- ENTREE de SECOURS -



mercredi 26 mai 2021

Café de Paris (Les charlots) 10 Avril 1974

 Sandwiches: Jambon de Paris, saucisson: 1,70 franc (soit 1 fr = 15 cts d'€ / 25 centimes d'euro !!). Pâté: 1,50 Fr = 22 centimes d'euro). 18 cts d'€ le demi ! 10 cts de franc le café (1,5 centime d'euro !!) ! Y a 47 ans. La politesse, le respect. La vie. Et puis le jeux de l''enculette', le 'sauvage' (1 carte ou 2 ou 3 distribuées).

https://www.youtube.com/watch?v=_ImuuoSEL3M

30 commentaires:

  1. Le vaccin Moderna contient bel et bien un ingrédient douteux


    Philippe Huysmans
    Le vilain petit canard
    mar., 25 mai 2021 20:57 UTC


    Peut-être avez-vous déjà entendu parler de la polémique qui fait rage autour d'un des ingrédients listés par le fabricant Moderna pour l'élaboration de son vaccin à ARNm. Tout débute lorsque, sur les réseaux sociaux, un internaute curieux à cherché à savoir à quoi correspondait l'ingrédient listé sous sa dénomination commerciale, le SM-102.

    Ceci faisait suite à la publication, sur le site officiel de l'État du Connecticut de la liste des substances intervenant dans la fabrication du vaccin de Pfizer et celui de Moderna.

    Tout d'abord il faut savoir que le produit SM-102 est une dénomination commerciale, un peu comme les fraises Tagada sont un produit du catalogue de la société Haribo.

    En l'occurrence, le SM-102 est un produit de la société Cayman Chemical

    Vous pouvez trouver sa fiche technique ici. Il s'agit d'un amino lipide ionisable (corps gras, donc), dont la description stipule :
    Le SM-102 est un lipide aminé ionisable qui a été utilisé en combinaison avec d'autres lipides dans la formation de nanoparticules lipidiques.1 L'administration d'ARNm de luciférase dans des nanoparticules lipidiques contenant du SM-102 induit l'expression de la luciférase hépatique chez la souris. Des formulations contenant du SM-102 ont été utilisées dans le développement de nanoparticules lipidiques pour l'administration de vaccin à base d'ARNm.

    - voir doc sur site -

    Le problème ? Sur la page de description du produit on trouve l'avertissement suivant :
    AVERTISSEMENT : Ce produit n'est pas destiné à un usage humain ou vétérinaire 1.

    Ce que les internautes pointaient du doigt c'est que le SM-102, le fameux lipide est stabilisé en le diluant dans du chloroforme qui s'avère pour l'homme un poison violent. Le produit final contient 90% de chloroforme pour 10% de lipide.

    Sentant le désastre arriver, les représentants de la ligue du beau, du bon et de la vérité vraie (les débunkeurs à gages) se sont aussitôt attelés à la tâche qui consistait à désamorcer ce qui est dans le fond, une bombe.

    C'est précisément quand j'ai lu ces débunkages d'une maladresse crasse que j'ai commencé à croire sérieusement qu'il y avait anguille sous roche, et nous le verrons, c'est une belle bête.

    Petit florilège des arguments des débunkeurs :

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  2. Le vaccin Moderna ne contient pas de chloroforme mais utilise du SM-102, qui fait partie du lipide utilisé pour délivrer le code génétique, ou ARNm de la protéine de pointe qui recouvre le coronavirus, dans nos cellules. Source : AP

    Les messages ignorent les informations sur Cayman Chemical qui répertorie le chloroforme comme «composant dangereux» sur la fiche de données de sécurité du produit et répertorie le SM-102 séparément sous «autres ingrédients». Source : AP

    Le chloroforme est utilisé comme milieu stabilisant pour transporter les lipides, a déclaré le Dr Nicholas Davidson, médecin et biologiste lipidique. «Ils ne sont certainement pas injectés avec du chloroforme», a déclaré Davidson à propos des vaccins. Source : AP

    Le vaccin Moderna contient des lipides comme le SM-102, et ils sont sans danger pour l'homme. Les lipides permettent à l'ARNm utilisé dans le vaccin de se glisser dans une cellule en recouvrant la molécule d'une enveloppe grasse. Les sociétés de biotechnologie vendent des versions du lipide en suspension dans une solution de chloroforme aux sociétés pharmaceutiques à des fins de recherche. Le chloroforme est toxique, mais pas le lipide lui-même. Cette version ne fait pas partie du vaccin COVID-19. Source : Politifact

    Le vaccin COVID-19 de Moderna est-il toxique? S'adressant au Newsweek, Al Edwards, responsable de l'impact pour la division de recherche en pharmacie de l'Université de Reading, a déclaré que certains solvants sont souvent utilisés pour préparer des choses comme les lipides, mais sont éliminés après utilisation. «Je ne connais pas le processus exact utilisé pour fabriquer le vaccin Moderna, mais même s'il s'agissait de dissoudre le lipide dans un solvant tel que le chloroforme, toute quantité résiduelle de solvant laissée dans le vaccin - si elle n'est pas complètement éliminée - serait mesurée très précisément et répertorié comme un ingrédient. Il ne serait également autorisé que s'il était connu pour être sûr », a ajouté Edwards.

    Quelques éléments de réflexions sur ces arguments :

    Ne contient pas de chloroforme ? Ah, ils ont donc retiré totalement le chloroforme pour ne garder que le lipide SM-102 sans casser la fragile molécule. Ils ont utilisé quel solvant, du coup ? Se souvenir que ce produit a bel et bien été utilisé tel quel pour l'expérimentation de vaccins ARNm sur des primates.
    Eh bien c'est là qu'est l'os, en fait, nous y reviendrons.

    Idem que pour le point 1. Reste à nous expliquer par quel solvant ils ont remplacé le chloroforme sans détruire le lipide.

    Cette version ne fait pas partie du vaccin COVID-19 : est un complet mensonge c'est bien le produit qu'ils ont utilisé, indiqué par sa dénomination commerciale, et Cayman ne produit pas d'autre version (API) de ce lipide.
    Du grand n'importe quoi, il vaut mieux garder en tête que ces vaccins restent des produits expérimentaux et n'ont jamais fait l'objet d'une procédure d'agréation FDA autre qu'une Autorisation de Mises sur le Marché Conditionnelle (AMMC).

    De fait, vous pouvez être bien sûr qu'il y a comme qui dirait un problème puisque presque immédiatement après le début de cette polémique, Cayman Chemical s'était fendu d'un communiqué précisant notamment :
    SM-102 pour la recherche uniquement (RUO)

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  3. Les produits de qualité RUO, tels que le Cayman's SM-102 (article n ° 33474), sont destinés uniquement à une utilisation in vitro ou animale (exploratoire ou préclinique).

    [...] Les API utilisées pour la fabrication pharmaceutique commerciale adhèrent à des directives strictes en vertu des protocoles de bonnes pratiques de fabrication (GMP) réglementés par la FDA afin de garantir leur sécurité pour un usage humain et vétérinaire.

    [..] Les FDS sont nécessaires pour présenter le contenu et les dangers de chaque ingrédient d'un produit chimique expédié. La FDS du Cayman's SM-102 (article n ° 33474) indique avec précision que le mélange de produits chimiques dans le produit est composé de 90% de chloroforme (un solvant courant) et de 10% de SM-102. Bien qu'il s'agisse d'un solvant courant, le chloroforme présente plusieurs dangers graves connus, qui ont été inclus dans la FDS de Cayman.
    Dans lequel on comprend que Cayman Chemical a décidé de sortir immédiatement le parapluie (format familial) pour ne pas risquer d'être éclaboussée par le scandale qu'ils ont bien vu venir.

    Parce que le fondement du problème n'est pas de savoir si le vaccin contient ou pas du chloroforme 2, mais que le produit n'est tout simplement pas destiné à l'usage pharmaceutique. Pour produire des substances destinées à l'usage médical, les fabricants doivent suivre des règles draconiennes, qu'on appelle les règles GMP (Good Manufacturing Practices). Ce sont les fameux API mentionnés par Cayman. Chaque ingrédient rentrant dans la composition du produit fait l'objet d'une évaluation permanente, il doit respecter des critères de pureté très stricts, chaque lot est libéré par le pharmacien, et s'accompagne du dossier complet de production, qui peut être audité ultérieurement par la FDA ou des mandataires du client. La moindre déviation fait l'objet d'un rapport et la traçabilité doit être totale.

    Rien de tout ça ici, le SM-102 est fabriqué comme n'importe quel produit qui n'est pas destiné à l'usage humain ou même vétérinaire. Je vous laisse imaginer l'écart de prix entre une version RUO et une version API d'une même substance, on arrive aisément à un prix multiplié par mille.

    Ce SM-102 n'a pas sa place dans l'élaboration d'un vaccin, c'est un produit chimique lambda fabriqué sans aucun respect des procédures en vigueur dans l'industrie pharmaceutique. À cette aune, à quand les poils de chauve-souris dignes de figurer dans les potions concoctées dans le chaudron de Gargamel ? Une petite goutte de sang de pangolin tué à la pleine lune, peut-être ? Il est là le scandale, et les débunkages bidons ne changent rien à ce simple fait.

    Notes :

    1.WARNING This product is not for human or veterinary use.

