- ENTREE de SECOURS -



lundi 3 mai 2021

Vaccins anti-SARS-CoV-2 : massacre de masse !

 le 3 mai 2021


Aux USA seulement, à la date du 16 avril 2021 le décompte morbide des effets de que l’on appelle communément le vaccin anti-SARS-CoV-2 qui n’est pas un vaccin au sens où l’entendaient Pasteur et ses successeurs mais une thérapie génique, voici le décompte des morts signalés au CDC (Center for Disease Control) et compilé par le National Vaccine Information Center :

À titre de comparaison entre le premier janvier 2005 et le 30 novembre 2020, toujours aux USA le nombre de morts occasionnés par des vaccinations a atteint 3446, la moitié des morts étant des enfants de moins de 3 ans :


Donc en ce qui concerne le SARS-CoV-2, au 16 avril 2021 le nombre morts (3186) a presque atteint en un an le nombre de morts répertoriés en 16 ans tous vaccins confondus auparavant. Le vaccin anti-SARS-CoV-2 a donc tué, en considérant ces données brutes temporelles, 11 fois plus de personnes que tous les vaccins classiques et comme les enfants de moins de 3 ans ne sont pas vaccinés contre le coronavirus c’est en réalité 22 fois plus de morts qu’il faut déplorer si on s’en tient aux statistiques fournies par VAERS. Les calculs se compliquent si on considère maintenant le tableau récapitulatif ci-dessous :

Le nombre de morts « officiels » répertoriés par le CDC est en réalité de 3486 et selon ce tableau les vaccins à ARN messager ont tué 48,5 fois plus de personnes que tous les autres vaccins confondus et en omettant les enfants de moins de 3 ans c’est donc 97 fois plus de morts alors que le nombre de personnes concernées par les vaccination de routine, essentiellement des enfants, était identique aux 67 millions de naissances durant la période 2005-2020 aux Etats-Unis. Sur cette même période figurant dans le tableau ci-dessus la palme du crime revient à Pfizer/BioNtech avec 1540 décès suivi de Moderna avec 1474 décès. Considérant le nombre de doses, 116 millions pour Pfizer, 97 millions pour Moderna et 8 millions pour Janssen, soit 110 millions de personnes qui ont reçu deux injections c’est de loin Moderna qui décroche le premier prix pour cette administration criminelle d’un vaccin expérimental dont les effets sur le long terme n’ont jamais été étudiés et pour cause les permis de commercialisation répondaient à un caractère d’urgence. Les fabricants, toujours dans le cadre de l’urgence sanitaire, ont été déchargés de toute responsabilité juridique. Ce sont donc les autorités politiques qui sont des criminels en série. Or ces décideurs politiques ne sont pas censés respecter le Code de Nuremberg (ci-dessous en anglais) et ils le sont encore moins puisqu’ils ont été manipulés par les médias contrôlés par les puissances financières qui elles-mêmes contrôlent les laboratoires pharmaceutiques avec l’approbation « bienveillante » de Bill Gates. Il est impossible de trouver des statistiques concernant les pays européens mais ces figures provenant des USA s’appliquent peu ou prou à l’Europe occidentale.

Devant de tels résultats catastrophiques continuer à obliger les populations à se soumettre à la vaccination avec ces produits à ARN messager est criminel et contraire au Code de Nuremberg. L’argument avancé par les décideurs politiques est le suivant : il n’existe pas de traitement contre ce virus. Mais c’est encore de la propagande de la part du lobby pharmaceutique. L’Inde et le Brésil, confrontés à des mutants apparemment plus dangereux que la souche originelle viennent de décider de traiter massivement les populations avec de l’ivermectine ou le cocktail hydroxychloroquine + azithromycine pour juguler l’épidémie. Cette décision était d’autant plus urgente que tous ces produits à ARN messager ne protègent pas les personnes contre ces nouveaux mutants puisqu’ils ont tous été confectionnés à partir de la séquence du coronavirus isolé à Wuhan et publiée au début du mois de janvier 2020 par les biologistes chinois.

Pour revenir à Moderna le CEO de ce laboratoire, Stéphane Bancel, a déclaré sur le site Yahoo Finance que « son » vaccin nécessiterait des rappels pour maintenir la protection immunitaire dès l’automne 2021 mais qu’il faudrait attendre le printemps 2022 pour que les populations disposent d’une nouvelle formule tenant compte des nouveaux mutants pour des rappels annuels. Ben voyons ! Source partielle : globalresearch.ca

https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/05/03/vaccins-anti-sars-cov-2-massacre-de-masse/

69 commentaires:

  1. MINISTÈRE DE LA VÉRITÉ: 12 procureurs généraux demandent que les plates-formes Big Tech éliminent tous les discours des personnes blessées par les vaccins


    Lundi 3 mai 2021
    par: Lance D Johnson


    (Natural News) Les procureurs généraux de douze États appellent les principaux réseaux de médias sociaux du monde à éradiquer complètement toute allégation négative concernant les vaccins contre le covid-19. Le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, et le PDG de Twitter, Jack Dorsey, ont déjà mis en œuvre des politiques de «désinformation» qui suppriment toute dissidence contre les verrouillages gouvernementaux, les masques obligatoires et la forte poussée des vaccins de Big Pharma. Cependant, les nouveaux vaccins covid sont si défectueux et dangereux que les réclamations pour blessures et décès liés aux vaccins continuent de se répandre sur les médias sociaux.

    Après avoir été visiblement censurés sur leurs propres pages pour avoir partagé des vérités sur les vaccins, les utilisateurs de Facebook ont ​​afflué vers des groupes Facebook pour parler des effets secondaires du vaccin covid-19. L'un de ces groupes a rapporté des dizaines de milliers de témoignages personnels sur les méfaits de ces vaccins. Ce groupe se composait de plus de 120 000 personnes et augmentait de 10 000 personnes chaque semaine à mesure que les rapports sur les blessures dues aux vaccins affluaient. Le groupe a depuis été supprimé par Facebook, alors que le ministère de la Vérité réécrit l'histoire et dissimule ses crimes.

    Le ministère de la Vérité prend le contrôle de l'application de la loi pour protéger l'industrie des vaccins
    Le ministère de la Vérité de George Orwell prend étrangement forme dans la fusion moderne de Big Pharma, Big Government, Big Media et Big Tech. Le gouvernement et les responsables de la santé publique deviennent des contrôleurs dystopiques de l'information et des propagandistes manipulateurs qui se livrent à la tromperie de l'industrie des vaccins. Les représentants du gouvernement travaillent sans relâche avec les entreprises de médias sociaux pour contrôler toutes les informations sur le covid-19, dissimuler leurs crimes et justifier leur tyrannie. Les algorithmes des réseaux sociaux sont déjà conçus pour limiter la propagation de la «désinformation» covid-19, mais ce n’est jamais suffisant. Peu importe à quel point les pouvoirs en place essaient de faire taire les témoignages personnels de blessures et de décès dus aux vaccins, la vraie vérité continue de faire surface.

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  2. «Compte tenu de la dépendance des 'anti-vaxxeurs' envers vos plates-formes, vous êtes dans une position unique pour empêcher la propagation de la désinformation sur les vaccins contre les coronavirus qui constitue une menace directe pour la santé et la sécurité de millions d'Américains dans nos États et qui prolongera notre chemin vers le rétablissement. », A écrit le procureur général du Connecticut, William Tong. Le responsable de l'application de la loi est accompagné de procureurs généraux du Delaware, de l'Iowa, du Massachusetts, du Michigan, du Minnesota, de New York, de la Caroline du Nord, de l'Oregon, de la Pennsylvanie, du Rhode Island et de la Virginie. Ils croient tous que les verrouillages devraient être liés au statut vaccinal - des violations des droits de l'homme dont le monde n'a pas été témoin depuis la montée du Troisième Reich.

    Les hauts responsables de l'application de la loi appliquent désormais la censure et les abus
    L'aspect le plus dérangeant à ce sujet: ce sont des responsables de l'application de la loi qui criminalisent la liberté d'expression et le progrès scientifique. Les responsables de l'application de la loi ne défendent pas les droits du vaccin blessé, opprimé ou abusé. Ils travaillent activement pour opprimer ceux qui ne se conforment pas, qui ont été blessés par ces expériences médicales.

    «Les personnes et les groupes qui répandent des mensonges et trompent les Américains sur la sécurité des vaccins contre les coronavirus menacent la santé de nos communautés, ralentissent les progrès pour protéger nos résidents contre le virus et sapent la reprise économique dans nos États», déclare la lettre. Facebook "n'a pas pris de mesures suffisantes pour identifier les violations et appliquer ces directives en supprimant et en étiquetant la désinformation et en interdisant les récidivistes", affirme la lettre.

    Les responsables de l'application de la loi demandent à Facebook de pousser plus loin leur niveau abusif de censure. Facebook a déjà bloqué les liens URL de sites d'actualités spécifiques tels que Vaccines.News et les canaux de diffusion alternatifs sur liste noire tels que Brighteon, mais maintenant les procureurs généraux exigent que Facebook empêche complètement les utilisateurs d'utiliser des outils de streaming vidéo comme Bitchute, Rumble et Brighteon.

    La vérité sur les vaccins est de trouver un moyen de s'infiltrer dans toute la censure. Au lieu d'aller au fond des blessures et des décès dus aux vaccins, les autorités de santé publique et les responsables de l'application de la loi tordus tentent de supprimer toute voix qui ose parler des problèmes liés aux vaccins. Toute cette censure, manipulation, coercition et force rend plus de gens méfiants, et à juste titre.

    Les sources comprennent:

    LifeSiteNews.com
    Radio.NaturalNews.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2021-05-03-12-state-attorneys-general-demand-big-tech-platforms-eliminate-all-noncompliant-speech-about-vaccines.html

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  3. Alerte ! Les vaccins à adénovirus vivants autres que l'AstraZeneca sont également dangereux !


    mondialisation.ca
    jeu., 29 avr. 2021 15:14 UTC


    Les jours passent et nos doutes et soupçons concernant les vaccins contenant les adénovirus vivants bricolés (humains ou de singe) se confirment : ils sont dangereux.

    Nos soupçons ont été confirmés à propos du vaccin AstraZeneca bien que tout soit fait pour dissimuler la réalité des choses.

    Nous ne voyons [on nous laisse voir] que le sommet de l'iceberg, c'est-à-dire les complications thrombotiques les plus tragiques (cérébrales et/ou mortelles).

    En fait, c'est classique en médecine, il y a sans doute d'autres complications thrombotiques (infarctus, AVC, phlébite, et embolie pulmonaire) moins sévères qui sont attribuées à d'autres causes ou enregistrées comme des coïncidences par rapport à la vaccination anti-COVID.

    Car s'il y a un mécanisme thrombotique en jeu, il y a obligatoirement une gradation avec des formes très sévères (celles qui ont donné l'alerte) mais aussi des formes moins sévères ou plus banales et enfin celles qui seront visibles cliniquement avec un certain retard.

    En effet, un thrombus peut obstruer brutalement et totalement une artère ; mais il peut aussi s'incruster dans la paroi de l'artère et donner naissance à une plaque d'athérosclérose qui ensuite vivra sa vie de façon autonome.

    Pas besoin de cholestérol pour ce mécanisme !

    Dit autrement, nous risquons de payer plus tard les complications thrombotiques de ces vaccins avec ces adénovirus vivants bricolés.

    On commence à comprendre (peut-être) cette thrombogénèse postvaccinale inattendue. C'est une réaction immunitaire inappropriée [j'y reviendrai si on me le demande] et elle peut être commune à plusieurs types de vaccins contenant des adénovirus.

    Les autorités sanitaires américaines s'inquiètent en effet de la survenue inattendue de complications thrombotiques (comparables à celles observées avec le vaccin AstraZeneca) après vaccination avec la merveille de vaccin Janssen (ou Johnson & Johnson) qui est injectée aux USA depuis quelques semaines.

    Communiqué de Presse : joint-cdc-and-fda-statement-johnson-johnson-covid-19-vaccine

    Tout est fait bien sûr pour ne pas affoler la population...

    Le vaccin russe Spoutnik V est aussi à base d'adénovirus vivants. Mais nous ne savons pratiquement rien sur lui.

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  4. Dans mon prochain opus [chez l'éditeur Kiwi : « Les vaccins à l'ère de la COVID-19 »] qui sera publié fin Avril ou début Mai, j'explique quels vaccins nous sont proposés pour lutter (peut-être) contre la COVID-19.

    Ce sera le seul livre à ma connaissance qui donne des informations crédibles sur ces nouveaux vaccins expérimentaux.

    J'encourage chacun à bien se renseigner avant de se laisser vacciner !

    Conclusion : ne pas se laisser injecter ce type de vaccins OGM à base d'adénovirus vivants bricolés par des apprenti-sorciers !

    Dr Michel de Lorgeril

    Docteur en médecine et chercheur au CNRS

    https://fr.sott.net/article/37113-Alerte-Les-vaccins-a-adenovirus-vivants-autres-que-l-AstraZeneca-sont-egalement-dangereux

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  5. Elections US : l’essor de la vérité


    le 02/05/2021 à 16:01
    Elisabeth Dancet, journaliste pour FranceSoir


    CHRONIQUE - Devant une salle conquise d’avance rassemblant près de 5000 personnes, les nouveaux héros de la liberté ont inspiré les patriotes à reconquérir leurs droits fondamentaux. Ils ont affirmé haut et fort leur foi en la Constitution rappelant que « We the People » détient le pouvoir dans la République constitutionnelle des Etats-Unis. Pas le Deep state de Washington D.C.

    Dans les États d’Amérique aussi, les libertés individuelles ont été bafouées. Les pays occidentaux guidés par un seul mot d’ordre - celui de l’OMS - ont imposé l’état d’urgence et des mesures restrictives d’une autre époque à leurs populations. Comme la loi du 24 mars 1933 qui donna les pleins pouvoirs à Adolf Hitler avec les conséquences que l’on sait, et restera en vigueur jusqu’à la chute de l’Allemagne et la fin de la Deuxième guerre mondiale. Au même moment, partout en Occident, et au mépris de toute logique de santé publique, les autorités sanitaires ont interdit les traitements qui marchent. Il y a un an en France, le professeur Didier Raoult et son équipe ont été ridiculisés et l’objet de la vindicte des médias aux ordres. Ils avaient osé traiter les patients infectés avec l’hydroxychloroquine et démontrer que, appliqués avec la bonne posologie et au bon moment, ces traitements étaient efficaces et soignaient les malades. Simultanément aux USA, un groupe de médecins courageux mené par le Dr Simone Gold, déclarait devant le Capitole avoir soigné avec succès des centaines de malades grâce à un traitement associant l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et le zinc. La vidéo devenue virale a été visionnée par vingt millions de personnes en quelques jours avant d’être supprimée par Youtube. Les médias mainstream ont alors frappé avec une violence inouïe sur ces médecins, politisant le débat, traitant ce groupe de soutiens de Donald Trump et les accusant de malversations professionnelles. Depuis, des dizaines d’autres traitements précoces se sont révélés efficaces contre le virus, en particulier l’ivermectine. Mais la stratégie des gouvernants elle, n’a pas changé. Malgré les succès confirmés par des centaines de docteurs et de professeurs dans le monde, avec plusieurs dizaines de publications les soutenant, le 8 mars 2021, la FDA a mis en garde contre l’utilisation de l’ivermectine pour soigner le covid, tandis que dans un communiqué de presse daté du 21 mars, l’Agence européenne du médicament a déconseillé son utilisation. Le rouleau compresseur de la politique vaccinale généralisée doit continuer de se dérouler conformément au plan. Les vaccins expérimentaux n’ayant pas reçu les agréments, ni de la FDA ni de l’EMA, il faut maintenir coute que coute l’état d’urgence.

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  6. C’est à Tulsa dans l’Oklahoma, que se sont réunis ces milliers de patriotes excédés par les mensonges des médias et des autorités, les mesures liberticides et contradictoires, la confiscation de leur liberté d’expression sous prétexte d’épidémie et l’obstruction systématique aux traitements. A l’initiative de Clay Clark, entrepreneur chrétien lanceur d’alerte, et malgré les attaques des trolls et autres virus malins digitaux, plus de 500 000 internautes ont pu suivre en direct la conférence Health and Freedom (Santé et Liberté) les 16 et 17 avril. Les Américains ne craignent pas d’affirmer leur foi haut et fort, et la plupart des intervenants ont fait de même, chacun avec leur personnalité. Le constat est le même partout : les médias complices du Deep state (État profond) ne jouent plus leur rôle d’information et censurent tout débat. Transformés en instruments de propagande, ils colportent des mensonges avérés en politique comme en médecine, pendant que les Big Tech éliminent systématiquement des médias sociaux les comptes divergents de la pensée officielle. En juillet 1934, Joseph Goebbels, ministre de l’éducation du peuple et de la propagande d’Hitler, a pris le contrôle des stations de radio et fait distribuer à tous les Allemands des récepteurs pour recevoir en continu les messages nazis ; une fois la guerre déclenchée, son ministère a pris systématiquement le contrôle des médias dans les pays occupés.

    A la convention Health and Freedom, pas de masque ni de distanciation sociale, mais des visages, des sourires et des expressions d’humanité. Soulignons au passage que 20 États américains ont rouvert commerces, écoles et salles de sport, et que le port du masque n’y est plus obligatoire. Au Texas et en Floride, deux états républicains qui ont abrogé toute restriction sanitaire depuis un mois, le nombre de cas est en chute libre…

    Les conférenciers ont tous souligné la même ligne directrice : le temps est à l’action.

    Le général Michael Flynn a commandé à chacune et chacun de se lever de son canapé et de s’engager localement dans sa communauté, sa paroisse, sa commune, son école, son assemblée, son état, pour faire connaître les actions juridiques en cours, exiger des audits scientifiques des élections, interpeller les politiciens ou se présenter à leur place, réaffirmer la liberté des soins comme celle des médecins qui soignent conformément à leur serment d’Hippocrate. Fort de son expérience militaire, il interpelle aussi les 23 millions de vétérans pour qu’ils s’engagent en politique et mettent en œuvre leur amour de la patrie, leur respect de la Constitution et leur expérience de servir le bien commun.

    L’avocat Lin Wood a excellé dans son rôle de prêcheur, inspirant chacun à laisser tomber la peur et à continuer de se battre pour le triomphe de la justice, pour l’amour de l’Amérique et de la Constitution, et pour la vérité sur les résultats des élections présidentielles. Il a aussi exposé certaines vérités difficiles à entendre concernant les crimes commis contre de nombreux enfants par les pédo-criminels, y compris ceux qui opèrent à l’intérieur du Deep state, et apporté des éléments de preuve de la corruption du système politico-judiciaire, dont John Roberts, juge en chef de la Cour Suprême et l’ancien vice-Président Mike Pence, dépositions consignées dans le témoignage sous serment de 170 pages d’un ex-membre du FBI. Lin Wood a soutenu de toute la puissance de son verbe qu’il fallait continuer de se battre, sauver les enfants et que la vérité finira par triompher. Il vient de s’engager politiquement pour la course à la présidence du parti républicain en Caroline du Sud.

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  7. L’avocate Sidney Powell qui devait participer à la conférence, a fait parvenir un message vidéo où elle affirme que, malgré les attaques de la presse, le harcèlement et les fake news colportées par les médias pour la discréditer et minimiser son action, elle continue de travailler d’arrache-pied avec son équipe juridique pour faire avancer les dossiers en cours concernant les fraudes massives survenues dans le Michigan, le Wisconsin, l’Arizona, la Géorgie. Le dossier le plus avancé concerne le comté de Maricopa en Arizona où le juge a enfin ordonné un audit judiciaire complet des élections. Cet audit devrait démarrer dans les prochaines semaines et se déroulera sous surveillance policière, étant donné la virulence avec laquelle les démocrates essaient de l’empêcher. Ceux-ci envoient des membres d’antifa et de Black Lives Matter à Phoenix pour créer volontairement le chaos. En effet, une reconnaissance des fraudes massives en Arizona pourrait déclencher un effet domino et inciter d’autres juridictions à enfin conduire des audits similaires dans les autres états clés.

    L’entrepreneur Mike Lindell, très actif dans la démonstration des fraudes électorales, et que nous avons présenté dans un article précédent, n’a pas été en reste. Porté par son enthousiasme et par la foi qui l’anime, il vient de produire un nouveau documentaire « Absolute Interference » apportant toutes les preuves des interventions directes de hackers étrangers pendant l’élection de novembre 2020, via les machines de vote. Le film sera mis en ligne dans les prochains jours. Mike Lindell ne s’est pas arrêté là. Ayant lui aussi subi l’acharnement médiatique pour le calomnier, le réduire au silence et faire couler son entreprise, il inaugure un nouveau réseau social dénommé Frank Speech où chaque membre pourra s’exprimer librement, conformément à l‘article 1 de la Constitution. Le média a été conçu pour accueillir un milliard de personnes.

    Patrick Byrne, entrepreneur, s’est impliqué dans l’exposition des fraudes informatiques effectuées via les systèmes de vote, ayant déjà participé activement au groupe d’experts chargé d’analyser des fraudes du même type, commises au Texas en 2018. Agrégé de philosophie politique, Byrne a rappelé l’origine de la Constitution fondée sur le consentement des citoyens à être gouvernés par un gouvernement élu, sous réserve de respecter un processus électoral libre, équitable et transparent. Sans l’intégrité de ce processus, les autres libertés s’écroulent. Ayant été étudiant en Chine, Patrick Byrne observe dans la stratégie actuelle du gouvernement allié aux Big Tech la volonté d’installer un régime autoritaire semblable, basé sur la surveillance et le contrôle total. Il n’est pas question de les laisser faire. Dans son livre « La Grande fraude » paru le 17 février 2021, il confirme que les documentaires produits par Mike Lindell disent la vérité et que toutes les preuves sont disponibles. Il invite les patriotes à quitter les géants de Big Tech et à rejoindre Frank Speech. Face à ce coup d’État dont le point d’orgue a été l’assaut du Capitole le 6 janvier, il a recommandé aux passionnés de la justice d’exercer leur vigilance face à l’envoi d’agents provocateurs pour dissocier les contestataires et inciter à la violence. Ce qui pourrait avoir lieu à Phoenix et dans les comtés où les fraudes ont été massives, lors des audits à venir.

