Les bons et les mauvais pays ne se mesurent pas avec les chiffres additionnés depuis janvier, mais avec les chiffres obtenus après avoir tiré les leçons de la première vague.
28 DÉCEMBRE 2020 Par Gérard Maudrux.
Suite à mon dernier billet sur l’Ivermectine et aux articles de France Soir, la riposte n’a pas tardé, via 20 Minutes et FranceInfo. France Soir s’est chargé de démonter la manipulation de 20 Minutes, je me chargerai donc de FranceInfo, qui permet d’orienter vers une réflexion plus globale du bilan de la gestion de la crise actuelle.
Pour ce qui est de FranceInfo, comme on dit « plus c’est gros, mieux ça passe ». Ils parlent de « dizaines de publications négatives, pour une étude préliminaire positive », sans citer aucune source, alors que j’arrive à l’inverse, en citant toutes les sources afin que les lecteurs puissent juger par eux-mêmes.
Vient ensuite un amalgame avec Surgisphère et le scandale du Lancet, alors qu’il s’agissait de l’Hydroxychloroquine, dans le but jeter un doute sur l’étude positive. Plus loin on affirme que « certains s’intoxiqueraient avec un surdosage », sans citer une seule source, alors que personnellement je citais une étude avec un essai à 10 fois la dose, sans effets secondaires ! Quand on veut noyer son chien, on l’accuse d’avoir la rage, ce vieux dicton a pleinement sa place ici. Dans quel but ? Mystère.
Ivermectine
Plus intéressant vient la critique sur deux pays, le Pérou et Bolivie, qui autorisent, conseillent l’Ivermectine, et pire, une population qui en prend, au point de poser des problèmes inacceptables pour FranceInfo : « distribué aux habitants, ce qui pose problème pour les essais cliniques, les patients qui se présentent pour des essais ayant déjà pris de l’Ivermectine ! 8 sur 10 paraît-il au Pérou. »
Pensez-vous que FranceInfo s’est intéressé à ce que donnaient ces pays en matière d’épidémiologie et de résultats sur les traitements ? Bien sûr que non, ce n’est pas le traitement et son résultat qui compte pour ces gens-là, c’est de dénigrer un produit et ceux qui en parlent !
En tant que médecin, moi c’est le résultat du traitement qui m’intéresse en premier, alors je suis allé voir. Ils en prennent, beaucoup, mais pour quel résultat ? Ont-ils tort, ont-ils raison ? C’est là tout l’intérêt du débat.
LE PÉROU
37 000 morts depuis janvier. Avec une population de 32 millions d’habitants, c’est l’équivalent de 77 000 morts en France. Donc épidémie plus grave que chez nous, ce qui se passe d’ailleurs dans tout le continent Sud Américain.
Si comme partout ils n’ont rien fait au début, déroutés par une nouvelle maladie, s’ils ont découvert l’Ivermectine au milieu de l’été, et si maintenant ils en prennent massivement comme le dit FranceInfo, quel est le résultat ?
2700 morts pour les 2 derniers mois ! À population égale, nous en aurions 5650, or nous en sommes à 25 000 pour ces deux derniers mois ! Ils ont eu plus de décès que chez nous lors de la première vague, en ont tiré les conclusions, et en ont 5 fois moins que nous pour la seconde vague, car nous, nous n’avons rien changé.
9 000 morts depuis janvier, et rappelez-vous ces images à la Une, les policiers ramassant des centaines de cadavres dans les rues. Une hécatombe. Ils seraient passés à l’Ivermectine ?
Combien de morts depuis deux mois ? 220 ! Même proportion que pour le Pérou entre début d’épidémie ou personne ne savait quoi donner, et maintenant où l’Ivermectine est largement prescrite. Ce pays ayant 11,6 millions d’habitants, cela donnerait 52 000 morts chez nous depuis janvier, soit un peu moins, et 1270 depuis deux mois au lieu de 25 000.
Vous me direz que ces calculs sont très tendancieux, car ils n’ont pas de seconde vague. Mais alors pourquoi leurs plus proches voisins, Colombie, Brésil, Paraguay, sont en pleine seconde vague et pas eux ? L’Argentine s’améliore grandement depuis sa publication sur les soignants fin août.
Pourquoi y aurait-il une seconde vague si, comme le dit FranceInfo, 8 personnes sur 10 sont sous Ivermectine ? Si tout le monde est traité, si on diminue en 48 heures la charge virale des positifs, il ne peut y avoir de contaminations et de seconde vague. C’est le résultat d’un traitement efficace.
Maintenant avec ce Covid qui s’amuse à déjouer tous les pronostics depuis le début il faut être prudent. Les choses peuvent changer, mais toujours est-il que ces résultats, au même titre que ceux de l’Ehpad de Seine et Marne ou l’étude sur 1200 soignants en Argentine (passés sous silence 20 Minutes et FranceInfo), doivent interpeller et conduire à quelques essais, si on est vraiment préoccupé par le traitement du Covid dans notre pays. Trois Ehpads et 500 patients suffisent.
DISTINGUER PREMIÈRE VAGUE ET DEUXIÈME VAGUE
Ces résultats m’inspirent une réflexion : il faudrait remettre les pendules à zéro. Pour mieux suivre l’épidémie, Il faudrait cesser de donner les chiffres de mortalité globale depuis janvier, et les scinder en deux : les chiffres de la première vague, où tout le monde a été pris de court, et les chiffres depuis le 1er septembre, afin de comparer dans chaque pays les résultats obtenus par chacun en fonction des mesures prises.
Ceux qui ont eu la bonne attitude auront des chiffres qui s’améliorent, ceux qui n’ont rien fait ou auront pris une mauvaise voie auront des chiffres sans amélioration. En France, première vague, 30 000 morts, rien n’a changé, seconde vague 30 000 morts. Bolivie première vague 9000 morts, passage à l’Ivermectine, pas de seconde vague, 220 morts.
Les chiffres globaux ne donnent aucune idée de ce qui est bon ou pas face au Covid. Utiles au début, ils sont devenus contre productifs et ne sont d’aucune aide.
Les bons et les mauvais pays ne se mesurent pas avec les chiffres additionnés depuis janvier, mais avec les chiffres obtenus après avoir tiré les leçons de la première vague.
L'Ontario (Canada) admet que les décès sont étiquetés comme COVID lorsqu'ils ne sont pas le résultat d'un COVID
Par Arjun Walia Évolution collective 28 décembre 2020
Ce qui s'est passé: Santé publique de l'Ontario (Canada) a une page sur son site Web intitulée «Comment l'Ontario réagit au COVID-19». Sur celui-ci, ils indiquent clairement que les décès sont marqués comme des décès COVID et sont inclus dans le décompte des décès COVID, que le COVID ait réellement contribué ou non au décès. Ils déclarent ce qui suit,
Tout cas marqué comme «mortel» est inclus dans les données sur les décès. Les décès sont inclus, que le COVID-19 ait été ou non considéré comme une cause contributive ou sous-jacente de décès… »
Cette déclaration de Santé publique Ontario fait écho aux déclarations faites à plusieurs reprises par les agences et le personnel de santé publique du Canada. Selon Anna Miller, conseillère principale en communications du ministère de la Santé de l'Ontario,
En raison de la manière dont les données sont enregistrées par les bureaux de santé dans les bases de données d'informations sur la santé publique, le ministère n'est pas en mesure de séparer avec précision le nombre de personnes décédées directement à cause du COVID par rapport à celles qui sont décédées des suites d'une infection au COVID.
Encore une fois, cela signifie que lorsque nous observons le décompte des décès par COVID-19 en Ontario, au Canada, nous observons un nombre inexact étant donné que ceux qui sont décédés avec le COVID ne sont pas nécessairement décédés à cause de celui-ci. Théoriquement, si une personne s'est suicidée et a été testée positive au COVID ou est décédée dans un accident de voiture, d'une crise cardiaque, d'un cancer, d'un diabète ou de toute autre maladie, elle est également incluse dans le décompte des décès COVID. N'oublions pas le fait qu'un test PCR positif ne signifie pas que l'on a un COVID.
Cela a été le thème commun pendant toute la durée de cette pandémie jusqu'à présent. Par exemple, à la fin du mois de juin, la santé publique de Toronto (Ontario, Canada) a tweeté que «les personnes décédées avec le COVID-19, mais pas à la suite du COVID-19, sont incluses dans le nombre de cas de décès par COVID-19 à Toronto.
Ce n’est pas seulement au Canada que nous avons vu ce genre de déclarations se faire, c’est partout dans le monde. Il existe de nombreux exemples aux États-Unis dont nous avons déjà parlé.
Par exemple, le Dr Ngozi Ezike, directeur du département de la santé publique de l'Illinois, a déclaré ce qui suit pendant la première vague de la pandémie:
Si vous étiez en hospice et que vous aviez déjà eu quelques semaines à vivre et que vous aviez également un COVID, cela serait compté comme un décès COVID, même si vous êtes décédé d'une cause alternative claire, il est toujours répertorié comme un décès COVID . Donc, tous ceux qui sont répertoriés comme un décès COVID, cela ne signifie pas que c'était la cause du décès, mais ils avaient un COVID au moment du décès.
Au cours de la première vague, le ministère de la Santé publique et de l'Environnement du Colorado a dû annoncer un changement dans la façon dont il comptabilise les décès par coronavirus en raison de plaintes selon lesquelles il gonflait les chiffres.
Le seul problème est que nous ne pouvons pas savoir combien de personnes ont été ajoutées au nombre de décès COVID dans plusieurs endroits à travers le monde qui ne sont pas réellement décédées des suites du COVID. Théoriquement, cela pourrait conduire le nombre de décès dans le monde nettement inférieur aux chiffres officiels que nous obtenons.
À la fin de l'été, le CDC a publié des données montrant que 94% des décès qui ont été marqués comme décès par COVID avaient au moins deux ou d'autres causes répertoriées. Sur tous les décès qui ont été qualifiés de décès par COVID-19 aux États-Unis jusqu'à la fin août, pour 6% d'entre eux, le COVID-19 était la seule cause mentionnée et pour 94% des décès, il y avait d'autres causes. et conditions en plus du COVID-19. Le CDC déclare que "pour les décès avec des conditions ou des causes en plus du COVID-19, en moyenne, il y avait 2,6 conditions ou causes supplémentaires par décès." Alors, comment savons-nous que COVID a été la cause d'un grand nombre de ces décès ou même contribué? Beaucoup pensent que COVID en était la cause et a même contribué aux comorbitités énumérées. Vous pouvez voir les chiffres mis à jour ici dans le tableau 3 du CDC car ils sont similaires.
Nous l'avons également vu très tôt en Italie, où 99% des personnes marquées comme décès par COVID avaient de multiples comorbidités.
Avec les deux derniers exemples, il est important de mentionner que COVID peut avoir été la cause ou même un facteur contributif. Nous savons déjà que les personnes souffrant de comorbidités ainsi que les personnes âgées sont les plus vulnérables. Nous savons également que pour les personnes de 70 ans et moins, le taux de survie du virus est de 99,95%, selon le Dr Jay Bhattacharya, MD, PhD, de la Stanford University School of Medicine. C'est pourquoi environ 50000 médecins et scientifiques ont maintenant signé la déclaration de Great Barrington, s'opposant fermement aux mesures de verrouillage, citant des informations montrant qu'ils font plus de mal que de bien et expliquant que nous n'avons pas à tout verrouiller pour protéger les personnes vulnérables. Il existe, selon eux, des moyens plus appropriés et efficaces de le faire.
Pourquoi est-ce important: Beaucoup de gens se posent de nombreuses questions, non seulement en ce qui concerne la gravité du virus, les tests PCR et les mesures prises par les gouvernements pour le combattre, mais aussi le fait que les informations, les preuves, la science et l'opinion d'experts au cours de cette pandémie ont été fortement censurées. Beaucoup de scientifiques et de médecins ont fait de leur mieux pour sensibiliser le public à ce sujet, car nous n’entendons pas le message du grand public à ce sujet. Les médias sociaux censurent et bloquent les informations qui s'opposent au discours officiel diffusé par les autorités sanitaires gouvernementales. Il est étrange de voir comment un scientifique, comme le Dr Anthony Fauci par exemple, peut obtenir tout le temps d'antenne du monde et bénéficier d'une viralité instantanée, mais des milliers d'autres experts du domaine qui partagent une opinion opposée sont complètement ignorés. Cela soulève beaucoup de questions et de drapeaux rouges.
Au cours des derniers mois, j'ai vu des articles universitaires et des éditoriaux rédigés par des professeurs rétractés ou étiquetés «fake news» par les plateformes de médias sociaux. Souvent, aucune explication n'est fournie. Je suis préoccupé par cette brutalité et, parfois, par une censure pure et simple. - Vinay Prasad, MD, MPH (source)
L'essentiel est que la science est supprimée, et ce n'est pas un secret. Vous trouverez ci-dessous un tweet du Dr Martin Kulldorff, professeur de médecine à Harvard, qui met l'accent sur ce point, qui a également été récemment souligné par Kamran Abbas, médecin, rédacteur en chef du British Medical Journal et rédacteur en chef du Bulletin of the World Health Organisation. Il a publié un article sur le COVID-19, la suppression de la science et la politisation de la médecine. Il existe de nombreux exemples parmi lesquels choisir, je pensais que je les mentionnerais simplement pour faire passer mon message. Il n’est pas non plus surprenant de trouver des conflits d’intérêts entre les conseillers gouvernementaux COVID.
À retenir: Un gros problème que nous semblons avoir aujourd'hui en tant que collectif est que nous sommes incapables de communiquer et de discuter de questions ou de positions controversées, ou de ce qui est étiqueté comme des positions controversées de manière appropriée. Ceci est en grande partie dû au fait que ces positions sont fortement censurées et ridiculisées par les médias grand public, beaucoup d'informations sont qualifiées de controversées ou de «théorie du complot», ce qui conduit à un manque de compréhension par les masses. Il est également facile de ne même pas divertir ou avoir une discussion sur le sujet. Pourquoi avons-nous tant de mal à entretenir des positions considérées comme controversées? Pourquoi avons-nous tant de mal à suspendre nos propres croyances et à adopter d'autres croyances qui contredisent les nôtres? Pourquoi avons-nous tant de mal à comprendre le point de vue d'une autre personne et pourquoi elle le ressent? Pourquoi sommes-nous devenus si polarisés dans ce en quoi nous croyons au point que nous ne pouvons même pas avoir des conversations appropriées à ce sujet les uns avec les autres? Pourquoi tant de gens réagissent-ils avec haine, colère et ridicule face à un point de vue opposé? Que se passe t-il ici? L’information est-elle vraiment la solution, car parfois des informations et des preuves extrêmement crédibles sont complètement ignorées afin de protéger son propre système de croyances.
Reprinted with permission from Collective Evolution.
Comme dans TOUS les pays du monde la TOTALITE des Directeurs d'hôpitaux et cliniques sont OBLIGEES d'étiqueter TOUS les morts de vieillesse, accidents, diabète, suicide, etc en 'MORT: CORONA' !!!
Tandis que les vivants en très bonne santé sont forcés contre leur gré de passer des faux tests 'RT-PCR' où le cycles d'analyses sont poussés de 25 à 50 pour faire croire qu'il y a au monde 7 milliards de criminels qui se promènent en liberté avec du corona !
Déception de masse: suppléments diététiques Vaccins expérimentaux non éprouvés sûrs et efficaces
L'industrie des compléments alimentaires est en état de mort cérébrale face à la plus grande menace pour la santé d'origine humaine de l'histoire
Par Bill Sardi 28 décembre 2020
Les compléments alimentaires pour Covid-19 ne sont pas testés et ne peuvent prétendre prévenir, traiter ou guérir une maladie, mais des vaccins expérimentaux non prouvés, efficaces à moins de 1% et non testés pour la sécurité dans de grandes populations, sont obligatoires.
L'opportunité d'une vie s'est présentée à l'industrie des compléments alimentaires lorsque l'Organisation mondiale de la santé a annoncé une pandémie (pré-planifiée) causée par un virus nouvellement muté contre lequel toute la population mondiale n'était pas immunisée et contre laquelle il n'existait aucun vaccin ni médicament prouvé. Les compléments alimentaires, en tant que seule option, sauveraient-ils l'humanité de l'extinction prévue ?
la vitamine D a indéniablement produit un meilleur taux de survie que n'importe quel vaccin proposé
les pilules C ont également disparu des rayons des magasins.
Les magasins de détail ont manqué de comprimés de zinc. Grâce au service d'information sur la médecine orthomoléculaire, qui a informé le monde que la vitamine C par voie intraveineuse a ramené les patients hospitalisés d'une certaine tombe, les pilules C ont également disparu des rayons des magasins. Alors que la médecine moderne traîne toujours les pieds dans le déni, la vitamine D a indéniablement produit un meilleur taux de survie que n'importe quel vaccin proposé. En fait, l'efficacité du vaccin contre la grippe dépend des niveaux de vitamine D avant l'inoculation. La supplémentation en vitamine D chez les personnes carencées en vitamines améliore l'efficacité du vaccin. (Pourtant, les hôpitaux refusent de tester les taux sanguins de vitamine D lors de l'admission. Les hôpitaux n'ont pas les moyens d'appliquer la vitamine D à titre prophylactique en raison de la perte de revenus.)
En l'absence d'autres alternatives disponibles, le public a atteint des remèdes naturels tels que les vitamines (C et D), les minéraux (zinc et sélénium) et les plantes médicinales (ail, resvératrol, réglisse, pour n'en nommer que quelques-uns).
Les sites Web sur les produits de santé naturels «manquent en action»
Pourtant, un examen des sites Web de l'industrie des compléments alimentaires amène à se demander pourquoi il y a un tel décalage entre la dépendance du public à l'égard des remèdes naturels et le contenu des sites Web de l'industrie qui semblent ignorer ce qui s'est réellement passé.
La page d'accueil du Conseil pour une nutrition responsable (CRN), qui représente les fournisseurs et fabricants de compléments alimentaires, ressemble à un business as usual (la vieille norme). Bien que toute mention selon laquelle les remèdes naturels servent d'antidotes contre le COVID-19 est contraire aux réglementations de la FDA qui interdisent aux sociétés de suppléments de prétendre que ses produits «préviennent, guérissent ou traitent toute maladie», l'industrie a la licence pour faire des «allégations de structure et de fonction fondées sur la science. »Que leurs produits« favorisent la santé ». Pourtant, même les communiqués de presse du CRN ne font aucune mention de produits naturels qui aident à garder les Américains en bonne santé pendant cette crise. Ceci malgré la propre enquête du CRN qui montre que plus de 7 Américains sur 10 prennent des compléments alimentaires et 43% des utilisateurs de suppléments ont déclaré avoir changé leur régime de suppléments depuis le début de la pandémie.
Alors que la page d'accueil de la Natural Products Association (NPA), une organisation qui représente les fabricants et les détaillants, est presque dépourvue de toute mention de cette crise sanitaire, sur une dernière page, elle mentionne qu'elle a fait pression pour que les détaillants de produits naturels restent ouverts sous COVID -19 restrictions. Sur sa page d'accueil, il y a un lien vers un tweet Twitter du directeur général de la NPA au sujet de la législation (S. 4463) qui classerait certains compléments alimentaires en vente libre parmi les frais médicaux admissibles. Cette législation n'a pas progressé au-delà de son introduction.
Inexplicablement, le site Web de la NPA dirige les téléspectateurs vers un commentaire vidéo peu convaincant du gouverneur de Californie, Gavin Newsome, où il loue les agents de santé de première ligne, un gouverneur qui impose des restrictions si strictes aux détaillants que des milliers de magasins de santé vont certainement cesser leurs activités.
Sur une autre dernière page, le président du NPA rejette tout remède naturel censé être un recours contre le COVID-19 est donc en dehors de la loi et exhorte les consommateurs à se laver les mains et à éviter tout contact étroit avec des personnes malades. On pourrait penser que le NPA est dans le secteur des désinfectants pour les mains.
Il existe une licence dans le cadre de la loi qui permet à l'industrie des compléments alimentaires de faire valoir que leurs produits «favorisent la santé», «soutiennent l'immunité», «stimulent les lymphocytes T dans la plage normale», «amorcent le système immunitaire pour la vaccination» et «soutiennent des niveaux d'anticorps sains. »
La Fédération nationale de la santé, une organisation pour la liberté de la santé, place la crise du COVID-19 au premier plan. Des informations utiles sont fournies sur les alternatives aux vaccins. Il comporte un formulaire de refus / consentement pour la vaccination.
La page d'accueil de Citizens for Health, une organisation de consommateurs qui a fait pression avec succès pour l'adoption du Dietary Supplement Health & Education Act en 1994 qui empêchait le Congrès de fabriquer des compléments alimentaires, ne résout pas non plus la crise du COVID-19 de manière adéquate. Le site Web du CFR a un obscur «COVID CORNER» qui conseille au public de désinfecter et d'éviter tout contact. Il existe un rapport poignant intitulé «Cette simple vitamine joue-t-elle un rôle central dans la réduction de la mortalité due au COVID-19 ?» Il s’agit de vitamine D.
À l'exception du site Web de la Fédération nationale de la santé, l'industrie des compléments alimentaires et les principales organisations de liberté de la santé semblent être intimidées par la FDA ou sont aussi ignorantes que tout le monde au sujet du COVID-19.
Avec plus de 70 % de la population américaine prenant des compléments alimentaires, il est possible que les vaccins n'aient jamais fourni beaucoup de protection contre les maladies infectieuses, tandis que les vitamines aidaient la population à développer une immunité collective depuis le début.
95 % d'efficacité est impossible
Au 25 décembre 2020, les États-Unis signalaient 329000 décès cumulés par COVID-19 depuis le début de l'année au sein d'une population de 325 millions d'Américains. En ce qui concerne la mortalité, un vaccin ne peut pas être plus efficace que son taux de mortalité, qui n’est que de 1 / 10e de 1 %. Vous devez vacciner 100% de tous les Américains pour éviter 1 décès spécieux lié au COVID-19 sur 1000. C'est un taux de sur-vaccination de 99 %.
Les compléments alimentaires ne doivent être efficaces qu'à 2 % pour doubler l'efficacité des vaccins
Les masses sont trompées. Les chiffres d'efficacité de 95 % dont parlent les fabricants de vaccins expérimentaux ne sont que de 1 %. Le nombre d'efficacité de 95 % est un nombre relatif. Un vaccin placebo ne réduit le risque de mortalité que de 0,1 % et un vaccin à ARN de 0,95 %. Mais les deux nombres sont inférieurs à 1,0% en nombres fermes (moins de 1 sur 100). Quatre-vingt-dix-neuf (99) personnes vaccinées sur 100 ne bénéficieront d'aucun bénéfice et ne seront confrontées qu'à la perspective d'effets secondaires.
Les cas de tuberculose ont-ils été classés à tort comme COVID-19 ?
Malgré le fait que 94 % des décès associés au COVID-19 peuvent être dus à la vieillesse et à des comorbidités (diabète, maladie cardiaque), ou des patients sont décédés avec mais pas de COVID-19, les 6% restants peuvent être simplement des cas de tuberculose, une autre maladie pulmonaire qui n'est pas comptée dans les chiffres des décès, ce qui suggère une tromperie de masse. Les verrouillages devraient augmenter le nombre de décès dus à la tuberculose de 200 000 à 400 000 dans le monde, car les patients atteints de tuberculose active pourraient ne pas être en mesure d'obtenir les antibiotiques nécessaires, ce qui pourrait être attribué à tort (ou intentionnellement) au COVID-19.
Gardez la bouche fermée si vous souhaitez continuer à vendre des compléments alimentaires
Les fabricants de vaccins peuvent dire que leurs vaccins expérimentaux non prouvés sont «sûrs et efficaces», tandis que les compléments alimentaires ne sont pas prouvés (mais non réfutés) et que toute allégation que les suppléments sont efficaces est muselée. Le hic, c'est que les fabricants de suppléments ne peuvent même pas déclarer que leurs produits préviennent les maladies dues à une carence alimentaire comme le scorbut (vitamine C), le rachitisme (vitamine D), le béribéri (vitamine B1) ou l'anémie pernicieuse (vitamine B12). Ceci est d'une importance significative comme vous l'apprendrez ci-dessous.
Les vaccins devraient échouer ?
Je me demande si nos dirigeants ne veulent pas que les vaccins échouent pour pouvoir continuer à nous garder tous enfermés et sous leur contrôle? Les autorités de santé publique affirment que 4 des 7 premiers vaccins échoueront. Lequel les Américains seront-ils obligés de prendre ? Un rapport de l'Université du Texas demande: «Est-il contraire à l'éthique de refuser un vaccin COVID-19 ?» GreenMedInfo.com fait face à la censure en ligne après avoir publié un rapport affirmant qu'un document de la FDA a mis en garde contre une série d'effets secondaires des vaccins, y compris la mort.
De faux nombres de morts sèment la peur
Tout cela se produit alors que les agences de presse rapportent plus de 3000 décès par jour du COVID-19, mais il doit s'agir de faux rapports car ils sont publiés le lendemain des soi-disant décès, avant que les certificats de décès ne puissent être compilés avec précision. De toute façon, environ 8000 Américains mouraient chaque jour avant l'épidémie de COVID-19. Aucune donnée ne montre qu'il y a eu un excès de décès dû au COVID-19 avant que le verrouillage ne soit ordonné (plus à ce sujet ci-dessous).
Prendre la chute pour l'autre gars
Avec tout ce qui est dit sur les compléments alimentaires potentiellement toxiques, pourquoi les magasins d'aliments naturels doivent cacher les cadavres de leurs clients sous leur plancher ! Pendant ce temps, des milliers d'Américains subissent déjà des effets secondaires liés aux vaccins, notamment des réactions allergiques graves et plus d'une décennie d'essais de vaccins n'ont pas encore montré qu'un vaccin peut prévenir une infection à coronavirus. Les vaccins ne peuvent atténuer les symptômes que temporairement, ne pas fournir une immunité à long terme.
Quoi, pas de virus ? Alors comment peut-il y avoir des vaccins ?
La tromperie la plus flagrante est qu'il n'y a peut-être pas de virus COVID-19. Les autorités sanitaires irlandaises admettent que le COVID-19 n'existe pas. Le test de réaction en chaîne de la polymérase utilisé pour confirmer les taux d'infection est connu pour créer de fausses épidémies.
Le COVID-19 semble être une maladie de carence alimentaire qui imite les infections virales - une carence en vitamine B1 (thiamine), connue sous le nom de béribéri. Ce ne serait pas la première fois qu'une carence en vitamines serait confondue avec une épidémie virale. Le béribéri a trompé tout un pays avancé au milieu des années 1970 en lui faisant croire qu'il s'agissait d'une infection virale. Elle a ensuite été décrite comme une «maladie qui ruine la nation».
Les verrouillages ont entraîné une surconsommation d'alcool, de sucre, de café et de thé qui bloquent ou interfèrent avec l'absorption ou l'utilisation de la vitamine B1. Beriberi est connu comme le grand mascarade. L’armée n’a pas besoin d’être appelée pour vacciner des millions d’américains. L'antidote du béribéri se trouve dans les magasins de santé et non dans les centres de vaccination.
Pouvez-vous imaginer que les propriétaires de magasins de compléments alimentaires soient mandatés pour contraindre leurs employés à se faire vacciner contre le COVID-19 alors que les étagères de leurs magasins ont fait leurs preuves sur leurs tablettes ? Les compléments alimentaires peuvent ne pas être prouvés, mais ils ne sont pas réfutés. Les compléments alimentaires sont plus sûrs que le sucre de table, le sel, l'aspirine, la pénicilline, l'insuline, les diurétiques, les inhibiteurs d'acide et les statines.
Malgré la grande promesse des compléments alimentaires, le leadership de l'industrie des compléments alimentaires est, à une exception près, non seulement mal orienté, mais il n'a pas de colonne vertébrale. Je ne suis pas sûr que l’industrie des compléments alimentaires s’engage à informer le monde de l’innocuité et de l’efficacité de ses propres produits.
Verrouillage: une expérience mortelle et ratée Cela a été une catastrophe mondiale. Nous ne devons plus jamais emprunter cette voie.
Par Fraser Myers Pointu 28 décembre 2020
Le pays qui a été le plus ravagé cette année par Covid-19 - perdant 1 600 personnes sur un million à cause du virus au moment de la rédaction de cet article - est la Belgique.
Cela pourrait être une surprise. Vous pourriez être pardonné de penser que c’était l’Amérique, grâce à la prétendue ignorance de la science par Trump. Ou qu'en est-il de la Grande-Bretagne, qui a verrouillé «trop tard» en raison de la croyance éphémère mais stupide de son gouvernement en la liberté? Ou le Brésil, dont le dirigeant de droite s'est plaint que les verrouillages et les masques étaient des «pédés»? Si ce n'est pas le cas, alors sûrement la Suède, où il n'y a pas eu de verrouillage dur du tout?
Mais non, c’est la Belgique. La réponse de la Belgique n’a rien de particulièrement inhabituel. Rien qui s'écarte significativement du consensus. Il a fait la même chose que tout le monde à peu près au même moment que tout le monde. Il a même suscité des éloges pour sa capacité de test.
Il y a une mise en garde: le taux de mortalité sans précédent en Belgique pourrait être lié à la façon dont les décès sont comptés. Certains disent que la Belgique n’est que le pays «le plus honnête» - tandis que d’autres ont accusé les responsables de surestimer et d’inclure toutes sortes de décès non causés par Covid.
Mais parcourez la liste des décès par million et vous trouverez d'autres endroits auxquels vous ne vous attendez peut-être pas. L'Italie, durement touchée, occupe la deuxième place, mais elle a été la première à être touchée à l'Ouest, nous devrions donc les laisser partir. Ensuite, il y a la Slovénie, qui a été relativement indemne au printemps. Après cela, c’est le Pérou. Le Pérou a annoncé le 16 mars l'un des premiers verrouillages au monde - également le premier en Amérique latine. Les restrictions étaient parmi les plus strictes de la planète, appliquées par l'armée. Les masques ont été rendus obligatoires en public. Mais en mai, deux mois plus tard, les cas ont commencé à augmenter considérablement. C’était bien que le pays fasse «tout correctement» et «juste à temps». Il y a eu un certain assouplissement du verrouillage à partir de juin. Mais les rassemblements sociaux étaient toujours illégaux en août, date à laquelle 200 personnes mouraient encore par jour.
Ailleurs en Amérique latine, l'Argentine a connu une explosion similaire à mi-verrouillage des cas et des décès. Son verrouillage a commencé le 20 mars et devait être court et net. Cela a fini par devenir le plus long verrouillage continu au monde. En juin, le magazine Time a salué le succès de l'Argentine dans la maîtrise du virus. Mais peu de temps après, les cas ont commencé à augmenter. Le jour le plus meurtrier de sa pandémie était le 145e jour du verrouillage.
Les verrouillages sont devenus au cœur de toute discussion sur Covid-19. L'hypothèse selon laquelle le verrouillage est le seul moyen de prévenir les décès de Covid est devenue ancrée dans la pensée dominante. Apparemment, les seules questions autorisées sont de savoir si nous nous arrêtons assez tôt, assez durement ou assez longtemps. Le verrouillage est également devenu la réponse par défaut aux augmentations de cas (bien que parfois celles-ci prennent maintenant une forme locale plutôt que nationale). Mais la sagesse conventionnelle selon laquelle plus de verrouillage signifie moins de morts ne tient tout simplement pas dans le monde réel. Il n'y a globalement aucune association, encore moins de causalité, entre les verrouillages et les décès de Covid.
Et pourtant, les méfaits de la politique sont extrêmes. Les pays développés ont connu cette année des baisses records de leur production économique. La Grande-Bretagne, par exemple, a connu sa pire récession en 300 ans (depuis le Grand Gel de 1709, si vous vous posez la question). Le fardeau de cette situation est tombé massivement sur les plus pauvres de la société, tandis que les milliardaires ont vu leur richesse se multiplier. Dans les pays en développement, la Banque mondiale estime que 150 millions de personnes supplémentaires tomberont dans «l’extrême pauvreté».
Les enfants sont nés un poids disproportionné des verrouillages - même si les enfants sont confrontés à des risques très mineurs liés à Covid et que les fermetures d'écoles ne sont pas associées à une réduction de la transmission. Néanmoins, selon les estimations, 1,5 milliard d'enfants - 87 % - ont été touchés par les fermetures d'écoles dans le monde. Il existe maintenant un fossé obscène dans l'accès à l'éducation entre les riches et les pauvres, entre les diplômés privés et publics et entre ceux qui ont accès à l'apprentissage à domicile via Internet et ceux qui n'en ont pas.
Parent contre pédiatre: un débat ouvert sur les vaccins
Par Joseph Mercola Mercola.com 28 décembre 2020
Une discussion ouverte et scientifique est essentielle pour progresser dans le domaine médical, mais c'est quelque chose qui reste insaisissable en matière de vaccination. Plutôt que d'aborder les questions, les préoccupations et les incohérences par le biais d'un débat public et de la recherche, les défenseurs des vaccins ont souvent recours aux insultes, à l'intimidation et aux menaces contre ceux qui remettent en question la politique fédérale de vaccination unique.
Les pédiatres peuvent également rabaisser les parents qui posent des questions sur les effets secondaires du vaccin, beaucoup refusant de voir les patients qui choisissent de ne pas vacciner ou de choisir un autre calendrier de vaccination. Pourtant, ils parviennent à éduquer les uns les autres et les auditeurs d’une manière positive, qui n’est finalement ni «pro» ni «anti» vaccin, mais plutôt axée sur la protection de la santé publique.
