Une virologue chinoise "voyou" rejoint Twitter et publie des preuves "Smoking Gun" COVID-19 créé en laboratoire
par Tyler Durden Lun, 14/09/2020 - 11:35
Samedi, nous avons rapporté que le Dr Li-Meng Yan - un virologue chinois (MD, PhD) qui a fui le pays, quittant son emploi dans une prestigieuse université de Hong Kong - est apparu la semaine dernière à la télévision britannique où elle a revendiqué le SRAS-CoV-2, le virus qui cause le COVID-19, a été créé par des scientifiques chinois dans un laboratoire.
Dimanche, Li-Meng a rejoint Twitter - et lundi, il y a quelques heures à peine, elle a tweeté un lien vers un article qu'elle a co-écrit avec trois autres scientifiques chinois intitulé:
Caractéristiques inhabituelles du génome du SRAS-CoV-2 suggérant une modification de laboratoire sophistiquée plutôt qu'une évolution naturelle et une délimitation de sa probable route synthétique.
Elle a également publié un lien vers ses informations d'identification sur ResearchGate, révélant son affiliation (antérieure ?) À l'Université de Hong Kong et 13 publications qui ont été citées 557 fois.
Aller droit au but:
«Les preuves montrent que le SARS-CoV-2 devrait être un produit de laboratoire créé en utilisant les coronavirus de chauve-souris ZC45 et / ou ZXC21 comme modèle et / ou épine dorsale. En nous basant sur les preuves, nous postulons en outre une voie de synthèse pour le SRAS-CoV-2, démontrant que la création en laboratoire de ce coronavirus est pratique et peut être accomplie en environ six mois.
Voici la punchline étendue:
Le motif de liaison au récepteur du SRAS-CoV-2 Spike ne peut pas naître de la nature et aurait dû être créé par génie génétique.
Les protéines Spike décorent l'extérieur des particules de coronavirus. Ils jouent un rôle important dans l'infection car ils interviennent dans l'interaction avec les récepteurs des cellules hôtes et aident ainsi à déterminer la gamme d'hôtes et le tropisme tissulaire du virus. La protéine Spike est divisée en deux moitiés (figure 3). La moitié avant ou N-terminale est nommée S1, qui est entièrement responsable de la liaison du récepteur hôte. Dans les infections à SARS-CoV et SARS-CoV-2, le récepteur de la cellule hôte est hACE2. Au sein de S1, un segment d'environ 70 acides aminés établit des contacts directs avec hACE2 et est nommé en conséquence le motif de liaison au récepteur (RBM) (figure 3C). Dans SARS-CoV et SARS-CoV-2, le RBM détermine pleinement l'interaction avec hACE2. La moitié C-terminale de la protéine Spike est appelée S2. La fonction principale de S2 comprend le maintien de la formation de trimères et, lors de clivages successifs de protéases à la jonction S1 / S2 et à une position aval de S2, la médiation de la fusion membranaire pour permettre l'entrée cellulaire du virus.
Semblable à ce qui est observé pour d'autres protéines virales, S2 de SARS-CoV-2 partage une identité de séquence élevée (95%) avec S2 de ZC45 / ZXC21. En contraste frappant, entre SARS-CoV-2 et ZC45 / ZXC21, la protéine S1, qui dicte quel hôte (humain ou chauve-souris) le virus peut infecter, est beaucoup moins conservée avec l'identité de séquence d'acides aminés de seulement 69%.
La figure 4 montre l'alignement de séquence des protéines Spike de six coronavirus ß. Deux sont des virus isolés de la pandémie actuelle (Wuhan-Hu-1, 2019-nCoV_USA-AZ1); deux sont les virus modèles suspectés (Bat_CoV_ZC45, Bat_CoV_ZXC21); deux sont des coronavirus du SRAS (SARS_GZ02, SRAS). Le RBM est mis en évidence entre deux lignes orange. De toute évidence, malgré l'identité de séquence élevée pour l'ensemble des génomes, le RBM de SARS-CoV-2 diffère considérablement de ceux de ZC45 et ZXC21. Curieusement, la RBM de SARS-CoV-2 ressemble beaucoup à la RBM de SARS Spike. Bien que ce ne soit pas un «copier-coller» exact, un examen attentif des structures Spike-hACE237,38 révèle que tous les résidus essentiels pour la liaison hACE2 ou le repliement des protéines (bâtonnets orange sur la figure 3C et ce qui est mis en évidence par des lignes courtes rouges sur la figure 4) sont «conservés».
La plupart de ces résidus essentiels sont préservés avec précision, y compris ceux impliqués dans la formation de liaisons disulfure (C467, C474) et les interactions électrostatiques (R444, E452, R453, D454), qui sont essentielles pour l'intégrité structurelle du RBM (Figure 3C et 4) . Les quelques changements au sein du groupe des résidus essentiels sont presque exclusivement des «substitutions» hydrophobes (I428àL, L443àF, F460àY, L472àF, Y484àQ), qui ne devraient affecter ni le repliement des protéines ni l'interaction hACE2. Dans le même temps, la majorité des résidus d'acides aminés non essentiels ont «muté» (figure 4, résidus RBM non marqués par de courtes lignes rouges). À en juger par cette seule analyse de séquence, nous avons été convaincus dès le début que non seulement la protéine SARS-CoV-2 Spike se lierait à hACE2, mais également que la liaison ressemblerait précisément à celle entre la protéine SARS Spike originale et hACE223. Des travaux structurels récents ont confirmé notre prédiction.
- voir schéma sur site -
Comme expliqué ci-dessous, la façon dont la RBM SARS-CoV-2 ressemble à la RBM SARS-CoV et le schéma global de conservation de la séquence entre SARS-CoV-2 et ZC45 / ZXC21 sont très inhabituels. Collectivement, cela suggère que des parties du génome du SRAS-CoV-2 n'ont pas été dérivées de l'évolution naturelle des particules virales quasi-espèces.
L'article fait ensuite deux observations critiques pour ceux qui prétendent que le SRAS-CoV-2 a une origine naturelle: sa RBM n'aurait pu être acquise que dans l'une des deux voies possibles: 1) un événement de recombinaison ancien suivi d'une évolution convergente ou 2) un événement de recombinaison naturelle survenu assez récemment.
Elle rejette d'abord l'option 1:
"Ce processus d'évolution convergente entraînerait également l'accumulation d'une grande quantité de mutations dans d'autres parties du génome, rendant l'identité de séquence globale relativement faible. L'identité de séquence élevée entre SARS-CoV-2 et ZC45 / ZXC21 sur diverses protéines ( 94-100% d'identité) ne supportent pas ce scénario et, par conséquent, indique clairement que le SRAS-CoV-2 portant un tel RBM ne peut pas provenir d'un coronavirus de chauve-souris de type ZC45 / ZXC21 par cette voie évolutive convergente. "
Elle rejette ensuite l'option 2:
Dans le deuxième scénario, le coronavirus de type ZC45 / ZXC21 devrait avoir récemment recombiné et échangé son RBM avec un autre coronavirus qui s'était adapté avec succès pour se lier à un animal ACE2 hautement homologue à hACE2. La probabilité d'un tel événement dépend, en partie, des exigences générales de la recombinaison naturelle: 1) que les deux virus différents partagent une similitude de séquence significative; 2) qu'ils doivent co-infecter et être présents dans la même cellule du même animal; 3) que le virus recombinant ne serait pas éliminé par l'hôte ou ne ferait pas disparaître l'hôte; 4) que le virus recombinant devrait finalement devenir stable et transmissible au sein de l'espèce hôte.
En ce qui concerne ce scénario de recombinaison récent, le réservoir animal ne pourrait pas être des chauves-souris car les protéines ACE2 chez les chauves-souris ne sont pas assez homologues à hACE2 et donc l'adaptation ne serait pas en mesure de produire une séquence RBM comme on le voit dans SARS-CoV-2. Ce réservoir animal ne pourrait pas non plus être des humains car le coronavirus de type ZC45 / ZXC21 ne pourrait pas infecter les humains. De plus, il n'y a eu aucune preuve d'un virus de type SRAS-CoV-2 ou SRAS-CoV-2 circulant dans la population humaine avant la fin de 2019. Curieusement, selon une récente étude bioinformatique, le SRAS-CoV-2 était bien -adapté à l'homme depuis le début de l'épidémie.
Il ne reste qu'une autre possibilité d'évolution naturelle, à savoir que le virus de type ZC45 / ZXC21 et un coronavirus contenant un RBM de type SRAS auraient pu se recombiner dans un hôte intermédiaire où la protéine ACE2 est homologue à hACE2. Plusieurs laboratoires ont signalé que certains des pangolins de la Sonde introduits en contrebande en Chine depuis la Malaisie portaient des coronavirus, dont le domaine de liaison au récepteur (RBD) est presque identique à celui du SRAS-CoV-227-29,31. Ils ont ensuite suggéré que les pangolins sont l'hôte intermédiaire probable du SRAS-CoV-227-29,31. Cependant, des rapports indépendants récents ont trouvé des failles importantes dans ces données40-42. De plus, contrairement à ces rapports27-29,31, aucun coronavirus n'a été détecté dans les échantillons de pangolins de la Sonde collectés depuis plus d'une décennie en Malaisie et à Sabah entre 2009 et 201943. Une étude récente a également montré que le RBD, qui est partagé entre le SRAS-CoV -2 et les coronavirus du pangolin rapportés, se lie à hACE2 dix fois plus fort qu'au pangolin ACE22, rejetant en outre les pangolins en tant qu'hôte intermédiaire possible. Enfin, une étude in silico, tout en faisant écho à l'idée que les pangolins ne sont probablement pas un hôte intermédiaire, a également indiqué qu'aucune des protéines animales ACE2 examinées dans leur étude ne présentait un potentiel de liaison plus favorable à la protéine SARS-CoV-2 Spike que hACE2. Cette dernière étude a pratiquement exempté tous les animaux de leur rôle présumé d'hôte intermédiaire, ce qui est cohérent avec l'observation selon laquelle le SRAS-CoV-2 était bien adapté pour l'homme dès le début de l'épidémie. Ceci est significatif parce que ces découvertes suggèrent collectivement qu'aucun hôte intermédiaire ne semble exister pour le SRAS-CoV-2, ce qui à tout le moins diminue la possibilité d'un événement recombinant survenant chez un hôte intermédiaire.
Étant donné que RBM dicte entièrement la liaison hACE2 et que la liaison SRAS RBM-hACE2 était entièrement caractérisée par des structures à haute résolution (Figure 3) 37,38, ce swap RBM uniquement ne serait pas plus risqué que le swap complet de Spike. En fait, la faisabilité de cette stratégie de swap RBM a été prouvée. En 2008, le groupe du Dr Zhengli Shi a échangé un SRAS RBM dans les protéines Spike de plusieurs coronavirus de chauve-souris de type SRAS après avoir introduit un site de restriction dans un gène de pointe optimisé pour les codons (figure 5C). Ils ont ensuite validé la liaison des protéines de Spike chimériques résultantes avec hACE2. En outre, dans une publication récente, le RBM de SARS-CoV-2 a été échangé dans le domaine de liaison au récepteur (RBD) de SARSCoV, résultant en un RBD chimérique entièrement fonctionnel dans la liaison hACE2 (figure 5C) 39. De manière frappante, dans les deux cas, les segments RBM manipulés ressemblent presque exactement au RBM défini par les positions des sites EcoRI et BstEII (figure 5C). Bien que les détails de clonage manquent dans les deux publications39,47, il est concevable que les sites de restriction réels puissent varier en fonction du gène de pointe recevant l'insertion RBM ainsi que de la commodité d'introduire un ou des sites de restriction uniques dans les régions d'intérêt. Il est à noter que l'auteur correspondant de cette publication récente, le Dr Fang Li, est un collaborateur actif du Dr Zhengli Shi depuis 201049-53. Le Dr Li a été la première personne au monde à avoir élucidé structurellement la liaison entre SARS-CoV RBD et hACE238 et a été le principal expert dans la compréhension structurelle des interactions Spike-ACE2. La découverte frappante des sites de restriction EcoRI et BstEII à chaque extrémité du SRAS-CoV-2 RBM, respectivement, et le fait que la même région RBM a été permutée à la fois par le Dr Shi et par son collaborateur de longue date, respectivement, en utilisant les méthodes de digestion par enzyme de restriction ne sont probablement pas une coïncidence. C'est plutôt l'arme fumante qui prouve que le RBM / Spike du SRAS-CoV-2 est le produit d'une manipulation génétique. "
Ça va mieux, parce que les scientifiques chinois ont alors essayé avec prescience de couvrir leurs traces:
Bien qu'il puisse être pratique de copier la séquence exacte de SRAS RBM, ce serait un signe trop clair de conception et de manipulation artificielles. L'approche la plus trompeuse consisterait à changer quelques résidus non essentiels, tout en préservant ceux critiques pour la liaison. Cette conception pourrait être bien guidée par les structures à haute résolution (Figure 3) 37,38. De cette manière, lorsque la séquence globale du RBM semble être plus distincte de celle du SARS RBM, la capacité de liaison de hACE2 serait bien préservée. Nous pensons que tous les résidus cruciaux (résidus marqués avec des bâtons rouges sur la figure 4, qui sont les mêmes résidus représentés dans les bâtonnets sur la figure 3C) auraient dû être «conservés». Comme décrit précédemment, alors que certains devraient être une conservation directe, certains auraient dû être remplacés par des résidus avec des propriétés similaires, ce qui ne perturberait pas la liaison hACE2 et pourrait même renforcer davantage l'association [ZH: c'est-à-dire que le virus a été militarisé et amélioré]. Surtout, des changements peuvent avoir été apportés intentionnellement sur des sites non essentiels, ce qui en fait moins un «copier-coller» de la RBM du SRAS.
Yan discute également du tristement célèbre site de clivage de la furine:
... un examen attentif de la séquence nucléotidique du site de clivage de la furine dans le pic de SARS-CoV-2 a révélé que les deux résidus Arg consécutifs dans la séquence insérée (- PRRA-) sont tous deux codés par le codon rare CGG (le moins codon utilisé pour Arg dans SARS-CoV-2) (Figure 7).
En fait, cet arrangement CGGCGG est la seule instance trouvée dans le génome du SARS-CoV-2 où ce codon rare est utilisé en tandem. Cette observation suggère fortement que ce site de clivage de la furine devrait être le résultat du génie génétique. Ajoutant à la suspicion, un site de restriction FauI est formulé par les choix de codons ici, suggérant la possibilité que le polymorphisme de longueur de fragment de restriction, une technique dans laquelle un laboratoire WIV est compétent, aurait pu être impliqué. Là, le modèle de fragmentation résultant de la digestion FauI pourrait être utilisé pour surveiller la préservation du site de clivage de la furine dans Spike car ce site de clivage de la furine est sujet aux délétions in vitro. Plus précisément, la RT-PCR sur le gène de pointe des virus récupérés à partir de cultures cellulaires ou d'animaux de laboratoire pourrait être réalisée, dont le produit serait soumis à une digestion FauI. Les virus conservant ou perdant le site de clivage de la furine donneraient alors des modèles distincts, permettant un suivi pratique du ou des virus d'intérêt.
Et une autre allégation critique: une fois de plus, les chercheurs de Wuhan faisaient tout ce qui était en leur pouvoir pour militariser et renforcer "l'amélioration de l'infectiosité et de la pathogénicité du coronavirus fabriqué en laboratoire":
- voir schéma sur site -
Les preuves suggèrent collectivement que le site de clivage de la furine dans la protéine SARS-CoV-2 Spike pourrait ne pas provenir de la nature et pourrait être le résultat d'une manipulation génétique. Le but de cette manipulation aurait pu être d'évaluer toute amélioration potentielle de l'infectivité et de la pathogénicité du coronavirus fabriqué en laboratoire.
Résumant ce qui précède:
Les preuves présentées dans cette partie révèlent que certains aspects du génome du SRAS-CoV-2 sont extrêmement difficiles à concilier avec le résultat d'une évolution naturelle. La théorie alternative que nous suggérons est que le virus peut avoir été créé en utilisant le ou les coronavirus de chauve-souris ZC45 / ZXC21 comme squelette et / ou modèle. La protéine Spike, en particulier le RBM qu'elle contient, aurait dû être manipulée artificiellement, sur laquelle le virus a acquis la capacité de se lier à hACE2 et d'infecter les humains. Ceci est soutenu par la découverte d'un site unique de digestion par une enzyme de restriction à chaque extrémité du RBM. Un site inhabituel de clivage de la furine peut avoir été introduit et inséré à la jonction S1 / S2 de la protéine Spike, ce qui contribue à l'augmentation de la virulence et de la pathogénicité du virus.
Ces transformations ont ensuite mis en scène le virus du SRAS CoV-2 pour finalement devenir un agent pathogène hautement transmissible, apparemment caché, mortel, séquelles peu claires et massivement perturbateur.
De toute évidence, la possibilité que le SRAS-CoV-2 ait pu être créé par des manipulations de gain de fonction au WIV est significative et devrait être étudiée de manière approfondie et indépendante.
Enfin, ceux qui sont curieux de savoir comment le virus aurait pu être créé synthétiquement à Wuhan, voici un schéma proposé par le Dr Yan expliquant toutes les étapes nécessaires:
- voir schéma sur site -
Son article complet est ci-dessous:
- voir clip sur site -
Et pour ceux qui l'ont raté, voici l'interview de Li-Meng à la télévision britannique:
Pour rappel, Zero Hedge a été banni de Twitter le 31 janvier pour avoir fait cette allégation, à la suite d'un article à succès écrit par un pédophile présumé (qui a ensuite été congédié pour plagiat) et d'innombrables soi-disant "scientifiques" criant que notre opinion était de fausses nouvelles et rien que de la propagande. Cinq mois plus tard, Twitter a admis avoir commis une erreur, déclarant que "nous avons commis une erreur dans notre action coercitive dans cette affaire".
Le COVID-19 est une 'arme biologique sans restriction': un lanceur d'alerte publie un deuxième article alléguant 'une fraude scientifique organisée à grande échelle'
par Tyler Durden Jeu, 10/08/2020 - 11:25
Li-Meng Yan, virologue chinoise (MD, PhD) qui a travaillé dans un laboratoire de référence de l'OMS et a fui son poste à l'Université de Hong Kong, a publié un deuxième rapport co-écrit, alléguant que le SRAS-CoV-2, le virus qui cause le COVID-19, n'a pas seulement été créé dans un laboratoire de Wuhan, c'est une «arme biologique sans restriction» qui a été intentionnellement libérée.
"Nous avons utilisé des preuves biologiques et des analyses approfondies pour montrer que le SRAS-CoV-2 doit être un produit de laboratoire, qui a été créé en utilisant un virus modèle (ZC45 / ZXC21) appartenant à des laboratoires de recherche militaires sous le contrôle du Parti communiste chinois. (PCC) gouvernement », lit-on dans le journal.
Le SARS-CoV2 est un produit de modification de laboratoire, qui peut être créé en environ six mois à l'aide d'un virus modèle appartenant à un laboratoire de l'Armée populaire de libération (PLA). Le fait que des fabrications de données aient été utilisées pour dissimuler la véritable origine du SRAS-CoV 2 implique en outre que la modification de laboratoire ici va au-delà de la simple recherche sur le gain de fonction.
L'ampleur et le caractère coordonné de cette fraude scientifique indiquent le degré de corruption dans les domaines de la recherche universitaire et de la santé publique. Du fait de cette corruption, des dommages ont été causés à la fois à la réputation de la communauté scientifique et au bien-être de la communauté mondiale.
Le rapport affirme également que le virus RaTG13 que Wuhan "Batwoman" Dr. Zhengli Shi et ses collègues disent avoir obtenu dans les excréments de chauves-souris en 2013 (et qui est identique à 96% au SRAS-CoV-2), est frauduleux et également fabriqué par l'homme.
Depuis sa publication, le virus RaTG13 a servi de preuve fondatrice de la théorie selon laquelle le SRAS-CoV-2 doit avoir une origine naturelle. Cependant, aucun virus vivant ou un génome intact de RaTG13 n'ont jamais été isolés ou récupérés. Par conséquent, la seule preuve de «l'existence» de RaTG13 dans la nature est sa séquence génomique publiée sur GenBank.
Le rapport poursuit en disant que le génome RaTG13 pourrait facilement être fabriqué et qu'«une entrée sur GenBank, qui dans ce cas équivaut à l'existence d'une séquence génomique virale assemblée et de ses lectures de séquençage associées, n'est pas une preuve définitive que ce génome viral est correct ou réel, "et que le processus de séquençage de l'ADN lui-même" laisse place à une fraude potentielle".
Si l'on a l'intention de fabriquer un génome viral ARN sur GenBank, il ou elle pourrait le faire en suivant ces étapes: créer sa séquence génomique sur un ordinateur, faire synthétiser des segments du génome sur la base de la séquence, amplifier chaque segment d'ADN par PCR, et puis envoyer les produits de PCR (peuvent également être mélangés avec du matériel génétique dérivé de l'hôte présumé du virus pour imiter un échantillon de séquençage authentique) pour le séquençage. Les lectures de séquençage brutes résultantes seraient utilisées, avec la séquence génomique créée, pour établir un entrée sur GenBank. Une fois accomplie, cette entrée serait acceptée comme preuve de l'existence naturelle du virus correspondant. Il est clair qu'une séquence génomique virale et son entrée GenBank peuvent être fabriquées si elles sont bien planifiées.
- voir schéma sur site -
RaTG13 a «plusieurs caractéristiques anormales», selon le rapport. Pour commencer, on prétend qu'il s'agissait d'un échantillon fécal - pourtant, seulement 1,7% des lectures de séquençage brutes sont bactériennes, alors que les échantillons d'écouvillons fécaux sont généralement bactériens à 70-90 %. Deuxièmement, la séquence génomique de RaTG13 contient des segments d'origine non chauve-souris, y compris le renard, le renard volant, les écureuils et d'autres animaux.
De plus, la Chine a détruit toutes les preuves de RaTG13. "Aucune vérification indépendante de la séquence RaTG13 ne semble possible car, selon le Dr Zhengli Shi, l'échantillon brut a été épuisé et aucun virus vivant n'a jamais été isolé ou récupéré. Notamment, cette information était connue d'un cercle central de virologues dès le début et apparemment accepté par eux. "
Pendant ce temps, un autre coronavirus qui partage une 'identité de séquence nucléotidique à 100% avec RaTG13' - RaBtCoV / 4991 - sur un 'court segment de gène de l'ARN polymérase ARN-dépendante de 440 pb'.
RaBtCoV / 4991 aurait été découvert par Shi et ses collègues en 2012 et publié en 2016, et des collègues ont demandé s'il s'agissait du même virus que RaTG13.
Compte tenu de l'identité à 100 % sur ce court segment de gène entre RaBtCoV / 4991 et RaTG13, le domaine a demandé des éclaircissements pour savoir si ces deux noms se réfèrent ou non au même virus. Cependant, le Dr. Shi n'a pas répondu au demandeur pour répondre à cette question pendant des mois. La réponse est finalement venue de Peter Daszak, président d'EcoHealth Alliance et collaborateur de longue date de Shi, qui a affirmé que RaBtCoV / 4991 était RaTG1327.
Premièrement, cela n'a aucun sens que 'Batwoman' Shi et son équipe n'auraient pas effectué le séquençage du génome entier de RaBtCoV / 4991 avant 2020, comme cela a été suspecté dans la mort de mineurs souffrant d'une grave pneumonie après avoir éliminé les excréments de chauves-souris dans un Mine chinoise.
Compte tenu des intérêts constants du groupe Shi dans l'étude des coronavirus de chauve-souris de type SRAS et du fait que RaBtCoV / 4991 est un coronavirus de type SRAS avec un lien possible avec la mort des mineurs, il est très peu probable que le groupe Shi se contente du séquençage. seul un segment de 440 pb de RdRpand ne poursuit pas le séquençage de la région codant pour le motif de liaison au récepteur (RBM) du gène de pointe. En fait, le séquençage du gène de pointe est systématiquement tenté par le groupe Shi une fois que la présence d'un coronavirus de chauve-souris de type SRAS est confirmée par le séquençage du RdRpsegment25,32 de 440 pb, bien que le succès de ces efforts soit souvent entravé par le mauvaise qualité de l'échantillon.
"De toute évidence, la motivation perceptible du groupe Shi pour étudier ce virus RaBtCoV / 4991 et le fait qu'aucun séquençage du génome de celui-ci n'ait été effectué pendant une période de sept ans (2013-2020) sont difficiles à concilier et à expliquer."
Pendant ce temps, le séquençage génomique de RaTG13 a été réalisé en 2018.
Deuxièmement, pourquoi Shi a-t-il retardé la publication sur RaTG13 jusqu'en 2020 quand il a une protéine Spike qui peut se lier aux récepteurs ACE2 humains ?
... si la séquence génomique de RaTG13 était disponible depuis 2018, il est peu probable que ce virus, qui a un lien possible avec la mort de mineurs en 2012 et a une RBM alarmante semblable au SRAS, soit conservé pendant deux ans sans publication. Conformément à cette analyse, une étude récente a en effet prouvé que le RBD de RaTG13 (produit par synthèse de gène sur la base de sa séquence publiée) était capable de se lier à hACE2
Troisièmement, il n'y a eu aucun travail de suivi sur RaTG13 par le groupe de Shi.
Après avoir obtenu la séquence génomique d'un coronavirus de chauve-souris semblable au SRAS, le groupe Shi étudie régulièrement si le virus est ou non capable d'infecter des cellules humaines. Ce modèle d'activités de recherche a été démontré à maintes reprises. Cependant, un tel schéma n'est pas vu ici malgré le fait que RaTG13 a un RBM intéressant et est prétendument la correspondance la plus proche de l'évolution du SRAS-CoV-2.
Preuve génétique directe prouvant que RaTG13 est frauduleux
Le groupe de Yan a examiné de près les séquences de protéines de pointe spécifiques pour les virus pertinents - en comparant spécifiquement les mutations, et a constaté que les gènes de pointe du SARS-CoV-2 et RaTG13 ne contiennent pas de preuve d'évolution naturelle par rapport à d'autres coronavirus qui ont naturellement évolué.
Une interprétation logique de cette observation est que le SRAS-CoV-2 et le RaTG13 ne pourraient pas être liés l'un à l'autre par l'évolution naturelle et au moins l'un doit être artificiel. Si l'un est le produit d'une évolution naturelle, l'autre ne doit pas l'être. Il est également possible qu'aucun d'eux n'existe naturellement. Si RaTG13 est un vrai virus qui existe vraiment dans la nature, alors le SRAS-CoV-2 doit être artificiel.
Plus:
Il est très probable que la séquence du génome de RaTG13 ait été fabriquée en modifiant légèrement la séquence de SARS-CoV-2 pour obtenir une identité de séquence globale de 96,2 %. Au cours de ce processus, une grande partie de l'édition doit avoir été effectuée pour la région RBM du S1 / pic parce que la RBM codée détermine l'interaction avec ACE2 et serait donc fortement examinée par d'autres.
L'article conclut: Tous les coronavirus fabriqués partagent une identité de séquence d'acides aminés à 100 % sur la protéine E avec ZC45 et ZXC21
Les preuves ici indiquent clairement que les nouveaux coronavirus récemment publiés par les laboratoires contrôlés par le PCC sont tous frauduleux et n'existent pas dans la nature. Une dernière preuve de cette conclusion est le fait que tous ces virus partagent une identité de séquence d'acides aminés à 100% sur la protéine E avec les coronavirus de chauve-souris ZC45 et ZXC21, qui, comme révélé dans notre rapport précédent1, devraient être le modèle / squelette utilisé pour la création de SARS-CoV-2. Malgré sa fonction conservée dans le cycle de réplication virale, la protéine E est tolérante et permissive aux mutations d'acides aminés. Il est donc impossible que la séquence d'acides aminés de la protéine E reste inchangée lorsque le virus aurait franchi plusieurs fois la barrière des espèces (entre différentes espèces de chauves-souris, des chauves-souris aux pangolins, et des pangolins aux humains). L'identité à 100 % observée ici prouve donc en outre que les séquences de ces nouveaux coronavirus récemment publiés ont été fabriquées.
Arme biologique illimitée ?
Yan note que s'il n'est pas facile pour le public d'accepter que le SRAS-CoV-2 est une arme biologique en raison de sa létalité relativement faible, il répond en effet aux critères d'une arme biologique.
En 2005, le Dr Yang a précisé les critères pour qu'un agent pathogène soit qualifié d'arme biologique:
Il est très virulent et peut causer des pertes à grande échelle.
Il est très contagieux et se transmet facilement, souvent par les voies respiratoires sous forme d'aérosols. Le scénario le plus dangereux serait qu'il permet une transmission interhumaine.
Il est relativement résistant aux changements environnementaux, peut soutenir le transport et est capable de supporter une dissémination ciblée.
Tout ce qui précède a été satisfait par le SARS-CoV-2: il a coûté la vie à des centaines de milliers de personnes, conduit à de nombreuses hospitalisations et en a laissé plusieurs avec des séquelles et diverses complications; il se propage facilement par contact, gouttelettes et aérosols via les voies respiratoires et est capable de se transmettre d'homme à homme, ce dernier ayant été initialement couvert par le gouvernement du PCC et l'OMS et a été révélé pour la première fois par le Dr Li-Meng Yan le 19 janvier 2020 sur Lude Press; il est insensible à la température (contrairement à la grippe saisonnière) et reste viable pendant une longue période sur de nombreuses surfaces et à 4 ° C (par exemple le mélange glace / eau).
De plus, le COVID-19 se propage de manière asymptomatique, ce qui «rend le contrôle du SRAS-CoV-2 extrêmement difficile».
En outre, la transmissibilité, la morbidité et la mortalité du SRAS-CoV-2 ont également entraîné la panique dans la communauté mondiale, la perturbation des ordres sociaux et la décimation de l'économie mondiale. La portée et la puissance destructrice du SRAS-CoV-2 sont tous deux sans précédent. "
"De toute évidence, le SRAS-CoV-2 non seulement satisfait, mais surpasse également les normes d'une arme biologique traditionnelle. Par conséquent, il devrait être défini comme une arme biologique sans restriction."
Mesures anti-Covid, avant même le pic estival, chaos dans les aéroports: «posé à 16h, je suis sorti de Roissy à 19h30»
17:09 19.05.2021
Augustin de Romanet, PDG du Groupe Aéroports de Paris, a fait part de son inquiétude vis-à-vis de la saison estivale dans les aérogares. Selon lui, la multiplication des mesures anti-Covid à la sortie des avions risque de créer de fort désagréables temps d’attente. Une expérience déjà vécue par l’un des membres de notre rédaction.
«Aujourd’hui ce qui est en haut de ma pile de préoccupations, c’est la discussion avec le ministère de l’Intérieur pour éviter que cet été ne soit une apocalypse de temps d’attente pour les passagers.»
Les mots sont forts et au niveau de l’inquiétude qui est celle d’Augustin de Romanet. Le PDG du Groupe Aéroports de Paris (ADP) a évoqué ses préoccupations à l’égard de la saison estivale lors d’une conférence de presse consacrée aux carburants renouvelables pour l’aviation.
En cause ? La situation sanitaire liée au Covid-19 qui oblige à redoubler de vigilance avec les passagers, notamment ceux en provenance de destinations jugées à risque. «Ce qui me préoccupe principalement, c’est la gestion de la multiplicité des contrôles, des tests et du double contrôle de la police aux frontières», s’est ému Augustin de Romanet.
Un parcours du combattant
Pour le moment, la situation reste relativement gérable. À Paris, Orly et Roissy n’ont vu défiler le mois dernier que 13,9% du nombre de voyageurs présents dans les aérogares en avril 2019. Mais le relâchement des mesures sanitaires observées dans de nombreux pays, dont la France, qui rouvre ce 19 mai ses terrasses et ses cinémas, laisse entrevoir une reprise graduelle du trafic passager.
Voyages cet été depuis la France: le gouvernement élabore une classification tricolore des pays Ainsi, comme le souligne l’AFP, à la faveur de déplacements d’été à nouveau possibles vers certaines destinations, ADP s’attend à devoir gérer 35% du trafic de 2019 sur l’ensemble de l’année 2021.
Et avant même la redoutée période estivale, la situation peut déjà être compliquée pour certains voyageurs. L’un de nos journalistes en a fait les frais. Alors qu’il revenait de Mexico à destination de l’aéroport Roissy Charles de Gaulle à Paris, il s’est retrouvé pris dans une situation digne d’un roman de Franz Kafka.
«Je suis sortie de l’avion, puis j’ai dû passer par un premier contrôle policier rapide de vérification du passeport, puis un second. Ensuite, on m’a demandé de remplir un petit formulaire sur mon état de santé, notamment pour signaler d’éventuels symptômes», explique le membre de la rédaction de Sputnik. Ce n’était que le début. Notre journaliste a ensuite fait la queue avant que le personnel du service de santé ne vérifie à nouveau son passeport. Étape suivante: l’attribution d’un numéro afin d’attendre son tour pour effectuer un test antigénique.
«Il y avait environ quinze stands pour un nombre important de voyageurs», note-t-il. «Une fois le test effectué, il faut à nouveau attendre au milieu d’une foule d’individus. Cela prend une trentaine de minutes.» Le chemin de croix a pris fin avec la livraison du résultat qu’il a fallu présenter à un dernier contrôle de police avant de pouvoir aller récupérer ses bagages. Un cheminement difficile que s’est chargé de rappeler Augustin de Romanet: «Nous avons une addition de contrôles qui sont imposés aux passagers en raison de la situation sanitaire, premier contrôle de police avec les passeports, puis test PCR obligatoire pour les gens qui viennent des pays écarlates [les plus à risque, ndlr], puis deuxième passage devant la police.»
Une inquiétude internationale Signe des précautions prises par les autorités, un rapide tour sur le site de France Diplomatie montre que le Mexique ne fait même pas partie des pays où «en raison de la circulation particulièrement active de l’épidémie ou de la propagation de certains variants, des mesures renforcées sont mises en place pour les déplacements vers la France». La liste est composée de l’Afrique du Sud, de l’Argentine, de Bahreïn, du Bangladesh, du Brésil, du Chili, de la Colombie, du Costa Rica, des Émirats arabes unis, de l’Inde, du Népal, du Pakistan, du Qatar, du Sri Lanka, de la Turquie et de l’Uruguay.
«Le plus intéressant étant que les contrôles par lesquels j’ai dû passer ne concernaient que les passagers de mon vol et d’un autre en provenance d’Arabie saoudite. Je n’imagine pas la situation avec davantage de passagers…», souffle notre journaliste. Et de poursuivre: «Mon avion a atterri à 16h00 et je suis sorti de Roissy à 19h30.» Les aéroports parisiens sont loin d’être les seules à s’inquiéter. Ainsi comme le relate le site spécialisé Déplacementspros .com, Willie Walsh, le nouveau directeur général de l’IATA (International Air Transport Association), craint également le chaos à venir «si tous les clients doivent prouver, sur papier, qu’ils ont rempli des formulaires, qu’ils ont effectué un test PCR, et que ces documents doivent être vérifiés par des personnes aux comptoirs d’enregistrement.»
Le Portugal autorise les voyages touristiques pour la plupart des pays européens
La démocratisation des enregistrements en ligne a massivement désengorgé les comptoirs ces dernières années. Mais la preuve de son état de santé demandée aux voyageurs par de très nombreux aéroports à travers le monde a provoqué un problématique retour en arrière.
Comme le souligne Déplacementspros .com, des compagnies comme Etihad «tentent d’y remédier avec la mise en place de procédures de vérification des données avant l’arrivée à l’aéroport.» Quant à British Airways, elle veut permettre de réserver un créneau horaire aux comptoirs d’enregistrement du terminal 5 de Heathrow par le biais d’une application de file d’attente virtuelle.
Reste à espérer que le déploiement du très controversé pass sanitaire européen attendu au 26 juin permette de limiter la casse, du moins pour les vols au sein de l’UE.
C'est-à-dire: déposition ('pass-sanitaire') par écouvillon par voie nasale de particules nano-scopiques et de morgellons déjà formés !! dans une cavité la plus proche du cerveau !! La mort est en chemin !
Même pour celles & ceux qui partent vers la Nouvelle-Calédonie (zéro mort du corona alors que c'est une île entourée de milliards de milliards de virus sortis des eaux !!).
À la question : est-ce que le passeport vaccinal ou le pass sanitaire est une mesure liberticide ? La réponse est oui.
D'une part, parce que le flicage est devenu de plus en plus prépondérant, faisant parti de la vie quotidienne que tout un chacun subit tous les jours et d'autre part, parce que les libertés ne sont plus des droits naturels. Elles sont totalement conditionnées par une surveillance toujours plus active.
Radars, caméras dans les rues, GPS, géolocalisation, traçage, flicage et censure des réseaux sociaux, il ne manquait que le pass sanitaire pour anéantir le peu d'individualité qui existait encore.
Avec la puce que l'on va bientôt nous inoculer sous la peau, la chape de plomb va bientôt se refermer, et quand toutes nos possibilités de choix auront disparu, nous ne serons plus libres du tout. Bienvenu dans le monde docile du 21e siècle. Malraux avait dit que ce siècle serait spirituel ou pas. C'est assurément le contraire, et l'on pourrait définir ce siècle comme étant celui de la "stupidité servile".
Les raisons d'un pass sanitaire ne sont pas liées à la santé. L'âge moyen des décès par la Covid-19 est de 82 ans, l'âge médian étant de 85 ans. La surmortalité due à la Covid-19 est négligeable pour les personnes de moins de 65 ans. La vérité est donc ailleurs. Contrepoints 9 mars 2021 : Pourquoi il faut s'opposer à un Pass sanitaire
Suite à l'envoi de ma lettre contre le vote du passeport sanitaire à l'ensemble des sénateurs, un des élus m'a fait remarquer et je le cite : "... Que les cas d'utilisation de cette attestation sanitaire seront concentrés sur les plus grands rassemblements, certainement au-dessus de 1000 personnes... N'apparaîtront sur ce document que les noms, prénoms, dates de naissances, résultats du test ou certificat de vaccination et la date et l'heure de cet acte... Aucune information d'ordre personnel autre que celles-ci ne seront ainsi consultables... Il convient d'ajouter à ce tableau l'accord conclu entre les États de l'Union européenne pour qu'un pass analogue permette les déplacements des Européens dans les divers lieux de l'Union. Cet accord, qui a été soumis à des conditions strictes de protection des données personnelles, représente évidemment un progrès dans la sortie de crise qui répond aux divers motifs de déplacement et il démontre l'utilité de ce dispositif élargissant les libertés concrètes de tous..." Pour vos voyages futurs dans le monde, à part utiliser votre "jet personnel" et emprunter la sortie VIP sans contrôles des aéroports, ce n'est pas gagné.
