- ENTREE de SECOURS -



mercredi 21 novembre 2018

Les énergies renouvelables coûtent cher et ne marchent pas

L’Union française de l’électricité démontre brillamment que l’électricité voltaïque est un surinvestissement dont le coût va bien au-delà du coût direct d’installation. Mais ce qui est dénoncé pour le photovoltaïque, c’est vrai aussi pour l’éolien, non ?

Par Michel Quatrevalet.
21 NOVEMBRE 2018


Extraits du dernier bulletin de l’Union française de l’électricité.

« Appels d’offres multi-technologies renouvelables : la fausse bonne idée

18 novembre 2018

Plusieurs expérimentations : un seul résultat

Ce type d’appel d’offres, consistant à mettre en concurrence les projets de plusieurs technologies de production d’électricité sur l’unique critère du coût de production, a été expérimenté dans plusieurs pays de l’UE… la totalité des lauréats sont des projets photovoltaïques, ce qui reflète la très forte baisse des coûts de la filière…

… Seulement, une telle comparaison a-t-elle vraiment un sens ? Comme l’a écrit à maintes reprises l’UFE, si le critère du coût de production est évidemment à prendre en compte, il ne peut être le seul. La pilotabilité du moyen de production ou encore la variabilité et la saisonnalité de la production sont autant d’exemples de paramètres que ne représentent pas le coût de production. Il faut le répéter : c’est mal comprendre le fonctionnement d’un système électrique que d’espérer la meilleure performance économique globale en choisissant les moyens de production sur la seule base de leur coût de production pris isolément…

Il faut tirer toutes les conséquences de cette expérience !

Le gouvernement doit être attentif dans ses choix (pour la PPE) aux multiples équilibres en jeu dans les trajectoires de mix de production. Ils sont techniques évidemment, mais il doit aussi tenir compte des capacités industrielles de développement pour chaque filière, des impacts socioéconomiques, du coût pour la collectivité … La qualité d’un bon mix électrique se mesure par la complémentarité entre les énergies et la capacité à passer les moments les plus difficiles. Les outils de production ne sont d’ailleurs pas le seul critère à regarder, il faut examiner l’ensemble des solutions de flexibilité du système électrique (réseaux, interconnexions, maîtrise de la demande, capacités d’effacement). »

Nous ne saurions mieux dire. Ainsi, l’UFE démontre brillamment que l’électricité voltaïque est un surinvestissement dont le coût va bien au-delà du coût direct d’installation. Et souligne que le réseau doit être capable de répondre à la demande s’il n’y a pas de soleil, y compris dans « les moments difficiles », c’est-à-dire à la pointe d’hiver à 19 h.

Mais ce qui est dénoncé pour le photovoltaïque, mince alors, c’est vrai aussi pour l’éolien, non ? Car il y a des nuits sans vent, même l’hiver à 19 h, et pour toute l’Europe…

L’UFE demande donc des appels d’offre « par technologie » d’ENR, et non pas technologiquement neutre. Mais en même temps, dans sa démonstration, prouve clairement que ces ENR sont inutiles, puisqu’elles ne remplissent pas les critères que l’UFE cite elle-même comme indispensables :

- capacité de développement : nous sommes des nains dans les éoliennes, les panneaux PV viennent de Chine…

- coûts pour la collectivité : les ENR, non pilotables, ne garantissent aucune sécurité d’approvisionnement, sont donc des surinvestissements par rapport au réseau pilotable, elles ne servent à rien avec un parc nucléaire déjà décarboné, elles compliquent la gestion du réseau.

- impacts socio économiques : les parcs éoliens risquent de tuer le tourisme dans certaines régions, dégradent les coûts de l’immobilier, stressent les riverains… et font monter le prix de l’électricité aux consommateurs en faisant baisser le prix de gros.

La conclusion est donc plutôt : pourquoi des appels d’offre ENR ? La seule justification des ENR par les services de l’État est qu’elles seraient un recours en cas de faille systémique du nucléaire… sauf que leur production est aléatoire !

Tant que l’UFE restera dans l’ambiguïté, les ministres de l’Écologie successifs continueront de raconter des sornettes, comme M. de Rugy dans son intervention du dimanche 18 novembre sur une radio grand public.

Je cite :

« Je ne vois pas comment on pourrait décider aujourd’hui de commander de nouveaux EPR alors que la fiabilité technologique et sa sûreté n’est pas démontrée et la compétitivité économique non plus. »

Rarement un Ministre aura réussi à torpiller autant d’emplois en une phrase. En effet, qui commanderait un EPR français alors même que le responsable de l’Énergie en France doute de leur « fiabilité », même de leur « sûreté » et considère qu’ils sont trop chers ? Qu’en pensent les Chinois, qui ont déjà un EPR fonctionnant à pleine puissance, et en construisent un deuxième ? Les Anglais vont-ils confirmer leurs commandes ? Et les négociateurs des 5 EPR chinois en projet ?

M. le Ministre fait une « opération vérité » en avouant que baisser le nucléaire, c’est maintenant à 2035… Tant qu’à faire, autant dire toute la vérité : même à 2035, on ne voit pas ce qui pourrait nous faire baisser le nucléaire en capacité. Mais avec cet objectif à la baisse, et après ces propos pour le moins imprudents, qui investira encore dans le nucléaire ? Quels jeunes ingénieurs talentueux se tourneront vers lui ? Avec ce programme, au moins sur un point, M de Rugy aura raison : plus on installera d’éoliennes, moins le nucléaire produira, mais à capacité égale, puisqu’on en aura besoin à la pointe. Et donc avec un taux de charge réduit, il ne sera plus compétitif. Est-il si difficile de comprendre que le choix n’est pas entre nucléaire et ENR, mais entre nucléaire et fossiles ?

En outre, plus loin dans l’interview, il est inadmissible qu’un ministre fasse sciemment de la contrevérité (comparer les 15 000 emplois de l’éolien avec la seule activité de combustible nucléaire, au lieu de la totalité de la filière nucléaire soit 200 000 …) ou encore comparer le coût max négocié pour Hinkley Point avec un coût réel de production, ou citer le coût direct de l’éolien sans ajouter le coût du back up…

Le mépris de la dernière note de Bercy (construire 5 à 6 EPR), du rapport de la Cour des comptes (on décarbone une électricité déjà décarbonée), de l’Académie des technologies, de l’Académie des Sciences, du rapport Grandil et Percebois…), des avis d’experts de la Consultation publique, tout cela fera le lit des populismes un jour.

Car si le grand public comprenait que la surtaxe de l’essence, du diesel, du fioul et du gaz servira entre autres à payer des ENR dont on n’a pas besoin, il y aurait des gilets et des bonnets de toutes les couleurs sur bien plus de routes de France.

45 commentaires:

  1. Avertissement aux organismes gouvernementaux: des tempêtes de l’espace pourraient provoquer des pannes de courant massives


    par Tyler Durden
    Mar., 20/11/2018 - 22:45
    Écrit par Mac Slavo via SHTFplan.com,


    Le Met Office a informé les ministres britanniques que des tempêtes dans l’espace pourraient provoquer des pannes de courant massives et détruire des ordinateurs. Selon l’étude de l’agence gouvernementale, une tempête spatiale pourrait détruire Internet et toutes les communications.

    Selon le Sunday Times, un nouveau rapport affirme que d'énormes éruptions solaires peuvent générer des champs magnétiques aussi intenses sur la Terre qui, en un éclair, pourraient détruire les composants électroniques délicats et même les incendier. Le rapport, co-écrit avec des scientifiques du British Antarctic Survey, du Rutherford Appleton Laboratory et de l'Université de Cambridge, a déclaré que le Royaume-Uni devrait mettre en place un système d'alerte précoce en raison de ses risques.

    La Grande-Bretagne court un risque majeur d’être paralysée par d’énormes perturbations électriques causées par des tempêtes solaires dans l’espace, à moins de construire un réseau de satellites capable de les détecter. (Et si vous supposez que les contribuables vont payer la note, vous aurez raison.)

    «Nous constatons que pour un événement sur cent ans, sans capacité de prévision spatiale, la perte de produit intérieur brut pour le Royaume-Uni pourrait atteindre 15,9 milliards de £», a déclaré l'étude Met Office.

    "Les satellites existants arrivant à la fin de leur vie, la capacité de prévision diminuera dans les années à venir. Par conséquent, en l'absence d'investissements supplémentaires, les infrastructures critiques deviendront plus vulnérables à la météo spatiale."

    Ce n’est pas comme si de telles tempêtes solaires ne s’étaient jamais produites. Selon Fox News, en 1859, une éruption solaire géante doubla la luminosité du soleil pendant quelques minutes, puis une poussée de magnétisme provoqua de puissants courants électriques dans les fils télégraphiques à travers l’Europe, provoquant des incendies généralisés. Un autre événement solaire de ce type en 1989 a frappé le Québec au Canada et des câbles d’énergie brûlés ont entraîné une panne de courant. Les chercheurs craignent qu'un autre événement de ce type ne brûle des câbles et des sous-stations haute tension à travers le Royaume-Uni.

    Toutefois, si le gouvernement était en mesure de détecter les tempêtes solaires susceptibles de causer des dommages considérables, il pourrait informer les citoyens qu’ils devront éteindre leurs appareils pour éviter leur destruction. Le Royaume-Uni et d'autres pays disposent déjà de satellites capables de faire de l'alerte, tels que l'Observatoire solaire et héliosphérique lancé en 1995 et les sondes jumelles de l'Observatoire des relations terrestres solaires (2006). Mais comme ces satellites ont passé des années dans l’espace exposés à des radiations féroces, ils deviendront bientôt inefficaces et de nouveaux seront nécessaires.

    * * *

    En attendant, vous pouvez vous attendre à quelque chose en cas de panne du réseau et à ce que vous pouvez faire pour vous préparer à cette éventualité.

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  2. Si vous recherchez un guide simple pour les débutants ou des préparateurs plus expérimentés pour vous aider à vous préparer à une éventuelle panne du réseau électrique, essayez de lire le document intitulé The Prepper’s Blueprint. Écrit par Tess Pennington, le livre décrit de manière experte des moyens efficaces pour que chacun puisse commencer à se préparer à toute situation apocalyptique.

    "Si nous avons appris une chose en étudiant l’histoire des catastrophes, c’est la suivante: ceux qui sont préparés ont de meilleures chances de survie que ceux qui ne le sont pas."

    https://www.zerohedge.com/news/2018-11-20/government-agency-warning-space-storms-could-cause-mass-blackouts

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    1. Attention à cette remarque ! Des tempêtes solaires il y en a x par an, mais, de rappeler 'qu'il pourrait y avoir' et 'serait susceptible de' semble avertir que la fermeture de la voix du Peuple (Internet) est prévue de se passer 'lors d'une'.

      C'est aussi ce qui s'appelle la 'technologie scalaire' ou 'HAARP' à Gakona capable de créer des tempêtes, tremblements de terre et raz de marée de partout dans le monde !

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  3. L'Amérique a construit plus de 800 bases militaires dans le monde. Alors pourquoi ne peut-il pas construire un mur frontière mexicain ?


    par Tyler Durden
    Mar., 20/11/2018 - 22:05
    Écrit par Robert Bridge via la Fondation de la culture stratégique,

    Le gouvernement américain a construit à des coûts énormes pour ses contribuables certaines des structures les plus impressionnantes de tous les temps, à la fois architecturales et organisationnelles. Pourtant, il n’a pas réussi à construire un mur viable à la frontière mexicaine.

    En 1931, pendant la Grande Dépression, le gouvernement américain commença la construction du barrage Hoover, l'un des projets de génie civil les plus ambitieux jamais tentés. Employant des milliers de travailleurs américains, dont une centaine auraient perdu la vie au cours du projet, le barrage est ahurissant du fait de sa taille, qui rivalise avec celle des pyramides.

    A une hauteur de 726 pieds, la structure en forme de coin a une épaisseur de 200 mètres (660 pieds) à la base et une hauteur maximale de 14 mètres (45 pieds), ce qui offre suffisamment de place pour une autoroute reliant le Nevada et l'Arizona. Le projet nécessitait des millions de pieds cubes de béton - suffisait pour paver une autoroute à deux voies de San Francisco à New York - et des dizaines de millions de livres d'acier.

    Plusieurs décennies plus tard, le gouvernement américain entreprit un autre projet de grande envergure, l’ambassade des États-Unis à Bagdad. Bien que rarement évoquée dans les médias américains, cette tranche de 100 hectares de biens américains dans un pays étranger est si immense qu'elle rivalise par sa taille [le Vatican est une cité indépendante, dotée de sa propre monnaie basée sur l'euro et détail de sécurité, situé à l'intérieur de Rome].

    Officiellement ouverte en 2009, l’ambassade de 750 millions de dollars, située dans la prétendue zone verte de Bagdad, est de loin l’ambassade la plus grande et la plus chère du monde. Pourquoi un pays étranger a-t-il besoin d'une empreinte de la taille d'un petit pays pour accueillir quelques milliers de diplomates et d'entrepreneurs privés ? C’est une très bonne question, mais celle-ci n’a jamais vraiment été retenue par les législateurs lors de l’approbation par le Congrès, en 2005, des plans de la méga structure sous l’administration Bush.

