VIRUS ÉCHAPPÉ DU LABO CHINOIS. VERS LA CONFRONTATION ?
par CHARLES SANNAT 20/05/2021
Le vaccin de Pfizer et BioNTech contre la Covid-19 serait efficace à 95%.
C’est un sujet sur lequel évidemment la planète entière marche sur des oeufs. Les implications financières, géopolitiques, logistiques, commerciales sont tout simplement énormes. Imaginez que le virus du Covid 19 soit bien lié à une fuite dans le laboratoire P4 de Wuhan ?
La Chine serait alors tenue responsable aussi bien pour les morts, les malades chroniques que pour les pertes abyssales de l’économie mondiale. Il y a, là, potentiellement de quoi véritablement, mettre la Chine au banc des nations pour très longtemps. Il y a de quoi la faire payer pour très longtemps, il y a aussi de quoi, largement, l’exclure de la communauté internationale.
Nous n’y sommes pas encore, et la démondialisation ultra rapide que cela impliquerait serait assez violente à vivre, car les pénuries actuellement déjà nombreuses deviendraient notre pénible quotidien pendant plusieurs années.
Ce scénario ne peut être exclu, d’ailleurs je vous livre ici la traduction d’un article paru il y a 4 jours dans la très célèbre revue Science où des scientifiques appellent officiellement à aborder la délicate et très difficile question de l’origine du virus.
Enquêter sur les origines du COVID-19 Science 14 mai 2021 : Source ici
« Le 30 décembre 2019, le Programme de surveillance des maladies émergentes a informé le monde d’une pneumonie de cause inconnue à Wuhan, en Chine. Depuis, les scientifiques ont fait des progrès remarquables dans la compréhension de l’agent causal, le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2), de sa transmission, de sa pathogenèse et de son atténuation par des vaccins, des thérapeutiques et des interventions non pharmaceutiques. Pourtant, des recherches supplémentaires sont encore nécessaires pour déterminer l’origine de la pandémie. Les théories de la libération accidentelle d’un laboratoire et de la propagation zoonotique restent toutes deux viables. Il est essentiel de savoir comment le COVID-19 a émergé pour élaborer des stratégies mondiales visant à atténuer le risque d’épidémies futures.
En mai 2020, l’Assemblée mondiale de la santé a demandé au directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) de collaborer étroitement avec ses partenaires pour déterminer les origines du SRAS-CoV-2. En novembre, les termes de référence d’une étude conjointe Chine-OMS ont été publiés. Les informations, les données et les échantillons de la première phase de l’étude ont été recueillis et résumés par la moitié chinoise de l’équipe ; le reste de l’équipe s’est appuyé sur cette analyse. Bien qu’aucun résultat ne vienne étayer clairement l’hypothèse d’une dissémination naturelle ou d’un accident de laboratoire, l’équipe a estimé qu’une dissémination zoonotique à partir d’un hôte intermédiaire était « probable à très probable » et qu’un incident de laboratoire était « extrêmement improbable » [(4), p. 9]. De plus, les deux théories n’ont pas été considérées de manière équilibrée. Seules 4 des 313 pages du rapport et de ses annexes abordaient la possibilité d’un accident de laboratoire. Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus, a notamment déclaré que la prise en compte dans le rapport des preuves en faveur d’un accident de laboratoire était insuffisante et a proposé de fournir des ressources supplémentaires pour évaluer pleinement cette possibilité.
En tant que scientifiques possédant une expertise pertinente, nous sommes d’accord avec le directeur général de l’OMS, les États-Unis et 13 autres pays, et l’Union européenne pour dire qu’il est nécessaire et possible de faire plus de clarté sur les origines de cette pandémie. Nous devons prendre au sérieux les hypothèses relatives aux retombées naturelles et de laboratoire jusqu’à ce que nous disposions de données suffisantes. Une enquête digne de ce nom doit être transparente, objective, fondée sur des données, faire appel à une large expertise, faire l’objet d’une surveillance indépendante et être gérée de manière responsable afin de minimiser l’impact des conflits d’intérêts. Les agences de santé publique comme les laboratoires de recherche doivent ouvrir leurs dossiers au public. Les enquêteurs doivent documenter la véracité et la provenance des données à partir desquelles les analyses sont effectuées et les conclusions tirées, afin que les analyses soient reproductibles par des experts indépendants.
Enfin, en cette période de sentiment anti-asiatique regrettable dans certains pays, nous notons qu’au début de la pandémie, ce sont des médecins, des scientifiques, des journalistes et des citoyens chinois qui ont partagé avec le monde des informations cruciales sur la propagation du virus – souvent au prix d’un lourd tribut personnel. Nous devrions faire preuve de la même détermination pour promouvoir un discours scientifique impartial sur cette question difficile mais importante ».
Cet article n’est pas un hasard. Il s’agit d’un processus à l’œuvre qui consiste à mettre une pression de plus en plus forte sur la Chine.
A partir du moment où « officiellement », la fuite de laboratoire sera admise, alors le monde changera radicalement.
Les relations internationales sont d’une très grande violence.
Les Etats n’ont jamais d’amis.
Ils ont des intérêts.
L’intérêt des Etats-Unis, comme celui de l’Union Européenne, est évidemment de faire totalement dérailler la Chine.
Cette histoire de fuite de laboratoire pourrait être l’aubaine du siècle et du nouveau millénaire pour endiguer la Chine, pour justifier une démondialisation rapide et violente, car la Chine « doit » « payer » pour ce qu’elle a fait.
J’imagine déjà les éléments de discours de la petite machine de propagande médiatique occidentale c’est-à-dire essentiellement américano-européenne.
Cela se produira, peut-être ou pas.
Il est trop tôt pour avoir des certitudes, mais vous l’aurez compris, c’est un sujet bouillant, à suivre comme le lait sur le feu, car c’est potentiellement « atomique » dans les effets économiques induits. Nous avons ici les ingrédients d’une crise d’une immense violence, mais également d’une grande brutalité sans oublier qu’elle serait rapide et prendrait au dépourvu la totalité des agents économiques. C’est ce que j’appelle une crise explosive dans le sens de déflagration, des moments où l’histoire bascule dans le temps de la seconde d’une explosion. La dernière crise de ce type a été celle du 11 septembre 2001. Il s’agit de crise qui change le monde en quelques minutes et que l’on n’a pas le temps de voir se développer.
Restez à l’écoute.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
La médecine aujourd’hui : une histoire de « pognon de dingue ».
le 21 mai 2021
Comment peut-on être soigné correctement par des médecins plus ou moins fonctionnaires comme c’est le cas en Espagne avec le service de santé public mais également avec les médecins du service de santé privé qui ne travaillent que pour payer leurs impôts et le train de pneus de leur Porsche dernier modèle. Je voudrais relater ici une anecdote vécue personnellement. Il y a un dizaine d’années. Je suis allé voir un ancien ami médecin spécialiste en otorhino, sans rendez-vous, sans carte vitale, en visite touristique en quelque sorte. Je voulais qu’il me dise ce qu’il pensait de la sinusite chronique dont je souffrais depuis mon séjour au Vanuatu. Pour le mettre sur la voie je lui précisai que dans ce pays tout monde souffre de la malaria et que tout le monde souffre également de sinusite et je lui ai demandé s’il n’y aurait pas une relation encore non explorée entre ces deux pathologies. Il fut étonné par l’audace de ma question. Je me trouvais dans la bonne ville (encore à l’époque) de Lyon pour quelques jours et lui demandai de faire un peu de bibliographie à ce sujet. Il me répondit que c’était impossible, qu’il opérait le matin à l’hôpital et que l’après-midi il recevait en consultation au moins 15 personnes. Et je lui ai renvoyé la balle en lui demandant pourquoi il travaillait autant. Il me répondit qu’il fallait bien qu’il paie ses impôts.
Voilà par qui on est soigné aujourd’hui : par des médecins du secteur public plus ou moins fonctionnaires et des médecins du secteur privé qui travaillent pour payer leurs impôts, qui n’ont pas une minute à consacrer à de la bibliographie et reçoivent des jolies filles estampillées visiteuses médicales qui leur vantent les bienfaits de nouveaux médicaments extraordinaires coûtant une fortune mais pas plus efficaces que les vieux remèdes de grand-mère pour soigner une petite grippe. Vous voulez un autre exemple anecdotique ? Lorsque j’était enfant une mauvaise grippe se soignait avec des inhalations. Il s’agissait de respirer les vapeurs d’une décoction de plantes aromatiques que l’on trouvait à un prix dérisoire chez le pharmacien du village et si on avait la trachée vraiment encombrée ma mère préparait un cataplasme à base de poudre de graines de moutarde. Après une heure d’un genre de supplice thermique on respirait nettement mieux …
Aujourd’hui tout est calculé, financiarisé comme on dit maintenant, les hôpitaux sont rémunérés à l’acte et je suspecte que les médecins le sont aussi en fonction des « actes » qu’ils prescrivent. C’est un peu un système à points et il faut surtout prescrire ou décider d’actes médicaux les plus coûteux possible. Un autre exemple : lorsque je suis allé consulter pour la première fois l’urologue vers lequel j’avais été orienté à la suite d’une analyse sanguine qui révélait un taux élevé de PSA (prostate specific antigen) il m’a tout de suite dit qu’il fallait opérer. J’ai refusé puis j’ai joué le jeu pour savoir où ce théâtre allait me conduire … Quand un oncologue m’a reçu à l’hôpital, après une gamma-graphie, une IRM et un scanner, trois actes loin d’être gratuits, il a conclu qu’il fallait que je me soumette à une radiothérapie, j’ai refusé. Ces médecins spécialistes qui croient être imprégnés de science ne savent même pas que trois hommes sur cinq de mon âge souffrent de problèmes de prostate qu’ils ignorent jusqu’au jour où une analyse sanguine révèle que leur taux de PSA est élevé et … qu’il faut faire quelque chose, c’est-à-dire dépenser l’argent des contribuables en fermant les yeux et sans se poser de questions ni morales ni éthiques. À 80 ans ce sont plus de 80 % des hommes qui ont des problèmes de prostate. Voilà dans quel état est la médecine dans les pays occidentaux, pognon, pognon, pognon … affligeant !
Il est dès lors facile de comprendre que tout a été fait pour surtout ne pas permettre aux médecins généralistes de prescrire l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine, deux médicaments profitant d’une solide réputation d’innocuité en ce qui concerne les effets secondaires et très rapidement utilisés par le corps médical chinois. Le gros souci est le coût dérisoire de ce traitement ce qui n’a pas plus au corps médical ni aux laboratoires pharmaceutiques qui n’ont pas voulu en entendre parler. La perspective de mettre sur le marché des produits nouveaux hors de prix ce qui entrait parfaitement dans le cadre des visées des fonctionnaires gérant le secteur hospitalier public : toujours une très grosse histoire de pognon. Et les vies humaines dans tout ce cirque ? Les quelques 50000 morts qui auraient pu être évités en France en laissant toute liberté de prescription aux médecins généralistes ont été sacrifiés sur l’autel du profit ! Et aujourd’hui pourquoi les gouvernements occidentaux ne décident pas de traiter massivement toute la population dont ils ont la responsabilité avec un comprimé d’ivermectine par semaine pendant deux semaines, alors l’épidémie disparaîtra mais encore une fois les laboratoires pharmaceutiques exerceront une pression (par la corruption) considérable sur les décideurs politiques pour ne surtout décider d’une telle mesure. Les pays africains se moquent des occidentaux, nous devrions avoir honte de nos gouvernants …
Note. Cette fin de semaine je vais me promener dans la nature. Il n’y aura donc pas de billet avant lundi prochain au soir.
PAR TYLER DURDEN JEUDI 20 MAI 2021 - 20H40 Rédigé par Roibert Wright via l'American Institute for Economic Research,
Les escroqueries, les fraudes, les flim flams et les grifts ne sont pas nouveaux en Amérique. En fait, les jeux de confiance étaient vieux chapeau lorsque Clifton Wooldridge a publié son classique de 1906, The Grafters of America: Who They Are and How They Work, qui décrit les inconvénients communs à fin de siècle à Chicago. La mort récente du tristement célèbre arnaqueur d'investissement Bernie Madoff devrait rappeler aux Américains que si cela semble trop beau pour être vrai, c'est probablement le cas.
Alors que l'Amérique sombre dans le désarroi politique, l'arnaque des autres augmente. La fraude par fil est endémique, tout comme l'usurpation d'identité des employés du gouvernement, apparemment parce que les Américains s'attendent maintenant à ce que les fonctionnaires du gouvernement les abordent pour de l'argent rapidement, au moins occasionnellement. Je me concentre ici sur un type d'arnaque beaucoup plus insidieux qui semble également être à la hausse, quelque chose que je qualifierai poliment de «travail de qualité inférieure», mais qui, dans une conversation informelle entre adultes, se traduit généralement par un mot fécal de quatre lettres suivi de "travail."
Une grande partie du travail insalubre effectué à travers le pays en ce moment est en fin de compte la faute du gouvernement, en particulier un ensemble de politiques apparemment délibérément conçues pour inciter les Américains à ne pas travailler: une indemnité de chômage supplémentaire; les grands systèmes scolaires restent virtuels jusqu'à l'automne; exigences de masquage des camps d'été bizarres. La première incite les personnes à faible revenu à rester en dehors du marché du travail et les deux dernières incitent les parents à réfléchir à deux ou trois fois avant de reprendre le travail.
En conséquence, de nombreuses entreprises généralement fiables ne trouvent pas de travailleurs, encore moins de bons. Robin Jones, directeur régional d'une grande chaîne de restauration rapide du Upper Midwest, m'a récemment dit qu'avril et mai de cette année avaient été le marché du travail le plus serré dont il se souvienne au cours de sa carrière de 43 ans dans la restauration, qui comprend des séjours en Arkansas. Missouri, Montana, Dakota du Sud, Tennessee, Texas et Wyoming. Son dos cède parce que son travail de bureau est devenu un rôle de travailleur de la ligne de secours dans la guerre des tacos bon marché. Bien qu'il fasse ce qu'il peut, il n'est qu'un homme. La pénurie extrême de travailleurs signifie des temps d'attente beaucoup plus longs que d'habitude et un service global de qualité inférieure.
Un restaurant d'une station balnéaire du New Jersey a récemment acheté un robot appelé Peanut pour livrer de la nourriture aux clients. Il «peut ouvrir les portes de la cuisine, livrer les commandes aux tables et transporter la vaisselle lorsque tout le monde a fini de manger». Cela fonctionne jusqu'à ce qu'il tombe en panne et ne demande pas de pourboire.
La pénurie de main-d'œuvre ne se limite guère aux services de restauration. L'entreprise de piscine illustrée ci-dessous, par exemple, avait une bonne réputation jusqu'à récemment, lorsqu'elle a facturé 260 $ à un de mes amis pour retirer la couverture de sa piscine. Juste une couverture ordinaire. Des dollars américains, pas des dollars zimbabwéens. L’inflation est relativement élevée, mais elle n’est pas si élevée! Si l'entreprise avait ajouté du chlore soudainement très coûteux à la piscine, cela aurait peut-être été correct, mais il semble que les travailleurs étaient des novices inexpérimentés, déconcertés par de simples problèmes. Ils ont enlevé et rangé le couvercle avec succès (bravo!) Mais ne savaient pas comment faire pomper la pompe, se sont frustrés et sont partis. Mais ils ne voulaient pas parler à leur nouveau patron de leur échec pathétique, ils ont donc facturé le service complet d'ouverture du printemps même s'ils ne l'avaient pas fourni. Pas si intelligent.
Toutes sortes de simulations d'employés et d'aléa moral semblent être à la hausse parce que chaque travailleur à bas salaire sait qu'il peut être licencié un matin mais embauché ailleurs le même jour, généralement à un salaire plus élevé. Bien que des statistiques officielles complètes ne soient disponibles que jusqu'en 2019, il semble que le harcèlement sexuel et d'autres types de plaintes liées à l'emploi aient augmenté ces derniers temps. Une partie de l'augmentation est due à des lois et à une application plus strictes et à une plus grande sensibilisation aux problèmes de harcèlement au travail, mais d'autres peuvent être dues au fait que les employés espèrent un règlement rapide et lucratif, convaincus qu'ils seront en mesure de trouver du travail ailleurs même si leurs demandes sont jugées sans fondement. après enquête. Même les travailleurs à distance font pression sur des allégations de harcèlement. Les plaintes de harcèlement injustifiées sont simplement un type de chapardage plus sophistiqué que d'emporter des fournitures de bureau à domicile ou d'utiliser les salles Zoom à des fins personnelles, ce qui est également susceptible d'augmenter.
Contrairement à la société de pool malheureuse décrite ci-dessus, certaines sociétés surfacturent délibérément beaucoup de leurs clients de manière moins flagrante, dans l'espoir que beaucoup ne remarqueront pas ou ne prendront pas suffisamment soin de se plaindre. Lorsque certains demandent inévitablement des remboursements, ces entreprises bloquent le remboursement ou créditent simplement les clients sur la prochaine facture et finissent ainsi par obtenir des prêts gratuits. La banque d'investissement Morgan Stanley a reçu une fessée pour surfacturation en 2017, mais si l'inflation augmente les taux d'intérêt nominaux augmentera avec elle, ou si les prêts se resserrent en raison de diverses nouvelles réglementations bancaires en cours d'élaboration, davantage d'entreprises pourraient céder à la tentation de court terme bon marché. financement à terme par surfacturation.
Pourtant, d'autres entreprises avec des problèmes encore plus profonds repoussent les limites entre les pratiques commerciales pointues et la fraude pure et simple. Ils doivent réserver des affaires aujourd'hui ou faire faillite demain et ne sont donc pas préoccupés par les mauvaises critiques ou la publicité négative à court terme.
L'une de ces entreprises dont j'ai été personnellement victime récemment est un courtier de déménagement et de stockage à longue distance basé en Amérique. Une partie de mes biens a finalement fait le long voyage du Dakota du Sud à la côte est, mais le ramassage a eu deux semaines de retard, ce qui m'a coûté cher, et le dépôt a également été retardé plusieurs fois, ce qui a dérangé mon pauvre conjoint qui travaille dur. Peut-être qu'un peu de malchance était en fait impliqué, mais au cours du mois qu'il a fallu pour terminer le travail, le courtier en déménagement m'a dit plus de demi-vérités que Fauci n'en a sur Covid. Un initié de l'industrie m'a révélé son péché originel: quand ils obtiennent une note, je veux dire un client, au téléphone, ils prétendent avoir programmé un ramassage alors qu'en fait ils ont simplement estimé quand ils espèrent pouvoir vendre le contrat à un expéditeur long-courrier, qui est alors blâmé pour les retards inévitables.
Des augmentations importantes et inattendues des prix des intrants, de l'essence au bois, signifient que de nombreux entrepreneurs en construction sont également durement touchés. Ils veulent répercuter les coûts supplémentaires, de sorte que les propriétaires doivent faire attention à «l'art de la commande de changement», diverses excuses utilisées par les entrepreneurs pour augmenter le prix du contrat. Lorsque les propriétaires repoussent fortement les ordres de modification, l'entrepreneur peut ne pas se présenter du tout, ou effectuer des travaux de qualité inférieure / utiliser des matériaux de qualité inférieure, il est donc souvent préférable de négocier un nouveau prix ou de ne pas conclure de contrat jusqu'à ce qu'une certaine stabilité revienne.
La récente attaque de ransomware contre Colonial Pipeline est plus malveillante que le travail de qualité inférieure, mais l'auteur présumé, un groupe obscur appelé DarkSide, prétend être une entreprise qui incite ses «clients» à améliorer leurs protocoles de cybersécurité. Alors que le vecteur précis de l'infection par les ransomwares reste inconnu ou caché, les restrictions de Covid et / ou le marché du travail serré sont probablement la cause profonde de ce cluster colossal. Comme l'a souligné Peter C. Earle de l'AIER l'année dernière, les verrouillages rendent les pays plus vulnérables aux attaques et, comme les Texans glaciaux l'ont appris l'hiver dernier, ils sont également plus vulnérables aux chocs naturels.
L'immunité naturelle et les vaccins ont scotché Covid, du moins aux États-Unis Si seulement les Américains développaient des immunités contre un gouvernement excessif ! À l'heure actuelle, l'Oncle Sam est plus susceptible de vous poignarder dans le dos que d'avoir le dos. La scamerica sera de plus en plus frauduleuse jusqu'à ce que le gouvernement abandonne son masque paternaliste et permette à nouveau aux enfants d'être des enfants, que les employeurs emploient, que les innovateurs innovent, que les enseignants enseignent et que les travailleurs travaillent.
Dès lors que l'on a connaissance que l''argent' se fabrique au clavier d'ordinateur et qui peut être attribué 50 milliards à n'importe qui, la différence évidente entre le mode passé est que les nouveaux 'milliardaires' FERMENT LEURS GUEULES ! Et, c'est ainsi que les voix se portent vers l'attributeur qui possèdent l'ordi-magique qui fait naître des milliards de zéros !
90% des attaques de logiciels malveillants commencent par du phishing.
Les Geek sont-ils plus à mêmes de détecter des cyber-attaques ? Sont-ils plus que les autres en capacité d’échapper au hameçonnage et plus largement aux cybermalveillances qui chaque jour prolifèrent au sein de nos univers numériques ? Petit voyage au pays des cordonniers du Web qui, comme souvent, ne sont pas toujours les mieux chaussés…
Depuis 15 ans, la date du 25 mai est celle de la journée mondiale des Geek, en référence à la première projection de Star Wars en 1977. Journée sans revendication ni message clairement affiché, cette date permet surtout de rappeler de quelle manière la culture Geek est parvenue à s’imposer dans nos sociétés, mais aussi de voir dans de quelle manière cette communauté est armée face au (cyber)monde qui vient…
Le Geek est-il mieux protégé que ses parents ?
J’ai récemment eu l’opportunité d’échanger avec Micode. Ce youtubeur âgé de 20 ans est un véritable génie de l’informatique. Son credo : vulgariser le code mais également se pencher sur les failles des systèmes, comme il n’a notamment montré en piratant amicalement la webcam d’un de ses collègues, Amixem. Avec ses quelque 660 000 abonnés et des vidéos qui font parfois 1 million de vues, Micode me semble assez représentatif de ce qui se passe actuellement du côté de la communauté des jeunes informaticiens qui, pour la plupart, sont des autodidactes. Qu’ils soient ou non gamers ou « rôlistes » (amateurs de jeux de rôles), fans de Tolkien ou d’Heroic Fantasy, ces Geek plus ou moins revendiqués (certains refusent cette étiquette) commencent à prendre conscience des cyber risques qui les guettent.
C’est particulièrement le cas de Micode… mais son approche est-elle si répandue que cela ? Dans la plupart des cas, j’observe la chose suivante : nos informaticiens en herbe, aussi géniaux qu’ils soient – et ils le sont la plupart du temps – ont l’impression d’être suffisamment smart pour éviter une grande partie des pièges tendus par les cyber-criminels. Est-ce parce qu’on a monté son ordinateur soi-même que l’on est protégé contre le phishing (hameçonnage) ? Est-ce parce que l’on connaît son système, sa machine, ses logiciels et que l’on est sous Linux que l’on est en capacité de réagir en un quart de seconde lorsque l’on est la cible de cybercriminels ? La réponse, vous l’aurez compris, est contenue dans la question…
En l’espèce, les idées reçues peuvent avoir la peau dure. En voici quelques-unes. « Si tu sais un peu ce que tu fais, si tu n’as pas installé de logiciels piratés alors tu ne prends pas de risques » : voici pour la première. Une autre consiste à s’imaginer qu’en matière de sécurité un simple firewall suffit. Une troisième consiste à ne pas se méfier ni de son smartphone, ni de ses propres objets connectés…
Une brique ne suffit jamais à construire un mur : voilà l’image qui peut être donnée à de jeunes informaticiens qui accorderaient toute leur confiance à leur comportement ou leur seul antivirus. Un système de sécurité digne de ce nom est en réalité une chaîne, pour ne pas dire une suite. Elle mobilise un antivirus, un firewall ainsi que tout un ensemble d’éléments qui viennent le compléter, à l’image d’un gestionnaire de mots de passe ainsi que d’une protection pour smartphone et objets connectés. En l’espèce, toute vigilance doit être majeure. Oubliez la dimension « il faut faire un peu attention ». Les cybercriminels ont ces derniers mois franchi un cap. Ils agissent en bande organisée. Ils ciblent les personnes les plus faibles ainsi que celles qui seront le plus solvables. Car leur objectif n’est ni plus ni moins que de vous hameçonner afin de vous rançonner, ne l’oubliez jamais.
C’est d’ailleurs pour cette raison que les propriétaires de Mac ne sont finalement pas plus à l’abri que les utilisateurs de PC. Un rempart, le Mac ? Encore une idée reçue ! Les rapports de tendance qui sortent depuis quelque temps démontrent que si les Mac sont en effet moins impactés, les attaques sont spécifiquement mises en place pour passer les obstacles de l’OS. Dit autrement, la menace existe sous Mac mais sous des formes différentes. Et surtout, ne croyez pas que les fabricants eux-mêmes ont prévu des réponses à ces attaques par anticipation : ce n’est pas le cas car c’est tout simplement impossible. Regardez ce qui s’est passé avec le modèle X d’une Tesla il y a quelques mois : un chercheur en sécurité a réussi à passer toutes les barrières (code, ouverture de porte, démarrage) en quelques minutes et sans effraction… Personne n’est à l’abri.
Au marketing de la peur il est peut-être plus opportun de répondre par de la pédagogie. Celle-ci passe par une forme d’humilité qui consiste à considérer la réalité du terrain. Que vous soyez un simple usager ou au contraire un ingénieur informaticien expérimenté, sachez que vous êtes logés à la même enseigne : 99% des utilisateurs que nous sommes sont en capacité de détecter entre 1 et 2% du hameçonnage dont nous sommes les cibles. Un cadenas vert et un bon URL peuvent aisément être concoctés en utilisant un alphabet cyrillique. Tout le monde ou presque s’y fera piéger… sauf si l’on a pris en amont des précautions.
ORDURES MÉNAGÈRES : FORTE HAUSSE DES TAXES EN 2021
par PAOLO GAROSCIO 21/05/2021
La TEOM avait déjà augmetné de 1,8 % en 2020.
Mauvaise nouvelle pour les Français, qu’ils soient propriétaires occupants ou locataires : ils vont payer plus cher le service d’enlèvement des ordures ménagères. Selon Les Echos, la hausse est conséquente, surtout dans les villes moyennes. Et la faute revient une fois encore (mais qu'en partie) à la Covid-19. La TEOM et la REOM vont augmenter en 2021
Le cabinet FSL a réalisé une étude sur les diverses décisions des intercommunalités concernant la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM) et la Redevance d’Enlèvement des Ordures Ménagères (REOM). Les Echos a pu la consulter le 19 mai 2021 et en dévoile la teneur : les ordures vont coûter plus cher.
Les habitants des villes moyennes sont les principaux concernés : la hausse devrait être en moyenne de 2,3% pour les intercommunalités de 40.000 à 100.000 habitants… contre seulement +0,3% pour les grandes villes de plus de 100.000 habitants en moyenne.
Une hausse nécessaire : les coûts augmentent et les intercommunalités n’ont pas pu recevoir le complément de revenus lié à la vente du produit du recyclage, comme l’explique Nicolas Garnier, délégué général d'Amorce, une association de collectivités en charge des déchets, de l'eau et de l'énergie, dans les colonnes du quotidien.
Tous les ménages concernés car… les locataires la payent aussi
Contrairement aux augmentations de la taxe foncière, annoncées pour compenser la suppression de la taxe d’habitation, que ne payent que les propriétaires, l’augmentation de la taxe sur les ordures ménagères va concerner l’ensemble des ménages français.
Les locataires auront donc également la mauvaise surprise : si la TEOM et la REOM sont mentionnées dans l’avis de taxe foncière, reçu par le propriétaire bailleur, il s’agit-là de « charges récupérables ». Le propriétaire peut donc se faire rembourser de cette somme par son locataire… ce qui paraît logique puisque ce sont ses ordures qui sont enlevées.
Du glyphosate dans les écouvillons des tests Covid ?
21 Mai 2021 par Seppi Ludger Weß*
Les organisations environnementales et les politiciens écologistes hésitent encore à tester les écouvillons et masques Covid pour le glyphosate.
La campagne de vaccination de l'Allemagne est enfin en cours, mais le problème suivant fait son apparition : beaucoup de gens ne vont pas se faire vacciner. Ils ont appris des organisations environnementales, des politiciens et des médias à se méfier des régulateurs et des experts.
Entre-temps, il y a davantage de vaccins disponibles en Allemagne, mais malheureusement aussi de plus en plus de personnes qui ne veulent pas se faire vacciner. En Hesse, les bureaux de santé signalent jusqu'à 50 % de rendez-vous de vaccination annulés. Il existe des rapports similaires dans d'autres États fédéraux. On peut supposer que la majorité de ces personnes ne refusent pas la vaccination en principe, mais ont simplement peur du vaccin d'AstraZeneca. En conséquence, ils laissent tomber leur rendez-vous ou n'acceptent pas l'offre de vaccination.
Le problème ne fera que s'aggraver dans les mois à venir en ce qui concerne la vaccination des mineurs et des enfants. Il y a déjà des parents qui ne veulent même pas que leurs enfants soient testés. Cela dépasse l'entendement ; mais tous les parents qui ont peur de faire tester ou même (bientôt) vacciner leurs enfants contre le SARS-CoV-2 ne sont pas des contestataires. Ils manquent cruellement d'assurance et les pseudo-experts comme Bhakdi et Arvay (qui figurent tous deux sur la liste des best-sellers du Spiegel) ont la vie facile.
Il est facile de froncer le nez ou de lever les yeux au ciel devant des parents sceptiques, mais leur attitude est-elle vraiment si surprenante ? Peut-on reprocher aux parents de refuser les tests Covid ou les masques pour leurs enfants parce qu'ils ne veulent « aucun produit chimique » dans le nez et sur les muqueuses de leurs enfants ? Les activistes, les médias tels que le Spiegel, taz, Süddeutsche et même le radiodiffuseur public n'ont-ils pas continuellement mis en garde contre le « glyphosate cancérigène » dans les aliments, les aliments pour bébés, les produits d'hygiène, etc. au cours des dernières années ? N'est-il pas compréhensible que les parents aient peur des produits chimiques dans le nez de leurs enfants alors qu'on leur répète depuis des années dans des campagnes que les vêtements, les jouets et la nourriture des enfants sont « contaminés par des produits chimiques » et que même des traces de glyphosate, de plastifiants, de formaldéhyde, etc. sont capables de provoquer des allergies, des dommages neurologiques et des cancers ? Alors que toute l'année, des mises en garde sont lancées contre les « poisons des champs » présents dans les lièvres de Pâques, les saucisses grillées et les sapins de Noël, parce que les champs allemands sont « arrosés de pesticides » ? Quand on déclare qu'il y a un manque de volonté politique pour enquêter sur les conséquences dévastatrices du « cocktail chimique » auquel nos enfants sont constamment exposés ? Quand il est sous-entendu que les régulateurs ignorent les dangers et sont de mèche avec l'industrie ? Quand les limites de l'eau potable servent constamment d'étalon pour créer des scandales sur les traces de résidus ?
ZDF : « du glyphosate cancérigène dans les cotons-tiges »
C'est la ZDF qui a mis en garde contre la présence de glyphosate dans les cotons-tiges – « à un niveau plus élevé que les limites existantes pour l'eau potable » ! Allégation suivie de la déclaration (fausse) : « L'Organisation Mondiale de la Santé a classé le glyphosate comme "probablement cancérigène". » Andreas Gies, de l'Agence Fédérale de l'Environnement avait alors abondé : « Il ne faut pas l'ignorer ». Et maintenant ? ZDF WISO et l'Agence Fédérale de l'Environnement ont-ils déjà examiné les écouvillons des tests Covid ? Le feront-ils encore ou cela sera-t-il considéré comme hérétique, cynique et « inutile » ?
Où est l'Umweltinstitut [institut de l'environnement] de Munich, qui, il y a peu, semait la panique à propos des « traces de glyphosate » et d'autres pesticides dans l'air que nous respirons ? Prévoit-il une analyse des résidus de pesticides dans les écouvillons des tests Covid, suivie de la déclaration habituelle selon laquelle « personne ne peut exclure que... » ; que par exemple, dans le cas d'une blessure due à une mauvaise utilisation, les résidus passent directement dans le sang ? Quels dommages à long terme la Deutsche Umwelthilfe [aide allemande à l'environnement] prévoit-elle en cas d'inhalation de résidus de produits chimiques ou de fibres à travers les masques ? Le risque n'augmente-t-il pas avec le cocktail chimique que les meubles et les fleurs coupées émettent ? Où est Greenpeace pour déplorer la présence de coton génétiquement modifié dans les écouvillons et exiger qu'ils soient étiquetés avec le signe d'avertissement de biosécurité ? Où est le test du masque effectué par le BUND [Bund für Umwelt und Naturschutz Deutschland – ligue pour l'environnement et la protection de la nature de l'Allemagne], une organisation qui, par ailleurs, recherche à chaque occasion des résidus d'huile minérale et d'autres polluants dans le papier d'emballage et les filtres à café ?
Et pourquoi faire confiance à la Commission Permanente pour les Vaccinations (STIKO), contre laquelle les Verts ont mené une campagne en 2008 et 2009 pour la discréditer en tant qu'organe de propagande dirigé par l'industrie, parce que le « parti de la science » rejette le vaccin contre le papillomavirus humain [VPH] pour la prévention du cancer du col de l'utérus : « Deux décès en Allemagne et en Autriche survenus en relation temporelle avec la vaccination contre le VPH ont été une raison suffisante pour que nous, les Verts de la commission de la santé du Bundestag, exigions un rapport du gouvernement fédéral ».
Dans la petite question du groupe parlementaire du 23 avril 2009, des questions typiques des contestataires ont été énumérées :
« Quels examinateurs externes ont suivi ce rapport d'ETS [évaluation des technologies de la santé] ? Ces personnes sont ou étaient-elles liées aux fabricants de vaccins ? »
« Existe-t-il des recherches indépendantes des fabricants sur les effets indésirables neurologiques rares et les complications des vaccins en Allemagne ?
[...]
a) Dans quelle mesure y a-t-il des employés du ministère fédéral de la Santé qui ont été ou sont employés par des fabricants de vaccins ou qui sont liés d'une autre manière à ces derniers ? Dans quels départements ces employés travaillent-ils et quelles sont les tâches qui leur sont confiées ?
b) Dans quelle mesure des employés de l'Institut Paul Ehrlich ont-ils été ou sont-ils employés par des fabricants de vaccins ou ont-ils d'autres relations avec eux ? Dans quels départements ces employés travaillent-ils et quelles sont les tâches qui leur sont confiées ? »
Les Verts au niveau de l'AFD [Alternative für Deutschland, classée à l'extrême droite]
On n'oubliera pas la théorie du complot véhiculée dans la même question, selon laquelle l'attribution du prix Nobel 2008 au virologue allemand Harald zur Hausen n'était pas irréprochable : « Existe-t-il des indications que l'influence présumée de l'industrie pharmaceutique sur l'attribution du prix était destinée à des fins de marketing ? » Zur Hausen avait prouvé au début des années 1980 que les virus du papillome humain causaient le cancer du col de l'utérus et avait ainsi jeté les bases de la vaccination contre le VPH et le cancer du col de l'utérus.
Une mise en scène au moins aussi scabreuse et du niveau de l'AfD a été faite par les Verts avec la prétendue détection de glyphosate dans le lait maternel à l'été 2015. Au lieu de procéder à des vérifications minutieuses et de s'adresser à un laboratoire disposant d'une réelle expertise, le groupe parlementaire des Verts a fait réaliser une étude dans un laboratoire inadéquat avec des méthodes inadaptées ; il l'a immédiatement rendue publique (le communiqué de presse original et l'« étude » ont été retirés par les Verts de leur site web par précaution, mais sur la page Facebook, il y a encore des vestiges) pour annoncer une nouvelle choquante : que dans des échantillons de lait maternel, des quantités de glyphosate comprises entre 0,210 et 0,432 nanogrammes par millilitre de lait avaient été mesurées – alors que pour l'eau potable, ce n'est que 0,1 nanogramme qui est autorisé. L'étude s'est effondrée lorsqu'elle a été réexaminée par des laboratoires accrédités ; et le parti qui avait prétendu être si responsable (« en tant que groupe parlementaire au Bundestag, nous nous sommes longtemps demandé si nous devions tester le lait maternel pour le glyphosate et nous accommoder du risque de déstabiliser les mères qui allaitent, alors que le lait maternel est si important pour les bébés... ») a été contraint de présenter des excuses publiques. Mais l'incertitude avait été suscitée et l'affirmation selon laquelle le glyphosate peut être trouvé « dans la bière, l'urine et le lait maternel » circule toujours.