À n'en pas douter, ce pass sanitaire sera plus tard, appliqué aux rassemblements de plus de 6 personnes. Quant à la sécurité de vos informations personnelles, elles sont déjà, via votre carte vitale, dans la banque de données d'une société privée.
Elise Lucet, "Cash Investigation", jeudi 20 mai France 2 : extraits : "... L'enquêtrice est tombée sur cette autorisation de la CNIL qui a été donnée à une société privée qui est juste le leader mondial des data de santé dans le monde qui s'appelle IQVIA*... Donc IQVIA a eu l'autorisation de passer un partenariat avec les pharmacies ce qui fait qu'à chaque fois que vous présentez votre carte vitale dans une pharmacie, toutes les données de ce que vous achetez médicaments ou parapharmacie, absolument tout, va dans un logiciel..."
"... Des informations qui sont transmises sans aucun consentement, donc illégalement... Normalement, on devrait absolument vous prévenir et demander votre consentement, c'est obligatoire. Le consentement explicite, c'est dans la loi, on doit vous le demander. Or moi, j'ai fait le test, on a fait le test dans 200 pharmacies... Petite précision : ils vous disent que ces données de santé sont "anonymisées", c'est-à-dire qu'il n'y a plus le nom et le prénom. Le problème, c'est que dans l'enquête de Cash investigation, on prouve que cette anonymisation par le nom et le prénom, c'est faux". Plus besoin de pousser plus avant la démonstration. Le vote de ce "Pass sanitaire" est un pas de plus vers le fond de l'abîme "démocratique".
Ceux qui ont voté "pour" auront sur la conscience les répercussions sur les générations futures.
Claude Janvier
Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre "Le virus et le président". IS édition. www.is-edition.com
* IQVIA est un leader mondial dans l'utilisation des données, de la technologie, de l'analyse avancée et de l'expertise humaine pour aider les entreprises des sciences de la vie à faire progresser les soins de santé et la santé humaine. But : Contribuer à mettre en place un système de santé plus moderne, plus efficace et plus efficient.
La Croix-Rouge japonaise refuse les dons de sang de personnes qui ont reçu des injections de «vaccins» contre le coronavirus
Mercredi 19 mai 2021 par: Arsenio Toledo
(Natural News) La Croix-Rouge japonaise refuse désormais d'accepter les dons de sang de personnes qui ont reçu le vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
Le site Web de la Croix-Rouge japonaise déclare que les personnes qui ont été vaccinées contre le COVID-19 «ne sont pas autorisées à donner du sang pour le moment».
La même page avertit les donneurs de sang potentiels qu'ils ne pourront pas donner leur sang pendant un certain temps après avoir reçu des vaccinations différentes.
Certains reports empêchent les dons de sang pendant 24 heures après la vaccination, y compris après avoir été vacciné contre la grippe, le choléra et le tétanos. D'autres empêchent les dons de sang pendant deux semaines après la vaccination, par exemple après avoir reçu le vaccin contre l'hépatite B.
Ceux qui ont reçu les vaccins contre les oreillons, la rubéole et d'autres «vaccins vivants» considérés comme faiblement toxiques ne sont pas autorisés à donner du sang pendant quatre semaines après la vaccination. Ceux qui ont été vaccinés contre la variole ne peuvent pas donner de sang pendant huit semaines après avoir reçu la dose.
Jeffrey Kingston, directeur des études asiatiques sur le campus japonais de l’Université Temple, a expliqué que le Japon n’avait pas oublié un scandale qui a frappé le pays dans les années 1980. À l'époque, les autorités gouvernementales avaient autorisé le sang contaminé par le virus VIH à continuer d'être utilisé. C'était même s'il avait été établi que les éléments viraux dans le sang auraient pu être éliminés à l'aide de traitements thermiques.
Kingston a déclaré que cela explique à la fois l'approche prudente des dons de sang et le déploiement très lent et méthodique des vaccins contre les coronavirus dans le pays. Seulement environ 2% de la population japonaise est entièrement vaccinée, contre plus de 35% aux États-Unis.
«C’est un goulot d’étranglement bureaucratique motivé par la peur que quelque chose puisse mal tourner, il vaut donc mieux retarder et retarder», a déclaré Kingston.
L'Amérique continue d'accepter les dons de sang quel que soit le statut vaccinal Aux États-Unis, la Croix-Rouge américaine autorise les personnes qui ont reçu le vaccin contre le coronavirus à donner leur sang. (En relation: OUTRAGEOUS: la Croix-Rouge américaine accepte les personnes infectées par le coronavirus comme donneurs de sang, affirme que le coronavirus ne peut pas se propager par le sang.)
Selon le site Web de la Croix-Rouge américaine, les personnes vaccinées seront autorisées à donner du sang immédiatement ou après un court délai de report, en fonction du type de vaccin contre le coronavirus qu'elles reçoivent.
Les personnes inoculées avec un vaccin COVID-19 inactivé ou à base d'ARN pourront donner leur sang immédiatement. Ces vaccins comprennent ceux fabriqués par Pfizer-BioNTech, Moderna et Johnson & Johnson.
Si les individus vaccinés ont reçu un vaccin vivant atténué contre le coronavirus, s'ils ne sont pas sûrs du type de vaccin COVID-19 qu'ils ont reçu ou s'ils ont été vaccinés dans le cadre d'un essai clinique pour un vaccin qui n'a pas encore été autorisé pour une utilisation généralisée aux États-Unis , ils doivent attendre à peine deux semaines avant de donner leur sang.
Étant donné que les vaccins autorisés aux États-Unis - Pfizer, Modern et Johnson & Johnson - sont soit à base d'ARN, soit utilisent un virus inactivé, cela signifie que pratiquement rien n'empêche les personnes vaccinées de donner leur sang.
«La réponse simple est qu'il n'y a pas de temps d'attente entre la vaccination et le don», a déclaré Kim Cronin, responsable des services aux donateurs au Massachusetts General Hospital.
Les services de don ont reçu cette nouvelle chaleureusement. En effet, les banques de sang connaissent une pénurie de sang depuis le début de la pandémie.
«Les quatorze derniers mois ont été assez difficiles pour ceux d'entre nous qui sont responsables du maintien d'un approvisionnement en sang adéquat pour les patients dans le besoin», a déclaré Cronin. «Le sang continue d'être nécessaire chaque jour.»
«Avec de plus en plus de personnes vaccinées et commençant à reprendre leurs activités normales, la Croix-Rouge s'inquiète de l'impact que cela pourrait avoir sur la participation des donneurs de sang», a déclaré Holly Grant, PDG de la Croix-Rouge du Massachusetts. «Le sang est un produit périssable et l'approvisionnement doit être constamment renouvelé pour que les hôpitaux aient toujours ce dont ils ont besoin quand ils en ont besoin.»
En savoir plus sur les vaccins contre le coronavirus en lisant les derniers articles sur Vaccines.news.
Le vaccin COVID-19 peut provoquer un faux diagnostic de cancer du sein, avertissent les experts
Mercredi 19 mai 2021 par: Divina Ramirez
(Natural News) Les nouveaux vaccins contre le coronavirus ont un certain nombre d'effets secondaires qui devraient se produire après les injections. Un de ces effets secondaires est un gonflement des ganglions lymphatiques.
Ces ganglions lymphatiques enflés sont devenus une source de préoccupation chez les radiologues. Emily Sonnenblick, radiologue en imagerie mammaire au Dubin Breast Center de l'hôpital Mount Sinai de New York, a déclaré avoir observé des ganglions lymphatiques enflés dans les aisselles de nombreuses femmes ayant reçu des vaccins COVID-19.
Les ganglions lymphatiques sont de petites structures en forme de haricot qui sont au cœur de la réponse immunitaire du corps. Ils gonflent généralement en réponse à une substance étrangère pénétrant dans le corps, comme un vaccin ou un virus pathogène.
L'élargissement des ganglions lymphatiques peut également être un signe de cancer. Les femmes atteintes d'un cancer du sein peuvent avoir des ganglions lymphatiques enflés dans l'aisselle ou autour de la poitrine. Les radiologues en imagerie mammaire recherchent ces changements lorsqu'ils recherchent un cancer du sein.
Cependant, des ganglions lymphatiques isolés en l'absence d'un diagnostic de cancer du sein sont un premier signe rare de cancer, a déclaré Sonnenblick. Par conséquent, la présence de ganglions lymphatiques enflés après l'inoculation contre le coronavirus peut grandement compliquer les dépistages du cancer du sein ou même entraîner un faux diagnostic.
Les vaccins provoquent de faux positifs lors des dépistages
Clayton Taylor, radiologue en imagerie mammaire au Stefanie Spielman Comprehensive Breast Center dans l'Ohio, a déclaré qu'il était encore trop tôt pour savoir à quel point les ganglions lymphatiques enflés sont fréquents après une vaccination COVID-19. (En relation: un expert français des maladies infectieuses met en garde contre les dangers du vaccin COVID-19.)
On ne sait pas non plus comment ces ganglions lymphatiques enflés déclenchent un résultat faussement positif des examens mammographiques. Une mammographie est une méthode d'imagerie par rayonnement X utilisée pour examiner le sein pour la détection précoce du cancer et d'autres maladies du sein.
Ce qui est clair, cependant, c'est que les ganglions lymphatiques enflés associés à la vaccination COVID-19 ont déjà conduit à des résultats de mammographie faussement positifs. Jerome Schroeder, directeur de l'imagerie mammaire au Breast Care Center de l'hôpital St. Joseph de Denver, a déclaré que ses collègues avaient vu un ou deux cas de résultats faussement positifs.
Pendant ce temps, Monica Yepes, chef de l'imagerie mammaire et directrice des services d'imagerie mammaire à l'Université de Miami Health System, a dû consoler l'une de ses patientes qui est venue pour un dépistage par mammographie.
Le dépistage a révélé plusieurs ganglions lymphatiques hypertrophiés à l'intérieur de la patiente, qui est venue pour son dépistage six jours après avoir reçu la première dose d'un vaccin COVID-19. Yepes a demandé à sa patiente de se présenter pour un autre dépistage en avril afin de déterminer si les ganglions lymphatiques hypertrophiés sont cancéreux.
D'autres radiologues du sud de la Floride signalent également des cas similaires chez des patients qui ont été récemment vaccinés. Amy Allen, directrice du Capital Regional Comprehensive Breast Center à Tallahassee, en Floride, a déclaré que de nombreux patients étaient venus pour leurs examens de mammographie, qui montraient des ganglions lymphatiques enflés.
Il est important que les femmes se fassent dépister le plus tôt possible pour un cancer du sein afin de freiner son apparition. Mais les médecins signalant des ganglions lymphatiques enflés après la vaccination contre le COVID-19, les experts de la santé recommandent désormais aux femmes de retarder leur dépistage d'au moins quatre semaines après avoir reçu une injection du vaccin pour éviter un résultat faussement positif.
Cependant, retarder les examens mammographiques peut avoir de graves conséquences pour les femmes qui ont un cancer du sein non détecté. La plupart des types de cancer du sein sont invasifs, ce qui signifie que les cellules cancéreuses peuvent se propager aux os et aux tissus de différentes parties du corps. Plus le cancer du sein se propage, plus il sera difficile de le traiter.
Allen conseille aux patients de se présenter pour une mammographie en cas de signes ou symptômes de tout type d'anomalie.
Accédez à Vaccines.news pour en savoir plus sur les risques pour la santé associés aux nouveaux vaccins COVID-19.
Les services de santé ont été surpris en train de mentir, couvrant les dommages vasculaires causés par le vaccin covid et les «réactions anaphylactiques aiguës»
Mercredi 19 mai 2021 par: Ethan Huff
(Natural News) Selon le gouvernement, qui ne ment apparemment jamais, il n'y a aucun risque que les protéines de pointe «vaccinales» du coronavirus de Wuhan (Covid-19) causent des problèmes à long terme à l'intérieur du corps. Selon l'Institut Salk, cependant, rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.
Le département de la santé publique du Connecticut (CDPH) a récemment publié une fiche «d'information» sur les injections de virus chinois qui prétend que leurs protéines de pointe sont «inoffensives». Les lecteurs ont l'impression qu'il n'y a aucun risque de se faire piquer parce que la «science» dit que les injections sont sûres.
«Notre système immunitaire reconnaît que cette protéine de pointe n’appartient pas à notre corps et produit des anticorps qui se lient à la protéine, signalant à nos cellules immunitaires d’attaquer», affirme-t-il en outre.
«C'est ce qu'on appelle une réponse immunitaire. Les vaccins à ARNm fournissent des instructions à notre système immunitaire pour qu'il fabrique des anticorps sans jamais avoir à risquer les conséquences graves de tomber malade avec le COVID-19 et de le transmettre à d'autres.
Ça sonne bien, non ? Ce n'est guère exact, cependant. Une étude de l'Institut Salk a révélé que cette protéine de pointe dite «inoffensive» est directement responsable des dommages vasculaires dont souffrent de nombreux patients vaccinés contre la grippe de Wuhan, entraînant des maladies telles que les accidents vasculaires cérébraux, les crises cardiaques, la migraine, les caillots sanguins et d'autres dommages.
«De manière critique, les quatre marques de vaccins covid actuellement largement utilisées injectent aux patients la protéine de pointe ou, via la technologie de l'ARNm, demandent au corps du patient de fabriquer des protéines de pointe et de les libérer dans son propre sang», prévient Mike Adams, le Health Ranger. .
«Cela inonde le corps du patient avec la protéine très épineuse que le Salk Institute a maintenant identifiée comme la cause des dommages vasculaires et des événements connexes (comme les caillots sanguins, qui tuent de nombreuses personnes qui prennent les vaccins).»
Vous pourriez souffrir d'une réaction allergique mortelle suite à une injection de virus chinois Fait intéressant, le CDPH a également publié une «liste de contrôle pré-vaccination» qui semble contredire sa «fiche d'information». À la quatrième page de la barre latérale de la bulle, il est indiqué que les professionnels de la santé «devraient être familiarisés avec l'identification des réactions allergiques de type immédiat, y compris l'anaphylaxie» résultant de l'injection.
Il poursuit en expliquant que les professionnels de la santé devraient se familiariser avec la façon de traiter avec compétence les réactions allergiques «au moment de l'administration du vaccin» - ce qui signifie que les injections ne sont pas aussi sûres qu'on le prétend largement.
«Un traitement médical approprié pour les réactions allergiques sévères doit être immédiatement disponible en cas de réaction anaphylactique aiguë après l'administration d'un vaccin COVID-19», précise-t-il.
Tout cela renvoie directement aux protéines de pointe «inoffensives» qui, si elles ne provoquent pas la mort immédiatement par choc anaphylactique, finiront par déchirer le système vasculaire. Voilà pour être «inerte».
«En termes simples, cela signifie que les vaccins ont été conçus pour contenir l'élément même qui tue les gens», ajoute le Health Ranger.
«Le résultat de cette recherche est que les vaccins covid provoquent des maladies vasculaires et provoquent directement des blessures et des décès dus à des caillots sanguins et à d'autres réactions vasculaires. Tout cela est dû à la protéine de pointe qui est délibérément intégrée aux vaccins. "
L'article de Salk est le premier, en passant, à expliquer comment ces protéines de pointe impactent le corps en se liant aux récepteurs ACE2 (enzyme de conversion de l'angiotensine 2) et en inhibant le fonctionnement normal des mitochondries cellulaires.
La réponse de l’établissement à ces découvertes est d’affirmer que les «anticorps générés par la vaccination» protègent contre les dommages causés par les pics de protéines, ce qui en fait pas une menace. Mais l'Institut Salk n'est pas d'accord.
Chez certaines personnes, leur système immunitaire peut être suffisamment fort pour se protéger initialement contre les dommages immédiats et évidents aux protéines de pointe. Mais que se passe-t-il plus tard lorsqu'ils rencontrent d'autres maladies et que leur système immunitaire est compromis?
D'autres articles sur le sujet sont disponibles sur ChemicalViolence.com.
L'étau de serrage ou l'élargissement du tourbillon de la révolution réveillée ?
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 19 MAI 2021-16: 40 Rédigé par Tom Luongo via Gold, Goats, blog 'n Guns,
Je m'attends à ce que la grande réinitialisation échoue. Complètement.
Je m'attends également à ce que la grande réinitialisation libère des forces chaotiques que personne ne peut contrôler.
Honnêtement, c'est déjà fait. Regardez autour des gros titres aujourd'hui et vous pouvez voir toutes les ficelles tirées par Klaus Schwab et le Forum économique mondial, mais vous pouvez également voir les événements incontrôlés qui se répercutent comme des conséquences.
Je pense que le petit conflit entre Israël et le Hamas, qui deviendra bientôt le Hezbollah, est admissible, tout comme les protestations croissantes contre les «passeports vaccinaux» contre un virus qui vient de remplacer la grippe dans ses effets réels.
Alistair Crooke l'a récemment souligné dans un article intitulé «Le cercle de resserrement de la politique de remplacement».
Une aile de cet 'oiseau' est évidente dans un monologue puissant et (controversé) prononcé par Tucker Carlson, un commentateur politique américain (conservateur) de premier plan, qui se consacre à expliquer pourquoi un parti américain importe un nouvel électorat à diluer, et remplacer, l'électorat américain actuel - et ce depuis des décennies. C'est l'impulsion dominante au sein de la politique américaine, affirme Carlson; C’est une «politique de remplacement».
La politique de remplacement n'a rien de nouveau. Obama a utilisé le ciblage par code postal pour inonder Minneapolis de Somaliens. Maintenant, ils sont représentés par un au Congrès tandis que la ville a été le point de départ de l'abdication de responsabilité par le gouvernement local sous la direction du WEF.
La politique de remplacement s'est également transformée assez rapidement, grâce à l'appâtage racial pendant les deux premiers mandats d'Obama, en un programme d'entreprise / gouvernement (ou je me répète) connu sous le nom de Révolution réveillée. La radicalisation de la vingtaine mal éduquée en un bloc noir portant des chemises brunes a toujours fait partie de ce plan.
Et plus l’administration Biden Obama pousse des politiques visant à rendre la vie aux États-Unis moins ordonnée, plus leurs rangs peuvent grossir quels que soient les souhaits des maîtres de marionnettes. Des choses comme celle-ci prennent une vie qui leur est propre. Telle est la politique de l'envie et de la haine.
Les tueurs de remplacement
La politique de remplacement a été soigneusement nourrie avec de l'argent, de la formation et de l'organisation. Et les effets de celui-ci seront avec nous longtemps après qu'il se soit épuisé.
Il a également été poursuivi de manière agressive en Europe. Vous vous souvenez de Sainte Angela Merkel ?
Elle a entamé ce processus, sous les demandes de Schwab et George Soros, après qu'Obama et la secrétaire d'État d'alors Hillary Clinton ont fait exploser la Syrie et l'Afrique du Nord, surnommées étrangement le «printemps arabe» et des millions de personnes dans ces régions ont inondé l'Europe.
Depuis lors, Merkel a fait des va-et-vient, sa fortune politique en Allemagne va et vient en fonction de la façon dont elle réagit au changement des chiffres des sondages sur cette question même, l'immigration.
Si Trump n’était pas à la Maison Blanche, j’aurais presque cru que la Coronapocalypse nous aurait été imposée ne serait-ce que pour sauver la carrière politique de Merkel jusqu’aux élections au Bundestag de cette année, qui semblent maintenant que le parti vert de plus en plus néoconservateur gagnera.
C'est un résultat créé par les manipulations et les machinations du WEF et de leur servante dévouée Merkel, qui a utilisé les Verts pour définir la politique grâce à leur présence à travers le Bundesrat (Chambre haute allemande) depuis des années maintenant. Maintenant, ils sont susceptibles de devenir le parti dominant dans le prochain gouvernement allemand, si les sondages sont presque corrects.
La chose à essayer et à évaluer à ce stade est le degré de contrôle que Schwab and Co. a encore ? Parce que d’où je suis assis et que je regarde l’histoire, ces choses échappent toujours à tout contrôle. W.B. L'image de Yeats du «tourbillon qui s'élargit» dans son poème The Second Coming sonne juste ici et personne ne peut faire grand-chose pour contrôler le chaos une fois qu'il a commencé.
C’est ce qu’est le chaos, après tout, par définition.
Crooke souligne à juste titre que la révolution culturelle de Mao s’est rapidement éloignée de lui et est devenue un désordre absolu qui a finalement dû être réprimé. Il convient avec moi que le programme «fabuliste» de la Grande Réinitialisation, à la fois du point de vue de la politique intérieure et étrangère à travers l'Europe et les États-Unis, échouera.
Et cela échouera très probablement. Le stress imposé à la cohésion de la société américaine par le lancement de la révolution culturelle éveillée peut s'avérer trop important. La Révolution culturelle chinoise, lancée par Mao (dans le cadre de sa purge de 1966 des rivaux du Parti), s'est très rapidement transformée en un mouvement décentralisé et semi-chaotique de gardes rouges, d'étudiants et d'autres groupes qui partageaient des idées et des programmes, mais qui agissaient de manière assez indépendante de la direction centrale du Parti.
Vice d'Hollywood
Pour moi, la meilleure façon d'évaluer ce qui se passe et si nous avons atteint Peak Woke ou non est le divertissement. Les artistes sont les plus ouverts aux changements du paysage culturel. Les bons y arrivent les premiers, tandis que les propagandistes fulminent et cherchent à les empêcher d'avoir de l'influence. Les premiers indicateurs sont que le stress causé par le «réveil» oblige les grandes marques à changer rapidement de cap de peur de perdre leur audience.
Du point de vue de la guerre culturelle, Woke-a-Cola a dû revenir sur son entraînement «être moins blanc». Disney devait faire la même chose. Les deux ressentent le pincement dans leur résultat net. Le coca ne récupérera jamais. Disney le fera parce qu'ils n'ont pas complètement détruit Star Wars.
L'autre propriété majeure de Disney, Marvel Studios, est un gruau mince, culturellement et iconographiquement, et donc finalement sans importance. C'était toujours des beatniks, des hippies et un boomerisme spirituel effréné en quatre couleurs.
Star Wars est important pour la génération qui s'apprête à prendre le pouvoir politique des boomers de Schwab. C’est la raison pour laquelle l’anxiété suscitée par la reprise par Disney a été alimentée cyniquement par les grandes entreprises technologiques pour diviser la base de fans. Je n'ai rien mis au-delà de ces gens. Ils ont baisé avec le match des étoiles de la Major League Baseball par pitié. Vous ne pensez pas qu’ils ne chercheraient pas une pierre de touche culturelle pour une génération comme Star Wars ?
Avec deux bons gars qui ont de profondes capacités de narration qui dirigent désormais efficacement Lucasfilm, Dave Filoni et John Favreau, Star Wars retrouvera «la hauteur» de la guerre culturelle au cours de la prochaine décennie.
L'autre grand combat se déroule au sujet du panthéon des héros de DC. Il y a une telle division interne au sein de Time-Warner sur la direction de l'univers cinématographique de DC Comics que Warner Bros. et Warner Media mènent littéralement une guerre civile dans la presse professionnelle. Cela fait partie de ce qui motive la fusion actuelle de 43 milliards de dollars entre AT&T et Discovery, qui divisera tout le gâchis, y compris CNN et HBO, ce qui en fera une société de médias purs sous la direction de Jason Kilar, qui a donné le feu vert à The Snyder Cut of Justice League en premier lieu .
C’est à quel point les dirigeants de Warner Bros. détestent Zack Synder et le message de base de ses films DCEU. Le chaos est mauvais, les hommes doivent être forts et s'unir contre des fous irrémédiables.
La direction est furieuse face au succès fulgurant, à travers le monde, de sa version de 2017 Justice League. C’est magnifique, au fait. Ce film a touché un nerf profond avec beaucoup de gens, notamment en Chine (330 millions de vues les 7 premiers jours), et dont la sortie, en soi, ressemble à un point d'inflexion. Les films DC de Snyder ne sont pas réveillés, ils sont archétypaux. Plus cette histoire sur la façon dont les dirigeants de Waner Bros baisent Snyder sort, plus elle les cherche et plus les fans ont d'élan pour obtenir les histoires qu'ils veulent, pas les histoires que les pouvoirs veulent leur donner.
Les icônes de DC sont, comme Star Wars, une véritable mythologie et les hacks réveillés sans âme (je dirais simplement «commie») qui dirigent Warner Bros. n'ont jamais su quoi en faire parce que les bonnes histoires ne correspondent pas à l'agenda politique de remplacement. Hollywood est envahi par l'influence chinoise qui cherche à démolir nos mythologies et les réactions négatives contre cela alors que les gens ont commencé à exiger quelque chose de mieux. Mais le rejet des Oscars, l'annulation des Golden Globes et le rejet du back-slapping narcissique d'Hollywood vous indiquent à eux seuls où cela va.
Nous en sommes aux premiers jours, mais surveillez attentivement ces développements. Dans le domaine de la guerre culturelle, le timing est primordial. Peut-être que 2017 n'était pas le bon moment pour la Justice League de Snyder, mais 2021 était évidemment juste. Tout comme 2017 n'était pas le bon moment pour publier The Last Jedi pour les fans anxieux de Star Wars.
Serrage qualitatif
Ce qui me ramène à l'étau de serrage / au tourbillon d'élargissement de la politique de remplacement. Parce qu'aujourd'hui il n'y a pas de retour de ce que Schwab et.al. ont déchaîné. BLM et Antifa ont donné lieu à la guerre raciale même contre laquelle ils disaient se battre. La violence des Noirs sur «XXX» augmente de manière horrible et lorsque le bus de la guerre de la culture revient dans l'autre sens, tout le monde sera écrasé - BLM et, malheureusement, les Noirs qui ne l'ont pas soutenu.
Dans tout mouvement à possession idéologique, il n'y a pas de test de pureté trop strict pour éliminer les non-engagés. Les tests de pureté sont eux-mêmes des gyres d'intolérance croissante. C'est ce que Mao a appris à la dure.
Pour moi, Schwab et sa foule de Davos réalisent maintenant qu'ils sont sortis de l'ombre trop tôt et sont en mode de contrôle des dégâts. Mais leurs chemises brunes les allumeront aussi. Ils ressentent ce changement alors que les situations politiques à travers l'Europe deviennent laides dans des endroits comme la France, où ils n'ont pas de réponse à l'échec du président Macron et des chefs militaires français, malgré les néo-conservateurs foudroyants au contraire, étant des hommes d'honneur fiers et capables qui ont gagné. T'a pas mis ça trop longtemps.
Alors même que Davos essaie de conserver le pouvoir qu’ils ont conçu pour leur programme insensé sur le changement climatique, le cœur de leur programme éveillé déborde et se détourne d’eux. Il y a cependant une inertie politique, que nous ne surmonterons pas facilement et cela prépare le terrain pour le chaos de la prochaine décennie.
Ainsi, aujourd'hui, Bill Gates est jeté aux requins #MeToo en espérant que cela satisfera notre vengeance sur les vaccins qui rendent les gens malades et n'arrêtent pas le COVID. Demain, ce sera le Dr Anthony Fauci pour avoir dissimulé les origines du COVID-19.
La Révolution réveillée activera l'AOC aussi rapidement qu'elle allumera Bernie Sanders et Nancy Pelosi. Donnez-lui une autre année de violence BLM / Antifa sur quiconque n'est pas eux et ce seront eux qui prendront d'assaut le Capitole et ils ne resteront pas debout pour prendre des photos et marcher dans les zones encordées comme les terroristes domestiques de Trump l'ont fait le 6 janvier.
Libérer le chaos et croire que vous pouvez le contrôler est le summum de l'orgueil. Mais ceux que les dieux cherchent à détruire en premier les rendent fous.
Un thème qui joue très bien dans la représentation de Lex Luthor par Snyder dans Batman v. Superman - Dawn of Justice injustement décrié. Un film saboté par son propre studio pour des raisons politiques et philosophiques sous une direction irréprochable.
Un peu comme les États-Unis et l'Europe d'aujourd'hui, n'est-ce pas ?
Mais, plus important encore, c’est aussi un film qui nous montre clairement ce qui se passera quand un fou comme Schwab est contrecarré, lorsque son plan soigneusement conçu s’effondre parce qu’au moment de la folie, nous nous souvenons de notre humanité commune.
Il déchaîne Doomsday, en disant: «Si l'homme ne peut pas tuer Dieu, alors le diable le fera !»
C’est ce que je crains le plus, le refus d’hommes comme Schwab de se rendre compte qu’ils ont perdu une guerre et qu’ils en ont attisé une autre, transformant le nœud coulant de la politique de remplacement en un tourbillon intentionnel qui consume tout le monde. Il est clair pour moi depuis plus d'un an que peu importe ce qui se passe aux États-Unis politiquement au cours des deux prochaines années, un US plus faible signifie un monde où les vieilles inimitiés sont lâchées, les pulsions les plus sombres de l'humanité encouragées et il n'y a pas assez de gens disposés. pour éteindre les incendies.
Comme je l'avais précédemment décrit, le triangle équilatéral de 45 km de côté où se tenaient côte-à-côte 7 milliards d'habitants face au nano-groupuscule de dictateurs dans un coin, ils ne gagnent qu'avec des armes (tous les jours plus sophistiquées que les précédentes). Ils ne peuvent RIEN face aux 7 milliards de cerveaux différents que peuplent la Terre et, se retournent vers les 'I.A.' pour tenter de les remplacer !! Jusqu'au transhumanistes qui seraient - d'après eux - des modules interchangeables et obéissables au doigt et à l'oeil !! Mais là où ils se trompent est que ces 'humains-robotisés' inoculés de la formule nouvelle de l'expérimentation au devenir d'extra-générationnels ne peut que disparaître face à l'EMP ! L'être humain est tout électrique, sans elle il n'est rien. Rien sans elle (comme les plantes). Comme le disait Bourvil dans "Les grandes gueules" Sans amour il n'y a pas de couple", (alors, avec 7 milliards...). Mais la 'boite de Pandore' est ouverte ! les inoculés sont formés à expirer/répandre le poison du (faux)'vaccin sur toute la Terre !! Le NWO table-rase ?
Le nucléaire est la source d’énergie durable, la plus efficace, la plus propre pour produire massivement l’électricité nécessaire à l’économie.
20 MAI 2021 Par Michel Gay.
Parce que le nucléaire est la source d’énergie durable (plusieurs milliers d’années) et pilotable la plus efficace, la plus propre, la moins émettrice de gaz carbonique (6 g gaz carbonique/kWh) et la moins chère pour produire massivement l’électricité (et aussi la chaleur) nécessaire à l’économie actuelle et future d’un pays moderne comme la France.
Cette électricité est ensuite à l’origine d’une grande partie de l’activité économique : industrie, transport ferroviaire, chauffage, éclairage, informatique…
UNE TRANSITION ÉNERGÉTIQUE CATASTROPHIQUE
La richesse de la France et de l’Europe est amputée depuis 15 ans par les choix énergétiques désastreux des gouvernements successifs et des élus influencés par des écologistes antinucléaires.
Des décisions délirantes conduisent à limiter ou à vouloir supprimer la production électronucléaire pour développer les énergies renouvelables intermittentes (EnRI), surtout l’éolien et le photovoltaïque (PV) qui sont ruineux et fatals.
Ces EnRI ne peuvent donc alimenter aucun Français en permanence selon son besoin, contrairement aux allégations mensongères des promoteurs relayées par la presse. Elles nécessitent d’autres moyens pilotables de productions coûteuses en parallèle (gaz ou… nucléaire) pour pallier leur intermittence ou leurs variations aléatoires.
L’énergie, c’est la vie. La production d’énergie est à la source de toute transformation et de création de richesse. La croissance du produit intérieur brut (PIB) d’un pays, quelle que soit son efficacité énergétique est directement liée à sa consommation d’énergie.
AVEC LE NUCLÉAIRE, ACCROÎTRE LA RICHESSE D’UN PAYS
Pour cela, il n’existe que trois solutions :
Produire de la richesse (industrie, services, tourisme…). Un peuple peut être très sobre, mais sans production il restera pauvre. Éviter de gaspiller cette richesse produite (efficacité, rationalisation…). Il est difficile de remplir une baignoire quand l’eau s’écoule par la bonde ouverte. Faire cohabiter intelligemment les deux premières manières. L’objectif est de profiter d’autant de richesses en travaillant moins. Produire au juste besoin de suffisance en évitant les gaspillages peut permettre de vivre bien et même d’accéder au bonheur !
GRÂCE AU NUCLÉAIRE, DIMINUER LA FACTURE ÉNERGÉTIQUE DE LA FRANCE
La facture annuelle énergétique moyenne de la France (payée à l’étranger) est de l’ordre du montant de son déficit extérieur, soit environ 70 milliards d’euros par an.
Les achats de 80 millions de tonnes équivalent pétrole (Mtep) de pétrole pour 55 milliards d’euros par an, de 38 Mtep de gaz (13,5 milliards/an), et de 10 Mtep de charbon (2,5 milliards/an) grèvent les finances publiques et appauvrissent les Français.
En revanche, toute l’électricité consommée par les Français est produite en France principalement à l’aide :
du nucléaire (75 %) dont la production d’énergie (110 Mtep) nécessite l’importation de moins de un milliard par an d’uranium, des barrages pour environ 10 %. Ces deux moyens pilotables et non fatals comme l’éolien et le solaire évitent ainsi actuellement l’achat à l’étranger de 20 à 30 milliards par an de combustibles fossiles (gaz et charbon) pour produire de l’électricité.
Le pétrole principalement utilisé dans le transport (50 Mtep pour 31 millions de véhicules) sera difficilement remplaçable.
À long terme, pour alimenter le transport en l’absence de pétrole et de gaz naturel importés, il ne reste que l’électricité produite massivement et à bon marché par le nucléaire (régulé par les barrages). Mais, sauf à électrifier les autoroutes et les routes, cette succession sera difficile car l’électricité se stocke peu ou mal dans des véhicules.
Le nucléaire est donc la seule source durable d’énergie propre de production massive d’électricité (et de chaleur) au moindre coût pour répondre aux besoins des Français et des Européens dans une économie moderne pour les années à venir et pour les prochains siècles.
Un cristal qui défie les lois physiques découvert sur le site du premier test nucléaire
10:29 20.05.2021
Baptisé Trinity, le premier essai d’une arme nucléaire de l'histoire, en juillet 1945 au Nouveau-Mexique, a donné naissance à un quasi-cristal aux propriétés surprenantes. Découvert 76 ans plus tard, c’est le plus ancien quasi-cristal d’origine anthropique actuellement connu.
Une équipe de géologues italiens et américains a découvert sur le site du premier essai d’une arme nucléaire, au Nouveau-Mexique, un quasi-cristal icosaédrique d'une composition jusqu'ici inconnue, indique une étude publiée dans la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences.
Réalisée dans le cadre de l’essai Trinity le 16 juillet 1945, la détonation de la bombe à implosion Gadget a dégagé une énergie d'environ 21 kilotonnes de TNT, provoquant la fusion du sable environnant, de la tour d'essai et des lignes de transmission en un minéral appelé «trinitite». C’est dans un échantillon de ce minéral rouge que les chercheurs ont découvert ce quasi-cristal dont la composition est Si61Cu30Ca7Fe2.
D’après eux, il s’agit «du plus ancien quasi-cristal anthropique existant actuellement connu» dont «le moment précis de création est gravé de manière indélébile dans l'histoire». Ils soulignent que l’explosion de la bombe a entraîné une température et une pression extrêmes, comme dans le cas de la météorite de Khatyrka, retrouvée en 2011 dans l'est de la Sibérie, dont la chute a été à l’origine de la formation des seuls quasi-cristaux d'origine non anthropique jamais connus.
Une découverte surprenante
L’auteur principal de l’étude, Luca Bindi, de l'université de Florence, a expliqué au portail Invers qu’il s’agissait d’«une découverte surprenante», car elle défie d’une certaine façon des lois de la cristallographie.
Il rappelle que les solides comme le quartz, le sel ou les diamants se forment selon des lois assez strictes, car ils demandent une organisation des atomes en treillis symétrique comme, par exemple, les carreaux du carrelage d’une salle de bain. Les cristaux sont donc «autorisés» à posséder des axes de symétrie d’ordre 1, 2, 3, 4 et 6. À l’inverse, les axes de symétrie d’ordre 5, 7, 8 ou plus sont «strictement interdits», poursuit M.Bindi. Et c’est exactement le type de structure que présente le nouveau quasi-cristal retrouvé sur le site de l’essai Trinity. «La symétrie icosaédrique, qui comprend six axes indépendants de symétrie d’ordre 5, est super-interdite», conclut Bindi.
Le Pentagone a constitué des Forces spéciales secrètes dix fois plus puissantes que celles de la CIA
voltairenet.org mer., 19 mai 2021 16:05 UTC
Le journaliste William Arkin, expert incontesté des secrétariats à la Défense et à la Sécurité de la Patrie, a publié une longue enquête sur le site internet de Newsweek1. Il révèle l'existence de Forces spéciales secrètes de 60 000 hommes au sein des armées US.
Ceux-ci n'apparaissent pas dans les organigrammes de secrétariat à la Défense, mais comme des sous-traitants de 120 compagnies différentes. Ils peuvent intervenir à tout moment, n'importe où dans le monde, voire aux États-Unis, en uniforme ou en civil.
Les agents du Pentagone disposent de moyens sophistiqués pour changer leur visage et leurs empreintes digitales de manière à passer au travers des systèmes d'identification biométriques.
La Convention de Genève ne reconnait pas la qualité de soldats à des personnels agissant sans uniforme ou masquant leur identité.
Ce programme, connu sous le terme de « Réduction de signature », a été constitué en 2013 et est ignoré par les membres du Congrès.
Note : 1. "Exclusive : Inside the Military's Secret Undercover Army", William M. Arkin, Newsweek, May 17, 2021.
Petite expérience de physique à l’usage des climato-réalistes
le 20 mai 2021
Je vais deux fois par mois reconstituer mon stock d’excellentes parts de tarte fabriquées par le meilleur pâtissier de Tenerife, le meilleur car il a appris son métier en France. Je congèle ces tartes puisque j’en achète une dizaine de parts au même moment. La photo ci-dessous est celle d’une part de ces tartes que je préfère. Sur un fond de pâte brisée est déposée une couche de de frangipane dans laquelle sont inclus des raisins secs qui ont macéré au préalable dans ce que je crois être du Porto ou un autre vin d’Andalousie. En surface se trouve une couche de pâte d’amende caramélisée recouverte enfin de sucre glace. C’était pour vous mettre en appétit.
J’ai réalisé cette expérience très simple en deux étapes. Comme indiqué sur la photo la part de tarte est posé sur une fourchette à dessert et elle n’est pas en contact avec l’assiette. J’ai constaté que le fond de l’assiette se refroidissait très sérieusement. J’en ai déduit que de l’air entourant la part de tarte se refroidissait et tombait alors littéralement vers le fond de l’assiette dans un mouvement de convection. Mais je n’étais pas satisfait de cette première observation que je ne pouvais pas quantifier à moins de disposer d’un appareil de photo infra-rouge.