Les responsables de la santé, Fauci Deny Vaccine Injuries
Pendant ce temps, les responsables de la santé publique, y compris le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), continuent de minimiser ou de nier catégoriquement que les vaccins peuvent causer des blessures et la mort, comme il l'a fait dans une interview. avec CBS News en janvier 2019.4 Le média a présenté des parents préoccupés par les risques de vaccination, dont une femme dont le deuxième enfant a souffert de réactions graves aux vaccinations.
Naturellement, Eckhart a ensuite refusé de vacciner son plus jeune fils et a déclaré: «Si je pouvais y retourner, je n’aurais vacciné aucun de mes enfants.» Lorsqu'on lui a demandé quoi dire à ces parents, qui ont eu des réactions indésirables aux vaccins chez leurs propres enfants et hésitent à faire effectuer la même procédure sur un autre enfant, Fauci a gracieusement dit qu'ils ne devraient pas être dénigrés mais qu'il fallait leur dire que les vaccins étaient « très sûr. »
«[L] e manque de sécurité et les événements indésirables, des choses comme l'autisme… ce problème est uniquement basé sur la fabrication et cela a été prouvé… il n'y a aucune association entre le vaccin contre la rougeole et l'autisme», a-t-il déclaré. Lorsque le journaliste a déclaré qu'Eckhart pensait que les bonnes études n'avaient peut-être pas été menées pour montrer les dommages que les vaccins pouvaient causer, Fauci a nié avec véhémence qu'il y avait une quelconque vérité dans cette affirmation.
"Ce n'est pas vrai ... ce n'est tout simplement pas vrai, point final", a déclaré Fauci, refusant même d'entretenir l'idée que les vaccins peuvent provoquer des effets indésirables chez certaines personnes, et que les parents d'enfants blessés par la vaccination peuvent être justifiés dans leur hésitation à vacciner leur autre. les enfants.
Vacciner contre la rougeole parce que c'est si contagieux ?
Interrogé sur les maladies infantiles jadis courantes qui font maintenant l'objet de vaccinations, Rife a reconnu que dans la plupart des cas, ceux qui attrapent la rougeole et en particulier la varicelle «s'en sortent très bien».
La raison pour laquelle la rougeole est considérée comme un tel danger, a-t-elle dit, est qu'elle est si contagieuse, ajoutant que: «Si vous n'êtes pas vacciné contre la rougeole et que vous êtes dans une pièce près ou même après, une personne atteinte de rougeole est partie , il y a peut-être deux heures… vos chances d'attraper la rougeole avec une exposition sont de 90 %. »
Le fait vient d'une étude de 19645 intitulée «Survie du virus de la rougeole dans l'air», qui est souvent citée par le CDC. «Dans un cadre fermé», a noté le CDC, «le virus de la rougeole aurait été transmis par voie aérienne ou par exposition aux gouttelettes jusqu'à deux heures après que le cas de rougeole a occupé la région.» 6 Sharon poursuit en expliquant ce qui s'est réellement passé. au cours de l'étude, qui impliquait un minuscule placard dans un laboratoire.
Les chercheurs ont pulvérisé le virus de la rougeole dans l'air, puis ont collecté des boîtes de Pétri pour savoir si elles contenaient le virus. Il n'y a aucune mention de ce que peut être une dose infectieuse du virus, mais ce qui est noté, dit-elle, c'est que l'humidité dans le placard n'était que de 15 %.
De plus en plus de recherches soulignent l'importance des niveaux d'humidité dans la propagation de maladies infectieuses comme la grippe et le COVID-19. Non seulement l'air sec altère les défenses intégrées de vos voies respiratoires7, mais les études sur la survie du virus de la grippe montrent également un lien d'humidité, l'une suggérant que la grippe en aérosol a survécu le plus longtemps lorsque l'humidité relative était inférieure à 36 % .8
Des niveaux d'humidité de l'ordre de 40 % à 60 % semblent être idéaux pour réduire votre risque d'infection, un niveau que vous pouvez atteindre en plaçant un humidificateur dans votre chambre. Certains experts suggèrent que les espaces publics devraient également maintenir des niveaux d'humidité minimum pour protéger la santé publique.
Même le taux de vaccination à 100 % ne suffit pas pour l'immunité du troupeau
Les médias, ainsi que les organisations de santé publique, blâment généralement des poches de personnes non vaccinées pour les épidémies de rougeole aux États-Unis, mais le pourcentage de personnes vaccinées avec le vaccin contre la rougeole-oreillons-rubéole (ROR) est en fait très élevé.
Au cours de l'année scolaire 2013-2014, près de 95 % des enfants américains entrant à la maternelle avaient reçu deux doses de vaccin ROR 9, tout comme 91,8 % des écoliers âgés de 13 à 17 ans.10 Ce taux élevé de vaccination contre le ROR parmi les écoliers américains Ce taux élevé de vaccination ROR devrait théoriquement garantir une «immunité collective», mais des cas de rougeole et d'oreillons continuent de se produire, ce qui laisse présager un échec du vaccin.
La densité de la population, les schémas de mixité sociale et d'autres facteurs affectent tous la transmission virale, et il y a aussi le fait flagrant que l'immunité du vaccin ROR diminue probablement dans les années qui suivent le dernier rappel.14
Malheureusement, avec la diminution de l'efficacité du vaccin ROR, la protection n'est pas tout au long de la vie après une infection naturelle, laissant les personnes âgées potentiellement vulnérables. Comme les femmes enceintes n'ont plus d'immunité naturelle pour transmettre à leurs nouveau-nés, les très jeunes nourrissons sont également plus sensibles à la maladie.
Les auteurs d'une étude publiée dans The Lancet Infectious Diseases ont rapporté que lorsque l'infection par la rougeole est retardée, les résultats négatifs sont 4,5 fois pires «que ce à quoi on pouvait s'attendre à une époque prévaccine où l'âge moyen au moment de l'infection aurait été plus bas.» 15 Pendant ce temps, dans le dans la majorité des cas, l'infection par la rougeole se résout d'elle-même sans complications
La vaccination forcée arrive-t-elle ?
Dans une question des téléspectateurs de la vidéo «Quand les opinions se heurtent», quelqu'un a demandé si la vaccination forcée était à l'horizon. Rife a déclaré qu'elle ne pensait pas que le public soutiendrait la vaccination forcée, mais d'autres, comme Alan Dershowitz, avocat et juriste, pensent le contraire. Selon l'interprétation d'Alan Dershowitz du droit constitutionnel:
«Vous n'avez pas le droit constitutionnel de mettre en danger le public et de propager la maladie. Même si vous n'êtes pas d'accord, vous n'avez pas le droit de ne pas être vacciné. Vous n'avez pas le droit de ne pas porter de masque. Vous n'avez pas le droit d'ouvrir votre entreprise. Et si vous refusez de vous faire vacciner, l'État a le pouvoir, littéralement, de vous emmener chez un médecin et de vous plonger une aiguille dans votre bras.
Comme base et justification de son orientation juridique sur cette question, Dershowitz s'appuie sur une décision de la Cour suprême de 1905 dans l'affaire Jacobson c. Massachusetts, qui impliquait le vaccin antivariolique. Jacobson avait été blessé par un vaccin antérieur et a porté l'affaire devant la Cour suprême dans le but d'éviter le vaccin contre la variole. Il a perdu et payé une amende de 5 $ pour avoir refusé le vaccin.
Dershowitz a convenu que la décision de 1905 «n'est pas contraignante sur la question de savoir si vous pouvez ou non contraindre quelqu'un à se faire vacciner», mais que «la logique de l'opinion… suggère fortement que les tribunaux autoriseraient aujourd'hui une forme de contrainte si le les conditions dont nous avons parlé ont été remplies: [les vaccins sont] sûrs, efficaces, [et] des exemptions [données] dans les cas appropriés. »
Il reste à voir ce que l'avenir réserve à la vaccination obligatoire, notamment à la lumière du COVID-19, mais une chose est claire: la santé publique ne dépend pas de l'usage obligatoire des vaccins mais de la capacité des esprits à débattre ouvertement, à rechercher et réfléchir à des solutions aux maladies chroniques et aiguës qui sévissent dans le monde - des solutions qui peuvent inclure la vaccination mais ne doivent pas ignorer leur potentiel de préjudice.
1 CDC, Recommended Immunization Schedule for Children and Adolescents Aged 18 Years or Younger, United States, 2019 2 NVIC August 27, 2018 3 The New York Times August 28, 1993 4 CBS News January 30, 2019 5 Nature volume 201, pages1054–1055(1964) 6 CDC, Measles, VPD Surveillance Manual, Measles, Chapter 7.1 7 Annual Review of Virology September 2020, Vol. 7:83-101 8 Environmental Health volume 9, Article number: 55 (2010) 9 CDC. Vaccination Coverage Among Children in Kindergarten – United States, 2013-2014 School Year. MMWR Oct. 17, 2014; 63(4): 913-920. CDC. 10 CDC. National, Regional, State and Selected Local Area Vaccination Coverage Among Adolescents Aged 13 to 17 Years – United States, 2013 11 CDC. Vaccination Coverage Among Children in Kindergarten – United States, 2017-2018 School Year. MMWR Oct. 12, 2018; 67(40): 1115-1122. 12, 13 New York Daily News May 15, 2019 14 The Lancet, 2020; doi.org/10.1016/S1473-3099(20)30442-4 15 The Lancet, Infectious Diseases August 2015; 15(8): 922-926
Quand l'homme devient le bétail du politique ou l'atteinte totalitaire au consentement
Pierre A. Pontoizeau — FranceSoir Sott.net sam., 26 déc. 2020 14:14 UTC
Nous arrivons au bout d'un processus totalitaire qui va en finir avec la liberté. Le projet de loi Castex détruit le consentement du patient. Il est crucial de comprendre de quoi nous parlons pour que les élus, les médecins et les honnêtes gens mettent un terme à cette installation d'un régime totalitaire où nous serons le bétail du politique.
La loi de 2002 sur les droits des malades pose le primat du principe d'autonomie hérité de la philosophie des Lumières, le patient demeurant un citoyen autonome avec lequel les soignants entretiennent une relation de confiance dans le but de porter à sa connaissance de « manière claire, loyale et appropriée » les informations utiles à son consentement libre et éclairé. Pourtant, existe d'emblée une dépendance ou une asymétrie entre ceux qui savent et celui qui ne sait pas avec l'objectif implicite à cette relation : restaurer la santé du patient qui n'est pas autonome pour y parvenir.
La dépendance est avérée d'emblée et elle marque un premier consentement qui est aussi un dessaisissement de ses libertés d'agir sur soi par le constat de son impuissance à trouver par soi-même les moyens d'agir dans un but : sa santé. Aller voir le médecin, c'est déjà renoncer à une liberté pour se confier aux bons soins de celui qui saura. Le patient s'en remet à [« quelqu'un d'autre ? »... la suite manque dans l'original - Note de Sott]. Son autonomie toute relative est donc dépendante de la connaissance portée à son attention par le médecin qui se retrouve dans la même position que le politique pour faire œuvre de persuasion et pédagogie positivement, sans nier le risque d'une propagande ou manipulation selon les fins du corps médical en dehors de celle envisagée par le patient : opérer, accepter, différer, amputer, soulager, choisir une thérapie selon son coût, ses effets et ses risques, etc. Plusieurs aspects sont à prendre en compte : 1) le consentement vers une personne de confiance, 2) le consentement dépendant des capacités cognitives, 3) le consentement et le libre renoncement.
1) le consentement vers une personne de confiance tient à une relation de respect de l'humanité de chacun car le consentement au soin suppose consentir à une proposition qui émane de quelqu'un qui l'énonce. Ce consentement en confiance suppose une herméneutique de l'autre, une lecture a priori de ses bonnes intentions, soit une bienveillance à son égard. Le « je vous fais confiance » signifie aussi que l'on se dispense pour une part de chercher la pleine compréhension avec une sorte de délégation de confiance du raisonnement et des connaissances qui motivent des décisions et actions : opération, soins, etc. Cette délégation est prévue pour qu'une personne de confiance puisse assister le patient dans ses choix. Mais dans les choix cruciaux, cette délégation à autrui devient critique, car le choix engage la survie. Le consentement peut passer par un mandat, mais il s'agit alors de se dessaisir de son autonomie comme si l'exercice de sa liberté se confiait à un tiers ? La relation à des tiers de confiance demeure un point de cette relation.
2) le consentement dépendant des capacités cognitives suppose que celles-ci sont jugées par un tiers appréciant l'autonomie du patient. Un tiers s'arroge le droit d'évaluer l'incompétence ou la dépendance du patient parce que la maladie peut altérer les capacités de discernement conditionnant un consentement éclairé. Si l'herméneutique de soi des modernes exige la volonté rationnelle, sa substitution par la volonté d'un tiers met en évidence la difficulté d'apprécier par soi-même ces capacités, dans les cas psychiatriques par exemple. Cette prise de pouvoir sur l'autre aliène bien la liberté d'un patient jugé inapte, jugé dénué d'un degré de conscience indispensable à l'expression de son consentement. Par transposition au politique, ce dessaisissement acte une séparation entre une population apte au gouvernement et une seconde inapte à l'instar des propos de Lippmann inspiré par la psychanalyse. Existe alors une manœuvre de propagande, dès lors que l'évaluateur ou le juge préféreront conclure à l'incapacité, plutôt que de respecter l'autre en cherchant obstinément à obtenir son témoignage en reconnaissant les signes d'une autonomie toujours présente et s'exprimant imparfaitement. Là encore l'herméneutique de soi et celle d'autrui détermine la conclusion.
3) le consentement et le libre renoncement relèvent d'un arbitrage où le patient doit accepter une perte : amputation ou opération aux effets invalidants durables par exemple. Ce renoncement acte une atteinte à son intégrité qui est le prix à payer à une survie par un engagement éclairé sur les conséquences : acceptables, supportables. Le patient doit à la fois se préserver dans son identité et son image de soi et comprendre ce qui l'atteint pour lui donner un sens : nouvel acte et décision personnelle dans un projet pour soi Le patient compose avec lui-même et cela s'appelle la liberté.
En synthèse, la relation du patient à l'équipe médicale révèle un triptyque du consentement : 1) la confiance, 2) le jugement et 3) l'engagement, ce dernier prenant un sens plus positif dans un consentement politique ou humain : relation maritale, relation sociale, projet politique communale, etc. Ce qui est éprouvé dans cette relation particulière prolonge l'herméneutique des modernes. L'équipe médicale doit être digne de confiance et a contrario ne pas susciter la défiance : manipulation, influence, intérêt propre, pouvoir, expérimentation, exploration, etc. Elle doit soutenir la liberté de jugement et a contrario ne pas masquer des connaissances, des données, des alternatives par pré-choix ou décision autoritaire. Elle doit éclairer des conséquences de l'engagement et a contrario ne pas occulter des explications sur tous les impacts connus, probables ou potentiels sans déformation altérant le sens de cet engagement respectueux de la personne [1].
Nous aurons ici la sagesse de considérer que malgré l'assentiment de tous, l'enfermement ou la violation des libertés de la personne humaine comme la vaccination obligatoire sont des entreprises de destruction de notre libre humanité. Je ne suis pas sûr que le consentement suffise à changer la nature du Goulag ou du camp de concentration hier, la loi Castex aujourd'hui qui nous fait basculer définitivement dans un autre monde politique. C'est à cette seule question que nos contemporains devraient répondre de manière cohérente en étant comptable de leur pensée devant l'histoire. Tous les élus locaux de la République doivent se révolter ou ils auront une responsabilité cruciale face à l'histoire. La France est le seul pays au monde à installer une telle dictature politique au prétexte du sanitaire.
[1] La définition de Tom Beauchamp et James Childress, dans Les principes de l'éthique biomédicale - 2008, Paris, éditions Les Belles Lettres, p.101, est éclairante :
« Respecter un individu autonome, c'est, au minimum, reconnaître le droit de cette personne à avoir des opinions, à faire des choix et à agir en fonction de ses valeurs et de ses croyances. Un tel respect implique une action respectueuse, et pas uniquement une attitude respectueuse. Un tel respect implique davantage que la non-intervention dans les affaires personnelles d'autrui. Il inclut, du moins dans certains contextes, des obligations de développer ou de maintenir les aptitudes au choix autonome des autres, tout en dissipant leurs craintes et autres conditions qui détruisent ou perturbent leur actions autonomes. » Source de l'article publié le 22 décembre 2020 : FranceSoir
Note : Quant à la dernière phrase de l'auteur, il se trompe, la France n'est PAS le seul pays au monde à installer une telle dictature politique au prétexte sanitaire. On peut avoir cette impression parce que les différents gouvernements ne prennent pas exactement les mêmes mesures exactement au même moment, certainement pour éviter que la vue d'ensemble de la volonté hégémonique des élites mondialistes à instaurer leur Nouvel ordre mondial ne soit par trop évidente aux masses qui seraient encore en mesure de réfléchir. Mais le schéma est le même partout, la manipulation est la même partout, les medias mainstream utilisent le même langage dans leurs langues respectives pour influencer les populations vers telle ou telle mesure qu'il faudra prendre — vaccins, passeport d'immunité, lois liberticides, énième confinement, re-fermetures des commerces et des lieux de culture, etc.
Contagion d'ingénierie: UPMC, Corona-Thrax et «The Darkest Winter»
le 25 septembre 2020 Auteur Whitney Webb
Selon des documents FOIA, des chercheurs d'un laboratoire BSL-3 lié aux organisateurs de la simulation Dark Winter 2001, DARPA et du complexe industriel de biodéfense post-9/11 modifient génétiquement l'anthrax pour exprimer les composants de Covid-19.
Peu de temps après avoir été licencié de son poste de secrétaire du Trésor en décembre 2002, après un conflit politique avec le président, Paul O'Neill est devenu administrateur du Centre médical de l'Université de Pittsburgh. Bien qu'il vienne de travailler sous et de se battre avec George W. Bush et Dick Cheney, ce n'est que lorsque O'Neill a commencé à répondre au PDG de l'UPMC Jeffrey Romoff en tant que membre du conseil d'administration du Centre qu'il a choisi de dénoncer publiquement un supérieur comme «maléfique». "
«Il veut détruire la concurrence. Il veut être le seul jeu en ville », déclarera O’Neill plus tard à Romoff, ajoutant qu '« après 18 mois, j'ai quitté [le conseil de l'UPMC] par dégoût »en raison du« contrôle absolu »de Romoff sur les actions du conseil. O’Neill a noté par la suite que «les membres du conseil d’administration de l’UPMC qui détiennent des centaines de millions de dollars ne sont pas disposés à accepter ce type». Lorsqu'il a été pressé par un journaliste local, O’Neill a ajouté que d'autres membres du conseil lui avaient dit qu'ils avaient «peur» de Romoff parce que Romoff pourrait «leur faire du mal d'une manière ou d'une autre».
Les critiques d’O’Neill à l’encontre de Romoff ne sont guère une exception, car des militants de la communauté locale et même un procureur général d’État ont noté que le conseil d’administration de l’UPMC laisse Romoff faire ce qu’il veut.
Jeffrey Romoff dirige l'UPMC d'une main de fer depuis que son prédécesseur, Thomas Detre, a eu une crise cardiaque en 1992. En raison de l'accumulation massive de richesses du Centre, d'abord stimulé par sa touche magique pour recevoir des subventions des National Institutes of Health (NIH) , Detre a pu utiliser le pouvoir financier qui lui était accordé pour consolider le contrôle d'une quantité suffisante de l'Université de Pittsburgh pour créer son «propre fief personnel», qui est maintenant la société autonome connue sous le nom d'UPMC.
Peu de temps après que Romoff a pris les rênes du Centre, il a clairement fait part de ses intentions aux professeurs et au personnel, déclarant lors d'une réunion de l'UPMC en 1995 que sa «vision» de l'avenir des soins de santé américains était «la conversion des soins de santé d'un bien social à un marchandise." Motivé par le profit avant tout, Romoff a développé de manière agressive l'UPMC, engloutissant les hôpitaux communautaires, les centres de chirurgie et les cabinets privés pour créer un «réseau de soins de santé» qui s'est étendu dans une grande partie de la Pennsylvanie et même à l'étranger dans d'autres pays, y compris la Chine. Sous Romoff, l'UPMC s'est également développée dans le secteur de l'assurance maladie, avec 40 pour cent des réclamations médicales qu'elle paie retournant directement dans des lieux de soins qui appartiennent à l'UPMC - ce qui signifie que l'UPMC se paie essentiellement.
De plus, comme l'UPMC est officiellement une «société de bienfaisance à but non lucratif», elle est exonérée de l'impôt foncier et bénéficie d'un accès spécial au marché des obligations municipales exonérées d'impôt. L'UPMC peut également solliciter des subventions déductibles d'impôt auprès de particuliers et d'organisations privées, ainsi que des gouvernements. Ces subventions ont totalisé plus d'un milliard de dollars entre 2005 et 2017.
Bien que ces avantages soient officiellement justifiés en raison du statut d '«institution caritative» de l'UPMC, le conseil d'administration de l'UPMC, avec Romoff au sommet, a vu ses propres salaires de plusieurs millions de dollars par an continuer à grimper. Peut-être que cet avantage vient également du fait que l'UPMC est une société à but non lucratif, car il n'y a pas d'actionnaires à qui Romoff et le conseil d'administration doivent expliquer leurs salaires de plus en plus exorbitants. Par exemple, Romoff a gagné 8,97 millions de dollars l’année dernière en tant que PDG de l’UPMC, une augmentation marquée par rapport aux 6,12 millions de dollars qu’il avait récoltés l’année précédente.
La chicane financière de l'UPMC est si incontrôlable que même le procureur général de Pennsylvanie a pris des mesures contre elle, poursuivant l'UPMC en février 2019 pour violations des lois sur les organismes de bienfaisance de l'État en raison de leur «enrichissement sans cause» et se livrant à des «actes ou pratiques déloyaux, frauduleux ou trompeurs. . » Bien que l'UPMC ait décidé de régler à l'amiable, le Centre et Romoff sont sortis de l'affaire relativement indemnes.
Aujourd'hui, grâce à la crise provoquée par Covid-19, l'UPMC est à nouveau sur la voie d'une croissance encore plus grande et plus puissante dans la poursuite de l'objectif ultime de Romoff, qui est, selon ses propres mots, de faire de l'UPMC l '«Amazonie des soins de santé . »
Dans ce quatrième opus de la série The Last American Vagabond «Contagion de l'ingénierie: Amerithrax, Coronavirus and the Rise of the Biotech-Industrial Complex», le géant de la santé «à but non lucratif» qu'est l'UPMC est carrément placé à l'intersection de l'après-9 / 11 partenariats public-privé «biodéfense»; des universitaires financés par des entreprises qui façonnent la politique publique au nom de leurs bienfaiteurs du secteur privé; et des recherches risquées sur des agents pathogènes dangereux qui menacent de déclencher la «bioterreur» même contre laquelle ces institutions prétendent se prémunir.
L'étrange trajectoire des efforts de vaccination contre le Covid-19 de l'UPMC
En janvier 2020, alors qu'une grande partie du monde restait parfaitement inconsciente de la pandémie mondiale à venir, l'UPMC était déjà en train de développer un vaccin pour se protéger contre le nouveau coronavirus qui cause Covid-19, connu sous le nom de SRAS-CoV-2. Ce mois-là, avant que l'État de Pennsylvanie n'ait un seul cas de Covid-19, l'UPMC a formé un «groupe de travail sur les coronavirus», qui se concentrait initialement sur le lobbying des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis pour obtenir des échantillons de SRAS vivant. CoV-2 à des fins de recherche. Cette recherche devait être menée au Laboratoire régional de confinement biologique (RBL) de niveau de biosécurité 3 (BSL-3) situé dans le Centre de recherche sur les vaccins de l’UPMC. Un jour après que le directeur du Centre de recherche sur les vaccins de l'UPMC, W.Paul Duprex, a révélé les efforts de l'UPMC pour accéder au virus SARS-CoV-2, il a annoncé que les échantillons de virus, contenant environ 50 à 60 millions de particules de coronavirus, étaient déjà en route vers l'université. À l’époque, l’UPMC était l’une des rares institutions figurant sur la liste restreinte du CDC à recevoir des échantillons en direct du SRAS-CoV-2.
L'UPMC a déclaré plus tard qu'elle avait commencé à travailler sur un vaccin contre Covid-19 le 21 janvier, quelques semaines avant l'annonce du 14 février que le virus était en route vers l'université. Ce candidat vaccin original a utilisé la séquence génétique publiée du SRAS-CoV-2, publiée début janvier 2020 par des chercheurs chinois, pour produire synthétiquement des protéines de pointe du SRAS-CoV-2 qui seraient transportées dans les cellules par un vecteur adénoviral, qui est couramment utilisé. dans une variété de vaccins. Le candidat vaccin était surnommé PittCoVacc, abréviation de Pittsburgh Coronavirus Vaccine.
Un peu plus d'un mois après la réception des échantillons vivants de SRAS-CoV-2 par le Centre de recherche sur les vaccins de l'UPMC, l'UPMC a reçu une subvention de 5 millions de dollars de la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI), une organisation internationale fondée en 2017 par les gouvernements de La Norvège et l'Inde avec le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates. La subvention a été officiellement attribuée à «un partenariat international université-industrie» que le Centre de recherche sur les vaccins avait récemment formé avec l'Institut Pasteur en France et le fabricant de vaccins autrichien Themis. Peu de temps après, en mai, Themis a été acquis par le géant des vaccins Merck, qui a commencé à recruter des volontaires pour des essais sur l'homme au début du mois le 11 septembre. Merck entretient des liens incroyablement étroits avec l'UPMC, en particulier sa branche de commercialisation connue sous le nom de UPMC Enterprises.
La subvention du CEPI semble avoir radicalement modifié l’intérêt du Centre de recherche sur les vaccins pour le candidat vaccin adénovirus vecteur original, PittCoVacc, car la subvention du CEPI visait spécifiquement à financer un vaccin candidat différent qui utilise à la place le virus de la rougeole comme vecteur. Le virus de la rougeole et la manipulation génétique de la rougeole en vue de son utilisation dans le vaccin antirougeoleux est, notamment, le principal intérêt de recherche et l'expertise du directeur du Centre de recherche sur les vaccins Paul Duprex.
Ce vaccin candidat à base de rougeole a été décrit comme «un virus de la rougeole modifié [génétiquement modifié] qui délivre des fragments du nouveau coronavirus dans le corps pour prévenir Covid-19» ainsi que comme un «virus de la rougeole atténué [génétiquement modifié mais affaibli] comme un vecteur permettant d'introduire du matériel génétique du SRAS- [CoV-] 2 dans le système immunitaire. » La combinaison de ce virus de la rougeole affaibli et du SRAS-CoV-2, selon Duprex, produira une «version plus bénigne du coronavirus [qui] familiarisera le système immunitaire d’une personne» avec le SRAS-CoV-2. Aucun vaccin utilisant cette modalité n'a jamais été homologué.
Le 2 avril, moins d'une semaine après l'annonce du prix CEPI, les chercheurs de l'UPMC qui avaient développé le vaccin candidat original en utilisant l'approche plus traditionnelle adénovirus-vecteur ont publié une étude dans EBioMedicine (une publication de la revue médicale Lancet) qui a rapporté résultats prometteurs de leur candidat vaccin dans les études animales. La nouvelle qu'une institution américaine était parmi les premières au monde à développer un candidat vaccin Covid-19 avec des résultats prometteurs d'une étude animale a été fortement amplifiée par les principaux médias américains, ces rapports indiquant que l'UMPC demandait la permission du gouvernement d'agir rapidement. sur les essais humains.
Ce vaccin candidat original, cependant, a été mystérieusement exclu des rapports et déclarations ultérieurs de l'UPMC concernant ses efforts de vaccination Covid-19. En effet, ces derniers mois, les déclarations de Duprex sur les candidats vaccins Covid-19 du centre ne mentionnent plus du tout le PittCoVacc autrefois prometteur. Au lieu de cela, de nouveaux rapports, citant Duprex, affirment que les seuls candidats vaccins UPMC sont le candidat vaccin contre la rougeole financé par le CEPI et un autre candidat vaccin plus mystérieux, dont la nature n'a été révélée que récemment par des documents obtenus par le biais d'un Freedom of Information Act (FOIA ) demande.
Il est tout aussi étrange que les récents reportages des médias sur le candidat vaccin original aient cessé de mentionner l'UPMC, citant à la place uniquement Themis, son nouveau propriétaire Merck et l'Institut Pasteur français. Aucun rapport n'indique une rupture du «partenariat université-industrie» d'origine qui avait reçu la subvention du CEPI. Il semble que ce soit ce qui s'est peut-être produit, car Duprex a déclaré que le candidat vaccin contre la rougeole de l'UPMC s'était associé au Serum Institute of India pour une production de masse, d'abord pour des essais, puis pour un usage public, en fonction de l'évolution du vaccin. à travers le processus de réglementation. En revanche, Themis / Merck ont déclaré que leur vaccin était produit en France. On ne sait toujours pas quelle est la relation entre ces deux candidats vaccins, et apparemment analogues.
Bien que Duprex ait été relativement franc sur la nature du premier candidat vaccin UPMC (c'est-à-dire le vaccin contre la rougeole financé par le CEPI), il a été beaucoup plus discret sur son deuxième candidat vaccin. Fin août, il a déclaré au Pittsburgh Business Times que le deuxième vaccin candidat que l'UPMC était en train de développer «fonctionne en fournissant du matériel génétique codant pour une protéine virale au lieu du virus entier affaibli ou tué comme c'est la norme dans d'autres vaccins. Pourtant, Duprex a refusé d'indiquer quel vecteur sera utilisé pour fournir le matériel génétique aux cellules humaines. Des révélations récentes de la FOIA ont néanmoins révélé que le deuxième candidat vaccin de l’UPMC consiste à modifier génétiquement une combinaison de SRAS-Cov-2 et d’anthrax, une substance mieux connue pour son utilisation potentielle comme arme biologique.
Corona-thrax
Les documents récemment obtenus révèlent que le laboratoire BSL-3, qui fait partie du Centre de recherche sur les vaccins de l’UPMC, mène des recherches sur la combinaison du SRAS-CoV-2 avec Bacillus anthracis, l’agent causal de l’infection par le charbon. Selon les documents, l'anthrax est en cours de génie génétique par un chercheur, dont le nom a été expurgé dans le communiqué, afin qu'il exprime la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, qui est la partie du coronavirus qui lui permet d'accéder à l'homme. cellules. Le chercheur affirme que «l'hybride [anthrax / SRAS-CoV-2 génétiquement modifié] peut [être] utilisé comme souche hôte pour fabriquer le vaccin à protéine S recombinante du SRAS-CoV-2», et la création dudit vaccin est officiellement déclarée but du projet de recherche. Les documents ont été produits par le Comité institutionnel de biosécurité (IBC) de l’Université de Pittsburgh, qui a tenu une réunion d’urgence le 22 juin de cette année pour «discuter de protocoles spécifiques impliquant la recherche sur le coronavirus», qui comprenait un vote sur la proposition susmentionnée.
Edward Hammond, l'ancien directeur du Sunshine Project, une organisation qui s'opposait aux armes chimiques et biologiques et à l'expansion de la recherche «à double usage» sur la biodéfense et les armes biologiques, a obtenu les documents. D'autres documents FOIA récemment obtenus par Hammond ont révélé une «explosion» de recherches risquées liées à Covid-19 dans d'autres institutions universitaires, telles que l'Université de Caroline du Nord, qui a déjà eu des accidents de laboratoire impliquant des variantes génétiquement modifiées du SRAS-CoV-2 .
Hammond a déclaré à The Last American Vagabond que l'expérience, qu'il surnomme «Corona-thrax», est «emblématique des excès de recherche inutiles qui caractérisent souvent la réponse des scientifiques au gouvernement fédéral qui jette des milliards de dollars dans des crises sanitaires. Hammond a ajouté: «Bien que je ne pense pas que Corona-thrax serait contagieux, il entre dans les catégories des inutiles et des fous. Le plus grand risque immédiat de toute cette activité est qu'un chercheur crée délibérément ou par inadvertance une forme modifiée de SRAS-CoV-2 encore plus difficile à traiter, ou plus mortelle, et ce virus s'échappera du laboratoire. Cela ne prend qu'une goutte égarée. »
Jonathan Latham, un virologue qui a précédemment enseigné à l'Université du Wisconsin et qui est actuellement rédacteur en chef de Independent Science News, a convenu avec Hammond que l'expérience Corona-thrax est étrange et a déclaré qu'il était "préoccupé ici spécifiquement par le processus de recherche et le risques de ces expériences spécifiques à Pittsburgh. » Dans une interview avec The Last American Vagabond, Latham a affirmé que c'était «inhabituel par rapport aux normes historiques. . . la combinaison de deux organismes hautement pathogènes en une seule expérience. » Il a cependant noté que de telles études à des fins de recherche sur les vaccins sont devenues plus courantes ces dernières années, comme le montre clairement une étude de 2012.
Peu d'expériences ont été menées qui utilisent spécifiquement l'anthrax de cette manière. Depuis 2000, les études qui ont examiné l'utilisation de l'anthrax génétiquement modifié en tant que vecteur vaccinal potentiel sont affiliées à l'Université de Harvard. L'une de ces études portait sur l'utilisation de l'anthrax comme vecteur dans un vaccin potentiel contre le VIH et a été menée conjointement en 2000 par des chercheurs de Harvard et la société de vaccins Avant Immunotherapeutics (qui fait maintenant partie de Celldex).
Malgré les résultats préliminaires positifs de leurs expériences, Avant / Celldex n'a pas financé d'autres expériences sur un vaccin utilisant cette modalité à base d'anthrax, et il ne commercialise pas actuellement ou n'a pas de vaccin de ce type dans son portefeuille de produits. Cela suggère que, pour une raison quelconque, cette société n'a pas vu beaucoup de valeur dans ce vaccin, malgré l'étude préliminaire avec Harvard affirmant que la méthodologie était sûre et efficace.
