pour le plasma confiné de l'ordre de 100 secondes.
Les scientifiques signalent que les défis pour l'énergie au XXIe siècle sont si monstrueux par rapport à la contrainte du réchauffement climatique que l'humanité ne peut pas se permettre de ne pas se lancer dans la course à la production industrielle d'électricité avec des réacteurs à fusion contrôlée.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201811241039040611-chine-energie-fusion-petrole-charbon-east-iter-tokamak/
Comment un euro fragile peut ne pas survivre à la prochaine crise
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dimanche, 25.11.2018 - 07:00
Écrit par Brendan Brown via le Mises Institute,
Une forte hausse de l'inflation monétaire américaine a donné naissance à l'euro. Voici une prédiction: il mourra en réponse à un type différent de détonation monétaire américaine: l’émergence soudaine d’un «interlude déflationniste». Et cela pourrait arriver plus tôt que prévu.
L’explication de ce casse-tête semblable à un sphynx commence avec l’abandon par Paul Volcker de la voie de l’argent sain en 1985/6. Le moment décisif est venu lorsque le chef de la Fed de l’époque s'est associé au nouveau secrétaire au Trésor du président Reagan, James Baker, dans le cadre d’une campagne visant à dévaluer le dollar. Le soi-disant «Accord Plaza» de 1985 a lancé l'offensive.
Volcker, le guerrier jadis notoire en matière de dévaluation de l’administration de Nixon (son sous-secrétaire au Trésor), n’a jamais changé de poste, considérant les importants déficits commerciaux des États-Unis comme dangereux. Le diagnostic alternatif - au début du milieu des années 80, constituait une contrepartie transitoire du dynamisme économique américain et de la reprise de la demande mondiale pour un dollar désormais apparemment dur - n'a tout simplement pas été enregistré par ce haut responsable.
D'où l'occasion de restaurer de l'argent solide. Mais cela vient très rarement dans l'histoire - seulement en fait, où une inflation élevée a induit une révulsion politique générale (comme par exemple après la guerre civile) - où l'inflation a été supprimée. Dans le contexte européen, cela a signifié la fin de la brève ère hard-Deutsche Mark (DM) et la naissance de l’euro souple.
La remontée du DM en 1985-1977 par rapport aux autres monnaies européennes, provoquée par la relance de l'inflation américaine, a fait pencher la balance du pouvoir politique en Allemagne en faveur du projet d'Union monétaire européenne (UEM). Les grandes entreprises exportatrices, l’épine dorsale de la CDU, au pouvoir, dirigée par le chancelier Kohl, ont remporté la victoire. Le dur DM, une menace évidente pour leurs profits, a dû disparaître. Le régime monétariste en Allemagne a basculé vers un effondrement final.
Dans le monde entier, il y avait une accélération inévitable de l’inflation à la suite de l’accord Plaza et de la capitulation de Volcker, étant donné que de nombreux pays (notamment le Japon) cherchaient à limiter la chute du dollar contre leur propre pays en suivant l’avance monétaire américaine. L'inflation était évidente sur les marchés d'actifs et de bons marchés. Ce nouveau chaos monétaire est le prolongement de la prochaine expérience de stabilisation des deux côtés de l’Atlantique: la «norme de 2 % d’inflation».
Volcker dans la publicité de pré-lancement de son nouveau livre (Keeping At It: À la recherche d'argent solide et d'un bon gouvernement) critique maintenant la Réserve fédérale et les principales banques centrales étrangères pour avoir poursuivi l'objectif de 2 % d'inflation. Il faut se demander où il est depuis 20 ans. Il semble que, en tant que bureaucrate monétaire, il respecte la règle intemporelle de ne se blâmer en aucun cas pour l’émergence de troubles ultérieurs, en l’occurrence le régime profondément imparfait de 2 %.
Oui, le véritable génie pervers derrière la nouvelle norme a sans doute été Stanley Fischer, le chef intellectuel de l’assaut néo-keynésien, parfaitement au bon moment sur le plan politique, sur le monétarisme. Mais Volcker a fourni l'occasion.
RépondreSupprimerNaissance de la BCE
À la Banque centrale européenne (BCE), qui a ouvert ses portes à la fin de 1998, le professeur Otmar Issing, ancien responsable de la Bundesbank, a guidé l'Europe vers l'adoption de la nouvelle norme des 2 %. L'exceptionnalisme monétaire allemand a pris fin; ou certains diraient que l'Allemagne a abdiqué en tant que souverain de l'argent dur de l'Europe. Sous son régime monétaire, une grande partie de l'Europe occidentale avait bénéficié d'une indépendance monétaire considérable par rapport aux États-Unis, du moins au début du milieu des années 70, lorsque Arthur Burns s'était lancé dans une deuxième grande inflation monétaire.