Mais l'incertitude des plus de 60 ans (qui ont grandi au rythme des avertissements du Club de Rome et des campagnes contre l'énergie nucléaire, le génie génétique et le dépérissement des forêts) est également compréhensible. Ils ont appris à se méfier par principe des autorités de régulation et des experts (dans le cas de l'énergie nucléaire, il était même de bon ton de ne pas être un expert), à les accuser d'être proches de l'industrie (« les portes tournantes ») ou d'être vénaux. Ils ont appris à supposer un parti pris (« toute personne qui s'y connaît et pense que c'est bien y a un intérêt personnel et/ou gagne son pain avec ») ou un optimisme aveugle quant au progrès, mais en tout cas une irresponsabilité et l'imprudence. La question habituelle des politiciens verts en matière de génie génétique ou de pesticides est la suivante : « Dans quelle mesure le BfR, l'EFSA, l'ECHA, la Commission Européenne, le Ministère de l'Agriculture, etc. sont-ils indépendants ? ». Et par défaut, le travail des forces secrètes de lobbying est présumé avoir été à l'œuvre dès qu'une expertise scientifique ne tourne pas comme le parti le souhaite. Le lobby pharmaceutique, chimique, du génie génétique ou de l'agriculture a alors été à la manœuvre et la question est murmurée : « À qui profite la nouvelle expertise ? »
Retournement de situation avec la pandémie
Dans la pandémie, ces mêmes régulateurs et experts sont soudainement considérés comme dignes de confiance par tous ces partis et organisations qui font un profit pécuniaire et politique avec le commerce de la peur : ils ont réalisé que leur propre clientèle serait en danger s'ils restaient sur la même stratégie.
Une situation similaire peut être observée en Suisse en ce moment : pendant des années, on a dit au public que l'agriculture biologique pouvait se passer de pesticides et d'engrais. Aujourd'hui, les agriculteurs biologiques et les Verts suisses élèvent la voix contre l'initiative sur l'eau potable, qui veut légiférer sur le renoncement à touts les pesticides et à tous les engrais. Selon l'initiative, les sels de cuivre, sans lesquels aucune ferme biologique ne peut exister, disparaîtraient également.
Rien ne discrédite plus ces partis et organisations clientélistes et les médias qui leur sont associés que de tels rebondissements. Mais les dégâts qu'ils ont causés sont importants. Il est devenu habituel en Europe, grâce à ces roulements de tambour, de ne voir avant tout que les risques des nouvelles technologies, de minimiser, rejeter ou déclarer superflus les bénéfices attendus (il suffit d'abolir l'agriculture industrielle, les inégalités, le capitalisme, et il n'y aura plus d'épidémies, plus de mauvaises récoltes, plus de faim, plus de maladies), et d'exiger le risque zéro. La gestion des risques est perçue comme une tentative répréhensible d'un lobby industriel d'imposer ses intérêts par la petite porte.
Aujourd'hui, pour la première fois, nous voyons le prix que la société paie pour cette vile politique clientéliste : le prix, ce sont des personnes mortes. De plus en plus chaque jour.
DES MÉDECINS TÉMOIGNENT DEVANT LE SÉNAT DE L'ÉTAT DU TEXAS POUR S'OPPOSER À LA VACCINATION COVID OBLIGATOIRE, ET PLUS ENCORE
*En espérant que la traduction de cette audition puisse atteindre un maximum de parents qui, à mon sens, devraient être très préoccupés concernant l'actuelle vaccination de leurs enfants et de leurs adolescents.
COMITÉ DU SÉNAT SUR LES AFFAIRES D'ÉTAT (11 mai 2021)
Voici la traduction (faite bénévolement par une abonnée de Conscience du peuple) de l’extrait à partir de 36:00…...
- ‘’Merci de m'accueillir, je m'appelle Dr. Angelina Farella et je suis pédiatre à Webster au Texas, médecin solo indépendant. Je suis venu ici aujourd'hui vraiment pour protéger nos enfants. Au Texas, c'est une situation très effrayante dans laquelle nous nous trouvons en ce moment. J’aimerais aborder quelques éléments historiques.
👉Jamais dans l'histoire, nous n'avons donné des médicaments qui n’étaient pas approuvés par la FDA à des personnes n’ayant pas été initialement étudiées dans le cadre des essais. Il n'y a eu aucun patient de l’essai âgé de moins de 18 ans. Il n'y a eu aucun patient de l'essai ayant été précédemment exposé ou ayant eu le covid. Deux points très importants.
L'autre questionnement est la sécurité, je suis une maniaque de la sécurité, je suis pédiatre, pédiatre depuis plus de 25 ans et je me considère comme experte en vaccins.
J'ai donné des dizaines de milliers de vaccins dans mon bureau, je ne suis pas une anti-vaccin. Je suis très pro-vaccin en fait, sauf en ce qui concerne ce vaccin contre la covid ... si on peut l'appeler ainsi.
L'un des gros problèmes est le profil de sécurité. Les recommandations au sujet de la sécurité et des effets indésirables faites par l'ACIP qui est l’Advisory Committee of the Immunization Practices (comité consultatif des pratiques de vaccination). Ils ont fait des recommandations au sujet des vaccins Covid-19. L'une des choses extrêmement troublantes se retrouve dans leur guide ACIP, pour le vaccin Pfizer en particulier. 👉Les recommandations à propos des effets secondaires et de la sécurité ont été publiées après autorisation. Après autorisation!
C'est un problème très effrayant. Nous devons découvrir les données sur la sécurité avant d’exposer nos patients à cela.
👉Actuellement nous autorisons les enfants de 16-17 ans à recevoir ce vaccin et ce groupe d’âge n’a jamais été étudié dans cet essai. En plus de ces jeunes, ils extrapolent les données des adultes aux enfants et adolescents.
Ceci n'est pas acceptable, les enfants ne sont pas de petits adultes, pas acceptable du tout
Les enfants ont une survie de 99,997% du covid, 99,99 7% permettez-moi de répéter cela pour que vous compreniez tous. Et il y a des preuves que les enfants sont en fait un tampon. Cela signifie que les enfants, pour une raison quelconque, ne propagent pas la maladie. Les enfants ne sont pas de super propagateurs, donc 👉ce que nous faisons à nos enfants en ce moment est en fait criminel. Nous les isolons, nous leur mettons des masques, ce qui est également cliniquement dangereux, nous leur disons
aussi psychologiquement que s'ils ramènent le covid à la maison, ils vont tuer grand-mère et grand-père, oncle, maman et papa. C'est une situation horrible, horrible pour nos enfants.
Permettez-moi de revenir au vaccin contre le rotavirus de 1999. Je pratique depuis assez longtemps que je donnais le vaccin rotavirus en 1999. Il a été retiré du marché à l'époque à cause de 15 cas d'intussusception. L'intussusception est l'endroit où l'intestin se télescope sur lui-même. L'intussusception ne met pas nécessairement la vie en danger. Il se réduit parfois spontanément, mais 👉le vaccin contre le rotavirus a été retiré immédiatement et nous avons cessé de le donner à nos enfants.
👉Ce qui se produit avec le vaccin covid est pour moi épouvantable. Nous avons plus de 4000 morts et cette chose n'a pas encore été retirée. C'est absolument inacceptable. En plus de cela, vous savez, il y a quelques années, peut-être que certains d'entre vous ne comprennent pas que nous avons eu une pandémie de grippe en 2017 et qu'elle a tué 95000 américains. Et 95000 américains sont morts malgré le fait que nous ayons un traitement antiviral efficace et précoce contre la grippe.
Nous avons maintenant un traitement ambulatoire efficace précoce pour le covid, nous l'avons depuis longtemps.
En tant que pédiatre, je suis intervenu au Texas pour aider les adultes texans. Parce que les médecins de ma communauté ferment leurs portes, verrouillent leurs portes et refusent de soigner les patients. J'ai vu des centaines d'adultes actifs covid. J'ai également traité des problèmes post-vaccinaux chez les adultes. Encore une fois en intervenant je deviens très vulnérable car en tant que pédiatre ce n'est pas ma spécialité, mais j’ai des compétences avec les maladies infectieuses.
Je vois beaucoup de petits enfants, ce sont des boîtes de Pétri, la raison pour laquelle ils sont un tampon ‘’buffer’’ c'est exactement pour ça. Ils ont quelque chose qui s'appelle un thymus, le thymus aide à l'immunité des cellules T. C'est donc un autre point à comprendre pour vous. Merci de m'avoir permis de parler.’’
- ‘’Docteur merci. Sir Lucio a une question pour vous…’’
- ‘’Vous avez déclaré que des personnes sont décédées à cause de l’influenza. Quel pourcentage de ces personnes avait eu des effets ... ces personnes décédées avaient-elles pris des médicaments ?’’
- ‘’C'est une question très intéressante, car la façon dont l’influenza est enregistrée n'est pas une maladie à déclaration obligatoire dans certains comtés et États. Les chiffres nationaux fournis par le CDC sont donc des estimations, mais nous savons qu'ils sont disponibles.’’
- ‘’Je comprends cela, mais vous m'avez laissé croire qu'ils étaient morts même s'il y avait de la disponibilité pour ces médicaments. Mais vous m'avez amené à croire avec votre présentation qu'ils étaient morts même si certains d'entre eux en avaient pris.’’
- ‘’Je suis certaine que certains en ont pris. Oui, il y a des personnes à risque pour lesquelles nous ne pouvons pas faire grand-chose.’’
- ‘’Mais il n'y a pas de statistiques ou quoi que ce soit ?’’
- ‘’Exact’’
- ‘’Êtes-vous ici pour témoigner pour vous-même ou pour votre profession en tant que pédiatre de Texas?’’
- ‘’Moi-même’’
- ‘’Vous-même, ok merci’’
- ‘’Autre question pour le témoin? Sénateur Hall…’’
- ‘’D’après votre expérience, vous avez parlé de remonter à 1999 ou peut-être avant. 👉Y-a-t-il eu un autre vaccin qui présentait autant d'incidents, d’hospitalisations graves et de décès que ce vaccin le démontre maintenant ?’’
👉- ‘’Pas à ce point là, absolument pas! Pas même proche !’’
- ‘’N’importe quel autre vaccin aurait-il été retiré du marché ?’’
- ‘’Absolument, il aurait probablement été retiré dès les premiers incidents, comme nous l'avons vu dans le passé.’’
👉- ‘’Avez-vous déjà vu un autre vaccin être mis à la disposition du public, sans être préalablement testé sur les animaux ?’’
- ‘’Jamais auparavant, spécialement pour les enfants.’’
- ‘’D’après ce que j’ai lu, ils ont commencé les tests sur les animaux et parce que les animaux étaient en train de mourir, ils ont arrêté les tests. [Référence dans les commentaires]. Je pense qu'il est important de comprendre ici que ce dont nous parlons, c'est que 👉 les Américains sont maintenant des cobayes. C'est un programme test qui est en cours. Ils n'ont pas fait les tests sur les humains et ils ont arrêté les tests sur les animaux parce que les animaux étaient en train de mourir [Référence dans les commentaires] et ensuite ils l'ont rendu public.
-"Et nous constatons maintenant que des entreprises veulent exiger que ce vaccin expérimental soit administré aux gens comme une condition de leur emploi. 👉Pourtant, nous avons ce nombre de morts qui continue d'augmenter et qui est totalement ignoré. Alors êtes-vous d'accord avec ce que je viens de dire ?’’
- ‘’Absolument.’’
- ‘’Merci beaucoup. Je vous apprécie et j’apprécie votre travail.’’
- ‘’Merci sénateur Hall. Sénateur Lucio…
- ‘’Question pour le sénateur Hall. C'est une déclaration assez forte que vous avez fait, avez-vous des données que nous pouvons regarder pour voir ce qui s'est passé ?’’
- C'est sûr le site internet de… [inaudible]]’’
- ‘’Pourriez-vous nous diriger vers ce site Web ? Je voudrais voir ça.’’
- ‘’Oui je vais vous le trouver’’.
- ‘’J'aimerais voir combien ils ont testé et qu’en fait ils ont arrêté de tester parce que les animaux étaient en train de mourir.’’
Pr Luc Montagnier : « Les variants viennent des vaccinations »
Egalité et Réconciliation jeu., 13 mai 2021 14:17 UTC
Le grand scientifique Luc Montagnier expose les dangers de la vaccination qui fait croire qu'elle lutte contre la pandémie. Or, c'est le contraire, elle la nourrit ! De plus, le virus variant résiste à la vaccination : « les nouveaux variants sont créés par la sélection des anticorps produits par la vaccination ».
« C'est une énorme erreur, c'est une erreur scientifique et une faute médicale inexplicable, l'histoire fera le bilan un jour de tout ça, car c'est effectivement la vaccination qui a créé le variant. »
Un professeur chinois dit que les États-Unis ont été vaincus en 2020 «dans une guerre biologique»
May 21st, 2021
Se vanter, si tôt ? Ce genre de discours ne fera pas plaisir:
Les commentaires ont été faits par Chen Ping, chercheur principal à l'Institut chinois de l'Université de Fudan, un groupe de réflexion affilié au PCC et professeur à l'Université de Pékin.
La vidéo, qui est apparue en ligne récemment, a été traduite par la blogueuse chinoise new-yorkaise Jennifer Zeng:
- voir clip sur site -
Notez la mise en garde. Le professeur Ping dit que la guerre biologique a été lancée contre la Chine.
Ping déclare dans la vidéo que «En 2020, la Chine a gagné la guerre commerciale, la guerre scientifique et technologique, et en particulier la guerre biologique.»
… «Le modèle occidental a échoué, la civilisation maritime de 500 ans est vouée à l'échec, le PCC a gagné et« ouvrira la voie à la modernisation dans la nouvelle ère après la révolution de la biologie »après la pandémie de 2020 CCPVirus (COVID19).»
La réalisation est sans précédent. Il s'agit d'un record historique historique », poursuit-il, ajoutant:« Donc, pour le culte libéral adorateur des États-Unis en Chine, leur adoration des États-Unis est en fait infondée.
Quand l'Occident trouvera-t-il ses marques et cessera-t-il de se haïr ?
En parlant de guerre biologique:
Il y a des fruits du plan des 1000 talents chinois: Song Guo Zheng faisait partie d'une équipe collectant 4 millions de dollars du NIH américain alors qu'il tirait également des fonds de la Fondation nationale chinoise des sciences naturelles - ce qu'il a omis de mentionner. Il a été surpris en train d'essayer de s'envoler pour la Chine avec des valises remplies d'ordinateurs portables, de clés USB, d'argenterie et de paperasse pour ce qui ressemblait à une «nouvelle vie».
14 mai 2021: Un ancien professeur de l'Université d'État de l'Ohio, réputé pour ses travaux de recherche, a été condamné à 37 mois de prison après avoir admis qu'il n'avait pas révélé ses affiliations à la Chine lors de l'obtention de subventions fédérales pour la recherche médicale.
Song Guo Zheng, 58 ans, de Hilliard, devra également restituer 3,4 millions de dollars aux National Institutes of Health et près de 414000 dollars à l'État de l'Ohio en vertu d'une condamnation annoncée vendredi par le juge en chef du district américain Algenon L. Marbley.
Le procureur américain par intérim Vipal J.Patel a déclaré dans une déclaration publiée. "Voler, c'est voler, mais voler à la demande d'un gouvernement étranger pour voler les innovations et la technologie de notre pays amène les choses à un niveau nouveau et bien pire."
Pendant ce temps, les Seychelles, déjà vaccinées à 60 %, reçoivent leur première vague d'infections à Covid. Deux vaccins ont été utilisés, le vaccin chinois Sinopharm et une version indienne d'AstraZenica. Alors que d’autres vaccins peuvent avoir une efficacité plus élevée, cela nous rappelle que les vaccins ne nous sauveront pas facilement d’une pandémie en mutation, qui est une maladie qui se propage en grappes à partir d’une famille de virus qui ne semble pas créer d’immunité durable. Aux Seychelles, les personnes vaccinées ont été infectées à environ la moitié du taux des personnes non vaccinées. On nous dit qu’ils ont moins de chances d’être hospitalisés, ce qui est bien. Mais ils peuvent encore infecter d'autres, et nous risquons la terrible fuite immunitaire qui pourrait conduire à des mutants plus méchants, ainsi qu'à d'autres effets secondaires tels que l'amélioration dépendante des anticorps et le péché antigénique original qui pourraient tous deux mal orienter nos réponses immunitaires afin que nous devenions une maladie plus grave.
Les antiviraux pourraient changer tout cela, mais ils sont trop bon marché, et hors brevet, pour que Big Pharma puisse en profiter, donc interdits dans les «marchés riches» mais utilisés dans le tiers monde. Pour dénoncer ce scandale, où sont nos universités financées par des fonds publics? Pour quoi les payons-nous exactement ?
h / t Charles M, Lance, David.
- voir graphique sur site -
Worldmeter, infections Covid. Les Seychelles. Worldomètre
Un tiers des personnes infectées avaient reçu deux doses, de sorte que les vaccins sont peut-être 50 % efficaces pour arrêter les infections:
Environ 37 % des cas positifs de la semaine au 8 mai avaient été entièrement vaccinés, a déclaré le gouvernement, bien qu'il n'ait pas publié de données sur les vaccins qu'ils ont reçus.
Notez l'explication:
On ne sait pas ce qui a conduit à la propagation, bien que Sylvestre Radegonde, le ministre des Affaires étrangères et du Tourisme, ait déclaré que le virus était probablement dans le pays depuis le début et s’était propagé car la vaccination rendait les gens plus complaisants. L'amélioration de la recherche des contacts et des tests a également aidé les autorités à détecter davantage de cas.
ClimateStrike: Les plus anciens manifestants de masse toujours prêts à «faire grève» pour le changement climatique sont les enfants
May 21st, 2021
Est-ce que l'un d'entre eux a même abandonné son argent de poche cette semaine ?
Lorsque vous ne pouvez pas convaincre les adultes et les vrais électeurs de marcher en masse ou de perdre leur salaire dans une grève réelle, les seuls manifestants qui restent sont les enfants - le «Rent-a-crowd» le moins cher.
Y a-t-il un public plus facile à trouver un jour de semaine que les écoliers ont dit qu'ils peuvent sauter l'école pour une promenade dans le parc ? Il y a 4 millions d'élèves dans les écoles en Australie, et moins de 0,5 % sont peut-être arrivés aujourd'hui.
#ClimateStrike: Pourquoi ne pas laisser les enfants de dix ans définir la politique énergétique nationale ?.
Qu'est-ce que ces étudiants apprennent ?
ClimateStrike Gestion avancée du réseau ?
Nous savons tous pourquoi ils n'organisent pas ces manifestations ce week-end:
Ces élèves apprennent que les personnes âgées sont égoïstes et stupides, et que les 80 ans ne réalisent pas qu ’« il n’ya pas de planète libre ». Apprenons-leur l’humilité et l’histoire et pourquoi les autocrates utilisent toujours les enfants pour vendre leurs programmes.
Les clichés capricieux font de jolis moments télévisés tant que les journalistes ne posent pas de questions difficiles. Mais ils ne résolvent pas les coûts de maintenance élevés liés à la collecte d’énergie à faible densité sur de vastes kilomètres carrés de nature sauvage.
Apprenons à nos enfants ce que l’inertie et 50 Hz signifient à la place, et pourquoi les énergies renouvelables intermittentes ne peuvent pas non plus fournir. Faites-leur faire des visites de centrales au charbon gérées par de vrais ingénieurs. Utilisons le financement du gouvernement pour créer des jeux informatiques où les étudiants doivent concevoir des réseaux électriques nationaux avec des coûts réels (et non des subventions). Laissez-les découvrir comment atteindre le «zéro net» sur un réseau de 10 GW, lorsque chaque panne de système coûte un milliard de dollars, que le stockage de la batterie dure 3 minutes et que le carburant ne représente qu'une infime partie de la facture totale.
Il n'y a toujours aucune preuve que le gaz carbonique provoquera une catastrophe.
Le vieil adage selon lequel «comme la Californie va, ainsi va la nation» n'a jamais été aussi vrai maintenant que des chargements de wagons d'entreprises et de familles californiennes se dirigent vers le Texas et d'autres États rouges (R).
Reflétant des caravanes «d'immigrants sans papiers» qui s'écrasent à travers la frontière sud de l'Amérique maintenant ouverte pour échapper à des régimes appauvris de manière oppressive, ces migrations massives de fuite de l'État bleu (D) et d'autres se produisent pour des raisons similaires dans le pays - les réfugiés fiscaux et réglementaires de New York fuyant vers les opportunités du marché libre en Floride (R), par exemple.
Cette tendance sera accélérée par l'adoption de nouvelles politiques d'administration de Biden qui appliquent le modèle californien défaillant partout.
Comme un article principal du 1er avril dans le journal Capitol Hill, The Hill, a rapporté: «La Maison Blanche fait pression sur un projet de loi sur les infrastructures qui transforme efficacement la relation entre le gouvernement et le secteur privé, apportant des changements radicaux aux secteurs clés de l'économie.
L'article a averti que le plan «pourrait remodeler la discussion sur le capitalisme car il semble rétablir le gouvernement fédéral en tant que principal moteur de la croissance et du fonctionnement de l'économie ... il redéfinirait les projets d'infrastructure classiques pour inclure les investissements dans les travailleurs et les familles payés par Hausse de taxe."
Une pièce maîtresse de ce programme est un cadre de divulgation complet de la Commission des valeurs mobilières environnementale, sociale et de gouvernance (ESG) qui exigera des entreprises qu'elles se conforment aux normes de diversité de la main-d'œuvre réveillée et aux normes législatives environnementales de «justice environnementale» prescrites par le gouvernement.
Comme l'a déclaré la présidente par intérim de la Commission de la SEC, Allison Herren Lee, «le climat et l'ESG sont au cœur de la SEC.»
Cette portée excessive du gouvernement est soutenue par une législation proposée par des militants socialistes de premier plan, notamment Bernie Sanders, Elizabeth Warren, AOC et d'autres membres du Congrès contrôlé par les démocrates.
Une telle «transformation radicale» de l’ensemble de l’économie américaine ne sera ni indolore ni bon marché.
Le président Biden n'a pas perdu de temps à mettre en œuvre ce programme avec une guerre contre les combustibles fossiles.
Au cours de sa première journée au bureau ovale, Biden a émis des décrets pour plafonner le pipeline Keystone XL et interdire la fracturation hydraulique sur les terres et les eaux publiques qui représentent 25 % du pétrole et environ 10 % de la production de gaz naturel.
Le plan «d'infrastructure» proposé par les démocrates de 2,3 billions de dollars - un Green New Deal rebaptisé et bien plus encore - coûtera aux ménages américains 1 400 $ chaque année. Quelque 180 milliards de dollars de cet argent seraient dépensés chaque année pour mettre fin à une soi-disant «crise climatique».
Cependant, lorsqu'on lui a demandé dans un sondage 2020 de l'American Energy Alliance combien les répondants seraient prêts à payer chaque année pour lutter contre le changement climatique, «la réponse médiane (qui avait tendance à atteindre 50 dollars depuis plusieurs années) était de 20 dollars, avec 32 % de répondants ayant répondu «zéro». »
Selon le plan, des centaines de milliards de dollars de crédits d'impôt remboursables supplémentaires seront fournis pour les énergies renouvelables (imaginez l'arnaque Solyndra de l'administration Obama-Biden sur les stéroïdes), ce qui augmentera considérablement les taxes sur les producteurs de pétrole et de gaz qui dépendent de cette fracturation. a finalement rendu l'Amérique indépendante de l'énergie.
L'administration Biden et le Congrès dirigé par les démocrates prévoient désormais d'imposer des réglementations environnementales nationales, dont beaucoup dépassent même celles de la Californie «réveillée».
Dans le cadre de ce programme de réglementation, avec l'EPA, chaque agence fédérale devient un organisme de réglementation du climat: la SEC imposera les investissements liés au climat; le Département du Trésor demandera aux banques d'intégrer la réduction des émissions de carbone dans les portefeuilles de prêts; le ministère de l'Agriculture sera habilité à réduire les émissions grâce à une politique agricole et forestière; et chaque agence fédérale aura soudainement un portefeuille énergétique.
Chaque État obtiendrait un objectif de zéro émission qu’ils appliqueraient par le biais d’une taxe sur le carbone ou d’un plafonnement et d’échange… tout comme l’Air Resources Board (CARB) de Californie l’a fait en 2006.
En outre, le CARB a reçu le pouvoir de vérifier en blanc pour imposer des véhicules à zéro émission, créer une norme de carburant à faible émission de carbone et prendre des mesures pour interdire la vente d'automobiles à moteur à combustion interne en 2035 - le tout sans autorisation spécifique de la législature.
Suivant l'exemple de la Californie, attendez-vous à ce que l'administration Biden interdise l'utilisation du gaz naturel dans les maisons et les bâtiments commerciaux pour atteindre un objectif imaginaire consistant à utiliser une énergie 100 % renouvelable d'ici 2045.
Pour un aperçu des attractions à venir, rappelez-vous les réductions de combustibles fossiles lorsque les pannes d'électricité en soirée qui ont frappé les villes et les villages de Californie lors d'une vague de chaleur à la mi-août 2020 ont offert un aperçu des conséquences désastreuses sur lesquelles nous pouvons absolument compter avec la promulgation de plans démocrates.
Dans des circonstances «typiques», la Californie s'était historiquement fortement appuyée, lors de pénuries, sur l'électricité importée des États voisins ainsi que sur des centrales alimentées au gaz naturel capables de démarrer rapidement en cas de besoin. Cette fois, cependant, les États occidentaux voisins ont également constaté une augmentation de leur utilisation en raison de la chaleur extrême, avec moins d'électricité excédentaire à épargner.
Rappelez-vous également en février dernier, lorsqu'un grand gel du Texas a envoyé un message très effrayant au reste de la nation sur ce que vous attendez de votre vie avec les efforts des démocrates radicaux pour sauver la planète de la surchauffe. Une explosion inhabituelle dans l'Arctique s'est propagée à travers l'État de la pointe de la Panhandle jusqu'à la vallée du Rio Grande qui a gelé des éoliennes, entravé des dizaines d'opérations de centrales électriques et laissé des millions de foyers et d'entreprises ici sans électricité.
Ce n’est pas censé être la Californie, après tout, où la dépendance excessive à l’énergie éolienne et solaire a déstabilisé le réseau pendant la vague de chaleur de 2020.
Hé vous tous… c'est le Texas, une terre de mecs beaucoup plus avertis dans un État réputé à juste titre pour être inondé d'énormes ressources de pétrole et de gaz naturel.
Le Texas n'est pas un endroit où nous, qui vivons ici, nous inquiétons habituellement de mourir de froid en raison d'un manque d'énergie fossile et nucléaire fiable pour chauffer nos maisons ... contrairement aux latitudes nordiques qui deviennent régulièrement très froides avec des lignes électriques givrées en panne.
Alors, en plus des températures record de «crise climatique», qu'est-il arrivé pour changer cela ?
Je suppose que nous, les Texans, nous nous sommes un peu trop réveillés aussi.
« Êtes-vous le descendant d’un propriétaire d’esclaves ? » : une étude navrante
Tant que les sciences sociales ne sortiront pas de leurs ornières idéologiques pour ne s’intéresser aux faits et rien qu’aux faits, les débats essentiels n’auront jamais lieu.
22 MAI 2021 Par Elie Blanc.
Dans la grande clairvoyance qui caractérise actuellement la recherche en sciences sociales, le CNRS a récemment publié une étude qui permet de retracer les propriétaires d’esclaves ayant reçu une indemnité de l’État après son abolition, et donc de savoir si vous êtes le descendant d’un propriétaire d’esclave.
La démarche de cette étude, dans la continuité de celles qui évaluent le « coût de la virilité », interroge particulièrement. On se demande en effet quel est le but de telles recherches, si ce n’est pointer encore et toujours les mêmes coupables, à savoir les hommes blancs cis de plus de 50 ans.
Même s’il faut louer l’honnêteté de l’étude, qui précise que 30 % des propriétaires d’esclaves étaient de couleur, nul doute que politiquement elle ne servira qu’à alimenter les discours décoloniaux qui militent pour une repentance éternelle de la part des Blancs.
Ces études navrantes ne sont pas sans rappeler un épisode de la série satirique South Park, où les personnages blancs font des tests génétiques pour retrouver de lointains ancêtres victimes de massacres et pouvoir passer du statut de coupable à celui d’opprimé par le système.
Il est véritablement affligeant que ce qui nous semblait à l’époque n’être qu’une grossière caricature décrive aujourd’hui l’évolution de la société française.
Le danger de telles études, c’est qu’elles alimentent des discours proposant une vision manichéenne de l’Histoire et nourrissent un sentiment (légitime) d’acharnement pour une partie de la population, et qui risque in fine de provoquer un violent conflit.
Lorsqu’en 1919 les vainqueurs de la Première Guerre mondiale ont érigé l’Allemagne en unique responsable de la guerre avec le traité de Versailles, on a justifié l’exigence de réparations et un traitement humiliant à son égard. Inévitablement, un profond désir de vengeance a grandi chez un grand nombre d’Allemands qui ont vu dans le fascisme un moyen d’assouvir ce désir.
Un tel scénario n’est pas à exclure en France.
Mais ces mêmes personnes qui tiennent ce discours woke ne semblent pas faire le lien entre leurs propos clivants et la tribune de militaires qui disent vouloir défendre les valeurs civilisationnelles françaises.
Est-il pourtant vraiment surprenant qu’un nombre croissant de personnes ne supportent plus d’être considérées comme coupables pour avoir eu le simple tort de naître homme ou blanc, ou d’avoir eu des ancêtres ayant pratiqué l’esclavage ?
Est-ce vraiment si radical de croire que chaque individu ne devrait-être jugé que selon les actes qu’il a commis, indépendamment de sa couleur de peau ou des actions de ses ancêtres ?
UN OBSCURANTISME SCLÉROSANT…
Outre l’aspect politique, le fait qu’une partie non négligeable de la recherche semble si engagée sur ces questions interroge sur sa capacité à éclairer le débat public.
Comment certains chercheurs français peuvent-ils dans le même temps publier des études comme celle-ci, proclamer que le racisme anti-blanc n’existe pas, nier les différences hommes/femmes en dépit de la réalité scientifique, et s’indigner lorsque certains dénoncent l’islamo-gauchisme ou pointent simplement le manque d’objectivité qui gangrène une partie du milieu universitaire ?
Chaque fois qu’une critique est émise, aucune argumentation n’est fournie puisque le débat est balayé par une réponse bien pratique : « c’est un discours d’extrême droite ». Sauf que cette stratégie semble aujourd’hui connaître certaines limites.
Selon le désormais célèbre sociologue Éric Fassin, dire que « sale Blanc » est une insulte raciste est alimenter un discours d’extrême droite. Quel niveau d’aveuglement idéologique faut-il atteindre pour croire que nommer les choses par leur nom revient à tenir un discours d’extrême droite ?
Ces universitaires persistent pourtant : l’université est impartiale dans ses recherches et toutes les critiques qui lui sont adressées rappellent les méthodes nazies.
Mais si tel est le cas, comment expliquer que les rares étudiants n’adhérant pas à la pensée dominante dans les facultés de sociologie se fassent virer ? Pourquoi la contradiction est-elle devenue si insupportable dans les IEP que les syndicats étudiants tentent de terroriser ceux qui émettent des avis divergents ? Pourquoi le magazine Alternatives économiques est-il si souvent le seul recommandé aux étudiants, alors qu’il est ouvertement post-keynésien et que son manque de rigueur scientifique est décrié par nos chercheurs les plus sérieux ? Pourquoi continuer d’ouvrir des masters en gender studies, quand même Slate reconnaît implicitement que la théorie du genre ne résiste pas à l’épreuve des faits ?
Ces universités et chercheurs parviendront-ils un jour à comprendre que toute contradiction n’est pas nécessairement le fruit d’une chasse aux sorcières menée par l’extrême droite mais la condition indispensable pour que la recherche en sciences humaines conserve un minimum de crédibilité ?
Ces critiques ne sont pourtant pas nouvelles en sciences sociales.
En 2017, Pierre Cahuc et André Zylberberg publiaient Le négationnisme économique et comment s’en débarrasser. Cette dénonciation du manque de rigueur scientifique et d’objectivité dans l’enseignement et la recherche en économie en France suivait celle de Jean Tirole, qui dénonçait en 2014 les pratiques des « économistes atterrés ».
À l’époque déjà cela avait fait scandale et les économistes visés avaient rejeté en bloc toutes les critiques qui leur étaient adressées. Bien évidemment, cela n’a rien changé à la visibilité qui leur est accordée dans les médias, les économistes atterrés bénéficient toujours du même crédit quand il s’agit de nous expliquer que la dette publique n’est pas du tout préoccupante puisque les taux d’intérêts resteront toujours bas (oups, il semblerait qu’en fait ils remontent) ou que la décroissance est une solution viable.
Contrairement à ce que les données sur la mondialisation nous apprennent, Thomas Piketty continue de nous rabâcher que les inégalités explosent (en se concentrant sur 0,01 % de la population mondiale plutôt que les 99,99 % restants), et on lui a même permis de sortir un film pour bien faire entrer ses idées dans la tête des gens.
QUI CONDAMNE CEUX QU’IL PRÉTEND PROTÉGER
Si sur le plan académique et intellectuel, ces constats sont désolants, c’est surtout concrètement, dans la vie des Français que les effets sont les plus dramatiques.
Car si les questions sur le « racisme systémique » ou le patriarcat intéressent surtout ceux qui n’ont jamais connu la nécessité, les plus démunis se demandent comment trouver un emploi et proposer un meilleur avenir à leurs enfants.
Malheureusement, en faisant croire aux minorités qu’elles sont les victimes du racisme systémique ou d’un capitalisme sans cœur, on s’embourbe dans des débats stériles et on empêche la mise en place de réformes structurelles qui amélioreraient la situation de tous, peu importe leur couleur de peau ou leur sexe. Parce qu’on leur fait croire que la France s’enfonce toujours plus dans le racisme et le néo-libéralisme, les Français réclament toujours plus d’État, de dépense publique et de redistribution, enfermant les plus fragiles dans le piège du chômage et de la misère.
Cyniquement, ce sont précisément ces effets qui sont dénoncés comme des défaillances de marché et qui servent de prétexte à l’intervention de l’État. La maladie est présentée comme le remède, enclenchant un cercle vicieux dont il est difficile de sortir.
Pourquoi s’entêter dans cet aveuglement idéologique, alors que nous pourrions nous inspirer des modèles qui ont fonctionné, comme en Estonie ? Après l’effondrement du bloc soviétique, ce petit pays a pris un virage à 180 degrés et a mis en œuvre des réformes simples : décentralisation, diminution du poids de l’État, simplification et numérisation des démarches administratives, réforme du système scolaire…
En bref, l’exact opposé de ce qui est proposé en France depuis 70 ans. Sur le long terme, les résultats estoniens sont incontestables : la pauvreté n’a fait que reculer, la croissance est durable et soutenue et le pays truste les premières places du classement Pisa.
Tant que les sciences sociales ne sortiront pas de leurs ornières idéologiques pour ne s’intéresser aux faits et rien qu’aux faits, les débats essentiels n’auront jamais lieu et de tels progrès ne seront jamais possibles en France. Et tant pis pour ceux qui en font les frais.
Premièrement, les européens qui sont retournés chez leurs ancêtres n'ont PAS apporté l'esclavagisme en Afrique parce qu'il y était déjà là depuis des siècles. Effectivement, les premiers résidents africains étaient blancs, (les africains ont conservé l'intérieur de leurs mains blanches) mais, comme le soleil y brille toute l'année, ils sont forcés d'être bronzés toute l'année. Ainsi, cette coloration sur les femmes et hommes nus perdura et fit peu à peu partie des gênes.
Deuxièmement, l'esclavagisme à toujours existé en Europe depuis des millénaires et, il faut reconnaître que l'île de la Martinique comptait plus d'esclaves BLANCS que d'esclaves BRONZÉS ! C'est là une particularité que les racistes n'osent émettre.
Troisièmement, nous sommes tous sur Terre descendants d'être humains à la peau blanche et, comme l'esclavagisme à toujours existé, descendant donc aussi d'esclavagistes. Mais qu'importe ce que nos ancêtres aient pu faire, NOUS NE SOMMES PAS RESPONSABLES !
Notre prospérité s’est-elle bâtie sur le pillage des colonies ?
L’histoire économique montre que les pays développés ne doivent pas leur prospérité à la colonisation mais que celle-ci a été un jeu à somme négative que récusaient les partisans du libéralisme économique.
22 MAI 2021 Par Pierre Robert.
Cette question cruciale est à nouveau au cœur du débat public avec pour beaucoup la conviction que la colonisation a été un facteur décisif de l’enrichissement de l’Occident qui de ce fait doit réparation aux peuples anciennement colonisés.
UN MYTHE DÉNONCÉ PAR L’HISTOIRE ÉCONOMIQUE
Pour y voir plus clair il n’est pas inutile de se référer aux travaux des historiens de l’économie et en particulier à ceux de Paul Bairoch, qui font autorité. Dans Mythes et Paradoxes de l’Histoire Économique (1994), il établit clairement que les pays développés sont parvenus à un très haut niveau d’industrialisation grâce aux matières premières locales.
Ce n’est qu’à partir de 1955 que la dépendance de l’Occident à l’égard du tiers-monde pour les ressources minérales et énergétiques devint une réalité. Les matières premières du tiers monde n’ont donc pas été indispensables à l’industrialisation occidentale.
De son étude, il ressort aussi que le colonialisme n’a eu qu’un faible impact au premier stade de la révolution industrielle. En Angleterre il n’a pas contribué de manière significative au décollage de son économie lorsqu’il se produit au tournant des XVIIIe et XIXe siècles.