    À ce jour, une grande partie du complexe reste sous le capot pour des raisons de «sécurité». Pourtant, cette énorme vache à lait continue de gaspiller de l'argent des coffres du gouvernement; en 2012, quelques années seulement après la fin de sa construction, l'administration Obama a demandé et obtenu plus de 100 millions de dollars pour une mise à niveau "massive" du complexe.

    Parlant de l'Irak, qui a subi une conquête militaire aux mains des forces dirigées par les États-Unis à partir de 2003, les États-Unis ont également réussi à trouver le moyen de construire plus de 900 bases militaires dans le monde. Il va sans dire que ce n’est pas une entreprise bon marché et qu’elle contribue à expliquer pourquoi le budget militaire américain avoisine le billion de dollars par an - plus que la Chine, la Russie, l’Arabie saoudite, l’Inde, la France, le Royaume-Uni et le Japon réunis.

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  4. À la lumière de ces projets monumentaux, il va sans dire que les États-Unis possèdent certainement les prouesses techniques et les moyens financiers pour effectuer la simple tâche de construire un mur, et plus précisément un mur à la frontière mexicaine. Jusqu’à présent, et malgré le fait que Donald Trump s’est engagé pour la première fois dans la campagne électorale, le mur reste - un peu comme la promesse passée de Barack Obama de fermer le centre de détention de Guantanamo Bay - un rêve.

    Comment les Américains sont-ils arrivés à un endroit où un élément aussi fondamental de la nation, à savoir la capacité de contrôler nos frontières de tout intrus extérieur illégal, est considéré comme un concept radical ? Depuis quand l'idée universellement acceptée d'une frontière nationale forte est-elle devenue un sujet de débat et de discorde entre nos législateurs ? Depuis quand les frontières faibles et poreuses sont-elles devenues un état de fait souhaité par une superpuissance mondiale, et en particulier un État qui a l'habitude d'attaquer des États souverains ? Une partie de la réponse semble résider dans l’atmosphère actuelle de politiquement correct et de politique d’identité qui confond la nécessité d’une frontière forte avec le racisme et même l’idéologie de la suprématie blanche. Plus sur cela dans un instant.

    Cette semaine encore, une partie de la «caravane» sud-américaine, qualifiée de «mythe» par les médias américains, a fait son apparition aux États-Unis dans la ville mexicaine de Tijuana. Les images montrent des dizaines de jeunes hommes chevauchant le sommet de la clôture de la frontière sans qu'aucune des troupes américaines activées par Trump ne soit activée en vue. Maintenant, si les démocrates américains le voulaient, ces milliers d’étrangers clandestins seraient amnistiés et emmenés dans des «villes sanctuaires» où ils se glisseraient à l’abri dans la société américaine. Et pour ceux - y compris le président des États-Unis - qui ont exprimé leur opposition à cette invasion, ils sont qualifiés de simple, racistes ou de suprémacistes blancs. Cependant, la véritable motivation des démocrates derrière de telles attaques ad hominem est un opportunisme politique brut.

    Les démocrates construisent actuellement une partie de leur plate-forme sur l'octroi de l'asile aux illégaux, et ce malgré le fait que beaucoup de ces personnes ne subissent pas de répression politique chez eux. En fait, la plupart de ces personnes veulent simplement améliorer leur bien-être financier. En d'autres termes, la grande majorité de ces nouveaux arrivants - comme l'ont établi les entretiens sur le terrain - sont des migrants économiques.

    Et qui peut reprocher à quiconque de vouloir une vie meilleure ? Après tout, ce sont les opportunités économiques qui ont amené des millions de migrants en Amérique. Cependant, la différence entre les migrants des générations précédentes et nombre de ceux qui arrivent aujourd'hui est que ceux-ci ont été soumis à une longue procédure légale pour entrer dans le pays. Aujourd’hui, c’est pire qu’une simple question de légalité; c'est une question de criminalité sur plusieurs fronts.

    Ce que les grands médias américains omettent d’informer le public américain, c’est que l’écrasante majorité des membres de cette soi-disant "caravane" sont jeunes, de sexe masculin et souvent dangereux. Cela a été confirmé par Chris Farrell de Judicial Watch, l'un des seuls journalistes occidentaux à se rendre en Amérique du Sud et à rendre compte de la marche des migrants. En plus d'indiquer que, selon son estimation, environ 98 % des migrants étaient des hommes et des jeunes, il a ajouté que certains d'entre eux portaient des tatouages qui les identifiaient en tant que membres de la fameuse bande criminelle internationale MS13. Pour mieux comprendre cette caravane et la composition réelle de ses participants, je vous encourage à lire l'intégralité de l'interview de Farrell.

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  5. Cela nous amène maintenant à la question de la construction d’un mur à la frontière américano-mexicaine. À ce jour, ces efforts ont échoué. En mars, le Congrès a adopté son projet de loi de dépenses d'un billion de dollars. le financement pour la construction du mur de Trump faisait cruellement défaut dans les nombreuses pages. Au lieu de cela, 1,6 milliard de dollars ont été mis de côté pour «la sécurité à la frontière», ainsi que pour remplacer des parties de la clôture existante. En d'autres termes, rien n'empêchera les illégaux d'entrer aux États-Unis.

    Le représentant républicain Jim Jordan a déclaré cette semaine que la Trump White House disposait d'une dernière chance - avec un Congrès républicain aux canards boiteux toujours en place - d'obtenir un financement pour le mur frontalier américano-mexicain.

    "Nous devrions nous concentrer sur cet élément majeur au cours des prochaines semaines, car il nous reste encore quelques semaines pendant que les républicains contrôlent tout le gouvernement", a déclaré Jordan dans un entretien.

    Le temps file comme une bombe pour que le peuple américain reprenne le contrôle de sa frontière méridionale et il n’ya aucune excuse valable pour ne pas mener à terme ce projet monumental. Les accusations de «racisme» ne doivent pas faire trembler les Américains, alors que le pays lui-même a été fondé sur le sang, la sueur et les larmes des migrants à travers l’histoire. Une grande partie du soi-disant racisme qui existe en Amérique est un produit de l'imagination hyperactive des médias. Les dépenses liées au projet - compte tenu du prix à payer pour de nombreuses autres aventures et mésaventures américaines, y compris les guerres à l'étranger - ne devraient pas constituer un motif de prévention.

    Le coût total de la non-protection de la frontière américaine dépassera de loin le prix total d’un mur si aucune mesure n’est prise maintenant. Il est temps que l'Amérique se comporte comme une vraie nation - une superpuissance dotée d'une colonne vertébrale - et protège sa frontière.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-11-20/america-has-built-800-military-bases-worldwide-so-why-cant-it-build-mexican-border

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    1. Bien pratique d'être migrant aujourd'hui ! Pensez donc, arriver dans un pays, recevoir des allocation et mettre les pieds sous la table en contestant qu'il y a du porc au menu et pas de caviar ! C'est dans le programme !
      Le 'mur' en fait partie.
      1) La guerre civile est déclenchée suite à des pillages et des morts.
      2) L'armée termine le travail.

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  6. "Tout est fou" - Doug Casey sur la caravane de migrants


    par Tyler Durden
    Mar., 20/11/2018 - 21:25
    Via CaseyResearch.com,


    Des centaines de migrants se sont présentés à la frontière américano-mexicaine.

    Ils font partie d’une «caravane» regroupant environ 5 000 personnes originaires d’Amérique centrale. Le reste de la caravane, à notre connaissance, se trouve toujours dans le centre du Mexique. Mais ne vous y trompez pas. Ils se présenteront tous les jours à la frontière.

    Et personne ne peut s'entendre sur quoi faire avec ces personnes. Certains disent que nous devrions les laisser entrer en Amérique. D'autres personnes, y compris le président Trump, pensent que nous devrions empêcher les migrants d'entrer. En fait, Trump a récemment qualifié la caravane d’invasion. En outre, il a déployé des milliers de soldats américains à la frontière pour empêcher ces personnes d’entrer.

    En bref, c’est très controversé. J'ai donc appelé Doug Casey au début de la semaine pour savoir ce qu'il en pensait ...

    Justin: Doug, la caravane de migrants a attiré l'attention des médias grand public ainsi que de Donald Trump. Pourquoi est-ce une grosse affaire ?

    Doug: Il y a plusieurs choses qui se passent ici. La première est que les gauchistes pensent que les États-nations ne devraient pas exister. Maintenant, je ne crois pas non plus dans l’État-nation. Cela n’existe que depuis le 17ème siècle; ce n’est pas inscrit dans le firmament cosmique. Il y a de meilleures façons d'organiser une société.

    Les États-Unis, par exemple, sont beaucoup trop gros pour être un seul pays à ce stade. Je suis assez confiant que, au cours des prochaines générations, les États-Unis vont se diviser en plusieurs pays. Mais c’est une question différente. La dernière chose dont il a besoin est un autre groupe d'extraterrestres qui tente de s'inscrire de force dans le mélange.

    Les démocrates et les gauchistes ne croient pas vraiment en la liberté de circulation et de circulation. Ce n’est rien de plus qu’un sujet de discussion pour les faire paraître justes. Ils croient au contrôle de l’État sur presque tous les domaines de la vie. Depuis quand la liberté de voyager et de traverser les frontières est-elle importante pour eux ?

    Personnellement, je crois en la liberté de circulation et de circulation, mais cela ne signifie pas que vous pouvez violer les droits de propriété des autres. Si vous avez une personne qui demande l’entrée légale, c’est une question. Mais si un groupe de 1 000 ou de 10 000 personnes cherche à pénétrer illégalement et par la force dans un domaine politique différent, la question est tout à fait différente.

    Les personnes favorables à cette migration tentent délibérément de forcer la confrontation.

    Justin: Pourquoi faire un si long voyage ?

    Doug: Apparemment, ils présument que le gouvernement américain va se retourner et placer les migrants à leur arrivée. Ce n’est pas une présomption déraisonnable. Il est notoire que le gouvernement américain n’a pas de principes directeurs.

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  7. Je dirais que les groupes qui les financent essaient de faire valoir un point de vue moral auprès du public américain crédule. «Ce sont de pauvres immigrants sans défense, comme vos propres ancêtres. Il faut donc faire ce qui est juste et s’occuper d’eux. »Bien sûr, c’est un mensonge du début à la fin, à l’exception de la partie la plus pauvre. Mais c’est une guerre psychologique efficace dans le monde d’aujourd’hui.

    Ils essaient également de démoraliser l’administration Trump, en montrant qu’ils n’ont aucun pouvoir ni aucun soutien réel.

    Les migrants eux-mêmes agissent stupidement. Je ne veux pas dire qu’ils ont nécessairement un faible QI - bien que la caravane ne soit certainement pas pleine de spécialistes des fusées et de chirurgiens du cerveau. Je n'utilise pas non plus le mot «stupide» de manière nécessairement péjorative. Une définition du mot qui s'applique ici est «une incapacité à prédire, non seulement les conséquences immédiates et directes d'une action, mais ses conséquences indirectes et différées».

    Qu'est-ce qu'ils pensent vraiment qu'il va se passer après leur départ du Mexique et leur tentative d'entrer aux États-Unis ? Ils seront arrêtés, prendreont leurs empreintes digitales et seront accusés d’un crime. Ce qui signifie qu’ils ne seront probablement pas autorisés à entrer légalement aux États-Unis à l’avenir. Les pauvres imbéciles ne sont que des outils utilisés par les personnes organisant et finançant la migration, pour prouver certains points.

    C’est très audacieux pour des milliers de migrants de se présenter et de demander à être nourris, abrités et vêtus. Mais aussi occupées, employées, soignées et leurs enfants pris en charge. Ils ont fait zéro pour mériter des faveurs. Mais ce n’est pas seulement un problème économique. C’est un problème moral.

    Ces personnes - ou ceux qui les encouragent - pensent avoir le droit de s'imposer. Et le gouvernement américain, et le public américain, ne remettent même jamais en cause l’éthique de tout cela - ils sont donc condamnés à l’échec. Les Américains, idiotement, disent juste que c’est contre la loi. Mais les lois sont arbitraires et peuvent changer. C’est vraiment une question de ce qui est juste ou faux. Les gauchistes, cependant, disent habilement qu'ils ont la moralité de leur côté.

    On dit que ces gens viennent du Honduras et d’El Salvador. Mais qui sait ? La qualité des reportages dans les médias est si mauvaise que vous ne pouvez pas vraiment savoir d’où ils viennent ni qui ils sont. On dit qu’il s’agit de «familles fuyant la violence», ce qui est hors de propos. Mais en regardant les flux vidéo, il semble qu’il s’agisse principalement de jeunes hommes, avec quelques femmes et enfants à des fins esthétiques. Selon un rapport d’un homme qui était là, plus de 90 % sont des hommes jeunes.

