- ENTREE de SECOURS -



dimanche 2 mai 2021

Christian Perronne - Covid 19 : « On n'est plus dans l'État de droit »

 https://fr.sott.net/article/37138-Christian-Perronne-Covid-19-On-n-est-plus-dans-l-Etat-de-droit

40 commentaires:

  1. COVID-19 - Le premier ministre du Québec François Legault et le déclin du courage


    Vincent Mathieu
    mondialisation.ca
    dim., 02 mai 2021 15:17 UTC


    Dans son fameux discours de 1978 à l'Université Harvard, Alexandre Soljénitsyne disait qu'on reconnaît les signes avant-coureurs de la fin d'une civilisation par le déclin du courage de ses classes dirigeante et intellectuelle. Depuis le début de la crise du COVID-19, on peut dire que les politiciens et les intellectuels québécois incarnent parfaitement cette faillite des élites dont nous parlait Soljénitsyne.

    Jusqu'ici soutenu par la grande majorité de l'intelligentsia québécoise (s'il en est une), notre premier ministre François Legault surfe depuis plus d'un an sur la peur inoculée à ses concitoyens et sur le concept d'urgence sanitaire, justifiant la mise en pause de la démocratie et l'instauration d'une gouvernance opaque sans précédent. La situation n'est pas unique au Québec. Cet affaissement de nos valeurs profondes (transparence du pouvoir, liberté, souveraineté populaire) et le silence des institutions qui sont censées les défendre dévoilent que les sociétés occidentales sont à un point de bascule en ce qui a trait à leur organisation sociale, leur structure économique et leur répartition du pouvoir politique.

    Tout ceci se fait au grand jour, mais les ministères de la propagande nationaux prennent grand soin de dorer la pilule. Au Québec, par exemple, on présente François Legault comme un homme droit et rationnel. On l'expose en démocrate qui écoute la science, en politique honnête qui cherche à sauver des vies, en homme de culture qui lit des livres la fin de semaine. Abraham Lincoln disait qu'on pouvait tromper une partie du peuple tout le temps ou tout le peuple une partie du temps, mais qu'on ne pouvait tromper tout le peuple tout le temps. L'image de bienveillance et de hauteur morale que le premier ministre et ses caudataires se sont donnés leurre désormais de moins en moins de Québécois.

    On constate que les chiffres de mortalité reliés à la COVID-19 ne justifient plus rien des mesures sanitaires en place. On constate que c'est notre système de santé universel qui est en perdition et incapable de prendre soin des malades, le gouvernement utilisant une crise de gestion et de ressources humaines pour la transformer en crise sanitaire. On constate que nos décideurs instaurent des règles sans fondement scientifique (p.ex. fermeture des restaurants, masques à l'extérieur et masques pour les enfants à l'école, couvre-feu), les dévoilant de plus en plus comme les outils de contrôle social qu'elles ont toujours été. On constate des hausses majeures d'autres maladies et des dommages collatéraux épouvantables (maladies du coeur, cancers, ITS, problèmes de santé mentale, faillites, endettement public massif etc.). On constate que des personnes sont privées de leur famille au moment de leur mort et qu'elles doivent être transportées dehors en plein hiver pour voir les visages masqués de leurs proches une dernière fois (l'histoire de madame Justine Bouchard est une honte pour notre bureaucratie servile (1)).

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  2. Mais quel genre de catastrophe nécessite qu'un gouvernement prenne autant de mesures dramatiques et vexatoires ? Certainement pas une maladie avec un taux de survie aussi élevé que la COVID-19 (0,4% de létalité à l'IHU de Marseille lorsque les malades sont soignés (2); 0,06% de décès Covid-19 au Canada tous âges confondus (3))! C'est pourtant dans la voie de la démesure que nous a entraîné le gouvernement Legault et son armée d'experts à la probité douteuse.

    À l'instar de plusieurs de ses homologues à travers le monde, le leadership de François Legault s'est résumé à deux choses: implantation de restrictions et attente de vaccins. Au lieu de faire preuve de courage et de prendre des décisions politiques à contre-courant des divers mouvements d'affolement, François Legault a choisi la facilité en soumettant le Québec à la vision tunnel du sanitarisme et du pan-médicalisme. Il a cédé le Québec à des idéologues bornés et ornés de diplômes qui confondent les prévisions épidémiques avec le réel, qui prennent les désirs et les besoins humains pour des variables d'ajustement sanitaire, qui se servent de la crédulité des peuples pour tester et vendre des vaccins dont les effets secondaires seront inévitables. Oui, nos gouvernants manquent de courage et la civilisation occidentale en est clairement mise à l'épreuve.

    On observe aujourd'hui de la dissension au sein de la population québécoise qui vit dans deux réalités parallèles et dans une incompréhension mutuelle. En dépit de tous les slogans et de tous les messages publicitaires de solidarité que le gouvernement Legault nous fait bouffer ad nauseam à coup de millions de dollars par mois (4), je prétends qu'il n'y a rien eu de solidaire dans cette crise. Ce qu'il y a eu, c'est une monstruosité de lâcheté, de conformisme et d'égocentrisme généralisé. En quoi les Québécois ont-ils été solidaires? Dans la désertion des milieux de soins qui est assurément à la source d'une partie de la surmortalité du printemps dernier? Dans la délation entre voisins encouragée par le pouvoir politique? Dans notre grande sensibilité à la détresse de ceux qui ont été forcés de vivre dans l'isolement et la sédentarité? Dans notre soutien aux petits entrepreneurs appauvris qui doivent maintenant passer par les tribunaux pour se faire entendre? Combien aura-t-on poussé au suicide en essayant de sauver des vies?

    Contrairement à ce qu'il affirme, le gouvernement caquiste ne prend pas ses responsabilités. Il profite d'une situation difficile pour amplifier la panique et jouir de l'arbitraire. Il ne nous construit pas un Québec soudé, plus fier et plus prospère (5). Il divise pour mieux régner. Il créé deux classes de citoyens perdus dans leur solitude en alimentant un discours tout en dénigrant l'autre. Il bâtit un Québec formé de citoyens qui craignent la vie et souhaitent être gavés sous l'égide de l'État, hystériques devant les amants de la liberté qui se sentent aujourd'hui aliénés chez eux. Le Québec de Legault, c'est un Québec hypocondriaque et mortifère, piétineux de bon sens et de sang-froid, qui répudie l'initiative individuelle au profit de la mise sous tutelle, encourageant l'infantilisation et la peur en les faisant passer pour de la responsabilisation et de la solidarité sociale. Les membres des partis d'opposition n'ont par ailleurs guère été plus nobles dans leurs prises de position. Le manque de courage de toute la classe politique est à dénoncer et le rôle des soi-disant oppositions dans cette déroute ne doit pas être occulté.

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  3. Le régime Legault et ses collaborateurs n'échapperont pas à l'éternel retour du concret. Ce gouvernement passera à l'histoire comme le plus arrogant, le plus abusif et le plus inhumain que le Québec ait connu. Dans n'importe quelle relation qui s'effrite, toute réparation passe par une reconnaissance de ses torts. Après les mea culpa d'Angela Merkel et de Doug Ford, après la réouverture sans condition de plusieurs États américains juste au sud de nos frontières, à quand des excuses publiques de la part de François Legault pour toutes les violences psychologiques, politiques et économiques qu'il a fait subir aux Québécois dans la dernière année? Je crois que notre premier ministre n'a pas cette inclinaison à l'humilité et ainsi je crains que les chicanes intestines ne polluent l'espace public québécois pour les années à venir. Bien au-delà de l'épidémie, dans notre corps national et nos chairs personnelles, le Québec aura subi des dommages qui le marqueront à jamais.

    Références

    (1) https://www.journaldequebec.com/2021/03/10/femme-decedee-a-alma-elle-voulait-que-son-histoire-soit-racontee

    (2) https://www.mediterranee-infection.com/wp-content/uploads/2020/09/Rapport-Prof-Didier-Raoult.pdf

    (3) https://www.inspq.qc.ca/covid-19/donnees/comparaisons

    (4) https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1758578/campagne-covid-artistes-depenses-quebec-vedettes

    (5) https://www.quebec.ca/premier-ministre/actualites/detail/le-renouveau-d-investissement-quebec-nous-aidera-a-batir-un-quebec-plus-vert-plus-prospere-et-surtout-plus-fier-francois-legault

    La source originale de cet article est Mondialisation.ca
    Copyright © Vincent Mathieu, Mondialisation.ca, 2021

    https://fr.sott.net/article/37140-COVID-19-Le-premier-ministre-du-Quebec-Francois-Legault-et-le-declin-du-courage

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  4. Des molécules assemblées en un même état quantique : « on essayait depuis des décennies »


    Marcus Dupont-Besnard
    Numerama
    jeu., 29 avr. 2021 19:46 UTC


    Des physiciens sont parvenus à réaliser un condensat Bose-Einstein avec des molécules. Un défi très difficile, car les molécules sont plus grosses que les atomes et plus difficiles à maitriser.

    « On essayait de faire cela depuis des décennies, alors on est très excité », s'est félicité Cheng Chin, professeur de physique à l'UChicago. Dans une étude parue dans Nature le 28 avril 2021, ce physicien et son équipe expliquent avoir accompli un défi majeur de la physique : rassembler des milliers de molécules différentes en un seul et même état quantique, au même moment. « C'est l'un de mes objectifs depuis que je suis étudiant », a confié Cheng Chin dans le communiqué associé à l'étude.

    Le condensat Bose-Einstein

    Cela rejoint un cinquième état de la matière appelé « condensat Bose-Einstein » qui, jusqu'ici, n'avait été accompli qu'avec des atomes.

    Assemblés dans un piège magnétique, les atomes sont portés à leur plus faible niveau d'énergie en étant réduits à des températures proches du zéro absolu, ce qui forme une sorte de nuage gazeux. En raison du piège magnétique et de leur ralentissement, les atomes se rapprochent, se chevauchent, se condensent, pour ne former plus qu'un seul et même état quantique. Les atomes deviennent ensemble une sorte de super-atome.

    Ce n'est pas un état de la matière qui s'obtient facilement, et le maintenir un certain temps est encore plus ardu (il faut être sur l'ISS, à l'heure actuelle, pour réussir à le maintenir plus d'une seconde). Mais avec les molécules, ce processus est encore plus compliqué. Alors comment les physiciens publiant cette étude dans Nature ont-ils fait ?

    Contrôler les molécules n'est pas simple

    Il se trouve que les molécules sont plus grandes que les atomes, et bien plus incontrôlables puisqu'elles comportent différents éléments « mobiles » qui peuvent entrainer toute une variété de comportements. Essayez de les contrôler, alors vous obtiendrez le chaos, car elles partiront dans tous les sens sauf dans celui souhaité, comme l'explique Cheng Chin : « Les atomes sont de simples objets sphériques, alors que les molécules peuvent vibrer, tourner, porter de petits aimants. Parce que les molécules peuvent faire tant de choses différentes, cela les rend plus utiles, et en même temps beaucoup plus difficiles à contrôler. » L'équipe de recherche n'a pu réussir ce défi qu'en s'appuyant sur de nouvelles technologies.

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  5. Pour y arriver, les physiciens ont dû pousser le refroidissement du système moléculaire au plus loin des possibilités techniques actuelles, soit une température de 10 nanokelvins, une mesure extrêmement proche du zéro absolu. Ensuite, toute la problématique était de faire en sorte que les molécules restent stables, car sinon, « les molécules veulent se déplacer dans toutes les directions ». Les physiciens ont donc maintenu les molécules dans le vide, à plat, pour limiter leurs possibilités de déplacement : « Nous avons confiné les molécules de sorte qu'elles se trouvent sur une surface 2D et ne peuvent se déplacer que dans deux directions. »

    Le résultat est un succès : les molécules se sont finalement retrouvées dans un état quantique unique, comme si elles étaient virtuellement des molécules parfaitement identiques (même orientation, même fréquence de vibration).

    Dans la perspective de pouvoir construire et contrôler des systèmes de particules, il s'agit d'un pas en avant. « Dans la manière traditionnelle de penser la chimie, on pense à quelques atomes et molécules qui entrent en collision et forment une nouvelle molécule. Mais dans le régime quantique, toutes les molécules agissent ensemble, dans un comportement collectif. Cela ouvre une toute nouvelle voie pour explorer comment les molécules peuvent toutes réagir ensemble pour devenir un nouveau type de molécule », explique Cheng Chin.

    https://fr.sott.net/article/37125-Des-molecules-assemblees-en-un-meme-etat-quantique-on-essayait-depuis-des-decennies

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  6. Déconfinement : la levée des mesures doit être totale et immédiate

    À partir du moment où l’on comprend qu’il ne faut pas confiner par principe, que la gestion de l’épidémie a été inappropriée, que le confinement est inutile et dangereux, que la peur chronique est injustifiée, il faut lever immédiatement et sans délai toutes les mesures coercitives.


