- ENTREE de SECOURS -



mardi 20 novembre 2018

Retour sur le dernier rapport spécial de l’IPCC dit « 1,5 °C »

le 19 novembre 2018


Conséquence du dernier rapport de l’IPCC les Nations-Unies ont exhorté les gouvernements et les sociétés industrielles à investir des milliers de milliards de dollars dans des technologies « bas carbone » pour limiter le réchauffement global futur tel qu’il a été modélisé dans ce rapport. Dans ce « rapport spécial » l’IPCC préconise une taxe carbone sur les carburants issus du pétrole mise en place dès 2030 et payée par les consommateurs de – restez assis ! – 50 dollars par litre. Si vous ne croyez pas qu’une telle taxe sera mise en place vous avez probablement raison. D’ailleurs l’accord sur le climat de Paris-2015 ne comprend aucunes dispositions coercitives, à chaque pays de décider de quelles mesures il devra prendre, ouf ! Mais les gouvernements des pays de l’OCDE au moins, tous à court d’argent, ont désormais un boulevard semé d’alibis ouvert devant eux pour taxer encore plus les consommateurs soi-disant pour limiter le réchauffement modélisé par l’IPCC.

Tous ces pays, ne mentionnons même pas l’Inde, la Chine, l’Indonésie et bien d’autres pays émergeants ni l’ensemble des pays d’Afrique sub-saharienne, doivent annuellement, toujours selon ce rapport qui n’a pas vraiment été commenté en détail par les grands médias, investir entre 1300 et 3800 milliards de dollars chaque année jusqu’en 2050 pour avoir une petite chance de voir le réchauffement global du climat limité à 1,5 °C à cette date. L’objectif de l’IPCC est, en effet d’atteindre « zéro carbone » à cette date.

Devant un tel délire le Professeur d’économie Richard Tol de l’Université du Sussex en Grande-Bretagne a déclaré que aussi bien l’objectif des 1,5 degrés et cette projection du volume d’investissements à consacrer à un « décarbonation » de l’ensemble des économies des pays de l’OCDE sont hors de portée. Toujours selon cet économiste cette préconisation relevant de la science-fiction de l’IPCC signifie que dès à présent ces pays de l’OCDE doivent mettre en chantier au moins une centrale nucléaire chaque jour pour atteindre cet objectif. D’ailleurs l’IPCC a clairement précisé que sans énergie nucléaire cet objectif « 2050-sans carbone » ne pourrait pas être atteint.

Le Professeur Tol indique très justement que des postes de dépenses gouvernementales tels que les armées ou encore la protection sociale devront être lourdement amputés. De plus l’alternative de reforestation globale préconisée par l’IPCC comme complément pour atteindre ce but aura fatalement pour effet de réduire les surface cultivables alors que les bio-carburants ont déjà provoqué un renchérissement des denrées alimentaires. Selon les modèles exposés par le Professeur Tol entre 0,5 et 8 millions de km² de pâturages devront être sacrifiés pour planter des arbres et jusqu’à 5 millions de km² de terres arables devront être consacrés à la production de bio-carburants. Pour Judith Curry (blog Climate Etc. – judithcurry.com) il s’agit de modélisation sans aucune base réaliste et comme l’a aussi exposé le Cato Institute de son côté les modèles de l’IPCC surestiment par un facteur d’au moins 2 le réchauffement à venir.

Sources : Daily Caller, Cato Institute, Judith Curry, illustration Reuters

28 commentaires:


  1. A savoir que plus il y a de personnes au monde plus il y a émissions de chaleurs. Mais, comme tout ce monde n'est pas dans une pièce, il n'existe donc pas d''effet de serre'. Donc, tout ce monde (plus de 7 milliards d'habitants) vit dehors ou en pièces aérées (ce qui revient au même), et donc il y a augmentation d'émission de gaz. Oui mais: COMME TOUS LES GAZ SE RECYCLENT (depuis toujours et pour toujours), la population pourrait être multipliée par 10 ou par 100 qu'il ne ferait pas plus chaud dehors et qu'il y aurait toujours... de l'air pur pour tout le monde !

    Cà alors !

    Primo parce que la chaleur s'élève et quitte la Terre. Car, notre planète (Terre) est encore vivante (contrairement à la lune où la boule ferrique centrale est froide depuis longtemps). Donc, comme notre magma chauffe, il érupte de quelques millions (ou milliards ?) de sources sous océaniques ou sous marines et, cette chaleur (qui réchauffe les courants) monte vers la surface puis... s'éloigne vers le ciel où elle se refroidie d'un degré par cent mètres jusqu'à l'immensité interstellaire où règne du -60°C.

    Même pas moyen de la retenir ! Une pièce chauffée, close et blindée perdra peu a peu de sa chaleur ! Pas de chance, non ?

    Donc, même si l'on peut espérer qu'avec beaucoup de nuages dans les cieux la chaleur soit freinée, elle ne peut être retenue ! Malheureusement ! Et, c'est ce manque de chaleur qui fait que des pays peuvent crever de faim s'ils en ont pas ! D'où la construction de serres immenses dans tous les pays tempérés à froid où des milliards sont investis pour produire de la chaleur alors qu'il suffirait de mettre en culture ces immenses plaines désertées en pays chauds où tout pousse !

    Car, plus il y a d'émissions de gaz carbonique mieux la végétation se porte ! Malheureusement, les vents emporte ces gaz vers les immensités océaniques et maritimes où ils sont absorbés, dissouts, transformés et prêts à être resservis en d'autres produits sur l'étagère !

    Le phytoplancton recycle le gaz carbonique en nano-particules de carbone (charbon) sur les 3/4 de la surface de notre planète. C'est pourquoi, ce gaz manquant est très recherché par les serristes qui l'injecte vers leurs cultures enfermées.

    Quant à écouter et croire les ordures de dictateurs de merde qui parlent de refroidir le monde voire d'imposer celles et ceux qui osent respirer, là, nous entrons dans le monde des facultés mentales manquantes, des guerres rouge sang et des éliminations en tous genres en passant par la ruine de chacun sous des prétextes d'escroqueries officielles et obligatoires !

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  2. Peut-on échapper au contrôle du fil ?


    Par Thomas Luongo
    Gold Goats 'N Guns
    20 novembre 2018


    «Il va tout voir ! Il verra la grande planche !
    - Dr. Strangelove

    Quel est le fil ?

    Pourquoi est-ce si important ?

    Qui le contrôle ?

    Répondez à ces trois questions et vous pourrez répondre à un certain nombre de problèmes qui affligent notre monde d’aujourd’hui.

    The Wire est simplement une métaphore de la transmission d'informations. Le fil prend de nombreuses formes. Et si vous ne savez pas si quelque chose est The Wire, demandez simplement si vous en avez le contrôle ou non.

    L'Internet ? Le fil.

    Électricité ? Le fil

    Routes ? Le fil.

    Médias ? Le fil.

    Argent ? Le fil.

    En bref, The Wire est la principale voie par laquelle nous communiquons. Argent ? Vraiment ? Oui vraiment. Quels sont les prix sinon l'information sur ce que nous sommes disposés à nous séparer de notre argent en échange ?

    Sans The Wire, la société moderne échoue. Le gouvernement ne peut donc pas le fermer, mais il ne peut pas non plus permettre un accès sans contrainte à celui-ci.

    L'électricité, le commerce, les communications, tout passe par le fil.

    Ce n’est pas un concept radical, mais comme toutes les idées importantes, une fois qu’il vous est présenté, vous ne pouvez pas l’ignorer.

    Mais identifier The Wire n’est pas la chose la plus importante. L’important est de savoir qui contrôle The Wire et ce qu’ils sont disposés à faire pour maintenir ce contrôle.

    Si vous regardez toutes les choses énumérées ci-dessus, vous verrez une intervention massive du gouvernement sur ces marchés. Ils ont besoin de leur contrôle pour maintenir l'illusion qu'ils ont sur vous.

    Ils vous vendent sur l'idée que la parole, la vitesse, l'éducation, le commerce, la défense, l'information, etc. doivent tous être soumis à des limites raisonnables. Mais est-ce vraiment ou est-ce juste encore un autre exemple d'un imbécile parlant de son livre?

    Regardez autour de vous aujourd'hui et dites-moi de quoi parlent tous les combats. Géopolitique, politique intérieure, censure, argent, publicité, idéologies, etc. Ils traitent tous de la menace existentielle posée par la perte de contrôle de The Wire.

    En fait, tout ce dont je parle ici, chez Gold Goats 'n Guns, porte sur ce sujet même. Qui a le contrôle et le perd ou ne le perd-il pas?

    Le fil est le principal moyen de contrôler notre société.

    Ceux qui cherchent à accumuler du pouvoir ne peuvent voir que des choses en termes de contrôle de The Wire. Et c'est pourquoi rien ne semble jamais être réparé. Chaque fois que la technologie supprime leur contrôle artificiel sur un marché majeur - la nourriture, l’énergie, les communications, les transports - nous les voyons changer d’objectif pour le maîtriser, le contrôler, le neutraliser et le faire fonctionner pour eux plutôt que pour vous.

