- ENTREE de SECOURS -



samedi 8 mai 2021

Cessons de donner des leçons à l'Afrique

 Pr. Philippe Parola, chef de service à l'IHU Méditerranée Infection

https://www.youtube.com/watch?v=TTbVTVN0FVE

39 commentaires:

  1. Comme le corona de 2020 a moins fait de décès qu'une grippette saisonnière il n'y a pas lieu de parler de pandémie mais de épidémie.
    Pas lieu non-plus d'incarcérer les populations chez elles car, un virus est une nano-poussière (0,1 à 0,5µ) qui fait partie de l'air, maintenant si je prend un exemple (faux) qu'il y aurait un virus tous les 10 m² et que j'isole une personne sur chaque carré de 10 m² elle aura donc 1 chance sur une de l'attraper. Maintenant, s'il y a 50 personnes sur 500 m² il en sera de même pour chacune d'elles. Mais, si je met 50 personnes sur 10 m², elles auront 1 chance sur 50 de l'attraper !

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  2. Catastrophe nucléaire de Fukushima : « Le plus dangereux des radionucléïdes, c'est le mensonge »


    zinfos974.com
    sam., 08 mai 2021 18:37 UTC
    fukushima Michel Jacquemin-Raffestin,


    Michel Jacquemin-Raffestin, spécialiste de Tchernobyl, installé à La Réunion depuis plus de 10 ans, publie un nouvel ouvrage sur une nouvelle catastrophe nucléaire. Le 11 mars 2011, un tremblement de terre puis un tsunami endommagent la centrale de Fukushima. Les coeurs de trois réacteurs entrent en fusion. 10 ans après les conséquences des émissions radioactives sont dramatiques, multiples et étendues bien au delà de la préfecture de Fukushima ou même du Japon. Le journaliste a mené l'enquête et dénonce "un mensonge d'Etat".

    Après avoir travaillé sur les conséquences sanitaires et écologiques du drame de Tchernobyl, vous vous intéressez à la catastrophe de Fukushima. Les deux catastrophes nucléaires sont-elles comparables ? En quoi ?

    Ces deux catastrophes nucléaires sont comparables sur plusieurs points, leurs conséquences, entre autres, mais différentes.

    Tchernobyl, c'est la fusion d'un réacteur sur 10 à 15 jours, le nuage va contaminer toute l'Europe. Mais le réacteur est rapidement maitrisé, les soviétiques vont déverser du bore et du sable, construire un tunnel pour bétonner sous le réacteur en faisant venir des ouvriers des mines de charbon. La mentalité de la population communistes soviétique voulait que l'on se sacrifie pour le pays. Les ouvriers qui iront sur le toit pour enlever les morceaux de matières radioactives vont mourir dans des souffrances atroces en quelques jours.

    Fukushima, c'est la fusion de trois réacteurs, deux explosions dues à l'hydrogène, les réacteurs n°1 et le 3. Le n°2 a également failli exploser, ils ont eu de la chance. Six ouvriers ont accepté de se sacrifier pour aller ouvrir les vannes d'aération, sinon, il y aurait eu également une explosion. Mais la contamination est "chronique et pérenne" selon les termes de l'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN). Le Japon est contaminé sur 8 % de son territoire. Mais, surtout, le déversement de l'eau dans l'océan Pacifique pollue cet océan et les fonds marins. Fin mai 2011, les poissons pêchés au large de Hong-Kong, (3039 km), étaient contaminés au césium de Fukushima. Plus tard, ce sont les thons pêchés au large de la Californie qui étaient contaminés au césium de Fukushima.

    Le point commun est que ces deux catastrophes ont montré que le nucléaire est parfois incontrôlable, comme l'a déclaré le Premier ministre en poste à l'époque, Naoto Kan. Que l'on ne tient pas compte des catastrophes précédentes. De l'inconscience de construire 54 réacteurs dans un pays qui concentre à lui seul 20% des tremblements de terre dans le monde. Et finalement, du peu d'importance que l'on porte aux populations.

    Comment interprétez-vous le bilan d'un comité scientifique de l'ONU qui affirme en mars dernier "zéro mort, aucun cancer" directement imputable à la catastrophe ?

    Alors, ce rapport est proprement scandaleux avant même d'être mensonger. Et relisez la dernière ligne de ma réponse précédente. Mais ce rapport de l'UNCEAR (Comité Scientifique des Nations Unies sur les Effets des Radiations Atomiques) n'est pas une surprise. C'est leur travail de nier. En mai 2016, le rapporteur spécial du Haut-Commissariat aux droits de l'homme des Nations Unies, Anand Grover, présentait les résultats de sa mission. Pour une fois, les Nations Unies avaient fait leur travail.

    Leurs principales conclusions : "La quantité de césium relâchée suite à l'accident nucléaire de la centrale de Fukushima est de l'ordre de 168 fois celle relâchée lors du bombardement de Hiroshima. Sans parler du Tellure, du Lanthane, et du Baryum".

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  3. Il prend également acte que "l'on ne peut appliquer à Fukushima les mêmes méthodes de maquillage de la réalité mobilisées après Tchernobyl, notamment en ce qui concerne les effets sanitaires désormais identifiés, (aberrations chromosomiques, hausse de la morbidité infantile, hausse du nombre de leucémie)".

    Selon Anand Grover : "on ne peut plus considérer comme négligeable les travaux scientifiques démontrant le lien entre une exposition durable aux faibles doses et le développement des cancers". Vous comprendrez facilement que cet homme a gentiment été remercié. Il est retourné en Inde, son pays d'origine.

    Ce zéro mort est une insulte aux Japonais, les 6 décédés dans les 7 mois qui ont suivis la catastrophe. Ces 6 employés ont reçu une dose entre 309 et 678 mSv, (la limite est de 1mSv pour la population et de 50 mSv pour les travailleurs du nucléaire). L'UNSCEAR a effectivement refusé de reconnaitre que leur décès est dû aux radiations.

    Mais la non-reconnaissance officielle d'un lien entre l'irradiation et la survenue du cancer en septembre 2016 de Monsieur Masao Yoshida, le directeur de la centrale, resté volontairement dans un milieu hautement radioactif, en pleine connaissance de cause, est véritablement une insulte à la mémoire de ce héros. Il est décédé en juillet 2013.C'est également nier les déclarations du gouvernement japonais qui le 17 décembre 2015 reconnaissait le premier cancer d'un ouvrier dû aux radiations, il avait été exposé à 19,8 mSv.

    C'est également nier les 202 cancers de la thyroïde chez les enfants reconnus par le Japon. Le docteur Hisako Sakiyama explique que les cancers observés chez les enfants ont une incidence plusieurs dizaines de fois supérieure à la normale. Dès août 2011, les examens montraient des traces radioactives dans la thyroïde de 45 % des enfants de Fukushima.

    Après enquête, quelles sont vos conclusions ? Elles sont différentes de celles des autorités...

    Si vous me parlez des conclusions des autorités japonaises, mes conclusions vont plus loin. Des personnes vont vivre sur des terres contaminées et recevoir des faibles doses sur une longue période, je pense que ce sont des milliers de cancers qui vont se déclarer dans les années à venir.

    Les autorités japonaises reconnaissent, les leucémies, les cancers des enfants, mais les études ne sont faites que pour la préfecture de Fukushima, et pour les cancers dus à l'iode radioactif.

    Rien n'est fait pour le césium, aucun examen anthropogammamétrique n'est réalisé. Or, le césium, qui a les mêmes propriétés que le potassium se met dans les muscles, le foie le pancréas, et le principale, le cœur. Le professeur Michel Fernex qui s'est rendu au Japon a été surpris de rencontrer des professeurs de médecine qui ne connaissaient rien aux travaux du professeur Belarus, Youri Bandhazevsky, et qui étaient surpris de trouver des infarctus du myocarde chez de jeunes enfants, ça c'est le césium. A 200 km de Fukushima, l'ACRO, (Association Contre la Radioactivité dans l'Ouest), a analysé 12 sacs aspirateurs, ils étaient tous avec une charge de 600 B/kg, donc les personnes qui vivent dans ces maisons vont avoir un cancer dans les années à venir.

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  4. Je rappelle que le journal Le Monde annonçait : le 05 juin 2013 "Des cancers de la thyroïde confirmés chez des mineurs de Fukushima" ; le 19 juillet 2013 "Fukushima : 2000 travailleurs exposés à un cancer de la thyroïde", 28 février 2013 : "Un risque de cancer accru près de la centrale de Fukushima".

    Arrivé là, je pense que vous avez compris, mes conclusions sont très différentes de celles des organismes internationaux tels que l'UNSCEAR, l'AIEA et l'OMS, qui travaillent tous main dans la main.

    Je vous rappelle l'accord OMS/AIEA signé en 1958 stipulait à l'article 151 : " La solution la plus satisfaisante serait de voir monter une génération qui s'accommoderait de l'ignorance et de l'incertitude".

    10 après la catastrophe, le Japon a finalement annoncé le rejet après traitement de plus d'un million de tonnes d'eau issue de la centrale dans l'océan. Quelles seront les conséquences ? La Réunion pourrait être concernée?

    Alors là, c'est une vaste plaisanterie. Le Japon relâche de l'eau radioactive depuis 10 ans. Cela va donc enfin être officiel le 13 avril. Rien de plus.

    Le journal Le Point publiait un article le 2 avril 2011 : "De l'eau radioactive s'écoule dans l'océan". Le 7 février 2016, on pouvait lire un article publié par Le Nouveau Paradigme : "Fukushima : 5 ans après, 1/3 des océans gravement contaminés". Le 12 août 2017, Ouest France : "Fukushima veut se laver dans le Pacifique". Le 13 août 2019, RFI : "Le Japon veut déverser l'eau de Fukushima dans le Pacifique". Le 15 septembre 2019, LCI : "Le Japon s'apprête à rejeter à la mer de l'eau contaminée ; stockée dans plus d'un milliers de citernes" etc... donc rien de nouveau.

    L'homme continue de polluer la planète et personne ne bouge, contrairement au changement climatique qui permet de lever des impôts et taxes supplémentaires.

    Je ne pense pas que La Réunion soit concernée, mais, qui sait ? Je ne connais pas les courants marins entre l'océan Pacifique et l'océan Indien.