Les chercheurs de Harvard impliqués dans cette étude de 2000, cependant, ont continué à étudier la possibilité d'un vaccin anti-VIH à base d'anthrax en 2003, 2004 et 2005, bien que sans parrainage d'entreprise. Des recherches connexes mais différentes ont exploré l'utilisation de composants de l'anthrax «désarmés» comme adjuvant dans les vaccins et comme base pour les dosages d'immunospot lié aux enzymes.
Les chercheurs susmentionnés de Harvard ont breveté leur méthodologie d'utilisation de l'anthrax de cette manière pour la production d'un vaccin en 2002. Cela signifie que le «vaccin» à base d'anthrax actuellement développé par le Centre de recherche sur les vaccins de l'UPMC devrait développer une nouvelle méthode qui utilise anthrax à peu près de la même manière pour ne pas enfreindre le brevet, ce qui est peu probable. L'autre alternative est que l'UPMC paierait les titulaires de brevets pour l'utilisation de leur méthodologie s'ils veulent la commercialiser dans un vaccin. Pourtant, étant donné le modèle commercial de l’UPMC en général, ainsi que celui du Centre de recherche sur les vaccins de l’UPMC en particulier, cela semble également peu probable.
Le type d’incitation que le Centre de recherche sur les vaccins de l’UPMC possède pour l’expérience Corona-thrax est également étrange. Il existe actuellement plus d'une centaine de candidats vaccins qui utilisent des plates-formes vaccinales existantes et testées à la recherche d'un vaccin Covid-19, un fait que Duprex lui-même a reconnu. Comme l'a dit Hammond au dernier Vagabond américain, «il est parfaitement évident qu'il existe de nombreuses plates-formes de vaccins pour Covid-19 et que certaines d'entre elles réussiront tôt ou plus tard. Il n'y a aucun besoin sérieux d'une sorte de plate-forme bactérienne assez étrange, encore moins d'une plate-forme qui se trouve être l'anthrax. C'est complètement inutile et franchement bizarre. »
Le joyau de la couronne du complexe biotechnologique industriel
L’expérience Corona-thrax est menée au Laboratoire régional de confinement biologique (RBL) du Centre de recherche sur les vaccins, où le centre travaille avec des agents pathogènes, tels que l’anthrax et le SRAS-CoV-2.
La création du RBL de l'UPMC a été annoncée pour la première fois en 2003, lorsque l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID, alors et actuellement dirigé par Anthony Fauci) a déclaré qu'il financerait la construction du laboratoire avec une subvention de 18 millions de dollars. Il était initialement prévu d'être principalement «dédié à la recherche sur les agents responsables des infections naturelles et émergentes, ainsi que sur les agents potentiels du bioterrorisme». Le projet de création du laboratoire faisait partie de la décision du gouvernement américain d'intensifier considérablement la recherche sur la «biodéfense» à la suite des attaques à l'anthrax de 2001.
Le laboratoire visait également à «développer un programme de vaccination axé sur la recherche fondamentale et translationnelle» lié aux virus à potentiel pandémique qui risquent d'être «militarisés», y compris le SRAS. Après l'annonce initiale de la création du laboratoire, le projet s'est élargi pour devenir le Centre de recherche sur les vaccins de l'UPMC, qui a été lancé en 2007. Le Centre de recherche sur les vaccins a été la deuxième institution de ce type à être officiellement ajoutée au réseau RBL «biodefense» du NIAID .
L'ouverture de ce laboratoire et du Center for Vaccine Research de l'UPMC a été réalisée grâce aux efforts des principaux auteurs de la simulation de bioterrorisme Dark Winter de juin 2001, un exercice controversé qui prédisait étrangement les attaques d'anthrax de 2001 ainsi que la première, mais fausse , récit selon lequel l'Irak et les groupes terroristes extrémistes islamiques étaient responsables de ces attaques. Cependant, l'anthrax utilisé dans les attaques s'est révélé par la suite être d'origine militaire américaine. Comme indiqué dans la partie I de cette série, les participants à l'exercice Dark Winter avaient une connaissance préalable des attaques à l'anthrax et d'autres ont été impliqués dans l '«enquête» ultérieure, que de nombreux experts et anciens enquêteurs du FBI décrivent comme une dissimulation.
Dark Winter a été en grande partie écrit par Tara O’Toole, Thomas Inglesby et Randall Larsen, qui ont tous trois joué un rôle essentiel dans la fondation ou les opérations du Center for Biosecurity de l’UPMC, avec le mentor d’O’Toole, D. A. Henderson. Le Centre pour la biosécurité de l’UPMC a été lancé en septembre 2003, quelques jours à peine avant l’annonce par le NIAID de son intention de financer le laboratoire RBL qui deviendra plus tard le Centre de recherche sur les vaccins de l’UPMC.
Notamment, quelques jours seulement après les attentats du 11 septembre 2001, O'Toole, Inglesby et Larsen ont personnellement informé le vice-président Cheney de Dark Winter. Simultanément, le bureau de Cheney à la Maison Blanche a commencé à prendre l'antibiotique ciprofloxacine pour prévenir l'infection par le charbon. Dans les semaines entre ce briefing et les attaques à l'anthrax de 2001, les participants de Dark Winter et plusieurs associés de Cheney, à savoir des membres du Projet pour un nouveau siècle américain (PNAC) comme Donald Kagan et Richard Perle, ont affirmé qu'une attaque bioterroriste impliquant l'anthrax serait bientôt prend place.
Au lendemain des attaques à l'anthrax de 2001, Henderson «a été sollicité par le gouvernement fédéral pour augmenter considérablement le nombre de laboratoires [de biodéfense], à la fois pour détecter des agents pathogènes présumés comme l'anthrax et pour mener des recherches sur la bio-défense, comme le développement de vaccins». l'annonce de la participation du RBL de l'UPMC au lancement du Centre pour la biosécurité dirigé par O'Toole à l'UPMC, où Henderson a été nommé conseiller principal. En 2003, le Center for Biosecurity a été créé à l'UPMC en partie à la demande de Jeffrey Romoff pour être «le seul centre de réflexion et de recherche du pays consacré à la prévention et au traitement des attaques biologiques», le Centre de recherche sur les vaccins de l'UPMC étant le centre d'un nouveau réseau de laboratoires de «recherche sur la biodéfense» qu'Henderson était en train de mettre en place et de gérer à l'époque. Ce réseau reste techniquement géré par le NIAID dirigé par le Fauci.
Il convient également de noter que le directeur du Centre de recherche sur les vaccins, depuis son ouverture en 2007 jusqu'en 2016, était Donald Burke. Burke est un ancien chercheur en biodéfense pour l'armée américaine à Fort Detrick et dans d'autres installations et, juste avant de diriger le centre UPMC, était directeur de programme à la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, où il a travaillé en étroite collaboration avec O'Toole et Inglesby. .
Au moment de l’annonce en 2003 de la création de ce qui deviendrait le Centre de recherche sur les vaccins de l’UPMC, Tara O'Toole a déclaré:
«Ce nouveau laboratoire permettra aux chercheurs en médecine de l'Université de Pittsburgh d'approfondir les traitements possibles et de développer des vaccins contre les maladies qui pourraient résulter d'une attaque bioterroriste ou d'épidémies naturelles.»
Quelques années plus tard, après avoir été nommée à un poste de haut niveau au Département de la sécurité intérieure, O’Toole a été critiquée par des experts pour son lobbying excessif «pour une expansion massive de la biodéfense et un assouplissement des dispositions relatives à la sûreté et à la sécurité». Le microbiologiste de Rutgers, Richard Ebright, a fait remarquer à l'époque qu '«elle rend le Dr Strangelove sain d'esprit». Il a également été noté lors d'audiences que O'Toole avait travaillé comme lobbyiste pour plusieurs sociétés de «sciences de la vie» spécialisées dans la vente de produits de biodéfense au gouvernement américain, y compris Emergent Biosolutions - une société très controversée et un suspect clé dans l'anthrax de 2001. attaques.
L’histoire du RBL du Centre de recherche sur les vaccins, en particulier le réseau de personnes à l’origine de la création du laboratoire, soulève des inquiétudes quant à la nature de l’expérience Corona-thrax actuellement menée au sein de l’installation. Cela est d'autant plus vrai que le chercheur qui mène l'expérience semble ne pas connaître les éléments clés de la recherche qu'il mène.
Par exemple, le chercheur expurgé par la FOIA déclare à tort qu'un virus recombinant proposé pour une utilisation dans l'étude est incapable d'infecter les cellules humaines, alors que les membres du CIB notent que ce n'est pas le cas. En outre, le chercheur anonyme a faussement affirmé que l'un des vecteurs viraux à utiliser dans l'étude de l'investigateur n'exprimait pas Cas9 (une protéine associée à l'édition du gène CRISPR) et l'ARNg («ARN guide», également utilisé dans CRISPR) et ignorait que la manipulation de ces agents nécessite un laboratoire BSL-2 amélioré (BSL-2 +) par opposition à un laboratoire BSL-2 typique.
Apparemment, de telles erreurs parmi les chercheurs impliqués dans la recherche sur Covid-19 à l'UPMC ne sont pas une anomalie. Lors d'une autre réunion du CIB de l'UPMC incluse dans la publication de la FOIA, le CIB a noté ce qui suit à propos d'une proposition de recherche distincte:
«Dans les notes de l’enquêteur en réponse aux modifications demandées par les pré-examinateurs du CIB, l’enquêteur indique que l’ARN des cellules infectées par le SRAS-CoV-1 et le SRAS-CoV-2 sera obtenu auprès des ressources de BEI. L'ARN génomique isolé à partir de cellules infectées par le SRAS-CoV-1 est réglementé en tant qu'agent de sélection par le Federal Select Agent Program et ni l'Université ni ce chercheur ne sont enregistrés pour la possession et l'utilisation de ces matériaux [italiques ajoutés] (SARS-CoV-1 ). L'investigateur ne doit PAS obtenir d'ARN génomique du SRAS-CoV-1 sans avoir consulté au préalable les RO / ARO de l'Université pour certains agents. "
Cette partie, en particulier, a attiré l'attention de Jonathan Latham, qui a noté qu'il était étrange qu '«un chercheur universitaire tente d'obtenir l'approbation d'une expérience que personne à l'université n'est autorisé à faire». Latham a ajouté dans une interview qu '"apparemment, ce candidat est totalement ignorant de l'environnement réglementaire et par extension des risques de SRAS-CoV, qui est un virus hautement infectieux dont la fuite d'un laboratoire a déjà entraîné au moins un décès."
Alors que Latham supposait qu’il s’agissait d’un «chercheur universitaire», il convient de noter que l’utilisation du RBL du Centre UPMC pour la recherche sur les vaccins n’est pas réservée aux chercheurs affiliés à l’université. En effet, comme indiqué sur le site Web des NIH, «les chercheurs du milieu universitaire, des organisations à but non lucratif, de l'industrie et du gouvernement qui étudient la biodéfense et les maladies infectieuses émergentes peuvent demander l'utilisation de laboratoires de bioconfinement», y compris le RBL géré par le Center for Vaccine Research .
En outre, le site Web du Center for Vaccine Research note que «des scientifiques extérieurs à l'Université de Pittsburgh peuvent travailler dans le RBL par le biais d'une collaboration ou d'un contrat. Les scientifiques externes doivent se conformer à toutes les exigences en matière de formation, de documentation, de réglementation et médicales de l'Université de Pittsburgh. » Cela signifie que les scientifiques extérieurs utilisant l'installation sont également soumis à un examen du CIB. Les sites du NIH et du Center for Vaccine Research notent que, pour qu’un chercheur extérieur utilise l’installation UPMC RBL, l’approbation du directeur du centre doit être obtenue.
Étant donné que le nom du chercheur Corona-thrax est expurgé, il n'y a aucun moyen de savoir s'il est affilié à l'université ou à une institution, une société ou un organisme gouvernemental distinct. Indépendamment de la personne qui mène cette expérience, cependant, il est possible d’examiner l’histoire et les motivations de l’homme qui l’a finalement signée - le directeur du Centre de recherche sur les vaccins, Paul Duprex.
Paul Duprex: Chercheur financé par la DARPA et passionné de gain de fonction
Directeur du Centre de recherche sur les vaccins de l’UPMC, W. Paul Duprex Paul Duprex est un ancien scientifique en chef de Johnson & Johnson, dont l'incursion ultérieure dans le milieu universitaire a été largement financée par des subventions de recherche du NIH et de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) du Pentagone. Une grande partie des recherches de Duprex s'est concentrée sur les virus recombinants (c'est-à-dire génétiquement modifiés) ou sur l'évolution virale.
Pour ce qui est de ses recherches financées par la DARPA, Duprex a été le plus étroitement associé au programme «Prophecy» de la DARPA, dont la création a été supervisée par Michael Callahan. Le passé suspect de Callahan et ses liens avec l’origine de la crise actuelle de Covid-19 à Wuhan, en Chine, ont fait l’objet d’un récent article de Raul Diego sur le Hangout illimité.
Dans cet article, Diego note que le programme Prophecy, aujourd'hui disparu, avait «cherché à« transformer l'entreprise de développement de vaccins et de médicaments d'observations et de réactifs en prédictifs et préventifs »grâce à des techniques de programmation algorithmique» et que le programme «proposait en outre que« les mutations virales et les flambées «pourraient être prédites à l'avance pour contrer plus rapidement la maladie inconnue grâce au développement de médicaments préventifs et de vaccins.»
Selon toutes les indications, Prophecy a été la première incursion majeure de la DARPA dans les soins de santé «prédictifs» basés sur l'IA, qui s'est considérablement développée au cours des années qui ont suivi. Il s'agissait également d'un composant, que Duprex était particulièrement impliqué dans l'avancement, par lequel les algorithmes d'évolution virale «prédictive» seraient «validés et testés». . . en utilisant plusieurs pressions sélectives sur au moins trois souches de virus étroitement apparentées dans un cadre expérimental. »
De telles expériences, comme cette étude de Duprex, impliquaient le génie génétique de trois souches de pathogènes viraux et ensuite voir laquelle deviendrait la plus transmissible et la plus virulente chez un hôte animal. Ces études sont souvent appelées recherche sur le gain de fonction (GOF) et sont extrêmement controversées étant donné qu'elles créent souvent des agents pathogènes qui sont plus virulents et / ou transmissibles qu'ils ne le seraient autrement. Il convient également de noter que l'UPMC, avant que Duprex ne rejoigne le centre, avait également reçu des millions de fonds du programme Prophecy de la DARPA «pour développer des modèles in vitro et de calcul pour prédire l'évolution virale sous la pression de sélection de plusieurs facteurs de stress évolutifs.»
Duprex a également été impliqué dans la conduite de recherches pour le programme INTERfering and Co-Evolving Prevention and Therapy (INTERCEPT) actuel de la DARPA, un successeur de Prophecy qui «vise à exploiter l'évolution virale pour créer une nouvelle forme adaptative de contre-mesure médicale - les particules interférentes thérapeutiques ( CONSEILS) - qui surpasse les virus dans le corps pour prévenir ou traiter l'infection. » Les TIP sont des virus génétiquement modifiés avec des génomes défectueux qui rivalisent théoriquement avec de vrais virus pour les composants viraux du corps humain, mais qui «évoluent avec» les virus contre lesquels ils sont censés protéger le corps et qui sont «susceptibles de subir des mutations au fil du temps».
Le but du programme INTERCEPT est d'utiliser les TIP comme «thérapeutiques» et de les faire injecter dans le corps humain pour se protéger «préventivement» contre le virus à partir duquel un TIP particulier a été développé. Il convient de noter que, bien que la DARPA encadre une grande partie de ses recherches sur l'édition de gènes (y compris ses recherches sur la technologie «d'extinction génétique») comme visant à promouvoir la santé humaine ou environnementale, elle a également ouvertement admis que ces mêmes technologies intéressent DARPA pour leur capacité à «subvertir» les gènes des adversaires humains de l'armée américaine via des «armes génétiques».
Duprex a dirigé une étude INTERCEPT publiée en février de cette année dans laquelle lui et ses co-auteurs ont exploré comment créer un TIP synthétique du virus Nipah, un virus mortel avec un taux de mortalité de plus de 70%. Dans cette étude, ils ont utilisé des souches sauvages et génétiquement modifiées du virus Nipah. Notamment, la simulation de la pandémie Clade X, qui sera discutée en détail dans la prochaine tranche de cette série, impliquait une combinaison génétiquement modifiée du virus Nipah et d'une maladie parainfluenza.
Clade X a eu lieu en 2018 et a été dirigé par une grande partie de la même équipe qui était responsable de la simulation de bioterrorisme Dark Winter 2001, y compris l'ancienne commissaire de la FDA Margaret Hamburg et Tara O'Toole et Thomas Inglesby du Centre UPMC pour la biosécurité. Un autre participant notable à Clade X était Julie Gerberding, ancienne directrice du CDC et actuelle vice-présidente exécutive de Merck, qui entretient des liens étroits avec l'UPMC ainsi qu'avec le projet raté du Center for Biosecurity «21st Century Biodefense».
Quelques mois après la publication de l’étude financée par le programme INTERCEPT de la DARPA, Duprex a co-écrit une autre étude sur l’utilisation de «nanocorps» synthétiques (c’est-à-dire des nanoparticules synthétiques bio-ingénierie agissant comme des anticorps) qui a été publiée en août. Cet effort reflète d'autres projets de la DARPA «axés sur la santé». Cette étude a été financée par l’Université de Pittsburgh, le NIH et le Ministère israélien des sciences et de la technologie.
En plus de ses liens avec les programmes DARPA impliquant le génie génétique des agents pathogènes viraux, Duprex est l'un des principaux défenseurs de la recherche controversée sur le gain de fonction et a été nommé pour diriger le Centre de recherche sur les vaccins de l'UPMC moins de trois mois après le moratoire fédéral sur la recherche GOF. terminé.
En octobre 2014, cinq jours après l'imposition de ce moratoire pour la première fois, Duprex a donné une conférence au Conseil consultatif scientifique national pour la biosécurité intitulée «Études sur le gain de fonction: leur histoire, leur utilité et ce qu'ils peuvent nous dire». Dans la conférence, il a affirmé que «les études d'infection interspécifique ont déjà contribué à améliorer la surveillance sur le terrain, ont jeté un nouvel éclairage sur la biologie de base du virus de la grippe et pourraient aider à mieux faire croître les virus vaccinaux» et plaide contre le moratoire récemment imposé.
En 2014, Duprex a également écrit dans un article publié dans Nature que «les approches GOF sont absolument essentielles dans la recherche sur les maladies infectieuses; bien que des approches alternatives puissent être très utiles, elles ne peuvent jamais remplacer les expériences GOF. » Il a ajouté qu'à son avis, il n'y avait que deux raisons à la recherche du GOF, la première étant «d'améliorer la surveillance ou de développer des thérapies» et la seconde étant simplement d'apprendre «une biologie intéressante».
Dans ce même article, il a également fait valoir que «le génie génétique destiné et susceptible de conférer à un agent de faible pathogénicité et de faible transmissibilité une pathogénicité accrue ou une transmissibilité accrue peut être approprié si les avantages sont substantiels.» Il a également suggéré dans cet article de 2014 qu'il «pourrait» être nécessaire «d'améliorer la pathogénicité des coronavirus afin de développer un modèle animal valide pour les coronavirus». Des années plus tard, pendant la crise actuelle du coronavirus, Duprex et d'autres responsables du Centre de recherche sur les vaccins de l'UPMC ont co-développé un «plan» de recherche et de développement Covid-19 pour l'Organisation mondiale de la santé de l'ONU.
En outre, le travail de Duprex pour le programme Prophecy de la DARPA impliquait la recherche du GOF, comme indiqué ci-dessus, et le créateur de ce programme, Michael Callahan - ancien chef des initiatives thérapeutiques de biodéfense de la DARPA, est également un partisan de GOF qui croit qu'une telle recherche risquée est inséparable de «L'entreprise de recherche et développement dans les sciences de la vie et pour la biotechnologie.»
Duprex est également un membre fondateur de Scientists for Science, un groupe de chercheurs (dont la plupart sont impliqués dans la recherche GOF) qui se sont opposés au moratoire GOF et étaient «convaincus que la recherche biomédicale sur les pathogènes potentiellement dangereux peut être effectuée en toute sécurité et compréhension approfondie de la pathogenèse, de la prévention et du traitement des maladies microbiennes. » Un autre membre fondateur du groupe est Yoshihiro Kawaoka, dont les expériences controversées du GOF qui ont rendu les virus pathogènes plus meurtriers ont attiré une attention considérable des médias.
Lorsque le moratoire sur le GOF a été levé en décembre 2017, Duprex l'a qualifié de «signe de progrès», ajoutant que «sur le plan personnel, je suis vraiment ravi que ces scientifiques financés par les NIH [menant des recherches sur le GOF] obtiennent une certaine clarté.» Comme mentionné précédemment, il est devenu directeur du Centre de recherche sur les vaccins moins de trois mois plus tard, en mars 2018.
Les métiers à tisser de «l'hiver le plus sombre» UPMC
Après un examen rapide du contexte de l'UPMC, de son laboratoire régional de bioconfinement et de l'homme qui dirige son centre de recherche sur les vaccins, la question sur la nature de l'expérience Corona-thrax devient: est-ce encore une autre expérience mal avisée par un laboratoire dirigé par un passionné de GOF et alimenté par une frénésie alimentaire sur les milliards de dollars jetés par le gouvernement et d'autres entités dans la recherche sur Covid-19 ? Ou y a-t-il peut-être un motif plus néfaste à l'ingénierie génétique de quelque chose d'aussi bizarre que Corona-thrax ?
Bien que cette dernière question puisse sembler conspiratrice, il convient de souligner que les institutions les plus susceptibles d'avoir été les sources de l'anthrax utilisé dans les attaques à l'anthrax de 2001 menaient des recherches du GOF sur l'anthrax financées par le Pentagone et la CIA qui étaient justifiées comme « amélioration »du vaccin controversé contre l'anthrax connu sous le nom de BioThrax.
Par exemple, le Battelle Memorial Institute - un entrepreneur du Pentagone et de la CIA - a commencé à modifier génétiquement une forme plus virulente d'anthrax «pour voir si le vaccin [contre l'anthrax] que les États-Unis ont l'intention de fournir à leurs forces armées est efficace contre cette souche.» Pendant que ces expériences se poursuivaient, le fabricant assiégé du vaccin contre l'anthrax maintenant connu sous le nom d'Emergent Biosolutions, a conclu un contrat avec Battelle qui donnait à Battelle une «exposition immédiate au vaccin» qu'il utilisait dans le cadre du programme d'anthrax génétiquement modifié.
Comme indiqué dans la partie II de cette série, BioPort était sur le point de perdre son contrat du Pentagone pour le vaccin contre l'anthrax entièrement en septembre 2001, et l'intégralité de son activité de vaccin contre l'anthrax a été sauvée par les attaques à l'anthrax de 2001, qui ont suscité des inquiétudes quant à la corruption de BioPort et à son horrible les antécédents en matière de sécurité ont été remplacés par des demandes ferventes pour plus de son vaccin contre le charbon. De plus, comme indiqué en détail dans la partie III de cette série, Battelle était la source la plus probable de l'anthrax utilisé lors des attaques de 2001. Les liens entre le Centre pour la biosécurité de l'UPMC, Battelle et Emergent Biosolutions seront discutés dans le prochain épisode de la série.
Ce qui est également remarquable à propos de ces expériences Corona-thrax qui se déroulent à l’UPMC, ce sont les liens entre le RBL de l’UPMC et le Centre de recherche sur les vaccins avec un autre élément clé du complexe de «biodéfense» du centre, le Centre UPMC pour la biosécurité. Comme mentionné précédemment, les personnes recrutées pour diriger ce centre lors de sa création en 2003 ont été intimement impliquées dans la simulation de bioterrorisme 2001 Dark Winter, à savoir Tara O'Toole et Thomas Inglesby.
Tout en dirigeant le Centre pour la biosécurité de l'UPMC, O’Toole et / ou son successeur Inglesby se sont lancés dans d'autres simulations de bioterreurs notables, dont une qui a eu lieu l'année dernière - l'événement 201, qui prédit étrangement la crise des coronavirus qui a commencé cette année. Inglesby, qui est également directeur du Johns Hopkins Center for Health Security en plus de son poste à l'UPMC, était le modérateur de l'événement 201.
Bien que l'événement 201 ait fait l'objet d'un examen approfondi ces derniers mois, un autre exercice moins connu en 2018 qui impliquait O'Toole et Inglesby, a examiné comment une attaque bioterroriste impliquant un agent pathogène génétiquement modifié pourrait déclencher un scénario de continuité du gouvernement (CoG), un feuille de route gouvernementale pour l'imposition de la loi martiale aux États-Unis. Comme d'autres séries d'enquête de la mienne l'ont noté, il y a eu récemment une myriade de simulations liées aux agences de renseignement qui prédisent l'imposition imminente de la loi martiale aux États-Unis après les élections de 2020.
Il est également à noter que la mise à jour controversée et classifiée de George W.Bush sur les plans du CoG en 2007, connue sous le nom de directive exécutive 51, a été directement inspirée par Dark Winter, et les décrets ultérieurs de Barack Obama sur le CoG ont donné un contrôle presque complet de l'infrastructure américaine au Department of Homeland Security dans une telle situation. Au moment où Obama a publié ces décrets, O’Toole était le sous-secrétaire du DHS pour la science et la technologie et a également influencé ces mises à jour des plans du CdG. O’Toole est actuellement vice-président exécutif de In-Q-tel de la CIA.
La simulation connue sous le nom de Clade X sera examinée plus en détail dans la prochaine tranche de cette série, tout comme les nombreuses et récentes «prédictions» de sources gouvernementales américaines, des milliardaires controversés tels que Bill Gates et un réseau d'individus liés à l'UPMC qui ont a averti qu'une attaque bioterroriste ou une catastrophe de santé publique connexe devrait avoir lieu aux États-Unis dans la seconde moitié de 2020. Comme l'a déclaré un haut responsable gouvernemental plus tôt cette année, cet événement prétendument imminent entraînera «l'hiver le plus sombre dans l’histoire moderne. »
Il est plus que temps que le CDC nettoie les décomptes de décès du COVID-19
PAR TYLER DURDEN LUNDI 28 DÉC.2020 - 17h00 Rédigé par Stacey Lennox via PJMedia.com,
Certains d'entre nous remettent en question les décomptes de décès COVID-19 rapportés par le CDC via le Centre national des statistiques de la santé (NCHS) depuis un certain temps.
Bien sûr, CNN et les médias d'entreprise adorent le nombre probablement élevé pour pousser leur récit. Lockdown Inc. les aime pour justifier la destruction de leurs vies et de leurs moyens de subsistance. Un rapport de la Freedom Foundation, un groupe de réflexion de l'État de Washington, explique pourquoi. L’analyse initiale de la fondation sur les décès dans l’État a révélé que le nombre pouvait avoir été gonflé de 13 %:
En mai, un rapport publié par la Freedom Foundation, un groupe de réflexion sur le marché libre basé à Olympia, a révélé que le DOH attribuait au COVID-19 chaque décès au cours duquel le défunt avait déjà été testé positif au virus. Cependant, il est clair qu'attraper la maladie et en mourir sont deux choses très différentes.
Les données de Washington étaient criblées de cas - jusqu'à 13 % du total - dans lesquels le certificat de décès ne faisait aucune référence au COVID-19 comme cause de décès. Dans plusieurs cas, même les décès par balle ont été attribués au virus.
Alors que le ministère de la Santé a supprimé 200 décès du décompte, la Freedom Foundation a fait une autre analyse. En combinant les sources de données du ministère de la Santé pour près de 2000 décès au début de septembre, la nouvelle analyse a révélé que 170 certificats de décès ne mentionnaient pas le COVID-19. 171 autres décès n'avaient aucun lien de causalité avec le virus. Selon le Post Millennial, le groupe estime que le nombre de décès à Washington pourrait être gonflé jusqu'à 20 %.
De nouvelles données du CDC concernant les conditions contribuant aux décès dans lesquels le COVID-19 est également impliqué démontrent clairement que les décès dus au virus sont surestimés à l'échelle nationale. Cela n’est pas surprenant étant donné les directives vagues pour attribuer un décès au COVID-19 et les incitations financières des assurances publiques et privées pour inscrire le COVID-19 dans le dossier d’un patient.
Premièrement, comme je l'ai écrit à plusieurs reprises, de nombreuses personnes positives au COVID-19 qui étaient en phase terminale sont décédées quelques mois avant qu'elles ne le soient autrement. Ces «décès par traction vers l'avant» surviennent souvent avec la grippe et la pneumonie lorsqu'une personne est âgée ou gravement compromise. Par exemple, les données montrent que 3 622 personnes de plus de 75 ans sont décédées d'une maladie rénale hypertensive avec insuffisance rénale. L'insuffisance rénale est une maladie évolutive et terminale, même avec une dialyse rénale. Un autre 939 dans le même groupe d'âge est décédé d'un cancer du poumon ainsi que du COVID-19.
Deuxièmement, le rapport démontre que la plupart des patients plus jeunes souffraient également d'une maladie grave différente s'ils décédaient du COVID-19. Sur la même ligne pour l'insuffisance rénale, un total de 18 personnes de moins de 35 ans sont décédées avec cette maladie et le COVID-19. Dix personnes de moins de 35 ans sont décédées avec un lymphome lymphoblastique aigu (LAL) en plus du virus. Le taux de survie moyen à cinq ans dans ce groupe d'âge se situe entre 68,1 % et 85 %, laissant la possibilité distincte qu'il s'agissait des patients atteints de LAL les plus malades.
Ce ne sont là que quelques exemples de conditions terminales qui auraient pu être des exemples de mort par traction. Puisqu'il n'y a rien dans les directives du NCHS pour exiger des symptômes ou des preuves de COVID-19 actif, il est impossible de dire s'il s'agissait ou non de décès par anticipation. Comme Washington le démontre, une partie de cette erreur proviendra de pratiques au niveau des États. New York, par exemple, a antidaté 3 700 «décès présumés dus au COVID-19» au début de la pandémie.
Ce qui précède n'inclut même pas la grande classe de codes CIM-9 appelée «blessures, empoisonnements et autres événements indésirables intentionnels et non intentionnels». Ce rapport contient 9 343 décès associés à tout, des surdoses de drogue aux accidents traumatiques et au suicide. Ces décès représentent à eux seuls 3% du nombre actuel de décès totaux.
Il est grand temps que le CDC et le NCHS exigent des preuves d'une maladie grave due au COVID-19 plutôt qu'un simple test positif. Il existe un nombre important de valeurs de laboratoire et de changements d'imagerie qui, pris ensemble, peuvent raisonnablement être supposés représenter une évolution clinique qui comprend une maladie active due au COVID-19. Le meilleur test serait une culture virale. Si le virus ou les débris viraux dans le système d’un patient ne peuvent pas se répliquer dans une culture, cela ne peut pas être une cause de décès.
Un test PCR positif dans les 28 jours, la norme actuelle que Washington utilise maintenant, est également inacceptable, en particulier avec le nombre de cas asymptomatiques. Un virus qui ne vous rend jamais malade ou ne vous rend que légèrement malade ne vous tuera pas ou ne contribuera probablement pas à votre mort. Au contraire, vous faites probablement partie des 30 à 60% des personnes immunisées réactives contre une autre exposition aux coronavirus. De même, si une personne souffre déjà d'une maladie en phase terminale, à moins que les événements en phase terminale n'incluent des symptômes de COVID-19 grave, il ne doit pas être compté parmi les causes de décès.
Un défilement de la feuille de calcul et un peu de connaissances cliniques appuient l'estimation de la Freedom Foundation comme un nombre minimum. Les Américains méritent à ce stade transparence et précision. C’est un manquement au devoir des CDC et du NCHS de ne pas adapter leurs directives à la progression de la maladie d’une infection au COVID-19 susceptible de contribuer à la mort d’une personne.
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 27 DÉC 2020-23: 35 Rédigé par Phillip Magness via l'American Institute for Economic Research,
Ce fut une année d’échec politique étonnant. Nous sommes entourés de dévastations conçues et acclamées par les intellectuels et leurs servantes politiques ...
Les erreurs se comptent par milliers, alors considérez ce qui suit un peu plus qu'une première ébauche, un simple guide de ce qui sera sûrement déterré dans les mois et les années à venir. Nous avons confié à ces personnes nos vies et nos libertés et voici ce qu'elles ont fait avec cette confiance.
Anthony Fauci dit que les verrouillages ne sont pas possibles aux États-Unis (24 janvier):
Interrogé sur les efforts de confinement de masse en quarantaine en cours à Wuhan, en Chine, en janvier, Fauci a rejeté la perspective de verrouillages aux États-Unis:
«C'est quelque chose que je ne pense pas que nous pourrions faire aux États-Unis, je ne peux pas imaginer fermer New York ou Los Angeles, mais le jugement de la part des autorités sanitaires chinoises est que compte tenu du fait que cela se propage dans toutes les provinces… ils estiment que c'est quelque chose qui, en fait, va aider à le contenir. Que ce soit le cas ou non est vraiment discutable, car historiquement, lorsque vous fermez les choses, cela n'a pas d'effet majeur. "
Moins de deux mois plus tard, 43 des 50 États américains étaient sous verrouillage - une politique préconisée par Fauci lui-même.
Le gouvernement américain et les responsables de l'OMS déconseillent l'utilisation de masques (février et mars) Lorsque les ventes de masques ont augmenté en raison de l'adoption généralisée par les individus dans les premières semaines de la pandémie, de nombreux responsables du gouvernement américain et de l'OMS se sont rendus sur les ondes pour décrire les masques comme inefficaces et décourager leur utilisation.