    Par Patrick de Casanove.
    3 MAI 2021


    Avec le printemps le déconfinement revient sur le devant de la scène. Emmanuel Macron s’est exprimé dans la presse régionale. Malheureusement ce déconfinement n’en est pas un et le flicage numérique fait son entrée avec le pass sanitaire.

    UNE PRISE EN CHARGE INAPPROPRIÉE DÈS LE DÉPART

    L’origine véritable de la catastrophe que nous vivons est la prise en charge politique d’une maladie. L’irrationalité a été utilisée comme technique de gestion et l’émotionnel prévaut. À cause de quoi l’immense majorité des Français vit dans la peur que leur a instillée le gouvernement.

    Les mesures totalitaires, inappropriées et nuisibles appliquées à une société et à une économie fragiles, avec un système de santé misérable et dépourvu de réserves, ont provoqué un effroyable cataclysme humain, social et économique.

    La gestion du pays n’a tourné qu’autour d’un seul problème : la Covid. Tout le reste a été négligé, sauf ce qui accroissait la mainmise de l’État sur la société, tel que l’écologisme.

    Les seuls outils retenus pour lutter contre ce virus sont la vaccination et la coercition sociale.

    IL NE FAUT PAS CONFINER

    Par principe

    Pour les libéraux le confinement est une mesure de privation des libertés et d’atteinte aux droits naturels. Il ne doit jamais avoir lieu, ni être envisagé dans un pays libre. S’il l’est, ou s’il a lieu, c’est que le pays n’est pas libre.

    Donc, pour eux, la sortie d’un confinement fâcheusement instauré se fait tout simplement en levant simultanément toutes les mesures coercitives imposées par les politiciens. Cette levée de la poigne de fer politique libère la prise en charge médicale.

    Les libéraux sont malheureusement très minoritaires de même que les personnes qui ont gardé les pieds bien sur terre et ont résisté à la déferlante de terreur Covid politico-médiatique.

    C’est inutile et dangereux

    Les confinements sont inutiles et ont été décidés à partir de modélisations apocalyptiques sans cesse démenties.

    Les préconisations vaccinales, comme la vaccination des enfants, ont aussi pour alibi des anticipations logarithmiques.

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  7. Or, très tôt, des observations de contaminations en vase clos ont pu être effectuées. Elles contredisaient les élucubrations numériques. Chez des personnes fragiles comme sur le paquebot de croisière Diamond Princess (3711 passagers, dont 700 infectés et 7 décès) ou non fragiles comme sur le porte-avions Charles de Gaulle (1760 marins dont 1046 contaminés et pas de décès). Les prévisions ont été depuis systématiquement démenties par la vraie vie.

    Malgré cela, les politiciens, de nombreux médias et des médecins les mettent en avant pour justifier la politique d’oppression.

    Des statistiques fiables issues du terrain et des preuves s’accumulent de mois en mois, prouvant l’inefficacité des mesures de coercition sur l’épidémie.

    Le professeur Loannidis l’exposait lors d’une conférence en février 2021 :

    - voir clip sur site -

    En mars, les travaux du professeur Jean-François Toussaint et de son équipe confirmaient cette réalité :

    - voir clip sur site -

    Les diapositives suivantes sont des captures d’écran de sa conférence. Les deux premières montrent ce qui influe positivement ou négativement sur la mortalité de la Covid. Il est très clair que le confinement n’a aucune influence bénéfique.

    - voir clip sur site -

    Les confinements sont dangereux, leurs effets nocifs sont immenses.

    Les mesures de coercition sociale impactent des systèmes de santé déjà fragiles. Elles entraînent un manque de soins à la fois pour les personnes infectées par SARS-coV2 et pour les autres qui voient leurs soins annulés ou reportés, ou encore qui ne se rendent pas dans les cabinets médicaux par peur.

    Aux États-Unis les chiffres sont éloquents mais on aurait tort de croire qu’ils pourraient être significativement meilleurs en France.

    À ces décès il faut ajouter ceux directement causés par la contrainte et l’oppression tels que les suicides d’étudiants.

    Les mesures de contrainte engendrent d’énormes souffrances économiques et sociales. Le professeur Loannidis en parle, Amnesty international et bien des organisations caritatives également.

    L’OMS est sur la même longueur d’onde : via son envoyé spécial le Dr David Nabarro, elle déconseille le confinement et demande aux politiciens de trouver d’autres mesures pour vaincre l’épidémie, ce qui est la voie de la sagesse.

    La Mission indépendante nationale pour la gestion de la Covid ne dit pas autre chose :

    Faire partager une claire conscience du contexte (vivre durablement avec le virus) […] Face à une crise qui s’inscrit dans la durée, la Mission recommande que le gouvernement assume clairement l’objectif de préservation de la vie économique et sociale, indispensable à l’éducation et l’avenir des jeunes, sous contrainte de garantir la sécurité des personnes dans leur vie professionnelle et personnelle.

    FAUT-IL AVOIR PEUR ?

    La question peut paraître incongrue. Compte tenu de l’angoisse qui étreint la société une réponse négative jetterait le trouble dans des esprits fragilisés par les mesures d’oppression. Et pourtant…

    Il n’est pas inutile de rappeler quelques points.

    La gravité de la maladie a été considérablement aggravée par les mesures gouvernementales dont le confinement, l’interdiction de traitements précoces et les restrictions d’accès aux soins. Cette gravité a servi de justificatif à la coercition.

    Ce dont les médias et les politiciens nous rebattent les oreilles ce sont des « étiquetés Covid », au mieux des personnes testées positives, pas des cas et encore moins des malades.

    Médicalement parlant nous n’avons pas affaire à une épidémie mais à plusieurs épidémies. Quand le génome est différent, le virus est différent. Il y a autant d’épidémies que de variants. Additionner leurs nombres n’a aucun sens scientifique… à moins de vouloir effrayer les gens.

    La maladie se révèle peu mortelle quand les patients sont bien soignés. De nombreuses tranches d’âges n’ont pas de risque de décès.

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  8. - voir clip sur site -

    Il existe des traitements ambulatoires précoces et efficaces, non reconnus en France.

    Selon la définition du Larousse la peur est

    Un sentiment d’angoisse éprouvé en présence ou à la pensée d’un danger, réel ou supposé […] crainte devant un danger, qui pousse à fuir ou à éviter cette situation […] Crainte […] qui fait qu’on adapte son comportement.

    Une peur peut être absolument justifiée. Elle est même un réflexe archaïque fort utile pour survivre.

    Malheureusement c’est le courage qui a manqué une fois le danger identifié et mesuré à sa juste valeur. Le courage c’est de vaincre sa peur. Il implique de faire face intelligemment et de se battre efficacement. Il impose de ne pas se terrer en attendant que ça passe éventuellement, tandis que d’autres décident à votre place, en croisant les doigts pour que leurs décisions soient pertinentes.

    La peur salutaire est brève. Au stade ou nous en sommes ce n’est plus de la peur mais de la panique et de l’effroi. La panique, « terreur soudaine et irraisonnée, souvent collective », est irrationnelle. Elle fait faire n’importe quoi, y compris de graves bêtises dont les conséquences sont pires que le mal.

    L’effroi quant à lui est une « grande frayeur qui glace, épouvante. » Nous avons bien une glaciation de la politique par la peur de cette épidémie. Elle est figée autour de la coercition sociale, du vaccin, du refus obstiné du traitement ambulatoire précoce.

    En résumé, il serait plus clairvoyant d’avoir peur de l’État que du virus.

    LIBÉRER : LA LEVÉE DES MESURES DOIT ÊTRE TOTALE

    À partir du moment où l’on comprend qu’il ne faut pas confiner par principe, mais aussi parce que la gestion de l’épidémie a été inappropriée, que le confinement est inutile et dangereux, que la peur chronique est injustifiée, il ne devrait y avoir aucune difficulté à comprendre que lever une mesure inutile et dangereuse ne peut être que bénéfique rapidement.

    Cette levée doit être immédiate et totale, la gestion de la covid doit être médicale. Il est temps d’en finir avec la coercition sociale.

    Il est temps de vivre.

    https://www.contrepoints.org/2021/05/03/396471-deconfinement-la-levee-des-mesures-doit-etre-immediate

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    1. Gêné(e) d'ouvrir votre gueule ? votre porte ?...-monnaie ? Normal ! Le gène c'est la mémoire de départ !

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  9. ITALIE : CETTE BANQUE CLOS VOTRE COMPTE SI VOUS N'UTILISEZ PAS VOTRE ARGENT


    par PAOLO GAROSCIO
    27/04/2021


    Le taux directeur de la BCE est négatif à -0,5%.

    Est-ce le début de la lutte contre les comptes courants où dorment des milliards d’euros qui ne sont pas utilisés pour l’économie réelle, ou pour des investissements ? Si la tendance reste minoritaire, elle commence à se répandre. Désormais, c’est la banque Fineco qui s’attaque aux comptes courants totalement inactifs.
    Fineco annonce : ou vous utilisez votre argent, ou on vous clos le compte courant

    La décision a été annoncée par communiqué de presse et n’a pas manqué de créer un choc pour les Italiens, bien qu’elle ne concerne qu’une infime partie des comptes bancaires ouverts dans l’établissement : Fineco a déclaré qu’elle fermerait les comptes courants totalement inactifs.

    Il faut toutefois être relativement riche, pour être concerné : dès le 18 mai 2021, les comptes courants seront fermés si, dans les trois mois précédents, le compte dispose de plus de 100.000 euros en liquide, s’il n’est pas associé à une forme de crédit ou que le crédit n’est pas utilisé et s’il n’y a pas de produits d’épargne ou d’investissement associés. En somme, si le compte n’est rien d’autre qu’une tirelire.

    La raison ? Les taux négatifs de la BCE qui coûtent de l’argent aux banques, alors que ces dernières versent des intérêts sur ces mêmes sommes. Certes, ces intérêts sont minimes, de l’ordre de 0,1% par an, et ne suffisent qu’à peine à couvrir les frais de compte en Italie… mais ils restent une perte nette pour la banque qui s’ajoute aux taux négatifs de la BCE.

    Quand N26 impose un taux négatif

    Si l’annonce de Fineco a créé la surprise, il ne s’agit pas de la première banque à prendre des mesures visant à réduire l’argent liquide dormant. La néobanque N26, d’origine allemande mais qui propose ses services en France et en Italie, a déjà annoncé des mesures du même ordre. C’est la première banque en Europe à avoir pris cette décision à l’encontre des particuliers.

    Depuis le 1er octobre 2020, en France comme en Allemagne ou en Italie, dès lors que le solde sur le compte N26 dépasse 50.000 euros sur le mois, un taux négatif de 0,5% est appliqué.

    http://www.economiematin.fr/news-banque-fermeture-compte-italie-taux-negatif-fineco-n26

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    1. Premièrement: vous perdez de l'argent en le laissant en banque.

      Deuxièmement: Une banque est propriétaire de Votre argent ! Si la banque Sansou se déclare en faillite elle vide votre compte qui lui appartient !

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  10. La pièce manquante du puzzle de la mort de Covid-19: la co-infection
    Oh, alors vous pensiez que si vous vous faisiez vacciner, vous éviteriez la mort par le virus ? Peut être pas


    Par Bill Sardi avec Matthew Sardi
    3 mai 2021


    Chose amusante, nous avons réalisé sur le chemin du salon funéraire pour enterrer nos amis et nos proches vaccinés contre le coronavirus COVID-19, que le vaccin ne fonctionnait pas.

    Les vaccins COVID-19, comme les vaccins contre la grippe, ne fonctionnent pas aussi bien pour les nouvelles souches du virus. Pour cela, vous aurez besoin d'une vaccination perpétuelle, disent les fabricants de vaccins.

    Test défectueux

    Oh, il y a des gens qui meurent, 7700 chaque jour aux États-Unis. Mais leur décès était-il uniquement attribué au COVID-19 ? Étant donné que les nombres de décès liés au COVID-19 sont exagérés par un test PCR nasal sur écouvillon qui aboutit à 97 % de faux positifs (tous les tests PCR COVID-19 au cours des 14 derniers mois se sont avérés invalides), il n'y a aucun moyen de confirmer les décès ont été causés par COVID-19 ou COVID-19 était un spectateur, la différence entre mourir de COVID-19 ou mourir AVEC COVID-19 ! Les décès sont battus pour créer la peur et une fausse demande de vaccins.