- voir photo sur site -
J’ai réalisé la même phase de décongélation quelques jours plus tard d’une autre part de tarte identique en prenant cette fois la précaution de recouvrir la fourchette et l’assiette d’un film alimentaire en polyéthylène dans le but d’éliminer toute convection de l’air entourant la part de tarte qui en se refroidissant tout en réchauffant la tarte n’irait pas ensuite refroidir l’assiette. Et surprise, mais je m’y attendais un peu, le fond de l’assiette s’est également refroidi tout autant que s’il n’y avait pas eu ce film plastique. Que s’est-il passé ? La part de tarte se trouvait à la température de – 20°C et la température de l’assiette à + 25°C. Parler de thermies, de frigories n’a aucun sens puisque l’assiette est isolée par le film alimentaire et qu’il n’y a plus de convection ou de conduction directe pouvant favoriser un transfert de « froid » de la part de tarte vers l’assiette plus chaude. En réalité la part de tarte est un puits de photons infra-rouges émis par l’assiette. Certes la part de tarte émet des photons infra-rouges mais ils sont beaucoup moins énergétiques que ceux émis par l’assiette, la différence de température étant de 45°C au début de cette petite expérience. Ceux de mes lecteurs familiers de la loi de Stefan-Boltzmann trouveront que la différence de longueur d’onde entre les photons émis par le fond de l’assiette et ceux émis par la part de tarte est de 0,166 micromètres.
C’est peu me direz-vous mais savez-vous combien de photons infra-rouge votre corps émet chaque seconde ? Un adulte émet chaque seconde 45 milliards de milliards de photons de longueur d’onde d’environ 9,70 microns. Et pour l’assiette située sous la tarte il en est de même à une petite différence près : l’assiette ne consomme pas d’énergie pour maintenir sa température constante comme nous le faisons à chaque instant, donc nécessairement l’assiette se refroidit : elle perd de l’énergie en émettant des photons et elle en émet d’autant plus que ces photons sont littéralement piégés par la tarte.
Il en est de même entre la surface de la Terre et les couches élevées de l’atmosphère malgré le fait que les échanges sont compliqués par des phénomènes de convection puissants et l’intervention de la vapeur d’eau qui introduit un facteur supplémentaire de transfert de chaleur. Cette petite expérience observationnelle prouve qu’il ne peut pas exister de transfert d’énergie sous quelque forme que ce soit d’un corps froid vers un corps chaud. C’est pourtant ce qu’avance la théorie de l’effet de serre du gaz carbonique. Pour les curieux tous les calculs figurant dans ce billet sont déduits de la loi de Wien ( https://en.wikipedia.org/wiki/Wien%27s_displacement_law ). Je tiens à remercier Valentine, étudiante en classe préparatoire aux grandes écoles d’ingénieurs, qui a effectué les calculs pour son vieux grand-père.
Politifact admet tranquillement que l'évasion du laboratoire COVID-19 n'est pas une 'théorie du complot démystifiée'
PAR TYLER DURDEN JEUDI 20 MAI 2021-09: 07
En janvier dernier, lorsque la Chine et l'Organisation mondiale de la santé (OMS) effectuaient un contrôle des dommages pour Pékin sur un nouveau coronavirus mystérieux qui a éclaté dans la même ville que leur laboratoire secret de coronavirus de chauve-souris (avec qui, à l'insu de la plupart à l'époque, un Fauci - une ONG financée appelée EcoHealth Alliance travaillait), quiconque suggérait logiquement un lien entre le laboratoire secret et la nouvelle maladie était immédiatement puni par les géants de la technologie de la Silicon Valley qui protégeaient la Chine de ceux qui osaient spéculer sur la base de très. évident. des indices.
Twitter a suspendu Zero Hedge après qu'un journaliste de BuzzFeed (plus tard licencié pour plagiat) nous ait accusés de 'doxxing un scientifique chinois qu'il a faussement accusé de créer un coronavirus' (avec des informations accessibles au public). Cinq mois plus tard, Twitter a restauré notre compte après une pression croissante du public - affirmant qu'ils avaient "commis une erreur".
Facebook a interdit nos articles - et a contrôlé la 'désinformation' du COVID sur la base du mot de soi-disant "vérificateurs de faits" qui ont insisté sur le fait que la nouvelle maladie n'aurait pas pu échapper à l'Institut de virologie de Wuhan, et doit avoir émergé via encore-à -être découvert des intermédiaires animaux entre les chauves-souris et les humains. Bien sûr, l'un des "fact checkers" de Facebook travaillait au laboratoire de Wuhan.
- voir doc sur site -
Ancienne employée du laboratoire de Wuhan et vérificateur des faits sur Facebook, Danielle Anderson, qui a collaboré neuf fois avec le chercheur chauve-souris, Peng Zhou
Et puis il y a Politifact, qui a écrit ce gros titre dans un "fact check" de septembre 2020:
"Les invités de Tucker Carlson ont démenti la théorie du complot selon laquelle COVID-19 a été créé dans un laboratoire."
- voir doc sur site -
Aujourd'hui, presque exactement un an et un président plus tard, Politifact a publié une «correction» majeure. et «archivé» la vérification des faits.
"Lorsque cette vérification des faits a été publiée pour la première fois en septembre 2020, les sources de PolitiFact ont conclu que les chercheurs affirmant que le virus SARS-CoV-2 n'aurait pas pu être manipulé. Cette affirmation est maintenant plus largement contestée."
Alors que les défenseurs de Politifact soutiennent que le 'vérificateur de faits' se tient simplement responsable - ils ont décrété que la théorie de l'évasion de laboratoire devait être 'démystifiée' - comme cela s'est avéré faux - en même temps que l'ancien président Trump - et que les informations d'identification des individus sont égales ou meilleures à leur les «sources» disaient le contraire.
Cas de Covid tombant dans les régions de l'Inde qui ont approuvé l'utilisation de l'ivermectine
May 20th, 2021 |
Les choses changent en Inde - à partir de quelques jours après l'augmentation de l'utilisation de l'ivermectine.
Mais où sont les médias ? Qui rapporte que le revirement dans certains États de l'Inde a commencé quelques semaines après l'utilisation accrue de l'ivermectine - le médicament vieux de 50 centimes qui a été utilisé pour 3,7 milliards d'ordonnances dans le monde, donné aux enfants pour traiter les poux, la gale et les vers et est utilisé à la tonne dans les élevages bovins et ovins.
Hallalujah ? Ou lisez et pleurez - quelle proportion de la terrible débâcle aurait pu être arrêtée avant même qu'elle ne commence ?
- voir graphique sur site -
L'ivermectine recommence en Inde (gris foncé ombré) @jjchamie
Le 20 avril, New Dehli, les AIIM ont recommandé que l'ivermectine soit ajoutée au programme de soins à domicile. Ainsi, les personnes testées pourraient commencer un traitement précoce.
Les cas ont commencé à ralentir presque immédiatement.
Cas de Covid à New Dehli. Inde.
- voir graphique sur site -
Le 10 mai, le ministre de la Santé de Goa a recommandé l'utilisation de l'ivermectine à Goa. En effet, il l'a offert à l'ensemble de la population adulte.
Le lendemain, l'OMS, très utilement, a mis en garde contre l'utilisation de l'ivermectine en Inde.
- voir graphique sur site -
Goa, Inde. Cas de Covid, après l'introduction de l'ivermectine.
- voir graphique sur site -
Par Justus R. Hope, MD, Desert Review
Trois semaines à peine après avoir ajouté l'ivermectine, Delhi sort désormais l'Inde de la deuxième vague meurtrière de la pandémie COVID. Les cas qui avaient culminé à 28 395 le 20 avril ont chuté de près de 80 % à seulement 6 430 le 15 mai. Les décès ont atteint un sommet le 4 mai, et maintenant ils sont également en baisse de 25 %.
Pendant ce temps, trois autres États indiens ont suivi l'exemple de Goa en ajoutant l'ivermectine: l'Uttarkhand, le Karnataka et l'Uttar Pradesh. Et, comme prévu, ils ont également constaté une baisse des nouveaux cas quotidiens, l'Uttar Pradesh ayant baissé de près de 75 % par rapport à un sommet de 37944 quatre jours seulement après avoir commencé à suivre les directives de l'AIIMS du 20 avril à seulement 10505 le 16 mai. Malheureusement, le Tamil Nadu va dans l'autre sens, ils ont utilisé l'ivermectine pendant trois jours, puis l'ont arrêté et ont acheté Remdesivir à la place (un médicament de Gilead qui coûte environ 3000 $ par patient). Pourtant, il est pratique d'avoir un groupe témoin.
Dommage que les habitants du Tamil Nadu fassent partie de l'expérience. Difficile de croire que le ministre en chef de Goa est M K Staline.
Vingt mille doses de Remdesivir coûtent 60 millions de dollars, tandis que 20 000 doses d'ivermectine vont pour quelques centaines. Où un pays en développement obtient-il les 60 millions de dollars par jour pour acheter le Remdesivir ? Pourquoi leur chef jette-t-il un médicament bon marché, l'ivermectine, qui a sauvé des vies dans d'autres pays ?
L'Inde a commencé à utiliser l'ivermectine le 8 août 2020 au plus fort de la première vague. Il n’est pas facile de savoir quand ou si l’utilisation de l’ivermectine a ralenti ou s’est arrêtée. En effet, il est étrangement difficile de trouver quoi que ce soit sur la plupart des moteurs de recherche en dehors des vérifications de faits qui mettent en garde contre l'utilisation de l'ivermectine.
Il y a des allégations selon lesquelles l'utilisation de la drogue a stagné en janvier, mais très peu de confirmation officielle.
Vagues de Covid en Inde Sur Twitter
Les médias pourraient-ils se tromper davantage sur la situation ? Le 28 avril, au pic des nouveaux cas en Inde, les génies de Business Insider ont déclaré que c'était la tempête parfaite pour l'Inde et ont blâmé, entre autres, la lenteur du déploiement du vaccin. Des experts sans nom ont même blâmé l'ivermectine.
Les experts ont déclaré que certains médecins en Inde avaient - que ce soit par manque de formation ou par désespoir - essayé d'administrer des médicaments qui n'agissent pas contre le virus, comme l'ivermectine, une prescription utilisée pour traiter les infections parasitaires.
«J’ai entendu des histoires de personnes se faisant prescrire trois, quatre, cinq, six médicaments, des médicaments qui ne se sont pas avérés efficaces du tout», a déclaré Kuppalli. «Je pense que les gens cherchent juste des pailles et cela ne fait qu'ajouter au chaos et à l'anxiété.»
Le message d'un médecin en Inde:
- voir graphique sur site -
Rapport de médecins d'Inde
Sur Twitter
Au Pérou, l'ivermectine a réduit les décès de covidus de 75 % en 6 semaines: bon marché, sûr et assez ignoré L'ivermectine est un médicament si utile que les premiers chercheurs ont obtenu un prix Nobel de médecine pour y travailler. Il est si bien connu qu’au cours des trente dernières années, plus de 3,7 milliards de doses d’ivermectine ont été administrées. C'est tellement sûr que nous pouvons l'utiliser sur les chats et les chiens et même les tout-petits. Il est bon marché et son utilisation dans la science agricole se mesure en tonnes. Le coût de l'ivermectine est d'environ 15c dans le tiers monde et 50 $ pour un tour pour un humain à New York. (C'est beaucoup moins cher qu'un lit de soins intensifs de 5 000 $ par jour.)
RÉFÉRENCE
Paul E Alexander, Robin Armstrong, George Fareed, Kulvinder, K. Gill, John Lotus, Ramin Oskoui, Chad Prodromos, Harvey A. Risch, Howard C Tenenbaum, Craig M. Wax, Peter A. McCullough (2021) Early Multidrug Outpatient Treatment de l'infection par le SRAS-CoV-2 (COVID-19) et la réduction de la mortalité chez les résidents des foyers de soins, doi: https://doi.org/10.1101/2021.01.28.21250706
Pass sanitaire, pass totalitaire. Ils préparent leur guerre
Claude Janvier Les7duQuébec jeu., 20 mai 2021 14:32 UTC
À la question : est-ce que le passeport vaccinal ou le pass sanitaire est une mesure liberticide? La réponse est oui. D'une part, parce que le flicage est devenu de plus en plus prépondérant, faisant parti de la vie quotidienne que tout un chacun subit tous les jours et d'autre part, parce que les libertés ne sont plus des droits naturels. Elles sont totalement conditionnées par une surveillance toujours plus active.
Radars, caméras dans les rues, GPS, géolocalisation, traçage, flicage et censure des réseaux sociaux, il ne manquait que le pass sanitaire pour anéantir le peu d'individualité qui existait encore.
Avec la puce que l'on va bientôt nous inoculer sous la peau, la chape de plomb va bientôt se refermer, et quand toutes nos possibilités de choix auront disparu, nous ne serons plus libres du tout. Bienvenu dans le monde docile du 21e siècle. Malraux avait dit que ce siècle serait spirituel ou pas. C'est assurément le contraire, et l'on pourrait définir ce siècle comme étant celui de la « stupidité servile ».
Les raisons d'un pass sanitaire ne sont pas liées à la santé. L'âge moyen des décès par la Covid-19 est de 82 ans, l'âge médian étant de 85 ans. La surmortalité due à la Covid-19 est négligeable pour les personnes de moins de 65 ans. La vérité est donc ailleurs. Contrepoints 9 mars 2021 : Pourquoi il faut s'opposer à un Pass sanitaire?
Suite à l'envoi de ma lettre contre le vote du passeport sanitaire à l'ensemble des sénateurs, un des élus m'a fait remarquer et je le cite : « ... Que les cas d'utilisation de cette attestation sanitaire seront concentrés sur les plus grands rassemblements, certainement au-dessus de 1000 personnes... N'apparaîtront sur ce document que les noms, prénoms, dates de naissances, résultats du test ou certificat de vaccination et la date et l'heure de cet acte... Aucune information d'ordre personnel autre que celles-ci ne seront ainsi consultables... Il convient d'ajouter à ce tableau l'accord conclu entre les États de l'Union européenne pour qu'un pass analogue permette les déplacements des Européens dans les divers lieux de l'Union. Cet accord, qui a été soumis à des conditions strictes de protection des données personnelles, représente évidemment un progrès dans la sortie de crise qui répond aux divers motifs de déplacement et il démontre l'utilité de ce dispositif élargissant les libertés concrètes de tous... » Pour vos voyages futurs dans le monde, à part utiliser votre « jet personnel » et emprunter la sortie VIP sans contrôles des aéroports, ce n'est pas gagné. À n'en pas douter, ce pass sanitaire sera plus tard, appliqué aux rassemblements de plus de 6 personnes. Quant à la sécurité de vos informations personnelles, elles sont déjà, via votre carte vitale, dans la banque de données d'une société privée.
Elise Lucet, « Cash Investigation », jeudi 20 mai France 2 : extraits :
« ... L'enquêtrice est tombée sur cette autorisation de la CNIL qui a été donnée à une société privée qui est juste le leader mondial des data de santé dans le monde qui s'appelle IQVIA*... Donc IQVIA a eu l'autorisation de passer un partenariat avec les pharmacies ce qui fait qu'à chaque fois que vous présentez votre carte vitale dans une pharmacie, toutes les données de ce que vous achetez médicaments ou parapharmacie, absolument tout, va dans un logiciel... »
« ... Des informations qui sont transmises sans aucun consentement, donc illégalement... Normalement, on devrait absolument vous prévenir et demander votre consentement, c'est obligatoire. Le consentement explicite, c'est dans la loi, on doit vous le demander. Or moi, j'ai fait le test, on a fait le test dans 200 pharmacies... Petite précision : ils vous disent que ces données de santé sont « anonymisées », c'est-à-dire qu'il n'y a plus le nom et le prénom. Le problème, c'est que dans l'enquête de Cash investigation, on prouve que cette anonymisation par le nom et le prénom, c'est faux ».
Plus besoin de pousser plus avant la démonstration. Le vote de ce « Pass sanitaire » est un pas de plus vers le fond de l'abîme « démocratique ».
Ceux qui ont voté « pour » auront sur la conscience les répercussions sur les générations futures.
Claude Janvier Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président« . IS édition. www.is-edition.com
* IQVIA est un leader mondial dans l'utilisation des données, de la technologie, de l'analyse avancée et de l'expertise humaine pour aider les entreprises des sciences de la vie à faire progresser les soins de santé et la santé humaine. But : Contribuer à mettre en place un système de santé plus moderne, plus efficace et plus efficient.
Dès lors que nous respirons toutes & tous AVEC ou SANS masque 200 000 virus ou microbes par minute (et 2 millions en activité physique) l'on expire aussi des virus QUI NE SONT PAS ÉTEINTS, (car un virus n'est PAS un vivant mais une poussière métallique chargée), d'où le saisissement par les autorités dictatoriales que les virus expirés viennent DE VOUS (sans que vous les ayez fabriqué) et donc: c'est vous qui êtes condamné pour avoir osé respiré de l'air !
C'est EXACTEMENT cela qui se passe aujourd'hui !! Ne nous y trompons pas ! Nous les respirons par milliards depuis ce matin, trains de milliards depuis notre naissance et super trains de milliards de virus depuis nos premiers ancêtres ! (qui n'en sont pas morts puisqu'on est là !).
Il ne faut donc pas voir dans le virus (la peste et le choléra ne sont PAS des virus mais des microbes ! C-à-dire des bactéries phages qui seraient venues des rats et non du magma de notre Terre !) quelque chose qui va vous dévorer par l'intérieur. Un virus a une charge électrique puissante qui va endommager les cellules de proximité, mais, notre organisme s'en défend ! C'est pour çà que depuis notre naissance nous en avons respiré des milliards de milliards de trains de milliards de virus... sans que l'on en soit mort !!
Les virus (poussières) ne sont PAS à confondre avec les microbes injectés actuellement en expérimentations sur des cobayes faibles d'esprit qui vont modifier leur ADN pour en faire des monstres ! Ces nouveaux pestiférés sont donc TRÈS dangereux !
Les ARNm vaccinaux atteignent de nombreux organes et passent la barrière hémato-encéphalique — Quels sont les risques d'une future méga épidémie ?
Équipe scientifique de Reinfocovid Sott.net jeu., 20 mai 2021 12:57 UTC
L'INSERM, se veut rassurant sur la possibilité d'intégration de l'ARNm vaccinal dans le génome humain, considérant que l'ARN vaccinal ne peut pas atteindre les organes reproducteurs (testicules & ovaires). Pourtant, les AMM conditionnelles des « vaccins » Pfizer/BioNTech et Moderna montrent le contraire.
Dans un article intitulé : « Les vaccins à ARNm susceptibles de modifier notre génome, vraiment ? », l'INSERM, se veut rassurant sur la possibilité d'intégration de l'ARNm vaccinal dans le génome humain, considérant que l'ARN vaccinal ne peut pas atteindre les organes reproducteurs ou gonades comme il l'affirme dans l'extrait retranscrit ci-dessous :
Malheureusement, les AMM conditionnelles des « vaccins » Pfizer/BioNTech et Moderna sont en totale opposition avec cette position de l'INSERM.
Les ARNm vaccinaux se distribuent dans une grande variété d'organes, dont les organes reproducteurs ou gonades.
Extrait p. 47 de l'AMM conditionnelle du « vaccin » Moderna : AMM conditionnelle du Vaccin Moderna
Conclusion
Les ARNm vaccinaux se distribuent donc dans une grande variété d'organes, dont les organes reproducteurs ou gonades.
L'INSERM a-t-il lu l'autorisation de mise sur le marché conditionnelle des « vaccins » Pfizer/BioNTech et Moderna pour être passée à côté de cette information essentielle ?
Soit l'INSERM n'a pas connaissance de ces éléments scientifiques et c'est grave !
Soit l'INSERM en a connaissance mais en fait une omission volontaire dans ses publications et c'est encore plus grave !
Cet organisme veut-il faussement rassurer médecins et patients ?
Quelle qu'en soit la raison, peut-on encore avoir confiance en l'INSERM qui s'est donnée comme mission d'« améliorer la santé de tous par le progrès des connaissances sur le vivant et sur les maladies, l'innovation dans les traitements et la recherche en santé publique » ?
Ce qui lui impose rigueur et objectivité dans ses publications ou prises de position.
Commentaire : Les risques d'une future méga épidémie de maladies notamment auto-immunes semblent à ce stade réels : Les « vaccins » anti-Covid-19 ou l'apocalypse d'une secte mise en lumière par une nouvelle étude : Une nouvelle étude explosive réalisée par des chercheurs du prestigieux Salk Institute jette le doute sur la série actuelle de « vaccins » génétiques qui pourraient présenter un risque grave pour la santé publique. L'article, intitulé « La protéine Spike du nouveau coronavirus joue un rôle clé supplémentaire dans la maladie » [en anglais - NdT], montre que la « protéine 'spike' distinctive » du Sras-CoV-2... « endommage les cellules, confirmant que le Covid-19 est une maladie essentiellement vasculaire ». [...] ce n'est pas l'infection virale qui pénètre dans le cerveau, mais la protéine Spike qui franchit la barrière hémato-encéphalique via le système vasculaire.
Source de l'article publié le 15 avril 2021 : Reinfocovid
Comment le CDC manipule les données pour renforcer «l'efficacité des vaccins»
Les nouvelles politiques permettront de dégonfler artificiellement les «infections révolutionnaires» chez les vaccinés, tandis que les anciennes règles continueront de gonfler le nombre de cas chez les non vaccinés.
18 mai 2021 550 Kit Knightly
Le Center for Disease Control (CDC) des États-Unis modifie ses pratiques d'enregistrement des données et de test du «Covid19» afin de donner l'impression que les «vaccins» expérimentaux de thérapie génique sont efficaces pour prévenir la maladie présumée.
Ils n'ont pas caché cela, annonçant les changements de politique sur leur site Web fin avril / début mai (bien que naturellement sans admettre la motivation assez évidente derrière le changement).
L'astuce consiste à signaler ce qu'ils appellent des «infections par rupture» - c'est-à-dire des personnes qui sont entièrement «vaccinées» contre l'infection Sars-Cov-2, mais qui sont quand même infectées.
Essentiellement, il a longtemps été démontré que Covid19 - à ceux qui sont prêts à y prêter attention - était un récit de pandémie entièrement créé, basé sur deux facteurs clés:
Tests faussement positifs. Le test PCR non fiable peut être manipulé pour signaler un nombre élevé de faux positifs en modifiant le seuil de cycle (valeur CT) Nombre de cas gonflé. La définition incroyablement large de «cas Covid», utilisée partout dans le monde, répertorie toute personne qui reçoit un test positif comme «cas Covid19», même si elle n'a jamais éprouvé de symptômes. Sans ces deux politiques, il n'y aurait jamais eu de pandémie appréciable du tout, et maintenant le CDC a adopté deux changements de politique qui signifient qu'ils ne s'appliquent plus aux personnes vaccinées.
Premièrement, ils abaissent leur valeur CT lorsqu'ils testent des échantillons provenant d '«infections par rupture» présumées.
D'après les instructions du CDC destinées aux autorités sanitaires de l'État sur la gestion des «infections de rupture possibles» (téléchargées sur leur site Web fin avril):
Pour les cas avec une valeur de seuil (Ct) de cycle de RT-PCR connue, ne soumettre que des échantillons avec une valeur de Ct ≤ 28 au CDC pour séquençage. (Le séquençage n'est pas possible avec des valeurs Ct plus élevées.)
Tout au long de la pandémie, les valeurs CT supérieures à 35 ont été la norme, avec des laboratoires du monde entier dans les 40.
Essentiellement, les laboratoires exécutaient autant de cycles que nécessaire pour obtenir un résultat positif, bien que les experts aient averti que cela était inutile (même Fauci lui-même a dit que tout ce qui dépassait 35 cycles n'avait aucun sens).
Mais MAINTENANT, et uniquement pour les personnes entièrement vaccinées, le CDC n'acceptera que les échantillons obtenus à partir de 28 cycles ou moins. Cela ne peut être qu'une décision délibérée afin de réduire le nombre d '«infections par rupture» officiellement enregistrées.
Deuxièmement, les infections asymptomatiques ou légères ne seront plus enregistrées comme «cas de covid».
C'est exact. Même si un échantillon prélevé à la faible valeur CT de 28 peut être séquencé dans le virus supposé être à l'origine de Covid19, le CDC ne conservera plus de registre des infections par rupture qui n'entraînent pas d'hospitalisation ou de décès.
Depuis leur site Web:
À compter du 1er mai 2021, les CDC sont passés de la surveillance de tous les cas de percée vaccinale signalés à se concentrer sur l'identification et l'enquête uniquement sur les cas hospitalisés ou mortels, quelle qu'en soit la cause. Ce changement contribuera à maximiser la qualité des données recueillies sur les cas de la plus grande importance clinique et de santé publique. Les décomptes de cas précédents, qui ont été mis à jour pour la dernière fois le 26 avril 2021, sont disponibles à titre indicatif uniquement et ne seront pas mis à jour à l'avenir.
Juste comme ça, être asymptomatique - ou n'avoir que des symptômes mineurs - ne comptera plus comme un «cas de Covid» mais seulement si vous avez été vacciné.
Le CDC a mis en place de nouvelles politiques qui ont effectivement créé un système de diagnostic à plusieurs niveaux. Cela signifie qu'à partir de maintenant, les personnes non vaccinées auront beaucoup plus de facilité à être diagnostiquées avec Covid19 que les personnes vaccinées.
Considérer…
La personne A n'a pas été vaccinée. Ils sont testés positifs pour Covid en utilisant un test PCR à 40 cycles et, malgré l'absence de symptômes, ils sont officiellement un «cas de covid».
La personne B a été vaccinée. Ils sont testés positifs à 28 cycles et passent six semaines alités avec une forte fièvre. Parce qu'ils ne sont jamais allés à l'hôpital et ne sont pas morts, ils ne sont PAS un cas Covid.
La personne C, également vaccinée, est décédée. Après des semaines d'hospitalisation avec une forte fièvre et des problèmes respiratoires. Seul leur test PCR positif était de 29 cycles, ils ne sont donc pas officiellement non plus un cas de Covid.
Le CDC démontre la beauté d'avoir une «maladie» qui peut apparaître ou disparaître selon la façon dont vous la mesurez.
Pour être clair: si ces nouvelles politiques avaient été l'approche globale de «Covid» depuis décembre 2019, il n'y aurait jamais eu de pandémie du tout.
Si vous les appliquez uniquement aux vaccinés, mais que vous gardez les anciennes règles pour les non vaccinés, le seul résultat possible peut être que les registres officiels montrent que «Covid» est beaucoup plus répandu chez ces derniers que chez les premiers.
Il s'agit d'une politique conçue pour gonfler continuellement un chiffre et minimiser systématiquement l'autre.
Qu'est-ce que c'est sinon un acte de tromperie évident et délibéré ?
Dès lors que SONT INTRODUITS de virus par injections dans l'organismes, il y aura FORCEMENT de virus bien visible dans tous les tests RT-PCR, et donc, pour limiter le nombre de virus visualisés, ils demandent à ce que les cycles de tests ne dépassent pas... les 28 ou... MOINS !!!! alors que pour les non-vaccinés il est poussé à 50 !!! pour visualiser tous les virus éteints ou fragments de virus éteints !!
Médecin et cardiologue nucléaire: Covid-19 et les Covid Shots sont des armes biologiques artificielles
Par Ginny Garner 21 mai 2021
Ce déploiement de «vaccin» est le plus grand projet de recherche de l’histoire de l’humanité. Vous faites partie du groupe expérimental ou du groupe témoin. Le Dr Mengele se retourne dans sa tombe en se demandant pourquoi il ne pourrait pas avoir la capacité de faire ce type de manipulation humaine. " - Physicien et cardiologue nucléaire Dr Richard Fleming
Del Bigtree, animateur de l'émission hebdomadaire d'informations d'investigation The High Wire, a mené une interview puissante avec le Dr Fleming le 13 mai. Après l'interview, Del, qui fait toujours preuve de prudence dans ses reportages, a déclaré que The High Wire n'envisagerait plus la possibilité que Covid-19 pourrait être un événement naturel dans lequel une chauve-souris a transféré le virus aux humains sur un marché humide en Chine. Del a fermement conclu que The High Wire adopterait la position que Covid-19 est une arme biologique fabriquée par l'homme.
Le Dr Fleming a été pro-vaccin tout au long de sa carrière, mais il sait que les vaccins contre le covid ne sont pas des vaccins. Un résumé de ses conclusions:
1. Le SARS-CoV-2 et les injections de Covid sont des armes biologiques artificielles.
2. Les injections injectent dans le corps du receveur des milliards de protéines de pointe contenant le prion. La protéine de pointe que le corps crée s'attache et infecte les cellules humaines. Les caillots sanguins et les maladies auto-immunes sont deux des nombreux problèmes de santé prédits. La protéine de pointe est l'arme biologique; le coronavirus est le système de livraison.
3. Le domaine de type prion au niveau du site de liaison au récepteur (RBS) a le potentiel de provoquer une maladie à prion (cerveau ou vache folle).
4. L’affirmation selon laquelle le virus n’a jamais été isolé parce que les postulats de Koch n’ont pas été satisfaits n’est pas correcte. (Note de l'éditeur: cette affirmation a été faite principalement par des partisans de la théorie du terrain, notamment les Drs Tom Cowan et Andrew Kaufman, le journaliste d'investigation Jon Rappoport, le chercheur / écrivain David Icke, entre autres). Le virus a été identifié en assemblant l'ARN et l'ADN et en faisant correspondre les pièces comme un puzzle.
5. Environ 95 % des animaux utilisés dans les essais cliniques pour les vaccins contre le coronavirus au cours des 20 dernières années sont morts dans les deux semaines. Cette période équivaut à 1 an et demi pour les humains. Un vaccin n'a jamais été développé avec succès.
6. Lors de l’interrogatoire du sénateur Rand Paul lors d’une audition devant le Congrès, le directeur du NIAID, Tony Fauci, a menti en niant son implication dans le financement de la recherche fonctionnelle sur le SRAS-CoV-2 pour le laboratoire chinois de Wuhan. Cependant, les informations sur les subventions américaines sont du domaine public et sont publiées sur USspending.gov. Ce site et les articles médicaux / scientifiques reconnaissant ce transfert de financement ont été affichés à l'écran.
7. Le gain de la recherche fonctionnelle a été financé par le gouvernement américain. Le numéro du 9 novembre 2015 de Nature montre le code de financement de subvention USAID-EPT-PREDICT que le Dr Fleming a identifié comme la CIA. (EPT signifie Emerging Pandemic Threats.) Le DoD a donné 35 millions de dollars au Dr Peter Daszak, président d'EcoHealth Alliance, le tiers choisi par le NIAID pour mener la recherche.
8. Le gouvernement américain détient le brevet des projectiles Covid.
9. Le SRAS-CoV-2 est une fusion de cinq nucléotides. Le chercheur sur les maladies infectieuses Ralph Baric est montré dans une interview vidéo admettant son implication dans ce travail.
10. Ceux qui disent aux gens de se faire vacciner, y compris Biden, les Obamas et le Fauci, devraient être traduits en justice pour crimes contre l'humanité et pour violation de la Convention sur les armes biologiques et du Code de Nuremberg qui interdit l'expérimentation médicale sans consentement éclairé.
Par Jon Rappoport Le blog de Jon Rappoport 21 mai 2021
Au cours de l’année écoulée, j’ai fourni des preuves convaincantes que: personne n’a prouvé l’existence du SRAS-CoV-2. [1]
J’ai expliqué que le virus n’avait jamais été isolé. En fait, les chercheurs utilisent le mot «isolé» pour signifier son contraire: «Nous supposons que le virus est entouré et intégré dans de nombreux autres matériaux, et nous ne l’extrayons ni ne le purifions.»
Pas d'isolement = pas de découverte d'un virus.
J’ai expliqué qu’il est impossible d’assembler la séquence génétique d’un virus qui n’a jamais été trouvé. À moins, bien sûr, que vous mentiez.
J'ai publié un article dans lequel le Dr Andrew Kaufman [2] a démonté, étape par étape, une étude publiée typique dans laquelle les auteurs décrivaient comment ils isolaient le SRAS-CoV-2. Le Dr Kaufman a déchiré cette description et a révélé à quel point c'était absurde. [3]
Lorsqu'ils sont confrontés à une montagne de soi-disant science et de pure propagande, la plupart des gens trouvent impossible d'accepter le fait qu'au cœur de la montagne, il y a…
RIEN.
Absolument rien.
«Oh, ça ne pouvait pas être. Il doit y avoir QUELQUE CHOSE, et ce quelque chose doit être un virus. »
C'est sur l'ordre d'un enfant qui dit: «Il doit y avoir un fantôme dans le placard chaque nuit quand je m'endors.»
Toute cette peur, et il n'y a rien ? Non non.
Mais dans l'univers médical, il existe en fait plusieurs énormes institutions qui ne reposent sur rien.
En voici une: PSYCHIATRIE.
La Bible officielle de la profession psychiatrique, le DSM, répertorie, décrit et nomme quelque 300 troubles mentaux distincts et distincts.
Si vous parcourez la Bible, vous remarquerez qu'aucun de ces troubles mentaux n'a de test de laboratoire définissant. Pas de test de salive, de sang, de cheveux, d'urine. Pas de scan cérébral. Aucun test génétique. RIEN.
Oui, les gens ont des problèmes, des ennuis. Les gens éprouvent de la souffrance et de la douleur. Mais c'est tout à fait différent de la répartition arbitraire de toute cette souffrance en 300 catégories académiques et cliniques appelées «troubles mentaux».
Et en plus de l'étonnante escroquerie scientifique, les patients diagnostiqués reçoivent des médicaments toxiques, dont certains les poussent à se suicider et à assassiner.
Le tout basé sur un rien scientifique.
(Un avertissement: se retirer soudainement des médicaments psychiatriques peut être très dangereux, voire mortel. Le sevrage doit être fait progressivement, sous la supervision d'un professionnel attentionné qui sait ce qu'il fait. Voir breggin.com.) [4]
Dans un épisode de PBS Frontline, le TDAH existe-t-il ? [5], le Dr Russell Barkley, un éminent professeur de psychiatrie et de neurologie à l'Université du Massachusetts Medical Center, a involontairement épelé la fraude.
INTERVIEWEUR PBS FRONTLINE: Les sceptiques disent qu'il n'y a pas de marqueur biologique - que c'est [le TDAH] est la seule condition là où il n'y a pas de test sanguin, et que personne ne sait ce qui en est la cause.
BARKLEY: C'est extrêmement naïf, et cela montre beaucoup d'analphabétisme sur la science et sur les professions de la santé mentale. Un trouble n'a pas besoin de subir de test sanguin pour être valide. Si tel était le cas, tous les troubles mentaux seraient invalides… Il n'y a actuellement aucun test de laboratoire pour un trouble mental dans notre science. Cela ne les rend pas invalides.
Oh, en effet, cela les rend invalides. Complètement et complètement. Tous les 300 troubles mentaux. Parce qu'il n'y a aucun test définissant d'aucune sorte pour étayer le diagnostic.
Nous examinons une science qui n’est pas une science. C’est ce qu’on appelle la fraude. Fraude au classement.
Voici un autre flash d'information: La théorie dite du «déséquilibre chimique» de la maladie mentale est morte.
Le Dr Ronald Pies, rédacteur en chef émérite du Psychiatric Times, a mis la théorie au repos dans le numéro du 11 juillet 2011 du Times avec cet aveu stupéfiant:
«En vérité, la notion de« déséquilibre chimique »a toujours été une sorte de légende urbaine - jamais une théorie sérieusement proposée par des psychiatres bien informés.» [6]
Boom.
Mort.
Pourtant… légende urbaine ? Non. Pendant des décennies, toute la base de la recherche sur les médicaments psychiatriques, de la prescription de médicaments et de la vente de médicaments a été: «nous corrigeons un déséquilibre chimique dans le cerveau».
Le problème était que les chercheurs n'avaient jamais établi de base de référence normale pour l'équilibre chimique. Alors ils tiraient dans le noir. Pire encore, ils simulaient une théorie. Prétendant qu'ils savaient quelque chose alors qu'ils ne le savaient pas.
Dans son article de 2011 dans Psychiatric Times, le Dr Pies tente de protéger ses collègues de la profession psychiatrique avec cette remarque ridicule:
«Au cours des 30 dernières années, je ne crois pas avoir jamais entendu un psychiatre compétent et bien formé faire une affirmation aussi absurde [au sujet du déséquilibre chimique dans le cerveau], sauf peut-être pour se moquer ... l'image du 'déséquilibre chimique' a été vigoureusement promus par certaines sociétés pharmaceutiques, souvent au détriment de la compréhension de nos patients.
Absurde. Tout d'abord, de nombreux psychiatres ont expliqué et expliquent à leurs patients que les médicaments sont là pour corriger un déséquilibre chimique.
Et deuxièmement, si tous les psychiatres bien formés ont toujours su que la théorie du déséquilibre chimique est une fraude ...
… Alors pourquoi diable ont-ils prescrit des tonnes de médicaments à leurs patients…
… Puisque ces médicaments sont développés sur la fausse prémisse qu'ils corrigent un déséquilibre chimique ?
La théorie du déséquilibre chimique est un faux.
Toute la branche de la médecine appelée psychiatrie est basée sur RIEN.
Mais encore une fois, les gens trouvent cela difficile, voire impossible, à accepter. Ils préfèrent croire qu'il doit y avoir QUELQUE CHOSE. C’est ce qu’ils veulent croire. C’est ce qu’ils ont appris à croire.
"Eh bien, vous voyez, chaque effet a une cause, et cette cause est en fait l'effet d'une cause antérieure, et vous pouvez remonter de plus en plus loin dans la chaîne ..."
Et cette idée est en quelque sorte la base pour supposer que, si une pandémie est annoncée, il doit y avoir un virus.
«Je dois avoir un virus. J'AI BESOIN d'un virus. "
«J'ai peur du virus. Je veux le virus. J'adore le virus. »
Il existe toutes sortes de variations sur le thème.
«La pandémie? Il doit y avoir quelque chose au cœur de celui-ci. Il doit y avoir."
Et si quelqu'un répond avec le cri de guerre familier, "Alors pourquoi tous ces gens meurent-ils?", J'ai couvert cette question de la racine à la poupe dans une douzaine d'articles. [7]
L'ensemble des maladies et des décès attribués à la «pandémie» peut s'expliquer par plusieurs facteurs (pas un), et aucun de ces facteurs n'implique un virus.
«Les gens qui meurent équivaut à un virus» est à peu près aussi convaincant que «l’augmentation de la mortalité toutes causes confondues est le résultat d’accidents d’avions.