En revanche, sous le régime des 2 %, la zone euro, y compris l'Allemagne, s'est alignée sur le cycle monétaire américain, partageant tous les hauts et les bas de l'inflation américaine. Et dans le contexte européen, l’inflation d’actifs a été synonyme d’investissements massifs considérables, dont le plus évident est l’affaiblissement de l’économie jadis dynamique de l’Italie et le gonflement du secteur des exportations de l’Europe du Nord (reflétant un euro sous-évalué).
Un test pour l'euro
Dans ces deux distorsions, nous trouvons la vulnérabilité existentielle de l'euro et le prochain choc monétaire américain constituera le test le plus sévère à ce jour. Le choc est le plus susceptible de prendre la forme d'une arrivée soudaine d'un «interlude déflationniste» dans le cadre d'une inflation monétaire longue et susceptible de s'intensifier à long terme.
Plus précisément, à mesure que l'inflation virulente des actifs alimentée par le cycle monétaire mondial actuel (comme toujours mené par la Réserve fédérale) entre dans la phase finale de liquidation (déflation d'actifs) et de récession, il y aura une période de contraction globale du crédit. Cela se reflétera très probablement dans les agrégats monétaires généraux. Les prix et les salaires pourraient subir une certaine pression à la baisse, bien que cela ne soit pas en soi une preuve de déflation monétaire.
Dans cette phase de déflation des actifs, accompagnée d'un ralentissement mondial ou d'une récession, l'Europe serait dans une situation particulièrement dangereuse. Les secteurs d’exportation très étendus du nord de l’Europe sont vulnérables, en particulier à la crise de crédit des marchés émergents en train de s’effondrer. Les banques et les souverains faibles à travers l'Europe tomberaient dans une zone d'insolvabilité. La faiblesse de l'euro et les mesures de renforcement de la part de marché des grands exportateurs d'Europe du Nord devraient attirer la colère de Trumpian.
Il y aurait une tolérance zéro à Washington pour le radicalisme monétaire persistant ou d'un nouveau style en Europe.
Si c’est ce que requiert la cohésion de l’euro, c’est-à-dire la faiblesse perpétuelle de cette monnaie, il ne faut pas le maintenir ensemble.
Une nouvelle plus petite zone euro ?
RépondreSupprimerLes grandes entreprises d’exportation allemandes seraient donc confrontées à une journée de réflexion. L'axe qui relie la Chancellerie de Berlin à la BCE (actuellement l'axe Merkel-Draghi) ne serait plus en mesure de les soutenir (via un euro bon marché). Dans ces circonstances changeantes, la chute de l’euro pourrait bien être la voie la plus prometteuse vers le succès futur. Oui, un DM réincarné ferait baisser les marges bénéficiaires des exportations; mais la menace de la guerre commerciale américano-allemande ou américano-européenne se dissiperait.
La CDU pourrait avoir une nouvelle marge de manœuvre pour s'orienter vers la droite et s'éloigner de l'euro-centrisme dominant de l'ère Merkel, permettant ainsi de reconquérir les électeurs des partis d'extrême droite tout en obtenant le soutien de la classe moyenne de la part d'épargnants longtemps mécontents du soft. euro et taux d’intérêt négatif euro. La crainte redoutée de l'Allemagne dans le chaos politique à la Weimar, comme si la CDU restait figée dans l'euro-centrisme (rejoignant éventuellement les Verts en coalition et renforçant ainsi le soutien des partis extrémistes) pourrait être interrompue.
Oui, l’Italie tomberait de la zone euro. Le potentiel de renaissance de l’argent sain en Europe, avec éventuellement la France, les Pays-Bas et l’Allemagne se réunissant dans une nouvelle union monétaire, serait réel. L’avenir monétaire de l’Europe ne serait plus lié à un fil américain. Cette fenêtre d'opportunité possible pourrait être courte, étant donné le danger potentiel d'une tempête de l'inflation américaine à venir, résultant de la faiblesse catastrophique des finances publiques.
https://www.zerohedge.com/news/2018-11-23/how-fragile-euro-may-not-survive-next-crisis
Peter Foster: Un autre rapport admet à contrecoeur que l’énergie «verte» est un flop désastreux
RépondreSupprimer24 novembre 2018
Du Financial Post
Ce rapport devrait être profondément gênant pour le gouvernement de Justin Trudeau
Peter Foster
22 novembre 2018 12h40 HNE
Parmi les centaines de graphiques, diagrammes et tableaux du dernier World Energy Outlook (WEO) publié la semaine dernière par l'Agence internationale de l'énergie, vous devez vous-même préparer une information fondamentale: le pourcentage de la demande mondiale totale en énergie primaire fourni par vent et solaire. La réponse est 1,1%. Les montagnes politiques ont travaillé et produit non seulement une souris, mais - comme le rapport le reconnaît à contrecoeur - une souris extrêmement perturbatrice.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) est devenue ces dernières années une organisation de plus en plus schizophrénique. À la fois source d’information sur l’énergie et objectif du programme de développement durable des Nations Unies axé sur le climat, il doit parler de la «transition vers un avenir sobre en carbone» tout en signalant que cela ne se produit pas. Mais ça va !