    Les vaccinés sont les super-épandeurs

    De plus, au cas où vous ne l’auriez pas entendu, «une recrudescence des hospitalisations et des décès sera« dominée par ceux qui ont reçu deux doses du vaccin », déclare le respecté Scientific Pandemic Influenza Group.

    «Au moins 60 pour cent de tous les nouveaux cas de COVID-19 surviennent chez des personnes déjà vaccinées.» Jusqu'à présent, des centaines de personnes vaccinées sont de nouveau tombées malades et certaines sont décédées. Cela est signalé à différents endroits.

    Nous avons un vaccin qui réduit la sévérité des symptômes mais pas le ratio d'hospitalisations et de décès parmi les sujets infectés !

    Les soi-disant «super-épandeurs» sont les individus asymptomatiques vaccinés par l'ARN (Pfizer / Moderna) qui excrètent le virus.

    Dans une fausse direction anticipée, les non-vaccinés seront alors blâmés à tort pour la propagation du virus et une chasse aux sorcières prévue s'ensuivra pour les anti-vaxxers, un développement prévu dans ma publication du 26 mars 2021.

    Comment les données sur les décès peuvent-elles être exactes ?

    Mais comment un virus du rhume muté pourrait-il tuer des humains comme des mouches ? Eh bien, à aucun moment aucune population humaine ne mourut comme des mouches. Comme indiqué dans les rapports précédents, le pourcentage de personnes décédant du COVID-19 qui résident en dehors des maisons de soins infirmiers n'est que d'un quart de un pour cent.

    La vaccination, dont on dit qu'elle est efficace à 95 %, mais ce n'est pas 95 sur 100 en chiffres précis.

    Sur une base cumulée au 1er mai 2021 aux États-Unis, 31 889 171 infections confirmées en laboratoire (9,7 % de la population) avec 568 836 décès douteux (0,0017 % ou 1,7 pour mille). Mais même ces chiffres sont fallacieux.

    Si le test PCR sur écouvillon nasal a été correctement effectué, 97% d'infections au COVID-19 en tant que cause de décès ne peuvent pas être confirmées.

    Seuls 6 % des décès étaient sans conditions comorbides (diabète, maladies cardiaques, etc.), soit peut-être 34130 décès dus au COVID-19 uniquement attribués au COVID-19 au lieu de 568836 - pour un risque de décès réel de 0,0001 ou 1 sur 10000.

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  11. Cela signifie que 10 000 doivent être vaccinés pour épargner 1 vie. Bien que le taux d'effets secondaires graves des vaccins soit très faible, il dépasse le nombre de ceux qui bénéficieront potentiellement de la vaccination. Vos chances de bénéficier de la vaccination sont nulles. Et la vaccination n'empêchera pas les infections ou les décès si votre système immunitaire n'est pas intact ou si la souche du virus ne correspond pas au vaccin.

    En outre, selon le CDC, les décès en excès n'ont été signalés que parmi les décès non liés au COVID-19. Oui, autre chose que COVID-19.

    Cela s'explique par le syndrome de verrouillage où les Américains anxieux boivent tellement d'alcool et passent des nuits blanches à boire du café et du thé pour rester éveillés dans la journée, sans se rendre compte que ces pratiques bloquent la vitamine B1 qui contrôle le système nerveux autonome. Une carence en vitamine B1 peut imiter les symptômes du COVID-19, pour lequel un vaccin serait sans valeur.

    Les Américains sont contraints d'abandonner leurs moyens de subsistance à cause de morts artificielles.

    Le taux de mortalité par infection

    Comment les masques faciaux, la distanciation sociale et le lavage des mains réduiront-ils de manière significative votre risque de mourir du COVID-19 alors que seulement 1 personne sur 10 000 est à risque?

    Les humains sont continuellement exposés aux agents pathogènes. L'exposition aux bactéries et virus pathogènes ne peut pas être complètement bloquée par les masques faciaux, la distanciation ou le lavage des mains. C'est l'état de votre système immunitaire qui détermine si vous tombez malade, et non le port de masques, le lavage des mains ou l'éloignement des autres.

    Une fois infecté, si votre système immunitaire est en bonne santé, vous développerez naturellement des anticorps et des lymphocytes T et serez protégé de chaque souche de coronavirus.

    Avec près de 40 % des décès survenant chez des personnes âgées dans des maisons de soins infirmiers et 85% des décès signalés survenant chez des patients âgés de 65 ans ou plus, le risque de mourir du COVID-19 pour la plupart de la population adulte américaine est faible.

    La principale leçon est que l'âge avancé et la faiblesse concomitante de l'immunité sont les principaux facteurs de risque d'infection pulmonaire mortelle, et non le non-port de masques ou les mains non lavées.

    Pour vous assurer que votre système immunitaire est opérationnel, la consommation de suppléments de zinc, de vitamines A, C, D et de sélénium (arrête les mutations virales), qui sont des nutriments essentiels, devrait être la norme pour les soins personnels. Votre système immunitaire est un «vaccin universel». Il n'y a pas de souche virale que le système immunitaire ne puisse calmer. Votre système immunitaire est bien supérieur aux vaccins. Alors, que craindre une infection si vous développez une immunité naturelle?

    Les masques faciaux et la distanciation sociale ont réduit les décès dus à la grippe ? Ah bon ?

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  12. N'oublions pas non plus le tour de passe-passe scientifique. Les autorités sanitaires demandent sans sincérité au public de croire que les décès dus à la grippe ont disparu au cours de cette première année de COVID-19, donnant le crédit pour leurs mesures onéreuses pour arrêter la propagation du virus, comme si tous les masques faciaux et la distanciation sociale pouvaient bloquer sélectivement la grippe. mais pas un coronavirus (??). Comment le sait-il ? C'est une idée absurde. On ne peut pas compter sur les grandes agences de santé publique pour obtenir des informations vitales.

    Décès grippaux surestimés depuis des années

    Les autorités sanitaires insistent continuellement sur le fait que cette pandémie de COVID-19 pourrait être aussi mortelle que la grippe. Mais il n'y a jamais eu tous ces décès dus à la grippe signalés par les Centers for Disease Control. L'American Lung Association a signalé des décès liés à la grippe aussi bas que 257 (2001), 274 (2010) et 727 (2002), tandis que le CDC continue de signaler en moyenne 36 000 décès dus à la grippe par an dans une épidémie saisonnière artificielle pour stimuler la vaccination contre la grippe . Comment les Américains peuvent-ils faire confiance aux vaccins COVID-19 alors qu'ils sont vantés par des agences de santé publique qui fournissent de fausses données comme celle-ci ?

    Pourquoi quelqu'un pense-t-il se faire vacciner ?

    Avec tous les mensonges, les menaces artificielles d'infection et de mort, les tests faussement positifs, l'efficacité surestimée des vaccins, les souches mutantes pour lesquelles il n'y a pas de vaccination et une faible chance de jamais bénéficier de la vaccination, ainsi que des vaccins expérimentaux non prouvés , on se demande pourquoi, fin avril 2021, près d'un tiers de la population américaine est entièrement vaccinée.

    Les Américains marchent volontairement sur la planche. Mais les Américains disent qu’ils n’ont pas eu le choix, que leur employeur l’a exigé ou qu’ils ne peuvent pas voyager sans certificat de vaccination.

    N'est-il pas difficile de croire que les États-Unis, le pays le plus développé et avec le système de santé le plus avancé au monde, avec des aliments enrichis, une hygiène publique, des médicaments modernes et une médecine abondante, et seulement 4 % de la population mondiale, comme de juillet 2021 est responsable d'environ 26 % de ses cas de COVID-19 et de 24 % de ses décès par COVID-19 ?

    S'il est si critique pour le monde de se faire vacciner, pourquoi y a-t-il plus de 130 pays qui n'ont pas administré un seul vaccin ? Les vaccins sont principalement distribués dans les pays avancés où les fabricants de vaccins peuvent gagner de l'argent.

    Autres agents pathogènes impliqués

    C'est une simplification excessive de croire qu'un virus du rhume muté, qui avait manifestement subi des altérations de «gain de fonction», est devenu singulièrement un «tueur né naturellement». C'est le fait de ne pas informer le public que d'autres agents pathogènes, à savoir les bactéries et les champignons, sont impliqués dans les maladies pulmonaires infectieuses au stade mortel. C'est ce qu'on appelle la co-infection. C'est la pièce manquante du puzzle COVID-19, que la vaccination n'empêchera pas.

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  13. La grippe espagnole était vraiment la tuberculose espagnole

    Vous seriez probablement surpris d'apprendre que les décès dus au virus de la grippe (H1N1) n'étaient pas la seule cause de la grippe espagnole de 1918 qui aurait tué des millions de personnes dans le monde.

    Le démographe Andrew Noymer de l'Université de Californie à Berkeley a découvert un énorme décès de personnes atteintes de tuberculose, une infection mycobactérienne, en 1919, l'année après la grippe espagnole.

    Dans une étude, les chercheurs ont découvert que la tuberculose était associée à la mort due à la grippe, mais il n'y avait pas de décès par grippe chez les sujets non infectés par la tuberculose!

    Infections bactériennes secondaires

    Les infections bactériennes secondaires sont signalées comme les causes les plus fréquentes de décès dans la pandémie de grippe de 1918, la bactérie Streptococcus pneumonia en particulier. Des infections bactériennes secondaires ont également été signalées lors de la pandémie de grippe porcine de 2009.

    Le fait est que la plupart des patients hospitalisés COVID-19 contractent une infection bactérienne secondaire.

    Les infections secondaires réduisent considérablement la survie des patients atteints de COVID-19, en particulier ceux des soins intensifs.

    À Wuhan en Chine, une infection secondaire a été signalée chez 50 % des non-survivants et seulement 1% des survivants. Dans une autre étude, les patients atteints de COVID-19 sévère étaient 2,9 à 18,2 fois plus susceptibles d'avoir des co-infections avec des bactéries ou des champignons.

    Il est possible que certains patients meurent d'une co-infection bactérienne plutôt que du virus COVID-19 lui-même. Lors de la pandémie de grippe H1N1 de 2009, parmi environ 300 000 décès, 30 à 55 % des décès étaient dus à une pneumonie bactérienne. Mais vous ne lisez pas sur les décès par pneumonie dans la pandémie actuelle, probablement mal catégorisés comme décès par COVID-19 et rapportés par la suite dans les médias.

    Dans une autre étude, 35 % des patients atteints d'une maladie grave présentaient une infection bactérienne secondaire, contre seulement 4 % avec une maladie modérée et 9% avec une maladie grave.

    L'agent pathogène le plus courant qui cause la pneumonie à l'hôpital est le champignon. Dans une étude portant sur des patients atteints de COVID-19, 80% avaient des champignons dans leurs poumons.

    Remèdes naturels qui s'attaquent aux bactéries, virus et champignons

    À ce stade, il est important de reconnaître qu'il n'y a pas assez d'antibiotiques ou même de vaccins pour tout le monde si une véritable pandémie est en jeu. Cela signifie que les soins personnels sont importants.

    Presque tout le monde dit avoir ressenti des symptômes de type COVID au cours de la dernière année et 99,7% se sont rétablis d'eux-mêmes. Il est important dans les soins personnels de traiter les infections bactériennes et fongiques ainsi que les virus.

    Dans une étude réalisée à l'Université Cornell il y a plus de dix ans, il a été constaté que quatre remèdes à base de plantes (ail, origan, piment de la Jamaïque et clous de girofle) tuaient toutes les formes de bactéries. Tous ces herbals surmontent la résistance aux antibiotiques.

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  14. Il a été démontré que le principal ingrédient actif de l'ail frais broyé, l'allicine, possède des propriétés antivirales, antifongiques et antibactériennes. Alors que la plupart des pilules d'ail ne donnent pas d'allicine en raison de la dégradation par l'acide gastrique de l'enzyme qui produit l'allicine, une capsule d'ail alcalinisée annule l'acidité pour produire autant d'allicine qu'une gousse d'ail fraîchement écrasée. L'ail n'induit pas non plus de résistance aux antibiotiques.

    L'huile d'origan contient du carvacrol, un puissant agent antifongique et antibactérien. Carvacrol n'est pas soumis à une résistance antibactérienne.

    Le resvératrol, molécule de vin rouge, est connu pour avoir une action antifongique, antibactérienne et antivirale inhabituelle. «Le resvératrol démontre l'action des antimicrobiens contre une remarquable diversité bactérienne, des virus et des champignons.»