Aussi sûr que j'écris cette phrase, quelqu'un pensera quelque part: «Hmm, un avion s'écrase. Je devrais me pencher là-dessus… »
Et il le fera. Il examinera les avions volant dans des grottes souterraines, transportant des passagers désireux d'explorer le centre de la Terre, où les médecins produisent un médicament de longévité qui prolonge la durée de vie de 500 ans. Mais les avions ont des accidents.
Ce niveau de fantaisie est sur la même étagère que «le virus est à l'origine de la pandémie».
Et juste comme ça, le mandat du masque s'est terminé
Par Joaquin Flores Culture stratégique 21 mai 2021
«À moins que nous n'inscrivions la liberté médicale dans la Constitution, le moment viendra où la médecine s'organisera en une dictature secrète.»
Avertissements des généraux que le tissu de la société américaine a été déchiré. Le Dr Fauci sous le feu des audiences du Sénat. VAERS rapporte que la version américaine des vaccins Covid peut avoir été le prédicat de plusieurs milliers de blessures et de décès. Puis, juste comme ça, les mandats de masque prennent fin; Le Dr Fauci change de ton une fois de plus en disant que les masques peuvent se détacher, quelques jours seulement après avoir dit que nous pourrions porter des masques pour toujours. Le CDC publie de nouvelles directives et les principaux détaillants de la chaîne commencent à modifier leur mandat de client masqué / d'employé masqué. Une demi-douzaine d'États emboîtent le pas et d'autres devraient suivre.
Il n'y a pas de coïncidences en politique, et il devient certainement difficile au milieu du rythme rapide du changement de la semaine dernière de marquer ces événements comme un hasard.
C'est peut-être simplement que les êtres humains ont développé des structures dans le cerveau qui favorisent la visualisation d'un ensemble de phénomènes comme étant causalement liés, ou un modèle, alors qu'en fait ce n'est pas le cas. Ce ne sont peut-être que des projections des fonctions de l'esprit sur le monde extérieur. En philosophie des sciences, il s'agit d'un débat permanent sur l'épistémologie et l'utilité, par exemple, de la physique théorique avec sa modélisation mathématique réifiée. Ou peut-être est-il simplement plus probable que, en particulier dans les efforts humains liés au pouvoir, les événements présents se touchent de manière causale.
En effet, il est plus logique de supposer que dans le domaine des questions humaines telles que la politique, qui sont toutes mais uniformément intentionnelles, il n'y a pas de vraies coïncidences.
Pour ces raisons, nous devons prendre note des 120 généraux et amiraux à la retraite des forces armées américaines qui ont signé une déclaration commune remettant en question les résultats de l'élection présidentielle de 2020, et ont également noté la détérioration mentale et physique du `` président '' Joe Biden. état.
Dans cette déclaration, outre les critiques attendues de l'enseignement de la théorie critique de la race dans l'armée et les changements culturels connexes dans la société en général, ils incluaient de manière intéressante une forte désapprobation de la politique de verrouillage et de fermeture d'entreprises, écrivant:
«De plus, les actions de contrôle de la population telles que les verrouillages excessifs, les fermetures d'écoles et d'entreprises et, le plus alarmant, la censure de l'expression écrite et verbale sont toutes des attaques directes contre nos droits fondamentaux.»
Pendant un certain temps auparavant, quelques États, notamment la Floride, avaient résisté aux appels de Biden concernant la vaccination obligatoire, le masquage public, la distanciation, les fermetures et les verrouillages, et semblaient plutôt promouvoir une politique conforme à celles du 45e président Trump.
Alors que le CDC a admis en février qu'il avait utilisé le test PCR d'une manière qui entraînait une tendance aux faux positifs, la conclusion logique que l'on en tirerait ne s'est réalisée que le 15 mai, lorsque la politique a été brusquement inversée. C'est ici que nous voyons un changement très réel se concrétiser: les personnes vaccinées n'ont plus besoin de porter de masques. Mais aux États-Unis, il existe des lois sur la protection de la vie privée et la discrimination qui découragent les entreprises privées opérant dans la sphère publique d'exiger des clients qu'ils présentent des preuves dans un sens ou dans l'autre. Pour cette raison, il n'y aura aucun moyen de vraiment déterminer qui a été vacciné - à moins que nous découvrions plus tard que les vaccins étaient accompagnés d'un dispositif de marquage.
Bien sûr, nous utilisons le terme «vaccin» de manière vague, à la suite des modifications du volume NewSpeak 2021 qui modifient la définition du vaccin pour inclure les thérapies géniques ARNM.
Ensuite, à savoir, nous avons le processus d'audit électoral en cours en Arizona, qui semble montrer des preuves de fraude, les autorités du comté de Maricopa affirmant maintenant qu'elles n'ont pas accès par mot de passe aux données de vote. Il est étrange ici que les données aient soudainement disparu après que le processus juridique a obligé ces autorités à les mettre à la disposition des auditeurs. S'ils n'ont pas accès aux données, alors qui le fait?
Mais il y a plus ici aussi: le New Hampshire, le Michigan, le Wisconsin, tous sont à différents stades de faire quelque chose de recomptage ou d'audit du résultat des élections de 2020.
Et il est très certainement d’un grand intérêt, le rapprochement de ces coïncidences magiques, la révélation que le Dr Fauci avait été à l’origine de la recherche sur le «gain de fonction» à l’Institut de virologie de Wuhan le mardi 11 mai lors d’auditions. Le gain de fonction, pour modifier les virus, relève de la recherche internationalement interdite sur les armes biologiques. Dans ce témoignage, il semble que le Dr Fauci se soit parjuré ou ait fait une qualification trompeuse à la limite du parjure lorsqu'il a été pressé par le sénateur Paul.
«Paul a fait pression sur Fauci sur la théorie selon laquelle le nouveau coronavirus a été créé dans le laboratoire de Wuhan, puis s'est échappé d'une manière ou d'une autre, soit à cause d'un accident, soit parce qu'il a été délibérément libéré.», Comme l'a rapporté The Hill.
L'ancien chef du CDC, Robert Redfield, a expliqué que la recherche et les connaissances sur Sars-Cov-2 ont montré qu'il avait été créé dans un laboratoire. Pour une raison quelconque, des raisons dont nous sommes bien conscients, les médias d'entreprise (qui ont été à l'origine de ce programme de grande réinitialisation vers un nouveau totalitarisme et l'éviction d'un président américain démocratiquement élu), ont ignoré ce fait gênant.
De nombreux autres virologues et épidémiologistes ont souscrit à cette évaluation ou y sont parvenus de manière indépendante. Cette partie est importante, car elle montre que tout le récit du marché humide de Wuhan était un mensonge, basé sur un amalgame de références hollywoodiennes.
En effet, tous ces événements se sont produits parce que des militants citoyens de tous les horizons ont «tenu la ligne».
Mais il y a encore quelques problèmes à résoudre dans la mesure où cela va: une grande partie des informations qui viennent de frapper le grand public, était connue depuis plus de 14 mois. Pourquoi maintenant, avec près de la moitié de la population «vaccinée», les élus (soutenus par l’activisme citoyen) ont-ils décidé de pousser enfin la question ?
Certes, pour de nombreux Américains, les développements de ces derniers jours sont plus que bienvenus - il semble qu'une porte s'est ouverte et non seulement il est possible que ce cauchemar se termine bientôt tous ensemble, mais que justice soit rendue à ceux comme Bill. Gates et Fauci qui ont été des personnalités importantes derrière ce «gros mensonge».
Mais ces développements positifs surviennent maintenant avec 123 millions d'Américains ayant reçu deux doses: des médecins 'renégats', experts dans des domaines connexes, se sont déjà manifestés en exprimant de vives inquiétudes quant au fait que le 'vaccin' pourrait causer de graves problèmes de santé à long terme, y compris la mort et l'insuffisance cardiaque. Les sources traditionnelles ont été forcées d'admettre la même chose, mais le font d'une manière qui atténue la perception.
Big Pharma et les politiciens complices étaient bien conscients que l'intérêt du public à prendre le vaccin déclinerait rapidement si la composante punitive (masques forcés et verrouillages) prenait fin. Pour ces raisons, nous étions au courant des admissions publiques qui étaient maintenant un moment critique, où les Américains ne devraient pas jouir de leurs droits à moins que ceux-ci ne soient liés à la vaccination. Si les États restreignaient les politiques tyranniques avant `` l'immunité collective '' (telle que définie dans le volume NewSpeak 2021 - seules les thérapies géniques confèrent désormais une immunité `` collective '', un départ radical du langage en 2020 et des siècles auparavant), alors les Américains se sentiraient beaucoup moins obligés de le faire. se faire vacciner.
Peut-être qu'en fin de compte, le temps de tous ces développements est simplement le temps qu'il faut pour inverser le cours d'un récit que la technocratie corporatiste poussait 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Ou peut-être ont-ils atteint leurs objectifs et les conséquences potentiellement horribles sur la population ne se sont pas encore concrétisées. Peut-être sont-ils satisfaits des renflouements, de la destruction de toutes ces petites entreprises qu'ils pourraient détruire, des versements de dividendes en actions de la société Vax et de la redistribution à la hausse de la richesse qui a accompagné cela (Amazon, et al). Et peut-être, juste peut-être, il y a encore une autre pandémie qui s'échappera «accidentellement» d'un laboratoire dans les mois ou les années à venir. Peut-être que tout ce que nous avons vécu jusqu'à présent n'est qu'un test pour quelque chose de beaucoup plus grand en préparation.
Et qu'en est-il du Royaume-Uni, du Canada, de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande? Par rapport aux États-Unis, certaines parties de ces pays ont été tout sauf des colonies de prison glorifiées. Les mandats ont été beaucoup plus draconiens, les conséquences beaucoup plus graves. Compte tenu de la relation spéciale que les États-Unis entretiennent avec l'Anglosphère, que se passera-t-il ensuite? La science et la médecine fonctionnent-elles différemment dans ces pays ?
Qu'est-il arrivé aux États-Unis qui a radicalement changé le discours ici? Encore une fois, en politique, il n'y a pas de coïncidences. Il est très difficile de ne pas regarder directement la lettre de 120 généraux et amiraux à la retraite. Leur message compte pour quelque chose, peut-être quelque chose de grand. Ce ne sont pas des hommes qui mènent une vie privée ou vivent dans des bulles. Pour chaque général ou amiral à la retraite ayant ces préoccupations exprimées, nous serions dans l'erreur de ne pas supposer l'existence de beaucoup plus de généraux et d'amiraux encore en poste, en suivant simplement les règles sur l'expression d'un discours politique dissident. Ils ont des partisans et des partisans toujours au sein de l'armée. Mais dans le cadre d'un conflit inter-élite, avec des parties alignées autour de la mise en œuvre du programme Great Reset, une telle dissidence à des niveaux élevés de l'armée - que certains Américains pourraient appeler 'chapeaux blancs' - est très déconcertante pour les puissances en place. .
Mais voici une dernière réflexion sur la vaccination. Peut-être que grâce à tout cela, une part suffisante du public a été immunisée contre la politique du Big Lie de verrouillages sans fin et d'une tyrannie justifiée par une pandémie. En conclusion, il est important de réfléchir aux avertissements donnés aux Américains il y a plusieurs centaines d’années par le Dr Benjamin Rush, médecin personnel de George Washington et signataire de la Déclaration d’indépendance:
«À moins que nous n'inscrivions la liberté médicale dans la Constitution, le moment viendra où la médecine s'organisera en une dictature secrète. Limiter l'art de la guérison à une classe d'hommes et refuser des privilèges égaux à d'autres constituera la Bastille de la science médicale. Toutes ces lois sont anti-américaines et despotiques… »
The views of individual contributors do not necessarily represent those of the Strategic Culture Foundation.
Alors que les virus sont éjectés CONTINUELLEMENT par le magma et remontés à la surface des eaux par ses productions de gaz, et que le 'Fauci' devrait saisir cette opportunité pour obliger les gens à porter le masque 24/24 h (HAHAHAHA !), ce gros con se trouve coincé entre le fait véridique qu'il NE PEUT EXISTER de masque anti virus because que les mailles pour les bloquer seraient trop serrés et empêcherait quiconque de respirer et, le fait qu'il a porté son délire de débile profond jusqu'à conseiller de porter... plusieurs masques !!! HAHAHAHAHA !
Çà m'étonne pas du tout que la Grétamoilescouilles ait eu autant de succès !
Si tout va bien, pourquoi les pénuries ne cessent-elles de s'aggraver ?
Par Michael Snyder L'effondrement économique 21 mai 2021
Ils n'arrêtent pas de nous dire que les conditions économiques s'améliorent, mais si c'est vrai, pourquoi les pénuries sont-elles pires que jamais ? Pour un instant, je voudrais vous ramener jusqu'en 2019. Avant l'arrivée de la pandémie, nous n'avions pas de pénurie. Si vous vouliez quelque chose, vous êtes simplement allé au magasin et l'avez obtenu ou vous l'avez commandé en ligne. Les prix étaient bas, les chaînes d'approvisionnement mondiales fonctionnaient sans heurts et, pour la plupart des gens, il semblait que cela resterait ainsi dans un avenir prévisible. Mais ensuite, la pandémie a frappé et «l'achat de panique» a provoqué des pénuries à court terme de certains articles tels que le papier hygiénique et le désinfectant pour les mains. Il était compréhensible que les gens veuillent accumuler ces choses, car il y avait beaucoup de peur dans l'air. Mais nous savions aussi que ces pénuries ne seraient que temporaires.
Nous voici maintenant en 2021, et on nous a dit que les choses reviendraient à la normale maintenant.
Mais au lieu de cela, il y a de graves pénuries partout autour de nous.
En fait, les pénuries sont bien pires que tout ce que nous avons connu en 2020.
Par exemple, saviez-vous que des dizaines de médicaments importants sont rares? Selon le site officiel de la FDA, il y a actuellement des pénuries de plus de 100 médicaments aux États-Unis…
Si vous vous trouvez dans une situation comme celle-ci, vous pouvez vérifier le système de suivi des pénuries de médicaments de la FDA.
À l'heure actuelle, environ 120 médicaments sont répertoriés comme faisant l'objet d'une pénurie.
Sur le site Web, si vous saisissez un nom de médicament dans le champ de recherche de la base de données, vous pouvez voir si et pourquoi il est rare. Vous pouvez également voir s'il est programmé pour être interrompu, et quand l'approvisionnement peut recommencer à circuler.
Cela n’était pas censé se produire.
Les pénuries continuent de s'aggraver pour l'industrie de la construction résidentielle également…
"Les constructeurs retardent le démarrage de nouvelles constructions en raison de l'augmentation marquée des coûts du bois et d'autres intrants", a déclaré mardi Mike Fratantoni, vice-président principal et économiste en chef de la Mortgage Bankers Association.
Il a ajouté que les pénuries d'approvisionnement pour les appareils électroménagers freinent également l'activité de construction de nouvelles maisons.
Juste au-delà de notre frontière nord, les pénuries sont devenues vraiment graves. Dans certains cas, la construction de maisons «prend des mois de retard» parce que les pénuries sont devenues si graves…
Les constructeurs d'habitations partout au Canada sont frappés par une série de perturbations de la chaîne d'approvisionnement, ce qui entraîne des pénuries de produits généralisées et des coûts explosifs pour l'industrie.
Dans certains cas, la construction de maisons a des mois de retard, car les développeurs ont du mal à tout s'approvisionner, du bois de construction aux tuyaux en PVC, en passant par l'isolation et les fenêtres. Les constructeurs retiennent également les préventes, incapables de fixer le prix exact de leurs maisons trop longtemps à l'avance, étant donné que les coûts des matériaux peuvent fluctuer énormément sur une base quotidienne.
Interrogé sur ces pénuries, un dirigeant de la construction domiciliaire a déclaré que «la situation s’empire de jour en jour»…
«L'ensemble de la chaîne d'approvisionnement est en panne», a déclaré Matt McCurrach, président de Homex Development Corp. à Kamloops, en Colombie-Britannique.
«La situation s’empire de jour en jour», a ajouté Sue Wastell, présidente de Wastell Homes à London, en Ontario. «Littéralement tous les jours, nous découvrons que quelque chose d’autre n’arrive pas au moment prévu. … Nous n’avons jamais rien vu de tel. »
La pénurie mondiale de puces informatiques est encore plus préoccupante. C’est quelque chose dont j’ai longuement discuté dans mon récent article intitulé «Une grave pénurie de puces informatiques durera« quelques années », et cela pourrait plonger l’économie mondiale dans un chaos total». Presque toutes les industries que vous pouvez nommer sont extrêmement dépendantes des équipements utilisant des puces informatiques, et CNN nous dit que cette pénurie «va de mal en pis»…
La pénurie va de mal en pis, s'étendant des voitures à l'électronique grand public. Le gros de la production de puces étant concentré sur une poignée de fournisseurs, les analystes préviennent que la crise durera probablement jusqu'en 2021.
Selon Goldman Sachs, 169 industries américaines intègrent des semi-conducteurs dans leurs produits. La banque prévoit un déficit moyen de 20% de puces informatiques parmi les industries touchées, certains des composants étant utilisés pour fabriquer des puces en pénurie jusqu'à au moins cet automne et peut-être jusqu'en 2022.
En fait, comme je l'ai souligné l'autre jour, de nombreux dirigeants s'attendent maintenant à ce que la pénurie de puces informatiques se prolonge jusqu'en 2023.
Pour les constructeurs automobiles, cela devient rapidement un cauchemar complet et total. Au cours du premier trimestre, la production automobile mondiale a baissé d'environ 10% en raison de la pénurie de puces, mais Ford a annoncé que la production au deuxième trimestre serait en baisse d'environ 50% ...
Les investisseurs ont beaucoup entendu parler de l'état actuel des problèmes de capacité depuis des mois. Environ 2 millions de voitures - soit environ 10 % de la production automobile mondiale trimestrielle - n’ont pas été construites au premier trimestre faute de puces. Ford Motor (ticker: F), l'un des constructeurs automobiles ressentant le plus la pénurie, a déclaré fin avril qu'il s'attend à perdre environ 50 % de la production prévue pour le deuxième trimestre.
Si les constructeurs automobiles ne peuvent pas fabriquer de véhicules, ils devront commencer à licencier des travailleurs.
Malheureusement, c'est précisément ce qui vient de se passer dans une usine du nord de l'Illinois ...
Quelque 1 600 emplois sont supprimés dans une usine de Jeep Cherokee dans le nord de l'Illinois alors que les constructeurs automobiles continuent d'être en proie à la pénurie mondiale de semi-conducteurs.
La branche américaine de Stellantis, anciennement connue sous le nom de Fiat Chrysler, a déclaré vendredi qu'elle supprimait l'un des deux quarts de travail à son usine de montage de Belvidere à partir du 26 juillet. Cela pourrait entraîner le licenciement de 1641 travailleurs, a déclaré la porte-parole de l'entreprise, Jodi Tinson.
Les optimistes économiques n'arrêtent pas de nous dire que des jours meilleurs sont à nos portes, mais que ces jours meilleurs ne semblent jamais se concrétiser.
Au lieu de cela, l'emploi est toujours bien en deçà des niveaux d'avant la pandémie, les chaînes d'approvisionnement mondiales sont dans un état de chaos complet et total, et nous sommes confrontés à de graves pénuries de presque tout ...
Cuivre, minerai de fer et acier. Maïs, café, blé et soja. Bois de construction, semi-conducteurs, plastique et carton pour l'emballage. Le monde est apparemment bas sur tout cela. "Vous l'appelez, et nous avons une pénurie à ce sujet", a déclaré Tom Linebarger, président et chef de la direction du fabricant de moteurs et de générateurs Cummins Inc., lors d'un appel ce mois-ci. Les clients «essaient d’obtenir tout ce qu’ils peuvent parce qu’ils voient une forte demande», a déclaré Jennifer Rumsey, présidente de la société basée à Columbus, dans l’Indiana. «Ils pensent que cela va se prolonger l’année prochaine.»
La différence entre la grande crise de 2021 et les perturbations passées de l'approvisionnement réside dans son ampleur et dans le fait qu'il n'y a - pour autant que quiconque puisse le dire - aucune fin claire en vue. Grandes ou petites, peu d'entreprises sont épargnées. La plus grande flotte de camions d'Europe, Girteka Logistics, affirme qu'il y a eu du mal à trouver une capacité suffisante. Monster Beverage Corp. de Corona, en Californie, fait face à une pénurie de canettes d'aluminium. La société MOMAX Technology Ltd. de Hong Kong retarde la production d’un nouveau produit en raison d’une pénurie de semi-conducteurs.
S'il s'agit de la «reprise», à quoi ressembleront les choses lorsque le prochain ralentissement économique sévère nous frappera ?
De toute ma vie, je n'ai jamais vu de pénuries aussi généralisées.
Ceux qui dirigent les choses continuent d'insister sur le fait qu'ils ont tout sous contrôle et que les choses finiront par revenir à la normale.
Vous pouvez les croire si vous voulez, mais des millions d’autres se préparent à un avenir dans lequel leurs évaluations optimistes de l’avenir se révèlent très, très fausses.
Reprinted with permission from The Economic Collapse.
Les chiens sont plus efficaces que les tests PCR pour détecter le COVID
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 21 MAI 2021 - 02:45
Les scientifiques et les responsables de la santé publique ont étudié toutes sortes d'alternatives aux tests individuels rapides de COVID-19 pour détecter la présence du virus, et dans leur recherche, ils ont atterri sur d'étranges alternatives. Certains ont eu recours à des tests de caca dans les égouts publics pour détecter les traces du virus, une méthode qui s'est avérée fiable pour détecter les épidémies.
Et il se trouve que les chiens - qui ont été utilisés pour tout renifler, des drogues aux bombes - sont également efficaces pour flairer le COVID-19, selon une nouvelle étude française publiée par Bloomberg.
La capacité des chiens à détecter le virus a été cadencée à une sensibilité de 97 %, un niveau qui place cette méthode au même niveau que les tests antigéniques rapides les plus fiables. La méthode de reniflement s'est également avérée spécifique à 91 % - une mesure technique de la capacité des chiens à identifier correctement les échantillons négatifs. Cette «cote de sensibilité» est plus élevée que celle de nombreux tests antigéniques de 15 minutes, qui ont tendance à être plus efficaces pour exclure l'infection que pour la trouver.
Et avec l'Europe qui a rouvert mercredi son économie aux touristes vaccinés, les résultats de cette étude n'auraient pas pu arriver à un meilleur moment. Comme le souligne Bloomberg, les chiens renifleurs de virus pourraient être largement déployés dans les aéroports, les gares ou partout où les foules se rassemblent pour dépister les gens, tout comme ils sont utilisés pour détecter des drogues ou des bombes. L'utilisation de chiens signifie également que COVID pourrait être identifié en une fraction de seconde de manière non invasive et d'une manière extrêmement peu coûteuse (en théorie, il ne coûterait pas si cher de former les chiens, et les méthodes seraient simples à ceux qui sont habitués à entraîner des chiens renifleurs de drogue et de bombes).
L'essai a été réalisé à l'École nationale vétérinaire de France, selon Bloomberg, qui a partagé quelques détails supplémentaires sur l'essai.
L’essai, qui a été mené à l’École nationale vétérinaire de Maisons Alfort, près de Paris, a recueilli des échantillons de sueur des aisselles des participants avec des tampons de coton enfermés dans des bocaux et les a donnés à au moins deux chiens différents pour qu'ils les reniflent. Aucun des chiens n'a eu de contact préalable avec les volontaires. Il y avait 335 personnes testées, dont 109 étaient positives dans un test PCR qui a servi de contrôle. Neuf chiens ont participé et les chercheurs ne savaient pas quels échantillons étaient positifs.
En juillet, des chercheurs allemands ont montré que les chiens dressés étaient capables de faire la distinction entre la salive prélevée sur des personnes infectées par le virus et celles qui ne l'étaient pas plus de 90% du temps. La Finlande, Dubaï et la Suisse ont commencé à entraîner des chiens à détecter les infections.
La dernière étude a été menée entre le 16 mars et le 9 avril, et la région Ile-de-France a contribué au financement de l'essai à hauteur de 25 000 euros (30 500 dollars).
Des efforts pour entraîner les chiens à renifler le COVID sont en cours dans toute l'Europe et dans le monde. Au Royaume-Uni, une équipe de la London School of Hygiene and Tropical Medicine entraîne six chiens dans l'espoir de pouvoir détecter les personnes positives au COVID, même si elles ne présentent aucun symptôme. En Finlande, des chiens renifleurs travaillent pour détecter les voyageurs infectés à l'aéroport d'Helsinki depuis septembre.
Le Pentagone se dirige vers l'IA qui prend le coup de grâce
PAR TYLER DURDEN JEUDI 20 MAI 2021 - 22:20
Des dizaines de machines de guerre autonomes capables d'une force meurtrière ont mené un exercice d'entraînement sur le terrain au sud de Seattle en août dernier. L'exercice n'a impliqué aucun opérateur humain, mais strictement des robots alimentés par l'intelligence artificielle, à la recherche de simulacres de combattants ennemis.
L'exercice, organisé par la Defense Advanced Research Projects Agency, une division de recherche sur le ciel bleu du Pentagone, a armé les robots avec des émetteurs radio conçus pour simuler le tir d'une arme. L'exercice a eu lieu en août dernier et a élargi la compréhension du Pentagone sur la façon dont l'automatisation des systèmes militaires sur le champ de bataille moderne peut fonctionner ensemble pour éliminer les combattants ennemis.
"Les manifestations reflètent également un changement subtil dans la réflexion du Pentagone sur les armes autonomes, car il devient plus clair que les machines peuvent surpasser les humains pour analyser des situations complexes ou fonctionner à grande vitesse", selon WIRED.
Son intelligence artificielle indéniable sera le visage de la guerre pour les années à venir. Les planificateurs militaires progressent en intégrant des systèmes d'armes autonomes sur le champ de bataille moderne.
Le général John Murray du US Army Futures Command a déclaré à un public de l'Académie militaire américaine en avril que des essaims de robots forceront probablement l'armée à décider si un humain doit intervenir avant qu'un robot n'engage l'ennemi.
Murray a demandé: "Est-ce dans la capacité d'un être humain de choisir ceux qui doivent être engagés" et de prendre ensuite 100 décisions individuelles ? "Est-il même nécessaire d'avoir un humain dans la boucle?" il ajouta.
Michael Kanaan, directeur des opérations pour l'accélérateur d'intelligence artificielle de l'armée de l'air au MIT et une des principales voix de l'intelligence artificielle dans l'armée, a déclaré à une foule lors de la conférence de l'armée de l'air la semaine dernière que les ordinateurs évoluent rapidement dans la façon dont ils identifient et distinguent. cibles potentielles pendant que les humains décident de s'engager.
Le lieutenant-général Clinton Hinote, chef d'état-major adjoint pour la stratégie, l'intégration et les exigences au Pentagone, qui s'exprimait également lors du même événement, a déclaré que le grand débat du début des années 2020 était de savoir si un soldat pouvait être retiré de la prise de décision. une arme autonome.
Timothy Chung, le responsable du programme Darpa en charge du projet d'essaimage, a déclaré à WIRED que l'exercice de l'année dernière consistait à explorer quand un humain devrait être impliqué dans la prise de décision des systèmes autonomes. Face à des attaques complexes, Chung a déclaré que les robots pourraient mieux exécuter la mission que les humains, car les gens ne sont pas assez rapides pour réagir.
"En fait, les systèmes peuvent faire mieux si personne n'intervient", a ajouté Chung.
Même si l'intelligence artificielle développe rapidement ses capacités, il peut être nécessaire pour le moment de garder une personne au courant, car les algorithmes doivent encore s'améliorer là où ils peuvent identifier les ennemis avec suffisamment de fiabilité.
Tout cela se résume à la fiabilité des algorithmes d'avoir un haut niveau de précision lors de l'identification et de l'engagement de l'ennemi. Jusqu'à présent, la politique du ministère de la Défense sur les armes autonomes stipule que ces systèmes doivent être surveillés par l'homme.
... et pour certains délais prévus pour lesquels les robots surpassent l'intelligence humaine, Ray Kurzweil, chef de l'ingénierie de Google, a déclaré il y a quelques années, cela pourrait être vers 2029.
À la fin de la décennie, ou même plus tôt, le Pentagone peut autoriser des armes autonomes à prendre le coup de grâce sans aucune intervention humaine.
Une enquête montre que la moitié des personnes qui ne portent pas de masque ne consentiront «certainement pas» à être vaccinées
PAR TYLER DURDEN JEUDI 20 MAI 2021 - 20H20
Cela ressemble à une mauvaise nouvelle pour le CDC et l'administration Biden, qui cherchent désespérément à inciter plus d'Américains à se faire vacciner avant que la pression internationale n'oblige le président à céder la totalité du stock américain de vaccins (Biden a annoncé hier que les États-Unis enverraient des doses de 20 millions de vaccins qui sont autorisés pour une utilisation d'urgence aux États-Unis à l'étranger pour la première fois alors que la pression de la communauté internationale augmente).
Selon la Kaiser Family Foundation, la moitié des Américains qui ne portent pas de masques disent qu'ils ne se feront "certainement pas" vacciner, selon la Kaiser Family Foundation. un sondage effectué la semaine du 15 mars.
En comparaison, les données, qui ont été divulguées à Bloomberg, ont révélé que 13 % de ceux qui portent un masque de temps en temps ou jamais ont déclaré s'être fait vacciner, tandis que 34 % de ceux qui portent des masques tout ou la plupart du temps ont déclaré ils avaient été vaccinés. La moitié des non-porteurs de masque ont déclaré qu'ils ne se feraient «certainement pas» vacciner, contre 7 % de ceux qui portent des masques régulièrement.
- voir graphique sur site -
Source: Bloomberg
Les résultats font suite à une annonce du CDC permettant aux personnes entièrement vaccinées d'abandonner les masques dans la plupart des contextes.
Le président Biden a célébré cette décision en offrant aux Américains un choix difficile: soit se faire vacciner, soit porter un masque.
Le seul problème avec cela est que beaucoup de ceux qui sont sceptiques quant au vaccin ne portent pas non plus de masques.
Une analyste qui s'est entretenue avec Bloomberg a déclaré qu'elle était surprise par la résistance au vaccin.
"Mais je pense que ce qui ressort, c'est la part qui dit qu'ils ne recevront certainement pas le vaccin parmi ceux qui disent ne pas porter de masque", a déclaré Hamel dans une interview.
De plus, les données de l'enquête soutiennent ce que de nombreux Américains considèrent probablement comme du bon sens - bien que personne ne l'ait apparemment dit à la Maison Blanche ou au CDC.
Les résultats indiquent déjà que les personnes qui disent ne pas vouloir le vaccin sont beaucoup moins susceptibles de croire que les masques sont efficaces. "Et il est donc certain que cette relation entre les attitudes à l'égard du vaccin et les attitudes à l'égard d'autres types de mesures de protection existe, en particulier parmi ce groupe qui dit qu'ils ne vont certainement pas se faire vacciner", a-t-elle déclaré.
Le CDC a été largement critiqué pour avoir semé la confusion avec ses dernières directives destinées aux particuliers et aux entreprises, car les États décident maintenant s'ils suivront les directives du CDC ou s'ils choisiront d'attendre.
Certains employeurs disent déjà qu'ils exigeront que les nouvelles recrues soient vaccinées, bien que la plupart des employeurs admettent encore qu'il serait illégal d'exiger que tous les employés sortent et se font vacciner. En fin de compte, cependant, ils pourraient encore être forcés de se fier au système de l'honneur, car les lois sur la confidentialité médicale pourraient les empêcher de demander à voir des preuves du tir.
La société de sondage KFF, qui a géré les données de sondage via son COVID Vaccine Monitor, a utilisé des données sur le comportement de masquage autodéclaré et la croyance des gens quant à savoir si le port d'un masque empêche la propagation du vaccin comme base de ces résultats.
(...) En comparaison, les données, qui ont été divulguées à Bloomberg, ont révélé que 13 % de ceux qui portent un masque de temps en temps ou jamais ont déclaré s'être fait vacciner, tandis que 34 % de ceux qui portent des masques tout ou la plupart du temps ont déclaré ils avaient été vaccinés. La moitié des non-porteurs de masque ont déclaré qu'ils ne se feraient «certainement pas» vacciner, contre 7 % de ceux qui portent des masques régulièrement. (...)
Données TRÈS particulières démontrant (d'après le 'sondage') que des personnes qui ne portent un masque 'juste pour faire des courses) se seraient faites inoculées !! L'importance de l’aberration vient que les personnes qui portent un masque respirent les nano-particules qui se modélisent en morgellons sitôt introduites !! Ce sont désormais des transhumanistes dangereux qui peuvent contaminer les autres.
L'organisme se défend (depuis 10 000 ans) contre les virus, mais PAS contre les morgellons introduits en cavité nasale (naso-pharyngées) ou sous formes de nano-particules inoculées lors des expérimentations sur cobayes !
L'UFC-QUE CHOISIR S'INSURGE DE LA HAUSSE DES FACTURES D'ÉLECTRICITÉ
par OLIVIER SANCERRE 20/05/2021
Les factures d'électricité ont augmenté de quasiment 50% en dix ans, selon l'UFC-Que Choisir.
EDF est dans le collimateur de l'UFC-Que Choisir, qui dénonce la « spirale inflationniste » des factures d'électricité. L'association de consommateurs réclame que les concurrents aient un accès plus large à l'électricité nucléaire.
L'UFC-Que Choisir a fait les comptes et ils ne sont pas brillants : « Un ménage moyen chauffé à l’électricité au TRV (tarif réglementé de vente) aura vu passer sa facture d’électricité de 1.019 euros à 1.522 euros entre 2010 et 2020 ». Cela représente une hausse de quasiment 50 % en dix ans ! Pour mettre un frein à cette « spirale inflationniste », l'association de consommateurs demande de revoir l'organisation même du marché de l'électricité, « qui est responsable de cette augmentation ». Au cœur des débats se trouve l'accès régulé à l'énergie nucléaire historique (Arenh), un mécanisme qui permet aux fournisseurs alternatifs de se fournir chez EDF.
Une hausse spectaculaire des factures
Mais voilà, le volume d'électricité nucléaire vendu à bas prix par EDF est trop limité, il représente environ un tiers de la production d'EDF. Un rationnement qui pousse les prix tant du TRV que des offres de marché, déplore l'UFC-Que Choisir, et cela frappe « très concrètement » les consommateurs au portefeuille. Pour compléter les volumes nécessaires, les fournisseurs alternatifs doivent se fournir ailleurs, à des prix plus élevés. EDF a déjà critiqué ce mécanisme, mais pas pour les bonnes raisons : l'opérateur est contraint de vendre une partie de son électricité à bas prix…
Déplafonnement des volumes vendus par EDF
C'est pourquoi l'UFC-Que Choisir demande un « déplafonnement immédiat » des volumes d'Arenh accessibles par les fournisseurs alternatifs, afin que s'arrêtent les augmentations continues des factures. Par ailleurs, l'association s'inquiète des fortes hausses tarifaires à venir, en lien avec les coûts de l'EPR de Flamanville. Elle souhaite donc un « débat public » sur l'avenir de cette régulation, « sur la base d’une transparence sur les coûts réellement supportés par EDF ».
Une virologue chinoise "voyou" rejoint Twitter et publie des preuves "Smoking Gun" COVID-19 créé en laboratoire
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 14/09/2020 - 11:35
Samedi, nous avons rapporté que le Dr Li-Meng Yan - un virologue chinois (MD, PhD) qui a fui le pays, quittant son emploi dans une prestigieuse université de Hong Kong - est apparu la semaine dernière à la télévision britannique où elle a revendiqué le SRAS-CoV-2, le virus qui cause le COVID-19, a été créé par des scientifiques chinois dans un laboratoire.
Dimanche, Li-Meng a rejoint Twitter - et lundi, il y a quelques heures à peine, elle a tweeté un lien vers un article qu'elle a co-écrit avec trois autres scientifiques chinois intitulé:
Caractéristiques inhabituelles du génome du SRAS-CoV-2 suggérant une modification de laboratoire sophistiquée plutôt qu'une évolution naturelle et une délimitation de sa probable route synthétique.
Elle a également publié un lien vers ses informations d'identification sur ResearchGate, révélant son affiliation (antérieure ?) À l'Université de Hong Kong et 13 publications qui ont été citées 557 fois.
Aller droit au but:
«Les preuves montrent que le SARS-CoV-2 devrait être un produit de laboratoire créé en utilisant les coronavirus de chauve-souris ZC45 et / ou ZXC21 comme modèle et / ou épine dorsale. En nous basant sur les preuves, nous postulons en outre une voie de synthèse pour le SRAS-CoV-2, démontrant que la création en laboratoire de ce coronavirus est pratique et peut être accomplie en environ six mois.
Voici la punchline étendue:
Le motif de liaison au récepteur du SRAS-CoV-2 Spike ne peut pas naître de la nature et aurait dû être créé par génie génétique.
Les protéines Spike décorent l'extérieur des particules de coronavirus. Ils jouent un rôle important dans l'infection car ils interviennent dans l'interaction avec les récepteurs des cellules hôtes et aident ainsi à déterminer la gamme d'hôtes et le tropisme tissulaire du virus. La protéine Spike est divisée en deux moitiés (figure 3). La moitié avant ou N-terminale est nommée S1, qui est entièrement responsable de la liaison du récepteur hôte. Dans les infections à SARS-CoV et SARS-CoV-2, le récepteur de la cellule hôte est hACE2. Au sein de S1, un segment d'environ 70 acides aminés établit des contacts directs avec hACE2 et est nommé en conséquence le motif de liaison au récepteur (RBM) (figure 3C). Dans SARS-CoV et SARS-CoV-2, le RBM détermine pleinement l'interaction avec hACE2. La moitié C-terminale de la protéine Spike est appelée S2. La fonction principale de S2 comprend le maintien de la formation de trimères et, lors de clivages successifs de protéases à la jonction S1 / S2 et à une position aval de S2, la médiation de la fusion membranaire pour permettre l'entrée cellulaire du virus.
- voir schéma sur site -
RépondreSupprimerSemblable à ce qui est observé pour d'autres protéines virales, S2 de SARS-CoV-2 partage une identité de séquence élevée (95%) avec S2 de ZC45 / ZXC21. En contraste frappant, entre SARS-CoV-2 et ZC45 / ZXC21, la protéine S1, qui dicte quel hôte (humain ou chauve-souris) le virus peut infecter, est beaucoup moins conservée avec l'identité de séquence d'acides aminés de seulement 69%.