    2.Ce qui reste quand même à établir, or pour l'instant, c'est le silence radio du côté de Moderna qui n'a pas souhaité répondre aux demande des débunkeurs à gage.

    https://fr.sott.net/article/37332-Le-vaccin-Moderna-contient-bel-et-bien-un-ingredient-douteux

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  4. L'affichage excessif et hypocrite de la « grandeur d'âme » des vaccinés et la secte totalitaire de la « culture woke »


    Brandon Smith — Alt-Market.us
    Sott.net
    mar., 25 mai 2021 17:17 UTC


    Tous les systèmes tyranniques ont besoin d'un important contingent de zélateurs pour survivre et prospérer ; un groupe d'acolytes exploitables et dévoués qui porteront le flambeau et évangéliseront les masses grâce à un contrôle idéologique. Sans ce pourcentage belliqueux de la population, les totalitaires ne peuvent rester au pouvoir. Aux États-Unis et dans la plupart des pays occidentaux, les idéologues gauchistes ont parfaitement rempli ce rôle. Ils prétendent se battre pour les droits des opprimés, mais leurs actions sont bien plus éloquentes que leurs paroles.

    Note du traducteur : Ce sont aussi de fervents adeptes de l'anti-racisme propre sur soi véhiculé par et dans la « culture woke » terme dérivé de wake, verbe anglais qui signifie « se réveiller », en l'occurrence ici, face à « l'injustice ».

    « On s'est fait vacciner ! Vous ne voulez pas vous joindre à nous ?... »

    Ils ont vicieusement soutenu et défendu presque toutes les mesures draconiennes que les gouvernements et les élites corporatives ont adoptées au cours des dernières années. Ils ont soutenu la censure massive des conservateurs et des modérés pratiquée par les entreprises du Big Tech. Ils ont soutenu les confinements nationaux à l'origine de la destruction de centaines de milliers de petites entreprises et de la violation des droits constitutionnels de millions d'Étatsuniens [et d'occidentaux en général - NdT]. Ils continuent à soutenir des mesures visant à porter un masque, dont il a été prouvé de manière scientifique qu'elles n'apportent rien de concret en termes de prévention de la propagation virale. Ils soutiennent le recours à des « passeports vaccinaux » qui excluraient concrètement les personnes non vaccinées du système économique et de la société, et les plongeraient de facto dans la pauvreté. Et les voilà à présent qui envahissent le Web pour diffuser leur propagande en faveur des injections vaccinales.

    Nous connaissons ces créatures déséquilibrées sous de nombreux vocables : guerriers de la justice sociale, générations Y et Z, puritains, gauchistes, marxistes, communistes, mondialistes, collectivistes, narcissiques, etc. En gros, elles sont parmi les pires personnes de la planète, et alors qu'elles parlent généralement d'un « racisme institutionnel » qui n'existe pas, d'une culture du viol qui n'existe pas, ou d'un patriarcat qui n'existe pas — bien que je commence à me demander si nous ne devrions pas en créer un — avec la « crise » du Covid, elles se sont aujourd'hui dégoté une nouvelle marotte.

    Mais avant de parler de la secte totalitaire de la « culture woke » et de sa relation perverse avec l'establishment, je dois poser une question fondamentale sur le « vaccin », une question que personne dans le courant dominant ne semble poser :

    Pourquoi devrions-nous prendre un vaccin expérimental à ARNm pour un virus auquel 99,7 % des gens, en dehors des maisons de retraite, survivront facilement ?

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  5. À elle seule, cette question fait généralement péter les plombs des adeptes du « vaccin » anti-Covid. La plupart d'entre eux, pour une raison quelconque, croient encore que le taux de mortalité du Covid est de « 3 % ou plus ». Pourquoi colportent-ils ces absurdités ? Eh bien, je voudrais faire remarquer que les médias grand public ne parlent JAMAIS du taux de mortalité du Covid ; ils laissent plutôt les gens faire des hypothèses basées sur des éléments qu'ils ont par le passé entendus de la part d'entités comme l'Organisation mondiale de la santé ou le CDC.

    Le chiffre de 3 % semble provenir de PRÉDICTIONS faites par l'OMS en janvier 2020, avant que le virus n'ait atteint les États-Unis, ainsi que d'une étude préliminaire du Lancet. Ces prédictions ont été avancées par l'Imperial College de Londres, une institution mondialiste qui a conçu des scénarios alambiqués de restrictions et de confinements utilisés désormais par les nations du monde entier pour contrôler les populations. Leurs modélisations étaient à ce point erronées que toute personne familière avec la théorie statistique ou la gestion médicale en est déconcertée.

    Il s'avère que le taux de mortalité lié au Covid est de seulement 0,26 % parmi les personnes infectées — il n'a jamais été de 3 % — et nous le savons depuis longtemps. Les patients des maisons de retraite souffrant de maladies préexistantes représentent environ 40 % de tous les décès. Plus de 80 % des décès concernent des personnes âgées de plus de 65 ans. Et, selon le CDC, au moins 30 % de toutes les hospitalisations liées au Covid étaient dues à des complications associées à une obésité sévère.

    Donc, si vous n'avez pas plus de 65 ans et que vous n'êtes pas une masse adipeuse, les statistiques montrent que le risque d'être infecté par le Covid est infime. Si vous avez plus de 65 ans et que vous êtes gros, le risque de mourir en cas d'infection est de 0,26 %. Si vous avez plus de 65 ans, que vous êtes gros et que vous vivez dans une maison de retraite, alors vous devriez peut-être vous inquiéter.

    En somme, le Covid ne constitue pas une menace pour la grande majorité d'entre nous, mais il n'en reste pas moins qu'un grand nombre de personnes sont névrosées et désireuses selon toute apparence soit d'en avoir peur quand même, soit de vouloir nous effrayer.

    La posture, lamentatoire et donneuse de leçons qui entourent les vaccinés devient de plus en plus bizarre. Il existe de nombreuses vidéos YouTube et TikTok ainsi que pléthore d'articles sur les médias sociaux publiés par des personnes qui clament fièrement avoir été vaccinées, comme si elles venaient d'être touchées par la grâce de, et choisies par, Dieu.

    En outre, l'idolâtrie dont jouissent certains escrocs de la médecine comme le Dr Anthony Fauci est proprement horripilant [et franchement pathétique - NdT]. Si vous ne me croyez pas, regardez quelques exemples dans la vidéo ci-dessous :

    Les Guerriers de la justice sociale semblent tenter par tous les moyens de banaliser les vaccins anti-Covid en fabriquant un consensus. Si tout le monde fait de même, vous pourriez être exclu et isolé de la foule, une perspective qui n'est pas franchement rassurante.

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  6. J'accorde peut-être trop d'importance à tout cela, mais je perçois un grand désespoir derrière cette simulation de mouvement citoyen spontané contre les « anti-vaxx ». Personne n'écoute la secte woke, personne ne les apprécie et personne n'a confiance dans l'honnêteté de leur objectif ou dans la véracité de leurs informations. Pourtant, ils exercent dans notre société un pouvoir considérable grâce au soutien dont ils bénéficient de la part des gouvernements et des entreprises. Leur relation avec l'establishment est symbiotique.

    Note du traducteur : La simulation d'un mouvement citoyen soi-disant spontané est un outil de propagande aussi appelé « astrosurfing », mené à des fins d'ordre politique ou économique pour fabriquer l'opinion, l'amener à croire qu'il s'agit d'un sentiment majoritairement partagé et que l'existence — fausse — d'un consensus sur la question justifie de se positionner dans son sens.
    Cela ne veut pas dire que toutes ces personnes sont conscientes de la stratégie sous-jacente. La mentalité qui se cache derrière l'affichage excessif et hypocrite de la « grandeur d'âme » des vaccinés peut être attribuée à certaines faiblesses de base dont souffre le gauchiste moyen.

    Tout d'abord, ils ont l'habitude de compter sur le gouvernement et le système en général pour leur procurer un sentiment de normalité. En d'autres termes, ils vénèrent le vaccin anti-Covid en partie parce qu'ils le considèrent comme un moyen de se concilier les faveurs du gouvernement et d'en retirer certains conforts. Malheureusement, s'ils n'étaient pas aussi lâches, ils se rendraient compte que ce confort peut leur être repris à tout moment.

    Dans mon comté, et pendant la majeure partie de l'année dernière, les résidents ont ignoré les directives anti-Covid. Personne ne porte de masque. Personne ne pratique la distanciation sociale. Et plus de 70 pour cent de la population n'est pas vaccinée. La conséquence ? Seulement 17 décès l'année dernière, dont la plupart étaient des personnes avec des conditions préexistantes, et pendant toute cette fichue période, nous sommes restés libres parce que nous avons choisi de l'être.

    Ensuite, les gauchistes argumentent toujours à partir d'une position dite de « la majorité », même lorsqu'ils ne constituent pas ladite majorité. Le Covid est un outil, un peu comme un pied de biche psychologique utilisé pour influencer et obtenir une conformité, qui s'appuie sur le fait [mensonger - NdT] qu'il constitue une menace pour tout le monde. Et, si tout le monde est menacé par le même croquemitaine, alors tout le monde fait partie du même monolithe, du même collectif. Et si tout le monde fait partie du même collectif, alors tout le monde doit combattre ce croquemitaine ensemble, dans l'unité. Si vous ne travaillez pas avec le collectif, cela signifie que vous travaillez contre le collectif.

    « Nous vivons dans une société », crachent avec sarcasme et arrogance les gauchistes, « ce qui signifie que vous devez faire ce que NOUS déclarons être ce qu'il y a de mieux pour tout le monde ».

    Comme je l'ai déjà expliqué en détail ci-dessus, le Covid ne constitue pas une menace pour tout le monde. Ce n'est même pas une menace pour plus de 0,26 % des gens. Nous ne « vivons PAS dans une société », du moins, nous ne vivons pas dans leur société ou selon leurs règles. Ils ne se soucient pas de sauver des vies, c'est juste l'excuse dont ils ont besoin pour exercer un contrôle. Le contrôle étant ce qu'ils désirent le plus.