Ce rapport devrait être profondément embarrassant pour le gouvernement libéral de Justin Trudeau, qui a fait preuve de vertu comme un défilé qui ne mène nulle part, bien qu'il puisse certainement revendiquer un véritable leadership dans la voie la plus énergique de la transition: tuer le combustible fossile industrie par édit.
Le rapport WEO, encore une fois, prévoit que l'utilisation mondiale des combustibles fossiles - et les émissions associées - se poursuivra jusqu'en 2040, le pétrole, le gaz et le charbon continuant de dominer le tableau de l'énergie. Mais il a également du mal à mettre le vent et le solaire au premier plan. Solar a connu une année «record» en 2017. L'activité solaire en Chine est «en plein essor». Les nouveaux ajouts éoliens et solaires «ont dépassé ceux des combustibles fossiles en 2017, tirés par le soutien des politiques et la baisse des coûts.
«Soutien aux politiques» signifie des subventions d’une valeur de plusieurs centaines de millions de dollars. Pour ce qui est de la baisse des coûts, l’énergie solaire est au moins deux fois plus chère en tant que générateur que le charbon et presque deux fois plus chère que le gaz.
Enfin, et surtout, le rapport confirme ce qui aurait dû être évident dès le début: plus les systèmes éoliens et solaires sont «variables» dans tout système électrique, plus ils le rendent à la fois plus coûteux et moins fiable.
Le terme énergie renouvelable variable, ERV, pourrait plus précisément être décrit comme Énergie renouvelable non fiable, URE, en raison du fait terriblement évident que le soleil ne brille pas la nuit, et parfois pas le jour non plus, alors que le vent ne toujours souffler. Ainsi, plus les systèmes éolien et solaire font partie de votre système, plus ils exigent des contorsions techniques de la part de l’alimentation de secours et de la structure du réseau. La partie efficace du système doit se transformer en un bretzel technique pour compenser la partie inefficace. Accommoder le manque de fiabilité a conduit à la perversité pure et simple. L’adoption généralisée de l’énergie éolienne et solaire dans Energiewende («transition énergétique») en Allemagne a entraîné une augmentation des émissions globales, principalement des installations de secours alimentées au charbon. Pendant ce temps, le Godot vert sert à stocker la batterie, qui est toujours sur le point de se présenter, mais ne le fait jamais complètement. Pourtant, l’AIE a un scénario pour cela: «Que se passera-t-il si le stockage de la batterie devient vraiment bon marché ?
L’approvisionnement n’est pas le seul domaine où des éoliennes et des énergies solaires coûteuses et peu fiables doivent être hébergées. Il existe également une «flexibilité de la demande». Cela implique d’installer des panneaux solaires sur votre toit ou d’adopter ou d’être contraint d’adopter des «compteurs intelligents» permettant de surveiller la consommation d’électricité d’un ménage de manière minutieuse. Selon le rapport, «la propagation de l'énergie solaire photovoltaïque sur les toits et la chute des coûts des technologies numériques, associées à des options abordables d'énergie éolienne et solaire, créent une foule de nouvelles opportunités permettant aux consommateurs de jouer un rôle plus actif dans leurs propres besoins en énergie. "
RépondreSupprimerMais l'éolien et le solaire ne sont pas "abordables" et peu de gens veulent jouer "un rôle plus actif" dans la satisfaction de leurs besoins en énergie (c'est-à-dire, à moins d'être fortement "soutenus par la politique" pour coller des panneaux solaires sur leurs toits). Ils veulent juste actionner un commutateur.
En ce qui concerne les compteurs intelligents, l'AIE note que de nombreux pays "ont réussi à déployer des compteurs intelligents à grande échelle, tels que le Canada, le Danemark, la Finlande, l'Italie, la Norvège, l'Espagne et la Suède". Un tel succès serait-il comparable au programme de compteurs intelligents en La vérificatrice provinciale Bonnie Lysyk a accusé l’Ontario de coûter un milliard de dollars de plus et de ne pas travailler comme prévu, alors que plusieurs milliers de mètres constituaient un risque d’incendie ?
Bien qu'il ne mentionne rien des absurdités attachées à la Loi sur l'énergie verte de l'Ontario, le rapport WEO confirme que le Canada dispose du programme de tarification des émissions le plus strict au monde, au moins jusqu'en 2025, à 35 dollars la tonne (en dollars américains 2017), ce qui cimente son désavantage concurrentiel. D'autres pays, tels que l'Union européenne et la Corée, sont prêts à prendre des engagements légèrement plus dommageables jusqu'en 2040 (43 et 44 dollars américains respectivement), mais ces niveaux sont loin d'être à la hauteur de ce qui aurait été requis par le scénario imaginaire «Développement durable». , ”Qui, pour les pays développés, s’élève à 63 USD en 2025 et à 140 USD en 2040. En fait, ces chiffres, comme la plupart des projections de l’AIE, ne valent pas la figue solaire.