    Le Dr Thomas Levy préconise l'utilisation de fines gouttelettes nébulisées de peroxyde d'hydrogène qui tue sélectivement toutes les bactéries, virus et champignons sans nuire aux cellules saines. Les nébuliseurs sont disponibles en ligne ou auprès de fournisseurs médicaux locaux. Lisez le livre du Dr Levy’s RAPID VIRUS RECOVERY, un livre électronique gratuit en ligne.

    Les vaccins COVID-19 ne ciblent qu'une seule souche de coronavirus. La co-infection augmente considérablement la mortalité. Assurez-vous que votre régime de remèdes maison traite les bactéries, les virus et les champignons.

    https://www.lewrockwell.com/2021/05/no_author/the-missing-piece-of-the-covid-19-death-puzzle-co-infection/

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    Réponses
    1. - "Vous risquez d'attraper la myxomatose ! Il faut vous vacciner !"
      - "Mais il..."
      - "Le vaccin est fait pour çà !!"

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  15. Les tirs (injections/piqûres) de la police Vs. Décès médicalement causé; Comment les nouvelles façonnent la perception du public et contrôlent les esprits


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    3 mai 2021


    Eh bien, monsieur Wilson, je tiens à vous remercier d'avoir comparu devant ce comité aujourd'hui. Cela fait de nombreuses années que vous êtes PDG de l’un des plus grands réseaux d’information au monde.

    De nombreuses années depuis que j'ai été évincé, oui.

    Nous ne sommes pas ici pour en discuter aujourd’hui.

    Non.

    Nous voulons votre point de vue sur les médias d'information en général. Comment ils façonnent la perception du public.

    Monsieur le président, permettez-moi de commencer par ceci. Chaque année aux États-Unis, des gens commettent environ 1,2 million de crimes violents. Ce serait un meurtre, un viol, des voies de fait graves et un vol qualifié.

    Autant?

    Oui. Avez-vous déjà vu un documentaire d'information complet révélant, étape par étape, le rétablissement d'une victime de l'un de ces crimes ?

    Pourquoi, non. Je ne l’ai pas fait.

    Si un tel documentaire était produit, il montrerait les chirurgies pour réparer les blessures, le séjour à l'hôpital, la période de rééducation dans un autre établissement, l'arrivée à domicile, l'angoisse des amis et de la famille, les difficultés économiques, la tentative de rétablissement psychologique. , et ainsi de suite - sur une longue période de temps.

    Je n’ai jamais rien vu de tel à la télévision.

    Je vais vous dire pourquoi, monsieur le président. Les téléspectateurs qui le regardaient comprendraient enfin, de près, les effets des crimes violents. Et par conséquent, ils tiendraient les auteurs, les criminels, plus responsables et plus responsables. Et CELA entraînerait un changement dans notre culture. Les médias d'information ne veulent pas que ce changement se produise.

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  16. Pourquoi pas ?

    Parce que les médias d'information se consacrent à susciter la sympathie du public pour le criminel. C’est leur programme. C’est un programme destructeur.

    C’est une accusation très grave, M. Wilson.

    Oui, monsieur, ça l'est. Mais ce n’est que le début de ce que j’ai à dire ici aujourd’hui. Laissez-moi continuer. Selon les statistiques disponibles, la police américaine tire et tue environ 1 200 personnes par an. Quelques-unes de ces fusillades provoquent des bouleversements majeurs dans la société. Protestations et émeutes. Chaque année, en Amérique, le système médical tue 225 000 personnes. Il n'y a pas de bouleversement. Les médias d’information ne couvrent en aucune façon ce fait.

    Êtes-vous sûr de cette statistique médicale, monsieur Wilson ?

    C’est une estimation prudente, monsieur le président. Je vais proposer une citation sur plusieurs. Auteur, le Dr Barbara Starfield, une experte en santé publique vénérée chez Johns Hopkins. 26 juillet 2000, le Journal de l'American Medical Association. Son avis était intitulé «La santé aux États-Unis est-elle vraiment la meilleure au monde ?» Elle a déclaré: 106 000 décès résultent de l'administration de médicaments approuvés par la FDA. 119 000 décès résultent de mauvais traitements et d'erreurs dans les hôpitaux.

    C’est stupéfiant, M. Wilson.

    Oui c'est le cas. Pourtant, aucune couverture des médias d'information. La police tire et tue 1 200 Américains par an. Le système médical tue 225 000 Américains par an. Alors imaginez que cela se produirait si les médias couvraient les décès médicaux de la même manière qu'ils couvraient quatre ou cinq fusillades de la police qui mènent à des manifestations et des émeutes.

    Et vous dites que les médias ignorent intentionnellement les décès causés par des raisons médicales?

    Oui. Bien sûr.

    Eh bien, les informations télévisées sont soutenues dans une large mesure par les annonceurs pharmaceutiques.

    Corriger. Et ces annonceurs retireraient leur argent si la mort causée par des raisons médicales devenait soudainement un sujet majeur, nuit après nuit, aux nouvelles du soir. Mais il y a plus dans l'histoire.

    Lequel est ?

    Le système médical est une pierre angulaire, un pilier, un fondement de la société. Les gens lui rendent hommage. Afin de maintenir le genre de société que nous avons actuellement, les gens doivent croire en la fondation. Sinon… un effondrement se produirait.

    Vous dites vraiment que les médias d'information soutiennent -

    Oui, je le suis, monsieur le président. Prenez ce chiffre: le système médical cause 225 000 décès en Amérique chaque année. Ce serait 2,25 MILLIONS de morts par décennie. Et nous ne parlons même pas des millions d’autres personnes mutilées par le système médical et qui parviennent à survivre.

    J'essaie de vous représenter ce que vous êtes -

    Permettez-moi d'aller encore plus loin, monsieur le président. Supposons qu'un réseau d'information consacre une semaine de couverture à UNE PERSONNE tuée par le système médical. Près. La période de souffrance, la mort, l'effet sur la famille, l'incroyable détresse émotionnelle et la douleur et l'agitation, le fardeau financier, etc. Et puis, à la fin de la semaine, le présentateur a déclaré: CELA ARRIVE À 225 000 PERSONNES EN AMÉRIQUE CHAQUE ANNÉE. 2,25 MILLIONS DE PERSONNES CHAQUE DÉCENNIE.

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  17. Il y aurait un tollé national.

    Et, à mon avis, monsieur le président, c'est la seule façon dont le système médical américain peut être réformé et reconstruit à partir du sommet. Mais cela n'arrivera jamais. Les médias ne le permettront pas. Par conséquent, le système médical doit être reconstruit à partir des niveaux inférieurs - en fin de compte, par les gens eux-mêmes.

    Alors, comment les médias d'information façonnent-ils la perception que le public a du système médical ?

    J’espère que c’est une question rhétorique, Monsieur le Président. Le public est amené à croire que nous avons un système avec seulement des effets indésirables RARES. Cette croyance est créée et cultivée par les médias d'information. Ils sont complices du crime.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2021/05/jon-rappoport/police-shootings-vs-medically-caused-death-how-the-news-shapes-public-perception-and-controls-minds/

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  18. L'alimentation comme médicament - La réponse aux crises de santé croissantes


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    3 mai 2021


    Le Dr Robert Lustig, endocrinologue pédiatrique et professeur émérite à l'Université de Californie à San Francisco, a écrit un certain nombre d'excellents livres sur la santé. Son dernier, «Métabolique: L'attrait et les mensonges des aliments transformés, de la nutrition et de la médecine moderne» approfondit les détails de la façon dont les changements dans notre approvisionnement alimentaire ont endommagé notre santé métabolique. (Le terme créé «métabolique» est en fait un mot-valise des mots «métabolique» et «diabolique».)

    «Je l'ai écrit parce que rien d'autre n'a fonctionné», dit Lustig. «Une partie du problème est que c'est une question tellement compliquée. Il y a trop de parties prenantes et il faut trouver une méthode pour rendre tout le monde heureux. Tant que vous ne le faites pas, vous ne pourrez pas le résoudre.

    Il existe un moyen de résoudre ce problème, [mais] chaque partie prenante, que ce soit le patient, le médecin, la société alimentaire, le secteur des assurances, le corps médical, Wall Street et le Congrès… doit comprendre la même chose. Ils doivent tous travailler sur le même ensemble de faits. Vous voyez ce qui se passe lorsque vous ne travaillez pas sur le même ensemble de faits.

    Donc, mon travail consistait à mettre tout cela dans un seul volume pour que tout le monde ait accès aux mêmes informations, puis nous pourrons partir de là. J'expose dans le livre ce qu'est l'argument pour réparer l'ensemble du système alimentaire et comment tout le monde peut en bénéficier, même l'industrie alimentaire.

    Les deux clés primaires

    En résumé, cela se résume à deux principaux problèmes ou problèmes clés. Le premier est que l’établissement médical ne veut pas que vous sachiez que les médicaments n’ont jamais été destinés ou conçus pour traiter la cause fondamentale des maladies chroniques. Ils traitent simplement les symptômes.

    «Dans le livre, je précise très clairement que la médecine moderne a deux factions, deux paradigmes», dit Lustig. «Le premier est le traitement des maladies aiguës, et pour la plupart, ils ont raisonnablement bien compris. J'ai fait partie de ce système pendant 40 ans et j'y étais à l'aise.

    Mais pour les maladies chroniques, le diabète de type 2, l'hypertension, les problèmes lipidiques, les maladies cardiovasculaires, le cancer, la démence, la stéatose hépatique non alcoolique, la polykystose ovarienne - qui sont toutes des maladies métaboliques chroniques, qui sont toutes des maladies mitochondriales - nous n'avons pas n'importe quoi. Nous n'avons qu'un soulagement symptomatique.

    Donc, nous avons des agents abaissant le LDL - et si LDL était le problème, ce serait bien - sauf que LDL n'est PAS le problème. LDL est un symptôme du problème. C'est une manifestation du dysfonctionnement métabolique. Même chose avec l'hyperglycémie.

    Même chose avec l'hypertension. Même chose avec l'ostéoporose. Même chose avec les maladies auto-immunes. Tout cela, nous avons des traitements symptomatiques. Nous ne guérissons ni ne renversons la maladie; nous traitons simplement les symptômes. Et ainsi la maladie empire.

    La façon dont je le décris dans le livre est que c’est comme donner une aspirine à un patient atteint d’une tumeur cérébrale parce qu’il a mal à la tête. Cela peut fonctionner aujourd'hui, mais cela ne résoudra pas le problème. Et c’est ce que la médecine moderne lance sur les personnes atteintes de maladies chroniques, et c’est, bien sûr, faire sauter la banque. »

    L'autre problème est que l'industrie alimentaire ne veut pas que vous sachiez que pratiquement tous les aliments sont intrinsèquement bons pour vous tant qu'ils ne sont pas transformés, et les aliments transformés constituent la majorité des aliments que les gens consomment.

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  19. La nourriture est un médicament, mais les aliments transformés sont un poison et aucun médicament ne peut réparer les dommages causés par les aliments transformés. ~ Dr Robert Lustig
    Comme l'a noté Lustig:

    «Ce que je veux dire dans le livre, c’est que ce n’est pas parce qu’ils appellent cela de la nourriture transformée que cela en fait de la nourriture. L'appeler un aliment transformé suggère qu'il s'agit d'un sous-ensemble d'aliments. Michael Pollan [l'appelle] des substances alimentaires appétentes. Le fait est que les aliments transformés sont du poison. La nourriture est un médicament, mais les aliments transformés sont un poison, et aucun médicament ne peut réparer les dommages causés par les aliments transformés. "

    En effet, une fois que vous comprenez les voies moléculaires, lorsque vous comprenez les facteurs de transcription et les mécanismes d'action réels de diverses maladies, et les différents médicaments utilisés pour les traiter, vous pouvez facilement voir qu'ils ne traitent pas le problème sous-jacent. Et c’est pourquoi les gens ne vont pas bien.

    «Ce que j'essaie de faire dans ce livre, c'est de séparer les aliments des aliments transformés et d'expliquer que les aliments transformés sont le problème, et que nous ne résoudrons pas la crise des soins de santé ou la crise environnementale tant que nous n'aurons pas résolu les aliments transformés», dit Lustig.

    L'histoire de la médecine

    Dans son livre, Lustig fait un excellent travail en présentant l'histoire de nos systèmes alimentaires et médicaux, ainsi que les diverses pressions qui nous ont conduits sur la voie où nous en sommes aujourd'hui. Par exemple, une partie importante des raisons pour lesquelles les médecins sont si ignorants de la santé aujourd'hui est que Big Pharma a été chargé de leur éducation. L'industrie pharmaceutique, à son tour, était un programme à but lucratif distinct depuis sa création.