    Quelles leçons doivent être tirées de ces catastrophes nucléaires ?

    Que le plus dangereux des radionucléïdes n'est ni l'iode, ni le césium, ni le strontium, mais le MENSONGE !

    Lors de la publication de ce fameux rapport de l'UNSCEAR, tous les médias français, hormis Le Monde, on fait le même titre : PAS D'EFFETS NEFASTE. C'est une honte !

    Les mêmes qui depuis 10 ans font des articles sur les dangers de Fukushima, qui ont fait des articles sur les cancers des enfants, sur le décès de Monsieur Masao Yoshida, mentent à présent sur les conséquences sanitaires de cette catastrophe.

    Qui ordonne une telle censure ? Oui, le plus dangereux, c'est le mensonge !

    https://fr.sott.net/article/37185-Catastrophe-nucleaire-de-Fukushima-Le-plus-dangereux-des-radionucleides-c-est-le-mensonge

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    1. Pareil que si vous mettez de la mort-aux-rats chez vous et qu'une souris en mange. Elle meurt 24 h après. Oui mais, le chat attrape et mange la souris avant les 24 h. Le chat meurt empoisonné.
      Maintenant, regardons la situation constatée en océans avec les poissons pêchés: Des traces de césium ont été constatées au Japon et dans le thon rouge examiné à l'Université de Los Angeles.
      Mais... de quoi se nourrit le thon ? Pourquoi n'y a t-il pas des milliers, des millions de poissons morts ? Parce que les poissons morts sont aussitôt mangés par d'autres poissons ? Donc: aujourd'hui, il ne devrait plus y avoir un seul poisson !

      Maintenant observons le magma. Cette masse ferrique incandescente éjecte continuellement dans les bassins maritimes & océaniques des milliards de milliards de virus qui remontent à la surface des eaux grâce aux gaz qu'elle produit. Ce devrait donc en premier lieu être à tous les poissons, coquillages & crustacés de mourir, mais, bizarrement, alors qu'ils en absorbent continuellement plus que tout être vivant terrestre, il n'y a pas de dépopulation poissonnière ! Çà alors ?
      Comment cela se fait-il que nous mangions du poisson (et coquillages et crustacés) et que nous n'en mourions pas ?

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  5. Techniques génomiques : l’Union européenne tresse une couronne mortuaire

    Pour mettre fin, en partie, à un capharnaüm juridique et un désastre agronomique, environnemental et nutritionnel (et évidemment économique), la Commission européenne propose… de nouvelles consultations.


    9 MAI 2021
    Par André Heitz.


    Depuis qu’elle s’est mise à l’agriculture et l’élevage pour subvenir à ses besoins, depuis Caïn et Abel, l’espèce humaine a pratiqué l’amélioration des plantes et des animaux, d’abord de manière involontaire (sélection naturelle sous l’influence de la main humaine), puis empirique, et enfin scientifique avec la redécouverte, en 1900, des lois de l’hérédité de Mendel et les progrès subséquents des connaissances en génétique.

    - voir graphique sur site -

    VINRENT LES OGM…

    L’avant-dernière « grande » addition à la palette d’outils à la disposition des généticiens et des sélectionneurs a été la transgenèse, produisant ce qu’on appelle communément des OGM, des « organismes génétiquement modifiés » au sens courant restreint car cette expression n’a aucune valeur scientifique.

    Le saut initial fut dans l’inconnu. Mais le premier OGM autorisé en 1992 et commercialisé de 1994 à 1996, a été la tomate Flavr Savr, un échec stratégique et commercial, accueilli avec curiosité aux États-Unis d’Amérique (non, ce n’était pas un maïs ou un soja tolérant le glyphosate, et ce n’était pas Monsanto…).

    On pouvait cependant avoir de légitimes appréhensions au vu des potentialités des techniques en cause, en particulier dans le domaine des micro-organismes (la conférence d’Asilomar organisée en 1975 par Paul Berg, futur prix Nobel, avait envisagé un moratoire sur les manipulations génétiques sur les bactéries, mais on lui avait préféré la mise en place de conditions de précaution et de sécurité renforcées). Et il y eut les manœuvres militantes technophobes et anticapitalistes.

    Tout cela a amené les législateurs à mettre en place une réglementation des OGM ou plutôt des plantes génétiquement modifiées : doivent être soumis à autorisation, notamment, la libération de ces organismes dans l’environnement, leur culture et leur utilisation en alimentation humaine et animale et, le cas échéant, industrielle.

    Les OGM autorisés font aussi l’objet de règles d’étiquetage, de traçabilité, de limite maximale de présence dans des aliments non GM, de contrôle a posteriori, etc.

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  6. … ET L’UNION EUROPÉENNE SE CABRA

    L’Europe – « l’Europe qui protège », même contre les fantômes – s’est particulièrement distinguée dans cet exercice. La Directive 2001/18/CE du Parlement européen et du Conseil du 12 mars 2001 relative à la dissémination volontaire d’organismes génétiquement modifiés dans l’environnement et abrogeant la directive 90/220/CEE du Conseil, déjà très contraignante en soi, a été appliquée sous la forme d’un labyrinthe sans issue pour les créateurs de variétés transgéniques.

    En pratique, un seul « événement », le maïs MON810 résistant à la pyrale et la sésamie, a réussi à franchir les obstacles dans un moment de courage politique de la Commission en avril 1998.

    S’il est encore cultivé aujourd’hui en Espagne, et un peu au Portugal, c’est que l’impuissance politique européenne trouve opportun de ne pas se frotter au dossier de réhomologation. Mais, nécessité faisant loi, l’Union européenne importe les produits GM qu’elle interdit à ses agriculteurs de produire…

    La pusillanimité politique a ajouté une couche supplémentaire : les États membres ont la faculté d’interdire la culture d’OGM sur la base de considérations en dernière analyse futiles et dérisoires… une faculté dont se prévaut du reste une France qui avait adopté, antérieurement à la modification de la directive européenne, une loi interdisant la culture de maïs GM.

    UNE SITUATION DEVENUE INTENABLE

    Ce bel édifice de technophobie a cependant été ébranlé par deux événements.

    D’une part, les « new breeding techniques » (NBT – nouvelles techniques de sélection) ou « nouvelles techniques génomiques » (NTG) se sont ajoutées à la boîte à outils des sélectionneurs. CRISPR-Cas9, qui a valu le prix Nobel de chimie à la Française Emmanuelle Carpentier et l’Américaine Jennifer Doudna, en est le représentant emblématique.

    Ces « ciseaux moléculaires » d’une grande précision (certes pas absolue) sont riches de potentialités sur les plans agronomique, environnemental, médical et nutritionnel et évidemment économique. Les premières réalisations sont du reste arrivées sur le marché.

    D’autre part, saisie par la Conseil d’État français, lui-même saisi par la Confédération paysanne et d’autres groupes s’opposant aux « variétés rendues tolérantes aux herbicides » (VrTH – en réalité, c’est « à des » herbicides ») par mutagenèse, la Cour de Justice de l’Union européenne a rendu le 25 juillet 2018 un arrêt ravageur (communiqué de presse ; arrêt ; article sur Contrepoints).

    En bref et en pratique, la directive « OGM » fait des variétés issues de la mutagenèse (des mutations provoquées) des OGM au sens de la directive (il s’ensuit que ces variétés ne devraient pas être cultivées en agriculture biologique… mais l’hypocrisie règne).

    Tout le fil vaut lecture :

    - voir sur site -

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  7. La directive doit s’entendre en ce sens que toutes les techniques nées après son adoption mènent à des OGM réglementés (c’est exprimé sous forme négative : « … les techniques de mutagenèse qui ont été traditionnellement utilisées pour diverses applications et dont la sécurité est avérée depuis longtemps sont exemptées de cette obligation » selon le communiqué de presse). Cela concerne une partie des NGT.

    Et les États membres ont la faculté de réglementer aussi des organismes qui ne sont pas réglementés par l’application stricte de la directive (lire en pratique : interdire à la culture).

    Le Conseil d’État a ajouté une couche supplémentaire : sur la foi des plaidoiries fallacieuses pour les unes, probablement insuffisantes pour les autres, il a décidé le 7 février 2020 que devaient également être soumises aux procédures d’autorisation, etc. les variétés issues d’une mutagenèse aléatoire in vitro (communiqué de presse ; décision ; analyse dans Contrepoints ici et ici).

    IL EST URGENT D’ATTENDRE

    Confrontées à ce désastreux capharanüm juridique, les instances de décision bruxelloises – la Commission et le Conseil – ont commencé par… regarder sans trop broncher la patate chaude.

    - voir sur site -

    Au bout de quelque 15 mois, le 8 novembre 2019, le Conseil (les États membres) adopta une décision ((UE) 2019/1904) « invitant la Commission à soumettre une étude à la lumière de l’arrêt de la Cour de justice dans l’affaire C-528/16 concernant le statut des nouvelles techniques génomiques ».

    Une décision mâtinée d’indécision : malgré un constat d’insuffisance et d’obsolescence clair, toutefois noyé dans un brouillard rhétorique, le Conseil demanda que l’étude commandée pour le 30 avril 2021 au plus tard soit accompagnée d’« une proposition, le cas échéant pour tenir compte des résultats de l’étude ».

    Le cas échéant ? La Commission pouvait même se contenter d’« informer [le Conseil] des autres mesures nécessaires pour donner suite à l’étude ».

    LA COMMISSION FAIT SERVICE MINIMUM

    La Commission aura eu l’obligeance de rendre sa copie le 29 avril 2021, avec un jour d’avance (communiqué de presse ; page dédiée ; résumé ; étude complète ; lettre à la présidence portugaise).

    Si vous cherchez quelque chose de révolutionnaire ou même d’inspirant, passez votre chemin. Avec une prudence d’eurocrate, la Commission s’est contentée de faire un état des lieux et de refléter les points de vue obtenus de droite et de gauche.

    Marcel Kuntz – l’un des rares scientifiques français en activité à oser s’exprimer sur les OGM dans l’optique de leurs contributions au progrès – résume dans European Scientist : « Nouvelles biotechnologies : la Commission européenne fait dans le en même temps ».

    Les « produits issus des NTG [nouvelles techniques génomiques] » peuvent apporter d’importants avantages, mais, « dans le même temps », il y a des « préoccupations que suscitent les produits issus des NTG et leurs applications actuelles et futures ».