DES PARADOXES
Quant aux débouchés coloniaux, ils n’ont pas joué un rôle décisif dans le développement des industries occidentales. Bairoch relève même un paradoxe : les puissances coloniales comme la France ou la Grande-Bretagne ont connu une croissance plus faible que les autres pays développés. Entre colonialisme, industrialisation et croissance économique la corrélation est plutôt négative.
Mais si l’Occident n’y a pas beaucoup gagné, cela ne signifie pas que le tiers monde n’y ait pas beaucoup perdu. Les économistes libéraux y étaient d’ailleurs fondamentalement hostiles. Sur ce sujet on peut relire avec profit les passages qu’Adam Smith lui consacre dans La richesse des Nations. Dans les projets de conquêtes coloniales il ne voyait que des entreprises politiques néfastes menées sous la pression de groupes d’intérêt fermés hostiles à la libre concurrence et à l’économie de marché.
Si d’un côté les gains furent peu importants, de l’autre les coûts n’en furent pas moins considérables. Comme l’écrit Bairoch :
« Il ne fait aucun doute que l’origine de nombreuses caractéristiques structurelles négatives du processus du sous-développement économique remontent à la colonisation européenne ».
Il relève d’abord que si les exportations n’étaient pas vitales pour les industries occidentales, elles n’en ont pas moins abouti à la désindustrialisation du sous-continent indien qui, du fait de la colonisation, avait complètement perdu la maitrise de sa politique douanière. À la fin du XIXe siècle on estime que 75 % de la consommation textile de l’Inde étaient importés. Le pourcentage s’élève à 95 % pour la métallurgie.
On doit aussi souligner l’effet négatif de l’essor des cultures d’exportations vers les pays occidentaux. Les meilleures terres leur furent souvent réservées par la force, les cultures de subsistance étant reléguées sur des terres moins fertiles. Dans un système colonial opaque et verrouillé de nombreuses plantations appartenaient à des Européens qui avaient recours au travail forcé.
L’OPPOSITION RÉSOLUE DES LIBÉRAUX
Nous sommes aux antipodes des idées libérales condamnant l’introduction dans les colonies de « moyens violents d’exploitation, au premier rang desquels il faut placer l’esclavage » pour reprendre les termes de Jean-Baptiste Say (Traité d’Économie Politique, 1803, Économica, p. 402).
Organisée par des négociants sans scrupules et cautionnée par des États qui cherchaient à étendre leur influence et leurs capacités militaires, la traite transatlantique a été dénoncée sans relâche par les économistes libéraux mais relancée par le très dirigiste Napoléon.
Ce qui est ici en cause ce n’est donc pas le libéralisme mais le dirigisme borné de gouvernements manipulés par des groupes de pression fondamentalement hostiles à la concurrence et à la liberté.
L’histoire économique montre donc clairement que les pays développés ne doivent pas leur prospérité à la colonisation mais que celle-ci a été un dramatique jeu à somme négative que récusaient les partisans du libéralisme économique.
Pierre Robert est l’auteur de Fâché comme un Français avec l’économie, Éditions Larousse (2019).
Que sont les colonies (de vacances ?) ? Ce sont des pays avec lesquels nous entretenons un commerce. Exemple, les Etats-Unis sont une colonie du monde entier comme l'est aussi l'Europe et autres continents ! Donc, que l'on y parte en vacances, qu'on y habite ou que l'on ouvre un commerce, l'on rencontre tout autour de nous pas moins de 7 milliards de colonialistes avec qui l'on négocie tout les jours notre pitance.
Les gens sont trop cons : covid, politique et petits pois
Quand il s’agit de sa santé, de sa consommation, de son environnement, le Français est trop con. Pour choisir ceux qui vont prendre les décisions qui vont concerner tout le monde, il se transforme en phénix de la politique.
21 MAI 2021 Par Gérard-Michel Thermeau.
« Les gens sont trop cons ». Ce n’est pas moi qui le dis. D’ailleurs c’est celui qui le dit qui l’est. Mais c’est un discours que j’ai beaucoup entendu. Pas nécessairement formulé de façon aussi brutale. Sauf dans la bouche d’un ami, mais c’est un scientifique qui appelle un chat un chat. Je lui demandais l’an dernier (eh, oui, le monde d’après date de 2020), à quoi servait le masque en extérieur.
Il me répondit :
« À rien, mais tu comprends, les gens sont trop cons. Si on l’impose pas partout, ils ne le porteront nulle part. »
C’était clair, c’était net. D’autres le disent en termes plus mesurés. Les Français sont des Gaulois réfractaires. Les Suédois, eux, sont disciplinés. Donc peut-être que y’avait pas besoin de confiner chez eux mais cépapareil. D’ailleurs en Suède les cyclistes roulent lentement et n’essaient pas de renverser les piétons. Que voulez-vous répondre à cet argument de bon sens, hein ?
Le Français est trop con. Mais attention pas trop con pour tout.
Par exemple, le Français est trop con pour acheter une boîte de petits pois. En fait, quand il fait des achats, il est capable d’acheter tout et n’importe quoi. C’est un zombie soumis aveuglément aux stimuli publicitaires. Il va acheter ce dont il n’a pas besoin au lieu d’acheter ce qui lui est nécessaire.
TROP CON EN GÉNÉRAL, TROP CON EN PARTICULIER
Heureusement, si les Français sont trop cons en général, certains Français ne le sont pas en particulier. À commencer par ceux qui considèrent que les autres sont trop cons. Par exemple, on reconnaît le Français pas con à son esprit critique qui le conduit infailliblement aux rayons Bio des surfaces commerciales.
Mais bon, ils sont trop peu nombreux. D’où la nécessité de pondre des tonnes de réglementations et de lutter contre la mauvaise publicité par une bonne propagande information : Manger-Bouger, 5 fruits et légumes par jour, et puis que des fruits et légumes.
Autre exemple, les Français sont trop cons pour être attentifs à l’environnement. Bon, cela commence heureusement à changer grâce à une saine propagande éducation à l’école. Comme on n’arrive plus à les faire lire, écrire, compter, on leur apprend les gestes qui sauvent la planète. Par exemple tirer les documents en recto-verso. Ouf, un arbre de sauvé. Il en reste si peu en France.
Mais inversement, le Français n’est pas trop con quand il s’agit de voter. D’ailleurs comme le déclarait un de ces analystes politiques qui contribuent au niveau élevé des médias sérieux et reconnus d’utilité publique, « les Français sont un peuple politique ».
Quand il s’agit de sa santé, de sa consommation, de son environnement, le Français est trop con. Quand il s’agit de prendre des décisions qui le concernent au premier chef dans les divers aspects de son existence, le Français est trop con.
LE CON DEVIENT SUBITEMENT INTELLIGENT EN POLITIQUE
En revanche pour choisir ceux qui vont prendre les décisions qui vont concerner tout le monde, le trop con se transforme en phénix de la politique. C’est toujours une joie sans mélange d’écouter les doctes experts politiques disséquer avec un talent indéniable et indiscutable les résultats des élections.
Le Français ne sait pas choisir une boîte de petits pois. Mais pour choisir le maire, le député ou le président de la République, il témoigne d’une compétence hors pair. Les types de scrutin (proportionnel, majoritaire, mixte), les finesses de la Constitution, le contenu des programmes électoraux n’ont pas de secrets pour lui. À condition de ne pas l’interroger directement et précisément sur le sujet. On pourrait s’apercevoir qu’il en sait davantage sur les boîtes de petits pois. Ce serait trop con.
Donc le Français est trop con sauf pour désigner les gouvernants qui sont tous, sans exception, des Français pas trop cons. Et comme ils ne sont pas trop cons, ils désignent immanquablement des conseillers du même tonneau. Et en cas de crise grave, tenez, une pandémie, ils savent s’appuyer sur les avis d’experts qui sont tout ce qu’on veut mais pas des cons. Enfin, pas trop.
La nature politique est vraiment bien faite. Des gens trop cons désignent avec une sûreté admirable, et qui se répète élection après élection, des gens qui ne le sont pas.
Mais là, malgré tout ma bonne volonté, j’ai du mal à comprendre. Serais-je trop con ?
Certes, il est facile de reconnaître un con. C’est toujours l’autre. Et comme les cons vont en bande, ce sont toujours les autres. Ah, les cons, disait Daladier qui venait de se faire rouler dans la farine par Hitler. Il faudrait se débarrasser des cons, disait un fervent gaulliste au Général. Lequel rétorquait : vaste programme, mon cher. Il avait peur de ne plus avoir d’électeurs.
LE MIRACLE DE L’URNE
Je veux bien admettre que les autres sont des cons. D’ailleurs, je l’ai toujours pensé. Mais comment peuvent-ils être trop cons quasiment en permanence et voir leur connerie miraculeusement suspendue à la vue d’une urne. S’agirait-il d’un miracle encore plus impénétrable que la transsubstantiation ?
Donc, on ne sort pas de là. Si les gens sont trop cons, ils le sont en permanence. Et ceux qu’ils élisent n’appartiennent pas à une essence particulière. D’ailleurs, quand je vois le Premier ministre, quand j’entends le ministre de la Santé, quand je lis les propos du ministre de l’Économie, je suis bien rassuré. Ils sont bien comme moi.
Tout à coup, il me souvient qu’aux yeux de certains je suis trop con.
Je veux bien l’admettre, mais pas à ce point.
Et puis, après réflexion, j’ai mieux compris. Les gens étaient trop cons, sauf en politique, dans le monde d’avant. Mais voilà, après la terrible crise sanitaire due à leur insouciance coupable, ils sont devenus trop cons aussi en politique. Le pire serait à craindre aux prochaines élections.
« C’est ce que tu veux ? Que la Marine arrive au pouvoir ? » me reprochait telle personne parce que je critiquais le confinement.
Je n’ai pas bien compris le rapport. Mais je suis sans doute trop con.
Bien sûr, je ne souhaite pas que ladite dame arrive au pouvoir, ce serait trop con.
Mais bon quand on prend les gens en permanence pour des cons, il ne faut pas se plaindre ensuite quand il font des conneries. C’est trop con ? Je sais bien…
Les gens naissent tous cons. Ils ne savent ni lire, ni écrire, ni compter ! Puis il y a les 'écoles'. Âh les 'écoles', y a les écoles pour les cons et les écoles pour les non-cons.
Aux écoles de cons l'on y apprendra que les égyptiens construisaient des pyramides avec des milliers de blocs de pierre qui pesaient des tonnes et, dans les écoles des non-cons l'on y apprendra que les égyptiens avaient cette manie ridicule de tailler les montagnes ou collines en pointes !
Aux écoles de cons l'on y apprendra aux cons que la mer va monter (HAHAHAHA !) et, dans les écoles des non-cons qu'il y a depuis des millions d'années des milliards de tonnes d'eaux venus des pluies, des fleuves et des rivières qui se déversent tous les jours dans les mers et les océans... sans qu'elles ou ils ne montent !! ÂÂâh bêh merde alors !
Il faut donc créer et entretenir ce 'geste barrière' entre les cons qui sortent d'écoles publiques ou religieuses et les non-cons qui sortent d'écoles sélectionnées pour elles et eux. Surtout, éviter qu'ils se regroupent en associations de cons ! Donc: entretenir la division. Les noirs d'un côté et les blancs de l'autre. Les filles d'un côté et les garçons de l'autre. Puis y a celles et ceux de droite, d'extrême-droite ou d'extrême centre comme il y a celles et ceux de gauche, d'extrême-gauche et d'extrême centre où ils se confondent d'un bout à l'autre. Puis la barrière des riches, des pauvres, des grands, des petits, des gros, des maigres, des blondes et des brunes et puis aussi des rousses ! de celles aux cheveux blancs, noirs, violets, verts, roses et/ou avec des mèches ! Des frisées, des cheveux raides, des...
LA VAISSELLE SANS PLASTIQUE N'EST PAS SI ÉCOLO ET SANS DANGER POUR LA SANTÉ
par PERRINE DE ROBIEN 21/05/2021
66% des échantillons testés par l'UFC-Que Choisir contiennent des composés perfluorés
Il y a de quoi tomber de haut. Selon une enquête de l’UFC Que Choisir, la vaisselle en carton ou en fibres végétales n’est pas forcément une meilleure alternative que la vaisselle en plastique. Certains produits testés peuvent contenir plusieurs « composés dangereux pour la santé ou pour l’environnement ».
Des composés potentiellement dangereux dans la vaisselle sans plastique
Depuis janvier 2020, la vaisselle en plastique jetable est interdite. Il a donc fallu trouver des alternatives principalement à base de pulpe végétale, de feuilles de palmier, ou de de carton pour la remplacer. Problème, ces produits ne sont pas toujours si écolo ou sans danger sur la santé que l’on pourrait croire.
Selon une enquête de l’UFC-Que Choisir réalisée sur 57 produits, la vaisselle jetable sans plastique « montre une trop grande présence de composés dangereux pour la santé ou pour l’environnement ». Deux tiers des échantillons contiennent des composés perfluorés dont certains contiennent des perturbateurs endocriniens ou sont cancérogènes, immunotoxiques. Parmi les produits testés, des assiettes présentent une teneur en composés perfluorés 140 fois supérieure à la norme définie au Danemark. Par ailleurs, certains produits en papier ou en carton contiennent aussi plusieurs substances douteuses (composés perfluorés, chloropropanols, amines aromatiques).
Un problème de réglementation européenne
Il y aurait un problème de réglementation européenne puisque « à part pour certains matériaux traditionnels (verre, certains plastiques), la réglementation ne définit pas de liste fermée de substances et additifs autorisés mais se contente de poser un principe général d'innocuité des matériaux utilisés par les fabricants de vaisselle et autres objets en contact avec les produits alimentaires » déplore l’UFC-Que Choisir.
Par conséquent, l’association de consommateurs demande aux autorités européennes de « définir, dans le cadre de la révision d’ici à la fin 2022 de la législation sur les matériaux destinés à entrer en contact avec des denrées alimentaires, une liste précise des matériaux et additifs pouvant être utilisés sans danger comme substituts aux plastiques pour la vaisselle jetable ». Elle réclame aussi un renforcement du « contrôle des allégations environnementales, notamment relatives au compostage ».
Y a la vaisselle pour les cons, les gobelets en plastique pour boire le café, les verres en carton pour boire le Champagne et, il y a les restaurants où l'on ne mange pas comme des porcs ! On boit dans des flûtes (pour pas dire un autre mot !) et où l'on ne pose pas ses coudes (j'ai dit 'coudes') sur la nappe. Puis le couvre-feu pour les cons (qui croient que c'est au 20 h qu'arrivent les virus ! alors que le 13 h est parfois pire !), et les bordels privés où l'on s'enculent 'avec tout le respect que je vous dois !'
Diego Fusaro Réseau International jeu., 20 mai 2021 23:29 UTC
Le tournant autoritaire qui caractérise le mode de production capitaliste de ces derniers temps, et que l'urgence épidémiologique du coronavirus a renforcé avec un timing incroyable, trouve sa correspondance précise aussi et non pas secondairement dans la limitation croissante des espaces de liberté permis par l'ordre discursif dominant.
There is no alternative, l'infâme devise de Thatcher, qui proscrit effectivement la possibilité ontologique de vivre autrement que selon le modus libéral, devient de plus en plus le critère des régimes de vérité : ou, mieux, du régime de vérité au singulier, c'est-à-dire du seul ordre de discours autorisé ; celui, en fait, qui agit comme un complément idéologique aux relations de pouvoir dominantes dans le capitalisme technocratique et post-bourgeois tardif.
Notre époque est donc candidate pour devenir la première où la problématisation critique et le doute socratique en tant que tels sont ostracisés par la stupide catégorie dite de la « conspiration », répétée à la façon du perroquet par le troupeau domestiqué des derniers hommes de la civilisation de masse.
Avec la catégorie du « complot », en outre, on ne fait rien d'autre que de dénier le droit à l'existence à tout discours qui ne coïncide pas millimétriquement avec ce qui est prétendument vrai, parce que les groupes dominants en ont décidé ainsi. En bref, il est temps de s'en remettre et de l'admettre ouvertement : même l'ordre néolibéral peut s'avérer répressif et intolérant, tout comme les formes que l'on a l'habitude de définir, par rapport au XXe siècle, comme totalitaires.
L'année 2021, qui a commencé par l'exil forcé hors des réseaux sociaux même pour le président sortant des États-Unis d'Amérique Donald Trump, se poursuit maintenant de manière cohérente avec la censure des livres (interdits de librairie) qui osent critiquer le nouvel ordre érotique prôné par le projet de loi Zan, comme cela s'est produit ces jours-ci, et puis aussi avec la tempête à la Rai, dont on parle beaucoup ; une tempête provoquée par une émission de Raidue, qui avait l'audace de critiquer ce merveilleux paradis que l'on ne peut que louer et qui porte le nom glorieux d'Union européenne.
« Intolérable, nous avons besoin d'un changement radical » : ce n'est pas une phrase extrapolée d'un procès de la Sainte Inquisition, qui aurait culminé avec le bûcher du malheureux hérétique du moment ; c'est plutôt, selon ce que rapporte La Stampa de Turin, le commentaire éclairé du toujours lucide et réfléchi secrétaire du « parti démocratique » - jamais le nom n'a été plus orwellien - Enrico Letta. Lequel Enrico Letta, on s'en souvient, a écrit il y a quelques années un pamphlet intitulé sans équivoque « Mourir pour Maastricht », qui méritera peut-être un jour une place à part dans les archives de l'histoire de l'idéologie politique : en effet, le titre prometteur n'a pas clarifié quel était le sujet de « Mourir pour Maastricht » et maintenant surgit un doute plus que légitime que le sujet, rétrospectivement, était la libre pensée.
En bref, un projet misérable comme l'Union européenne, né comme une contre-offensive impitoyable du capital vainqueur après 1989 contre les classes ouvrières d'Europe, ne pouvait que culminer avec la mort de la liberté de pensée et d'expression. La mort au nom du progrès et de la lutte contre toutes les discriminations, soyons clairs. Les mots de Letta, en réalité, laissent peu de place à la fantaisie : le changement radical qu'il invoque avec une fureur héroïque est, simplement, le réalignement immédiat et sans négociations possibles sur l'ordre du discours hégémonique ; celui qui, précisément, vous laisse généreusement dire ce que vous voulez sur l'Union européenne, à condition que ce que vous voulez dire coïncide avec ce que les groupes dominants du bloc néolibéral oligarchique veulent faire dire.
Nous n'en sommes qu'au début, remarquez bien. Il devient de plus en plus clair que la combinaison du capitalisme et de la démocratie n'était qu'une parenthèse éphémère de la seconde moitié du XXe siècle : la Restauration du capital est en cours et est destinée à aller beaucoup plus loin, si elle ne rencontre pas des formes de résistance active par le bas. C'est à nous de décider ce que nous allons faire de notre histoire : continuer à souffrir en silence, en perdant un morceau de liberté et d'autonomie après l'autre, ou mettre de côté la « résilience » pour revenir à la pratique de formes saines et appropriées de résistance.
France/Fraude électorale 2017 avérée... Silence de plomb !
Rumble ven., 07 mai 2021 11:38 UTC
Sans la lutte de Donald Trump contre la fraude électorale dont il a été victime et les preuves indiscutables de cette forfaiture qu'il a dénoncée et prouvée, en France cette élection 2017 particulièrement "suspecte" serait passée comme "une lettre à la poste"... Mais mieux vaut tard que jamais !
Nous remarquerons que chez nous, les opposants, très certainement au courant, comme l'a été D.Trump chez lui, n'ont pas "pipé mot" ! Ils sont donc eux aussi "complices" de cette fraude...
Belle démocratie que la nôtre, où la classe politique ment au peuple choisi par lui, pour défendre de fait les oligarques qui la nourrissent...
Une imposture de taille qui on le suppose ne date pas d'hier !
Alors le peuple français aujourd'hui informé se réveillera t-il ? Rien n'est moins sûr.
Demain, face au totalitarisme ambiant qui s'accroît de jour en jour dans notre pays, il ne faudra pas alors qu'il vienne se plaindre, puisque à son tour il sera devenu "complice" par défaut, pour n'avoir à son tour "pipé mot"...
Un message adressé aux médecins par l'Ordre des médecins et chirurgiens de l'Ontario montre le désespoir de les faire taire
Par Richard Enos Coaching Dao 22 mai 2021
Au Canada, les médecins sont en fait ouvertement menacés par leurs organes directeurs de cesser de dire ce qu'ils croient être vrai dans leur cœur et leur esprit. Au lieu de cela, tous les médecins reçoivent l’ordre de suivre en même temps les «ordonnances et recommandations de santé publique». Le tweet ci-dessous de l’Ordre des médecins et chirurgiens de l’Ontario n’a pas besoin de commentaires supplémentaires. Tel qu'il est écrit, il s'incrime déjà.
Maintenant, vous vous demandez peut-être comment nous sommes arrivés si rapidement à ce lieu de censure enragée dans la profession médicale. Je voudrais que vous considériez que cela ne s'est pas produit du jour au lendemain, mais plutôt un processus lent et mesuré qui remonte à l'époque où John D. Rockefeller a créé un monopole médical qui soutenait exclusivement la médecine allopathique il y a un peu plus d'un siècle. Utilisant son pouvoir de marginaliser en tant que «charlatanisme» des milliers d'années de tradition et de connaissances holistiques, Rockefeller a créé un empire descendant qui était fondamentalement conçu comme une entreprise de distribution de médicaments pharmaceutiques dans lesquels il a investi des millions dans le développement et le brevetage.
Au fil des ans, la plupart des médecins semblaient croire en l'efficacité des médicaments pharmaceutiques dans une certaine mesure - après tout, leur formation à la faculté de médecine était à certains égards une présentation marketing de `` l'efficacité '' scientifique des médicaments pharmaceutiques, avec la promesse que de nouvelles recherches et développements dans ce domaine conduiraient à terme à la défaite de toutes les maladies humaines. Comment fonctionne cette «guerre contre le cancer», hein? Peut-être encore plus significatif, cependant, cette machine d'endoctrinement a servi de rejet complet des remèdes homéopathiques et holistiques qui existaient depuis des temps immémoriaux. Pour les médecins qui n’ont pas complètement adhéré à la propagande, l ’« épée de Damoclès »a été discrètement tenue au-dessus de leurs têtes chaque fois qu’ils s’écartaient un peu de l’orthodoxie médicale. Ils étaient des médecins, après tout, des médecins, on attendait donc d'eux qu'ils promeuvent sans conteste les remèdes allopathiques et les produits pharmaceutiques comme les opioïdes et les vaccins. Et dans l'ensemble, ils l'ont fait. Bien entendu, les incitations financières n’ont pas fait de mal.
Cependant, avec les mesures Covid-19, il semble que nous ayons atteint un «moment décisif», où l’écart entre ce que l’établissement médical recommande et ce que les médecins savent être le mieux pour la santé de leurs patients est devenu trop grand. Afin d'éviter que cet écart ne devienne incontrôlable, des organisations comme le CPSO ont publié des déclarations comme le tweet ci-dessus. Pour de nombreux médecins, c'était le point de rupture, et la peur de la punition, y compris la possibilité de perdre leur licence médicale, ne suffisait plus à les faire taire.
Déclaration des médecins canadiens pour la science et la vérité
Plusieurs médecins canadiens se sont réunis pour rédiger la déclaration suivante, à laquelle ils ont invité d'autres médecins et citoyens concernés à signer. À ce jour, 330 médecins canadiens ont eu le courage d'inscrire leur nom sur ce document, et ils ont été rejoints par plus de 8 800 citoyens inquiets. J'ai mis cette déclaration ici dans son intégralité parce qu'elle révèle si clairement l'affront à la santé et à la sécurité publique de la part de l'OMCO et d'autres autorités de délivrance des licences pour les médecins et les professions apparentées du monde entier.
Nous sommes un groupe large et diversifié de médecins canadiens de partout au Canada qui envoient cette déclaration urgente aux collèges des médecins et chirurgiens de nos diverses provinces et territoires et au grand public, que nous desservons.
Le 30 avril 2021, l’organisme ontarien de délivrance des permis aux médecins, l’Ordre des médecins et chirurgiens de l’Ontario (CPSO), a publié une déclaration interdisant aux médecins de remettre en question ou de débattre de tout ou partie des mesures officielles imposées en réponse au COVID-19. 1
L'OMCO a ensuite menacé les médecins de sanctions - enquêtes et mesures disciplinaires.
Nous considérons cette récente déclaration de l'OMCO comme contraire à l'éthique, anti-science et profondément dérangeante.
En tant que médecins, notre premier devoir de diligence n'est pas envers l'OMCO ou toute autre autorité, mais envers nos patients.
Lorsque nous sommes devenus médecins, nous nous sommes engagés à donner la priorité à nos patients et à ce que notre devoir éthique et professionnel soit toujours le premier envers nos patients. La déclaration de l'OMCO nous ordonne de violer notre devoir et de nous engager envers nos patients de la manière suivante:
1. Déni de la méthode scientifique elle-même: L'OMCO ordonne aux médecins de mettre de côté la méthode scientifique et de ne pas débattre des processus et des conclusions de la science.
Nous, médecins, savons et continuons de croire que tout au long de l’histoire, des points de vue opposés, des débats vigoureux et l’ouverture aux nouvelles idées ont été à la base du progrès scientifique. Toute avancée majeure dans la science a été réalisée par des pratiquants remettant vigoureusement en question les récits «officiels» et suivant un chemin différent dans la recherche de la vérité.
2. Violation de notre engagement d'utiliser la médecine factuelle pour nos patients: En nous ordonnant de ne pas débattre et de ne pas remettre en question, l'OMCO nous demande également de violer notre engagement envers nos patients que nous rechercherons toujours les meilleures preuves. fondés sur des méthodes scientifiques pour eux et militer vigoureusement en leur nom.
La déclaration de l'OMCO ordonne aux médecins, par exemple, de ne pas discuter ou communiquer avec le public au sujet des mesures de «verrouillage». Les mesures de verrouillage font l'objet d'un débat animé par des experts de renommée mondiale et largement respectés et il existe des points de vue très divergents sur ce sujet. La déclaration de Great Barrington (PDF) explicitement anti-lockdown a été rédigée par des experts des universités de Harvard, Stanford et Oxford et plus de 40 000 médecins du monde entier ont signé cette déclaration. Plusieurs experts internationaux, dont Martin Kuldorf (Harvard), David Katz (Yale), Jay Bhattacharya (Stanford) et Sunetra Gupta (Oxford), continuent de s'opposer fermement aux verrouillages.
L'OMCO ordonne aux médecins d'exprimer uniquement des points de vue pro-lockdown, sous peine de devoir faire face à une enquête et à une discipline. Cette directive tyrannique et anti-scientifique de l'OMCO est considérée par des milliers de médecins et de scientifiques canadiens comme non étayée par la science et comme une violation du premier devoir de diligence envers nos patients.
3. Violation du devoir de consentement éclairé: L'OMCO ordonne également aux médecins de violer le devoir sacré du consentement éclairé - qui est le processus par lequel le patient / public est pleinement informé des risques, des avantages et de toute alternative au traitement ou à l'intervention, avant que le consentement ne soit donné.
Le Code de Nuremberg, rédigé à la suite des atrocités perpétrées dans les camps de concentration nazis - où d'horribles expériences médicales ont été effectuées sur des détenus sans consentement - interdit expressément l'imposition de tout type d'intervention sans consentement éclairé.
Dans le cas de l'intervention de verrouillage, par exemple, les médecins ont l'obligation fiduciaire de signaler au public que les verrouillages imposent leurs propres coûts à la société, y compris une augmentation considérable des taux de dépression et de suicide, des enquêtes et des traitements retardés du cancer (y compris une chirurgie retardée, chimiothérapie et radiothérapie), des listes d'attente chirurgicales qui gonflent (avec pour conséquence une augmentation considérable de la souffrance des patients) et des taux accrus de violence envers les enfants et la famille.
Nous, médecins, pensons qu'avec la déclaration de l'OMCO du 30 avril 2021, un tournant décisif dans l'assaut contre la liberté d'expression et la recherche scientifique a été atteint.
En ordonnant aux médecins de se taire et de ne suivre qu'un seul récit, ou bien de faire face à la discipline et à la censure, le CPSO nous demande de violer notre conscience, notre éthique professionnelle, le code de Nuremberg et la recherche scientifique de la vérité.
Nous n'obéirons jamais et donnerons toujours la priorité à nos patients.
L'OMCO doit immédiatement retirer et annuler sa déclaration du 30 avril 2021.
Nous avisons également d'autres autorités canadiennes et internationales de délivrance de licences aux médecins et aux professions apparentées que l'étouffement de l'enquête scientifique et de tout ordre de violer notre conscience et notre engagement professionnel envers nos patients peut en soi constituer un crime contre l'humanité.
Tous les secteurs de la société se battent maintenant
Cette déclaration est le dernier exemple de professionnels de la santé qui remettent non seulement en question l'efficacité et la légitimité des mesures de Covid, mais s'engagent également dans le débat plus large autour de la suppression des droits à la liberté d'expression et de conscience. Ce débat se déroule dans tous les secteurs de la société, où des poignées d'hommes politiques, de policiers, d'avocats, d'hommes d'affaires et d'autres se joignent aux journalistes et aux radiodiffuseurs alternatifs pour chercher à protéger la liberté d'expression et la liberté de pensée et de conscience, et amener le débat en le domaine public. Alors que les médias grand public continuent de n'approuver qu'un seul aspect de ce débat, des arguments importants comme la Déclaration des médecins canadiens pour la science et la vérité circulent furtivement en ligne et commencent à éveiller le grand public.
Le tableau d'ensemble qui émerge dans l'esprit des gens est que les mesures de la pandémie font partie d'un programme de contrôle plus large qui n'a rien à voir avec leur santé et leur bien-être. Alors que de plus en plus de gens se rendent compte que la science, les statistiques et la vérité s'accordent sur la nécessité de mettre fin à toutes les mesures pandémiques - et que nous serions mieux si elles n'avaient jamais été instituées - nous sommes poussés à nous rassembler pour en prendre davantage. le contrôle de ce qui se passe sur notre planète, ce qui fait partie de la prochaine étape de notre évolution collective.
This article was originally published on my website daocoaching.com.
Pris au dépourvu: le CDC modifie les seuils de test pour éliminer virtuellement les nouveaux cas de COVID chez Vaxx'd
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 21 MAI 2021 - 23:20 Rédigé par Kit Knightly via Off-Guardian.org,
Les nouvelles politiques permettront de dégonfler artificiellement les «infections révolutionnaires» chez les vaccinés, tandis que les anciennes règles continueront de gonfler le nombre de cas chez les non vaccinés.
Le Center for Disease Control (CDC) des États-Unis modifie ses pratiques d'enregistrement des données et de test du «Covid19» afin de donner l'impression que les «vaccins» expérimentaux de thérapie génique sont efficaces pour prévenir la maladie présumée.
Ils n'ont pas caché cela, annonçant les changements de politique sur leur site Web fin avril / début mai (bien que naturellement sans admettre la motivation assez évidente derrière le changement).
L'astuce consiste à signaler ce qu'ils appellent des «infections par rupture» - c'est-à-dire des personnes qui sont entièrement «vaccinées» contre l'infection Sars-Cov-2, mais qui sont quand même infectées.
Essentiellement, il a longtemps été démontré que Covid19 - à ceux qui sont prêts à y prêter attention - était un récit de pandémie entièrement créé, basé sur deux facteurs clés:
Tests faussement positifs. Le test PCR non fiable peut être manipulé pour signaler un nombre élevé de faux positifs en modifiant le seuil de cycle (valeur CT)
Nombre de cas gonflé. La définition incroyablement large de «cas Covid», utilisée partout dans le monde, répertorie toute personne qui reçoit un test positif comme «cas Covid19», même si elle n'a jamais éprouvé de symptômes.
Sans ces deux politiques, il n'y aurait jamais eu de pandémie appréciable du tout, et maintenant le CDC a adopté deux changements de politique qui signifient qu'ils ne s'appliquent plus aux personnes vaccinées.
Premièrement, ils abaissent leur valeur CT lorsqu'ils testent des échantillons provenant d '«infections par rupture» présumées.
D'après les instructions du CDC destinées aux autorités sanitaires de l'État sur la gestion des «infections de rupture possibles» (téléchargées sur leur site Web fin avril):
Pour les cas avec une valeur de seuil (Ct) de cycle de RT-PCR connue, ne soumettre que des échantillons avec une valeur de Ct ≤ 28 au CDC pour séquençage. (Le séquençage n'est pas possible avec des valeurs Ct plus élevées.)
Tout au long de la pandémie, les valeurs CT supérieures à 35 ont été la norme, avec des laboratoires du monde entier dans les années 40.
Essentiellement, les laboratoires exécutaient autant de cycles que nécessaire pour obtenir un résultat positif, bien que les experts aient averti que cela était inutile (même Fauci lui-même a dit que tout ce qui dépassait 35 cycles n'avait aucun sens).
Mais MAINTENANT, et uniquement pour les personnes entièrement vaccinées, le CDC n'acceptera que les échantillons obtenus à partir de 28 cycles ou moins. Cela ne peut être qu'une décision délibérée afin de réduire le nombre d '«infections par rupture» officiellement enregistrées.
Deuxièmement, les infections asymptomatiques ou légères ne seront plus enregistrées comme «cas de covid».
C'est exact. Même si un échantillon prélevé à la faible valeur CT de 28 peut être séquencé dans le virus supposé être à l’origine de Covid19, le CDC ne conservera plus de registre des infections par rupture qui n’entraînent pas d’hospitalisation ou de décès.
Depuis leur site Web:
À compter du 1er mai 2021, les CDC sont passés de la surveillance de tous les cas de percée vaccinale signalés à se concentrer sur l'identification et l'enquête uniquement sur les cas hospitalisés ou mortels, quelle qu'en soit la cause. Ce changement contribuera à maximiser la qualité des données recueillies sur les cas de la plus grande importance clinique et de santé publique. Les dénombrements de cas précédents, qui ont été mis à jour pour la dernière fois le 26 avril 2021, sont disponibles à titre indicatif uniquement et ne seront pas mis à jour à l'avenir.
Juste comme ça, être asymptomatique - ou n'avoir que des symptômes mineurs - ne comptera plus comme un «cas de Covid» mais seulement si vous avez été vacciné.
Le CDC a mis en place de nouvelles politiques qui ont effectivement créé un système de diagnostic à plusieurs niveaux. Cela signifie qu'à partir de maintenant, les personnes non vaccinées auront beaucoup plus de facilité à être diagnostiquées avec Covid19 que les personnes vaccinées.
Considérer…
La personne A n'a pas été vaccinée. Ils sont testés positifs pour Covid en utilisant un test PCR à 40 cycles et, malgré l'absence de symptômes, ils sont officiellement un «cas de covid».
La personne B a été vaccinée. Ils sont testés positifs à 28 cycles et passent six semaines alités avec une forte fièvre. Parce qu'ils ne sont jamais allés à l'hôpital et ne sont pas morts, ils ne sont PAS un cas Covid.
La personne C, également vaccinée, est décédée. Après des semaines d'hospitalisation avec une forte fièvre et des problèmes respiratoires. Seul leur test PCR positif était de 29 cycles, ils ne sont donc pas officiellement non plus un cas de Covid.
Le CDC démontre la beauté d'avoir une «maladie» qui peut apparaître ou disparaître selon la façon dont vous la mesurez.
Pour être clair: si ces nouvelles politiques avaient été l'approche globale de «Covid» depuis décembre 2019, il n'y aurait jamais eu de pandémie du tout.
Si vous les appliquez uniquement aux vaccinés, mais que vous gardez les anciennes règles pour les non vaccinés, le seul résultat possible peut être que les registres officiels montrent que «Covid» est beaucoup plus répandu chez ces derniers que chez les premiers.
"Mask Up To Keep It Up" - Une étude trouve des liens COVID à la dysfonction érectile
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 21 MAI 2021 - 23H00
Une nouvelle étude publiée dans le World Journal of Men's Health indique que les séquelles de la contraction du COVID-19 pourraient provoquer un dysfonctionnement érectile chez les hommes.
"Nos recherches montrent que COVID-19 peut provoquer un dysfonctionnement endothélial généralisé dans les systèmes organiques au-delà des poumons et des reins. Le dysfonctionnement endothélial sous-jacent qui se produit à cause du COVID-19 peut pénétrer dans les cellules endothéliales et affecter de nombreux organes, y compris le pénis", a déclaré Ranjith Ramasamy, MD, professeur agrégé et directeur du programme d'urologie reproductive de la Miller School of Medicine de l'Université de Miami.
"Dans notre étude pilote, nous avons constaté que les hommes qui ne se plaignaient pas auparavant de dysfonction érectile ont développé une dysfonction érectile assez sévère après le début de l'infection au COVID-19", a poursuivi Ramasamy.
Ramasamy et des chercheurs de l'UMiami ont découvert longtemps après la guérison que le virus pouvait rester dans le pénis des hommes pendant des mois. Et si cela n'était pas effrayant, les chercheurs émettent en outre l'hypothèse que le «dysfonctionnement généralisé des vaisseaux sanguins» causé par COVID pourrait contribuer à la dysfonction érectile.