    En 1910, Abraham Flexner, un éducateur, a écrit le rapport Flexner, qui s'est avéré être un tournant en termes de création d'une médecine moderne fondée sur des preuves, tout en éliminant simultanément de nombreux facteurs liés à la santé, y compris la nutrition et la médecine préventive. Son frère, Simon Flexner, pathologiste et pharmacien, a été le premier président de l'Université Rockefeller.

    L'une des raisons pour lesquelles le rapport Flexner a éliminé certains aspects de la médecine était que John D. Rockefeller, président de Standard Oil, était également dans le secteur pharmaceutique. Il essayait de vendre du goudron de houille, un sous-produit du raffinage du pétrole, comme traitement pour une gamme de maux.

    Donc, Rockefeller cherchait de nouvelles avenues de profit. «Il a essentiellement dit que nous devions mettre les médicaments et en particulier le goudron de houille entre les mains des médecins qui peuvent le prescrire», dit Lustig. La seule façon d'y parvenir était de refondre le système médical et de se concentrer sur les produits pharmaceutiques.

    «C'était donc le début de Big Pharma. Ce n’est pas l’histoire qu’ils veulent raconter, mais c’est en fait le cas », déclare Lustig. «Même chose avec la dentisterie. Weston Price, peut-être le plus célèbre de tous les dentistes, le savait dans les années 1920 et 1930 et a déclaré que le sucre était le principal moteur des maladies bucco-dentaires chroniques, qu'il s'agisse de parodontite ou de caries dentaires.

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  20. Tout allait dans cette direction jusqu'en 1945 avec l'avènement du fluorure, puis tout ce que Weston Price s'était développé jusqu'à ce point s'est rapidement approfondi. En fait, les dentistes ont même dit que si nous nous débarrassions des caries dentaires, comment allons-nous gagner de l'argent? Donc, son travail a été fondamentalement oublié.

    La même chose en diététique. Il s'avère que Lenna Cooper, cofondatrice de l'American Dietetic Association, en 1917, était l'apprentie de John Harvey Kellogg. Elle n’avait même pas de diplôme en diététique… Kellogg était très contre la viande. Il était un adventiste du septième jour, et il s'est avéré que l'Association américaine de diététique a adopté tout le paradigme religieux adventiste du septième jour.

    À ce jour, nous le voyons toujours en termes de régimes végétaliens. Ainsi, les gens disent que les régimes végétaliens sont appropriés pour la santé, et ils peuvent l'être, mais ils ne sont en aucun cas exclusifs. Ils disent également qu'il est important pour la santé environnementale d'essayer de réduire le méthane des vaches.

    Il s'avère que les vaches n'ont pas craché de méthane jusqu'à ce que nous ayons commencé à leur donner des antibiotiques, car nous avons tué les bonnes bactéries dans leurs intestins et maintenant elles ont quadruplé la quantité de méthane par rapport à ce qu'elles faisaient en 1968 avant que l'engouement pour les antibiotiques chez les animaux ne commence. . Donc, ce ne sont pas les vaches, c’est ce que nous faisons aux vaches. Toute la nourriture est intrinsèquement bonne. C’est ce que nous faisons à la nourriture qui n’est pas, et c’est ce que je montre dans le livre. "

    L'adultération de nos aliments remonte en fait aux environs de 1850. En Grande-Bretagne, la révolution industrielle a été un tournant où deux choses se sont produites en même temps.

    Premièrement, les gens des ateliers clandestins travaillaient de longues journées et n’avaient pas le temps de préparer des repas convenables, alors ils ont fini par manger des biscuits transformés chargés de sucre, qui étaient devenus disponibles dans d’autres colonies britanniques comme la Barbade. Cela les a sous-alimentés en termes d'antioxydants, d'acides gras et d'autres nutriments importants. Le deuxième grand changement alimentaire a été la mise en conserve, qui a exposé les gens au saturnisme, car les boîtes étaient faites de plomb.

    Pourquoi vous ne devriez pas vous concentrer sur les étiquettes alimentaires

    À présent, vous vous êtes probablement entraîné avec diligence à lire les étiquettes des aliments. Le problème est que l’étiquette ne vous dira pas ce qui a été fait à la nourriture. «C’est l’une des raisons pour lesquelles personne ne s’améliore, car il n’ya rien à apprendre du label qui vous aidera réellement», déclare Lustig. Selon Lustig, un aliment est sain s'il répond à deux critères:

    Il protège votre foie
    Il nourrit votre intestin

    Un aliment qui ne fait ni l'un ni l'autre est un poison, et tout aliment qui ne fait que l'un ou l'autre, mais pas les deux, se trouve quelque part au milieu. La vraie nourriture, car elle contient des fibres, protège votre foie et nourrit votre intestin. Les aliments transformés sont sans fibres, et la raison en est que les fibres réduisent la durée de conservation. En supprimant la fibre de la nourriture, elle l'empêche de rancir, mais elle la rend également intrinsèquement malsaine.

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  21. Essentiellement, «dans le but d'essayer d'augmenter la disponibilité, de réduire le gaspillage, nous avons renversé l'ensemble de notre approvisionnement alimentaire afin de créer des produits de base plutôt que de rendre la nourriture disponible», dit Lustig.

    Puis, dans les années 1970, Richard Nixon a demandé au secrétaire américain à l'Agriculture, Earl Butts, de proposer un plan pour réduire les prix des denrées alimentaires, car les fluctuations des prix des denrées alimentaires provoquaient des troubles politiques. Le résultat a été le début de la monoculture et de l'agriculture axée sur les produits chimiques.

    «Maintenant, nous avons des ruissellements d'azote détruisant notre environnement et des antibiotiques dans les aliments afin de maintenir les animaux en vie, mais essentiellement en tuant leurs propres bactéries et les nôtres, et en créant également des maladies chroniques et en détruisant l'environnement.

    Il est fondamentalement intégré à notre système alimentaire occidental. Et nous n’allons pas résoudre les problèmes de santé, nous n’allons pas résoudre les maladies chroniques, nous n’allons pas résoudre les problèmes économiques [ou] les problèmes environnementaux tant que nous n’avons pas reconnu quel est le problème », déclare Lustig.

    Le raffinement aggrave tout

    Alors que Lustig soutient que le raffinement des glucides est le principal coupable qui rend les aliments transformés si mauvais pour la santé, je pense que les graisses transformées peuvent être un contributeur encore plus important.

    L'acide linoléique oméga-6 (LA), en particulier, est un poison métabolique pernicieux. En 1850, le LA dans le régime moyen était d'environ 2% des calories totales. Aujourd'hui, il se situe entre 20% et 30%. Bien que nous ayons besoin d’oméga-6, puisque votre corps ne le fabrique pas, le fait est que nous n’avons pas besoin de la quantité que nous recevons actuellement.

    «Je suis d'accord que les oméga-6 sont un problème», dit Lustig. "Non. 1, ils sont pro-inflammatoires par eux-mêmes et n ° 2, ils ont suffisamment de doubles liaisons insaturées pour que si vous les chauffez suffisamment, vous les retournez et finissez par produire des gras trans. C’est le problème de toutes ces graisses polyinsaturées. Ils ne sont pas destinés à être chauffés au-delà de leur point de tabagisme, et nous le faisons. "

    En plus de ces problèmes, les graisses polyinsaturées telles que la LA sont très sensibles à l'oxydation et, à mesure qu'elles s'oxydent, elles se décomposent en sous-composants nocifs tels que les produits finaux d'oxydation lipidique avancée (ALES) et les métabolites oxydés LA (OXLAMS). Ces ALES et OXLAMS causent également des dommages.

    Un type de produit final d'oxydation lipidique avancée (ALE) est le 4HNE, un mutagène connu pour causer des dommages à l'ADN. Des études ont montré qu’il existe une corrélation certaine entre des taux élevés de 4HNE et une insuffisance cardiaque. LA se décompose en 4HNE encore plus rapidement lorsque l'huile est chauffée, c'est pourquoi les cardiologues recommandent d'éviter les aliments frits. L'apport en LA et les ALES et OXLAMS produits par la suite jouent également un rôle important dans le cancer.

    Le HNE et les autres ALES sont extrêmement nocifs, même en quantités extrêmement faibles. Bien que l'excès de sucre soit certainement mauvais pour votre santé et devrait généralement être limité à 25 grammes par jour ou moins, je pense que LA est beaucoup plus dommageable dans l'ensemble. Comme expliqué par Lustig:

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  22. «Nous avons une charge métabolique d’espèces réactives de l’oxygène (ROS) qui causent des dommages si vous ne pouvez pas les éteindre. C’est pourquoi nous avons des antioxydants dans notre corps - le glutathion, la vitamine E - [ils sont] essentiellement le puits de ces espèces réactives de l’oxygène. Le fait est que nos mitochondries produisent des ROS chaque minute de chaque jour.

    C'est un sous-produit normal du métabolisme. Le fait est que nous sommes censés être en mesure de les éteindre. Vous ne pouvez les éteindre que si vous obtenez les antioxydants en vous.

    Le problème est que dès que vous avez retiré le germe du grain de grain, vous avez essentiellement réduit votre consommation d'antioxydants par dix. Nous sommes donc déficients en antioxydants à cause de la transformation des aliments, ce qui nous rend vulnérables aux ravages des ROS provenant de plusieurs sources, y compris nos propres mitochondries.

    La vraie nourriture est la réponse

    La clé est donc de manger des aliments entiers, naturellement riches en fibres et pauvres en sucre. Sur une note latérale, les radicaux libres ne sont pas tous mauvais. Ce sont également des molécules de signalisation biologiques, et si vous les supprimez sans discernement, ce qui est le danger que vous courez lorsque vous utilisez de très grandes quantités de suppléments antioxydants, cela peut se retourner contre vous.

    Le meilleur moyen est d'obtenir vos antioxydants de votre nourriture, et la vraie nourriture fournit non seulement des antioxydants, mais ne crée pas non plus de ROS excessifs, de sorte que vous obtenez de l'aide des deux côtés, pour ainsi dire. En ce qui concerne le type de régime que vous choisissez, n’importe quel régime peut fonctionner, à condition qu’il soit adapté à votre métabolisme. Le seul régime qui ne fonctionne pour personne est un régime alimentaire transformé.

    Solutions, Solutions

    Maintenant que vous connaissez la racine des problèmes, quelles solutions suggère Lustig? Pour commencer, l'éducation seule ne suffit pas, dit-il. Nous avons besoin d'éducation et de mise en œuvre. Et cela nécessite une réponse sociétale différente.

    «La façon dont je le décris, c’est qu’il y a intervention personnelle, que nous pouvons appeler à défaut de meilleur mot, réadaptation, et intervention sociale, que nous pouvons appeler lois à défaut de meilleur mot. Réadaptation et lois pour tout ce qui est une substance hédonique - vous avez besoin des deux.

    La première étape de l’intervention personnelle consiste à déterminer si vous êtes malade. «Et ne demandez pas à votre médecin car il ne sait pas comment le comprendre», dit Lustig. Dans le chapitre 9 de son livre, il énumère des indices qui peuvent vous aider à vous auto-diagnostiquer.

    Pour ce qui est de régler vos problèmes de santé, votre «traitement» principal consistera à apporter des changements, éventuellement importants, à la façon dont vous faites vos courses et vous mangez. En règle générale, facile à suivre, s'il comporte une étiquette, ne l'achetez pas. La vraie nourriture n'a pas d'étiquettes d'ingrédients. Le livre de Lustig comprend également des conseils sur la façon de lire les étiquettes des aliments dans les cas où vous n’auriez pas d’option.

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  23. «Nous avons également besoin d'une intervention sociétale. Le problème est que l’industrie alimentaire ne veut aucune intervention de la société parce que c’est son train de sauce. Alors, la question est, comment faites-vous cela ?

    Normalement, nous le ferions par voie législative, mais l'industrie alimentaire a complètement coopté l'ensemble du pouvoir législatif; 338 membres du Congrès sur 535 reçoivent de l'argent de l'American Legislative Exchange Council (ALEC), et l'agriculture est leur quatrième [plus grand] contributeur après le pétrole, le tabac et l'industrie pharmaceutique.

    Sauf succès législatif, nous nous retrouvons avec des litiges. Déjà, il y a un certain nombre de poursuites en cours, dont plusieurs font partie Lustig. En fin de compte, nous devons restructurer l'ensemble du système alimentaire afin que toutes les parties prenantes en bénéficient. «Et nous devons leur montrer comment ils peuvent en bénéficier», dit Lustig.