Le chirurgien général Jerome Adams a tweeté contre les masques le 29 février. Anthony Fauci a publiquement découragé l'utilisation des masques lors d'une interview de 60 minutes diffusée à l'échelle nationale le 7 mars. dans le grand public.
À la mi-été, tous avaient inversé le cours et encouragé le port de masques dans le grand public comme un outil essentiel pour enrayer la pandémie. Fauci a essentiellement concédé qu'il avait menti au public afin d'éviter une pénurie de masques, tandis que d'autres responsables de la santé ont fait volte-face sur les allégations scientifiques concernant le masquage.
Alors que la littérature épidémiologique grand public soulignait la nature ambiguë des preuves entourant les masques aussi récemment qu'en 2019, ces scientifiques étaient soudainement certains que les masques étaient en quelque sorte une solution miracle pour Covid. Il s'avère que les deux positions sont probablement fausses. Les masques semblent avoir des effets marginaux en diminuant la propagation, en particulier dans les milieux hautement infectieux et autour des personnes vulnérables. Mais leur efficacité dans la lutte contre Covid a également été grossièrement exagérée, comme l'illustre le fait que l'adoption du masque a atteint des niveaux quasi universels aux États-Unis d'ici l'été avec peu d'effet perceptible sur le cours de la pandémie.
Erreur décimale d'Anthony Fauci dans l'estimation des taux de mortalité de Covid (11 mars)
Fauci a témoigné devant le Congrès au début du mois de mars, où on lui a demandé d'estimer la gravité de la maladie par rapport à la grippe. Son témoignage selon lequel Covid était «10 fois plus meurtrier que la grippe saisonnière» a alimenté l’alarme générale et a donné une impulsion majeure à la décision d’entrer en lock-out.
Le problème, comme Ronald Brown l'a documenté dans un article de revue d'épidémiologie, est que Fauci a basé ses estimations sur une fusion du taux de mortalité par infection (IFR) et du taux de mortalité par cas (CFR) pour la grippe, le conduisant à exagérer le danger comparatif de Covid en Un ordre de grandeur. L'erreur de Fauci - qu'il a encore aggravée dans un article de fin février pour le New England Journal of Medicine - a contribué à convaincre le Congrès de la nécessité de mesures de verrouillage drastiques, tout en semant la panique dans les médias et le grand public. Au moment d'écrire ces lignes, Fauci n'a pas reconnu l'ampleur de son erreur et le journal n'a pas non plus corrigé son article.
«Deux semaines pour aplatir la courbe» (16 mars)
Les lockdowners ont opté pour un slogan accrocheur à la mi-mars pour justifier leur fermeture sans précédent de la vie économique et sociale dans le monde: deux semaines pour aplatir la courbe. Le groupe de travail Covid de la Maison Blanche a vigoureusement promu cette ligne, tout comme les médias d'information et une grande partie de la profession d'épidémiologie. La logique derrière le slogan est venue du graphique omniprésent montrant (1) une charge de travail importante qui submergerait notre système hospitalier, ou (2) une alternative atténuée qui répartirait la charge de travail sur plusieurs semaines, le rendant gérable.
Pour arriver au graphique n ° 2, la société aurait besoin de boucler pendant deux semaines des commandes d'abris sur place jusqu'à ce que le problème de capacité puisse être géré. En effet, on nous a dit que si nous n'acceptions pas cette solution, le système hospitalier entrerait en panne catastrophique en seulement 10 jours, comme l'a affirmé l'ancien conseiller pandémique du DHS Tom Bossert dans une interview largement diffusée et dans une chronique du Washington Post le 11 mars.
Deux semaines sont allées et venues, puis la justification sur laquelle ils ont été vendus au public a changé. Les hôpitaux n'étaient plus sur le point d'être débordés - en effet, la plupart des hôpitaux du pays restaient bien en deçà de leur capacité, avec seulement un petit nombre d'exceptions dans les quartiers les plus touchés de New York.
Un navire-hôpital de la marine américaine envoyé pour soulager New York est parti un mois plus tard après avoir servi seulement 182 patients, et un hôpital éphémère dans le Javits Convention Center de la ville était presque vide. Mais les verrouillages sont restés en place, tout comme les ordres d'urgence les justifiant. Deux semaines sont devenues un mois, qui sont devenues deux mois, qui sont devenues presque un an. Nous n'étions plus «aplatir la courbe» - une stratégie fondée sur la sauvegarde du système hospitalier d'une menace qui ne s'était jamais manifestée - mais plutôt recentrés sur l'utilisation des verrouillages comme stratégie générale de suppression contre la maladie elle-même. Bref, la profession d'épidémiologie nous a vendu une facture.
Neil Ferguson prédit un scénario américain de «meilleur cas» de 1,1 million de morts (20 mars)
Le nom de Neil Ferguson, modeleur principal et porte-parole en chef de l’équipe de lutte contre la pandémie de l’Imperial College de Londres, est devenu synonyme d’alarmisme de verrouillage pour une bonne raison. Ferguson a une longue expérience en matière de prédictions excessivement exagérées du nombre de décès catastrophiques pour presque toutes les maladies qui surviennent, et d'exhorter des réponses politiques agressives à la même chose, y compris les verrouillages.
Covid n’était pas différent, et Ferguson a occupé le devant de la scène quand il a publié un modèle très influent des prévisions de décès du virus pour les États-Unis et le Royaume-Uni. Ferguson est apparu avec le Premier ministre britannique Boris Johnson le 16 mars pour annoncer le passage au verrouillage (sans petite ironie, il descendait avec Covid lui-même à l'époque et a peut-être été le patient zéro d'un événement super-épandeur qui a traversé Downing. Street et infecté Johnson lui-même).
De l'autre côté de l'Atlantique, Anthony Fauci et Deborah Birx ont cité le modèle de Ferguson comme justification directe du verrouillage des États-Unis. Il y avait cependant un problème: Ferguson avait la mauvaise habitude de faire énormément passer ses propres prédictions aux dirigeants politiques et à la presse. Le document de l'Imperial College a modélisé un large éventail de scénarios, y compris le nombre de morts allant de dizaines de milliers à plus de 2 millions, mais les déclarations publiques de Ferguson ont seulement souligné ce dernier - même si le document lui-même a admis qu'un tel scénario extrême du «pire des cas» était très irréaliste. Un exemple révélateur est venu le 20 mars lorsque Nicholas Kristof du New York Times a contacté le modélisateur de l’Imperial College pour lui demander quel était le scénario le plus probable pour les États-Unis. Comme Kristof l'a raconté à ses lecteurs, «j'ai demandé à Ferguson son meilleur cas. «Environ 1,1 million de morts», a-t-il déclaré.
Des chercheurs suédois utilisent le modèle de l'Imperial College pour prédire 95000 décès (10 avril)
Après que les prédictions choquantes de Neil Ferguson sur le nombre de morts aux États-Unis et au Royaume-Uni aient captivé l'attention des décideurs politiques et poussé les deux gouvernements à se bloquer, des chercheurs d'autres pays ont commencé à adapter le modèle de l'Imperial College à leurs propres circonstances. Habituellement, ces modèles visaient à réaffirmer les décisions de chaque pays de verrouiller. Le gouvernement suédois avait cependant décidé de renverser la tendance, ouvrant la voie à une expérience naturelle pour tester les performances du modèle impérial.
Début avril, une équipe de chercheurs de l’Université d’Uppsala a adapté le modèle impérial à la population et à la démographie de la Suède et a réalisé ses projections. Leur résultat ? Si la Suède maintenait le cap et ne bloquait pas, elle pourrait s'attendre à un nombre catastrophique de 96 000 morts au début de l'été. Les auteurs de l'étude ont recommandé un verrouillage immédiat, mais étant donné que la Suède était en retard par rapport à l'Europe dans l'adoption de telles mesures, ils ont également prédit que cette «meilleure option» réduirait les décès à «seulement» 30 000.
Début juin, alors que la prévision de 96 000 était censée se réaliser, la Suède avait enregistré 4 600 décès. Six mois plus tard, la Suède compte environ 8 000 morts - une pandémie grave certes, mais un ordre de grandeur inférieur à ce que les modélisateurs avaient prédit. Faisant face à l'embarras de ces résultats, Ferguson et l'Imperial College ont tenté de se distancier de l'adaptation suédoise de leur modèle début mai. Pourtant, les projections de l’équipe d’Uppsala correspondaient étroitement aux prévisions de l’Impériale au Royaume-Uni et aux États-Unis lorsqu'elles ont été mises à l'échelle pour refléter la taille de leur population. En bref, le modèle impérial a échoué de manière catastrophique à l'un des rares tests expérimentaux naturels clairs de sa capacité prédictive.
Les scientifiques suggèrent que les embruns océaniques propagent Covid (2 avril)
Au cours de la deuxième semaine des verrouillages, plusieurs journaux californiens ont promu une théorie bizarre: Covid pourrait se propager par les embruns océaniques (bien que le journal ait plus tard repris cette affirmation qui fait la une des journaux, elle est exposée ici dans le Los Angeles Times). Selon cette théorie - initialement promue par un groupe de biologistes qui étudient l'infection bactérienne liée au ruissellement des tempêtes - le virus Covid a emporté les gouttières des tempêtes et dans l'océan, où la brise de l'océan le ferait exploser dans les airs et infecter les personnes à proximité. des plages. Aussi ridicule que puisse paraître cette théorie, elle a aidé à informer l’application initialement draconienne des restrictions sur ses plages publiques par la Californie.
La même semaine où cette théorie moderne de la dérive miasmique est apparue, la police de Malibu a même arrêté un pagayeur solitaire pour être entré dans l'océan pendant le verrouillage - tout en évoquant la possibilité que la brise océanique ait emporté Covid avec elle.
Neil Ferguson prédit un nombre catastrophique de morts dans les États américains qui rouvriront (24 mai)
Fraîchement sortie de leurs prédictions exagérées de mars, l'équipe de l'Imperial College dirigée par Neil Ferguson a doublé sa modélisation alarmiste. Alors que plusieurs États américains commençaient à rouvrir fin avril et mai, Ferguson et ses collègues ont publié un nouveau modèle prévoyant une autre vague catastrophique de décès d'ici le milieu de l'été. Leur modèle s'est concentré sur 5 États avec des flambées modérées et sévères au cours de la première vague. S'ils rouvraient, selon le modèle de l'équipe impériale, New York pourrait faire face à jusqu'à 3 000 morts par jour d'ici juillet.
La Floride pourrait atteindre 4000 morts et la Californie 5000 morts par jour. En gardant à l'esprit que ces projections ne concernaient que chaque État, elles dépassent les sommets quotidiens du nombre de morts pour l'ensemble du pays à l'automne et au printemps. Montrant à quel point le modèle impérial était mauvais, le nombre réel de morts à la mi-juillet dans plusieurs des États examinés est même tombé en dessous de la limite de confiance inférieure de son décompte projeté. Bien que Covid reste une menace dans les 5 États, l'explosion de décès après la réouverture prévue par l'Imperial College et utilisée pour plaider pour le maintien des verrouillages en place ne s'est jamais produite.
Anthony Fauci attribue des verrouillages pour avoir vaincu le virus en Europe (31 juillet)
Fin juillet, Anthony Fauci a offert un témoignage supplémentaire au Congrès. Son message attribuait aux sévères verrouillages de l’Europe la lutte contre le virus, alors qu’il accusait les États-Unis d’avoir rouvert trop tôt et d’être insuffisamment agressifs lors des premiers verrouillages. Comme Fauci l'a déclaré à l'époque, «si vous regardez ce qui s'est passé en Europe, quand ils ont fermé ou verrouillé ou se sont mis à l'abri sur place - quelle que soit la manière dont vous voulez le décrire - ils l'ont vraiment fait à hauteur d'environ 95 % plus du pays a fait cela.
Le message était clair: les États-Unis auraient dû suivre l'Europe, mais ne l'ont pas fait et ont reçu une vague estivale de Covid à la place. L’argument entier de Fauci était cependant basé sur une série de mensonges et d’erreurs.
Les données sur la mobilité des États-Unis ont clairement montré que la plupart des Américains restaient chez eux pendant l'épidémie de printemps, avec une baisse enregistrée qui correspond à l'Allemagne, aux Pays-Bas et à plusieurs autres pays européens. Contrairement à l’affirmation de Fauci, les États-Unis ont en fait été plus lents que la plupart des pays européens à rouvrir. En outre, son éloge de l'Europe s'est effondré au début de l'automne lorsque presque tous les pays bloqués en Europe ont connu de graves secondes secondes - tout comme les régions verrouillées des États-Unis.
La Nouvelle-Zélande et l'Australie se déclarent exemptes de Covid (août-présent)
La Nouvelle-Zélande et l'Australie ont jusqu'à présent résisté à la pandémie avec un nombre de cas extrêmement faible, ce qui a conduit de nombreux épidémiologistes et journalistes à confondre ces résultats avec des preuves de leurs politiques d'atténuation réussies et reproductibles. En réalité, la Nouvelle-Zélande et l’Australie ont opté pour la stratégie médiévale du «Prince Prospero» consistant à tenter de se séparer du monde jusqu’à ce que la pandémie passe - une approche qui dépend fortement de leurs géographies uniques.
En tant que pays insulaires où les voyages internationaux sont comparativement inférieurs à ceux de l'Amérique du Nord et de l'Europe, les deux pays ont fermé leurs frontières avant que le virus encore non détecté ne se propage et ne soit resté fermé depuis. C'est une stratégie coûteuse en termes d'impact économique et de déplacement personnel, mais elle a empêché le virus d'entrer - surtout.
Le problème avec la stratégie Prince Prospero de la Nouvelle-Zélande et de l’Australie est qu’elle est intrinsèquement fragile. Tout ce qu'il faut pour le jeter dans le chaos, c'est que le virus passe la frontière - y compris par accident ou par erreur humaine. Ensuite, des verrouillages sévères s'ensuivent, imposés avec un maximum de perturbations sous l'impulsion du moment dans une tentative effrénée de contenir la brèche.
L’exemple le plus célèbre s’est produit le 9 août, lorsque la Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern a déclaré que la Nouvelle-Zélande avait atteint 100 jours sans Covid. Puis, à peine deux jours plus tard, une brèche s'est produite, envoyant Auckland dans un grave verrouillage. C’est un modèle qui se répète toutes les quelques semaines dans les deux pays.
Début décembre, nous avons vu une vague d'histoires similaires en provenance d'Australie annonçant que le pays avait battu Covid. Deux semaines plus tard, une autre brèche s'est produite dans la banlieue autour de Sydney, provoquant un verrouillage régional. Il y a eu également des faux pas embarrassants. En novembre, tout l'État d'Australie-Méridionale est entré dans un verrouillage sévère pour un seul cas de Covid mal signalé qui a été attribué à tort à un achat de pizza qui n'existait pas. Alors que les deux pays continuent de célébrer leur faible taux de mortalité, ils ont également subi certaines des restrictions les plus dures et les plus perturbatrices au monde - tout cela à la suite de déclarations prématurées d'être «sans Covid» suivies d'une violation inattendue et d'un autre verrouillage frénétique .
"Les verrouillages renouvelés ne sont qu'un homme de paille" (octobre)
Début octobre, un groupe de scientifiques s'est réuni à l'AIER où ils ont rédigé et signé la Déclaration de Great Barrington, une déclaration attirant l'attention sur les graves préjudices sociaux et économiques des verrouillages et exhortant le monde à adopter des stratégies alternatives pour assurer la protection des plus vulnérables. Bien que la déclaration ait rapidement rassemblé des dizaines de milliers de cosignataires des sciences de la santé et des professionnels de la santé, elle a également rendu les partisans du lock-out furieux. Ils ont répondu non par un débat scientifique sur les mérites de leurs politiques, mais par une campagne de diffamation.
Ils ont répondu en inondant la pétition de signatures de canular et de injures juvéniles, et en colportant des théories du complot follement fausses sur le financement de l'AIER (le principal instigateur des deux tactiques, ironiquement, était un blogueur britannique connu pour la promotion des conspirations du 9/11 Truther). Mais les lockdowners ont également adopté un autre récit: ils ont commencé à nier que les lockdowns étaient même sur la table.
Personne n'envisageait de ramener les verrouillages du printemps, ont-ils insisté. Se disputer à l'automne contre les ordonnances politiquement impopulaires d'abris sur place n'a servi qu'à saper le soutien du public en faveur de restrictions plus étroites et plus tempérées. Les auteurs de Great Barrington, nous a-t-on dit, se disputaient avec un «homme de paille» du passé.
Au cours des semaines qui ont suivi en octobre, une douzaine d'épidémiologistes, d'experts en santé publique et de journalistes, ou plus, ont colporté la ligne «les verrouillages sont un homme de paille». L'affirmation de «l'homme de paille» a vu la promotion dans les principaux médias, y compris le New York Times, et dans un éditorial de deux principaux cosignataires du John Snow Memorandum, une pétition concurrente que les partisans du lock-out ont rédigée en réponse à la déclaration de Great Barrington.
Le message était clair: le GBD sonnait une fausse alerte contre les politiques du passé que les lockdowners soutenaient «à contrecœur» au printemps comme mesure d'urgence mais n'avaient aucune intention de relancer. Début novembre, «l'homme de paille» des nouveaux verrouillages est devenu une réalité dans des dizaines de pays à travers le monde - souvent encouragé par les mêmes personnes qui ont utilisé le canard «homme de paille» en octobre.
Plusieurs États américains ont emboîté le pas, dont la Californie, qui a imposé de sévères restrictions sur les rassemblements privés jusqu'à et y compris la réunion de votre propre famille pour Thanksgiving et Noël. Et quelques semaines plus tard, certains des mêmes épidémiologistes qui ont utilisé la ligne «de l'homme de paille» en octobre ont révisé leurs propres positions après coup. Ils ont commencé à affirmer qu'ils avaient toujours soutenu un deuxième verrouillage et ont commencé à blâmer le GBD pour avoir entravé leurs efforts pour les imposer à une date antérieure. En bref, tout le récit «les verrouillages sont un homme de paille» était faux. Et il semble maintenant que plus de quelques-uns des scientifiques qui l'ont utilisé mentaient activement sur leurs propres intentions en octobre.
Anthony Fauci vante New York comme modèle pour l'endiguement de Covid (juin-décembre)
Selon tous les indicateurs, l'État de New York a subi l'une des pires épidémies de coronavirus au monde. Son taux de mortalité en fin d'année de près de 1 900 décès par million d'habitants dépasse tous les pays du monde. L'État a raté sa réponse dans les foyers de soins lorsque le gouverneur Andrew Cuomo a forcé ces établissements à réadmettre les patients positifs à Covid afin de soulager les tensions sur les hôpitaux. La politique s'est retournée contre lui, car la plupart des hôpitaux n'ont jamais atteint leur capacité, mais les réadmissions ont introduit le virus dans les populations vulnérables des foyers de soins, ce qui a entraîné des décès généralisés (à ce jour, New York sous-estime intentionnellement les décès des foyers de soins en excluant les résidents transférés dans un hôpital de ses chiffres rapportés, obscurcissant davantage le vrai péage de la commande de Cuomo).
New York s'est également mal comporté lors de la «deuxième vague» d'automne malgré la réimposition de restrictions sévères et de mesures de verrouillage régional. À la mi-décembre, son taux de mortalité a dépassé de loin l'État de Floride pour la plupart ouvert, qui a la taille de population comparable la plus proche de New York. Tout bien considéré, la résistance à la pandémie à New York est un exemple de ce qu’il ne faut pas faire.
Les politiques de Cuomo ont non seulement échoué à contenir le virus - elles l'ont probablement rendu beaucoup plus mortel pour les populations vulnérables. Entrez Anthony Fauci, à qui la presse a demandé à plusieurs reprises à quoi ressemblerait un modèle de politique de réponse Covid. Il a donné sa première réponse le 20 juillet: «Nous savons que, lorsque vous le faites correctement, vous dénoncez ces cas. Nous l'avons fait. Nous l'avons fait à New York. »
Fauci fonctionnait sous l'hypothèse que New York, malgré sa mauvaise course au printemps, avait réussi à maîtriser la pandémie grâce à ses verrouillages agressifs et à sa lente réouverture. On pourrait penser que le rebond de l'automne à New York, malgré un nouveau verrouillage, remettrait en cause cette conclusion. Pas tellement pour le Dr Fauci, qui a déclaré au Wall Street Journal le 8 décembre: "New York a été très durement touché au début" mais ils ont fait "un très bon travail de maintien de l'ordre, et malgré tout, leur niveau est bas par rapport au reste du pays. »
The-Bill Gates Pot-de-vin de plusieurs milliards de dollars dans les universités, Big Vaccine, Big Pharma, l'OMS, les NIH / CDC / Fauci et la grande réinitialisation du Forum économique mondial
Par Gary G. Kohls, MD 28 décembre 2020
Merci au Dr Betty Martini pour le grand tableau ci-dessous qui illustre juste une partie de l'influence économique injuste de Bill Gates sur les programmes mondiaux de sur-vaccination de tant d'agences gouvernementales, d'institutions universitaires et de Big Pharma au cours des dernières décennies. (Dr Martini, D. Hum., Est l'un des scientifiques les plus compétents au monde qui comprend les toxicités dangereuses de l'aspartame, cet édulcorant artificiel omniprésent (Diet Coke, et.ad) qui a une multitude d'effets nocifs toxiques. Dr Martini est également une source fiable d'informations concernant la pseudoscience tournant autour des sociétés sociopathiques Big Vaccine qui sont garanties de tuer les divers vaccins Covid profondément défectueux, expérimentaux et génétiquement modifiés qui n'ont pas été réellement approuvés par la FDA - uniquement en cas d'urgence Utilisez l'autorisation (EUA) de cette agence de régulation gouvernementale profondément imparfaite qui reçoit une grande partie de ses revenus annuels des grandes sociétés pharmaceutiques! Le site Web du Dr Martini est à l'adresse: www.mpwhi.com. GGK
Mal traités. Tel est le nom d'un reportage d'1h27 signé Alexandre Chavouet, qui évoque la pandémie de Covid-19, mais surtout les traitements médicaux inhérents et la bataille, autour de l'hydroxychloroquine notamment.
Le documentaire évoque également la pensée unique sanitaire gouvernementale, sous influence de l'industrie pharmaceutique, visant à empêcher tout traitement alternatif à celui que propose les autorités. Producteur exécutif et réalisateur de ce projet, Alexandre Chavouet présente dans ce documentaire les traitement naturels passés sous silence et qui ont prouvé, études scientifiques à l'appui, une efficacité réelle contre la Covid-19.
Un reportage qui permettra d'avoir un autre regard (la mission que s'étaient donnés les réalisateurs d'Hold-Up) sur la pandémie et ses conséquences. Il devrait toutefois susciter la critique et les tentatives de censure habituelles de la petite caste dirigeante, et de ses relais économiques et médiatiques.
A noter que le film est promu et diffusé par la fondation Hippocrate, basée à Sion, en Suisse, qui écrit - sur la seule page que nous ayons trouvé à son sujet - avoir pour but de « promouvoir et soutenir la médecine naturelle et intégrative, préventive et d'accompagnement, ainsi que les thérapeutiques holistiques; de soutenir financièrement les projets de recherche scientifique relatifs à ces thérapies ainsi que les médecins et acteurs qui appliquent et défendent ce type d'approche thérapeutique ». Une fondation qui, à défaut de mettre le documentaire en accès libre ou en accès payant, le propose 48h gratuitement, moyennant l'inscription à sa base de données via l'envoi de votre adresse email (à noter tout de même que nous avons essayé de contacter la fondation par mail, mail qui nous est revenu...).
Voici la bande annonce ci-dessous, ainsi que le film entier à retrouver sur Odysee.
L'État de Washington a gonflé son bilan des décès de COVID-19, conclut l'analyse des certificats de décès
Dimanche 27 décembre 2020 par: JD Heyes
(Natural News) L'un des plus gros mensonges perpétués pendant la pandémie de COVID-19 est le nombre de morts, comme cela a été prouvé à nouveau à la suite d'une analyse des certificats de décès dans l'État de Washington.
Tout au long de la pandémie, le nombre de morts est devenu l'un des aspects les plus politisés, mis en évidence sur de fausses chaînes d'information comme CNN et MSNBC dans le but d'enflammer les passions parmi leur public de gauche et d'alimenter la haine du président Donald Trump, qui a déplacé des montagnes vers obtenir de l'aide pour les États qui n'étaient pas préparés seuls à faire face à l'épidémie.
Mais depuis le début, les Américains ont remis en question la manière dont le bilan «officiel» des morts a été calculé; à savoir, toute personne ayant été testée positive pour le virus et décédée était considérée comme une «mort de coronavirus», même si le virus lui-même n'avait rien à voir avec cela.
Maintenant, grâce à une nouvelle analyse des certificats de décès dans l'État de Washington, nous avons encore plus de preuves pour remettre en question le nombre de décès dus au virus.
The Epoch Times rapporte:
Une analyse du certificat de décès montre que le nombre de décès attribués au COVID-19 dans l'État de Washington reste gonflé, selon une nouvelle enquête.
La Freedom Foundation, un groupe de réflexion sur le marché libre, a publié une recherche en mai affirmant que le nombre total de décès par COVID-19 du ministère de la Santé de l'État était gonflé de 13% en comptant toutes les personnes testées positives pour la maladie, même si le la mort n'a pas été causée par cela.
Les responsables de la santé de Washington ont ensuite admis que oui, certains décès déclarés par l'État comme «liés au COVID» n'étaient pas réellement causés par le virus.
Il s'agissait notamment de personnes qui ont été abattues, selon Katie Hutchinson, la responsable des statistiques sanitaires au département de la Santé de l'État de Washington, qui a discuté du nombre de morts avec des journalistes ces derniers jours.
En outre, elle a déclaré que les responsables de la santé examinaient actuellement quelque 3000 certificats de décès qui montraient que ces personnes étaient décédées de symptômes similaires au COVID-19, mais il n'était pas du tout clair que le virus avait réellement causé la mort.
Selon un e-mail interne, Hutchinson a également déclaré que «en théorie», l'auteur du rapport de la Freedom Foundation avait «raison» en notant qu'une personne qui avait été testée positive pour le virus mais est décédée dans un accident de voiture un mois plus tard serait également comptabilisée comme une «mort COVID».
Cela prend tout son sens quand on y pense; nous ne comptons pas les décès dus à la grippe de la même manière (tout décès lié à la grippe comme un arrêt cardiaque ou un décès par pneumonie), alors pourquoi avons-nous compté les décès par COVID de cette manière ? La politique, quelqu'un ? Alors la faction anti-Trump pourrait-elle le frapper sur la tête quotidiennement ? Pour contrôler les gens ?
Quelle que soit la raison, il est évident que l'on nous a menti - encore une fois - à propos de ce virus.
En juin de cette année, environ un mois après la publication de l’analyse initiale de la Freedom Foundation, les responsables de la santé de l’État ont signalé qu’ils changeaient la façon dont les décès par COVID étaient comptés. (Connexes: quatre volontaires immunisés avec le vaccin contre le coronavirus de Pfizer ont développé la paralysie de Bell; la FDA nie que le jab l'ait causé.)
«Jusqu'à présent, lorsqu'un décès est signalé comme un décès par COVID-19, c'est parce que la personne décédée a également été testée positive pour le COVID-19. Cependant, cette méthode ne reflète pas seulement les décès de personnes dont la mort a été causée par COVID-19; il peut inclure une personne qui peut être décédée d'autres causes », a déclaré le ministère de la Santé de Washington dans un communiqué.
Mais la nouvelle analyse du groupe a révélé que Washington surdéclarait toujours les décès par COVID, et peut-être des centaines de cas.
La nouvelle analyse a examiné près de 2000 certificats de décès et n'a pas trouvé de référence au COVID-19 sur 170 d'entre eux. 171 autres viennent de faire référence au COVID-19 comme un «facteur contributif» potentiel, a déclaré le groupe dans un communiqué de presse. Des dizaines d'autres cas «n'avaient qu'un lien douteux ou minime avec le virus».
"Ne fais pas d'erreur. Ce n’est pas une erreur comptable innocente dont nous parlons », a déclaré Aaron Withe, directeur national de la Freedom Foundation, dans un communiqué. «Il s'agit d'une agence d'État sous l'autorité du gouverneur Jay Inslee qui continue de déformer le nombre de personnes décédées du COVID même après avoir déjà été surpris en train de faire la même chose.»
En fait, les Américains ne connaîtront peut-être jamais le nombre exact de décès légitimes liés au COVID-19. Mais nous en savons maintenant assez pour conclure que les décomptes dans tous les États ont été exagérés; la question est, pourquoi ?
Voir plus de rapports comme celui-ci sur Pandemic.news.
Des traîtres à l'intérieur de la Maison Blanche et un appel aux patriotes pour se rendre à Washington DC du 4 au 6 janvier
December 28th, 2020
Il y a une semaine, une réunion de quatre heures a eu lieu avec le président Trump, Sidney Powell, Rudy Guiliani, Michael Powell et le personnel juridique clé de Whitehouse. Patrick Byrne (milliardaire fondateur d'Overstock, combattant contre la corruption de Wall St) était là.
"Trahi de l'intérieur"
Byrne a fait plusieurs interviews la semaine dernière. Celui avec Jerome Corsi était probablement le plus détaillé. À regarder, alors qu'une histoire extraordinaire se déroule. Il raconte une histoire d'initiés à la Whitehouse à Whitehouse, où des cadres juridiques se sont apparemment vu offrir des salaires d'un million de dollars par des étrangers et ont menacé d'être «annulés» s'ils ne jouent pas le bon jeu, qui consiste à convaincre Trump concéder. L'équipe senior s'appuie sur les juniors. Les avocats intéressés sont incroyablement irrespectueux, sexistes et Byrne les licencierait en un instant s'ils travaillaient pour lui.
- voir clip sur site -
Selon Byrne - Trump est l'homme le plus intelligent de la salle (Byrne a un doctorat de Stanford) - un gentleman, très différent de ce que les médias décrivent, et «trop gentil» presque trop un défaut. Byrne est un petit libéral qui n'a pas voté pour Trump, mais qui semble être devenu l'un de ses plus grands partisans depuis sa rencontre. Mais il insiste, et du point de vue de Trump aussi - il ne s’agit pas de Trump ou de Biden, mais de la République. Trump a besoin de cette bataille «comme un trou dans la tête» et concéderait volontiers et «aurait une belle vie» si seulement les élections avaient été organisées équitablement et que l'avenir des États-Unis n'en dépendait pas.
Il souligne qu'il n'y a eu aucune mention de l'acte d'insurrection ou de la loi martiale lors de la réunion malgré la fabrication à 100% de cette affirmation dans le New York Times.
Il était heureux que Trump ait accepté le plan que lui, Powell et Flynn voulaient dans la demi-heure, mais ils ont passé les trois heures suivantes à travailler contre les avocats qui disaient non et à ne rien faire de lâches. La réunion était si passionnée qu'elle en est presque venue aux coups de poing.
Selon Byrne, toutes les preuves sont là, elles seront révélées et ils ont retracé les communications électroniques des machines électorales directement en Chine. (Plus à ce sujet dans le prochain post).
Manifestations de masse à venir les 4, 5, 6 janvier 2021 Patrick Byrne termine par un appel à tous ceux qui aiment leur pays à se rendre à la manifestation de masse les 4, 5 et 6 janvier à Washington D.C. Et aux personnes qui ne peuvent pas y arriver - à viser les législatures de leur État les mêmes jours.
Voir son fil Twitter pour des citations: @PatrickByrne. Où - par coïncidence - a publié il y a 4 heures un message "Est-ce étrange ?" et montre une vidéo de ce qui ressemble à une longue boule de feu rougeoyante dans le ciel. Cela dure trop longtemps, trop lentement, pour être un météore. Qu'Est-ce que c'est ? Les commentateurs suggèrent une traînée d'avion au soleil. Mike dit: C'est le camping-car de Nashville qui rentre dans l'atmosphère
Les ventes d'armes à feu en 2020 détruisent les records alors que les Américains verrouillent N 'Load
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 27 DÉC 2020-17: 10
Au milieu de la "tempête parfaite '' de tensions raciales, de verrouillages et d'un pic record de chômage qui a coïncidé avec une vague de criminalité nationale en 2020, les gens se sont approvisionnés en armes à feu comme jamais auparavant.
Selon les données mensuelles du FBI, novembre a été le mois le plus chargé jamais enregistré pour la vérification des antécédents avec plus de 3,6 millions de demandes - un chiffre en hausse de 40 % par rapport à novembre précédent, plaçant le pays à un niveau record de 35758249 chèques jusqu'à présent cette année. - et 26 % de plus que les 28 400 000 chèques de 2019.
Propriétaire typique d'une arme à feu
L'augmentation par rapport à 2019 marque la plus forte augmentation en pourcentage de l'histoire de 21 ans du système national de vérification instantanée des antécédents criminels (NICS) (lorsque l'on exclut les données de l'année 2000 lorsque le système a été entièrement mis en œuvre et a produit une augmentation synthétique de 1000 %).
Pourtant, les 3,6 millions de chèques de novembre ne le placent qu'au quatrième rang en 2020, alors que juin a vu un record de 3931607 chèques au milieu d'émeutes et de violences généralisées au milieu des manifestations anti-police du BLM qui ont commencé à la fin mai après la mort de George Floyd, un homme noir décédé en garde à vue de la police de Minneapolic.
Comme le note Just The News:
Ce nombre augmentera certainement encore plus: le total actuel des chèques en 2020 n'inclut pas les chiffres de décembre. Les données historiques indiquent que les contrôles de décembre ont tendance à être plus élevés que le reste de l'année.
Bien que chaque vérification des antécédents individuels ne représente pas nécessairement un acheteur individuel (de nombreux acheteurs d'armes à feu achèteront plusieurs armes par an, tandis que beaucoup d'autres échoueront à leur vérification des antécédents), l'industrie des armes à feu a signalé une activité importante pour la première fois cette année.