"Les vaisseaux sanguins eux-mêmes fonctionnent mal et ne sont pas en mesure de fournir suffisamment de sang pour entrer dans le pénis pour une érection", a déclaré Ramasamy. "Nous avons constaté que le virus affecte les vaisseaux sanguins qui alimentent le pénis, provoquant un dysfonctionnement érectile."
Le virus a été associé à l'endommagement d'autres organes, tels que les poumons, les reins et le cerveau. Mais maintenant, après avoir recueilli des échantillons de tissu pénien de deux hommes ayant des antécédents d'infections au COVID, les chercheurs de l'UMiami pensent que la dysfonction érectile «pourrait être permanente».
Ce n'est pas la première étude qui prétend que le COVID peut provoquer un dysfonctionnement érectile.
En mars, des chercheurs de l'Université de Rome ont publié une étude dans la revue médicale Andrology intitulée "" Mask up to keep it up ": Preuve préliminaire de l'association entre la dysfonction érectile et COVID-19," qui a déclaré que ceux qui ont contracté le virus étaient 5,6 fois plus susceptibles d'avoir un dysfonctionnement érectile.
Ramasamy a déclaré que plus de données sont nécessaires pour mieux comprendre à quel point la dysfonction érectile est répandue après une infection par COVID.
Les deux études interviennent alors que l'une des plus grandes menaces déflationnistes pèse sur l'économie mondiale: les taux de natalité aux États-Unis sont tombés à leur plus bas niveau en une génération.
Non résolu: ce que la science du climat nous dit, ce qu'elle ne fait pas et pourquoi c'est important
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 21 MAI 2021 - 22H40 Rédigé par Rupert Darwall via RealClearEnergy.com,
Le 8 janvier 2014, à l'Université de New York à Brooklyn, s'est produit un événement unique dans les annales du réchauffement climatique: près de huit heures de débat structuré entre trois climatologues soutenant le consensus sur le réchauffement climatique d'origine humaine et trois climatologues qui le contestent, animé par une équipe de six physiciens éminents de l'American Physical Society (APS) dirigée par le Dr Steven Koonin, physicien théoricien à l'Université de New York. Le débat, organisé par l'APS, a révélé que des climatologues soutenant le consensus nourrissaient des doutes et des incertitudes et admettaient des lacunes dans la science du climat - en contraste marqué avec les messages emphatiques d'organismes tels que The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC).
À un moment donné, Koonin a lu un extrait du Cinquième rapport d’évaluation de l'IPCC publié l’année précédente. Réponses simulées par ordinateur aux forçages - le terme utilisé par les climatologues pour désigner les changements des flux d'énergie entrant et sortant du système climatique, tels que les changements de rayonnement solaire, les éruptions volcaniques et les changements dans les concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère - " peut être agrandie ou réduite. » Cette mise à l'échelle comprenait les forçages de gaz à effet de serre.
Certains forçages dans certains modèles informatiques ont dû être réduits pour faire correspondre les simulations informatiques aux observations climatiques réelles. Mais lorsqu'il s'agit de faire des projections du centenaire sur lesquelles les gouvernements s'appuient et conduisent la politique climatique, les facteurs d'échelle ont été supprimés, ce qui a probablement entraîné une surestimation de 25 à 30% du réchauffement de 2100.
Le dialogue qui a suivi entre Koonin et le Dr William Collins du Lawrence Berkeley National Laboratory - un auteur principal du chapitre sur l'évaluation du modèle climatique dans le cinquième rapport d'évaluation - a révélé quelque chose de plus troublant et délibéré que des lacunes dans les connaissances scientifiques:
Dr Koonin: Mais si le modèle vous dit que la réponse au forçage est erronée de 30 %, vous devriez utiliser ce même facteur de 30 % lorsque vous projetez sur un siècle.
Dr Collins: Oui. Et l'une des raisons pour lesquelles nous ne le faisons pas est que nous n'utilisons pas les modèles comme [un] outil de projection statistique.
Dr Koonin: Comment les utilisez-vous ?
Dr Collins: Eh bien, nous avons utilisé exactement les mêmes modèles qui ont eu tort de forcer et qui ont en quelque sorte faussé les projections jusqu'à 2100.
Dr Koonin: Alors, pourquoi présentons-nous même des projections à l'échelle du centenaire ?
Dr Collins: Eh bien, je veux dire, cela fait partie du processus d'évaluation [de l'IPCC].
Koonin était particulièrement bien placé pour diriger l'atelier APS sur le climat. Il a une compréhension approfondie des modèles informatiques, qui sont devenus les bêtes de somme de la science du climat. Jeune homme, Koonin a écrit un article sur la modélisation informatique de la réaction nucléaire dans les étoiles et a enseigné un cours de physique computationnelle à Caltech. Au début des années 90, il a participé à un programme utilisant des satellites pour mesurer l'albédo de la Terre, c'est-à-dire la réflexion du rayonnement solaire entrant dans l'espace. En tant qu'étudiant à Caltech à la fin des années 1960, il a été enseigné par le physicien Nobel Richard Feynman et a absorbé ce que Koonin appelle «l'honnêteté intellectuelle absolue» de Feynman.
En devenant scientifique en chef de BP en 2004, Koonin est devenu une partie du milieu plus large du changement climatique. Les missions comprenaient l'explication de la physique du réchauffement climatique d'origine humaine au prince Philip lors d'un dîner au palais de Buckingham. En 2009, Koonin a été nommé sous-secrétaire au ministère de l'Énergie de l'administration Obama.
Le débat sur le climat de l’APS a été le tournant dans la réflexion de Koonin sur le changement climatique et la science du climat par consensus («La science»).
«J'ai commencé par croire que nous étions dans une course pour sauver la planète de la catastrophe climatique», écrit Koonin dans son nouveau livre, «Unsettled: What Climate Science Tells Us, What It Does not, And Why It Matters.»
«Je suis sorti de l'atelier APS non seulement surpris, mais ébranlé par la prise de conscience que la science du climat était beaucoup moins mature que je ne l'avais supposé.
«Unsettled» est une introduction faisant autorité sur la science du changement climatique qui lève le couvercle sur The Science et trouve beaucoup de choses qui ne sont pas comme il se doit.
«En tant que scientifique», écrit Koonin, «je sentais que la communauté scientifique laissait tomber le public en ne disant pas clairement toute la vérité.»
L’objectif de Koonin est de corriger ce problème.
La mise en accusation de Koonin contre The Science commence par sa dépendance à des modèles informatiques peu fiables. Décrire utilement le climat de la Terre, écrit Koonin, est «l’un des problèmes de simulation scientifique les plus difficiles». Les modèles divisent l'atmosphère en boîtes en forme de crêpes d'environ 100 km de large et d'un kilomètre de profondeur. Mais le flux d'énergie ascendant des nuages orageux tropicaux, qui est plus de trente fois plus important que celui des influences humaines, se produit à des échelles plus petites que les boîtes programmées. Cela oblige les modélisateurs climatiques à faire des hypothèses sur ce qui se passe à l'intérieur de ces boîtes. Comme l’avoue un modélisateur, «c’est un véritable défi de modéliser ce que nous ne comprenons pas».
Inévitablement, cela laisse une place considérable aux opinions et préférences subjectives des modélisateurs. Une question clé que les modèles climatiques sont censés résoudre est l'estimation de la sensibilité climatique à l'équilibre du gaz carbonique (ECS), qui vise à nous dire par combien de températures augmentent à partir d'un doublement du dioxyde de carbone dans l'atmosphère. Pourtant, en 2020, les modélisateurs du climat de l'Institut Max Planck d'Allemagne ont admis avoir réglé leur modèle en ciblant un ECS d'environ 3 ° Celsius. «Parlez de cuisiner les livres», commente Koonin.
La preuve du pudding, comme on dit, est dans le manger. De toute évidence, les projections informatiques ne peuvent pas être testées par rapport à un avenir qui n’est pas encore arrivé, mais elles peuvent être testées par rapport aux climats présents et passés. Les modèles climatiques ne peuvent même pas s'entendre sur la température moyenne mondiale actuelle. "Une caractéristique particulièrement troublante est que la température moyenne de la surface simulée", note Koonin, "varie selon les modèles d'environ 3 ° C, trois fois plus que la valeur observée du réchauffement du XXe siècle qu'ils prétendent décrire et expliquer."
Une autre caractéristique embarrassante des modèles climatiques concerne le début des deux réchauffements du XXe siècle de 1910 à 1940, lorsque les influences humaines étaient beaucoup plus faibles. En moyenne, les modèles donnent un taux de réchauffement d'environ la moitié de ce qui a été réellement observé. L'échec des derniers modèles à se réchauffer assez rapidement au cours de ces décennies suggère qu'il est possible, voire probable, que la variabilité du climat interne soit un contributeur significatif au réchauffement des dernières décennies, suggère Koonin. «Le fait que les modèles ne puissent pas reproduire le passé est un gros drapeau rouge - cela érode la confiance dans leurs projections des climats futurs.» Il n'est pas non plus rassurant que pour les années après 1960, la dernière génération de modèles climatiques montre une plus grande diffusion et une plus grande incertitude que les précédentes - ce qui implique que, loin d'avancer, la science a reculé. Ce n'est pas ainsi que la science est censée fonctionner.
La deuxième partie de l'acte d'accusation de Koonin concerne la distorsion, la fausse représentation et la mauvaise caractérisation des données climatiques pour soutenir un récit du catastrophisme climatique basé sur la fréquence croissante des événements météorologiques extrêmes. À titre d'exemple, Koonin prend une affirmation «scandaleusement trompeuse» et un graphique associé dans le rapport spécial de 2017 sur la science du climat du gouvernement des États-Unis selon lequel le nombre de records de températures élevées établis au cours des deux dernières décennies dépasse de loin le nombre d'enregistrements de basses températures à travers le 48 états contigus. Koonin démontre que la forte hausse des sommets au cours des deux dernières décennies est un artefact d'une méthodologie choisie pour induire en erreur. Après avoir réexécuté les données, des sommets records montrent un pic clair dans les années 1930, mais il n'y a pas de tendance significative au cours des 120 années d'observations à partir de 1895, ni même depuis 1980, lorsque les influences humaines sur le climat se sont fortement accrues. En revanche, le nombre de températures froides record a diminué sur plus d'un siècle, la tendance s'accélérant après 1985.
Note Koonin, «les températures extrêmes aux États-Unis contigus sont devenues moins courantes et un peu plus douces depuis la fin du XIXe siècle». De même, un message clé de l'Évaluation nationale du climat 2014 d'une tendance à la hausse de la fréquence et de l'intensité des ouragans, répété dans l'évaluation de 2017, est contredit 728 pages plus tard par une déclaration enfouie dans une annexe indiquant qu'il n'y a pas eu de tendance significative dans le monde. nombre de cyclones tropicaux «et aucune tendance n'a été identifiée dans le nombre d'ouragans qui tombent aux États-Unis.»
«Au cours des trente dernières années, l’incidence des catastrophes naturelles a considérablement augmenté», a faussement affirmé la secrétaire au Trésor Janet Yellen le mois dernier dans un discours soutenant le paquet d’infrastructure de l’administration Biden. «Nous sommes maintenant dans une situation où le changement climatique est un risque existentiel pour notre économie et notre mode de vie futurs», a-t-elle affirmé.
Le sacrifice de la vérité scientifique sous la forme de données empiriques objectives au profit d'un récit catastrophiste sur le climat est évident. Comme Koonin résume le cas:
«Même si les influences humaines ont quintuplé depuis 1950 et que le globe s'est légèrement réchauffé, la plupart des phénomènes météorologiques violents restent dans les limites de la variabilité passée. Les projections des événements climatiques et météorologiques futurs reposent sur des modèles manifestement inadaptés à cet objectif. »
Koonin a également des mots tranchants pour le côté politique du consensus sur le changement climatique, qui affirme que bien que le changement climatique soit une menace existentielle, le résoudre en décarbonant totalement la société est simple et relativement indolore.
«Il y a deux décennies, lorsque j'étais dans le secteur privé», écrit Koonin, «j'ai appris à dire que l'objectif de stabiliser les influences humaines sur le climat était« un défi », alors qu'au gouvernement, il était considéré comme« une opportunité ». «De retour dans le milieu universitaire, je peux carrément appeler cela« une impossibilité pratique ».»
Contrairement à de nombreux scientifiques et à la plupart des politiciens, Koonin affiche une compréhension certaine de la division entre les pays développés et les pays en développement, pour qui la décarbonisation est un produit de luxe qu’ils ne peuvent pas se permettre. La fissure remonte aux premiers jours du processus climatique de l'ONU à la fin des années 1980. C’est en effet la raison pour laquelle les pays en développement ont insisté sur la voie des Nations Unies par opposition à une voie intergouvernementale qui a abouti au Protocole de Montréal de 1987 sur les substances qui appauvrissent la couche d’ozone.
«L'amélioration économique de la majeure partie de l'humanité dans les décennies à venir stimulera la demande d'énergie encore plus fortement que la croissance démographique», dit Koonin.
«Qui paiera le monde en développement pour ne pas émettre ? Je pose cette simple question à de nombreuses personnes depuis plus de quinze ans et je n'ai pas encore entendu de réponse convaincante.
La partie la plus troublante de «Unsettled» concerne la science et le rôle des scientifiques.
«La science est l'une des très rares activités humaines - peut-être la seule - dans laquelle les erreurs sont systématiquement critiquées et assez souvent, à temps, corrigées», écrivait Karl Popper il y a près de six décennies.
Cette condition ne concerne pas la science du climat, où les erreurs sont ancrées dans un récit politique et la critique est supprimée. Dans un essai récent, le philosophe Matthew B. Crawford observe que la fierté de la science en tant que moyen de générer des connaissances - contrairement à la religion - est d'être falsifiable. Cela change lorsque la science est obligée de devenir une autorité afin de dispenser les politiciens de la responsabilité de justifier leurs choix politiques («la science dit», nous dit-on à plusieurs reprises). «Pourtant, quelle sorte d'autorité serait-ce qui insiste sur le fait que sa propre compréhension de la réalité n'est que provisoire ?» demande Crawford. «Pour que l'autorité fasse vraiment autorité, elle doit revendiquer un monopole épistémique d'une sorte, qu'il s'agisse de la connaissance sacerdotale ou scientifique.»
Au début de «Unsettled», l’axiome de Feynman de l’honnêteté intellectuelle absolue contraste avec le «double lien éthique» du climatologue Stephen Schneider. D'une part, les scientifiques sont éthiquement liés par la méthode scientifique pour dire la vérité. De l'autre, ce sont des êtres humains qui veulent réduire le risque d'un changement climatique potentiellement désastreux.
«Chacun de nous doit décider du juste équilibre entre être efficace et être honnête», a déclaré Schneider.
«Être efficace» aide à expliquer la pression exercée sur les climatologues pour qu'ils se conforment à la science et l'émergence d'un monopole de la connaissance des sciences du climat. Sa fonction est, comme le dit Crawford, la fabrication d'un produit - la légitimité politique - qui, à son tour, exige que les points de vue divergents soient délégitimés et chassés du discours public par l'application d'un «moratoire sur la pose de questions». Cela permet aux climatologues de décider qui peut et ne peut pas donner son avis sur la science du climat. "S'il vous plaît, sauvez-nous des physiciens à la retraite qui pensent qu'ils sont plus intelligents et plus sages que tout le monde dans la science du climat", a tweeté Gavin Schmidt, conseiller climatique principal par intérim de la NASA, à propos de Koonin et de son livre. "Je suis d'accord avec à peu près tout ce que vous avez écrit", a déclaré un directeur d'un département universitaire des sciences de la Terre à Koonin, "mais je n'ose pas dire cela en public." Un autre scientifique critique Koonin pour avoir donné des munitions aux «négationnistes», et un troisième écrit un éditorial exhortant l’Université de New York à reconsidérer la position de Koonin là-bas. Cela va plus loin que les scientifiques. Facebook a supprimé une critique du «Wall Street Journal» sur «Unsettled». De même, «Unsettled» n'est pas revu par le «New York Times», le «Washington Post» (bien qu'il ait publié un éditorial de Marc Thiessen basé sur une interview avec Koonin) et d'autres quotidiens, qui préféreraient traiter le climat raisonné de Koonin dissidence comme si elle n’existait pas.
Le moratoire sur la pose de questions représente la mort de la science telle qu'elle est comprise et décrite par Popper, victime des exigences contradictoires d'utilité politique et d'intégrité scientifique. De nombreux scientifiques prennent cela en position couchée. Koonin ne le fera pas. Pour ses compétences médico-légales et pour rendre ses découvertes accessibles aux non-spécialistes, Koonin a écrit le livre le plus important sur la science du climat depuis des décennies.
Le climat de notre planète ne se réchauffe pas, il se refroidit. Si tous les gaz ne se recyclaient pas immédiatement il n'y aurait jamais eu de vie sur Terre.
Les principaux appareils de réclamation officiels des élections en Arizona faisant l'objet d'un audit ont peut-être été «compromis» ... par les auditeurs
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 21 MAI 2021-15: 39 Rédigé par Zachary Stieber via The Epoch Times
La secrétaire d’État de l’Arizona a averti jeudi le plus grand comté de l’État de ne pas essayer d’utiliser des machines électorales qui font l’objet d’un audit, sous peine de décertifier l’équipement.
«J'ai de graves préoccupations concernant la sécurité et l'intégrité de ces machines, étant donné que la chaîne de possession, un principe de sécurité essentiel, a été compromise et que les responsables électoraux ne savent pas ce qui a été fait aux machines sous le contrôle de Cyber Ninjas», Arizona La secrétaire d'État Katie Hobbs, une démocrate, a écrit dans une lettre aux responsables du comté de Maricopa.
Les auditeurs embauchés par le Sénat de l'Arizona, y compris Cyber Ninjas, ont examiné plus de 2 millions de bulletins de vote et 385 tabulateurs utilisés lors de l'élection de 2020, ainsi que d'autres documents.
Les auditeurs ont déclaré qu'ils suivaient des protocoles de criminalistique stricts.
«Nous n’allumons pas un système s’il nous est livré dans un état hors tension. Nous supprimons les disques durs, nous effectuons une imagerie médico-légale avec des blocs d'écriture pour empêcher toute modification de ces disques durs, et nous produisons une copie forensics bit for bit de ce disque particulier », Ben Cotton, fondateur de CyFIR, la société leader du composant technologique de l'audit, a déclaré aux sénateurs de l'Arizona lors d'une réunion cette semaine.
Ken Bennett, l'ancien secrétaire d'État républicain de l'Arizona qui sert de liaison pour le Sénat de l'État pour l'audit, a ajouté qu'immédiatement après avoir reçu les machines le 21 avril, l'équipement et les bulletins de vote ont été placés dans des cages verrouillées et ont été sous garde armée. tout le temps depuis.
«Nous n'avons eu aucune brèche dans les cages où les bulletins de vote ou les machines ont été conservés», a-t-il déclaré.
Mais Hobbs a allégué que l'on ne sait pas quelles procédures de sécurité, le cas échéant, ont été mises en place pour sécuriser les machines.
«En effet, nos observateurs experts, ainsi que de multiples reportages, ont noté des défaillances de sécurité inquiétantes. Et Cyber Ninjas n'a pas réussi à fournir une transparence totale sur ce qu'ils ont fait avec l'équipement », a-t-elle écrit aux responsables du comté de Maricopa.
«Le manque de sécurité physique et de transparence signifie que nous ne pouvons pas savoir avec certitude qui a accédé au matériel de vote et ce qui aurait pu leur être fait», a-t-elle ajouté.
Il n'y a pas de méthodes complètes pour réhabiliter complètement les équipements compromis, ce qui signifie que le comté «devrait acquérir de nouvelles machines pour garantir des élections sûres et précises» à l'avenir, a déclaré Hobbs.
Si le comté choisit de redéployer l'équipement assigné pour une utilisation lors d'élections futures, le bureau de Hobbs pourrait envisager de déménager pour le décertifier.
Avant le début de l'audit, la présidente du Sénat républicain de l'Arizona, Karen Fann, a signé un document qui indemnisait le comté de Maricopa contre les réclamations de tiers concernant tout dommage survenu aux matériaux que le comté avait remis aux auditeurs.
Les représentants de l'équipe d'audit, les républicains du Sénat de l'Arizona et le comté de Maricopa n'ont pas immédiatement renvoyé leurs demandes de commentaires du jour au lendemain.
Un porte-parole du département des élections du comté a déclaré aux médias que le département «travaillait avec nos avocats sur les prochaines étapes, les coûts et ce qui sera nécessaire pour s'assurer que seul du matériel certifié est utilisé dans le comté de Maricopa».
"Nous n'utiliserons aucun des équipements de tabulation retournés à moins que le comté, l'état et le fournisseur ne soient convaincus qu'aucun matériel ou logiciel malveillant n'est installé sur les appareils", a ajouté le comté.
Le comté examine la lettre de Hobbs, a également déclaré un porte-parole du comté.
Le conseil de surveillance du comté de Maricopa a approuvé en juin 2019 un contrat de trois ans pour la location de matériel électoral de Dominion Voting Systems jusqu'en juillet 2022. Le contrat valait 6,1 millions de dollars.
Selon Hobbs, ses préoccupations ne concernent pas le système de vote du Dominion, qui reste certifié pour une utilisation en Arizona, ni aucun équipement électoral qui n’a pas été remis aux vérificateurs.
« La vaccination, mes potes, et le Criigen » de M. Yann Kindo
22 Mai 2021 par Seppi Glané sur la toile 669
« La vaccination, mes potes, et le Criigen » est sur son blog, « La faucille et le labo » sur Médiapart.
Une balade dans plusieurs sujets, comme le titre le suggère – mais il ne dit pas tout.
M. Yann Kindo ouvre son article par un rappel de ce qu'il avait écrit en décembre 2018, dans « La vaccination, Fox News et le militant anti-OGM » :
« […]
Et pourtant, la vaccination est un acquis fondamental du progressisme, au sens technique mais aussi au sens social du terme.
La vaccination est le fruit du progrès scientifique, qui permet de contenir voire de faire disparaître de la circulation de graves maladies qui autrefois faisaient des ravages. Comme les OGM, la vaccination est un symbole de la maîtrise croissante par l’humanité de son environnement, pour intervenir sur lui de manière préventive. Mais la maîtrise par l’humanité de son environnement et des mécanismes qui régissent l’ensemble du vivant est aujourd’hui souvent présentée comme un danger au lieu d’être vue comme une chance. C'est en ce sens que nous vivons une époque "réactionnaire".
La vaccination est aussi le fruit du progrès social, celui qui offre la santé à tous par une politique collective de prévention. En ce sens, sur un plan éthique, la vaccination est un truc profondément communiste, car elle incarne l’effort de tous pour le bien de chacun. Au lieu de dire « que chacun se démerde avec ses problèmes », on fait le truc tous ensemble et chacun s’en portera mieux au final.
Or, des aspirations et idées réactionnaires se sont développées non seulement chez les conservateurs façon Payton, mais aussi dans des milieux qui se pensent – et peuvent être - par ailleurs éclairés et solidaires, mais dont les positions sur la vaccination contredisent leurs propres valeurs – affichées ou réelles -. [...] »
Après les potes qui sont vaccinosceptiques pour cause d'attirance vers les élucubrations « ésotériques » et une virée dans le monde des accointements glauques illustrés par une affiche, la balade nous amène à la récente farce que nous avons décrite dans « Vaccination contre la Covid et cybersquatting : de qui se moque-t-on au CRIIGEN ? (bis) ».
- voir photos sur site -
« Si vous ne comprenez pas ce que fait Christian Vélot aux côtés d’Henri Joyeux à la tribune du congrès de la vitalité naturelle, c’est que vous n’avez pas compris cet article, et je vous recommande de le relire depuis le début. »
« Et voilà qu’aujourd’hui, sur ce terrain de la complicité avec les antivaxx, le Criigen refait parler de lui.
Dans la direction de cette association, on trouve, aux côtés donc de deux homéopathes (sic), l’écologue Pierre-Henri Gouyon, qui s’est distingué pendant la pandémie, en signant en septembre dernier une tribune rassuriste aux côtés du duo Toubiana/ Toussaint et de raoultiens comme Laurent Muchielli. […]
- voir graphique sur site -
[…]
De ce côté-là de la militance autour des sciences, le naufrage est donc scientifique depuis bien longtemps, mais il est aussi moral et éthique, à un point que je n’aurais pas imaginé il y a encore une décennie. Et l’on vient encore une fois d’en avoir une illustration, avec la participation du Criigen à la campagne de méfiance vis-à-vis de la vaccination contre la Covid 19. Tout part d’une vidéo qu’ils publient fin décembre 2020, dans laquelle leur nouveau président Christian Vélot (oui, celui qui faisait des conférences avec Henri Joyeux) met en garde contre les vaccins à ARN Messager développés par Pfizer et Moderna. […]
[…]
« Mais Christian Vélot et le Criigen, eux, n’en démordent pas.
Ainsi, le Huffington Post nous révélait hier que dans ces milieux-là, quand on a touché le fond de l’abjection, on peut creuser encore. En effet, le site "Vite ma dose", qui s’efforce d’aider la campagne de vaccination en facilitant la prise d’un rendez-vous pour utiliser au plus vite les doses disponibles, a été victime d’un pirate qui a déposé le nom du domaine, afin que quand on cherche le site on tombe en fait à la place sur une page qui propose… la vidéo de mise en garde de Christian Vélot !!!
[…]
Il y a donc ces temps-ci pire que les gens qui ne veulent pas se faire vacciner : ceux qui veulent empêcher les autres de le faire.
Et du côté du Criigen, on assume, comme a pu le vérifier Grégory Rozières, le journaliste du Huffington Post :
[…]
Il y a une faute de frappe dans l’article : le mot exact c’est pas "responsable", mais "irresponsable".
Les médias disent que les chiens peuvent renifler le covid sur une personne - peuvent-ils également identifier les personnes vaccinées qui «perdent» ?
Vendredi 21 mai 2021 par: Ethan Huff
(Natural News) Vous savez ce qui est plus précis qu'un test PCR pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19)? Un nez de chien, selon une nouvelle étude.
Des chercheurs en France affirment que les chiens sont plus efficaces pour détecter les virus que les tests de laboratoire qui, très franchement, sont manipulés pour faire avancer l'agenda du virus chinois.
Les chiens renifleurs sont également plus efficaces pour détecter les virus que les tests rapides de flux latéral (LFT), disent les scientifiques, ayant la capacité de détecter la présence de la grippe de Wuhan avec une précision de 97 %.
On ne sait pas comment ils ont déterminé cela, mais un essai mené en mars et avril à l'école vétérinaire nationale française et à l'unité de recherche clinique de l'hôpital Necker-Cochin à Paris a révélé que les chiens sont capables de détecter les cas «positifs» et «négatifs». du virus mieux que les tests que le gouvernement a poussé.
Un examen récent de 64 études différentes a révélé que les LFT identifient correctement environ 72 % des personnes infectées par le virus et présentent des symptômes, ainsi que 58 % qui ne le font pas. Les chiens, en revanche, ont correctement identifié 91 % des échantillons négatifs et 97 % des échantillons positifs.
"Ces résultats sont une confirmation scientifique de la capacité des chiens à détecter la signature olfactive de Covid-19", a déclaré le conseil de l'hôpital de Paris, notant que l'étude est la première du genre à effectuer ces déterminations.
Maintenant, ils veulent des chiens renifleurs de virus à l'aéroport ?
Selon le professeur Jean-Marc Tréluyer, le nez de chien est au moins aussi efficace pour détecter le virus chinois que le test PCR, en supposant qu’il est «réglé» correctement pour ne pas produire de faux positif.
«Ce sont d'excellents résultats, comparables à ceux d'un test PCR», a-t-il déclaré à l'Agence-France Presse.
«Ils pourraient aider à identifier les personnes qui devraient subir un test viral complet et - parce que la réponse des chiens est si rapide - faciliter les tests de masse», affirme-t-il, tentant de faire valoir que les chiens renifleurs de virus devraient être placés dans les salles de concert, les gares et les aéroports pour flairer les «malades».
Ainsi, en plus de passer par le scanner du corps nu et de se faire caresser par un pervers de la TSA, les voyageurs aériens pourraient bientôt avoir des chiens reniflant leurs entrejambes à la recherche de germes chinois. Si le chien aboie, un javelot nasal peut alors être inséré avant qu'un voyageur ne soit autorisé à monter à bord d'un avion.
Tout cela ressemble à une autre excuse pour accélérer l'agenda de Covid-1984 avec la prochaine phase de l'invasion de la vie privée. Il pourrait arriver un moment où les chiens seront placés à l'entrée des épiceries pour détecter les «porteurs» de virus et restreindre leurs achats jusqu'à ce que les chiens soient satisfaits de ce qu'ils sentent.
C'est peut-être mieux qu'un prélèvement anal chinois, mais il s'agit toujours d'une invasion massive de la vie privée et de l'autonomie corporelle justifiée sous l'excuse de la «santé publique».
Sur les sites de test PCR à travers Paris, les laquais embauchés ne se contentent pas de nettoyer les fosses nasales des gens à la recherche de germes chinois, ils frottent également des tampons de coton sous leurs aisselles et effectuent d'autres procédures «médicales» rituelles dans le cadre du processus de test. Maintenant, ils veulent inciter les chiens à rechercher la «maladie».
C'est presque comme si la guerre contre la drogue se transformait en guerre contre le covid, avec des chiens de détection de covid qui chercheront chez vous des protéines de pointe - sauf ceux qui ont déjà été injectés en sont exemptés, bien sûr.
Des chiens de détection Covid sont déjà expérimentés en Australie, en Allemagne et en Grande-Bretagne. La Finlande et les Émirats arabes unis ont également lancé des essais l'année dernière avec des chiens renifleurs dans les aéroports internationaux d'Helsinki et de Dubaï.
Vous trouverez plus des dernières nouvelles sur le virus chinois sur Pandemic.news.
Nourriture pour le cerveau: la revue examine le lien entre l'alimentation et la santé mentale
Vendredi 21 mai 2021 par: Virgilio Marin
(Natural News) Une revue publiée dans la revue European Neuropsychopharmacology montre que l'alimentation d'une personne peut améliorer ou aggraver sa santé mentale, en fonction de la qualité des aliments qu'elle mange. Des chercheurs européens sont arrivés à cette conclusion après avoir examiné des études antérieures qui ont examiné le lien potentiel entre la nutrition et la santé mentale.
Les chercheurs ont trouvé des preuves solides que le régime méditerranéen, qui est un régime riche en fruits, légumes et huile d'olive, exerce un effet protecteur contre la dépression. D'autres études suggèrent également que suivre un régime cétogène, riche en graisses et pauvre en glucides, pourrait réduire la fréquence des crises chez les enfants épileptiques.
Une mauvaise alimentation, en revanche, est associée à des troubles de l'humeur, tels que la dépression et le trouble bipolaire. Pendant ce temps, la carence en vitamine B12 a été liée à la fatigue, aux problèmes de mémoire et au développement de la dépression. Selon l'examen, la prise de suppléments de vitamine B12 pourrait améliorer la santé mentale des personnes carencées en vitamine B12.
De plus, quelques études ont également montré que la consommation de sucre raffiné pendant la grossesse pouvait augmenter le risque pour les enfants de développer une hyperactivité et un trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH). Manger plus de fruits et légumes frais, en revanche, pourrait protéger les enfants de ces conditions.
Les chercheurs ont conclu que, bien que le lien entre la santé mentale et certains aliments soit relativement faible, il existe des preuves suffisantes pour soutenir une association directe entre le régime alimentaire général d'une personne et la santé mentale.
Comment votre alimentation influe sur votre santé mentale
Ce que vous mangez affecte la façon dont vous vous sentez parce que votre santé mentale et digestive est étroitement liée. Pour commencer, quatre-vingt-quinze pour cent de votre sérotonine - un neurotransmetteur qui joue un rôle dans la médiation de l'humeur - est produite dans votre tube digestif, qui est tapissé de millions de neurones.
Les bonnes bactéries intestinales influencent le fonctionnement de ces neurones, ainsi que votre production de sérotonine et d'autres neurotransmetteurs. Elles sont considérées comme de bonnes bactéries car elles jouent un rôle important dans votre santé. Pour commencer, ils protègent la muqueuse de vos intestins, réduisent l'inflammation et améliorent la capacité de votre corps à absorber les nutriments contenus dans les aliments. En outre, ils activent également les voies neuronales qui voyagent directement entre votre intestin et votre cerveau. (Connexes: de nombreuses maladies mentales sont basées sur l'inflammation: de plus en plus de science confirme un lien entre la santé intestinale et la santé mentale.)
Étant donné le rôle du système digestif dans la santé mentale, il ne faut pas s'étonner que votre alimentation influence également votre humeur. En effet, des études montrent que les personnes qui suivent le régime méditerranéen et d'autres régimes «traditionnels» ont jusqu'à 35% moins de risque de développer une dépression que celles qui suivent un régime alimentaire occidental typique.
Les chercheurs attribuent cette différence au fait que les régimes alimentaires traditionnels comprennent plus de légumes, de fruits, de céréales et de fruits de mer non transformés, et seulement de modestes quantités de viande maigre et de produits laitiers. Les régimes traditionnels sont également dépourvus d'aliments transformés et de sucres raffinés, qui sont des aliments de base d'un régime occidental. En outre, de nombreux aliments non transformés dans les régimes traditionnels sont fermentés, ce qui signifie qu'ils sont riches en micro-organismes bénéfiques vivants appelés probiotiques.
Les meilleurs aliments cérébraux pour améliorer votre santé mentale Découvrez les aliments suivants pour améliorer votre santé mentale:
Poissons gras - Le saumon, le maquereau et les sardines sont riches en acides gras oméga-3 sains. Des études suggèrent qu'une carence en oméga-3 peut augmenter votre risque de développer une dépression. Aliments probiotiques - Les aliments fermentés comme le kombucha et la choucroute contiennent des probiotiques, qui favorisent une bonne santé intestinale. Grains entiers - Les grains entiers sont d'excellentes sources de vitamines B telles que la vitamine B12, qui est importante pour la santé du cerveau. Légumes à feuilles - Les légumes à feuilles vertes comme les épinards regorgent de folate, une autre vitamine B. La recherche montre que les personnes souffrant de dépression ont tendance à avoir de faibles taux de folate. Votre alimentation peut améliorer votre bien-être mental ou augmenter votre risque de troubles mentaux. Adoptez une alimentation saine riche en fruits frais, en légumes et en grains entiers pour une meilleure santé mentale.
BrainHealthBoost.com a plus de conseils sur la façon d'améliorer la santé de votre cerveau.
VIRUS ÉCHAPPÉ DU LABO CHINOIS. VERS LA CONFRONTATION ?
RépondreSupprimerpar CHARLES SANNAT
20/05/2021
Le vaccin de Pfizer et BioNTech contre la Covid-19 serait efficace à 95%.
C’est un sujet sur lequel évidemment la planète entière marche sur des oeufs. Les implications financières, géopolitiques, logistiques, commerciales sont tout simplement énormes.
Imaginez que le virus du Covid 19 soit bien lié à une fuite dans le laboratoire P4 de Wuhan ?
La Chine serait alors tenue responsable aussi bien pour les morts, les malades chroniques que pour les pertes abyssales de l’économie mondiale. Il y a, là, potentiellement de quoi véritablement, mettre la Chine au banc des nations pour très longtemps. Il y a de quoi la faire payer pour très longtemps, il y a aussi de quoi, largement, l’exclure de la communauté internationale.
Nous n’y sommes pas encore, et la démondialisation ultra rapide que cela impliquerait serait assez violente à vivre, car les pénuries actuellement déjà nombreuses deviendraient notre pénible quotidien pendant plusieurs années.
Ce scénario ne peut être exclu, d’ailleurs je vous livre ici la traduction d’un article paru il y a 4 jours dans la très célèbre revue Science où des scientifiques appellent officiellement à aborder la délicate et très difficile question de l’origine du virus.
Enquêter sur les origines du COVID-19
Science 14 mai 2021 : Source ici
« Le 30 décembre 2019, le Programme de surveillance des maladies émergentes a informé le monde d’une pneumonie de cause inconnue à Wuhan, en Chine. Depuis, les scientifiques ont fait des progrès remarquables dans la compréhension de l’agent causal, le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2), de sa transmission, de sa pathogenèse et de son atténuation par des vaccins, des thérapeutiques et des interventions non pharmaceutiques. Pourtant, des recherches supplémentaires sont encore nécessaires pour déterminer l’origine de la pandémie. Les théories de la libération accidentelle d’un laboratoire et de la propagation zoonotique restent toutes deux viables. Il est essentiel de savoir comment le COVID-19 a émergé pour élaborer des stratégies mondiales visant à atténuer le risque d’épidémies futures.
En mai 2020, l’Assemblée mondiale de la santé a demandé au directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) de collaborer étroitement avec ses partenaires pour déterminer les origines du SRAS-CoV-2. En novembre, les termes de référence d’une étude conjointe Chine-OMS ont été publiés. Les informations, les données et les échantillons de la première phase de l’étude ont été recueillis et résumés par la moitié chinoise de l’équipe ; le reste de l’équipe s’est appuyé sur cette analyse. Bien qu’aucun résultat ne vienne étayer clairement l’hypothèse d’une dissémination naturelle ou d’un accident de laboratoire, l’équipe a estimé qu’une dissémination zoonotique à partir d’un hôte intermédiaire était « probable à très probable » et qu’un incident de laboratoire était « extrêmement improbable » [(4), p. 9]. De plus, les deux théories n’ont pas été considérées de manière équilibrée. Seules 4 des 313 pages du rapport et de ses annexes abordaient la possibilité d’un accident de laboratoire. Le directeur général de l’OMS, Tedros Ghebreyesus, a notamment déclaré que la prise en compte dans le rapport des preuves en faveur d’un accident de laboratoire était insuffisante et a proposé de fournir des ressources supplémentaires pour évaluer pleinement cette possibilité.