Le scénario de développement durable résout non seulement la question du climat, mais tient également compte de l'accès universel à l'énergie moderne et à la pollution atmosphérique. Encore plus étonnant, il réalise tout cela en imposant des pans d’énergie coûteuse et peu fiable, mais sans le moindre impact sur la croissance économique. Comment? En supposant simplement que.
La solution à Mayhem politique du rapport est inévitablement à demander plus - et plus complexe - politique. “Une approche intégrée peut-elle stimuler une action plus rapide?” Demande-t-il. Étant donné que les gouvernements ont foiré si mal, pourraient-ils bousiller moins si elles essaient de faire beaucoup plus ?
At least they are assured of firm support from the IEA.
HT/Cam_S, Willis, Willie Soon, Marcus
https://wattsupwiththat.com/2018/11/24/peter-foster-another-report-reluctantly-admits-that-green-energy-is-a-disastrous-flop/
SupprimerS'il devait y avoir une baisse du volume mondial de gaz carbonique cela signifierait une baisse constante de la progression des arbres et de l'épanouissement des fruits & légumes et, surtout, une baisse donc du volume d'oxygène disponible !! Car, c'est la végétation qui transforme le gaz carbonique en oxygène et, moins il y a du gaz carbonique moins il y aura donc de cultures qui ont besoin de ce gaz indispensable.
Le gaz carbonique est introduit en serre afin de favoriser la pousse des plantes. Les dictateurs font tout pour diriger le monde vers la famine
Nous pouvons éliminer les combustibles fossiles, pas de problème !
RépondreSupprimerle 24 novembre 2018
Par Andy May
Le président français Macron a mis en place une nouvelle taxe sur les carburants afin de dissuader les conducteurs de brûler des carburants fossiles dans leurs voitures. La hausse des prix du carburant qui en a résulté a provoqué plus de 250 000 manifestants et émeutes. Les sondages indiquent que 62 % de la population pense qu'il est erroné de donner la priorité au changement climatique provoqué par l'homme plutôt qu'au prix du carburant. Les émeutes ont fait deux morts et plus de 600 blessés. Près de 100 policiers ont été blessés.
La popularité de Macron est tombée à 21 %, mettant en garde les autres dirigeants qui tentent de lutter contre le changement climatique en augmentant les taxes sur les carburants fossiles. Bien que Macron soit impopulaire pour de nombreuses raisons, l’augmentation des taxes sur l’essence a été l’étincelle qui a enflammé les manifestations et les émeutes.
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Figure 1. La police anti-émeute face aux manifestants de la «veste jaune» devant une barricade en flammes à Paris le 24 novembre 2018. Source: News.com.au.
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Figure 2. Police anti-émeute et manifestant en veste jaune sur les Champs-Élysées à Paris. Source: News.com.au.
Morale de l'histoire ? Déchaînez tout ce que vous voulez sur un possible changement climatique provoqué par l’homme, mais n’osez pas toucher à mes combustibles fossiles ! Le dernier mot dit que Macron va faciliter sa «transition énergétique». Code pour céder, sans doute.
[Un] Scientific American affirme qu'il est facile d'éliminer les combustibles fossiles, citant un article de Mark Jacobson et Mark Delucci, et créera plus d'emplois qu'il ne serait perdu. Ils affirment également qu'un plan visant à éliminer les combustibles fossiles à New York permettrait d'économiser 33 milliards de dollars. Si vous croyez cela, j'ai un pont à Brooklyn que je peux vous vendre à moitié prix.
Le remplacement des combustibles fossiles par des énergies renouvelables est un problème incroyablement complexe. J'ai essayé d'expliquer certaines des difficultés ici. J'ai également discuté des coûts de l'énergie renouvelable ici. Une discussion plus technique et complète sur le remplacement des combustibles fossiles par des énergies renouvelables au Texas, par Peter Davies, peut être vue en deux parties sur le site Web de Judith Curry, ici et ici.
Davies a découvert que la conversion de l’État du Texas des énergies fossiles en énergies renouvelables à 100 % devrait être techniquement réalisable, mais très onéreuse. Il a utilisé le Texas pour mener son étude car l'État dispose de très bonnes données sur la consommation d'énergie ainsi que sur le vent et l'ensoleillement abondants. De plus, le réseau texan est en grande partie isolé du reste du pays, ce qui facilite son analyse. En gros, comme l'écrit Davies: "Si un réseau 100 % renouvelable ne fonctionne pas pour le Texas, il ne fonctionnera pas ailleurs."