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  8. Dans le même temps, « il existe de bonnes raisons de penser que la législation actuelle sur les OGM, qui date de 2001, n’est pas adaptée à certaines NTG et à leurs produits et qu’il est nécessaire de l’adapter au progrès scientifique et technologique » et il faut répondre aux « préoccupations » – on peut être tenté de lire : lâcher du lest face aux opposants.

    LA COMMISSION SE MET AU VERT

    La Commission s’est déjà mise au vert, avec le pacte vert et la stratégie de la ferme à la fourchette.

    Une forme de vert qui pose problème ici avec son objectif de 25 % de la surface agricole en agriculture biologique à l’horizon 2030 – dans une agriculture qui refuse obstinément le progrès génétique, même des avancées des décennies passées : il faut une certaine dose d’audace à la Commission pour affirmer que les NTG « peuvent promouvoir la durabilité de la production agricole, conformément aux objectifs de notre stratégie “De la ferme à la table” ».

    Mais la Commission s’est aussi mise au vert dans un autre sens. Elle a l’initiative législative mais entend l’exercer sur le mode « je ferai ce que vous me dites ».

    Déclaration de Mme Stella Kyriakides, commissaire à la Santé et à la Sécurité Alimentaire, dans le communiqué de presse :

    … Tout en gardant la sécurité des consommateurs et de l’environnement comme principe directeur, il est temps d’avoir un dialogue ouvert avec les citoyens, les États membres et le Parlement européen afin de décider ensemble de la voie à suivre en matière d’utilisation de ces biotechnologies dans l’Union.

    AMBITION MINIMALE

    La Commission donne toutefois quelques indications sur la marche à suivre proposée dans sa lettre à la Présidence.

    Ce sera (en principe, sauf surprise improbable des États membres) restreint à la mutagenèse ciblée et la cisgenèse (l’insertion de gènes provenant de la même espèce ou d’espèces suffisamment voisines pour pouvoir s’hybrider avec la plante cultivé). Ne seraient concernées que les plantes – à l’exclusion des animaux et des micro-organismes, ainsi que des produits médicinaux.

    Ce sera long, avec par exemple une étude d’impact préliminaire pour le troisième trimestre de 2021, suivie par des consultations élargies. L’actuelle Commission von der Leyen peut dormir tranquille jusqu’à la fin de son mandat… mission accomplie.

    La chienlit réglementaire et ses dégâts économiques conséquents ont donc toutes les chances de perdurer pour les variétés issues de la transgenèse. Le courage aura manqué pour refonder la réglementation sur la seule base raisonnable, en fonction des caractéristiques du produit final plutôt que du procédé utilisé pour le produire.

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  9. L’art de la divination est certes difficile (surtout lorsque cela concerne l’avenir), mais la Commission a écrit à la Présidence :

    L’action envisagée pour les plantes issues de la mutagenèse ciblée et de la cisgenèse visera à assurer une surveillance réglementaire proportionnée des produits végétaux concernés en adaptant, comme le justifiera la future analyse d’impact, les procédures d’évaluation des risques et d’autorisation ainsi que les exigences en matière d’étiquetage et de traçabilité. Elle maintiendrait les objectifs de la législation actuelle en ce qui concerne un niveau élevé de protection de la santé humaine et animale et de l’environnement.

    Le principe de précaution a donc toutes les chances de rester un outil de destruction massive de l’innovation… et de nos économies européennes.

    POUR UN NOUVEAU TOUR DE PISTE

    Reconnaissons que la Commission n’a pas eu la tâche facile.

    Ce dossier est empoisonné, sur le plan tant interne – avec des politiques et des commissaires engagés à fond pour les délires verts illustrés par exemple par le pacte vert (Green Deal) et la stratégie « de la ferme à la fourchette » – qu’externe au niveau des États membres et des opinions dites publiques.

    Elle a probablement fait de son mieux compte tenu des circonstances.

    Le bilan peut être exprimé par le titre du communiqué de presse :

    Biotechnologies : la Commission souhaite un débat public sur les nouvelles techniques génomiques, car une étude montre qu’elles peuvent contribuer à une agriculture durable et qu’une nouvelle politique est nécessaire en la matière.

    Il va sans dire que l’« opposphère » s’est déjà manifestée, à l’instar de l’IFOAM – Organics International avec ses arguments anti-OGM éculés, ou encore Greenpeace qui va trouver là de quoi alimenter son fonds de commerce.

    On imagine déjà les réactions d’un Parlement européen qui, de façon pavlovienne et à une large majorité, adopte des résolutions non contraignantes (toujours utiles pour le signalement de la vertu) pour s’opposer aux autorisations d’importation et d’utilisation d’OGMs pour l’alimentation humaine et animale (la dernière en date).

    On imagine les débats au sein du Conseil, déjà dans la configuration actuelle et encore plus si les Verts deviennent majoritaires, ou seulement incontournables, en Allemagne.

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  10. UN ENTERREMENT DE PREMIÈRE CLASSE

    Pendant ce temps, le reste du monde avance, particulièrement dans les Amériques et en Chine, devenue leader mondial en matière de brevets sur les NTB.

    Il restera la possibilité pour certains acteurs économiques français et européens de délocaliser leur recherche de pointe à l’étranger. Florimond Desprez, un fleuron national de la filière variétale et semencière fait déjà de la transgenèse en Argentine pour produire des variétés résistantes à la sécheresse. Calyxt, succursale du groupe pharmaceutique français Cellectis, a produit un soja riche en acide oléique aux États-Unis d’Amérique…

    Et en Europe, on va discuter pour savoir comment on organisera une consultation publique…

    Lorsque les travaux auront abouti, si jamais on y parvient, il sera trop tard.

    Pour conclure sur une note positive, mais sarcastique, l’exercice a au moins contribué à stabiliser le vocabulaire : il est maintenant question de « NTG », de « nouvelles techniques génomiques ». Quel progrès !

    - voir graphique sur site -

    https://www.contrepoints.org/2021/05/09/397031-union-europeenne-couronne-mortuaire-pour-les-techniques-genomiques

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  11. La pauvreté camouflée par la richesse


    Marie-France de Meuron
    reseauinternational.net
    sam., 08 mai 2021 19:16 UTC


    La pauvreté induit le sentiment de se percevoir démuni, désemparé, dans la situation vécue à l'instant présent. La façon de présenter le coronavirus à la population soulignera cet état ou, au contraire, incitera les individus à découvrir leurs richesses pour gérer leurs états de santé, les renforcer et créer de nouvelles conditions existentielles.

    La gouvernance mondiale a la prétention de gérer la santé publique et se sent riche de l'argent issu du travail du peuple, sommes qu'ils choisissent de répartir selon leurs impulsions économiques. Ainsi, ils prévoient : Vaccin Covid : 157 milliards pour s'offrir l'immunité de groupe mondiale.

    A quoi s'ajoutent les frais de La crise : «Les mesures de restrictions coûtent 750 millions de francs par semaine, soit environ 100 millions quotidiennement», a déclaré le conseiller fédéral UDC Ueli Maurer, samedi lors de l'assemblée des délégués de son parti. Il a donné un aperçu des finances de la Confédération et s'est inquiété des répercussions sociétales de la crise.

    L'usage de la science dans ses vastes dimensions s'est aussi appauvri au profit de l'industrie : Quand l'industrie préempte la science.

    Cela va de pair avec le déclin des activités de recherches : - notamment sous la pression aussi des actionnaires exigeant davantage de dividendes -. Ce qui est en cause, c'est donc le raisonnement stratégique qui domine parmi les « Big Pharma » depuis des années.

    La pauvreté en médecine a été mise en évidence par les protocoles gouvernementaux : En concentrant la majorité de nos interventions sur la seule réduction des transmissions virales, pour tous et partout, sans considération des vulnérabilités, besoins et capacités de chacun, nous adoptons une vision unidimensionnelle de la santé et perdons en efficacité face au coronavirus. Par là, le principe premier de la médecine « D'abord ne pas nuire » a perdu sa place d'honneur. De plus, cette appauvrissement a eu de fortes répercussions sur les enfants : Si les enfants sont moins touchés que le reste de la population par le Covid-19 et ses formes graves,la crise sanitaire et sa gestion ont eu un fort retentissement sur eux. Leur développement, leur qualité de vie et leur santé physique et mentale sont fortement affectés notamment du fait de soins curatifs et préventifs différés, de la dégradation de leurs conditions d'apprentissage, et des possibilités que leur offre leur cadre familial. Les enfants ont également été davantage exposés à la sous-alimentation, à la sédentarité, aux écrans, aux accidents domestiques et aux violences intrafamiliales. « Autrement dit, la richesse naturelle des enfants, leurs élans vitaux, a été fortement dénaturée.

    A l'autre pôle de la société, les aînés ont souffert jusqu'à en mourir de l'appauvrissement des relations affectives et, en parallèle les soignants : Depuis plusieurs mois, les témoignages de drames personnels et la dénonciation de reculs éthiques dans les lieux de prise en charge des plus fragiles se sont multipliés. La logique administrative sanitaire a écrasé les principes d'humanité. Cette période a été marquée par des manquements graves à notre devoir de civilisation. »

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  12. Sur un tout autre plan, la pauvreté de la connaissance des perceptions des individus est camouflée derrière une générosité purement matérielle et facile pour motiver les Américains à la vaccination : « Si aller vers eux est un premier pas, reste à encourager les Américains encore réticents et peu motivés par la vaccination. Pour cela, Joe Biden a annoncé « travailler avec d'importantes entreprises, comme les supermarchés », afin de garantir des « promotions aux acheteurs qui viennent dans ces magasins se faire vacciner ». Des réductions sur des tickets pour des matches de sport sont également envisagées pour ceux allant se faire vacciner, a-t-il dit..... Plus insolite, Phil Murhpy, gouverneur du New Jersey, a annoncé le lancement du programme « Shot and a Beer » (comprendre : « une injection et une bière »), qui propose aux habitants de plus de 21 ans cet État de recevoir une bière gratuite en échange d'une dose. Ainsi, on revient au temps des Romains : du pain et des jeux. C'est pour de telles raisons que l'empire s'est dégradé comme ici la conscience des conséquences d'un produit vaccinal injecté dans les organismes humains complexes.