    Toute la série est pleine de questions sans réponse. Comment se fait-il que ces personnes originaires de pays d'Amérique centrale aient pu traverser la frontière sud du Mexique ? Les Mexicains ont-ils essayé de les empêcher d'entrer ? Comment les personnes pauvres s'attendent-elles à marcher jusqu'au Mexique ? Nous parlons bien plus de 1 000 milles. Qui paie pour leur nourriture ? Est-ce qu'ils dorment tous les soirs dans les buissons au bord des routes ? Que se passe-t-il quand l'un d'eux tombe malade ? Ce sont des questions auxquelles il faut répondre. Le tout est fou.

    Justin: Pensez-vous que les migrants pourraient recevoir une aide ou un financement de l'extérieur ? Ce ne serait pas la première fois que quelque chose comme ça se produirait. Des organisations non gouvernementales [ONG] ont transporté des migrants par bateau de l'Afrique à l'Europe.

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  8. Si oui, qui pourrait les aider ? Et pourquoi ?

    Doug: Eh bien, si cela m'intéressait vraiment, je prendrais l'avion, volerais vers le Mexique et commencerais à interroger ces personnes pour découvrir la réalité. Mais il y a environ cent autres choses qui sont plus importantes pour moi. C’est le travail d’un journaliste ou d’un organisme de presse. Où sont-ils? Ils devraient être partout. Mais si vous pouvez faire confiance aux rapports est une autre question.

    Mais la grande question est de savoir comment ces milliers de personnes ont-elles eu l’idée de pouvoir quitter leur foyer au Honduras et au Salvador, traverser le Mexique et entrer aux États-Unis ? S'attendaient-ils à être reçus à bras ouverts et à obtenir gratuitement de la nourriture, un abri et des vêtements aussi longtemps ? D'où vient cette idée ?

    Je déteste évoquer George Soros, qui est à juste titre la bête noire de la droite. Mais avec Hillary Clinton, il aurait déclaré qu’il était temps de procéder à une «révolution pourpre» aux États-Unis. «Purple» vient de la fusion du rouge et du bleu. Une révolution pourpre aux États-Unis pourrait ressembler à la révolution du printemps arabe et aux révolutions colorées de l’Europe de l’Est - très désagréable, avec des résultats imprévisibles. C’est peut-être déjà en cours; il y a beaucoup d'antagonisme, de haine réelle et de points de vue irréconciliables.

    Je crois que les migrants sont dirigés et financés; elles doivent être. Il faut de l'argent pour mettre la théorie en pratique. Que ce soit Soros et ses ONG ou un groupe d’autres ONG est sans importance. Des éléments du parti démocrate pourraient financer ce genre de choses, aider les paysans à s'organiser et simplement voir à quel point cela embarrasse Trump. Ce n’est certainement pas un mouvement spontané.

    Mais supposons qu'il ne s'agisse que d'un test. Si 5 000 personnes (ce qui est supposé être le nombre actuel) se présentent à la frontière, vous pouvez les arrêter. Et si 100 000 personnes bien financées et bien organisées se présentaient à la frontière la prochaine fois ? Comment allez-vous les arrêter ? Vous ne pouvez pas, sauf si vous leur tirez dessus. Ils vont simplement traverser comme une vague humaine.

    C’est le même problème que les Européens vont rencontrer avec les Africains dans les années à venir. Au cours des deux prochaines générations, la population de l’Afrique devrait doubler et tripler. Dans le même temps, la population européenne diminue et devient très âgée. Plus important encore, les Européens n'ont plus de colonne vertébrale et ne croient plus en la valeur de leur civilisation. Quand les Africains - la plupart des musulmans - se présenteront, il ne sera plus que 100 000 ou 200 000 comme ce fut le cas il ya quelques étés. On parle d’un million… deux millions… ou de dizaines de millions. Cela va changer tout le caractère du continent.

    Justin: Que penses-tu de la gestion de cette situation par Trump ? Il aurait envoyé plus de 5 000 soldats à la frontière américano-mexicaine pour défendre ce qu’il appelle une "invasion".

    Doug: Comme je l'ai mentionné il y a un instant, l'embarrassant Trump est sans doute l'une des raisons pour lesquelles cette marche a été organisée et financée. Ils réalisent que cela représente une véritable énigme pour Trump. Qu'est-ce que les troupes vont faire? Vont-ils recevoir des munitions réelles ? Et à quel moment vont-ils recevoir l'ordre de tirer ? Les fusils n’ont même plus de pièces jointes à la baïonnette. Cela va-t-il simplement se transformer en un concours de pression ?

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  9. Ce que la caravane peut faire, c’est de mettre ses femmes et ses enfants symboliques à l’avant parce que c’est très mauvais de faire de la publicité ou de raser des femmes et des enfants. Ils vont peut-être essayer de pousser la clôture vers le bas puis de traverser la frontière. Plus probablement, ils essaieront de traverser la gare frontière, où des centaines de voitures sont alignées.

    Comment allez-vous les arrêter ? Eh bien, s’il n’y a que quelques milliers de personnes, vous pouvez les arrêter. Mais alors, ils sont aux États-Unis et vous ne les voulez pas aux États-Unis. Maintenant, vous avez un autre problème. Comment allez-vous vous en débarrasser ? En tout état de cause, les soldats sont totalement inefficaces et inadaptés à ce travail.

    Comment pouvez-vous les ramener au Mexique, une fois la frontière franchie ? Dans la plupart des passages officiels californiens, il existe un «no man’s land», une zone neutre. Vous êtes hors du Mexique, mais pas vraiment aux États-Unis. Les Mexicains ne veulent pas qu’ils reviennent. Ainsi, soit les États-Unis compteront 5 000 personnes, soit ils devront les incarcérer. Ensuite, ils sont définitivement aux États-Unis.

    Justin: Que feriez-vous si l’envoi de troupes à la frontière n’est pas la solution ?

    Doug: J'ai déjà dit que deux choses pourraient résoudre ce problème.

    Premièrement, il ne devrait y avoir aucun avantage social nul pour quiconque. Idéalement, cela inclut les citoyens américains - mais c’est totalement impossible à ce stade. Mais certainement pour les citoyens non américains, il n’ya rien qui attire ces personnes. Les avantages attirent le mauvais type de personne. C’est la différence la plus importante entre les migrants d’aujourd’hui et les immigrants légitimes du passé. Avant les années 1960, ils devaient payer leur propre chemin pour venir ici et se subvenir à leurs besoins une fois arrivés.

    Deuxièmement, tous les biens situés aux États-Unis devraient appartenir à des intérêts privés. Il n’ya donc pas de passerelles sous lesquelles ils pourraient dormir, ni de trottoirs sans propriétaire où ils peuvent se promener. Aucun parc appartenant au gouvernement où ils peuvent camper. Si vous ne pouvez pas payer le loyer où que vous soyez, ou si le propriétaire du trottoir ou de la route ne veut pas de vous, vous devez aller ailleurs. Cela résoudrait le problème. Mais ce n’est pas faisable dans l’Amérique d’aujourd’hui.

    Ce devrait être aux propriétaires individuels de défendre leurs biens. En d'autres termes, ils devraient être ceux qui prennent les décisions. Et s’ils ont besoin de recourir à la force pour défendre leurs biens, cela doit être parfaitement acceptable et conforme à la loi. Bien sûr, vous voulez minimiser le recours à la force. Mais nous ne pouvons tout simplement pas laisser les gens confisquer votre propriété.

    Ce que je dis, c’est que cela ne devrait même pas être un problème gouvernemental. Le gouvernement ne sait pas mieux résoudre ce problème qu'il ne le fait pour tout autre problème. En conséquence, la situation ne fera qu’empirer.

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  10. Je soupçonne que cette caravane n'est qu'un ballon d'essai. La prochaine fois, ils s’assureront qu’il y aura 50 000 ou 100 000 personnes à la frontière. Nous ne pourrons pas les empêcher d'entrer. Et une fois qu’ils sont entrés, à moins que vous les laissiez aller où ils veulent, ils doivent être incarcérés. Et une fois qu’ils seront incarcérés, que ferez-vous avec eux? Vous ne pouvez pas les renvoyer à travers la frontière mexicaine. Les Mexicains ne vont pas les vouloir. Comment allez-vous les trier et les ramener dans leur pays d'origine? Je doute qu'aucun d'entre eux ait un passeport.

    Le système actuel est totalement incapable de résoudre le problème de la migration de masse et le problème s'aggravera. Une fois que Trump sera démis de ses fonctions en 2020, un parti de gauche hardcore sera élu. Ils vont probablement accueillir ces personnes. Ou peut être pas. Ils les verront comme un véritable fardeau de l’aide sociale: sans le sou, sans compétences et incapable de parler anglais. En revanche, ils seront une aubaine pour MS-13 et d’autres gangs.

    À ce stade, nous allons assister à un changement majeur dans la démographie des États-Unis. Nous sommes déjà au milieu de la transformation. Jusque dans les années 60, les États-Unis comptaient environ 85 % de personnes d'origine européenne et 15 % d '«autres». Maintenant, il est 60-40. Bientôt, les États-Unis seront véritablement multiethniques et multiculturels. Ils vont tous voter pour gagner des sous pour leurs propres groupes, au détriment des autres. Cela créera une situation extrêmement instable, avec beaucoup de ressentiment. Explosif, en fait.

    Justin: Doug, j'ai lu que le gros de la caravane se trouvait actuellement à Mexico et se dirigeait ensuite vers Tijuana avant de traverser pour San Diego.

    Trouvez-vous intéressant que la caravane se dirige vers la Californie plutôt que de prendre une route plus directe vers le Texas ? Soi-disant, c'est l'itinéraire le plus sûr disponible.

    Mais je ne peux pas m'empêcher de me demander si la Californie a été choisie car son environnement pourrait être plus accueillant. Quelles sont vos pensées ?

    Doug: C’est un point intéressant. Je suppose que cela rejoint l'idée de Trump de construire un mur, car il y a en fait une clôture utilisable à Tijuana. Je suppose qu’ils vont tenter de se faire arrêter aux guichets de la douane et de l’immigration et entrer ainsi aux États-Unis. La Californie n’utilisera pas les soldats de l’État pour les arrêter, pas plus que la municipalité locale n’aura recours à sa police. Ce sera à Washington.

    Il serait trop difficile d’avoir cette bande hétéroclite de migrants qui tentent de traverser le désert mexicain pour traverser le Rio Grande. C’est pourquoi ils ne choisissent pas le Texas, le Nouveau-Mexique ni l’Arizona.

    Peut-être que leur intention est simplement de traverser le passage frontalier et de s'y frayer un chemin. J'ai hâte de voir quelle est leur stratégie. Là encore, c’est un signe de la gravité du reportage: aucun journaliste, aucun journaliste n’est allé là-bas pour poser ces questions et obtenir les réponses de la bouche du cheval. Tout ce que nous pouvons faire, c'est spéculer.

    Mais regarde le bon côté des choses. C'est un divertissement gratuit.

    Justin: Merci pour votre temps, Doug.

    Doug: De rien.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-11-19/whole-thing-crazy-doug-casey-migrant-carava

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    1. NON NON NON ! Ce n'est PAS Woodstock ! C'est le Vietnam ! L'Irak, la Libye, l'Afghanistan ! C'EST LA GUERRE 'SILENCIEUSE' payée par de très riches mécènes pour envahir un pays (le Mexique qui les laisse entrer !) et finir le travail aux USA !

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  11. Les troupes déployées à la frontière sud-ouest commencent à se retirer à l'arrivée de la caravane de migrants


    par Tyler Durden
    Mar., 20/11/2018 - 14:00


    Certains des 5 800 soldats américains déployés à la frontière sud des États-Unis juste avant les élections de mi-mandat pourraient être retirés dès cette semaine. Toutefois, les responsables de l'administration Trump préoccupés par la fin trop précoce de la mission sont sur le point de retarder leur départ, selon le Los Angeles Times. .

    La première étape du retrait des troupes consisterait principalement en des unités d’ingénierie ayant achevé leur tâche d’installation de fils de rasoir et d’obstacles physiques aux points de passage frontaliers - le mandat initial de la mission autorisant un déploiement jusqu'au 15 décembre, à moins que le Department of Homeland Security demandé une extension.

    Lors d'une visite mercredi à Donna, ville frontalière du Texas, le secrétaire à la Défense, James N. Mattis, a déclaré que les troupes auraient fini d'installer les barrières et autres tâches initiales d'ici une semaine à dix jours, bien qu'il ait ajouté de nouvelles demandes d'aide du département de la Patrie. La sécurité était attendue. -LA fois

    Cela dit, si une prolongation est approuvée, les responsables ont déclaré au Times "que l'objectif est de faire en sorte que toutes les troupes soient à la maison d'ici Noël."

    Selon un responsable de la défense, des responsables discutent de l'opportunité d'octroyer aux troupes le pouvoir d'utiliser une force "proportionnelle" pour protéger le personnel de la patrouille des frontières en cas de violence de la part des migrants, selon CNN. Il est actuellement interdit aux troupes à la frontière d'utiliser la force, sauf pour se protéger.