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  7. Comment je le sais ? Considérez la frénésie que suscite l'existence même des militants anti-confinement et des « anti-vaxx ». Observez la fréquence à laquelle ils parlent de nous. Ils ne peuvent pas s'en empêcher. Pourquoi ces gens se soucient-ils tant de savoir si nous nous faisons vacciner ou pas ? Si le « vaccin » fonctionne réellement, alors nous ne représentons aucun risque pour eux, et quand bien même ce serait le cas, lorsque nous mourrons tous d'une mort horrible à cause du Covid, ils pourront dire « nous vous l'avions dit ».

    Ce qu'ils craignent vraiment, c'est que nous ayons raison et qu'ils aient tort. La science est certainement de notre côté et l'a été pendant toute la durée de la pandémie. L'OMS avait tort, le CDC avait tort, l'Imperial College de Londres avait tort. Les militants anti-confinement étaient plus proches de la vérité que tous ces acteurs réunis. Il a été prouvé que les masques sont inutiles. Il a été prouvé que les confinements sont inutiles. Les prévisions du taux de mortalité se sont avérées très exagérées. Et maintenant, la nécessité même des « vaccins » est remise en question.

    En ce qui concerne le récent récit des médias grand public, nous pouvons tirer quelques conclusions.

    Primo, le déploiement des « vaccins » ne se déroule pas comme prévu. Chaque jour, les médias sont inondés d'articles sur « l'hésitation à se faire vacciner » et sur ce que le gouvernement doit faire pour y remédier. Ce qui me fait dire que beaucoup trop d'Étatsuniens refusent de se faire vacciner, et que la propagande est donc poussée à son paroxysme [ce qui vaut pour les pays occidentaux en général - NdT]. Je soupçonne que l'étalage soi-disant vertueux qui est fait du « vaccin » anti-Covid fait partie de cette campagne, ou du moins qu'il est encouragé par l'establishment. Ne voulez-vous pas être du bon côté de l'histoire ? Ne voulez-vous pas être du « côté qui se soucie des autres » ? Ou alors voulez-vous être du « côté des égoïstes », du côté de ceux qui veulent tuer grand-mère, du côté de ceux qui sont racistes, sexistes, méchants et répugnants ?

    Deuxio, ce problème ne va pas disparaître et si nous continuons à le défier, l'establishment entend bien insister dessus. Par le passé, j'ai vu la suggestion de la « contrainte » être abordée avec précaution, mais récemment, le discours est devenu plus agressif. Le mot « contrainte » apparaît plus souvent. Les médias cherchent à nous rappeler qu'en vertu de cette loi, l'establishment pourrait nous obliger à nous faire vacciner. Le message ? Autant se faire vacciner maintenant pour éviter tout désagrément plus tard.

    Nous savons tous que cela finira tôt ou tard en lutte armée, mais les élites ont besoin d'une proportion énorme de personnes favorables aux directives afin d'assujettir efficacement les individus épris de liberté. Cette proportion énorme leur fait défaut et cela se voit.

    Les adeptes de la secte woke sont sous le joug de cette même propagande tous les jours ; le message qu'ils reçoivent cinq sur cinq est le suivant : le système signale que les « vaccins » seront obligatoires, que ce soit par déclaration du gouvernement ou par exigence des entreprises. Alors, les gauchistes se démènent pour témoigner de leur allégeance à leur dieu — l'État — et agissent comme de bons petits fantassins pour engranger des points de vertu supplémentaires.

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  8. Il existe de nombreuses raisons de ne pas accepter un « vaccin » expérimental, certaines d'entre elles étant scientifiques et d'autres fondées sur des principes. Je voudrais simplement souligner que de nombreux virologues se sont prononcés sur l'innocuité de ces « vaccins », y compris un ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, qui, avec ses pairs, a conclu que PERSONNE ne devrait accepter les « vaccins » à ARNm tant que des tests supplémentaires n'ont pas été effectués, faute de quoi il existe un risque considérable d'effets à long terme sur la santé, notamment l'infertilité et des troubles auto-immuns.

    Note du traducteur : En effet, et nous renvoyons nos lecteurs vers les articles suivants pour creuser le sujet :
    Dépeuplement ? Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l'ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu'ils considèrent dangereuses
    Eugénisme et contrôle de l'humanité — Les plans des élites sont purement et simplement démoniaques
    18 raisons pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre le Covid
    Le « vaccin anti-Covid » est-il une arme de destruction massive ?
    L'absurdité des « vaccins » anti-Covid
    Comment les « vaccins » Covid-19 pourraient détruire la vie de millions de personnes
    L'ineptie des « vaccins » à ARN pour « traiter » le Covid-19
    Les critères de référence des tests des vaccins anti-Covid sont truqués et les effets secondaires sont désastreux

    Le mouvement en faveur de la thérapie génique par ARNm relève essentiellement d'un gigantesque essai expérimental dans lequel les masses sont utilisées comme cobayes à leur insu. Nous n'avons vraiment aucune idée des conséquences qui en résulteront, mais j'ai le sentiment que nous en verrons les conséquences dans les toutes prochaines années et qu'elles seront affreuses. Ce n'est pas pour rien que les gouvernements font en sorte qu'il soit légalement impossible de poursuivre les fabricants de vaccins pour leurs effets secondaires.

    Publicité actuelle : « Montrez votre carte de vaccination anti-Covid pour obtenir un doughnut glacé gratuit »
    Au-delà des nombreuses préoccupations sanitaires, il y a aussi le problème de l'incrémentalisme. Une seule injection pourrait ne pas constituer en soi une grande menace. Pour la plupart des gens, il s'agit peut-être d'un pari qui ne finira pas mal. Mais qu'en est-il de la prochaine ? Et de la suivante ? Qu'en est-il des vingt prochaines injections ? Le gouvernement et les médias mentionnent aujourd'hui une demi-douzaine de variants différentes du Covid qui seraient potentiellement résistants aux actuels « vaccins » et plus dangereux que la première version du virus.

    Note du traducteur : Le principe central de l'incrémentalisme stipule que les politiques publiques évoluent le plus souvent de façon graduelle et par un mécanisme de petits pas. Les changements successifs sont très légers, voire imperceptibles, mais leur accumulation peut aboutir à un changement radical en regard des décisions prises initialement.

    Le fait d'avancer par petits pas comporte d'ailleurs ici « un avantage tactique » en ce sens que
    « chaque nouvelle étape [...] étant perçue comme un prolongement, il est plus facile de convaincre les différentes parties prenantes d'adhérer aux solutions proposées » (Vidaillet, 2005, p. 241).
    Il s'agit certainement d'un mensonge, mais cela montre bien que les mesures restrictives sont destinés à durer éternellement. Si nous les acceptons maintenant, elles ne prendront jamais fin. Ce n'est pas parce que vous êtes « vacciné » aujourd'hui que vous serez libre demain.

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  9. Et, avec chaque nouveau « vaccin », surgit le spectre des passeports vaccinaux. Et avec les passeports vaccinaux surgit le spectre d'une micro-gestion gouvernementale complète de la vie des gens. Bien sûr, vous pouvez choisir de ne pas vous faire « vacciner », mais le système va s'assurer que votre décision vous pénalise jusqu'à ce que vous ne puissiez plus survivre sans être « vacciné ». Le « vaccin » est un tremplin vers la tyrannie déguisé en empathie et en devoir envers votre communauté.

    Toutefois, la secte woke adore ce genre d'environnement. C'est le type de grotte sombre et gluante dans laquelle ses adeptes aiment se nicher. Le besoin de contrôler les autres est une aberration, une déficience mentale commune aux psychopathes, mais dans le nouveau monde, les maniaques du contrôle sont légitimés et ont le champ libre. Ironie frappante : ces personnes aiment contrôler, mais elles aiment aussi ÊTRE contrôlées. Leurs chaînes leur procurent confort et sécurité. Le monde est un endroit effrayant et pour y vivre tout en étant indépendant, il faut du courage, de la force mentale et la volonté d'apprendre de ses erreurs afin de gagner en sagesse et en expérience.

    Les platitudes et les pontificats de la horde gauchiste sont une façon pour eux de tenter d'éviter les vicissitudes de la vie réelle ; en se soumettant à l'État, aussi douteux ou maléfique soit-il, ils cherchent à se procurer un sentiment de sécurité face à leurs propres peurs irrationnelles, leurs faiblesses et leurs insuffisances. Comme l'a dit un jour l'auteur Robert Anton Wilson :
    « Le soumis se considère toujours comme vertueux plutôt que lâche. »

    Note du traducteur : Compte tenu du niveau pathologique de la pensée de groupe, il n'est pas étonnant que de nombreux autres observateurs perspicaces quant à cette volonté de « vacciner, vacciner, vacciner » aient également décrit ce phénomène aux multiples aspects comme étant de nature sectaire :
    Tous aux abris et brûlez les hérétiques — La secte moderne du Corona
    Les « vaccins » anti-Covid-19 ou l'apocalypse d'une secte mise en lumière par une nouvelle étude
    Coronavirus : Une nouvelle Inquisition
    Les dessous d'une mauvaise science devenue religieusement universelle
    L'hystérie collective du Covid-19 et le « processus alchimique de l'humanité »

    Source de l'article initialement publié en anglais le 13 mai 2021 : Alt-Market.us
    Traduction : Sott.net

    https://fr.sott.net/article/37330-L-affichage-excessif-et-hypocrite-de-la-grandeur-d-ame-des-vaccines-et-la-secte-totalitaire-de-la-culture-woke

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    Réponses
    1. C'est fini ! Les condamnés à mort n'auront plus droit à une dernière cigarette ou a un verre de rhum !
      Aujourd'hui c'est Donut ! (livrable aussi en suppo).