    L'écart énorme entre le manque et la bulle apparaît magistralement quand on considère : La dette Covid, vrai ou faux problème ?

    « De la mesure en tout » a déclaré Cléobule de Lindos (v. 630-v. 560 av. J.-C.) Personnage à la fois historique et mythique, était un homme politique de la Grèce antique, souverain de Lindos, l'une des trois cités de l'île de Rhodes. Nous en sommes loin quand au lieu de donner de la formation et du travail aux jeunes plein de forces vitales, ils doivent s'alimenter aux Restos du coeur.

    Comment dire... c'est effarant. La France, championne de la redistribution, n'en finit pas de redistribuer. Pour quel résultat ? On dépense chez nous « un pognon de dingue », comme dit notre Président....

    Une pauvreté d'un autre ordre s'est aussi répandue tout azimut :Pauvreté des arguments concernant le port du masque. Le sujet est bien plus vaste quand on considère le masque non pas en soi mais dans tout ce qu'il représente pour celui qui se tient derrière et qui en respire l'air confiné : Le débat autour de l'obligation du port du masque néglige de prendre en compte la signification sociale du geste ainsi que les considérations éthiques de respect de la diversité des opinions en matière de tolérance au risque. L'argumentaire est simpliste : Ils me disent que « c'est un petit effort demandé pour sauver des vies ». Justement, non. Ce n'est pas que cela.

    La pauvreté se révèle aussi dans la limitation des facultés psychiques, ce qui restreint différentes capacités humaines. La politique est menée non pas par des êtres vertueux désincarnés, mais par des êtres humains normaux, c'est-à-dire ayant des intérêts, des préférences individuelles et répondant aux incitations de leur milieu. Voilà la grande leçon de James M. Buchanan.

    La restriction du développement donc l'appauvrissement des potentiels humains se perçoit aussi dans toutes les décisions qui imposent une façon limitée de s'instruire : Ce mercredi 28 octobre, Emmanuel Macron annonçait la fermeture des universités ainsi que la reprise des cours en ligne.

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  13. La polarité entre la pauvreté et la richesse est magistralement sonorisée par les salles de concert vides et celle où fut chantée l'Ode à la Joie qui permet tant aux chanteurs qu'aux spectateurs de s'épanouir.

    Que suis-je ? Pauvre ou riche ? Tout dépend si je me soumets sans conscience aux mesures imposées par les dirigeants ou si je profite de la situation pour suivre l'adage de Delphes : «Connais-toi toi-même et tu connaîtras l'univers et les dieux». Autrement dit développer les connaissances de mes potentiels et de mes capacités afin d'utiliser les expériences de l'existence pour découvrir les richesses de la Vie.

    https://fr.sott.net/article/37187-La-pauvrete-camouflee-par-la-richesse

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    1. L'escroquerie est d'inventer la dette qui n'existe pas puisque l'argent prêté n'existe pas lui-même !!
      Il ne s'agit que de chiffres alignés sur ordinateur mais NON-REMBOURSABLES par ordinateur perso mais... en billets de banques !

      Puis d'inventer une épidémie pandémique !
      Puis d'inventer 'de nouveaux variants' alors qu'il s'agit de Nouveaux virus fabriqués et relâchés tous les 15 jours ici ou là.
      Puis d'inventer un 'vaccin fabriqué en 24 h' ! (alors qu'il faut entre 10 et 15 ans !).
      Puis d'inventer qu'il y a plus de virus dans un petit magasin qu'en grande surface !
      Puis d'inventer qu'il faut rester chez soi plutôt que de sortir dehors !
      Puis qu'il y a des virus sur les produits non-essentiels !
      Puis que les virus sortent la nuit de 20 h à 6 h du matin !

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  14. L'armée chinoise a discuté de l'armement du COVID en 2015 (pour provoquer l'effondrement du système médical de l'ennemi'


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 08 MAI 2021-21: 00


    En 2015, des scientifiques militaires chinois ont discuté de la manière de militariser les coronavirus du SRAS, cinq ans avant l'émergence de la pandémie COVID-19 à Wuhan, en Chine - où les scientifiques du PCC collaboraient avec une ONG financée par les États-Unis sur une soi-disant recherche sur le 'gain de fonction' les coronavirus de chauve-souris infectent plus facilement les humains.

    Dans un document de 263 pages, rédigé par des scientifiques de l'Armée populaire de libération et de hauts responsables chinois de la santé publique et obtenu par le département d'État américain au cours de son enquête sur les origines du COVID-19, les scientifiques de l'APL notent comment une soudaine augmentation de patients nécessitant une hospitalisation lors d'une une attaque par arme biologique "pourrait provoquer l'effondrement du système médical de l'ennemi", selon The Weekend Australian (une filiale de News Corp).

    Il suggère que les coronavirus du SRAS pourraient annoncer une "nouvelle ère d'armes génétiques", et a noté qu'ils peuvent être "artificiellement manipulés dans un virus de maladie humaine émergente, puis militarisés et déchaînés d'une manière jamais vue auparavant".

    Les présidents des comités des affaires étrangères et du renseignement britannique et australien, Tom Tugendhat et James Paterson, affirment que le document soulève des préoccupations majeures concernant le manque de transparence de la Chine sur les origines du COVID-19.

    L’article en langue chinoise, intitulé L’origine non naturelle du SRAS et les nouvelles espèces de virus artificiels en tant qu’armes biologiques génétiques, décrit les progrès de la Chine dans le domaine de la recherche sur la guerre biologique.

    «Suite aux développements dans d'autres domaines scientifiques, il y a eu des progrès majeurs dans la distribution d'agents biologiques», déclare-t-il.

    «Par exemple, la nouvelle capacité de lyophiliser des micro-organismes a permis de stocker des agents biologiques et de les aérosoliser lors d'attaques.»

    Dix des auteurs sont des scientifiques et des experts en armement affiliés à l'Université de médecine de l'armée de l'air à Xi'an, classée «à très haut risque» pour son niveau de recherche en matière de défense, y compris ses travaux sur les sciences médicales et psychologiques, selon la politique stratégique australienne. Tracker des universités de défense de l'Institut.

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  15. L'Université de médecine de l'armée de l'air, également connue sous le nom de quatrième université médicale, a été placée sous le commandement de l'APL sous les réformes militaires du président Xi Jinping en 2017. Le rédacteur en chef du journal, Xu Dezhong, a rendu compte à la haute direction de la Commission militaire chinoise et le ministère de la Santé lors de l'épidémie de SRAS de 2003, les informant 24 fois et préparant trois rapports, selon sa biographie en ligne. -L'Australien

    "Nous avons pu vérifier son authenticité en tant que document rédigé par les chercheurs et scientifiques de l'APL en particulier", selon Robert Potter, un spécialiste de la criminalistique numérique qui a travaillé pour les gouvernements américain, australien et canadien - et a déjà analysé les documents du gouvernement chinois divulgués. , selon le rapport. "Nous avons pu localiser sa genèse sur Internet chinois."

    L'ancien secrétaire d'État américain Mike Pompeo et son conseiller en chef pour la Chine, Miles Yu, ont fait référence au document dans un éditorial de février dans le Wall Street Journal, écrivant qu '"Une étude de 2015 de la PLA a traité l'épidémie de coronavirus du SRAS de 2003 comme une` `arme génétique contemporaine 'lancé par des forces étrangères. "

    Et selon Peter Jennings, directeur exécutif de l'Australian Strategic Policy Institute, "Il n'y a pas de distinction claire pour la capacité de recherche car le fait de savoir si elle est utilisée de manière offensive ou défensive n'est pas une décision que ces scientifiques prendraient", ajoutant: "Si vous développez des compétences apparemment pour Protégez votre armée d'une attaque biologique, vous donnez en même temps à votre armée la capacité d'utiliser ces armes de manière offensive. Vous ne pouvez pas séparer les deux. "

    L'étude examine également les conditions optimales dans lesquelles libérer une arme biologique. «Les attaques par armes biologiques sont mieux menées à l'aube, au crépuscule, la nuit ou par temps nuageux, car la lumière du soleil intense peut endommager les agents pathogènes», déclare-t-il. «Les agents biologiques devraient être libérés par temps sec. La pluie ou la neige peuvent provoquer la précipitation des particules d'aérosol.

    "Une direction du vent stable est souhaitable pour que l'aérosol puisse flotter dans la zone cible."

    Parmi les affirmations les plus bizarres des scientifiques militaires, il y a leur théorie selon laquelle le SRAS-CoV-1, le virus qui a causé l'épidémie de SRAS de 2003, était une arme biologique artificielle, délibérément lâchée sur la Chine par des «terroristes». -L'Australien

    La nouvelle du document fait suite à un rapport du 3 mai selon lequel l'Institut de virologie de Wuhan travaillait avec le gouvernement chinois dans une équipe composée de cinq experts militaires et civils, "qui ont mené des recherches dans les laboratoires WIV, les laboratoires militaires et d'autres laboratoires civils menant à" la découverte d'agents pathogènes animaux [agents biologiques qui causent des maladies] chez les animaux sauvages », selon Epoch Times.

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  16. Et comme nous l'avons noté en mars, les National Institutes of Health (NIH) des États-Unis - dirigés par le Dr Anthony Fauci, "avaient financé un certain nombre de projets impliquant des scientifiques de WIV, y compris une grande partie des travaux du laboratoire de Wuhan sur les coronavirus des chauves-souris."

    En 2017, l'agence Fauci a repris le financement d'une subvention controversée pour modifier génétiquement les coronavirus des chauves-souris à Wuhan, en Chine, sans l'approbation d'un organisme de surveillance gouvernemental, selon le Daily Caller. Pour rappel, en 2014, l'administration Obama a suspendu temporairement le financement fédéral pour la recherche sur le gain de fonction sur les coronavirus de chauve-souris. Quatre mois avant cette décision, les NIH ont effectivement transféré cette recherche à l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) via une subvention au groupe à but non lucratif EcoHealth Alliance, dirigé par Peter Daszak.

    Le premier versement de 666 442 $ des NIH de la subvention de 3,7 millions de dollars d'EcoHealth a été payé en juin 2014, avec des paiements annuels similaires jusqu'en mai 2019 dans le cadre du projet «Understanding The Risk Of Bat Coronavirus Emergence».