    La décision d'autoriser les troupes à assurer la sécurité de la patrouille frontalière représenterait un élargissement significatif de leur mission.

    Cela pourrait également poser la question de savoir si la mission est en conformité avec une loi américaine interdisant aux troupes en activité d’assumer des fonctions d’application de la loi dans le pays.

    Le Pentagone avait rejeté une proposition similaire lors de délibérations internes avant le déploiement initial des troupes à la fin du mois d'octobre, selon le responsable qui a parlé des délibérations en échange de l'anonymat. -LA fois

    Le déménagement intervient alors que des milliers de migrants d'Amérique centrale arrivent à Tijuana, où les habitants ne prennent pas trop gentiment ceux avec leurs voisins du Sud. Les migrants, demandeurs d'asile aux États-Unis, peuvent être bloqués à Tijuana pendant des mois.

    Le maire de Tijuana, Juan Manuel Gastelum, a évoqué l’arrivée de tant de migrants en même temps qu’une "avalanche" et a déclaré que la ville aurait du mal à s’en occuper. Il calcule qu'ils resteront dans la ville pendant au moins six mois au cours du processus de demande d'asile. À raison d'environ 100 demandes par jour, les inspecteurs des frontières des États-Unis ne seront pas en mesure de traiter les 3 000 noms actuellement enregistrés dans un cahier que les migrants ont rassemblé en route.

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  12. Parallèlement aux unités d'ingénierie, le Pentagone a envoyé la police militaire, des unités d'hélicoptères, la logistique, les affaires publiques, un petit nombre de spécialistes de l'infanterie et d'autres types de spécialistes militaires à la frontière.

    La volonté de commencer à retirer certaines troupes plus rapidement, comme le rapportent d'abord Politico, vient des commandants américains qui insistent sur le fait qu'il n'y a aucune raison de garder les troupes éloignées de leurs familles à Thanksgiving une fois les missions assignées terminées.

    Les responsables de Trump, cependant, craignent peut-être qu'un retrait à grande échelle alimente les critiques selon lesquelles ce déploiement était une cascade politique conçue pour conduire les électeurs du GOP aux urnes à la mi-mandat. Certains législateurs démocrates ont promis de lancer des enquêtes du Congrès sur l'opération lorsqu'ils prendront le contrôle de la Chambre en janvier.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-11-20/troops-deployed-southwest-border-begin-withdrawal-migrant-caravan-arrives

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  13. Pourquoi l'Amérique compte-t-elle 13 millions de ménages qui n'ont pas assez à manger ?


    par Tyler Durden
    Mar., 20/11/2018 - 16h45
    Publié par Michael Snyder via le blog The End of The American Dream,


    Avez-vous déjà eu un jour où vos enfants pleuraient de faim, mais les armoires étaient complètement à nu et votre compte en banque était vide ?

    Sinon, vous devriez vous considérer comme extrêmement chanceux, car c’est la vraie vie que ressentent des millions d’Américains en 2018.

    Comme vous le verrez ci-dessous, un tiers des Américains ne peuvent même pas se permettre «les produits de base» chaque mois et 13 millions de ménages sont officiellement considérés comme «en insécurité alimentaire». En d’autres termes, ils n’ont pas assez à manger. De nombreux parents choisissent de sauter un repas (ou deux) chaque jour pour que leurs enfants puissent avoir l'estomac plein. Mais parfois, l'argent s'épuise complètement et c'est alors que cela devient vraiment difficile.

    Au cours des dernières années, les riches se sont bien débrouillés et beaucoup d'entre eux ont très peu de compassion pour les luttes des pauvres.

    Mais la dure réalité est que l'écart entre les riches et les pauvres est maintenant le plus grand depuis les années 1920 et qu'environ un tiers de la nation entière ne peut même pas se payer l'essentiel chaque mois…

    Considérez les statistiques suivantes.

    L’Américain moyen ne peut pas réunir 500 dollars en cas d’urgence.

    Un tiers des Américains n’ont pas les moyens d’acheter de la nourriture, un abri et des soins de santé.

    Les soins de santé pour une famille coûtent maintenant 28 000 dollars, soit environ la moitié du revenu médian, ce qui représente 60 000 dollars.

    Ce sont des chiffres qui donnent à réfléchir, et les médias traditionnels ne les répètent pas souvent.

    Un instant, j'aimerais que vous examiniez trois questions…

    - Est-ce que vous avez déjà évité d'emmener un membre de votre famille à l'hôpital parce que vous craigniez l'apparence du projet de loi ?

    - Avez-vous déjà éteint votre téléphone parce que vous en avez marre de recevoir des appels de collecteurs de factures?

    - Est-ce que vous vous êtes déjà réveillé la nuit avec une sensation de morsure au creux de l'estomac parce que vous ne saviez pas comment vous alliez payer les factures à la fin du mois ?

    Si oui, vous avez certainement beaucoup de compagnie. La vérité est que la plupart des familles américaines ont de grandes difficultés et que celles qui «se débrouillent bien» ne représentent qu'un très petit pourcentage de la population totale.

    Il n'y a pas si longtemps, CNN a décrit un garçon de deux ans, Ryder Pfaffly, et le reste de sa famille. Malheureusement, ils font partie des 13,1 millions de ménages américains qui n’ont pas assez à manger…

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  14. La famille Ryder représente les 13,1 millions de ménages américains avec des enfants qui manquent souvent de nourriture: «ménages exposés à l’insécurité alimentaire».

    "La nourriture est un combat parfois", a déclaré la mère de Ryder, Kelly Ann Pfaffly, qui élève également un garçon nouveau-né.

    Pfaffly, 23 ans, et son mari de 24 ans, Justin, sont mariés depuis cinq ans. Avec Ryder, sa sœur de 7 ans et son petit frère, tous vivent dans une petite pièce de l'hôtel. «Nous luttons depuis un certain temps déjà», a-t-elle déclaré. "Mais nous trouvons toujours un moyen de le faire."

    Bien sûr, Ryder et sa famille sont loin d’être seuls. À ce stade, plus de la moitié des ménages américains avec enfants reçoivent une assistance du gouvernement chaque mois. La classe moyenne s'érode progressivement et le nombre de «travailleurs pauvres» augmente rapidement.

    Beaucoup de travailleurs pauvres sont des parents isolés et ils souffrent souvent en silence, car ils ne veulent pas que leur entourage les méprise. Voici un extrait de l’histoire déchirante d’une mère célibataire…

    J'ai regardé les propriétaires potentiels avec un enfant de sept ans debout à côté de moi et un bébé sur ma hanche, demandant à faire une demande pour un petit studio que je pouvais à peine me permettre. J'ai parlé à une douzaine de secrétaires d'églises locales pour leur demander s'ils avaient les fonds nécessaires pour m'aider à payer les frais de garde. J'ai eu faim et j'ai fait payer des chèques pour commander une pizza au dîner.

    Ayant du mal à prendre soin de ma fille toute seule, j'avais besoin de l'aide gouvernementale à laquelle je pouvais prétendre - quelques centaines de dollars par mois en bons de nourriture, repas scolaires gratuits, bons de garde d'enfants et bons pour du lait et du fromage - alors que je travaillais simultanément comme femme de ménage , jonglant avec 10 clients entre aller en classe pour me mettre à l’école. Très peu de mes amis savaient. Ils ne connaissaient pas le travail que j’avais consacré à la recherche de ces ressources - des heures au téléphone, des files d’attente, la remise de gros paquets pour prouver mon besoin.

    Travailler aussi dur que possible jour après jour peut être une véritable perte de conscience. Ce n’est toujours pas suffisant.

    On a dit que l’argent ne peut pas acheter le bonheur, c’est vrai, mais cela peut certainement faciliter les choses.

    Selon une enquête très surprenante de Gallup, ceux qui vivent dans la pauvreté ont environ deux fois plus de risques d'avoir souffert de dépression que ceux qui ne le sont pas…

    Les Américains en situation de pauvreté sont plus susceptibles que ceux qui ne sont pas aux prises avec un large éventail de problèmes de santé chroniques, et la dépression touche de manière disproportionnée les personnes en situation de pauvreté. Environ 31 % des Américains en situation de pauvreté déclarent avoir déjà été diagnostiqués dépressifs, contre 15,8 % de ceux qui ne le sont pas. Les Américains appauvris sont également plus susceptibles de faire état d'asthme, de diabète, d'hypertension artérielle et de crises cardiaques - qui sont probablement liés au taux d'obésité plus élevé observé dans ce groupe - 31,8 % contre 26 % pour les adultes non pauvres.

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  15. Après avoir assimilé ces chiffres, certaines des choses que nous avons vu se produire politiquement dans ce pays commencent à avoir un sens. Les Américains sont à la recherche d'espoir, et beaucoup d'entre eux se promènent d'un parti à l'autre dans l'espoir que quelqu'un puisse proposer des solutions qui vont commencer à améliorer leur vie.

    Malheureusement, notre système n’a pas été réparé et nous vivons à une époque où l’économie commence à ralentir à nouveau. Au cours de la dernière récession, des milliers d’entreprises ont fait faillite, des millions de personnes ont perdu leur emploi et une multitude d’Américains ne pouvaient plus payer leurs hypothèques. La même chose va se reproduire et ce sera très douloureux pour notre société.

    Une tendance qui va continuer à s’aggraver concerne différentes générations vivant toutes ensemble sous le même toit. Bien que l’économie américaine soit supposément «rétablie» après la dernière récession, il s’agit d’une tendance qui ne cesse de croître…

    Une étude réalisée en 2014 par le Pew Research Center a révélé que 52 % des résidents américains dans la soixantaine, soit 17,4 millions de personnes, soutenaient financièrement un parent ou un enfant adulte, contre 45% en 2005. Parmi eux, environ 1,2 million soutiennent à la fois un parent et un enfant, plus du double du nombre dix ans plus tôt, selon une analyse des résultats de Pew et des données du recensement.

    La compression vient des deux côtés. Avec une durée de vie de plus en plus longue, le nombre de personnes âgées de 60 ans et plus vivant avec des parents vivants a plus que doublé depuis 1998, pour atteindre environ 10 millions, selon une analyse des données de l’Institut urbain du Michigan, et leur entretien coûte de plus en plus cher. Parallèlement, de nombreux baby-boomers aident leurs enfants à faire face à des problèmes de carrière ou de santé, ou se partagent le lourd fardeau des prêts étudiants.

    En fin de compte, vous devez faire ce que vous devez faire pour survivre de mois en mois.

    À un moment donné, la «prospérité sans fin» des États-Unis semblait vouloir continuer indéfiniment, mais nous sommes maintenant entrés dans une autre époque.

    La situation sera difficile dans les jours à venir et nous aurons tous besoin de plus de flexibilité que jamais.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-11-20/why-does-america-have-13-million-households-dont-have-enough-food-eat

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  16. «La muselière de la censure arrive»: l’adoption de lois controversées anti-fake news


    08:05 21.11.2018


    «Restons vigilants... entre lutte contre les fake news et censure d’articles plus sérieux, il n’y a qu’un pas»: contestée par l’opposition française, la loi contre la «manipulation de l’information» a finalement été adoptée en force par l'Assemblée nationale.

    Le Parlement a adopté définitivement mardi, par un ultime vote de l'Assemblée, les deux projets de loi controversés contre «la manipulation de l'information» en période électorale.

    Le premier texte a été voté par 183 voix contre 111 et 8 abstentions, avec l'appui de la majorité LREM-MoDem. Le second a été approuvé par 347 voix contre 204 et 14 abstentions, lors d'un vote auquel davantage de députés ont pris part. Droite et gauche ont voté contre ou se sont abstenues, dénonçant des lois «inutiles» et pointant «un risque», notamment pour la liberté d'expression.

    Des associations de journalistes se sont aussi élevées contre ces textes, craignant notamment un premier pas vers une possible censure d'État. De plus, de nombreux internautes ont exprimé leur opposition.

    Le chef de l'État français avait annoncé en janvier, lors de ses vœux à la presse, vouloir «faire évoluer notre dispositif juridique pour protéger la vie démocratique de ces fausses nouvelles» dans une allusion à peine voilée aux médias RT et Sputnik.

    Dans tous les cas de figure, le projet de loi anti-fake news prend la forme d'un instrument de lutte contre l'agence Sputnik et la chaîne RT, a commenté la rédactrice en chef de ces deux médias Margarita Simonian.

    https://fr.sputniknews.com/france/201811211038986589-loi-anti-fake-news-adoptee-manipulation-information/

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  17. Roule-t-on plus avec une heure de Smic aujourd’hui que dans les années 70 ?

    Emmanuelle Wargon, secrétaire d’État à la transition énergétique, affirme que « l’on roule plus aujourd’hui avec une heure de SMIC que dans les années 70 ». C’est faux, voilà pourquoi.


    Par Olivier Maurice.
    20 NOVEMBRE 2018


    Depuis quelques temps, le gouvernement et la République en Marche, président de la République en tête, s’illustrent en émettant une série de leçons de morale et d’économie dont la dernière en date fait le tour des réseaux sociaux, relayée par la secrétaire d’État à la transition écologique Emmanuelle Wargon qui affirme que « l’on roule plus aujourd’hui avec une heure de SMIC que dans les années 70 ».