Au Texas, les facteurs de capacité photovoltaïque solaire (PV) sont en moyenne d’environ 32%, ce qui est bien supérieur à la moyenne américaine (probablement autour de 20 %). Le facteur moyen de capacité éolienne au Texas est également d’environ 32 % et dans certaines régions, il atteint presque 50 %. Davies conclut qu'un mélange de PV solaire et de vent, ainsi que d'un stockage suffisant pour les nuits sans vent, peut fournir au Texas une alimentation adéquate. Il y a également suffisamment de terrains disponibles pour les installations, qui couvriront 11 600 kilomètres carrés.
RépondreSupprimerD'un point de vue technique, le Texas pourrait être entièrement alimenté par l'énergie solaire et éolienne, avec des batteries de secours et par le stockage de gaz renouvelable (méthane et hydrogène). Qu'en est-il du coût? Davies estime le coût de l’électricité de gros en 2030 entre 6,1 et 9,2 cents le kWh (kilowattheure). Cependant, il s'agit clairement d'une estimation très basse car il n'inclut pas tous les coûts en capital. Il assume zéro les coûts d'infrastructure, tels que les routes, les permis et les coûts de réglementation. Il inclut le coût de l'équipement mais ignore le transport et l'installation. De plus, son coût en méthane renouvelable semble excessivement bas. Enfin, il ignore le coût du terrain requis et ne traite pas de la transition de l’essence et du diesel aux véhicules électriques.
Le prix de gros actuel de l’électricité au Texas est d’environ 2,5 cents le kilowatt-heure. Au plus fort du récent boom des combustibles fossiles, entre 2005 et 2008, il se situait entre 5,5 et 7,5 cents en raison du coût élevé des combustibles fossiles à l'époque. De 2002 à nos jours, il s’est établi en moyenne à environ 4,3 cents. Ainsi, le passage du Texas à l’énergie renouvelable à 100 % est 40 à 210 % plus élevé que ce que nous sommes habitués à payer. C'est beaucoup moins que le différentiel observé en Allemagne avec leur programme energiewende. Dans la figure 3, nous pouvons voir le supplément (en cents par kWh) que les consommateurs allemands doivent payer pour soutenir le programme.
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Figure 3. Surtaxe sur les prix de l’électricité (en cents américains par kWh) pour financer le programme energiewende en Allemagne. Source: (Andor, Frondel et Vance 2017).
Même avec les énormes surtaxes renouvelables imposées aux consommateurs allemands d'énergie, ils ne représentent encore que 36% de l'énergie renouvelable en 2017. Le Texas dispose de beaucoup plus de vent et de soleil que l'Allemagne (l'intensité du soleil de l'Allemagne est comparable à celle de l'Alaska). L'Allemagne devrait être plus élevée, mais malgré tout, les chiffres de Davies pour la transition du Texas vers les énergies renouvelables à 100% semblent trop bas. Mais, même en acceptant les chiffres de Davies, une augmentation des coûts de l’électricité de 40 à 200% au Texas pourrait encore provoquer des manifestations et des émeutes. La transition est techniquement possible, mais économiquement invraisemblable. Les dirigeants politiques du Texas et des États-Unis devraient accorder une attention particulière à ce qui se passe en France aujourd'hui.
Comme le soulignent (Andor, Frondel et Vance 2017), si vous continuez à augmenter le prix de l'énergie «propre», vous finirez par atteindre un point où le public ne veut pas payer. Ceci est apparemment arrivé en France.
RépondreSupprimerReferences
Andor, Mark, Manuel Frondel, and Colin Vance. 2017. “Germany’s Energiewende: A Tale of Increasing Costs and Decreasing Willingness-to-Pay.” 30. https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=2928760.
https://wattsupwiththat.com/2018/11/24/we-can-eliminate-fossil-fuels-no-problem/
Supprimer(...) "Si un réseau 100 % renouvelable ne fonctionne pas pour le Texas, il ne fonctionnera pas ailleurs." (...)
Nota que le Texas à la 'même' superficie que la France.
L'escroquerie sur les coûts véritables vient que les éoliennes et panneaux solaires sont SUBVENTIONNES ! C'est-à-dire que la citoyen qui reçoit la facture doublée l'a déjà payé 2, 3 ou 4 fois précédemment !!! Car AUCUNE 'énergie gratuite' n'est gratuite et ne le sera JAMAIS !
Les scientifiques ont prouvé que ces moyens mis en œuvre ne pourront JAMAIS être rentable.
Le point sur le cycle solaire de novembre 2018 - la chaleur persiste-t-elle ou refroidit-elle ?