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  10. La jeune mannequin Stéphanie Dubois décédée après avoir pris le vaccin AstraZeneca


    Le Média en 4-4-2.
    Réseau International
    mar., 25 mai 2021 17:47 UTC


    Stéphanie Dubois est mannequin chez RMG Model Agency. Hospitalisée et dans le coma après une hémorragie cérébrale, elle est décédée le 22 mai. Son état serait une réaction au vaccin Covid AstraZeneca. Le 6 mai, Stéphanie Dubois se fait vacciner, voici le récit qu'elle nous livre sur son Facebook.

    - voir doc sur site -

    Le 14 mai à 11 h 20, Stéphanie raconte qu'elle se sentait bien au réveil et puis d'un coup tout bascule, mal de tête, étourdissement, tremblements. Pensant qu'elle avait le Covid, ses parents l'accompagnent pour faire un test qui s'avèrera négatif. Excitée et heureuse par son projet de week-end à Chypre, elle se résout à tout annuler pour finalement partir pour des analyses sanguines complètes.

    - voir doc sur site -

    À 16 h 20 elle remercie tous ses soutiens et annonce que quelque chose cloche avec le résultat de ses analyses qui annonce un nombre de globules blancs élevés. Complètement vidée, sans énergie, souffrant aux articulations, la jeune mannequin avoue avoir eu très peur et décide de prendre du repos pour revenir en forme.

    - voir doc sur site -

    Le 18 mai tout semble aller mieux, elle doit faire quelques tests.

    Le 19 mai, l'oncle de Stéphanie publie le message de Brigitte Davenport (mère de Stéphanie) : les nouvelles ne sont pas bonnes. Le jeune mannequin est hospitalisée et gravement malade. Le pronostic vital n'est pas bon. Ceci a été provoqué par le vaccin AstraZeneca, qui lui a causé une hémorragie cérébrale, selon le récit de sa mère.

    - voir doc sur site -

    En réponse à un commentaire, l'oncle de la victime assure que l'issue est fatale, car, selon les médecins, le cerveau est atteint.

    - voir doc sur site -

    À ce stade, seul le Francesco Group Church Lane annonce avoir appris le décès du jeune mannequin :

    « Très triste d'apprendre la nouvelle que Stephanie Dubois soit décédée. Stephanie a modélisé pour nous il y a quelques années et faisait partie de notre collection gagnante. Nos sincères condoléances à sa famille ».

    - voir doc sur site -

    Commentaire : Stéphanie fait partie de la longue liste de personnes qui, après avoir été "vaccinés" sont morts. Combien de jeunes et de moins jeunes font confiance aux annonces télévisées sur ces "vaccins", à la propagande, etc, sans prendre un autre avis, sans faire une investigation, sans faire une recherche ? Les conséquences sont graves et l'information, pour l'instant encore, est accessible. Et puis faisons confiance a notre corps, très intelligent, pour lutter contre les virus, quels qu'ils soient.

    La liste des tragiques morts comme celle de cette jeune femme s'allonge de jour en jour. Jusqu'à quand ?

    https://fr.sott.net/article/37331-La-jeune-mannequin-Stephanie-Dubois-decedee-apres-avoir-pris-le-vaccin-AstraZeneca

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  11. Le Costa Rica ferme ses routes avec 5000 cas à SAN JOSE - élargissons le débat avec les bonnes questions à se poser


    Charles Dereeper
    mardi, 25 mai 2021 15:39


    J'ai eu les gens liés à ma sortie de tous mes assets du Costa Rica hier soir

    Ils me disent tous : oh la la, le Costa Rica a fermé ses routes hier à cause de 5000 cas à SAN JOSE.

    Le pouvoir a fait n'importe quoi ! Du coup, on a 5000 cas !

    J'ai osé quand même du haut de mon négationnisme poser 2 questions

    1 - combien de morts ?

    2 - combien de malades ?

    Et j'ai commenté aussi à chaque fois : me fais pas chier avec tes infos de singes. Etre positif ne veut rien dire. Parles moi du taux de maladie et de morts et ensuite, on commente ensemble.

    Devinez quoi...

    Personne n'a aucune idée du nombre de morts et de malades réels.

    La seule réponse que j'ai obtenu, ce fut : les hôpitaux sont pleins à craquer

    Ce qui me fait marrer. Je n'ai pas voulu les assommer et les confronter trop fort avec eux mêmes et leur laxisme, mais la question suivante dans ma bouche était :

    Quel est le taux d'occupation des hôpitaux ?

    Je connaissais déjà leur réponse : ils n'en ont aucune idée...

    Je vous écris ceci pour vous dire de confronter la réalité. De la quantifier. D'apprendre à la jauger.

    Les élites utilisent votre complaisance vis à vis de votre âme et de vos parents introjectés ou de votre enfant intérieur, donc utilisent votre chaos intérieur pour vous manipuler.

    Je ne connais sur cette terre que trois personnes (il en existe certes plus, mais ces profils sont d'une rareté exceptionnelle) qui n'idéalisent pas soit leur âme, soit leur enfant intérieur, soit leurs parents biologiques ou introjectés. Soit plusieurs à la fois.

    Avec un système de question simple, il est possible de confronter. De construire des frontières efficaces face à la carambouille.

    Le covid social n'est que le reflet de notre chaos intérieur.

    Nous sommes tous complices, même si cela ne semble pas évident au départ à comprendre.

    J'aimerais que parmi vous lecteurs, une partie fasse de l'ascension. VIA LA CONFRONTATION DE LA REALITE. VIA DU QUESTIONNEMENT SIMPLE. Comme je l'ai fait avec mes interlocuteurs immobiliers hier soir. Du questionnement sur la réalité EXTERIEURE mais aussi INTERIEURE.

    La bonne questions à se poser est la suivante : A QUI J'OBEIS ?

    Vous verrez que 99% d'entre vous ne pouvez pas passer le test. La plupart des humains qui marchent sur cette terre ne savent pas à qui ils obéissent quand ils sont dans l'action.

    C'est pour cela que le trading est un support exceptionnel pour se découvrir. Car le nombre d'occurence est infinie.

    Charles

    https://www.objectifeco.com/entreprendre/excellence-humaine/le-costa-rica-ferme-ses-routes-avec-5000-cas-a-san-jose-elargissons-le-debat-avec-les-bonnes-questions-a-se-poser.html

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  12. La protéine de pointe endommage les cellules vasculaires


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    26 mai 2021


    En 2020, de nombreuses personnes en ont appris davantage sur les coronavirus, et en particulier sur le virus SARS-CoV-2 qui cause le COVID-19. Des images du virus dopé ont été placardées dans les médias d'information.

    L'image rappelle une masse en chaîne ou un fléau. C'était une arme médiévale avec une boule d'acier à pointes au bout d'une chaîne ou d'un bracelet en cuir. L'image peut être effrayante. Il s'avère que les chercheurs pensent que les pointes sont responsables de dommages vasculaires importants menant à une maladie grave.1

    La plupart des gens seront infectés au moins une fois dans leur vie par un type de coronavirus. Si la pandémie COVID-19 est la première fois que vous entendez parler des coronavirus, sachez que le premier a été découvert chez des poulets en 1930.2 Quelques décennies plus tard, le premier coronavirus humain a été identifié.3

    Actuellement, les scientifiques ont identifié quatre types de coronavirus qui sont endémiques et peuvent causer jusqu'à 15% des rhumes communs.4 Fait intéressant, si tous les coronavirus sont originaires de la nature, le taux de mutation du virus s'est considérablement accéléré en 20 ans.

    Au cours des deux dernières décennies, trois nouveaux coronavirus sont apparus: le SRAS en novembre 2002; 5 MERS en septembre 2012; 6 et le SRAS-CoV-2 en décembre 2019.7 Les symptômes du COVID-19 d'une infection par le SRAS-CoV-2 peuvent varier dans une large mesure.

    Certaines personnes porteuses du virus n'ont présenté aucun symptôme. D'autres signalent de la fièvre, des maux de tête, des courbatures, une toux sèche, une perte d'appétit et une perte d'odorat.8 Dans d'autres, des symptômes plus graves peuvent se développer et affecter les voies respiratoires et conduire à une pneumonie.

    Environ 36% des personnes ont éprouvé des symptômes gastro-intestinaux ou neurologiques, avec ou sans symptômes respiratoires.9 Un article récent publié dans Circulation Research10 a révélé que ce sont les protéines enrichies du virus qui jouent un rôle clé dans vos symptômes.

    - voir clip sur site -

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  13. Le SRAS-CoV-2 à pointes endommage plus que vos poumons

    Une équipe de chercheurs comprenant des scientifiques de l'Université de Californie à San Diego a évalué les effets du virus SARS-CoV-2 chez les animaux. Les chercheurs n'ont pas été surpris par les résultats cliniques, mais les données ont révélé une explication détaillée de la façon dont la protéine de pointe (S) provoque des dommages au système vasculaire.11

    Les chercheurs ont créé un pseudo virus, ou une cellule entourée par les protéines de pointe qui ne contenaient pas de virus.12 En utilisant un modèle animal, les chercheurs ont administré le pseudo virus dans les poumons et ont découvert que le virus n'était pas nécessaire pour créer des dommages. Au lieu de cela, la protéine de pointe était suffisante pour provoquer une inflammation.

    L'expérience a ensuite été répliquée en laboratoire à l'aide de cultures cellulaires. L'équipe a exposé des cellules endothéliales saines qui tapissent vos artères au pseudo virus dopé. Des études antérieures avaient démontré que l'exposition au virus SRAS-CoV-2 provoquait des dommages aux cellules en se liant à l'enzyme de conversion 2 de l'angiotensine (ACE2).

    Cependant, l'équipe a découvert que les cellules répondaient de la même manière lorsqu'elles étaient exposées au pseudo virus. Lorsque la protéine S s'est attachée au récepteur ACE2, elle a perturbé la signalisation vers les mitochondries et provoqué des dommages et une fragmentation. Les altérations de la fonction mitochondriale ont été confirmées dans le cadre de l'inhibition de la signalisation ACE2 en laboratoire.