    Le message paraît assez clair : les gaulois sont réfractaires aux réformes, les Français ne font que se plaindre et les gilets jaunes sont des affabulateurs, des geignards qui râlent sans avoir aucun sens des réalités.

    Effectivement, si on calcule combien de litres d’essence on pouvait acheter avec une heure de smic, on obtient bien ces chiffres.

    SAUF QUE…

    Sauf que, si on calcule combien de litres d’essence on pouvait s’acheter avec une heure de smic… brut, sans tenir compte des charges sociales, sans tenir compte de la CSG, sans tenir compte des 35 heures, sans tenir compte des impôts, sans tenir compte du fait que le SMIC a augmenté plus vite que le salaire médian… bref sans tenir compte de toutes les taxes et charges ajoutées et augmentées depuis les années 70 par les gouvernements successifs, on obtient bien ces chiffres.

    En calculant combien, au fil du temps, de litres d’essence on pouvait acheter avec un mois de smic net, on obtient une toute autre histoire.

    - voir graphique sur site -

    A peu de chose près, le pouvoir d’achat d’un smicard est resté identique depuis les années 80. Ou si vous préférez, un litre d’essence représente la même part du salaire net d’un smicard de 2018 que d’un smicard de 1986.

    ET AUSSI QUE…

    Mais des smicards, il y en a de plus en plus. Pas à cause des fameuses inégalités, ni de ces affreux ultra-riches, 1%, capitalistes, ultra-libéraux, etc., simplement parce que le smic est une décision politique et que le salaire est une composante économique. Il n’y a que les politiciens et les syndicalistes pour avoir l’idée saugrenue de croire qu’en relevant le smic, les salaires allaient par magie tous monter d’un cran.

    Simplement, aussi un peu parce que les politiques archaïques menées en France depuis les années 80 ont, contrairement à ce qui se produit dans le reste du monde où la pauvreté recule partout, opéré un nivellement par le bas et totalement paralysé l’économie du pays.

    Si on effectue le même calcul, non plus sur le smic, mais sur le salaire médian (le salaire qui sépare en 2 moitiés la population : ceux qui gagnent plus et ceux qui gagnent moins que cette somme), la courbe est sans appel : pour la majorité des Français, l’essence est de plus en plus chère.

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  18. - voir graphique sur site -

    LA DÉMAGOGIE POPULISTE DANS TOUTE SA SPLENDEUR

    On pourrait aller encore un peu plus loin, rajouter la pression fiscale (en constante augmentation), le chômage, l’augmentation du coût des autres postes du budget des ménages (gaz, électricité, eau…) histoire d’enfoncer le clou, mais ce n’est pas l’essentiel.

    A ce niveau de carabistouilles, on se demande surtout si la communication venant de la majorité présidentielle relève d’une totale incompréhension de l’économie, d’une complète surdité à ce que disent les Français ou d’une mauvaise foi proche de l’escroquerie intellectuelle.

    On se demande bien où se situe le populisme que dénonce avec fracas le président Macron, d’où proviennent les fake news si dangereuses et si le fait d’avoir fièrement élu des membres de la société civile n’a pas abouti à avoir porté au pouvoir une majorité godillots qui plutôt que de se faire l’écho des préoccupations des Français (et prendre le risque de fâcher Jupiter), est prête à répéter n’importe quelle calembredaine pour garder sa place bien au chaud sous les ors de la République.

    https://www.contrepoints.org/2018/11/20/330596-roule-t-on-plus-avec-une-heure-de-smic-aujourdhui-que-dans-les-annees-70

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  19. Un effet négligé de la malaria


    le 20 novembre 2018


    Quand les « globules rouges » – les hématies – sont infectées par le Plasmodium, agent pathogène parasite provoquant les crises de paludisme, certaines d’entre elles se trouvant dans la moëlle osseuse, siège de la production de ces cellules sanguines, libèrent des protéines du parasite. Une équipe de biologistes de l’Université d’Osaka s’est donc intéressée aux effets potentiels de la malaria sur l’intégrité des os dits longs, ceux qui produisent les cellules sanguines des lignées rouge et blanche. Et ils n’ont pas été déçus. J’avais contacté le Professeur Shizuo Akira, directeur de cette équipe, pour me proposer comme sujet d’étude de l’intégrité de mes os. Je souffre en effet depuis maintenant 20 ans de crises épisodiques de malaria. Mais ne disposant pas de crédits suffisants pour prendre en charge mes frais de déplacement en Shinkansen depuis Tokyo et mon hébergement sur place à Osaka il n’avait pas donné suite à ma proposition.

    La libération de protéines spécifiques du Plasmodium dans la moëlle osseuse altère la structure de l’os à la suite d’une réponse immunitaire complexe impliquant divers mécanismes décrits dans le résumé en image sur site. Le mécanisme complexe est induit par une protéine appellée RANK (acronyme de receptor activator of nuclear factor kB) présente à la surface des ostéoblastes constamment produits dans l’intérieur de l’os qui se transforment ensuite en ostéoclastes, constituant finaux de l’architecture interne poreuse de l’os permettant à la moëlle de séjourner tout en étant protégée dans les os longs. Or la cascade immunitaire provoquée par diverses molécules du Plasmodium perturbe ce mécanisme délicat et dès lors affaiblit cette architecture osseuse. La première étape de la réponse immunitaire est une activation de la réponse primaire provoquée par la présence de protéines étrangères. Le facteur initial de cette réponse immunitaire est appellé MyD88 (voir le résumé imagé ci-dessus).

    Le résultat observé sur l’évolution de la structure des os d’un modèle de souris pour l’étude en laboratoire de la malaria est parlant. Les os longs brunissent et deviennent plus fragiles et de tels effets peuvent souvent être observés chez les enfants souffrant de malaria et dont la croissance osseuse est alors perturbée. Que mes lecteurs se rassurent à mon sujet, mes os semblent être en parfait état mais la gingivite dont je souffre épisodiquement peut également être provoquée, selon cette étude, par la présence de Plasmodium.

    Source et illustration : Science Immunology, 2, eaam8093 (2 June 2017)

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2018/11/20/un-effet-neglige-de-la-malaria/

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  20. Fruits d'endoctrinement de collège


    Par Walter E. Williams
    21 novembre 2018


    La plupart des incivilités et du mépris actuels pour la liberté individuelle ont leurs racines dans les campus universitaires, et la plupart des incivils et des mépris sont des personnes ayant des antécédents universitaires. Voyons quelques exemples récents d’incivilités et d’attaques contre la liberté d’expression très médiatisés.

    Le chef de la majorité au Sénat, Mitch McConnell, et son épouse, la secrétaire aux transports, Elaine Chao, ont été abordés et harcelés par une foule dérangée de gauche alors qu'ils sortaient d'un dîner à l'université de Georgetown. Le sénateur McConnell a été harcelé par des manifestants à l'aéroport national Reagan, ainsi que sur plusieurs sites du Kentucky. Le sénateur Ted Cruz et son épouse ont été harcelés dans un restaurant à Washington, DC. Par la suite, un groupe appelé Smash Racism DC a écrit: «Non, vous ne pouvez pas manger en paix, votre politique est une attaque contre nous tous. Vous êtes (sic) les votes sont un souhait de mort. Vos votes sont des crimes haineux. »D'autres membres du Congrès - tels que Andy Harris, Susan Collins et Rand Paul - ont été agressés physiquement ou harcelés par des gauchistes. Le plus récent est le cas du commentateur politique de Fox News, Tucker Carlson. Un groupe de gauche s'est présenté chez lui la nuit, endommageant sa porte et scandant: «Tucker Carlson, nous allons nous battre ! Nous savons où vous dormez la nuit ! "" Salaud, raciste, quitte la ville ! "

    Mayhem contre des personnes ayant des points de vue différents est excusé comme un simple désert pour ce qui est considéré comme un discours de haine. Charles Murray, chercheur au Enterprise Institute, a découvert cela quand il a été crié au Middlebury College et que le professeur qui l'accompagnait a été envoyé à l'hôpital avec des blessures. Des étudiants de l'Université de Californie à Berkeley ont arrêté un orateur controversé et ont causé des dégâts causés par les émeutes estimés à 100 000 dollars. Les manifestants de l'UCLA et du Claremont McKenna College ont perturbé les conférences programmées par Heather Mac Donald, chercheuse au Manhattan Institute.

    La Fondation pour les droits individuels dans l'éducation a mis en place des équipes dites de «biais» sur des centaines de campus universitaires américains. Les équipes de lutte contre les préjugés se rapportent aux responsables du campus - et parfois aux agents de la force publique - des propos qui peuvent causer "une alarme, de la colère ou de la peur" ou qui pourraient éventuellement offenser. Dessiner des images ou des dessins humiliant qui déprécient les gens en raison de leurs croyances ou de leur appartenance politique peut être qualifié de discours de haine. Les universités ont expressément pour objectif d'interdire les discours protégés par la Constitution (http://tinyurl.com/y7jo75dg). Comme le signalait FIRE en 2017, des centaines d'universités à travers le pays maintiennent désormais des systèmes orwelliens qui demandent aux étudiants de signaler - souvent de manière anonyme - leurs voisins, amis et professeurs, pour tous les cas présumés de discours et d'expression biaisés.

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  21. Un récent sondage de la Brookings Institution a révélé que près de la moitié des étudiants considèrent que le discours de haine n'est pas protégé par le Premier amendement. C'est un non-sens; il est. Cinquante et un pour cent des étudiants pensent avoir le droit de crier contre un orateur avec lequel ils sont en désaccord. Dix-neuf pour cent des élèves pensent qu’il est acceptable d’utiliser la violence pour empêcher un locuteur de parler. Plus de 50 % sont d'accord pour dire que les collèges devraient interdire les discours et les points de vue susceptibles d'offenser certaines personnes (http://tinyurl.com/yayxt45u). Il ne faut pas s’étonner du tout si ces visions sont enseignées et tenues par beaucoup de leurs professeurs. Les collèges ont autrefois enseigné et favorisé la compréhension de la culture occidentale. Aujourd'hui, de nombreux professeurs et la bureaucratie des collèges enseignent aux étudiants qu'ils sont victimes de la culture et des valeurs occidentales.

    Benjamin Franklin a écrit: «Quiconque voudrait renverser la Liberté d’une nation doit commencer par maîtriser la liberté de parole.» Bien plus tard, le juge de la Cour suprême, Potter Stewart, a déclaré: «La censure reflète le manque de confiance d’une société en elle-même. C'est la marque d'un régime autoritaire. »Des nazis aux staliniens en passant par les maoïstes, les tyrans ont toujours commencé à soutenir la liberté d'expression, tout comme les gauchistes américains l'ont fait dans les années 1960. Leur soutien à la liberté d'expression est facile à comprendre. La parole est vitale pour la réalisation de leurs objectifs de commandement, de contrôle et de confiscation. Le droit de dire ce qui leur plaît est leur outil d’endoctrinement, de propagande et de prosélytisme. Une fois que les gauchistes ont repris le contrôle, comme cela a été le cas dans de nombreuses universités, la liberté de parole devient un handicap et doit être supprimée. C'est de plus en plus le cas sur les campus universitaires. Une grande partie des incivilités hors campus que nous constatons aujourd'hui est le fruit de ce qu'une éducation universitaire a apportée à nos jeunes.

    https://www.lewrockwell.com/2018/11/walter-e-williams/fruits-of-college-indoctrination/

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    1. La question à se poser est : Pourquoi sommes-nous pas tous du même avis ? La réponse est: l'absence de Démocratie.

      Lorsque vous déléguez des 'élus' pour vous représenter au Congrès, vous donnez carte blanche à ces personnes pour voter des lois contre vous sans vous demander votre avis.

      La Démocratie c'est tout le contraire d'une dictature (monarchie, république, empire), c'est le Peuple qui dirige.

      C'est le Peuple qui est invité à proposer SES propres lois et à voter SES propres lois. C'est ce qui se passe en Suisse (seule Démocratie au monde) où plusieurs fois par an sont organisés des référendums où les citoyens helvétiques votent le même jours un grand nombre de lois cochées sur une feuille.

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  22. Un ennemi britannique n'est pas la Russie, mais sa propre classe dirigeante, confirme le rapport de l'ONU


    par Tyler Durden
    Mer., 21/11/2018 - 03:30
    Auteur: John Wright. article d'opinion via RT.com,


    Alors que l'establishment politique britannique s'effondre devant le Brexit, une crise bien plus grave continue d'affliger des millions de victimes de l'austérité conservatrice ...

    Un rapport dévastateur des Nations Unies sur la pauvreté au Royaume-Uni fournit des preuves irréfutables que l'ennemi du peuple britannique est la classe dirigeante même qui a fait tout son possible ces dernières années pour le convaincre qu'il s'agissait de la Russie.