RépondreSupprimer24 novembre 2018
David Archibald
En lisant les données solaires, ce que nous recherchons à court terme est le mois probable du minimum du cycle solaire 24/25 et l’amplitude probable du cycle solaire 25. Bien entendu, la quête de la vérité devient plus facile à l’approche du minimum, au moins apparemment. Le cycle solaire 24 semble être inhabituel car il est court tout en étant faible et le cycle solaire 25 ressemble à une répétition du cycle solaire 24 en termes d'amplitude.
Le concept du Super Grand Solaire Profond Minimum est de nouveau à la mode pour le moment. Il n'y a aucun signe de cela dans les données. Cela dit, l’activité du cycle solaire 24 a été rétablie et si la connexion de l’activité solaire à la température atmosphérique est réelle, la température de la planète va chauffer pendant quelques années supplémentaires à la suite de cela.
La période chaude moderne est maintenant dans le rétroviseur et nous sommes revenus au niveau d'activité du 19ème siècle. La chaleur et la douceur sont ennuyeuses; le climat va devenir beaucoup plus intéressant. Ainsi, le froid record actuellement dans le nord-est des États-Unis pourrait devenir plus courant.
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Figure 1: Surface des taches solaires hémisphériques et flux F10.7 de 1985 à 2018
La superficie des taches solaires correspond au flux F10.7. Les hémisphères solaires ont des tendances d'activité différentes qui peuvent durer des décennies. La cause en est une inconnue de la science solaire.
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Figure 2: Angle d'inclinaison de la feuille de courant héliosphérique 1976 - 2018
Le cycle solaire n’est pas terminé tant que la couche de courant héliosphérique n’est pas aplatie. La figure 2 montre que l'activité a émergé de la forme en coin qui était celle de septembre 2019 en tant que mois d'aplatissement. Si ce cycle se termine comme le cycle solaire 23, cela signifie que le déclin s'accentuera pour atteindre le même point. Le mois d'aplatissement, et donc le véritable changement d'un cycle à l'autre, ne coïncide pas nécessairement avec le mois de minimum dérivé du flux F10.7:
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Figure 3: Angle d'inclinaison de la feuille de courant héliosphérique aligné sur le mois de minimum
Le cycle solaire 23 était un cas particulier en termes de longueur dans le registre des instruments modernes. Le cycle solaire 24 suit les cycles solaires 21 et 22 et semble durer 10 ans.
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Figure 4: Nombre de flux F10.7 et nombre de neutrons d'Oulu 1964 - 2018
La figure 4 montre l'un des signes indiquant que la période chaude moderne a pris fin en 2006. Le comptage de neutrons à Oulu se démarque du flux F10.7 qu'il suivait de près. Quelque chose a changé au soleil.
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Figure 5: Pression de débit du vent solaire, 1967 - 2018
Comme le montre la figure 4 dans le flux F10.7, l'activité solaire a été renvoyée au cycle solaire 24 avec une activité beaucoup plus élevée après le pic du cycle solaire. Cet effet est plus prononcé dans la pression du vent solaire qui est encore plus forte, si tard dans le cycle, qu’avant le pic du cycle solaire en 2014. Il convient de noter l’activité du vent solaire faible et chaotique au début des années 1970 de l'enregistrement d'instrument. Une rupture de tendance en 2006 est évidente à la fin de la période chaude et moderne.
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Figure 6: Indice de flux et de F10.7 1964 - 2018
L'activité géomagnétique a été rétablie dans le cycle solaire 24. La rupture en 2006 est assez évidente.
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Figure 7: Flux F10.7 des cycles solaires 19 à 24 alignés sur le mois du minimum
Il semble que le cycle solaire 24 n’atteindra pas la durée moyenne du cycle des 300 dernières années, soit 11,1 années.
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Figure 8: Champ magnétique interplanétaire de 1966 à 2018
Le champ magnétique interplanétaire (FMI) était plat au cours de la période de refroidissement des années 70 mais restait supérieur au niveau moyen du cycle solaire 24. Le FMI est en déclin depuis trois décennies - le déclin du secteur des taches solaires est présenté par hémisphère dans la Figure 10 suivants. Tout comme l’activité dans la zone des taches solaires hémisphériques de la figure 10 a une limite supérieure, le FMI au cours des trois derniers cycles a une limite inférieure apparente indiquée par la ligne rouge. Pour arriver à cette ligne par le minimum solaire en 2019, il faudra un déclin rapide de l'activité d'ici.
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Figure 9: Surface des taches solaires par hémisphère 1874 - 2018
Parce que la représentation normale de l'activité solaire par nombre de taches solaires ou flux F10.7 additionne les hémisphères nord et sud, cela dissimule le fait que les hémisphères ont des pilotes différents ou réagissent différemment au même pilote. Comme le montre la figure 9, une fois que l’activité de l’hémisphère est désagrégée, la planéité de l’activité au cours des dernières décennies du petit âge glaciaire est évidente et le passage à un niveau d’activité supérieur à partir de 1933.