La National Shooting Sports Foundation a rapporté en juin que les détaillants d'armes à feu estimaient que 40% de leurs ventes au cours des quatre premiers mois de l'année étaient allés à des propriétaires d'armes pour la première fois, et que près de la moitié de ces acheteurs pour la première fois étaient des femmes, deux hausses notables.
«Les ventes d'armes à feu ont été élevées et stables toute l'année, même pendant l'arrêt [COVID-19]», a déclaré Peyton Galanti, porte-parole de la Colonial Shooting Academy de Richmond, en Virginie, qui a ajouté que le marché avait été conduit par «d'abord- les acheteurs d'armes à feu "et les" personnes qui n'auraient jamais pensé posséder une arme "(également connus sous le nom de démocrates).
"Nos classes ont été épuisées des mois à l'avance et, jusqu'à cette semaine environ, le temps de parcours a également augmenté toute l'année", a ajouté Galanti.
Pendant ce temps, les ventes record d'armes à feu ont coïncidé avec une pénurie massive de munitions.
"Obtenir des armes à feu, obtenir des optiques, obtenir des munitions est difficile en ce moment", a déclaré Tim Grover, instructeur d'armes à feu chez Rev-Tac, basé à Jackson, dans le Nebraska.
Jake Schira, propriétaire de Gunsmith Jake LLC à Rothschild, WI dit: "Je reçois 20 à 40 appels par jour concernant des personnes qui cherchent à acheter des munitions ou à les chercher." Un autre propriétaire de magasin d'armes à proximité, Mitch Mode, a déclaré à WAOW: "Nous sommes dans la saison des cerfs, où nous devrions avoir des munitions pour tout le monde, mais nous n'avons de munitions pour personne."
La tempête du Nouvel An pourrait causer des ravages à travers les États-Unis
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 27 DÉC 2020-19: 30
Une nouvelle tempête balayera le pays la semaine prochaine, tout comme la dernière, du sud-ouest aux plaines du Midwest à l'est, répandant la pluie et la neige en cours de route.
Alors que 2020 se termine et que 2021 n'est qu'à quelques jours, il semble que des conditions météorologiques plus mauvaises soient en route. La tempête se déroulera en deux phases, selon The Weather Channel.
- voir carte sur site -
La première phase débutera dimanche soir.
San Francisco et Los Angeles seront frappés par de fortes pluies, des vents forts et de la neige en montagne.
D'ici mardi à mercredi, la tempête traversera la partie centrale du pays avec de fortes chutes de neige pour l'Iowa, le Minnesota et le Wisconsin. De la pluie est attendue le long de la vallée du fleuve Mississippi avec de violents orages au Texas.
La deuxième phase de la tempête commencera au milieu de la fin de la semaine.
À la veille du Nouvel An, de fortes pluies et des orages sont attendus dans les régions de la côte du golfe du Mexique et de la vallée du Tennessee. De la pluie et du vent sont également attendus dans toutes les grandes villes du centre de l'Atlantique et du nord-est. Plus de neige pourrait se développer dans le Midwest et les Grands Lacs. Un mélange hivernal pouvait être vu dans le nord du Texas et dans certaines parties de l'Oklahoma. Certaines parties du nord-est près de la frontière canadienne pourraient voir s'accumuler des chutes de neige.
Les météorologues du BAMWX ont analysé "103 des modèles d'ensemble" pour le potentiel de tempête du Nouvel An / Jour.
J'ai examiné les 103 modèles d'ensemble pour le potentiel de tempête #NewYearsDay ...
Jusqu'à présent, il n'y a pas de consensus car les modèles continuent de faire des changements drastiques vers l'ouest à chaque nouvelle course.
Peut-être une certaine cohérence se produira-t-elle aujourd'hui ? Brutal ... pic.twitter.com/lcl4HpHolB
- BAMWX (@bamwxcom) 27 décembre 2020 La précision des modèles météorologiques s'améliorera considérablement dans les prochains jours, néanmoins, si vous prévoyez de voyager et de vous mélanger avec d'autres ménages autour du Nouvel An, soyez prudent, une tempête potentiellement puissante pourrait se diriger vers l'est des États-Unis.
La propagande dans les médias de masse est l'ennemi n ° 1: notes du bord de la matrice narrative
Par Caitlin Johnstone CaitlinJohnstone.com 28 décembre 2020
L'outil le plus orwellien de nos dirigeants qui fait le plus de dégâts et affecte le plus de vies n'est pas la surveillance, ni la militarisation policière, ni le secret gouvernemental, mais la propagande des médias de masse nationaux. C’est aussi le plus négligé. Il est bon de protester contre les autres mécanismes de contrôle autoritaire, mais la propagande est l’ennemi numéro un.
Vous n’avez pas besoin d’espionner les groupes dissidents si vous pouvez contrôler suffisamment l’opinion publique pour empêcher la formation de ces groupes. Vous n’avez pas besoin de la capacité d’annuler les soulèvements publics si vous pouvez dissuader les gens de se lever du tout. Et ils peuvent. Et ils le font.
La capacité de la classe ploutocratique à manipuler la pensée publique à grande échelle est l'aspect le plus négligé et sous-estimé de notre société. Il déforme l'intégralité de notre spectre politique, toute notre pensée, tout notre discours et ce que nous percevons comme normal. Et vous ne voyez tout simplement pas les gens se battre. L’ACLU ne protège pas la souveraineté mentale des gens contre les manipulations d’oligarques sociopathes alignés sur le gouvernement. Les gens n’amènent pas la classe des propriétaires de médias devant la Cour suprême pour ingérence effrontée dans les élections. Les gens ne descendent pas dans la rue pour protester. Mais ils pourraient.
En termes d'effet sur la société, aucun outil de contrôle ne se rapproche d'autant plus des intérêts des puissants contre les intérêts du peuple que la propagande nationale parrainée par les ploutocrates. Rien ne changera tant que les gens ne commenceront pas à le remarquer et à y résister.
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Les théories sur les complots d'élite visant à renforcer le contrôle de la population ont tendance à sous-estimer considérablement le contrôle qu'ils ont déjà.
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Vouloir que le gouvernement américain ait un «leader compétent», c'est comme vouloir qu'un tueur en série soit habile à échapper à la détection.
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Un nouveau rapport indique que la Chine dépassera les États-Unis en tant que première économie mondiale d’ici 2028. C’est la vraie raison pour laquelle ils ont besoin que vous détestiez la Chine dès maintenant. Remplacez mentalement tous leurs récits soigneusement fabriqués par ceci.
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L’incapacité du Parti démocrate à saisir cette opportunité évidente et à transformer «Nous voulons vous donner de l’argent et ils ne le font pas» en une plate-forme de victoire électorale serait étrange… si la fonction principale du Parti démocrate était de gagner les élections. Mais ce n’est pas le cas. La fonction première du Parti démocrate est de tuer tout mouvement de gauche aux États-Unis pour faire en sorte que les Américains restent trop pauvres et impuissants pour s’ingérer dans le fonctionnement de l’empire.
Le Parti démocrate est ce à quoi ressemblerait le gauchisme si vous le dépouilliez de tout ce qui pourrait éventuellement gêner les ploutocrates, les agences de renseignement ou le complexe militaro-industriel de quelque manière que ce soit.
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Ce n'est pas seulement que les démocrates ignoreront toutes les choses perverses que Biden va faire, c'est qu'ils ont ignoré toutes les choses les plus perverses que Trump a faites pendant son mandat. Ce n’est pas simplement une chose partisane: ils voient vraiment le meurtre d’étrangers comme une affaire présidentielle américaine normale.
Une grande partie des critiques de Biden consistera en «Si Trump avait fait cela, les démocrates hurleraient!» Et ce sera simplement faux; ils ne le feraient pas. Pas si cela faisait avancer les intérêts des oligarques, des profiteurs de guerre ou des agences de renseignement sociopathiques. Nous le savons parce qu’ils ne l’ont pas fait.
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Alors que les choses se réchauffent à nouveau avec l'Iran, rappelez-vous qu'il n'y a jamais, jamais aucune raison de traiter les allégations non prouvées des États-Unis sur les agressions d'une nation non alignée avec autre chose que la dérision et le rejet.
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Montrez-moi d'abord une preuve vérifiable que la nation accusée a fait ce que dit le gouvernement américain. Ensuite, montrez-moi la preuve que ce qui a été fait n’était pas une réponse valable à ce que font les États-Unis. Alors montrez-moi la preuve que l'interventionnisme aiderait. Alors va te faire foutre, car tu ne feras rien de tout ça.
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Les gens qui disent que le monde est contrôlé par les reptiliens de l'espace ont plus de crédibilité que les journalistes de médias de grande envergure qui répètent sans critique les affirmations non prouvées du gouvernement sur les agressions de nations non alignées.
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Cela ne me rendra jamais furieux que lorsque le moment est venu pour les femmes de commencer à revendiquer un espace à taille humaine dans notre société, la solution que nous avons trouvée était pour nous de commencer à agir davantage comme des hommes. C'était exactement le contraire de ce dont le monde a besoin.
«Nous voulons l'égalité, alors sautons dans le jeu capitaliste inventé par les hommes et le jeu politique inventé par les hommes et les jeux de guerre inventés par les hommes et prouvons que nous pouvons être aussi fous et destructeurs que n'importe quel homme.»
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Les shitlibs cyniques de placard peuvent faire sonner n'importe quoi. Changement de régime en Syrie. Escalade de la guerre froide contre la Russie et la Chine. Assange frottis. Attaques contre le mariage de Glenn Greenwald. N'importe quoi. Un peu de jargon gauchiste savamment mélangé et du coup il peut être gauchiste pour soutenir la CIA.
Lorsque les humains sont apparus pour la première fois, ce sont les fortes brutes qui dirigeaient la tribu. Plus tard, ce sont les manipulateurs intelligents qui ont dirigé, car ils pouvaient manipuler les brutes fortes pour qu'elles exécutent leurs ordres. Maintenant, les manipulateurs s'efforcent de rendre obsolètes même leurs armées brutes grâce à la technologie, il ne s'agira donc que de manipulateurs intelligents en haut et de tous les autres en bas. C'est la vraie revanche des nerds.
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La façon d'obtenir ce que vous voulez est de continuer courageusement à sauter dans les trous intérieurs des lapins d'auto-exploration, d'apprendre ce qui vous fait vibrer, de nettoyer vos illusions et de guérir vos blessures psychologiques. En outre, vous finirez par vouloir des choses complètement différentes de celles de vos débuts.
Ce ne sont pas seulement les merdias !! Il y a eu dans toutes les écoles (publiques & privées) de la désinformation de répandus durant des millénaires !!
Du "Comment faire du feu ?"/"Avec 2 silex !"/"HAHAHAHA ! (essayez d'enflammer une touffe de coton avec des étincelles !! Hahaha ! A l'Âge de fer (il y a 3000 ans) ils avaient du fer, ils avaient de l'eau, ils avaient du feu. Il a fallut attendre 3000 ans pour que soit inventé le chauffage central !!! 3000 ans !!!
Une hausse des prix de la viande est à prévoir... avant sa complète disparition ? Bienvenue dans l'Ère du Covid et de l'écologie totalitaire qui se prétend « vertueuse »
M.K. Scarlett Sott.net dim., 27 déc. 2020 12:22 UTC
Ce n'est pas la première fois que les êtres humains carnivores-méchants sont pointés du doigt, mais ils le sont de plus en plus. Une nouvelle étude comparant l'empreinte environnementale des viandes Bio et des viandes dites « conventionnelles » — pour les scientifiques, ce terme est plus « acceptable » pour les masses que celui pas-beau-pas-ragoûtant « d'élevage industriel » — a récemment été publiée dans Nature Communications, et il s'avère — comme c'est « bien commode pour certains » comme nous le verrons plus loin — que selon cette étude, l'empreinte environnementale des viandes Bio ne serait pas moins élevée que les autres. La viande biologique est donc aujourd'hui attaquée pour sa soi-disant empreinte environnementale. Le grand cirque continue...
Cette étude indique ainsi que les productions Bio et non Bio auraient un impact identique sur l'environnement notamment pour le bœuf et le mouton. L'étude met aussi en avant le fait que l'empreinte environnementale des élevages de porcs dits « conventionnels » se révèle être plus importante que celle des élevages en agriculture biologique, et que les poulets issus de la filière non Bio auraient pour leur part moins d'impact sur l'environnement que leurs homologues Bio.
Parcourons dans un premier temps la description de cette étude effectuée par Breizh-Info dans leur article publié le 26 décembre, et nous reviendrons ensuite sur des considérations plus générales. « Pour expliquer cette empreinte environnementale pour ce qui est de l'élevage conventionnel, les auteurs de l'étude expliquent que les principales émissions proviennent du fumier et du méthane produit par les vaches et moutons. L'équipe de chercheurs a aussi déterminé l'impact de la nourriture administrée aux animaux, à savoir le bilan carbone des céréales ou encore le fait que ces dernières soient en lien avec la déforestation, comme cela peut être le cas en Amérique du Sud.
Mais, si ces premières conclusions ne constituent pas réellement une nouveauté, celles au sujet de l'élevage biologique sont particulièrement rudes pour ce dernier. En effet, la publication souligne que, si les animaux élevés en bio ne sont pas nourris avec du fourrage importé mais souvent avec de l'herbe, cela a aussi pour conséquences le fait qu'ils produisent moins de viande et grandissent moins rapidement. Ce qui occasionne en contrepartie davantage d'émissions de gaz à effet de serre de la part de ces bêtes avant qu'elles ne soient abattues.
Avec cette mise à l'index de la viande produite y compris par la filière biologique, l'équation devient sérieusement compliquée à résoudre pour les carnivores. Difficile de ne pas y voir une chasse aux consommateurs de viande en bonne et due forme quand, dans le même temps, l'étude met aussi l'accent sur le faible impact environnemental des cultures végétales, en conventionnel comme en biologique par rapport à la production de viande.
Le coût climatique est le même pour la viande conventionnelle et la viande Bio
Par ailleurs, les chercheurs à l'origine de l'étude n'y vont pas par quatre chemins quant à leurs préconisations : ils suggèrent directement aux responsables politiques d'imposer des taxes sur la viande afin que, selon eux, les prix imposés aux consommateurs reflètent le coût environnemental réel des élevages.
Outre la culpabilisation des consommateurs de viande, ces scientifiques souhaitent ainsi leur faire payer leur supposée responsabilité dans le changement climatique de la planète. En allant acheter un morceau de bœuf chez votre boucher, serez-vous alors prêts à payer celui-ci beaucoup plus cher en compensation de votre implication indirecte dans une tempête ou une inondation de l'autre côté du globe ? Si cette idée loufoque peut prêter à sourire, elle fait pourtant son chemin dans certains milieux scientifiques et politiques.
Plus surprenant encore, les chercheurs en question ont aussi établi le niveau des hausses de prix nécessaire pour couvrir le « coût climatique » de la consommation de viande. Ils préconisent d'augmenter de 40 % les prix de la viande conventionnelle dans les magasins, et de 25 % ceux de la viande biologique. Si les auteurs de l'étude ont basé leur calcul sur la production alimentaire allemande, ils considèrent que ces résultats seraient similaires dans tous les pays de l'Union européenne.
Avec de telles conclusions, c'est donc une nouvelle attaque contre la consommation de viande qui est menée tandis que de nombreux éleveurs, notamment en Bretagne, ont réalisé des efforts considérables ces dernières années afin de transformer leur exploitation du mode conventionnel au biologique. »
Considérations plus générales
L'Ère du Covid n'a qu'un seul but et l'« écologie » a bon dos, mais ça c'est désormais évident : depuis qu'elle est devenue politique, l'écologie est aussi devenue totalitaire. Connaissant la main-mise des lobbies d'Agro-Pharma exercée depuis des années sur les — et/ou avec l'aide des — gouvernements, il ne fait presque aucun doute que cette taxe sera appliquée très prochainement. Les relations familières et d'intérêts désormais avérées entre le politique et l'industrie mondialiste préparent l'enfer pour les populations. Ils aimeraient — et s'y attellent — nous forcer à acheter de la viande artificielle qui contient d'énormes quantités de glyphosate et des produits qui visent à « remplacer les aliments nutritifs et sains par des créations de laboratoire génétiquement modifiées qui sont présentés comme saines et durables, ce qu'elles ne sont évidemment pas ».
Rappelons-nous que le philanthro-capitaliste Bill Gates exerce une influence majeure sur la technologie et la médecine — et sur les vaccins en particulier — mais qu'il dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale :
« La Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement par le financement de projets et la mise en forme de l'expertise, mais aussi par le financement des plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole. Ce rôle de la Fondation Bill & Melinda Gates dans la prise de décisions politiques basées sur son modèle technologique de développement agricole dont elle est propriétaire est souvent négligé... » Rappelons-nous que le Forum économique mondial prône, aidé par le livre écrit par son directeur Klaus Schwab, ce qui suit :
« la sécurité alimentaire mondiale ne sera atteinte que si les réglementations sur les aliments génétiquement modifiés sont adaptées pour refléter la réalité selon laquelle la manipulation génétique offre une méthode précise, efficace et sûre pour améliorer les cultures. » Ils veulent mettre en place un régime alimentaire qui vise à
« réduire la consommation de la population mondiale en viande et en produits laitiers jusqu'à 90 % dans certains cas, et à la remplacer par des aliments fabriqués en laboratoire, des céréales et de l'huile. » Il s'agit aussi au passage d'un marché juteux et d'une prise de contrôle par les entreprises mondialistes du système alimentaire, aidés par des soi-disant études « scientifiques », un domaine aujourd'hui corrompu jusqu'à la moelle. Ces mêmes « scientifiques » corrompus aident à « définir, discuter et faire avancer les questions clés de l'agenda mondial ».
Rappelons aussi que leur date butoir de 2030 pour la mise en place de leur Grande Réinitialisation n'est en rien arbitraire mais a tout à voir avec l'Agenda 2030 qui suit l'Agenda Santé 2020 :
« L'Agenda 2030 fera le lien entre toutes les dimensions du développement — y compris la santé — et l'environnement, la prospérité et toutes les interventions et politiques nécessaires pour la population. » Rappelons enfin que la Grande Réinitialisation est supposée être globale :
« Ses organisations partenaires comprennent les plus grands acteurs de collecte des données, des télécommunications, de l'industrie de l'armement, de la finance, des produits pharmaceutiques, de la biotechnologie et de l'industrie alimentaire.
Les plans du Forum économique mondial pour la « réinitialisation » de l'alimentation et de l'agriculture comprennent des projets et des partenariats stratégiques qui favorisent les organismes génétiquement modifiés, les protéines fabriquées en laboratoire et les produits pharmaceutiques et chimiques industriels comme solutions durables aux problèmes d'alimentation et de santé. »
Tous ces plans concoctés de longue date ont un seul but majeur : le contrôle d'autant d'éléments de la vie planétaire que possible, par tous les moyens qu'ils jugeront bons d'utiliser — en passant par l'ingénierie sociale et la fenêtre d'Overton plus qu'abondamment utilisées depuis neuf mois dans les medias de masse et par les hommes et les femmes politiques pour faire accepter aux masses l'inacceptable et leur faire croire que les « miraculeux vaccins » nouvelle génération leur offriront la Liberté de retourner à leur vie d'avant.
Il n'y aura pas de retour à la « normale ». Il y aura d'autres confinements, en France le 3e est pour dans quelques jours, ailleurs il est déjà en place. On peut même avancer qu'il pourrait y avoir en 2021 au moins deux ou trois autres confinements-mesures-coercitives qui achèveront de mettre l'économie par terre et qui pourra dès lors lancer le grand chambardement-chaos qu'ils appellent Grande Réinitialisation en vue d'installer leur Nouvel ordre mondial. La question à un million d'euros : « Y parviendront-ils ? »
CRIIGEN — Note d'expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies de modifications génétiques des organismes
Christian Vélot — CRIIGEN Sott.net dim., 27 déc. 2020 09:09 UTC
Nous reproduisons ici la totalité de la « Note d'expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM » écrite et publiée en septembre 2020 par le Dr Christian Vélot, généticien moléculaire à l'Université Paris-Saclay et Président du Conseil scientifique du CRIIGEN. Le tout est assez technique mais toutefois essentiel à ceux qui rechercheraient des informations plus formelles sur les sujets qui y sont traités. Les mises en gras dans le texte sont de notre fait. Pour les lecteurs qui l'auraient manqué, voir aussi l'interview sur le même sujet — bien que plus simplifié — du docteur Vélot que nous avons récemment publié : Les « vaccins » nouvelle génération et le Covid-19 — Interview intégrale du Docteur Christian Vélot.
Vaccins OGM
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I. Rappels de quelques notions et de terminologie
1. La cellule, l'ADN, l'ARN, les protéines
L'ADN est le support de l'information génétique. Il est localisé dans un compartiment particulier de chaque cellule de l'organisme, le noyau, lequel est séparé du reste de la cellule (le cytoplasme) par une membrane biologique appelée membrane nucléaire et contenant des ouvertures (les pores nucléaires). Chaque cellule est elle-même délimitée par une membrane biologique appelée membrane plasmique et constituée d'une bicouche de lipides (Figure 1). L'information génétique est identique dans toutes les cellules du corps d'un même individu, et est répartie sur plusieurs entités appelées chromosomes. Chez les humains, le nombre de chromosomes différents est de 23. Ils sont présents en double dans chaque cellule (à l'exception des spermatozoïdes et des ovules où ils ne sont qu'en un seul exemplaire), soit 46 chromosomes (23 paires comprenant chacune un chromosome provenant du père et l'autre provenant de la mère). L'ensemble des chromosomes d'un organisme vivant constitue son génome.Chaque chromosome est constitué de deux brins parallèles entourés autour d'un axe pour former une double hélice : la double hélice d'ADN. Chacun des deux brins de cette double hélice est lui-même constitué de l'enchaînement de quatre molécules plus petites, les nucléotides, que l'on désigne par leurs initiales respectives, c'est-à-dire quatre lettres : A,G,C,T (Figure 1).
Les gènes sont des segments de chromosomes (des morceaux de séquences en quatre lettres) qui détiennent une (ou des) information(s) biologique(s) permettant aux cellules de fonctionner. Un même gène chez une même espèce peut exister sous différentes formes, avec de légères modifications de séquence : ce sont les différents allèles d'un gène. Les allèles de l'ensemble des gènes d'un individu déterminent son génotype. Pour l'essentiel des gènes que nous connaissons aujourd'hui (et qui ne représentent qu'une toute petite partie d'un génome), les gènes détiennent le secret de fabrication des protéines. Les protéines sont de grosses molécules constituées par l'enchaînement linéaire, non pas de quatre, mais de 20 molécules différentes : les acides aminés (Figure 1). Le passage d'un gène à une protéine correspond donc au passage d'un langage en quatre lettres (A,G,C,T : le langage génétique) à un langage en 20 lettres (les 20 acides aminés : le langage protéique). Ce processus s'appelle d'ailleurs la traduction.
Toutefois, le passage du gène à la protéine n'est pas direct : il nécessite une molécule intermédiaire, constituée elle aussi de l'enchaînement de quatre nucléotides (langage génétique A,G,C,U au lieu de A,G,C,T) et formée d'un seul brin (simple hélice). Il s'agit d'une molécule d'ARN, appelée aussi transcrit car elle est le résultat d'un processus appelé transcription (passage de l'ADN à l'ARN) qui a lieu dans le noyau. Cette molécule d'ARN va ensuite sortir du noyau par les pores nucléaires pour rejoindre le cytoplasme où elle sera traduite en protéine. L'expression d'un gène codant une protéine se fait donc en deux étapes, la première (nucléaire)étant la transcription, et la seconde (cytoplasmique) la traduction (Figure 1).
Précisons que tous les gènes ne codent pas des protéines. Autrement dit, l'expression des gènes ne comprend pas toujours une étape de traduction mais, en revanche, passe systématiquement par une étape de transcription. Les transcrits ne sont donc pas toujours des intermédiaires mais peuvent être les produits finis de l'expression génique. Figure 1-Note d'expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM-Christian Vélot-Septembre 2020
- voir tableau sur site -
2. Les virus
Les virus sont des agents infectieux constitués d'une coque protéique appelée capside, constituée de la juxtaposition d'un grand nombre d'exemplaires d'une protéine virale, et renfermant le matériel génétique du virus (Figure 2) qui est soit de l'ADN soit de l'ARN. De nombreux virus sont en plus entourés d'une enveloppe qui est constituée d'une bicouche de lipides correspondant à celle de la membrane plasmique de leurs cellules hôtes (les cellules qu'ils infectent) et contenant des protéines qui y sont enchâssées : les protéines de surface du virus (Figure 2). Les virus possédant une enveloppe sont appelés des virus enveloppés ; ceux n'en possédant pas sont les virus nus (Figure 2). Le virus SARS-CoV-2, responsable de la Covid-19, est un virus enveloppé, de même que le virus de la grippe ou le VIH, responsable du SIDA.
Les virus n'ont pas la capacité de se reproduire seuls et doivent nécessairement infecter des cellules hôtes dont ils détournent l'activité au profit de leur propre multiplication. Pour cela, les virus injectent leur matériel génétique dans les cellules qu'ils infectent. Celles-ci vont alors multiplier ce matériel génétique et exprimer les gènes viraux qu'il contient afin de produire en grand nombre les protéines virales. De nombreuses particules virales vont alors se reconstituer à l'intérieur de la cellule infectée.
Pour les virus nus, la reconnaissance des cellules hôtes se fait par l'intermédiaire des protéines de la capside qui vont interagir spécifiquement avec une ou plusieurs protéine(s) située(s) dans la membrane plasmique des cellules hôtes. Cette interaction permet l'encrage du virus à la surface de la membrane plasmique puis sa pénétration dans les cellules ainsi infectées. Dans le cas des virus enveloppés, la reconnaissance et l'encrage se fait par la protéine de surface, et la pénétration du virus par fusion entre l'enveloppe virale et la membrane plasmique de la cellule hôte.
- voir tableau sur site -
Figure 1-Note d'expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM-Christian Vélot-Septembre 2020
Une fois à l'intérieur de la cellule infectée, le matériel génétique viral va y être pris en charge selon des mécanismes différents en fonction notamment de sa nature : ADN ou ARN.
Pour les virus à ADN, l'ADN viral est directement pris en charge par la machinerie de la cellule infectée afin de le répliquer et d'exprimer ses gènes pour produire les protéines virales. Dans un certain nombre de cas, l'ADN viral peut aussi s'intégrer dans le génome des cellules infectées (c'est notamment le cas du papillomavirus responsable de cancers de l'utérus).
Concernant les virus à ARN, on distingue deux grands cas de figure.
Pour certains virus à ARN, comme le VIH, l'ARN viral est d'abord transformé en ADN sous l'action d'une enzyme virale, la transcriptase inverse, injectée dans la cellule infectée avec l'ARN viral. Cette étape est donc l'inverse d'une transcription, qui, elle, consiste à faire de l'ARN à partir d'ADN (Figure 1). L'ADN viral ainsi obtenu pénètre dans le noyau par les pores nucléaires et s'intègre alors au génome des cellules infectées. Cette seconde étape, pour se faire avec une grande efficacité, nécessite à nouveau une enzyme virale : l'intégrase. La cellule infectée peut alors prendre en charge l'ADN viral comme s'il s'agissait du sien et le transcrire en un grand nombre d'exemplaires, certains des transcrits seront traduits afin de produire les protéines virales.
Pour d'autres virus à ARN, comme le SARS-CoV-2, l'ARN viral est directement pris en charge par la machinerie cellulaire pour le traduire et ainsi fabriquer les différentes protéines virales, dont l'enzyme nécessaire à la réplication en un grand nombre d'exemplaires de cet ARN. Il n'y a donc pas dans ce cas présence ou production d'ADN viral, et donc pas d'intégration du génome viral dans les cellules infectées. C'est aussi le cas du virus de la grippe même si son ARN viral ne peut être traduit directement par la machinerie cellulaire et doit d'abord être répliqué en une copie complémentaire grâce à une enzyme virale directement libérée dans la cellule avec l'ARN.
La vaccination a pour but de stimuler les défenses immunitaires d'un humain ou d'un animal vis-à-vis d'un agent infectieux en l'exposant volontairement à cet agent (sous une forme atténuée ou inactivée) ou à l'un de ses composants appelé antigène (généralement une protéine). Pour ce qui est des virus, la plupart des vaccins consiste jusqu'à aujourd'hui à injecter une forme atténuée (« vaccins vivants ») ou inactivée (« vaccins inactivés ») du virus entier.
L'atténuation est obtenue principalement selon deux procédés. Le premier consiste à faire passer le virus sur des cultures de cellules d'une autre espèce : il reste alors immunisant mais ne peut plus se multiplier chez l'homme. C'est le procédé utilisé notamment pour les vaccins contre la rougeole, les oreillons, la rubéole, la varicelle. Le second procédé consiste à utiliser soit des mutants thermosensibles du virus, soit des virus adaptés au froid après passages successifs en cultures cellulaires à basse température : ces virus ont alors une capacité très réduite à se multiplier à 37°C (et donc chez l'humain). Ce procédé a été utilisé notamment pour un ancien vaccin contre le virus de la grippe administré par voie nasale (Fluenz®, aujourd'hui retiré) et pour le vaccin contre le virus respiratoire syncytial (VRS). Les principaux inconvénients sont d'une part les risques d'apparition de révertants du virus (souche sauvage) par recombinaison entre la souche vaccinale et une souche pathogène présente chez l'hôte vacciné (c'est-à-dire une ré-acquisition de pathogénicité par la souche vaccinale initialement atténuée), et d'autre part une contre-indication chez les personnes immunodéprimées ou chez les femmes enceintes en raison d'un risque d'atténuation insuffisante pour ces personnes.
L'utilisation de virus inactivés est donc plus sûre (mais pas dénuée de tout risque pour autant : voir section IV.1.). L'inactivation est soit chimique (traitement au formaldéhyde essentiellement), soit physique (chaleur ou irradiation). Ce type de vaccins dits « inactivés » concerne notamment la grippe, l'hépatite A, la poliomyélite, la rage. Leur désavantage est qu'ils provoquent une réponse immunitaire plus faible, ce qui nécessite des injections multiples et répétées, ainsi que l'utilisation d'adjuvants tels que l'aluminium ajoutés pour potentialiser l'effet immunogène du vaccin, et susceptibles d'engendrer des effets toxiques.
Depuis les années 90, des vaccins sont obtenus en ayant recours aux biotechnologies. Actuellement, cela consiste principalement à faire produire à des cellules cultivées en laboratoire (essentiellement des cellules de bactéries, de levures ou de champignons filamenteux) une protéine d'un agent infectieux (antigène). Il s'agit donc de cellules transgéniques dans le génome desquelles a été inséré le gène de l'agent infectieux codant cet antigène. L'antigène en question est alors purifié et associé à divers adjuvants pour élaborer un vaccin qui sera injecté aux patients. C'est notamment le cas du vaccin Engerix™-B contre l'hépatite B où la protéine de surface de ce virus a été produite dans des cellules d'une levure transgénique (levure de boulanger) exprimant le gène viral en question. Le coût de production est relativement élevé en raison notamment de l'étape de purification de l'antigène à partir des cellules transgéniques qui le produisent.
Enfin, de nouvelles stratégies faisant également appel aux biotechnologies sont en cours de développement depuis plusieurs années. Elles consistent à faire produire l'antigène de l'agent infectieux directement par les cellules de l'hôte (de la personne que l'on cherche à vacciner) en lui injectant l'ADN ou l'ARN codant la protéine virale en question.
L'introduction de ce matériel génétique dans les cellules de l'hôte nécessite d'utiliser des « véhicules » appelés vecteurs. Ces vecteurs sont soit dérivés de petites molécules d'ADN circulaire bactérien, appelées plasmides, et dans lesquelles a été introduit l'ADN viral codant la protéine antigénique, soit des nanoparticules de lipides dans lesquelles sont emprisonnées l'ARN codant cet antigène, soit encore des virus génétiquement modifiés dits « désarmés », c'est-à-dire rendus notamment incapables de se répliquer par élimination d'une partie de leur matériel génétique (ADN ou ARN), lequel est remplacé par le matériel génétique d'intérêt que l'on souhaite introduire dans les cellules de l'hôte. Dans ce dernier cas, on utilise alors la capacité naturelle des virus en question à injecter le matériel génétique qu'ils contiennent dans les cellules humaines.
- voir tableau sur site -
III. Les projets de vaccins contre la Covid-19
Selon la liste de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) actualisée au 22 septembre 2020 [1], 38 candidats vaccins font l'objet d'essais cliniques (de phase I, II ou III).
Six d'entre eux utilisent le virus inactivé, tous les autres reposent sur des approches biotechnologiques et consistent à injecter soit a) une protéine du virus (antigène) ; b) des particules pseudo-virales ; c) l'ADN ou l'ARN codant l'antigène.