    Le professeur Philip Alston, en sa qualité de rapporteur spécial des Nations Unies sur l'extrême pauvreté et les droits de l'homme, a effectué une tournée de deux semaines au Royaume-Uni. Il a enquêté sur l'impact de huit années de l'un des programmes d'austérité les plus extrêmes parmi les économies avancées du G20, suite au krach financier de 2008 et à la récession mondiale qui a suivi.

    Ce qu’il a trouvé était la preuve d’une guerre économique systématique, volontaire, concertée et brutale déclenchée par l’institution conservatrice de droite du pays contre la partie la plus pauvre et la plus vulnérable de la société britannique - bouleversant la vie de millions de personnes non responsables du crime susmentionné. krach financier et récession, mais qui ont été contraints de payer le prix.

    De l'introduction du rapport:

    "Il semble… manifestement injuste et contraire aux valeurs britanniques que tant de personnes vivent dans la pauvreté. Cela est évident pour quiconque ouvre les yeux sur l'immense croissance des banques alimentaires et les files d'attente qui les attendent à l'extérieur, les personnes qui dorment dans la rue. , le nombre croissant de sans-abri et le profond désespoir qui poussent même le gouvernement à nommer un ministre de la prévention du suicide et une société civile chargés de faire un rapport approfondi sur les niveaux sans précédent de solitude et d’isolement. "

    Bien qu'en tant que citoyen du Royaume-Uni, je m'adresse respectueusement à la thèse du professeur qui affirme qu'un tel carnage social et économique semble "contraire aux valeurs britanniques" (au contraire, il est tout à fait conforme aux valeurs de l'établissement tory du pays, établissement pour qui la déshumanisation des pauvres et de la classe ouvrière est au centre de son idéologie), il fait valoir qu’il est "évident pour quiconque ouvre les yeux", est bien fait.

    Car il est maintenant vrai que dans chaque ville et centre-ville de Grande-Bretagne, il est impossible de marcher dans plus de directions que plus d'une minute avant de rencontrer des sans-abri en train de mendier dans la rue. Et le fait que quelque 13 000 d'entre eux soient d'anciens soldats, victimes des diverses aventures militaires du pays au cours des dernières années, entreprises au service de Washington, expose les pieuses platitudes colportées par les politiciens et le gouvernement en signe de révérence pour les troupes et leur "sacrifice" comme des ordures peu sincères.

    Au total, 14 millions de personnes au Royaume-Uni vivent maintenant dans la pauvreté, chiffre qui correspond à un cinquième de la population. Quatre millions d'entre eux sont des enfants et, selon le professeur Alston, 1,5 million de personnes sont sans ressources, c'est-à-dire incapables de payer les nécessités de base de la vie.

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  23. Et c'est ce que la classe dirigeante de la cinquième plus grande économie du monde, un pays qui se présente sur la scène mondiale comme un pilier de la démocratie et des droits de l'homme, considère le progrès.

    Les valeurs responsables de la création d’un tel paysage social sont compatibles avec le 18ème siècle et non le 21ème siècle. Ils prouvent que le réseau d’écoles privées d’élite - Eton, Harrow, Fettes College et al. - où les responsables de ce carnage humain sont inculqués avec le sens du droit et nés pour gouverner l'ethos qui les définit, sont les foyers britanniques de l'extrémisme.

    Professeur Alston:

    "La compassion des Britanniques envers ceux qui souffrent a été remplacée par une approche punitive, mesquine et souvent dure, apparemment destinée à instaurer la discipline là où il est le moins utile, à imposer un ordre rigide à la vie de ceux qui sont le moins en mesure de faire face à la situation actuelle. monde, et élever l’objectif consistant à faire respecter les règles aveugles par rapport à un véritable souci d’améliorer le bien-être des personnes se situant au plus bas niveau de la société britannique. "

    La barbarie qui va de pair avec le capitalisme de libre marché est exposée ci-dessus, en gros caractères. C’est la même barbarie qui a poussé la Russie post-soviétique dans un abîme économique et social d’une décennie, dans les années 90, et les valeurs qui ont poussé 14 millions de Britanniques au même abîme économique et social de notre époque.

    Il convient de souligner que l'austérité n'est pas et n'a jamais été une réponse économique viable à la récession dans une économie donnée.

    Au lieu de cela, il s’agit d’un club idéologique mis en place pour le compte des grandes et riches entreprises afin de faire en sorte que le prix payé pour ladite récession économique soit supporté exclusivement par ceux qui sont le moins en mesure de la supporter - à savoir les pauvres et les travailleurs. C'est une guerre de classe sous un autre nom, empaquetée et présentée comme une politique gouvernementale légitime.

    Cependant, dans le cas de la Grande-Bretagne en 2018, il s’agit d’une guerre sans pareille car, comme le rapport du professeur Philip Alston le met à nu, une seule partie de cette guerre a lancé tous les coups de poing et une seule partie les a pris.

    Avec la période de Noël, l'ampleur de la souffrance humaine à travers le Royaume-Uni garantit que les campagnes publicitaires élaborées nous invitant à faire des emplettes et à céder à tout notre coeur - des annonces illustrant le rêve de la classe moyenne d'abondance et de confort matériel - revêtent le caractère d'une provocation . En fait, ils rappellent le truisme selon lequel les guerres ont lieu lorsque le gouvernement vous dit qui est l’ennemi, tandis que les révolutions ont lieu lorsque vous vous débrouillez.

    En Grande-Bretagne, l'identité de l'ennemi n'a jamais été aussi claire.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-11-20/britains-enemy-not-russia-its-own-ruling-class-un-report-confirms

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  24. La Françafrique jugée par les panafricanistes


    12:23 21.11.2018
    Mikhail Gamandiy-Egorov


    Attaque en règle contre la Françafrique. Au Burkina Faso, l’activiste Kemi Seba et son ONG Urgences Panafricanistes ont tenu lors d’un meeting public le «procès» de l’ingérence française sur le continent et de ses soutiens locaux. Une initiative que le militant souhaite décliner dans d’autres pays, victimes selon lui du «néocolonialisme français».

    «Lancer le procès du peuple contre la Françafrique»: telle était l'initiative annoncée par le célèbre activiste panafricaniste Kemi Seba et son organisation, Urgences Panafricanistes. Cette mobilisation, qui a réuni près de 3.000 personnes à Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso, compte s'étendre à toute l'Afrique francophone.Plusieurs sujets ont été soulevés lors de cet événement, comme l'exploitation des ressources naturelles africaines, les crimes politiques, la question du franc CFA, sans oublier les médias de la Françafrique.

    Selon plusieurs sources, des pressions auraient été exercées pour faire annuler cet événement en question. C'est ce qu'a indiqué Kemi Seba, arguant que c'était la meilleure preuve que ses partisans et lui «tapaient juste» et faisaient peur aux représentants du néocolonialisme et à leurs soutiens: «Avec cette immense foule qui a envahi la salle de la Maison du peuple, les ennemis devront savoir dorénavant qu'ils feront désormais face à des milliers de sankaristes.»

    Le fait que la manifestation ait bien eu lieu a donc été vu comme une victoire par Kemi Seba, qui n'a pas manqué de faire un parallèle historique: «l'assassinat du capitaine Thomas Sankara n'a pas réussi à anéantir son combat». Il a rappelé l'appartenance burkinabè et panafricaine de Thomas Sankara, qui s'est toujours radicalement opposé au néocolonialisme occidental.

    «Nous, notre démarche est claire. Nous sommes diabolisés par l'impérialisme français, nous sommes persécutés par l'impérialisme français parce que nous dérangeons véritablement le système et que nous réunissons les masses africaines, ce qui les dérange profondément», a-t-il en outre expliqué.

    Fait intéressant, la plupart des personnes venues assister à la mobilisation panafricaine de Ouagadougou faisaient partie de la jeunesse. Une jeunesse africaine aujourd'hui attirée par les idées du panafricanisme, mais également de dignité nationale et de souverainisme.

    Après donc Ouagadougou, d'autres capitales d'Afrique francophone sont appelées à accueillir au cours des prochains mois des «procès populaires de la Françafrique». «À la fin de toutes ces audiences, une sanction commune et collective sera établie par le peuple, pour le peuple, contre l'impérialisme français et les traîtres africains qui collaborent au quotidien avec ce néocolonialisme. Je fais le serment, au nom des ancêtres, que le néocolonialisme va vivre ses dernières heures d'ici quelque temps», telle fut la virulente conclusion de Kemi Seba à l'issue de cette mobilisation au pays de Thomas Sankara.

    https://fr.sputniknews.com/points_de_vue/201811211038988372-francafrique-burkina-faso-panafricaniste/

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    1. Remarquez bien que les noms des dictateurs qui ont escroqué l'Afrique depuis des décennies ne sont pas cités (pour cause de valises remplies de billets) !!

      C'est-à-dire qu'est en train de naître un racisme anti-français qui ne tardera pas de mettre le feu au poudre des 'réfugiés climatiques' africains !!

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  25. Comment mettre fin à la Démocratie en Suisse:

    LES DÉPUTÉS JURASSIENS ADOPTENT LE VOTE ÉLECTRONIQUE
    Le vote électronique sera introduit par étapes dans la canton du Jura. La modification de la loi privilégie les Suisses de l'étranger, avant de généraliser cette pratique.

    21.11.2018, 11h42


    Le canton du Jura va adopter progressivement le vote électronique. Le Parlement jurassien a voté mercredi à une courte majorité une modification de loi instaurant la pratique pour les Suisses de l'étranger, avant de la généraliser.

    La modification de la loi sur les droits politiques a été adoptée par 30 voix pour, 28 contre et une abstention. Elle privilégie une entrée par étapes dans le vote électronique, répondant au souhait du Conseil fédéral et du Gouvernement jurassien. Nourris, les débats ont confirmé des divisions apparues déjà dans la commission de la justice.

    Système pas encore fiable

    La majorité de cette dernière, à savoir le PDC, le PLR et le PCSI, soutenait l'introduction avec la possibilité pour le Gouvernement de l'ouvrir progressivement d'abord aux citoyens suisses de l'étranger. La généralisation, pour les votations et élections dans le canton et en Suisse, interviendra dans un deuxième temps.

    La proposition était combattue par l'UDC, les Verts et le Combat socialiste-POP. Ces trois groupes se sont opposés à tout recours au vote électronique, estimant que le système n'est pas encore fiable et qu'il n'y a pas d'urgence à l'introduire.

    Aussi minoritaire, le PS a prôné une introduction d'abord uniquement aux Suisses de l'étranger, «pour leur permettre une participation facilitée aux votations.» Ensuite, avec un système éprouvé et au gré des besoins, le Parlement pourrait modifier la loi pour ouvrir plus largement son utilisation.

    Sécurité garantie

    «La sécurité est garantie», a expliqué devant le plénum le député PDC Vincent Eschmann, rapporteur de la Commission de la justice. Le suivi par la Confédération offre par ailleurs des garanties supplémentaires. La proposition de commencer par le vote des Suisses de l'étranger vient du Conseil fédéral.

    Le vote électronique s'inscrit parfaitement dans le message de législature du Gouvernement jurassien, selon lequel «le canton du Jura est un acteur du numérique», a rappelé le ministre David Eray. Le système de La Poste sera retenu, comme dans six cantons, dont Neuchâtel et Fribourg, a précisé le président de l'exécutif.

    La députée des Verts Erica Hennequin a estimé, au nom de la minorité de la commission, que l'introduction du vote électronique était prématurée. «Il y a trop de failles de sécurité», a-t-elle indiqué, en se référant au système genevois qui a rencontré des problèmes récemment. Des réserves partagées par le groupe socialiste.

    Dépouillement physique

    Le député Loïc Dobler (PS) a regretté en outre la fin de l'implication de citoyens dans le dépouillement, si le système se généralise. «La tendance n'est pas nécessairement au vote électronique. Ainsi, en Allemagne le système n'est pas jugé compatible avec la démocratie», a-t-il dit, tout en louant son utilité pour les Suisses de l'étranger.

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  26. Du côté de l'UDC, le député Didier Spies a déploré le fait que derrière le système du géant jaune se trouve une entreprise espagnole, pour renforcer son opposition au projet. Selon lui, il n'a pas été constaté en outre une augmentation de la participation aux votations et aux élections.

    Volonté fédérale

    Le vote électronique est en phase d'expérimentation. Depuis 2004, plus de 200 essais ont été menés dans quatorze cantons. Neuf proposent désormais le vote électronique, dont cinq pour les électeurs en Suisse (avec Neuchâtel, Fribourg et Genève) aussi. Les cantons ont le choix entre les systèmes du canton de Genève et celui de La Poste.

    A fin juin, Le Conseil fédéral a décidé d'ouvrir une consultation pour généraliser ce système. La Chancellerie fédérale doit élaborer un projet en se basant sur les conclusions du groupe d'experts chargé d'en mettre au point les grandes lignes. La réforme passera par une révision de la loi sur les droits politiques. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/suisse/suisse-romande/deputes-jurassiens-adoptent-vote-electronique/story/22324035

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    1. Rien n'est plus truquable, piratable et modifiable que ce qui passe sur les ondes électriques ! Ce ne sont pas les États-Unis d'Amérique qui diront le contraire !