    Les systèmes électoraux pourraient être fixés en un rien de temps avec un vote open source codé sur une blockchain. Les résultats seraient comptés presque instantanément et un véritable compte-rendu de qui a voté pour qui / ce qui pourrait être eu.

    Mais si ce système était mis en place, personne ne pourrait tricher pour garder le contrôle. Parce que ne jamais oublier la raison principale pour contrôler The Wire.

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  3. Vol.

    La seule raison pour laquelle une personne a besoin de contrôler les informations que vous recevez est pour vous tromper avec l'intention de commettre une fraude.

    Et la fraude vole.

    Mais, comme les communistes ne croient pas que vous avez un droit de propriété sur votre propre personne, il n’y a finalement aucun vol, et ils sont plus qu'heureux de vous raconter tout cela depuis leur bout du fil auquel ils ont accès via leur iPhone.

    Internet est la plus grande invention de tous les temps car il a fourni au monde une solution à The Wire. Personne ne le possédait, finalement. Cela a donné à chacun une plate-forme de communication fiable et bon marché qui a révolutionné (pas toujours dans le bon sens) la façon dont les humains coordonnent leurs activités.

    Il crée aujourd'hui de nouvelles entreprises et de nouvelles technologies plus rapidement que nous ne pouvons intégrer les dernières à nos activités quotidiennes. Il a accéléré l'élimination de la pauvreté grâce à une gestion plus efficace de la chaîne d'approvisionnement, permettant ainsi aux biens et services d'arriver plus rapidement et à meilleur marché que jamais.

    Pendant tout ce temps, nous passions dans des endroits tels que les bibliothèques, les DMV et les supermarchés que nous passons maintenant à la maison en nous criant mutuellement à quel point nous en avons tous besoin.

    Et qu'est-ce que les Sions du Contrôle ont tout fait en leur pouvoir pour faire ? Le contrôler. Liez-le. Aggraver. Criminaliser son utilisation de manière non approuvée.

    Et maintenant, via Google, Apple, Facebook et Twitter, limitez votre accès aux parties de celui-ci où il est plus facile et plus efficace de commettre le péché de les critiquer.

    Parce que si vous voulez savoir qui contrôle The Wire, il vous suffit de regarder ceux que vous n'êtes pas autorisé à critiquer.

    L'UE tente de rendre les mèmes illégaux en forçant l'attribution à l'œuvre originale, en résolvant un problème que personne ne voulait résoudre, à part eux. Neutralité du Net ? Une autre solution à la recherche d'un problème.

    Le système monétaire mondial modernisé grâce à Internet risque également de s’effondrer sur ses excès. Parce que, avec ce besoin obsessionnel de contrôler The Wirecomes, le malin investissement de capital dans des entreprises qui répondent à ce besoin de contrôle - surveillance, militaire, bancaire, services juridiques, assurances.

    Il met trop l'accent sur la bureaucratie pour ralentir la croissance et entraver l'innovation. Les entrepreneurs s’orientent vers les marchés soutenus et subventionnés par le gouvernement.

    Il évince les investissements dans la partie la plus productive de la société, la plus efficacement financée par l'épargne collective. Le contrôle de The Wire est tellement aigu parmi l'élite mondiale que nous gérons notre économie sur la base de la notion complètement rétrograde connue sous le nom de paradoxe de l'épargne.

    Dans la seconde partie de ma discussion avec The Daily Coin, Rory et moi discutons de la crise de la dette souveraine qui se développe lentement et du point de convergence de l'inflation et de la déflation.

    Pour moi, c’est là que les crypto-monnaies nous incitent enfin à rompre le contrôle de The Wire et à jouer un rôle potentiel dans la résolution de la confiance institutionnelle perdue qui crée une telle crise.

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  4. Une de mes thèses de base est que les problèmes ne sont pas résolus par un édit gouvernemental, mais plutôt créés par celui-ci en premier lieu.

    Par conséquent, la solution à nos problèmes est que l’innovation humaine fonctionne malgré nos seigneurs dirigeants plutôt que de concert avec eux.

    Si notre argent est insuffisant et corrompu, la solution consiste à améliorer la technologie en argent.

    Les crypto-monnaies représentent un changement radical dans la façon dont les unités monétaires sont produites et leur valeur maintenue. En tant que tel, il est temps de repenser The Wire et le souhait de quiconque de le contrôler.

    Une fois que cette idée aura balayé la conscience publique, nous envisagerons alors un monde meilleur possible.

    Une fois que cette idée aura balayé la conscience publique, nous envisagerons alors un monde meilleur possible.

    Reprinted with permission from Gold Goats ‘n Guns.

    https://www.lewrockwell.com/2018/11/thomas-luongo/can-we-escape-control-of-the-wire/

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  5. La France en proie à la révolte anti-carbone: barrages routiers massifs contre la taxe sur le diesel de Macron


    par Tyler Durden
    Mar., 20/11/2018 - 05:00
    Écrit par Mike Shedlock via MishTalk,


    Ironie de l'ironie, les Français protestent contre la taxe sur le diesel de Macron, tandis que Macron insiste pour que le Royaume-Uni respecte l'accord sur le climat.

    Veuillez prendre en compte les engagements de la France en matière de lutte contre le changement climatique: déclencher une hausse des prix du diesel et des manifestations de rue

    Samedi, plus de 282 700 personnes, dont de nombreuses personnes vêtues de gilets jaunes, ont pris et ont littéralement pris d'assaut les rues, selon le ministère français de l'Intérieur. Selon le ministère, un réseau de conducteurs a bloqué des routes sur quelque 2 000 sites à travers le pays, générant des sauvegardes sur plusieurs kilomètres et faisant un mort.

    La plainte principale des manifestants est la hausse du coût du carburant diesel. La récente hausse des prix est une conséquence directe de l’engagement du président Emmanuel Macron à lutter contre le changement climatique, qui comprenait des taxes sur le carbone plus élevées pour 2018, la première année complète de son mandat. Mais au-delà de la question du diesel, beaucoup se sont rendus samedi pour exprimer toute une série de frustrations vis-à-vis du "président pour les riches", qui est considéré comme de plus en plus éloigné des préoccupations des citoyens ordinaires.

    Les manifestations de la campagne du «gilet jaune» à l’origine des manifestations de samedi ont commencé cet été avec des pétitions en ligne invitant Macron à reconsidérer sa décision. Mais la voix la plus forte a été celle de Jacline Mouraud, hypnotiseur aux cheveux blancs et grand-mère bretonne de trois enfants, devenue la star du mouvement.

    Samedi, on a demandé à Mouraud d'expliquer la mort du manifestant. «Je déplore la mort de cette femme», a-t-elle déclaré à la radio Europe 1. «Mais qui est responsable de cette situation ? Le gouvernement français est responsable de la mort de cette femme. "

    Selon un sondage publié vendredi par l’agence Odoxa pour le journal français Le Figaro - même si cela ne représente que 1 000 personnes - 3 Français sur 4 sont d’accord.

    Le gouvernement français a approuvé fin 2017 une mesure majorant une taxe directe sur le diesel ainsi qu'une taxe sur le carbone, prétendument pour lutter contre le changement climatique. La version française de la taxe sur le carbone appelée Contribution Climat Énergie (CCE) a régulièrement augmenté les prix des carburants ces dernières années. Partout au pays, les automobilistes ont hésité devant la hausse du prix du diesel, qui touche de manière disproportionnée les travailleurs qui dépendent de leurs véhicules pour se rendre à leur travail et en revenir. Deux tiers des Français s'attendent à une «explosion sociale» dans les mois à venir.

    Les gilets jaunes sont une révolte populaire contre les prix élevés du carburant et menacent de paralyser la France samedi.

    Les gilets jaunes ont organisé au moins 630 manifestations dans tout le pays via le site Web blocage17novembre.com, conçu par un étudiant de 18 ans. Certains appellent à ralentir sur les autoroutes. D'autres veulent bloquer des routes, passibles de deux ans d'emprisonnement et de 4 500 euros d'amende. Le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, a déclaré qu'aucun "blocage total" ne serait toléré.

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  6. Cependant, plusieurs syndicats de policiers ont exprimé leur sympathie et promis de ne pas punir les infractions mineures ou «moyennes» «par solidarité avec les citoyens».

    L’ascension des gilets jaunes coïncide avec le taux d’approbation record de Macron, de 26 %. Un sondage publié par Ifop le 14 novembre dernier indique que les deux tiers des Français s'attendent à une «explosion sociale» dans les mois à venir.

    Rendre la France grande à nouveau

    Ces Tweets de Trump sont arrivés au milieu de sa visite en France la semaine dernière.

    Trump a affronté le président français Emmanuel Macron à son arrivée à Paris pour une célébration du 100e anniversaire de l'armistice qui a mis fin à la Première Guerre mondiale.

    Macron insiste pour que le Royaume-Uni respecte l'accord sur le changement climatique

    En attendant, veuillez noter que Macron a placé une nouvelle demande sur le Royaume-Uni dans le Brexit: Macron souhaite que le changement climatique fasse partie du "contrat final" sur le Brexit.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-11-19/france-suffers-anti-carbon-revolt-massive-road-blocks-against-macrons-diesel-tax

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  7. Quel est le juste prix ?