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  8. Les intervenants ont insisté et répété que, malgré cette propagande médiatique acharnée, assénant des mensonges, bâillonnant la liberté d’expression et créant la division, les Américains ne sont pas seuls et que probablement deux tiers d’entre eux veulent la vérité sur les élections, le choix des traitements médicaux et la liberté vaccinale : un message destiné à tous les peuples encore libres. Nous ne sommes pas seuls mais sûrement très nombreux dans nos démocraties, à espérer et soutenir le triomphe de la justice et de la vérité.

    Auteur(s): Elisabeth Dancet, journaliste pour FranceSoir

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/elections-us-lessor-de-la-verite

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  9. Les conséquences néfastes d'une hausse de salaire de 15 $ / heure


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 03 MAI 2021 - 09:30
    Rédigé par Lance Roberts via RealInvestmentAdvice.com,


    Quel est le grand «brouhaha» lié à l’augmentation du salaire minimum à 15 $ / heure ? Après tout, la dernière fois que les États-Unis ont levé le salaire minimum, c'était en 2009. L'argument en faveur de l'augmentation du minimum est de créer un «salaire vivable» pour ceux qui travaillent à ce niveau. Cependant, est-ce la meilleure façon d’aider les «pauvres»?

    L'administration Biden souhaite inclure une augmentation du salaire minimum dans le projet de plan «Infrastructure». Beaucoup peuvent oublier la tentative de hausser le salaire minimum pendant son mandat de vice-président de l'administration Obama. À ce moment-là, il y avait un tel niveau de battage de table que vous supposeriez qu'une majorité d'Américains se sont retrouvés piégés au salaire minimum. Cependant, jetons un œil à quelques chiffres.

    Combien travaillent pour un salaire minimum ?
    Selon les dernières données annuelles disponibles du Bureau of Labor Statistics:

    «En 2019, 82,3 millions de travailleurs âgés de 16 ans et plus aux États-Unis étaient payés au taux horaire, soit 58,1 % de tous les salariés. Parmi ceux payés à l'heure, 392 000 travailleurs gagnaient exactement le salaire minimum fédéral en vigueur de 7,25 $ l'heure. Environ 1,2 million avaient des salaires inférieurs au minimum fédéral.

    Ensemble, ces 1,6 million de travailleurs dont le salaire est égal ou inférieur au minimum fédéral représentaient 1,9 % de tous les travailleurs rémunérés à l'heure. »

    Notamment, que 1,9 % du salaire minimum, ou moins, les travailleurs ont diminué de 50 % par rapport au même rapport en avril 2015:

    «En 2014, 77,2 millions de travailleurs âgés de 16 ans et plus aux États-Unis étaient payés au taux horaire, ce qui représente 58,7 % de tous les salariés. Parmi ceux payés à l'heure, 1,3 million gagnaient exactement le salaire minimum fédéral en vigueur de 7,25 $ l'heure. Environ 1,7 million avaient des salaires inférieurs au minimum fédéral.

    Ensemble, ces 3,0 millions de travailleurs dont le salaire était égal ou inférieur au minimum fédéral représentaient 3,9 % de tous les travailleurs rémunérés à l'heure. »

    Notamment, ce nombre a été considérablement réduit par rapport aux 13,4 % de travailleurs gagnant le salaire minimum en 1979.

    Sur ces 1,6 million de travailleurs, 49 % étaient âgés de 19 à 25 ans, selon l'organisation KFF.

    - voir graphique sur site -

    Sans surprise, nous trouvons principalement ces personnes dans les industries de la restauration rapide, de la vente au détail et des services.

    - voir graphique sur site -

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  10. Et alors ?
    "Et alors ? Les gens qui travaillent dans les restaurants doivent gagner plus d’argent. »

    D'accord, augmentons le salaire minimum à 15 $ / h. Cela ne ressemble pas à un si gros problème. Faisons ce calcul:

    Mon fils a eu 16 ans en novembre dernier et a obtenu son premier emploi. Il travaille comme «emballeur / coureur» pour un restaurant local pour emballer les commandes pour le ramassage en raison des restrictions de sièges Covid-19. Surtout, il n'a aucune expérience. Il n'a aucune idée de ce que signifie réellement «travailler» et est sur le point de vivre la cruelle blague des impôts.

    Cependant, faisons le calcul de 15 $ / h en supposant qu’il travaille à plein temps cet été.

    15 $ / h X 40 heures par semaine = 600 $ / semaine

    600 USD / semaine x 4,3 semaines par mois = 2580 USD / mois

    2580 $ / mois x 12 mois = 30960 $ / an.

    Laissez cela pénétrer pendant une minute. Nous parlons de payer 30 000 $ par année à un jeune de 16 ans pour distribuer de la nourriture aux clients. (Ce salaire le placerait dans le top 1% des salariés dans le monde.)

    Maintenant, développons les calculs à la situation actuelle.

    1,9 million de travailleurs

    30960 $ / an (en supposant que tous les travailleurs travaillent à temps plein)

    En supposant que tout le monde travaillait auparavant à 7,50 $ / heure

    Les salaires augmentent de 29,4 milliards de dollars au cours de l'année.

    Une augmentation des salaires de 29,4 milliards de dollars sera soit répercutée sur les consommateurs à des coûts plus élevés, soit le nombre d'emplois diminuera.

    L'effet Trickle Up:
    Selon Payscale, le salaire horaire médian d'un gérant de restaurant est de 13,00 $ l'heure.

    - voir graphique sur site -

    Que pensez-vous qu'il se passe quand mon fils, sans expérience, gagne plus que le gérant du restaurant ?

    Le propriétaire devra augmenter le salaire du gérant. Mais attendez. Maintenant, le directeur gagne plus que le directeur de district, ce qui nécessite une autre augmentation de salaire. Ainsi de suite, et ainsi de suite.

    Bien sûr, rien de tout cela n'est un problème tant que vous pouvez répercuter sur le consommateur une masse salariale plus élevée, des avantages sociaux et des coûts de santé croissants.

    Les petites entreprises remarquent déjà
    Mais c'est déjà un problème. Comme l'a noté la Fédération nationale de l'entreprise indépendante (NFIB) dans une enquête récente. En être témoin:

    «Oui, l'injection de stimulus dans l'économie entraînera une augmentation à court terme de la demande de biens et de services. Lorsque les fonds sont épuisés, la demande s'estompe. Cependant, les propriétaires de petites entreprises comprennent l'impact limité des intrants artificiels. En tant que tels, ils ne prendront pas de décisions d'embauche à long terme, un coût permanent, contre une augmentation artificielle à court terme de la demande.

    De plus, étant donné que le président Biden se concentre sur plus de réglementation gouvernementale et des impôts plus élevés (ce qui incombe carrément aux créateurs d'emplois), l'augmentation des coûts découragera davantage les plans de recrutement à long terme. »

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  11. - voir graphique sur site -

    Tel était également explicitement un point soulevé par le Congressional Budget Office.

    «Des salaires plus élevés augmenteraient le coût pour les employeurs de produire des biens et des services. Les employeurs répercuteraient une partie de ces coûts accrus sur les consommateurs sous la forme de prix plus élevés. Ces prix plus élevés, à leur tour, conduiraient les consommateurs à acheter moins de biens et de services.

    Les employeurs produiraient donc moins de biens et de services. En conséquence, ils auraient tendance à réduire l'emploi de travailleurs à tous les niveaux de salaire. Lorsque le coût de l'emploi de travailleurs à bas salaire augmente, le coût relatif de l'emploi de travailleurs à salaire plus élevé ou de l'investissement dans les machines et la technologie diminue. Certains employeurs répondraient donc à un salaire minimum plus élevé en optant pour ces substituts et en réduisant leur emploi de travailleurs à bas salaire. »

    Été ici avant
    Cette analyse concordait avec des recherches antérieures du Manhattan Institute lorsque l'administration Obama avait déjà tenté de lever le salaire minimum.

    «En supprimant des emplois et / ou en réduisant la croissance de l'emploi, les économistes ont compris depuis longtemps que l'adoption d'un salaire minimum plus élevé peut nuire aux très pauvres qui sont censés être aidés.

    Mais cet article révolutionnaire de Douglas Holtz-Eakin, président de l'American Action Forum et ancien directeur du Congressional Budget Office, et de Ben Gitis, directeur de la politique du marché du travail à l'American Action Forum, arrive à une conclusion tout à fait différente:

    La croissance globale de l'emploi sera plus faible en raison d'un salaire minimum plus élevé. De plus, une grande partie de l'augmentation du revenu qui résulte de ceux qui ont la chance d'avoir un emploi irait aux ménages à revenu relativement plus élevé. Cela n'aiderait pas les ménages pauvres au nom desquels la campagne pour un salaire minimum plus élevé est menée. »

    Problèmes avec l'augmentation du salaire minimum
    L'augmentation du salaire minimum a divers effets sur l'emploi et le revenu familial. En augmentant le coût de l'emploi de travailleurs à bas salaire, un salaire minimum plus élevé conduit généralement les employeurs à réduire la taille de leur main-d'œuvre.

    Les effets sur l'emploi entraîneraient des changements dans les prix et différents types de main-d'œuvre et de capital.

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  12. En augmentant le revenu des travailleurs à bas salaire qui conservent leur emploi, un salaire minimum plus élevé augmente le revenu réel de leurs familles, sortant certaines familles de la pauvreté. Cependant, le revenu réel diminue pour certaines familles parce que d'autres travailleurs perdent leur emploi, les propriétaires d'entreprise perdent des revenus et les prix augmentent pour les consommateurs.

    Impact net

    L'effet net d'une augmentation du salaire minimum est de réduire le revenu familial réel moyen.

    Impact du salaire minimum sur l'emploi
    Des salaires plus élevés augmentent le coût pour les employeurs de produire des biens et des services. Les employeurs répercutent une partie de ces coûts accrus sur les consommateurs sous la forme de prix plus élevés. Ces prix plus élevés, à leur tour, amènent les consommateurs à acheter moins de biens et de services.

    Les employeurs produisent par conséquent moins de biens et de services, ce qui réduit leur emploi de travailleurs à bas salaire et à salaire plus élevé.

    Lorsque le coût de l'emploi de travailleurs à bas salaire augmente, le coût relatif de l'embauche de travailleurs à salaire plus élevé ou de l'investissement dans les machines et la technologie diminue.

    Impact net:

    Une augmentation du salaire minimum affecte ces éléments de manière compensatoire.

    Cela augmente le coût de l'embauche de nouveaux employés pour les entreprises

    Réduit les coûts des travailleurs à salaire plus élevé et des technologies augmentant la productivité

    Fait en sorte que les entreprises augmentent les salaires de tous les employés actuels dont les salaires sont inférieurs au nouveau minimum, que de nouveaux travailleurs soient embauchés ou non.

    - voir graphique sur site -

    Effets de l'augmentation du salaire minimum chez les employeurs
    Les employeurs varient dans la façon dont ils réagissent à une augmentation du salaire minimum.

    L'emploi a tendance à baisser davantage dans les entreprises dont les ventes diminuent lorsqu'elles augmentent les prix. Aussi, dans les entreprises qui peuvent facilement remplacer les machines ou la technologie pour les travailleurs à bas salaire.

    Ils peuvent réduire les avantages sociaux des travailleurs (tels que l’assurance maladie ou les pensions) et les avantages liés à l’emploi (tels que les remises accordées aux employés). Cela atténue l'effet du salaire minimum plus élevé sur la rémunération totale.

    Les employeurs pourraient également compenser en partie leurs coûts plus élevés en réduisant la formation. Ils pourraient également choisir de confier le travail à des entrepreneurs indépendants que la FLSA ne couvre pas.

    Impact net

    Les employeurs réagissent à des salaires minimums plus élevés en réduisant les coûts ou les avantages ailleurs.

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  13. Conclusion

    Devrions-nous augmenter le salaire minimum de 7,25 $ l'heure à 9,00 $ l'heure? Probablement. Le coût de la vie a augmenté depuis la hausse des salaires de 2009, et une augmentation serait probablement plus acceptable qu'un doublement.

    Cependant, si une hausse drastique à 15 dollars semble assez innocente, elle a l'impact négatif le plus significatif sur les pauvres, comme le rapporte la Fondation pour la liberté économique:

    «Les lois sur le salaire minimum créent un obstacle à l'obtention d'un emploi que les privilégiés sont mieux à même de surmonter que les défavorisés. Lorsque les emplois sont rares, les immigrants, les travailleurs peu qualifiés ou peu scolarisés et ceux ayant une maîtrise limitée de l'anglais auront plus de mal à convaincre les employeurs que leur main-d'œuvre vaut 15 $ de l'heure que leurs plus qualifiés, natifs et anglophones. concurrents. Comme Thomas Leonard l'a récemment montré, le chômage de ces groupes marginalisés est considéré comme faisant partie des lois sur le salaire minimum par les 'progressistes' du début du XXe siècle qui voyaient le salaire minimum comme un outil utile pour empêcher les immigrés, les Noirs et les femmes marché du travail."

    Notamment, les conséquences involontaires d'une hausse du salaire minimum dans un environnement économique faible ne sont pas sans conséquence. Étant donné que les entreprises se battent déjà pour la rentabilité, la hausse du salaire minimum, compte tenu de l'effet de «ruissellement» qui s'ensuit, entraînera de nouvelles augmentations de productivité et une réduction de l'emploi.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/adverse-consequences-15hour-wage-hike

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  14. Hydrogène bas carbone : 7 milliards pour réinventer l’eau chaude…

    Selon l’étude de RTE, le développement de l’hydrogène bas carbone par électrolyse peut attendre, sauf si la France souhaite se ruiner.


    Par Michel Gay et Christian Bailleux.
    3 MAI 2021


    Selon l’étude de RTE (Réseau de transport de l’électricité) de janvier 2020, le développement de l’hydrogène bas carbone par électrolyse peut attendre, sauf si la France souhaite se ruiner et réinventer l’eau chaude puisque cette voie hydrogène a déjà été étudiée, testée, et abandonnée.

    PERTE DE MÉMOIRE

    L’omission de recherches bibliographiques d’organismes tels que France Hydrogène (nouvelle appellation de l’AfHypac depuis fin 2020) ou l’ADEME conduit à refaire des études déjà réalisées et à relancer des projets techniques abandonnés ayant abouti à des impasses techniques et/ou économiques.

    Chaque nouvelle génération veut réinventer le monde et dédaigne les travaux qui ont fait la fierté de la génération précédente, surtout s’il s’agit de profiter des sept milliards d’euros promis par le gouvernement pour développer l’hydrogène…

    Certes, certaines recherches sur l’hydrogène pourraient permettre de sortir de l’ornière des projets qui végètent toujours après quelques décennies.

    Mais ce nouvel engouement n’a-t-il pas plutôt pour objectif d’engranger des subventions faciles en répondant au besoin de rêve des Français, faciles à duper quand il s’agit de sciences ?

    LE SERPENT DE MER DE L’HYDROGÈNE BAS CARBONE

    L’hydrogène bas carbone n’est pas une nouveauté. Depuis l’Antiquité, il était connu que des bulles inflammables s’échappaient de l’eau au contact d’un fer rouge.

    Ces exhalaisons ne furent nommées hidrogéne (puis hydrogène : engendrant l’eau) que le 2 mai 1787 par Guyton de Morveau et Lavoisier, devant l’Académie des sciences à Paris le 15 janvier 1784.

    L’hydrogène est ensuite devenu ce rebelle multi-centenaire, dont l’énergie « propre » issue de l’eau doit sauver l’humanité de la pénurie d’énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon) depuis plus d’un siècle (Jules Verne).

    Pour des raisons le plus souvent écologiques, quelques idéalistes politiques remettent régulièrement à la mode le serpent de mer hydrogène comme vecteur énergétique malgré les avertissements de quelques spécialistes du sujet.

    La première décomposition de l’eau par l’électricité est attribuée à deux chimistes hollandais en 1789, à l’aide d’un générateur électrostatique puis, en novembre 1801 à Paris, l’Italien Volta fit avec sa pile la première présentation officielle en France du procédé d’électrolyse de l’eau à Napoléon Bonaparte, Premier Consul.

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  15. Le commandant Charles Renard construisit en 1890 à Chalais-Meudon la première unité industrielle d’électrolyse de l’eau (48 électrolyseurs ; puissance totale 40 KW) pour le gonflement de ses dirigeables.

    En 1900, six installations d’électrolyse produisent de l’hydrogène et de l’oxygène en Europe (Rome, Bruxelles, Lucerne, Montbard) principalement pour la soudure oxhydrique.

    Puis en 1912, la première grande unité d’électrolyse industrielle d’une puissance de plusieurs mégawatts (MW) est construite à Bromborough en Angleterre par une filiale d’Unilever pour l’hydrogénation des corps gras.

    Pendant la guerre de 1914, la société Air Liquide conçoit et réalise des installations d’électrolyse pour gonfler à l’hydrogène des ballons de la Marine nationale à Cherbourg et à Toulon.

    Juste avant la guerre de 1914, Fritz Haber met au point son procédé de synthèse de l’ammoniac à partir d’hydrogène issu du charbon (dit « gaz à l’eau ») permettant à l’Allemagne la fabrication d’acide nitrique pour les explosifs, en remplacement du nitrate contenu dans le Guano importé du Chili.

    La France recevra le procédé Haber en 1918 à titre de dommage de guerre, d’où la création de l’usine ONIA de Toulouse, devenue AZF, célèbre par l’explosion de son stock de nitrate d’ammonium le 21 septembre 2001.

    Pour fournir l’hydrogène nécessaire à la synthèse de l’ammoniac, de nombreuses usines d’électrolyse de plusieurs centaines de MW sont mises en service entre 1930 et 1960 ; elles sont toujours liées à la construction de grandes installations hydroélectriques.

    Des électrolyseurs sont aussi développés en France par la Société SRTI pour les sous-marins nucléaires (le Redoutable est mis en chantier en 1963).

    L’HYDROGÈNE BAS CARBONE AUJOURD’HUI

    Un million de tonnes (Mt) d’hydrogène est aujourd’hui produit annuellement en France.

    Seuls 5 % de la production sont obtenus par l’électrolyse chlore-soude, dont l’hydrogène est un sous-produit. C’est la seule électrolyse incontournable qui fournit l’essentiel de l’hydrogène par électrolyse dans le monde

    Le reste, soit environ 95 %, est produit à partir du gaz naturel (méthane) en utilisant la méthode appelée « vaporeformage » et, jusqu’à récemment, cette production émettait 10 Mt de gaz carbonique, soit environ 2 à 3 % des émissions nationales (440 Mt gaz carbonique) pour des usages industriels non énergétiques (raffinage du pétrole, engrais, synthèse du méthanol notamment).

    Mais, attention ! Pour les synthèses de l’engrais et du méthanol, ces émissions de gaz carbonique sont en cours de disparition.

    En effet, l’évolution actuelle de la technologie de fabrication des engrais à partir de gaz naturel (méthane) privilégie aujourd’hui l’urée ce qui évite tout rejet de gaz carbonique dans l’atmosphère.

    De plus, l’excès d’hydrogène apporté par ce nouveau procédé permet de fournir le complément nécessaire à la synthèse du méthanol, rendant ainsi cette nouvelle synthèse « carbo-neutre ».

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  16. Ces nouveaux procédés commencent à être mis en œuvre au niveau mondial.

    Prochainement, il n’existera donc plus qu’une seule production d’hydrogène avec rejet de gaz carbonique à l’air : celle de la désulfurisation du pétrole qui diminuera naturellement avec la baisse de consommation des carburants d’origine pétrolière.

    Toutefois, la transformation du bio-gaz en bio-méthane, peut nécessiter un traitement à l’hydrogène pour l’élimination des composés soufrés.

    En France, les orientations publiques (loi énergie-climat, programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), et stratégie nationale bas-carbone (SNBC)) visent à convertir uniquement la production conventionnelle de l’hydrogène « fossile » pour l’industrie vers un mode décarboné, via l’électrolyse de l’eau grâce à notre électricité déjà décarbonée à 93 % principalement grâce au nucléaire.

    Mais le gouvernement, l’ADEME et RTE se sont-ils aperçus que l’affaire des émissions de gaz carbonique dues à la production d’hydrogène pour la chimie est maintenant réglée grâce à ces nouveaux procédés ?

    Puisque le passage à l’hydrogène bas-carbone dans l’industrie est en cours par l’actuelle modification des processus chimiques, comment se justifie encore l’intérêt actuel pour l’hydrogène « décarboné » par électrolyse ?

    S’agirait-il de l’injecter dans le réseau de gaz naturel ?

    RÉINVENTER L’EAU CHAUDE

    L’injection de l’hydrogène dans les réseaux gaziers a déjà une longue et édifiante histoire.

    À partir du Second Empire, toutes les grandes villes du Sud-Ouest, dont Toulouse se sont dotées d’usines à « gaz de ville » dont les deux composants principaux étaient l’hydrogène et l’oxyde de carbone, dont le pouvoir calorifique de l’ensemble est deux fois inférieur à celui du méthane.

    Puis, après la guerre, la distribution du gaz naturel (appellation commerciale géniale pour désigner du méthane) plus performant s’est progressivement généralisée, éliminant l’hydrogène.

    Il est à noter qu’il existe un réseau de distribution d’hydrogène de près de 1000 km couvrant le Nord de la France, la Belgique, la Hollande et la Rhur (Allemagne) qui dessert de nombreux industriels. Il s’agit là d’hydrogène industriel pour la métallurgie, verrerie, etc. impropre aux synthèses chimiques où une grande pureté est nécessaire pour éviter l’empoisonnement des catalyseurs.

    Des études sur l’hydrogène « énergie » (et non plus simplement comme intrant pour l’industrie) réapparaissent principalement en août 1972 avec le rapport de 420 pages de l’American Gas Association (AGA) consécutif à la publication de prospectives alarmistes sur l’épuisement rapide des ressources pétrolières. Il couvre les aspects productions, transports, stockage, utilisations, sécurité, juste avant le premier choc pétrolier de 1973.