    - voir cadre sur site -

    Notamment, le WIV «avait ouvertement participé à des recherches sur le gain de fonction en partenariat avec des universités et institutions américaines» pendant des années sous la direction du Dr Shi 'Batwoman' Zhengli, selon Josh Rogin du Washington Post.

    Nous avons donc maintenant un document de 2015 de l'armée chinoise décrivant l'utilisation de COVID comme arme biologique - quatre ans avant que la pandémie de COVID-19 n'éclate à quelques kilomètres d'un laboratoire chinois travaillant à rendre le COVID de chauve-souris plus transmissible aux humains, et vous êtes un théoricien du complot colportant des «mensonges démystifiés» si vous pensez qu'ils pourraient être liés.

    Et pour ceux qui disent que ''le COVID-19 ne peut pas être d'origine humaine parce qu'un virus créé en laboratoire aurait des signes révélateurs de manipulation '' - au contraire. Comme Nicholas Wade l’a fait remarquer il y a trois jours dans le Bulletin of the Atomic Scientists, "les nouvelles méthodes, appelées approches" sans vue "ou" sans couture ", ne laissent aucune trace déterminante. Les autres méthodes de manipulation des virus telles que le passage en série, le transfert répété de virus d'une culture de cellules à une autre. Si un virus a été manipulé, que ce soit avec une méthode transparente ou par passage en série, il n'y a aucun moyen de savoir que c'est le cas. "

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  17. C'est comme si la réponse douloureusement évidente était juste devant nous, pour être enveloppée de propagande par des politiciens amis de la Chine, des grandes technologies et des organes de presse couvrant ce qui devrait être le jeu de connexion le plus simple de la planète. . Heureusement, ce qui était tabou il y a encore un an sera bientôt exposé au monde entier, grâce au Bulletin Of Atomic Scientists qui a osé plus tôt cette semaine ouvrir le virus Wuhan "Pandora's Box" ...

    https://www.zerohedge.com/covid-19/chinese-military-discussed-weaponizing-covid-2015-cause-enemys-medical-system-collapse

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  18. Pourquoi les Californiens ont des factures d'électricité très élevées


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 08 MAI 2021-15: 04
    Rédigé par Irina Slav via OilPrice.com,


    Les Californiens paient pour une partie de l'électricité la plus chère des États-Unis. Ils vivent également dans l'un des états les plus verts, du moins du point de vue énergétique. La Californie ne fera que devenir plus verte. Pendant ce temps, les factures d'électricité devraient continuer à augmenter. Certains nient qu'il existe un lien entre les deux.

    Les faits montrent le contraire.

    Un article de la California Public Utilities Commission publié plus tôt cette année a identifié les plans de l'État pour réduire les émissions de gaz à effet de serre en adoptant davantage d'énergie renouvelable comme un facteur important pour des factures de services publics plus élevées et les attentes de nouvelles augmentations des tarifs d'électricité dans les années à venir.

    Le rapport indique que si les plans de l'État pour réduire les émissions auront un impact négatif sur les factures d'électricité, un passage concerté à ce que les auteurs appellent «tous les foyers électriques et véhicules électriques» pourrait entraîner une baisse substantielle des factures mensuelles. Cependant, cela nécessiterait un investissement initial important, impossible à assumer par les ménages à revenu moyen et faible.

    "En l'absence de subventions et d'options de financement à faible coût, cela pourrait créer des problèmes d'équité pour les ménages à revenu faible à modéré et exacerber les disparités existantes en matière d'accessibilité à l'électricité", indique le rapport.

    Mais financer une telle transition hypothétique vers «tous les foyers électriques et véhicules électriques» n'est qu'une partie du problème. Une autre partie, ironiquement, concerne les systèmes d'énergie distribuée.

    Un rapport de mars dans CalMatters résumait les raisons des factures d'électricité élevées des Californiens comme suit: premièrement, la taille et la géographie de l'État rendent les coûts fixes associés à l'entretien de son réseau plus élevés que dans la plupart des autres États; deuxièmement, les ménages disposant d'installations solaires sur les toits ne paient pas ces coûts fixes même s'ils utilisent le réseau. Et tout cela aggrave le fossé entre les Californiens riches et moins riches, rendant l'électricité de moins en moins abordable pour ces derniers.

    Les installations solaires distribuées semblent être abordables uniquement pour les citoyens les plus riches de l'État. Ils peuvent se permettre les coûts initiaux et bénéficier ensuite de factures d'électricité moins élevées, selon l'un des auteurs d'une étude Haas Business School de l'UC Berkeley que CalMatters a citée dans son rapport.

    L'énergie solaire est régulièrement présentée comme moins chère, dépassant même le prix abordable des combustibles fossiles. La vérité, cependant, est que les baisses de coûts qui ont été célébrées par les lobbies des énergies renouvelables ne concernent que les panneaux photovoltaïques. Certes, toute baisse des coûts de l'énergie solaire est une bonne nouvelle, mais ce que la plupart des rapports oublient de mentionner, c'est que ce ne sont pas seulement les panneaux qui font des fermes solaires ou même des installations sur les toits.

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  19. Outre les panneaux, les installations solaires impliquent également d'autres composants - dont les coûts ne baissent pas - et il y a le coût d'installation. Pris ensemble, tous ces éléments constituent une somme assez lourde, ce qui explique pourquoi ce sont les riches Californiens qui profitent des programmes de l'État visant à encourager l'adoption de sources d'énergie à faible émission de carbone. Ce sont également eux qui en récoltent les bénéfices aux dépens des Californiens les plus pauvres.

    La Californie a quelque chose appelé un programme de comptage d'énergie nette (NEM) qui paie essentiellement les propriétaires d'installations solaires pour alimenter le réseau en électricité. Une analyse du système entre 2017 et 2019, a rapporté récemment Utility Dive, montre que les coûts du programme s'élevaient à 9,46 milliards de dollars, tandis que les avantages s'élevaient à 7,96 milliards de dollars. Une autre étude du programme, axée sur les factures des clients, a révélé que les avantages du programme s'élevaient à 7,58 milliards de dollars, tandis que les coûts atteignaient 20,58 milliards de dollars et une grande partie de cette somme était assumée par les personnes qui ne pouvaient pas se permettre d'acheter un toit solaire. installation.

    Et pourtant, la Californie va de l'avant avec ses plans d'électrification comme le seul moyen vraisemblablement viable de réduire les émissions. Pendant ce temps, les services publics de l'État se préparent pour un autre été chaud avec d'éventuelles pannes de courant au menu. Selon le nouveau chef de l'exploitation de CAISO, la Californie verra une capacité de production supplémentaire - et surtout de stockage - entrer en ligne cette année, mais l'offre restera serrée en raison du retrait des centrales au gaz et d'une centrale nucléaire.

    Ces installations retirées sont remplacées par des énergies renouvelables, en grande partie solaires. L'été dernier, l'énergie solaire a été l'un des coupables des pannes d'électricité en Californie, car la production des fermes solaires diminue exactement au moment où la demande d'électricité augmente, le soir, et la capacité de stockage était loin d'être suffisante pour gérer l'écart. Cet été, en tant que directeur de l'exploitation de CAISO, Mark Rothleder, "nous veillerons à ce que les fournisseurs de ressources de stockage comprennent comment nous nous attendons à ce qu'ils exploitent le système afin que le stockage soit disponible en cas de besoin pour répondre à la demande de pointe nette difficile dans des conditions estivales difficiles."

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  20. Le gouvernement californien a certainement du pain sur la planche pour réduire les émissions. D'une part, les factures d'électricité augmentent avec la capacité des énergies renouvelables et le retrait des centrales à combustibles fossiles. D'autre part, la fiabilité du réseau laisse beaucoup à désirer. Faire face aux factures exigera un investissement massif, car les personnes les plus touchées par les tendances des tarifs d'électricité ne peuvent tout simplement pas se permettre d'assumer cette facture également. Faire face à la fiabilité du réseau nécessitera également des investissements. Ce ne serait rien de moins qu'une transformation du réseau de l'État qui impliquerait beaucoup, beaucoup de capacité de stockage d'énergie. Du côté positif, cependant, les émissions de la Californie ont considérablement baissé depuis 2000.

    https://www.zerohedge.com/energy/why-californians-have-sky-high-electricity-bills

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  21. MÉFIEZ-VOUS DE CETTE NOUVELLE ARNAQUE TÉLÉPHONIQUE


    par JEAN-BAPTISTE GIRAUD
    07/05/2021


    Des centaines d'euros d'appels vers l'Afrique soutirées aux victimes.

    J’ai décidé de terminer la semaine en vous alertant sur une nouvelle arnaque qui prend de l’ampleur depuis quelques semaines. Une arnaque téléphonique, une fois n’est pas coutume.
    Ne pas rappeler au numéro indiqué

    Votre téléphone sonne. Pas le portable, mais le téléphone fixe. Fort logiquement, vous décrochez. Au bout du fil, une jeune femme prétend travailler pour votre opérateur téléphonique, et procéder à des vérifications sur la ligne, pour éviter qu’elle ne soit coupée à cause de travaux.

    Fort logiquement, la menace d’être privé de téléphone mais aussi d’Internet étant suffisamment inquiétante, vous écoutez ce qui vous est dit. Et quand l’opératrice vous demande de rappeler à un numéro, vous vous exécutez. Manque de bol, le numéro en question, prétendument gratuit, est en réalité un numéro payant, qui vous envoie à l’étranger.

    Des centaines d'euros perdus

    Certaines victimes se retrouvent un ou deux mois plus tard avec des centaines d’euros d’appels vers l’Afrique. La variante de cette arnaque, c’est le message sur le répondeur, qui incite également à rappeler un numéro, toujours soi-disant gratuit. Maintenant, si vous, ou l’un de vos proches, êtes victime d’une telle arnaque, ne vous laissez pas faire.

    Tous les opérateurs disposent d’une cellule chargée de gérer ces problèmes. Et en insistant, on obtient un remboursement total ou partiel de ces appels surtaxés. Et pour éviter que cela vous arrive un jour, il est également possible de bloquer tous les appels vers les numéros surtaxés, mais aussi vers l’étranger.

    http://www.economiematin.fr/news-mefiez-vous-arnaque-telephonique

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  22. TOUS LES JOURS LES EOLIENNES MASSACRENT DES MILLIARDS D'ABEILLES !