RépondreSupprimerEn tant que scientifiques possédant une expertise pertinente, nous sommes d’accord avec le directeur général de l’OMS, les États-Unis et 13 autres pays, et l’Union européenne pour dire qu’il est nécessaire et possible de faire plus de clarté sur les origines de cette pandémie. Nous devons prendre au sérieux les hypothèses relatives aux retombées naturelles et de laboratoire jusqu’à ce que nous disposions de données suffisantes. Une enquête digne de ce nom doit être transparente, objective, fondée sur des données, faire appel à une large expertise, faire l’objet d’une surveillance indépendante et être gérée de manière responsable afin de minimiser l’impact des conflits d’intérêts. Les agences de santé publique comme les laboratoires de recherche doivent ouvrir leurs dossiers au public. Les enquêteurs doivent documenter la véracité et la provenance des données à partir desquelles les analyses sont effectuées et les conclusions tirées, afin que les analyses soient reproductibles par des experts indépendants.
Enfin, en cette période de sentiment anti-asiatique regrettable dans certains pays, nous notons qu’au début de la pandémie, ce sont des médecins, des scientifiques, des journalistes et des citoyens chinois qui ont partagé avec le monde des informations cruciales sur la propagation du virus – souvent au prix d’un lourd tribut personnel. Nous devrions faire preuve de la même détermination pour promouvoir un discours scientifique impartial sur cette question difficile mais importante ».
Cet article n’est pas un hasard.
Il s’agit d’un processus à l’œuvre qui consiste à mettre une pression de plus en plus forte sur la Chine.
A partir du moment où « officiellement », la fuite de laboratoire sera admise, alors le monde changera radicalement.
Les relations internationales sont d’une très grande violence.
RépondreSupprimerLes Etats n’ont jamais d’amis.
Ils ont des intérêts.
L’intérêt des Etats-Unis, comme celui de l’Union Européenne, est évidemment de faire totalement dérailler la Chine.
Cette histoire de fuite de laboratoire pourrait être l’aubaine du siècle et du nouveau millénaire pour endiguer la Chine, pour justifier une démondialisation rapide et violente, car la Chine « doit » « payer » pour ce qu’elle a fait.
J’imagine déjà les éléments de discours de la petite machine de propagande médiatique occidentale c’est-à-dire essentiellement américano-européenne.
Cela se produira, peut-être ou pas.
Il est trop tôt pour avoir des certitudes, mais vous l’aurez compris, c’est un sujet bouillant, à suivre comme le lait sur le feu, car c’est potentiellement « atomique » dans les effets économiques induits. Nous avons ici les ingrédients d’une crise d’une immense violence, mais également d’une grande brutalité sans oublier qu’elle serait rapide et prendrait au dépourvu la totalité des agents économiques. C’est ce que j’appelle une crise explosive dans le sens de déflagration, des moments où l’histoire bascule dans le temps de la seconde d’une explosion. La dernière crise de ce type a été celle du 11 septembre 2001. Il s’agit de crise qui change le monde en quelques minutes et que l’on n’a pas le temps de voir se développer.
Restez à l’écoute.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
http://www.economiematin.fr/news-coronavirus-pandemie-source-these-laboratoire-chine-sannat
La médecine aujourd’hui : une histoire de « pognon de dingue ».
RépondreSupprimerle 21 mai 2021
Comment peut-on être soigné correctement par des médecins plus ou moins fonctionnaires comme c’est le cas en Espagne avec le service de santé public mais également avec les médecins du service de santé privé qui ne travaillent que pour payer leurs impôts et le train de pneus de leur Porsche dernier modèle. Je voudrais relater ici une anecdote vécue personnellement. Il y a un dizaine d’années. Je suis allé voir un ancien ami médecin spécialiste en otorhino, sans rendez-vous, sans carte vitale, en visite touristique en quelque sorte. Je voulais qu’il me dise ce qu’il pensait de la sinusite chronique dont je souffrais depuis mon séjour au Vanuatu. Pour le mettre sur la voie je lui précisai que dans ce pays tout monde souffre de la malaria et que tout le monde souffre également de sinusite et je lui ai demandé s’il n’y aurait pas une relation encore non explorée entre ces deux pathologies. Il fut étonné par l’audace de ma question. Je me trouvais dans la bonne ville (encore à l’époque) de Lyon pour quelques jours et lui demandai de faire un peu de bibliographie à ce sujet. Il me répondit que c’était impossible, qu’il opérait le matin à l’hôpital et que l’après-midi il recevait en consultation au moins 15 personnes. Et je lui ai renvoyé la balle en lui demandant pourquoi il travaillait autant. Il me répondit qu’il fallait bien qu’il paie ses impôts.
Voilà par qui on est soigné aujourd’hui : par des médecins du secteur public plus ou moins fonctionnaires et des médecins du secteur privé qui travaillent pour payer leurs impôts, qui n’ont pas une minute à consacrer à de la bibliographie et reçoivent des jolies filles estampillées visiteuses médicales qui leur vantent les bienfaits de nouveaux médicaments extraordinaires coûtant une fortune mais pas plus efficaces que les vieux remèdes de grand-mère pour soigner une petite grippe. Vous voulez un autre exemple anecdotique ? Lorsque j’était enfant une mauvaise grippe se soignait avec des inhalations. Il s’agissait de respirer les vapeurs d’une décoction de plantes aromatiques que l’on trouvait à un prix dérisoire chez le pharmacien du village et si on avait la trachée vraiment encombrée ma mère préparait un cataplasme à base de poudre de graines de moutarde. Après une heure d’un genre de supplice thermique on respirait nettement mieux …
Aujourd’hui tout est calculé, financiarisé comme on dit maintenant, les hôpitaux sont rémunérés à l’acte et je suspecte que les médecins le sont aussi en fonction des « actes » qu’ils prescrivent. C’est un peu un système à points et il faut surtout prescrire ou décider d’actes médicaux les plus coûteux possible. Un autre exemple : lorsque je suis allé consulter pour la première fois l’urologue vers lequel j’avais été orienté à la suite d’une analyse sanguine qui révélait un taux élevé de PSA (prostate specific antigen) il m’a tout de suite dit qu’il fallait opérer. J’ai refusé puis j’ai joué le jeu pour savoir où ce théâtre allait me conduire … Quand un oncologue m’a reçu à l’hôpital, après une gamma-graphie, une IRM et un scanner, trois actes loin d’être gratuits, il a conclu qu’il fallait que je me soumette à une radiothérapie, j’ai refusé. Ces médecins spécialistes qui croient être imprégnés de science ne savent même pas que trois hommes sur cinq de mon âge souffrent de problèmes de prostate qu’ils ignorent jusqu’au jour où une analyse sanguine révèle que leur taux de PSA est élevé et … qu’il faut faire quelque chose, c’est-à-dire dépenser l’argent des contribuables en fermant les yeux et sans se poser de questions ni morales ni éthiques. À 80 ans ce sont plus de 80 % des hommes qui ont des problèmes de prostate. Voilà dans quel état est la médecine dans les pays occidentaux, pognon, pognon, pognon … affligeant !
RépondreSupprimerIl est dès lors facile de comprendre que tout a été fait pour surtout ne pas permettre aux médecins généralistes de prescrire l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine, deux médicaments profitant d’une solide réputation d’innocuité en ce qui concerne les effets secondaires et très rapidement utilisés par le corps médical chinois. Le gros souci est le coût dérisoire de ce traitement ce qui n’a pas plus au corps médical ni aux laboratoires pharmaceutiques qui n’ont pas voulu en entendre parler. La perspective de mettre sur le marché des produits nouveaux hors de prix ce qui entrait parfaitement dans le cadre des visées des fonctionnaires gérant le secteur hospitalier public : toujours une très grosse histoire de pognon. Et les vies humaines dans tout ce cirque ? Les quelques 50000 morts qui auraient pu être évités en France en laissant toute liberté de prescription aux médecins généralistes ont été sacrifiés sur l’autel du profit ! Et aujourd’hui pourquoi les gouvernements occidentaux ne décident pas de traiter massivement toute la population dont ils ont la responsabilité avec un comprimé d’ivermectine par semaine pendant deux semaines, alors l’épidémie disparaîtra mais encore une fois les laboratoires pharmaceutiques exerceront une pression (par la corruption) considérable sur les décideurs politiques pour ne surtout décider d’une telle mesure. Les pays africains se moquent des occidentaux, nous devrions avoir honte de nos gouvernants …
Note. Cette fin de semaine je vais me promener dans la nature. Il n’y aura donc pas de billet avant lundi prochain au soir.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/05/21/la-medecine-aujourdhui-une-histoire-de-pognon-de-dingue/
Méfiez-vous de la montée de la scamerica
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 20 MAI 2021 - 20H40
Rédigé par Roibert Wright via l'American Institute for Economic Research,
Les escroqueries, les fraudes, les flim flams et les grifts ne sont pas nouveaux en Amérique. En fait, les jeux de confiance étaient vieux chapeau lorsque Clifton Wooldridge a publié son classique de 1906, The Grafters of America: Who They Are and How They Work, qui décrit les inconvénients communs à fin de siècle à Chicago. La mort récente du tristement célèbre arnaqueur d'investissement Bernie Madoff devrait rappeler aux Américains que si cela semble trop beau pour être vrai, c'est probablement le cas.
Alors que l'Amérique sombre dans le désarroi politique, l'arnaque des autres augmente. La fraude par fil est endémique, tout comme l'usurpation d'identité des employés du gouvernement, apparemment parce que les Américains s'attendent maintenant à ce que les fonctionnaires du gouvernement les abordent pour de l'argent rapidement, au moins occasionnellement. Je me concentre ici sur un type d'arnaque beaucoup plus insidieux qui semble également être à la hausse, quelque chose que je qualifierai poliment de «travail de qualité inférieure», mais qui, dans une conversation informelle entre adultes, se traduit généralement par un mot fécal de quatre lettres suivi de "travail."
Une grande partie du travail insalubre effectué à travers le pays en ce moment est en fin de compte la faute du gouvernement, en particulier un ensemble de politiques apparemment délibérément conçues pour inciter les Américains à ne pas travailler: une indemnité de chômage supplémentaire; les grands systèmes scolaires restent virtuels jusqu'à l'automne; exigences de masquage des camps d'été bizarres. La première incite les personnes à faible revenu à rester en dehors du marché du travail et les deux dernières incitent les parents à réfléchir à deux ou trois fois avant de reprendre le travail.
En conséquence, de nombreuses entreprises généralement fiables ne trouvent pas de travailleurs, encore moins de bons. Robin Jones, directeur régional d'une grande chaîne de restauration rapide du Upper Midwest, m'a récemment dit qu'avril et mai de cette année avaient été le marché du travail le plus serré dont il se souvienne au cours de sa carrière de 43 ans dans la restauration, qui comprend des séjours en Arkansas. Missouri, Montana, Dakota du Sud, Tennessee, Texas et Wyoming. Son dos cède parce que son travail de bureau est devenu un rôle de travailleur de la ligne de secours dans la guerre des tacos bon marché. Bien qu'il fasse ce qu'il peut, il n'est qu'un homme. La pénurie extrême de travailleurs signifie des temps d'attente beaucoup plus longs que d'habitude et un service global de qualité inférieure.
RépondreSupprimerUn restaurant d'une station balnéaire du New Jersey a récemment acheté un robot appelé Peanut pour livrer de la nourriture aux clients. Il «peut ouvrir les portes de la cuisine, livrer les commandes aux tables et transporter la vaisselle lorsque tout le monde a fini de manger». Cela fonctionne jusqu'à ce qu'il tombe en panne et ne demande pas de pourboire.
La pénurie de main-d'œuvre ne se limite guère aux services de restauration. L'entreprise de piscine illustrée ci-dessous, par exemple, avait une bonne réputation jusqu'à récemment, lorsqu'elle a facturé 260 $ à un de mes amis pour retirer la couverture de sa piscine. Juste une couverture ordinaire. Des dollars américains, pas des dollars zimbabwéens. L’inflation est relativement élevée, mais elle n’est pas si élevée! Si l'entreprise avait ajouté du chlore soudainement très coûteux à la piscine, cela aurait peut-être été correct, mais il semble que les travailleurs étaient des novices inexpérimentés, déconcertés par de simples problèmes. Ils ont enlevé et rangé le couvercle avec succès (bravo!) Mais ne savaient pas comment faire pomper la pompe, se sont frustrés et sont partis. Mais ils ne voulaient pas parler à leur nouveau patron de leur échec pathétique, ils ont donc facturé le service complet d'ouverture du printemps même s'ils ne l'avaient pas fourni. Pas si intelligent.
Toutes sortes de simulations d'employés et d'aléa moral semblent être à la hausse parce que chaque travailleur à bas salaire sait qu'il peut être licencié un matin mais embauché ailleurs le même jour, généralement à un salaire plus élevé. Bien que des statistiques officielles complètes ne soient disponibles que jusqu'en 2019, il semble que le harcèlement sexuel et d'autres types de plaintes liées à l'emploi aient augmenté ces derniers temps. Une partie de l'augmentation est due à des lois et à une application plus strictes et à une plus grande sensibilisation aux problèmes de harcèlement au travail, mais d'autres peuvent être dues au fait que les employés espèrent un règlement rapide et lucratif, convaincus qu'ils seront en mesure de trouver du travail ailleurs même si leurs demandes sont jugées sans fondement. après enquête. Même les travailleurs à distance font pression sur des allégations de harcèlement. Les plaintes de harcèlement injustifiées sont simplement un type de chapardage plus sophistiqué que d'emporter des fournitures de bureau à domicile ou d'utiliser les salles Zoom à des fins personnelles, ce qui est également susceptible d'augmenter.
RépondreSupprimerContrairement à la société de pool malheureuse décrite ci-dessus, certaines sociétés surfacturent délibérément beaucoup de leurs clients de manière moins flagrante, dans l'espoir que beaucoup ne remarqueront pas ou ne prendront pas suffisamment soin de se plaindre. Lorsque certains demandent inévitablement des remboursements, ces entreprises bloquent le remboursement ou créditent simplement les clients sur la prochaine facture et finissent ainsi par obtenir des prêts gratuits. La banque d'investissement Morgan Stanley a reçu une fessée pour surfacturation en 2017, mais si l'inflation augmente les taux d'intérêt nominaux augmentera avec elle, ou si les prêts se resserrent en raison de diverses nouvelles réglementations bancaires en cours d'élaboration, davantage d'entreprises pourraient céder à la tentation de court terme bon marché. financement à terme par surfacturation.
Pourtant, d'autres entreprises avec des problèmes encore plus profonds repoussent les limites entre les pratiques commerciales pointues et la fraude pure et simple. Ils doivent réserver des affaires aujourd'hui ou faire faillite demain et ne sont donc pas préoccupés par les mauvaises critiques ou la publicité négative à court terme.
L'une de ces entreprises dont j'ai été personnellement victime récemment est un courtier de déménagement et de stockage à longue distance basé en Amérique. Une partie de mes biens a finalement fait le long voyage du Dakota du Sud à la côte est, mais le ramassage a eu deux semaines de retard, ce qui m'a coûté cher, et le dépôt a également été retardé plusieurs fois, ce qui a dérangé mon pauvre conjoint qui travaille dur. Peut-être qu'un peu de malchance était en fait impliqué, mais au cours du mois qu'il a fallu pour terminer le travail, le courtier en déménagement m'a dit plus de demi-vérités que Fauci n'en a sur Covid. Un initié de l'industrie m'a révélé son péché originel: quand ils obtiennent une note, je veux dire un client, au téléphone, ils prétendent avoir programmé un ramassage alors qu'en fait ils ont simplement estimé quand ils espèrent pouvoir vendre le contrat à un expéditeur long-courrier, qui est alors blâmé pour les retards inévitables.
Des augmentations importantes et inattendues des prix des intrants, de l'essence au bois, signifient que de nombreux entrepreneurs en construction sont également durement touchés. Ils veulent répercuter les coûts supplémentaires, de sorte que les propriétaires doivent faire attention à «l'art de la commande de changement», diverses excuses utilisées par les entrepreneurs pour augmenter le prix du contrat. Lorsque les propriétaires repoussent fortement les ordres de modification, l'entrepreneur peut ne pas se présenter du tout, ou effectuer des travaux de qualité inférieure / utiliser des matériaux de qualité inférieure, il est donc souvent préférable de négocier un nouveau prix ou de ne pas conclure de contrat jusqu'à ce qu'une certaine stabilité revienne.
RépondreSupprimerLa récente attaque de ransomware contre Colonial Pipeline est plus malveillante que le travail de qualité inférieure, mais l'auteur présumé, un groupe obscur appelé DarkSide, prétend être une entreprise qui incite ses «clients» à améliorer leurs protocoles de cybersécurité. Alors que le vecteur précis de l'infection par les ransomwares reste inconnu ou caché, les restrictions de Covid et / ou le marché du travail serré sont probablement la cause profonde de ce cluster colossal. Comme l'a souligné Peter C. Earle de l'AIER l'année dernière, les verrouillages rendent les pays plus vulnérables aux attaques et, comme les Texans glaciaux l'ont appris l'hiver dernier, ils sont également plus vulnérables aux chocs naturels.
L'immunité naturelle et les vaccins ont scotché Covid, du moins aux États-Unis Si seulement les Américains développaient des immunités contre un gouvernement excessif ! À l'heure actuelle, l'Oncle Sam est plus susceptible de vous poignarder dans le dos que d'avoir le dos. La scamerica sera de plus en plus frauduleuse jusqu'à ce que le gouvernement abandonne son masque paternaliste et permette à nouveau aux enfants d'être des enfants, que les employeurs emploient, que les innovateurs innovent, que les enseignants enseignent et que les travailleurs travaillent.
https://www.zerohedge.com/political/beware-rise-scamerica
Dès lors que l'on a connaissance que l''argent' se fabrique au clavier d'ordinateur et qui peut être attribué 50 milliards à n'importe qui, la différence évidente entre le mode passé est que les nouveaux 'milliardaires' FERMENT LEURS GUEULES ! Et, c'est ainsi que les voix se portent vers l'attributeur qui possèdent l'ordi-magique qui fait naître des milliards de zéros !
SupprimerLES GEEKS ONT-ILS LE SYNDROME DU CORDONNIER ?
RépondreSupprimerpar BENOÎT GRUNEMWALD
23/05/2021
90% des attaques de logiciels malveillants commencent par du phishing.
Les Geek sont-ils plus à mêmes de détecter des cyber-attaques ? Sont-ils plus que les autres en capacité d’échapper au hameçonnage et plus largement aux cybermalveillances qui chaque jour prolifèrent au sein de nos univers numériques ? Petit voyage au pays des cordonniers du Web qui, comme souvent, ne sont pas toujours les mieux chaussés…
Depuis 15 ans, la date du 25 mai est celle de la journée mondiale des Geek, en référence à la première projection de Star Wars en 1977. Journée sans revendication ni message clairement affiché, cette date permet surtout de rappeler de quelle manière la culture Geek est parvenue à s’imposer dans nos sociétés, mais aussi de voir dans de quelle manière cette communauté est armée face au (cyber)monde qui vient…
Le Geek est-il mieux protégé que ses parents ?
J’ai récemment eu l’opportunité d’échanger avec Micode. Ce youtubeur âgé de 20 ans est un véritable génie de l’informatique. Son credo : vulgariser le code mais également se pencher sur les failles des systèmes, comme il n’a notamment montré en piratant amicalement la webcam d’un de ses collègues, Amixem. Avec ses quelque 660 000 abonnés et des vidéos qui font parfois 1 million de vues, Micode me semble assez représentatif de ce qui se passe actuellement du côté de la communauté des jeunes informaticiens qui, pour la plupart, sont des autodidactes. Qu’ils soient ou non gamers ou « rôlistes » (amateurs de jeux de rôles), fans de Tolkien ou d’Heroic Fantasy, ces Geek plus ou moins revendiqués (certains refusent cette étiquette) commencent à prendre conscience des cyber risques qui les guettent.
C’est particulièrement le cas de Micode… mais son approche est-elle si répandue que cela ? Dans la plupart des cas, j’observe la chose suivante : nos informaticiens en herbe, aussi géniaux qu’ils soient – et ils le sont la plupart du temps – ont l’impression d’être suffisamment smart pour éviter une grande partie des pièges tendus par les cyber-criminels. Est-ce parce qu’on a monté son ordinateur soi-même que l’on est protégé contre le phishing (hameçonnage) ? Est-ce parce que l’on connaît son système, sa machine, ses logiciels et que l’on est sous Linux que l’on est en capacité de réagir en un quart de seconde lorsque l’on est la cible de cybercriminels ? La réponse, vous l’aurez compris, est contenue dans la question…
Quelques idées reçues à combattre
RépondreSupprimerEn l’espèce, les idées reçues peuvent avoir la peau dure. En voici quelques-unes. « Si tu sais un peu ce que tu fais, si tu n’as pas installé de logiciels piratés alors tu ne prends pas de risques » : voici pour la première. Une autre consiste à s’imaginer qu’en matière de sécurité un simple firewall suffit. Une troisième consiste à ne pas se méfier ni de son smartphone, ni de ses propres objets connectés…
Une brique ne suffit jamais à construire un mur : voilà l’image qui peut être donnée à de jeunes informaticiens qui accorderaient toute leur confiance à leur comportement ou leur seul antivirus. Un système de sécurité digne de ce nom est en réalité une chaîne, pour ne pas dire une suite. Elle mobilise un antivirus, un firewall ainsi que tout un ensemble d’éléments qui viennent le compléter, à l’image d’un gestionnaire de mots de passe ainsi que d’une protection pour smartphone et objets connectés. En l’espèce, toute vigilance doit être majeure. Oubliez la dimension « il faut faire un peu attention ». Les cybercriminels ont ces derniers mois franchi un cap. Ils agissent en bande organisée. Ils ciblent les personnes les plus faibles ainsi que celles qui seront le plus solvables. Car leur objectif n’est ni plus ni moins que de vous hameçonner afin de vous rançonner, ne l’oubliez jamais.
C’est d’ailleurs pour cette raison que les propriétaires de Mac ne sont finalement pas plus à l’abri que les utilisateurs de PC. Un rempart, le Mac ? Encore une idée reçue ! Les rapports de tendance qui sortent depuis quelque temps démontrent que si les Mac sont en effet moins impactés, les attaques sont spécifiquement mises en place pour passer les obstacles de l’OS. Dit autrement, la menace existe sous Mac mais sous des formes différentes. Et surtout, ne croyez pas que les fabricants eux-mêmes ont prévu des réponses à ces attaques par anticipation : ce n’est pas le cas car c’est tout simplement impossible. Regardez ce qui s’est passé avec le modèle X d’une Tesla il y a quelques mois : un chercheur en sécurité a réussi à passer toutes les barrières (code, ouverture de porte, démarrage) en quelques minutes et sans effraction… Personne n’est à l’abri.
Au marketing de la peur il est peut-être plus opportun de répondre par de la pédagogie. Celle-ci passe par une forme d’humilité qui consiste à considérer la réalité du terrain. Que vous soyez un simple usager ou au contraire un ingénieur informaticien expérimenté, sachez que vous êtes logés à la même enseigne : 99% des utilisateurs que nous sommes sont en capacité de détecter entre 1 et 2% du hameçonnage dont nous sommes les cibles. Un cadenas vert et un bon URL peuvent aisément être concoctés en utilisant un alphabet cyrillique. Tout le monde ou presque s’y fera piéger… sauf si l’on a pris en amont des précautions.
http://www.economiematin.fr/news-syndrome-cordonnier-securite-protection-data-grunemwald
ORDURES MÉNAGÈRES : FORTE HAUSSE DES TAXES EN 2021
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
21/05/2021
La TEOM avait déjà augmetné de 1,8 % en 2020.
Mauvaise nouvelle pour les Français, qu’ils soient propriétaires occupants ou locataires : ils vont payer plus cher le service d’enlèvement des ordures ménagères. Selon Les Echos, la hausse est conséquente, surtout dans les villes moyennes. Et la faute revient une fois encore (mais qu'en partie) à la Covid-19.
La TEOM et la REOM vont augmenter en 2021
Le cabinet FSL a réalisé une étude sur les diverses décisions des intercommunalités concernant la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM) et la Redevance d’Enlèvement des Ordures Ménagères (REOM). Les Echos a pu la consulter le 19 mai 2021 et en dévoile la teneur : les ordures vont coûter plus cher.
Les habitants des villes moyennes sont les principaux concernés : la hausse devrait être en moyenne de 2,3% pour les intercommunalités de 40.000 à 100.000 habitants… contre seulement +0,3% pour les grandes villes de plus de 100.000 habitants en moyenne.
Une hausse nécessaire : les coûts augmentent et les intercommunalités n’ont pas pu recevoir le complément de revenus lié à la vente du produit du recyclage, comme l’explique Nicolas Garnier, délégué général d'Amorce, une association de collectivités en charge des déchets, de l'eau et de l'énergie, dans les colonnes du quotidien.
Tous les ménages concernés car… les locataires la payent aussi
Contrairement aux augmentations de la taxe foncière, annoncées pour compenser la suppression de la taxe d’habitation, que ne payent que les propriétaires, l’augmentation de la taxe sur les ordures ménagères va concerner l’ensemble des ménages français.
Les locataires auront donc également la mauvaise surprise : si la TEOM et la REOM sont mentionnées dans l’avis de taxe foncière, reçu par le propriétaire bailleur, il s’agit-là de « charges récupérables ». Le propriétaire peut donc se faire rembourser de cette somme par son locataire… ce qui paraît logique puisque ce sont ses ordures qui sont enlevées.
http://www.economiematin.fr/news-taxe-ordure-menagere-2021-hausse-montant-locataire
Du glyphosate dans les écouvillons des tests Covid ?
RépondreSupprimer21 Mai 2021
par Seppi
Ludger Weß*
Les organisations environnementales et les politiciens écologistes hésitent encore à tester les écouvillons et masques Covid pour le glyphosate.
La campagne de vaccination de l'Allemagne est enfin en cours, mais le problème suivant fait son apparition : beaucoup de gens ne vont pas se faire vacciner. Ils ont appris des organisations environnementales, des politiciens et des médias à se méfier des régulateurs et des experts.
Entre-temps, il y a davantage de vaccins disponibles en Allemagne, mais malheureusement aussi de plus en plus de personnes qui ne veulent pas se faire vacciner. En Hesse, les bureaux de santé signalent jusqu'à 50 % de rendez-vous de vaccination annulés. Il existe des rapports similaires dans d'autres États fédéraux. On peut supposer que la majorité de ces personnes ne refusent pas la vaccination en principe, mais ont simplement peur du vaccin d'AstraZeneca. En conséquence, ils laissent tomber leur rendez-vous ou n'acceptent pas l'offre de vaccination.
Le problème ne fera que s'aggraver dans les mois à venir en ce qui concerne la vaccination des mineurs et des enfants. Il y a déjà des parents qui ne veulent même pas que leurs enfants soient testés. Cela dépasse l'entendement ; mais tous les parents qui ont peur de faire tester ou même (bientôt) vacciner leurs enfants contre le SARS-CoV-2 ne sont pas des contestataires. Ils manquent cruellement d'assurance et les pseudo-experts comme Bhakdi et Arvay (qui figurent tous deux sur la liste des best-sellers du Spiegel) ont la vie facile.
Il est facile de froncer le nez ou de lever les yeux au ciel devant des parents sceptiques, mais leur attitude est-elle vraiment si surprenante ? Peut-on reprocher aux parents de refuser les tests Covid ou les masques pour leurs enfants parce qu'ils ne veulent « aucun produit chimique » dans le nez et sur les muqueuses de leurs enfants ? Les activistes, les médias tels que le Spiegel, taz, Süddeutsche et même le radiodiffuseur public n'ont-ils pas continuellement mis en garde contre le « glyphosate cancérigène » dans les aliments, les aliments pour bébés, les produits d'hygiène, etc. au cours des dernières années ? N'est-il pas compréhensible que les parents aient peur des produits chimiques dans le nez de leurs enfants alors qu'on leur répète depuis des années dans des campagnes que les vêtements, les jouets et la nourriture des enfants sont « contaminés par des produits chimiques » et que même des traces de glyphosate, de plastifiants, de formaldéhyde, etc. sont capables de provoquer des allergies, des dommages neurologiques et des cancers ? Alors que toute l'année, des mises en garde sont lancées contre les « poisons des champs » présents dans les lièvres de Pâques, les saucisses grillées et les sapins de Noël, parce que les champs allemands sont « arrosés de pesticides » ? Quand on déclare qu'il y a un manque de volonté politique pour enquêter sur les conséquences dévastatrices du « cocktail chimique » auquel nos enfants sont constamment exposés ? Quand il est sous-entendu que les régulateurs ignorent les dangers et sont de mèche avec l'industrie ? Quand les limites de l'eau potable servent constamment d'étalon pour créer des scandales sur les traces de résidus ?
ZDF : « du glyphosate cancérigène dans les cotons-tiges »
RépondreSupprimerC'est la ZDF qui a mis en garde contre la présence de glyphosate dans les cotons-tiges – « à un niveau plus élevé que les limites existantes pour l'eau potable » ! Allégation suivie de la déclaration (fausse) : « L'Organisation Mondiale de la Santé a classé le glyphosate comme "probablement cancérigène". » Andreas Gies, de l'Agence Fédérale de l'Environnement avait alors abondé : « Il ne faut pas l'ignorer ». Et maintenant ? ZDF WISO et l'Agence Fédérale de l'Environnement ont-ils déjà examiné les écouvillons des tests Covid ? Le feront-ils encore ou cela sera-t-il considéré comme hérétique, cynique et « inutile » ?
Où est l'Umweltinstitut [institut de l'environnement] de Munich, qui, il y a peu, semait la panique à propos des « traces de glyphosate » et d'autres pesticides dans l'air que nous respirons ? Prévoit-il une analyse des résidus de pesticides dans les écouvillons des tests Covid, suivie de la déclaration habituelle selon laquelle « personne ne peut exclure que... » ; que par exemple, dans le cas d'une blessure due à une mauvaise utilisation, les résidus passent directement dans le sang ? Quels dommages à long terme la Deutsche Umwelthilfe [aide allemande à l'environnement] prévoit-elle en cas d'inhalation de résidus de produits chimiques ou de fibres à travers les masques ? Le risque n'augmente-t-il pas avec le cocktail chimique que les meubles et les fleurs coupées émettent ? Où est Greenpeace pour déplorer la présence de coton génétiquement modifié dans les écouvillons et exiger qu'ils soient étiquetés avec le signe d'avertissement de biosécurité ? Où est le test du masque effectué par le BUND [Bund für Umwelt und Naturschutz Deutschland – ligue pour l'environnement et la protection de la nature de l'Allemagne], une organisation qui, par ailleurs, recherche à chaque occasion des résidus d'huile minérale et d'autres polluants dans le papier d'emballage et les filtres à café ?
Et pourquoi faire confiance à la Commission Permanente pour les Vaccinations (STIKO), contre laquelle les Verts ont mené une campagne en 2008 et 2009 pour la discréditer en tant qu'organe de propagande dirigé par l'industrie, parce que le « parti de la science » rejette le vaccin contre le papillomavirus humain [VPH] pour la prévention du cancer du col de l'utérus : « Deux décès en Allemagne et en Autriche survenus en relation temporelle avec la vaccination contre le VPH ont été une raison suffisante pour que nous, les Verts de la commission de la santé du Bundestag, exigions un rapport du gouvernement fédéral ».
Dans la petite question du groupe parlementaire du 23 avril 2009, des questions typiques des contestataires ont été énumérées :
RépondreSupprimer« Quels examinateurs externes ont suivi ce rapport d'ETS [évaluation des technologies de la santé] ? Ces personnes sont ou étaient-elles liées aux fabricants de vaccins ? »
« Existe-t-il des recherches indépendantes des fabricants sur les effets indésirables neurologiques rares et les complications des vaccins en Allemagne ?
[...]
a) Dans quelle mesure y a-t-il des employés du ministère fédéral de la Santé qui ont été ou sont employés par des fabricants de vaccins ou qui sont liés d'une autre manière à ces derniers ? Dans quels départements ces employés travaillent-ils et quelles sont les tâches qui leur sont confiées ?
b) Dans quelle mesure des employés de l'Institut Paul Ehrlich ont-ils été ou sont-ils employés par des fabricants de vaccins ou ont-ils d'autres relations avec eux ? Dans quels départements ces employés travaillent-ils et quelles sont les tâches qui leur sont confiées ? »
Les Verts au niveau de l'AFD [Alternative für Deutschland, classée à l'extrême droite]
On n'oubliera pas la théorie du complot véhiculée dans la même question, selon laquelle l'attribution du prix Nobel 2008 au virologue allemand Harald zur Hausen n'était pas irréprochable : « Existe-t-il des indications que l'influence présumée de l'industrie pharmaceutique sur l'attribution du prix était destinée à des fins de marketing ? » Zur Hausen avait prouvé au début des années 1980 que les virus du papillome humain causaient le cancer du col de l'utérus et avait ainsi jeté les bases de la vaccination contre le VPH et le cancer du col de l'utérus.
Une mise en scène au moins aussi scabreuse et du niveau de l'AfD a été faite par les Verts avec la prétendue détection de glyphosate dans le lait maternel à l'été 2015. Au lieu de procéder à des vérifications minutieuses et de s'adresser à un laboratoire disposant d'une réelle expertise, le groupe parlementaire des Verts a fait réaliser une étude dans un laboratoire inadéquat avec des méthodes inadaptées ; il l'a immédiatement rendue publique (le communiqué de presse original et l'« étude » ont été retirés par les Verts de leur site web par précaution, mais sur la page Facebook, il y a encore des vestiges) pour annoncer une nouvelle choquante : que dans des échantillons de lait maternel, des quantités de glyphosate comprises entre 0,210 et 0,432 nanogrammes par millilitre de lait avaient été mesurées – alors que pour l'eau potable, ce n'est que 0,1 nanogramme qui est autorisé. L'étude s'est effondrée lorsqu'elle a été réexaminée par des laboratoires accrédités ; et le parti qui avait prétendu être si responsable (« en tant que groupe parlementaire au Bundestag, nous nous sommes longtemps demandé si nous devions tester le lait maternel pour le glyphosate et nous accommoder du risque de déstabiliser les mères qui allaitent, alors que le lait maternel est si important pour les bébés... ») a été contraint de présenter des excuses publiques. Mais l'incertitude avait été suscitée et l'affirmation selon laquelle le glyphosate peut être trouvé « dans la bière, l'urine et le lait maternel » circule toujours.
« ... sont-ils indépendants ? »
RépondreSupprimerMais l'incertitude des plus de 60 ans (qui ont grandi au rythme des avertissements du Club de Rome et des campagnes contre l'énergie nucléaire, le génie génétique et le dépérissement des forêts) est également compréhensible. Ils ont appris à se méfier par principe des autorités de régulation et des experts (dans le cas de l'énergie nucléaire, il était même de bon ton de ne pas être un expert), à les accuser d'être proches de l'industrie (« les portes tournantes ») ou d'être vénaux. Ils ont appris à supposer un parti pris (« toute personne qui s'y connaît et pense que c'est bien y a un intérêt personnel et/ou gagne son pain avec ») ou un optimisme aveugle quant au progrès, mais en tout cas une irresponsabilité et l'imprudence. La question habituelle des politiciens verts en matière de génie génétique ou de pesticides est la suivante : « Dans quelle mesure le BfR, l'EFSA, l'ECHA, la Commission Européenne, le Ministère de l'Agriculture, etc. sont-ils indépendants ? ». Et par défaut, le travail des forces secrètes de lobbying est présumé avoir été à l'œuvre dès qu'une expertise scientifique ne tourne pas comme le parti le souhaite. Le lobby pharmaceutique, chimique, du génie génétique ou de l'agriculture a alors été à la manœuvre et la question est murmurée : « À qui profite la nouvelle expertise ? »
Retournement de situation avec la pandémie
Dans la pandémie, ces mêmes régulateurs et experts sont soudainement considérés comme dignes de confiance par tous ces partis et organisations qui font un profit pécuniaire et politique avec le commerce de la peur : ils ont réalisé que leur propre clientèle serait en danger s'ils restaient sur la même stratégie.
Une situation similaire peut être observée en Suisse en ce moment : pendant des années, on a dit au public que l'agriculture biologique pouvait se passer de pesticides et d'engrais. Aujourd'hui, les agriculteurs biologiques et les Verts suisses élèvent la voix contre l'initiative sur l'eau potable, qui veut légiférer sur le renoncement à touts les pesticides et à tous les engrais. Selon l'initiative, les sels de cuivre, sans lesquels aucune ferme biologique ne peut exister, disparaîtraient également.