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  27. Les volcans et les glaciers se combinent pour devenir de puissants producteurs de méthane


    20 novembre 2018,
    Université de Lancaster


    Des scientifiques ont découvert que de grandes quantités de méthane, un puissant gaz à effet de serre, sont en train d'être libérées par un glacier islandais.

    Une étude du glacier Sólheimajökull, qui provient du volcan Katla, actif et recouvert de glace, montre que jusqu'à 41 tonnes de méthane sont libérées par les eaux de fonte tous les jours pendant les mois d'été. Cela équivaut à peu près au méthane produit par plus de 136 000 vaches en éructations.
    La recherche menée par l'université de Lancaster, qui figure dans Scientific Reports, est la première étude de terrain publiée à montrer la libération de méthane par les glaciers à cette échelle.

    "Il s'agit d'une quantité énorme de méthane perdue dans le flux d'eau de fonte glaciaire dans l'atmosphère", a déclaré le Dr Peter Wynn, biogéochimiste glaciaire du Centre de l'environnement de Lancaster et auteur correspondant de l'étude. "Elle dépasse largement les pertes moyennes de méthane dans l'atmosphère par les rivières non glaciaires rapportées dans la littérature scientifique. Elle rivalise avec certaines des zones humides les plus productrices de méthane du monde; elle représente plus de vingt fois les émissions de méthane connues de tous les autres volcans d'Europe réunis. "

    Le Dr Wynn a ajouté: "Le méthane a un potentiel de réchauffement planétaire 28 fois supérieur à celui du gaz carbonique. Il est donc important de connaître les différentes sources de méthane rejetées dans l’atmosphère et de déterminer comment elles pourraient changer à l’avenir.

    "Il y a eu beaucoup de spéculations sur le fait que les glaciers puissent ou non libérer du méthane. Les lits de glaciers contiennent le cocktail parfait de conditions propices à la production de méthane - microbes, manque d'oxygène, matières organiques et eau - ainsi qu'un bouchon de glace imperméable sur la surface de l'eau surface piégeant le méthane dessous.

    "Cependant, personne n’a fait de recherches approfondies à ce sujet sur le terrain et c’est la plus grande preuve à ce jour que les glaciers libèrent du méthane."

    Les volcans et les glaciers se combinent pour devenir de puissants producteurs de méthane

    L'étude sort du doctorat Mme Rebecca Burns, chercheuse diplômée à l'Université de Lancaster, a mené des recherches dans le cadre du Center for Global Eco-innovation, financé en partie par le Fonds européen de développement régional.

    M. Burns a prélevé des échantillons d’eau au bord du lac d’eau de fonte situé devant le glacier Sólheimajökull et a mesuré les concentrations de méthane, en les comparant aux niveaux de méthane dans les sédiments et autres rivières environnants, afin de s’assurer que le méthane ne serait pas libéré par le paysage environnant.

    "Les concentrations les plus élevées ont été trouvées au point où la rivière débouche sous le glacier et pénètre dans le lac. Cela montre que le méthane doit provenir du sous-glacier", explique le Dr Wynn.

    À l'aide d'un spectromètre de masse, qui identifie «l'empreinte digitale» unique du méthane, les chercheurs ont découvert que le méthane provenait d'une activité microbiologique au lit du glacier. Mais il y a toujours une connexion avec le volcan.

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  28. "Nous pensons que, même si le volcan ne produit pas de méthane, il fournit les conditions qui permettent aux microbes de se développer et de libérer du méthane dans les eaux de fonte environnantes", a déclaré le Dr Wynn.

    Normalement, lorsque le méthane entre en contact avec de l'oxygène, il se combine pour former du gaz carbonique, de sorte que le méthane disparaît effectivement. Sur un glacier, des eaux de fusion riches en oxygène dissous accèdent au lit de la masse de glace et convertissent le méthane présent en dioxyde de carbone.

    "Comprendre l'évolution saisonnière du système de drainage sous-glaciaire de Sólheimajökull et son interaction avec la zone géothermique de Katla faisait partie de ce travail", a déclaré la professeure Fiona Tweed, experte en hydrologie glaciaire à la Staffordshire University et co-auteur de l'étude.
    Les volcans et les glaciers se combinent pour devenir de puissants producteurs de méthane

    À Sólheimajökull, lorsque l'eau de fonte atteint le lit du glacier, elle entre en contact avec les gaz produits par le volcan Katla. Ces gaz réduisent la teneur en oxygène de l'eau, ce qui signifie qu'une partie du méthane produit par les microbes peut être dissoute dans l'eau et transportée hors du glacier sans être convertie en gaz carbonique.

    Le Dr Hugh Tuffen, volcanologue à l’Université de Lancaster et co-auteur de l’étude, a déclaré: "La chaleur du volcan Katla pourrait considérablement accélérer la génération de méthane microbien. Vous pourriez donc considérer Katla comme un incubateur microbien géant.

    "Les scientifiques ont récemment découvert que Katla émettait de grandes quantités de gaz carbonique- il fait partie du top 5 mondial en termes d'émissions de gaz carbonique des volcans. Katla est donc certainement un volcan très intéressant et très gazeux".

    "L'Islande et l'Antarctique ont de nombreux volcans actifs recouverts de glace et des systèmes géothermiques", a déclaré le Dr Burns. "Le récent rapport du Groupe international sur l'évolution du climat (GIEC) souligne que les trajectoires actuelles indiquent que le réchauffement planétaire devrait atteindre 1,5 ° C entre 2030 et 2052, avec la plus grande sensibilité perçue au climat aux latitudes plus élevées. Si le méthane produit sous ces calottes glaciaires s’échappant alors que la glace se dilue, il est possible que nous assistions à une augmentation à court terme de la libération de méthane de masses de glace dans le futur.

    Andri Stefansson, professeur de géochimie hydrothermale à l'Université d'Islande, qui n'a pas participé à l'étude, a déclaré: "Ces résultats fournissent des informations importantes et nouvelles sur l'origine et les flux de méthane à la surface de la Terre et sur l'importance de ce gaz à effet de serre pour l'environnement. atmosphère de ces systèmes.

    Cependant, les chercheurs ont averti qu’il n’était pas encore clair comment ces effets se manifesteraient. Ils pensent que, même si un pic de méthane pourrait être libéré à court terme pendant que le glacier fond et s'amincit, le processus pourrait s'auto-limiter à long terme car, avec d'autres raisons, sans glace, les conditions de production du méthane sont enlevé.

    https://phys.org/news/2018-11-volcanoes-glaciers-combine-powerful-methane.html#jCp

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    1. (...) "Le méthane a un potentiel de réchauffement planétaire 28 fois supérieur à celui du gaz carbonique. (...)

      Et comme le gaz carbonique n'a AUCUN pouvoir calorifique reconnu par les scientifiques... hahahaha ! 28 zéros !

      Notez bien que même s'ils constatent que ce sont les volcans sous-océaniques qui fondent les glaciers par en-dessous, la culpabilité volcanique (et pourquoi pas trembloterrogène ?) de l'humain (comme celui des vaches qui pètent !) est mis en cause ! Hahahaha !

      D'ailleurs, c'est chaque année qu'il y a des millions de météorites qui évitent la planète Terre de peur de tomber comme la tour n°7 à N-Y !!! Hahahaha !

      Les glaces pètent aussi ! Faites donc gaffe à celles que vous sucez !

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  29. Les scientifiques découvrent que la zone d'extraction des fonds marins héberge une bactérie consommant du gaz carbonique


    20 novembre 2018,
    Université Heriot-Watt


    Les scientifiques ont découvert que les bactéries dans les parties les plus profondes du fond marin absorbent le gaz carbonique et pourraient se transformer en une source de nourriture supplémentaire pour la vie des autres profondeurs marines.

    Selon une nouvelle étude, des bactéries vivant à 4 000 m sous la surface de l'océan dans la zone de fracture de Clarion-Clipperton (CCFZ) consomment du gaz carbonique et le convertissent en biomasse.

    Jusqu'à présent, les scientifiques pensaient que la principale source de biomasse sur le fond marin était la matière organique qui flottait vers les profondeurs: poissons morts, plancton et autres détritus.

    Le professeur Andrew K. Sweetman du Centre Lyell pour les sciences et technologies de la Terre et de la mer de l'Université Heriot-Watt d'Edimbourg a déclaré: "Nous avons récemment fait deux découvertes majeures.

    "Contrairement à des études similaires menées dans l’Atlantique Nord, nous avons constaté que les bactéries et non les animaux des fonds marins étaient les organismes les plus importants consommateurs de détritus organiques qui flottaient vers le fond de l’océan.

    "Nous avons également découvert que les bactéries benthiques absorbaient de grandes quantités de gaz carbonique et l'assimilaient dans leur biomasse par le biais d'un processus inconnu. C'était totalement inattendu.

    "Leur biomasse devient alors potentiellement une source de nourriture pour les autres animaux des profondeurs de la mer. Nous avons donc découvert une source de nourriture potentielle dans les parties les plus profondes de l'océan, où nous pensions qu'il n'y en avait pas.

    "Si nous étendons nos résultats à l'océan mondial, nos résultats révèlent que 200 millions de tonnes de gaz carbonique pourraient être fixées dans la biomasse chaque année grâce à ce processus.

    "Cela équivaut à environ 10% du gaz carbonique que les océans éliminent chaque année, ce qui en fait probablement une partie importante du cycle du carbone en haute mer.

    "Nous avons trouvé la même activité sur plusieurs sites d'étude séparés par des centaines de kilomètres. Nous pouvons donc raisonnablement supposer que cela se produit sur les fonds marins de la ZFCE de l'Est et peut-être même sur l'ensemble de la ZFCE."

    La CCFZ est un domaine d’intérêt essentiel pour l’exploitation future des fonds marins (nodules polymétalliques). Seize contractants originaires de pays comme le Royaume-Uni, l'Allemagne, la France et la Corée ont revendiqué des droits d'exploration dans cette région et ont commencé à mener des enquêtes afin de recueillir des données de base sur la biodiversité et la connectivité génétique dans leurs zones de claims.

    M. Sweetman appelle l'Autorité internationale des fonds marins à veiller à ce que les sous-traitants de cette région mettent en œuvre une surveillance du cycle du carbone ainsi que des études sur la biodiversité et la génétique.

    Sweetman a déclaré: "Si l'exploitation minière se poursuit dans la ZCCP, cela perturbera considérablement l'environnement du fond marin.

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  30. "Quatre expériences similaires aux nôtres ont été menées in situ dans les régions abyssales des océans; nous devons en savoir plus sur la biologie et l'écologie des fonds marins abyssaux avant même d'envisager d'exploiter la région.

    "L'exploitation minière à grande échelle proposée dans la zone de fracture Clarion-Clipperton pourrait avoir un impact significatif sur les écosystèmes benthiques pendant des décennies, voire davantage.

    "Maintenant que nous avons montré que de nouveaux processus de cycle du carbone sont en cours sur le fond de la mer dans cette région, ce qui pourrait être très important en termes de cycle du carbone, les autorités devraient insister pour que les entreprises minières enthousiastes étudient ces processus lors d'enquêtes de référence, d'évaluations d'impact et de suivi , afin que les changements liés à l’exploitation minière dans cet important processus écosystémique puissent être identifiés et suivis. "

    Les résultats ont été publiés dans la revue Limnology and Oceanography.

    https://phys.org/news/2018-11-deep-sea-zone-hosts-carbon.html#jCp

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    1. Malgré que le gaz carbonique soit le plus lourd de tous les gaz, il ne descend pas de l'atmosphère vers les fonds marins sous la forme de gaz mais de nano-particules de carbone (charbon) grâce au phyto-plancton qui le transforme et abonde à la surface. Le gaz carbonique présent au fond des mers provient seulement des volcans qui en tapissent les fonds (pareillement que les terrestres) et évacuent continuellement mille et un déchets vers la surface.

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  31. Comment convertir le gaz carbonique qui change le climat en plastiques et autres produits


    20 novembre 2018,
    Université Rutgers



    Les scientifiques de Rutgers ont mis au point des catalyseurs capables de convertir le gaz carbonique, principale cause du réchauffement de la planète, en plastiques, tissus, résines et autres produits.

    Les électrocatalyseurs sont les premiers matériaux, hormis les enzymes, capables de transformer le gaz carbonique et l'eau en éléments constitutifs de carbone contenant un, deux, trois ou quatre atomes de carbone avec une efficacité supérieure à 99%. Deux des produits créés par les chercheurs - le méthylglyoxal (C3) et le 2,3-furandiol (C4) - peuvent être utilisés comme précurseurs de plastiques, d'adhésifs et de produits pharmaceutiques. Le formaldéhyde toxique pourrait être remplacé par le méthylglyoxal, qui est plus sûr.

    La découverte, basée sur la chimie de la photosynthèse artificielle, est détaillée dans le journal Energy & Environmental Science.