    Les subventions sont le plus grand frein au changement

    L'industrie alimentaire peut-elle gagner de l'argent en vendant de la vraie nourriture? Lustig pense que la réponse est oui, et dans son livre, il détaille à quel point la vraie nourriture a un sens à la fois financier et écologique. La clé est de supprimer les subventions, qui graissent actuellement les rouages ​​de l'industrie des aliments transformés.

    «Les subventions sont le plus grand blocus», dit Lustig. «Ils sont le plus gros obstacle à la capacité de réparer l’approvisionnement alimentaire, car c’est ce qui rend les aliments transformés bon marché. La Fondation Giannini de l'UC Berkeley a effectué un calcul en arrière-plan il y a plusieurs années.

    À quoi ressemblerait le prix de la nourriture si nous supprimions toutes les subventions alimentaires? Il s'avère que le prix de la nourriture ne changerait pas. Les gens disent que cela augmenterait. Non, ce ne serait pas le cas. Cela ne changerait pas, sauf pour deux éléments. Deux éléments augmenteraient: le sucre et le maïs [utilisés pour le sirop de maïs à haute teneur en fructose]. Donc, fondamentalement, cela réduirait la consommation de la toxine primaire dans notre alimentation qui cause le plus de problèmes ...

    L'industrie alimentaire… peut gagner plus d'argent en faisant ce qu'il faut à condition que nous nous débarrassions des subventions ou que nous accordions des subventions pour de la vraie nourriture afin qu'elle puisse gagner de l'argent en vendant la bonne chose. Cela nécessite le gouvernement. Il n'y a pas moyen de contourner cela. C’est pourquoi ce livre est complet. Il est présenté à toutes les parties prenantes, y compris le gouvernement, sur ce qui doit se passer et pourquoi.

    J'ai écrit ce livre pour que tout le monde comprenne les mêmes principes à la fois, de sorte que nous puissions réellement avoir une dispute et un débat et, espérons-le, venir à la table sur les faits, car tant que nous ne le ferons pas, il n'y aura pas de solution à ce problème. Si tout le monde vient à la table, honnêtement, et admet quel est le problème, quel est le problème, nous pouvons en fait le résoudre.

    Pour en savoir plus, assurez-vous de vous procurer un exemplaire du livre de Lustig, «Métabolique: l’attrait et les mensonges des aliments transformés, de la nutrition et de la médecine moderne». Vous pouvez également trouver une mine d'informations sur son site Web, RobertLustig.com, y compris des apparitions dans les médias, des enregistrements audio, des conférences vidéo, des livres, des articles et des événements à venir où vous pouvez l'entendre parler.

    https://www.lewrockwell.com/2021/05/joseph-mercola/food-as-medicine-the-answer-to-mounting-health-crises/

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  24. Canada : des milliers de manifestants à Montréal contre les restrictions sanitaires


    sam., 01 mai 2021 18:51 UTC


    Alors que des milliers de personnes ont manifesté ce samedi à Montréal contre le port du masque et le couvre-feu, Justin Trudeau a rappelé que ces rassemblements ne faisaient que prolonger les mesures sanitaires.

    Des milliers de manifestants ont défilé samedi autour du stade olympique de Montréal, qui abrite l'un des principaux centres de vaccination du Québec, pour dénoncer les mesures sanitaires imposées afin de contrer la troisième vague de la pandémie au Canada.

    Des mesures qui irritent

    «Non au masque», «Non au couvre-feu», «Non au passeport sanitaire», proclamaient plusieurs banderoles tout au long du cortège, encadré par une imposante présence policière, selon des journalistes de l'AFP sur place.

    Les manifestants, pour la plupart non-masqués et peu soucieux des mesures de distanciation, jugent «injustifiées» les restrictions sanitaires imposées par le gouvernement québécois. Ils dénoncent notamment le port du masque obligatoire en cas de rassemblement à l'extérieur ou l'imposition d'un couvre-feu provincial depuis début janvier.

    Ce couvre-feu, mesure inédite au Canada à l'échelle d'une province depuis l'épidémie de grippe espagnole il y a un siècle, a été récemment allégé par le gouvernement centriste de François Legault. Le Québec, deuxième province la plus touchée du Canada par la pandémie, impose également un confinement dans plusieurs régions.

    Plusieurs interpellations

    Quelques manifestants ont été interpellés au début de la marche, selon un journaliste de l'AFP, puis le cortège a défilé dans une ambiance festive, au rythme des tambours.

    La veille, le Premier ministre Justin Trudeau avait dénoncé la tenue de cette manifestation, la jugeant «désolante» et contre-productive. Le gouvernement québécois a expliqué qu'elle avait entraîné des reports de rendez-vous au centre de vaccination du stade olympique.

    «Malheureusement, les gens qui se rassemblent pour manifester sont en train de contribuer à la prolongation de ces mesures de santé publique», avait prévenu M.Trudeau lors d'une conférence de presse.

    Le Canada recensait samedi plus de 1,2 million de cas de coronavirus et 24.200 morts, dont plus de la moitié dans l'Ontario et au Québec.

    Commentaire : Facile de faire gonfler les chiffres à coups de tests PCR bidon, en faisant passer des décès dus à d'autres pathologies pour des « morts du covid », en comptant des « asymptomatiques » (novlang pour «personnes en bonne santé » comme cas covid, etc. Technique bien rodée depuis plus d'un an pour créer l'illusion d'une pandémie.

    https://fr.sott.net/article/37144-Canada-des-milliers-de-manifestants-a-Montreal-contre-les-restrictions-sanitaires

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  25. La servitude

    Réseau International
    dim., 02 mai 2021 16:37 UTC


    Mon optimisme est basé sur la certitude que cette civilisation va s'effondrer. Mon pessimisme sur tout ce qu'elle fait pour nous entraîner dans sa chute. Quelle époque terrible que celle où des idiots dirigent des aveugles. La servitude moderne est une servitude volontaire, consentie par la foule des esclaves qui rampent à la surface de la Terre.

    Ils achètent eux-mêmes toutes les marchandises qui les asservissent toujours un peu plus. Ils courent eux-mêmes derrière un travail toujours plus aliénant, que l'on consent généreusement à leur donner, s'ils sont suffisamment sages. Ils choisissent eux-mêmes les maîtres qu'ils devront servir.

    Pour que cette tragédie mêlée d'absurdité ait pu se mettre en place, il a fallu tout d'abord ôter aux membres de cette classe toute conscience de son exploitation et de son aliénation. Voila bien l'étrange modernité de notre époque. Contrairement aux esclaves de l'Antiquité, aux serfs du Moyen-âge ou aux ouvriers des premières révolutions industrielles, nous sommes aujourd'hui devant une classe totalement asservie mais qui ne le sait pas ou plutôt qui ne veut pas le savoir. Ils ignorent par conséquent la révolte qui devrait être la seule réaction légitime des exploités. Ils acceptent sans discuter la vie pitoyable que l'on a construite pour eux.

    Le renoncement et la résignation sont la source de leur malheur. Voilà le mauvais rêve des esclaves modernes qui n'aspirent finalement qu'à se laisser aller dans la danse macabre du système de l'aliénation.

    L'oppression se modernise en étendant partout les formes de mystification qui permettent d'occulter notre condition d'esclave.

    Montrer la réalité telle qu'elle est vraiment et non telle qu'elle est présentée par le pouvoir constitue la subversion la plus authentique.

    Seule la vérité est révolutionnaire.

    « L'urbanisme est cette prise de possession de l'environnement naturel et humain par le capitalisme qui, se développant logiquement en domination absolue, peut et doit maintenant refaire la totalité de l'espace comme son propre décor ».

    À mesure qu'ils construisent leur monde par la force de leur travail aliéné, le décor de ce monde devient la prison dans laquelle il leur faudra vivre. Un monde sordide, sans saveur ni odeur, qui porte en lui la misère du mode de production dominant.

    Ce décor est en perpétuel construction. Rien n'y est stable. La réfection permanente de l'espace qui nous entoure trouve sa justification dans l'amnésie généralisée et l'insécurité dans lesquelles doivent vivre ses habitants. Il s'agit de tout refaire à l'image du système : le monde devient tous les jours un peu plus sale et bruyant, comme une usine.

    Chaque parcelle de ce monde est la propriété d'un État ou d'un particulier. Ce vol social qu'est l'appropriation exclusive du sol se trouve matérialisé dans l'omniprésence des murs, des barreaux, des clôtures, des barrières et des frontières... ils sont la trace visible de cette séparation qui envahit tout. Mais parallèlement, l'unification de l'espace selon les intérêts de la culture marchande est le grand objectif de notre triste époque. Le monde doit devenir une immense autoroute, rationalisée à l'extrême, pour faciliter le transport des marchandises. Tout obstacle, naturel ou humain doit être détruit.

    L'habitat dans lequel s'entasse cette masse servile est à l'image de leur vie : il ressemble à des cages, à des prisons, à des cavernes. Mais contrairement aux esclaves ou aux prisonniers, l'exploité des temps modernes doit payer sa cage.

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  26. Ce qui est une nourriture pour l'un est un poison pour l'autre

    Mais c'est encore lorsqu'il s'alimente que l'esclave moderne illustre le mieux l'état de décrépitude dans lequel il se trouve. Disposant d'un temps toujours plus limité pour préparer la nourriture qu'il ingurgite, il en est réduit à consommer à la va-vite ce que l'industrie agro-chimique produit. Il erre dans les supermarchés à la recherche des ersatz que la société de la fausse abondance consent à lui donner. Là encore, il n'a plus que l'illusion du choix. L'abondance des produits alimentaires ne dissimule que leur dégradation et leur falsification. Il ne s'agit bien notoirement que d'organismes génétiquement modifiés, d'un mélange de colorants et de conservateurs, de pesticides, d'hormones et autres inventions de la modernité.

    Le plaisir immédiat est la règle du mode d'alimentation dominant, de même qu'il est la règle de toutes les formes de consommation. Et les conséquences sont là qui illustrent cette manière de s'alimenter.

    Mais c'est face au dénuement du plus grand nombre que l'homme occidental se réjouit de sa position et de sa consommation frénétique. Pourtant, la misère est partout où règne la société totalitaire marchande. Le manque est le revers de la médaille de la fausse abondance. Et dans un système qui érige l'inégalité comme critère de progrès, même si la production agro-chimique est suffisante pour nourrir la totalité de la population mondiale, la faim ne devra jamais disparaître.

    « Ils se sont persuadés que l'homme, espèce pécheresse entre toutes, domine la création. Toutes les autres créatures n'auraient été créées que pour lui procurer de la nourriture, des fourrures, pour être martyrisées, exterminées ».

    L'autre conséquence de la fausse abondance alimentaire est la généralisation des usines concentrationnaires et l'extermination massive et barbare des espèces qui servent à nourrir les esclaves. Là se trouve l'essence même du mode de production dominant. La vie et l'humanité ne résistent pas face au désir de profit de quelques uns.

    C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain ne l'écoute pas

    Le pillage des ressources de la planète, l'abondante production d'énergie ou de marchandises, les rejets et autres déchets de la consommation ostentatoire hypothèquent gravement les chances de survie de notre Terre et des espèces qui la peuplent. Mais pour laisser libre court au capitalisme sauvage, la croissance ne doit jamais s'arrêter. Il faut produire, produire et reproduire encore.

    Et ce sont les mêmes pollueurs qui se présentent aujourd'hui comme les sauveurs potentiels de la planète. Ces imbéciles du show business subventionnés par les firmes multinationales essayent de nous convaincre qu'un simple changement de nos habitudes de vie suffirait à sauver la planète du désastre. Et pendant qu'ils nous culpabilisent, ils continuent à polluer sans cesse notre environnement et notre esprit. Ces pauvres thèses pseudo-écologiques sont reprises en cœur par tous les politiciens véreux à cours de slogan publicitaire. Mais ils se gardent bien de proposer un changement radical dans le système de production. Il s'agit comme toujours de changer quelques détails pour que tout puisse rester comme avant.

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  27. Travail, du latin Tri Palium trois pieux, instrument de torture.

    Mais pour entrer dans la ronde de la consommation frénétique, il faut de l'argent et pour avoir de l'argent, il faut travailler, c'est-à-dire se vendre. Le système dominant a fait du travail sa principale valeur. Et les esclaves doivent travailler toujours plus pour payer à crédit leur vie misérable. Ils s'épuisent dans le travail, perdent la plus grande part de leur force vitale et subissent les pires humiliations. Ils passent toute leur vie à une activité fatigante et ennuyeuse pour le profit de quelques uns.