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  17. En réaction, la Commission des Communautés Européennes (CCE) émet dès 1974 des appels à projet sur l’hydrogène par électrolyse de l’eau couvrant les années 1975 à 1983 mais qui, par manque d’organisation cohérente, et en l’absence de maîtrise d’œuvre, n’aboutiront à rien.

    En septembre 1974, EDF et GDF s’associent pour définir la place de l’hydrogène comme vecteur chimique et énergétique en lien avec la production d’électricité nucléaire.

    Après avoir demandé simultanément aux trois grands industriels français : Creusot-Loire (CL), Compagnie Electromécanique (CEM), Compagnie Générale d’Electricité (CGE) des projets d’usines d’électrolyse de 300 mégawatts (MW), la CGE construira l’unité pilote de 2,4 MW de Pont de Claix (1986), puis un prototype industriel de 20 MW en 1988.

    La décision d’arrêter le projet est prise en 1992 à cause de la baisse de prix du gaz naturel, et de l’exportation plus importante que prévue d’électricité nucléaire. Cependant, les essais se poursuivront jusqu’en 1996.

    En janvier 1976, Michel d’Ornano, ministre de l’Industrie sous la présidence de Giscard d’Estaing, crée le Groupe de Travail Hydrogène avec deux sous-groupes : Production et Utilisation (chimie, transport…) et injection dans le réseau gaz. Ce travail a été précédé par une conférence à Genève en 1971 intitulée… « L’hydrogène, l’énergie de l’an 2000 », et par une autre à Miami en 1974 « La civilisation de l’hydrogène ».

    Parallèlement, l’International gas association for hydrogen energy a organisé de nombreuses conférences internationales sur l’hydrogène partout dans le monde pendant près de 20 ans : Lausanne 1978, Los Angeles 1980, Tokyo 1982, Montréal 1984, Vienne 1986, Moscou 1988, Hawaï 1990, Paris 1992…

    Et tout ça pour quel résultat ?

    Certes, l’hydrogène « vecteur énergétique » a permis la conquête de la Lune, et la découverte du système solaire grâce aux sondes Voyagers lancées par les premières fusées à hydrogène.

    Mais « l’hydrogène énergie » demeure toujours absent de notre civilisation (sauf 1 % pour les fusées, et dans quelques voitures hors de prix) car ce vecteur énergétique est difficile à manier, à utiliser, dangereux, et trop cher.

    Actuellement chaque région veut son projet hydrogène en rêvant de coupler des électrolyseurs (sans dire lesquels) avec des capteurs photovoltaïques ou des éoliennes, sans avoir aucune notion de la complexité des électrolyseurs et du coût invraisemblable de l’hydrogène ainsi produit dans le contexte français et européen.

    Seul le Canada peut produire aujourd’hui un hydrogène vert à un coût abordable avec ses immenses installations hydroélectriques.

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  18. Que penser de RTE qui, dans son étude de janvier 2020, fonde ses prévisions sur la douteuse flexibilité des électrolyseurs et qui, au final, indique qu’il serait peut-être sage d’examiner, avec le projet Jupiter, si les électrolyseurs sont flexibles ? Mais RTE ne disposera alors que d’électrolyseurs nains incapables de fournir une image fiable des données de fonctionnement des électrolyseurs industriels de grande taille.

    Le plus invraisemblable est la floraison de pseudo-organismes scientifiques (environ 300 comité Théodule en France) habiles à attirer l’attention des présidents de région et à accaparer l’argent des contribuables pour examiner de « nouvelles pistes »… déjà explorées et abandonnées !

    Ces sept milliards d’euros (!) de subventions publiques viendront s’ajouter aux près de cinq milliards d’euros annuels pour le photovoltaïque et l’éolien, et feront une nouvelle fois éclore des start-ups éphémères qui occuperont de brillants ingénieurs à pédaler dans le vide pour réinventer l’eau chaude au détriment du portefeuille des Français.

    (L’ouvrage de Christian Bailleux L’hydrogène de 1781 à nos jours est disponible au prix de 30 euros +7 euros de frais de port en envoyant un mail avec l’adresse d’expédition à cclbailleux@gmail.com )

    QUELQUES CHIFFRES POUR LES PLUS MOTIVÉS…
    1 tonne d’hydrogène (tH2) contient 33 MWh d’énergie.

    630 000 tH2 contiennent 21 TWh (33 x 630 000) qui, avec un rendement de 60 % de l’électrolyseur, nécessite 35 TWh d’électricité (21/0,6 = 35 TWh).

    1 GW de puissance électrique produit par électrolyse 20 tH2/heure.

    Donc, 1 GW x 7000 h/an peut produire 140 000 tH2/an (150 000 tH2/an avec 7500 heures de fonctionnement).

    Donc, obtenir 630 000 tH2/an pour l’industrie par électrolyse implique environ 4,5 GW (630000/140 000) de puissance électrique en continu.

    Soit 4,5 réacteurs nucléaires de 1 GW ou 3 EPR de 1,5 GW dédiés quasiment en permanence.

    https://www.contrepoints.org/2021/05/03/396475-hydrogene-bas-carbone-7-milliards-pour-reinventer-leau-chaude

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    1. La taxe 'gaz carbonique' arrive !!
      Vous respirez ? TAXE ! Sportif ? TAXE x 10 ! Vous avez un chien, un chat ? TAXE ! Des souris, des araignées, poissons rouges, mouches, moustiques et des puces ? TAXE !

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  19. Les vers sauteurs font des ravages dans 15 États américains


    Dimanche 02 mai 2021
    par: Nolan Barton


    (Natural News) Les vers sauteurs font des ravages dans les écosystèmes et les sols des jardins d'au moins 15 États américains. Aussi connus sous le nom de vers fous, de sauteurs de l'Alabama et de vers de serpent, ils se débattent violemment lorsqu'ils sont manipulés et perdent leur propre queue pour s'échapper lorsqu'ils sont soumis à la contrainte.

    Les vers sauteurs matures mesurent entre quatre et cinq pouces de long. Ils ont été aperçus à New York, Minnesota, Wisconsin, Missouri, Illinois, Iowa, Nebraska, Ohio, Texas, Louisiane, Indiana, Kansas, Kentucky, Tennessee et Oklahoma.

    Originaires des pays d'Asie de l'Est, la Corée et le Japon, les vers sauteurs peuvent proliférer rapidement dans un jardin ou une forêt, où leur cycle de vie se déroule dans la litière de feuilles et le ou les deux premiers centimètres du sol. On pense que les vers du genre Amynthas ont été introduits aux États-Unis comme appâts de pêche. Ils se nourrissent de matière organique dans le sol, mangeant de nombreux nutriments essentiels dont les plantes, les champignons et les animaux ont besoin pour se développer.

    Les vers sauteurs digèrent rapidement la matière organique, surpassant les espèces de champignons indigènes et même d'autres vers de terre non indigènes. Dans leur sillage, ils laissent derrière eux une couche arable profondément altérée.

    Les jardiniers remarquent souvent leur présence indirectement en notant un changement dans l'apparence de leurs sols de jardin. Les sols infestés de vers sauteurs sont plus grossiers que les sols typiques, avec un aspect granuleux qui ressemble à du marc de café.

    «Ces vers sont connus pour endommager les racines des plantes et altérer la capacité de rétention d'eau du sol. Ceci est particulièrement préoccupant dans nos forêts, où la matière organique est limitée. Il est important d’arrêter la propagation des vers sauteurs », a écrit Nicole Flowers-Kimmerle, spécialiste de l’agriculture et des ressources naturelles à l’Université de l’Illinois, dans son blog.

    En raison de leur appétit pour les éléments nutritifs du sol, les vers se développent deux fois plus vite que les autres espèces. Ils se reproduisent sans accouplement et endommagent gravement les racines, ce qui rend les plantes faibles et plus sensibles aux ravageurs, à la sécheresse et aux maladies. (Connexes: des vers mangeurs de chair sont apparus en Floride.)

    Le contrôle de la population est un problème, et les experts ont admis qu'il n'y avait pas de mesures de contrôle viables en place pour empêcher les vers de se propager à travers le pays. Les vers sauteurs se trouvent généralement dans les premiers centimètres sous le sol, et les gens sont invités à garder un œil sur eux du milieu à la fin de l'été.

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  20. La «vermifugation globale» contribue au réchauffement climatique

    Les gens déplacent des vers depuis des siècles. Des vers d'Amérique du Sud traversent désormais les tropiques du monde entier. Les vers de terre européens vivent désormais sur tous les continents, à l'exception de l'Antarctique.

    Annise Dobson, écologiste forestière à l'Université de Yale, l'appelle «vermifugation mondiale».

    Fait intéressant, une étude a révélé que les vers augmentent probablement les émissions de gaz à effet de serre. Les vers de terre ne produisent pas beaucoup d’émissions eux-mêmes, mais le sol dans lequel ils vivent le fait.

    Dans l’étude, publiée dans Nature Climate Change, des chercheurs des États-Unis, des Pays-Bas et de Colombie ont compilé les résultats de 237 expériences distinctes d’autres études publiées pour explorer le rôle des vers de terre dans les émissions mondiales de gaz à effet de serre.

    Les auteurs de l'étude ont qualifié les vers de terre d'ingénieurs de l'écosystème du sol en partie parce qu'ils affectent la structure physique du sol en creusant des terriers. Les vers de terre interagissent également avec les microbes qui produisent l'essentiel des émissions de dioxyde de carbone.

    La présence de vers affecte la quantité de dioxyde de carbone produite dans le sol et la quantité qui s'échappe dans l'atmosphère. Les scientifiques craignent que les vers de terre augmentent les émissions de gaz à effet de serre et que le nombre de vers de terre augmente. Les scientifiques de l'étude ont constaté que la présence de vers de terre dans le sol augmentait les émissions d'oxyde nitreux de 42% et les émissions de dioxyde de carbone de 33%.

    Mais c’est plus compliqué que ça. Les vers peuvent augmenter les émissions d'un gaz à effet de serre tout en réduisant les émissions de l'autre. Pour déterminer l'impact global, les scientifiques ont mené des expériences et ont découvert que les vers de terre augmentaient le potentiel de réchauffement planétaire des sols de 16 pour cent.

    Les vers sauteurs ont le potentiel de refaire les forêts nord-américaines

    De tous les vers de terre que les gens ont fait la navette dans le monde, les vers sauteurs ont le plus préoccupé les scientifiques. Ils ont le potentiel de refaire les forêts autrefois vermifuges d'Amérique du Nord.

    Les écologistes comme Dobson craignent que les vers sauteurs constituent une menace encore plus grande que leurs prédécesseurs européens. Les vers sauteurs semblent avoir beaucoup des mêmes effets, sauf qu'ils grossissent et existent en colonies denses - comptant parfois plus d'une centaine d'individus par mètre carré de terrain.

    Alors que les vers européens se déplacent sur les quatre à six pieds supérieurs du sol, les vers sauteurs collent aux six pouces supérieurs environ, les transformant sans relâche en sédiments meubles. Le sol perturbé s'érode facilement, sèche rapidement et constitue généralement un habitat médiocre pour de nombreuses plantes.

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  21. Dobson a expliqué que les vers agissent comme un entonnoir, vannant la diversité de la forêt. Premièrement, ils éliminent les plantes indigènes les plus sensibles, ne laissant que des espèces rustiques. Ensuite, ils préparent le terrain pour les espèces envahissantes.

    Plus encore que leurs parents européens, les vers sauteurs semblent remodeler la forêt de fond en comble. «Chaque chose qu'ils font est transformatrice», a déclaré Dobson.

    Dans les forêts de feuillus nord-américaines, une épaisse couche de feuilles à décomposition lente se déposait au fil des années, voire des décennies. Cette couche a créé une maison pour les insectes, les amphibiens, les oiseaux et les fleurs indigènes.

    Mais les vers sont apparus et ont dévoré la litière en l'espace de quelques années. Tous les nutriments qui ont été stockés au fil du temps sont libérés en un seul éclat géant. Sans couverture, la population d'invertébrés dans le sol s'est effondrée. Sans nourriture ni abri, les salamandres ont souffert et les oiseaux nicheurs se sont retrouvés dangereusement exposés. (En relation: «Wormnado» - Des centaines de vers se regroupent en un motif semblable à une tornade sur le trottoir du New Jersey.)

    Des plantes comme le trille, la pantoufle et la fleur d'éphémère du Canada ont également disparu. Cela peut être dû au fait que les vers ont perturbé les réseaux de champignons symbiotiques dont dépendent de nombreuses plantes indigènes, ou parce que les vers ont directement consommé les graines des plantes.

    Les vers ont une réputation stellaire grâce à Charles Darwin
    Il est difficile de comprendre les dangers posés par les vers de terre si vous avez été élevé dans la croyance que les vers de terre sont bons.

    «Ils semblent si symboliques d'un écosystème sain», a déclaré Dobson.

    Les vers ont une excellente réputation grâce à Charles Darwin. En plus de développer la théorie de l'évolution, Darwin a étudié les vers de terre pendant 40 ans chez lui en Angleterre.

    Darwin a mené toutes sortes d'expériences sur les vers de terre. Il a observé leur réaction au son du basson (aucun) et aux vibrations d'une note C jouée au piano (panique). Il regarda comment ils tiraient des feuilles dans leurs terriers. Darwin a également mesuré la rapidité avec laquelle les vers ont recouvert un grand pavé de son jardin avec leurs moulages. Il a estimé qu'ils pouvaient déplacer au moins 10 tonnes de sol par acre et par an.

    En 1881, peu de temps avant sa mort, Darwin a compilé ses études sur les vers dans un livre, qui est devenu un best-seller et a donné à l'image publique lugubre des vers une cure de jouvence. Les jardiniers se réjouissent désormais de trouver des vers de terre dans leur sol.

    Suivez Ecology.news pour en savoir plus sur la manière dont les organismes interagissent les uns avec les autres et avec leur environnement physique.

    Sources include:

    LiveScience.com
    Newsweek.com
    CarbonBrief.org
    TheAtlantic.com

    https://www.naturalnews.com/2021-05-02-jumping-worms-wreak-havoc-in-gardens-ecosystems.html

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  22. Ford prévoit une réduction de moitié de la production automobile au cours du deuxième trimestre en raison de la pénurie de puces semi-conductrices


    Dimanche 2 mai 2021
    par: Arsenio Toledo


    (Natural News) Le directeur général de Ford Motor Company, l’un des plus grands constructeurs automobiles américains, estime que la société perdra la moitié de sa production du deuxième trimestre en raison de la pénurie actuelle de puces à semi-conducteurs.

    Lors de l’appel des résultats du premier trimestre de la société le mercredi 28 avril, le PDG de Ford, Jim Farley, a fièrement annoncé que la société était en mesure de dépasser les attentes de Wall Street concernant ses bénéfices. Mais il a formulé cette déclaration en disant qu'il s'attend maintenant à perdre environ 50 pour cent de sa production prévue pour le deuxième trimestre.

    La production de Ford pour le premier trimestre a déjà chuté de 17% en raison d’un incendie dans l’usine du fournisseur de puces de Ford, Renesas Electronics au Japon. (Connexes: un incendie chez un fabricant de puces japonais s'ajoute à l'effondrement des lignes d'approvisionnement en micropuces pour les constructeurs automobiles.)

    "Il y a encore plus de moments d'eau vive à venir pour nous que nous devons naviguer", a déclaré Farley aux investisseurs de la société lors de l'appel aux résultats. «La pénurie de semi-conducteurs et l’impact sur la production s’aggraveront avant de s’améliorer.»

    Le directeur financier de Ford, John Lawler, a déclaré que la société s'attend à perdre environ 1,1 million d'unités de production pour l'ensemble de 2021 en raison de la pénurie de semi-conducteurs. Il s'agit d'une augmentation significative par rapport aux prévisions précédentes pour une perte de production comprise entre 200 000 et 400 000 véhicules.

    En février, la société a estimé qu'elle gagnerait entre 8 et 9 milliards de dollars de bénéfices avant impôts ajustés. Au cours de l'appel sur les résultats, la société a ajusté ses estimations et s'attend maintenant à entre 5,5 et 6,5 milliards de dollars de bénéfices avant impôts ajustés. Ford a déclaré qu'il s'attendait à perdre environ 2,5 milliards de dollars en raison du problème des semi-conducteurs.

    Le flux de trésorerie disponible ajusté pour l'année devrait se situer entre 500 millions de dollars et 1,5 milliard de dollars.

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  23. Lawler a expliqué que la société aurait réalisé moins de bénéfices si elle n'avait pas compensé les pertes liées à la réduction de la production. Pour ce faire, elle a mis en œuvre des stratégies de réduction des coûts telles que la réduction des incitations sur les véhicules vendus, la priorisation de la production des modèles les plus rentables de l’entreprise et la réduction des coûts de fabrication.

    Fermeture de plusieurs usines Ford en raison d'une pénurie de semi-conducteurs

    L’impact de la pénurie de semi-conducteurs se fait sentir dans les usines de l’entreprise. L'usine de montage de Ford Kansas City, qui fabrique ses camionnettes F-150 et fourgonnettes Transit les plus vendues, est en train de fermer. Les usines d’assemblage de la société à Chicago, Dearborn et Flat Rock ainsi que son usine de camions à Louisville, Kentucky, ont également fermé leurs portes.

    «Le deuxième trimestre sera le pire impact financier de la pénurie de semi-conducteurs», a déclaré David Whiston, analyste au sein de la société de recherche en investissement Morningstar.

    «Au premier trimestre, ils ont pu mettre des pansements sur certaines choses et continuer à fabriquer les véhicules, alors qu'au deuxième trimestre, vous commencez vraiment à manquer d'options. Vous voyez beaucoup plus d'annonces de fermeture d'usines dans l'industrie au cours des dernières semaines. "

    Au fur et à mesure que la pénurie de semi-conducteurs s'éternise, le prix qu'elle pèse sur les constructeurs automobiles - et leurs travailleurs - va augmenter. La pénurie prend déjà un certain nombre sur l’inventaire des véhicules de Ford.

    Lors de l'appel aux résultats, Lawler a déclaré que la société disposait d'environ 44 jours de fourniture de véhicules à la fin du premier trimestre. C'est bien en deçà de l'approvisionnement régulier de 60 jours qui est devenu la norme pour l'industrie automobile.

    La plupart des bénéfices de la société au trimestre précédent provenaient d’Amérique du Nord, avec un bénéfice de 2,95 milliards de dollars avant intérêts et impôts. Il s'agit d'une augmentation de 346 millions de dollars par rapport à l'année dernière, lorsque le coronavirus de Wuhan (COVID-19) a dévasté les ventes de voitures et les bénéfices ont plongé.

    L'entreprise essaie de redresser ses activités à l'étranger. Il a perdu 5,8 milliards de dollars cumulés sur les marchés hors de l'Amérique du Nord au cours des quatre dernières années. Il n'a gagné que 454 millions de dollars au premier trimestre, la majeure partie provenant d'Europe.

    Découvrez comment la pénurie mondiale de semi-conducteurs pousse les constructeurs automobiles comme Ford à ajuster leurs attentes et à réduire leur production sur MarketCrash.news.

    Les sources comprennent:

    CNBC.com
    Bloomberg.com
    Courier-Journal.com

    https://www.naturalnews.com/2021-05-02-ford-production-shrink-semiconductor-chip-shortage.html

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    1. C'est peut-être un espoir de voir ressorties les Belles Voitures Américaines d'y a 50 ou 70 ans ! (qui n'avaient pas d'électronique !).

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  24. Un responsable chinois a déclaré que l'énergie solaire et éolienne étaient trop intermittentes et instables. Ils doivent utiliser du charbon.


    May 3rd, 2021


    La Chine semble fonctionner dans sa propre bulle de règles

    Imaginez l’apoplexie si notre ministre de l’écologie disait que nous financerions l’énergie au charbon dans le tiers monde ? Pourquoi est-ce que seule la Chine peut fabriquer du charbon au pays et à l'étranger ? Quel type de pays en développement ne peut pas se permettre d’utiliser «l’énergie solaire et éolienne», mais qui est suffisamment riche pour aider à construire des centrales au charbon dans d’autres pays également?

    La Chine n’a «pas d’autre choix» que de compter sur le charbon pour le moment, selon un responsable

    Evelyn Cheng. CNBC

    «La structure énergétique de la Chine est dominée par l’énergie au charbon. C'est une réalité objective », a déclaré Su Wei, secrétaire général adjoint de la Commission nationale du développement et de la réforme. CNBC a traduit ses commentaires en mandarin, qu'il a tenus à la fin de la semaine dernière à la suite des remarques distinctes de Xi lors d'un sommet mondial des dirigeants sur le climat dirigé par les États-Unis.

    «Parce que les énergies renouvelables (sources telles que le vent et l'énergie solaire) sont intermittentes et instables, nous devons compter sur une source d'énergie stable», a déclaré Su. «Nous n'avons pas d'autre choix. Pendant un certain temps, nous devrons peut-être utiliser l’énergie au charbon comme point d’ajustement flexible. »

    Il a ajouté que le charbon est facilement disponible, tandis que les énergies renouvelables doivent se développer davantage en Chine.

    En 2018, la Chine a réduit les subventions solaires parce qu'elle rendait l'électricité trop chère.

    La Chine a également l'intention de continuer à financer l'énergie au charbon dans d'autres pays.

    Le ministère chinois de l’écologie a indiqué que le financement par la Chine de l’énergie au charbon dans les pays en développement se poursuivrait. "La Chine a soutenu certains pays en développement dans la construction de centrales au charbon à l'étranger", a déclaré Li Gao, directeur général du département du changement climatique du ministère, aux journalistes en mandarin que CNBC traduisait.

    Cela convient à la Chine si personne d'autre n'est en concurrence avec son projet Belt and Road
    Combien de faveurs la Chine gagnera-t-elle en étant la seule grande puissance à fournir une énergie utile?