    Les résultats ont également révélé que le virus pouvait induire une inflammation des cellules endothéliales et une endothéliite. La protéine aurait diminué les niveaux d'ACE2 et altéré la biodisponibilité de l'oxyde nitrique.13 Le co-auteur principal de l'étude, Uri Manor, a expliqué dans un communiqué de presse du Salk Institute: 14

    «Si vous supprimez les capacités de réplication du virus, il a encore un effet néfaste majeur sur les cellules vasculaires, simplement en raison de sa capacité à se lier à ce récepteur ACE2, le récepteur de la protéine S, désormais célèbre grâce au COVID. D'autres études avec des protéines de pointe mutantes fourniront également de nouvelles informations sur l'infectivité et la gravité des virus SARS-CoV-2 mutants. »

    Les symptômes sur de longues distances peuvent être liés à des dommages vasculaires

    Certains des symptômes du COVID-19 qui durent des semaines ou des mois pour certaines personnes peuvent être le résultat de lésions vasculaires. Les personnes qui ont présenté ces symptômes ont reçu le nom de «long-courriers» 15.

    En théorie, ils se sont remis des pires symptômes de la maladie et leur test est négatif. Pourtant, ils continuent à présenter des symptômes sans infection active. Selon un article du JAMA16, environ 10% des personnes qui ont eu le COVID-19 peuvent présenter des symptômes à long terme.

    Les Centers for Disease Control and Prevention17 rapportent qu'une combinaison des symptômes suivants sans infection active au COVID peut apparaître des semaines après l'infection et durer des mois. Les symptômes peuvent s'aggraver après une activité physique ou mentale.

    - voir cadre sur site -

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  14. La physiopathologie prédominante du COVID-19 comprend les lésions endothéliales et microvasculaires, la stimulation de l'hyperinflammation et l'hypercoagulabilité.18 Une revue récente dans Physiological Reports19 a examiné comment les lésions capillaires et l'inflammation de l'endothéliite déclenchées par le COVID-19 pourraient contribuer aux symptômes persistants en interférant avec oxygénation des tissus.

    Les effets combinés des lésions capillaires dans plusieurs organes clés peuvent accélérer l'inflammation liée à l'hypoxie et entraîner des symptômes à long terme. Bien que l'exercice aggrave temporairement les symptômes à long terme et que certains aient rejeté l'entraînement par intervalles à haute intensité (HIIT) comme option, un article publié dans Frontiers in Cardiovascular Medicine du Danemark suggère le contraire.20

    Les auteurs de cette étude soutiennent que la physiopathologie du COVID-19 peut être surmontée par les effets physiologiques du HIIT et qu'il devrait être considéré comme l'un des choix de rééducation pour potentiellement inverser ces symptômes. Ils suggèrent que l'exercice pourrait augmenter la clairance virale et moduler la signalisation du TNF-alpha et de l'interleukine-1 bêta.

    Cela peut à son tour réduire l'inflammation vasculaire. Ils reconnaissent que le HIIT est le type d'intervention d'exercice le plus controversé à prescrire après le COVID-19, en raison du risque d'arrêt cardiaque soudain secondaire à des dommages cardiovasculaires.

    Plusieurs experts21,22 recommandent même aux personnes habituées aux exercices de haute intensité de passer d'abord un examen cardiovasculaire et d'aborder progressivement leur retour à l'activité physique. Ils citent une petite étude rétrospective de 28 personnes ayant des antécédents de COVID-19 dans laquelle les chercheurs ont conclu que «la rééducation cardio-pulmonaire complète après COVID-19 est sûre, faisable et efficace.» 23

    Un traitement précoce peut réduire le nombre de longs transporteurs

    Dans mon entretien avec le Dr Vladimir Zelenko en mars 2021, nous avons discuté du traitement du COVID-19 par l'hydroxychloroquine. À ce stade, Zelenko avait traité 3 000 patients présentant des symptômes du COVID-19 et seuls trois de ses patients à haut risque avaient succombé à la maladie.

    Alors que l'interview était centrée sur les protocoles de traitement et l'utilisation de l'hydroxychloroquine, un médicament antipaludique, Zelenko a partagé une statistique intéressante sur son protocole. Dans les premiers mois du COVID-19, Zelenko a décidé de traiter ses patients à haut risque le plus tôt possible, sans attendre l'apparition de symptômes sévères. Cela s'est avéré être l'une des clés de son succès significatif.

    Sans attendre les résultats des tests qui prenaient souvent cinq jours, moment auquel les patients à haut risque présentaient des symptômes plus graves, il a immédiatement commencé le traitement. Sa compréhension du mécanisme derrière l'hydroxychloroquine et le zinc a conduit à l'utilisation de l'association aux côtés de l'azithromycine, pour prévenir la pneumonie bactérienne et d'autres infections bactériennes courantes avec COVID.

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  15. Ce qui est intéressant, ce sont les statistiques des patients de Zelenko présentant des symptômes à long terme. Comme je l'ai mentionné, environ 10% de la population infectée par le COVID-19 continueront à éprouver des symptômes persistants.24 Cependant, Zelenko a traité 3000 patients et aucun de ceux qui ont reçu un traitement dans les cinq premiers jours ne s'est développé longtemps. -des symptômes de halage.

    Bien qu'il ait eu des patients présentant des symptômes persistants du COVID-19, ils ont cherché des soins médicaux après les cinq premiers jours de symptômes, ce qui signifiait que le processus inflammatoire avait avancé. D'après son expérience et celle des patients qu'il a traités, une intervention précoce avec le protocole a presque éliminé le risque de symptômes persistants.

    Les chercheurs trouvent une autre cible vaccinale

    Au cours du développement du vaccin, les chercheurs et les sociétés pharmaceutiques se sont concentrés sur la protéine de pointe qui entoure le virus. Il semble que c'est ainsi que le virus pénètre dans les cellules et qu'il semblait raisonnable que le virus ne puisse pas se répliquer à l'intérieur des cellules, l'infection pourrait être stoppée.

    Cependant, comme cela a été découvert, le virus a plus qu'une simple protéine de pointe.25 Il existe quatre protéines qui forment la structure entourant l'ARN. Il y a une enveloppe (E), une membrane (M) et une nucléocapside (N), en plus du pic (S). Votre système immunitaire reconnaît ces quatre protéines. Les chercheurs ont découvert que les humains fabriquent plus d'anticorps contre la protéine N que contre la protéine S.26

    Cependant, il semblait contre-intuitif d'aborder la protéine N puisque celle-ci se trouve à l'intérieur de la structure avec l'ARN viral. Par conséquent, les anticorps que votre corps produit contre la protéine N n'empêcheront pas le virus de pénétrer dans les cellules.27 De nouvelles informations ont révélé qu'une fois que les anticorps de la protéine N pénètrent dans la cellule, ils sont reconnus par un récepteur antibiotique, TRIM21.

    Ce récepteur d'anticorps déchiquette la protéine N, qui atteint ensuite la surface d'une cellule infectée. Les cellules T de votre corps reconnaissent les fragments et tuent la cellule avec tout virus. Cela a suggéré aux chercheurs que l'induction d'anticorps à la protéine N pourrait être un autre moyen de stimuler la réponse immunitaire contre le SRAS-CoV-2.

    Un autre avantage de se concentrer sur la protéine N est qu'elle a un taux de mutation plus faible.28 En d'autres termes, comme le virus mute dans la nature, le vaccin actuel peut ne plus avoir d'efficacité contre lui, à peu près de la même manière que le vaccin contre la grippe. doit être modifié chaque année pour tenir compte des variantes de la grippe. La séquence de la protéine N est plus stable, de sorte que les chercheurs postulent qu'un vaccin peut être efficace pendant une période plus longue.

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  16. La liste des effets secondaires actuels des vaccins augmente

    Au début du mois de mai 2021, des rapports de la France ont indiqué que cinq cas de myocardite avaient été trouvés chez ceux qui avaient pris le vaccin Pfizer BioNTech. La myocardite est une inflammation du muscle cardiaque qui peut avoir des effets à vie car elle affaiblit le muscle et crée un tissu cicatriciel.29

    L'agence nationale de sécurité des médicaments (ANSM) a publié son bulletin hebdomadaire sur les vaccins, affirmant que «cinq cas ont été déclarés en France» 30. .

    Plus de 13,5 millions de doses de vaccins COVID ont été administrées en France depuis le 22 avril 2021. L'ANSM rapporte 16 030 événements indésirables chez les personnes vaccinées. Israël a également signalé plusieurs cas de myocardite après que des personnes aient reçu leur deuxième dose.

    Un examen du système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) montre que 12 rapports de myocardite ont été enregistrés aux États-Unis au 30 avril 2021. Selon Our World in Data, 31 au 30 avril 2021, 30,32% de la population du Les États-Unis avaient été entièrement vaccinés. Le VAERS a également montré que 157277 événements indésirables avaient été signalés au 30 avril 2021.32

    Ces chiffres sont probablement bien inférieurs au nombre réel de personnes ayant subi des effets indésirables dus aux vaccins. Les données de recherche33 montrent que les prestataires de soins de santé identifient et signalent les événements indésirables liés aux vaccins en nombre terriblement bas. En fait, le vaccin Johnson & Johnson COVID-19 a récemment été suspendu pour enseigner aux médecins comment signaler les blessures causées par le vaccin.34 La pause a depuis été levée aux États-Unis.