    JEAN-PHILIPPE BUCHS
    20 novembre 2018


    Pour Aristote, l’activité économique vise à faire vivre la population, pas à accumuler des richesses

    A l’ère de la gratuité, du «low cost», de la multiplication des promotions et des soldes, le choix du consommateur n’a jamais été aussi vaste pour acquérir des biens et services à des prix défiant toute concurrence. Le matin, ce dernier peut avaler un yaourt pour quelques dizaines de centimes, puis s’envoler pour une capitale européenne pour une cinquantaine de francs et enfin s’endormir le soir dans une chambre d’un hôtel prestigieux pour quelques centaines de francs. Ce même consommateur profite aussi des échanges mondiaux de marchandises et des progrès technologiques. Au cours de ces vingt-cinq dernières années, les prix des téléviseurs, des voitures et des ordinateurs, par exemple, ont fortement baissé, alors même que leur qualité intrinsèque a augmenté. En 2018, ces biens n’ont rien de comparable avec ceux achetés en 1993.

    Consommateur schizophrène

    Aujourd’hui, c’est le rapport de force qui détermine la fixation d’un prix. Les producteurs ne font souvent pas le poids face à la puissance des entreprises de transformation et des distributeurs. On le voit au sein de l’Union européenne et en Suisse avec la chute du prix du lait industriel, dont les conséquences sont dramatiques pour de nombreuses exploitations agricoles, et, au niveau international, dans le commerce Nord-Sud.

    Cette inégalité dans l’échange profite aux consommateurs dont le comportement est parfois schizophrénique. Ils sont conscients de la nécessité de protéger l’environnement et les conditions de travail, mais surfent sur les sites de l’e-commerce, achètent au mois de février des fraises récoltées dans des conditions misérables et transportées par des camions qui polluent ou encore acquièrent des vêtements fabriqués dans les fabriques de la honte. Le commerce équitable ou fair trade et les achats directs aux producteurs locaux progressent, mais restent à un niveau marginal dans les échanges. Leurs acteurs revendiquent un juste prix.

    Ce sont des philosophes – Aristote et Thomas d’Aquin – qui se sont penchés sur cette notion avec le plus d’acuité. Pour Aristote, le juste prix doit permettre aux communautés humaines de vivre. L’objectif de l’activité économique ne vise pas à l’accumulation de richesses. Dans l’œuvre de Thomas d’Aquin, aucun acteur ne doit profiter de la situation au détriment de l’autre. Les deux théoriciens postulaient une égalité dans l’échange et une réciprocité de services.

    Aujourd’hui, la mondialisation de l’économie entraîne une concurrence féroce, presque sauvage. De puissants lobbies parviennent à freiner la prise en compte de ce que les économistes appellent des externalités négatives (par exemple les émissions de gaz à effet de serre) dans les échanges et les coûts de production. Or, seule une véritable politique dans le domaine de l’environnement peut à la fois soutenir la croissance et protéger la planète. Il est encore temps d’agir !

    https://www.bilan.ch/opinions/jean-philippe-buchs/quel-est-le-juste-prix

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    1. Ne tournons pas 110 ans autour du pot, le gratuit n'a pas de prix.
      Pourquoi y a t-il du gratuit ?

      Le gratuit vient d'un arbre dans le jardin qui porte des fruits, de la machine-outil qui ne s'arrête pas de travailler ou de main-d'œuvre pas chère dénichée chez les crèves-la-dalle.

      Comment en est-on arrivé là ? Par l'invention de la roue de la brouette fixée un jour à un brancard où 2 personnes transportait 50 kg et, invention venue, permet pour la même charge de n'employer qu'une seule personne qui pousse la roue !

      Après, le modernisme faisant son chemin, l'on commença à se servir de l'eau ou de l'air qui passe pour faire tourner des roues, l'esclavage, la domestication animale, le moteur, l'électricité, le robot.

      C'est-à-dire que le gratuit a toujours été recherché et, seulement aujourd'hui, commence à bénéficier au Peuple qui se libère de l'asservissement et se dirige tout droit vers la Démocratie.

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  8. Les audiences "hitlergate" et le sauvetage de l'Amérique du "bord du fascisme"


    par Tyler Durden
    Lun, 19/11/2018 - 23:40
    Rédigé par CJ Hopkins via The Unz Review,


    OK, donc, c'était un proche. Pendant un moment, je commençais à craindre que les démocrates n'allaient pas reprendre la Chambre pour nous sauver du «bord du fascisme». Ce qui, si cela se produisait, en plus de devoir se rendre dans tous ces horribles stades Des rassemblements et aider le gouvernement à massacrer massivement les Juifs, nous aurions été privés des deux prochaines années d'audiences et d'enquêtes liées au Congrès menées par Donald Trump et auxquelles nous pouvons maintenant nous attendre… Je vais les appeler et les appeler Hitlergate Hearings.

    La tenue de ces audiences a toujours été un élément crucial de la stratégie de la Résistance. Comme l'histoire l'a prouvé maintes et maintes fois, lorsque les fascistes littéraux s'emparent de votre démocratie, interdisent les partis politiques opposés, commencent à expédier les gens dans des camps de concentration et révoquent l'accès des journalistes à la Maison Blanche, le seul moyen efficace de les vaincre est de des comités du Congrès et enquêter sur le Hitler vivant d'eux. C'est particulièrement le cas lorsque les fascistes littéraux qui ont réquisitionné votre démocratie conspirent avec un dictateur slave aux yeux écarquillés dont vous avez entouré le pays essentiellement avec vos forces militaires dominantes à spectre complet et que vos médias ont complètement diabolisé, mais qui est néanmoins capable de faire subir au cerveau de ses citoyens l’élection de son président fantoche fantoche avec quelques milliers de dollars d’annonces Facebook.

    Une fois que vous avez déterminé que cela est arrivé (ce qui est évidemment le cas), les gants doivent se détacher. Fini le chahut dans la chatte, pas avec le Russe Hitler au pouvoir ! Non, à ce stade, vous n'avez vraiment pas d'autre choix que d'attendre deux ans jusqu'à ce que votre parti d'opposition (qu'Hitler ait oublié d'interdire d'interdire) reprenne le contrôle de la Chambre des représentants (qu'Hitler a oublié de dissoudre), attendez encore deux mois prenez vos fonctions, puis commencez immédiatement à émettre des assignations à comparaître, à vérifier les états financiers de Hitler et à prendre des déclarations sous serment d'anciens prostitués.

    Je sais que cela peut sembler extrême, mais souvenez-vous, nous parlons de fascistes littéraux, soutenus par les fascistes russes littéraux, qui vont enhardir le fascisme littéral, faire des gestes fascistes littéraux à la télévision et faire toutes sortes d’autres choses fascistes !

    Maintenant, OK, si vous ressemblez à moi, vous vous demandez probablement si Trump est vraiment un fasciste, sans parler des services de renseignement russes, pourquoi la "Résistance" ne l’a-t-elle pas simplement assassinée ? Après tout, nombre d'entre eux sont d'anciens membres de la CIA ou sont autrement membres de la communauté du renseignement. Pourquoi s'embêter avec toutes ces audiences du Congrès ? Pourquoi ne pas simplement y aller et le tuer ?

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  9. Eh bien, le problème avec cela est apparemment, ils doivent suivre "l'état de droit", ce qui les empêche d'assassiner des gens, et des gouvernements "qui changent de régime" qui ne jouent pas la balle et, vous savez, qui organisent des coups d'Etat militaires, armer et former des escadrons de la mort sadiques et condamner à mort des milliers d’enfants. Ce genre de choses n’est pas simplement faux, comme moralement ou quoi que ce soit, il est également illégal. Ainsi, même si un agent russe, qui est aussi littéralement Adolf Hitler, a volé l'élection d'Hillary Clinton et transforme l'Amérique en dictature fasciste, le seul recours de la «Résistance» est de mener ces enquêtes du Congrès et de les publier de manière atroce. détail jusqu'au 3 novembre 2020, date à laquelle toute cette hystérie de «fascisme» disparaîtra dans l'éther, à l'instar de l'hystérie de «guerre à la terreur» au moment où Trump a remporté la nomination.

    Mais c’est dans deux ans, ce qui est presque une éternité. Entre-temps, la «Résistance» néolibérale a de sérieuses investigations à mener ! Et pas seulement l’enquête de Mueller sur les activités de trahison de Trump en tant qu’agent russe. Non, nous parlons d’enquêtes du Congrès sur ses déclarations de revenus, ses déclarations à la Deutsche Bank, ses reçus à emporter, ses tickets de nettoyage à sec, son histoire financière fasciste! Et puis il y a cette émoluments ! Et cette chose Kavanaugh! Et cette chose d'habilitation de sécurité! Et cette chose bimbo! Et quelques autres choses! Et bien, je pense qu’il est assez prudent de supposer que nous sommes sur la route de Subpoena City !