La figure 4 montre l'alignement de séquence des protéines Spike de six coronavirus ß. Deux sont des virus isolés de la pandémie actuelle (Wuhan-Hu-1, 2019-nCoV_USA-AZ1); deux sont les virus modèles suspectés (Bat_CoV_ZC45, Bat_CoV_ZXC21); deux sont des coronavirus du SRAS (SARS_GZ02, SRAS). Le RBM est mis en évidence entre deux lignes orange. De toute évidence, malgré l'identité de séquence élevée pour l'ensemble des génomes, le RBM de SARS-CoV-2 diffère considérablement de ceux de ZC45 et ZXC21. Curieusement, la RBM de SARS-CoV-2 ressemble beaucoup à la RBM de SARS Spike. Bien que ce ne soit pas un «copier-coller» exact, un examen attentif des structures Spike-hACE237,38 révèle que tous les résidus essentiels pour la liaison hACE2 ou le repliement des protéines (bâtonnets orange sur la figure 3C et ce qui est mis en évidence par des lignes courtes rouges sur la figure 4) sont «conservés».
La plupart de ces résidus essentiels sont préservés avec précision, y compris ceux impliqués dans la formation de liaisons disulfure (C467, C474) et les interactions électrostatiques (R444, E452, R453, D454), qui sont essentielles pour l'intégrité structurelle du RBM (Figure 3C et 4) . Les quelques changements au sein du groupe des résidus essentiels sont presque exclusivement des «substitutions» hydrophobes (I428àL, L443àF, F460àY, L472àF, Y484àQ), qui ne devraient affecter ni le repliement des protéines ni l'interaction hACE2. Dans le même temps, la majorité des résidus d'acides aminés non essentiels ont «muté» (figure 4, résidus RBM non marqués par de courtes lignes rouges). À en juger par cette seule analyse de séquence, nous avons été convaincus dès le début que non seulement la protéine SARS-CoV-2 Spike se lierait à hACE2, mais également que la liaison ressemblerait précisément à celle entre la protéine SARS Spike originale et hACE223. Des travaux structurels récents ont confirmé notre prédiction.
- voir schéma sur site -
Comme expliqué ci-dessous, la façon dont la RBM SARS-CoV-2 ressemble à la RBM SARS-CoV et le schéma global de conservation de la séquence entre SARS-CoV-2 et ZC45 / ZXC21 sont très inhabituels. Collectivement, cela suggère que des parties du génome du SRAS-CoV-2 n'ont pas été dérivées de l'évolution naturelle des particules virales quasi-espèces.
L'article fait ensuite deux observations critiques pour ceux qui prétendent que le SRAS-CoV-2 a une origine naturelle: sa RBM n'aurait pu être acquise que dans l'une des deux voies possibles: 1) un événement de recombinaison ancien suivi d'une évolution convergente ou 2) un événement de recombinaison naturelle survenu assez récemment.
RépondreSupprimerElle rejette d'abord l'option 1:
"Ce processus d'évolution convergente entraînerait également l'accumulation d'une grande quantité de mutations dans d'autres parties du génome, rendant l'identité de séquence globale relativement faible. L'identité de séquence élevée entre SARS-CoV-2 et ZC45 / ZXC21 sur diverses protéines ( 94-100% d'identité) ne supportent pas ce scénario et, par conséquent, indique clairement que le SRAS-CoV-2 portant un tel RBM ne peut pas provenir d'un coronavirus de chauve-souris de type ZC45 / ZXC21 par cette voie évolutive convergente. "
Elle rejette ensuite l'option 2:
Dans le deuxième scénario, le coronavirus de type ZC45 / ZXC21 devrait avoir récemment recombiné et échangé son RBM avec un autre coronavirus qui s'était adapté avec succès pour se lier à un animal ACE2 hautement homologue à hACE2. La probabilité d'un tel événement dépend, en partie, des exigences générales de la recombinaison naturelle: 1) que les deux virus différents partagent une similitude de séquence significative; 2) qu'ils doivent co-infecter et être présents dans la même cellule du même animal; 3) que le virus recombinant ne serait pas éliminé par l'hôte ou ne ferait pas disparaître l'hôte; 4) que le virus recombinant devrait finalement devenir stable et transmissible au sein de l'espèce hôte.
En ce qui concerne ce scénario de recombinaison récent, le réservoir animal ne pourrait pas être des chauves-souris car les protéines ACE2 chez les chauves-souris ne sont pas assez homologues à hACE2 et donc l'adaptation ne serait pas en mesure de produire une séquence RBM comme on le voit dans SARS-CoV-2. Ce réservoir animal ne pourrait pas non plus être des humains car le coronavirus de type ZC45 / ZXC21 ne pourrait pas infecter les humains. De plus, il n'y a eu aucune preuve d'un virus de type SRAS-CoV-2 ou SRAS-CoV-2 circulant dans la population humaine avant la fin de 2019. Curieusement, selon une récente étude bioinformatique, le SRAS-CoV-2 était bien -adapté à l'homme depuis le début de l'épidémie.
Ce qui ne laisse qu'une seule option:
Il ne reste qu'une autre possibilité d'évolution naturelle, à savoir que le virus de type ZC45 / ZXC21 et un coronavirus contenant un RBM de type SRAS auraient pu se recombiner dans un hôte intermédiaire où la protéine ACE2 est homologue à hACE2. Plusieurs laboratoires ont signalé que certains des pangolins de la Sonde introduits en contrebande en Chine depuis la Malaisie portaient des coronavirus, dont le domaine de liaison au récepteur (RBD) est presque identique à celui du SRAS-CoV-227-29,31. Ils ont ensuite suggéré que les pangolins sont l'hôte intermédiaire probable du SRAS-CoV-227-29,31. Cependant, des rapports indépendants récents ont trouvé des failles importantes dans ces données40-42. De plus, contrairement à ces rapports27-29,31, aucun coronavirus n'a été détecté dans les échantillons de pangolins de la Sonde collectés depuis plus d'une décennie en Malaisie et à Sabah entre 2009 et 201943. Une étude récente a également montré que le RBD, qui est partagé entre le SRAS-CoV -2 et les coronavirus du pangolin rapportés, se lie à hACE2 dix fois plus fort qu'au pangolin ACE22, rejetant en outre les pangolins en tant qu'hôte intermédiaire possible. Enfin, une étude in silico, tout en faisant écho à l'idée que les pangolins ne sont probablement pas un hôte intermédiaire, a également indiqué qu'aucune des protéines animales ACE2 examinées dans leur étude ne présentait un potentiel de liaison plus favorable à la protéine SARS-CoV-2 Spike que hACE2. Cette dernière étude a pratiquement exempté tous les animaux de leur rôle présumé d'hôte intermédiaire, ce qui est cohérent avec l'observation selon laquelle le SRAS-CoV-2 était bien adapté pour l'homme dès le début de l'épidémie. Ceci est significatif parce que ces découvertes suggèrent collectivement qu'aucun hôte intermédiaire ne semble exister pour le SRAS-CoV-2, ce qui à tout le moins diminue la possibilité d'un événement recombinant survenant chez un hôte intermédiaire.
RépondreSupprimerAvance rapide vers le pistolet fumant:
Étant donné que RBM dicte entièrement la liaison hACE2 et que la liaison SRAS RBM-hACE2 était entièrement caractérisée par des structures à haute résolution (Figure 3) 37,38, ce swap RBM uniquement ne serait pas plus risqué que le swap complet de Spike. En fait, la faisabilité de cette stratégie de swap RBM a été prouvée. En 2008, le groupe du Dr Zhengli Shi a échangé un SRAS RBM dans les protéines Spike de plusieurs coronavirus de chauve-souris de type SRAS après avoir introduit un site de restriction dans un gène de pointe optimisé pour les codons (figure 5C). Ils ont ensuite validé la liaison des protéines de Spike chimériques résultantes avec hACE2. En outre, dans une publication récente, le RBM de SARS-CoV-2 a été échangé dans le domaine de liaison au récepteur (RBD) de SARSCoV, résultant en un RBD chimérique entièrement fonctionnel dans la liaison hACE2 (figure 5C) 39. De manière frappante, dans les deux cas, les segments RBM manipulés ressemblent presque exactement au RBM défini par les positions des sites EcoRI et BstEII (figure 5C). Bien que les détails de clonage manquent dans les deux publications39,47, il est concevable que les sites de restriction réels puissent varier en fonction du gène de pointe recevant l'insertion RBM ainsi que de la commodité d'introduire un ou des sites de restriction uniques dans les régions d'intérêt. Il est à noter que l'auteur correspondant de cette publication récente, le Dr Fang Li, est un collaborateur actif du Dr Zhengli Shi depuis 201049-53. Le Dr Li a été la première personne au monde à avoir élucidé structurellement la liaison entre SARS-CoV RBD et hACE238 et a été le principal expert dans la compréhension structurelle des interactions Spike-ACE2. La découverte frappante des sites de restriction EcoRI et BstEII à chaque extrémité du SRAS-CoV-2 RBM, respectivement, et le fait que la même région RBM a été permutée à la fois par le Dr Shi et par son collaborateur de longue date, respectivement, en utilisant les méthodes de digestion par enzyme de restriction ne sont probablement pas une coïncidence. C'est plutôt l'arme fumante qui prouve que le RBM / Spike du SRAS-CoV-2 est le produit d'une manipulation génétique. "
RépondreSupprimerÇa va mieux, parce que les scientifiques chinois ont alors essayé avec prescience de couvrir leurs traces:
Bien qu'il puisse être pratique de copier la séquence exacte de SRAS RBM, ce serait un signe trop clair de conception et de manipulation artificielles. L'approche la plus trompeuse consisterait à changer quelques résidus non essentiels, tout en préservant ceux critiques pour la liaison. Cette conception pourrait être bien guidée par les structures à haute résolution (Figure 3) 37,38. De cette manière, lorsque la séquence globale du RBM semble être plus distincte de celle du SARS RBM, la capacité de liaison de hACE2 serait bien préservée. Nous pensons que tous les résidus cruciaux (résidus marqués avec des bâtons rouges sur la figure 4, qui sont les mêmes résidus représentés dans les bâtonnets sur la figure 3C) auraient dû être «conservés». Comme décrit précédemment, alors que certains devraient être une conservation directe, certains auraient dû être remplacés par des résidus avec des propriétés similaires, ce qui ne perturberait pas la liaison hACE2 et pourrait même renforcer davantage l'association [ZH: c'est-à-dire que le virus a été militarisé et amélioré]. Surtout, des changements peuvent avoir été apportés intentionnellement sur des sites non essentiels, ce qui en fait moins un «copier-coller» de la RBM du SRAS.
Yan discute également du tristement célèbre site de clivage de la furine:
RépondreSupprimer... un examen attentif de la séquence nucléotidique du site de clivage de la furine dans le pic de SARS-CoV-2 a révélé que les deux résidus Arg consécutifs dans la séquence insérée (- PRRA-) sont tous deux codés par le codon rare CGG (le moins codon utilisé pour Arg dans SARS-CoV-2) (Figure 7).
En fait, cet arrangement CGGCGG est la seule instance trouvée dans le génome du SARS-CoV-2 où ce codon rare est utilisé en tandem. Cette observation suggère fortement que ce site de clivage de la furine devrait être le résultat du génie génétique. Ajoutant à la suspicion, un site de restriction FauI est formulé par les choix de codons ici, suggérant la possibilité que le polymorphisme de longueur de fragment de restriction, une technique dans laquelle un laboratoire WIV est compétent, aurait pu être impliqué. Là, le modèle de fragmentation résultant de la digestion FauI pourrait être utilisé pour surveiller la préservation du site de clivage de la furine dans Spike car ce site de clivage de la furine est sujet aux délétions in vitro. Plus précisément, la RT-PCR sur le gène de pointe des virus récupérés à partir de cultures cellulaires ou d'animaux de laboratoire pourrait être réalisée, dont le produit serait soumis à une digestion FauI. Les virus conservant ou perdant le site de clivage de la furine donneraient alors des modèles distincts, permettant un suivi pratique du ou des virus d'intérêt.
Et une autre allégation critique: une fois de plus, les chercheurs de Wuhan faisaient tout ce qui était en leur pouvoir pour militariser et renforcer "l'amélioration de l'infectiosité et de la pathogénicité du coronavirus fabriqué en laboratoire":
- voir schéma sur site -
Les preuves suggèrent collectivement que le site de clivage de la furine dans la protéine SARS-CoV-2 Spike pourrait ne pas provenir de la nature et pourrait être le résultat d'une manipulation génétique. Le but de cette manipulation aurait pu être d'évaluer toute amélioration potentielle de l'infectivité et de la pathogénicité du coronavirus fabriqué en laboratoire.
Résumant ce qui précède:
Les preuves présentées dans cette partie révèlent que certains aspects du génome du SRAS-CoV-2 sont extrêmement difficiles à concilier avec le résultat d'une évolution naturelle. La théorie alternative que nous suggérons est que le virus peut avoir été créé en utilisant le ou les coronavirus de chauve-souris ZC45 / ZXC21 comme squelette et / ou modèle. La protéine Spike, en particulier le RBM qu'elle contient, aurait dû être manipulée artificiellement, sur laquelle le virus a acquis la capacité de se lier à hACE2 et d'infecter les humains. Ceci est soutenu par la découverte d'un site unique de digestion par une enzyme de restriction à chaque extrémité du RBM. Un site inhabituel de clivage de la furine peut avoir été introduit et inséré à la jonction S1 / S2 de la protéine Spike, ce qui contribue à l'augmentation de la virulence et de la pathogénicité du virus.
Ces transformations ont ensuite mis en scène le virus du SRAS CoV-2 pour finalement devenir un agent pathogène hautement transmissible, apparemment caché, mortel, séquelles peu claires et massivement perturbateur.
RépondreSupprimerDe toute évidence, la possibilité que le SRAS-CoV-2 ait pu être créé par des manipulations de gain de fonction au WIV est significative et devrait être étudiée de manière approfondie et indépendante.
Enfin, ceux qui sont curieux de savoir comment le virus aurait pu être créé synthétiquement à Wuhan, voici un schéma proposé par le Dr Yan expliquant toutes les étapes nécessaires:
- voir schéma sur site -
Son article complet est ci-dessous:
- voir clip sur site -
Et pour ceux qui l'ont raté, voici l'interview de Li-Meng à la télévision britannique:
Pour rappel, Zero Hedge a été banni de Twitter le 31 janvier pour avoir fait cette allégation, à la suite d'un article à succès écrit par un pédophile présumé (qui a ensuite été congédié pour plagiat) et d'innombrables soi-disant "scientifiques" criant que notre opinion était de fausses nouvelles et rien que de la propagande. Cinq mois plus tard, Twitter a admis avoir commis une erreur, déclarant que "nous avons commis une erreur dans notre action coercitive dans cette affaire".
https://www.zerohedge.com/medical/rogue-chinese-virologist-joins-twitter-publishes-evidence-covid-19-created-lab
Le COVID-19 est une 'arme biologique sans restriction': un lanceur d'alerte publie un deuxième article alléguant 'une fraude scientifique organisée à grande échelle'
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu, 10/08/2020 - 11:25
Li-Meng Yan, virologue chinoise (MD, PhD) qui a travaillé dans un laboratoire de référence de l'OMS et a fui son poste à l'Université de Hong Kong, a publié un deuxième rapport co-écrit, alléguant que le SRAS-CoV-2, le virus qui cause le COVID-19, n'a pas seulement été créé dans un laboratoire de Wuhan, c'est une «arme biologique sans restriction» qui a été intentionnellement libérée.
"Nous avons utilisé des preuves biologiques et des analyses approfondies pour montrer que le SRAS-CoV-2 doit être un produit de laboratoire, qui a été créé en utilisant un virus modèle (ZC45 / ZXC21) appartenant à des laboratoires de recherche militaires sous le contrôle du Parti communiste chinois. (PCC) gouvernement », lit-on dans le journal.
Le SARS-CoV2 est un produit de modification de laboratoire, qui peut être créé en environ six mois à l'aide d'un virus modèle appartenant à un laboratoire de l'Armée populaire de libération (PLA). Le fait que des fabrications de données aient été utilisées pour dissimuler la véritable origine du SRAS-CoV 2 implique en outre que la modification de laboratoire ici va au-delà de la simple recherche sur le gain de fonction.
L'ampleur et le caractère coordonné de cette fraude scientifique indiquent le degré de corruption dans les domaines de la recherche universitaire et de la santé publique. Du fait de cette corruption, des dommages ont été causés à la fois à la réputation de la communauté scientifique et au bien-être de la communauté mondiale.
Le rapport affirme également que le virus RaTG13 que Wuhan "Batwoman" Dr. Zhengli Shi et ses collègues disent avoir obtenu dans les excréments de chauves-souris en 2013 (et qui est identique à 96% au SRAS-CoV-2), est frauduleux et également fabriqué par l'homme.
Depuis sa publication, le virus RaTG13 a servi de preuve fondatrice de la théorie selon laquelle le SRAS-CoV-2 doit avoir une origine naturelle. Cependant, aucun virus vivant ou un génome intact de RaTG13 n'ont jamais été isolés ou récupérés. Par conséquent, la seule preuve de «l'existence» de RaTG13 dans la nature est sa séquence génomique publiée sur GenBank.
Le rapport poursuit en disant que le génome RaTG13 pourrait facilement être fabriqué et qu'«une entrée sur GenBank, qui dans ce cas équivaut à l'existence d'une séquence génomique virale assemblée et de ses lectures de séquençage associées, n'est pas une preuve définitive que ce génome viral est correct ou réel, "et que le processus de séquençage de l'ADN lui-même" laisse place à une fraude potentielle".
Si l'on a l'intention de fabriquer un génome viral ARN sur GenBank, il ou elle pourrait le faire en suivant ces étapes: créer sa séquence génomique sur un ordinateur, faire synthétiser des segments du génome sur la base de la séquence, amplifier chaque segment d'ADN par PCR, et puis envoyer les produits de PCR (peuvent également être mélangés avec du matériel génétique dérivé de l'hôte présumé du virus pour imiter un échantillon de séquençage authentique) pour le séquençage. Les lectures de séquençage brutes résultantes seraient utilisées, avec la séquence génomique créée, pour établir un entrée sur GenBank. Une fois accomplie, cette entrée serait acceptée comme preuve de l'existence naturelle du virus correspondant. Il est clair qu'une séquence génomique virale et son entrée GenBank peuvent être fabriquées si elles sont bien planifiées.
RépondreSupprimer- voir schéma sur site -
RaTG13 a «plusieurs caractéristiques anormales», selon le rapport. Pour commencer, on prétend qu'il s'agissait d'un échantillon fécal - pourtant, seulement 1,7% des lectures de séquençage brutes sont bactériennes, alors que les échantillons d'écouvillons fécaux sont généralement bactériens à 70-90 %. Deuxièmement, la séquence génomique de RaTG13 contient des segments d'origine non chauve-souris, y compris le renard, le renard volant, les écureuils et d'autres animaux.
De plus, la Chine a détruit toutes les preuves de RaTG13. "Aucune vérification indépendante de la séquence RaTG13 ne semble possible car, selon le Dr Zhengli Shi, l'échantillon brut a été épuisé et aucun virus vivant n'a jamais été isolé ou récupéré. Notamment, cette information était connue d'un cercle central de virologues dès le début et apparemment accepté par eux. "
Pendant ce temps, un autre coronavirus qui partage une 'identité de séquence nucléotidique à 100% avec RaTG13' - RaBtCoV / 4991 - sur un 'court segment de gène de l'ARN polymérase ARN-dépendante de 440 pb'.
RaBtCoV / 4991 aurait été découvert par Shi et ses collègues en 2012 et publié en 2016, et des collègues ont demandé s'il s'agissait du même virus que RaTG13.
Compte tenu de l'identité à 100 % sur ce court segment de gène entre RaBtCoV / 4991 et RaTG13, le domaine a demandé des éclaircissements pour savoir si ces deux noms se réfèrent ou non au même virus. Cependant, le Dr. Shi n'a pas répondu au demandeur pour répondre à cette question pendant des mois. La réponse est finalement venue de Peter Daszak, président d'EcoHealth Alliance et collaborateur de longue date de Shi, qui a affirmé que RaBtCoV / 4991 était RaTG1327.
Trois faits suspects
RépondreSupprimerPremièrement, cela n'a aucun sens que 'Batwoman' Shi et son équipe n'auraient pas effectué le séquençage du génome entier de RaBtCoV / 4991 avant 2020, comme cela a été suspecté dans la mort de mineurs souffrant d'une grave pneumonie après avoir éliminé les excréments de chauves-souris dans un Mine chinoise.
Compte tenu des intérêts constants du groupe Shi dans l'étude des coronavirus de chauve-souris de type SRAS et du fait que RaBtCoV / 4991 est un coronavirus de type SRAS avec un lien possible avec la mort des mineurs, il est très peu probable que le groupe Shi se contente du séquençage. seul un segment de 440 pb de RdRpand ne poursuit pas le séquençage de la région codant pour le motif de liaison au récepteur (RBM) du gène de pointe. En fait, le séquençage du gène de pointe est systématiquement tenté par le groupe Shi une fois que la présence d'un coronavirus de chauve-souris de type SRAS est confirmée par le séquençage du RdRpsegment25,32 de 440 pb, bien que le succès de ces efforts soit souvent entravé par le mauvaise qualité de l'échantillon.
"De toute évidence, la motivation perceptible du groupe Shi pour étudier ce virus RaBtCoV / 4991 et le fait qu'aucun séquençage du génome de celui-ci n'ait été effectué pendant une période de sept ans (2013-2020) sont difficiles à concilier et à expliquer."
Pendant ce temps, le séquençage génomique de RaTG13 a été réalisé en 2018.
Deuxièmement, pourquoi Shi a-t-il retardé la publication sur RaTG13 jusqu'en 2020 quand il a une protéine Spike qui peut se lier aux récepteurs ACE2 humains ?
... si la séquence génomique de RaTG13 était disponible depuis 2018, il est peu probable que ce virus, qui a un lien possible avec la mort de mineurs en 2012 et a une RBM alarmante semblable au SRAS, soit conservé pendant deux ans sans publication. Conformément à cette analyse, une étude récente a en effet prouvé que le RBD de RaTG13 (produit par synthèse de gène sur la base de sa séquence publiée) était capable de se lier à hACE2
Troisièmement, il n'y a eu aucun travail de suivi sur RaTG13 par le groupe de Shi.
Après avoir obtenu la séquence génomique d'un coronavirus de chauve-souris semblable au SRAS, le groupe Shi étudie régulièrement si le virus est ou non capable d'infecter des cellules humaines. Ce modèle d'activités de recherche a été démontré à maintes reprises. Cependant, un tel schéma n'est pas vu ici malgré le fait que RaTG13 a un RBM intéressant et est prétendument la correspondance la plus proche de l'évolution du SRAS-CoV-2.
Preuve génétique directe prouvant que RaTG13 est frauduleux
RépondreSupprimerLe groupe de Yan a examiné de près les séquences de protéines de pointe spécifiques pour les virus pertinents - en comparant spécifiquement les mutations, et a constaté que les gènes de pointe du SARS-CoV-2 et RaTG13 ne contiennent pas de preuve d'évolution naturelle par rapport à d'autres coronavirus qui ont naturellement évolué.
Une interprétation logique de cette observation est que le SRAS-CoV-2 et le RaTG13 ne pourraient pas être liés l'un à l'autre par l'évolution naturelle et au moins l'un doit être artificiel. Si l'un est le produit d'une évolution naturelle, l'autre ne doit pas l'être. Il est également possible qu'aucun d'eux n'existe naturellement. Si RaTG13 est un vrai virus qui existe vraiment dans la nature, alors le SRAS-CoV-2 doit être artificiel.
Plus:
Il est très probable que la séquence du génome de RaTG13 ait été fabriquée en modifiant légèrement la séquence de SARS-CoV-2 pour obtenir une identité de séquence globale de 96,2 %. Au cours de ce processus, une grande partie de l'édition doit avoir été effectuée pour la région RBM du S1 / pic parce que la RBM codée détermine l'interaction avec ACE2 et serait donc fortement examinée par d'autres.
L'article conclut: Tous les coronavirus fabriqués partagent une identité de séquence d'acides aminés à 100 % sur la protéine E avec ZC45 et ZXC21
Les preuves ici indiquent clairement que les nouveaux coronavirus récemment publiés par les laboratoires contrôlés par le PCC sont tous frauduleux et n'existent pas dans la nature. Une dernière preuve de cette conclusion est le fait que tous ces virus partagent une identité de séquence d'acides aminés à 100% sur la protéine E avec les coronavirus de chauve-souris ZC45 et ZXC21, qui, comme révélé dans notre rapport précédent1, devraient être le modèle / squelette utilisé pour la création de SARS-CoV-2. Malgré sa fonction conservée dans le cycle de réplication virale, la protéine E est tolérante et permissive aux mutations d'acides aminés. Il est donc impossible que la séquence d'acides aminés de la protéine E reste inchangée lorsque le virus aurait franchi plusieurs fois la barrière des espèces (entre différentes espèces de chauves-souris, des chauves-souris aux pangolins, et des pangolins aux humains). L'identité à 100 % observée ici prouve donc en outre que les séquences de ces nouveaux coronavirus récemment publiés ont été fabriquées.
Arme biologique illimitée ?
Yan note que s'il n'est pas facile pour le public d'accepter que le SRAS-CoV-2 est une arme biologique en raison de sa létalité relativement faible, il répond en effet aux critères d'une arme biologique.
En 2005, le Dr Yang a précisé les critères pour qu'un agent pathogène soit qualifié d'arme biologique:
Il est très virulent et peut causer des pertes à grande échelle.
Il est très contagieux et se transmet facilement, souvent par les voies respiratoires sous forme d'aérosols. Le scénario le plus dangereux serait qu'il permet une transmission interhumaine.
RépondreSupprimerIl est relativement résistant aux changements environnementaux, peut soutenir le transport et est capable de supporter une dissémination ciblée.
Tout ce qui précède a été satisfait par le SARS-CoV-2: il a coûté la vie à des centaines de milliers de personnes, conduit à de nombreuses hospitalisations et en a laissé plusieurs avec des séquelles et diverses complications; il se propage facilement par contact, gouttelettes et aérosols via les voies respiratoires et est capable de se transmettre d'homme à homme, ce dernier ayant été initialement couvert par le gouvernement du PCC et l'OMS et a été révélé pour la première fois par le Dr Li-Meng Yan le 19 janvier 2020 sur Lude Press; il est insensible à la température (contrairement à la grippe saisonnière) et reste viable pendant une longue période sur de nombreuses surfaces et à 4 ° C (par exemple le mélange glace / eau).
De plus, le COVID-19 se propage de manière asymptomatique, ce qui «rend le contrôle du SRAS-CoV-2 extrêmement difficile».
En outre, la transmissibilité, la morbidité et la mortalité du SRAS-CoV-2 ont également entraîné la panique dans la communauté mondiale, la perturbation des ordres sociaux et la décimation de l'économie mondiale. La portée et la puissance destructrice du SRAS-CoV-2 sont tous deux sans précédent. "
"De toute évidence, le SRAS-CoV-2 non seulement satisfait, mais surpasse également les normes d'une arme biologique traditionnelle. Par conséquent, il devrait être défini comme une arme biologique sans restriction."
https://www.zerohedge.com/medical/covid-19-unrestricted-bioweapon-whistleblower-releases-second-paper-alleging-large-scale
Mesures anti-Covid, avant même le pic estival, chaos dans les aéroports: «posé à 16h, je suis sorti de Roissy à 19h30»
RépondreSupprimer17:09 19.05.2021
Augustin de Romanet, PDG du Groupe Aéroports de Paris, a fait part de son inquiétude vis-à-vis de la saison estivale dans les aérogares. Selon lui, la multiplication des mesures anti-Covid à la sortie des avions risque de créer de fort désagréables temps d’attente. Une expérience déjà vécue par l’un des membres de notre rédaction.
«Aujourd’hui ce qui est en haut de ma pile de préoccupations, c’est la discussion avec le ministère de l’Intérieur pour éviter que cet été ne soit une apocalypse de temps d’attente pour les passagers.»
Les mots sont forts et au niveau de l’inquiétude qui est celle d’Augustin de Romanet. Le PDG du Groupe Aéroports de Paris (ADP) a évoqué ses préoccupations à l’égard de la saison estivale lors d’une conférence de presse consacrée aux carburants renouvelables pour l’aviation.
En cause ? La situation sanitaire liée au Covid-19 qui oblige à redoubler de vigilance avec les passagers, notamment ceux en provenance de destinations jugées à risque. «Ce qui me préoccupe principalement, c’est la gestion de la multiplicité des contrôles, des tests et du double contrôle de la police aux frontières», s’est ému Augustin de Romanet.
Un parcours du combattant
Pour le moment, la situation reste relativement gérable. À Paris, Orly et Roissy n’ont vu défiler le mois dernier que 13,9% du nombre de voyageurs présents dans les aérogares en avril 2019. Mais le relâchement des mesures sanitaires observées dans de nombreux pays, dont la France, qui rouvre ce 19 mai ses terrasses et ses cinémas, laisse entrevoir une reprise graduelle du trafic passager.
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Ainsi, comme le souligne l’AFP, à la faveur de déplacements d’été à nouveau possibles vers certaines destinations, ADP s’attend à devoir gérer 35% du trafic de 2019 sur l’ensemble de l’année 2021.
Et avant même la redoutée période estivale, la situation peut déjà être compliquée pour certains voyageurs. L’un de nos journalistes en a fait les frais. Alors qu’il revenait de Mexico à destination de l’aéroport Roissy Charles de Gaulle à Paris, il s’est retrouvé pris dans une situation digne d’un roman de Franz Kafka.
«Je suis sortie de l’avion, puis j’ai dû passer par un premier contrôle policier rapide de vérification du passeport, puis un second. Ensuite, on m’a demandé de remplir un petit formulaire sur mon état de santé, notamment pour signaler d’éventuels symptômes», explique le membre de la rédaction de Sputnik.
Ce n’était que le début. Notre journaliste a ensuite fait la queue avant que le personnel du service de santé ne vérifie à nouveau son passeport. Étape suivante: l’attribution d’un numéro afin d’attendre son tour pour effectuer un test antigénique.
«Il y avait environ quinze stands pour un nombre important de voyageurs», note-t-il. «Une fois le test effectué, il faut à nouveau attendre au milieu d’une foule d’individus. Cela prend une trentaine de minutes.»
Le chemin de croix a pris fin avec la livraison du résultat qu’il a fallu présenter à un dernier contrôle de police avant de pouvoir aller récupérer ses bagages. Un cheminement difficile que s’est chargé de rappeler Augustin de Romanet: «Nous avons une addition de contrôles qui sont imposés aux passagers en raison de la situation sanitaire, premier contrôle de police avec les passeports, puis test PCR obligatoire pour les gens qui viennent des pays écarlates [les plus à risque, ndlr], puis deuxième passage devant la police.»
Une inquiétude internationale
RépondreSupprimerSigne des précautions prises par les autorités, un rapide tour sur le site de France Diplomatie montre que le Mexique ne fait même pas partie des pays où «en raison de la circulation particulièrement active de l’épidémie ou de la propagation de certains variants, des mesures renforcées sont mises en place pour les déplacements vers la France». La liste est composée de l’Afrique du Sud, de l’Argentine, de Bahreïn, du Bangladesh, du Brésil, du Chili, de la Colombie, du Costa Rica, des Émirats arabes unis, de l’Inde, du Népal, du Pakistan, du Qatar, du Sri Lanka, de la Turquie et de l’Uruguay.
«Le plus intéressant étant que les contrôles par lesquels j’ai dû passer ne concernaient que les passagers de mon vol et d’un autre en provenance d’Arabie saoudite. Je n’imagine pas la situation avec davantage de passagers…», souffle notre journaliste. Et de poursuivre: «Mon avion a atterri à 16h00 et je suis sorti de Roissy à 19h30.»
Les aéroports parisiens sont loin d’être les seules à s’inquiéter. Ainsi comme le relate le site spécialisé Déplacementspros .com, Willie Walsh, le nouveau directeur général de l’IATA (International Air Transport Association), craint également le chaos à venir «si tous les clients doivent prouver, sur papier, qu’ils ont rempli des formulaires, qu’ils ont effectué un test PCR, et que ces documents doivent être vérifiés par des personnes aux comptoirs d’enregistrement.»
Le Portugal autorise les voyages touristiques pour la plupart des pays européens
La démocratisation des enregistrements en ligne a massivement désengorgé les comptoirs ces dernières années. Mais la preuve de son état de santé demandée aux voyageurs par de très nombreux aéroports à travers le monde a provoqué un problématique retour en arrière.
Comme le souligne Déplacementspros .com, des compagnies comme Etihad «tentent d’y remédier avec la mise en place de procédures de vérification des données avant l’arrivée à l’aéroport.» Quant à British Airways, elle veut permettre de réserver un créneau horaire aux comptoirs d’enregistrement du terminal 5 de Heathrow par le biais d’une application de file d’attente virtuelle.
Reste à espérer que le déploiement du très controversé pass sanitaire européen attendu au 26 juin permette de limiter la casse, du moins pour les vols au sein de l’UE.
(...) test antigénique (RT-PCR) !!
SupprimerC'est-à-dire: déposition ('pass-sanitaire') par écouvillon par voie nasale de particules nano-scopiques et de morgellons déjà formés !! dans une cavité la plus proche du cerveau !!
La mort est en chemin !
Même pour celles & ceux qui partent vers la Nouvelle-Calédonie (zéro mort du corona alors que c'est une île entourée de milliards de milliards de virus sortis des eaux !!).
Pass sanitaire, pass de la honte
RépondreSupprimerClojea
AgoraVox
mer., 19 mai 2021 11:07 UTC
À la question : est-ce que le passeport vaccinal ou le pass sanitaire est une mesure liberticide ? La réponse est oui.
D'une part, parce que le flicage est devenu de plus en plus prépondérant, faisant parti de la vie quotidienne que tout un chacun subit tous les jours et d'autre part, parce que les libertés ne sont plus des droits naturels. Elles sont totalement conditionnées par une surveillance toujours plus active.
Radars, caméras dans les rues, GPS, géolocalisation, traçage, flicage et censure des réseaux sociaux, il ne manquait que le pass sanitaire pour anéantir le peu d'individualité qui existait encore.
Avec la puce que l'on va bientôt nous inoculer sous la peau, la chape de plomb va bientôt se refermer, et quand toutes nos possibilités de choix auront disparu, nous ne serons plus libres du tout. Bienvenu dans le monde docile du 21e siècle. Malraux avait dit que ce siècle serait spirituel ou pas. C'est assurément le contraire, et l'on pourrait définir ce siècle comme étant celui de la "stupidité servile".
Les raisons d'un pass sanitaire ne sont pas liées à la santé. L'âge moyen des décès par la Covid-19 est de 82 ans, l'âge médian étant de 85 ans. La surmortalité due à la Covid-19 est négligeable pour les personnes de moins de 65 ans. La vérité est donc ailleurs. Contrepoints 9 mars 2021 : Pourquoi il faut s'opposer à un Pass sanitaire
Suite à l'envoi de ma lettre contre le vote du passeport sanitaire à l'ensemble des sénateurs, un des élus m'a fait remarquer et je le cite :
"... Que les cas d'utilisation de cette attestation sanitaire seront concentrés sur les plus grands rassemblements, certainement au-dessus de 1000 personnes... N'apparaîtront sur ce document que les noms, prénoms, dates de naissances, résultats du test ou certificat de vaccination et la date et l'heure de cet acte... Aucune information d'ordre personnel autre que celles-ci ne seront ainsi consultables... Il convient d'ajouter à ce tableau l'accord conclu entre les États de l'Union européenne pour qu'un pass analogue permette les déplacements des Européens dans les divers lieux de l'Union. Cet accord, qui a été soumis à des conditions strictes de protection des données personnelles, représente évidemment un progrès dans la sortie de crise qui répond aux divers motifs de déplacement et il démontre l'utilité de ce dispositif élargissant les libertés concrètes de tous..."
Pour vos voyages futurs dans le monde, à part utiliser votre "jet personnel" et emprunter la sortie VIP sans contrôles des aéroports, ce n'est pas gagné.
À n'en pas douter, ce pass sanitaire sera plus tard, appliqué aux rassemblements de plus de 6 personnes. Quant à la sécurité de vos informations personnelles, elles sont déjà, via votre carte vitale, dans la banque de données d'une société privée.
Elise Lucet, "Cash Investigation", jeudi 20 mai France 2 : extraits :
RépondreSupprimer"... L'enquêtrice est tombée sur cette autorisation de la CNIL qui a été donnée à une société privée qui est juste le leader mondial des data de santé dans le monde qui s'appelle IQVIA*... Donc IQVIA a eu l'autorisation de passer un partenariat avec les pharmacies ce qui fait qu'à chaque fois que vous présentez votre carte vitale dans une pharmacie, toutes les données de ce que vous achetez médicaments ou parapharmacie, absolument tout, va dans un logiciel..."
"... Des informations qui sont transmises sans aucun consentement, donc illégalement... Normalement, on devrait absolument vous prévenir et demander votre consentement, c'est obligatoire. Le consentement explicite, c'est dans la loi, on doit vous le demander. Or moi, j'ai fait le test, on a fait le test dans 200 pharmacies... Petite précision : ils vous disent que ces données de santé sont "anonymisées", c'est-à-dire qu'il n'y a plus le nom et le prénom. Le problème, c'est que dans l'enquête de Cash investigation, on prouve que cette anonymisation par le nom et le prénom, c'est faux".
Plus besoin de pousser plus avant la démonstration. Le vote de ce "Pass sanitaire" est un pas de plus vers le fond de l'abîme "démocratique".
Ceux qui ont voté "pour" auront sur la conscience les répercussions sur les générations futures.
Claude Janvier
Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre "Le virus et le président". IS édition. www.is-edition.com
* IQVIA est un leader mondial dans l'utilisation des données, de la technologie, de l'analyse avancée et de l'expertise humaine pour aider les entreprises des sciences de la vie à faire progresser les soins de santé et la santé humaine. But : Contribuer à mettre en place un système de santé plus moderne, plus efficace et plus efficient.
https://fr.sott.net/article/37309-Pass-sanitaire-pass-de-la-honte
La Croix-Rouge japonaise refuse les dons de sang de personnes qui ont reçu des injections de «vaccins» contre le coronavirus
RépondreSupprimerMercredi 19 mai 2021
par: Arsenio Toledo
(Natural News) La Croix-Rouge japonaise refuse désormais d'accepter les dons de sang de personnes qui ont reçu le vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).
Le site Web de la Croix-Rouge japonaise déclare que les personnes qui ont été vaccinées contre le COVID-19 «ne sont pas autorisées à donner du sang pour le moment».
La même page avertit les donneurs de sang potentiels qu'ils ne pourront pas donner leur sang pendant un certain temps après avoir reçu des vaccinations différentes.
Certains reports empêchent les dons de sang pendant 24 heures après la vaccination, y compris après avoir été vacciné contre la grippe, le choléra et le tétanos. D'autres empêchent les dons de sang pendant deux semaines après la vaccination, par exemple après avoir reçu le vaccin contre l'hépatite B.