    Il est essentiel de signaler une blessure ou un effet secondaire lié au vaccin au VAERS, car les données sont essentielles pour aider les individus, les médecins et les chercheurs à prendre des décisions éclairées. Vous pouvez faire votre propre rapport en ligne ou en utilisant un PDF en accédant au Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins.35 Vous trouverez plus d'informations sur les événements indésirables et la manière dont les vaccins affectent votre santé au Centre national d'information sur les vaccins.36

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  17. Sources and References

    1, 11, 14 Salk, April 30, 2021
    2 Journal of the American Veterinary Medical Association, 1931;78:413
    3 The Pediatric Infectious Disease Journal, 2005;24(11)
    4 The Pediatric Infectious Disease Journal, 2005;24(11) para 2 under figure 1
    5 Centers for Disease Control and Prevention, SARS Timeline
    6 Centers for Disease Control and Prevention, Middle East Respiratory Syndrome
    7 World Health Organization, April 27, 2020
    8 Centers for Disease Control and Prevention, Symptoms of COVID-19
    9 Inflammatory Bowel Disease, 2020; doi.org/10.1093/ibd/iza131
    10, 12, 13 Circulation Research, 2021; 128:1326
    15, 16, 24 JAMA, 2020;324(14)
    17 Centers for Disease Control and Prevention, Post COVID Conditions
    18 Nature Medicine, 2021;27:601 Pathophysiology
    19 Physiological Reports, 2021; doi.org/10.14814/phy2.14726
    20 Frontiers in Cardiovascular Medicine, 2021; doi.org/10.3389/fcvm.2021.643626
    21 European Journal of Preventive Cardiology, 2020;27(12)
    22 Netherlands Heart Journal, 2020;28:391
    23 American Journal of Physical Medicine and Rehabilitation, 2020;99(10)
    25 C&EN, April 1, 2020, Image of the spiked virus
    26 Technology Networks, September 10, 2020
    27, 28 Discover, January 4, 2021
    29 Myocarditis Foundation
    30 Brussels Times, May 1, 2021
    31 Our World in Data, Coronavirus Vaccinations
    32 OpenVAERS, Covid Data
    33 Vaccine, 2013;31(24)
    34 Twitter, Good Morning America, April 14, 2021
    35 VAERS
    36 National Vaccine Information Center

    https://www.lewrockwell.com/2021/05/joseph-mercola/spike-protein-damages-vascular-cells/

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  18. La dissimulation de la FDA qui a conduit à l'approbation du vaccin Pfizer


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    26 mai 2021


    Comme je le documente depuis un an, les experts COVID se contredisent de six manières depuis dimanche. En tant que charlatans, ce sont des échecs abjects. Ils ne peuvent pas garder leur propre histoire.

    Grâce à un lecteur d'alertes, je suis tombé sur un nouveau blockbuster.

    PAR LEURS PROPRES NORMES, la FDA n'aurait jamais dû permettre que le vaccin Pfizer COVID soit injecté dans un seul bras. L’autorisation d’utilisation d’urgence de l’Agence était un crime - selon leurs propres données.

    Nous y voilà.

    Le document, publié sur le site Web de la FDA, est intitulé «Vaccins et produits biologiques connexes; Réunion du comité consultatif; Document d'information de la FDA Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine. » [1]

    Il est daté du 10 décembre 2020. La date nous indique que toutes les informations contenues dans le document sont tirées de l'essai clinique Pfizer, sur la base duquel la FDA a autorisé le vaccin à l'usage du public.

    Une citation clé est enterrée à la page 42: «Parmi 3410 cas au total de COVID-19 suspectés mais non confirmés dans la population globale de l'étude, 1594 sont survenus dans le groupe vacciné contre 1816 dans le groupe placebo [qui ont reçu une injection d'eau salée].»

    Ces chiffres choquants n'ont jamais vu le jour dans les médias d'information.

    Les chiffres comparatifs révèlent que le vaccin n'était pas efficace pour prévenir le COVID-19. Ce n'était certainement pas 50 % plus efficace que pas de vaccin du tout - la norme pour l'autorisation d'utilisation d'urgence de la FDA.

    Pour clarifier tout cela, j'ai besoin de sauvegarder et d'expliquer la théorie de l'essai clinique du vaccin.

    Les chercheurs ont supposé que le virus du SRAS-CoV-2 se propageait partout dans le monde, et pendant l'essai clinique, il descendrait sur certains volontaires.

    La question d'un milliard de dollars était: combien de personnes recevant le vaccin seraient infectées, par rapport à combien de personnes dans le groupe placebo ?

    S'il s'avérait que MOINS DE personnes recevant le vaccin étaient infectées par le SRAS-CoV-2, le vaccin serait salué comme un succès. Il protégeait les gens contre le virus.

    Mais comme vous pouvez le voir sur les chiffres ci-dessus, ce n’était pas du tout le cas.

    Alors maintenant, nous arrivons à la phrase vitale de la belette dans le document de la FDA que je viens de citer: "COVID-19 suspectés mais non confirmés [cas]."

    "Eh bien, vous voyez, nous ne pouvons pas dire que c'étaient des cas ACTUELS de COVID-19. Peut-être l’étaient-ils, peut-être pas. Ils sont dans les limbes. Nous voulons les garder dans les limbes. Sinon, notre essai clinique est mort dans l'eau et nous n'obtiendrons jamais l'approbation du vaccin. "

    Que signifie «cas suspects» ? Cela peut seulement signifier que ces personnes ont toutes présenté des symptômes conformes à la définition du COVID-19, mais ce ne sont pas des cas confirmés parce que… leurs tests PCR étaient négatifs, pas positifs.

    Cependant, si leurs tests étaient négatifs, pourquoi seraient-ils appelés «cas suspects» au lieu de «PAS DE CAS» ?

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  19. Quelque chose cloche ici. La FDA couvre ses paris, brouille les pistes, obscurcit les faits.

    Selon les règles de la FDA / CDC, un cas de COVID-19 signifie: une personne a été testée positive, point final.

    C’est ainsi que les cas sont comptés.

    Ces plusieurs milliers de volontaires participant à l’essai clinique Pfizer étaient des cas de COVID-19 ou non. Lequel est-ce ?

    La réponse officielle à cette question est évidente: la FDA a décidé de jeter les données de tous ces cas suspects à la poubelle et de les ignorer. Pouf. Disparu.

    Pourquoi est-ce que je dis ça?

    Car si la FDA avait accordé une attention sérieuse aux plusieurs milliers de «cas suspects», elle n'aurait jamais autorisé le vaccin à l'usage du public. Ils auraient arrêté l'essai clinique et entrepris une enquête très approfondie et approfondie.

    Ce qu'ils n'ont pas fait.

    C'est ce qu'on appelle un crime.

    «Mais… mais ce n’est pas si simple. C'est une situation complexe. C'est une zone grise. "

    "Non. Ce n’est pas le cas. Si vous meniez un essai clinique d'un nouveau médicament et que quelques milliers de personnes participant à l'essai, à qui le médicament a été administré, présentaient néanmoins les symptômes de la maladie que le médicament était censé guérir, n'annuleriez-vous pas l'essai et partiriez-vous Retour à la planche à dessin ?"

    «Vous voulez dire si nous étions honnêtes ? C'est une blague, non ? Nous ne sommes pas honnêtes. Vous ne comprenez pas ? »

    Oui. Je comprends. Vous êtes des criminels. Tueurs.

    Mais attendez. Il y a plus. Le document de la FDA indique également: «Les cas suspects de COVID-19 survenus dans les 7 jours suivant une vaccination étaient de 409 dans le groupe vaccin contre 287 dans le groupe placebo.»

    C’est explosif. Juste après la vaccination, 409 personnes qui ont reçu les vaccins sont devenues des «cas suspects de COVID». Cela seul aurait dû être suffisant pour arrêter complètement l'essai clinique. Mais ce n’était pas le cas.

    En fait, le document de la FDA tente d'excuser ces 409 cas avec un commentaire glissant: «Il est possible que le déséquilibre des cas suspects de COVID-19 survenant dans les 7 jours suivant la vaccination représente une réactogénicité du vaccin avec des symptômes qui chevauchent ceux du COVID-19 . »

    Traduction: Vous voyez, un certain nombre de symptômes cliniques du COVID-19 et les effets indésirables du vaccin sont les mêmes. Par conséquent, nous ne savons pas si les personnes vaccinées ont développé le COVID ou réagissaient simplement au vaccin. Nous allons donc ignorer tout ce gâchis et prétendre qu’il n’a aucune importance.

    En avril 2020, j'avais prédit que les fabricants de vaccins utiliseraient cette stratégie pour expliquer les cas de COVID survenant dans les groupes de vaccins de leurs essais cliniques.

    Cela s'appelle la cuisson des données. C'est une façon d'écarter et d'ignorer les symptômes du COVID dans le groupe vacciné - et de dire à la place: «Le vaccin est sûr et efficace.»

    Et le document de la FDA, comme je l'ai dit ci-dessus, met juste un nuage impénétrable sur tous les volontaires de l'essai clinique Pfizer en inventant une catégorie appelée «cas de COVID-19 suspectés mais non confirmés», et en jetant ces données cruciales, à ne jamais parler de nouveau.

    Je parle d’eux maintenant. Toute personne sensée, en les regardant, conclurait que le vaccin n'aurait jamais dû être autorisé.

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  20. À moins que la fraude, la tromperie, les profits et la destruction de vies humaines via le vaccin n'aient été et soient les véritables objectifs.

    Enfin: lorsque vous avez des «cas suspects» et que leur statut final dépend de la réalisation d'un test, vous effectuez le test. Vous le faites autant de fois que nécessaire, jusqu'à ce qu'il soit positif ou négatif. Ensuite, chaque «cas suspect» devient un cas réel ou aucun cas du tout.

    Peut-être que ces «cas suspects» dans l'essai clinique ont été testés, et beaucoup d'entre eux se sont révélés positifs, révélant qu'il s'agissait de cas réels de COVID - mais les chercheurs ont menti et dissimulé le fait qu'ils avaient été testés.