Rien ne discrédite plus ces partis et organisations clientélistes et les médias qui leur sont associés que de tels rebondissements. Mais les dégâts qu'ils ont causés sont importants. Il est devenu habituel en Europe, grâce à ces roulements de tambour, de ne voir avant tout que les risques des nouvelles technologies, de minimiser, rejeter ou déclarer superflus les bénéfices attendus (il suffit d'abolir l'agriculture industrielle, les inégalités, le capitalisme, et il n'y aura plus d'épidémies, plus de mauvaises récoltes, plus de faim, plus de maladies), et d'exiger le risque zéro. La gestion des risques est perçue comme une tentative répréhensible d'un lobby industriel d'imposer ses intérêts par la petite porte.
Aujourd'hui, pour la première fois, nous voyons le prix que la société paie pour cette vile politique clientéliste : le prix, ce sont des personnes mortes. De plus en plus chaque jour.
RépondreSupprimerhttps://seppi.over-blog.com/2021/05/du-glyphosate-dans-les-ecouvillons-des-tests-covid.html
DES MÉDECINS TÉMOIGNENT DEVANT LE SÉNAT DE L'ÉTAT DU TEXAS POUR S'OPPOSER À LA VACCINATION COVID OBLIGATOIRE, ET PLUS ENCORE
RépondreSupprimer*En espérant que la traduction de cette audition puisse atteindre un maximum de parents qui, à mon sens, devraient être très préoccupés concernant l'actuelle vaccination de leurs enfants et de leurs adolescents.
COMITÉ DU SÉNAT SUR LES AFFAIRES D'ÉTAT (11 mai 2021)
Voici la traduction (faite bénévolement par une abonnée de Conscience du peuple) de l’extrait à partir de 36:00…...
- ‘’Merci de m'accueillir, je m'appelle Dr. Angelina Farella et je suis pédiatre à Webster au Texas, médecin solo indépendant. Je suis venu ici aujourd'hui vraiment pour protéger nos enfants. Au Texas, c'est une situation très effrayante dans laquelle nous nous trouvons en ce moment. J’aimerais aborder quelques éléments historiques.
👉Jamais dans l'histoire, nous n'avons donné des médicaments qui n’étaient pas approuvés par la FDA à des personnes n’ayant pas été initialement étudiées dans le cadre des essais. Il n'y a eu aucun patient de l’essai âgé de moins de 18 ans. Il n'y a eu aucun patient de l'essai ayant été précédemment exposé ou ayant eu le covid. Deux points très importants.
L'autre questionnement est la sécurité, je suis une maniaque de la sécurité, je suis pédiatre, pédiatre depuis plus de 25 ans et je me considère comme experte en vaccins.
J'ai donné des dizaines de milliers de vaccins dans mon bureau, je ne suis pas une anti-vaccin. Je suis très pro-vaccin en fait, sauf en ce qui concerne ce vaccin contre la covid ... si on peut l'appeler ainsi.
L'un des gros problèmes est le profil de sécurité. Les recommandations au sujet de la sécurité et des effets indésirables faites par l'ACIP qui est l’Advisory Committee of the Immunization Practices (comité consultatif des pratiques de vaccination). Ils ont fait des recommandations au sujet des vaccins Covid-19. L'une des choses extrêmement troublantes se retrouve dans leur guide ACIP, pour le vaccin Pfizer en particulier. 👉Les recommandations à propos des effets secondaires et de la sécurité ont été publiées après autorisation. Après autorisation!
C'est un problème très effrayant. Nous devons découvrir les données sur la sécurité avant d’exposer nos patients à cela.
👉Actuellement nous autorisons les enfants de 16-17 ans à recevoir ce vaccin et ce groupe d’âge n’a jamais été étudié dans cet essai. En plus de ces jeunes, ils extrapolent les données des adultes aux enfants et adolescents.
Ceci n'est pas acceptable, les enfants ne sont pas de petits adultes, pas acceptable du tout
Les enfants ont une survie de 99,997% du covid, 99,99 7% permettez-moi de répéter cela pour que vous compreniez tous. Et il y a des preuves que les enfants sont en fait un tampon. Cela signifie que les enfants, pour une raison quelconque, ne propagent pas la maladie. Les enfants ne sont pas de super propagateurs, donc 👉ce que nous faisons à nos enfants en ce moment est en fait criminel. Nous les isolons, nous leur mettons des masques, ce qui est également cliniquement dangereux, nous leur disons
RépondreSupprimeraussi psychologiquement que s'ils ramènent le covid à la maison, ils vont tuer grand-mère et grand-père, oncle, maman et papa. C'est une situation horrible, horrible pour nos enfants.
Permettez-moi de revenir au vaccin contre le rotavirus de 1999. Je pratique depuis assez longtemps que je donnais le vaccin rotavirus en 1999. Il a été retiré du marché à l'époque à cause de 15 cas d'intussusception. L'intussusception est l'endroit où l'intestin se télescope sur lui-même. L'intussusception ne met pas nécessairement la vie en danger. Il se réduit parfois spontanément, mais 👉le vaccin contre le rotavirus a été retiré immédiatement et nous avons cessé de le donner à nos enfants.
👉Ce qui se produit avec le vaccin covid est pour moi épouvantable. Nous avons plus de 4000 morts et cette chose n'a pas encore été retirée. C'est absolument inacceptable. En plus de cela, vous savez, il y a quelques années, peut-être que certains d'entre vous ne comprennent pas que nous avons eu une pandémie de grippe en 2017 et qu'elle a tué 95000 américains. Et 95000 américains sont morts malgré le fait que nous ayons un traitement antiviral efficace et précoce contre la grippe.
Nous avons maintenant un traitement ambulatoire efficace précoce pour le covid, nous l'avons depuis longtemps.
En tant que pédiatre, je suis intervenu au Texas pour aider les adultes texans. Parce que les médecins de ma communauté ferment leurs portes, verrouillent leurs portes et refusent de soigner les patients. J'ai vu des centaines d'adultes actifs covid. J'ai également traité des problèmes post-vaccinaux chez les adultes. Encore une fois en intervenant je deviens très vulnérable car en tant que pédiatre ce n'est pas ma spécialité, mais j’ai des compétences avec les maladies infectieuses.
Je vois beaucoup de petits enfants, ce sont des boîtes de Pétri, la raison pour laquelle ils sont un tampon ‘’buffer’’ c'est exactement pour ça. Ils ont quelque chose qui s'appelle un thymus, le thymus aide à l'immunité des cellules T. C'est donc un autre point à comprendre pour vous. Merci de m'avoir permis de parler.’’
RépondreSupprimer- ‘’Docteur merci. Sir Lucio a une question pour vous…’’
- ‘’Vous avez déclaré que des personnes sont décédées à cause de l’influenza. Quel pourcentage de ces personnes avait eu des effets ... ces personnes décédées avaient-elles pris des médicaments ?’’
- ‘’C'est une question très intéressante, car la façon dont l’influenza est enregistrée n'est pas une maladie à déclaration obligatoire dans certains comtés et États. Les chiffres nationaux fournis par le CDC sont donc des estimations, mais nous savons qu'ils sont disponibles.’’
- ‘’Je comprends cela, mais vous m'avez laissé croire qu'ils étaient morts même s'il y avait de la disponibilité pour ces médicaments. Mais vous m'avez amené à croire avec votre présentation qu'ils étaient morts même si certains d'entre eux en avaient pris.’’
- ‘’Je suis certaine que certains en ont pris. Oui, il y a des personnes à risque pour lesquelles nous ne pouvons pas faire grand-chose.’’
- ‘’Mais il n'y a pas de statistiques ou quoi que ce soit ?’’
- ‘’Exact’’
- ‘’Êtes-vous ici pour témoigner pour vous-même ou pour votre profession en tant que pédiatre de Texas?’’
- ‘’Moi-même’’
- ‘’Vous-même, ok merci’’
- ‘’Autre question pour le témoin? Sénateur Hall…’’
- ‘’D’après votre expérience, vous avez parlé de remonter à 1999 ou peut-être avant. 👉Y-a-t-il eu un autre vaccin qui présentait autant d'incidents, d’hospitalisations graves et de décès que ce vaccin le démontre maintenant ?’’
👉- ‘’Pas à ce point là, absolument pas! Pas même proche !’’
- ‘’N’importe quel autre vaccin aurait-il été retiré du marché ?’’
- ‘’Absolument, il aurait probablement été retiré dès les premiers incidents, comme nous l'avons vu dans le passé.’’
👉- ‘’Avez-vous déjà vu un autre vaccin être mis à la disposition du public, sans être préalablement testé sur les animaux ?’’
- ‘’Jamais auparavant, spécialement pour les enfants.’’
- ‘’D’après ce que j’ai lu, ils ont commencé les tests sur les animaux et parce que les animaux étaient en train de mourir, ils ont arrêté les tests. [Référence dans les commentaires]. Je pense qu'il est important de comprendre ici que ce dont nous parlons, c'est que 👉 les Américains sont maintenant des cobayes. C'est un programme test qui est en cours. Ils n'ont pas fait les tests sur les humains et ils ont arrêté les tests sur les animaux parce que les animaux étaient en train de mourir [Référence dans les commentaires] et ensuite ils l'ont rendu public.
RépondreSupprimer-"Et nous constatons maintenant que des entreprises veulent exiger que ce vaccin expérimental soit administré aux gens comme une condition de leur emploi. 👉Pourtant, nous avons ce nombre de morts qui continue d'augmenter et qui est totalement ignoré. Alors êtes-vous d'accord avec ce que je viens de dire ?’’
- ‘’Absolument.’’
- ‘’Merci beaucoup. Je vous apprécie et j’apprécie votre travail.’’
- ‘’Merci sénateur Hall. Sénateur Lucio…
- ‘’Question pour le sénateur Hall. C'est une déclaration assez forte que vous avez fait, avez-vous des données que nous pouvons regarder pour voir ce qui s'est passé ?’’
- C'est sûr le site internet de… [inaudible]]’’
- ‘’Pourriez-vous nous diriger vers ce site Web ? Je voudrais voir ça.’’
- ‘’Oui je vais vous le trouver’’.
- ‘’J'aimerais voir combien ils ont testé et qu’en fait ils ont arrêté de tester parce que les animaux étaient en train de mourir.’’
- Ok je vais chercher ça pour vous.’’
https://rumble.com/vgw2x9-doctors-testify-before-texas-state-senate-to-oppose-mandatory-covid-s-plus-.html
Pr Luc Montagnier : « Les variants viennent des vaccinations »
RépondreSupprimerEgalité et Réconciliation
jeu., 13 mai 2021 14:17 UTC
Le grand scientifique Luc Montagnier expose les dangers de la vaccination qui fait croire qu'elle lutte contre la pandémie. Or, c'est le contraire, elle la nourrit ! De plus, le virus variant résiste à la vaccination : « les nouveaux variants sont créés par la sélection des anticorps produits par la vaccination ».
« C'est une énorme erreur, c'est une erreur scientifique et une faute médicale inexplicable, l'histoire fera le bilan un jour de tout ça, car c'est effectivement la vaccination qui a créé le variant. »
- voir clip sur site :
https://fr.sott.net/article/37224-Pr-Luc-Montagnier-Les-variants-viennent-des-vaccinations
Un professeur chinois dit que les États-Unis ont été vaincus en 2020 «dans une guerre biologique»
RépondreSupprimerMay 21st, 2021
Se vanter, si tôt ? Ce genre de discours ne fera pas plaisir:
Les commentaires ont été faits par Chen Ping, chercheur principal à l'Institut chinois de l'Université de Fudan, un groupe de réflexion affilié au PCC et professeur à l'Université de Pékin.
La vidéo, qui est apparue en ligne récemment, a été traduite par la blogueuse chinoise new-yorkaise Jennifer Zeng:
- voir clip sur site -
Notez la mise en garde. Le professeur Ping dit que la guerre biologique a été lancée contre la Chine.
Ping déclare dans la vidéo que «En 2020, la Chine a gagné la guerre commerciale, la guerre scientifique et technologique, et en particulier la guerre biologique.»
… «Le modèle occidental a échoué, la civilisation maritime de 500 ans est vouée à l'échec, le PCC a gagné et« ouvrira la voie à la modernisation dans la nouvelle ère après la révolution de la biologie »après la pandémie de 2020 CCPVirus (COVID19).»
La réalisation est sans précédent. Il s'agit d'un record historique historique », poursuit-il, ajoutant:« Donc, pour le culte libéral adorateur des États-Unis en Chine, leur adoration des États-Unis est en fait infondée.
Quand l'Occident trouvera-t-il ses marques et cessera-t-il de se haïr ?
En parlant de guerre biologique:
Il y a des fruits du plan des 1000 talents chinois: Song Guo Zheng faisait partie d'une équipe collectant 4 millions de dollars du NIH américain alors qu'il tirait également des fonds de la Fondation nationale chinoise des sciences naturelles - ce qu'il a omis de mentionner. Il a été surpris en train d'essayer de s'envoler pour la Chine avec des valises remplies d'ordinateurs portables, de clés USB, d'argenterie et de paperasse pour ce qui ressemblait à une «nouvelle vie».
14 mai 2021: Un ancien professeur de l'Université d'État de l'Ohio, réputé pour ses travaux de recherche, a été condamné à 37 mois de prison après avoir admis qu'il n'avait pas révélé ses affiliations à la Chine lors de l'obtention de subventions fédérales pour la recherche médicale.
Song Guo Zheng, 58 ans, de Hilliard, devra également restituer 3,4 millions de dollars aux National Institutes of Health et près de 414000 dollars à l'État de l'Ohio en vertu d'une condamnation annoncée vendredi par le juge en chef du district américain Algenon L. Marbley.
Le procureur américain par intérim Vipal J.Patel a déclaré dans une déclaration publiée. "Voler, c'est voler, mais voler à la demande d'un gouvernement étranger pour voler les innovations et la technologie de notre pays amène les choses à un niveau nouveau et bien pire."
RépondreSupprimerPendant ce temps, les Seychelles, déjà vaccinées à 60 %, reçoivent leur première vague d'infections à Covid. Deux vaccins ont été utilisés, le vaccin chinois Sinopharm et une version indienne d'AstraZenica. Alors que d’autres vaccins peuvent avoir une efficacité plus élevée, cela nous rappelle que les vaccins ne nous sauveront pas facilement d’une pandémie en mutation, qui est une maladie qui se propage en grappes à partir d’une famille de virus qui ne semble pas créer d’immunité durable. Aux Seychelles, les personnes vaccinées ont été infectées à environ la moitié du taux des personnes non vaccinées. On nous dit qu’ils ont moins de chances d’être hospitalisés, ce qui est bien. Mais ils peuvent encore infecter d'autres, et nous risquons la terrible fuite immunitaire qui pourrait conduire à des mutants plus méchants, ainsi qu'à d'autres effets secondaires tels que l'amélioration dépendante des anticorps et le péché antigénique original qui pourraient tous deux mal orienter nos réponses immunitaires afin que nous devenions une maladie plus grave.
Les antiviraux pourraient changer tout cela, mais ils sont trop bon marché, et hors brevet, pour que Big Pharma puisse en profiter, donc interdits dans les «marchés riches» mais utilisés dans le tiers monde. Pour dénoncer ce scandale, où sont nos universités financées par des fonds publics? Pour quoi les payons-nous exactement ?
h / t Charles M, Lance, David.
- voir graphique sur site -
Worldmeter, infections Covid. Les Seychelles.
Worldomètre
Un tiers des personnes infectées avaient reçu deux doses, de sorte que les vaccins sont peut-être 50 % efficaces pour arrêter les infections:
Environ 37 % des cas positifs de la semaine au 8 mai avaient été entièrement vaccinés, a déclaré le gouvernement, bien qu'il n'ait pas publié de données sur les vaccins qu'ils ont reçus.
Notez l'explication:
On ne sait pas ce qui a conduit à la propagation, bien que Sylvestre Radegonde, le ministre des Affaires étrangères et du Tourisme, ait déclaré que le virus était probablement dans le pays depuis le début et s’était propagé car la vaccination rendait les gens plus complaisants. L'amélioration de la recherche des contacts et des tests a également aidé les autorités à détecter davantage de cas.
https://joannenova.com.au/2021/05/chinese-prof-says-us-was-defeated-in-2020-in-a-biological-war/#more-77682
ClimateStrike: Les plus anciens manifestants de masse toujours prêts à «faire grève» pour le changement climatique sont les enfants
RépondreSupprimerMay 21st, 2021
Est-ce que l'un d'entre eux a même abandonné son argent de poche cette semaine ?
Lorsque vous ne pouvez pas convaincre les adultes et les vrais électeurs de marcher en masse ou de perdre leur salaire dans une grève réelle, les seuls manifestants qui restent sont les enfants - le «Rent-a-crowd» le moins cher.
Y a-t-il un public plus facile à trouver un jour de semaine que les écoliers ont dit qu'ils peuvent sauter l'école pour une promenade dans le parc ? Il y a 4 millions d'élèves dans les écoles en Australie, et moins de 0,5 % sont peut-être arrivés aujourd'hui.
#ClimateStrike: Pourquoi ne pas laisser les enfants de dix ans définir la politique énergétique nationale ?.
Qu'est-ce que ces étudiants apprennent ?
ClimateStrike
Gestion avancée du réseau ?
Nous savons tous pourquoi ils n'organisent pas ces manifestations ce week-end:
Enfants manifestants, Australie, changement climatique.
- voir photo sur site -
Ces élèves apprennent que les personnes âgées sont égoïstes et stupides, et que les 80 ans ne réalisent pas qu ’« il n’ya pas de planète libre ». Apprenons-leur l’humilité et l’histoire et pourquoi les autocrates utilisent toujours les enfants pour vendre leurs programmes.
Les clichés capricieux font de jolis moments télévisés tant que les journalistes ne posent pas de questions difficiles. Mais ils ne résolvent pas les coûts de maintenance élevés liés à la collecte d’énergie à faible densité sur de vastes kilomètres carrés de nature sauvage.
Apprenons à nos enfants ce que l’inertie et 50 Hz signifient à la place, et pourquoi les énergies renouvelables intermittentes ne peuvent pas non plus fournir. Faites-leur faire des visites de centrales au charbon gérées par de vrais ingénieurs. Utilisons le financement du gouvernement pour créer des jeux informatiques où les étudiants doivent concevoir des réseaux électriques nationaux avec des coûts réels (et non des subventions). Laissez-les découvrir comment atteindre le «zéro net» sur un réseau de 10 GW, lorsque chaque panne de système coûte un milliard de dollars, que le stockage de la batterie dure 3 minutes et que le carburant ne représente qu'une infime partie de la facture totale.
Il n'y a toujours aucune preuve que le gaz carbonique provoquera une catastrophe.
https://joannenova.com.au/2021/05/childrens-climatestrike-the-oldest-mass-protestors-still-willing-to-strike-for-climate-change-in-australia/
Réveil vert à la californienne de l'Amérique
RépondreSupprimerPar Larry Bell
20 mai 2021
Le vieil adage selon lequel «comme la Californie va, ainsi va la nation» n'a jamais été aussi vrai maintenant que des chargements de wagons d'entreprises et de familles californiennes se dirigent vers le Texas et d'autres États rouges (R).
Reflétant des caravanes «d'immigrants sans papiers» qui s'écrasent à travers la frontière sud de l'Amérique maintenant ouverte pour échapper à des régimes appauvris de manière oppressive, ces migrations massives de fuite de l'État bleu (D) et d'autres se produisent pour des raisons similaires dans le pays - les réfugiés fiscaux et réglementaires de New York fuyant vers les opportunités du marché libre en Floride (R), par exemple.
Cette tendance sera accélérée par l'adoption de nouvelles politiques d'administration de Biden qui appliquent le modèle californien défaillant partout.
Comme un article principal du 1er avril dans le journal Capitol Hill, The Hill, a rapporté: «La Maison Blanche fait pression sur un projet de loi sur les infrastructures qui transforme efficacement la relation entre le gouvernement et le secteur privé, apportant des changements radicaux aux secteurs clés de l'économie.
L'article a averti que le plan «pourrait remodeler la discussion sur le capitalisme car il semble rétablir le gouvernement fédéral en tant que principal moteur de la croissance et du fonctionnement de l'économie ... il redéfinirait les projets d'infrastructure classiques pour inclure les investissements dans les travailleurs et les familles payés par Hausse de taxe."
Une pièce maîtresse de ce programme est un cadre de divulgation complet de la Commission des valeurs mobilières environnementale, sociale et de gouvernance (ESG) qui exigera des entreprises qu'elles se conforment aux normes de diversité de la main-d'œuvre réveillée et aux normes législatives environnementales de «justice environnementale» prescrites par le gouvernement.
Comme l'a déclaré la présidente par intérim de la Commission de la SEC, Allison Herren Lee, «le climat et l'ESG sont au cœur de la SEC.»
Cette portée excessive du gouvernement est soutenue par une législation proposée par des militants socialistes de premier plan, notamment Bernie Sanders, Elizabeth Warren, AOC et d'autres membres du Congrès contrôlé par les démocrates.
RépondreSupprimerUne telle «transformation radicale» de l’ensemble de l’économie américaine ne sera ni indolore ni bon marché.
Le président Biden n'a pas perdu de temps à mettre en œuvre ce programme avec une guerre contre les combustibles fossiles.
Au cours de sa première journée au bureau ovale, Biden a émis des décrets pour plafonner le pipeline Keystone XL et interdire la fracturation hydraulique sur les terres et les eaux publiques qui représentent 25 % du pétrole et environ 10 % de la production de gaz naturel.
Le plan «d'infrastructure» proposé par les démocrates de 2,3 billions de dollars - un Green New Deal rebaptisé et bien plus encore - coûtera aux ménages américains 1 400 $ chaque année. Quelque 180 milliards de dollars de cet argent seraient dépensés chaque année pour mettre fin à une soi-disant «crise climatique».
Cependant, lorsqu'on lui a demandé dans un sondage 2020 de l'American Energy Alliance combien les répondants seraient prêts à payer chaque année pour lutter contre le changement climatique, «la réponse médiane (qui avait tendance à atteindre 50 dollars depuis plusieurs années) était de 20 dollars, avec 32 % de répondants ayant répondu «zéro». »
Selon le plan, des centaines de milliards de dollars de crédits d'impôt remboursables supplémentaires seront fournis pour les énergies renouvelables (imaginez l'arnaque Solyndra de l'administration Obama-Biden sur les stéroïdes), ce qui augmentera considérablement les taxes sur les producteurs de pétrole et de gaz qui dépendent de cette fracturation. a finalement rendu l'Amérique indépendante de l'énergie.
L'administration Biden et le Congrès dirigé par les démocrates prévoient désormais d'imposer des réglementations environnementales nationales, dont beaucoup dépassent même celles de la Californie «réveillée».
Dans le cadre de ce programme de réglementation, avec l'EPA, chaque agence fédérale devient un organisme de réglementation du climat: la SEC imposera les investissements liés au climat; le Département du Trésor demandera aux banques d'intégrer la réduction des émissions de carbone dans les portefeuilles de prêts; le ministère de l'Agriculture sera habilité à réduire les émissions grâce à une politique agricole et forestière; et chaque agence fédérale aura soudainement un portefeuille énergétique.
RépondreSupprimerChaque État obtiendrait un objectif de zéro émission qu’ils appliqueraient par le biais d’une taxe sur le carbone ou d’un plafonnement et d’échange… tout comme l’Air Resources Board (CARB) de Californie l’a fait en 2006.
En outre, le CARB a reçu le pouvoir de vérifier en blanc pour imposer des véhicules à zéro émission, créer une norme de carburant à faible émission de carbone et prendre des mesures pour interdire la vente d'automobiles à moteur à combustion interne en 2035 - le tout sans autorisation spécifique de la législature.
Suivant l'exemple de la Californie, attendez-vous à ce que l'administration Biden interdise l'utilisation du gaz naturel dans les maisons et les bâtiments commerciaux pour atteindre un objectif imaginaire consistant à utiliser une énergie 100 % renouvelable d'ici 2045.
Pour un aperçu des attractions à venir, rappelez-vous les réductions de combustibles fossiles lorsque les pannes d'électricité en soirée qui ont frappé les villes et les villages de Californie lors d'une vague de chaleur à la mi-août 2020 ont offert un aperçu des conséquences désastreuses sur lesquelles nous pouvons absolument compter avec la promulgation de plans démocrates.
Dans des circonstances «typiques», la Californie s'était historiquement fortement appuyée, lors de pénuries, sur l'électricité importée des États voisins ainsi que sur des centrales alimentées au gaz naturel capables de démarrer rapidement en cas de besoin. Cette fois, cependant, les États occidentaux voisins ont également constaté une augmentation de leur utilisation en raison de la chaleur extrême, avec moins d'électricité excédentaire à épargner.
Rappelez-vous également en février dernier, lorsqu'un grand gel du Texas a envoyé un message très effrayant au reste de la nation sur ce que vous attendez de votre vie avec les efforts des démocrates radicaux pour sauver la planète de la surchauffe. Une explosion inhabituelle dans l'Arctique s'est propagée à travers l'État de la pointe de la Panhandle jusqu'à la vallée du Rio Grande qui a gelé des éoliennes, entravé des dizaines d'opérations de centrales électriques et laissé des millions de foyers et d'entreprises ici sans électricité.
Ce n’est pas censé être la Californie, après tout, où la dépendance excessive à l’énergie éolienne et solaire a déstabilisé le réseau pendant la vague de chaleur de 2020.
Hé vous tous… c'est le Texas, une terre de mecs beaucoup plus avertis dans un État réputé à juste titre pour être inondé d'énormes ressources de pétrole et de gaz naturel.
Le Texas n'est pas un endroit où nous, qui vivons ici, nous inquiétons habituellement de mourir de froid en raison d'un manque d'énergie fossile et nucléaire fiable pour chauffer nos maisons ... contrairement aux latitudes nordiques qui deviennent régulièrement très froides avec des lignes électriques givrées en panne.
Alors, en plus des températures record de «crise climatique», qu'est-il arrivé pour changer cela ?
Je suppose que nous, les Texans, nous nous sommes un peu trop réveillés aussi.
This article originally appeared at Newsmax
https://www.cfact.org/2021/05/20/americas-california-style-green-awokening/
« Êtes-vous le descendant d’un propriétaire d’esclaves ? » : une étude navrante
RépondreSupprimerTant que les sciences sociales ne sortiront pas de leurs ornières idéologiques pour ne s’intéresser aux faits et rien qu’aux faits, les débats essentiels n’auront jamais lieu.
22 MAI 2021
Par Elie Blanc.
Dans la grande clairvoyance qui caractérise actuellement la recherche en sciences sociales, le CNRS a récemment publié une étude qui permet de retracer les propriétaires d’esclaves ayant reçu une indemnité de l’État après son abolition, et donc de savoir si vous êtes le descendant d’un propriétaire d’esclave.
La démarche de cette étude, dans la continuité de celles qui évaluent le « coût de la virilité », interroge particulièrement. On se demande en effet quel est le but de telles recherches, si ce n’est pointer encore et toujours les mêmes coupables, à savoir les hommes blancs cis de plus de 50 ans.
Même s’il faut louer l’honnêteté de l’étude, qui précise que 30 % des propriétaires d’esclaves étaient de couleur, nul doute que politiquement elle ne servira qu’à alimenter les discours décoloniaux qui militent pour une repentance éternelle de la part des Blancs.
Ces études navrantes ne sont pas sans rappeler un épisode de la série satirique South Park, où les personnages blancs font des tests génétiques pour retrouver de lointains ancêtres victimes de massacres et pouvoir passer du statut de coupable à celui d’opprimé par le système.
Il est véritablement affligeant que ce qui nous semblait à l’époque n’être qu’une grossière caricature décrive aujourd’hui l’évolution de la société française.
Le danger de telles études, c’est qu’elles alimentent des discours proposant une vision manichéenne de l’Histoire et nourrissent un sentiment (légitime) d’acharnement pour une partie de la population, et qui risque in fine de provoquer un violent conflit.
Lorsqu’en 1919 les vainqueurs de la Première Guerre mondiale ont érigé l’Allemagne en unique responsable de la guerre avec le traité de Versailles, on a justifié l’exigence de réparations et un traitement humiliant à son égard. Inévitablement, un profond désir de vengeance a grandi chez un grand nombre d’Allemands qui ont vu dans le fascisme un moyen d’assouvir ce désir.
Un tel scénario n’est pas à exclure en France.
Mais ces mêmes personnes qui tiennent ce discours woke ne semblent pas faire le lien entre leurs propos clivants et la tribune de militaires qui disent vouloir défendre les valeurs civilisationnelles françaises.
Est-il pourtant vraiment surprenant qu’un nombre croissant de personnes ne supportent plus d’être considérées comme coupables pour avoir eu le simple tort de naître homme ou blanc, ou d’avoir eu des ancêtres ayant pratiqué l’esclavage ?
RépondreSupprimerEst-ce vraiment si radical de croire que chaque individu ne devrait-être jugé que selon les actes qu’il a commis, indépendamment de sa couleur de peau ou des actions de ses ancêtres ?
UN OBSCURANTISME SCLÉROSANT…
Outre l’aspect politique, le fait qu’une partie non négligeable de la recherche semble si engagée sur ces questions interroge sur sa capacité à éclairer le débat public.
Comment certains chercheurs français peuvent-ils dans le même temps publier des études comme celle-ci, proclamer que le racisme anti-blanc n’existe pas, nier les différences hommes/femmes en dépit de la réalité scientifique, et s’indigner lorsque certains dénoncent l’islamo-gauchisme ou pointent simplement le manque d’objectivité qui gangrène une partie du milieu universitaire ?
Chaque fois qu’une critique est émise, aucune argumentation n’est fournie puisque le débat est balayé par une réponse bien pratique : « c’est un discours d’extrême droite ». Sauf que cette stratégie semble aujourd’hui connaître certaines limites.
Selon le désormais célèbre sociologue Éric Fassin, dire que « sale Blanc » est une insulte raciste est alimenter un discours d’extrême droite. Quel niveau d’aveuglement idéologique faut-il atteindre pour croire que nommer les choses par leur nom revient à tenir un discours d’extrême droite ?
Ces universitaires persistent pourtant : l’université est impartiale dans ses recherches et toutes les critiques qui lui sont adressées rappellent les méthodes nazies.
Mais si tel est le cas, comment expliquer que les rares étudiants n’adhérant pas à la pensée dominante dans les facultés de sociologie se fassent virer ? Pourquoi la contradiction est-elle devenue si insupportable dans les IEP que les syndicats étudiants tentent de terroriser ceux qui émettent des avis divergents ? Pourquoi le magazine Alternatives économiques est-il si souvent le seul recommandé aux étudiants, alors qu’il est ouvertement post-keynésien et que son manque de rigueur scientifique est décrié par nos chercheurs les plus sérieux ? Pourquoi continuer d’ouvrir des masters en gender studies, quand même Slate reconnaît implicitement que la théorie du genre ne résiste pas à l’épreuve des faits ?
Ces universités et chercheurs parviendront-ils un jour à comprendre que toute contradiction n’est pas nécessairement le fruit d’une chasse aux sorcières menée par l’extrême droite mais la condition indispensable pour que la recherche en sciences humaines conserve un minimum de crédibilité ?
Ces critiques ne sont pourtant pas nouvelles en sciences sociales.
RépondreSupprimerEn 2017, Pierre Cahuc et André Zylberberg publiaient Le négationnisme économique et comment s’en débarrasser. Cette dénonciation du manque de rigueur scientifique et d’objectivité dans l’enseignement et la recherche en économie en France suivait celle de Jean Tirole, qui dénonçait en 2014 les pratiques des « économistes atterrés ».
À l’époque déjà cela avait fait scandale et les économistes visés avaient rejeté en bloc toutes les critiques qui leur étaient adressées. Bien évidemment, cela n’a rien changé à la visibilité qui leur est accordée dans les médias, les économistes atterrés bénéficient toujours du même crédit quand il s’agit de nous expliquer que la dette publique n’est pas du tout préoccupante puisque les taux d’intérêts resteront toujours bas (oups, il semblerait qu’en fait ils remontent) ou que la décroissance est une solution viable.
Contrairement à ce que les données sur la mondialisation nous apprennent, Thomas Piketty continue de nous rabâcher que les inégalités explosent (en se concentrant sur 0,01 % de la population mondiale plutôt que les 99,99 % restants), et on lui a même permis de sortir un film pour bien faire entrer ses idées dans la tête des gens.
QUI CONDAMNE CEUX QU’IL PRÉTEND PROTÉGER
Si sur le plan académique et intellectuel, ces constats sont désolants, c’est surtout concrètement, dans la vie des Français que les effets sont les plus dramatiques.
Car si les questions sur le « racisme systémique » ou le patriarcat intéressent surtout ceux qui n’ont jamais connu la nécessité, les plus démunis se demandent comment trouver un emploi et proposer un meilleur avenir à leurs enfants.
Malheureusement, en faisant croire aux minorités qu’elles sont les victimes du racisme systémique ou d’un capitalisme sans cœur, on s’embourbe dans des débats stériles et on empêche la mise en place de réformes structurelles qui amélioreraient la situation de tous, peu importe leur couleur de peau ou leur sexe. Parce qu’on leur fait croire que la France s’enfonce toujours plus dans le racisme et le néo-libéralisme, les Français réclament toujours plus d’État, de dépense publique et de redistribution, enfermant les plus fragiles dans le piège du chômage et de la misère.
Cyniquement, ce sont précisément ces effets qui sont dénoncés comme des défaillances de marché et qui servent de prétexte à l’intervention de l’État. La maladie est présentée comme le remède, enclenchant un cercle vicieux dont il est difficile de sortir.
Pourquoi s’entêter dans cet aveuglement idéologique, alors que nous pourrions nous inspirer des modèles qui ont fonctionné, comme en Estonie ? Après l’effondrement du bloc soviétique, ce petit pays a pris un virage à 180 degrés et a mis en œuvre des réformes simples : décentralisation, diminution du poids de l’État, simplification et numérisation des démarches administratives, réforme du système scolaire…
En bref, l’exact opposé de ce qui est proposé en France depuis 70 ans. Sur le long terme, les résultats estoniens sont incontestables : la pauvreté n’a fait que reculer, la croissance est durable et soutenue et le pays truste les premières places du classement Pisa.
RépondreSupprimerTant que les sciences sociales ne sortiront pas de leurs ornières idéologiques pour ne s’intéresser aux faits et rien qu’aux faits, les débats essentiels n’auront jamais lieu et de tels progrès ne seront jamais possibles en France. Et tant pis pour ceux qui en font les frais.
https://www.contrepoints.org/2021/05/22/397854-etes-vous-le-descendant-dun-proprietaire-desclaves-une-etude-navrante
Premièrement, les européens qui sont retournés chez leurs ancêtres n'ont PAS apporté l'esclavagisme en Afrique parce qu'il y était déjà là depuis des siècles. Effectivement, les premiers résidents africains étaient blancs, (les africains ont conservé l'intérieur de leurs mains blanches) mais, comme le soleil y brille toute l'année, ils sont forcés d'être bronzés toute l'année. Ainsi, cette coloration sur les femmes et hommes nus perdura et fit peu à peu partie des gênes.
SupprimerDeuxièmement, l'esclavagisme à toujours existé en Europe depuis des millénaires et, il faut reconnaître que l'île de la Martinique comptait plus d'esclaves BLANCS que d'esclaves BRONZÉS ! C'est là une particularité que les racistes n'osent émettre.
Troisièmement, nous sommes tous sur Terre descendants d'être humains à la peau blanche et, comme l'esclavagisme à toujours existé, descendant donc aussi d'esclavagistes. Mais qu'importe ce que nos ancêtres aient pu faire, NOUS NE SOMMES PAS RESPONSABLES !
Notre prospérité s’est-elle bâtie sur le pillage des colonies ?
RépondreSupprimerL’histoire économique montre que les pays développés ne doivent pas leur prospérité à la colonisation mais que celle-ci a été un jeu à somme négative que récusaient les partisans du libéralisme économique.
22 MAI 2021
Par Pierre Robert.
Cette question cruciale est à nouveau au cœur du débat public avec pour beaucoup la conviction que la colonisation a été un facteur décisif de l’enrichissement de l’Occident qui de ce fait doit réparation aux peuples anciennement colonisés.
UN MYTHE DÉNONCÉ PAR L’HISTOIRE ÉCONOMIQUE
Pour y voir plus clair il n’est pas inutile de se référer aux travaux des historiens de l’économie et en particulier à ceux de Paul Bairoch, qui font autorité. Dans Mythes et Paradoxes de l’Histoire Économique (1994), il établit clairement que les pays développés sont parvenus à un très haut niveau d’industrialisation grâce aux matières premières locales.
Ce n’est qu’à partir de 1955 que la dépendance de l’Occident à l’égard du tiers-monde pour les ressources minérales et énergétiques devint une réalité. Les matières premières du tiers monde n’ont donc pas été indispensables à l’industrialisation occidentale.
De son étude, il ressort aussi que le colonialisme n’a eu qu’un faible impact au premier stade de la révolution industrielle. En Angleterre il n’a pas contribué de manière significative au décollage de son économie lorsqu’il se produit au tournant des XVIIIe et XIXe siècles.
DES PARADOXES
Quant aux débouchés coloniaux, ils n’ont pas joué un rôle décisif dans le développement des industries occidentales. Bairoch relève même un paradoxe : les puissances coloniales comme la France ou la Grande-Bretagne ont connu une croissance plus faible que les autres pays développés. Entre colonialisme, industrialisation et croissance économique la corrélation est plutôt négative.