Ceux qui ont reçu les vaccins contre les oreillons, la rubéole et d'autres «vaccins vivants» considérés comme faiblement toxiques ne sont pas autorisés à donner du sang pendant quatre semaines après la vaccination. Ceux qui ont été vaccinés contre la variole ne peuvent pas donner de sang pendant huit semaines après avoir reçu la dose.
Jeffrey Kingston, directeur des études asiatiques sur le campus japonais de l’Université Temple, a expliqué que le Japon n’avait pas oublié un scandale qui a frappé le pays dans les années 1980. À l'époque, les autorités gouvernementales avaient autorisé le sang contaminé par le virus VIH à continuer d'être utilisé. C'était même s'il avait été établi que les éléments viraux dans le sang auraient pu être éliminés à l'aide de traitements thermiques.
Kingston a déclaré que cela explique à la fois l'approche prudente des dons de sang et le déploiement très lent et méthodique des vaccins contre les coronavirus dans le pays. Seulement environ 2% de la population japonaise est entièrement vaccinée, contre plus de 35% aux États-Unis.
«C’est un goulot d’étranglement bureaucratique motivé par la peur que quelque chose puisse mal tourner, il vaut donc mieux retarder et retarder», a déclaré Kingston.
L'Amérique continue d'accepter les dons de sang quel que soit le statut vaccinal
Aux États-Unis, la Croix-Rouge américaine autorise les personnes qui ont reçu le vaccin contre le coronavirus à donner leur sang. (En relation: OUTRAGEOUS: la Croix-Rouge américaine accepte les personnes infectées par le coronavirus comme donneurs de sang, affirme que le coronavirus ne peut pas se propager par le sang.)
Selon le site Web de la Croix-Rouge américaine, les personnes vaccinées seront autorisées à donner du sang immédiatement ou après un court délai de report, en fonction du type de vaccin contre le coronavirus qu'elles reçoivent.
Les personnes inoculées avec un vaccin COVID-19 inactivé ou à base d'ARN pourront donner leur sang immédiatement. Ces vaccins comprennent ceux fabriqués par Pfizer-BioNTech, Moderna et Johnson & Johnson.
RépondreSupprimerSi les individus vaccinés ont reçu un vaccin vivant atténué contre le coronavirus, s'ils ne sont pas sûrs du type de vaccin COVID-19 qu'ils ont reçu ou s'ils ont été vaccinés dans le cadre d'un essai clinique pour un vaccin qui n'a pas encore été autorisé pour une utilisation généralisée aux États-Unis , ils doivent attendre à peine deux semaines avant de donner leur sang.
Étant donné que les vaccins autorisés aux États-Unis - Pfizer, Modern et Johnson & Johnson - sont soit à base d'ARN, soit utilisent un virus inactivé, cela signifie que pratiquement rien n'empêche les personnes vaccinées de donner leur sang.
«La réponse simple est qu'il n'y a pas de temps d'attente entre la vaccination et le don», a déclaré Kim Cronin, responsable des services aux donateurs au Massachusetts General Hospital.
Les services de don ont reçu cette nouvelle chaleureusement. En effet, les banques de sang connaissent une pénurie de sang depuis le début de la pandémie.
«Les quatorze derniers mois ont été assez difficiles pour ceux d'entre nous qui sont responsables du maintien d'un approvisionnement en sang adéquat pour les patients dans le besoin», a déclaré Cronin. «Le sang continue d'être nécessaire chaque jour.»
«Avec de plus en plus de personnes vaccinées et commençant à reprendre leurs activités normales, la Croix-Rouge s'inquiète de l'impact que cela pourrait avoir sur la participation des donneurs de sang», a déclaré Holly Grant, PDG de la Croix-Rouge du Massachusetts. «Le sang est un produit périssable et l'approvisionnement doit être constamment renouvelé pour que les hôpitaux aient toujours ce dont ils ont besoin quand ils en ont besoin.»
En savoir plus sur les vaccins contre le coronavirus en lisant les derniers articles sur Vaccines.news.
Les sources comprennent:
Accueil.Solari.com
FactCheck.org
RedCrossBlood.org
WBTV.com
NBCBoston.com
https://www.naturalnews.com/2021-05-19-japanese-red-cross-blood-donations-coronavirus-vaccines.html
Le vaccin COVID-19 peut provoquer un faux diagnostic de cancer du sein, avertissent les experts
RépondreSupprimerMercredi 19 mai 2021
par: Divina Ramirez
(Natural News) Les nouveaux vaccins contre le coronavirus ont un certain nombre d'effets secondaires qui devraient se produire après les injections. Un de ces effets secondaires est un gonflement des ganglions lymphatiques.
Ces ganglions lymphatiques enflés sont devenus une source de préoccupation chez les radiologues. Emily Sonnenblick, radiologue en imagerie mammaire au Dubin Breast Center de l'hôpital Mount Sinai de New York, a déclaré avoir observé des ganglions lymphatiques enflés dans les aisselles de nombreuses femmes ayant reçu des vaccins COVID-19.
Les ganglions lymphatiques sont de petites structures en forme de haricot qui sont au cœur de la réponse immunitaire du corps. Ils gonflent généralement en réponse à une substance étrangère pénétrant dans le corps, comme un vaccin ou un virus pathogène.
L'élargissement des ganglions lymphatiques peut également être un signe de cancer. Les femmes atteintes d'un cancer du sein peuvent avoir des ganglions lymphatiques enflés dans l'aisselle ou autour de la poitrine. Les radiologues en imagerie mammaire recherchent ces changements lorsqu'ils recherchent un cancer du sein.
Cependant, des ganglions lymphatiques isolés en l'absence d'un diagnostic de cancer du sein sont un premier signe rare de cancer, a déclaré Sonnenblick. Par conséquent, la présence de ganglions lymphatiques enflés après l'inoculation contre le coronavirus peut grandement compliquer les dépistages du cancer du sein ou même entraîner un faux diagnostic.
Les vaccins provoquent de faux positifs lors des dépistages
Clayton Taylor, radiologue en imagerie mammaire au Stefanie Spielman Comprehensive Breast Center dans l'Ohio, a déclaré qu'il était encore trop tôt pour savoir à quel point les ganglions lymphatiques enflés sont fréquents après une vaccination COVID-19. (En relation: un expert français des maladies infectieuses met en garde contre les dangers du vaccin COVID-19.)
On ne sait pas non plus comment ces ganglions lymphatiques enflés déclenchent un résultat faussement positif des examens mammographiques. Une mammographie est une méthode d'imagerie par rayonnement X utilisée pour examiner le sein pour la détection précoce du cancer et d'autres maladies du sein.
Ce qui est clair, cependant, c'est que les ganglions lymphatiques enflés associés à la vaccination COVID-19 ont déjà conduit à des résultats de mammographie faussement positifs. Jerome Schroeder, directeur de l'imagerie mammaire au Breast Care Center de l'hôpital St. Joseph de Denver, a déclaré que ses collègues avaient vu un ou deux cas de résultats faussement positifs.
Pendant ce temps, Monica Yepes, chef de l'imagerie mammaire et directrice des services d'imagerie mammaire à l'Université de Miami Health System, a dû consoler l'une de ses patientes qui est venue pour un dépistage par mammographie.
RépondreSupprimerLe dépistage a révélé plusieurs ganglions lymphatiques hypertrophiés à l'intérieur de la patiente, qui est venue pour son dépistage six jours après avoir reçu la première dose d'un vaccin COVID-19. Yepes a demandé à sa patiente de se présenter pour un autre dépistage en avril afin de déterminer si les ganglions lymphatiques hypertrophiés sont cancéreux.
D'autres radiologues du sud de la Floride signalent également des cas similaires chez des patients qui ont été récemment vaccinés. Amy Allen, directrice du Capital Regional Comprehensive Breast Center à Tallahassee, en Floride, a déclaré que de nombreux patients étaient venus pour leurs examens de mammographie, qui montraient des ganglions lymphatiques enflés.
Il est important que les femmes se fassent dépister le plus tôt possible pour un cancer du sein afin de freiner son apparition. Mais les médecins signalant des ganglions lymphatiques enflés après la vaccination contre le COVID-19, les experts de la santé recommandent désormais aux femmes de retarder leur dépistage d'au moins quatre semaines après avoir reçu une injection du vaccin pour éviter un résultat faussement positif.
Cependant, retarder les examens mammographiques peut avoir de graves conséquences pour les femmes qui ont un cancer du sein non détecté. La plupart des types de cancer du sein sont invasifs, ce qui signifie que les cellules cancéreuses peuvent se propager aux os et aux tissus de différentes parties du corps. Plus le cancer du sein se propage, plus il sera difficile de le traiter.
Allen conseille aux patients de se présenter pour une mammographie en cas de signes ou symptômes de tout type d'anomalie.
Accédez à Vaccines.news pour en savoir plus sur les risques pour la santé associés aux nouveaux vaccins COVID-19.
Les sources comprennent:
Healthline.com
9News.com
NBCMiami.com
WTXL.com
https://www.naturalnews.com/2021-05-19-coronavirus-vaccine-false-breast-cancer-diagnosis.html
Les services de santé ont été surpris en train de mentir, couvrant les dommages vasculaires causés par le vaccin covid et les «réactions anaphylactiques aiguës»
RépondreSupprimerMercredi 19 mai 2021
par: Ethan Huff
(Natural News) Selon le gouvernement, qui ne ment apparemment jamais, il n'y a aucun risque que les protéines de pointe «vaccinales» du coronavirus de Wuhan (Covid-19) causent des problèmes à long terme à l'intérieur du corps. Selon l'Institut Salk, cependant, rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.
Le département de la santé publique du Connecticut (CDPH) a récemment publié une fiche «d'information» sur les injections de virus chinois qui prétend que leurs protéines de pointe sont «inoffensives». Les lecteurs ont l'impression qu'il n'y a aucun risque de se faire piquer parce que la «science» dit que les injections sont sûres.
«Notre système immunitaire reconnaît que cette protéine de pointe n’appartient pas à notre corps et produit des anticorps qui se lient à la protéine, signalant à nos cellules immunitaires d’attaquer», affirme-t-il en outre.
«C'est ce qu'on appelle une réponse immunitaire. Les vaccins à ARNm fournissent des instructions à notre système immunitaire pour qu'il fabrique des anticorps sans jamais avoir à risquer les conséquences graves de tomber malade avec le COVID-19 et de le transmettre à d'autres.
Ça sonne bien, non ? Ce n'est guère exact, cependant. Une étude de l'Institut Salk a révélé que cette protéine de pointe dite «inoffensive» est directement responsable des dommages vasculaires dont souffrent de nombreux patients vaccinés contre la grippe de Wuhan, entraînant des maladies telles que les accidents vasculaires cérébraux, les crises cardiaques, la migraine, les caillots sanguins et d'autres dommages.
«De manière critique, les quatre marques de vaccins covid actuellement largement utilisées injectent aux patients la protéine de pointe ou, via la technologie de l'ARNm, demandent au corps du patient de fabriquer des protéines de pointe et de les libérer dans son propre sang», prévient Mike Adams, le Health Ranger. .
«Cela inonde le corps du patient avec la protéine très épineuse que le Salk Institute a maintenant identifiée comme la cause des dommages vasculaires et des événements connexes (comme les caillots sanguins, qui tuent de nombreuses personnes qui prennent les vaccins).»
Vous pourriez souffrir d'une réaction allergique mortelle suite à une injection de virus chinois
Fait intéressant, le CDPH a également publié une «liste de contrôle pré-vaccination» qui semble contredire sa «fiche d'information». À la quatrième page de la barre latérale de la bulle, il est indiqué que les professionnels de la santé «devraient être familiarisés avec l'identification des réactions allergiques de type immédiat, y compris l'anaphylaxie» résultant de l'injection.
Il poursuit en expliquant que les professionnels de la santé devraient se familiariser avec la façon de traiter avec compétence les réactions allergiques «au moment de l'administration du vaccin» - ce qui signifie que les injections ne sont pas aussi sûres qu'on le prétend largement.
«Un traitement médical approprié pour les réactions allergiques sévères doit être immédiatement disponible en cas de réaction anaphylactique aiguë après l'administration d'un vaccin COVID-19», précise-t-il.
RépondreSupprimerTout cela renvoie directement aux protéines de pointe «inoffensives» qui, si elles ne provoquent pas la mort immédiatement par choc anaphylactique, finiront par déchirer le système vasculaire. Voilà pour être «inerte».
«En termes simples, cela signifie que les vaccins ont été conçus pour contenir l'élément même qui tue les gens», ajoute le Health Ranger.
«Le résultat de cette recherche est que les vaccins covid provoquent des maladies vasculaires et provoquent directement des blessures et des décès dus à des caillots sanguins et à d'autres réactions vasculaires. Tout cela est dû à la protéine de pointe qui est délibérément intégrée aux vaccins. "
L'article de Salk est le premier, en passant, à expliquer comment ces protéines de pointe impactent le corps en se liant aux récepteurs ACE2 (enzyme de conversion de l'angiotensine 2) et en inhibant le fonctionnement normal des mitochondries cellulaires.
La réponse de l’établissement à ces découvertes est d’affirmer que les «anticorps générés par la vaccination» protègent contre les dommages causés par les pics de protéines, ce qui en fait pas une menace. Mais l'Institut Salk n'est pas d'accord.
Chez certaines personnes, leur système immunitaire peut être suffisamment fort pour se protéger initialement contre les dommages immédiats et évidents aux protéines de pointe. Mais que se passe-t-il plus tard lorsqu'ils rencontrent d'autres maladies et que leur système immunitaire est compromis?
D'autres articles sur le sujet sont disponibles sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent:
Portal.CT.gov
NaturalNews.com
Portal.CT.gov
https://www.naturalnews.com/2021-05-19-health-departments-lying-covid-vaccine-vascular-reactions.html
(...) . Les lecteurs ont l'impression qu'il n'y a aucun risque de se faire piquer parce que la «science» dit que les injections sont sûres. (...)
SupprimerLes injections sont sûres qu'elles sont mortelles. Çà, on le sait.
L'étau de serrage ou l'élargissement du tourbillon de la révolution réveillée ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 19 MAI 2021-16: 40
Rédigé par Tom Luongo via Gold, Goats, blog 'n Guns,
Je m'attends à ce que la grande réinitialisation échoue. Complètement.
Je m'attends également à ce que la grande réinitialisation libère des forces chaotiques que personne ne peut contrôler.
Honnêtement, c'est déjà fait. Regardez autour des gros titres aujourd'hui et vous pouvez voir toutes les ficelles tirées par Klaus Schwab et le Forum économique mondial, mais vous pouvez également voir les événements incontrôlés qui se répercutent comme des conséquences.
Je pense que le petit conflit entre Israël et le Hamas, qui deviendra bientôt le Hezbollah, est admissible, tout comme les protestations croissantes contre les «passeports vaccinaux» contre un virus qui vient de remplacer la grippe dans ses effets réels.
Alistair Crooke l'a récemment souligné dans un article intitulé «Le cercle de resserrement de la politique de remplacement».
Une aile de cet 'oiseau' est évidente dans un monologue puissant et (controversé) prononcé par Tucker Carlson, un commentateur politique américain (conservateur) de premier plan, qui se consacre à expliquer pourquoi un parti américain importe un nouvel électorat à diluer, et remplacer, l'électorat américain actuel - et ce depuis des décennies. C'est l'impulsion dominante au sein de la politique américaine, affirme Carlson; C’est une «politique de remplacement».
La politique de remplacement n'a rien de nouveau. Obama a utilisé le ciblage par code postal pour inonder Minneapolis de Somaliens. Maintenant, ils sont représentés par un au Congrès tandis que la ville a été le point de départ de l'abdication de responsabilité par le gouvernement local sous la direction du WEF.
La politique de remplacement s'est également transformée assez rapidement, grâce à l'appâtage racial pendant les deux premiers mandats d'Obama, en un programme d'entreprise / gouvernement (ou je me répète) connu sous le nom de Révolution réveillée. La radicalisation de la vingtaine mal éduquée en un bloc noir portant des chemises brunes a toujours fait partie de ce plan.
Et plus l’administration Biden Obama pousse des politiques visant à rendre la vie aux États-Unis moins ordonnée, plus leurs rangs peuvent grossir quels que soient les souhaits des maîtres de marionnettes. Des choses comme celle-ci prennent une vie qui leur est propre. Telle est la politique de l'envie et de la haine.
RépondreSupprimerLes tueurs de remplacement
La politique de remplacement a été soigneusement nourrie avec de l'argent, de la formation et de l'organisation. Et les effets de celui-ci seront avec nous longtemps après qu'il se soit épuisé.
Il a également été poursuivi de manière agressive en Europe. Vous vous souvenez de Sainte Angela Merkel ?
Elle a entamé ce processus, sous les demandes de Schwab et George Soros, après qu'Obama et la secrétaire d'État d'alors Hillary Clinton ont fait exploser la Syrie et l'Afrique du Nord, surnommées étrangement le «printemps arabe» et des millions de personnes dans ces régions ont inondé l'Europe.
Depuis lors, Merkel a fait des va-et-vient, sa fortune politique en Allemagne va et vient en fonction de la façon dont elle réagit au changement des chiffres des sondages sur cette question même, l'immigration.
Si Trump n’était pas à la Maison Blanche, j’aurais presque cru que la Coronapocalypse nous aurait été imposée ne serait-ce que pour sauver la carrière politique de Merkel jusqu’aux élections au Bundestag de cette année, qui semblent maintenant que le parti vert de plus en plus néoconservateur gagnera.
C'est un résultat créé par les manipulations et les machinations du WEF et de leur servante dévouée Merkel, qui a utilisé les Verts pour définir la politique grâce à leur présence à travers le Bundesrat (Chambre haute allemande) depuis des années maintenant. Maintenant, ils sont susceptibles de devenir le parti dominant dans le prochain gouvernement allemand, si les sondages sont presque corrects.
La chose à essayer et à évaluer à ce stade est le degré de contrôle que Schwab and Co. a encore ? Parce que d’où je suis assis et que je regarde l’histoire, ces choses échappent toujours à tout contrôle. W.B. L'image de Yeats du «tourbillon qui s'élargit» dans son poème The Second Coming sonne juste ici et personne ne peut faire grand-chose pour contrôler le chaos une fois qu'il a commencé.
C’est ce qu’est le chaos, après tout, par définition.
Crooke souligne à juste titre que la révolution culturelle de Mao s’est rapidement éloignée de lui et est devenue un désordre absolu qui a finalement dû être réprimé. Il convient avec moi que le programme «fabuliste» de la Grande Réinitialisation, à la fois du point de vue de la politique intérieure et étrangère à travers l'Europe et les États-Unis, échouera.
Et cela échouera très probablement. Le stress imposé à la cohésion de la société américaine par le lancement de la révolution culturelle éveillée peut s'avérer trop important. La Révolution culturelle chinoise, lancée par Mao (dans le cadre de sa purge de 1966 des rivaux du Parti), s'est très rapidement transformée en un mouvement décentralisé et semi-chaotique de gardes rouges, d'étudiants et d'autres groupes qui partageaient des idées et des programmes, mais qui agissaient de manière assez indépendante de la direction centrale du Parti.
RépondreSupprimerVice d'Hollywood
Pour moi, la meilleure façon d'évaluer ce qui se passe et si nous avons atteint Peak Woke ou non est le divertissement. Les artistes sont les plus ouverts aux changements du paysage culturel. Les bons y arrivent les premiers, tandis que les propagandistes fulminent et cherchent à les empêcher d'avoir de l'influence. Les premiers indicateurs sont que le stress causé par le «réveil» oblige les grandes marques à changer rapidement de cap de peur de perdre leur audience.
Du point de vue de la guerre culturelle, Woke-a-Cola a dû revenir sur son entraînement «être moins blanc». Disney devait faire la même chose. Les deux ressentent le pincement dans leur résultat net. Le coca ne récupérera jamais. Disney le fera parce qu'ils n'ont pas complètement détruit Star Wars.
L'autre propriété majeure de Disney, Marvel Studios, est un gruau mince, culturellement et iconographiquement, et donc finalement sans importance. C'était toujours des beatniks, des hippies et un boomerisme spirituel effréné en quatre couleurs.
Star Wars est important pour la génération qui s'apprête à prendre le pouvoir politique des boomers de Schwab. C’est la raison pour laquelle l’anxiété suscitée par la reprise par Disney a été alimentée cyniquement par les grandes entreprises technologiques pour diviser la base de fans. Je n'ai rien mis au-delà de ces gens. Ils ont baisé avec le match des étoiles de la Major League Baseball par pitié. Vous ne pensez pas qu’ils ne chercheraient pas une pierre de touche culturelle pour une génération comme Star Wars ?
Avec deux bons gars qui ont de profondes capacités de narration qui dirigent désormais efficacement Lucasfilm, Dave Filoni et John Favreau, Star Wars retrouvera «la hauteur» de la guerre culturelle au cours de la prochaine décennie.
L'autre grand combat se déroule au sujet du panthéon des héros de DC. Il y a une telle division interne au sein de Time-Warner sur la direction de l'univers cinématographique de DC Comics que Warner Bros. et Warner Media mènent littéralement une guerre civile dans la presse professionnelle. Cela fait partie de ce qui motive la fusion actuelle de 43 milliards de dollars entre AT&T et Discovery, qui divisera tout le gâchis, y compris CNN et HBO, ce qui en fera une société de médias purs sous la direction de Jason Kilar, qui a donné le feu vert à The Snyder Cut of Justice League en premier lieu .
C’est à quel point les dirigeants de Warner Bros. détestent Zack Synder et le message de base de ses films DCEU. Le chaos est mauvais, les hommes doivent être forts et s'unir contre des fous irrémédiables.
La direction est furieuse face au succès fulgurant, à travers le monde, de sa version de 2017 Justice League. C’est magnifique, au fait. Ce film a touché un nerf profond avec beaucoup de gens, notamment en Chine (330 millions de vues les 7 premiers jours), et dont la sortie, en soi, ressemble à un point d'inflexion. Les films DC de Snyder ne sont pas réveillés, ils sont archétypaux. Plus cette histoire sur la façon dont les dirigeants de Waner Bros baisent Snyder sort, plus elle les cherche et plus les fans ont d'élan pour obtenir les histoires qu'ils veulent, pas les histoires que les pouvoirs veulent leur donner.
RépondreSupprimerLes icônes de DC sont, comme Star Wars, une véritable mythologie et les hacks réveillés sans âme (je dirais simplement «commie») qui dirigent Warner Bros. n'ont jamais su quoi en faire parce que les bonnes histoires ne correspondent pas à l'agenda politique de remplacement. Hollywood est envahi par l'influence chinoise qui cherche à démolir nos mythologies et les réactions négatives contre cela alors que les gens ont commencé à exiger quelque chose de mieux. Mais le rejet des Oscars, l'annulation des Golden Globes et le rejet du back-slapping narcissique d'Hollywood vous indiquent à eux seuls où cela va.
Nous en sommes aux premiers jours, mais surveillez attentivement ces développements. Dans le domaine de la guerre culturelle, le timing est primordial. Peut-être que 2017 n'était pas le bon moment pour la Justice League de Snyder, mais 2021 était évidemment juste. Tout comme 2017 n'était pas le bon moment pour publier The Last Jedi pour les fans anxieux de Star Wars.
Serrage qualitatif
Ce qui me ramène à l'étau de serrage / au tourbillon d'élargissement de la politique de remplacement. Parce qu'aujourd'hui il n'y a pas de retour de ce que Schwab et.al. ont déchaîné. BLM et Antifa ont donné lieu à la guerre raciale même contre laquelle ils disaient se battre. La violence des Noirs sur «XXX» augmente de manière horrible et lorsque le bus de la guerre de la culture revient dans l'autre sens, tout le monde sera écrasé - BLM et, malheureusement, les Noirs qui ne l'ont pas soutenu.
Dans tout mouvement à possession idéologique, il n'y a pas de test de pureté trop strict pour éliminer les non-engagés. Les tests de pureté sont eux-mêmes des gyres d'intolérance croissante. C'est ce que Mao a appris à la dure.
Pour moi, Schwab et sa foule de Davos réalisent maintenant qu'ils sont sortis de l'ombre trop tôt et sont en mode de contrôle des dégâts. Mais leurs chemises brunes les allumeront aussi. Ils ressentent ce changement alors que les situations politiques à travers l'Europe deviennent laides dans des endroits comme la France, où ils n'ont pas de réponse à l'échec du président Macron et des chefs militaires français, malgré les néo-conservateurs foudroyants au contraire, étant des hommes d'honneur fiers et capables qui ont gagné. T'a pas mis ça trop longtemps.
Alors même que Davos essaie de conserver le pouvoir qu’ils ont conçu pour leur programme insensé sur le changement climatique, le cœur de leur programme éveillé déborde et se détourne d’eux. Il y a cependant une inertie politique, que nous ne surmonterons pas facilement et cela prépare le terrain pour le chaos de la prochaine décennie.
RépondreSupprimerAinsi, aujourd'hui, Bill Gates est jeté aux requins #MeToo en espérant que cela satisfera notre vengeance sur les vaccins qui rendent les gens malades et n'arrêtent pas le COVID. Demain, ce sera le Dr Anthony Fauci pour avoir dissimulé les origines du COVID-19.
La Révolution réveillée activera l'AOC aussi rapidement qu'elle allumera Bernie Sanders et Nancy Pelosi. Donnez-lui une autre année de violence BLM / Antifa sur quiconque n'est pas eux et ce seront eux qui prendront d'assaut le Capitole et ils ne resteront pas debout pour prendre des photos et marcher dans les zones encordées comme les terroristes domestiques de Trump l'ont fait le 6 janvier.
Libérer le chaos et croire que vous pouvez le contrôler est le summum de l'orgueil. Mais ceux que les dieux cherchent à détruire en premier les rendent fous.
Un thème qui joue très bien dans la représentation de Lex Luthor par Snyder dans Batman v. Superman - Dawn of Justice injustement décrié. Un film saboté par son propre studio pour des raisons politiques et philosophiques sous une direction irréprochable.
Un peu comme les États-Unis et l'Europe d'aujourd'hui, n'est-ce pas ?
Mais, plus important encore, c’est aussi un film qui nous montre clairement ce qui se passera quand un fou comme Schwab est contrecarré, lorsque son plan soigneusement conçu s’effondre parce qu’au moment de la folie, nous nous souvenons de notre humanité commune.
Il déchaîne Doomsday, en disant: «Si l'homme ne peut pas tuer Dieu, alors le diable le fera !»
C’est ce que je crains le plus, le refus d’hommes comme Schwab de se rendre compte qu’ils ont perdu une guerre et qu’ils en ont attisé une autre, transformant le nœud coulant de la politique de remplacement en un tourbillon intentionnel qui consume tout le monde. Il est clair pour moi depuis plus d'un an que peu importe ce qui se passe aux États-Unis politiquement au cours des deux prochaines années, un US plus faible signifie un monde où les vieilles inimitiés sont lâchées, les pulsions les plus sombres de l'humanité encouragées et il n'y a pas assez de gens disposés. pour éteindre les incendies.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/tightening-noose-or-widening-gyre-woke-revolution
Comme je l'avais précédemment décrit, le triangle équilatéral de 45 km de côté où se tenaient côte-à-côte 7 milliards d'habitants face au nano-groupuscule de dictateurs dans un coin, ils ne gagnent qu'avec des armes (tous les jours plus sophistiquées que les précédentes). Ils ne peuvent RIEN face aux 7 milliards de cerveaux différents que peuplent la Terre et, se retournent vers les 'I.A.' pour tenter de les remplacer !!
SupprimerJusqu'au transhumanistes qui seraient - d'après eux - des modules interchangeables et obéissables au doigt et à l'oeil !! Mais là où ils se trompent est que ces 'humains-robotisés' inoculés de la formule nouvelle de l'expérimentation au devenir d'extra-générationnels ne peut que disparaître face à l'EMP !
L'être humain est tout électrique, sans elle il n'est rien. Rien sans elle (comme les plantes). Comme le disait Bourvil dans "Les grandes gueules" Sans amour il n'y a pas de couple", (alors, avec 7 milliards...).
Mais la 'boite de Pandore' est ouverte ! les inoculés sont formés à expirer/répandre le poison du (faux)'vaccin sur toute la Terre !!
Le NWO table-rase ?
Pourquoi faut-il soutenir le nucléaire ?
RépondreSupprimerLe nucléaire est la source d’énergie durable, la plus efficace, la plus propre pour produire massivement l’électricité nécessaire à l’économie.
20 MAI 2021
Par Michel Gay.
Parce que le nucléaire est la source d’énergie durable (plusieurs milliers d’années) et pilotable la plus efficace, la plus propre, la moins émettrice de gaz carbonique (6 g gaz carbonique/kWh) et la moins chère pour produire massivement l’électricité (et aussi la chaleur) nécessaire à l’économie actuelle et future d’un pays moderne comme la France.
Cette électricité est ensuite à l’origine d’une grande partie de l’activité économique : industrie, transport ferroviaire, chauffage, éclairage, informatique…
UNE TRANSITION ÉNERGÉTIQUE CATASTROPHIQUE
La richesse de la France et de l’Europe est amputée depuis 15 ans par les choix énergétiques désastreux des gouvernements successifs et des élus influencés par des écologistes antinucléaires.
Des décisions délirantes conduisent à limiter ou à vouloir supprimer la production électronucléaire pour développer les énergies renouvelables intermittentes (EnRI), surtout l’éolien et le photovoltaïque (PV) qui sont ruineux et fatals.
Ces EnRI ne peuvent donc alimenter aucun Français en permanence selon son besoin, contrairement aux allégations mensongères des promoteurs relayées par la presse. Elles nécessitent d’autres moyens pilotables de productions coûteuses en parallèle (gaz ou… nucléaire) pour pallier leur intermittence ou leurs variations aléatoires.
L’énergie, c’est la vie. La production d’énergie est à la source de toute transformation et de création de richesse. La croissance du produit intérieur brut (PIB) d’un pays, quelle que soit son efficacité énergétique est directement liée à sa consommation d’énergie.
AVEC LE NUCLÉAIRE, ACCROÎTRE LA RICHESSE D’UN PAYS
RépondreSupprimerPour cela, il n’existe que trois solutions :
Produire de la richesse (industrie, services, tourisme…). Un peuple peut être très sobre, mais sans production il restera pauvre.
Éviter de gaspiller cette richesse produite (efficacité, rationalisation…). Il est difficile de remplir une baignoire quand l’eau s’écoule par la bonde ouverte.
Faire cohabiter intelligemment les deux premières manières. L’objectif est de profiter d’autant de richesses en travaillant moins. Produire au juste besoin de suffisance en évitant les gaspillages peut permettre de vivre bien et même d’accéder au bonheur !
GRÂCE AU NUCLÉAIRE, DIMINUER LA FACTURE ÉNERGÉTIQUE DE LA FRANCE
La facture annuelle énergétique moyenne de la France (payée à l’étranger) est de l’ordre du montant de son déficit extérieur, soit environ 70 milliards d’euros par an.
Les achats de 80 millions de tonnes équivalent pétrole (Mtep) de pétrole pour 55 milliards d’euros par an, de 38 Mtep de gaz (13,5 milliards/an), et de 10 Mtep de charbon (2,5 milliards/an) grèvent les finances publiques et appauvrissent les Français.
En revanche, toute l’électricité consommée par les Français est produite en France principalement à l’aide :
du nucléaire (75 %) dont la production d’énergie (110 Mtep) nécessite l’importation de moins de un milliard par an d’uranium,
des barrages pour environ 10 %.
Ces deux moyens pilotables et non fatals comme l’éolien et le solaire évitent ainsi actuellement l’achat à l’étranger de 20 à 30 milliards par an de combustibles fossiles (gaz et charbon) pour produire de l’électricité.
Le pétrole principalement utilisé dans le transport (50 Mtep pour 31 millions de véhicules) sera difficilement remplaçable.
À long terme, pour alimenter le transport en l’absence de pétrole et de gaz naturel importés, il ne reste que l’électricité produite massivement et à bon marché par le nucléaire (régulé par les barrages). Mais, sauf à électrifier les autoroutes et les routes, cette succession sera difficile car l’électricité se stocke peu ou mal dans des véhicules.
Le nucléaire est donc la seule source durable d’énergie propre de production massive d’électricité (et de chaleur) au moindre coût pour répondre aux besoins des Français et des Européens dans une économie moderne pour les années à venir et pour les prochains siècles.
https://www.contrepoints.org/2021/05/20/397824-pourquoi-faut-il-soutenir-le-nucleaire
Un cristal qui défie les lois physiques découvert sur le site du premier test nucléaire
RépondreSupprimer10:29 20.05.2021
Baptisé Trinity, le premier essai d’une arme nucléaire de l'histoire, en juillet 1945 au Nouveau-Mexique, a donné naissance à un quasi-cristal aux propriétés surprenantes. Découvert 76 ans plus tard, c’est le plus ancien quasi-cristal d’origine anthropique actuellement connu.
Une équipe de géologues italiens et américains a découvert sur le site du premier essai d’une arme nucléaire, au Nouveau-Mexique, un quasi-cristal icosaédrique d'une composition jusqu'ici inconnue, indique une étude publiée dans la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences.
Réalisée dans le cadre de l’essai Trinity le 16 juillet 1945, la détonation de la bombe à implosion Gadget a dégagé une énergie d'environ 21 kilotonnes de TNT, provoquant la fusion du sable environnant, de la tour d'essai et des lignes de transmission en un minéral appelé «trinitite». C’est dans un échantillon de ce minéral rouge que les chercheurs ont découvert ce quasi-cristal dont la composition est Si61Cu30Ca7Fe2.
D’après eux, il s’agit «du plus ancien quasi-cristal anthropique existant actuellement connu» dont «le moment précis de création est gravé de manière indélébile dans l'histoire». Ils soulignent que l’explosion de la bombe a entraîné une température et une pression extrêmes, comme dans le cas de la météorite de Khatyrka, retrouvée en 2011 dans l'est de la Sibérie, dont la chute a été à l’origine de la formation des seuls quasi-cristaux d'origine non anthropique jamais connus.
Une découverte surprenante
L’auteur principal de l’étude, Luca Bindi, de l'université de Florence, a expliqué au portail Invers qu’il s’agissait d’«une découverte surprenante», car elle défie d’une certaine façon des lois de la cristallographie.
Il rappelle que les solides comme le quartz, le sel ou les diamants se forment selon des lois assez strictes, car ils demandent une organisation des atomes en treillis symétrique comme, par exemple, les carreaux du carrelage d’une salle de bain. Les cristaux sont donc «autorisés» à posséder des axes de symétrie d’ordre 1, 2, 3, 4 et 6. À l’inverse, les axes de symétrie d’ordre 5, 7, 8 ou plus sont «strictement interdits», poursuit M.Bindi. Et c’est exactement le type de structure que présente le nouveau quasi-cristal retrouvé sur le site de l’essai Trinity. «La symétrie icosaédrique, qui comprend six axes indépendants de symétrie d’ordre 5, est super-interdite», conclut Bindi.
Le Pentagone a constitué des Forces spéciales secrètes dix fois plus puissantes que celles de la CIA
RépondreSupprimervoltairenet.org
mer., 19 mai 2021 16:05 UTC
Le journaliste William Arkin, expert incontesté des secrétariats à la Défense et à la Sécurité de la Patrie, a publié une longue enquête sur le site internet de Newsweek1. Il révèle l'existence de Forces spéciales secrètes de 60 000 hommes au sein des armées US.
Ceux-ci n'apparaissent pas dans les organigrammes de secrétariat à la Défense, mais comme des sous-traitants de 120 compagnies différentes. Ils peuvent intervenir à tout moment, n'importe où dans le monde, voire aux États-Unis, en uniforme ou en civil.
Les agents du Pentagone disposent de moyens sophistiqués pour changer leur visage et leurs empreintes digitales de manière à passer au travers des systèmes d'identification biométriques.
La Convention de Genève ne reconnait pas la qualité de soldats à des personnels agissant sans uniforme ou masquant leur identité.
Ce programme, connu sous le terme de « Réduction de signature », a été constitué en 2013 et est ignoré par les membres du Congrès.
Note :
1. "Exclusive : Inside the Military's Secret Undercover Army", William M. Arkin, Newsweek, May 17, 2021.
https://fr.sott.net/article/37303-Le-Pentagone-a-constitue-des-Forces-speciales-secretes-dix-fois-plus-puissantes-que-celles-de-la-CIA
Petite expérience de physique à l’usage des climato-réalistes
RépondreSupprimerle 20 mai 2021
Je vais deux fois par mois reconstituer mon stock d’excellentes parts de tarte fabriquées par le meilleur pâtissier de Tenerife, le meilleur car il a appris son métier en France. Je congèle ces tartes puisque j’en achète une dizaine de parts au même moment. La photo ci-dessous est celle d’une part de ces tartes que je préfère. Sur un fond de pâte brisée est déposée une couche de de frangipane dans laquelle sont inclus des raisins secs qui ont macéré au préalable dans ce que je crois être du Porto ou un autre vin d’Andalousie. En surface se trouve une couche de pâte d’amende caramélisée recouverte enfin de sucre glace. C’était pour vous mettre en appétit.
J’ai réalisé cette expérience très simple en deux étapes. Comme indiqué sur la photo la part de tarte est posé sur une fourchette à dessert et elle n’est pas en contact avec l’assiette. J’ai constaté que le fond de l’assiette se refroidissait très sérieusement. J’en ai déduit que de l’air entourant la part de tarte se refroidissait et tombait alors littéralement vers le fond de l’assiette dans un mouvement de convection. Mais je n’étais pas satisfait de cette première observation que je ne pouvais pas quantifier à moins de disposer d’un appareil de photo infra-rouge.
- voir photo sur site -
J’ai réalisé la même phase de décongélation quelques jours plus tard d’une autre part de tarte identique en prenant cette fois la précaution de recouvrir la fourchette et l’assiette d’un film alimentaire en polyéthylène dans le but d’éliminer toute convection de l’air entourant la part de tarte qui en se refroidissant tout en réchauffant la tarte n’irait pas ensuite refroidir l’assiette. Et surprise, mais je m’y attendais un peu, le fond de l’assiette s’est également refroidi tout autant que s’il n’y avait pas eu ce film plastique. Que s’est-il passé ? La part de tarte se trouvait à la température de – 20°C et la température de l’assiette à + 25°C. Parler de thermies, de frigories n’a aucun sens puisque l’assiette est isolée par le film alimentaire et qu’il n’y a plus de convection ou de conduction directe pouvant favoriser un transfert de « froid » de la part de tarte vers l’assiette plus chaude. En réalité la part de tarte est un puits de photons infra-rouges émis par l’assiette. Certes la part de tarte émet des photons infra-rouges mais ils sont beaucoup moins énergétiques que ceux émis par l’assiette, la différence de température étant de 45°C au début de cette petite expérience. Ceux de mes lecteurs familiers de la loi de Stefan-Boltzmann trouveront que la différence de longueur d’onde entre les photons émis par le fond de l’assiette et ceux émis par la part de tarte est de 0,166 micromètres.