Dans le cas où le vaccin consiste à injecter une protéine du virus, celle-ci est produite en laboratoire par des cellules transgéniques dans lesquelles a été introduit une construction génétique contenant le gène viral correspondant et permettant son expression en grande quantité dans les cellules en question. Ces cellules sont alors cultivées à grande échelle dans des fermenteurs (bioréacteurs) et la protéine est extraite des cellules et purifiée. Cela concerne 13 des 38 vaccins en cours d'essais
Une particule pseudo-virale (VLP en anglais : virus-like particle) est en fait la capside sans le génome viral, obtenue par l'assemblage spontané de la protéine de la capside elle-même produite en laboratoire dans des cellules transgéniques. Dans ce cas précis (1 seul des 38 vaccins testés), il s'agit de cellules de plantes. Les 18 vaccins restants consistent donc à introduire du matériel génétique viral dans les cellules de la personne à vacciner (l'administration est essentiellement intramusculaire, voire intradermique dans deux des cas). Il s'agit soit d'ARN emprisonné dans des nanoparticules de lipides (6 cas), soit d'ADN inséré dans un plasmide (4 cas), soit encore d'ADN ou d'ARN délivré par un virus génétiquement modifié désarmé (8 cas). IV. Analyse des risques liés à chaque type de candidat vaccin contre la Covid-19
Le fait qu'un vaccin utilise un virus inactivé ne signifie pas une absence de risques. L'effet immunisant de ce type de vaccins est moindre qu'avec un virus atténué. Il nécessite donc des injections répétées et l'ajout d'adjuvants, présentant potentiellement des effets toxiques, pour potentialiser l'effet immunogène (cf. partie II). Une étude suisse de 2004 [2] a montré qu'un vaccin inactivé de la grippe, en administration intra-nasale, provoquait chez un grand nombre de patients la paralysie de Bell (paralysie de l'ensemble des muscles du visage), sans qu'on en connaisse toutefois la raison exacte. Ce vaccin a depuis été retiré.
Par ailleurs, plusieurs études ont révélé une augmentation du risque d'infection (par le même virus ou d'autres) suite à une vaccination avec des vaccins inactivés. C'est le cas de vaccins de la grippe, Vaxigrip et Fluzone. Pour le premier il a été montré en 2012 qu'il augmentait chez des enfants de 6 à 15 ans le risque d'infection par d'autres virus respiratoires [3]. Le second s'est avéré augmenter le risque d'infection par la grippe chez des adultes obèses (par rapport à des personnes non obèses elles-mêmes vaccinées) [4]. Plus récemment, en 2019, une étude révèle qu'un vaccin inactivé de la dengue augmente le taux d'infection par le même virus chez des macaques [5], ce qui avait déjà été observé auparavant avec un virus atténué chez des enfants non exposés à la dengue avant vaccination [6].
Des précautions toutes particulières doivent donc être prises avec des vaccins inactivés contre la Covid-19, d'autant plus que le virus qui en est responsable est totalement nouveau et que nous sommes loin d'en cerner tous les effets.
2. Vaccins contenant la protéine antigénique et vaccins à particule pseudo-virale
Outre le coût qu'ils représentent en raison de l'étape plus ou moins lourde de purification de la protéine virale à partir des cellules transgéniques qui la produisent, ces vaccins s'avèrent être peu efficaces et peuvent présenter des effets toxiques dus essentiellement aux adjuvants (tels que l'aluminium ou le formaldéhyde par exemple) ajoutés justement pour pallier la faible efficacité et donc potentialiser la stimulation du système immunitaire, mais également éventuellement à l'antigène lui-même qui, en étant produit par des cellules transgéniques (qui ne sont donc pas celles qui le produisent normalement) peut présenter des différences structurelles ou chimiques qui pourront lui conférer des propriétés inattendues. En effet, si le message génétique contenu dans le gène viral (transgène) dicte aux cellules qui l'hébergent (cellules transgéniques), lors du processus de traduction, la nature et l'ordre d'enchaînement des acides aminés pour fabriquer la protéine virale (antigène), il n'est en revanche que très partiellement responsable de la manière dont la protéine doit se replier dans l'espace. Ce repliement dépend en partie de la nature et de l'ordre d'enchaînement des acides aminés (et donc du gène) mais essentiellement de l'environnement de la cellule dans laquelle la protéine est fabriquée (acidité, concentration en sels...). Or l'environnement cellulaire peut varier considérablement d'un type cellulaire à un autre, et on n'aura donc jamais la certitude que la protéine d'intérêt (ici l'antigène viral) est correctement repliée lorsqu'elle est artificiellement fabriquée par les cellules transgéniques, même lorsque cette protéine conserve l'activité biologique qui nous intéresse (ici, son caractère immunogène) [7]. Le mauvais repliement d'une protéine peut avoir des conséquences absolument imprévisibles et parfois très fâcheuses. N'oublions pas que les maladies à prions, par exemple (maladie de la vache folle, maladie de Creutzfeldt-Jakob, tremblante du mouton, etc...), sont dues à de simples défauts de repliement d'une protéine particulière. Certes, tous les défauts de repliement ne font pas des prions..., mais prions pour que la protéine virale se replie bien.
Par ailleurs, une fois son repliement terminé, la protéine peut faire l'objet de modifications chimiques secondaires (dites « post-traductionnelles ») tels que des ajouts de sucres, de phosphates, qui peuvent être nécessaires à sa fonctionnalité, à son activité, ou lui conférer des propriétés particulières telles que — justement — des propriété immunogènes. Là encore, on n'aura jamais la certitude que ces modifications post-traductionnelles (qui ne sont pas « dictées » par le gène) mises en place dans les cellules transgéniques sont absolument identiques à ce qu'elles sont dans les cellules où la protéine est naturellement fabriquée (ici, les cellules naturellement infectées par le virus) [7].
3. Les vaccins délivrant l'ARN ou l'ADN codant la protéine antigénique
Ce risque est indépendant du vecteur utilisé pour délivrer dans les cellules de l'hôte l'ADN ou l'ARN viral codant l'antigène protéique, qu'il s'agisse d'un vecteur plasmidique, d'une nanoparticule ou d'un virus génétiquement modifié. Toutefois, ce risque est encore plus grand dans le cas du recours à des virus génétiquement modifiés car ceux-ci apportent non seulement l'ADN ou l'ARN viral d'intérêt mais également une partie de leur propre génome.
Les virus ont une grande capacité à échanger des fragments de leur matériel génétique respectif dès lors que les génomes viraux concernés sont de même nature (soit ADN, soit ARN) et qu'ils partagent des séquences (des gènes) qui se ressemblent. Le processus bien connu qui régit ces échanges s'appelle la recombinaison (et lorsque cette recombinaison a lieu entre séquences d'ADN ou d'ARN qui se ressemblent, on parle de recombinaison homologue). Ce phénomène de recombinaison n'est pas réservé à l'ADN ou l'ARN viral mais les séquences virales sont connues pour faire l'objet de nombreuses recombinaisons (on dit qu'elles sont très « recombinogènes »). Il résulte de ces recombinaisons, entre matériels génétiques viraux, des virus dits « recombinants » dont le ou les gène(s) qui a (ont) été le site de ces échanges sont dits « mosaïques », c'est-à-dire constitués en partie de séquences provenant du virus 1 et de séquences provenant du virus 2 (Figure 3). La Figure 3 illustre la recombinaison entre ADN viraux mais ce phénomène peut se produire tout aussi bien entre ARN viraux.
Figure 1-Note d'expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM-Christian Vélot-Septembre 2020
Dans un certain nombre de cas, ces virus recombinants sont beaucoup plus virulents que les virus d'origine et peuvent donc provoquer des viroses aggravées. Ce phénomène a été largement démontré chez des plantes transgéniques dans lesquelles un gène viral a été volontairement introduit dans leur génome, et infectées par un virus apparenté à celui d'où provient le transgène viral [8-16]. Un exemple très médiatisé de virus recombinant pouvant provoquer des viroses aggravées chez l'humain est celui du virus H1N1 de 2009, recombinant entre trois souches de virus de la grippe : une souche porcine, une souche humaine et une souche aviaire [17, 18].
Bien sûr, ce phénomène ne peut se produire que si du matériel génétique provenant d'au moins deux virus se retrouve dans les mêmes cellules, ce qui est fort heureusement extrêmement rare dans la nature puisque cela implique que des mêmes cellules soient co-infectées par au moins deux virus. Mais sous l'effet de la main de l'homme, ce phénomène peut devenir beaucoup plus courant. C'est bien sûr le cas, comme mentionné précédemment, des plantes transgéniques dans lesquelles a été introduit un transgène viral où il suffit alors que ces plantes soient infectées par un seul virus pour que de tels évènements de recombinaison aient lieu. Mais c'est aussi le risque que l'on fait courir chez les humains dès lors que l'on génère des vaccins délivrant dans les cellules des patients de l'ARN ou de l'ADN viral. Les vaccins anti-Covid-19 de ce type faisant l'objet d'essais cliniques sont administrés en intramusculaire ou en intradermique. Les cellules cibles sont donc des cellules musculaires, des cellules de la peau, des fibroblastes (cellules du tissu conjonctif, c'est-à-dire du tissu de soutien qui enveloppe les organes, les tissus, et notamment les faisceaux musculaires) mais aussi des cellules du sang circulant et des cellules endothéliales (qui tapissent les vaisseaux sanguins), autant de cellules qui peuvent être la cible d'infections par d'autres virus. Par exemple des entérovirus (virus nus à ARN) ont été détectés dans des cellules musculaires [19], le virus Zika infecte les cellules de la peau [20], le Chikungunya a pour cible les cellules musculaires satellites (cellules souches du tissu musculaire) [21], mais aussi les cellules endothéliales et les fibroblastes [22]. Et ce ne sont là sans doute que quelques exemples...
La vaccination contre le Covid-19, si elle devient réalité, sera une vaccination de masse à travers le monde entier. La probabilité que ce genre d'évènements survienne est donc loin d'être nulle même si elle reste sans doute faible en termes de fréquence. Une telle vaccination de masse avec ce type de vaccins pourrait devenir une fabrique à grande échelle de nouveaux virus recombinants. N'oublions pas qu'il suffit qu'un seul nouveau virus apparaisse quelque part dans le monde pour que les conséquences sanitaires, environnementales, sociales, soient mondiales et colossales...
3.2. Le risque de mutagenèse insertionnelle (génotoxicité)
La mutagenèse insertionnelle est une mutation (modification de l'information génétique) par insertion d'une séquence à l'intérieur d'un génome, cette insertion pouvant alors inactiver ou modifier l'expression d'un ou plusieurs gène(s).
Ce risque de génotoxicité pour les cellules humaines cibles de la vaccination (dont le génome est bien sûr de l'ADN) ne concerne donc que les vaccins délivrant de l'ADN viral, que le vecteur soit un plasmide ou un virus génétiquement modifié. Toutefois, ce risque peut également concerner les vaccins délivrant de l'ARN par le biais d'un vecteur viral génétiquement modifié à ARN du type du virus du sida (VIH, très utilisé comme vecteur) si celui-ci n'a pas été correctement dépourvu de sa transcriptase inverse et du gène la codant. En effet, la transcriptase inverse virale peut alors convertir l'ARN délivré en ADN, lequel ira s'intégrer dans le génome des cellules cibles.
Les virus génétiquement modifiés sont également très utilisés à des fins de thérapies géniques pour délivrer dans ce cas la version normale d'un gène humain qui s'avère défaillant (muté) chez le patient traité. En 2002, trois ans après un essai de thérapie génique (chez des enfants atteints d'une immunodéficience sévère due à une mutation sur un gène du chromosome X) utilisant un virus à ARN génétiquement modifié comme vecteur, deux des 10 enfants traités ont développé une leucémie due à l'insertion de l'ADN réparateur délivré par le vecteur viral à proximité d'un proto-oncogène (gène de cancer), provoquant une perturbation sévère de l'expression de celui-ci [23]. Plusieurs études ont montré les effets de mutagenèse insertionnelle provoqués par différentes familles de virus à ARNs (dont le VIH) [24]. De même, plusieurs études réalisées chez des souris ont montré que la délivrance de gènes par des vecteurs dérivés du virus adéno-associé (AAV, petit virus à ADN non pathogène) résultent en une mutagenèse insertionnelle [25]. En 2016, une étude sur les effets génotoxiques des vecteurs viraux dérivés du VIH et du AAV, utilisés à des fins de thérapie génique, conclut que « une connaissance approfondie de la biologie virale et des progrès en génétique cellulaire sont nécessaires pour élucider la nature de la sélection des sites d'intégration des vecteurs viraux et les risques associés » [26].
4. Risques spécifiquement liés à l'utilisation de vecteur viraux modifiés : immunotoxicité
Outre les risques d'apparition de virus recombinants et de mutagenèse insertionnelle (surtout lorsque le matériel génétique délivré est de l'ADN), les vecteurs viraux étant eux-mêmes immunogènes, ils peuvent engendrer d'importants effets d'immunotoxicité.
En 2002, une expérience pilote de thérapie génique, réalisée chez 18 garçons souffrant d'un grave trouble métabolique dû à un gène défaillant situé sur le chromosome X, a conduit au décès d'un jeune homme de 18 ans en raison d'une réponse inflammatoire systémique fatale provoquée par le vecteur viral (virus à ADN humain désarmé) : des séquences d'ADN du vecteur ont été retrouvées dans la plupart de ses tissus [27]. Le fait que les 17 autres individus traités n'ont absolument pas manifesté ce type de réponse montre à quel point ce risque est difficilement prévisible et donc maîtrisable. En Belgique, plusieurs essais cliniques d'immunothérapie pour lutter contre des cancers et utilisant un virus désarmé où plus de 15% de son génome a été remplacé par deux gènes humains (codant un antigène présent à la surface des cellules cancéreuses et une interleukine, protéine de communication entre cellules immunitaires) ont montré une activation non spécifique du système immunitaire liée au vecteur résultant en une réaction inflammatoire et une réponse auto-immune [28]. De nombreux autres études ont montré des effets d'immunotoxicité de divers vecteurs viraux utilisés à des fins de thérapie génique ou de vaccination [29-33]. Dans le cas des vecteur viraux utilisés à des fins de vaccination, l'immunité anti-vecteur peut aussi directement interférer avec l'efficacité vaccinale recherchée (l'immunogénicité du vaccin) [34].
V. Considérations générales relatives à l'évaluation des risques liés à ces vaccins
Le recours à des vaccins délivrant du matériel génétique viral (ADN ou ARN) est nouveau ou récent. L'utilisation de virus génétiquement modifiés comme vecteurs, notamment à des fins de thérapie génique ou d'immunothérapie a montré à quel point les effets indésirables sont variés, non maîtrisés et peuvent être graves. Si les tentatives de l'immunothérapie sont relativement récentes, les échecs de la thérapie génique depuis près de 35 ans sont là pour nous le rappeler. Ces échecs s'expliquent en grande partie par la recherche du scoop au détriment de l'efficacité et/ou la biosécurité. Une telle démarche ne permettra jamais de répondre à l'attente et aux besoins en termes de soin.
Mais l'utilisation de ces mêmes vecteurs à des fins de vaccination revêt encore une autre dimension. En effet, la thérapie génique ou l'immunothérapie concernent non seulement un nombre limité de personnes mais des personnes gravement malades. Par conséquent, non seulement les éventuels effets secondaires concernent un nombre restreint d'individus mais la gravité de leur état de santé et la situation d'urgence sanitaire dans laquelle ils se trouvent permet sans doute d'accepter une certaine prise de risques. Dans le cas de vaccins, nous sommes dans une démarche de prévention. Cela concerne donc un nombre considérable de personnes dont la grande majorité est en bonne santé (en tout cas vis-à-vis de la pathologie de laquelle le vaccin est censé nous protéger). Des effets secondaires non maîtrisés auraient donc des retombées considérables, surtout dans une campagne de vaccination de masse telle que celle destinée à lutter contre la Covid-19. Ces retombées pourraient être désastreuses sur le plan sanitaire bien sûr mais également sur le plan environnemental (dans le cas par exemple de la propagation de nouveaux virus recombinants : voir section IV. 3.1.) Et le fait qu'il s'agisse d'une démarche de prévention n'autorise aucune prise de risque.
Par conséquent, ces candidats vaccins nécessitent une évaluation sanitaire et environnementale approfondie incompatible avec l'urgence, qu'il s'agisse de celle résultant de la pression des autorités décisionnelles et sanitaires ou celle des profits des industries pharmaceutiques embarquées dans cette course au vaccin. Dans sa note de cadrage du 23 juillet 2020 sur la stratégie vaccinale contre la Covid-19 [35], la Haute Autorité de Santé (HAS) déclare : « Dans le cadre de la pandémie de Covid-19, l'enjeu est donc de concevoir un vaccin le plus efficace et le plus sûr possible en un temps record ». Cette allégation est un non-sens et une aberration de la part d'une autorité telle que la HAS.
Les dangers liés aux caractéristiques des vecteurs viraux génétiquement modifiés ou à leur éventuelle dispersion ou dissémination doivent être traités dans le cadre d'une évaluation des risques environnementaux extrêmement contraignante.
Au contraire, les articles 2 et 3 du tout récent règlement européen 2020/1043 selon lesquels tout essai clinique de médicaments contenant des OGM ou consistant en de tels organismes et destinés à traiter ou à prévenir la Covid-19 échappe aux évaluations préalables sur la santé et l'environnement ouvre la porte au plus grand laxisme en termes d'évaluation et va totalement à l'encontre du principe de précaution.
De plus, ce règlement, remet en cause, de fait, la législation de confinement qui s'applique aux micro-organismes et aux virus génétiquement modifiés. Cette réglementation définit 4 niveaux de confinement (identifiés de 1 à 4, le confinement étant d'autant plus contraignant que le chiffre est plus élevé). La manipulation de virus pathogènes exige un confinement minimal de 2, très souvent de 3, voire 4. Les dispositions du règlement 2020/1043 ouvrent la porte à un confinement zéro avant même d'avoir apporté la preuve de la sécurité sanitaire et environnementale des virus génétiquement modifiés en question.
1 Draft landscape of COVID-19 candidate vaccines https://www.who.int/publications/m/item/draft-landscape-of-covid-19- candidate-vaccines
2 Mutsch M., Zhou W., Rhodes P., Bopp M., Chen RT., Linder T., Spyr C., Steffen R. (2004). Use of the inactivated intranasal influenza vaccine and the risk of Bell's palsy in Switzerland. N. Engl. J. Med. 350, 896-903. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa030595
3 Cowling B.J., Fang, V.J., Nishiura H., Chan K.-H., Ng S., Ip D.K.M., Chiu S.S., Leung G.M., Peiris J.S.M. (2012). Increased risk of noninfluenza respiratory virus infections associated with receipt of inactivated influenza vaccine. Clin. Infect. Diseases. 54, 1778- 1783. https://doi.org/10.1093/cid/cis307
4 Neidich S.D., Green W.D., Rebeles J., Karlsson E.A., Schultz-Cherry S., Noah T.L., Chakladar S., Hudgens M.G., Weir S.S., Beck M.A. (2017). Increased risk of influenza among vaccinated adults who are obese. Int. J. Obes. 41, 1324-1330. doi: 10.1038/ijo.2017.131
5 Borges M.B., Marchevsky R.S., Carvalho Pereira R., da Silva Mendes Y., Almeida Mendes L.G., Diniz-Mendes L., Cruz M.A., Tahmaoui O., Baudart S., Freire M., Homma A., Schneider-Ohrum K., Vaughn D.W., Vanloubbeeck Y., Lorin C., Malice M.P., Caride E., Warter L. (2019). Detection of post-vaccination enhanced dengue virus infection in macaques: An improved model for early assessment of dengue vaccines. PLoS Pathog. 15, e1007721. https://doi.org/10.1371/journal.ppat.1007721
6 Sridhar S., Luedtke A., Langevin E., Zhu M., Bonaparte M., Machabert T., Savarino S., Zambrano B., Moureau A., Khromava A., Moodie Z., Westling T., Mascareñas C., Frago C., Cortés M., Chansinghakul D., Noriega F., Bouckenooghe A., Chen J., Ng S.P., Gilbert P.B., Gurunathan S., DiazGranados C.A. (2018). Effect of Dengue Serostatus on Dengue Vaccine Safety and Efficacy. N. Engl. J. Med. 379, 327-340. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa1800820
7 Vélot C. (2009). OGM, tout s'explique. Ed Goutte de Sable. ISBN : 978-2-917904-01-5. https://www.lalibrairie.com/livres/ogm--tout-s-explique_0- 510835_9782917904015.html?ctx=a0039e99100f1c8ad38a03ba37c5e38d
8 Latham J. and Steinbrecher R. (2004). Horizontal gene transfer of viral inserts from GM plants to viruses. EcoNexus (Technical Paper). https://www.econexus.info/publication/gm-gene-flow-b
9 Lommel S.A. and Xiong Z. (1991). Reconstitution of a functional red clover necrotic mosaic virus by recombinational rescue of the cell-to-cell movement gene expressed in a transgenic plant. J. Cell. Biochem. 15A, 151. https://gmoresearch.org/gmo_article/reconstitution-of-a-functional-red-clover-necroticmosaic-virus-by-recombinational-rescue-of-the-cell-to-cell-movement-gene-expressedin-a-transgenic-plant/
10 Gal S., Pisan B., Hohn T., Grimsley N. and Hohn B. (1992). Aginfection of transgenic plants leads to viable cauliflower mosaic virus by intermolecular recombination. Virology 187, 525-33. https://doi.org/10.1016/0042-6822(92)90455-X
11 Wintermantel W.M. and Schoelz J.E. (1996). Isolation of recombinant viruses between caluiflower mosaic virus and a viral gene in transgenic plants under conditions of moderate selection pressure. Virology 223, 156-64. https://doi.org/10.1006/viro.1996.0464 12 Green A.E. and Allison R.F. (1994). Recombination between viral RNA and transgenic plant transcripts. Science 263, 1423. https://doi.org/10.1126/science.8128222
13 Frischmuth T. and Stanley J. (1998). Recombination between viral DNA and the transgenic coat protein gene of African cassava mosaic geminivirus. J Gen Virol 79, 1265-71. https://doi.org/10.1099/0022-1317-79-5-1265
14 Borja M., Rubio T., Scholthof H.B. and Jackson A.O. (1999). Restoration of wildtype virus by double recombination of tombusvirus mutants with a hosttransgene. Mol Plant Microbe Interact 12, 153-162. https://doi.org/10.1094/mpmi.1999.12.2.153
15 Adair T. and Kearney C.M. (2000). Recombination between a 3-kilobas tobacco mosaic virus transgene and a hologous viral construct in the restoration of viral and nonviral genes. Archives of Virology. https://doi.org/10.1007/s007050070062
16 Varrelmann M., Palkovics L. and Maiss E. (2000). Transgenic or plant expression vectormediated recombination of plum pox virus. Journal of Virology 74, 7462-7469. https://doi.org/10.1128/jvi.74.16.7462-7469.2000
17 Novel Swine-Origin Influenza A (H1N1) virus Investigation Team. (2009). Emergence of a novel swine-origin influenza A (H1N1) virus in humans. N. Engl. J. Med. 360 ,25. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa0903810
18 Garten R.J., Davis C.T., Russell C.A., Shu B., Lindstrom S., Balish A., Sessions W.M., Xu X., Skepner E., Deyde V., Okomo-Adhiambo M., Gubareva L., Barnes J., Smith C.B., Emery S.L., Hillman M.J., Rivailler P., Smagala J., de Graaf M., Burke D.F., Fouchier R.A., Pappas C., Alpuche-Aranda C.M., López-Gatell H., Olivera H., López I., Myers C.A., Faix D., Blair P.J., Yu C., Keene K.M., Dotson P.D. Jr, Boxrud D., Sambol A.R., Abid S.H., St George K., Bannerman T., Moore A.L., Stringer D.J., Blevins P., DemmlerHarrison G.J., Ginsberg M., Kriner P., Waterman S., Smole S., Guevara H.F., Belongia E.A., Clark P.A., Beatrice S.T., Donis R., Katz J., Finelli L., Bridges C.B., Shaw M., Jernigan D.B., Uyeki T.M., Smith D.J., Klimov A.I., Cox N.J. (2009). Antigenic and genetic characteristics of swine-origin 2009 A(H1N1) influenza viruses circulating in humans. Science. 325, 197-201. https://doi.org/10.1126/science.1176225
19 Douche-Aourik F., Berlier W., Féasson L., Bourlet T., Harrath R., Omar S., Grattard F., Denis C., Pozzetto B. (2003). Detection of enterovirus in human skeletal muscle from patients with chronic inflammatory muscle disease or fibromyalgia and healthy subjects. J. Med. Virol. 71, 540-547. https://doi.org/10.1002/jmv.10531
20 Hamel R., Dejarnac O., Wichit S., Ekchariyawat P., Neyret A., Luplertlop N., PereraLecoin M., Surasombatpattana P., Talignani L., Thomas F., Cao-Lormeau V.M., Choumet V., Briant L., Desprès P., Amara A., Yssel H., Missé D. (2015). Biology of Zika Virus Infection in Human Skin Cells. J. Virol. 89, 8880-8896. https://doi.org/10.1128/jvi.00354-15
21 Ozden S., Huerre M., Riviere J.P., Coffey L.L., Afonso P.V., Mouly V., de Monredon J., Roger J.C., El Amrani M., Yvin J.L., Jaffar M.C., Frenkiel M.P., Sourisseau M., Schwartz O., Butler-Browne G., Desprès P., Gessain A., Ceccaldi P.E. (2007). Human muscle satellite cells as targets of Chikungunya virus infection. PLoS One. 2, e57. https://doi.org/10.1371/journal.pone.0000527
22 Sourisseau M., Schilte C., Casartelli N., Trouillet C., Guivel-Benhassine F., Rudnicka D., Sol-Foulon N., Le Roux K., Prevost M.C., Fsihi H., Frenkiel M.P., Blanchet F., Afonso P.V., Ceccaldi P.E., Ozden S., Gessain A., Schuffenecker I., Verhasselt B., Zamborlini A., Saïb A., Rey F.A., Arenzana-S.F., Desprès P., Michault A., Albert M.L., Schwartz O. (2007). Characterization of reemerging chikungunya virus. PLoS Pathog. 3, e89. https://doi.org/10.1371/journal.ppat.0030089
23 Hacein-Bey-Abina S., Von Kalle C., Schmidt M., McCormack M.P., Wulffraat N., Leboulch P., Lim A., Osborne C.S., Pawliuk R., Morillon E., Sorensen R., Forster A., Fraser P., Cohen J.I., de Saint Basile G., Alexander I., Wintergerst U., Frebourg T., Aurias A., Stoppa-Lyonnet D., Romana S., Radford-Weiss I., Gross F., Valensi F., Delabesse E., Macintyre E., Sigaux F., Soulier J., Leiva L.E., Wissler M., Prinz C., Rabbitts T.H., Le Deist F., Fischer A., Cavazzana-Calvo M. (2003). LMO2-associated clonal T cell proliferation in two patients after gene therapy for SCID-X1. Science. 302, 415-419. https://doi.org/10.1126/science.1088547
24 Nowrouzi A., Glimm H., von Kalle C., Schmidt M. (2011). Retroviral vectors: post entry events and genomic alterations. Viruses. 3, 429-455. https://doi.org/10.3390/v3050429
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27 Raper S.E., Chirmule N., Lee F.S., Wivel N.A., Bagg A., Gao G.P., Wilson J.M., Batshaw M.L. (2003). Fatal systemic inflammatory response syndrome in a ornithine transcarbamylase deficient patient following adenoviral gene transfer. Mol. Genet. Metab. 80, 148-158. https://doi.org/10.1016/j.ymgme.2003.08.016
28 Goossens M., Pauwels K., Willemarck N., Breyer D. (2013). Environmental risk assessment of clinical trials involving modified vaccinia virus Ankara (MVA)-based vectors. Curr. Gene Ther. 13, 413-420. https://doi.org/10.2174/156652321306140103221941
29 Brehm M., Samaniego L.A., Bonneau R.H., DeLuca N.A., Tevethia S.S. (1999). Immunogenicity of herpes simplex virus type 1 mutants containing deletions in one or more alpha-genes: ICP4, ICP27, ICP22, and ICP0. Virology. 256, 258-269. https://doi.org/10.1006/viro.1999.9653
30 Ramírez J.C., Gherardi M.M., Esteban M. (2000). Biology of attenuated modified vaccinia virus Ankara recombinant vector in mice: virus fate and activation of B- and T-cell immune responses in comparison with the Western
31 Reserve strain and advantages as a vaccine. J. Virol. 74, 923-933. https://doi.org/10.1128/jvi.74.2.923-933.2000 Liu Q., Muruve D.A. (2003). Molecular basis of the inflammatory response to adenovirus vectors. Gene Ther. 10, 935-940. https://doi.org/10.1038/sj.gt.3302036
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34 Pinschewer D.D. (2017). Virally vectored vaccine delivery: medical needs, mechanisms, advantages and challenges. Swiss Med. Wkly. 147, w14465. https://doi.org/10.4414/smw.2017.14465
35 HAS-Stratégie vaccinale contre le covid-19. https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2020- 07/note_de_cadrage_strategie_vaccinale_contre_la_covid_19.pdf Source : CRIIGEN
La fortune des milliardaires français a augmenté de 439 % entre 2009 et 2020
11:02 28.12.2020
Après les Chinois, les milliardaires français ont connu la décennie la plus lucrative parmi les plus riches du monde: entre 2009 et mi-2020, leur fortune a augmenté de 439 %, à 443 milliards de dollars au total, selon un rapport.
Tandis que la pandémie semble marquer le début d’une décennie de dégringolade économique, celle qui s’achève a pourtant laissé les milliardaires bien plus fortunés qu’ils ne l’étaient. D’après un rapport UBS/PwC, la fortune des milliardaires français a bondi de 439 % entre 2009 et 2020.
Ce chiffre est toutefois largement dépassé par celui de la Chine, où les milliardaires ont vu leurs fortunes s’élever de 1.146 %. Aux États-Unis, première économie mondiale, la hausse est plus modeste à 170 %.
L’homme le plus riche d’Europe, le patron de LVMH Bernard Arnault, se trouve ainsi à la quatrième place des personnes les plus riches du monde, derrière Jeff Bezos, Elon Musk et Bill Gates. Sa fortune est estimée à 109 milliards de dollars, selon l’indice Bloomberg des milliardaires.
L’héritière de L’Oréal, Françoise Bettencourt Meyers, conserve le statut de femme la plus riche de la planète.
«En France, la crise des coronavirus a poussé les ultra-riches à se réveiller à la nécessité d’en faire plus, même dans un pays où la philanthropie à l’américaine est généralement considérée comme le travail de l’État», écrit Bloomberg.
LVMH et Tiffany s’acheminent finalement vers un mariage Fin octobre, le joaillier américain Tiffany, pour sauver son mariage avec le géant mondial du luxe LVMH soudainement compromis à la fin de l’été, a accepté de baisser son prix.
Le prix de l’offre d’achat est ramené à 131,50 dollars par action, précisent les deux sociétés dans un communiqué, contre 135 dollars par action prévus initialement. À ce prix, LVMH bénéficie d’une remise de 425 millions de dollars, soit environ 3 % du prix d’achat initial de quelque 16 milliards de dollars (13,5 milliards d’euros).
L’époque des armes hypersoniques est «un cauchemar» pour l’Europe, selon Die Welt
16:09 27.12.2020
L’apparition des armes hypersoniques est dangereuse pour la sécurité européenne, estime le journal allemand Die Welt, annonçant un nouveau tournant dans la «spirale de menaces».
Le début de l’époque des armes hypersoniques, face auxquelles les mécanismes actuels d’alerte et de défense s’avèrent inefficaces, présente une menace pour la sécurité européenne, a déclaré le journal Die Welt.
«Avec l'avènement des armes dites hypersoniques, les anciens systèmes d'alerte et de défense antimissile deviennent inutiles et le temps de riposte est considérablement réduit […]. C'est un cauchemar pour les responsables militaires et politiques. Mais en même temps, cela permet à l'industrie de la défense de compter sur de nouvelles commandes de plusieurs milliards de dollars. Il s'agit d'un nouveau tournant dans la spirale de menaces», indique le journal.
Le quotidien a rappelé l’alerte lancée le 12 décembre à la base de l’US Air Force de Ramstein, non loin de Kaiserslautern, suite à un tir d’entraînement de missiles intercontinentaux réalisé par un sous-marin russe depuis la mer d’Okhotsk. Or, il ne s’agissait pas d’armes hypersoniques, mais de missiles de type Boulava.
«L'alarme a été déclenchée à Ramstein après qu'un sous-marin russe a tiré quatre missiles balistiques intercontinentaux à quelques secondes d'intervalle. L'incident montre que les États-Unis n'excluent pas une attaque de missiles contre l'Europe et que les systèmes d'alarme sont constamment en état d’alerte. Les militaires sont maintenant confrontés à un type de menace fondamentalement nouveau.» Un équilibre de forces entre les puissances nucléaires en danger ?
Selon le journal, les analystes du groupe de réflexion sur la politique étrangère (DGAP) basé à Berlin estiment que les armes hypersoniques peuvent perturber l’équilibre entre les puissances nucléaires et entraver les négociations sur le désarmement.
Alors que la Russie et la Chine sont en tête dans le domaine des armes hypersoniques, les États-Unis «font tout leur possible» pour combler l'écart, affirme Die Welt.
Toutefois, le développement d’armes hypersoniques américaines n’inquiéterait pas Vladimir Poutine, puisque la Russie possède le système de missiles antiaériens S-500 et «un missile intercepteur modernisé» qui sont des moyens de défense efficaces, note le journal.
Le 25 décembre, Vladimir Ermakov, chef du département pour la non-prolifération et le contrôle des armements du ministère russe des Affaires étrangères, a déclaré à Sputnik que les États-Unis s'efforçaient d’acquérir un avantage militaire unilatéral, y compris grâce aux armes hypersoniques. Le diplomate a ainsi commenté les déclarations des États-Unis et de l'Australie sur le lancement d'un nouveau projet conjoint de développement d'armes hypersoniques à longue portée utilisant un statoréacteur.
Le 24 décembre, Air Force Magazine (AFM) a annoncé que le Pentagone avait raté la semaine dernière un test du premier missile air-sol hypersonique conçu dans le cadre du programme HAWC (Hypersonic Air-breathing Weapon Concept).