    Attention aux abeilles : Walmart dit aux agriculteurs états-uniens comment cultiver leurs terres


    9 Mai 2021
    par Seppi
    Amanda Zaluckyj*


    Walmart a annoncé que ses fournisseurs de produits frais allaient être soumis à de nouvelles exigences visant à protéger les populations d'abeilles. Dans un communiqué de presse détaillant les changements à venir, le méga-distributeur a évoqué les images d'un monde sans jus d'orange, sans salade de fraises et sans tarte aux pommes. Il souligne que nous devrons tous mettre la main à la pâte pour ne pas voir un monde sans abeilles.

    Walmart demande deux choses importantes à ses producteurs. Premièrement, il encourage les fournisseurs de produits frais à « protéger, restaurer ou créer des habitats pour les pollinisateurs d'ici 2025 sur au moins 3 % des terres qu'ils possèdent [...] et à rendre compte des progrès annuels ». Il demande également à ses producteurs de mettre en place un système de lutte intégrée contre les parasites certifié par une tierce partie. Et il encourage les fournisseurs à éliminer progressivement certains pesticides néonictinoïdes.

    Tout cela me fait lever les yeux au ciel. Il n'y a rien de mal en soi à vouloir protéger les pollinisateurs. En fait, les abeilles sont très importantes pour les agriculteurs ; sans elles, beaucoup de nos cultures ne pousseraient pas. Comme tout le monde, nous aimons aussi manger ces produits, qui sont importants pour une alimentation équilibrée. Un monde sans abeilles serait donc catastrophique pour tous, y compris pour ceux qui sont dans l'agriculture.

    Le problème, c'est que le discours des médias sur l'apocalypse des abeilles est exagéré et erroné. Il est vrai que certaines espèces d'abeilles sauvages ont été ajoutées à la liste des espèces menacées au cours de la dernière décennie. Mais les abeilles domestiques n'ont jamais été en danger. Oui, nous avons constaté un certain déclin des populations au début des années 2000 en raison du syndrome d'effondrement des colonies. Mais le CCD [colony collapse disorder] a brusquement pris fin en 2011, et rien ne prouve que les pesticides en fussent la cause. Depuis lors, les populations d'abeilles domestiques ont rebondi pour atteindre les niveaux les plus élevés de la décennie.

    Mais certains groupes d'activistes ont profité du CCD et d'un regain d'intérêt pour les abeilles. Ils ont essayé de diaboliser les pesticides néonicotinoïdes qu'ils veulent tant interdire, malgré l'absence de preuves convaincantes reliant ces outils de protection des plantes au déclin des abeilles. Nous voyons que cela se reflète dans l'annonce de Walmart. Elle donne l'impression que les agriculteurs sont un groupe de païens insensibles et déterminés à détruire le monde. Oui, nous pulvérisons autant de pesticides que possible, sans aucun soin ni préoccupation, parce que nous voulons tuer toutes les abeilles ! Dieu merci, notre géant Walmart est là pour nous sauver !

    Levez vos yeux au ciel ! Désolé, ce n'est pas comme ça que nous fonctionnons. Ce serait donc formidable si tout le monde cessait d'attribuer le problème à l'agriculture (dans la mesure où il y a un problème). En réalité, nos fermes fournissent de nombreux habitats naturels pour d'heureux pollinisateurs. Et l'agriculture emploie et soutient des apiculteurs qualifiés qui peuvent prendre soin des ruches et les entretenir correctement. Les grands parkings de Walmart ne font pas cela.

    En toute honnêteté, je doute que Walmart ait jamais vraiment considéré tout cela. Sauver les abeilles donne bonne conscience. C'est un geste fort de vertu. Qui va discuter de ça ? (Moi, apparemment.) Ils ont donc donné des ordres à leurs agriculteurs et leur ont fait porter le chapeau. Cela met certainement ces agriculteurs dans le pétrin ; suivez leurs exigences arbitraires pour un problème qui n'existe pas ou vous n'avez plus de marché pour vos produits.

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  23. Écoutez, je suis tout à fait pour la gestion de l'environnement. La société a longtemps ignoré à quel point les abeilles sont importantes pour notre mode de vie moderne. Je suis heureux que les gens y prêtent attention. Et il y a certainement des choses que nous pouvons tous faire pour favoriser la santé des pollinisateurs, comme utiliser des plantes à fleurs dans nos aménagements paysagers. Ce qui me pose problème, c'est que Walmart rejette la faute sur les agriculteurs sans avoir la preuve que cette nouvelle initiative est tout sauf fructueuse. En attendant, il y a probablement beaucoup de choses que Walmart pourrait faire pour être plus respectueux de la Terre.

    Cela nous ramène à un point plus large que j'ai toujours essayé de faire valoir. Si vous êtes préoccupé par les abeilles, le changement climatique, l'eau propre ou l'air pur, les agriculteurs sont la solution et non le problème.
    ______________

    * Amanda Zaluckyj blogue sous le nom The Farmer's Daughter USA. Son objectif est de promouvoir les agriculteurs et de lutter contre la désinformation qui tourbillonne autour de l'industrie agroalimentaire américaine.

    Source : Bee Careful: Walmart is Telling Farmers How to Farm - The Farmer's Daughter USA (thefarmersdaughterusa.com)

    https://seppi.over-blog.com/2021/05/attention-aux-abeilles-walmart-dit-aux-agriculteurs-etats-uniens-comment-cultiver-leurs-terres.html

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    1. Faut dire qu'aux Etats-Unis, depuis quelques années, les températures hivernales avoisinent les -40°C !! et, si on crie "Hourra y a plus de bestioles au jardin !", il y a un nombre d'abeilles en moins alors que depuis plus de 50 ans est utilisé le Round'Up de Monsanto sans qu'il n'y ait de mortalité des abeilles !
      Et, comme pour augmenter les prix faut trouver un responsable, le trou-de-cul de Walmart à choisi le farmer-du-coin !

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  24. Les lycéens californiens disent non grâce aux campus rouverts et restent à la maison


    Par PALOMA ESQUIVEL, HOWARD BLUME
    9 MAI 2021 5 h HP


    Au cours de la première semaine d'apprentissage en personne au lycée Panorama, la professeure d'art dramatique Patricia Francisco s'est tenue dans le mini-théâtre pour parler Zoom à sa classe de théâtre. Deux lumières de la scène éclairaient son visage alors qu'elle parlait à sa caméra. Les étudiants se connectaient depuis leur domicile ou depuis des salles de classe disséminées sur le campus. La plupart apparaissaient sous forme de cases noires sur son écran.

    «Vous les gars qui êtes sur le campus, je suis si fière de votre présence ici», a-t-elle déclaré. «Ceux d’entre vous qui sont à la maison - nous pouvons réussir dans n’importe quel environnement dans lequel nous nous retrouvons.»

    À part sa voix, la pièce était silencieuse. Seuls trois élèves étaient physiquement dans la classe - et ils ne faisaient pas attention à elle car ils suivaient d'autres cours en ligne tout en portant des écouteurs antibruit. Revenir à l’école à Los Angeles Unified, le deuxième plus grand district scolaire du pays, signifie rester assis dans une salle de classe toute la journée, deux ou trois jours par semaine, avec peu de mélange ou de mouvement.

    Cette option «Zoom dans une salle» pour l'enseignement en personne - le format pour le lycée à Los Angeles et à San Francisco - n'a pas réussi à attirer la grande majorité des étudiants. Bien que les données officielles sur la fréquentation n'aient pas encore été publiées, une enquête auprès des parents de L.A. Unified a indiqué qu'environ 17% des élèves du secondaire reviendraient sur le campus.

    L.A. Unified n'est pas le seul à avoir du mal à persuader les lycéens de revenir - ou à proposer une expérience de réouverture allégée.

    Quelques grands districts, y compris Santa Ana Unified et San Bernardino Unified, n'ont pas rouvert largement leurs campus, y compris pour les lycéens. Mais la plupart des plus grands districts de Californie proposent un patchwork d'approches de réouverture basées sur la façon dont les conseils scolaires locaux ont évalué les risques et les avantages et comment ils ont répondu aux demandes des syndicats d'enseignants sur les conditions de travail de retour au campus. Un grand district, Corona-Norco Unified, accueille plus de 75% de ses étudiants. Dans d'autres, il est plus proche de 20% avec des horaires plus limités.

    Malgré une planification détaillée, la majorité des élèves du secondaire des plus grands districts de Californie termineront leur année comme elle avait commencé - entièrement en ligne, selon les données de l’État. Pour beaucoup, cela signifiera 17 ou 18 mois loin des salles de classe.

    Dans tout l'État, environ 84 % des élèves du secondaire ont la possibilité de retourner dans leurs collèges et lycées sous une forme ou une autre, selon les données de l'État, qui ne séparent pas les lycées. On estime que 48 % de tous les élèves du secondaire des écoles ouvertes sont retournés sur le campus.

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  25. La réouverture des écoles élémentaires était plus simple: une classe, un horaire. Mais les éducateurs sont aux prises avec des horaires secondaires complexes dans lesquels les élèves passent d'une salle de classe à une autre. L'objectif de les ramener en toute sécurité sur le campus a en grande partie entraîné des horaires limités et des restrictions sur les rencontres dans les couloirs, le déjeuner avec des amis et les parascolaires, entre autres règles.