C’est peu me direz-vous mais savez-vous combien de photons infra-rouge votre corps émet chaque seconde ? Un adulte émet chaque seconde 45 milliards de milliards de photons de longueur d’onde d’environ 9,70 microns. Et pour l’assiette située sous la tarte il en est de même à une petite différence près : l’assiette ne consomme pas d’énergie pour maintenir sa température constante comme nous le faisons à chaque instant, donc nécessairement l’assiette se refroidit : elle perd de l’énergie en émettant des photons et elle en émet d’autant plus que ces photons sont littéralement piégés par la tarte.
RépondreSupprimerIl en est de même entre la surface de la Terre et les couches élevées de l’atmosphère malgré le fait que les échanges sont compliqués par des phénomènes de convection puissants et l’intervention de la vapeur d’eau qui introduit un facteur supplémentaire de transfert de chaleur. Cette petite expérience observationnelle prouve qu’il ne peut pas exister de transfert d’énergie sous quelque forme que ce soit d’un corps froid vers un corps chaud. C’est pourtant ce qu’avance la théorie de l’effet de serre du gaz carbonique. Pour les curieux tous les calculs figurant dans ce billet sont déduits de la loi de Wien ( https://en.wikipedia.org/wiki/Wien%27s_displacement_law ). Je tiens à remercier Valentine, étudiante en classe préparatoire aux grandes écoles d’ingénieurs, qui a effectué les calculs pour son vieux grand-père.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/05/20/petite-experience-de-physique-a-lusage-des-climato-realistes/
Politifact admet tranquillement que l'évasion du laboratoire COVID-19 n'est pas une 'théorie du complot démystifiée'
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 20 MAI 2021-09: 07
En janvier dernier, lorsque la Chine et l'Organisation mondiale de la santé (OMS) effectuaient un contrôle des dommages pour Pékin sur un nouveau coronavirus mystérieux qui a éclaté dans la même ville que leur laboratoire secret de coronavirus de chauve-souris (avec qui, à l'insu de la plupart à l'époque, un Fauci - une ONG financée appelée EcoHealth Alliance travaillait), quiconque suggérait logiquement un lien entre le laboratoire secret et la nouvelle maladie était immédiatement puni par les géants de la technologie de la Silicon Valley qui protégeaient la Chine de ceux qui osaient spéculer sur la base de très. évident. des indices.
Twitter a suspendu Zero Hedge après qu'un journaliste de BuzzFeed (plus tard licencié pour plagiat) nous ait accusés de 'doxxing un scientifique chinois qu'il a faussement accusé de créer un coronavirus' (avec des informations accessibles au public). Cinq mois plus tard, Twitter a restauré notre compte après une pression croissante du public - affirmant qu'ils avaient "commis une erreur".
Facebook a interdit nos articles - et a contrôlé la 'désinformation' du COVID sur la base du mot de soi-disant "vérificateurs de faits" qui ont insisté sur le fait que la nouvelle maladie n'aurait pas pu échapper à l'Institut de virologie de Wuhan, et doit avoir émergé via encore-à -être découvert des intermédiaires animaux entre les chauves-souris et les humains. Bien sûr, l'un des "fact checkers" de Facebook travaillait au laboratoire de Wuhan.
- voir doc sur site -
Ancienne employée du laboratoire de Wuhan et vérificateur des faits sur Facebook, Danielle Anderson, qui a collaboré neuf fois avec le chercheur chauve-souris, Peng Zhou
Et puis il y a Politifact, qui a écrit ce gros titre dans un "fact check" de septembre 2020:
"Les invités de Tucker Carlson ont démenti la théorie du complot selon laquelle COVID-19 a été créé dans un laboratoire."
- voir doc sur site -
Aujourd'hui, presque exactement un an et un président plus tard, Politifact a publié une «correction» majeure. et «archivé» la vérification des faits.
"Lorsque cette vérification des faits a été publiée pour la première fois en septembre 2020, les sources de PolitiFact ont conclu que les chercheurs affirmant que le virus SARS-CoV-2 n'aurait pas pu être manipulé. Cette affirmation est maintenant plus largement contestée."
- voir doc sur site -
RépondreSupprimerAlors que les défenseurs de Politifact soutiennent que le 'vérificateur de faits' se tient simplement responsable - ils ont décrété que la théorie de l'évasion de laboratoire devait être 'démystifiée' - comme cela s'est avéré faux - en même temps que l'ancien président Trump - et que les informations d'identification des individus sont égales ou meilleures à leur les «sources» disaient le contraire.
https://www.zerohedge.com/covid-19/politifact-quietly-admits-covid-19-lab-escape-not-debunked-conspiracy-theory
C'est pourquoi aussi les clips de la virologue chinoise Li-Meng Yan ont été censurés alors qu'elle avait raison.
SupprimerCas de Covid tombant dans les régions de l'Inde qui ont approuvé l'utilisation de l'ivermectine
RépondreSupprimerMay 20th, 2021 |
Les choses changent en Inde - à partir de quelques jours après l'augmentation de l'utilisation de l'ivermectine.
Mais où sont les médias ? Qui rapporte que le revirement dans certains États de l'Inde a commencé quelques semaines après l'utilisation accrue de l'ivermectine - le médicament vieux de 50 centimes qui a été utilisé pour 3,7 milliards d'ordonnances dans le monde, donné aux enfants pour traiter les poux, la gale et les vers et est utilisé à la tonne dans les élevages bovins et ovins.
Hallalujah ? Ou lisez et pleurez - quelle proportion de la terrible débâcle aurait pu être arrêtée avant même qu'elle ne commence ?
- voir graphique sur site -
L'ivermectine recommence en Inde (gris foncé ombré) @jjchamie
Le 20 avril, New Dehli, les AIIM ont recommandé que l'ivermectine soit ajoutée au programme de soins à domicile. Ainsi, les personnes testées pourraient commencer un traitement précoce.
Les cas ont commencé à ralentir presque immédiatement.
Cas de Covid à New Dehli. Inde.
- voir graphique sur site -
Le 10 mai, le ministre de la Santé de Goa a recommandé l'utilisation de l'ivermectine à Goa. En effet, il l'a offert à l'ensemble de la population adulte.
Le lendemain, l'OMS, très utilement, a mis en garde contre l'utilisation de l'ivermectine en Inde.
- voir graphique sur site -
Goa, Inde. Cas de Covid, après l'introduction de l'ivermectine.
- voir graphique sur site -
Par Justus R. Hope, MD, Desert Review
Trois semaines à peine après avoir ajouté l'ivermectine, Delhi sort désormais l'Inde de la deuxième vague meurtrière de la pandémie COVID. Les cas qui avaient culminé à 28 395 le 20 avril ont chuté de près de 80 % à seulement 6 430 le 15 mai. Les décès ont atteint un sommet le 4 mai, et maintenant ils sont également en baisse de 25 %.
Pendant ce temps, trois autres États indiens ont suivi l'exemple de Goa en ajoutant l'ivermectine: l'Uttarkhand, le Karnataka et l'Uttar Pradesh. Et, comme prévu, ils ont également constaté une baisse des nouveaux cas quotidiens, l'Uttar Pradesh ayant baissé de près de 75 % par rapport à un sommet de 37944 quatre jours seulement après avoir commencé à suivre les directives de l'AIIMS du 20 avril à seulement 10505 le 16 mai.
Malheureusement, le Tamil Nadu va dans l'autre sens, ils ont utilisé l'ivermectine pendant trois jours, puis l'ont arrêté et ont acheté Remdesivir à la place (un médicament de Gilead qui coûte environ 3000 $ par patient). Pourtant, il est pratique d'avoir un groupe témoin.
Dommage que les habitants du Tamil Nadu fassent partie de l'expérience. Difficile de croire que le ministre en chef de Goa est M K Staline.
Cas de Covid au Tamil Nadu, graphique.
- voir graphique sur site -
Justus R. Hope:
RépondreSupprimerVingt mille doses de Remdesivir coûtent 60 millions de dollars, tandis que 20 000 doses d'ivermectine vont pour quelques centaines. Où un pays en développement obtient-il les 60 millions de dollars par jour pour acheter le Remdesivir ? Pourquoi leur chef jette-t-il un médicament bon marché, l'ivermectine, qui a sauvé des vies dans d'autres pays ?
L'Inde a commencé à utiliser l'ivermectine le 8 août 2020 au plus fort de la première vague. Il n’est pas facile de savoir quand ou si l’utilisation de l’ivermectine a ralenti ou s’est arrêtée. En effet, il est étrangement difficile de trouver quoi que ce soit sur la plupart des moteurs de recherche en dehors des vérifications de faits qui mettent en garde contre l'utilisation de l'ivermectine.
Il y a des allégations selon lesquelles l'utilisation de la drogue a stagné en janvier, mais très peu de confirmation officielle.
Vagues de Covid en Inde
Sur Twitter
Les médias pourraient-ils se tromper davantage sur la situation ?
Le 28 avril, au pic des nouveaux cas en Inde, les génies de Business Insider ont déclaré que c'était la tempête parfaite pour l'Inde et ont blâmé, entre autres, la lenteur du déploiement du vaccin. Des experts sans nom ont même blâmé l'ivermectine.
Les experts ont déclaré que certains médecins en Inde avaient - que ce soit par manque de formation ou par désespoir - essayé d'administrer des médicaments qui n'agissent pas contre le virus, comme l'ivermectine, une prescription utilisée pour traiter les infections parasitaires.
«J’ai entendu des histoires de personnes se faisant prescrire trois, quatre, cinq, six médicaments, des médicaments qui ne se sont pas avérés efficaces du tout», a déclaré Kuppalli. «Je pense que les gens cherchent juste des pailles et cela ne fait qu'ajouter au chaos et à l'anxiété.»
Le message d'un médecin en Inde:
- voir graphique sur site -
Rapport de médecins d'Inde
Sur Twitter
Au Pérou, l'ivermectine a réduit les décès de covidus de 75 % en 6 semaines: bon marché, sûr et assez ignoré
L'ivermectine est un médicament si utile que les premiers chercheurs ont obtenu un prix Nobel de médecine pour y travailler. Il est si bien connu qu’au cours des trente dernières années, plus de 3,7 milliards de doses d’ivermectine ont été administrées. C'est tellement sûr que nous pouvons l'utiliser sur les chats et les chiens et même les tout-petits. Il est bon marché et son utilisation dans la science agricole se mesure en tonnes. Le coût de l'ivermectine est d'environ 15c dans le tiers monde et 50 $ pour un tour pour un humain à New York. (C'est beaucoup moins cher qu'un lit de soins intensifs de 5 000 $ par jour.)
RÉFÉRENCE
Paul E Alexander, Robin Armstrong, George Fareed, Kulvinder, K. Gill, John Lotus, Ramin Oskoui, Chad Prodromos, Harvey A. Risch, Howard C Tenenbaum, Craig M. Wax, Peter A. McCullough (2021) Early Multidrug Outpatient Treatment de l'infection par le SRAS-CoV-2 (COVID-19) et la réduction de la mortalité chez les résidents des foyers de soins, doi: https://doi.org/10.1101/2021.01.28.21250706
https://joannenova.com.au/2021/05/cases-down-in-the-parts-of-india-that-approved-ivermectin-use/#more-77662
Pass sanitaire, pass totalitaire. Ils préparent leur guerre
RépondreSupprimerClaude Janvier
Les7duQuébec
jeu., 20 mai 2021 14:32 UTC
À la question : est-ce que le passeport vaccinal ou le pass sanitaire est une mesure liberticide? La réponse est oui. D'une part, parce que le flicage est devenu de plus en plus prépondérant, faisant parti de la vie quotidienne que tout un chacun subit tous les jours et d'autre part, parce que les libertés ne sont plus des droits naturels. Elles sont totalement conditionnées par une surveillance toujours plus active.
Radars, caméras dans les rues, GPS, géolocalisation, traçage, flicage et censure des réseaux sociaux, il ne manquait que le pass sanitaire pour anéantir le peu d'individualité qui existait encore.
Avec la puce que l'on va bientôt nous inoculer sous la peau, la chape de plomb va bientôt se refermer, et quand toutes nos possibilités de choix auront disparu, nous ne serons plus libres du tout. Bienvenu dans le monde docile du 21e siècle. Malraux avait dit que ce siècle serait spirituel ou pas. C'est assurément le contraire, et l'on pourrait définir ce siècle comme étant celui de la « stupidité servile ».
Les raisons d'un pass sanitaire ne sont pas liées à la santé. L'âge moyen des décès par la Covid-19 est de 82 ans, l'âge médian étant de 85 ans. La surmortalité due à la Covid-19 est négligeable pour les personnes de moins de 65 ans. La vérité est donc ailleurs. Contrepoints 9 mars 2021 : Pourquoi il faut s'opposer à un Pass sanitaire?
Suite à l'envoi de ma lettre contre le vote du passeport sanitaire à l'ensemble des sénateurs, un des élus m'a fait remarquer et je le cite :
« ... Que les cas d'utilisation de cette attestation sanitaire seront concentrés sur les plus grands rassemblements, certainement au-dessus de 1000 personnes... N'apparaîtront sur ce document que les noms, prénoms, dates de naissances, résultats du test ou certificat de vaccination et la date et l'heure de cet acte... Aucune information d'ordre personnel autre que celles-ci ne seront ainsi consultables... Il convient d'ajouter à ce tableau l'accord conclu entre les États de l'Union européenne pour qu'un pass analogue permette les déplacements des Européens dans les divers lieux de l'Union. Cet accord, qui a été soumis à des conditions strictes de protection des données personnelles, représente évidemment un progrès dans la sortie de crise qui répond aux divers motifs de déplacement et il démontre l'utilité de ce dispositif élargissant les libertés concrètes de tous... »
Pour vos voyages futurs dans le monde, à part utiliser votre « jet personnel » et emprunter la sortie VIP sans contrôles des aéroports, ce n'est pas gagné. À n'en pas douter, ce pass sanitaire sera plus tard, appliqué aux rassemblements de plus de 6 personnes. Quant à la sécurité de vos informations personnelles, elles sont déjà, via votre carte vitale, dans la banque de données d'une société privée.
Elise Lucet, « Cash Investigation », jeudi 20 mai France 2 : extraits :
« ... L'enquêtrice est tombée sur cette autorisation de la CNIL qui a été donnée à une société privée qui est juste le leader mondial des data de santé dans le monde qui s'appelle IQVIA*... Donc IQVIA a eu l'autorisation de passer un partenariat avec les pharmacies ce qui fait qu'à chaque fois que vous présentez votre carte vitale dans une pharmacie, toutes les données de ce que vous achetez médicaments ou parapharmacie, absolument tout, va dans un logiciel... »
RépondreSupprimer« ... Des informations qui sont transmises sans aucun consentement, donc illégalement... Normalement, on devrait absolument vous prévenir et demander votre consentement, c'est obligatoire. Le consentement explicite, c'est dans la loi, on doit vous le demander. Or moi, j'ai fait le test, on a fait le test dans 200 pharmacies... Petite précision : ils vous disent que ces données de santé sont « anonymisées », c'est-à-dire qu'il n'y a plus le nom et le prénom. Le problème, c'est que dans l'enquête de Cash investigation, on prouve que cette anonymisation par le nom et le prénom, c'est faux ».
Plus besoin de pousser plus avant la démonstration. Le vote de ce « Pass sanitaire » est un pas de plus vers le fond de l'abîme « démocratique ».
Ceux qui ont voté « pour » auront sur la conscience les répercussions sur les générations futures.
Claude Janvier
Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président« . IS édition. www.is-edition.com
* IQVIA est un leader mondial dans l'utilisation des données, de la technologie, de l'analyse avancée et de l'expertise humaine pour aider les entreprises des sciences de la vie à faire progresser les soins de santé et la santé humaine. But : Contribuer à mettre en place un système de santé plus moderne, plus efficace et plus efficient.
https://fr.sott.net/article/37314-Pass-sanitaire-pass-totalitaire-Ils-preparent-leur-guerre
Dès lors que nous respirons toutes & tous AVEC ou SANS masque 200 000 virus ou microbes par minute (et 2 millions en activité physique) l'on expire aussi des virus QUI NE SONT PAS ÉTEINTS, (car un virus n'est PAS un vivant mais une poussière métallique chargée), d'où le saisissement par les autorités dictatoriales que les virus expirés viennent DE VOUS (sans que vous les ayez fabriqué) et donc: c'est vous qui êtes condamné pour avoir osé respiré de l'air !
SupprimerC'est EXACTEMENT cela qui se passe aujourd'hui !! Ne nous y trompons pas ! Nous les respirons par milliards depuis ce matin, trains de milliards depuis notre naissance et super trains de milliards de virus depuis nos premiers ancêtres ! (qui n'en sont pas morts puisqu'on est là !).
Il ne faut donc pas voir dans le virus (la peste et le choléra ne sont PAS des virus mais des microbes ! C-à-dire des bactéries phages qui seraient venues des rats et non du magma de notre Terre !) quelque chose qui va vous dévorer par l'intérieur. Un virus a une charge électrique puissante qui va endommager les cellules de proximité, mais, notre organisme s'en défend ! C'est pour çà que depuis notre naissance nous en avons respiré des milliards de milliards de trains de milliards de virus... sans que l'on en soit mort !!
Les virus (poussières) ne sont PAS à confondre avec les microbes injectés actuellement en expérimentations sur des cobayes faibles d'esprit qui vont modifier leur ADN pour en faire des monstres ! Ces nouveaux pestiférés sont donc TRÈS dangereux !
Les ARNm vaccinaux atteignent de nombreux organes et passent la barrière hémato-encéphalique — Quels sont les risques d'une future méga épidémie ?
RépondreSupprimerÉquipe scientifique de Reinfocovid
Sott.net
jeu., 20 mai 2021 12:57 UTC
L'INSERM, se veut rassurant sur la possibilité d'intégration de l'ARNm vaccinal dans le génome humain, considérant que l'ARN vaccinal ne peut pas atteindre les organes reproducteurs (testicules & ovaires). Pourtant, les AMM conditionnelles des « vaccins » Pfizer/BioNTech et Moderna montrent le contraire.
Dans un article intitulé : « Les vaccins à ARNm susceptibles de modifier notre génome, vraiment ? », l'INSERM, se veut rassurant sur la possibilité d'intégration de l'ARNm vaccinal dans le génome humain, considérant que l'ARN vaccinal ne peut pas atteindre les organes reproducteurs ou gonades comme il l'affirme dans l'extrait retranscrit ci-dessous :
Malheureusement, les AMM conditionnelles des « vaccins » Pfizer/BioNTech et Moderna sont en totale opposition avec cette position de l'INSERM.
Les ARNm vaccinaux se distribuent dans une grande variété d'organes, dont les organes reproducteurs ou gonades.
Dans l'autorisation de mise sur le marché des « vaccins » Pfizer/BioNTech et Moderna, il existe un paragraphe dédié à l'étude de biodistribution du vaccin. Ces documents sont publics et accessibles sur le site de l'Agence Européenne du Médicament (EMA) à ces adresses :
AMM conditionnelle Pfizer/BioNTech : https:/www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/comirnaty-epar-public-assessment-report_en.pdf
AMM conditionnelle Moderna : https:/www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/covid-19-vaccine-moderna-epar-public-assessment-report_en.pdf
A la page 54 de l'AMM conditionnelle du « vaccin » Pfizer/BioNTech, il est clairement noté que :
Les ARNm encapsulés dans des nanoparticules lipidiques atteignent de nombreux organes : rate, cœur, les reins, poumons, cerveau ;
Les ARNm ont été retrouvés dans les ovaires et les testicules en quantité faible lors des études de bio-distribution de ce « vaccin » (extrait ci-dessous) :
Extrait AMM conditionnelle du Vaccin Pfizer/BioNtech
© Pfizer/BioNTech
Le paragraphe sur la bio-distribution de l'AMM conditionnelle (pp. 47 et 52) du Vaccin Moderna, nous apprend que :
les ARNm vaccinaux sont détectables dans une grande variété d'organes : cerveau, cœur, poumon, yeux, testicules ;
il est impossibilité de connaitre la biodisponibilité dans les ovaires, car aucun rat femelle n'a été inclus dans l'étude de bio-distribution du « vaccin » Moderna ;
les concentrations d'ARNm sont plus importantes dans la rate et les yeux par rapport au plasma ;
les ARNm vaccinaux passent la barrière hémato-encéphalique et atteignent le cerveau. Extrait p. 52 de l'AMM conditionnelle du « vaccin » Moderna :
AMM conditionnelle du vaccin Moderna
Extrait p. 47 de l'AMM conditionnelle du « vaccin » Moderna :
RépondreSupprimerAMM conditionnelle du Vaccin Moderna
Conclusion
Les ARNm vaccinaux se distribuent donc dans une grande variété d'organes, dont les organes reproducteurs ou gonades.
L'INSERM a-t-il lu l'autorisation de mise sur le marché conditionnelle des « vaccins » Pfizer/BioNTech et Moderna pour être passée à côté de cette information essentielle ?
Soit l'INSERM n'a pas connaissance de ces éléments scientifiques et c'est grave !
Soit l'INSERM en a connaissance mais en fait une omission volontaire dans ses publications et c'est encore plus grave !
Cet organisme veut-il faussement rassurer médecins et patients ?
Quelle qu'en soit la raison, peut-on encore avoir confiance en l'INSERM qui s'est donnée comme mission d'« améliorer la santé de tous par le progrès des connaissances sur le vivant et sur les maladies, l'innovation dans les traitements et la recherche en santé publique » ?
Ce qui lui impose rigueur et objectivité dans ses publications ou prises de position.
Commentaire : Les risques d'une future méga épidémie de maladies notamment auto-immunes semblent à ce stade réels : Les « vaccins » anti-Covid-19 ou l'apocalypse d'une secte mise en lumière par une nouvelle étude :
Une nouvelle étude explosive réalisée par des chercheurs du prestigieux Salk Institute jette le doute sur la série actuelle de « vaccins » génétiques qui pourraient présenter un risque grave pour la santé publique. L'article, intitulé « La protéine Spike du nouveau coronavirus joue un rôle clé supplémentaire dans la maladie » [en anglais - NdT], montre que la « protéine 'spike' distinctive » du Sras-CoV-2... « endommage les cellules, confirmant que le Covid-19 est une maladie essentiellement vasculaire ».
[...]
ce n'est pas l'infection virale qui pénètre dans le cerveau, mais la protéine Spike qui franchit la barrière hémato-encéphalique via le système vasculaire.
Source de l'article publié le 15 avril 2021 : Reinfocovid
https://fr.sott.net/article/37313-Les-ARNm-vaccinaux-atteignent-de-nombreux-organes-et-passent-la-barriere-hemato-encephalique-Quels-sont-les-risques-d-une-future-mega-epidemie
Comment le CDC manipule les données pour renforcer «l'efficacité des vaccins»
RépondreSupprimerLes nouvelles politiques permettront de dégonfler artificiellement les «infections révolutionnaires» chez les vaccinés, tandis que les anciennes règles continueront de gonfler le nombre de cas chez les non vaccinés.
18 mai 2021 550
Kit Knightly
Le Center for Disease Control (CDC) des États-Unis modifie ses pratiques d'enregistrement des données et de test du «Covid19» afin de donner l'impression que les «vaccins» expérimentaux de thérapie génique sont efficaces pour prévenir la maladie présumée.
Ils n'ont pas caché cela, annonçant les changements de politique sur leur site Web fin avril / début mai (bien que naturellement sans admettre la motivation assez évidente derrière le changement).
L'astuce consiste à signaler ce qu'ils appellent des «infections par rupture» - c'est-à-dire des personnes qui sont entièrement «vaccinées» contre l'infection Sars-Cov-2, mais qui sont quand même infectées.
Essentiellement, il a longtemps été démontré que Covid19 - à ceux qui sont prêts à y prêter attention - était un récit de pandémie entièrement créé, basé sur deux facteurs clés:
Tests faussement positifs. Le test PCR non fiable peut être manipulé pour signaler un nombre élevé de faux positifs en modifiant le seuil de cycle (valeur CT)
Nombre de cas gonflé. La définition incroyablement large de «cas Covid», utilisée partout dans le monde, répertorie toute personne qui reçoit un test positif comme «cas Covid19», même si elle n'a jamais éprouvé de symptômes.
Sans ces deux politiques, il n'y aurait jamais eu de pandémie appréciable du tout, et maintenant le CDC a adopté deux changements de politique qui signifient qu'ils ne s'appliquent plus aux personnes vaccinées.
Premièrement, ils abaissent leur valeur CT lorsqu'ils testent des échantillons provenant d '«infections par rupture» présumées.
D'après les instructions du CDC destinées aux autorités sanitaires de l'État sur la gestion des «infections de rupture possibles» (téléchargées sur leur site Web fin avril):
Pour les cas avec une valeur de seuil (Ct) de cycle de RT-PCR connue, ne soumettre que des échantillons avec une valeur de Ct ≤ 28 au CDC pour séquençage. (Le séquençage n'est pas possible avec des valeurs Ct plus élevées.)
Tout au long de la pandémie, les valeurs CT supérieures à 35 ont été la norme, avec des laboratoires du monde entier dans les 40.
Essentiellement, les laboratoires exécutaient autant de cycles que nécessaire pour obtenir un résultat positif, bien que les experts aient averti que cela était inutile (même Fauci lui-même a dit que tout ce qui dépassait 35 cycles n'avait aucun sens).
Mais MAINTENANT, et uniquement pour les personnes entièrement vaccinées, le CDC n'acceptera que les échantillons obtenus à partir de 28 cycles ou moins. Cela ne peut être qu'une décision délibérée afin de réduire le nombre d '«infections par rupture» officiellement enregistrées.
RépondreSupprimerDeuxièmement, les infections asymptomatiques ou légères ne seront plus enregistrées comme «cas de covid».
C'est exact. Même si un échantillon prélevé à la faible valeur CT de 28 peut être séquencé dans le virus supposé être à l'origine de Covid19, le CDC ne conservera plus de registre des infections par rupture qui n'entraînent pas d'hospitalisation ou de décès.
Depuis leur site Web:
À compter du 1er mai 2021, les CDC sont passés de la surveillance de tous les cas de percée vaccinale signalés à se concentrer sur l'identification et l'enquête uniquement sur les cas hospitalisés ou mortels, quelle qu'en soit la cause. Ce changement contribuera à maximiser la qualité des données recueillies sur les cas de la plus grande importance clinique et de santé publique. Les décomptes de cas précédents, qui ont été mis à jour pour la dernière fois le 26 avril 2021, sont disponibles à titre indicatif uniquement et ne seront pas mis à jour à l'avenir.
Juste comme ça, être asymptomatique - ou n'avoir que des symptômes mineurs - ne comptera plus comme un «cas de Covid» mais seulement si vous avez été vacciné.
Le CDC a mis en place de nouvelles politiques qui ont effectivement créé un système de diagnostic à plusieurs niveaux. Cela signifie qu'à partir de maintenant, les personnes non vaccinées auront beaucoup plus de facilité à être diagnostiquées avec Covid19 que les personnes vaccinées.
Considérer…
La personne A n'a pas été vaccinée. Ils sont testés positifs pour Covid en utilisant un test PCR à 40 cycles et, malgré l'absence de symptômes, ils sont officiellement un «cas de covid».
La personne B a été vaccinée. Ils sont testés positifs à 28 cycles et passent six semaines alités avec une forte fièvre. Parce qu'ils ne sont jamais allés à l'hôpital et ne sont pas morts, ils ne sont PAS un cas Covid.
La personne C, également vaccinée, est décédée. Après des semaines d'hospitalisation avec une forte fièvre et des problèmes respiratoires. Seul leur test PCR positif était de 29 cycles, ils ne sont donc pas officiellement non plus un cas de Covid.
Le CDC démontre la beauté d'avoir une «maladie» qui peut apparaître ou disparaître selon la façon dont vous la mesurez.
Pour être clair: si ces nouvelles politiques avaient été l'approche globale de «Covid» depuis décembre 2019, il n'y aurait jamais eu de pandémie du tout.
Si vous les appliquez uniquement aux vaccinés, mais que vous gardez les anciennes règles pour les non vaccinés, le seul résultat possible peut être que les registres officiels montrent que «Covid» est beaucoup plus répandu chez ces derniers que chez les premiers.
Il s'agit d'une politique conçue pour gonfler continuellement un chiffre et minimiser systématiquement l'autre.
Qu'est-ce que c'est sinon un acte de tromperie évident et délibéré ?
https://off-guardian.org/2021/05/18/how-the-cdc-is-manipulating-data-to-prop-up-vaccine-effectiveness/
Dès lors que SONT INTRODUITS de virus par injections dans l'organismes, il y aura FORCEMENT de virus bien visible dans tous les tests RT-PCR, et donc, pour limiter le nombre de virus visualisés, ils demandent à ce que les cycles de tests ne dépassent pas... les 28 ou... MOINS !!!! alors que pour les non-vaccinés il est poussé à 50 !!! pour visualiser tous les virus éteints ou fragments de virus éteints !!
SupprimerLes 'CDC' n'est qu'un gros tas de merde !
Médecin et cardiologue nucléaire: Covid-19 et les Covid Shots sont des armes biologiques artificielles
RépondreSupprimerPar Ginny Garner
21 mai 2021
Ce déploiement de «vaccin» est le plus grand projet de recherche de l’histoire de l’humanité. Vous faites partie du groupe expérimental ou du groupe témoin. Le Dr Mengele se retourne dans sa tombe en se demandant pourquoi il ne pourrait pas avoir la capacité de faire ce type de manipulation humaine. "
- Physicien et cardiologue nucléaire Dr Richard Fleming
Del Bigtree, animateur de l'émission hebdomadaire d'informations d'investigation The High Wire, a mené une interview puissante avec le Dr Fleming le 13 mai. Après l'interview, Del, qui fait toujours preuve de prudence dans ses reportages, a déclaré que The High Wire n'envisagerait plus la possibilité que Covid-19 pourrait être un événement naturel dans lequel une chauve-souris a transféré le virus aux humains sur un marché humide en Chine. Del a fermement conclu que The High Wire adopterait la position que Covid-19 est une arme biologique fabriquée par l'homme.
Le Dr Fleming a été pro-vaccin tout au long de sa carrière, mais il sait que les vaccins contre le covid ne sont pas des vaccins. Un résumé de ses conclusions:
1. Le SARS-CoV-2 et les injections de Covid sont des armes biologiques artificielles.
2. Les injections injectent dans le corps du receveur des milliards de protéines de pointe contenant le prion. La protéine de pointe que le corps crée s'attache et infecte les cellules humaines. Les caillots sanguins et les maladies auto-immunes sont deux des nombreux problèmes de santé prédits. La protéine de pointe est l'arme biologique; le coronavirus est le système de livraison.
3. Le domaine de type prion au niveau du site de liaison au récepteur (RBS) a le potentiel de provoquer une maladie à prion (cerveau ou vache folle).
4. L’affirmation selon laquelle le virus n’a jamais été isolé parce que les postulats de Koch n’ont pas été satisfaits n’est pas correcte. (Note de l'éditeur: cette affirmation a été faite principalement par des partisans de la théorie du terrain, notamment les Drs Tom Cowan et Andrew Kaufman, le journaliste d'investigation Jon Rappoport, le chercheur / écrivain David Icke, entre autres). Le virus a été identifié en assemblant l'ARN et l'ADN et en faisant correspondre les pièces comme un puzzle.
5. Environ 95 % des animaux utilisés dans les essais cliniques pour les vaccins contre le coronavirus au cours des 20 dernières années sont morts dans les deux semaines. Cette période équivaut à 1 an et demi pour les humains. Un vaccin n'a jamais été développé avec succès.
RépondreSupprimer6. Lors de l’interrogatoire du sénateur Rand Paul lors d’une audition devant le Congrès, le directeur du NIAID, Tony Fauci, a menti en niant son implication dans le financement de la recherche fonctionnelle sur le SRAS-CoV-2 pour le laboratoire chinois de Wuhan. Cependant, les informations sur les subventions américaines sont du domaine public et sont publiées sur USspending.gov. Ce site et les articles médicaux / scientifiques reconnaissant ce transfert de financement ont été affichés à l'écran.
7. Le gain de la recherche fonctionnelle a été financé par le gouvernement américain. Le numéro du 9 novembre 2015 de Nature montre le code de financement de subvention USAID-EPT-PREDICT que le Dr Fleming a identifié comme la CIA. (EPT signifie Emerging Pandemic Threats.) Le DoD a donné 35 millions de dollars au Dr Peter Daszak, président d'EcoHealth Alliance, le tiers choisi par le NIAID pour mener la recherche.
8. Le gouvernement américain détient le brevet des projectiles Covid.
9. Le SRAS-CoV-2 est une fusion de cinq nucléotides. Le chercheur sur les maladies infectieuses Ralph Baric est montré dans une interview vidéo admettant son implication dans ce travail.
10. Ceux qui disent aux gens de se faire vacciner, y compris Biden, les Obamas et le Fauci, devraient être traduits en justice pour crimes contre l'humanité et pour violation de la Convention sur les armes biologiques et du Code de Nuremberg qui interdit l'expérimentation médicale sans consentement éclairé.
https://www.lewrockwell.com/2021/05/ginny-garner/physician-and-nuclear-cardiologist-covid-19-and-the-covid-shots-are-man-made-bio-weapons/
Le virus pandémique qui n’existe pas
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
21 mai 2021
Au cours de l’année écoulée, j’ai fourni des preuves convaincantes que: personne n’a prouvé l’existence du SRAS-CoV-2. [1]
J’ai expliqué que le virus n’avait jamais été isolé. En fait, les chercheurs utilisent le mot «isolé» pour signifier son contraire: «Nous supposons que le virus est entouré et intégré dans de nombreux autres matériaux, et nous ne l’extrayons ni ne le purifions.»
Pas d'isolement = pas de découverte d'un virus.
J’ai expliqué qu’il est impossible d’assembler la séquence génétique d’un virus qui n’a jamais été trouvé. À moins, bien sûr, que vous mentiez.
J'ai publié un article dans lequel le Dr Andrew Kaufman [2] a démonté, étape par étape, une étude publiée typique dans laquelle les auteurs décrivaient comment ils isolaient le SRAS-CoV-2. Le Dr Kaufman a déchiré cette description et a révélé à quel point c'était absurde. [3]
Lorsqu'ils sont confrontés à une montagne de soi-disant science et de pure propagande, la plupart des gens trouvent impossible d'accepter le fait qu'au cœur de la montagne, il y a…
RIEN.
Absolument rien.
«Oh, ça ne pouvait pas être. Il doit y avoir QUELQUE CHOSE, et ce quelque chose doit être un virus. »
C'est sur l'ordre d'un enfant qui dit: «Il doit y avoir un fantôme dans le placard chaque nuit quand je m'endors.»
Toute cette peur, et il n'y a rien ? Non non.
Mais dans l'univers médical, il existe en fait plusieurs énormes institutions qui ne reposent sur rien.
En voici une: PSYCHIATRIE.
La Bible officielle de la profession psychiatrique, le DSM, répertorie, décrit et nomme quelque 300 troubles mentaux distincts et distincts.
Si vous parcourez la Bible, vous remarquerez qu'aucun de ces troubles mentaux n'a de test de laboratoire définissant. Pas de test de salive, de sang, de cheveux, d'urine. Pas de scan cérébral. Aucun test génétique. RIEN.
Oui, les gens ont des problèmes, des ennuis. Les gens éprouvent de la souffrance et de la douleur. Mais c'est tout à fait différent de la répartition arbitraire de toute cette souffrance en 300 catégories académiques et cliniques appelées «troubles mentaux».
Et en plus de l'étonnante escroquerie scientifique, les patients diagnostiqués reçoivent des médicaments toxiques, dont certains les poussent à se suicider et à assassiner.
Le tout basé sur un rien scientifique.
(Un avertissement: se retirer soudainement des médicaments psychiatriques peut être très dangereux, voire mortel. Le sevrage doit être fait progressivement, sous la supervision d'un professionnel attentionné qui sait ce qu'il fait. Voir breggin.com.) [4]
Dans un épisode de PBS Frontline, le TDAH existe-t-il ? [5], le Dr Russell Barkley, un éminent professeur de psychiatrie et de neurologie à l'Université du Massachusetts Medical Center, a involontairement épelé la fraude.
INTERVIEWEUR PBS FRONTLINE: Les sceptiques disent qu'il n'y a pas de marqueur biologique - que c'est [le TDAH] est la seule condition là où il n'y a pas de test sanguin, et que personne ne sait ce qui en est la cause.
BARKLEY: C'est extrêmement naïf, et cela montre beaucoup d'analphabétisme sur la science et sur les professions de la santé mentale. Un trouble n'a pas besoin de subir de test sanguin pour être valide. Si tel était le cas, tous les troubles mentaux seraient invalides… Il n'y a actuellement aucun test de laboratoire pour un trouble mental dans notre science. Cela ne les rend pas invalides.
Oh, en effet, cela les rend invalides. Complètement et complètement. Tous les 300 troubles mentaux. Parce qu'il n'y a aucun test définissant d'aucune sorte pour étayer le diagnostic.
RépondreSupprimerNous examinons une science qui n’est pas une science. C’est ce qu’on appelle la fraude. Fraude au classement.
Voici un autre flash d'information: La théorie dite du «déséquilibre chimique» de la maladie mentale est morte.
Le Dr Ronald Pies, rédacteur en chef émérite du Psychiatric Times, a mis la théorie au repos dans le numéro du 11 juillet 2011 du Times avec cet aveu stupéfiant:
«En vérité, la notion de« déséquilibre chimique »a toujours été une sorte de légende urbaine - jamais une théorie sérieusement proposée par des psychiatres bien informés.» [6]
Boom.
Mort.
Pourtant… légende urbaine ? Non. Pendant des décennies, toute la base de la recherche sur les médicaments psychiatriques, de la prescription de médicaments et de la vente de médicaments a été: «nous corrigeons un déséquilibre chimique dans le cerveau».
Le problème était que les chercheurs n'avaient jamais établi de base de référence normale pour l'équilibre chimique. Alors ils tiraient dans le noir. Pire encore, ils simulaient une théorie. Prétendant qu'ils savaient quelque chose alors qu'ils ne le savaient pas.
Dans son article de 2011 dans Psychiatric Times, le Dr Pies tente de protéger ses collègues de la profession psychiatrique avec cette remarque ridicule:
«Au cours des 30 dernières années, je ne crois pas avoir jamais entendu un psychiatre compétent et bien formé faire une affirmation aussi absurde [au sujet du déséquilibre chimique dans le cerveau], sauf peut-être pour se moquer ... l'image du 'déséquilibre chimique' a été vigoureusement promus par certaines sociétés pharmaceutiques, souvent au détriment de la compréhension de nos patients.
Absurde. Tout d'abord, de nombreux psychiatres ont expliqué et expliquent à leurs patients que les médicaments sont là pour corriger un déséquilibre chimique.