    Les médias d'entreprise semblent être d'accord. En parcourant la couverture post-électorale, il semble que la plupart des journalistes de la «Résistance» aient reçu le communiqué de presse officiel. Le Guardian a commencé à prendre des paris en direct sur les enquêtes que la Chambre lancerait en premier. Le New York Times, dans ses efforts constants pour protéger l'avocat spécial Robert Mueller du «fascisme» fasciste de sa rédaction, est certain que Trump est sur le point de le soumettre afin de l'empêcher de présenter des preuves de ses années formatrices au sein du GRU ( et des liens possibles vers les assassins de Skripal), a publié une «feuille de route» que Mueller peut suivre pour «envoyer des preuves compromettantes directement au Congrès», en contournant le ministère de la Justice nazifié! Selon CNN (un samizdat dissident appartenant à la division Turner Broadcasting de Warner Media, LLC, elle-même appartenant à AT & T, une société de portefeuille de conglomérats multinationaux), «les démocrates de la Chambre se préparent à libérer toute la puissance de leurs pouvoirs de surveillance on the Trump administration »dans une série« d'audiences à contrôle octroyé par les démocrates à haute performance », que Jim Acosta couvrira en direct, s'il doit supprimer chaque stagiaire nazi sur la colline pour le faire! Je pourrais continuer, mais vous obtenez la photo.

    Et pour ceux qui ne le font pas, le voici ...

    Les deux prochaines années seront une démonstration du pouvoir de l'empire capitaliste mondial et de sa machine de propagande prédominante, sans précédent dans le monde. À partir du 3 novembre 2020, ils devront avoir assez de cerveaux américains pour qu’ils votent en faveur de la marionnette capitaliste mondiale que les démocrates finissent par nommer pour vaincre Donald Trump aux élections générales, ce qui ne sera pas une farce. Pour ce faire, ils devront créer une telle atmosphère d’hystérie, d’épuisement émotionnel et de paranoïa insensée que quiconque à la gauche de Mussolini se rendra aux urnes le jour du scrutin et votera pour le démocrate juste pour le faire cesser.

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  10. En plus des audiences Hitlergate, chaque moment insupportable sera retransmis en direct puis exploité à mort par les experts et les experts des médias institutionnels, ils continueront de nous soumettre à un flot de messages destinés à nous convaincre que Donald Trump est simultanément Hitler et un agent russe, et que l'Amérique est littéralement «au bord du fascisme» et que quiconque conteste ce récit est un fasciste trumpien épris de Poutine, un criminel de haine et probablement un «terroriste national».

    Aucun de ces messages n'aura besoin de sens. L’objectif de la «Résistance» n’est pas de présenter de manière crédible le fait que Donald Trump est littéralement un fasciste ou un agent russe, ni que le capitalisme mondial court le risque réel d’être déchiré par le fascisme littéral (quelle que soit votre définition du fascisme). . L’objectif de la «Résistance» est d’indiquer clairement qui dirige vraiment les choses, et ce qui arrive aux ennuyeux clowns milliardaires qui se font élire président sans leur permission, et à la populace ignorante qui élit de tels clowns ou qui vote pour. quitter l'Union européenne (ce qui, bien sûr, ne permettra jamais que cela se produise, sauf peut-être dans un sens symbolique).

    En d'autres termes, les classes dirigeantes capitalistes mondiales sont sur le point de donner une leçon au monde. C'est la même leçon de base qu'ils enseignent au monde depuis la dissolution de l'Union soviétique. Ils l'ont enseigné dans l'ex-Yougoslavie. Ils l'ont enseigné en Grèce, en Irak et en Libye. Ils l'ont enseigné dans tout le Moyen-Orient. Ils sont sur le point de l'enseigner dans tout l'Occident. La leçon à tirer est que la résistance au capitalisme mondial n’est pas seulement futile, elle est suicidaire. La leçon, c’est de jouer avec les politiques d’identité et toutes ces «guerres culturelles» qui vous intéressent, mais foutez-vous avec le capitalisme mondial et nous vous écraserons comme un insecte de la tomate.

    Les audiences de Hitlergate, l'hystérie du fascisme, la paranoïa du contrôle de l'esprit russe et le reste de la campagne de propagande concertée à laquelle nous sommes soumis depuis 2016 (et sur le point de faire l'expérience de la pleine force) ne sont que des éléments d'un effort plus vaste, non juste pour écraser l'insurrection «populiste» qui a commencé à l'Ouest avec le référendum sur le Brexit, s'est poursuivie avec Trump, puis s'est répandue dans toute l'Europe, mais a anéanti tout espoir de rébellions futures contre le capitalisme mondial et son idéologie, qu'elles proviennent de la gauche ou la droite. (Si vous pensez qu'ils se concentrent uniquement sur les néo-nationalistes, vous n'avez évidemment pas prêté attention à la diabolisation actuelle de Corbyn, Mélenchon, Sahra Wagenknecht et de divers autres gauchistes «populistes».) C'était la partie où le roi montait la tête de l'usurpateur sur une pointe pour rappeler à tout le monde qui était le patron. De nos jours, bien sûr, nous le faisons à la télévision ou sur Internet, comme lorsque nous pendions Saddam ou sodomisions Kadhafi à la baïonnette. Ils ne feront rien de tel à Trump, qui est après tout un usurpateur américain, mais ils vont en faire un exemple.

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  11. Alors, sortez votre pop-corn et vos fourches, etc., et préparez-vous à les encourager comme ils le font. L'avenir de la démocratie est en jeu ! Et si vous êtes sur Twitter, veillez à respecter vos quotas quotidiens Calling-Trump-a-Fascist et Feeding-the-Fascism-Hysteria. Et Poutine, bien sûr. N’oubliez pas Poutine… et quelle que soit l’hystérie insensée que les classes dirigeantes capitalistes ont besoin de nous comme perroquet. Croyez-moi, dans environ deux ans, lorsque les célébrations post-Poutine-Nazies commenceront et que les gens courront dans les rues en brûlant des effigies, en scandant des vuvuzelas et en traquant toute personne portant le mauvais chapeau, vous ne voudrez plus être confondu pour avoir été du côté «populiste» de l'histoire.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-11-19/hitlergate-hearings-rescuing-america-brink-fascism

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    1. Les dictateurs (de droite ou de gauche ou du milieu du centre) ne savent plus quoi faire contre la Démocratie qui avance a grands pas !

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  12. "Horloges brisées" et "corriger" le retour à la barbarie de l'âge de pierre


    par Tyler Durden
    Lun, 19/11/2018 - 23:00
    Créé par Robert Gore via le blog Straight Line Logic,


    Parfois, les raisons pour lesquelles vous vous trompez sont les raisons pour lesquelles vous avez raison.

    Même une horloge cassée est juste deux fois par jour.

    Vieux adage de Wall Street

    Toute personne qui a toujours sonné de prudence ou de billet baissier au cours des neuf dernières années de hausse sans cesse croissante des marchés boursiers a été mise à l'écart. Wall Street est bipolaire. Vous avez raison ou tort, et faux n’achète pas de maisons de maître et de Maserati. Comme cette horloge cassée, les soi-disant permabears ont eu quelques minutes quand ils avaient raison, loin devant les 1438 minutes quand ils se sont trompés.

    Ou peut-être que tout est une question de perspective et que c’est deux minutes, ces neuf dernières années. En temps géologique, neuf ans ne représentent même pas une nanoseconde. Peut-être même que sur des périodes adaptées aux vies humaines et à l’histoire, les neuf dernières années seront perçues comme un éclair évanescent qui s’est passé et qui est passé ignominieusement.

    Les marchés n’écoutent pas les raisons. Ce sont des exercices de psychologie des foules et les foules sont émotives et capricieuses. Cela ne veut pas dire que la raison est une vertu inutile dans l’analyse de marché, bien au contraire. C’est une raison qui permet aux quelques personnes qui réussissent constamment de se séparer de la foule et de capitaliser sur ses émotions et ses caprice.

    Reason identifie les marchés boursiers à la hausse comme l'un des symptômes d'une économie mondiale à forte teneur en sucre. Depuis 2009, plongés dans l'abîme de l'implosion de la dette, les banques centrales, agissant de concert, ont encouragé une expansion effrénée de la dette en tant que solution miracle. Les gouvernements ont accru leur dette fiduciaire (c'est-à-dire sortir de nulle part) et les banques centrales ont monétisé cette dette avec leur propre dette fiduciaire. Cela a non seulement créé des réserves prêtables au sein du système bancaire - du fardeau de la dette privée - mais abaissé les taux d’intérêt à un point tel que les investisseurs privés de rendement ont été entraînés sur le marché boursier. Les emprunteurs ont gagné, les épargnants ont perdu.

    La raison pour laquelle les marchés ont augmenté est également la raison pour laquelle ils vont chuter. Comment les banques centrales qui échangent une dette fiat contre une dette fate des gouvernements peuvent-elles générer une croissance économique ou autre chose ayant une valeur durable ? Cette requête métaphysique met en évidence le caractère artificiel de l’extension depuis 2009. Il n’est pas possible d’obtenir quelque chose pour rien. Le marché boursier a été la grande et puissante Oz qui nous a dit de ne pas prêter attention à la charade de la dette fiat qui se déroule derrière le rideau.

    Cependant, l'expansion a été extrêmement faible. Il n’est pas évident qu’il y ait eu une croissance du tout si vous avez réduit la dette nécessaire pour produire ce que le gouvernement a qualifié de croissance. Ce qui est clair, c’est que, dans les économies des pays développés, chaque unité monétaire de la dette achète progressivement moins de croissance et alourdit le fardeau de la dette.