    Ou si vous ne voulez vraiment pas savoir si les «cas suspects» sont des cas réels, vous ne les testez pas. Vous les laissez dans des limbes pratiques et les garez, pour ne plus jamais être revus.

    Quoi qu'il en soit, la situation est manifestement absurde. Selon les normes officielles, le test PCR décide si une personne est un cas ou non. Faites simplement le test. Dire «nous ne savons pas» n’est rien de plus qu’une arnaque et une bousculade.

    J'adorerais entendre les chercheurs essayer de se sortir de celui-ci. Voici comment la conversation pourrait se dérouler:

    "Vous dites donc que ces plusieurs milliers de cas suspects de COVID ne pourraient pas être jugés d'une manière ou d'une autre ?"

    "C'est exact. Leurs tests PCR étaient «indéterminés». »

    «Cela en dit long sur le test lui-même.»

    "Eh bien, parfois, vous ne pouvez tout simplement pas dire si c'est positif ou négatif."

    "Je vois. Et ce résultat «indéterminé» s’est produit dans PLUSIEURS MILLE cas suspects. »

    «Je suppose que oui, oui.

    «Vous savez, vous auriez pu faire autre chose avec ces cas suspects. Un test différent. Vous auriez pu prélever des échantillons de tissus et rechercher le virus lui-même de manière plus directe. »

    "Non. Cela ne fonctionnerait pas. »

    "Pourquoi pas ?"

    «Parce que… le virus réel…»

    «Parce que personne n'a été en mesure de trouver un spécimen du virus SRAS-CoV-2.»

    "Ok."

    «Alors dites-moi - qu'est-ce que cela signifie? Je vais vous dire ce que cela indique. Vous ne pouvez pas prouver que le virus SARS-CoV-2 existe.

    "Je dois partir. Je suis en retard pour une réunion. »

    «Vous êtes en retard pour plus qu’une simple réunion. Est-il vrai qu’une personne devient virologue en découpant un coupon au dos d’une bande dessinée et en l’envoyant à une boîte postale dans le Maryland? »

    "Absolument pas. C'est scandaleux. »

    "Et alors ?"

    «La boîte postale est en Virginie.»

    SOURCES:

    [1] https://www.fda.gov/media/144245/download

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2021/05/jon-rappoport/the-fda-cover-up-that-led-to-the-approval-of-the-pfizer-vaccine/

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  21. Certains aliments sont-ils très amers pour vous ? Vous pourriez avoir un risque COVID plus faible


    25 MAI 2021


    Si vous ne supportez pas le brocoli, le céleri ou le chou frisé, vous êtes peut-être un supertaster et cela pourrait bien vous protéger du COVID-19.

    Les supertasters sont des gens très sensibles à l'amertume. Ils sont non seulement moins susceptibles de contracter le COVID-19 que les personnes qui ne sont pas si sensibles aux saveurs piquantes, mais ils sont également moins susceptibles de se retrouver hospitalisés avec lui, ont déclaré des chercheurs.

    De plus, les supertasters d'une nouvelle étude ont présenté les symptômes du COVID-19 pendant seulement cinq jours environ, contre 23 jours en moyenne chez les non-goûteurs.

    On ne comprend pas exactement comment ou même si le goût affecte le risque de COVID-19, mais les chercheurs ont une théorie.

    Les récepteurs du goût amer - dont un appelé T2R38 - se trouvent dans les papilles gustatives de votre langue.

    "Lorsque T2R38 est stimulé, il répond en produisant de l'oxyde nitrique pour aider à tuer ou empêcher la réplication des virus dans la muqueuse respiratoire", a déclaré le chercheur Dr Henry Barham, spécialiste des oreilles, du nez et de la gorge à Baton Rouge, en Louisiane. les membranes tapissent votre système respiratoire et fournissent un point d'entrée pour les virus, y compris le SRAS-CoV-2, qui cause le COVID-19.

    "Les résultats ont des implications importantes, comme permettre aux gens de faire des choix plus éclairés et potentiellement donner la priorité à l'administration de la vaccination", a déclaré Barham.

    Plusieurs études examinent comment les récepteurs du goût amer affectent le risque de COVID-19 et d'autres infections des voies respiratoires supérieures, a-t-il ajouté.

    Cette étude a inclus près de 2 000 personnes (âge moyen de 46 ans) dont le goût a été testé à l'aide de bandes de papier. Tous ont été testés avant d'avoir le COVID-19, car cela pourrait compromettre leur sens du goût et de l'odorat.

    Les participants ont été placés dans l'un des trois groupes suivants: non-dégustateurs, supertasters et dégustateurs.

    Les non-goûteurs sont des gens qui ne peuvent pas du tout détecter certaines saveurs amères. Les supertasters, en revanche, sont extrêmement sensibles à l'amertume et peuvent détecter des niveaux extrêmement faibles. Les dégustateurs se situent quelque part entre les deux.

    Au cours de l'étude, 266 participants ont été testés positifs pour le COVID-19. Les non-goûteurs étaient beaucoup plus susceptibles que les supertasters d'être infectés et étaient également plus susceptibles d'avoir un COVID-19 sévère.

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  22. Les dégustateurs étaient susceptibles de présenter des symptômes de COVID-19 légers à modérés, ne nécessitant souvent pas d'hospitalisation. L'étude a révélé que ceux qui avaient des conditions sous-jacentes ou étaient plus âgés avec une capacité réduite à goûter l'amertume étaient l'exception.

    Les résultats ont été publiés en ligne le 25 mai dans JAMA Network Open.

    Le Dr Alan Hirsch, directeur neurologique de la Smell & Taste Treatment and Research Foundation à Chicago, a passé sa carrière à étudier les effets de la perte d'odeur et de goût sur la maladie. Il a passé en revue les résultats de l'étude.

    «Les nouvelles découvertes ont beaucoup de sens», a-t-il déclaré. Hirsch a suggéré que les gens gagneraient à découvrir leur propre statut de dégustation.

    "Si vous ne parvenez pas à goûter l'amertume, vous devriez être beaucoup plus prudent et porter des masques plus longtemps pour vous protéger du COVID-19", a déclaré Hirsch. Malheureusement, a-t-il ajouté, la plupart des gens ne savent pas de quel type de dégustateur ils sont.

    Les tests à domicile et au bureau peuvent vous dire où vous vous situez dans le spectre des goûts.

    Mais voici une option plus simple: "Si le céleri a un goût amer pour vous", a déclaré Hirsch, "vous êtes un super-maître, et si ce n'est pas le cas, faites attention."

    https://medicalxpress.com/news/2021-05-foods-super-bitter-covid.html

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  23. L'argent attaque les bactéries, est 'consommé'


    25 MAI 2021
    par American Institute of Physics



    Depuis des millénaires, l'argent est utilisé pour ses propriétés antimicrobiennes et antibactériennes. Bien que son utilisation comme désinfectant soit largement connue, les effets de l'interaction de l'argent avec les bactéries sur l'argent lui-même ne sont pas bien compris.

    Alors que les bactéries résistantes aux antibiotiques deviennent de plus en plus répandues, l'argent a connu une forte croissance dans son utilisation dans des choses comme les revêtements antibactériens. Pourtant, la chaîne complexe d'événements qui conduisent à l'éradication des bactéries est largement tenue pour acquise, et une meilleure compréhension de ce processus peut fournir des indices sur la meilleure façon de l'appliquer.

    Dans Chemical Physics Reviews, des chercheurs d'Italie, des États-Unis et de Singapour ont étudié les impacts d'une interaction avec des bactéries sur la structure de l'argent.

    Lors de la surveillance de l'interaction des nanoparticules d'argent avec une culture d'E. Coli à proximité, les chercheurs ont découvert que l'argent subissait plusieurs changements dramatiques. Plus particulièrement, les cellules d'E. Coli ont provoqué des transformations substantielles dans la taille et la forme des particules d'argent.

    On suppose souvent que l'argent reste inchangé dans ce processus, mais le travail effectué par l'équipe montre que ce n'est pas vrai.

    L'interaction électrostatique entre l'argent et les bactéries provoque la dissolution de certaines particules d'argent en libérant des ions qui pénètrent dans les cellules bactériennes. Cette dissolution modifie la forme des particules d'argent, les rétrécit et les arrondit de formes triangulaires en cercles.

    Ces effets sont encore plus prononcés si les cellules d'E. Coli sont prétraitées avec une molécule pour augmenter la perméabilité de leurs membranes avant qu'elles ne rencontrent l'argent.

    «Il semble d'après cette étude que l'argent est« consommé »à partir de l'interaction», a déclaré Guglielmo Lanzani, l'un des auteurs de l'article et directeur du Centre pour la nanotechnologie et la technologie de l'IIT-Instituto di Tecnologia.

    Heureusement, cette «consommation» n'a probablement pas d'impact sur les propriétés antimicrobiennes de l'argent, car l'effet est si faible.

    "Nous pensons que cela n'affecte pas l'efficacité du processus biocide et, en raison du minuscule échange de masse, la durée de vie est essentiellement illimitée", a déclaré Giuseppe Paternò, chercheur à l'IIT et co-auteur de l'étude. "Les modifications structurelles affectent cependant les propriétés optiques des nanostructures métalliques."

    Les enquêtes directes sur des processus comme ceux-ci sont difficiles, car les laboratoires sont des environnements contrôlés qui ne peuvent pas saisir pleinement les complexités d'un environnement biologique de cellules bactériennes.