Et deuxièmement, si tous les psychiatres bien formés ont toujours su que la théorie du déséquilibre chimique est une fraude ...
… Alors pourquoi diable ont-ils prescrit des tonnes de médicaments à leurs patients…
… Puisque ces médicaments sont développés sur la fausse prémisse qu'ils corrigent un déséquilibre chimique ?
La théorie du déséquilibre chimique est un faux.
Toute la branche de la médecine appelée psychiatrie est basée sur RIEN.
Mais encore une fois, les gens trouvent cela difficile, voire impossible, à accepter. Ils préfèrent croire qu'il doit y avoir QUELQUE CHOSE. C’est ce qu’ils veulent croire. C’est ce qu’ils ont appris à croire.
"Eh bien, vous voyez, chaque effet a une cause, et cette cause est en fait l'effet d'une cause antérieure, et vous pouvez remonter de plus en plus loin dans la chaîne ..."
Et cette idée est en quelque sorte la base pour supposer que, si une pandémie est annoncée, il doit y avoir un virus.
«Je dois avoir un virus. J'AI BESOIN d'un virus. "
«J'ai peur du virus. Je veux le virus. J'adore le virus. »
Il existe toutes sortes de variations sur le thème.
«La pandémie? Il doit y avoir quelque chose au cœur de celui-ci. Il doit y avoir."
IL N'Y A RIEN.
RépondreSupprimerEt si quelqu'un répond avec le cri de guerre familier, "Alors pourquoi tous ces gens meurent-ils?", J'ai couvert cette question de la racine à la poupe dans une douzaine d'articles. [7]
L'ensemble des maladies et des décès attribués à la «pandémie» peut s'expliquer par plusieurs facteurs (pas un), et aucun de ces facteurs n'implique un virus.
«Les gens qui meurent équivaut à un virus» est à peu près aussi convaincant que «l’augmentation de la mortalité toutes causes confondues est le résultat d’accidents d’avions.
Aussi sûr que j'écris cette phrase, quelqu'un pensera quelque part: «Hmm, un avion s'écrase. Je devrais me pencher là-dessus… »
Et il le fera. Il examinera les avions volant dans des grottes souterraines, transportant des passagers désireux d'explorer le centre de la Terre, où les médecins produisent un médicament de longévité qui prolonge la durée de vie de 500 ans. Mais les avions ont des accidents.
Ce niveau de fantaisie est sur la même étagère que «le virus est à l'origine de la pandémie».
SOURCES:
[1] https://blog.nomorefakenews.com/?s=SARS-CoV-2+exists&submit=Search
[2] https://andrewkaufmanmd.com/
[3] https://blog.nomorefakenews.com/2021/04/21/isolation-of-sars-cov-2-refuted-in-step-by-step-analysis-of-claim/
[4] https://breggin.com/
[5] https://www.pbs.org/wgbh/pages/frontline/shows/medicating/experts/exist.html
[6] https://web.archive.org/web/20160720061355/https://www.psychiatrictimes.com/psychiatry-new-brain-mind-and-legend-chemical-imbalance
[7] https://blog.nomorefakenews.com/tag/dying/
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
https://www.lewrockwell.com/2021/05/jon-rappoport/the-pandemic-virus-that-doesnt-exist/
Et juste comme ça, le mandat du masque s'est terminé
RépondreSupprimerPar Joaquin Flores
Culture stratégique
21 mai 2021
«À moins que nous n'inscrivions la liberté médicale dans la Constitution, le moment viendra où la médecine s'organisera en une dictature secrète.»
Avertissements des généraux que le tissu de la société américaine a été déchiré. Le Dr Fauci sous le feu des audiences du Sénat. VAERS rapporte que la version américaine des vaccins Covid peut avoir été le prédicat de plusieurs milliers de blessures et de décès. Puis, juste comme ça, les mandats de masque prennent fin; Le Dr Fauci change de ton une fois de plus en disant que les masques peuvent se détacher, quelques jours seulement après avoir dit que nous pourrions porter des masques pour toujours. Le CDC publie de nouvelles directives et les principaux détaillants de la chaîne commencent à modifier leur mandat de client masqué / d'employé masqué. Une demi-douzaine d'États emboîtent le pas et d'autres devraient suivre.
Il n'y a pas de coïncidences en politique, et il devient certainement difficile au milieu du rythme rapide du changement de la semaine dernière de marquer ces événements comme un hasard.
C'est peut-être simplement que les êtres humains ont développé des structures dans le cerveau qui favorisent la visualisation d'un ensemble de phénomènes comme étant causalement liés, ou un modèle, alors qu'en fait ce n'est pas le cas. Ce ne sont peut-être que des projections des fonctions de l'esprit sur le monde extérieur. En philosophie des sciences, il s'agit d'un débat permanent sur l'épistémologie et l'utilité, par exemple, de la physique théorique avec sa modélisation mathématique réifiée. Ou peut-être est-il simplement plus probable que, en particulier dans les efforts humains liés au pouvoir, les événements présents se touchent de manière causale.
En effet, il est plus logique de supposer que dans le domaine des questions humaines telles que la politique, qui sont toutes mais uniformément intentionnelles, il n'y a pas de vraies coïncidences.
Pour ces raisons, nous devons prendre note des 120 généraux et amiraux à la retraite des forces armées américaines qui ont signé une déclaration commune remettant en question les résultats de l'élection présidentielle de 2020, et ont également noté la détérioration mentale et physique du `` président '' Joe Biden. état.
Dans cette déclaration, outre les critiques attendues de l'enseignement de la théorie critique de la race dans l'armée et les changements culturels connexes dans la société en général, ils incluaient de manière intéressante une forte désapprobation de la politique de verrouillage et de fermeture d'entreprises, écrivant:
«De plus, les actions de contrôle de la population telles que les verrouillages excessifs, les fermetures d'écoles et d'entreprises et, le plus alarmant, la censure de l'expression écrite et verbale sont toutes des attaques directes contre nos droits fondamentaux.»
Pendant un certain temps auparavant, quelques États, notamment la Floride, avaient résisté aux appels de Biden concernant la vaccination obligatoire, le masquage public, la distanciation, les fermetures et les verrouillages, et semblaient plutôt promouvoir une politique conforme à celles du 45e président Trump.
Alors que le CDC a admis en février qu'il avait utilisé le test PCR d'une manière qui entraînait une tendance aux faux positifs, la conclusion logique que l'on en tirerait ne s'est réalisée que le 15 mai, lorsque la politique a été brusquement inversée. C'est ici que nous voyons un changement très réel se concrétiser: les personnes vaccinées n'ont plus besoin de porter de masques. Mais aux États-Unis, il existe des lois sur la protection de la vie privée et la discrimination qui découragent les entreprises privées opérant dans la sphère publique d'exiger des clients qu'ils présentent des preuves dans un sens ou dans l'autre. Pour cette raison, il n'y aura aucun moyen de vraiment déterminer qui a été vacciné - à moins que nous découvrions plus tard que les vaccins étaient accompagnés d'un dispositif de marquage.
RépondreSupprimerBien sûr, nous utilisons le terme «vaccin» de manière vague, à la suite des modifications du volume NewSpeak 2021 qui modifient la définition du vaccin pour inclure les thérapies géniques ARNM.
Ensuite, à savoir, nous avons le processus d'audit électoral en cours en Arizona, qui semble montrer des preuves de fraude, les autorités du comté de Maricopa affirmant maintenant qu'elles n'ont pas accès par mot de passe aux données de vote. Il est étrange ici que les données aient soudainement disparu après que le processus juridique a obligé ces autorités à les mettre à la disposition des auditeurs. S'ils n'ont pas accès aux données, alors qui le fait?
Mais il y a plus ici aussi: le New Hampshire, le Michigan, le Wisconsin, tous sont à différents stades de faire quelque chose de recomptage ou d'audit du résultat des élections de 2020.
Et il est très certainement d’un grand intérêt, le rapprochement de ces coïncidences magiques, la révélation que le Dr Fauci avait été à l’origine de la recherche sur le «gain de fonction» à l’Institut de virologie de Wuhan le mardi 11 mai lors d’auditions. Le gain de fonction, pour modifier les virus, relève de la recherche internationalement interdite sur les armes biologiques. Dans ce témoignage, il semble que le Dr Fauci se soit parjuré ou ait fait une qualification trompeuse à la limite du parjure lorsqu'il a été pressé par le sénateur Paul.
«Paul a fait pression sur Fauci sur la théorie selon laquelle le nouveau coronavirus a été créé dans le laboratoire de Wuhan, puis s'est échappé d'une manière ou d'une autre, soit à cause d'un accident, soit parce qu'il a été délibérément libéré.», Comme l'a rapporté The Hill.
L'ancien chef du CDC, Robert Redfield, a expliqué que la recherche et les connaissances sur Sars-Cov-2 ont montré qu'il avait été créé dans un laboratoire. Pour une raison quelconque, des raisons dont nous sommes bien conscients, les médias d'entreprise (qui ont été à l'origine de ce programme de grande réinitialisation vers un nouveau totalitarisme et l'éviction d'un président américain démocratiquement élu), ont ignoré ce fait gênant.
De nombreux autres virologues et épidémiologistes ont souscrit à cette évaluation ou y sont parvenus de manière indépendante. Cette partie est importante, car elle montre que tout le récit du marché humide de Wuhan était un mensonge, basé sur un amalgame de références hollywoodiennes.
En effet, tous ces événements se sont produits parce que des militants citoyens de tous les horizons ont «tenu la ligne».
Mais il y a encore quelques problèmes à résoudre dans la mesure où cela va: une grande partie des informations qui viennent de frapper le grand public, était connue depuis plus de 14 mois. Pourquoi maintenant, avec près de la moitié de la population «vaccinée», les élus (soutenus par l’activisme citoyen) ont-ils décidé de pousser enfin la question ?
RépondreSupprimerCertes, pour de nombreux Américains, les développements de ces derniers jours sont plus que bienvenus - il semble qu'une porte s'est ouverte et non seulement il est possible que ce cauchemar se termine bientôt tous ensemble, mais que justice soit rendue à ceux comme Bill. Gates et Fauci qui ont été des personnalités importantes derrière ce «gros mensonge».
Mais ces développements positifs surviennent maintenant avec 123 millions d'Américains ayant reçu deux doses: des médecins 'renégats', experts dans des domaines connexes, se sont déjà manifestés en exprimant de vives inquiétudes quant au fait que le 'vaccin' pourrait causer de graves problèmes de santé à long terme, y compris la mort et l'insuffisance cardiaque. Les sources traditionnelles ont été forcées d'admettre la même chose, mais le font d'une manière qui atténue la perception.
Big Pharma et les politiciens complices étaient bien conscients que l'intérêt du public à prendre le vaccin déclinerait rapidement si la composante punitive (masques forcés et verrouillages) prenait fin. Pour ces raisons, nous étions au courant des admissions publiques qui étaient maintenant un moment critique, où les Américains ne devraient pas jouir de leurs droits à moins que ceux-ci ne soient liés à la vaccination. Si les États restreignaient les politiques tyranniques avant `` l'immunité collective '' (telle que définie dans le volume NewSpeak 2021 - seules les thérapies géniques confèrent désormais une immunité `` collective '', un départ radical du langage en 2020 et des siècles auparavant), alors les Américains se sentiraient beaucoup moins obligés de le faire. se faire vacciner.
Peut-être qu'en fin de compte, le temps de tous ces développements est simplement le temps qu'il faut pour inverser le cours d'un récit que la technocratie corporatiste poussait 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Ou peut-être ont-ils atteint leurs objectifs et les conséquences potentiellement horribles sur la population ne se sont pas encore concrétisées. Peut-être sont-ils satisfaits des renflouements, de la destruction de toutes ces petites entreprises qu'ils pourraient détruire, des versements de dividendes en actions de la société Vax et de la redistribution à la hausse de la richesse qui a accompagné cela (Amazon, et al). Et peut-être, juste peut-être, il y a encore une autre pandémie qui s'échappera «accidentellement» d'un laboratoire dans les mois ou les années à venir. Peut-être que tout ce que nous avons vécu jusqu'à présent n'est qu'un test pour quelque chose de beaucoup plus grand en préparation.
Et qu'en est-il du Royaume-Uni, du Canada, de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande? Par rapport aux États-Unis, certaines parties de ces pays ont été tout sauf des colonies de prison glorifiées. Les mandats ont été beaucoup plus draconiens, les conséquences beaucoup plus graves. Compte tenu de la relation spéciale que les États-Unis entretiennent avec l'Anglosphère, que se passera-t-il ensuite? La science et la médecine fonctionnent-elles différemment dans ces pays ?
RépondreSupprimerQu'est-il arrivé aux États-Unis qui a radicalement changé le discours ici? Encore une fois, en politique, il n'y a pas de coïncidences. Il est très difficile de ne pas regarder directement la lettre de 120 généraux et amiraux à la retraite. Leur message compte pour quelque chose, peut-être quelque chose de grand. Ce ne sont pas des hommes qui mènent une vie privée ou vivent dans des bulles. Pour chaque général ou amiral à la retraite ayant ces préoccupations exprimées, nous serions dans l'erreur de ne pas supposer l'existence de beaucoup plus de généraux et d'amiraux encore en poste, en suivant simplement les règles sur l'expression d'un discours politique dissident. Ils ont des partisans et des partisans toujours au sein de l'armée. Mais dans le cadre d'un conflit inter-élite, avec des parties alignées autour de la mise en œuvre du programme Great Reset, une telle dissidence à des niveaux élevés de l'armée - que certains Américains pourraient appeler 'chapeaux blancs' - est très déconcertante pour les puissances en place. .
Mais voici une dernière réflexion sur la vaccination. Peut-être que grâce à tout cela, une part suffisante du public a été immunisée contre la politique du Big Lie de verrouillages sans fin et d'une tyrannie justifiée par une pandémie. En conclusion, il est important de réfléchir aux avertissements donnés aux Américains il y a plusieurs centaines d’années par le Dr Benjamin Rush, médecin personnel de George Washington et signataire de la Déclaration d’indépendance:
«À moins que nous n'inscrivions la liberté médicale dans la Constitution, le moment viendra où la médecine s'organisera en une dictature secrète. Limiter l'art de la guérison à une classe d'hommes et refuser des privilèges égaux à d'autres constituera la Bastille de la science médicale. Toutes ces lois sont anti-américaines et despotiques… »
The views of individual contributors do not necessarily represent those of the Strategic Culture Foundation.
https://www.lewrockwell.com/2021/05/no_author/and-just-like-that-the-mask-mandate-ended/
Alors que les virus sont éjectés CONTINUELLEMENT par le magma et remontés à la surface des eaux par ses productions de gaz, et que le 'Fauci' devrait saisir cette opportunité pour obliger les gens à porter le masque 24/24 h (HAHAHAHA !), ce gros con se trouve coincé entre le fait véridique qu'il NE PEUT EXISTER de masque anti virus because que les mailles pour les bloquer seraient trop serrés et empêcherait quiconque de respirer et, le fait qu'il a porté son délire de débile profond jusqu'à conseiller de porter... plusieurs masques !!! HAHAHAHAHA !
SupprimerÇà m'étonne pas du tout que la Grétamoilescouilles ait eu autant de succès !
Si tout va bien, pourquoi les pénuries ne cessent-elles de s'aggraver ?
RépondreSupprimerPar Michael Snyder
L'effondrement économique
21 mai 2021
Ils n'arrêtent pas de nous dire que les conditions économiques s'améliorent, mais si c'est vrai, pourquoi les pénuries sont-elles pires que jamais ? Pour un instant, je voudrais vous ramener jusqu'en 2019. Avant l'arrivée de la pandémie, nous n'avions pas de pénurie. Si vous vouliez quelque chose, vous êtes simplement allé au magasin et l'avez obtenu ou vous l'avez commandé en ligne. Les prix étaient bas, les chaînes d'approvisionnement mondiales fonctionnaient sans heurts et, pour la plupart des gens, il semblait que cela resterait ainsi dans un avenir prévisible. Mais ensuite, la pandémie a frappé et «l'achat de panique» a provoqué des pénuries à court terme de certains articles tels que le papier hygiénique et le désinfectant pour les mains. Il était compréhensible que les gens veuillent accumuler ces choses, car il y avait beaucoup de peur dans l'air. Mais nous savions aussi que ces pénuries ne seraient que temporaires.
Nous voici maintenant en 2021, et on nous a dit que les choses reviendraient à la normale maintenant.
Mais au lieu de cela, il y a de graves pénuries partout autour de nous.
En fait, les pénuries sont bien pires que tout ce que nous avons connu en 2020.
Par exemple, saviez-vous que des dizaines de médicaments importants sont rares? Selon le site officiel de la FDA, il y a actuellement des pénuries de plus de 100 médicaments aux États-Unis…
Si vous vous trouvez dans une situation comme celle-ci, vous pouvez vérifier le système de suivi des pénuries de médicaments de la FDA.
À l'heure actuelle, environ 120 médicaments sont répertoriés comme faisant l'objet d'une pénurie.
Sur le site Web, si vous saisissez un nom de médicament dans le champ de recherche de la base de données, vous pouvez voir si et pourquoi il est rare. Vous pouvez également voir s'il est programmé pour être interrompu, et quand l'approvisionnement peut recommencer à circuler.
Cela n’était pas censé se produire.
Les pénuries continuent de s'aggraver pour l'industrie de la construction résidentielle également…
"Les constructeurs retardent le démarrage de nouvelles constructions en raison de l'augmentation marquée des coûts du bois et d'autres intrants", a déclaré mardi Mike Fratantoni, vice-président principal et économiste en chef de la Mortgage Bankers Association.
Il a ajouté que les pénuries d'approvisionnement pour les appareils électroménagers freinent également l'activité de construction de nouvelles maisons.
Juste au-delà de notre frontière nord, les pénuries sont devenues vraiment graves. Dans certains cas, la construction de maisons «prend des mois de retard» parce que les pénuries sont devenues si graves…
Les constructeurs d'habitations partout au Canada sont frappés par une série de perturbations de la chaîne d'approvisionnement, ce qui entraîne des pénuries de produits généralisées et des coûts explosifs pour l'industrie.
Dans certains cas, la construction de maisons a des mois de retard, car les développeurs ont du mal à tout s'approvisionner, du bois de construction aux tuyaux en PVC, en passant par l'isolation et les fenêtres. Les constructeurs retiennent également les préventes, incapables de fixer le prix exact de leurs maisons trop longtemps à l'avance, étant donné que les coûts des matériaux peuvent fluctuer énormément sur une base quotidienne.
Interrogé sur ces pénuries, un dirigeant de la construction domiciliaire a déclaré que «la situation s’empire de jour en jour»…
RépondreSupprimer«L'ensemble de la chaîne d'approvisionnement est en panne», a déclaré Matt McCurrach, président de Homex Development Corp. à Kamloops, en Colombie-Britannique.
«La situation s’empire de jour en jour», a ajouté Sue Wastell, présidente de Wastell Homes à London, en Ontario. «Littéralement tous les jours, nous découvrons que quelque chose d’autre n’arrive pas au moment prévu. … Nous n’avons jamais rien vu de tel. »
La pénurie mondiale de puces informatiques est encore plus préoccupante. C’est quelque chose dont j’ai longuement discuté dans mon récent article intitulé «Une grave pénurie de puces informatiques durera« quelques années », et cela pourrait plonger l’économie mondiale dans un chaos total». Presque toutes les industries que vous pouvez nommer sont extrêmement dépendantes des équipements utilisant des puces informatiques, et CNN nous dit que cette pénurie «va de mal en pis»…
La pénurie va de mal en pis, s'étendant des voitures à l'électronique grand public. Le gros de la production de puces étant concentré sur une poignée de fournisseurs, les analystes préviennent que la crise durera probablement jusqu'en 2021.
Selon Goldman Sachs, 169 industries américaines intègrent des semi-conducteurs dans leurs produits. La banque prévoit un déficit moyen de 20% de puces informatiques parmi les industries touchées, certains des composants étant utilisés pour fabriquer des puces en pénurie jusqu'à au moins cet automne et peut-être jusqu'en 2022.
En fait, comme je l'ai souligné l'autre jour, de nombreux dirigeants s'attendent maintenant à ce que la pénurie de puces informatiques se prolonge jusqu'en 2023.
Pour les constructeurs automobiles, cela devient rapidement un cauchemar complet et total. Au cours du premier trimestre, la production automobile mondiale a baissé d'environ 10% en raison de la pénurie de puces, mais Ford a annoncé que la production au deuxième trimestre serait en baisse d'environ 50% ...
Les investisseurs ont beaucoup entendu parler de l'état actuel des problèmes de capacité depuis des mois. Environ 2 millions de voitures - soit environ 10 % de la production automobile mondiale trimestrielle - n’ont pas été construites au premier trimestre faute de puces. Ford Motor (ticker: F), l'un des constructeurs automobiles ressentant le plus la pénurie, a déclaré fin avril qu'il s'attend à perdre environ 50 % de la production prévue pour le deuxième trimestre.
Une baisse de 50 pour cent de la production ?
C'est fou !
Si les constructeurs automobiles ne peuvent pas fabriquer de véhicules, ils devront commencer à licencier des travailleurs.
RépondreSupprimerMalheureusement, c'est précisément ce qui vient de se passer dans une usine du nord de l'Illinois ...
Quelque 1 600 emplois sont supprimés dans une usine de Jeep Cherokee dans le nord de l'Illinois alors que les constructeurs automobiles continuent d'être en proie à la pénurie mondiale de semi-conducteurs.
La branche américaine de Stellantis, anciennement connue sous le nom de Fiat Chrysler, a déclaré vendredi qu'elle supprimait l'un des deux quarts de travail à son usine de montage de Belvidere à partir du 26 juillet. Cela pourrait entraîner le licenciement de 1641 travailleurs, a déclaré la porte-parole de l'entreprise, Jodi Tinson.
Les optimistes économiques n'arrêtent pas de nous dire que des jours meilleurs sont à nos portes, mais que ces jours meilleurs ne semblent jamais se concrétiser.
Au lieu de cela, l'emploi est toujours bien en deçà des niveaux d'avant la pandémie, les chaînes d'approvisionnement mondiales sont dans un état de chaos complet et total, et nous sommes confrontés à de graves pénuries de presque tout ...
Cuivre, minerai de fer et acier. Maïs, café, blé et soja. Bois de construction, semi-conducteurs, plastique et carton pour l'emballage. Le monde est apparemment bas sur tout cela. "Vous l'appelez, et nous avons une pénurie à ce sujet", a déclaré Tom Linebarger, président et chef de la direction du fabricant de moteurs et de générateurs Cummins Inc., lors d'un appel ce mois-ci. Les clients «essaient d’obtenir tout ce qu’ils peuvent parce qu’ils voient une forte demande», a déclaré Jennifer Rumsey, présidente de la société basée à Columbus, dans l’Indiana. «Ils pensent que cela va se prolonger l’année prochaine.»
La différence entre la grande crise de 2021 et les perturbations passées de l'approvisionnement réside dans son ampleur et dans le fait qu'il n'y a - pour autant que quiconque puisse le dire - aucune fin claire en vue. Grandes ou petites, peu d'entreprises sont épargnées. La plus grande flotte de camions d'Europe, Girteka Logistics, affirme qu'il y a eu du mal à trouver une capacité suffisante. Monster Beverage Corp. de Corona, en Californie, fait face à une pénurie de canettes d'aluminium. La société MOMAX Technology Ltd. de Hong Kong retarde la production d’un nouveau produit en raison d’une pénurie de semi-conducteurs.
S'il s'agit de la «reprise», à quoi ressembleront les choses lorsque le prochain ralentissement économique sévère nous frappera ?
De toute ma vie, je n'ai jamais vu de pénuries aussi généralisées.
Ceux qui dirigent les choses continuent d'insister sur le fait qu'ils ont tout sous contrôle et que les choses finiront par revenir à la normale.
Vous pouvez les croire si vous voulez, mais des millions d’autres se préparent à un avenir dans lequel leurs évaluations optimistes de l’avenir se révèlent très, très fausses.
Reprinted with permission from The Economic Collapse.
https://www.lewrockwell.com/2021/05/michael-snyder/if-everything-is-going-to-be-just-fine-why-do-the-shortages-just-keep-getting-worse/
Les chiens sont plus efficaces que les tests PCR pour détecter le COVID
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 21 MAI 2021 - 02:45
Les scientifiques et les responsables de la santé publique ont étudié toutes sortes d'alternatives aux tests individuels rapides de COVID-19 pour détecter la présence du virus, et dans leur recherche, ils ont atterri sur d'étranges alternatives. Certains ont eu recours à des tests de caca dans les égouts publics pour détecter les traces du virus, une méthode qui s'est avérée fiable pour détecter les épidémies.
Et il se trouve que les chiens - qui ont été utilisés pour tout renifler, des drogues aux bombes - sont également efficaces pour flairer le COVID-19, selon une nouvelle étude française publiée par Bloomberg.
La capacité des chiens à détecter le virus a été cadencée à une sensibilité de 97 %, un niveau qui place cette méthode au même niveau que les tests antigéniques rapides les plus fiables. La méthode de reniflement s'est également avérée spécifique à 91 % - une mesure technique de la capacité des chiens à identifier correctement les échantillons négatifs. Cette «cote de sensibilité» est plus élevée que celle de nombreux tests antigéniques de 15 minutes, qui ont tendance à être plus efficaces pour exclure l'infection que pour la trouver.
Et avec l'Europe qui a rouvert mercredi son économie aux touristes vaccinés, les résultats de cette étude n'auraient pas pu arriver à un meilleur moment. Comme le souligne Bloomberg, les chiens renifleurs de virus pourraient être largement déployés dans les aéroports, les gares ou partout où les foules se rassemblent pour dépister les gens, tout comme ils sont utilisés pour détecter des drogues ou des bombes. L'utilisation de chiens signifie également que COVID pourrait être identifié en une fraction de seconde de manière non invasive et d'une manière extrêmement peu coûteuse (en théorie, il ne coûterait pas si cher de former les chiens, et les méthodes seraient simples à ceux qui sont habitués à entraîner des chiens renifleurs de drogue et de bombes).
L'essai a été réalisé à l'École nationale vétérinaire de France, selon Bloomberg, qui a partagé quelques détails supplémentaires sur l'essai.
L’essai, qui a été mené à l’École nationale vétérinaire de Maisons Alfort, près de Paris, a recueilli des échantillons de sueur des aisselles des participants avec des tampons de coton enfermés dans des bocaux et les a donnés à au moins deux chiens différents pour qu'ils les reniflent. Aucun des chiens n'a eu de contact préalable avec les volontaires. Il y avait 335 personnes testées, dont 109 étaient positives dans un test PCR qui a servi de contrôle. Neuf chiens ont participé et les chercheurs ne savaient pas quels échantillons étaient positifs.
RépondreSupprimerEn juillet, des chercheurs allemands ont montré que les chiens dressés étaient capables de faire la distinction entre la salive prélevée sur des personnes infectées par le virus et celles qui ne l'étaient pas plus de 90% du temps. La Finlande, Dubaï et la Suisse ont commencé à entraîner des chiens à détecter les infections.
La dernière étude a été menée entre le 16 mars et le 9 avril, et la région Ile-de-France a contribué au financement de l'essai à hauteur de 25 000 euros (30 500 dollars).
Des efforts pour entraîner les chiens à renifler le COVID sont en cours dans toute l'Europe et dans le monde. Au Royaume-Uni, une équipe de la London School of Hygiene and Tropical Medicine entraîne six chiens dans l'espoir de pouvoir détecter les personnes positives au COVID, même si elles ne présentent aucun symptôme. En Finlande, des chiens renifleurs travaillent pour détecter les voyageurs infectés à l'aéroport d'Helsinki depuis septembre.
https://www.zerohedge.com/covid-19/new-study-shows-dogs-are-even-more-effective-detecting-covid-rapid-antigen-tests
Le Pentagone se dirige vers l'IA qui prend le coup de grâce
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 20 MAI 2021 - 22:20
Des dizaines de machines de guerre autonomes capables d'une force meurtrière ont mené un exercice d'entraînement sur le terrain au sud de Seattle en août dernier. L'exercice n'a impliqué aucun opérateur humain, mais strictement des robots alimentés par l'intelligence artificielle, à la recherche de simulacres de combattants ennemis.
L'exercice, organisé par la Defense Advanced Research Projects Agency, une division de recherche sur le ciel bleu du Pentagone, a armé les robots avec des émetteurs radio conçus pour simuler le tir d'une arme. L'exercice a eu lieu en août dernier et a élargi la compréhension du Pentagone sur la façon dont l'automatisation des systèmes militaires sur le champ de bataille moderne peut fonctionner ensemble pour éliminer les combattants ennemis.
"Les manifestations reflètent également un changement subtil dans la réflexion du Pentagone sur les armes autonomes, car il devient plus clair que les machines peuvent surpasser les humains pour analyser des situations complexes ou fonctionner à grande vitesse", selon WIRED.
Son intelligence artificielle indéniable sera le visage de la guerre pour les années à venir. Les planificateurs militaires progressent en intégrant des systèmes d'armes autonomes sur le champ de bataille moderne.
Le général John Murray du US Army Futures Command a déclaré à un public de l'Académie militaire américaine en avril que des essaims de robots forceront probablement l'armée à décider si un humain doit intervenir avant qu'un robot n'engage l'ennemi.
Murray a demandé: "Est-ce dans la capacité d'un être humain de choisir ceux qui doivent être engagés" et de prendre ensuite 100 décisions individuelles ? "Est-il même nécessaire d'avoir un humain dans la boucle?" il ajouta.
RépondreSupprimerMichael Kanaan, directeur des opérations pour l'accélérateur d'intelligence artificielle de l'armée de l'air au MIT et une des principales voix de l'intelligence artificielle dans l'armée, a déclaré à une foule lors de la conférence de l'armée de l'air la semaine dernière que les ordinateurs évoluent rapidement dans la façon dont ils identifient et distinguent. cibles potentielles pendant que les humains décident de s'engager.
Le lieutenant-général Clinton Hinote, chef d'état-major adjoint pour la stratégie, l'intégration et les exigences au Pentagone, qui s'exprimait également lors du même événement, a déclaré que le grand débat du début des années 2020 était de savoir si un soldat pouvait être retiré de la prise de décision. une arme autonome.
Timothy Chung, le responsable du programme Darpa en charge du projet d'essaimage, a déclaré à WIRED que l'exercice de l'année dernière consistait à explorer quand un humain devrait être impliqué dans la prise de décision des systèmes autonomes. Face à des attaques complexes, Chung a déclaré que les robots pourraient mieux exécuter la mission que les humains, car les gens ne sont pas assez rapides pour réagir.
"En fait, les systèmes peuvent faire mieux si personne n'intervient", a ajouté Chung.
Même si l'intelligence artificielle développe rapidement ses capacités, il peut être nécessaire pour le moment de garder une personne au courant, car les algorithmes doivent encore s'améliorer là où ils peuvent identifier les ennemis avec suffisamment de fiabilité.
Tout cela se résume à la fiabilité des algorithmes d'avoir un haut niveau de précision lors de l'identification et de l'engagement de l'ennemi. Jusqu'à présent, la politique du ministère de la Défense sur les armes autonomes stipule que ces systèmes doivent être surveillés par l'homme.
... et pour certains délais prévus pour lesquels les robots surpassent l'intelligence humaine, Ray Kurzweil, chef de l'ingénierie de Google, a déclaré il y a quelques années, cela pourrait être vers 2029.
À la fin de la décennie, ou même plus tôt, le Pentagone peut autoriser des armes autonomes à prendre le coup de grâce sans aucune intervention humaine.
https://www.zerohedge.com/technology/pentagon-marches-towards-ai-taking-kill-shot
Une enquête montre que la moitié des personnes qui ne portent pas de masque ne consentiront «certainement pas» à être vaccinées
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 20 MAI 2021 - 20H20
Cela ressemble à une mauvaise nouvelle pour le CDC et l'administration Biden, qui cherchent désespérément à inciter plus d'Américains à se faire vacciner avant que la pression internationale n'oblige le président à céder la totalité du stock américain de vaccins (Biden a annoncé hier que les États-Unis enverraient des doses de 20 millions de vaccins qui sont autorisés pour une utilisation d'urgence aux États-Unis à l'étranger pour la première fois alors que la pression de la communauté internationale augmente).
Selon la Kaiser Family Foundation, la moitié des Américains qui ne portent pas de masques disent qu'ils ne se feront "certainement pas" vacciner, selon la Kaiser Family Foundation. un sondage effectué la semaine du 15 mars.
En comparaison, les données, qui ont été divulguées à Bloomberg, ont révélé que 13 % de ceux qui portent un masque de temps en temps ou jamais ont déclaré s'être fait vacciner, tandis que 34 % de ceux qui portent des masques tout ou la plupart du temps ont déclaré ils avaient été vaccinés. La moitié des non-porteurs de masque ont déclaré qu'ils ne se feraient «certainement pas» vacciner, contre 7 % de ceux qui portent des masques régulièrement.
- voir graphique sur site -
Source: Bloomberg
Les résultats font suite à une annonce du CDC permettant aux personnes entièrement vaccinées d'abandonner les masques dans la plupart des contextes.
Le président Biden a célébré cette décision en offrant aux Américains un choix difficile: soit se faire vacciner, soit porter un masque.
Le seul problème avec cela est que beaucoup de ceux qui sont sceptiques quant au vaccin ne portent pas non plus de masques.
Une analyste qui s'est entretenue avec Bloomberg a déclaré qu'elle était surprise par la résistance au vaccin.
"Mais je pense que ce qui ressort, c'est la part qui dit qu'ils ne recevront certainement pas le vaccin parmi ceux qui disent ne pas porter de masque", a déclaré Hamel dans une interview.
RépondreSupprimerDe plus, les données de l'enquête soutiennent ce que de nombreux Américains considèrent probablement comme du bon sens - bien que personne ne l'ait apparemment dit à la Maison Blanche ou au CDC.
Les résultats indiquent déjà que les personnes qui disent ne pas vouloir le vaccin sont beaucoup moins susceptibles de croire que les masques sont efficaces. "Et il est donc certain que cette relation entre les attitudes à l'égard du vaccin et les attitudes à l'égard d'autres types de mesures de protection existe, en particulier parmi ce groupe qui dit qu'ils ne vont certainement pas se faire vacciner", a-t-elle déclaré.
Le CDC a été largement critiqué pour avoir semé la confusion avec ses dernières directives destinées aux particuliers et aux entreprises, car les États décident maintenant s'ils suivront les directives du CDC ou s'ils choisiront d'attendre.
Certains employeurs disent déjà qu'ils exigeront que les nouvelles recrues soient vaccinées, bien que la plupart des employeurs admettent encore qu'il serait illégal d'exiger que tous les employés sortent et se font vacciner. En fin de compte, cependant, ils pourraient encore être forcés de se fier au système de l'honneur, car les lois sur la confidentialité médicale pourraient les empêcher de demander à voir des preuves du tir.
La société de sondage KFF, qui a géré les données de sondage via son COVID Vaccine Monitor, a utilisé des données sur le comportement de masquage autodéclaré et la croyance des gens quant à savoir si le port d'un masque empêche la propagation du vaccin comme base de ces résultats.
https://www.zerohedge.com/covid-19/survey-shows-half-non-mask-wearers-will-definitely-not-consent-being-vaccinated
(...) En comparaison, les données, qui ont été divulguées à Bloomberg, ont révélé que 13 % de ceux qui portent un masque de temps en temps ou jamais ont déclaré s'être fait vacciner, tandis que 34 % de ceux qui portent des masques tout ou la plupart du temps ont déclaré ils avaient été vaccinés. La moitié des non-porteurs de masque ont déclaré qu'ils ne se feraient «certainement pas» vacciner, contre 7 % de ceux qui portent des masques régulièrement. (...)
SupprimerDonnées TRÈS particulières démontrant (d'après le 'sondage') que des personnes qui ne portent un masque 'juste pour faire des courses) se seraient faites inoculées !! L'importance de l’aberration vient que les personnes qui portent un masque respirent les nano-particules qui se modélisent en morgellons sitôt introduites !!
Ce sont désormais des transhumanistes dangereux qui peuvent contaminer les autres.
L'organisme se défend (depuis 10 000 ans) contre les virus, mais PAS contre les morgellons introduits en cavité nasale (naso-pharyngées) ou sous formes de nano-particules inoculées lors des expérimentations sur cobayes !
L'UFC-QUE CHOISIR S'INSURGE DE LA HAUSSE DES FACTURES D'ÉLECTRICITÉ
RépondreSupprimerpar OLIVIER SANCERRE
20/05/2021
Les factures d'électricité ont augmenté de quasiment 50% en dix ans,
selon l'UFC-Que Choisir.
EDF est dans le collimateur de l'UFC-Que Choisir, qui dénonce la « spirale inflationniste » des factures d'électricité. L'association de consommateurs réclame que les concurrents aient un accès plus large à l'électricité nucléaire.
L'UFC-Que Choisir a fait les comptes et ils ne sont pas brillants : « Un ménage moyen chauffé à l’électricité au TRV (tarif réglementé de vente) aura vu passer sa facture d’électricité de 1.019 euros à 1.522 euros entre 2010 et 2020 ». Cela représente une hausse de quasiment 50 % en dix ans ! Pour mettre un frein à cette « spirale inflationniste », l'association de consommateurs demande de revoir l'organisation même du marché de l'électricité, « qui est responsable de cette augmentation ». Au cœur des débats se trouve l'accès régulé à l'énergie nucléaire historique (Arenh), un mécanisme qui permet aux fournisseurs alternatifs de se fournir chez EDF.
Une hausse spectaculaire des factures
Mais voilà, le volume d'électricité nucléaire vendu à bas prix par EDF est trop limité, il représente environ un tiers de la production d'EDF. Un rationnement qui pousse les prix tant du TRV que des offres de marché, déplore l'UFC-Que Choisir, et cela frappe « très concrètement » les consommateurs au portefeuille. Pour compléter les volumes nécessaires, les fournisseurs alternatifs doivent se fournir ailleurs, à des prix plus élevés. EDF a déjà critiqué ce mécanisme, mais pas pour les bonnes raisons : l'opérateur est contraint de vendre une partie de son électricité à bas prix…
Déplafonnement des volumes vendus par EDF
C'est pourquoi l'UFC-Que Choisir demande un « déplafonnement immédiat » des volumes d'Arenh accessibles par les fournisseurs alternatifs, afin que s'arrêtent les augmentations continues des factures. Par ailleurs, l'association s'inquiète des fortes hausses tarifaires à venir, en lien avec les coûts de l'EPR de Flamanville. Elle souhaite donc un « débat public » sur l'avenir de cette régulation, « sur la base d’une transparence sur les coûts réellement supportés par EDF ».
http://www.economiematin.fr/news-l-ufc-que-choisir-s-insurge-de-la-hausse-des-factures-d-electricite