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  13. Un mécanicien vous avertit-il que si vous ne remplacez pas une pièce de moteur, votre voiture brisera une horloge en panne, tout simplement parce qu’elle ne risque pas de tomber en panne ce mois-ci ? Un médecin qui a prévenu que si vous n’arrêtiez pas de boire votre foie échouerait une horloge brisée s’il ne l’était pas encore? En analysant de manière objective les économies et les marchés boursiers liés à l’endettement croissant qui génère des rendements décroissants, la conclusion est inévitable: cela ne peut pas fonctionner.

    Alors que le fardeau de la dette devient trop lourd à supporter pour l'économie, les bénéfices des entreprises ralentissent puis disparaissent, les créanciers bloqués avec des créances irrécouvrables doivent déprécier la valeur de leurs actifs, et les feux de broussailles isolés se fusionnent et deviennent une conflagration déchaînée. Nous l'avons vu en 2008 et en 2009. Si l'on se place au-delà des neuf dernières années, il y a de bonnes raisons de prédire que cette conflagration sera bien pire, un désastre plusieurs fois, voire peut-être plusieurs siècles.

    La dette mondiale, absolue ou relative par rapport à la production mondiale, est plus importante que jamais. Tous les actifs financiers sont des créances ou des créances. La plupart des flux de revenus, des actifs financiers et des actifs réels sont nantis en tant que sources de remboursement de la dette. L'économie mondiale et la valeur des actifs sont inextricablement liées dans un vaste fouillis de dettes, de passifs non capitalisés, de créances collatérales, de pertes de production inexorables et de service de la dette sans cesse croissant. Cela ne peut pas marcher et quand c’est un échec, la question est de savoir jusqu’à quel point les marchés financiers et l’économie chutent. Si elles tombent assez loin, les neuf dernières années ressembleront en réalité à des éclairs évanescents.

    La superstructure de la dette actuelle repose sur la séparation progressive du dollar de son apport en or depuis la création de la Réserve fédérale, en 1913, et en 1971, lorsque Nixon a abandonné les derniers vestiges de l’étalon or. La banque centrale est une proposition de rien pour rien. Le crash imminent pourrait bien effacer la plus grande partie de ce qui est censé se fonder sur rien. Les techniciens des marchés financiers utilisent le terme «corriger le dos» pour désigner le moment où un marché se situait pour la dernière fois à un niveau où ce marché a chuté. Les marchés et l'économie peuvent «remonter» à au moins 1913, et la correction pourrait aller encore plus loin que cela.

    Les États-Unis ont connu une croissance économique record entre la guerre civile et la Première Guerre mondiale. Depuis lors, la tendance à la baisse est irrégulière, la dépréciation constante du dollar et l’accroissement de la dette après 1913 ayant imposé leur inévitable fardeau économique. À l'époque de l'étalon-or, il y a eu une légère déflation due à une productivité accrue et à une situation proche du capitalisme de laisser-faire. De nos jours, seuls les éléments «marginaux» souscrivent à l'étalon-or, à la déflation induite par la productivité ou au capitalisme, et même des idées plus fondamentales sont attaquées.

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  14. Parce que le gouvernement est une violence institutionnalisée, la guerre est la plus ancienne institution étatique. Ce qui a suivi la Première Guerre mondiale ne peut être décrit que comme un défaut intellectuel massif. Le carnage parrainé par l’État et l’État après la guerre la plus meurtrière du monde n’ont fait aucun recul. Il n’ya pas eu de réexamen de ses locaux et de ses pratiques, aucun appel à limiter d’une manière ou d’une autre cette institution meurtrière, ni aucune réaffirmation de la liberté et des droits de la personne.

    Les intellectuels sont allés dans l'autre sens. Ils ont salué le marxisme, le socialisme, l’état-providence, l’impôt sur le revenu, la banque centrale et pratiquement tout ce qui a augmenté la taille et le pouvoir des gouvernements. Ils ont déploré les notions embarrassantes de droits individuels, la liberté ordonnée et contraint le gouvernement à retrouver ses racines dans la révolution américaine, les Lumières, la Renaissance et la Grèce antique. Ces préceptes peu pratiques ont empêché leur vision du gouvernement de se faire élire par des élites autoproclamées, censées connaître et protéger le «bien commun» mieux que les simples citoyens qu'elles devaient gouverner. La cerise sur ce sundae statiste serait la gouvernance mondiale.

    La guerre la plus meurtrière au monde et l’introduction d’armes susceptibles de détruire l’humanité seulement vingt-sept ans après l’armistice de la Première Guerre mondiale n’ont pas ralenti ce train de marchandises intellectuel. Des dizaines de millions de morts et un monde en ruine à cause des déprédations de ses gouvernements ont été un argument pour encore plus de gouvernement et d’ONU, le nez de chameau sous la tente du gouvernement mondial. Il n’ya eu aucun signe de protestation de la part du courant intellectuel, dont la plupart sont devenus des serviteurs de l’État. Seuls quelques-uns se sont rebellés et ont été ignorés, boudés, marginalisés, dénigrés, menacés et exilés jusqu'à ce qu'ils se repentent.

    Comme le sèment les intellectuels, nous récoltons tous les fruits de la crise financière et des guerres qui pourraient anéantir l’humanité. Face à la mort irréfutable et aux destructions causées par l’étatisme au cours des cent dernières années, les intellectuels étatiques ne prétendent plus que leurs stratagèmes mèneront à un monde meilleur. Au lieu de cela, ils en dénigrent la raison, la logique appliquée, la rigueur intellectuelle, l’initiative, le travail acharné, la science, la technologie, les droits de propriété et de contrat, les marchés et les échanges volontaires qui représentent toute la valeur qui reste en ce monde. Leur vision offre moins que le nihilisme et promet de détruire cette valeur résiduelle. Le monde reflétera le chaos, la panique et la haine aveugle qui les envahit. Si cela vous semble trop grave, écoutez leur progéniture intellectuelle vide sur la plupart des campus universitaires.

    Si leur "vision" triomphe et les valeurs qui ont civilisé la civilisation sont abandonnées, l'humanité pourrait "corriger" la barbarie de l'âge de pierre. La minute des horloges cassées est sur nous. Malheureusement, cela peut durer plusieurs heures.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-11-19/humanitys-broken-clocks-correcting-back-stone-age-barbarism

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  15. Les prévisions météorologiques de Thanksgiving ont été enregistrées dans le nord-est


    par Tyler Durden
    Lundi, 19.11.2018 - 22:20


    Selon les nouveaux modèles météorologiques, les régions les plus froides et les plus précoces au début de la saison hivernale devraient être enregistrées dans les régions du centre du Canada atlantique et du nord-est des États-Unis.

    Centre de prévisions météorologiques: "Des températures maximales de 20 à 35 degrés sous la normale"

    Le coupable: une vaste zone de haute pression du cercle arctique descendra à travers le Canada et dans le nord-est, effondrant les températures et menaçant le pronostic vital avant Thanksgiving et dans le Black Friday.

    "Un air très froid pénètrera dans le nord-est juste à temps pour Thanksgiving et le Black Friday. La plupart des grandes villes situées le long du corridor I-95 rivaliseront avec les températures maximales les plus froides pour cette date, notamment New York, Boston, Providence et Philadelphie. Fin novembre, la plupart des villes souffleront de 20 à 25 degrés sous la moyenne et, combinées aux conditions venteuses, créeront des températures encore plus froides que des températures froides, ce qui constituera un dilemme intéressant pour les amateurs de shopping sur la clôture. En route vers le Black Friday, avec des températures jeudi soir et adolescentes pour la plupart. Avec ce risque accru de froid, le gaz naturel continue d’être fortement influencé par les prévisions météorologiques jusqu’à la fin du mois ", a déclaré Ed Vallee, météorologue en chef. chez Vallee Weather Consulting.

    La base de données nationale de prévisions numériques (NDFD) a publié de nouveaux modèles météorologiques qui indiquent que le souffle de l'air arctique pourrait affecter une grande partie des régions du centre du littoral atlantique et du nord-est, menaçant de garder le troupeau consommateur d'Amérique à l'intérieur, paralysant les intentions d'achat et de dizaines de millions d'Américains. loin de leur détaillant préféré de choix.

    NDFD basses températures pour Thanksgiving

    "Le mois de novembre est inférieur de plus de 4 ° F à la normale dans la partie inférieure de la 48e. Le froid sans précédent venant de Thanksgiving transformera cette carte en violet foncé dans le nord-est", a déclaré Ryan Maue de weathermodels.com.

    "Selon les statistiques du National Weather Service, la ville de New York n'a connu que trois fêtes de Thanksgivings datant de 1870, date à laquelle la température ne s'est pas élevée. Le plus froid était un maximum de 26 degrés le 28 novembre 1901.

    - voir graphiques sur site -

    Les sommets prévus jeudi pourraient approcher de ce record record de tous les temps, il y a près de 117 ans.

    Dans le sud de la Nouvelle-Angleterre, Boston pourrait se rapprocher à deux degrés de son plus haut niveau de Thanksgiving le plus froid de 24 degrés, également défini le 28 novembre 1901.