Projet d’un système hypersonique dirigé par la France
La France travaille également sur un système hypersonique, rappelle Die Welt. Le missilier européen MBDA, filiale commune d’Airbus (37,5 %), de BAE Systems (37,5 %) et de Leonardo (25 %), réalise le projet TWISTER (Timely Warning and Interception with Space-based TheatER surveillance).
Ce projet dirigé par la France réunit également l’Espagne, la Finlande, l’Italie et les Pays-Bas. D'ici 2030, il devrait permettre de créer un système reposant notamment sur un intercepteur endo-atmosphérique capable de détecter et détruire les missiles hypersoniques aux premières étapes de leur vol.
Les vitesses vertigineuses promises par les systèmes de propulsion hypersoniques sont devenues le cauchemar des états-majors occidentaux. Contre toute attente, Moscou et Pékin ont, en quelques années, rattrapé leur retard sur les Etats-Unis et se préparent, après des campagnes de tests fructueuses, à déployer simultanément des missiles capables d'atteindre des vitesses allant de Mach 5 à Mach 25.
Vitesses fulgurantes
Plusieurs technologies permettent désormais d’atteindre ces vitesses fulgurantes. Celles-ci se distinguent en fonction de la période à laquelle elles sont apparues, mais aussi en fonction de leur domaine d’application. Mais si certains missiles balistiques disposent très tôt de capacités hypersoniques, leurs trajectoires en cloche sont, elles, souvent prévisibles et donc interceptables. Tout l’enjeu consistera donc pour les militaires à disposer de véhicules capables d’effectuer des manœuvres radicales à ces vitesses sur une longue distance......
La Chine la plus avancée
Au regard des Russes et des Américains, les Chinois se sont lancés dans la course hypersonique tardivement. Ils sont pourtant aujourd’hui les plus avancés. Les premiers travaux destinés à créer un superstatoréacteur ont démarré au début des années 1990, avec les projets 921 et 863. Mais c’est le spécialiste de la propulsion hypersonique, Xingzhou Liu, qui parvient en 1998 à sensibiliser plusieurs sommités du Comité central sur l’importance stratégique de ce nouveau type de propulsion pour déborder les Etats-Unis. Plusieurs projets sont alors financés par la commission militaire spéciale, et Xingzhou Liu prend la direction en 2004 du Centre national pour la recherche hypersonique rattaché au groupe Casic.....
La France reste dans la course
En Europe, seule la France reste dans la course, puisqu’elle a confié à l’Onera et à MBDA, sous l’impulsion du général Denis Mercier et de Jean-Yves Le Drian, les travaux amont destinés à la réalisation de l’ASN4G qui devrait atteindre Mach 8, pour succéder à l’ASMP-A. Des travaux rendus possibles par les programmes antérieurs Prométhée et LEA qui avaient pour but de permettre la réalisation d’une propulsion mixte stato/superstatoréacteur. Mais le ministère des Armées a également confié à Arianespace le soin de réaliser un démonstrateur de planeur hypersonique, le V-Max, qui devrait effectuer son premier vol expérimental en 2021.....
Climat : Lettre ouverte au Professeur Etienne Klein
le 28 décembre 2020
Au cours d’une de ses récentes conférences donnée dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne à Paris (lien), Etienne Klein, physicien et philosophe des sciences, a illustré l’un de ses propos en citant une expérience simple et contre-intuitive que je vais narrer ci-après. Prenez un morceau de marbre et un morceau de bois et demandez à un enfant (ou un adulte) lequel des morceaux, marbre ou bois, est le « plus chaud ». Invariablement on vous répondra que le morceau de bois est plus chaud. Pourtant ces deux corps sont à la même température, celle de la pièce où ils se trouvent. Prenez deux glaçons de même taille et disposez l’un d’eux sur le morceau de bois et l’autre sur le morceau de marbre. Que constate-t-on ? Le glaçon posé sur la plaque de marbre fond plus vite que celui posé sur la plaque de bois. Cette constatation contredit la perception de « chaleur » de chaque objet que l’on avait pourtant admise et qui aurait permis de dire que le glaçon posé sur le morceau de bois fondrait plus vite. Klein n’en dit pas plus sinon qu’il s’agit d’une différence entre les chaleurs massiques de ces deux corps, grandeurs directement liées à leur densité.
Au cours du même exposé Klein mentionne le réchauffement du climat provoqué par l’activité humaine, sous-entendu (mais il ne l’explicite pas) en raison de l’effet de serre du gaz carbonique produit par la combustion du pétrole, du gaz et du charbon. Si Etienne Klein était vraiment en conformité avec l’enseignement de physique qu’il a suivi au cours de sa jeunesse plutôt que d’admettre comme un dogme que l’activité humaine perturbe le climat il eut été plus correct pour lui d’effectuer une analyse de la théorie de l’effet de serre compréhensible pour tout public. Comme je l’ai écrit dans un précédent billet sur ce blog avec un verre de lait froid et une tasse de café chaud posés sur ma table en sapin de Suède (oui ! ma vieille table provient de Suède, je l’ai achetée chez un brocanteur local d’origine danoise et le Danemark est près de la Suède) pour bien comprendre l’ineptie de la théorie de l’effet de serre il suffit de se munir d’un détecteur d’infra-rouges. On en trouve dans une bonne boutique d’électronique pour moins de 30 euros …
Je reprends donc l’ « expérience » de la tasse de café et du verre de lait avec un détecteur à infra-rouges pour bien détailler ce qui se passe physiquement. Lorsque j’ai posé quelques instants la tasse de café sur la table de bois, je la déplace et avec le détecteur à IR je constate que l’endroit où se trouvait cette tasse sur la table rayonne plus d’IR que le bois se trouvant autour de cet endroit. Pourquoi ? Parce que la table a reçu depuis la tasse un rayonnement infra-rouge qu’elle restitue à l’air ambiant puisque cet air ambiant est maintenant plus froid. La température du bois qui n’a pas été chauffé par la tasse de café n’est ni plus froid ni plus chaud que l’air ambiant. Pour la tasse de lait froid, l’exact inverse est constaté avec la même sonde à IR, la table a cédé par rayonnement infra-rouge de la chaleur à la tasse de lait froid et l’aire où était posée la tasse de lait rayonne moins d’IR que le bois qui l’entoure. Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas écrit : il y a eu en effet transfert de chaleur via le rayonnement infra-rouge de la table vers la tasse de lait froid et transfert de chaleur de la tasse de café chaud vers la table plus froide. On ne parle plus de phlogistons (lien) comme au début du XIXe siècle alors que l’existence du rayonnement infra-rouge, rayonnement électro-magnétique constitué de photons, était inconnu. Le résultat est bien un refroidissement ou un échauffement de la table que l’on perçoit comme de la « chaleur » ou du « froid » en posant les doigts sur la table.
Cette simple démonstration, comme je l’ai déjà écrit dans un précédent billet, est une démonstration de la conséquence du deuxième principe de la thermodynamique qui stipule qu’il ne peut pas y avoir de transfert d’énergie thermique d’un corps froid vers un corps plus chaud, quel que soit le mécanisme physique de ce transfert. Et pourtant Etienne Klein soutient la théorie de l’effet de serre en totale contradiction avec ce principe fondamental de la physique. Avec mon détecteur à infra-rouges, si je vais dans la rue par une journée ensoleillée je constaterai invariablement que le sol est plus chaud que l’air ambiant en orientant ensuite horizontalement le détecteur, et si j’oriente ce détecteur vers le ciel alors je constaterai que l’air est encore plus froid que celui qui m’entoure et ceci est indépendant des conditions climatiques ou météorologiques du moment. Pour un physicien comme Etienne Klein réfuter le second principe de la thermodynamique me paraît inconcevable.
J’ajouterai une dernière remarque. Puisque « tous les scientifiques » s’accordent pour affirmer que le climat se réchauffe en raison de l’activité humaine la climatologie telle qu’elle est abordée par l’IPCC n’est plus une science mais une croyance, un dogme, qui « fait consensus » : il n’y a plus rien à discuter …
Cette attitude est contraire à l’esprit même de la science qui fait progresser les connaissances en remettant toujours en question ces dernières. Accepter les yeux fermés le consensus climatologique du réchauffement d’origine humaine est une négation de l’esprit même de la science mais, plus grave encore, de ses lois fondatrices comme celles de la thermodynamique. En affirmant que les plus hautes couches de l’atmosphère, plus froides que le couches inférieures, sont capables par rayonnement infra-rouge de réchauffer ces dernières est un négation flagrante du deuxième principe de la thermodynamique même si celui-ci a été formulé pour la première fois en 1824 par Carnot alors qu’on ne connaissait pas les photons ni l’existence des atomes. Si Etienne Klein lit ce billet qu’il me contacte … mais pour le dédouaner de cette erreur je pense qu’il confond climat, écologie, écosystèmes … une confusion, un amalgame, qu’ont avancé par leur idéologie les défenseurs de la nature qui ont fait de leur gagne-pain la crise climatique. Etienne Klein est un grand alpiniste de l’extrême et je comprends qu’il ait été séduit par cette idéologie perverse qui mélange des problématiques qui n’ont rien à voir les unes avec les autres. Est-ce que les bactéries dont la biomasse est 1100 fois plus importante (vous avez bien lu) que celle de toute l’humanité ont une influence sur le climat puisqu’elles dégagent aussi du gaz carbonique ? Faut-il pour autant toutes les éliminer ? Bonne question.
2020: l'année où nous avons perdu notre bon sens, notre courage et nos libertés civiles
PAR TYLER DURDEN LUNDI 28 DÉC.2020-23: 40 Rédigé par Robert Bridge via The Strategic Culture Foundation,
Une fois qu'il est devenu clair pour l'élite occidentale que leurs sujets accepteraient volontiers des mesures anti-Covid draconiennes, cela les a encouragés à inaugurer un style de vie rouge où il n'y aura pas de "retour à la normale '' dans un avenir prévisible et, peut-être, jamais.
Si rien d'autre, personne ne peut dire que nous n'avons pas été avertis de la folie qui allait s'abattre sur l'année bissextile 2020, ce qui en fait l'un des pires 366 jours jamais enregistrés sur le calendrier grégorien.
Le 18 octobre 2019, le Johns Hopkins Center for Health Security, en collaboration avec le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates a accueilli l'incroyablement visionnaire Event 201, un exercice qui simulait l'éclosion d'une pandémie «transmise par les chauves-souris à des personnes qui devient finalement… transmissible de personne à personne. »
La simulation s'est révélée si étrangement similaire à la réalité qui a commencé à peine trois mois plus tard - de l'imagination d'une baisse spectaculaire des voyages aériens et des affaires à des ruptures dans la chaîne d'approvisionnement mondiale - que Johns Hopkins s'est finalement senti obligé de publier une déclaration disant que leur L'exercice n'était pas destiné à être une prophétie d'événements futurs.
N'est-ce pas fou comment «la distance sociale pendant deux semaines pour que nos hôpitaux ne soient pas débordés» a évolué en «distance sociale jusqu'en 2022 jusqu'à ce qu'un vaccin soit développé ...» - Liz Wheeler (@Liz_Wheeler) 26 avril 2020
«Pour être clair, le Center for Health Security et ses partenaires n'ont pas fait de prédiction lors de notre exercice sur table», lit-on dans le communiqué, dans ce qui pourrait bien être la mise en garde la plus effrayante qui soit.
«Pour le scénario, nous avons modélisé une pandémie fictive de coronavirus, mais nous avons explicitement déclaré que ce n'était pas une prédiction… Nous ne prévoyons pas pour l'instant que l'épidémie de nCoV-2019 tuera 65 millions de personnes.»
Peu de temps après que l'élite mondiale ait joué à Nostradamus, le 15 janvier pour être exact (le même jour, d'ailleurs, où les démocrates ont présenté des articles de destitution contre le président Donald Trump au Sénat), la première personne positive à Covid est arrivée à Seattle en provenance de Wuhan, la ville chinoise où la maladie aurait pris vie. De là, il y a eu un tour de montagnes russes non-stop de la folie parrainée par le gouvernement.
Avant de continuer, il est important de se souvenir du contexte dans lequel la pandémie s'est produite, c'est-à-dire lors de l'élection présidentielle américaine la plus importante de mémoire récente. Il n'est donc pas surprenant que les démocrates et les républicains utilisent le fléau pour obtenir une sorte d'avantage, démontrant l'opportunisme machiavélique à son meilleur. En effet, telle est la nature de la bête politique.
Par exemple, bien que Trump ait fermé la frontière américaine le 31 janvier aux ressortissants chinois, les démocrates et les médias de gauche ont bondi, affirmant que le dirigeant américain avait répondu trop tard pour faire une différence. Même l’utilisation du terme «virus chinois» par Trump a été qualifiée de «raciste» par ses opposants. Pendant ce temps, ce sont les démocrates eux-mêmes qui ont été les pionniers en prenant les premières mesures draconiennes de verrouillage de la société pour arrêter la contagion.
Le 16 mars 2020, six comtés du nord de la Californie et la ville de Berkley ont commandé une commande de séjour à la maison sans précédent pour quelque 7 millions d'habitants de la région de la baie. Tout cela faisait partie de la logique «d'aplatissement de la courbe» qui «donnerait du temps aux hôpitaux pour se préparer à l'assaut…» Eh bien, 233 jours plus tard, les dirigeants politiques non seulement aplatissent toujours la courbe, mais aussi aplatissent leurs économies. Aujourd'hui, bien que le taux de survie des personnes infectées par Covid-19 soit d'environ 99,85%, des verrouillages sévères continuent de faire des ravages, notamment pour les petites entreprises.
Considérez la situation en Californie, où le gouverneur Gavin Newsom a mandaté une autre ordonnance de "refuge sur place'', qui a fermé, entre autres entreprises, salons de coiffure, services de soins personnels, cinémas, vignobles, bars, brasseries, famille centres de divertissement et parcs d'attractions. Ce qui est difficile à comprendre, cependant, c'est la façon dont les grandes surfaces corporatives sont considérées comme des «entreprises essentielles», apparemment à l'abri du fléau, tandis que le propriétaire de la petite entreprise est condamné à être consommable.
À titre d'exemple, considérons le sort tragique d'Angela Marsden, propriétaire de Pineapple Hill Saloon and Grill à Los Angeles. Dans un effort pour se conformer aux règles anti-Covid en constante évolution, Marsden a dépensé plus de 80 000 dollars pour construire une terrasse extérieure afin qu'elle puisse rester en affaires pendant la pandémie. Cependant, avec les dernières restrictions de verrouillage de Newsom, les responsables de la ville lui ont refusé la permission de servir les clients sur place, même dans le parking.
Pour ajouter l'insulte à la blessure, les autorités ont autorisé une société de cinéma à aménager un grand coin repas extérieur pour son personnel juste en face de l'endroit où Marsden avait construit sa terrasse.
«Je perds tout», s’est-elle exclamée dans une vidéo publiée sur Twitter qui a été regardée près de 10 millions de fois. «Tout ce que je possède m'a été enlevé. Ils ne nous ont pas donné d'argent et ils nous ont fermés. Nous ne pouvons pas survivre; mon personnel ne peut pas survivre… »
C'est criminel. Terminer BS !!! Je suppose que c'est de la «science» ! RT @ClayTravis: Regardez cette vidéo d'un propriétaire de bar de LA qui cristallise parfaitement l'absurdité des règles de fermeture absurdes et ridicules de Californie. pic.twitter.com/XVLmAVyy70 - Larry The Cable Guy (@GitRDoneLarry) 5 décembre 2020
Pour les entreprises du Fortune 500, cependant, la pandémie s'est traduite par une aubaine. Entre avril et septembre, à un moment où des milliers de petites entreprises se faisaient discrètement écraser, 45 des 50 sociétés américaines les plus précieuses cotées en bourse ont réalisé des bénéfices, selon le Washington Post.
Dans le même temps, au moins 27 des 50 plus grandes entreprises ont réduit leurs effectifs cette année, supprimant collectivement plus de 100 000 travailleurs, tout en distribuant des milliards de dollars aux actionnaires. À titre d'exemple, Walmart a distribué plus de 10 milliards de dollars à ses investisseurs pendant la pandémie tout en licenciant 1 200 employés de bureau.
Pour dire ces chiffres autrement, depuis la mi-mars - lorsque le président Donald Trump a déclaré une urgence nationale - les 614 milliardaires américains ont vu leur valeur nette exploser de 931 milliards de dollars au total. Jeff Bezos, par exemple, le fondateur et directeur général d'Amazon, a vu sa fortune privée passer de 73,2 milliards de dollars depuis le début de la crise à un record de 186,2 milliards de dollars.
Ce qui est bon pour toi n’est pas bon pour moi
Un fil ⬇️ https://t.co/42p9Yc2xY7 - Patriotic Candor (@PatrioticCandor) 3 décembre 2020
Il ne serait probablement pas surprenant que les personnes mêmes qui ont contribué à ouvrir la voie à la création de richesses astronomiques parmi les 1 % soient les mêmes qui enfreignent leurs propres règles. Le gouverneur Newsom et sa femme, par exemple, ont assisté à une fête d'anniversaire avec une douzaine d'amis au restaurant French Laundry à San Francisco. Tout aussi exaspérant est que Dustin Corcoran, le PDG de la California Medical Association, était également présent. Et qui pourrait oublier la photo de Nancy Pelosi marchant dans un salon de coiffure californien alors que ces entreprises étaient considérées comme des «super épandeuses»?
De tels incidents n'ont fait que renforcer l'idée que les verrouillages draconiens, dont les pires sont centrés sur les États contrôlés par les démocrates, ont été spécifiquement conçus non pas pour contenir une contagion, mais pour susciter autant de colère et de frustration parmi la population générale dans le plus conséquent présidentielle depuis de nombreuses décennies. Après tout, les gens malheureux ont tendance à rejeter leurs dirigeants qu'ils croient responsables de circonstances aussi désastreuses. Et avec les médias grand public presque totalement dans le camp démocrate anti-Trump, rejeter la responsabilité sur le président ne s'est pas avéré une tâche difficile.
Alors, où allons-nous partir d'ici ? Maintenant que nous sommes arrivés à la fin de 2020, la situation va-t-elle commencer à s'améliorer ? Les dirigeants politiques commenceront-ils à desserrer les vis et à laisser revenir un semblant de normalité ? Ou les gens seront-ils obligés de se lever et d'exiger le retour de leur liberté et de leur liberté ?
À cette grande impasse de l’histoire de l’humanité, on a beaucoup parlé de créer des «laissez-passer pour la liberté» qui seront exigés des gens avant qu’ils ne soient autorisés à voyager ou à visiter à nouveau tout type de divertissement.
«Les personnes dont le test de dépistage du coronavirus est négatif pourraient obtenir un laissez-passer de cinq jours pour assister à de grands événements ou accéder à des bâtiments publics, dans le cadre de plans envisagés par des experts en santé publique menant un programme d'essai en Angleterre», a rapporté Bloomberg en novembre.
Déjà, cinq compagnies aériennes mondiales - United Airlines, Lufthansa, Virgin Atlantic, Swiss International Air Lines et JetBlue - ont annoncé qu'elles observeraient le soi-disant CommonPass aux passagers sur certains vols à partir de décembre.
«Le projet, développé par le groupe à but non lucratif The Commons Project et soutenu par le Forum économique mondial, utilise un certificat numérique téléchargé sur un téléphone portable pour montrer qu'un passager a été testé négatif pour Covid-19», selon le Financial Times. Voici le kicker:
«Les compagnies aériennes ne rendent pas le CommonPass obligatoire, mais à terme, il sera également utilisé pour fournir une preuve de vaccination.»
Il semble plutôt évident où tout cela se dirige: la vaccination obligatoire pour quiconque souhaite monter à bord d'un avion ou visiter à nouveau un autre lieu de divertissement. Avec le temps, il n'est pas difficile d'imaginer un schéma vaccinal s'étendant à toutes les activités humaines, y compris les achats et même l'obtention d'un emploi. Pourtant, qu'en est-il des millions de personnes qui ont exprimé un scepticisme extrême face à l'administration d'un vaccin qui a été développé si rapidement ?
Quoi qu’il en soit, si un tel plan d’action devenait obligatoire, la vie des gens serait entièrement dominée par la peur d’un virus, ainsi que par un processus bureaucratique sans fin consistant à être testé et approuvé pour se déplacer. Les vaccins deviendront une exigence régulière puisque les virus sont dans un état de mutation constante, ce qui en fait les autoritaires rêvés comme instrument de domination.
Un tel système de contrôle totalitaire, s’il devait un jour se concrétiser, aura réalisé en quelques mois ce que le fascisme n’a pas pu en des années: la pacification et l’unification d’une grande partie de la population mondiale non pas à la baïonnette, mais à la seringue. En fait, aujourd'hui, les Londoniens fuient leur belle ville non pas par peur du virus en soi, mais par peur des restrictions de verrouillage mises en place par les autorités. Pour le dire autrement, le monde a donné un pouce et les mondialistes ont pris un kilomètre, et il faudrait être idiot pour croire que cela aurait pu se passer autrement.
Covid : Pérou et Bolivie sur la bonne voie
RépondreSupprimerLes bons et les mauvais pays ne se mesurent pas avec les chiffres additionnés depuis janvier, mais avec les chiffres obtenus après avoir tiré les leçons de la première vague.
28 DÉCEMBRE 2020
Par Gérard Maudrux.
Suite à mon dernier billet sur l’Ivermectine et aux articles de France Soir, la riposte n’a pas tardé, via 20 Minutes et FranceInfo. France Soir s’est chargé de démonter la manipulation de 20 Minutes, je me chargerai donc de FranceInfo, qui permet d’orienter vers une réflexion plus globale du bilan de la gestion de la crise actuelle.
Pour ce qui est de FranceInfo, comme on dit « plus c’est gros, mieux ça passe ». Ils parlent de « dizaines de publications négatives, pour une étude préliminaire positive », sans citer aucune source, alors que j’arrive à l’inverse, en citant toutes les sources afin que les lecteurs puissent juger par eux-mêmes.
Vient ensuite un amalgame avec Surgisphère et le scandale du Lancet, alors qu’il s’agissait de l’Hydroxychloroquine, dans le but jeter un doute sur l’étude positive. Plus loin on affirme que « certains s’intoxiqueraient avec un surdosage », sans citer une seule source, alors que personnellement je citais une étude avec un essai à 10 fois la dose, sans effets secondaires ! Quand on veut noyer son chien, on l’accuse d’avoir la rage, ce vieux dicton a pleinement sa place ici. Dans quel but ? Mystère.
Ivermectine
Plus intéressant vient la critique sur deux pays, le Pérou et Bolivie, qui autorisent, conseillent l’Ivermectine, et pire, une population qui en prend, au point de poser des problèmes inacceptables pour FranceInfo : « distribué aux habitants, ce qui pose problème pour les essais cliniques, les patients qui se présentent pour des essais ayant déjà pris de l’Ivermectine ! 8 sur 10 paraît-il au Pérou. »
Pensez-vous que FranceInfo s’est intéressé à ce que donnaient ces pays en matière d’épidémiologie et de résultats sur les traitements ? Bien sûr que non, ce n’est pas le traitement et son résultat qui compte pour ces gens-là, c’est de dénigrer un produit et ceux qui en parlent !
En tant que médecin, moi c’est le résultat du traitement qui m’intéresse en premier, alors je suis allé voir. Ils en prennent, beaucoup, mais pour quel résultat ? Ont-ils tort, ont-ils raison ? C’est là tout l’intérêt du débat.
LE PÉROU
37 000 morts depuis janvier. Avec une population de 32 millions d’habitants, c’est l’équivalent de 77 000 morts en France. Donc épidémie plus grave que chez nous, ce qui se passe d’ailleurs dans tout le continent Sud Américain.
Si comme partout ils n’ont rien fait au début, déroutés par une nouvelle maladie, s’ils ont découvert l’Ivermectine au milieu de l’été, et si maintenant ils en prennent massivement comme le dit FranceInfo, quel est le résultat ?
2700 morts pour les 2 derniers mois ! À population égale, nous en aurions 5650, or nous en sommes à 25 000 pour ces deux derniers mois ! Ils ont eu plus de décès que chez nous lors de la première vague, en ont tiré les conclusions, et en ont 5 fois moins que nous pour la seconde vague, car nous, nous n’avons rien changé.
LA BOLIVIE
RépondreSupprimer9 000 morts depuis janvier, et rappelez-vous ces images à la Une, les policiers ramassant des centaines de cadavres dans les rues. Une hécatombe. Ils seraient passés à l’Ivermectine ?
Combien de morts depuis deux mois ? 220 ! Même proportion que pour le Pérou entre début d’épidémie ou personne ne savait quoi donner, et maintenant où l’Ivermectine est largement prescrite. Ce pays ayant 11,6 millions d’habitants, cela donnerait 52 000 morts chez nous depuis janvier, soit un peu moins, et 1270 depuis deux mois au lieu de 25 000.
Vous me direz que ces calculs sont très tendancieux, car ils n’ont pas de seconde vague. Mais alors pourquoi leurs plus proches voisins, Colombie, Brésil, Paraguay, sont en pleine seconde vague et pas eux ? L’Argentine s’améliore grandement depuis sa publication sur les soignants fin août.
Pourquoi y aurait-il une seconde vague si, comme le dit FranceInfo, 8 personnes sur 10 sont sous Ivermectine ? Si tout le monde est traité, si on diminue en 48 heures la charge virale des positifs, il ne peut y avoir de contaminations et de seconde vague. C’est le résultat d’un traitement efficace.
Maintenant avec ce Covid qui s’amuse à déjouer tous les pronostics depuis le début il faut être prudent. Les choses peuvent changer, mais toujours est-il que ces résultats, au même titre que ceux de l’Ehpad de Seine et Marne ou l’étude sur 1200 soignants en Argentine (passés sous silence 20 Minutes et FranceInfo), doivent interpeller et conduire à quelques essais, si on est vraiment préoccupé par le traitement du Covid dans notre pays. Trois Ehpads et 500 patients suffisent.
DISTINGUER PREMIÈRE VAGUE ET DEUXIÈME VAGUE
Ces résultats m’inspirent une réflexion : il faudrait remettre les pendules à zéro. Pour mieux suivre l’épidémie, Il faudrait cesser de donner les chiffres de mortalité globale depuis janvier, et les scinder en deux : les chiffres de la première vague, où tout le monde a été pris de court, et les chiffres depuis le 1er septembre, afin de comparer dans chaque pays les résultats obtenus par chacun en fonction des mesures prises.
Ceux qui ont eu la bonne attitude auront des chiffres qui s’améliorent, ceux qui n’ont rien fait ou auront pris une mauvaise voie auront des chiffres sans amélioration. En France, première vague, 30 000 morts, rien n’a changé, seconde vague 30 000 morts. Bolivie première vague 9000 morts, passage à l’Ivermectine, pas de seconde vague, 220 morts.
Les chiffres globaux ne donnent aucune idée de ce qui est bon ou pas face au Covid. Utiles au début, ils sont devenus contre productifs et ne sont d’aucune aide.
Les bons et les mauvais pays ne se mesurent pas avec les chiffres additionnés depuis janvier, mais avec les chiffres obtenus après avoir tiré les leçons de la première vague.
https://www.contrepoints.org/2020/12/28/387467-covid-perou-et-bolivie-sur-la-bonne-voie
L'Ontario (Canada) admet que les décès sont étiquetés comme COVID lorsqu'ils ne sont pas le résultat d'un COVID
RépondreSupprimerPar Arjun Walia
Évolution collective
28 décembre 2020
Ce qui s'est passé: Santé publique de l'Ontario (Canada) a une page sur son site Web intitulée «Comment l'Ontario réagit au COVID-19». Sur celui-ci, ils indiquent clairement que les décès sont marqués comme des décès COVID et sont inclus dans le décompte des décès COVID, que le COVID ait réellement contribué ou non au décès. Ils déclarent ce qui suit,
Tout cas marqué comme «mortel» est inclus dans les données sur les décès. Les décès sont inclus, que le COVID-19 ait été ou non considéré comme une cause contributive ou sous-jacente de décès… »
Cette déclaration de Santé publique Ontario fait écho aux déclarations faites à plusieurs reprises par les agences et le personnel de santé publique du Canada. Selon Anna Miller, conseillère principale en communications du ministère de la Santé de l'Ontario,
En raison de la manière dont les données sont enregistrées par les bureaux de santé dans les bases de données d'informations sur la santé publique, le ministère n'est pas en mesure de séparer avec précision le nombre de personnes décédées directement à cause du COVID par rapport à celles qui sont décédées des suites d'une infection au COVID.
Encore une fois, cela signifie que lorsque nous observons le décompte des décès par COVID-19 en Ontario, au Canada, nous observons un nombre inexact étant donné que ceux qui sont décédés avec le COVID ne sont pas nécessairement décédés à cause de celui-ci. Théoriquement, si une personne s'est suicidée et a été testée positive au COVID ou est décédée dans un accident de voiture, d'une crise cardiaque, d'un cancer, d'un diabète ou de toute autre maladie, elle est également incluse dans le décompte des décès COVID. N'oublions pas le fait qu'un test PCR positif ne signifie pas que l'on a un COVID.
Cela a été le thème commun pendant toute la durée de cette pandémie jusqu'à présent. Par exemple, à la fin du mois de juin, la santé publique de Toronto (Ontario, Canada) a tweeté que «les personnes décédées avec le COVID-19, mais pas à la suite du COVID-19, sont incluses dans le nombre de cas de décès par COVID-19 à Toronto.
Ce n’est pas seulement au Canada que nous avons vu ce genre de déclarations se faire, c’est partout dans le monde. Il existe de nombreux exemples aux États-Unis dont nous avons déjà parlé.
Par exemple, le Dr Ngozi Ezike, directeur du département de la santé publique de l'Illinois, a déclaré ce qui suit pendant la première vague de la pandémie:
Si vous étiez en hospice et que vous aviez déjà eu quelques semaines à vivre et que vous aviez également un COVID, cela serait compté comme un décès COVID, même si vous êtes décédé d'une cause alternative claire, il est toujours répertorié comme un décès COVID . Donc, tous ceux qui sont répertoriés comme un décès COVID, cela ne signifie pas que c'était la cause du décès, mais ils avaient un COVID au moment du décès.
Au cours de la première vague, le ministère de la Santé publique et de l'Environnement du Colorado a dû annoncer un changement dans la façon dont il comptabilise les décès par coronavirus en raison de plaintes selon lesquelles il gonflait les chiffres.
Le seul problème est que nous ne pouvons pas savoir combien de personnes ont été ajoutées au nombre de décès COVID dans plusieurs endroits à travers le monde qui ne sont pas réellement décédées des suites du COVID. Théoriquement, cela pourrait conduire le nombre de décès dans le monde nettement inférieur aux chiffres officiels que nous obtenons.
À la fin de l'été, le CDC a publié des données montrant que 94% des décès qui ont été marqués comme décès par COVID avaient au moins deux ou d'autres causes répertoriées. Sur tous les décès qui ont été qualifiés de décès par COVID-19 aux États-Unis jusqu'à la fin août, pour 6% d'entre eux, le COVID-19 était la seule cause mentionnée et pour 94% des décès, il y avait d'autres causes. et conditions en plus du COVID-19. Le CDC déclare que "pour les décès avec des conditions ou des causes en plus du COVID-19, en moyenne, il y avait 2,6 conditions ou causes supplémentaires par décès." Alors, comment savons-nous que COVID a été la cause d'un grand nombre de ces décès ou même contribué? Beaucoup pensent que COVID en était la cause et a même contribué aux comorbitités énumérées. Vous pouvez voir les chiffres mis à jour ici dans le tableau 3 du CDC car ils sont similaires.
RépondreSupprimerNous l'avons également vu très tôt en Italie, où 99% des personnes marquées comme décès par COVID avaient de multiples comorbidités.
Avec les deux derniers exemples, il est important de mentionner que COVID peut avoir été la cause ou même un facteur contributif. Nous savons déjà que les personnes souffrant de comorbidités ainsi que les personnes âgées sont les plus vulnérables. Nous savons également que pour les personnes de 70 ans et moins, le taux de survie du virus est de 99,95%, selon le Dr Jay Bhattacharya, MD, PhD, de la Stanford University School of Medicine. C'est pourquoi environ 50000 médecins et scientifiques ont maintenant signé la déclaration de Great Barrington, s'opposant fermement aux mesures de verrouillage, citant des informations montrant qu'ils font plus de mal que de bien et expliquant que nous n'avons pas à tout verrouiller pour protéger les personnes vulnérables. Il existe, selon eux, des moyens plus appropriés et efficaces de le faire.
Pourquoi est-ce important: Beaucoup de gens se posent de nombreuses questions, non seulement en ce qui concerne la gravité du virus, les tests PCR et les mesures prises par les gouvernements pour le combattre, mais aussi le fait que les informations, les preuves, la science et l'opinion d'experts au cours de cette pandémie ont été fortement censurées. Beaucoup de scientifiques et de médecins ont fait de leur mieux pour sensibiliser le public à ce sujet, car nous n’entendons pas le message du grand public à ce sujet. Les médias sociaux censurent et bloquent les informations qui s'opposent au discours officiel diffusé par les autorités sanitaires gouvernementales. Il est étrange de voir comment un scientifique, comme le Dr Anthony Fauci par exemple, peut obtenir tout le temps d'antenne du monde et bénéficier d'une viralité instantanée, mais des milliers d'autres experts du domaine qui partagent une opinion opposée sont complètement ignorés. Cela soulève beaucoup de questions et de drapeaux rouges.