    La Chine est l'homme bizarre sur le financement du charbon à l'étranger
    Laura Edwards, National Interest.org, 26 avril

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  25. Malgré son rôle croissant dans le financement du développement durable - le président Xi Jinping a réitéré lors du [récent sommet de Biden] que la coopération écologique est un aspect clé de l'initiative chinoise `` Belt and Road '' - la Chine n'a fait aucune promesse de mettre fin au financement du charbon à l'étranger, même si le Japon et la Corée du Sud , les deuxième et troisième bailleurs de fonds des centrales au charbon à l'étranger, prennent des mesures ambitieuses pour arrêter de financer les centrales au charbon à l'étranger dans le cadre de leurs nouveaux programmes de lutte contre le changement climatique. La Chine, le plus grand bailleur de fonds au monde pour le charbon à l’étranger, est désormais un homme étrange. La réduction des émissions mondiales ne peut être obtenue sans s'éloigner du charbon. Un engagement de la Chine de mettre fin à son financement des centrales au charbon à l'étranger serait un atout majeur pour les efforts internationaux en matière de climat.

    Qui veut être une superpuissance ?

    h / t GWPF

    En 2020, la Chine a construit trois fois plus d'électricité au charbon que le reste du monde
    La Chine possède désormais la moitié du parc mondial de production d'électricité au charbon
    Boom secret du charbon en Chine. Les photos montrent des constructions massives dans des usines «fermées». La mort du charbon est FakeNews.

    https://joannenova.com.au/2021/05/chinese-official-says-solar-and-wind-are-too-intermittent-and-unstable-they-must-use-coal/

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  26. Diffusion d'urgence du dimanche: des scientifiques du monde entier confirment que les vaccins COVID sont des armes biologiques mortelles


    Infowars.com
    2 mai 2021, 15h59


    Alex Jones couvre les dernières nouvelles de l'arnaque COVID, y compris la façon dont le vaccin COVID est en fait une arme biologique de dépeuplement alors que l'Amérique atteint une nouvelle phase dans le plan Great Reset des mondialistes.

    Selon le Code de Nuremberg (1947), «Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel.» Si votre employeur vous oblige à prendre le vaccin COVID-19, invoquez l'énoncé suivant:

    AVIS: En vertu du code de Nuremberg sur l'expérimentation médicale, j'exerce par la présente mon droit de refuser de me soumettre ou d'administrer le vaccin COVID-19.Le gouvernement des États-Unis a poursuivi, condamné et exécuté des médecins qui ont violé le code de Nuremberg. sur l'expérimentation médicale. Les assistants et les complices des crimes de Nuremberg sont également coupables et ont également été poursuivis, condamnés et exécutés.

    - voir clip sur site :

    https://www.infowars.com/posts/sunday-live-democrats-panicking-over-arizonas-election-audit-collapse-of-biden-fraud/

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  27. Les déserts médicaux ne sont pas près de refleurir

    Au lieu de former des personnels pour les réanimations, l’État a préféré l’immobilisme et la déprogrammation de la chirurgie.


    Par Bernard Kron.
    4 MAI 2021


    La crise de la santé ne finit pas de rebondir comme en témoigne le report de plus en plus nombreux des interventions chirurgicales.

    UN ÉTAT AUTISTE

    Quatre lois en moins de 20 ans nous ont amenés au bord de l’abîme. La loi dite loi Kouchner de 2002 relative aux droits des malades a fait des patients des consommateurs de soins ayant tous les droits et les soignants seulement des devoirs.

    Les lois suivantes ont aggravé la situation car l’État en position d’arbitre est partial. Ses acteurs ne pensent qu’à une chose, se faire réélire et développer leurs avantages et leur plan de carrière.

    Alors on confine pour la troisième fois et on déprogramme à nouveau certaines interventions chirurgicales.

    La révolte gronde et l’hôpital se meurt. Les cliniques indépendantes devenues moribondes sont regroupées dans des chaînes, proies faciles pour les fonds de pensions ou les assurances.

    Alors les soignants vont-ils se révolter contre cette administration et les agences de santé qui les paralysent ?

    LES AGENCES ET LES ÉNARQUES, COMPLICES DE L’ÉTAT

    « Certains médecins, en vous tâtant le pouls, ont une façon de vous prendre par la main qui semble tout de suite vous guider vers un monde meilleur. » Paul Masson.

    Face à la détérioration de notre médecine humaniste, je me suis depuis longtemps posé la question de savoir s’il y avait réellement un pilote dans l’avion.

    À la vue des décisions allant toutes dans le même sens, à savoir toujours plus d’administrateurs et moins de soignants, je pense au contraire que la direction est toute tracée : mettre la santé sous le contrôle de l’État. Toutes ces crises en découlent.

    Depuis les ordonnances Juppé de 1996 l’État a pris le contrôle et a fait des Français des assistés. Après avoir augmenté de façon insupportable les cotisations et créé de nouveaux impôts il ne restait plus qu’à diminuer le nombre de médecins. Le scénario catastrophe est en place. Le moindre grain de sable va bloquer le système et a fortiori une pandémie alors que les organismes de l’État avaient en janvier 2020 tous les éléments pour prendre les bonnes décisions.

    Au nom du principe de précaution les masques et les tests auraient dû être distribués à tous les soignants et les aéroports fermés. Tester les arrivées et isoler les passagers auraient permis de mieux contrôler l’épidémie, mais rien n’a été fait… À qui la faute ?

    L’incurie administrative et la multiplication des intervenants de la haute fonction publique ont paralysé tout le système de commandement. Les hauts fonctionnaires devraient y réfléchir. Ils sont issus de l’ENA, de l’École polytechnique, de l’École nationale de la magistrature, de l’École des hautes études en santé publique ou de l’Institut national des hautes études territoriales.

    Au lieu de former des personnels pour les réanimations, ces acteurs ont préféré l’immobilisme et la déprogrammation de la chirurgie.

    Je décris cette situation dans le livre Blouses Blanches colère noire édité par Max Milo et paru le 9 mars 2020.

    https://www.contrepoints.org/2021/05/04/396692-les-deserts-medicaux-ne-sont-pas-pres-de-refleurir

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  28. Une pandémie de peur


    Par Steve Berger
    4 mai 2021


    «La seule chose que nous devons craindre, c'est la peur elle-même, une terreur sans nom, déraisonnable et injustifiée qui paralyse les efforts nécessaires pour convertir la retraite en avance» Franklin Delano Roosevelt Discours inaugural

    "L'enfer est vide et tous les démons sont ici." William Shakespeare, la tempête

    Nous avons maintenant compté 14 mois et compté depuis les ordres de verrouillage «d'urgence temporaire» (deux mots qui font frissonner toute colonne vertébrale libertaire) pour éviter que les hôpitaux de notre pays ne soient indûment stressés par le virus Covid 19. Sans nier la transmissibilité ou la contagiosité de Covid, en particulier pour les personnes âgées et les personnes à risque présentant une ou plusieurs comorbidités, je pense que nous pouvons tous convenir que nous sommes passés de la peur à la peur au cours de cette période. La peur des hospitalisations a cédé la place à la peur des infâmes décomptes affichés 24h / 24 et 7j / 7 par les médias grand public. Alors que les taux de mortalité diminuaient l'été dernier, la peur de la mort a cédé la place à la peur des cas accompagnés d'un comptage presque maniaque des tests administrés. Et, enfin, l'obsession du nombre de tests et de cas a été déplacée par le nombre de personnes qui ont reçu leur injection Covid. La peur, comme FDR l'a entonné dans son célèbre discours inaugural, est souvent déraisonnable et injustifiée. Il élève le syndrome de fuite ou de combat, provoque la suspension de l'incrédulité et conduit à des décisions émotionnelles et paniquées. À chacune de ces quatre étapes de Covid a engendré la peur, on aurait pu soulever des contres objectifs au récit dominant. À savoir, très peu d'hôpitaux étaient surpeuplés. La plupart des décès de Covid, de l'aveu même du CDC, sont dus à Covid et non à Covid, ce dernier constituant 6% du total signalé. Le nombre de cas a probablement été considérablement sur-gonflé en raison de méthodologies de test défectueuses et trop sensibles. Et les vaccins peuvent ne pas être un remède magique qui prévient la transmission ou l'infection, mais, s'ils sont sûrs et efficaces, ils peuvent minimiser les symptômes indésirables en cas de contraction de Covid. Les grandes entreprises pharmaceutiques mentionnent déjà le besoin de injections de rappel annuelles.

    Il est peu probable que l'élévation de l'un de ces contrepoints à la narration dominante soit contrecarrée par un débat rationnel et calme, mais assurément, l'un d'entre eux sera étiqueté comme étant un anti-vaxxer de Trump, des attaques ad hominem classiques ne méritant guère de réponse. Mais, pour remettre les pendules à l'heure, cet écrivain n'est ni un Trumpien ni un anti-vaxxer. Au fil du temps, mon parcours philosophique a évolué d'une croyance initiale que le gouvernement était un mal nécessaire à une pensée qui est principalement le mal. Peu de politiciens sont pour moi des exemples de courage moral ou d'honnêteté intellectuelle. Le président Kennedy est une exception dans ma vie car son courage moral pour éviter la guerre nucléaire et démanteler l'État de sécurité nationale peut très bien lui avoir coûté la vie aux mains d'ennemis politiques. Avant Kennedy, je dois me retirer auprès de Grover Cleveland, qui a eu le courage à maintes reprises de faire respecter la Constitution, ce qui lui a valu le sobriquet de M. Veto pour ses refus répétés aux tentatives du Congrès de créer des pouvoirs non énumérés. Et dire que je suis anti-vaxxer est un léger péjoratif qui implique que je substitue la superstition à la médecine et à la science alors qu'en fait, comme beaucoup, j'essaie de prendre ma propre décision éclairée concernant ma propre santé et mon traitement ou mes options prophylactiques.

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  29. Quelqu'un m'a récemment interrogé sur les origines de mon amour de la liberté individuelle et comment j'en suis venu à embrasser l'axiome de non-agression au cœur de la philosophie libertaire. J'ai d'abord répondu qu'après l'université, j'avais suivi le conseil de Mark Twain de ne jamais laisser ma scolarité interférer avec mon éducation, alors j'ai entrepris mon propre cours d'auto-éducation, dévorant tous les classiques de Rand, Rothbard, Hayek, Block, Hoppe, von Mises ainsi que des philosophes politiques diamétralement opposés à leur amour de la liberté et de la responsabilité individuelle. Mais, après une réflexion plus approfondie, je me suis rendu compte que mes racines libertaires étaient peut-être présentes lorsque j'étais enfant. L'un de mes premiers souvenirs est que mes parents sont de plus en plus frustrés par mon utilisation sans fin du mot pourquoi! Je suppose que je n'ai tout simplement jamais aimé qu'on me dise quoi faire ou quoi penser, et je pense que cette prédisposition sceptique à remettre en question l'autorité était le terreau fertile pour construire mon ensemble de croyances politiques et morales.

    Donc, dans l'esprit d'être le pourquoi (et, espérons-le, sage), je n'ai que quelques questions que j'aimerais poser au CDC et aux fabricants de vaccins avant de m'aligner consciencieusement pour prendre les vaccins. S'ils peuvent répondre pleinement à ma satisfaction, mon consentement pour obtenir les vaccins sera éclairé et volontaire; sinon, ma soumission n'aura lieu que parce que les mandats juridiques rendront impossible de profiter de la vie à des conditions acceptables.

    Voici ma liste:

    Pourquoi le partenariat du gouvernement et de 4 grands fabricants de vaccins est-il exempt des méfaits habituels du capitalisme de copinage présent dans d'autres industries où le gouvernement et les grandes entreprises sont alliés ? Les renflouements et les subventions dans d'autres industries créent un aléa moral, socialisent le risque et ont tendance à entraîner des prix élevés et / ou une mauvaise qualité des produits, car la suppression des sanctions fondées sur le marché en cas d'échec est affaiblie. Là où beaucoup glorifient l'opération Warp Speed ​​et sont impatients d'annoncer Mission accomplie comme Bush le jeune l'a fait dans les premiers jours de la guerre éternelle en Irak, j'ai un sentiment de gêne rongeant qu'un produit soit mis sur le marché sans tests complets et approfondis. Le gouvernement peut se présenter comme un sauveur. Les fabricants de vaccins, qui bénéficient de l'immunité juridique dans le cadre de leur partenariat privé / public et ont reçu d'énormes subventions pour développer les vaccins, ont une opportunité de profit pur avec des limites légalement limitées sur les pertes ou les représailles. Cela ne vise pas à attribuer des motifs inappropriés au gouvernement ou aux entreprises, car les efforts visant à réduire la pandémie peuvent en effet être totalement humanitaires. Mais, la responsabilité zéro et les structures de risque / récompense biaisées créent des incitations qui me laissent mal à l'aise.

    Les vaccins sont-ils sûrs et efficaces ? Si tel est le cas, pourquoi de nombreux responsables gouvernementaux recommandent-ils toujours aux vaccinés de porter des masques, de s'éloigner socialement et de mettre leur vie en attente d'une autre manière ? Ce message public ne fait-il pas plus pour saper l'incitation à se faire vacciner que tout anti-vaxxer ne pourrait en créer ?

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  30. Si les vaccins sont si efficaces, comment expliquez-vous l'occurrence entre le 14 décembre 2020 et vendredi dernier de près de 120 000 événements indésirables aux États-Unis signalés au VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System), dont plus de 3500 décès ?

    Bien qu'il s'agisse statistiquement d'un petit pourcentage du total des vaccins administrés à ce jour, est-il probable que la sous-déclaration systématique à votre intention dans le cadre du VAERS soit de l'ordre de seulement un à dix pour cent de tous les événements indésirables? Si tel est le cas, considérez-vous que le nombre réel probable d'événements indésirables liés à la vaccination de 1,2 à 12 millions est significatif?
    Et, pour certains segments de la population (à savoir toute personne de moins de 30 ans) pour qui les chances de contracter Covid et / ou des symptômes débilitants peuvent être proches de zéro, comment justifiez-vous une injection qui est certes encore expérimentale ? Ce risque / récompense est-il logique?
    Si les «vaccins» sont si désirables, pourquoi avez-vous eu recours à des techniques de propagande classiques (y compris des annonces fréquentes de fonctionnaires, des séances de photos d'athlètes, de politiciens et de stars de cinéma se faisant photographier, des messages sociaux sans interruption) pour encourager leur acceptation ? Pensez-vous que le citoyen moyen est trop enfantin pour donner un consentement éclairé ?

    Pourquoi menacez-vous l'utilisation de passeports vaccinaux et un monde inférieur légal de non-vaccinés pour forcer à se faire vacciner ? Pensez-vous que le citoyen moyen est trop enfantin pour donner un consentement éclairé ?

    Pensez-vous que les employeurs et les collèges qui imposent ces vaccins à votre demande est conforme aux éléments clés du Code de Nuremberg et à ses restrictions concernant la portée et les fondements moraux de l'expérimentation médicale ?

    Pourquoi les opinions divergentes d'autres scientifiques et / ou organisations de sécurité des vaccins ont-elles été accueillies par le silence et / ou la censure ?

    J'ai hâte de recevoir des réponses complètes à ma liste de questions. En attendant, je reconnais et respecte pleinement la décision de toute personne qui choisit de se masquer, de s'isoler de la société et de se faire vacciner. C'est votre droit et votre prérogative. Votre corps est votre choix. Je ne respecte ni ne reconnais votre capacité d'exiger que mes décisions individuelles en matière de santé soient soumises à vos diktats, ce que, dans l'ensemble, je trouve inhumain, inhumain et inconstitutionnel. Je cherche en vain une exception pandémique à la Déclaration des droits, qui a été adoptée avec un fléau dévastateur de la variole dans le rétroviseur des fondateurs. Obliger que je me conforme à vos diktats afin que nous puissions tous retrouver un mode de vie anormalement et inconstitutionnellement effacé me paraît moralement obtus.

    https://www.lewrockwell.com/2021/05/no_author/a-pandemic-of-fear/

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  31. Les personnes vaccinées excrétent et propagent une catastrophe génétique aux femmes non vaccinées ?


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    4 mai 2021


    BEAUCOUP de femmes publient des rapports sur des cycles menstruels perturbés et inhabituels, des saignements abondants et des fausses couches.

    De plus, certaines de ces femmes n’ont pas reçu le vaccin COVID, mais elles ont été en contact étroit avec d’autres qui ont été vaccinées, ce qui pose la question:

    Le vaccin COVID (qui est en fait un traitement génétique expérimental) peut-il «répandre» quelque chose de nocif qui peut être transmis d'une personne à l'autre?

    Cela semble peut-être impossible, mais dans le monde de la génétique, beaucoup de choses peuvent mal tourner.

    En fait, depuis 25 ans, nous avons une illustration de l'excrétion sous nos yeux: les cultures OGM.

    Si vous vous souvenez bien, Monsanto a assuré à tout un chacun que ces cultures - génétiquement modifiées pour survivre à l'herbicide Roundup pulvérisé - fleuriraient, tandis que les mauvaises herbes succomberaient au produit chimique.

    Alors que s'est-il réellement passé? Les mauvaises herbes étaient résistantes et sont devenues des super-géantes. Et les gènes de Monsanto ont dérivé d'une ferme à l'autre, contaminant des cultures qui n'avaient jamais été conçues pour être modifiées.

    Les gènes de Monsanto ont été «perdus» et ils se sont propagés.

    Cette propagation n'était pas seulement le résultat d'une pollinisation croisée évidente. Les bactéries présentes dans le sol et dans le système digestif humain ont également capté et incorporé les gènes de Monsanto.

    Pourquoi un vaccin COVID génétique ne pourrait-il pas «se répandre et se propager»?

    L'injection COVID contient un morceau d'ARN. Les nanoparticules d'ARN pénètrent dans les cellules humaines, forçant ces cellules à fabriquer une protéine similaire à une protéine du prétendu virus SARS-CoV-2. Le système immunitaire monte une attaque neutralisante contre cette protéine, «répétant» ainsi pour vaincre le virus s'il survient plus tard.

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  32. C’est l’hypothèse.

    Dans la pratique, qui sait combien de processus dangereux et nocifs différents peuvent être déclenchés dans le corps humain - plus la dérive de ces effets génétiques d'une personne à l'autre, qu'elle soit vaccinée ou non.

    Oui, je sais que les experts souligneront la différence entre l'insertion de gènes dans les cultures et leur insertion dans les humains. Ils diront que les cultures OGM sont censées conserver ces nouveaux gènes à long terme, mais l’injection de COVID n’a que des effets génétiques de courte durée.

    Soi-disant, c'est vrai. Soi-disant.

    L'univers de l'expérimentation génétique, cependant, regorge de problèmes, d'erreurs, de conséquences involontaires, ainsi que d'efforts pour fabriquer des armes qui attaquent la vie à des niveaux élémentaires.

    Prenons par exemple la technologie du forçage génétique, qui pose la question: quelles espèces devrions-nous faire disparaître aujourd'hui?

    Pourquoi Bill Gates et l'armée américaine sont-ils impliqués dans la transmission de cette technologie?

    Un scientifique du forçage génétique dit: «J'ai un plan. En manipulant les gènes, nous pouvons éteindre les rongeurs invasifs, sur une île où vivent des humains.

    Dans la fraction de seconde suivante, une vague de questions surgit.

    La question primordiale est la suivante: cela signifie-t-il que la manipulation génétique peut faire disparaître TOUTES les espèces ?

    Voici un passage de Gene Drive Files, un site vital avec une énorme quantité d'informations référencées sur le sujet:

    «Les lecteurs de gènes sont une application d’édition de gènes qui permet aux ingénieurs génétiques de conduire un seul caractère artificiel à travers une population entière en veillant à ce que tous les descendants d’un organisme portent ce caractère. Par exemple, des expériences récentes correspondent à des souris avec des forages génétiques «sans fille» qui se propageront à travers les populations de souris de sorte que seuls les chiots mâles naissent, garantissant que la population s'éteindra après quelques générations. "

    «Les promoteurs ont conçu les forages génétiques comme un outil révolutionnaire pour éradiquer les ravageurs ou les espèces envahissantes. Cependant, les Gene Drive Files révèlent que ces efforts de «conservation» sont principalement soutenus par des fonds militaires. »

    La technologie d'entraînement génétique pourrait être déployée pour éliminer les parasites végétaux, les mauvaises herbes, les cultures, les animaux nuisibles, les animaux et… les humains. Réfléchissez à cela avec votre café du matin.

    Il y a plusieurs années, certains pays membres de l'ONU envisageaient de recommander un moratoire sur l'utilisation du forçage génétique. Cependant, Bill Gates s'est présenté pour tenter d'écraser le moratoire.

    Les rapports Gene Drive Files: «Les documents reçus dans le cadre de demandes d'accès à l'information révèlent que la Fondation Bill et Melinda Gates a payé 1,6 million de dollars à une entreprise privée de relations publiques dans le domaine de l'agriculture et de la biotechnologie pour des activités sur Gene Drives. Cela comprenait la gestion d'une «coalition de plaidoyer» secrète qui semble avoir eu l'intention de fausser le seul processus d'experts des Nations Unies traitant des forages génétiques… »

    «Suite aux appels mondiaux lancés en décembre 2016 par les pays du Sud et plus de 170 organisations pour un moratoire des Nations Unies sur le forçage génétique, les courriels adressés aux défenseurs du forçage génétique reçus dans le cadre d'une demande d'accès à l'information par Prickly Research révèlent qu'une société privée d'affaires publiques 'Emerging Ag' a reçu des fonds de la Fondation Bill et Melinda Gates pour coordonner la «lutte contre les partisans du moratoire sur le drive génétique». »

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  33. Il y a plus dans les fichiers Gene Drive. Cela implique les militaires:

    «Une multitude de courriels (The Gene Drive Files) provenant de chercheurs américains de premier plan en matière de recherche de gènes révèlent que l'armée américaine prend les devants pour faire avancer le développement de la recherche de gènes.»

    «Les courriels obtenus grâce à une demande d'accès à l'information par Prickly Research, basée aux États-Unis, révèlent que la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) des États-Unis a donné environ 100 millions de dollars pour la recherche sur le forçage génétique, soit 35 millions de dollars de plus que précédemment, ce qui en fait probablement le plus bailleur de fonds de la recherche sur le forçage génétique sur la planète. Les courriels révèlent également que la DARPA finance ou coordonne avec presque tous les principaux acteurs travaillant sur le développement du forçage génétique ainsi qu'avec les principaux détenteurs de brevets sur la technologie d'édition de gènes CRISPR.