    Providence, Rhode Island, Philadelphie et Burlington, dans le Vermont, peuvent également connaître des sommets proches du plus froid enregistré pour le jour de Thanksgiving dans chaque ville.

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  16. Les températures basses le matin de Thanksgiving et le vendredi noir seront probablement de 15 à 25 degrés inférieures à la moyenne pour la fin novembre.

    La température pour le défilé du jour de Thanksgiving de Macy à New York devrait être dans les 20 à 20 ans. Il sera encore plus froid lorsque vous prenez en compte le refroidissement éolien, peut-être vers le milieu de l'adolescence.

    Une température basse de 20 degrés jeudi matin serait également proche du record de froid le plus froid de Thanksgiving au Central Park de New York.

    Ailleurs, les températures basses jeudi et vendredi matin seront inférieures à 10% et les années adolescentes dans le nord-est de l'intérieur. Plus près de la côte, ce sera à l'adolescence ou à la vingtaine.

    Quelques villes peuvent flirter avec des records journaliers pour le 22 novembre (jeudi) ou le 23 novembre (vendredi).

    Cela inclut Albany (New York) et Providence (Rhode Island), où la température record jeudi est de 9 degrés et 16 degrés, respectivement.

    Même s'il fera froid, l'air sera également sec, ce qui signifie qu'il n'y aura aucune chute de neige inquiétante jeudi et vendredi ", a déclaré Weather Channel.

    Alors que les modèles météorologiques annoncent des températures record, il n’est pas surprenant que les prix du gaz naturel aient augmenté, outre OptionSellers.com et d’autres fonds qui ont récemment été déboutés de leurs positions vendeuses lorsque le prix a grimpé de près de 18% mercredi dernier.

    - voir graphiques sur site -
    Graphique NatGas

    La Energy Information Administration a signalé que le stockage de gaz naturel dans les 48 États les plus bas était inférieur à la moyenne quinquennale au 31 octobre.

    Prévision d'inventaire de stockage, US Lower-48, GFS le plus récent

    - voir graphiques sur site -

    Jour de chauffe en degrés US inférieur à 48 degrés CE (HDD)

    Alors que certaines régions du Nord-Est devraient connaître des creux de 100 ans au cours des prochains jours, il est également noté que le soleil entre actuellement dans l'une des minima solaires les plus profondes depuis les années 1800, année de la dernière période glaciaire.

    «Le soleil entre dans l'une des minima solaires les plus profondes de l'ère spatiale», écrivait le Dr Tony Phillips il y a six semaines à peine, le 27 septembre 2018. L'absence de taches solaires sur notre soleil pourrait entraîner des températures record, voire un mini âge de glace.

    Si les prochains jours nous annoncent ce à quoi nous pouvons nous attendre, le Nord-Est des États-Unis aura un hiver rigoureux, une excuse que les analystes de Wall Street utiliseront avec plaisir pour expliquer pourquoi l'économie ralentit rapidement et pourrait potentiellement ruiner toute Fed. envisage de dévier de sa trajectoire de resserrement si Jerome Powell présume de nouveau que ce n'est pas l'économie, stupide, mais le temps froid.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-11-19/thanksgiving-weather-models-forecast-record-cold-northeast

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  17. Le coût effroyable du vent de Virginie en mer


    19 novembre 2018
    Par Steve Goreham


    Le 6 novembre, l’organisme de réglementation de la Virginia State Corporation (SCC) a approuvé un projet de construction d’éoliennes près de Virginia Beach. Le plan prévoit la construction d'éoliennes à 27 miles au large des côtes et leur mise en service d'ici la fin de 2020. Les contribuables de Virginia au paiement des frais d'électricité assumeront les coûts exorbitants de ce projet.

    Le projet, nommé Coastal Virginia Offshore Wind (CVOW), sera le premier projet éolien offshore dans le centre de l’Atlantique. Dominion Energy et Orsted A / S du Danemark vont ériger deux éoliennes de 6 mégawatts fournies par le constructeur espagnol Siemens Gamesa. Le coût du projet est estimé à 300 millions de dollars, à payer sur les factures d'électricité des entreprises et des ménages de Virginie.

    Selon le rapport sur le marché des technologies éoliennes, les prix du marché des éoliennes aux États-Unis en 2016 étaient tout juste inférieurs à 1 000 dollars par kilowatt, soit environ 6 millions de dollars pour une turbine de 6 mégawatts. Virginia paiera 25 fois le prix du marché américain pour les turbines CVOW.

    Le prix de gros de l’électricité en Virginie est d’environ 3 cents le kilowatt-heure (kWh). C'est le prix reçu par les centrales au charbon, au gaz naturel ou nucléaire. L’électricité produite par les deux turbines offshore recevra 78 cents le kWh, soit 26 fois le prix de gros.

    Le SCC a reconnu que le projet ne résultait pas d'un appel à la concurrence et qu'il n'était pas nécessaire pour améliorer la fiabilité du système d'alimentation électrique ou la marge de réserve de capacité. Ils ont également conclu: «… il semble peu probable que le coût des installations éoliennes en mer devienne concurrentiel par rapport aux options éoliennes solaires ou onshore dans un avenir proche». Les contribuables de Virginia au paiement de l'électricité paieront également pour tout dépassement des coûts du projet.

    Pourquoi la Commission des sociétés d'État approuverait-elle un projet aussi coûteux ? La CSC a souligné qu'à six occasions distinctes, l'Assemblée générale de Virginie avait déclaré que l'éolien offshore était «dans l'intérêt public». Le gouverneur Ralph Northam a déclaré que le projet exploiterait «la ressource éolienne offshore de Virginia et les nombreux avantages économiques importants que cette industrie apportera apporter à notre Commonwealth. "

    Qu'est-ce qui pousse l'énergie verte à inciter les fonctionnaires à payer beaucoup plus cher que les prix du marché? Il est peu probable que le gouverneur Northam ou les membres de l’Assemblée de la Virginie paient 25 fois le prix du marché pour la nourriture, les vêtements ou le logement. Mais ils sont prompts à approuver un projet qui fera tremper les contribuables de Virginie.

    Au-delà du coût du projet, les Virginiens devraient craindre que ces éoliennes ne survivent probablement pas avant la fin de leur durée de vie prévue de 25 ans. Le projet CVOW est le projet éolien proposé le plus au sud de la côte atlantique et le site d’une activité cyclonique périodique.

    Selon l'Administration nationale des océans et de l'atmosphère, 34 ouragans ont été enregistrés à moins de 100 milles du site du projet au cours des 150 dernières années. Cinq de ces tempêtes étaient des ouragans de catégorie 3, dont l'ouragan Bob de 1991 et l'ouragan Emily de 1993. Un ouragan traverse la région environ tous les cinq ans.

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  18. Les spécifications du projet prévoient que les éoliennes CVOW doivent résister à des vents soutenus de 112 miles / h (180 km/h - 50 mètres par seconde). Les turbines sont également conçues pour résister à des vagues de 15,6 mètres (51 pieds) de hauteur.

    Mais il est peu probable que ces éoliennes survivent au vent ou aux vagues d’une tempête majeure. Selon le National Hurricane Center, les ouragans de catégorie 3 présentent des vents soutenus de 111 à 129 mph, plus forts que la limite nominale. Les ouragans de catégorie 1 entraînent généralement des vagues beaucoup plus élevées que 50 pieds. L’ouragan Florence a mesuré la vitesse du vent de la catégorie 1 lorsqu’il a traversé la côte à Wrightsville Beach, en Caroline du Nord, le 14 septembre. Deux jours auparavant, une hauteur de vague de 83 pieds avait été enregistrée du côté nord-est de Florence.

    Qui parle pour les payeurs d'électricité de Virginie ? Ce n’est certainement pas le gouverneur Northam, l’Assemblée générale ou Dominion Energy. Bien après que les représentants du gouvernement aient quitté leurs fonctions, les citoyens de Virginie auront à leur charge un système éolien offshore onéreux qui ne survivra probablement pas à la tempête turbulente de l'océan Atlantique.

    https://wattsupwiththat.com/2018/11/19/the-frightful-cost-of-virginia-offshore-wind/

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    1. (...) Selon le rapport sur le marché des technologies éoliennes, les prix du marché des éoliennes aux États-Unis en 2016 étaient tout juste inférieurs à 1 000 dollars par kilowatt, soit environ 6 millions de dollars pour une turbine de 6 mégawatts. Virginia paiera 25 fois le prix du marché américain pour les turbines CVOW. (...) !!!!!!

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  19. CLIMATE CATCH-22 EN POLOGNE


    19 novembre 2018
    Par Michael Kile,


    Une autre année, une autre conférence. Après un quart de siècle de tentatives pour trouver le moyen de justifier le transfert de richesse le plus important de l'histoire de l'humanité, la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) souhaite toujours imposer au monde un régime de «réparations du climat». idéologie de la durabilité; malgré le scepticisme croissant des chercheurs extérieurs à la Chambre des Nations Unies sur le dernier rapport alarmiste du Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat (CCI) et les revendications qui en découlent

    Donc là vous l'avez. Une conjecture invraisemblable, étayée par de fausses preuves et répétée sans cesse, est devenue une "connaissance" politiquement correcte et est utilisée pour promouvoir le renversement de la civilisation industrielle. (Professeur R Lindzen, Conférence annuelle de la GWPF, Londres, 8 octobre 2018)

    La vingt-quatrième Conférence des Parties à la CCNUCC - COP24 - poursuivra cet objectif encore au début du mois prochain à Katowice, dans le sud de la Pologne. Des milliers de délégués et de militants sont attendus dans la ville pour un autre rituel annuel. Contrôler l’influence humaine sur le climat de la planète, aussi invraisemblable soit-il, reste pour eux la tâche la plus urgente de notre époque.