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Figure 10: Zone de taches solaires 1985 - 2018
Pour une vieille boule de plasma bâclée, le Soleil fait preuve de beaucoup de discipline. L'activité des deux hémisphères a rebondi au-dessus de leurs lignes bleues respectives au-dessus, ce qui implique un forçage multidécadique.
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Figure 11: Zone de taches solaires de 1874 à 1924
De manière similaire à la figure 10, il y a eu une période de quatre décennies à partir de la fin du 19ème siècle au cours de laquelle la zone de taches solaires de l'hémisphère solaire nord a été conduite par un forçage multidécadique cohérent.
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Figure 12: Champ polaire solaire aligné au minimum pour les cycles solaires 22 - 25
L'amplitude de l'intensité du champ polaire solaire au minimum solaire est prédictive de l'amplitude du prochain cycle solaire. Après des débuts faibles, cette activité a suivi celle de la période qui a précédé le cycle solaire 24 et il semble que l’amplitude de 25 sera sensiblement la même. Tout comme la somme des activités des hémisphères solaires est un compromis trompeur, le mois de minimum de champ polaire peut fortement s'écarter du mois officiel de maximum du cycle solaire, comme le montre le tableau suivant:
RépondreSupprimerIl est justifié de faire en sorte que le mois de la feuille de courant héliosphérique aplati, le mois du cycle solaire minimum et le mois du champ polaire minimum comme cycle solaire maximal.
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Figure 13: Données GISP2 Be10 40 000 BC à 0 AD
Il y a des années, dans des commentaires sur le WUWT, quelqu'un a fait observer que le climat, au sens pluridimensionnel, est contrôlé par le champ magnétique du Soleil. Le meilleur disque à long terme est le disque de béryllium 10 (Be10) de la calotte glaciaire antarctique. La figure 13 montre que l’enregistrement Be10 présente des tendances qui durent des dizaines de milliers d’années. Les pointes froides des Dryas plus âgés et des Dryas plus jeunes sont associées à des pointes dans Be10, ce qui indique qu'un champ magnétique solaire plus faible a permis aux rayons cosmiques galactiques d'inonder les planètes internes du système solaire, d'entrer en collision avec des atomes d'azote dans la haute atmosphère et de produire le pointes dans le disque.
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Figure 14: Colorant 3 Be10 enregistrer 1424 à 1985
Si le champ magnétique solaire provoque des changements climatiques, la chaleur des dernières quatre-vingts années de la période moderne de réchauffement devrait être associée à une dépression en Be10 relative par rapport aux siècles du petit âge glaciaire. La figure 14 montre que cela est évident dans l'enregistrement Be10. Les pointes des Sporer, Maunder et Daltona minima sont évidentes, en particulier la décennie extrêmement froide des années 1690. Il en va de même pour la rupture d'activité entre le petit âge glaciaire et la période chaude de 1933.
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Figure 15: Index aa 1868 - 2018
Notre plus long enregistrement géomagnétique, mesuré par les instruments, est l'indice aa. Cela montre également les pauses claires au début et à la fin de la période chaude moderne. Le récent sommet a été de 26,9 en septembre 2015. L'activité du cycle solaire 24 a été réapprovisionnée au cours de la seconde moitié du cycle.
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Figure 16: Indice aa cumulatif par rapport à la moyenne à long terme 1868 - 2018
Les changements du niveau d'activité associés au début et à la fin de la période chaude moderne sont confirmés en comparant l'indice aa cumulatif à la moyenne à long terme de l'enregistrement.
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Figure 17: Indice aa comparé à la température de l'hémisphère nord à six ans de retard
L'une des raisons pour lesquelles il est si agréable de vivre sur cette planète est que le climat ne réagit pas instantanément aux changements de l'activité solaire; les effets sont lissés et décalés. La corrélation entre l'indice aa et l'hémisphère nord suggère que la corrélation de décalage culmine à six ans.
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Figure 18: Transect Nord Atlantique du transect entre 59N et 800 mètres de profondeur
Il s'agit d'un graphique préparé par le professeur Ole Humlum à partir de son site Climate4you. Le diagramme a été mis à jour pour la dernière fois le 13 août 2018 avec les données Argo jusqu'en juin 2018. Le décalage de six ans est difficile à tirer du record de température moderne où il est assombri par des oscillations de la circulation. Mais il existe un calorimètre couvrant 70 % de la surface de la Terre qui n’est pas trop affecté par les événements se déroulant dans l’atmosphère. La figure 18 montre un décalage de huit ans entre la fin de la période chaude moderne et les basses températures dans l'Atlantique Nord.
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Figure 19: Average temperature along 59 N, 30-0W, 0-800m depth
Cette zone correspond à la majeure partie du courant de l'Atlantique Nord. C'est également un graphique préparé par le professeur Ole Humlum à partir de son site Climate4you. Le diagramme a été mis à jour pour la dernière fois le 13 août 2018 avec les données Argo jusqu'en juin 2018. La température a commencé à baisser à partir de la fin de la période tempérée moderne en 2006, mais a vraiment plongé une fois que le retard de huit ans a débuté en 2014.