    «Ces fonds vont au-delà des États-Unis; La DARPA finance désormais directement des chercheurs australiens sur le forçage génétique (y compris des sommes versées à une agence gouvernementale australienne, le CSIRO) et des chercheurs britanniques. Les fichiers révèlent également un niveau extrêmement élevé d'intérêt et d'activité de la part d'autres sections de la communauté militaire et du renseignement américain.

    Comme je l'ai montré dans des articles précédents, les derniers et les meilleurs outils d'édition de gènes (par exemple, CRISPR), qui sont utilisés pour les forages génétiques, sont loin d'être précis, malgré les assurances officielles.

    Par exemple, Nature Communications, 31 mai 2017, «Les événements de ciblage CRISPR / Cas9 provoquent des délétions et des insertions complexes sur 17 sites du génome de la souris.» Ce sont des "suppressions et insertions" génétiques NON INTENTIONNELLES.

    Et qu'en est-il de cette étude ? Il a été publié dans Genome Biology le 14 juin 2017 et s'intitule «L'édition du génome médiée par CRISPR / Cas9 induit un saut d'exon par épissage alternatif ou suppression d'exon.» Un exon est «un segment d'une molécule d'ADN ou d'ARN contenant des informations codant pour une séquence protéique ou peptidique». Ainsi, vous pouvez voir que le saut ou la suppression d'exon est un très mauvais résultat.

    En d'autres termes, TOUTE modification génétique effectuée sur TOUTE espèce ouvre la porte à toutes sortes d'erreurs et de conséquences imprévues. La guerre génétique apocalyptique et la destruction mutuellement assurée sont le bord lointain de la folie… mais plus près là où des expériences plus limitées ont lieu, il n'y a pas non plus de zone de sécurité. La folie y règne également.

    Lisez ce que les adorateurs de l'expérimentation génétique ont jailli:

    «Je suis allé à Monsanto, et j'ai passé beaucoup de temps avec les scientifiques là-bas, et j’ai révisé mes perspectives, et je suis très enthousiaste à l'idée de parler au monde. Quand tu es amoureux, tu veux dire au monde. » (Bill Nye, le scientifique)

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  34. "Je sais que c’est un long chemin et les gens diraient que c’est" trop absurde "… mais je le fais avec l’espoir de faire un Mickey Mouse un jour." (Arikuni Uchimura, cité dans «Les bio-scientifiques japonais produisent une« souris chantante »», The Independent, 21 décembre 2010.)

    D'un autre côté, il y a ceci: «Le génie génétique est au croisement traditionnel ce que la bombe nucléaire était à l'épée.» (Andrew Kimbrell, directeur exécutif du Centre for Food Safety)

    Donc… nous avons un nouveau vaccin COVID, basé sur une technologie expérimentale qui fournit des instructions génétiques aux cellules du corps - des instructions pour créer une protéine qui autrement ne serait jamais créée.

    On nous dit que rien ne peut mal tourner.

    Nous avons de nombreux exemples de technologies génétiques qui tournent très mal.

    Les fermes qui étaient censées être protégées de la dérive génétique de Monsanto se sont transformées en fermes OGM Monsanto. Alors, pourquoi les personnes non vaccinées ne pourraient-elles pas se transformer en personnes vaccinées, par «excrétion et propagation», sans jamais recevoir l'injection de COVID ?

    Le problème, c'est que les fonctionnaires et les experts qui répondraient à cette question pour nous sont criblés de conflits d'intérêts; et ils prétendent savoir ce qu’ils ne savent pas; et ils ont peur de perdre leur emploi s’ils contredisent la ligne du parti; et ce sont des menteurs professionnels expérimentés.

    Ils ont réécrit la vieille fable, The Boy Who Cried Wolf. Ces professionnels ne crient JAMAIS au loup, quelles que soient les catastrophes qui se préparent.

    Nous ne pouvons donc jamais croire ce qu'ils disent.

    Examinons maintenant un document clé de Pfizer intitulé: «UNE PHASE 1/2/3, CONTRÔLÉE PAR PLACEBO, ALÉATOIRE, OBSERVER-BLIND, ÉTUDE DE RECHERCHE DE DOSE POUR ÉVALUER LA SÉCURITÉ, LA TOLÉRABILITÉ, L'IMMUNOGÉNICITÉ ET L'EFFICACITÉ DU VACCIN SARS-COV-2ARN LES CANDIDATS CONTRE LE COVID-19 CHEZ DES PERSONNES EN SANTÉ. »

    À la page 67, nous trouvons un avertissement concernant les effets indésirables potentiels du vaccin. Le terme abstrus «intervention d'étude» apparaît. Cela signifie sûrement «vaccination». Par «exposition environnementale», on entend le contact avec des éléments du vaccin autrement que par injection.

    Avertissement d'effet indésirable: «Une femme est enceinte alors qu'elle est exposée ou a été exposée à une intervention de l'étude en raison d'une exposition environnementale. Voici des exemples d'exposition environnementale pendant la grossesse: "

    «Une femme membre de la famille ou un professionnel de la santé déclare qu'elle est enceinte après avoir été exposée à l'intervention de l'étude par inhalation ou par contact avec la peau.»

    «Un membre masculin de la famille ou un professionnel de la santé qui a été exposé à l’intervention de l’étude par inhalation ou par contact avec la peau expose alors sa partenaire féminine avant ou à peu près au moment de la conception.»

    Ces avertissements du fabricant du vaccin Pfizer sont choquants. Ils impliquent que les femmes peuvent être blessées en respirant ou en contactant avec la peau le vaccin lorsqu'il se déplace d'une personne à l'autre. Ce qui serait «effusion».

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  35. Et qu'est-ce qui est transféré de personne à personne ? Que contient le vaccin ? Matériel génétique. ARN.

    - Il y a un Coda à toute cette affaire. Je l'écris parce que je ne crois pas qu'il faut sonner beaucoup de sonnettes d'alarme et laisser les gens avec rien d'autre que la peur.

    Par expérience personnelle et 83 ans de vie, je sais que les gens ont une capacité extraordinaire à survivre à la folie d'élite, quoi qu'il arrive.

    Notre foi, désir de liberté, force créatrice, résistance, indignation, refus immortel de céder; ceux-ci sont au cœur d'une histoire qui se déroule depuis des siècles et des millénaires.

    Cette histoire va au-delà des forces déployées contre nous. Indépendamment des machinations exercées sur l'humanité; indépendamment des affirmations selon lesquelles «il n'y a pas d'issue», nous trouvons des moyens.

    On nous dit: BIEN, PERSONNE NE PEUT RESTER EN SANTÉ FACE À CELA. «Cela» est la dernière expérience psychotique dans laquelle nous sommes les sujets non volontaires.

    Mais beaucoup de gens conservent leur force, à travers leurs ressources intérieures et leur foi dominante, et leur refus absolu de se faufiler.

    Croyez cela, ne le croyez pas; c'est vrai.

    La victimisation permanente n'est pas notre destin.

    Cela n'a jamais été, cela ne le sera jamais.

    Assis à la grande table, enfoncez tous vos jetons sur cette décision.

    Si vous le faites, vous êtes dans une communauté qui a des atouts qu'aucun technocrate ou société secrète ne peut commencer à concevoir.

    Ce n'est pas fini. Ce n’est jamais fini. Le temps est très long.

    Nous sommes le remède.

    C'est la guerre.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2021/05/jon-rappoport/vaccinated-people-shedding-and-spreading-genetic-disaster-to-unvaccinated-women/

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  36. La crise mondiale de la corona 2020-2021: destruction de la société civile, dépression économique artificielle, coup d'État mondial et «grande réinitialisation»


    Par le professeur Michel Chossudovsky
    Recherche mondiale
    4 mai 2021


    Ce livre électronique se compose d'une préface et de dix chapitres.

    Nous avons affaire à un processus extrêmement complexe.

    Au cours des douze derniers mois à partir de début janvier 2020, j'ai analysé presque quotidiennement la chronologie et l'évolution de la crise Covid. Dès le début en janvier 2020, les gens ont été amenés à croire et à accepter l'existence d'une épidémie dangereuse et en progression rapide.

    Je vous suggère de lire d'abord les faits saillants (ci-dessous), la préface et l'introduction avant de passer aux chapitres II à X.

    Vous pouvez également visionner la vidéo de recherche mondiale intitulée: The 2021 Worldwide Corona Crisis (publiée en février 2021), qui fournit un résumé de 25 minutes.

    Chacun des dix chapitres fournit des informations factuelles ainsi qu'une analyse sur les sujets suivants: Qu'est-ce que Covid-19, qu'est-ce que le SRAS-CoV-2, comment est-il identifié, comment est-il estimé? La chronologie et l'évolution historique de la crise Corona, les impacts économiques et financiers dévastateurs, l'enrichissement d'une minorité sociale de milliardaires, comment les politiques de verrouillage déclenchent le chômage et la pauvreté de masse dans le monde, les impacts dévastateurs sur la santé mentale.

    Le livre électronique comprend également l’analyse des médicaments curatifs et préventifs ainsi qu’un examen du vaccin à ARNm Covid-19 de Big Pharma, un médicament «non approuvé» et «expérimental» affectant le génome humain. (C'est une drogue dangereuse. Voir chapitre VIII)

    Les questions relatives à la dérogation aux droits humains fondamentaux, à la censure des médecins, à la liberté d'expression et au mouvement de protestation sont également analysées. Le dernier chapitre se concentre sur la crise de la dette mondiale en cours, la déstabilisation des gouvernements nationaux, les menaces à la démocratie, y compris la «gouvernance mondiale» et la proposition de «grande réinitialisation» du Forum économique mondial.

    Ce livre électronique est mis à disposition gratuitement dans le but d'atteindre des personnes dans le monde entier.

    Veuillez nous aider dans cette entreprise. Veuillez transmettre à la famille, aux amis et aux collègues, au sein de vos communautés respectives.

    Tous les articles de Global Research, y compris le livre électronique, peuvent être lus dans 51 langues en activant le menu déroulant «Traduire le site Web» sur la bannière supérieure de notre page d'accueil (version bureau). Veuillez transmettre à vos amis et collègues dans des pays étrangers (en pointant vers le plugin de traduction).

    Les lecteurs peuvent contacter le professeur Michel Chossudovsky à crgeditor@yahoo.com

    - voir clip sur site -

    Points forts

    Nous sommes au carrefour de l'une des crises les plus graves de l'histoire mondiale. Nous vivons l'histoire, mais notre compréhension de la séquence des événements depuis janvier 2020 est floue.

    Partout dans le monde, des gens ont été induits en erreur tant par leurs gouvernements que par les médias quant aux causes et aux conséquences dévastatrices de la «pandémie» Covid-19.

    La vérité tacite est que le nouveau coronavirus fournit un prétexte et une justification aux puissants intérêts financiers et aux politiciens corrompus pour précipiter le monde entier dans une spirale de chômage de masse, de faillite, d'extrême pauvreté et de désespoir.

    Plus de 7 milliards de personnes dans le monde sont directement ou indirectement touchées par la crise corona.

    L '«urgence» de santé publique COVID-19 sous les auspices de l'OMS a été présentée à l'opinion publique comme un moyen («solution») de contenir le «virus tueur».

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  37. Si le public avait été informé et rassuré que Covid est (selon la définition de l'OMS) «similaire à la grippe saisonnière», la campagne de peur serait tombée à plat. Le verrouillage et la fermeture de l'économie nationale auraient été catégoriquement rejetés.

    La première étape de cette crise (hors Chine) a été lancée par l'OMS le 30 janvier 2020 à un moment où il y avait 5 cas aux États-Unis, 3 au Canada, 4 en France, 4 en Allemagne.

    Ces chiffres justifient-ils la déclaration d'une urgence de santé publique mondiale ?

    - voir cadre sur site -

    La campagne de peur a été soutenue par des déclarations politiques et la désinformation des médias.

    Les gens ont peur. Ils sont encouragés à faire le test PCR, qui est défectueux. Un test PCR positif ne signifie pas que vous êtes infecté et / ou que vous pouvez transmettre le virus.

    Le test RT-PCR est connu pour produire un pourcentage élevé de faux positifs. De plus, il n'identifie pas le virus.

    Dès le départ en janvier 2020, il n'y avait aucune «base scientifique» pour justifier le lancement d'une urgence de santé publique mondiale.

    En février, la crise des covid s'est accompagnée d'un effondrement majeur des marchés financiers. Il existe des preuves de fraude financière.

    Et le 11 mars 2020: l'OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale à un moment où il y avait 44279 cas et 1440 décès hors de Chine sur une population de 6,4 milliards (Estimations des cas confirmés sur la base du test PCR).

    Immédiatement après l'annonce du 11 mars 2020 par l'OMS, des instructions de confinement et de verrouillage ont été transmises à 193 États membres des Nations Unies.

    Sans précédent dans l'histoire, appliqués presque simultanément dans un grand nombre de pays, des secteurs entiers de l'économie mondiale ont été déstabilisés. Les petites et moyennes entreprises ont été mises en faillite. Le chômage et la pauvreté sont endémiques.

    Les impacts sociaux de ces mesures ne sont pas seulement dévastateurs, ils se poursuivent dans le cadre de ce que l'on appelle «une deuxième vague». Il n'y a aucune preuve d'une «deuxième vague». Les estimations du RAP sont largement documentées.

    Les impacts sur la santé (mortalité, morbidité) résultant de la fermeture des économies nationales dépassent de loin ceux attribués à Covid-19.

    Des famines ont éclaté dans au moins 25 pays en développement selon des sources onusiennes.

    La santé mentale de millions de personnes dans le monde a été affectée par le verrouillage, la distanciation sociale, les pertes d'emplois, les faillites, la pauvreté de masse et le désespoir. La fréquence des suicides et des toxicomanies a augmenté dans le monde entier.

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  38. «V the Virus» serait responsable de la vague de faillites et de chômage. C'est un mensonge. Il n'y a pas de relation causale entre le virus (microscopique) du SRAS-2 et les variables économiques.

    Ce sont les puissants financiers et milliardaires qui sont à l’origine de ce projet qui a contribué à la déstabilisation (mondiale) de l’économie réelle. Et il y a de nombreuses preuves que la décision de fermer une économie nationale (entraînant la pauvreté et le chômage) aura inévitablement un impact sur les schémas de morbidité et de mortalité.

    Depuis début février 2020, les Super Rich ont encaissé des milliards de dollars.

    Il s’agit de la plus grande redistribution de la richesse mondiale de l’histoire mondiale, accompagnée d’un processus d’appauvrissement mondial.

    Préface

    La campagne de peur a servi d’instrument de désinformation.

    Les mensonges dans les médias ont soutenu l'image d'un virus tueur qui a initialement contribué à déstabiliser le commerce américano-chinois et à perturber les voyages aériens. Et puis, en février, «V- le virus» (qui est d'ailleurs similaire à la grippe saisonnière) a été tenu pour responsable du déclenchement de la crise financière la plus grave de l'histoire du monde.

    Et puis le 11 mars, un verrouillage a été imposé à 193 États membres des Nations Unies, conduisant à la «fermeture» des économies nationales dans le monde.

    À partir d'octobre, une «deuxième vague» a été annoncée. «La pandémie n'est pas terminée».

    La campagne de peur l'emporte. Et les gens sont maintenant amenés à croire que le vaccin corona parrainé par leurs gouvernements est la «solution». Et cette «normalité» sera rétablie une fois que toute la population de la planète aura été vaccinée.

    Le vaccin contre le SRAS-CoV-2

    Comment se fait-il qu'un vaccin contre le virus SRAS-CoV-2, qui dans des conditions normales prendrait des années à se développer, a été rapidement lancé début novembre 2020? Le vaccin à ARNm annoncé par Pfizer est basé sur une technologie expérimentale d'ARNm d'édition de gène qui a une incidence sur le génome humain.

    Les tests standards de laboratoire sur les animaux ont-ils été effectués sur des souris ou des furets?

    Ou est-ce que Pfizer «est allé directement aux« cobayes »humains? Les tests sur l'homme ont commencé fin juillet et début août. «Trois mois, c'est du jamais vu pour tester un nouveau vaccin. Plusieurs années, c'est la norme.

    Nos remerciements à Large et JIPÉM

    Cette caricature de Large + JIPÉM explique notre situation difficile:

    Souris n ° 1: «Allez-vous vous faire vacciner»,

    Souris n ° 2: Êtes-vous fou, ils n’ont pas terminé les tests sur les humains »

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  39. Et pourquoi avons-nous besoin d'un vaccin contre Covid-19 alors que l'OMS et le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont confirmé sans équivoque que Covid-19 est «similaire à la grippe saisonnière».

    Le plan de développement d'un vaccin est axé sur le profit. Il est soutenu par des gouvernements corrompus servant les intérêts de Big Pharma. Le gouvernement américain avait déjà commandé 100 millions de doses en juillet et l'UE va acheter 300 millions de doses. C’est beaucoup d’argent pour les grandes sociétés pharmaceutiques, des bénéfices généreux pour les politiciens corrompus, au détriment des contribuables.

    Dans les chapitres suivants, nous définissons le virus SARS-CoV-2 et le test controversé RT-PCR qui est utilisé pour «identifier le virus» ainsi que pour établir les «estimations» des soi-disant «cas positifs». (Chapitre III)

    Dans le chapitre II, nous examinons en détail la chronologie des événements depuis octobre 2019 menant au verrouillage historique du 11 mars 2020.

    Nous évaluons les vastes conséquences économiques et sociales de cette crise, y compris le processus d'appauvrissement mondial et de redistribution des richesses en faveur des milliardaires super riches (chapitres IV et V).

    Les effets dévastateurs des politiques de verrouillage sur la santé mentale sont examinés au chapitre VI.

    Le programme de vaccination de Big Pharma qui est actuellement imposé à des millions de personnes dans le monde est examiné au chapitre VIII.

    Le chapitre X se termine par une analyse de la «grande réinitialisation» proposée par le Forum économique mondial qui, si elle était adoptée, consisterait à abolir l’État providence et à imposer des mesures d’austérité massives à une population appauvrie.

    Ce livre électronique est préliminaire. Il y a un sentiment d'urgence. Les gouvernements du monde entier mentent aux gens du monde entier.

    Un mot sur la méthodologie: notre objectif est de réfuter le «Big Lie» par une analyse minutieuse consistant en:

    Un aperçu historique de la crise Covid, avec des données précises.
    Citations de documents officiels et de rapports examinés par des pairs. De nombreuses sources et références sont indiquées.
    Analyse scientifique et examen détaillé des données, estimations et définitions «officielles»,
    Analyse des impacts des «directives» de l'OMS et des politiques gouvernementales sur les variables économiques, sociales et de santé publique.
    Notre objectif est d'informer les gens du monde entier et de réfuter le récit officiel qui a été utilisé comme prétexte et justification pour déstabiliser le tissu économique et social de pays entiers.

    Cette crise touche l'humanité dans son ensemble: 7,8 milliards de personnes. Nous sommes solidaires de nos semblables dans le monde entier. La vérité est un instrument puissant.

    Je reste redevable à nos lecteurs, à nos auteurs et à l'équipe de recherche mondiale.

    Reprinted with permission from Global Research.

    https://www.lewrockwell.com/2021/05/no_author/the-2020-21-worldwide-corona-crisis-destroying-civil-society-engineered-economic-depression-global-coup-detat-and-the-great-reset/

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    Réponses
    1. Ces non-élus qui dirigent le monde...
      Notez bien qu'AUCUN candidat au poste suprême de 'chef d'Etat' (de monarchies, républiques ou empires) ne propose la Démocratie !!

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  40. Masquage forcé


    4 mai 2021


    Écrit à un ami:

    Comme beaucoup d'autres, je suis contre le masquage forcé. J'ai assisté à des rassemblements et contacté des législateurs. Je n'en ai jamais porté en dehors de mon travail, où j'ai peu (pas) de choix en la matière. Je suis enseignant dans une école publique.

    J'ai récemment écrit la lettre ci-dessous aux membres de mon conseil scolaire et au surintendant. J'ai sorti des noms de peur de révéler le quartier pour lequel je travaille. Je l'ai écrit en tant que parent avec un enfant qui fréquente le district. J'ai une belle fille qui est obligée de porter un masque. Je lui ai dit à plusieurs reprises qu'elle n'était pas obligée de le faire. Je l'emmènerai chez notre incroyable médecin local et j'obtiendrai une exemption. Cette offre aboutit toujours à ce qu'elle me supplie de ne pas le faire: elle est terrifiée à l'idée d'être ostracisée et ciblée. J'ai même proposé de la laisser «apprendre virtuellement», terme que j'utilise à la légère. Heureusement, nous approchons de la fin de l'année scolaire. Je voulais partager cette lettre avec vous à cause de neuf personnes à qui j'ai écrit, j'ai reçu une réponse. Une. Certains de vos lecteurs ont peut-être vécu des expériences similaires en essayant de faire entendre leur voix de la raison.

    Cher, (expurgé),

    Le 12 avril, les membres (expurgés) ont voté pour maintenir un mandat de masque qui exigeait que les élèves et les enseignants soient entièrement masqués en tout temps lorsque la distance de six pieds ne pouvait pas être maintenue. L'un des principaux facteurs de cette détermination semblait inclure les exigences des élèves et des enseignants non masqués de mettre en quarantaine lorsqu'une exposition possible au Covid-19 se produisait. Il a été précisé que l'enseignement virtuel pendant la quarantaine ne peut en aucun cas égaler la qualité de l'enseignement qui peut être dispensé dans un environnement d'apprentissage en face à face, un fait avec lequel je suis certain que presque tous les enseignants, élèves et parents seraient d'accord. Le 19 avril, cependant, le conseil s'est réuni de nouveau lors d'une réunion d'urgence où il a déclaré que les masques ne seraient plus nécessaires dans les environnements extérieurs tels que les événements sportifs. Cependant, les mesures de quarantaine n'avaient pas été réduites. Les étudiants, enseignants et entraîneurs démasqués exposés à Covid-19 dans un environnement extérieur seraient toujours menacés de mise en quarantaine. Cette décision a été prise en opposition nette avec les points de vue proposés lors de la réunion précédente: nous portons des masques pour ne pas avoir à mettre en quarantaine. Maintenant, avec l'adoption du SB590 (maintenant l'acte 1002), nous voyons une reconnaissance évidente du théâtre politique que le masquage forcé a toujours été. Une action récente des législateurs soutient clairement un désaccord avec le masquage forcé, tandis que l'inaction du gouverneur en ce qui concerne SB590 m'a semblé une déclaration silencieuse d'admission à son excès initial qui a commencé à l'été 2020. Maintenant, en raison de l'échec de l'adoption d'un clause d'urgence qui mettrait un terme immédiat à cet excès, le SB590 (maintenant la loi 1002) n'entrera en vigueur qu'en juillet, échouant ainsi à protéger nos enfants de la continuation du dépassement malgré une décision clairement formulée de notre conseil d'administration le 19 avril. La décision du 19 avril (7 jours après la réunion au cours de laquelle le conseil a voté pour maintenir toutes les exigences relatives aux masques) indiquait qu'avec toute modification de la loi de l'Arkansas, nos étudiants seraient autorisés à retirer leurs couvertures faciales insalubres, inesthétiques, inconfortables et inefficaces.