    Attendez-vous donc à une bouffée de millénarisme dans l'air de Haute-Silésie, un engagement à transformer la société en une utopie durable. Comme le disait un fonctionnaire des Nations Unies chargé du climat au début de 2015: «Nous nous sommes donné pour mission de modifier intentionnellement, dans un délai défini, le modèle de développement économique en vigueur depuis au moins 150 ans.»

    Mais il y a maintenant une grosse prise, une Catch-22 climat. Dans le roman de Joseph Heller publié en 1961, le bombardier B25 John Yossarian le dit ainsi:

    Il n’y avait qu’une prise et c’était Catch-22… Il serait fou de faire plus de missions et d’être sain d’esprit s’il ne le faisait pas, mais s’il était sain d’esprit, il devrait les faire voler. (J Heller, Catch-22, 1961, p. 56, ch. 5) vidéo

    Un Catch-22 climatique est un dilemme similaire. Récemment, il est apparu qu’il était financièrement impossible et techniquement impossible de prévenir un changement climatique anthropogénique ou un réchauffement de la planète prétendument dangereux. Cela inclut donc ce que Lindzen a appelé «une stupidité insondable»; à savoir toute tentative de modifier ou d'éradiquer un phénomène atmosphérique.

    Après une telle épiphanie, on pourrait penser qu’une agence serait folle d’avoir plus de conférences, mais saine d’esprit si elle renonçait au jeu catastrophiste. Repensez-vous, cher lecteur. Climate Catch-22 n'est pas à l'ordre du jour de la COP24.

    Considérons le premier obstacle: les finances. On nous dit qu'il faut d'urgence débloquer d'urgence de grandes sommes d'argent dans le Fonds vert pour le climat (FVC) des Nations Unies, soit au moins 100 milliards de dollars par an à partir de 2020.

    En effet, le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, a lancé un ultimatum il y a quelques semaines. Il a mis en garde le 30 septembre contre la «menace d'un dérèglement climatique» - quelle qu'elle soit - d'ici 2020 si rien n'est fait.

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  20. Quelqu'un a décidé - et non déterminé - que l'épouvantard de notre époque "bouge apparemment plus vite que nous"; ou du moins plus rapidement que l'argent ne passe des économies développées au Fonds mondial pour le climat.

    Si nous ne changeons pas de cap d’ici 2020, nous risquons de manquer le point où nous pourrons éviter un dérèglement climatique ayant des conséquences désastreuses pour les populations et tous les systèmes naturels qui nous soutiennent… Nous nous dirigeons vers le bord de l’abîme. Il n'est pas trop tard pour changer de cap. Mais chaque jour qui passe signifie que le monde se réchauffe un peu plus et que le coût de notre inaction augmente.

    Quelqu'un doit également payer les milliers de personnes impliquées dans ce gâchis international, y compris ceux qui conçoivent des moyens créatifs de le dépenser; Les projets de «réadaptation» utilisant le jargon vague de la parole aux Nations Unies sur le climat sont populaires. On peut inclure presque n'importe quoi: du remplacement des fourneaux de cuisine au Bangladesh au parrainage de projets d’eau potable «sensibles au genre» en Éthiopie.

    Assurez-vous de prendre une approche «résistant au climat» dans votre demande de financement. Soyez optimiste aussi. Même si votre projet semble éloigné des turbulences atmosphériques, qu'elles soient prétendument anthropiques ou simplement le fait que quelque dieu ou déesse agisse au hasard, vous avez encore une chance.

    Et qui pourrait peut-être nier que de plus en plus de «pays les plus pauvres et les plus vulnérables du monde» subissent déjà des conséquences désastreuses pour le climat ? Ou qu'ils ont un besoin urgent d'assistance pour s'attaquer à ce «problème qu'ils n'ont pas causé»?

    Alors pourquoi faire tant de bruit quand la solution est si simple ? Pour rétablir l'équité atmosphérique mondiale et offrir une plus grande «résilience climatique» aux pays en développement, il suffit au monde développé de déposer sa juste part de «réparations climatiques» dans le cadre de la planète et d'ignorer l'éléphant dans la serre.

    Considérons maintenant le deuxième empêchement. Selon le GIEC, l'énergie bon marché basée sur les combustibles fossiles - un facteur clé de la prospérité moderne - doit être remplacée par des énergies renouvelables dans un peu plus d'une décennie. Plus sur cela plus tard.

    Les prévisions météorologiques pour Katowice au début du mois de décembre: en fonction des températures de jour environ 0 avec de la pluie occasionnelle, peut-être aussi de la neige. À l’intérieur du site, bien sûr, il y aura de l’air plus chaud, vraisemblablement en harmonie avec les changements climatiques extrêmes.

    L'objectif principal de la réunion est d'adopter les lignes directrices de mise en œuvre de l'Accord de Paris sur les changements climatiques. Ceci est crucial car il permet de libérer le potentiel réel de l'Accord de Paris, y compris en intensifiant les actions en faveur du climat afin d'atteindre l'objectif central de l'accord, à savoir maintenir la température moyenne mondiale à 1,5 degrés Celsius le plus près possible.

    Quoi de plus noble que de susciter l’espoir qu’un groupe de personnes d’expertise et de sexe différents, originaires de 195 pays, puisse assumer la tâche de manipuler le thermostat mondial des pirates informatiques russes et créer un climat favorable à chacun, partout et pour toujours ? Pourtant, même le GIEC n’est pas en mesure de confirmer si Gaia l’a cachée dans une grotte du sud de Novaya Zemlya, quelque part au Baloutchistan ou dans des toilettes à Genève.

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  21. Don Quichotte n'a fait que pencher en faveur des moulins à vent en Espagne. Il n'a pas essayé de les construire. Néanmoins, la perspective de «renforcer l'action climatique» avec l'argent des autres citoyens pour sauver l'humanité aurait certainement obligé ce dernier à dépoussiérer les toiles d'araignées de sa lance et à accompagner les cow-boys de carbone jusqu'au prochain gros contrat.

    Un quart de siècle, ça fait longtemps. Il n’est donc pas surprenant d’apprendre que chaque conférence de la CCNUCC s’efforce de proposer une signature, un thème ou un cri de cœur unique, tel que «nous pouvons sauver le monde». L’équipe chargée des relations avec les médias de l’agence réussit généralement à prendre quelque chose d’aussi banal qu’à devenir banal et à la transformer en quelque chose de extrêmement manipulateur.

    En décembre 2009, par exemple, il a mis «le HOPE in Hopenhagen» (Copenhague, 2009, COP15). Douze mois plus tard, tout se reproduisait, cette fois dans la péninsule du Yucatan au Mexique. Plus de 15 000 personnes se sont rassemblées au Moon Palace Hotel pour une soirée d’ouverture avec des gâteries tropicales, de la salsa, du karaoké, des guitares à branler, des échassiers dans des sombreros et naturellement de la tequila. Ils ont dansé toute la nuit sur la chanson thème de la COP16 - «Mettons la CAN à Cancun!

    Katowice sera probablement une affaire plus modérée. L'atmosphère est plus sombre aujourd'hui. S'il y a une chanson thème, ce ne sera pas: «Mettons plus de charbon de bois à Katowice !». On ne sait pas si la maison du plus grand producteur de charbon d'Europe passe au vert, mais on peut présumer que la CCNUCC a choisi cet endroit car elle aimerait que vous pensiez ainsi, ou vice versa.

    Tous les pays en développement ont mis le feu aux poudres du changement climatique à un moment ou à un autre. Car ils veulent tous une part du pudding magique promis. Plus facile à dire qu'à faire, cependant, comme l'indique le procès-verbal de la réunion du conseil d'administration du FMC qui s'est tenue au début du mois de juillet de cette année.

    Les îles du Pacifique rament depuis longtemps dans cette piscine. Ils sont tous membres de l'Alliance des petits États insulaires. Ce groupe alarmiste représente près de 20% du total des voix des Nations Unies. À sa création en 1945, l’Agence comptait seulement 51 pays membres, contre 193. Tuvalu, le quatrième plus petit pays du monde (26 km²), avec environ 11 000 habitants, dispose du même vote que la Chine.

    Les Fidji seront également visibles à la COP24, menant la «phase politique de haut niveau» de son dialogue Talanoa pour l'ambition climatique. Talanoa est un mot fidjien qui "décrit un processus de dialogue inclusif, participatif et transparent à travers le partage d'histoires et d'idées". Bonne chance pour cet exercice.