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Figure 20: Données sur le gaz carbonique en Antarctique datant de 800 000 ans et relatives à la réponse de croissance des plantes
Certaines personnes ont récemment eu les larmes aux yeux parce que les niveaux de gaz carbonique dans l'atmosphère sont bien plus élevés aujourd'hui que leur fourchette au cours des 800 000 dernières années, comme le montrent les données sur les carottes de glace de l'Antarctique. Pour une raison étrange, ils pensent que c'est une mauvaise chose quand le contraire est vrai. Comme l'indique le document: Les réactions des usines à la réduction des émissions de gaz carbonique du passé, la croissance des plantes a réagi à l'augmentation du niveau de gaz carbonique dans l'atmosphère depuis le début de la révolution industrielle. Chaque augmentation de 1 ppm augmente la productivité de la plante de 0,3 pour cent. Il n’est donc pas surprenant que la production mondiale de céréales continue d’augmenter, même si les fortes augmentations dues à la génétique sont derrière nous.
La figure 20 montre quelle aurait été la croissance de la plante au cours des 800 000 dernières années par rapport à la concentration atmosphérique au moment de la rédaction du document, soit 368 ppm. La population actuelle de la planète, composée de sept milliards de personnes, ne pourrait pas être maintenue au niveau des 800 000 dernières années. J'ai gentiment annoté le graphique avec des zones de sécurité relative. Nous sommes maintenant au début de la zone de sécurité avec la concentration actuelle de 408 ppm. Heaven nous aide lorsque la concentration atmosphérique recommence à baisser, contrairement à ce qui se produira lorsque nous aurons épuisé les combustibles fossiles et que les océans continueront leur chiffre impitoyable de 800 ans, emportant la majeure partie de notre gaz carbonique, durement acquis, dans le Davy Deep, où il ne servira à rien à l'homme ou à la bête.
https://wattsupwiththat.com/2018/11/24/solar-cycle-update-for-november-2018-warmth-sticking-around-or-cooling-ahead/
Effectivement, les 75 % de notre planète sont recouvert d'eau et, c'est elle qui absorbe les 85 % de notre gaz carbonique indispensable ! Car, si la terre occupe le quart restant, la végétation est loin de l'occuper entièrement !!!
SupprimerCe qui revient à dire que très bientôt le gaz carbonique deviendra un gaz rare qui se traduira donc par une végétation raréfiée et donc: une conversion en oxygène ENCORE PLUS RARE !!!
Les dictateurs refusent d'interdire le diesel qui tue plus de 40 000 personnes par an en France (ou en Allemagne ou au R-U) pour le remplacer par des moteurs essence (comme au Japon) et taxe le gaz carbonique indispensable parce qu'il ose faire pousser des plantes qui le recyclent en oxygène !!!
Combien de revenus les ménages français ont perdu entre 2008 et 2016 ?
RépondreSupprimer16:23 25.11.2018
Les ménages français ont perdu en moyenne 440 euros de revenu disponible entre 2008 et 2016, d’après une étude de l’Observatoire français des conjonctures économiques apparue dans la dernière édition diffusée par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee).
Dans l'édition 2018 de «Portrait social de la France» relayée par l'Insee le 20 novembre, le revenu disponible des ménages aurait baissé en moyenne de 440 euros dans l'Hexagone entre 2008 et 2016. Le calcul a été effectué par l'Office français des conjonctures économiques (OFCE).
Selon l'OFCE, des «facteurs explicatifs possibles» de cette diminution sont, entre autres, les réformes socio-fiscales «visant le redressement structurel des comptes publics engagées à la suite de la crise économique».
Comme l'indique l'étude, il existe pourtant d'importantes disparités en fonction du niveau de vie.
«Les effets de ces réformes diffèrent selon la place des ménages dans la distribution des niveaux de vie. Les ménages les plus aisés ont été les plus mis à contribution», précise l'Insee.
En effet, les 5 % des ménages les plus modestes ont «vu leur revenu disponible annuel s'accroître de plus de 450 euros et les 5 % au-dessus l'ont vu s'accroître de 890 euros du fait des réformes des prestations». Par contre, les 5 % du «haut de la distribution ont vu leur revenu disponible annuel diminuer de 5.640 euros».
En outre, d'après l'étude, la multiplication des familles monoparentales et des personnes qui vivent seules a également contribué à cette baisse.
Le développement du temps partiel ou l'augmentation du taux de chômage n'auraient pas par contre eu d'«effet significatif» sur le revenu des Français, précise l'Insee.
https://fr.sputniknews.com/france/201811251039046453-etude-insee-france-menages-revenus/