    Un examen par le Times de plusieurs des plus grands districts scolaires de l’État a révélé un éventail d’approches pour rouvrir les écoles secondaires:

    À Elk Grove, le plus grand district du nord de la Californie, les étudiants qui ont opté pour l'enseignement en personne sont autorisés à venir sur le campus quatre jours par semaine ou deux fois par semaine, cinq heures par jour. Ils passent de classe en classe, les enseignants instruisant simultanément les étudiants en personne et en ligne. Environ 22% des étudiants ont choisi de revenir - un peu plus de la moitié ont choisi le programme de deux jours.
    À Fresno, les étudiants peuvent suivre des cours deux jours par semaine pendant quatre heures d'enseignement en personne. Environ 49 % sont retournés sur le campus, les autres restent en ligne.
    À San Diego Unified, le deuxième plus grand district de l’État, les étudiants peuvent être sur le campus deux à quatre jours par semaine - en fonction de l’espace - et passer de classe en classe jusqu'à trois périodes par jour. Environ 40 % des lycéens sont revenus.
    À Corona-Norco, où trois étudiants sur quatre sont sur le campus, les étudiants ont choisi au début de l'année scolaire s'ils reviendraient en personne lorsque les campus rouvriraient et étaient affectés à des enseignants en ligne ou en personne sur cette base. Changer la décision signifiait avoir un nouvel enseignant.
    À quelques semaines seulement de l'année scolaire, les réouvertures ont mis une nouvelle pression sur les étudiants et les enseignants.
    «Quelle que soit la situation dans laquelle vous vous trouvez, vous devez réapprendre à apprendre des informations et à interagir avec le contenu», a déclaré A.Dee Williams, professeur d’éducation à Cal State Los Angeles. "Au lycée, vous avez peut-être six matières différentes que vous devez vous réengager d'une manière que vous n'avez jamais eue auparavant."

    Trois grands districts scolaires du sud de la Californie - Long Beach, Los Angeles et Capistrano Unified - reflètent les divers scénarios qui se déroulent à travers l'État.

    Neuvième au lycée Panorama.

    Carlos "Jairo" Zamora, 16 ans, de neuvième année, avait l'air un peu endormi, mais il s'est éclairé lorsqu'on lui a demandé comment il se sentait au cours de la première semaine de retour à Panorama High School, où il était l'un des trois élèves de la classe de théâtre de Francisco.

    «Je voulais interagir avec d'autres personnes», a-t-il déclaré. «J'ai vraiment manqué l'école. Et je voulais en savoir plus.

    Cela ne le dérangeait pas que le professeur en face de lui instruise des élèves ailleurs.

    «Elle fait son truc», a-t-il dit, «nous faisons notre truc.»

    À L.A. Unified, les élèves des collèges et lycées sont sur le campus pendant une journée complète dans un horaire qui alterne des semaines de deux jours avec des semaines de trois jours. Les élèves se présentent à une salle assignée et se connectent à l'apprentissage en ligne comme ils le feraient à la maison. Les responsables ont déclaré que le fait de garder les étudiants ensemble réduisait les chances de propagation du coronavirus.

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  26. Francisco a fait face à des défis uniques avec ses étudiants en art dramatique à Panorama. Contrairement à la maison, les personnes présentes sur le campus ne peuvent pas se lever et donner un monologue ou faire un exercice de mouvement dans la classe qui leur a été attribuée. Au lieu de cela, ils font un travail discret sur le campus - lire, écrire un scénario ou concevoir un décor.

    Dans l'ensemble, les parents d'environ un étudiant sur cinq de Panorama ont indiqué qu'ils retourneraient sur le campus. Plus de 90 % des élèves de l’école sont latinos et 96 % sont issus de familles à faible revenu.

    Les rares qui sont revenus essaient d'en tirer le meilleur parti.

    Pour Emma Espinoza, une junior du Lincoln High School à Lincoln Heights, la décision est revenue au softball.

    «Si je ne faisais pas de sport, je resterais probablement à la maison aussi», a déclaré le joueur de 16 ans. Son équipe s'entraîne à peu près tous les jours et il est plus facile de prendre le bus pour aller à un match depuis le campus, a-t-elle déclaré. Elle ne voyait pas l’utilité de rester assise dans une pièce toute la journée sur Zoom, mais «je m’adapte très facilement.»

    Long Beach Unified: passer de classe en classe

    Long Beach Unified, le quatrième plus grand district scolaire de l'État, a été le premier grand district du comté de L.A. à rouvrir largement, en grande partie parce que la ville a son propre service de santé et les enseignants vaccinés plus tôt que les autres districts.

    Les élèves du secondaire, qui ont commencé à revenir à la fin avril, sont répartis en cohortes qui suivent des cours ensemble deux ou trois jours par semaine. Les étudiants peuvent passer de classe en classe.

    Pourtant, la plupart des étudiants restent en ligne uniquement. Environ 37% sont revenus, allant d’environ 25% à 46% dans les 11 lycées du district.

    Au lycée Millikan à East Long Beach, l'enseignante Andrea Glenn a été rejointe par cinq des 32 élèves de sa classe «Justice en Amérique». Les autres ont participé à Zoom. Elle a placé deux ordinateurs portables dans la salle pour assurer une visibilité constante auprès des étudiants. Après avoir pris la participation, elle a commencé à jongler entre les étudiants en ligne et en personne.

    En saluant les étudiants en personne, Glenn a expliqué les mesures conçues pour assurer leur sécurité, y compris quatre ventilateurs et un purificateur d'air. Si elle allait retirer son masque pour siroter de l'eau, elle le ferait dans un coin. Et elle ferait de son mieux pour garder ses distances.

    Pendant qu'elle parlait, des étudiants en ligne se sont parfois adressés à des conférenciers pour demander de l'aide.

    Le principal Alejandro Vega a déclaré que les données démographiques de ceux qui restent chez eux reflètent la région. «Les étudiants asiatiques, noirs et latinos restent à la maison à des taux plus élevés», a-t-il déclaré.

    Comme beaucoup d'enseignants du secondaire, Glenn a déclaré que ses étudiants en ligne avaient tendance à garder leurs caméras éteintes et les microphones en sourdine. Parfois, c'est parce qu'ils n'ont pas le meilleur accès Internet. Parfois, ils font du baby-sitting. Environ 36% des élèves de l’école sont issus de familles à faible revenu, 45% sont latinos et 30% sont blancs.

    Enseigner simultanément en ligne et en personne «est épuisant», a déclaré Glenn.

    Mais, a-t-elle ajouté, «quelques-uns d'entre eux riaient à propos de quelque chose et cela me rendait si heureuse d'entendre les élèves rire. J'ai raté ce bruit.

    Capistrano Unified: une ouverture d'octobre

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  27. Les lycées du district scolaire unifié de Capistrano dans le comté d'Orange Sud sont des valeurs aberrantes parmi les grands districts, avec des campus ouverts depuis octobre. Lorsque les taux de COVID-19 du comté d'Orange ont chuté à l'automne, plusieurs districts du comté, dont Capistrano, ont saisi l'occasion.

    Les élèves du secondaire pouvaient revenir pour une journée complète - et passer d'une classe à l'autre - mais seulement deux jours par semaine en raison des limitations de capacité liées à l'exigence de garder une distance de six pieds entre les élèves. De nombreuses salles de classe étaient presque vides et de nombreux élèves ont repris l'apprentissage en ligne au fil des mois, ont déclaré des responsables.

    En avril, après que le district eut abaissé la distance requise à trois pieds, il a commencé à autoriser les étudiants sur le campus pendant une journée complète, quatre jours par semaine. Aujourd'hui, environ 42% des lycéens sont sur le campus. L'augmentation de la fréquentation sur le campus est devenue un impératif étant donné les difficultés des étudiants en ligne, ce qui a conduit à une augmentation des D et F.

    «Ce sont des étudiants qui ont réussi mais qui éprouvent des difficultés», a déclaré Meredith Hosseini, directrice adjointe du lycée Capistrano Valley à Mission Viejo, où environ 30 % des élèves sont issus de familles à faible revenu et environ la moitié sont blancs.

    Elle a déclaré que les administrateurs et les enseignants de l'école trouvaient des moyens créatifs de persuader les élèves de revenir en rétablissant les caractéristiques de l'expérience du lycée - «d'une manière modifiée». Le campus tentaculaire de l’école a aidé en permettant aux activités de se dérouler à l’extérieur.

    L'école a organisé un match de football avec un terrain de retour en avril, un concert annuel de guitare aérienne et une représentation de «Urinetown: The Musical» pour lequel l'école a construit une scène extérieure derrière le théâtre.

    «Nous essayons d’en arriver au point où vous devez moins plisser les yeux pour que cela ressemble à une vraie école», a déclaré le directeur John Misustin.

    Le premier jour du modèle de quatre jours par semaine, le directeur de la chorale de l’école, Erin Girard, s’est assis devant un piano à queue sur la scène du théâtre. Les visages d'environ 10 étudiants en ligne pouvaient être vus en train de regarder tranquillement depuis un ordinateur portable sur le piano. Les 23 étudiants en personne, réunis dans une même pièce pour la première fois, préparaient un spectacle et semblaient jubilatoires de chanter et de danser ensemble.

    «Ce n’est pas seulement bon pour notre voix, c’est bon pour nos âmes», a déclaré Girard.

    Les rédacteurs du Times Laura Newberry, Melissa Gomez et Iris Lee ont contribué à ce rapport.

    https://www.latimes.com/california/story/2021-05-09/no-show-high-school-students-reject-covid-reopening-rules

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    1. (...) À part sa voix, la pièce était silencieuse. Seuls trois élèves étaient physiquement dans la classe - et ils ne faisaient pas attention à elle car ils suivaient d'autres cours en ligne tout en portant des écouteurs antibruit. (...)

      Le plus débile de ces cours de trisomiques était qu'ils (ou elles) étaient masqués ! HAHAHAHA ! Masqués chez eux devant l'ordi ! HAHAHAHA !

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  28. Une histoire de 50 000 ans de flux actuel donne de nouveaux indices climatiques


    7 MAI 2021
    par Sarah Stanley, Eos


    De 50 000 à 15 000 ans, au cours de la dernière période glaciaire, le climat de la Terre oscillait entre des périodes plus fraîches et plus chaudes ponctuées d'événements occasionnels et dramatiques de fonte des glaces.

    Des recherches antérieures ont suggéré que ces oscillations étaient probablement influencées par des changements dans la circulation méridienne de renversement de l'Atlantique (AMOC), un modèle de courants qui transportent l'eau chaude et tropicale vers l'Atlantique Nord, où elle se refroidit, coule et retourne vers le sud. Cependant, le rôle précis joué par l'AMOC dans les fluctuations climatiques anciennes n'est pas clair.

    Maintenant Toucanne et al. ont reconstitué l'écoulement historique d'un courant clé dans la partie supérieure (l'écoulement vers le nord) de l'AMOC, le Glacial Eastern Boundary Current (GEBC), apportant un nouvel éclairage sur la façon dont l'AMOC peut entraîner des changements brusques de climat.