    "Notre avancée pourrait conduire à la conversion de gaz carbonique en produits de valeur et en matières premières dans les industries chimique et pharmaceutique", a déclaré l'auteur principal de l'étude, Charles Dismukes, professeur distingué du département de chimie et de biologie chimique et du département de biochimie et de microbiologie de Rutgers. Université du Nouveau-Brunswick. Il est également chercheur principal à l'Institut de microbiologie Waksman de Rutgers.

    Auparavant, les scientifiques ont montré que le gaz carbonique peut être converti par voie électrochimique en méthanol, éthanol, méthane et éthylène avec des rendements relativement élevés. Mais une telle production est inefficace et trop coûteuse pour être commercialement réalisable, selon l’auteure principale de l’étude, Karin Calvinho, étudiante au doctorat en chimie à la Rutgers School of Graduate Studies.

    Cependant, le gaz carbonique et l'eau peuvent être convertis par voie électrochimique en une vaste gamme de produits à base de carbone, en utilisant cinq catalyseurs à base de nickel et de phosphore, qui sont bon marché et abondants, a-t-elle déclaré. Le choix du catalyseur et d'autres conditions déterminent combien d'atomes de carbone peuvent être assemblés pour former des molécules ou même générer des polymères plus longs. En général, plus la chaîne de carbone est longue, plus le produit a de la valeur.

    Sur la base de leurs recherches, les scientifiques de Rutgers ont obtenu des brevets pour les électrocatalyseurs et ont créé Renewg une entreprise en démarrage. L'étape suivante consiste à en savoir plus sur la réaction chimique sous-jacente afin qu'elle puisse être utilisée pour produire d'autres produits de valeur, tels que les diols, largement utilisés dans l'industrie des polymères, ou les hydrocarbures pouvant être utilisés en tant que carburants renouvelables. Les experts de Rutgers conçoivent, construisent et testent des électrolyseurs destinés à un usage commercial.

    https://phys.org/news/2018-11-climate-changing-carbon-dioxide-plastics-products.html#jCp

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    1. (...) le gaz carbonique, principale cause du réchauffement de la planète, (...)

      Là, dès le départ de l'article, l'on sait que l'on a pas à faire à un scientifique mais seulement à un troll payé par Bruxelles

      (...) Cependant, le gaz carbonique et l'eau peuvent être convertis par voie électrochimique en une vaste gamme de produits à base de carbone, en utilisant cinq catalyseurs à base de nickel et de phosphore, qui sont bon marché et abondants, a-t-elle déclaré. Le choix du catalyseur et d'autres conditions déterminent combien d'atomes de carbone peuvent être assemblés pour former des molécules ou même générer des polymères plus longs. En général, plus la chaîne de carbone est longue, plus le produit a de la valeur. (...)

      Sachant que le gaz carbonique se dissout dans l'eau (grâce au phytoplancton), il se transforme en nano-particule de carbone appelées aussi charbon. Charbon qui plus tard pourra être brûlé et émettra du gaz carbonique qui sera soit traduit en oxygène grâce à la végétation soit (75 % des cas) en nano-particules de carbone grâce au phytoplancton.

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  32. Les 'révolutions furtives'


    mardi 25 février 2014


    Aussi vrai que le mensonge peut venir d'une seule personne, la vérité, elle, ne peut venir que d'un groupe. Ceci explique les 'desseins de révolution' qui ont parcouru la planète dernièrement. Mais comment ces 'mouvements contestataires' naissent-ils ?

    Primo, un groupuscule (comme il y en a de partout - clairsemé ou pas - dans les rues) s'en prend à des agents de patrouille en les provoquant par des insultes. Secondo, riposte immédiate des forces de l'ordre. Tertio, bizarrement, d'autres personnes 'qui passaient par là' prennent la défense des agresseurs. Quarto, les agents se replient et appellent au renfort. Quinto, la patrouille arrivant est accueilli par des jets de pierres. Sesto, un coup de feu est tiré (blessant ou tuant) en direction de la police. Septimo, c'est l'armée qui arrive avec des armes à la main. Octavo, un sniper (posté à l'étage d'une maison et là depuis plusieurs heures) tire en direction des manifestants.

    Le blessé (ou tué) s'effondre en sang devant des personnes qui filment bien-sûr l'affrontement, puis, les caméras et appareils photos se braquent sur l'armée qui a le doigt sur la gâchette. La suite on la connaît, publication sur internet.*

    Or, si cet 'incident' est appelé 'la révolution du peuple' ou celle des 'opprimés' selon les cas, l'on se demande toujours comment elle aurait débuté ! 'Défilé de manifestants avec pancartes et banderoles' ? Que nenni ! 'Bas salaires', 'trop d'impôts', 'rien à bouffer' ? Rien de çà !! Même pas un avis de manifestation, menace de grève paru précédemment dans les journaux !

    Ainsi, un pays calme, pacifiste et très riche (!) comme la Libye, s'est-il vu soudainement envahi d'hommes en armes désireux de... renverser le pouvoir à Tripoli !! (Çà vous rappelle rien ?).

    "En 1951, la Libye était l'un des pays les plus pauvres du monde. Sous Kadhafi et avant l'intervention de l'ONU, le niveau de vie des libyens était le plus élevé d'Afrique. En avance sur la Russie, le Brésil et l'Arabie Saoudite. Le droit au logement pour chaque libyen était une obligation du gouvernement. Les couples nouvellement mariés recevaient 50.000$ pour acheter leur propre maison. L'électricité était gratuite pour tous. Le niveau d'éducation était très élevé. Le taux d'alphabétisation avait atteint 85%. Les libyens bénéficiaient d'un système de soin des plus avancé et surtout gratuit pour tous. Les personnes ne trouvant pas les soins ou l'éducation qui leur convient en Libye, recevaient une aide du gouvernement pour se rendre à l'étranger. Tous les prêts étaient sans intérêts à 0%. Le prix de l'essence était à 0,14$. Chaque libyen désirant devenir agriculteur, le gouvernement lui offrait une ferme avec de l'équipement, du bétail et des semences. Le 1er Juillet 2011 à Tripoli, 1.700.000 libyens sont sortis pour manifester contre l'OTAN. 1.700.000 libyens ce qui représentait 95% de la population de Tripoli, soit un tiers de la population de la Libye. La Banque Centrale libyenne appartenait à l'État. Et, contrairement aux banques occidentales, en Libye, la banque n'était pas détenue par les Rothschilds, et donc libre de dettes.

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  33. En 1991, la Libye a été accusée sans preuve d'être responsable de l'attentat de Lockerbie Pan Am 103. Il s'est avéré que les États-Unis avait payé les témoins au procès 4 millions de $ chacun pour témoigner contre les accusés libyens. Ils ont été payés pour mentir et, ils ont depuis retiré leurs preuves. Kadhafi avait également travaillé pour remplacer le paiement du pétrole qui était en dollars américains par le Dinar Or Africain. Nicolas Sarkozy a traité la Libye de menace pour la sécurité financière de l'humanité. L'un des premiers actes de la Libye 'rebelle' a été de créer une nouvelle Banque Centrale devenue la propriété des Rothschilds comme les nôtres en Occident, les pays de l'Ouest. La famille Rothschilds possède plus de la moitié des richesses du monde ! Les banques Rothschilds créent de l'argent à partir de rien, et le vendent aux États avec intérêts. Cela signifie que nous n'aurons jamais assez d'argent pour rembourser ce qui est dû. Alors que nous et nos enfants sommes devenus esclaves pour dettes aux intérêts Rothschilds.

    Contrairement à nos Dirigeants (Camerone, Obama et Hollande), Kadhafi avait refusé de vendre son peuple. La Libye était libre de toutes dettes. Les libyens avaient beaucoup plus que nous n'avons en Occident ! Ils avaient un chef qui avait de l'intégrité et du courage et qui travaillait dans leur meilleur intérêt. Les libyens se partageaient les richesses de leur pays. Libérés du joug de l'usure et des intérêts. Sans la tyrannie des Rothschilds et leur contrôle sur l'émission de monnaie nous pourrions tous vivre comme des gens riches. On estime a plus de 150.000 le nombre de libyens tués par l'OTAN et les 'rebelles'. Kadhafi croyait en la démocratie directe comme le prévoit son livre "Le livre vert" The green book.

    Selon Kadhafi, les démocraties parlementaires sont intrinsèquement corrompues. Que les gens peuvent et devraient se représenter. Après avoir cru les mensonges sur cet homme toute ma vie, son livre m'a étonné. Comment rester assis sans réagir en regardant comment des individus et des pays sont diabolisés. Détruits par nos gouvernements criminels. Et regarder les médias protéger ces personnes responsables de crimes contre l'humanité. Nous devons montrer notre solidarité avec les peuples de Syrie, de la Palestine et du monde entier.

    *Ukraine !

    http://huemaurice5.blogspot.fr/2012/06/la-verite-sur-kadhafi-fait-le-tour-du.html

    https://huemaurice5.blogspot.com/2014/02/les-revolutions-furtives.html

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  34. Les Verts veulent vous mettre en prison pendant sept ans pour avoir brûlé du charbon après 2030


    November 21st, 2018


    Verrouillons tout le pays
    Vous ne pouvez pas inventer ce genre de choses.

    Les Verts veulent faire de la combustion du charbon un crime
    Les Verts veulent que les Australiens commencent à traiter le charbon comme de l'amiante, le petit parti annonçant sa politique visant à rendre illégale la ressource énergétique.

    Oui, parce que l’amiante tue les gens, ce qui ressemble beaucoup au charbon qui sauve des vies, nourrit les usines, nous réchauffe et nous rapporte 23 milliards de dollars par an. (Et ce n’est que du charbon thermique).

    Le député des verts, Adam Bandt, a exposé la politique vendredi à Hobart, qui interdit de creuser, de brûler ou d’expédier du charbon à partir de 2030.

    Selon les Verts, les particuliers et les entreprises pourraient être condamnés à sept ans de prison pour avoir utilisé du charbon thermique.

    La vie est la mort, l'argent est la pauvreté et les incendies sont un code secret de Gaia:
    La politique des Verts interdirait le charbon thermique, car il n’est «plus compatible» avec la vie humaine
    Dans le contexte de destructions catastrophiques en Californie, Bandt expliquera à son auditoire que la plus grande chance pour l’Australie d’éviter une catastrophe climatique consiste à cesser les exportations de charbon. - Le gardien

    Les Verts sont un danger pour la nation. Ils tuent des gens par raisonnement de l'âge de pierre.

    C’est une théologie anti-science qui ignore les preuves et vante des mérites indiscutables aux comités étrangers.

    Les personnes pour qui vous voterez aux prochaines élections ne votez pas de manière informelle et ne perdez pas votre chance de mettre les Verts en dernier.

    h / t George

    http://joannenova.com.au/2018/11/greens-want-to-put-you-in-jail-for-seven-years-for-burning-coal-after-2030/

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  35. Une source radioactive cachée semble faire fondre l’Antarctique oriental


    16:03 21.11.2018


    Lorsqu'il s'agit de mesurer la perte de glace aux pôles et de prévoir ce qui pourrait se passer par la suite, les scientifiques ont besoin de données précises. Un nouveau radar leur a permis de «pénétrer» sous des couches de glace pour y trouver une source de chaleur inattendue.

    Une nouvelle étude suggère qu'il existe une grande source de chaleur géothermique en Antarctique oriental que les scientifiques n'ont pas encore prise en compte dans leurs calculs, relate Sciencealert.

    La glace dans cette zone semble fondre de bas en haut, selon les relevés radar effectués par un avion survolant le continent gelé. Le radar a pu «regarder» à travers trois kilomètres de glace pour établir qu'alors que la base de la calotte glaciaire antarctique fond, l'eau de fonte remplit les lacs sous-glaciaires en aval.

    Bien que ce processus ne soit pas un facteur majeur de perte de glace à l'heure actuelle, l'équipe internationale de scientifiques affirme qu'il pourrait entraîner une fonte plus rapide à l'avenir, car l'eau et la glace peuvent s'échapper plus facilement.

    «Le processus de fonte que nous observons dure probablement depuis des milliers voire des millions d'années et ne contribue pas directement au changement de la couche de glace», a déclaré le chercheur Tom Jordan, du British Antarctic Survey (BAS). «Cependant, dans le futur, les quantités d'eau supplémentaires dans la couche de glace pourraient rendre cette région plus sensible aux facteurs externes tels que le changement climatique.»

    L'équipe d'experts pense que des roches radioactives et de l'eau chaude jaillissant de la croûte terrestre contribuent à cette fonte supplémentaire, sur la base d'observations effectuées à une distance allant jusqu'à 750 kilomètres de la côte.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201811211038994819-antarctique-glaces-radiation-fonte/

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    1. Des volcans radioactifs ?? Çà c'est nouveau !
      Ce qu'il est certain c'est que les gros cons de FAUX scientifiques qui parlent de çà refusent d'admettre que ce sont des volcans sous-glaciaires présents aux pôles Sud comme au Nord qui font en permanence fondre la glace par en-dessous.

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