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  41. En tant que parent, cela me fait mal au cœur chaque jour de voir ma belle fille se couvrir le visage. Cela me met en colère de la voir haleter pour respirer et lutter contre les maux de tête et la fatigue oculaire alors qu'elle est obligée de respirer dans ses propres exhalaisons et de regarder le haut de son masque ridicule chaque jour. Cela me fait douter de l’intégrité morale de nos dirigeants alors que je la vois obligée de couvrir le visage de Dieu que nous, en tant que chrétiens, avons reçu pour instruction de montrer.

    Membres du conseil d'administration, il ne s'agit plus de la sécurité de nos étudiants et des membres du personnel. Covid-19, un virus dont je ne ferai pas de digression pour en discuter la validité, n'est pas un virus qui a un impact négatif sur la plupart des enfants. Les masques, cependant, contribuent directement aux problèmes d'apprentissage, aux difficultés dans les interactions sociales, à l'augmentation des maux de tête et de l'asthme, à l'anxiété et aux malaises généraux. Mesdames et messieurs, je ne vois qu'une poussée forcée pour faire preuve de souveraineté et d'autorité: les membres du conseil exigent la conformité des surintendants, qui à leur tour doivent exiger une conformité à contrecœur de la part des administrateurs, qui à leur tour doivent exiger la conformité des enseignants fatigués, qui à leur tour doivent exiger la conformité des administrateurs. marre des étudiants. En tant que parent, je suis furieux que mon enfant continue d'être traité de cette manière. C'est répréhensible, inquiétant et totalement inutile. Je demande, car ce n'est pas un secret que je vous ai déjà demandé: s'il vous plaît démasquer nos enfants. Je n'ai aucune idée fausse que ma voix solitaire incitera au changement, cependant, je ne peux pas m'asseoir dans l'acceptation silencieuse des mauvais traitements que subit mon enfant en étant obligée de se couvrir le nez et la bouche quotidiennement. Si un parent est préoccupé par la sécurité de ses propres enfants, il devrait exiger que ses propres enfants soient masqués. Ils ne doivent cependant pas imposer leurs propres craintes à tous les enfants du quartier. Ils ne devraient pas obliger nos enfants à s’étouffer. Ils ne devraient pas obliger nos adolescents trop longtemps à commettre des actes de rébellion immatures impliquant d'arriver à l'école en masse sans couvertures faciales. Ils ne devraient pas donner envie à nos enfants d'apprendre mais détester entrer dans un bâtiment scolaire.

    Un grand merci aux membres du conseil d'administration qui se sont exprimés et ont activement pris position pour ce qui est juste: la suppression de l'imposition des droits du 14e amendement à nos enfants. Il est dommage que nos enfants continuent d'être punis par les voix (étouffées) de ceux qui souhaitent voir nos enfants masqués dans les haillons inutiles de la folie.

    https://www.lewrockwell.com/2021/05/no_author/forced-masking/

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  42. Une question Vaxxing


    3 mai 2021
    Suzie Halewood


    Le Dr Frances Kelsey a reçu le Prix du Président pour la Fonction Civile Fédérale Distinguée du Président Kennedy en 1962, pour avoir réussi à empêcher l’approbation de la thalidomide aux États-Unis.

    En 1956, la société pharmaceutique allemande Chemie Grünenthal GmbH a autorisé un nouveau médicament expérimental conçu pour traiter le rhume, la grippe, les nausées et les nausées matinales. Connu sous le nom de Distaval au Royaume-Uni, Distillers Biochemicals Ltd a déclaré que le médicament pouvait «être administré en toute sécurité aux femmes enceintes et allaitantes sans effet indésirable sur la mère ou l’enfant» - une condition préalable de base pour l’homologation d’un médicament.

    Alors que quarante-neuf pays ont autorisé le médicament sous plusieurs noms différents, la directrice de la FDA, la Dre Frances Kelsey, médecin-pharmacologue très intéressée par le développement du fœtus, a refusé l'autorisation d'utilisation sur le marché américain en raison de ses préoccupations concernant le manque de preuves concernant l'innocuité du médicament.

    Le médicament était également connu sous le nom de thalidomide.

    Soixante-cinq ans plus tard et les mesures de sécurité strictes mises en place pour éviter un autre scandale de l'ampleur de la thalidomide ont été balayées afin d'accélérer l'approbation des vaccins expérimentaux à ARNm. Ceci en dépit des inquiétudes exprimées par (entre autres) le Dr Wolfgang Wodarg et le Dr Michael Yeadon qui ont adressé une pétition à l'Agence médicale européenne (EMA) avec un sursis administratif / réglementaire concernant l'étude BioNtech / Pfizer sur BNT162b - pas seulement en en ce qui concerne les préoccupations concernant les femmes enceintes, le fœtus et l'infertilité - mais aussi en ce qui concerne l'effet des vaccins à ARNm sur ceux qui ont une immunité antérieure, pour qui la vaccination pourrait entraîner une réponse hyperinflammatoire, une tempête de cytokines et une dérégulation générale du système immunitaire système qui permet au virus de causer plus de dommages à leurs poumons et à d'autres organes de leur corps.

    Aucune recherche antérieure sur le traitement d'une maladie ou d'une maladie avec des vaccins à ARN messager ou ARNm n'a été couronnée de succès et c'est la première fois que des vaccins à ARNm sont utilisés sur des humains.

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  43. Les préoccupations de Yeadon, Wodarg et d’autres semblent être confirmées par les données de l’application King’s College Zoe qui enregistre les effets indésirables des vaccins à ARNm. Prises à partir d'un pool de 700 000, les données révèlent que 12,2% des personnes vaccinées avec le vaccin Pfizer ont subi des événements indésirables ou des effets secondaires, un nombre qui a triplé à 35,7% pour ceux qui avaient une immunité antérieure. Les événements indésirables du jab Oxford / AstraZeneca étaient déjà élevés à 31,9%, mais ont augmenté à 52,7% pour les personnes immunisées.

    Ellie Barnes, professeur d'hépatologie et d'immunologie à l'Université d'Oxford et membre du UK Coronavirus Immunology Consortium a évoqué la découverte - que lorsque vous avez eu une infection au COVID-19, vos cellules T deviennent activées et deviennent des cellules T mémoire - comme ' émergeant «comme si c'était quelque chose de révélateur. Pourtant, les dangers de la sur-vaccination ont été signalés à plusieurs reprises et bien avant le déploiement des vaccins.

    Ça s'empire.

    Malgré des recherches supplémentaires de l'hôpital Mount Sinai de New York et de l'Université du Maryland qui ont indiqué que ceux qui avaient déjà développé Covid-19 étaient effectivement déjà immunisés et n'auraient pas besoin d'une deuxième dose (sans doute ils n'avaient pas besoin de la première dose si ils avaient déjà une immunité), Eleanor Riley, professeur de maladies infectieuses à l'Université d'Édimbourg, a déclaré que 'l'incorporer dans un programme de vaccination de masse peut être complexe sur le plan logistique' , ajoutant 'il peut être plus sûr dans l'ensemble de s'assurer que tout le monde reçoit deux doses'.

    Peut-être plus sûr? De nombreux membres du groupe d'étude avaient déjà eu un événement indésirable à partir de la première dose, alors comment pourrait-il être «plus sûr» quand il a été démontré que les deuxièmes doses augmentent l'adversité d'un événement.

    Et en quoi est-il complexe sur le plan logistique d'avertir ceux qui ont déjà vécu un événement indésirable? Les données médicales des 700 000 patients ont déjà été enregistrées dans le système Zoe App, sinon l'application Zoe ne serait pas en mesure de différencier ceux avec ou sans immunité préalable. Par conséquent, ceux qui ont déjà été immunisés contre le Covid-19 - ou ceux pour qui un événement indésirable indiquerait peut-être une immunité antérieure - peuvent être informés qu'il n'est pas nécessaire de prendre une deuxième dose.

    De plus, pourquoi diable ne sont-ils pas testés pour l’immunité préalable avant de se faire vacciner, compte tenu des préoccupations liées à la sur-vaccination?

    Des données alarmantes émergent également du programme de la carte jaune.

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  44. Mis en place à la suite du scandale de la thalidomide, il permet aux médecins et aux patients d'enregistrer les événements médicaux indésirables liés aux médicaments et aux vaccins circulant sur le marché britannique. Jusqu'au 29 avril 2021 inclus, la MHRA via Yellow Card Reporting a reçu 149082 réactions suspectes du vaccin COVID-19 mRNA Pfizer / BioNTech (à partir du 9 décembre) et 573650 réactions suspectées de COVID-19 Oxford University / AstraZeneca (à partir de janvier 4 et plus).

    Au 29/4/21, le nombre de morts des deux vaccins s'élève à 1045. Avec 685 de ces décès dus au vaccin AstraZeneca depuis le 4 janvier, cela équivaut à 5,9 décès par jour pour AstraZeneca seul. Les décès dus au COVID-19 le lundi 26 avril étaient de 6. Et les données ne couvrent pas tous les vaccinés. Seulement 3 à 5 cartes pour 1000 doses (0,3 à 0,6 %) administrées ont été déposées (10% ont signalé des effets secondaires au cours des essais), ce qui peut indiquer que de nombreuses personnes ignorent l'existence du programme de carte jaune et que, par conséquent, les événements indésirables sont être sous-déclaré.

    L'adoption actuelle du vaccin à ARNm suggère que beaucoup pensent que les vaccins empêcheront la transmission et que l'efficacité du vaccin de 90 à 95 % rapportée par la BBC équivaut à une chance élevée de prévention. Ces chiffres sont tirés du rapport de la FDA sur l’efficacité du vaccin à ARNm Pfizer, qui lui-même fait référence au potentiel de réduction de la charge virale - c’est-à-dire au COVID-19 symptomatique - et non à la transmission. Cela ne signifie pas que 95 % des personnes vaccinées sont protégées contre la contraction du virus, ce que The Lancet appelle «une idée fausse».

    Même l'allégation de 90 à 95 % de réduction de la charge virale est remise en question par un rapport du BMJ (et d'autres), qui estime que l'efficacité du vaccin à ARNm dans la réduction des symptômes du COVID-19 se situe plus dans la fourchette de 19 à 29 % - moins de l'efficacité de 35 % de la dexaméthasone utilisée par le NHS.

    Cela semble être étayé par des rapports supplémentaires de Shahriar Zehtabchi, MD, qui explique pourquoi les cas de COVID-19 «suspectés mais non confirmés» ne peuvent pas préciser quels patients de l'étude avaient la maladie dans n'importe quel groupe.

    Il serait donc difficile de voir comment l’efficacité du vaccin pourrait être déterminée si les vaccins n’avaient pas été préalablement testés pour l’immunité ou si ceux qui participaient à des essais étaient seulement «soupçonnés» d’avoir eu la maladie, sans avoir subi de test pour la confirmer. Les vaccins à ARNm sont également principalement destinés aux personnes présentant un risque élevé de complications du COVID-19 qui - à en juger par les statistiques de l'ONS - est une minorité.

    Selon les chiffres de l'ONS, le nombre de personnes de moins de soixante-cinq ans sans problèmes de santé sous-jacents graves qui sont décédés «en raison» de Covid-19 en 2020 était de 1549. Pour le groupe d'âge en bonne santé de 30 ans (c'est-à-dire ceux qui n'ont pas de problèmes de santé sous-jacents graves), prendre le vaccin expérimental à l'ARNm serait l'équivalent statistique de 164125 personnes sautant d'une falaise à l'approche d'un ours affamé. L’ours ne veut qu’un seul repas et il aura le coureur le plus lent. Si vous êtes en forme, vous avez peu ou pas de chance que l'ours vous attrape. Sauter de la falaise peut cependant entraîner des blessures ou la mort. C'est un saut dans l'inconnu. Tout comme les vaccins à ARNm.

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  45. Pourtant, il y a encore ceux qui croient avoir besoin d'une vaccination pour voyager. Non. La Grèce, Chypre, le Portugal, la France, l'Autriche et Israël sont les premiers à annoncer qu'ils accepteront une preuve d'anticorps et / ou un test COVID-19 négatif pour visiter. En outre, les vaccinés devront également présenter la preuve d'un test COVID-19 négatif, probablement parce qu'il y a encore des doutes de la part de ces pays et d'autres quant aux niveaux d'efficacité des vaccins en ce qui concerne la transmission. Même British Airways n'exige pas de preuve de vaccination. La compagnie aérienne n'a pas tardé à proposer un test Covid en ligne subventionné de 33 £ pour ceux qui prévoyaient de voyager. Après les pertes financières du verrouillage, la plupart des compagnies aériennes et des pays suivront sans aucun doute. La demande est ce qui alimente le marché.

    Aucun de ces éléments ne ralentira le déploiement maniaque du gouvernement britannique de la campagne de vaccination vers la prochaine tranche cible de cobayes âgée de 40 à 49 ans. La majorité de ces 40-49 ans a-t-elle besoin du vaccin ARNm ? Pas selon les données de l'OMS et de l'ONS. Pour une personne de 40 à 49 ans en bonne santé, les chances de mourir du COVID-19 sont de 1 sur 46 242. Ce prochain groupe cible sera-t-il rebuté par le fait que tant de médecins et de professionnels de la santé refusent de se faire vacciner? Ils devraient être.

    Il a fallu cinq ans après l'autorisation initiale de la thalidomide avant que quiconque se rende compte que la thalidomide a franchi la barrière placentaire et causé de graves malformations congénitales, une découverte entravée par le fait que le médicament avait été commercialisé sous plusieurs noms différents dans 49 pays. Il a fallu encore cinq ans pour monter une contestation judiciaire. Personne n'a été reconnu coupable. Ce n'est qu'au milieu des années soixante-dix, à la suite d'une féroce croisade morale du regretté grand journaliste d'investigation et rédacteur en chef Harold Evans (qui qualifiait le journalisme d'investigation `` d'attaquer le diable ''), que les familles de ces enfants décédés ou nés avec un membre, les problèmes oculaires et cardiaques reçoivent une compensation proportionnelle. Cinquante ans plus tard, Chemie Grünenthal GmbH a présenté ses excuses. Evans pensait que le scandale de la thalidomide était une leçon sur la façon dont un gouvernement peut trahir son devoir. Ils le font toujours.

    Le directeur général de la MHRA, le Dr June Raine, a été «ravi» d’approuver le vaccin AstraZeneca pour une utilisation sur les citoyens du Royaume-Uni. "Aucune pierre n'est laissée de côté en ce qui concerne nos évaluations", a-t-elle déclaré. Qu'il y avait eu «une évaluation solide et approfondie de toutes les données disponibles» et que son personnel avait «travaillé sans relâche pour veiller à ce que nous continuions à mettre des vaccins sûrs à la disposition des citoyens à travers le Royaume-Uni».

    Je doute que le Dr Frances Kelsey verrait les choses de cette façon. Ou Harold Evans.

    https://off-guardian.org/2021/05/03/a-vaxxing-question/

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  46. Un médecin très cité du COVID arrive à une conclusion étonnante: le gouvernement ne «nettoie pas un nombre sans précédent» de décès liés aux injections


    3544 décès et 12619 blessures graves signalés entre le 14 décembre 2020 et le 23 avril 2021

    L'un des médecins les plus éminents au monde avec une expertise dans le traitement du COVID-19 a officiellement réprimandé l'approche du gouvernement américain pour lutter contre le virus. Il dit que la stratégie du gouvernement, mise en œuvre en coopération avec la Fondation Bill et Melinda Gates et l'Organisation mondiale de la santé des Nations Unies, a entraîné des dizaines de milliers de décès inutiles et est maintenant suivie de milliers de décès supplémentaires causés par une injection de masse. programme.

    Le Dr Peter McCullough, dans une interview de 32 minutes avec le journaliste Alex Newman, a déclaré que s'il s'agissait d'un autre vaccin, il aurait été retiré du marché pour des raisons de sécurité.

    McCullough a l'honneur d'être le médecin le plus cité sur les traitements COVID-19 à la National Library of Medicine, avec plus de 600 citations. Il a témoigné devant le Congrès et a remporté de nombreux prix au cours de sa brillante carrière médicale.

    Entre le 14 décembre et le 23 avril, 3 544 décès ont été signalés au système de notification des événements indésirables liés aux vaccins du CDC [VAERS], ainsi que 12 619 blessures graves.

    On pourrait s'attendre à ce que ces chiffres déclenchent une enquête exhaustive de la Food and Drug Administration des États-Unis. Mais le contraire s'est produit. Selon McCullough, le gouvernement a jeté un coup d'œil sur les chiffres alarmants et les a écartés avec un strict minimum d'examen.

    "Un nouveau médicament typique à environ cinq morts, des morts inexpliquées, nous recevons un avertissement de boîte noire, vos auditeurs le verraient à la télévision, disant qu'il peut causer la mort", a déclaré McCullough. «Et puis, à environ 50 morts, il a été retiré du marché.»

    Les États-Unis ont un précédent à cet égard. En 1976, lors de la pandémie de grippe porcine, les États-Unis ont tenté de vacciner 55 millions d'Américains, mais à ce moment-là, le coup de feu a causé environ 500 cas de paralysie et 25 décès.

    «Le programme a été tué, à 25 morts», a déclaré McCullough.

    Comparez ce type de réponse à la réaction du gouvernement à un nombre beaucoup plus élevé de décès rapportés liés aux tirs de Moderna et de Pfizer et le contraste est alarmant, a déclaré McCullough, en particulier lorsque les tirs n'ont même pas reçu l'approbation complète de la FDA et ne sont autorisés que sur le commercialisé sous une autorisation d'utilisation d'urgence.

    «Aux États-Unis aujourd'hui [à la fin du mois de mars], nous avons environ 77 millions de personnes vaccinées contre le COVID et nous avons 2 602 décès signalés, donc le nombre de décès est sans précédent», a-t-il déclaré.

    "Puis, le 8 mars, les CDC ont annoncé sur leur site Web avec très peu de fanfare, qu'ils avaient examiné environ 1 600 décès avec des médecins de la FDA non nommés et ils ont indiqué qu'aucun décès n'était lié au vaccin", a-t-il ajouté. «Je pense que c'était préoccupant dans la communauté universitaire.»

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  47. McCullough a déclaré qu'il savait par expérience de première main qu'une enquête approfondie sur 1600 décès potentiellement liés au vaccin aurait pris des mois.

    «J'ai présidé et participé à des dizaines de comités de surveillance de la sécurité des données et siégé à ces comités et je peux vous dire que ce type de travail aurait pris plusieurs mois pour examiner tous les laboratoires, les certificats de décès et toutes les circonstances d'un événement. Il est impossible pour les médecins réglementaires anonymes sans aucune expérience du COVID 19 de dire qu'aucun des décès n'était lié au vaccin. »

    Des études antérieures, dont une de l'Université de Harvard, estiment que seulement 1 à 10 pour cent de tous les décès liés aux vaccins sont signalés au VAERS. Donc, selon toute vraisemblance, il y a plus de gens qui meurent qu'on ne le rapporte même, mais la FDA ne peut pas proposer un seul décès lié aux injections de Moderna et de Pfizer.

    «Pour signaler un décès, un travailleur de la santé doit l'introduire dans le système», a-t-il déclaré. Et si le décès ne survient pas dans la période de surveillance normale de 15 minutes, ils ne sont souvent pas signalés. La plupart des décès surviennent dans les 72 heures suivant le tir. «Ils s'entassent le premier, le deuxième et le troisième jour», a-t-il dit.

    À titre de comparaison: 20 à 30 décès sont signalés chaque année au VAERS en raison du vaccin antigrippal. C’est avec 195 millions de personnes qui ont été vaccinées contre la grippe. Comparez cela au vaccin COVID, qui a entraîné 2 602 décès signalés à travers 77 millions de vaccinations.

    C'est un ratio incroyablement élevé de décès par rapport aux vaccinations, le plus élevé de tous les vaccins de l'histoire des États-Unis, et pourtant aucun grand média n'a lancé d'enquête. Des journalistes et chercheurs indépendants tels qu'Alex Newman, Robert F. Kennedy Jr. et Leo Hohmann ont été impitoyablement censurés.

    «Le gouvernement américain a donc pris une décision, avec les parties prenantes - CDC, NIH, FDA, Big Pharma, Organisation mondiale de la santé, Fondation Gates - ils se sont engagés à la vaccination de masse comme solution à la pandémie COVID et nous sommes sera vraiment témoin de ce qui va se passer dans l'histoire. Nous sommes actuellement confrontés au plus grand nombre de décès dus à la vaccination, il y a eu des dizaines de milliers d'hospitalisations, toutes attribuables au vaccin, et qui se développent. "

    McCullough a témoigné devant le Sénat américain le 19 novembre 2020.

    «J'ai estimé à ce moment-là que nous aurions pu sauver la moitié des vies perdues», a-t-il déclaré à Newman. «Selon les estimations actuelles, près de 85% de toutes les vies perdues auraient pu être sauvées grâce à ce qu'on appelle la polychimiothérapie orale séquencée.»

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  48. Mais au lieu de cela, le gouvernement et ses «parties prenantes» de Big Pharma ont choisi de se concentrer sur les vaccins. Dans le même temps, des agences de presse ont été recrutées pour ne présenter qu'une seule facette de l'histoire du vaccin.