    Avec plusieurs coups d'État militaires, des tensions raciales et des restrictions périodiques imposées aux médias, les Fidji ont probablement beaucoup à apporter à ce processus. Il se concentrera sur trois questions: «Où sommes-nous ? Où voulons-nous aller ? Comment pouvons-nous y arriver ? »Comment, en effet ?

    En attendant, pensez aux 91 auteurs du Rapport spécial n ° 15 du GIEC (SR15). Ils ont réussi à créer un document dont la complexité turquoise n'est surpassée que par la gravité avec laquelle ses conclusions controversées sont présentées au public.

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  22. Préparé en réponse à une invitation de la 21e Conférence des Parties (COP21) à la CCNUCC en décembre 2015, le titre complet de SR15 est:

    Réchauffement de la planète à 1,5 ° C: rapport spécial du GIEC sur les effets du réchauffement de la planète de 1,5 ° C par rapport aux niveaux préindustriels et les voies d'émission de gaz à effet de serre connexes, dans le contexte du renforcement de la réponse mondiale à la menace du changement climatique et du développement durable et des efforts pour éliminer la pauvreté.

    Quand l'ONU a eu son premier Moment Yossarian, cela n'est pas clair. Il était censé savoir à un moment ou à un autre qu'il lui faudrait retirer un grand lapin de son chapeau collectif pour que le groupe continue à jouer. Il devait également fournir au Dialogue Talanoa de la COP24 une justification pour faire monter la pression sur le financement des pays développés. Si ce lapin est SR15, nous sommes les lapins.

    Quoi qu'il en soit, parmi toutes les cérémonies organisées dans le monde, peu inspirent moins qu'une réunion du GIEC pour approuver ses dernières découvertes. Prenons, par exemple, sa 48ème session qui s'est tenue au début du mois dernier à Incheon, en République de Corée. (vidéo; discours d'ouverture).

    Le destin du monde habitable semble être en jeu, mais il est difficile de le déduire du comportement des délégués. Peut-être était-ce la fatigue du décalage horaire ou de l'apocalypse. Peut-être qu'ils luttaient encore avec le gobbledygook de modèles d'ordinateur SR15, tels que MAGICC et FAIR.

    Le GIEC nous oblige à accepter cette prémisse: que seuls des milliers de personnes peuvent découvrir les secrets du «changement climatique». Lorsque le président du GIEC, Hoesung Lee, expliquait le nombre de commentaires (42 000) de ses trois groupes de travail et des divers projets reçus dans son discours d'ouverture (à 8 minutes), il a laissé entendre que ce processus compliqué nous rapprochait de la vérité. Plus le plus sombre. La vérité en science est une affaire délicate. En règle générale, cependant, cela dépend plus d'une loi de la nature que d'un vote à main levée. Trop de cuisiniers ont tendance à gâcher le bouillon.

    Un communiqué de presse du GIEC du 8 octobre a annoncé ce qui est invariablement un fait accompli: les gouvernements ont approuvé la publication du résumé SR15 pour les décideurs. (Déclarations de titre)

    Cela valait-il tous les efforts ? Après trois années d'analyse par des centaines de scientifiques, Jim Skae, coprésident du groupe de travail III, a fait cette admission franche le mois dernier:

    Le message clé est que nous ne pouvons pas maintenir le réchauffement climatique en dessous de 1,5 ° C. C’est possible dans les lois de la physique et de la chimie. Mais cela nécessitera d’énormes transitions dans toutes sortes de systèmes - énergie, terre, transports. Mais ce que le rapport a fait est d’envoyer un message clair aux gouvernements: c’est physiquement possible. C’est maintenant à eux de décider s’ils veulent relever le défi. Lien vidéo (26 secondes)

    Les lois de la physique et de la chimie ? Qu'en est-il des lois de la politique, de l'économie, de l'intérêt personnel, de la survie, etc. ? M. Skae n'a-t-il pas répondu à sa propre question ? C’est physiquement possible, mais pratiquement impossible.

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  23. Le communiqué de presse ne mentionnait pas les sombres secrets du grenier alarmiste. En voici un extrait du rapport:

    Les incertitudes liées aux projections sur les changements et les impacts climatiques futurs proviennent de différentes sources, notamment les hypothèses relatives aux futures voies d'émission (Moss et al., 2010), les limites et les hypothèses inhérentes aux modèles climatiques utilisés pour les projections, y compris les limitations. dans la simulation de la variabilité climatique régionale (James et al., 2017) (SR15, page 61)

    Le Dr John Constable, éditeur en charge de l'énergie de la Global Warming Policy Foundation (GWPF) basée à Londres, a effectué une analyse impressionnante de la SR15. Il a conclu que:

    La SR15, si elle est lue avec soin, devrait obliger les décideurs politiques à conclure que les obstacles à la limitation du réchauffement climatique à 1,5?, Et même à des températures plus élevées, ne sont pas simplement des blocages arbitraires, des obstacles à éliminer, mais des problèmes fondamentaux les options politiques actuellement disponibles, qui sont presque certainement plus néfastes que le changement climatique qu'elles sont censées atténuer.

    Il donne également une critique accablante de clauses spécifiques. Les chiffres renvoient aux déclarations de titre de SR15.

    C2.6 examine l’ampleur des investissements liés à l’énergie pour atteindre les 1,5 °C limite. Les auteurs suggèrent que les investissements d'atténuation liés à l'énergie devraient atteindre un total annuel moyen d'environ 900 milliards USD aux prix de 2015 sur la période allant de 2015 à 2050, avec une fourchette allant de 180 milliards à 1 800 milliards. La référence à l’étude principale proprement dite, voir 2-84, fournit le gloss pertinent: «Les estimations et les hypothèses tirées des cadres de modélisation suggèrent un changement majeur des schémas d’investissement et impliquent un système financier aligné efficacement sur les défis en matière d’atténuation (degré de confiance élevé)».

    Traduction: Les finances du monde entier doivent être consacrées à l’atténuation du changement climatique, ce qui est peu probable.

    Les deux agences des Nations Unies semblent ignorer la situation précaire des marchés financiers mondiaux, certains experts prédisant une crise grave d’ici 2020, voire plus tôt.

    En ce qui concerne les perspectives mondiales en matière d’énergie renouvelable, Constable a formulé l’observation suivante.

    C2.2 note qu'une réduction significative de la demande en énergie est nécessaire, "notamment par l'amélioration de l'efficacité énergétique", ce qui implique qu'une certaine conservation de l'énergie simplement contrainte sera nécessaire. En outre, non seulement une «électrification plus rapide de l’utilisation finale de l’énergie» serait-elle nécessaire pour un 2°C Une limite serait requise pour 1,5°C, mais les énergies renouvelables devraient augmenter pour fournir 70 à 85 % de l'électricité mondiale en 2050, avec une production d'électricité au gaz, équipée du captage et de la séquestration du carbone, limitée à 8% en 2050, et du charbon tombant rien. Sur cette vision remarquable, les auteurs commentent:

    Tout en reconnaissant les défis et les différences entre les options et les circonstances nationales, la faisabilité politique, économique, sociale et technique de l’énergie solaire, de l’énergie éolienne et des technologies de stockage d’électricité s’est considérablement améliorée ces dernières années (confiance élevée). Ces améliorations signalent une transition potentielle du système dans la production d'électricité.

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  24. Traduction: Même en supposant le meilleur pour les énergies renouvelables et le stockage d’énergie, la transition requise du secteur mondial de l’électricité n’est encore qu’une possibilité théorique.

    Un des problèmes que Constable n'a pas répondu était de savoir comment l'équipe des Nations Unies sur le climat avait réussi à se tromper si mal. Les créateurs de MAGICC et de FAIR ont-ils passé quelques mauvais jours au bureau ? L'exercice SR15 a-t-il été judicieusement conçu pour lever la rideau de la COP24, comme mentionné précédemment ?

    William Nordhaus, un nouveau prix Nobel d'économie, économiste spécialiste du climat, est parvenu à la même conclusion: limiter les températures mondiales à 2? au-dessus des niveaux préindustriels est économiquement et pratiquement impossible. Il affirme également que le rapport SR15 sous-estime considérablement les coûts pour parvenir à zéro émission.

    À un certain stade du cycle de vie d'une bureaucratie, sa pérennité peut devenir plus importante que la tâche pour laquelle elle avait été créée s'est chargée d'années, de décennies, voire de siècles auparavant.

    Certaines entités savent quand appeler un jour. D'autres sont obligés de prendre leur retraite en raison de la concurrence ou de la défaillance du marché. Cependant, il y aura toujours un marché pour le catastrophisme et la promesse de rédemption.

    C’est pourquoi le Zeitgeist - y compris une grande partie de la classe politique mondiale - insiste sur le fait que le cirque de la COP doit continuer; du moins jusqu'à ce que les fonds soient épuisés ou que l'humanité succombe au sort de la frite, qui nous attend sans cesse, sans «action climatique» urgente.

    Lors de la 41e session du GIEC au début de 2015, il a été décidé de produire un autre rapport d'évaluation. L'AR6 devrait être achevé au cours du premier semestre 2022. Il sera vraisemblablement suivi d'autres rapports, ad nauseum. Catch-22.

    Michael Kile

    18 November 2018

    https://wattsupwiththat.com/2018/11/19/climate-catch-22-in-poland/

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