    Le GEBC a coulé vers le nord le long de la marge continentale de l'Europe au cours de la dernière période glaciaire (il persiste aujourd'hui sous le nom de courant de pente européenne). Pour mieux comprendre le rôle du GEBC dans l'AMOC, les chercheurs ont collecté six carottes de sédiments des fonds marins au large des côtes françaises. L'analyse de la taille des grains et des niveaux d'isotopes dans les couches centrales a révélé la force du courant lorsque chaque couche a été déposée, donnant le premier enregistrement historique à haute résolution de 50 000 ans du courant.

    Ce nouveau record historique montre que le GEBC a coulé plus rapidement pendant les intervalles plus chauds de la dernière période glaciaire, mais s'est affaibli pendant les périodes les plus froides. Le moment de ces changements concorde bien avec les enregistrements précédemment établis sur la vitesse AMOC et le flux de retour vers le sud des eaux profondes vers l'ouest.

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  29. La comparaison de l'histoire du GEBC avec d'autres enregistrements montre également que les événements majeurs de fonte des glaces, au cours desquels les glaciers de la période glaciaire ont libéré d'énormes quantités d'eau douce dans l'Atlantique, correspondent à un affaiblissement périodique du courant et de l'AMOC en général.

    S'appuyant sur ces résultats, les chercheurs décrivent un mécanisme par lequel le GEBC aurait pu transporter l'eau de fonte glaciaire froide vers le nord et contribuer à des changements dans l'AMOC qui pourraient avoir entraîné des oscillations du climat chaud-froid dans l'Atlantique Nord.

    https://phys.org/news/2021-05-year-history-current-yields-climate.html

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    1. (...) un modèle de courants qui transportent l'eau chaude et tropicale vers l'Atlantique Nord, où elle se refroidit, coule et retourne vers le sud. Cependant, le rôle précis joué par l'AMOC dans les fluctuations climatiques anciennes n'est pas clair. (...)

      Non-non ! c'est pas clair ! Même si elle n'a pas été fondue en public (pour avoir couché avec l'ébauche ?), la glace date même de x millénaires ! C'est dire si elle en sait des choses ! Mais "Lâche-le !" est plus facile à dire qu'à faire et, ce ne sont pas les 'eaux chaudes tropicales' qui vont dépasser les 50 mètres en mers ! Hahaha ! alors, pour arriver aux pôles...

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  30. Les experts en hologramme peuvent désormais créer des images réelles qui se déplacent dans les airs


    par Todd Hollingshead, Université Brigham Young
    7 MAI 2021


    Ce sont peut-être de minuscules armes, mais le groupe de recherche en holographie de l'Université Brigham Young a trouvé comment créer des sabres laser - vert pour Yoda et rouge pour Dark Vador, naturellement - avec de véritables faisceaux lumineux qui en émergent.

    Inspirés par les expositions de science-fiction, les chercheurs ont également conçu des batailles entre des versions tout aussi petites du Starship Enterprise et un Klingon Battle Cruiser qui incorporent des torpilles à photons lançant et frappant le navire ennemi que vous pouvez voir à l'œil nu.

    "Ce que vous voyez dans les scènes que nous créons est réel; il n'y a rien de généré par ordinateur à leur sujet", a déclaré le chercheur principal Dan Smalley, professeur de génie électrique à BYU. "Ce n'est pas comme les films, où les sabres laser ou les torpilles à photons n'ont jamais vraiment existé dans l'espace physique. Ils sont réels, et si vous les regardez sous n'importe quel angle, vous les verrez exister dans cet espace."

    Ce sont les derniers travaux de Smalley et de son équipe de chercheurs qui ont attiré l'attention nationale et internationale il y a trois ans lorsqu'ils ont découvert comment dessiner des objets flottants sans écran dans l'espace. Appelés écrans de piège optique, ils sont créés en piégeant une seule particule dans l'air avec un faisceau laser, puis en déplaçant cette particule, laissant derrière elle un chemin éclairé par laser qui flotte dans les airs; comme une imprimante 3D pour la lumière.

    Le nouveau projet du groupe de recherche, financé par une subvention CAREER de la National Science Foundation, passe au niveau supérieur et produit des animations simples dans les airs. Le développement ouvre la voie à une expérience immersive où les gens peuvent interagir avec des objets virtuels de type holographique qui coexistent dans leur espace immédiat.

    "La plupart des écrans 3D vous obligent à regarder un écran, mais notre technologie nous permet de créer des images flottant dans l'espace - et elles sont physiques, pas un mirage", a déclaré Smalley. "Cette technologie peut permettre de créer un contenu animé vibrant qui orbite autour, rampe sur ou explose des objets physiques de tous les jours."

    Pour démontrer ce principe, l'équipe a créé des bâtons virtuels qui marchent dans les airs. Ils ont pu démontrer l'interaction entre leurs images virtuelles et les humains en demandant à un élève de placer un doigt au milieu de l'affichage volumétrique, puis de filmer le même doigt de bâton marchant et sautant de ce doigt.

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  31. Smalley et Rogers détaillent ces avancées et d'autres récentes dans un nouvel article publié dans Nature's Scientific Reports ce mois-ci. Le travail surmonte un facteur limitant aux affichages à piège optique: dans laquelle cette technologie n'a pas la capacité de montrer des images virtuelles, Smalley et Rogers montrent qu'il est possible de simuler des images virtuelles en utilisant un fond de projection en perspective variant dans le temps.

    "Nous pouvons jouer des tours de fantaisie avec la parallaxe de mouvement et nous pouvons donner à l'écran un aspect beaucoup plus grand qu'il ne l'est physiquement", a déclaré Rogers. "Cette méthodologie nous permettrait de créer l'illusion d'un affichage beaucoup plus profond jusqu'à théoriquement un affichage de taille infinie."

    https://phys.org/news/2021-05-hologram-experts-real-life-images-air.html

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    1. Comment préparer le 20 ème anniversaire du 11 Septembre grâce à Hollywood ?
      Faire entrer un bateau ? Un train qui vole dans le ciel et pénètre un immeuble ? Bof.

      Dans ce qui est appelé l'intelligence artificielle des dirigeants, on a encore des chances à voir encore des conneries ! Tartes à la crème ? Boules de bowling contre gratte-ciels ?

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  32. Si les robots remplacent les gens, pourquoi y a-t-il une pénurie de main-d'œuvre


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 09 MAI 2021 - 07:30


    Après le rapport sur les emplois bizarro de vendredi, qui était le deuxième plus grand manque aux attentes jamais enregistré parce que des millions de personnes ne cherchaient pas de travail grâce aux billions de Biden en chèques stimulés qui paient davantage les Américains au chômage pour s'asseoir sur le cul que pour avoir un emploi, deux apparemment contradictoires des histoires circulent sur les marchés financiers selon Ethan Harris de BofA. L'un concerne les pénuries de main-d'œuvre relativement répandues aux États-Unis. L'autre concerne la révolution robotique et le remplacement des personnes par les machines. Comment cela se déroulera-t-il ?

    Selon l'économiste BofA, la réponse courte à la question ci-dessus est que nous devons être clairs sur le calendrier. Alors que la crise du COVID a probablement accéléré les changements structurels sur le marché du travail, ces changements sur plusieurs décennies sont beaucoup plus lents que la dynamique du cycle économique. Par exemple, les économistes du MIT et du Boston College estiment que les robots pourraient remplacer 2 millions de travailleurs dans le secteur manufacturier d'ici 2025. Cela pourrait signifier environ 400 000 emplois supprimés chaque année. Pour mettre cela en perspective, BofA s'attend à ce que la croissance de l'emploi aux États-Unis atteigne en moyenne plus de 500 000 emplois par mois cette année et l'an prochain.

    Un regard en arrière sur l'histoire offre un aperçu utile de la façon dont les changements structurels et la technologie permettant d'économiser du travail ont un impact sur le marché du travail. L'idée la plus importante est que le marché du travail se réinvente toujours. Il n'y a pas de tendance du taux de chômage. Au cours des 70 dernières années, la productivité américaine a augmenté de près de 400 %, tandis que le taux de chômage a rebondi autour d'une moyenne de 5,6 %.

    - voir graphique sur site -

    Cependant, la technologie permettant d'économiser du travail a de bonnes et de mauvaises implications de second ordre. Du côté négatif:

    Des poches de personnes ont tendance à être laissées pour compte à chaque vague d'innovation, car les promesses de recyclage sont rarement tenues.
    Il apparaît également que les progrès technologiques ont contribué à un élargissement de la répartition des revenus au cours des dernières décennies.
    Et des changements structurels rapides peuvent créer une période de «chômage frictionnel» élevé, car les gens se retrouvent dans le mauvais secteur avec les mauvaises compétences. C'est ce qui s'est passé après les chocs pétroliers des années 1970.
    Du côté positif:

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  33. Les progrès technologiques - tant dans la «production» à domicile que dans la production rémunérée - ont considérablement augmenté les heures de loisirs, une tendance qui se poursuit probablement. C'est un énorme gain de bien-être pour tout le monde.
    Il y a également eu des cas où le changement technologique a contribué à réduire le taux de chômage. Par exemple, la poussée de productivité du New Paradigm de 1995 à 2005 a fait baisser les coûts des entreprises, retardé le début de l'inflation et a permis à la Fed d'expérimenter un taux de chômage très bas et une hausse des salaires.
    Historiquement, au sommet du cycle économique, les écarts de chômage et de PIB ont tendance à être proportionnés. Dans ce cycle, cependant, une grande partie de la reprise de l'emploi sera freinée. Les économistes s'attendent donc à un écart (positif) plus important pour le PIB global que pour le chômage. Ainsi, à la fin de 2022, BofA estime un écart de production de 4,7 %, mais un écart de chômage plus petit de -0,9 %.

    En résumé, les robots et autres technologies permettant d'économiser de la main-d'œuvre n'empêcheront pas une économie brûlante, un marché du travail presque aussi chaud et une pression à la hausse sur les salaires et les prix. En d'autres termes, les prévisions précédentes de BofA pour une «hyperinflation transitoire» devraient se concrétiser.

    https://www.zerohedge.com/economics/if-robots-are-replacing-people-why-there-labor-shortage

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