    L'invention du chômage moderne est là pour les effrayer et les faire remercier sans cesse le pouvoir de se montrer généreux avec eux. Que pourraient-ils bien faire sans cette torture qu'est le travail ? Et ce sont ces activités aliénantes que l'on présente comme une libération. Quelle déchéance et quelle misère !

    Toujours pressés par le chronomètre ou par le fouet, chaque geste des esclaves est calculé afin d'augmenter la productivité. L'organisation scientifique du travail constitue l'essence même de la dépossession des travailleurs, à la fois du fruit de leur travail mais aussi du temps qu'ils passent à la production automatique des marchandises ou des services. Le rôle du travailleur se confond avec celui d'une machine dans les usines, avec celui d'un ordinateur dans les bureaux. Le temps payé ne revient plus.

    Ainsi, chaque travailleur est assigné à une tache répétitive, qu'elle soit intellectuelle ou physique. Il est spécialiste dans son domaine de production. Cette spécialisation se retrouve à l'échelle de la planète dans le cadre de la division internationale du travail. On conçoit en occident, on produit en Asie et l'on meurt en Afrique.

    À force d'obéir, on obtient des réflexes de soumission.

    Le meilleur de sa vie lui échappe mais il continue car il a l'habitude d'obéir depuis toujours. L'obéissance est devenue sa seconde nature. Il obéit sans savoir pourquoi, simplement parce qu'il sait qu'il doit obéir. Obéir, produire et consommer, voilà le triptyque qui domine sa vie. Il obéit à ses parents, à ses professeurs, à ses patrons, à ses propriétaires, à ses marchands. Il obéit à la loi et aux forces de l'ordre. Il obéit à tous les pouvoirs car il ne sait rien faire d'autre. La désobéissance l'effraie plus que tout car la désobéissance, c'est le risque, l'aventure, le changement. Mais de même que l'enfant panique lorsqu'il perd de vue ses parents, l'esclave moderne est perdu sans le pouvoir qui l'a créé. Alors ils continuent d'obéir.

    C'est la peur qui a fait de nous des esclaves et qui nous maintient dans cette condition. Nous nous courbons devant les maîtres du monde, nous acceptons cette vie d'humiliation et de misère par crainte.

    Nous disposons pourtant de la force du nombre face à cette minorité qui gouverne. Leur force à eux, ils ne la retirent pas de leur police mais bien de notre consentement. Nous justifions notre lâcheté devant l'affrontement légitime contre les forces qui nous oppriment par un discours plein d'humanisme moralisateur. Le refus de la violence révolutionnaire est ancré dans les esprits de ceux qui s'opposent au système au nom des valeurs que ce système nous a lui-même enseignés.

    Mais le pouvoir, lui, n'hésite jamais à utiliser la violence quand il s'agit de conserver son hégémonie.

    Sous un gouvernement qui emprisonne injustement, la place de l'homme juste est aussi en prison.

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  28. Pourtant, il y a encore des individus qui échappent au contrôle des consciences. Mais ils sont sous surveillance. Toute forme de rébellion ou de résistance est de fait assimilée à une activité déviante ou terroriste. La liberté n'existe que pour ceux qui défendent les impératifs marchands. L'opposition réelle au système dominant est désormais totalement clandestine. Pour ces opposants, la répression est la règle en usage. Et le silence de la majorité des esclaves face à cette répression trouve sa justification dans l'aspiration médiatique et politique à nier le conflit qui existe dans la société réelle.

    Et ce que l'on faisait autrefois pour l'amour de Dieu, on le fait maintenant pour l'amour de l'argent, c'est-à-dire pour l'amour de ce qui donne maintenant le sentiment de puissance le plus élevé et la bonne conscience.

    Comme tous les êtres opprimés de l'Histoire, l'esclave moderne a besoin de sa mystique et de son dieu pour anesthésier le mal qui le tourmente et la souffrance qui l'accable. Mais ce nouveau dieu, auquel il a livré son âme, n'est rien d'autre que le néant. Un bout de papier, un numéro qui n'a de sens que parce que tout le monde a décidé de lui en donner. C'est pour ce nouveau dieu qu'il étudie, qu'il travaille, qu'il se bat et qu'il se vend. C'est pour ce nouveau dieu qu'il a abandonné toute valeur et qu'il est prêt à faire n'importe quoi. Il croit qu'en possédant beaucoup d'argent, il se libérera des contraintes dans lesquels il se trouve enfermé. Comme si la possession allait de paire avec la liberté. La libération est une ascèse qui provient de la maîtrise de soi. Elle est un désir et une volonté en actes. Elle est dans l'être et non dans l'avoir. Mais encore faut-il être résolu à ne plus servir, à ne plus obéir. Encore faut-il être capable de rompre avec une habitude que personne, semble-t-il, n'ose remettre en cause.

    La télévision ne rend idiots que ceux qui la regardent, pas ceux qui la font.

    Ces pauvres hommes se divertissent, mais ce divertissement n'est là que pour faire diversion face au véritable mal qui les accable. Ils ont laissé faire de leur vie n'importe quoi et ils feignent d'en être fiers. Ils essayent de montrer leur satisfaction mais personne n'est dupe. Ils n'arrivent même plus à se tromper eux-mêmes lorsqu'ils se retrouvent face au reflet glacé du miroir. Ainsi ils perdent leur temps devant des imbéciles sensés les faire rire ou les faire chanter, les faire rêver ou les faire pleurer.

    On mime à travers le sport médiatique les succès et les échecs, les forces et les victoires que les esclaves modernes ont cessé de vivre dans leur propre quotidien. Leur insatisfaction les incite à vivre par procuration devant leur poste de télévision. Tandis que les empereurs de la Rome antique achetaient la soumission du peuple avec du pain et les jeux du cirque, aujourd'hui c'est avec les divertissements et la consommation du vide que l'on achète le silence des esclaves.

    https://fr.sott.net/article/37145-La-servitude

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    1. Quand une connerie se passe à l'étranger, on dit "C'est à l'étranger". On s'en fout. Mais quand une connerie se passe dans son pays... là, c'est qu'il y a un peu trop d'étrangers ici !
      C'est exactement ce qui se passe depuis un an où cette invasion de terroristes masqués a dépassé le stade de la folie ! Nous sommes entourés/encerclés par des psychopathes !

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  29. Le quatrième tournant: pourquoi la «crise» américaine peut durer jusqu'en 2030


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 02 MAI 2021 - 23:40
    Rédigé par 'FreeSpeechFan' via TheDuran.com,


    Il est réconfortant que le Quatrième tournant fasse partie d'un cycle naturel mais aussi très inquiétant qu'il s'agisse d'une période de crise. Comme nous le savons des cycles précédents, de nombreuses personnes souffrent et meurent au cours d'un quatrième tour. Cependant, je pense que nous savons tous qu'une crise est sur nous alors que la corruption, la collusion, les intrigues, la propagande et l'intérêt personnel atteignent leur apogée.

    Les pires des baby-boomers, Biden, Kerry, Pelosi, Bill Gates, sont à leur pire. Nous ne savons pas encore ce qui prendra leur place, mais leur chaos et leur égoïsme seront balayés à mesure que l’ordre, les règles, la vérité et la structure prendront leur place.

    Le mouvement sera du Yin au Yang, du chaos à l'ordre, de la liberté de se maîtriser, de l'intérêt personnel pour le collectif, de la corruption dans l'honneur, du séculier à la foi.

    Il y aura un «Nouvel Ordre Mondial» mais pas celui choisi pour nous par la Cabale Bush ou la Cabale du PCC ou la Cabale Mondialiste. Ils sont la cause de la crise mais pas la solution. La génération X aidera à aplanir le chemin de la crise, mais seuls les milléniaux détiennent la réponse à la question de savoir à quoi ressemblera le nouvel ordre mondial.

    J'espère qu'ils choisissent bien, car il n'est pas nécessaire que ce soit le communisme, le fascisme ou le socialisme. Ce ne sera pas le cas! Ce sont de vieilles doctrines fatiguées qui ne fonctionnent pas, elles sont utilisées comme façades pour les corrompus pour cacher leurs véritables motivations. Ils seront également emportés !

    * * *

    Le quatrième tournant: pourquoi la «crise» américaine peut durer jusqu'en 2030
    Note de l'éditeur: Vous trouverez ci-dessous une vidéo de 14 minutes racontée par Neil Howe, chef du secteur de la démographie de Hedgeye, décrivant la théorie générationnelle mise en avant dans son classique de 1997 «The Fourth Turning», co-écrit avec William Strauss.

    Vous trouverez également ci-dessous un bref essai publié à l'origine le 3/11/19 par Neil discutant de la progression typique de chaque «virage». Il reste plus pertinent que jamais dans notre zeitgeist actuel. Le travail de Neil a influencé les politiciens de Newt Gingrich à Al Gore et tout cela aboutit à une grande théorie avancée dans The Fourth Turning qu'il élabore dans la vidéo et le texte ci-dessous.

    NH: Nous vivons à une époque tumultueuse de l'histoire américaine.

    La crise financière de 2008 et toutes ses difficultés ont été le catalyseur qui nous a fait basculer dans cette ère d'incertitude. Il a marqué le début d'une génération de bouleversements séculaires qui continuera de suivre son cours au cours de la prochaine décennie. C'est la théorie générationnelle que j'ai exposée dans «The Fourth Turning», un livre que j'ai co-écrit avec William Strauss en 1997.

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  30. Le quatrième tournant explique la montée en puissance d'une figure comme le président Trump. Dans le discours du jour de l'inauguration de Trump, il a brossé un tableau sombre du «carnage américain», des «usines rouillées éparpillées comme des pierres tombales à travers le paysage de notre nation» avec «des mères et des enfants pris au piège de la pauvreté dans nos centres-villes».

    À l’étranger, on ne sait pas si l’Amérique se repliera sur elle-même et deviendra la proie du nativisme ou conservera son rôle de près de soixante-dix ans à la tête du monde libre. D'autres pays deviennent également insulaires. La Grande-Bretagne a voté pour la sortie de l’Union européenne et nous avons entendu des anti-UE. des grondements résonnèrent dans toute l'Europe de la France aux Pays-Bas.

    D'autres nations et peuples du monde cherchent soit à combler le vide du leadership mondial, soit à l'exploiter pour faire avancer leurs propres ambitions. Nous avons vu la montée fulgurante du poids économique chinois, les manœuvres géopolitiques calculatrices d’une Russie renaissante et le chaos barbare causé par le soi-disant État islamique.

    À bien des égards, cette ère d'incertitude suit l'ordre naturel des choses. Comme les quatre saisons de la nature, les cycles de l’histoire suivent un rythme ou un schéma naturel. Au cours des cinq derniers siècles, la société anglo-américaine est entrée dans une nouvelle ère - un nouveau tournant - tous les deux décennies environ.

    Au début de chaque tournage, les gens changent ce qu'ils pensent d'eux-mêmes, de la culture, de la nation et de l'avenir. Les tournages se font par cycles de quatre. Chaque cycle couvre la durée d'une longue vie humaine, environ quatre-vingts à cent ans, ou une unité de temps que les anciens appelaient le saeculum.

    LE PREMIER TOUR EST APPELÉ UN HAUT.
    C'est une époque où les institutions sont fortes et l'individualisme faible. La société est sûre de savoir où elle veut aller collectivement, même si ceux qui se trouvent en dehors du centre majoritaire se sentent étouffés par la conformité.

    Le premier tournant américain le plus récent a été le High American après la Seconde Guerre mondiale, qui a débuté en 1946 et s'est terminé avec l'assassinat de John Kennedy en 1963, un marqueur clé du cycle de vie des Américains plus âgés d'aujourd'hui.

    LE DEUXIEME TOUR EST UN EVEIL.

    C'est une époque où les institutions sont attaquées au nom de l'autonomie personnelle et spirituelle. Juste au moment où la société atteint sa marée haute de progrès public, les gens se lassent soudain de la discipline sociale et veulent retrouver un sentiment d'authenticité personnelle. Les jeunes militants et spiritualistes considèrent le Haut précédent comme une ère de pauvreté culturelle.

    Le réveil le plus récent des États-Unis a été la «révolution de la conscience», qui s’est étendue des révoltes des campus et des centres-villes du milieu des années 60 aux révoltes fiscales du début des années 80.

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  31. LE TROISIEME TOUR EST UN RENOUVELLEMENT.

    L'ambiance de cette époque est à bien des égards l'opposé d'un high. Les institutions sont faibles et méfiantes, tandis que l'individualisme est fort et florissant. Les hauts suivent les crises, qui enseignent la leçon que la société doit fusionner et construire. Les démêlés suivent les réveils, qui enseignent la leçon que la société doit atomiser et apprécier.