    Néanmoins, le groupe envisage d'autres expériences pour explorer les voies chimiques qui mènent aux changements structurels de l'argent. Ils espèrent découvrir pourquoi l'argent fonctionne mieux que d'autres matériaux comme surface antibactérienne, et pourquoi les membranes bactériennes sont particulièrement vulnérables à l'argent, tandis que d'autres cellules restent moins touchées.

    https://phys.org/news/2021-05-silver-bacteria-consumed.html

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  24. Un guide du combattant COVID sur les cellules T


    25 MAI 2021
    par l'Institut La Jolla d'immunologie


    Dans un nouvel article, des scientifiques de l'Institut La Jolla pour l'immunologie (LJI) rassemblent les résultats de recherche de chercheurs COVID-19 du monde entier. Les résultats sont frappants: les cellules T humaines peuvent cibler plus de 1 400 sites sur le virus SARS-CoV-2.

    «Notre laboratoire et de nombreux autres ont montré cette réponse très large et diversifiée des cellules T», déclare Daniela Weiskopf, Ph.D., professeur adjoint de recherche au LJI, co-auteur de la revue Cell Host & Microbe.

    Ce type de revue de recherche, appelé «méta-analyse», regroupe les résultats de plusieurs études et les chercheurs examinent attentivement la manière dont les études ont été menées.

    Dans le cas du COVID-19, une méta-analyse globale des études de réponse des lymphocytes T est particulièrement utile car différentes populations de patients peuvent avoir des réponses immunitaires très différentes, en fonction de leurs différences génétiques et de leurs antécédents de maladie.

    «Cela montre vraiment à quel point l'étude du SRAS-CoV-2 a été une entreprise mondiale», déclare le professeur LJI Alessandro Sette, Dr Biol.Sci, auteur principal de la revue et membre du LJI Center for Infectious Disease and Vaccine Research. "Combiner les informations de tous les différents laboratoires est une chose puissante."

    Points clés:

    Les chercheurs ont évalué les 25 études sur la réponse des cellules T humaines connues menées entre le début de la pandémie de COVID-19 et le 15 mars 2021.
    Les études montrent des réponses des lymphocytes T humains contre 1 434 épitopes CD4 et CD8. Les épitopes sont des sites sur le SRAS-CoV-2 que les lymphocytes T peuvent reconnaître.
    Le regroupement de ces études pour cette analyse plus large a révélé plusieurs sites «immunodominants» sur le virus. Ces sites sont les endroits où les lymphocytes T sont les plus enclins à s'orienter.
    Cette large réponse des lymphocytes T rend difficile pour les variants du SRAS-CoV-2 d'acquérir suffisamment de mutations pour «échapper» à la réponse du corps contre le virus.
    Sette ajoute que cette analyse peut aider les chercheurs à déterminer si les cellules T développent des réponses efficaces lorsqu'elles rencontrent des variantes virales et des vaccins. «Connaître les sites clés de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 est particulièrement important pour surveiller les réponses immunitaires aux vaccins COVID-19», dit-il.

    Malgré ces résultats encourageants, l'examen est limité. Les chercheurs soulignent que les études actuelles tendent à inclure principalement des participants caucasiens. En élargissant cette recherche à de nombreux groupes ethniques, les chercheurs peuvent mieux comprendre les disparités dans la mortalité par COVID-19.

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  25. Plus précisément, les chercheurs veulent comprendre comment les variations du système d'antigène leucocytaire humain (HLA) affectent les réponses des lymphocytes T. Les molécules HLA du système immunitaire contrôlent quels épitopes une cellule T peut "voir". La fréquence des différents types de molécules HLA varie selon les groupes ethniques, de sorte que la recherche doit examiner comment ces différences affectent les réponses des lymphocytes T et potentiellement la gravité des cas de COVID-19.

    "Il s'agit d'une pandémie mondiale, il est donc important que nous élargissions nos études", déclare Alba Grifoni, professeur au LJI, qui a été le premier auteur de la revue.

    La nouvelle revue met également en évidence la valeur de la base de données des épitopes immunitaires (IEDB), une ressource gratuite gérée par LJI et financée par l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID). En ajoutant les données d'épitopes connues à l'IEDB, les chercheurs ont pu voir les différents résultats de l'étude côte à côte.

    «Nous savons qu'il existe une forte réponse des lymphocytes T au SRAS-CoV-2», déclare Grifoni. «Maintenant, nous essayons d'identifier où nous avons des lacunes dans les connaissances.»

    https://medicalxpress.com/news/2021-05-covid-fighter-cells.html

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  26. Les églises du CDC font une génuflexion au gouvernement


    Par Laurence M. Vance
    26 mai 2021


    De plus en plus d'églises ont commencé à rendre leurs services normaux depuis que le CDC a mis à jour ses recommandations de santé publique. Si le retour à la normale est une bonne chose, c'est aussi une mauvaise chose à un égard.

    Dans un effort pour pousser plus loin le dangereux et inutile vaccin Covid-19 sur les Américains, le CDC a mis à jour ses recommandations de santé publique le 13 mai.

    Selon le CDC, les principes directeurs pour les personnes entièrement vaccinées sont:

    Les activités intérieures et extérieures présentent un risque minime pour les personnes entièrement vaccinées.
    Les personnes entièrement vaccinées ont un risque réduit de transmettre le SRAS-CoV-2 à des personnes non vaccinées.
    Les personnes entièrement vaccinées devraient toujours se faire tester si elles présentent des symptômes du COVID-19
    Les personnes entièrement vaccinées ne doivent pas se rendre dans des établissements privés ou publics si elles ont été testées positives pour le COVID-19 au cours des 10 jours précédents ou si elles présentent des symptômes du COVID-19.
    Les personnes entièrement vaccinées doivent continuer à suivre toutes les lois, règles et réglementations fédérales, étatiques, locales, tribales ou territoriales applicables.
    Par conséquent, dans un environnement non médicalisé, les personnes entièrement vaccinées peuvent:

    Reprendre les activités sans porter de masque ni prendre de distance physiquement, sauf lorsque requis par les lois, règles et réglementations fédérales, étatiques, locales, tribales ou territoriales, y compris les conseils sur les entreprises et le lieu de travail locaux
    Reprenez le voyage intérieur et évitez d'effectuer des tests avant ou après le voyage ou de vous mettre en quarantaine après le voyage
    Abstenez-vous d'effectuer des tests avant de quitter les États-Unis pour un voyage international (sauf si la destination l'exige) et de ne pas vous mettre en quarantaine après votre retour aux États-Unis.
    S'abstenir d'effectuer des tests après une exposition connue, si asymptomatique, avec quelques exceptions pour des paramètres spécifiques
    S'abstenir de la quarantaine suite à une exposition connue si asymptomatique
    S'abstenir d'effectuer des tests de dépistage de routine si possible
    Les églises CDC ont pris note.

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  27. L'année dernière, au milieu de la fausse «pandémie», j'ai inventé le terme églises CDC pour décrire les églises qui ont modifié leurs pratiques à cause de la propagande et des décrets du gouvernement. Au moment où j'ai écrit à ce sujet (le 14 juillet), certaines églises - en particulier les églises libérales - étaient toujours fermées, mais la plupart avaient rouvert avec des services très limités et modifiés. Certaines églises héroïques n'ont jamais été complètement fermées ou bien rouvertes sans aucune restriction après environ un mois de services en ligne uniquement après avoir réalisé à quel point un gouvernement géant escroquait toute la «pandémie».

    Ces églises CDC encourageaient ou exigeaient des masques faciaux, fermaient certains de leurs bancs, arrêtaient tous les chants de la congrégation, obligeaient les gens à s'inscrire aux services, prenaient la température des gens, interdisaient la poignée de main et les étreintes, éteignaient leurs fontaines d'eau, exigeaient la distanciation sociale, arrêtaient de passer des assiettes d'offrandes. et annulé les dîners-partage, les baptêmes, les crèches, les chorales, les écoles du dimanche, les études bibliques, les réunions de prière et les services de communion.

    Tout cela pour absolument rien. C'était tout du théâtre.

    Au fur et à mesure que l'année avançait et que certains États et localités commençaient à assouplir leurs restrictions draconiennes de Covid, de nombreuses églises CDC ont commencé à emboîter le pas, mais toujours en lien avec le gouvernement. Après que le gouvernement ait commencé à promouvoir le vaccin Covid, de nombreuses églises du CDC ont pris le train en marche du gouvernement. Le plus grand promoteur des vaccins Covid au Texas était une méga-église, le premier baptiste de l'église de Dallas.

    Et maintenant que le CDC a déclaré que personne n'a besoin de porter de masque à l'extérieur et que les personnes vaccinées n'ont pas à porter de masque à l'intérieur, les églises des CDC à travers le pays ont commencé à assouplir la plupart de leurs dernières restrictions Covid - restrictions qu'ils n'aurait jamais dû faire pour commencer. Ils ont ouvert des fontaines à eau, reconstitué leurs chœurs, ouvert tous les bancs, arrêté de recommander des masques, commencé à offrir des assiettes et cessé de promouvoir la distanciation sociale.

    Je sais que cela se produit parce que je reçois régulièrement des courriels de chrétiens de tout le pays sur ce qui se passe dans leurs églises.

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  28. Ce qui est honteux et honteux dans le fait que ces églises CDC assouplissent leurs restrictions Covid, c'est que c'est en réponse aux directives des CDC et aux déclarations du gouvernement. Ces églises seront toujours des églises CDC même lorsqu'elles reviendront à la normale. Lorsque Covid-23 est prononcé comme une pandémie, on peut compter sur ces églises pour limiter leur capacité, fermer leurs fontaines d'eau, exiger des masques faciaux, bloquer tous les autres bancs, renforcer la distance sociale et annuler toutes les activités en dehors de leur service du dimanche matin. - s'ils ne se ferment pas complètement.

    https://www.lewrockwell.com/2021/05/laurence-m-vance/cdc-churches-genuflect-to-the-government/

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