Mais si l’Occident n’y a pas beaucoup gagné, cela ne signifie pas que le tiers monde n’y ait pas beaucoup perdu. Les économistes libéraux y étaient d’ailleurs fondamentalement hostiles. Sur ce sujet on peut relire avec profit les passages qu’Adam Smith lui consacre dans La richesse des Nations. Dans les projets de conquêtes coloniales il ne voyait que des entreprises politiques néfastes menées sous la pression de groupes d’intérêt fermés hostiles à la libre concurrence et à l’économie de marché.
D’ÉNORMES DÉGÂTS
RépondreSupprimerSi d’un côté les gains furent peu importants, de l’autre les coûts n’en furent pas moins considérables. Comme l’écrit Bairoch :
« Il ne fait aucun doute que l’origine de nombreuses caractéristiques structurelles négatives du processus du sous-développement économique remontent à la colonisation européenne ».
Il relève d’abord que si les exportations n’étaient pas vitales pour les industries occidentales, elles n’en ont pas moins abouti à la désindustrialisation du sous-continent indien qui, du fait de la colonisation, avait complètement perdu la maitrise de sa politique douanière. À la fin du XIXe siècle on estime que 75 % de la consommation textile de l’Inde étaient importés. Le pourcentage s’élève à 95 % pour la métallurgie.
On doit aussi souligner l’effet négatif de l’essor des cultures d’exportations vers les pays occidentaux. Les meilleures terres leur furent souvent réservées par la force, les cultures de subsistance étant reléguées sur des terres moins fertiles. Dans un système colonial opaque et verrouillé de nombreuses plantations appartenaient à des Européens qui avaient recours au travail forcé.
L’OPPOSITION RÉSOLUE DES LIBÉRAUX
Nous sommes aux antipodes des idées libérales condamnant l’introduction dans les colonies de « moyens violents d’exploitation, au premier rang desquels il faut placer l’esclavage » pour reprendre les termes de Jean-Baptiste Say (Traité d’Économie Politique, 1803, Économica, p. 402).
Organisée par des négociants sans scrupules et cautionnée par des États qui cherchaient à étendre leur influence et leurs capacités militaires, la traite transatlantique a été dénoncée sans relâche par les économistes libéraux mais relancée par le très dirigiste Napoléon.
Ce qui est ici en cause ce n’est donc pas le libéralisme mais le dirigisme borné de gouvernements manipulés par des groupes de pression fondamentalement hostiles à la concurrence et à la liberté.
L’histoire économique montre donc clairement que les pays développés ne doivent pas leur prospérité à la colonisation mais que celle-ci a été un dramatique jeu à somme négative que récusaient les partisans du libéralisme économique.
Pierre Robert est l’auteur de Fâché comme un Français avec l’économie, Éditions Larousse (2019).
Un article publié initialement le 8 octobre 2020
https://www.contrepoints.org/2021/05/22/381675-notre-prosperite-sest-elle-batie-sur-le-pillage-des-colonies
Que sont les colonies (de vacances ?) ?
SupprimerCe sont des pays avec lesquels nous entretenons un commerce. Exemple, les Etats-Unis sont une colonie du monde entier comme l'est aussi l'Europe et autres continents !
Donc, que l'on y parte en vacances, qu'on y habite ou que l'on ouvre un commerce, l'on rencontre tout autour de nous pas moins de 7 milliards de colonialistes avec qui l'on négocie tout les jours notre pitance.
Les gens sont trop cons : covid, politique et petits pois
RépondreSupprimerQuand il s’agit de sa santé, de sa consommation, de son environnement, le Français est trop con. Pour choisir ceux qui vont prendre les décisions qui vont concerner tout le monde, il se transforme en phénix de la politique.
21 MAI 2021
Par Gérard-Michel Thermeau.
« Les gens sont trop cons ». Ce n’est pas moi qui le dis. D’ailleurs c’est celui qui le dit qui l’est. Mais c’est un discours que j’ai beaucoup entendu. Pas nécessairement formulé de façon aussi brutale. Sauf dans la bouche d’un ami, mais c’est un scientifique qui appelle un chat un chat. Je lui demandais l’an dernier (eh, oui, le monde d’après date de 2020), à quoi servait le masque en extérieur.
Il me répondit :
« À rien, mais tu comprends, les gens sont trop cons. Si on l’impose pas partout, ils ne le porteront nulle part. »
C’était clair, c’était net. D’autres le disent en termes plus mesurés. Les Français sont des Gaulois réfractaires. Les Suédois, eux, sont disciplinés. Donc peut-être que y’avait pas besoin de confiner chez eux mais cépapareil. D’ailleurs en Suède les cyclistes roulent lentement et n’essaient pas de renverser les piétons. Que voulez-vous répondre à cet argument de bon sens, hein ?
Le Français est trop con. Mais attention pas trop con pour tout.
Par exemple, le Français est trop con pour acheter une boîte de petits pois. En fait, quand il fait des achats, il est capable d’acheter tout et n’importe quoi. C’est un zombie soumis aveuglément aux stimuli publicitaires. Il va acheter ce dont il n’a pas besoin au lieu d’acheter ce qui lui est nécessaire.
TROP CON EN GÉNÉRAL, TROP CON EN PARTICULIER
Heureusement, si les Français sont trop cons en général, certains Français ne le sont pas en particulier. À commencer par ceux qui considèrent que les autres sont trop cons. Par exemple, on reconnaît le Français pas con à son esprit critique qui le conduit infailliblement aux rayons Bio des surfaces commerciales.
Mais bon, ils sont trop peu nombreux. D’où la nécessité de pondre des tonnes de réglementations et de lutter contre la mauvaise publicité par une bonne propagande information : Manger-Bouger, 5 fruits et légumes par jour, et puis que des fruits et légumes.
Autre exemple, les Français sont trop cons pour être attentifs à l’environnement. Bon, cela commence heureusement à changer grâce à une saine propagande éducation à l’école. Comme on n’arrive plus à les faire lire, écrire, compter, on leur apprend les gestes qui sauvent la planète. Par exemple tirer les documents en recto-verso. Ouf, un arbre de sauvé. Il en reste si peu en France.
Mais inversement, le Français n’est pas trop con quand il s’agit de voter. D’ailleurs comme le déclarait un de ces analystes politiques qui contribuent au niveau élevé des médias sérieux et reconnus d’utilité publique, « les Français sont un peuple politique ».
Quand il s’agit de sa santé, de sa consommation, de son environnement, le Français est trop con. Quand il s’agit de prendre des décisions qui le concernent au premier chef dans les divers aspects de son existence, le Français est trop con.
LE CON DEVIENT SUBITEMENT INTELLIGENT EN POLITIQUE
RépondreSupprimerEn revanche pour choisir ceux qui vont prendre les décisions qui vont concerner tout le monde, le trop con se transforme en phénix de la politique. C’est toujours une joie sans mélange d’écouter les doctes experts politiques disséquer avec un talent indéniable et indiscutable les résultats des élections.
Le Français ne sait pas choisir une boîte de petits pois. Mais pour choisir le maire, le député ou le président de la République, il témoigne d’une compétence hors pair. Les types de scrutin (proportionnel, majoritaire, mixte), les finesses de la Constitution, le contenu des programmes électoraux n’ont pas de secrets pour lui. À condition de ne pas l’interroger directement et précisément sur le sujet. On pourrait s’apercevoir qu’il en sait davantage sur les boîtes de petits pois. Ce serait trop con.
Donc le Français est trop con sauf pour désigner les gouvernants qui sont tous, sans exception, des Français pas trop cons. Et comme ils ne sont pas trop cons, ils désignent immanquablement des conseillers du même tonneau. Et en cas de crise grave, tenez, une pandémie, ils savent s’appuyer sur les avis d’experts qui sont tout ce qu’on veut mais pas des cons. Enfin, pas trop.
La nature politique est vraiment bien faite. Des gens trop cons désignent avec une sûreté admirable, et qui se répète élection après élection, des gens qui ne le sont pas.
Mais là, malgré tout ma bonne volonté, j’ai du mal à comprendre. Serais-je trop con ?
Certes, il est facile de reconnaître un con. C’est toujours l’autre. Et comme les cons vont en bande, ce sont toujours les autres. Ah, les cons, disait Daladier qui venait de se faire rouler dans la farine par Hitler. Il faudrait se débarrasser des cons, disait un fervent gaulliste au Général. Lequel rétorquait : vaste programme, mon cher. Il avait peur de ne plus avoir d’électeurs.
LE MIRACLE DE L’URNE
Je veux bien admettre que les autres sont des cons. D’ailleurs, je l’ai toujours pensé. Mais comment peuvent-ils être trop cons quasiment en permanence et voir leur connerie miraculeusement suspendue à la vue d’une urne. S’agirait-il d’un miracle encore plus impénétrable que la transsubstantiation ?
Donc, on ne sort pas de là. Si les gens sont trop cons, ils le sont en permanence. Et ceux qu’ils élisent n’appartiennent pas à une essence particulière. D’ailleurs, quand je vois le Premier ministre, quand j’entends le ministre de la Santé, quand je lis les propos du ministre de l’Économie, je suis bien rassuré. Ils sont bien comme moi.
Tout à coup, il me souvient qu’aux yeux de certains je suis trop con.
Je veux bien l’admettre, mais pas à ce point.
Et puis, après réflexion, j’ai mieux compris. Les gens étaient trop cons, sauf en politique, dans le monde d’avant. Mais voilà, après la terrible crise sanitaire due à leur insouciance coupable, ils sont devenus trop cons aussi en politique. Le pire serait à craindre aux prochaines élections.
« C’est ce que tu veux ? Que la Marine arrive au pouvoir ? » me reprochait telle personne parce que je critiquais le confinement.
Je n’ai pas bien compris le rapport. Mais je suis sans doute trop con.
Bien sûr, je ne souhaite pas que ladite dame arrive au pouvoir, ce serait trop con.
Mais bon quand on prend les gens en permanence pour des cons, il ne faut pas se plaindre ensuite quand il font des conneries. C’est trop con ? Je sais bien…
https://www.contrepoints.org/2021/05/21/397887-les-gens-sont-trop-cons-covid-politique-et-petits-pois
Les gens naissent tous cons. Ils ne savent ni lire, ni écrire, ni compter ! Puis il y a les 'écoles'. Âh les 'écoles', y a les écoles pour les cons et les écoles pour les non-cons.
SupprimerAux écoles de cons l'on y apprendra que les égyptiens construisaient des pyramides avec des milliers de blocs de pierre qui pesaient des tonnes et, dans les écoles des non-cons l'on y apprendra que les égyptiens avaient cette manie ridicule de tailler les montagnes ou collines en pointes !
Aux écoles de cons l'on y apprendra aux cons que la mer va monter (HAHAHAHA !) et, dans les écoles des non-cons qu'il y a depuis des millions d'années des milliards de tonnes d'eaux venus des pluies, des fleuves et des rivières qui se déversent tous les jours dans les mers et les océans... sans qu'elles ou ils ne montent !! ÂÂâh bêh merde alors !
Il faut donc créer et entretenir ce 'geste barrière' entre les cons qui sortent d'écoles publiques ou religieuses et les non-cons qui sortent d'écoles sélectionnées pour elles et eux. Surtout, éviter qu'ils se regroupent en associations de cons ! Donc: entretenir la division. Les noirs d'un côté et les blancs de l'autre. Les filles d'un côté et les garçons de l'autre. Puis y a celles et ceux de droite, d'extrême-droite ou d'extrême centre comme il y a celles et ceux de gauche, d'extrême-gauche et d'extrême centre où ils se confondent d'un bout à l'autre. Puis la barrière des riches, des pauvres, des grands, des petits, des gros, des maigres, des blondes et des brunes et puis aussi des rousses ! de celles aux cheveux blancs, noirs, violets, verts, roses et/ou avec des mèches ! Des frisées, des cheveux raides, des...
LA VAISSELLE SANS PLASTIQUE N'EST PAS SI ÉCOLO ET SANS DANGER POUR LA SANTÉ
RépondreSupprimerpar PERRINE DE ROBIEN
21/05/2021
66% des échantillons testés par l'UFC-Que Choisir contiennent des composés perfluorés
Il y a de quoi tomber de haut. Selon une enquête de l’UFC Que Choisir, la vaisselle en carton ou en fibres végétales n’est pas forcément une meilleure alternative que la vaisselle en plastique. Certains produits testés peuvent contenir plusieurs « composés dangereux pour la santé ou pour l’environnement ».
Des composés potentiellement dangereux dans la vaisselle sans plastique
Depuis janvier 2020, la vaisselle en plastique jetable est interdite. Il a donc fallu trouver des alternatives principalement à base de pulpe végétale, de feuilles de palmier, ou de de carton pour la remplacer. Problème, ces produits ne sont pas toujours si écolo ou sans danger sur la santé que l’on pourrait croire.
Selon une enquête de l’UFC-Que Choisir réalisée sur 57 produits, la vaisselle jetable sans plastique « montre une trop grande présence de composés dangereux pour la santé ou pour l’environnement ». Deux tiers des échantillons contiennent des composés perfluorés dont certains contiennent des perturbateurs endocriniens ou sont cancérogènes, immunotoxiques. Parmi les produits testés, des assiettes présentent une teneur en composés perfluorés 140 fois supérieure à la norme définie au Danemark. Par ailleurs, certains produits en papier ou en carton contiennent aussi plusieurs substances douteuses (composés perfluorés, chloropropanols, amines aromatiques).
Un problème de réglementation européenne
Il y aurait un problème de réglementation européenne puisque « à part pour certains matériaux traditionnels (verre, certains plastiques), la réglementation ne définit pas de liste fermée de substances et additifs autorisés mais se contente de poser un principe général d'innocuité des matériaux utilisés par les fabricants de vaisselle et autres objets en contact avec les produits alimentaires » déplore l’UFC-Que Choisir.
Par conséquent, l’association de consommateurs demande aux autorités européennes de « définir, dans le cadre de la révision d’ici à la fin 2022 de la législation sur les matériaux destinés à entrer en contact avec des denrées alimentaires, une liste précise des matériaux et additifs pouvant être utilisés sans danger comme substituts aux plastiques pour la vaisselle jetable ». Elle réclame aussi un renforcement du « contrôle des allégations environnementales, notamment relatives au compostage ».
http://www.economiematin.fr/news-vaisselle-sans-plastique-danger
Y a la vaisselle pour les cons, les gobelets en plastique pour boire le café, les verres en carton pour boire le Champagne et, il y a les restaurants où l'on ne mange pas comme des porcs ! On boit dans des flûtes (pour pas dire un autre mot !) et où l'on ne pose pas ses coudes (j'ai dit 'coudes') sur la nappe. Puis le couvre-feu pour les cons (qui croient que c'est au 20 h qu'arrivent les virus ! alors que le 13 h est parfois pire !), et les bordels privés où l'on s'enculent 'avec tout le respect que je vous dois !'
SupprimerL'air de la censure souffle : je crains le pire
RépondreSupprimerDiego Fusaro
Réseau International
jeu., 20 mai 2021 23:29 UTC
Le tournant autoritaire qui caractérise le mode de production capitaliste de ces derniers temps, et que l'urgence épidémiologique du coronavirus a renforcé avec un timing incroyable, trouve sa correspondance précise aussi et non pas secondairement dans la limitation croissante des espaces de liberté permis par l'ordre discursif dominant.
There is no alternative, l'infâme devise de Thatcher, qui proscrit effectivement la possibilité ontologique de vivre autrement que selon le modus libéral, devient de plus en plus le critère des régimes de vérité : ou, mieux, du régime de vérité au singulier, c'est-à-dire du seul ordre de discours autorisé ; celui, en fait, qui agit comme un complément idéologique aux relations de pouvoir dominantes dans le capitalisme technocratique et post-bourgeois tardif.
Notre époque est donc candidate pour devenir la première où la problématisation critique et le doute socratique en tant que tels sont ostracisés par la stupide catégorie dite de la « conspiration », répétée à la façon du perroquet par le troupeau domestiqué des derniers hommes de la civilisation de masse.
Avec la catégorie du « complot », en outre, on ne fait rien d'autre que de dénier le droit à l'existence à tout discours qui ne coïncide pas millimétriquement avec ce qui est prétendument vrai, parce que les groupes dominants en ont décidé ainsi. En bref, il est temps de s'en remettre et de l'admettre ouvertement : même l'ordre néolibéral peut s'avérer répressif et intolérant, tout comme les formes que l'on a l'habitude de définir, par rapport au XXe siècle, comme totalitaires.
L'année 2021, qui a commencé par l'exil forcé hors des réseaux sociaux même pour le président sortant des États-Unis d'Amérique Donald Trump, se poursuit maintenant de manière cohérente avec la censure des livres (interdits de librairie) qui osent critiquer le nouvel ordre érotique prôné par le projet de loi Zan, comme cela s'est produit ces jours-ci, et puis aussi avec la tempête à la Rai, dont on parle beaucoup ; une tempête provoquée par une émission de Raidue, qui avait l'audace de critiquer ce merveilleux paradis que l'on ne peut que louer et qui porte le nom glorieux d'Union européenne.
« Intolérable, nous avons besoin d'un changement radical » : ce n'est pas une phrase extrapolée d'un procès de la Sainte Inquisition, qui aurait culminé avec le bûcher du malheureux hérétique du moment ; c'est plutôt, selon ce que rapporte La Stampa de Turin, le commentaire éclairé du toujours lucide et réfléchi secrétaire du « parti démocratique » - jamais le nom n'a été plus orwellien - Enrico Letta. Lequel Enrico Letta, on s'en souvient, a écrit il y a quelques années un pamphlet intitulé sans équivoque « Mourir pour Maastricht », qui méritera peut-être un jour une place à part dans les archives de l'histoire de l'idéologie politique : en effet, le titre prometteur n'a pas clarifié quel était le sujet de « Mourir pour Maastricht » et maintenant surgit un doute plus que légitime que le sujet, rétrospectivement, était la libre pensée.
En bref, un projet misérable comme l'Union européenne, né comme une contre-offensive impitoyable du capital vainqueur après 1989 contre les classes ouvrières d'Europe, ne pouvait que culminer avec la mort de la liberté de pensée et d'expression. La mort au nom du progrès et de la lutte contre toutes les discriminations, soyons clairs. Les mots de Letta, en réalité, laissent peu de place à la fantaisie : le changement radical qu'il invoque avec une fureur héroïque est, simplement, le réalignement immédiat et sans négociations possibles sur l'ordre du discours hégémonique ; celui qui, précisément, vous laisse généreusement dire ce que vous voulez sur l'Union européenne, à condition que ce que vous voulez dire coïncide avec ce que les groupes dominants du bloc néolibéral oligarchique veulent faire dire.
RépondreSupprimerNous n'en sommes qu'au début, remarquez bien. Il devient de plus en plus clair que la combinaison du capitalisme et de la démocratie n'était qu'une parenthèse éphémère de la seconde moitié du XXe siècle : la Restauration du capital est en cours et est destinée à aller beaucoup plus loin, si elle ne rencontre pas des formes de résistance active par le bas. C'est à nous de décider ce que nous allons faire de notre histoire : continuer à souffrir en silence, en perdant un morceau de liberté et d'autonomie après l'autre, ou mettre de côté la « résilience » pour revenir à la pratique de formes saines et appropriées de résistance.
source : https://www.ariannaeditrice.it
via http://euro-synergies.hautetfort.com
https://fr.sott.net/article/37317-L-air-de-la-censure-souffle-je-crains-le-pire
La dictature c'est FERME TA GUEULE !
SupprimerLA Démocratie c'est La Suisse.
France/Fraude électorale 2017 avérée... Silence de plomb !
RépondreSupprimerRumble
ven., 07 mai 2021 11:38 UTC
Sans la lutte de Donald Trump contre la fraude électorale dont il a été victime et les preuves indiscutables de cette forfaiture qu'il a dénoncée et prouvée, en France cette élection 2017 particulièrement "suspecte" serait passée comme "une lettre à la poste"... Mais mieux vaut tard que jamais !
Nous remarquerons que chez nous, les opposants, très certainement au courant, comme l'a été D.Trump chez lui, n'ont pas "pipé mot" ! Ils sont donc eux aussi "complices" de cette fraude...
Belle démocratie que la nôtre, où la classe politique ment au peuple choisi par lui, pour défendre de fait les oligarques qui la nourrissent...
Une imposture de taille qui on le suppose ne date pas d'hier !
Alors le peuple français aujourd'hui informé se réveillera t-il ? Rien n'est moins sûr.
Demain, face au totalitarisme ambiant qui s'accroît de jour en jour dans notre pays, il ne faudra pas alors qu'il vienne se plaindre, puisque à son tour il sera devenu "complice" par défaut, pour n'avoir à son tour "pipé mot"...
https://fr.sott.net/article/37315-France-Fraude-electorale-2017-averee-Silence-de-plomb
(...) Belle démocratie que la nôtre, où (...)
Supprimer...elle est restée aux chiottes !
Un message adressé aux médecins par l'Ordre des médecins et chirurgiens de l'Ontario montre le désespoir de les faire taire
RépondreSupprimerPar Richard Enos
Coaching Dao
22 mai 2021
Au Canada, les médecins sont en fait ouvertement menacés par leurs organes directeurs de cesser de dire ce qu'ils croient être vrai dans leur cœur et leur esprit. Au lieu de cela, tous les médecins reçoivent l’ordre de suivre en même temps les «ordonnances et recommandations de santé publique». Le tweet ci-dessous de l’Ordre des médecins et chirurgiens de l’Ontario n’a pas besoin de commentaires supplémentaires. Tel qu'il est écrit, il s'incrime déjà.
Maintenant, vous vous demandez peut-être comment nous sommes arrivés si rapidement à ce lieu de censure enragée dans la profession médicale. Je voudrais que vous considériez que cela ne s'est pas produit du jour au lendemain, mais plutôt un processus lent et mesuré qui remonte à l'époque où John D. Rockefeller a créé un monopole médical qui soutenait exclusivement la médecine allopathique il y a un peu plus d'un siècle. Utilisant son pouvoir de marginaliser en tant que «charlatanisme» des milliers d'années de tradition et de connaissances holistiques, Rockefeller a créé un empire descendant qui était fondamentalement conçu comme une entreprise de distribution de médicaments pharmaceutiques dans lesquels il a investi des millions dans le développement et le brevetage.
Au fil des ans, la plupart des médecins semblaient croire en l'efficacité des médicaments pharmaceutiques dans une certaine mesure - après tout, leur formation à la faculté de médecine était à certains égards une présentation marketing de `` l'efficacité '' scientifique des médicaments pharmaceutiques, avec la promesse que de nouvelles recherches et développements dans ce domaine conduiraient à terme à la défaite de toutes les maladies humaines. Comment fonctionne cette «guerre contre le cancer», hein? Peut-être encore plus significatif, cependant, cette machine d'endoctrinement a servi de rejet complet des remèdes homéopathiques et holistiques qui existaient depuis des temps immémoriaux. Pour les médecins qui n’ont pas complètement adhéré à la propagande, l ’« épée de Damoclès »a été discrètement tenue au-dessus de leurs têtes chaque fois qu’ils s’écartaient un peu de l’orthodoxie médicale. Ils étaient des médecins, après tout, des médecins, on attendait donc d'eux qu'ils promeuvent sans conteste les remèdes allopathiques et les produits pharmaceutiques comme les opioïdes et les vaccins. Et dans l'ensemble, ils l'ont fait. Bien entendu, les incitations financières n’ont pas fait de mal.
Cependant, avec les mesures Covid-19, il semble que nous ayons atteint un «moment décisif», où l’écart entre ce que l’établissement médical recommande et ce que les médecins savent être le mieux pour la santé de leurs patients est devenu trop grand. Afin d'éviter que cet écart ne devienne incontrôlable, des organisations comme le CPSO ont publié des déclarations comme le tweet ci-dessus. Pour de nombreux médecins, c'était le point de rupture, et la peur de la punition, y compris la possibilité de perdre leur licence médicale, ne suffisait plus à les faire taire.
RépondreSupprimerDéclaration des médecins canadiens pour la science et la vérité
Plusieurs médecins canadiens se sont réunis pour rédiger la déclaration suivante, à laquelle ils ont invité d'autres médecins et citoyens concernés à signer. À ce jour, 330 médecins canadiens ont eu le courage d'inscrire leur nom sur ce document, et ils ont été rejoints par plus de 8 800 citoyens inquiets. J'ai mis cette déclaration ici dans son intégralité parce qu'elle révèle si clairement l'affront à la santé et à la sécurité publique de la part de l'OMCO et d'autres autorités de délivrance des licences pour les médecins et les professions apparentées du monde entier.
Nous sommes un groupe large et diversifié de médecins canadiens de partout au Canada qui envoient cette déclaration urgente aux collèges des médecins et chirurgiens de nos diverses provinces et territoires et au grand public, que nous desservons.
Le 30 avril 2021, l’organisme ontarien de délivrance des permis aux médecins, l’Ordre des médecins et chirurgiens de l’Ontario (CPSO), a publié une déclaration interdisant aux médecins de remettre en question ou de débattre de tout ou partie des mesures officielles imposées en réponse au COVID-19. 1
L'OMCO a ensuite menacé les médecins de sanctions - enquêtes et mesures disciplinaires.
Nous considérons cette récente déclaration de l'OMCO comme contraire à l'éthique, anti-science et profondément dérangeante.
En tant que médecins, notre premier devoir de diligence n'est pas envers l'OMCO ou toute autre autorité, mais envers nos patients.
Lorsque nous sommes devenus médecins, nous nous sommes engagés à donner la priorité à nos patients et à ce que notre devoir éthique et professionnel soit toujours le premier envers nos patients. La déclaration de l'OMCO nous ordonne de violer notre devoir et de nous engager envers nos patients de la manière suivante:
1. Déni de la méthode scientifique elle-même: L'OMCO ordonne aux médecins de mettre de côté la méthode scientifique et de ne pas débattre des processus et des conclusions de la science.
RépondreSupprimerNous, médecins, savons et continuons de croire que tout au long de l’histoire, des points de vue opposés, des débats vigoureux et l’ouverture aux nouvelles idées ont été à la base du progrès scientifique. Toute avancée majeure dans la science a été réalisée par des pratiquants remettant vigoureusement en question les récits «officiels» et suivant un chemin différent dans la recherche de la vérité.
2. Violation de notre engagement d'utiliser la médecine factuelle pour nos patients: En nous ordonnant de ne pas débattre et de ne pas remettre en question, l'OMCO nous demande également de violer notre engagement envers nos patients que nous rechercherons toujours les meilleures preuves. fondés sur des méthodes scientifiques pour eux et militer vigoureusement en leur nom.
La déclaration de l'OMCO ordonne aux médecins, par exemple, de ne pas discuter ou communiquer avec le public au sujet des mesures de «verrouillage». Les mesures de verrouillage font l'objet d'un débat animé par des experts de renommée mondiale et largement respectés et il existe des points de vue très divergents sur ce sujet. La déclaration de Great Barrington (PDF) explicitement anti-lockdown a été rédigée par des experts des universités de Harvard, Stanford et Oxford et plus de 40 000 médecins du monde entier ont signé cette déclaration. Plusieurs experts internationaux, dont Martin Kuldorf (Harvard), David Katz (Yale), Jay Bhattacharya (Stanford) et Sunetra Gupta (Oxford), continuent de s'opposer fermement aux verrouillages.
L'OMCO ordonne aux médecins d'exprimer uniquement des points de vue pro-lockdown, sous peine de devoir faire face à une enquête et à une discipline. Cette directive tyrannique et anti-scientifique de l'OMCO est considérée par des milliers de médecins et de scientifiques canadiens comme non étayée par la science et comme une violation du premier devoir de diligence envers nos patients.
3. Violation du devoir de consentement éclairé: L'OMCO ordonne également aux médecins de violer le devoir sacré du consentement éclairé - qui est le processus par lequel le patient / public est pleinement informé des risques, des avantages et de toute alternative au traitement ou à l'intervention, avant que le consentement ne soit donné.
Le Code de Nuremberg, rédigé à la suite des atrocités perpétrées dans les camps de concentration nazis - où d'horribles expériences médicales ont été effectuées sur des détenus sans consentement - interdit expressément l'imposition de tout type d'intervention sans consentement éclairé.
Dans le cas de l'intervention de verrouillage, par exemple, les médecins ont l'obligation fiduciaire de signaler au public que les verrouillages imposent leurs propres coûts à la société, y compris une augmentation considérable des taux de dépression et de suicide, des enquêtes et des traitements retardés du cancer (y compris une chirurgie retardée, chimiothérapie et radiothérapie), des listes d'attente chirurgicales qui gonflent (avec pour conséquence une augmentation considérable de la souffrance des patients) et des taux accrus de violence envers les enfants et la famille.
Nous, médecins, pensons qu'avec la déclaration de l'OMCO du 30 avril 2021, un tournant décisif dans l'assaut contre la liberté d'expression et la recherche scientifique a été atteint.
RépondreSupprimerEn ordonnant aux médecins de se taire et de ne suivre qu'un seul récit, ou bien de faire face à la discipline et à la censure, le CPSO nous demande de violer notre conscience, notre éthique professionnelle, le code de Nuremberg et la recherche scientifique de la vérité.
Nous n'obéirons jamais et donnerons toujours la priorité à nos patients.
L'OMCO doit immédiatement retirer et annuler sa déclaration du 30 avril 2021.
Nous avisons également d'autres autorités canadiennes et internationales de délivrance de licences aux médecins et aux professions apparentées que l'étouffement de l'enquête scientifique et de tout ordre de violer notre conscience et notre engagement professionnel envers nos patients peut en soi constituer un crime contre l'humanité.
Tous les secteurs de la société se battent maintenant
Cette déclaration est le dernier exemple de professionnels de la santé qui remettent non seulement en question l'efficacité et la légitimité des mesures de Covid, mais s'engagent également dans le débat plus large autour de la suppression des droits à la liberté d'expression et de conscience. Ce débat se déroule dans tous les secteurs de la société, où des poignées d'hommes politiques, de policiers, d'avocats, d'hommes d'affaires et d'autres se joignent aux journalistes et aux radiodiffuseurs alternatifs pour chercher à protéger la liberté d'expression et la liberté de pensée et de conscience, et amener le débat en le domaine public. Alors que les médias grand public continuent de n'approuver qu'un seul aspect de ce débat, des arguments importants comme la Déclaration des médecins canadiens pour la science et la vérité circulent furtivement en ligne et commencent à éveiller le grand public.
Le tableau d'ensemble qui émerge dans l'esprit des gens est que les mesures de la pandémie font partie d'un programme de contrôle plus large qui n'a rien à voir avec leur santé et leur bien-être. Alors que de plus en plus de gens se rendent compte que la science, les statistiques et la vérité s'accordent sur la nécessité de mettre fin à toutes les mesures pandémiques - et que nous serions mieux si elles n'avaient jamais été instituées - nous sommes poussés à nous rassembler pour en prendre davantage. le contrôle de ce qui se passe sur notre planète, ce qui fait partie de la prochaine étape de notre évolution collective.
This article was originally published on my website daocoaching.com.
https://www.lewrockwell.com/2021/05/no_author/message-to-doctors-by-ontario-college-of-physicians-surgeons-shows-desperation-to-silence-them/
Pris au dépourvu: le CDC modifie les seuils de test pour éliminer virtuellement les nouveaux cas de COVID chez Vaxx'd
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 21 MAI 2021 - 23:20
Rédigé par Kit Knightly via Off-Guardian.org,
Les nouvelles politiques permettront de dégonfler artificiellement les «infections révolutionnaires» chez les vaccinés, tandis que les anciennes règles continueront de gonfler le nombre de cas chez les non vaccinés.
Le Center for Disease Control (CDC) des États-Unis modifie ses pratiques d'enregistrement des données et de test du «Covid19» afin de donner l'impression que les «vaccins» expérimentaux de thérapie génique sont efficaces pour prévenir la maladie présumée.
Ils n'ont pas caché cela, annonçant les changements de politique sur leur site Web fin avril / début mai (bien que naturellement sans admettre la motivation assez évidente derrière le changement).
L'astuce consiste à signaler ce qu'ils appellent des «infections par rupture» - c'est-à-dire des personnes qui sont entièrement «vaccinées» contre l'infection Sars-Cov-2, mais qui sont quand même infectées.
Essentiellement, il a longtemps été démontré que Covid19 - à ceux qui sont prêts à y prêter attention - était un récit de pandémie entièrement créé, basé sur deux facteurs clés:
Tests faussement positifs. Le test PCR non fiable peut être manipulé pour signaler un nombre élevé de faux positifs en modifiant le seuil de cycle (valeur CT)
Nombre de cas gonflé. La définition incroyablement large de «cas Covid», utilisée partout dans le monde, répertorie toute personne qui reçoit un test positif comme «cas Covid19», même si elle n'a jamais éprouvé de symptômes.
Sans ces deux politiques, il n'y aurait jamais eu de pandémie appréciable du tout, et maintenant le CDC a adopté deux changements de politique qui signifient qu'ils ne s'appliquent plus aux personnes vaccinées.
Premièrement, ils abaissent leur valeur CT lorsqu'ils testent des échantillons provenant d '«infections par rupture» présumées.
D'après les instructions du CDC destinées aux autorités sanitaires de l'État sur la gestion des «infections de rupture possibles» (téléchargées sur leur site Web fin avril):
Pour les cas avec une valeur de seuil (Ct) de cycle de RT-PCR connue, ne soumettre que des échantillons avec une valeur de Ct ≤ 28 au CDC pour séquençage. (Le séquençage n'est pas possible avec des valeurs Ct plus élevées.)
Tout au long de la pandémie, les valeurs CT supérieures à 35 ont été la norme, avec des laboratoires du monde entier dans les années 40.
Essentiellement, les laboratoires exécutaient autant de cycles que nécessaire pour obtenir un résultat positif, bien que les experts aient averti que cela était inutile (même Fauci lui-même a dit que tout ce qui dépassait 35 cycles n'avait aucun sens).
Mais MAINTENANT, et uniquement pour les personnes entièrement vaccinées, le CDC n'acceptera que les échantillons obtenus à partir de 28 cycles ou moins. Cela ne peut être qu'une décision délibérée afin de réduire le nombre d '«infections par rupture» officiellement enregistrées.
RépondreSupprimerDeuxièmement, les infections asymptomatiques ou légères ne seront plus enregistrées comme «cas de covid».
C'est exact. Même si un échantillon prélevé à la faible valeur CT de 28 peut être séquencé dans le virus supposé être à l’origine de Covid19, le CDC ne conservera plus de registre des infections par rupture qui n’entraînent pas d’hospitalisation ou de décès.
Depuis leur site Web:
À compter du 1er mai 2021, les CDC sont passés de la surveillance de tous les cas de percée vaccinale signalés à se concentrer sur l'identification et l'enquête uniquement sur les cas hospitalisés ou mortels, quelle qu'en soit la cause. Ce changement contribuera à maximiser la qualité des données recueillies sur les cas de la plus grande importance clinique et de santé publique. Les dénombrements de cas précédents, qui ont été mis à jour pour la dernière fois le 26 avril 2021, sont disponibles à titre indicatif uniquement et ne seront pas mis à jour à l'avenir.
Juste comme ça, être asymptomatique - ou n'avoir que des symptômes mineurs - ne comptera plus comme un «cas de Covid» mais seulement si vous avez été vacciné.
Le CDC a mis en place de nouvelles politiques qui ont effectivement créé un système de diagnostic à plusieurs niveaux. Cela signifie qu'à partir de maintenant, les personnes non vaccinées auront beaucoup plus de facilité à être diagnostiquées avec Covid19 que les personnes vaccinées.
Considérer…
La personne A n'a pas été vaccinée. Ils sont testés positifs pour Covid en utilisant un test PCR à 40 cycles et, malgré l'absence de symptômes, ils sont officiellement un «cas de covid».
La personne B a été vaccinée. Ils sont testés positifs à 28 cycles et passent six semaines alités avec une forte fièvre. Parce qu'ils ne sont jamais allés à l'hôpital et ne sont pas morts, ils ne sont PAS un cas Covid.
La personne C, également vaccinée, est décédée. Après des semaines d'hospitalisation avec une forte fièvre et des problèmes respiratoires. Seul leur test PCR positif était de 29 cycles, ils ne sont donc pas officiellement non plus un cas de Covid.
Le CDC démontre la beauté d'avoir une «maladie» qui peut apparaître ou disparaître selon la façon dont vous la mesurez.
Pour être clair: si ces nouvelles politiques avaient été l'approche globale de «Covid» depuis décembre 2019, il n'y aurait jamais eu de pandémie du tout.
Si vous les appliquez uniquement aux vaccinés, mais que vous gardez les anciennes règles pour les non vaccinés, le seul résultat possible peut être que les registres officiels montrent que «Covid» est beaucoup plus répandu chez ces derniers que chez les premiers.
Il s'agit d'une politique conçue pour gonfler continuellement un chiffre et minimiser systématiquement l'autre.
RépondreSupprimerQu'est-ce que c'est sinon un acte de tromperie évident et délibéré ?
https://www.zerohedge.com/covid-19/caught-red-handed-cdc-changes-test-thresholds-virtually-eliminate-new-covid-cases-among
"Mask Up To Keep It Up" - Une étude trouve des liens COVID à la dysfonction érectile
PAR TYLER DURDEN
VENDREDI 21 MAI 2021 - 23H00
Une nouvelle étude publiée dans le World Journal of Men's Health indique que les séquelles de la contraction du COVID-19 pourraient provoquer un dysfonctionnement érectile chez les hommes.