    Le démêlage le plus récent de l'Amérique a été le Long Boom et les guerres de la culture, qui ont commencé au début des années 1980 et se terminent probablement en 2008. L'ère s'est ouverte avec l'individualisme triomphant du «Morning in America» et a dérivé vers une méfiance omniprésente envers les institutions et les dirigeants, une culture populaire énervée et la division du consensus national en camps de «valeurs» concurrents.

    ET ENFIN, NOUS ENTREZ DANS LE QUATRIÈME TOUR, QUI EST UNE CRISE.
    C’est une époque où la vie institutionnelle américaine est démolie et reconstruite à partir de zéro - toujours en réponse à une menace perçue pour la survie même de la nation. L'autorité civique renaît, l'expression culturelle trouve un but communautaire et les gens commencent à se situer comme membres d'un groupe plus large.

    Dans tous les cas, Fourth Turnings est finalement devenu de nouveaux «moments fondateurs» dans l’histoire de l’Amérique, rafraîchissant et redéfinissant l’identité nationale. Actuellement, cette période a commencé en 2008, avec la crise financière mondiale et l'approfondissement de la guerre contre le terrorisme, et s'étendra jusqu'à environ 2030. Si le passé est un prélude à ce qui est à venir, comme nous le prétendons, considérons le quatrième tournant précédent. qui a été lancé par le krach boursier de 1929 et a culminé avec la Seconde Guerre mondiale.

    Tout comme un deuxième tour remodèle notre monde intérieur (des valeurs, de la culture et de la religion), un quatrième tour remodèle notre monde extérieur (de la politique, de l'économie et de l'empire).

    Pour être clair, la route à suivre pour l'Amérique sera difficile. Mais je trouve réconfortant l'idée que l'histoire recule et que le passé nous offre un guide de ce à quoi nous pouvons nous attendre dans le futur. Comme les quatre saisons de la nature, les cycles de l’histoire suivent un rythme ou un schéma naturel.

    Ne fais pas d'erreur. L'hiver arrive. Qu’il soit doux ou sévère est une hypothèse, mais la progression de base est aussi naturelle que le décompte des jours, des semaines et des mois jusqu'au printemps.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/fourth-turning-why-americas-crisis-may-last-until-2030

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    1. Si vous n'avez pas attrapé le pompon au premier tour de manège (emprisonnement à domicile) vous avez droit à un second tour !

      Mais puuuuuutain ! Même' pas fichu d'attraaaaaper le pompon !!! Complètement débile ! Taré(e) ! Marron, hitler, Capone ! Faut vraiment être con(ne) pour pas attraper le pompon ! Même s'il est minuscule, nanoscopique il y en a chez vous !!!! c'est comme des pokémons mais plus piti ! voilà !

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  32. Quelque chose de louche se passe à Miami alors que des milliers de Koi meurent soudainement


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 02 MAI 2021 - 23:15


    Quelque chose de louche se passe à Miami alors que des milliers de poissons koi coûteux sont morts dans plusieurs maisons et dans un parc de la ville. C'est plus que les poissons, les oiseaux, les plantes et les ratons laveurs sauvages sont mystérieux en train de mourir, selon les nouvelles locales WPLG Local 10.

    L'épicentre des milliers de koi morts se passe à Coconut Grove, un quartier riverain de Miami en bordure de la baie de Biscayne. Les propriétaires de la communauté rapportent que des milliers de leurs poissons sont «soudainement morts».

    "Nous ne parlons pas de quelques poissons ou même de centaines de poissons. Nous parlons de milliers de poissons qui, tout d'un coup, sont morts", a déclaré WPLG.

    Personne ne semble savoir pourquoi les koi meurent soudainement. Ce qui est troublant, c'est la mort soudaine du poisson dans tout le quartier.

    Le résident Lee Marks s'est réveillé samedi matin avec des koi et d'autres poissons exotiques morts dans son étang.

    «Tous ces beaux poissons coy et autres poissons viennent de mourir», a-t-il déclaré. "C'est juste horrible. C'est horrible."

    Marks et d'autres résidents demandent des réponses sur les raisons pour lesquelles leurs poissons dans les étangs de basse-cour meurent.

    «Ils ne meurent pas tous en même temps comme ça», a-t-il dit.

    Pond Doctors, une société basée à Miami qui se concentre sur l'entretien des étangs privés, a déclaré à WPLG que ses équipages avaient réagi à des "ravages de poissons" dans quatre maisons du quartier de Coconut Grove au cours des deux dernières semaines.

    «Des milliers de poissons sont morts du jour au lendemain, tous dans la même zone», a déclaré Jen Wheeler, propriétaire de Pond Doctors.

    "Les faire disparaître soudainement pour une raison inconnue est vraiment effrayant parce que vous commencez également à penser à quoi d'autre cela affecte-t-il", a déclaré Wheeler. "Autre que le poisson dont nous sommes amoureux."

    WPLG ajoute que c'est plus que du poisson. Les feux de forêt locaux sont également mystérieux en train de mourir, y compris les oiseaux, les plantes et les mammifères.

    Marks a déclaré qu'un raton laveur a convulsé et est mort dans sa cour.

    "Il est monté droit dans l'allée et s'est retourné sur le côté", a déclaré Marks. "On aurait dit que ça pouvait être ludique, mais ça a été convulsif et vient de mourir."

    Wheeler a déclaré que les niveaux d'oxygène dans tous les étangs du quartier étaient normaux et régulièrement entretenus.

    «Pour avoir autant d'animaux touchés par cela, il se passe quelque chose», a-t-elle déclaré.

    Wheeler a appelé le comté de Miami-Dade pour voir si des entreprises de moustiques avaient récemment pulvérisé dans la région. Les responsables du gouvernement local lui ont répondu que la dernière pulvérisation a eu lieu en 2017.

    Des poissons morts sont également apparus dans le Simpson Park de Miami. Le thème commun à tous ces étangs est que la source d'eau est reliée à un aquifère local.

    «Nous essayons toujours de comprendre ce qui se trouve dans les eaux souterraines et ce qui en est la cause», a déclaré Wheeler.

    Le «canari dans la mine de charbon» est la mort soudaine de koi et d'autres animaux et comment quelque chose de toxique pourrait se cacher dans l'aquifère de la région.

    https://www.zerohedge.com/medical/something-fishy-happening-miami-thousands-koi-suddenly-die

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    1. Comme dans les années précédentes où des milliers d'oiseaux de même espèces ainsi que des milliers de poissons de même espèce étaient retrouvés morts flottant à la surface des eaux ou échoués sur plages, le 'mystère' de l'étourneau et pas celui du pinson, de l'hirondelle, du merle, du moineau ! Le 'mystère' du hareng et pas celui de l'anchois, de la sardine ou du maquereau ! en a laissé perplexe plus d'un.

      Or, il s'agirait là de nouveaux essais de technologie scalaire braqués sur tel ou tel oiseau ou poisson par un rythme cardiaque différent comme demain (ou aujourd'hui !) sur l'être humain suivi au téléphone portable, au GPS de sa caisse ou du compteur de sa maison ou simplement grâce à la 5G la relation avec les nano-particules injectées dans les expérimentations obligatoires sur les cobayes attardés !

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  33. Ford prévoit une réduction de moitié de la production automobile au cours du deuxième trimestre en raison de la pénurie de puces semi-conductrices


    Dimanche 02 mai 2021
    par: Arsenio Toledo


    (Natural News) Le directeur général de Ford Motor Company, l’un des plus grands constructeurs automobiles américains, estime que la société perdra la moitié de sa production du deuxième trimestre en raison de la pénurie actuelle de puces à semi-conducteurs.

    Lors de l’appel des résultats du premier trimestre de la société le mercredi 28 avril, le PDG de Ford, Jim Farley, a fièrement annoncé que la société était en mesure de dépasser les attentes de Wall Street concernant ses bénéfices. Mais il a formulé cette déclaration en disant qu'il s'attend maintenant à perdre environ 50 pour cent de sa production prévue pour le deuxième trimestre.

    La production de Ford pour le premier trimestre a déjà chuté de 17% en raison d’un incendie dans l’usine du fournisseur de puces de Ford, Renesas Electronics au Japon. (Connexes: un incendie chez un fabricant de puces japonais s'ajoute à l'effondrement des lignes d'approvisionnement en micropuces pour les constructeurs automobiles.)

    "Il y a encore plus de moments d'eau vive à venir pour nous que nous devons naviguer", a déclaré Farley aux investisseurs de la société lors de l'appel aux résultats. «La pénurie de semi-conducteurs et l’impact sur la production s’aggraveront avant de s’améliorer.»

    Le directeur financier de Ford, John Lawler, a déclaré que la société s'attend à perdre environ 1,1 million d'unités de production pour l'ensemble de 2021 en raison de la pénurie de semi-conducteurs. Il s'agit d'une augmentation significative par rapport aux prévisions précédentes pour une perte de production comprise entre 200 000 et 400 000 véhicules.

    En février, la société a estimé qu'elle gagnerait entre 8 et 9 milliards de dollars de bénéfices avant impôts ajustés. Au cours de l'appel sur les résultats, la société a ajusté ses estimations et s'attend maintenant à entre 5,5 et 6,5 milliards de dollars de bénéfices avant impôts ajustés. Ford a déclaré qu'il s'attendait à perdre environ 2,5 milliards de dollars en raison du problème des semi-conducteurs.

    Le flux de trésorerie disponible ajusté pour l'année devrait se situer entre 500 millions de dollars et 1,5 milliard de dollars.

    Lawler a expliqué que la société aurait réalisé moins de bénéfices si elle n'avait pas compensé les pertes liées à la réduction de la production. Pour ce faire, elle a mis en œuvre des stratégies de réduction des coûts telles que la réduction des incitations sur les véhicules vendus, la priorisation de la production des modèles les plus rentables de l’entreprise et la réduction des coûts de fabrication.

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  34. Fermeture de plusieurs usines Ford en raison d'une pénurie de semi-conducteurs
    L’impact de la pénurie de semi-conducteurs se fait sentir dans les usines de l’entreprise. L'usine de montage de Ford Kansas City, qui fabrique ses camionnettes F-150 et fourgonnettes Transit les plus vendues, est en train de fermer. Les usines d’assemblage de la société à Chicago, Dearborn et Flat Rock ainsi que son usine de camions à Louisville, Kentucky, ont également fermé leurs portes.

    «Le deuxième trimestre sera le pire impact financier de la pénurie de semi-conducteurs», a déclaré David Whiston, analyste au sein de la société de recherche en investissement Morningstar.

    «Au premier trimestre, ils ont pu mettre des pansements sur certaines choses et continuer à fabriquer les véhicules, alors qu'au deuxième trimestre, vous commencez vraiment à manquer d'options. Vous voyez beaucoup plus d'annonces de fermeture d'usines dans l'industrie au cours des dernières semaines. "

    Au fur et à mesure que la pénurie de semi-conducteurs s'éternise, le prix qu'elle pèse sur les constructeurs automobiles - et leurs travailleurs - va augmenter. La pénurie prend déjà un certain nombre sur l’inventaire des véhicules de Ford.

    Lors de l'appel aux résultats, Lawler a déclaré que la société disposait d'environ 44 jours de fourniture de véhicules à la fin du premier trimestre. C'est bien en deçà de l'approvisionnement régulier de 60 jours qui est devenu la norme pour l'industrie automobile.

    La plupart des bénéfices de la société au trimestre précédent provenaient d’Amérique du Nord, avec un bénéfice de 2,95 milliards de dollars avant intérêts et impôts. Il s'agit d'une augmentation de 346 millions de dollars par rapport à l'année dernière, lorsque le coronavirus de Wuhan (COVID-19) a dévasté les ventes de voitures et les bénéfices ont plongé.

    L'entreprise essaie de redresser ses activités à l'étranger. Il a perdu 5,8 milliards de dollars cumulés sur les marchés hors de l'Amérique du Nord au cours des quatre dernières années. Il n'a gagné que 454 millions de dollars au premier trimestre, la majeure partie provenant d'Europe.

    Découvrez comment la pénurie mondiale de semi-conducteurs pousse les constructeurs automobiles comme Ford à ajuster leurs attentes et à réduire leur production sur MarketCrash.news.

    Les sources comprennent:

    CNBC.com
    Bloomberg.com
    Courier-Journal.com

    https://www.naturalnews.com/2021-05-02-ford-production-shrink-semiconductor-chip-shortage.html

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