    Les grands médias ont accepté de ne permettre à aucune nouvelle critique des coups de feu d'atteindre le peuple américain. Cette collusion corrompue relève de la Trusted News Initiative, une collaboration mondiale signée par les géants des médias sociaux de la Big Tech et nombre de ses «partenaires» corrompus des médias d'entreprise.

    Les partenaires qui ont adhéré à la Trusted News Initiative à ce jour sont: Associated Press, AFP; BBC, CBC / Radio-Canada, Union européenne de radiodiffusion (UER), Facebook, Financial Times, First Draft, Google / YouTube, The Hindu, Microsoft, Reuters, Reuters Institute for the Study of Journalism, Twitter, The Washington Post. Le New York Times a également participé dans le passé.

    Rapporter des faits liés au côté obscur des vaccins expérimentaux à ARNm est considéré comme une «désinformation dangereuse» par les élites médiatiques mondialistes derrière la Trusted News Initiative.

    Le Dr McCullough décrit «un blanchiment à la chaux aux proportions historiques»

    «Je pense donc que c’était effectivement un nettoyage, comme nous l’avons vu ailleurs. Il y a une Trusted News Initiative, qui est très importante pour les Américains à comprendre, cela a été annoncé le 10 décembre, et il s'agit d'une coalition de tous les principaux médias et parties prenantes du gouvernement dans le domaine de la vaccination, où ils n'autoriseront aucune information négative sur vaccins pour entrer dans les médias populaires parce qu'ils sont préoccupés par l'hésitation à la vaccination, que si les Américains obtenaient une couverture juste et équilibrée sur les événements liés à la sécurité, ils ne se présenteraient tout simplement pas et n'obtiendraient pas le vaccin.

    "La Trusted News Initiative est vraiment gênante", a-t-il poursuivi, "parce que nous enregistrons maintenant un nombre record de décès, ils continuent de se produire chaque jour."

    Confirmant un rapport de LeoHohmann.com du début du mois, McCullough a déclaré que le vaccin Johnson & Johnson, bien qu'il ait des problèmes de caillots sanguins, est en fait le plus sûr des trois vaccins actuellement proposés aux Américains.

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  49. «À mon avis professionnel, le vaccin le plus sûr sur le marché était le vaccin J&J. Et cela a été retiré pour de très rares événements de coagulation sanguine. Nous avons fait vacciner sept millions de personnes, mais les estimations concernent les deux autres vaccins disponibles, les taux de coagulation sanguine sont probablement 30 fois plus élevés que ceux de J&J, et ces autres vont bon train.

    McCullough a suggéré qu'il existe une relation incestueuse entre le gouvernement américain et certains éléments au sein de Big Pharma, ce qui pousse les régulateurs à détourner le regard lorsqu'ils sont confrontés à des problèmes de sécurité.

    «De nombreux Américains ne comprennent pas à quel point ces parties prenantes sont serrées. Gardez à l'esprit que les NIH [National Institutes of Health] sont copropriétaires du brevet Moderna, ils ont donc un intérêt financier direct à maintenir ces vaccins », a-t-il déclaré.

    Plus de 15 mois après le début du cauchemar COVID, les preuves commencent à suggérer que le gouvernement américain s'est entendu dès le départ avec la Fondation Gates, le CDC, la FDA, l'Organisation mondiale de la santé des Nations Unies et Big Pharma pour faire des vaccins le centre d'intérêt du monde. Effort de réponse COVID. Ils ont commencé à promouvoir les vaccins avant même qu'ils ne soient sortis des essais cliniques, a déclaré McCullough, ce qui est contraire à la loi réglementaire américaine.

    Plus de rapports sur le nombre élevé de décès

    LeoHohmann.com a reçu des rapports qui confirment l'avertissement du Dr McCullough selon lequel les événements nocifs causés par le vaccin sont couverts par l'establishment médical, le gouvernement, les géants des médias traditionnels et des médias sociaux Google, Facebook et Twitter.

    Un médecin exerçant dans la région de Kansas City a déclaré à LeoHohmann.com que sur un échantillon récent de 500 personnes de patients en maison de retraite ayant reçu l'injection de COVID, 22 sont décédés dans les 48 heures. Cela représente un taux de mortalité étonnant de 4,4%. La plupart des habitants des maisons de soins infirmiers de la région de Kansas City reçoivent le vaccin Pfizer, a-t-il déclaré.

    "Je ne peux pas prouver qu'ils sont tous morts du vaccin, tout ce que je peux prouver, c'est que cela s'est produit dans les 48 heures", a déclaré le médecin à LeoHohmann.com.

    «Les exigences sont qu'elles ne doivent être surveillées que pendant 15 minutes. Nous n'allons donc jamais connaître les vrais chiffres », a-t-il déclaré. «Si cela se produit en dehors de cette fenêtre de 15 minutes, il sera impossible de le prouver… Si la FDA approuve cela, alors que Dieu nous aide.»

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  50. Le médecin de Kansas City a demandé que son nom ne soit pas révélé par crainte de perdre sa licence médicale.

    Un médecin canadien, le Dr Charles Hoffe, a récemment rompu son silence et s'est rendu public au mépris d'un ordre de bâillon, dénonçant comment «Moderna a tué des patients handicapés par des balles».

    McCollough a déclaré que le gouvernement ne s'était jamais concentré sur le traitement des patients malades, choisissant plutôt de se concentrer sur la stratégie recommandée par l'OMS de distanciation sociale, de verrouillage, de masquage et de vaccins. Si la stratégie s'était plutôt concentrée sur un régime comprenant un traitement multi-médicamenteux des symptômes d'apparition précoce, des dizaines de milliers de vies auraient pu être sauvées, a-t-il déclaré.

    Dans un article de décembre 2020, A Guide for Home-Based COVID-19 treatment: Step by step doctor's plan that could save your life, McCullough prescrit une stratégie à quatre volets qui comprend le contrôle de la contagion, le traitement précoce à domicile, le traitement de stade avancé et enfin vaccination.

    «J'ai parlé des quatre piliers, le premier étant le contrôle de la contagion [porter des masques et des verrouillages]. Nous avons passé beaucoup de temps là-dessus. Mais vraiment le pilier manquant, si nous avions passé notre temps à nous concentrer sur les patients malades, aurait eu la plus grande valeur pour la santé publique.

    «Mais ce qui s'est passé aux États-Unis, c'est que nous avons élaboré un plan de match… que nous allions promouvoir l'importance de la distanciation sociale dans le cadre du contrôle de la contagion et que la population attendait simplement un vaccin. Il n'y a eu aucune mise à jour sur le traitement, ni en ambulatoire, ni en hospitalisation. Nous n’entendons rien sur les patients malades. Tout ce que nous avons entendu, c'était de masquer, de verrouiller et d'attendre un vaccin. »

    https://leohohmann.com/2021/04/30/highly-cited-covid-doctor-comes-to-stunning-conclusion-govt-scrubbing-unprecedented-numbers-of-injection-related-deaths/

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  51. Le CDC recommande officiellement COVID Jab pour les femmes enceintes


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    4 mai 2021


    Les centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies au-delà des conflits ont de nouveau frappé: les femmes enceintes sont maintenant invitées à obtenir le vaccin de manipulation du gène COVID-19, sur la base des résultats préliminaires.

    Les données de surveillance post-commercialisation, publiées dans le New England Journal of Medicine 1, n'ont trouvé «aucun signal de sécurité évident» parmi les 35 691 femmes enceintes qui ont reçu les injections de Moderna ou de Pfizer entre le 14 décembre 2020 et le 28 février 2021. âgés de 16 à 54 ans. La directrice du CDC, le Dr Rochelle Walensky, a publié une déclaration disant: 2

    «Aucun problème de sécurité n'a été observé pour les personnes vaccinées au cours du troisième trimestre ni de problème de sécurité pour leurs bébés. En tant que tel, le CDC recommande aux femmes enceintes de recevoir des vaccins contre le COVID-19. »

    Peut-on faire confiance aux données autodéclarées?

    Il y a plus d'une raison de se méfier de cet éclairage vert pour les femmes enceintes. Tout d'abord, comme le note Jeremy Hammond dans un récent Tweet: 3

    «Ce n'était PAS un essai randomisé contrôlé par placebo. Il n'y a pas de données d'essais cliniques montrant qu'il est sans danger pour les femmes enceintes de se faire vacciner contre le COVID-19. La surveillance post-commercialisation n'est PAS un substitut suffisant à des études de sécurité appropriées. »

    Les auteurs eux-mêmes déclarent que les données sur les «vaccins» ARNm pendant la grossesse sont limitées et que sans suivi longitudinal d'un grand nombre de femmes, il n'est pas possible de déterminer «l'issue de la grossesse, de la maternité et du nourrisson» 4.

    Deuxièmement, toutes les données de surveillance post-commercialisation sont préliminaires, il semble donc incroyablement imprudent de faire une recommandation générale pour toutes les femmes enceintes à ce stade précoce. Troisièmement, ces données sont uniquement basées sur l'auto-déclaration volontaire à l'une des deux sources suivantes:

    Le programme Vaccine Safe (V-Safe) After Vaccination Health Checker5, un registre de sécurité des vaccins mis en place spécifiquement pour la surveillance des effets secondaires du «vaccin» COVID-19
    Le système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS)
    En utilisant l'auto-déclaration volontaire, nous n'avons aucun moyen de savoir combien d'effets secondaires n'ont pas été signalés et nous ne pouvons pas confirmer que les données présentent une image exacte. Historiquement, nous savons que la notification volontaire des effets secondaires des vaccins va de moins de 1% 6,7 à un maximum de 10% 8, il est donc probable que nous n’ayons pas toute l’histoire.

    Un indice selon lequel une énorme quantité de données concernant les résultats de la grossesse est négligée ou cachée peut être discerné par le fait que le document n'a examiné que 11% du nombre total de grossesses signalées à V-Safe. Bien qu'ils déclarent que 35 691 femmes enceintes au total ont été incluses dans l'analyse, ils n'en ont en fait examiné que 3 958. Voici comment l'article se lit: 9

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  52. «Un total de 35 691 participantes v-safe âgées de 16 à 54 ans identifiées comme enceintes… Parmi 3 958 participantes inscrites au registre des grossesses v-safe, 827 avaient une grossesse terminée, dont 115 (13,9%) ont entraîné une fausse couche et 712 (86,1%) ont donné lieu à une naissance vivante (principalement parmi les participants ayant été vaccinés au troisième trimestre). »

    S'il y avait 35 691 participantes enceintes à V-Safe, pourquoi ne regardent-elles que 11% d'entre elles?

    Expérimentation du pire genre

    Donner aux femmes enceintes des thérapies géniques COVID-19 sans licence est une médecine expérimentale répréhensible et irresponsable, et suggérer que les données de sécurité «s'accumulent» est de la pure propagande. Tout est encore au stade expérimental et toutes les données sont préliminaires. Il faudra des années pour avoir une image plus claire de la façon dont ces injections affectent les jeunes femmes et leurs bébés.

    La grossesse est une période pendant laquelle l'expérimentation est extrêmement dangereuse, car vous ne faites pas seulement face à des répercussions potentielles pour la mère, mais aussi pour l'enfant. Un certain nombre de choses peuvent mal tourner lorsque vous introduisez des médicaments, des produits chimiques ou des substances étrangères pendant le développement du fœtus.

    Le CDC n'a absolument aucun moyen d'évaluer la sécurité des femmes enceintes et des bébés pour le moment, donc le faire est répréhensible au-delà des mots, à mon avis - surtout en voyant comment les femmes en âge de procréer n'ont pratiquement aucun risque de mourir du COVID-19, leur le risque de mortalité n'est que de 0,01% .10

    Comparez cela aux avantages potentiels du vaccin. Vous pouvez toujours contracter le virus si vous êtes immunisé et vous pouvez toujours le transmettre à d'autres.11,12,13,14. Tout ce qu'il est conçu pour faire est d'atténuer vos symptômes si ou quand vous êtes infecté. Les femmes enceintes n'ont tout simplement pas besoin de ce vaccin et, par conséquent, tout risque est probablement excessif. Je ne doute pas que nous finirons par un deuxième procès de Nuremberg à ce sujet à un moment donné dans l’avenir.

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  53. Ces taux de fausses couches sont-ils «normaux»?

    Revenant à l'étude NEJM, les auteurs rapportent les résultats suivants, basés sur les données collectées auprès de VAERS et de V-Safe: 15

    «Parmi 3 958 participantes inscrites au registre des grossesses v-safe, 827 ont eu une grossesse terminée, dont 115 (13,9%) ont entraîné une fausse couche et 712 (86,1%) ont abouti à une naissance vivante (principalement parmi les participantes vaccinées dans le troisième trimestre). Les issues néonatales défavorables comprenaient la prématurité (dans 9,4%) et la petite taille pour l'âge gestationnel (dans 3,2%); aucun décès néonatal n'a été signalé.

    Bien qu'elles ne soient pas directement comparables, les proportions calculées de grossesses défavorables et d'issues néonatales chez les personnes vaccinées contre le COVID-19 qui avaient une grossesse terminée étaient similaires aux incidences rapportées dans les études portant sur des femmes enceintes menées avant la pandémie du COVID-19.

    Parmi les 221 événements indésirables liés à la grossesse rapportés au VAERS, l'événement le plus fréquemment rapporté était l'avortement spontané (46 cas). »

    Ainsi, dans VAERS, le taux de fausses couches était de 20,8% (46 sur 221 rapports), et dans V-Safe (en regardant seulement 11% des participantes enceintes), le taux de fausses couches était de 13,9% (115 sur 827). Encore une fois, ces données ont été déclarées entre le 14 décembre 2020 et le 28 février 2021.

    Le taux combiné de fausses couches et de naissances prématurées, selon V-Safe, était de 23,3% (13,9% + 9,4%). Au 1er avril 2021, 379 rapports VAERS16 avaient été déposés par des femmes enceintes, dont 110 impliquaient une fausse couche ou une naissance prématurée, ce qui nous donne un taux actualisé de 29%. En d'autres termes, il semble que le taux de fausses couches et de naissances prématurées augmente à mesure que de plus en plus de rapports arrivent.

    Selon les auteurs du rapport du NEJM, ces ratios sont comparables au taux de fausses couches normalement observé chez les femmes non vaccinées, tout en admettant que les données ne sont «pas directement comparables».

    Je trouve cela douteux, vu comment les sources17 examinant les données statistiques soulignent que le risque de fausse couche passe d'un taux de risque moyen global de 21,3% pour la durée de la grossesse dans son ensemble à seulement 5% entre les semaines 6 et 7, tous les jusqu'à 1% entre les semaines 14 et 20.

    Et, si l'étude NEJM18 rapporte que 92,3% des avortements spontanés sont survenus avant 13 semaines de gestation, elle précise que l'on en sait très peu sur les effets des injections administrées aux femmes pendant la période de periconception et les premier et deuxième trimestres, car "des appels de suivi limités avaient été effectués au moment de cette analyse."

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  54. Maintenant, si le taux de fausses couches est normalement de 5% et diminue après la semaine 6, alors des taux de fausses couches de 13,9%, 20,87% ou 29% avant la semaine 13 sont clairement excessifs. Quant au taux de prématurité, 9,4% semblent relativement «normaux» sur la base des données historiques, qui en 2019 oscillaient entre 7,28% et 18,8% selon les régions, avec une moyenne juste autour de 10% .19

    Le temps nous dira si ce pourcentage restera dans les normes lorsque les résultats des femmes enceintes seront saisis dans les bases de données. Si les taux de naissances prématurées dépassent la norme, cela constitue également un problème de santé publique important, car l'impact des naissances prématurées sur la société est énorme, s'élevant en moyenne à 26,2 milliards de dollars par an, en l'état.20

    Un expert en toxicologie appelle à la fin de l'expérience d'ARNm

    La vidéo présentée en haut de cet article est l'enregistrement d'un commentaire public de Janci Chunn Lindsay, Ph.D., directeur de la toxicologie et de la biologie moléculaire pour Toxicology Support Services LLC, remis au Comité consultatif du CDC sur les pratiques d'immunisation (ACIP) , 23 avril 2021.

    L’expertise de Lindsay est l’analyse des doses-réponses pharmacologiques, de la biologie mécaniste et de la dynamique complexe de la toxicité. Dans son commentaire, Lindsay décrit comment elle a aidé au développement d'un vaccin qui a provoqué une destruction auto-immune involontaire et la stérilité chez les animaux qui, malgré une pré-analyse minutieuse, n'avait pas été prédit.

    Elle appelle à l'arrêt immédiat des vaccins à ARNm et ADN COVID-19 en raison de problèmes de sécurité sur plusieurs fronts. Elle note qu'il y a une inquiétude crédible quant à leur réaction croisée avec la syncytine (une protéine de l'enveloppe rétrovirale) et les gènes reproducteurs dans les spermatozoïdes, les ovules et le placenta de manière à «altérer la fertilité et les résultats de la reproduction».

    J’ai abordé ce sujet dans des articles précédents, notamment «Comment le COVID-19 change l’avenir des vaccins» et «Pfizer Bullies Nations doit offrir des garanties en cas de poursuites judiciaires». Aucune étude n'a réfuté cette hypothèse, note Lindsey.

    Une autre théorie sur la façon dont ces injections pourraient altérer la fertilité peut être trouvée dans une étude de 2006, 21 qui a montré que les spermatozoïdes peuvent absorber de l'ARNm étranger, le convertir en ADN et le libérer sous forme de petits granules (plasmides) dans le milieu autour de l'ovule fécondé. L'embryon absorbe ensuite ces plasmides et les transporte (les soutient et les clone dans de nombreuses cellules filles) tout au long de sa vie, les transmettant même aux générations futures.

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  55. Il est possible que les pseudo-exosomes qui sont les contenus en ARNm soient parfaits pour fournir au sperme l'ARNm de la protéine de pointe. Ainsi, potentiellement, une femme vaccinée qui tombe enceinte d'un embryon capable (via les plasmides des spermatozoïdes) synthétiser la protéine de pointe selon les instructions du vaccin, aurait une capacité immunitaire d'attaquer cet embryon à cause de la protéine «étrangère» il s'affiche sur ses cellules. Cela provoquerait alors une fausse couche.

    «Nous pourrions potentiellement stériliser une génération entière», prévient Lindsey. Le fait qu'il y ait eu des naissances vivantes après la vaccination COVID-19 ne prouve pas que ces injections n'ont pas d'effet sur la reproduction, dit-elle.

    Lindsay souligne également que les rapports d'irrégularités menstruelles et d'hémorragies vaginales chez les femmes qui ont reçu le nombre d'injections se comptent par milliers, 22,23,24 et cela laisse également entendre des effets sur la reproduction.

    Je suis d'accord avec sa conclusion que nous ne pouvons tout simplement pas injecter ces technologies expérimentales aux enfants et aux femmes en âge de procréer tant que des études plus rigoureuses n'auront pas été effectuées et que nous n'aurons pas une meilleure compréhension de leurs mécanismes.

    Troubles rares de la coagulation sanguine signalés

    Lindsay souligne également qu'il y a eu des centaines de rapports de troubles rares de la coagulation sanguine après tous les «vaccins» COVID-19 chez des personnes sans facteurs de risque sous-jacents, y compris la thrombocytopénie immunitaire25,26,27,28 (ITP), une maladie auto-immune rare qui cause votre système immunitaire pour détruire vos plaquettes (cellules qui aident à coaguler le sang), entraînant une hémorragie. Des caillots sanguins graves se produisent également en même temps.

    Ici, elle souligne l'évidence: le COVID-19 s'est avéré causer des troubles de la coagulation sanguine en raison de la protéine de pointe unique du virus. Les «vaccins» COVID-19 demandent à votre corps de fabriquer cette protéine très épineuse. Pourquoi supposerait-on que cette protéine de pointe ne peut pas avoir des effets similaires lorsqu'elle est produite par vos propres cellules?

    Une hypothèse qui a été présentée est que des anticorps antagonistes des plaquettes se forment contre l'antigène de pointe.29 Une autre nouvelle hypothèse30 est que les nanoparticules lipidiques, qui transportent l'ARNm, peuvent transporter cet ARNm dans les mégacaryocytes de votre moelle osseuse.

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  56. Les mégacaryocytes sont des cellules qui produisent des plaquettes. Selon cette hypothèse, une fois que l'ARNm pénètre dans votre moelle osseuse, les mégacaryocytes commenceraient alors à exprimer la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, qui les marquerait pour la destruction par les lymphocytes T cytotoxiques. Au fur et à mesure que vos plaquettes sont détruites, la thrombocytopénie s'installe.

    Évitez cette pratique risquée de partage du lait

    Les femmes qui ont reçu le vaccin COVID-19 font également ce que je crois être une énorme erreur en partageant du lait maternel dans un effort malavisé pour vacciner les bébés de mères non vaccinées. Tel que rapporté par le New York Times: 31

    «Plusieurs études32,33 montrent qu’il y a des anticorps dans le lait maternel vacciné. Cela a conduit certaines femmes à essayer de recommencer l’allaitement et d’autres à partager le lait avec les enfants d’amies. »

    Encore une fois, il n’existe guère de données sur ce que ces thérapies géniques pourraient faire aux nourrissons, raison pour laquelle il ne faut pas expérimenter. Jusqu'à présent, un seul cas suspect34 d'un nourrisson en train de mourir a été attribué à l'allaitement. Un nourrisson de 5 mois est décédé avec un diagnostic de purpura de thrombocytopénie thrombotique quelques jours après que sa mère a reçu sa deuxième dose du vaccin Pfizer.35,36

    Mais si les vérificateurs de faits rejettent catégoriquement l’idée que l’enfant aurait pu développer une thrombocytopénie à partir du lait maternel contaminé par de l’ARNm37, il est important de se rendre compte qu’ils n’ont aucune preuve pour cela. C’est une pure opinion.

    À l'heure actuelle, tout ce que nous pouvons dire avec confiance, c'est que les effets nocifs à court terme des vaccins COVID-19 sont signalés à un rythme effarant et que les effets à long terme sont complètement inconnus.
    À l'heure actuelle, nous n'avons aucune idée de comment ni pourquoi le nourrisson a développé ce trouble sanguin rare, mais il serait prématuré et irresponsable de dire que les enfants qui allaitent ne peuvent pas être affectés et qu'il n'y a aucun risque du tout. En plus de ce cas mortel, il y a au moins 20 autres cas où des enfants ont eu une réaction indésirable au lait maternel d'une mère vaccinée.38

    À l'heure actuelle, tout ce que nous pouvons dire avec confiance, c'est que les effets nocifs à court terme des vaccins COVID-19 sont signalés à un rythme effarant et que les effets à long terme sont complètement inconnus.