"Nos recherches montrent que COVID-19 peut provoquer un dysfonctionnement endothélial généralisé dans les systèmes organiques au-delà des poumons et des reins. Le dysfonctionnement endothélial sous-jacent qui se produit à cause du COVID-19 peut pénétrer dans les cellules endothéliales et affecter de nombreux organes, y compris le pénis", a déclaré Ranjith Ramasamy, MD, professeur agrégé et directeur du programme d'urologie reproductive de la Miller School of Medicine de l'Université de Miami.
"Dans notre étude pilote, nous avons constaté que les hommes qui ne se plaignaient pas auparavant de dysfonction érectile ont développé une dysfonction érectile assez sévère après le début de l'infection au COVID-19", a poursuivi Ramasamy.
Ramasamy et des chercheurs de l'UMiami ont découvert longtemps après la guérison que le virus pouvait rester dans le pénis des hommes pendant des mois. Et si cela n'était pas effrayant, les chercheurs émettent en outre l'hypothèse que le «dysfonctionnement généralisé des vaisseaux sanguins» causé par COVID pourrait contribuer à la dysfonction érectile.
"Les vaisseaux sanguins eux-mêmes fonctionnent mal et ne sont pas en mesure de fournir suffisamment de sang pour entrer dans le pénis pour une érection", a déclaré Ramasamy. "Nous avons constaté que le virus affecte les vaisseaux sanguins qui alimentent le pénis, provoquant un dysfonctionnement érectile."
Le virus a été associé à l'endommagement d'autres organes, tels que les poumons, les reins et le cerveau. Mais maintenant, après avoir recueilli des échantillons de tissu pénien de deux hommes ayant des antécédents d'infections au COVID, les chercheurs de l'UMiami pensent que la dysfonction érectile «pourrait être permanente».
Ce n'est pas la première étude qui prétend que le COVID peut provoquer un dysfonctionnement érectile.
En mars, des chercheurs de l'Université de Rome ont publié une étude dans la revue médicale Andrology intitulée "" Mask up to keep it up ": Preuve préliminaire de l'association entre la dysfonction érectile et COVID-19," qui a déclaré que ceux qui ont contracté le virus étaient 5,6 fois plus susceptibles d'avoir un dysfonctionnement érectile.
Ramasamy a déclaré que plus de données sont nécessaires pour mieux comprendre à quel point la dysfonction érectile est répandue après une infection par COVID.
Les deux études interviennent alors que l'une des plus grandes menaces déflationnistes pèse sur l'économie mondiale: les taux de natalité aux États-Unis sont tombés à leur plus bas niveau en une génération.
https://www.zerohedge.com/covid-19/mask-keep-it-study-finds-links-covid-erectile-dysfunction
Dans la chanson 'Fernande' de Georges Brassens, le faux-vaccin corona est appelé 'Lulu'.
SupprimerNon résolu: ce que la science du climat nous dit, ce qu'elle ne fait pas et pourquoi c'est important
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 21 MAI 2021 - 22H40
Rédigé par Rupert Darwall via RealClearEnergy.com,
Le 8 janvier 2014, à l'Université de New York à Brooklyn, s'est produit un événement unique dans les annales du réchauffement climatique: près de huit heures de débat structuré entre trois climatologues soutenant le consensus sur le réchauffement climatique d'origine humaine et trois climatologues qui le contestent, animé par une équipe de six physiciens éminents de l'American Physical Society (APS) dirigée par le Dr Steven Koonin, physicien théoricien à l'Université de New York. Le débat, organisé par l'APS, a révélé que des climatologues soutenant le consensus nourrissaient des doutes et des incertitudes et admettaient des lacunes dans la science du climat - en contraste marqué avec les messages emphatiques d'organismes tels que The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC).
À un moment donné, Koonin a lu un extrait du Cinquième rapport d’évaluation de l'IPCC publié l’année précédente. Réponses simulées par ordinateur aux forçages - le terme utilisé par les climatologues pour désigner les changements des flux d'énergie entrant et sortant du système climatique, tels que les changements de rayonnement solaire, les éruptions volcaniques et les changements dans les concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère - " peut être agrandie ou réduite. » Cette mise à l'échelle comprenait les forçages de gaz à effet de serre.
Certains forçages dans certains modèles informatiques ont dû être réduits pour faire correspondre les simulations informatiques aux observations climatiques réelles. Mais lorsqu'il s'agit de faire des projections du centenaire sur lesquelles les gouvernements s'appuient et conduisent la politique climatique, les facteurs d'échelle ont été supprimés, ce qui a probablement entraîné une surestimation de 25 à 30% du réchauffement de 2100.
Le dialogue qui a suivi entre Koonin et le Dr William Collins du Lawrence Berkeley National Laboratory - un auteur principal du chapitre sur l'évaluation du modèle climatique dans le cinquième rapport d'évaluation - a révélé quelque chose de plus troublant et délibéré que des lacunes dans les connaissances scientifiques:
Dr Koonin: Mais si le modèle vous dit que la réponse au forçage est erronée de 30 %, vous devriez utiliser ce même facteur de 30 % lorsque vous projetez sur un siècle.
Dr Collins: Oui. Et l'une des raisons pour lesquelles nous ne le faisons pas est que nous n'utilisons pas les modèles comme [un] outil de projection statistique.
Dr Koonin: Comment les utilisez-vous ?
Dr Collins: Eh bien, nous avons utilisé exactement les mêmes modèles qui ont eu tort de forcer et qui ont en quelque sorte faussé les projections jusqu'à 2100.
Dr Koonin: Alors, pourquoi présentons-nous même des projections à l'échelle du centenaire ?
Dr Collins: Eh bien, je veux dire, cela fait partie du processus d'évaluation [de l'IPCC].
Koonin était particulièrement bien placé pour diriger l'atelier APS sur le climat. Il a une compréhension approfondie des modèles informatiques, qui sont devenus les bêtes de somme de la science du climat. Jeune homme, Koonin a écrit un article sur la modélisation informatique de la réaction nucléaire dans les étoiles et a enseigné un cours de physique computationnelle à Caltech. Au début des années 90, il a participé à un programme utilisant des satellites pour mesurer l'albédo de la Terre, c'est-à-dire la réflexion du rayonnement solaire entrant dans l'espace. En tant qu'étudiant à Caltech à la fin des années 1960, il a été enseigné par le physicien Nobel Richard Feynman et a absorbé ce que Koonin appelle «l'honnêteté intellectuelle absolue» de Feynman.
RépondreSupprimerEn devenant scientifique en chef de BP en 2004, Koonin est devenu une partie du milieu plus large du changement climatique. Les missions comprenaient l'explication de la physique du réchauffement climatique d'origine humaine au prince Philip lors d'un dîner au palais de Buckingham. En 2009, Koonin a été nommé sous-secrétaire au ministère de l'Énergie de l'administration Obama.
Le débat sur le climat de l’APS a été le tournant dans la réflexion de Koonin sur le changement climatique et la science du climat par consensus («La science»).
«J'ai commencé par croire que nous étions dans une course pour sauver la planète de la catastrophe climatique», écrit Koonin dans son nouveau livre, «Unsettled: What Climate Science Tells Us, What It Does not, And Why It Matters.»
«Je suis sorti de l'atelier APS non seulement surpris, mais ébranlé par la prise de conscience que la science du climat était beaucoup moins mature que je ne l'avais supposé.
«Unsettled» est une introduction faisant autorité sur la science du changement climatique qui lève le couvercle sur The Science et trouve beaucoup de choses qui ne sont pas comme il se doit.
«En tant que scientifique», écrit Koonin, «je sentais que la communauté scientifique laissait tomber le public en ne disant pas clairement toute la vérité.»
L’objectif de Koonin est de corriger ce problème.
La mise en accusation de Koonin contre The Science commence par sa dépendance à des modèles informatiques peu fiables. Décrire utilement le climat de la Terre, écrit Koonin, est «l’un des problèmes de simulation scientifique les plus difficiles». Les modèles divisent l'atmosphère en boîtes en forme de crêpes d'environ 100 km de large et d'un kilomètre de profondeur. Mais le flux d'énergie ascendant des nuages orageux tropicaux, qui est plus de trente fois plus important que celui des influences humaines, se produit à des échelles plus petites que les boîtes programmées. Cela oblige les modélisateurs climatiques à faire des hypothèses sur ce qui se passe à l'intérieur de ces boîtes. Comme l’avoue un modélisateur, «c’est un véritable défi de modéliser ce que nous ne comprenons pas».
Inévitablement, cela laisse une place considérable aux opinions et préférences subjectives des modélisateurs. Une question clé que les modèles climatiques sont censés résoudre est l'estimation de la sensibilité climatique à l'équilibre du gaz carbonique (ECS), qui vise à nous dire par combien de températures augmentent à partir d'un doublement du dioxyde de carbone dans l'atmosphère. Pourtant, en 2020, les modélisateurs du climat de l'Institut Max Planck d'Allemagne ont admis avoir réglé leur modèle en ciblant un ECS d'environ 3 ° Celsius. «Parlez de cuisiner les livres», commente Koonin.
La preuve du pudding, comme on dit, est dans le manger. De toute évidence, les projections informatiques ne peuvent pas être testées par rapport à un avenir qui n’est pas encore arrivé, mais elles peuvent être testées par rapport aux climats présents et passés. Les modèles climatiques ne peuvent même pas s'entendre sur la température moyenne mondiale actuelle. "Une caractéristique particulièrement troublante est que la température moyenne de la surface simulée", note Koonin, "varie selon les modèles d'environ 3 ° C, trois fois plus que la valeur observée du réchauffement du XXe siècle qu'ils prétendent décrire et expliquer."
RépondreSupprimerUne autre caractéristique embarrassante des modèles climatiques concerne le début des deux réchauffements du XXe siècle de 1910 à 1940, lorsque les influences humaines étaient beaucoup plus faibles. En moyenne, les modèles donnent un taux de réchauffement d'environ la moitié de ce qui a été réellement observé. L'échec des derniers modèles à se réchauffer assez rapidement au cours de ces décennies suggère qu'il est possible, voire probable, que la variabilité du climat interne soit un contributeur significatif au réchauffement des dernières décennies, suggère Koonin. «Le fait que les modèles ne puissent pas reproduire le passé est un gros drapeau rouge - cela érode la confiance dans leurs projections des climats futurs.» Il n'est pas non plus rassurant que pour les années après 1960, la dernière génération de modèles climatiques montre une plus grande diffusion et une plus grande incertitude que les précédentes - ce qui implique que, loin d'avancer, la science a reculé. Ce n'est pas ainsi que la science est censée fonctionner.
La deuxième partie de l'acte d'accusation de Koonin concerne la distorsion, la fausse représentation et la mauvaise caractérisation des données climatiques pour soutenir un récit du catastrophisme climatique basé sur la fréquence croissante des événements météorologiques extrêmes. À titre d'exemple, Koonin prend une affirmation «scandaleusement trompeuse» et un graphique associé dans le rapport spécial de 2017 sur la science du climat du gouvernement des États-Unis selon lequel le nombre de records de températures élevées établis au cours des deux dernières décennies dépasse de loin le nombre d'enregistrements de basses températures à travers le 48 états contigus. Koonin démontre que la forte hausse des sommets au cours des deux dernières décennies est un artefact d'une méthodologie choisie pour induire en erreur. Après avoir réexécuté les données, des sommets records montrent un pic clair dans les années 1930, mais il n'y a pas de tendance significative au cours des 120 années d'observations à partir de 1895, ni même depuis 1980, lorsque les influences humaines sur le climat se sont fortement accrues. En revanche, le nombre de températures froides record a diminué sur plus d'un siècle, la tendance s'accélérant après 1985.
Note Koonin, «les températures extrêmes aux États-Unis contigus sont devenues moins courantes et un peu plus douces depuis la fin du XIXe siècle». De même, un message clé de l'Évaluation nationale du climat 2014 d'une tendance à la hausse de la fréquence et de l'intensité des ouragans, répété dans l'évaluation de 2017, est contredit 728 pages plus tard par une déclaration enfouie dans une annexe indiquant qu'il n'y a pas eu de tendance significative dans le monde. nombre de cyclones tropicaux «et aucune tendance n'a été identifiée dans le nombre d'ouragans qui tombent aux États-Unis.»
Cela pourrait surprendre de nombreux politiciens.
RépondreSupprimer«Au cours des trente dernières années, l’incidence des catastrophes naturelles a considérablement augmenté», a faussement affirmé la secrétaire au Trésor Janet Yellen le mois dernier dans un discours soutenant le paquet d’infrastructure de l’administration Biden. «Nous sommes maintenant dans une situation où le changement climatique est un risque existentiel pour notre économie et notre mode de vie futurs», a-t-elle affirmé.
Le sacrifice de la vérité scientifique sous la forme de données empiriques objectives au profit d'un récit catastrophiste sur le climat est évident. Comme Koonin résume le cas:
«Même si les influences humaines ont quintuplé depuis 1950 et que le globe s'est légèrement réchauffé, la plupart des phénomènes météorologiques violents restent dans les limites de la variabilité passée. Les projections des événements climatiques et météorologiques futurs reposent sur des modèles manifestement inadaptés à cet objectif. »
Koonin a également des mots tranchants pour le côté politique du consensus sur le changement climatique, qui affirme que bien que le changement climatique soit une menace existentielle, le résoudre en décarbonant totalement la société est simple et relativement indolore.
«Il y a deux décennies, lorsque j'étais dans le secteur privé», écrit Koonin, «j'ai appris à dire que l'objectif de stabiliser les influences humaines sur le climat était« un défi », alors qu'au gouvernement, il était considéré comme« une opportunité ». «De retour dans le milieu universitaire, je peux carrément appeler cela« une impossibilité pratique ».»
Contrairement à de nombreux scientifiques et à la plupart des politiciens, Koonin affiche une compréhension certaine de la division entre les pays développés et les pays en développement, pour qui la décarbonisation est un produit de luxe qu’ils ne peuvent pas se permettre. La fissure remonte aux premiers jours du processus climatique de l'ONU à la fin des années 1980. C’est en effet la raison pour laquelle les pays en développement ont insisté sur la voie des Nations Unies par opposition à une voie intergouvernementale qui a abouti au Protocole de Montréal de 1987 sur les substances qui appauvrissent la couche d’ozone.
«L'amélioration économique de la majeure partie de l'humanité dans les décennies à venir stimulera la demande d'énergie encore plus fortement que la croissance démographique», dit Koonin.
«Qui paiera le monde en développement pour ne pas émettre ? Je pose cette simple question à de nombreuses personnes depuis plus de quinze ans et je n'ai pas encore entendu de réponse convaincante.
La partie la plus troublante de «Unsettled» concerne la science et le rôle des scientifiques.
«La science est l'une des très rares activités humaines - peut-être la seule - dans laquelle les erreurs sont systématiquement critiquées et assez souvent, à temps, corrigées», écrivait Karl Popper il y a près de six décennies.
Cette condition ne concerne pas la science du climat, où les erreurs sont ancrées dans un récit politique et la critique est supprimée. Dans un essai récent, le philosophe Matthew B. Crawford observe que la fierté de la science en tant que moyen de générer des connaissances - contrairement à la religion - est d'être falsifiable. Cela change lorsque la science est obligée de devenir une autorité afin de dispenser les politiciens de la responsabilité de justifier leurs choix politiques («la science dit», nous dit-on à plusieurs reprises). «Pourtant, quelle sorte d'autorité serait-ce qui insiste sur le fait que sa propre compréhension de la réalité n'est que provisoire ?» demande Crawford. «Pour que l'autorité fasse vraiment autorité, elle doit revendiquer un monopole épistémique d'une sorte, qu'il s'agisse de la connaissance sacerdotale ou scientifique.»
Au début de «Unsettled», l’axiome de Feynman de l’honnêteté intellectuelle absolue contraste avec le «double lien éthique» du climatologue Stephen Schneider. D'une part, les scientifiques sont éthiquement liés par la méthode scientifique pour dire la vérité. De l'autre, ce sont des êtres humains qui veulent réduire le risque d'un changement climatique potentiellement désastreux.
RépondreSupprimer«Chacun de nous doit décider du juste équilibre entre être efficace et être honnête», a déclaré Schneider.
«Être efficace» aide à expliquer la pression exercée sur les climatologues pour qu'ils se conforment à la science et l'émergence d'un monopole de la connaissance des sciences du climat. Sa fonction est, comme le dit Crawford, la fabrication d'un produit - la légitimité politique - qui, à son tour, exige que les points de vue divergents soient délégitimés et chassés du discours public par l'application d'un «moratoire sur la pose de questions». Cela permet aux climatologues de décider qui peut et ne peut pas donner son avis sur la science du climat. "S'il vous plaît, sauvez-nous des physiciens à la retraite qui pensent qu'ils sont plus intelligents et plus sages que tout le monde dans la science du climat", a tweeté Gavin Schmidt, conseiller climatique principal par intérim de la NASA, à propos de Koonin et de son livre. "Je suis d'accord avec à peu près tout ce que vous avez écrit", a déclaré un directeur d'un département universitaire des sciences de la Terre à Koonin, "mais je n'ose pas dire cela en public." Un autre scientifique critique Koonin pour avoir donné des munitions aux «négationnistes», et un troisième écrit un éditorial exhortant l’Université de New York à reconsidérer la position de Koonin là-bas. Cela va plus loin que les scientifiques. Facebook a supprimé une critique du «Wall Street Journal» sur «Unsettled». De même, «Unsettled» n'est pas revu par le «New York Times», le «Washington Post» (bien qu'il ait publié un éditorial de Marc Thiessen basé sur une interview avec Koonin) et d'autres quotidiens, qui préféreraient traiter le climat raisonné de Koonin dissidence comme si elle n’existait pas.
Le moratoire sur la pose de questions représente la mort de la science telle qu'elle est comprise et décrite par Popper, victime des exigences contradictoires d'utilité politique et d'intégrité scientifique. De nombreux scientifiques prennent cela en position couchée. Koonin ne le fera pas. Pour ses compétences médico-légales et pour rendre ses découvertes accessibles aux non-spécialistes, Koonin a écrit le livre le plus important sur la science du climat depuis des décennies.
https://www.zerohedge.com/political/unsettled-what-climate-science-tells-us-what-it-doesnt-and-why-it-matters
Le climat de notre planète ne se réchauffe pas, il se refroidit.
SupprimerSi tous les gaz ne se recyclaient pas immédiatement il n'y aurait jamais eu de vie sur Terre.
Les principaux appareils de réclamation officiels des élections en Arizona faisant l'objet d'un audit ont peut-être été «compromis» ... par les auditeurs
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 21 MAI 2021-15: 39
Rédigé par Zachary Stieber via The Epoch Times
La secrétaire d’État de l’Arizona a averti jeudi le plus grand comté de l’État de ne pas essayer d’utiliser des machines électorales qui font l’objet d’un audit, sous peine de décertifier l’équipement.
«J'ai de graves préoccupations concernant la sécurité et l'intégrité de ces machines, étant donné que la chaîne de possession, un principe de sécurité essentiel, a été compromise et que les responsables électoraux ne savent pas ce qui a été fait aux machines sous le contrôle de Cyber Ninjas», Arizona La secrétaire d'État Katie Hobbs, une démocrate, a écrit dans une lettre aux responsables du comté de Maricopa.
Les auditeurs embauchés par le Sénat de l'Arizona, y compris Cyber Ninjas, ont examiné plus de 2 millions de bulletins de vote et 385 tabulateurs utilisés lors de l'élection de 2020, ainsi que d'autres documents.
Les auditeurs ont déclaré qu'ils suivaient des protocoles de criminalistique stricts.
«Nous n’allumons pas un système s’il nous est livré dans un état hors tension. Nous supprimons les disques durs, nous effectuons une imagerie médico-légale avec des blocs d'écriture pour empêcher toute modification de ces disques durs, et nous produisons une copie forensics bit for bit de ce disque particulier », Ben Cotton, fondateur de CyFIR, la société leader du composant technologique de l'audit, a déclaré aux sénateurs de l'Arizona lors d'une réunion cette semaine.
Ken Bennett, l'ancien secrétaire d'État républicain de l'Arizona qui sert de liaison pour le Sénat de l'État pour l'audit, a ajouté qu'immédiatement après avoir reçu les machines le 21 avril, l'équipement et les bulletins de vote ont été placés dans des cages verrouillées et ont été sous garde armée. tout le temps depuis.
«Nous n'avons eu aucune brèche dans les cages où les bulletins de vote ou les machines ont été conservés», a-t-il déclaré.
Mais Hobbs a allégué que l'on ne sait pas quelles procédures de sécurité, le cas échéant, ont été mises en place pour sécuriser les machines.
«En effet, nos observateurs experts, ainsi que de multiples reportages, ont noté des défaillances de sécurité inquiétantes. Et Cyber Ninjas n'a pas réussi à fournir une transparence totale sur ce qu'ils ont fait avec l'équipement », a-t-elle écrit aux responsables du comté de Maricopa.
«Le manque de sécurité physique et de transparence signifie que nous ne pouvons pas savoir avec certitude qui a accédé au matériel de vote et ce qui aurait pu leur être fait», a-t-elle ajouté.
Il n'y a pas de méthodes complètes pour réhabiliter complètement les équipements compromis, ce qui signifie que le comté «devrait acquérir de nouvelles machines pour garantir des élections sûres et précises» à l'avenir, a déclaré Hobbs.
Si le comté choisit de redéployer l'équipement assigné pour une utilisation lors d'élections futures, le bureau de Hobbs pourrait envisager de déménager pour le décertifier.
Avant le début de l'audit, la présidente du Sénat républicain de l'Arizona, Karen Fann, a signé un document qui indemnisait le comté de Maricopa contre les réclamations de tiers concernant tout dommage survenu aux matériaux que le comté avait remis aux auditeurs.
RépondreSupprimerLes représentants de l'équipe d'audit, les républicains du Sénat de l'Arizona et le comté de Maricopa n'ont pas immédiatement renvoyé leurs demandes de commentaires du jour au lendemain.
Un porte-parole du département des élections du comté a déclaré aux médias que le département «travaillait avec nos avocats sur les prochaines étapes, les coûts et ce qui sera nécessaire pour s'assurer que seul du matériel certifié est utilisé dans le comté de Maricopa».
"Nous n'utiliserons aucun des équipements de tabulation retournés à moins que le comté, l'état et le fournisseur ne soient convaincus qu'aucun matériel ou logiciel malveillant n'est installé sur les appareils", a ajouté le comté.
Le comté examine la lettre de Hobbs, a également déclaré un porte-parole du comté.
Le conseil de surveillance du comté de Maricopa a approuvé en juin 2019 un contrat de trois ans pour la location de matériel électoral de Dominion Voting Systems jusqu'en juillet 2022. Le contrat valait 6,1 millions de dollars.
Selon Hobbs, ses préoccupations ne concernent pas le système de vote du Dominion, qui reste certifié pour une utilisation en Arizona, ni aucun équipement électoral qui n’a pas été remis aux vérificateurs.
https://www.zerohedge.com/political/arizonas-top-elections-official-claims-machines-being-audited-may-have-been-compromised
« La vaccination, mes potes, et le Criigen » de M. Yann Kindo
RépondreSupprimer22 Mai 2021
par Seppi
Glané sur la toile 669
« La vaccination, mes potes, et le Criigen » est sur son blog, « La faucille et le labo » sur Médiapart.
Une balade dans plusieurs sujets, comme le titre le suggère – mais il ne dit pas tout.
M. Yann Kindo ouvre son article par un rappel de ce qu'il avait écrit en décembre 2018, dans « La vaccination, Fox News et le militant anti-OGM » :
« […]
Et pourtant, la vaccination est un acquis fondamental du progressisme, au sens technique mais aussi au sens social du terme.
La vaccination est le fruit du progrès scientifique, qui permet de contenir voire de faire disparaître de la circulation de graves maladies qui autrefois faisaient des ravages. Comme les OGM, la vaccination est un symbole de la maîtrise croissante par l’humanité de son environnement, pour intervenir sur lui de manière préventive. Mais la maîtrise par l’humanité de son environnement et des mécanismes qui régissent l’ensemble du vivant est aujourd’hui souvent présentée comme un danger au lieu d’être vue comme une chance. C'est en ce sens que nous vivons une époque "réactionnaire".
La vaccination est aussi le fruit du progrès social, celui qui offre la santé à tous par une politique collective de prévention. En ce sens, sur un plan éthique, la vaccination est un truc profondément communiste, car elle incarne l’effort de tous pour le bien de chacun. Au lieu de dire « que chacun se démerde avec ses problèmes », on fait le truc tous ensemble et chacun s’en portera mieux au final.
Or, des aspirations et idées réactionnaires se sont développées non seulement chez les conservateurs façon Payton, mais aussi dans des milieux qui se pensent – et peuvent être - par ailleurs éclairés et solidaires, mais dont les positions sur la vaccination contredisent leurs propres valeurs – affichées ou réelles -. [...] »
Après les potes qui sont vaccinosceptiques pour cause d'attirance vers les élucubrations « ésotériques » et une virée dans le monde des accointements glauques illustrés par une affiche, la balade nous amène à la récente farce que nous avons décrite dans « Vaccination contre la Covid et cybersquatting : de qui se moque-t-on au CRIIGEN ? (bis) ».
- voir photos sur site -
« Si vous ne comprenez pas ce que fait Christian Vélot aux côtés d’Henri Joyeux à la tribune du congrès de la vitalité naturelle, c’est que vous n’avez pas compris cet article, et je vous recommande de le relire depuis le début. »
« Et voilà qu’aujourd’hui, sur ce terrain de la complicité avec les antivaxx, le Criigen refait parler de lui.
[…]
Dans la direction de cette association, on trouve, aux côtés donc de deux homéopathes (sic), l’écologue Pierre-Henri Gouyon, qui s’est distingué pendant la pandémie, en signant en septembre dernier une tribune rassuriste aux côtés du duo Toubiana/ Toussaint et de raoultiens comme Laurent Muchielli. […]
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
[…]
De ce côté-là de la militance autour des sciences, le naufrage est donc scientifique depuis bien longtemps, mais il est aussi moral et éthique, à un point que je n’aurais pas imaginé il y a encore une décennie. Et l’on vient encore une fois d’en avoir une illustration, avec la participation du Criigen à la campagne de méfiance vis-à-vis de la vaccination contre la Covid 19. Tout part d’une vidéo qu’ils publient fin décembre 2020, dans laquelle leur nouveau président Christian Vélot (oui, celui qui faisait des conférences avec Henri Joyeux) met en garde contre les vaccins à ARN Messager développés par Pfizer et Moderna. […]
[…]
« Mais Christian Vélot et le Criigen, eux, n’en démordent pas.
Ainsi, le Huffington Post nous révélait hier que dans ces milieux-là, quand on a touché le fond de l’abjection, on peut creuser encore. En effet, le site "Vite ma dose", qui s’efforce d’aider la campagne de vaccination en facilitant la prise d’un rendez-vous pour utiliser au plus vite les doses disponibles, a été victime d’un pirate qui a déposé le nom du domaine, afin que quand on cherche le site on tombe en fait à la place sur une page qui propose… la vidéo de mise en garde de Christian Vélot !!!
[…]
Il y a donc ces temps-ci pire que les gens qui ne veulent pas se faire vacciner : ceux qui veulent empêcher les autres de le faire.
Et du côté du Criigen, on assume, comme a pu le vérifier Grégory Rozières, le journaliste du Huffington Post :
[…]
Il y a une faute de frappe dans l’article : le mot exact c’est pas "responsable", mais "irresponsable".
Dangereux irresponsables.
Aux méthodes puantes. »
- voir cadre sur site :
https://seppi.over-blog.com/2021/05/la-vaccination-mes-potes-et-le-criigen-de-m.yann-kindo.html
Les médias disent que les chiens peuvent renifler le covid sur une personne - peuvent-ils également identifier les personnes vaccinées qui «perdent» ?
RépondreSupprimerVendredi 21 mai 2021 par: Ethan Huff
(Natural News) Vous savez ce qui est plus précis qu'un test PCR pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19)? Un nez de chien, selon une nouvelle étude.
Des chercheurs en France affirment que les chiens sont plus efficaces pour détecter les virus que les tests de laboratoire qui, très franchement, sont manipulés pour faire avancer l'agenda du virus chinois.
Les chiens renifleurs sont également plus efficaces pour détecter les virus que les tests rapides de flux latéral (LFT), disent les scientifiques, ayant la capacité de détecter la présence de la grippe de Wuhan avec une précision de 97 %.
On ne sait pas comment ils ont déterminé cela, mais un essai mené en mars et avril à l'école vétérinaire nationale française et à l'unité de recherche clinique de l'hôpital Necker-Cochin à Paris a révélé que les chiens sont capables de détecter les cas «positifs» et «négatifs». du virus mieux que les tests que le gouvernement a poussé.
Un examen récent de 64 études différentes a révélé que les LFT identifient correctement environ 72 % des personnes infectées par le virus et présentent des symptômes, ainsi que 58 % qui ne le font pas. Les chiens, en revanche, ont correctement identifié 91 % des échantillons négatifs et 97 % des échantillons positifs.
"Ces résultats sont une confirmation scientifique de la capacité des chiens à détecter la signature olfactive de Covid-19", a déclaré le conseil de l'hôpital de Paris, notant que l'étude est la première du genre à effectuer ces déterminations.
Maintenant, ils veulent des chiens renifleurs de virus à l'aéroport ?
Selon le professeur Jean-Marc Tréluyer, le nez de chien est au moins aussi efficace pour détecter le virus chinois que le test PCR, en supposant qu’il est «réglé» correctement pour ne pas produire de faux positif.
«Ce sont d'excellents résultats, comparables à ceux d'un test PCR», a-t-il déclaré à l'Agence-France Presse.
«Ils pourraient aider à identifier les personnes qui devraient subir un test viral complet et - parce que la réponse des chiens est si rapide - faciliter les tests de masse», affirme-t-il, tentant de faire valoir que les chiens renifleurs de virus devraient être placés dans les salles de concert, les gares et les aéroports pour flairer les «malades».
Ainsi, en plus de passer par le scanner du corps nu et de se faire caresser par un pervers de la TSA, les voyageurs aériens pourraient bientôt avoir des chiens reniflant leurs entrejambes à la recherche de germes chinois. Si le chien aboie, un javelot nasal peut alors être inséré avant qu'un voyageur ne soit autorisé à monter à bord d'un avion.
RépondreSupprimerTout cela ressemble à une autre excuse pour accélérer l'agenda de Covid-1984 avec la prochaine phase de l'invasion de la vie privée. Il pourrait arriver un moment où les chiens seront placés à l'entrée des épiceries pour détecter les «porteurs» de virus et restreindre leurs achats jusqu'à ce que les chiens soient satisfaits de ce qu'ils sentent.
C'est peut-être mieux qu'un prélèvement anal chinois, mais il s'agit toujours d'une invasion massive de la vie privée et de l'autonomie corporelle justifiée sous l'excuse de la «santé publique».
Sur les sites de test PCR à travers Paris, les laquais embauchés ne se contentent pas de nettoyer les fosses nasales des gens à la recherche de germes chinois, ils frottent également des tampons de coton sous leurs aisselles et effectuent d'autres procédures «médicales» rituelles dans le cadre du processus de test. Maintenant, ils veulent inciter les chiens à rechercher la «maladie».
C'est presque comme si la guerre contre la drogue se transformait en guerre contre le covid, avec des chiens de détection de covid qui chercheront chez vous des protéines de pointe - sauf ceux qui ont déjà été injectés en sont exemptés, bien sûr.
Des chiens de détection Covid sont déjà expérimentés en Australie, en Allemagne et en Grande-Bretagne. La Finlande et les Émirats arabes unis ont également lancé des essais l'année dernière avec des chiens renifleurs dans les aéroports internationaux d'Helsinki et de Dubaï.
Vous trouverez plus des dernières nouvelles sur le virus chinois sur Pandemic.news.
Les sources de cet article incluent:
TheGuardian.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2021-05-21-dogs-sniff-covid-vaccinated-people-shedding.html
Nourriture pour le cerveau: la revue examine le lien entre l'alimentation et la santé mentale
RépondreSupprimerVendredi 21 mai 2021
par: Virgilio Marin
(Natural News) Une revue publiée dans la revue European Neuropsychopharmacology montre que l'alimentation d'une personne peut améliorer ou aggraver sa santé mentale, en fonction de la qualité des aliments qu'elle mange. Des chercheurs européens sont arrivés à cette conclusion après avoir examiné des études antérieures qui ont examiné le lien potentiel entre la nutrition et la santé mentale.
Les chercheurs ont trouvé des preuves solides que le régime méditerranéen, qui est un régime riche en fruits, légumes et huile d'olive, exerce un effet protecteur contre la dépression. D'autres études suggèrent également que suivre un régime cétogène, riche en graisses et pauvre en glucides, pourrait réduire la fréquence des crises chez les enfants épileptiques.
Une mauvaise alimentation, en revanche, est associée à des troubles de l'humeur, tels que la dépression et le trouble bipolaire. Pendant ce temps, la carence en vitamine B12 a été liée à la fatigue, aux problèmes de mémoire et au développement de la dépression. Selon l'examen, la prise de suppléments de vitamine B12 pourrait améliorer la santé mentale des personnes carencées en vitamine B12.
De plus, quelques études ont également montré que la consommation de sucre raffiné pendant la grossesse pouvait augmenter le risque pour les enfants de développer une hyperactivité et un trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH). Manger plus de fruits et légumes frais, en revanche, pourrait protéger les enfants de ces conditions.
Les chercheurs ont conclu que, bien que le lien entre la santé mentale et certains aliments soit relativement faible, il existe des preuves suffisantes pour soutenir une association directe entre le régime alimentaire général d'une personne et la santé mentale.
Comment votre alimentation influe sur votre santé mentale
Ce que vous mangez affecte la façon dont vous vous sentez parce que votre santé mentale et digestive est étroitement liée. Pour commencer, quatre-vingt-quinze pour cent de votre sérotonine - un neurotransmetteur qui joue un rôle dans la médiation de l'humeur - est produite dans votre tube digestif, qui est tapissé de millions de neurones.
Les bonnes bactéries intestinales influencent le fonctionnement de ces neurones, ainsi que votre production de sérotonine et d'autres neurotransmetteurs. Elles sont considérées comme de bonnes bactéries car elles jouent un rôle important dans votre santé. Pour commencer, ils protègent la muqueuse de vos intestins, réduisent l'inflammation et améliorent la capacité de votre corps à absorber les nutriments contenus dans les aliments. En outre, ils activent également les voies neuronales qui voyagent directement entre votre intestin et votre cerveau. (Connexes: de nombreuses maladies mentales sont basées sur l'inflammation: de plus en plus de science confirme un lien entre la santé intestinale et la santé mentale.)
RépondreSupprimerÉtant donné le rôle du système digestif dans la santé mentale, il ne faut pas s'étonner que votre alimentation influence également votre humeur. En effet, des études montrent que les personnes qui suivent le régime méditerranéen et d'autres régimes «traditionnels» ont jusqu'à 35% moins de risque de développer une dépression que celles qui suivent un régime alimentaire occidental typique.
Les chercheurs attribuent cette différence au fait que les régimes alimentaires traditionnels comprennent plus de légumes, de fruits, de céréales et de fruits de mer non transformés, et seulement de modestes quantités de viande maigre et de produits laitiers. Les régimes traditionnels sont également dépourvus d'aliments transformés et de sucres raffinés, qui sont des aliments de base d'un régime occidental. En outre, de nombreux aliments non transformés dans les régimes traditionnels sont fermentés, ce qui signifie qu'ils sont riches en micro-organismes bénéfiques vivants appelés probiotiques.
Les meilleurs aliments cérébraux pour améliorer votre santé mentale
Découvrez les aliments suivants pour améliorer votre santé mentale:
Poissons gras - Le saumon, le maquereau et les sardines sont riches en acides gras oméga-3 sains. Des études suggèrent qu'une carence en oméga-3 peut augmenter votre risque de développer une dépression.
Aliments probiotiques - Les aliments fermentés comme le kombucha et la choucroute contiennent des probiotiques, qui favorisent une bonne santé intestinale.
Grains entiers - Les grains entiers sont d'excellentes sources de vitamines B telles que la vitamine B12, qui est importante pour la santé du cerveau.
Légumes à feuilles - Les légumes à feuilles vertes comme les épinards regorgent de folate, une autre vitamine B. La recherche montre que les personnes souffrant de dépression ont tendance à avoir de faibles taux de folate.
Votre alimentation peut améliorer votre bien-être mental ou augmenter votre risque de troubles mentaux. Adoptez une alimentation saine riche en fruits frais, en légumes et en grains entiers pour une meilleure santé mentale.
BrainHealthBoost.com a plus de conseils sur la façon d'améliorer la santé de votre cerveau.
Les sources comprennent:
IntegrativePractitioner.com
MedicalNewsToday.com
ScienceDirect.com
Santé.Harvard.edu
VeryWellMind.com
https://www.naturalnews.com/2021-05-21-the-link-between-diet-and-mental-health.html