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  57. En plus des effets plus immédiats déjà discutés, il existe des mécanismes par lesquels les «vaccins» COVID-19 peuvent en fait aggraver la maladie lors d'une exposition au virus sauvage, comme détaillé dans «Comment le vaccin COVID-19 peut détruire votre système immunitaire», «Will Les personnes vaccinées sont-elles plus vulnérables aux variantes? » et plusieurs autres articles.

    Comme indiqué dans un article du 4 février 2021, New England Journal of Medicine39 faisant état de l'innocuité et de l'efficacité du vaccin ARNm-1273 développé par Moderna, «La vaccination à l'ARNm-1273 entraîne-t-elle une augmentation de la maladie lors de l'exposition au virus à long terme? est inconnu. »

    Sources and References

    1, 4, 9, 15, 18 NEJM April 21, 2021 DOI: 10.1056/NEJMoa2104983
    2 CNBC April 23, 2021
    3 Twitter Jeremy Hammond April 23, 2021
    5 CDC V-Safe
    6 AHRQ December 7, 2007
    7 The Vaccine Reaction January 9, 2020
    8 BMJ 2005;330:433
    10 Annals of Internal Medicine September 2, 2020 DOI: 10.7326/M20-5352
    11 Harvard Health March 25, 2021
    12 CDC April 2, 2021
    13 NBC Chicago April 8, 2021
    14 The Defender April 6, 2021
    16 The Defender April 9, 2021
    17 Medical News Today January 12, 2020
    19 CDC.gov Preterm births by state 2019
    20 March of Dimes, the Impact of Premature Birth on Society
    21 Molecular Reproduction and Development 73(10):1239-46
    22 MSN April 10, 2021
    23 UK Gov Yellow Card Report Unspecified Brand March 28, 2021 (PDF)
    24 Life Site News April 19, 2021
    25 Hopkins Medicine ITP
    26, 29 The Defender April 13, 2021
    27 The Defender February 9, 2021
    28 New York Times February 8, 2021, Updated February 10, 2021 (Archived)
    30 Medium March 19, 2021
    31 New York Times April 8, 2021 (Archived)
    32 Fox 4 April 7, 2021
    33 Healio April 19, 2021
    34, 35 Twitter Alex Berenson April 23, 2021
    36 Twitter VAERS detail
    37 USA Today April 9, 2021
    38 Medalerts.org 4/16/2021 VAERS data
    39 NEJM 2021; 384:403-416
    40 The Defender January 25, 2021

    https://www.lewrockwell.com/2021/05/joseph-mercola/cdc-officially-recommends-covid-jab-for-pregnant-women/

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  58. Covid-21 : préparation des esprits


    Covidemence
    sam., 01 mai 2021 14:39 UTC


    Die Welt (le Monde) est l'un des 3 plus grands quoditiens allemands. Le 29 avril, le journal publie un article consacré au passeport sanitaire, en cours de création à Bruxelles (les députés européens ayant voté pour, la Commission mettant le turbo sur ce sujet). (Lien)

    Ce qui est fascinant est l'illustration créée à l'occasion :

    - voir photo sur site -

    Cette infographie a été créée par Die Welt. Et on voit clairement "Covid-21" en dessous de "Covid-19" pour la vaccination.

    La presse allemande (caisse de résonnance de l'establishment) serait-elle devenue odieusement complotiste ?

    On hésite toujours entre l'ingénuité fabuleuse, le foutage de gueule incandescent ou la Psy-Op pour le conditionnement du cheptel...

    Un peu de tout cela à mon avis...

    En tout cas... le programme se déroule comme prévu...

    https://fr.sott.net/article/37150-Covid-21-preparation-des-esprits

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  59. Covid et obésité : on en parle ?


    Marie Delarue
    bvoltaire.fr
    lun., 03 mai 2021 19:42 UTC


    On n'est plus obèse, aujourd'hui, mais « en situation d'obésité ». La périphrase est moins lourde à porter que le mot, sans doute. Il ne faut pas stigmatiser, pas ajouter la douleur morale à la douleur physique.

    Dans l'air du temps, le surpoids et l'obésité semblent devenus des maladies qui s'attrapent. Pas contagieuses, pourtant, quoique... Cela touche, aujourd'hui, des familles entières.

    Il aura ainsi fallu que le gouvernement décide d'ouvrir la vaccination aux personnes « en situation d'obésité » de 18 à 49 ans pour qu'on se décide enfin à énoncer cette vérité que certains, jusqu'ici, susurraient à peine : quand ils ne sont pas très âgés, les morts du Covid-19 sont très majoritairement obèses.

    Alors, on l'a entendu et lu ce week-end, entouré de toutes les précautions d'usage pour ne pas froisser ces populations en souffrance : les autorités, dont
    « la Haute Autorité de santé (HAS) dans son avis du 16 avril 2020, font figurer les personnes en situation d'obésité (dès IMC égal ou supérieur à 30 kg/m2) parmi les populations particulièrement vulnérables à la Covid-19 ».
    Aborder enfin cette question pour ce qu'elle « est primordiale pour la gestion de l'épidémie », disent tous ces pompeux organismes. Il convient dont d'« alerter sans stigmatiser » et une fiche a été éditée à destination des soignants afin
    « d'accompagner les professionnels de santé dans leur prise en charge des personnes en situation d'obésité compte tenu de leur fragilité spécifique. »
    Il aura donc fallu quinze mois pour « cracher le morceau », si je puis dire, à savoir que la prévalence des personnes obèses dans les services de réanimation est un casse-tête pour les hôpitaux, obligés d'adapter leur matériel.

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  60. Des soignants de l'hôpital Saint-Antoine, à Paris, témoignent ainsi, pour France Info, via notamment une infirmière :
    « On s'est retrouvés avec des patients qu'on ne pouvait pas lever. Même à plusieurs soignants, ça devenait trop dangereux. »
    Alors, elle s'initie au maniement du nouveau lève-malade qui peut lever jusqu'à 320 kilos. Un outil indispensable pour cette femme « confrontée désormais à des patients qui pèsent jusqu'à 180 kg ». L'hôpital a donc investi 50 000 euros dans ce lève-malade et un « fauteuil bariatrique très large » pour des personnes qui ne peuvent tenir dans un fauteuil normal. Elle précise :
    « Il s'agit de fauteuil vraiment adapté, en plus il roule. Il permet vraiment d'améliorer la capacité pulmonaire parce que vous allez forcément améliorer vos échanges gazeux en étant assis qu'en étant alité ou assis au lit. »
    D'autant que la situation physique de ces personnes ne permet pas de les retourner sur le ventre comme on le fait pour les autres malades Covid en réanimation.

    La vérité de cette pandémie surgit ainsi au fil des commentaires sur France Info :
    « Les hôpitaux s'adaptent depuis un an à recevoir des malades obèses, mais il reste encore de nombreux aménagements à réaliser, notamment dans l'imagerie. »
    Il faut créer des tubes d'IRM et des tables de scanners spéciaux car ils ne peuvent, pour l'instant, « avaler » ni supporter des patients de 160 kg.

    Et alors ? Et alors rien. On ne dit rien parce qu'il ne faut pas stigmatiser. On ne dit pas que cette pandémie est le résultat de notre mode de vie ; celui de la sédentarité, de la malbouffe, de la pollution, des milliers d'heures passées vautré devant des écrans, des ravages du sucre et des perturbateurs endocriniens.

    Va-t-on enfin dire aux gens qu'ils sont responsables de leur santé ? Que la façon dont certains se nourrissent et nourrissent leurs enfants est criminelle ? Bien que les causes médicales ne dépassent pas 1 % des cas, l'obésité infantile touche, aujourd'hui, 42 millions d'enfants dans le monde, avec une prévision à 70 millions en 2025. En France, 17 % des enfants âgés de 6 à 17 ans sont en surpoids, dont 4 % d'obèses, et ce sont les données de 2016 !

    Alors, on continue comme ça ?

    https://fr.sott.net/article/37157-Covid-et-obesite-on-en-parle

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  61. Nouvelle étape de la covidémie : les vaccins pour enfants, futurs cobayes


    Marie-France de Meuron
    Le blog de Bien-être-soi
    lun., 03 mai 2021 17:34 UTC


    Quelle conscience des enfants avons-nous actuellement ? Après les avoir muselés, confinés, privés d'école, de vie sociale et sportive, on veut encore configurer leurs corps selon les concepts de l'opinion unique du jour.

    Alors que les êtres humains se construisent corps - âme - esprit dans la pluralité si généreuse de l'existence, le système politico-scientifico-économique veut imposer un mode de procéder qui va jusqu'à s'incruster dans les corps. De la sorte, on cherche à contraindre les enfants en pleine formation dans différentes dimensions et on prévoit de les astreindre à une thérapie génique.

    On veut gérer un problème de santé publique - la covidémie - par une stratégie se limitant à certains avis scientifiques qui relèvent par définition de la science alors que les pathologies relèvent de la médecine qui est une conjonction entre la science et l'art.

    Que devient l'art médical quand on voit sur quels critères se basent les décisions gouvernementales, ce qui ne peut surprendre qu'en partie puisque les dirigeants sont issus des hautes écoles de sciences économiques (Macron, Berset) ou de physique (Merkel) ? Par conséquent, ils se basent sur des chiffres pour prendre leurs décisions. Et encore, sur les données faciles à répertorier pour en faire des statistiques. En revanche, comme il est bien plus difficile de codifier l'état de santé mentale de la population, il faut qu'il y ait des chiffres de suicides pour commencer à réfléchir. Même en médecine, on trouve un clivage énorme entre les praticiens au chevet des malades et les professeurs et experts qui se limitent à leurs domaines pointus et s'affirment de docte façon.

    Cette focalisation mathématique s'éloigne d'autant plus de l'énergie vitale qui est en pleine expansion chez les jeunes. « La souffrance des jeunes est une réalité! » Le bilan après une année en est révélateur :
    Depuis le confinement, des enfants de 11 ans se rendent chez le thérapeute en disant vouloir mourir. *Les hôpitaux pédo-psychiatriques explosent... Or , les enfants ne sont pas une population avec envie de suicide car leur instinct de survie est très développé. Donc s'ils commencent à se suicider, c'est qu'il y a un problème très grave ds la société dans laquelle ils vivent. »
    Cet auteur vit en France mais en Suisse, nous avons aussi des témoignages poignants :

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  62. Les services psychiatriques sont inquiets de la recrudescence des prises en charge des adolescents. L'éloignement des copains et le huis-clos familial y sont pour beaucoup.

    L'être humain se nourrit aussi de l'air qu'il respire. L'enfant qui bouge selon sa nature en aura par conséquent d'autant plus besoin. Or les directives venant de personnes qui ne courent pas avec les enfants, ou ne s'activent pas sur dans des entreprises, ne tiennent pas compte de l'impact de la respiration sur la santé globale. »
    Le médecin prévient que les « pneumonies bactériennes sont en augmentation » à cause du port du masque« . Bien des avocats sont sensibles à la souffrance des parents qui voient leurs enfants s'amoindrir : Malaises, dépression... Le masque à l'école devant la justice.
    Des réalisateurs de vidéo nous donnent la possibilité de nous instruire sérieusement, au lieu de nous inciter à des gestes compulsifs comme d'autres, et offrent des entrevues à des connaisseurs qui ont une vision globale pour nous expliquer à quel point Covid-19 : Les masques et les « gestes barrières » sont inutiles (Prof. Denis Rancourt)

    Un autre Professeur en médecine, laryngologue, est bien placé pour voir les lésions possibles suite au port du masques. Il fait référence surtout aux enseignants mais on peut bien percevoir l'impact aussi sur les cordes vocales en voie de développement chez les enfants qui aiment s'exprimer voire crier.

    A un niveau plus ontologique, les mesures dites sanitaires, imposées avec coercition, façonnent le psychisme des enfants, les « programment » à penser selon les croyances qu'on leur inculque à force de répétition. Un philosophe illustre cet impact : Un couvre-visage plus symbolique que sanitaire. : « Le masque permet d'entretenir un état anxiogène de peur, justifiant des mesures liberticides que plusieurs jugent disproportionnées ».

    J'ai tenu à décrire l'ambiance des différentes situations dans lesquelles se trouve plongée la jeunesse dont la première mission est de se développer pour devenir des adultes responsables de leurs existences. Il paraît clairement aberrant de vouloir encore imposer à leurs corps en formation une épreuve supplémentaire de taille, en violant de plus la frontière naturelle du corps - la peau - par l'injection d'un produit aux ingrédients dont on ne connaît pas grand-chose de leurs propriétés biodégradables. En outre, les essais ne sont de loin pas terminés chez les adultes et on peut se demander ce que devient la science en se contractant pareillement en relation avec les industries pharmaceutiques pour une telle fuite en avant : Covid-19 : Moderna annonce des essais de son vaccin sur des milliers d'enfants,6750 enfants de 6 mois à 11 ans participent à cet essai clinique aux États-Unis et au Canada. Cet essai, pour lequel les premières doses ont commencé à être injectées, permettra d'étudier « la sûreté, la tolérance, la réactogénicité (production d'effets indésirables, ndlr), et l'efficacité » du vaccin, a déclaré l'entreprise dans un communiqué. Quelle conscience ont les adultes, parents ou soignants pour laisser exécuter de pareils « essais » sur des êtres qui nécessitent une existence la plus confortable possible pour un heureux développement ?

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  63. Ainsi, les enfants ne sont plus des individualité ouvertes à la joie de vivre mais des outils de la politique : Pousser à la vaccination en faisant miroiter la libération.

    Ils sont aussi utilisés comme des objets humains pour la recherche. Ils ne sont même plus des sujets humains dans la mesure où on ne requiert pas leurs consentements éclairés. Il est affligeant qu'on n'attende pas la fin des essais sur les adultes, d'autant plus que la pandémie évolue beaucoup, ce que démontrent les variants.

    Dans les expérimentations cliniques, il y a un autre élément à porter à la connaissance des humains encore candides, l'usage d'ersatz de placebo comme le rapporte un médecin au sujet d'un essai vaccinal contre le paludisme :
    « Mais il y a encore pire : dans l'étude préliminaire rapportée par Le Figaro et Nature, le groupe témoin (des bébés de 5 à 17 mois) ne recevait pas un placebo mais un autre vaccin, celui contre la rage [4 injections sur une année] dont les effets indésirables dans cette catégorie d'âge sont inconnus. »
    Que devient la déontologie médicale? Des médecins se regroupent et étudient très scrupuleusement les différentes éléments qui nourrissent et animent l'être humain. Ils mettent en évidence de façon limpide : La vaccination des enfants : la ligne rouge à ne pas franchir.
    « Il est d'autant plus grave qu'à l'inverse d'un effet secondaire à long terme chez une personne âgée qui disparaîtra avec elle ; chez des enfants il risque de continuer 80 ans et de se perpétuer dans les générations futures. »
    Ils avancent aussi le principe du bien-fondé d'un tel acte qui, à la base, devrait être d'abord médical:

    Avec toujours la même question : va t-on vacciner pour une maladie moins grave que la grippe et qui ne touche quasiment pas les enfants avec un vaccin qui n'empêche pas les transmissions ?

    Même des revues très doxa comme le JIM disent :
    « Bénéfice minime pour l'enfant et sans doute nul pour la santé publique. Au vu de ces données, l'auteur pose la question de l'éthique et de la balance bénéfice-risque. Le bénéfice pour l'enfant est minime : il est sans doute absent en termes de santé publique, alors que les effets indésirables à moyen et long terme des vaccins sont encore imprécis pour les enfants ».
    D'un pays où la vaccination est très avancée, nous recevons des témoignages de leurs expériences très concrètes : En Israël la situation est explosive. En Israël, le gouvernement cherche désespérément à vacciner les enfants. L'IPC souligne qu'une telle démarche peut être désastreuse.
    « À la lumière de l'étendue et de la gravité des effets secondaires, nous souhaitons exprimer la position du comité selon laquelle la vaccination des enfants peut également entraîner chez eux des effets secondaires, tels qu'observés chez les adultes, y compris la mort d'enfants en parfaite santé. Comme le coronavirus ne présente aucun danger pour les enfants, le comité estime que l'intention du gouvernement israélien de vacciner les enfants met en danger leur vie, leur santé et leur développement futur. »
    En outre, l'immunité des enfants se disloque au fur et à mesure que la situation ambiantale perdure, avec le stress multifactoriel et la sédentarité forcée.

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  64. Un médecin riche de son bagage tant scientifique que pratique nous offre un panorama très élargi pour être vigilant, avoir confiance sans être aveugle et pouvoir se situer dans un compromis le plus proche possible de ce que nous nous sentons être. Son ouvrage : Les vaccins à l'ère de la Covid-19, pour une pratique vaccinale fondée sur des faits et non plus sur la peur. Chacun doit pouvoir se saisir de ces questions cruciales et exercer son esprit critique pour prendre des décisions médicales éclairées.

    Les vaccins et les vaccinations sont les résultantes d'un vaste espace de réflexions, d'observations, de recherches en laboratoire et de mises au point. Par conséquent, il est judicieux de tenter d'en percevoir le maximum d'éléments possibles. Nous en sommes loin avec ce nouveau produit relevant de la thérapie génique. Ce n'est pas à nos enfants d'en faire les frais. Ne quittons pas le chemin direct qui tend à les amener vers leur épanouissement. Sortons de ce labyrinthe covidémique pour suivre le fil d'Ariane qui mène vers une vision globale de la santé et la joie de vivre.

    https://fr.sott.net/article/37154-Nouvelle-etape-de-la-covidemie-les-vaccins-pour-enfants-futurs-cobayes

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  65. Voici la nouvelle attestation de déplacement qui entre en vigueur à partir du 3 mai


    lun., 03 mai 2021 17:32 UTC


    Alors que la France s'apprête à entrer dans la première phase du déconfinement, accompagnée de la fin des attestations en journée, le ministère de l'Intérieur publie ce dimanche une nouvelle version d'attestation de déplacement. Pour le moment, celle-ci reste toujours obligatoire pour les déplacements entre 19 et 6 heures.

    Bien que l'heure ait sonné pour les attestations de déplacement de journée, le document s'impose toujours pour ceux dans le cadre du couvre-feu. Ainsi, malgré la levée de restrictions sur les déplacements au-delà de 10 kilomètres de chez soi qui entre en vigueur ce lundi 3 mai, les personnes devant sortir entre 19 et six heures sont obligées de remplir une attestation dérogatoire de déplacement. Là voici.

    - voir sur site -

    Le document est téléchargeable depuis le site du ministère de l'Intérieur sous plusieurs formats.

    Des amendes jusqu'à 3.750 euros

    Sur son site, le gouvernement rappelle par ailleurs que le non-respect du couvre-feu entraîne, dans le cadre d'une première sanction, une amende de 135 euros, majorée à 375 euros en cas de non-paiement ou de non-contestation dans le délai indiqué sur l'avis de contravention. En cas de récidive, une amende de 200 euros, majorée à 450 euros, est prévue. Finalement, le montant de la sanction atteindra 3.750 euros si l'infraction a lieu pour la troisième fois en 30 jours. La double récidive est également passible de six mois d'emprisonnement.


    Commentaire : C'est gentil.


    Quatre étapes du déconfinement

    Dans une interview accordée à la presse régionale, Emmanuel Macron a présenté le 29 avril le plan du déconfinement progressif du pays en quatre étapes. La première qui débute le 3 mai met fin aux attestations de journée et aux restrictions de déplacement. La deuxième, prévue pour le 19 mai, sera accompagnée du report du couvre-feu à 21 heures ainsi que de la réouverture des commerces, terrasses, musées, salles de cinéma et théâtres avec des jauges limitées.


    Commentaire : Si on est gentil.


    À partir du 9 juin, ce sont les cafés et restaurants en intérieur ainsi que les salles de sport qui pourront finalement rouvrir leurs portes. Et ce n'est que le 30 juin que les Français pourront se déplacer sans aucune restriction, l'étape finale du déconfinement sera la fin du couvre-feu.

    La stratégie de la réouverture présentée par le chef d'État pourrait pourtant être modifiée en fonction de l'évolution de l'épidémie.


    Commentaire : Vous y croyez, vous ?


    https://fr.sott.net/article/37159-Voici-la-nouvelle-attestation-de-deplacement-qui-entre-en-vigueur-a-partir-du-3-mai

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  66. Me Di Vizio : cette crise serait-elle un « laboratoire de restriction des libertés » ?


    E&R
    dim., 02 mai 2021 14:31 UTC


    Maître Fabrice Di Vizio dans ce bulletin du 2 mai 2021, revient sur trois sujets importants liés à la crise sanitaire. Tout d'abord, qu'en est-il de la qualification de « mise en danger de la vie d'autrui » brandie par les pro-masques et les pro-confinements ? Ensuite, comment expliquer que les étudiants de BTS échappent miraculeusement à la contamination ? Enfin quelles sont les implications du cabinet McKinsey dans la gestion de la crise ?

    On est dans du n'importe quoi, d'un coté comme de l'autre, et il n'y a que quelques abrutis pour venir croire que tout ceci a encore un fondement sanitaire. Il n'y a que quelques flippés pour venir croire que finalement le but de ce gouvernement serait de protéger les populations au travers de solutions scientifiques admises, sanitairement validées. Non, c'est tout à fait autre chose, c'est au minimum du n'importe quoi et de l'amateurisme, au pire, mais je n'ose m'engager dans cette voie, une volonté très claire de soumettre les populations et de faire de cette crise un laboratoire parfait de restriction des libertés individuelles.

    00:00​ Intro
    02:13​ La mise en danger de la vie d'autrui
    11:58​ Les BTS et les examens en présentiel
    23:38​ Le cabinet Mc Kinsey

    - voir clip sur site :

    https://fr.sott.net/article/37149-Me-Di-Vizio-cette-crise-serait-elle-un-laboratoire-de-restriction-des-libertes

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