Au cours des derniers mois, j'ai vu des articles universitaires et des éditoriaux rédigés par des professeurs rétractés ou étiquetés «fake news» par les plateformes de médias sociaux. Souvent, aucune explication n'est fournie. Je suis préoccupé par cette brutalité et, parfois, par une censure pure et simple. - Vinay Prasad, MD, MPH (source)
L'essentiel est que la science est supprimée, et ce n'est pas un secret. Vous trouverez ci-dessous un tweet du Dr Martin Kulldorff, professeur de médecine à Harvard, qui met l'accent sur ce point, qui a également été récemment souligné par Kamran Abbas, médecin, rédacteur en chef du British Medical Journal et rédacteur en chef du Bulletin of the World Health Organisation. Il a publié un article sur le COVID-19, la suppression de la science et la politisation de la médecine. Il existe de nombreux exemples parmi lesquels choisir, je pensais que je les mentionnerais simplement pour faire passer mon message. Il n’est pas non plus surprenant de trouver des conflits d’intérêts entre les conseillers gouvernementaux COVID.
À retenir: Un gros problème que nous semblons avoir aujourd'hui en tant que collectif est que nous sommes incapables de communiquer et de discuter de questions ou de positions controversées, ou de ce qui est étiqueté comme des positions controversées de manière appropriée. Ceci est en grande partie dû au fait que ces positions sont fortement censurées et ridiculisées par les médias grand public, beaucoup d'informations sont qualifiées de controversées ou de «théorie du complot», ce qui conduit à un manque de compréhension par les masses. Il est également facile de ne même pas divertir ou avoir une discussion sur le sujet. Pourquoi avons-nous tant de mal à entretenir des positions considérées comme controversées? Pourquoi avons-nous tant de mal à suspendre nos propres croyances et à adopter d'autres croyances qui contredisent les nôtres? Pourquoi avons-nous tant de mal à comprendre le point de vue d'une autre personne et pourquoi elle le ressent? Pourquoi sommes-nous devenus si polarisés dans ce en quoi nous croyons au point que nous ne pouvons même pas avoir des conversations appropriées à ce sujet les uns avec les autres? Pourquoi tant de gens réagissent-ils avec haine, colère et ridicule face à un point de vue opposé? Que se passe t-il ici? L’information est-elle vraiment la solution, car parfois des informations et des preuves extrêmement crédibles sont complètement ignorées afin de protéger son propre système de croyances.
RépondreSupprimerReprinted with permission from Collective Evolution.
https://www.lewrockwell.com/2020/12/no_author/ontario-canada-admits-labelling-deaths-as-covid-when-theyre-not-a-result-of-covid/
Comme dans TOUS les pays du monde la TOTALITE des Directeurs d'hôpitaux et cliniques sont OBLIGEES d'étiqueter TOUS les morts de vieillesse, accidents, diabète, suicide, etc en 'MORT: CORONA' !!!
RépondreSupprimerTandis que les vivants en très bonne santé sont forcés contre leur gré de passer des faux tests 'RT-PCR' où le cycles d'analyses sont poussés de 25 à 50 pour faire croire qu'il y a au monde 7 milliards de criminels qui se promènent en liberté avec du corona !
Déception de masse: suppléments diététiques Vaccins expérimentaux non éprouvés sûrs et efficaces
RépondreSupprimerL'industrie des compléments alimentaires est en état de mort cérébrale face à la plus grande menace pour la santé d'origine humaine de l'histoire
Par Bill Sardi
28 décembre 2020
Les compléments alimentaires pour Covid-19 ne sont pas testés et ne peuvent prétendre prévenir, traiter ou guérir une maladie, mais des vaccins expérimentaux non prouvés, efficaces à moins de 1% et non testés pour la sécurité dans de grandes populations, sont obligatoires.
L'opportunité d'une vie s'est présentée à l'industrie des compléments alimentaires lorsque l'Organisation mondiale de la santé a annoncé une pandémie (pré-planifiée) causée par un virus nouvellement muté contre lequel toute la population mondiale n'était pas immunisée et contre laquelle il n'existait aucun vaccin ni médicament prouvé. Les compléments alimentaires, en tant que seule option, sauveraient-ils l'humanité de l'extinction prévue ?
la vitamine D a indéniablement produit un meilleur taux de survie que n'importe quel vaccin proposé
les pilules C ont également disparu des rayons des magasins.
Les magasins de détail ont manqué de comprimés de zinc. Grâce au service d'information sur la médecine orthomoléculaire, qui a informé le monde que la vitamine C par voie intraveineuse a ramené les patients hospitalisés d'une certaine tombe, les pilules C ont également disparu des rayons des magasins. Alors que la médecine moderne traîne toujours les pieds dans le déni, la vitamine D a indéniablement produit un meilleur taux de survie que n'importe quel vaccin proposé. En fait, l'efficacité du vaccin contre la grippe dépend des niveaux de vitamine D avant l'inoculation. La supplémentation en vitamine D chez les personnes carencées en vitamines améliore l'efficacité du vaccin. (Pourtant, les hôpitaux refusent de tester les taux sanguins de vitamine D lors de l'admission. Les hôpitaux n'ont pas les moyens d'appliquer la vitamine D à titre prophylactique en raison de la perte de revenus.)
En l'absence d'autres alternatives disponibles, le public a atteint des remèdes naturels tels que les vitamines (C et D), les minéraux (zinc et sélénium) et les plantes médicinales (ail, resvératrol, réglisse, pour n'en nommer que quelques-uns).
Les sites Web sur les produits de santé naturels «manquent en action»
Pourtant, un examen des sites Web de l'industrie des compléments alimentaires amène à se demander pourquoi il y a un tel décalage entre la dépendance du public à l'égard des remèdes naturels et le contenu des sites Web de l'industrie qui semblent ignorer ce qui s'est réellement passé.
La page d'accueil du Conseil pour une nutrition responsable (CRN), qui représente les fournisseurs et fabricants de compléments alimentaires, ressemble à un business as usual (la vieille norme). Bien que toute mention selon laquelle les remèdes naturels servent d'antidotes contre le COVID-19 est contraire aux réglementations de la FDA qui interdisent aux sociétés de suppléments de prétendre que ses produits «préviennent, guérissent ou traitent toute maladie», l'industrie a la licence pour faire des «allégations de structure et de fonction fondées sur la science. »Que leurs produits« favorisent la santé ». Pourtant, même les communiqués de presse du CRN ne font aucune mention de produits naturels qui aident à garder les Américains en bonne santé pendant cette crise. Ceci malgré la propre enquête du CRN qui montre que plus de 7 Américains sur 10 prennent des compléments alimentaires et 43% des utilisateurs de suppléments ont déclaré avoir changé leur régime de suppléments depuis le début de la pandémie.
RépondreSupprimerAlors que la page d'accueil de la Natural Products Association (NPA), une organisation qui représente les fabricants et les détaillants, est presque dépourvue de toute mention de cette crise sanitaire, sur une dernière page, elle mentionne qu'elle a fait pression pour que les détaillants de produits naturels restent ouverts sous COVID -19 restrictions. Sur sa page d'accueil, il y a un lien vers un tweet Twitter du directeur général de la NPA au sujet de la législation (S. 4463) qui classerait certains compléments alimentaires en vente libre parmi les frais médicaux admissibles. Cette législation n'a pas progressé au-delà de son introduction.
Inexplicablement, le site Web de la NPA dirige les téléspectateurs vers un commentaire vidéo peu convaincant du gouverneur de Californie, Gavin Newsome, où il loue les agents de santé de première ligne, un gouverneur qui impose des restrictions si strictes aux détaillants que des milliers de magasins de santé vont certainement cesser leurs activités.
Sur une autre dernière page, le président du NPA rejette tout remède naturel censé être un recours contre le COVID-19 est donc en dehors de la loi et exhorte les consommateurs à se laver les mains et à éviter tout contact étroit avec des personnes malades. On pourrait penser que le NPA est dans le secteur des désinfectants pour les mains.
Il existe une licence dans le cadre de la loi qui permet à l'industrie des compléments alimentaires de faire valoir que leurs produits «favorisent la santé», «soutiennent l'immunité», «stimulent les lymphocytes T dans la plage normale», «amorcent le système immunitaire pour la vaccination» et «soutiennent des niveaux d'anticorps sains. »
RépondreSupprimerLa Fédération nationale de la santé, une organisation pour la liberté de la santé, place la crise du COVID-19 au premier plan. Des informations utiles sont fournies sur les alternatives aux vaccins. Il comporte un formulaire de refus / consentement pour la vaccination.
La page d'accueil de Citizens for Health, une organisation de consommateurs qui a fait pression avec succès pour l'adoption du Dietary Supplement Health & Education Act en 1994 qui empêchait le Congrès de fabriquer des compléments alimentaires, ne résout pas non plus la crise du COVID-19 de manière adéquate. Le site Web du CFR a un obscur «COVID CORNER» qui conseille au public de désinfecter et d'éviter tout contact. Il existe un rapport poignant intitulé «Cette simple vitamine joue-t-elle un rôle central dans la réduction de la mortalité due au COVID-19 ?» Il s’agit de vitamine D.
À l'exception du site Web de la Fédération nationale de la santé, l'industrie des compléments alimentaires et les principales organisations de liberté de la santé semblent être intimidées par la FDA ou sont aussi ignorantes que tout le monde au sujet du COVID-19.
Avec plus de 70 % de la population américaine prenant des compléments alimentaires, il est possible que les vaccins n'aient jamais fourni beaucoup de protection contre les maladies infectieuses, tandis que les vitamines aidaient la population à développer une immunité collective depuis le début.
95 % d'efficacité est impossible
Au 25 décembre 2020, les États-Unis signalaient 329000 décès cumulés par COVID-19 depuis le début de l'année au sein d'une population de 325 millions d'Américains. En ce qui concerne la mortalité, un vaccin ne peut pas être plus efficace que son taux de mortalité, qui n’est que de 1 / 10e de 1 %. Vous devez vacciner 100% de tous les Américains pour éviter 1 décès spécieux lié au COVID-19 sur 1000. C'est un taux de sur-vaccination de 99 %.
Les compléments alimentaires ne doivent être efficaces qu'à 2 % pour doubler l'efficacité des vaccins
Les masses sont trompées. Les chiffres d'efficacité de 95 % dont parlent les fabricants de vaccins expérimentaux ne sont que de 1 %. Le nombre d'efficacité de 95 % est un nombre relatif. Un vaccin placebo ne réduit le risque de mortalité que de 0,1 % et un vaccin à ARN de 0,95 %. Mais les deux nombres sont inférieurs à 1,0% en nombres fermes (moins de 1 sur 100). Quatre-vingt-dix-neuf (99) personnes vaccinées sur 100 ne bénéficieront d'aucun bénéfice et ne seront confrontées qu'à la perspective d'effets secondaires.
Les cas de tuberculose ont-ils été classés à tort comme COVID-19 ?
Malgré le fait que 94 % des décès associés au COVID-19 peuvent être dus à la vieillesse et à des comorbidités (diabète, maladie cardiaque), ou des patients sont décédés avec mais pas de COVID-19, les 6% restants peuvent être simplement des cas de tuberculose, une autre maladie pulmonaire qui n'est pas comptée dans les chiffres des décès, ce qui suggère une tromperie de masse. Les verrouillages devraient augmenter le nombre de décès dus à la tuberculose de 200 000 à 400 000 dans le monde, car les patients atteints de tuberculose active pourraient ne pas être en mesure d'obtenir les antibiotiques nécessaires, ce qui pourrait être attribué à tort (ou intentionnellement) au COVID-19.
RépondreSupprimerGardez la bouche fermée si vous souhaitez continuer à vendre des compléments alimentaires
Les fabricants de vaccins peuvent dire que leurs vaccins expérimentaux non prouvés sont «sûrs et efficaces», tandis que les compléments alimentaires ne sont pas prouvés (mais non réfutés) et que toute allégation que les suppléments sont efficaces est muselée. Le hic, c'est que les fabricants de suppléments ne peuvent même pas déclarer que leurs produits préviennent les maladies dues à une carence alimentaire comme le scorbut (vitamine C), le rachitisme (vitamine D), le béribéri (vitamine B1) ou l'anémie pernicieuse (vitamine B12). Ceci est d'une importance significative comme vous l'apprendrez ci-dessous.
Les vaccins devraient échouer ?
Je me demande si nos dirigeants ne veulent pas que les vaccins échouent pour pouvoir continuer à nous garder tous enfermés et sous leur contrôle? Les autorités de santé publique affirment que 4 des 7 premiers vaccins échoueront. Lequel les Américains seront-ils obligés de prendre ? Un rapport de l'Université du Texas demande: «Est-il contraire à l'éthique de refuser un vaccin COVID-19 ?» GreenMedInfo.com fait face à la censure en ligne après avoir publié un rapport affirmant qu'un document de la FDA a mis en garde contre une série d'effets secondaires des vaccins, y compris la mort.
De faux nombres de morts sèment la peur
Tout cela se produit alors que les agences de presse rapportent plus de 3000 décès par jour du COVID-19, mais il doit s'agir de faux rapports car ils sont publiés le lendemain des soi-disant décès, avant que les certificats de décès ne puissent être compilés avec précision. De toute façon, environ 8000 Américains mouraient chaque jour avant l'épidémie de COVID-19. Aucune donnée ne montre qu'il y a eu un excès de décès dû au COVID-19 avant que le verrouillage ne soit ordonné (plus à ce sujet ci-dessous).
Prendre la chute pour l'autre gars
Avec tout ce qui est dit sur les compléments alimentaires potentiellement toxiques, pourquoi les magasins d'aliments naturels doivent cacher les cadavres de leurs clients sous leur plancher ! Pendant ce temps, des milliers d'Américains subissent déjà des effets secondaires liés aux vaccins, notamment des réactions allergiques graves et plus d'une décennie d'essais de vaccins n'ont pas encore montré qu'un vaccin peut prévenir une infection à coronavirus. Les vaccins ne peuvent atténuer les symptômes que temporairement, ne pas fournir une immunité à long terme.
Quoi, pas de virus ? Alors comment peut-il y avoir des vaccins ?
La tromperie la plus flagrante est qu'il n'y a peut-être pas de virus COVID-19. Les autorités sanitaires irlandaises admettent que le COVID-19 n'existe pas. Le test de réaction en chaîne de la polymérase utilisé pour confirmer les taux d'infection est connu pour créer de fausses épidémies.
C’est une maladie due à une carence alimentaire
RépondreSupprimerLe COVID-19 semble être une maladie de carence alimentaire qui imite les infections virales - une carence en vitamine B1 (thiamine), connue sous le nom de béribéri. Ce ne serait pas la première fois qu'une carence en vitamines serait confondue avec une épidémie virale. Le béribéri a trompé tout un pays avancé au milieu des années 1970 en lui faisant croire qu'il s'agissait d'une infection virale. Elle a ensuite été décrite comme une «maladie qui ruine la nation».
Les verrouillages ont entraîné une surconsommation d'alcool, de sucre, de café et de thé qui bloquent ou interfèrent avec l'absorption ou l'utilisation de la vitamine B1. Beriberi est connu comme le grand mascarade. L’armée n’a pas besoin d’être appelée pour vacciner des millions d’américains. L'antidote du béribéri se trouve dans les magasins de santé et non dans les centres de vaccination.
Pouvez-vous imaginer que les propriétaires de magasins de compléments alimentaires soient mandatés pour contraindre leurs employés à se faire vacciner contre le COVID-19 alors que les étagères de leurs magasins ont fait leurs preuves sur leurs tablettes ? Les compléments alimentaires peuvent ne pas être prouvés, mais ils ne sont pas réfutés. Les compléments alimentaires sont plus sûrs que le sucre de table, le sel, l'aspirine, la pénicilline, l'insuline, les diurétiques, les inhibiteurs d'acide et les statines.
Malgré la grande promesse des compléments alimentaires, le leadership de l'industrie des compléments alimentaires est, à une exception près, non seulement mal orienté, mais il n'a pas de colonne vertébrale. Je ne suis pas sûr que l’industrie des compléments alimentaires s’engage à informer le monde de l’innocuité et de l’efficacité de ses propres produits.
https://www.lewrockwell.com/2020/12/no_author/mass-deception-dietary-supplements-unproven-experimental-vaccines-safe-effective/
Verrouillage: une expérience mortelle et ratée
RépondreSupprimerCela a été une catastrophe mondiale. Nous ne devons plus jamais emprunter cette voie.
Par Fraser Myers
Pointu
28 décembre 2020
Le pays qui a été le plus ravagé cette année par Covid-19 - perdant 1 600 personnes sur un million à cause du virus au moment de la rédaction de cet article - est la Belgique.
Cela pourrait être une surprise. Vous pourriez être pardonné de penser que c’était l’Amérique, grâce à la prétendue ignorance de la science par Trump. Ou qu'en est-il de la Grande-Bretagne, qui a verrouillé «trop tard» en raison de la croyance éphémère mais stupide de son gouvernement en la liberté? Ou le Brésil, dont le dirigeant de droite s'est plaint que les verrouillages et les masques étaient des «pédés»? Si ce n'est pas le cas, alors sûrement la Suède, où il n'y a pas eu de verrouillage dur du tout?
Mais non, c’est la Belgique. La réponse de la Belgique n’a rien de particulièrement inhabituel. Rien qui s'écarte significativement du consensus. Il a fait la même chose que tout le monde à peu près au même moment que tout le monde. Il a même suscité des éloges pour sa capacité de test.
Il y a une mise en garde: le taux de mortalité sans précédent en Belgique pourrait être lié à la façon dont les décès sont comptés. Certains disent que la Belgique n’est que le pays «le plus honnête» - tandis que d’autres ont accusé les responsables de surestimer et d’inclure toutes sortes de décès non causés par Covid.
Mais parcourez la liste des décès par million et vous trouverez d'autres endroits auxquels vous ne vous attendez peut-être pas. L'Italie, durement touchée, occupe la deuxième place, mais elle a été la première à être touchée à l'Ouest, nous devrions donc les laisser partir. Ensuite, il y a la Slovénie, qui a été relativement indemne au printemps. Après cela, c’est le Pérou. Le Pérou a annoncé le 16 mars l'un des premiers verrouillages au monde - également le premier en Amérique latine. Les restrictions étaient parmi les plus strictes de la planète, appliquées par l'armée. Les masques ont été rendus obligatoires en public. Mais en mai, deux mois plus tard, les cas ont commencé à augmenter considérablement. C’était bien que le pays fasse «tout correctement» et «juste à temps». Il y a eu un certain assouplissement du verrouillage à partir de juin. Mais les rassemblements sociaux étaient toujours illégaux en août, date à laquelle 200 personnes mouraient encore par jour.
Ailleurs en Amérique latine, l'Argentine a connu une explosion similaire à mi-verrouillage des cas et des décès. Son verrouillage a commencé le 20 mars et devait être court et net. Cela a fini par devenir le plus long verrouillage continu au monde. En juin, le magazine Time a salué le succès de l'Argentine dans la maîtrise du virus. Mais peu de temps après, les cas ont commencé à augmenter. Le jour le plus meurtrier de sa pandémie était le 145e jour du verrouillage.
Les verrouillages sont devenus au cœur de toute discussion sur Covid-19. L'hypothèse selon laquelle le verrouillage est le seul moyen de prévenir les décès de Covid est devenue ancrée dans la pensée dominante. Apparemment, les seules questions autorisées sont de savoir si nous nous arrêtons assez tôt, assez durement ou assez longtemps. Le verrouillage est également devenu la réponse par défaut aux augmentations de cas (bien que parfois celles-ci prennent maintenant une forme locale plutôt que nationale). Mais la sagesse conventionnelle selon laquelle plus de verrouillage signifie moins de morts ne tient tout simplement pas dans le monde réel. Il n'y a globalement aucune association, encore moins de causalité, entre les verrouillages et les décès de Covid.
RépondreSupprimerEt pourtant, les méfaits de la politique sont extrêmes. Les pays développés ont connu cette année des baisses records de leur production économique. La Grande-Bretagne, par exemple, a connu sa pire récession en 300 ans (depuis le Grand Gel de 1709, si vous vous posez la question). Le fardeau de cette situation est tombé massivement sur les plus pauvres de la société, tandis que les milliardaires ont vu leur richesse se multiplier. Dans les pays en développement, la Banque mondiale estime que 150 millions de personnes supplémentaires tomberont dans «l’extrême pauvreté».
Les enfants sont nés un poids disproportionné des verrouillages - même si les enfants sont confrontés à des risques très mineurs liés à Covid et que les fermetures d'écoles ne sont pas associées à une réduction de la transmission. Néanmoins, selon les estimations, 1,5 milliard d'enfants - 87 % - ont été touchés par les fermetures d'écoles dans le monde.
Il existe maintenant un fossé obscène dans l'accès à l'éducation entre les riches et les pauvres, entre les diplômés privés et publics et entre ceux qui ont accès à l'apprentissage à domicile via Internet et ceux qui n'en ont pas.
- lire la suite ici :
https://www.spiked-online.com/2020/12/27/lockdown-a-deadly-failed-experiment/
Parent contre pédiatre: un débat ouvert sur les vaccins
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
28 décembre 2020
Une discussion ouverte et scientifique est essentielle pour progresser dans le domaine médical, mais c'est quelque chose qui reste insaisissable en matière de vaccination. Plutôt que d'aborder les questions, les préoccupations et les incohérences par le biais d'un débat public et de la recherche, les défenseurs des vaccins ont souvent recours aux insultes, à l'intimidation et aux menaces contre ceux qui remettent en question la politique fédérale de vaccination unique.
Les pédiatres peuvent également rabaisser les parents qui posent des questions sur les effets secondaires du vaccin, beaucoup refusant de voir les patients qui choisissent de ne pas vacciner ou de choisir un autre calendrier de vaccination. Pourtant, ils parviennent à éduquer les uns les autres et les auditeurs d’une manière positive, qui n’est finalement ni «pro» ni «anti» vaccin, mais plutôt axée sur la protection de la santé publique.
Les responsables de la santé, Fauci Deny Vaccine Injuries
Pendant ce temps, les responsables de la santé publique, y compris le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), continuent de minimiser ou de nier catégoriquement que les vaccins peuvent causer des blessures et la mort, comme il l'a fait dans une interview. avec CBS News en janvier 2019.4 Le média a présenté des parents préoccupés par les risques de vaccination, dont une femme dont le deuxième enfant a souffert de réactions graves aux vaccinations.
Naturellement, Eckhart a ensuite refusé de vacciner son plus jeune fils et a déclaré: «Si je pouvais y retourner, je n’aurais vacciné aucun de mes enfants.» Lorsqu'on lui a demandé quoi dire à ces parents, qui ont eu des réactions indésirables aux vaccins chez leurs propres enfants et hésitent à faire effectuer la même procédure sur un autre enfant, Fauci a gracieusement dit qu'ils ne devraient pas être dénigrés mais qu'il fallait leur dire que les vaccins étaient « très sûr. »
«[L] e manque de sécurité et les événements indésirables, des choses comme l'autisme… ce problème est uniquement basé sur la fabrication et cela a été prouvé… il n'y a aucune association entre le vaccin contre la rougeole et l'autisme», a-t-il déclaré. Lorsque le journaliste a déclaré qu'Eckhart pensait que les bonnes études n'avaient peut-être pas été menées pour montrer les dommages que les vaccins pouvaient causer, Fauci a nié avec véhémence qu'il y avait une quelconque vérité dans cette affirmation.
"Ce n'est pas vrai ... ce n'est tout simplement pas vrai, point final", a déclaré Fauci, refusant même d'entretenir l'idée que les vaccins peuvent provoquer des effets indésirables chez certaines personnes, et que les parents d'enfants blessés par la vaccination peuvent être justifiés dans leur hésitation à vacciner leur autre. les enfants.
Vacciner contre la rougeole parce que c'est si contagieux ?
Interrogé sur les maladies infantiles jadis courantes qui font maintenant l'objet de vaccinations, Rife a reconnu que dans la plupart des cas, ceux qui attrapent la rougeole et en particulier la varicelle «s'en sortent très bien».
La raison pour laquelle la rougeole est considérée comme un tel danger, a-t-elle dit, est qu'elle est si contagieuse, ajoutant que: «Si vous n'êtes pas vacciné contre la rougeole et que vous êtes dans une pièce près ou même après, une personne atteinte de rougeole est partie , il y a peut-être deux heures… vos chances d'attraper la rougeole avec une exposition sont de 90 %. »
Le fait vient d'une étude de 19645 intitulée «Survie du virus de la rougeole dans l'air», qui est souvent citée par le CDC. «Dans un cadre fermé», a noté le CDC, «le virus de la rougeole aurait été transmis par voie aérienne ou par exposition aux gouttelettes jusqu'à deux heures après que le cas de rougeole a occupé la région.» 6 Sharon poursuit en expliquant ce qui s'est réellement passé. au cours de l'étude, qui impliquait un minuscule placard dans un laboratoire.
RépondreSupprimerLes chercheurs ont pulvérisé le virus de la rougeole dans l'air, puis ont collecté des boîtes de Pétri pour savoir si elles contenaient le virus. Il n'y a aucune mention de ce que peut être une dose infectieuse du virus, mais ce qui est noté, dit-elle, c'est que l'humidité dans le placard n'était que de 15 %.
De plus en plus de recherches soulignent l'importance des niveaux d'humidité dans la propagation de maladies infectieuses comme la grippe et le COVID-19. Non seulement l'air sec altère les défenses intégrées de vos voies respiratoires7, mais les études sur la survie du virus de la grippe montrent également un lien d'humidité, l'une suggérant que la grippe en aérosol a survécu le plus longtemps lorsque l'humidité relative était inférieure à 36 % .8
Des niveaux d'humidité de l'ordre de 40 % à 60 % semblent être idéaux pour réduire votre risque d'infection, un niveau que vous pouvez atteindre en plaçant un humidificateur dans votre chambre. Certains experts suggèrent que les espaces publics devraient également maintenir des niveaux d'humidité minimum pour protéger la santé publique.
Même le taux de vaccination à 100 % ne suffit pas pour l'immunité du troupeau
Les médias, ainsi que les organisations de santé publique, blâment généralement des poches de personnes non vaccinées pour les épidémies de rougeole aux États-Unis, mais le pourcentage de personnes vaccinées avec le vaccin contre la rougeole-oreillons-rubéole (ROR) est en fait très élevé.
Au cours de l'année scolaire 2013-2014, près de 95 % des enfants américains entrant à la maternelle avaient reçu deux doses de vaccin ROR 9, tout comme 91,8 % des écoliers âgés de 13 à 17 ans.10 Ce taux élevé de vaccination contre le ROR parmi les écoliers américains Ce taux élevé de vaccination ROR devrait théoriquement garantir une «immunité collective», mais des cas de rougeole et d'oreillons continuent de se produire, ce qui laisse présager un échec du vaccin.
La densité de la population, les schémas de mixité sociale et d'autres facteurs affectent tous la transmission virale, et il y a aussi le fait flagrant que l'immunité du vaccin ROR diminue probablement dans les années qui suivent le dernier rappel.14
Malheureusement, avec la diminution de l'efficacité du vaccin ROR, la protection n'est pas tout au long de la vie après une infection naturelle, laissant les personnes âgées potentiellement vulnérables. Comme les femmes enceintes n'ont plus d'immunité naturelle pour transmettre à leurs nouveau-nés, les très jeunes nourrissons sont également plus sensibles à la maladie.
RépondreSupprimerLes auteurs d'une étude publiée dans The Lancet Infectious Diseases ont rapporté que lorsque l'infection par la rougeole est retardée, les résultats négatifs sont 4,5 fois pires «que ce à quoi on pouvait s'attendre à une époque prévaccine où l'âge moyen au moment de l'infection aurait été plus bas.» 15 Pendant ce temps, dans le dans la majorité des cas, l'infection par la rougeole se résout d'elle-même sans complications
La vaccination forcée arrive-t-elle ?
Dans une question des téléspectateurs de la vidéo «Quand les opinions se heurtent», quelqu'un a demandé si la vaccination forcée était à l'horizon. Rife a déclaré qu'elle ne pensait pas que le public soutiendrait la vaccination forcée, mais d'autres, comme Alan Dershowitz, avocat et juriste, pensent le contraire. Selon l'interprétation d'Alan Dershowitz du droit constitutionnel:
«Vous n'avez pas le droit constitutionnel de mettre en danger le public et de propager la maladie. Même si vous n'êtes pas d'accord, vous n'avez pas le droit de ne pas être vacciné. Vous n'avez pas le droit de ne pas porter de masque. Vous n'avez pas le droit d'ouvrir votre entreprise. Et si vous refusez de vous faire vacciner, l'État a le pouvoir, littéralement, de vous emmener chez un médecin et de vous plonger une aiguille dans votre bras.
Comme base et justification de son orientation juridique sur cette question, Dershowitz s'appuie sur une décision de la Cour suprême de 1905 dans l'affaire Jacobson c. Massachusetts, qui impliquait le vaccin antivariolique. Jacobson avait été blessé par un vaccin antérieur et a porté l'affaire devant la Cour suprême dans le but d'éviter le vaccin contre la variole. Il a perdu et payé une amende de 5 $ pour avoir refusé le vaccin.
Dershowitz a convenu que la décision de 1905 «n'est pas contraignante sur la question de savoir si vous pouvez ou non contraindre quelqu'un à se faire vacciner», mais que «la logique de l'opinion… suggère fortement que les tribunaux autoriseraient aujourd'hui une forme de contrainte si le les conditions dont nous avons parlé ont été remplies: [les vaccins sont] sûrs, efficaces, [et] des exemptions [données] dans les cas appropriés. »
Il reste à voir ce que l'avenir réserve à la vaccination obligatoire, notamment à la lumière du COVID-19, mais une chose est claire: la santé publique ne dépend pas de l'usage obligatoire des vaccins mais de la capacité des esprits à débattre ouvertement, à rechercher et réfléchir à des solutions aux maladies chroniques et aiguës qui sévissent dans le monde - des solutions qui peuvent inclure la vaccination mais ne doivent pas ignorer leur potentiel de préjudice.
Sources and References
RépondreSupprimer1 CDC, Recommended Immunization Schedule for Children and Adolescents Aged 18 Years or Younger, United States, 2019
2 NVIC August 27, 2018
3 The New York Times August 28, 1993
4 CBS News January 30, 2019
5 Nature volume 201, pages1054–1055(1964)
6 CDC, Measles, VPD Surveillance Manual, Measles, Chapter 7.1
7 Annual Review of Virology September 2020, Vol. 7:83-101
8 Environmental Health volume 9, Article number: 55 (2010)
9 CDC. Vaccination Coverage Among Children in Kindergarten – United States, 2013-2014 School Year. MMWR Oct. 17, 2014; 63(4): 913-920. CDC.
10 CDC. National, Regional, State and Selected Local Area Vaccination Coverage Among Adolescents Aged 13 to 17 Years – United States, 2013
11 CDC. Vaccination Coverage Among Children in Kindergarten – United States, 2017-2018 School Year. MMWR Oct. 12, 2018; 67(40): 1115-1122.
12, 13 New York Daily News May 15, 2019
14 The Lancet, 2020; doi.org/10.1016/S1473-3099(20)30442-4
15 The Lancet, Infectious Diseases August 2015; 15(8): 922-926
https://www.lewrockwell.com/2020/12/joseph-mercola/parent-versus-pediatrician-an-open-vaccine-debate/
Quand l'homme devient le bétail du politique ou l'atteinte totalitaire au consentement
RépondreSupprimerPierre A. Pontoizeau — FranceSoir
Sott.net
sam., 26 déc. 2020 14:14 UTC
Nous arrivons au bout d'un processus totalitaire qui va en finir avec la liberté. Le projet de loi Castex détruit le consentement du patient. Il est crucial de comprendre de quoi nous parlons pour que les élus, les médecins et les honnêtes gens mettent un terme à cette installation d'un régime totalitaire où nous serons le bétail du politique.
La loi de 2002 sur les droits des malades pose le primat du principe d'autonomie hérité de la philosophie des Lumières, le patient demeurant un citoyen autonome avec lequel les soignants entretiennent une relation de confiance dans le but de porter à sa connaissance de « manière claire, loyale et appropriée » les informations utiles à son consentement libre et éclairé. Pourtant, existe d'emblée une dépendance ou une asymétrie entre ceux qui savent et celui qui ne sait pas avec l'objectif implicite à cette relation : restaurer la santé du patient qui n'est pas autonome pour y parvenir.
La dépendance est avérée d'emblée et elle marque un premier consentement qui est aussi un dessaisissement de ses libertés d'agir sur soi par le constat de son impuissance à trouver par soi-même les moyens d'agir dans un but : sa santé. Aller voir le médecin, c'est déjà renoncer à une liberté pour se confier aux bons soins de celui qui saura. Le patient s'en remet à [« quelqu'un d'autre ? »... la suite manque dans l'original - Note de Sott]. Son autonomie toute relative est donc dépendante de la connaissance portée à son attention par le médecin qui se retrouve dans la même position que le politique pour faire œuvre de persuasion et pédagogie positivement, sans nier le risque d'une propagande ou manipulation selon les fins du corps médical en dehors de celle envisagée par le patient : opérer, accepter, différer, amputer, soulager, choisir une thérapie selon son coût, ses effets et ses risques, etc. Plusieurs aspects sont à prendre en compte : 1) le consentement vers une personne de confiance, 2) le consentement dépendant des capacités cognitives, 3) le consentement et le libre renoncement.
1) le consentement vers une personne de confiance tient à une relation de respect de l'humanité de chacun car le consentement au soin suppose consentir à une proposition qui émane de quelqu'un qui l'énonce. Ce consentement en confiance suppose une herméneutique de l'autre, une lecture a priori de ses bonnes intentions, soit une bienveillance à son égard. Le « je vous fais confiance » signifie aussi que l'on se dispense pour une part de chercher la pleine compréhension avec une sorte de délégation de confiance du raisonnement et des connaissances qui motivent des décisions et actions : opération, soins, etc. Cette délégation est prévue pour qu'une personne de confiance puisse assister le patient dans ses choix. Mais dans les choix cruciaux, cette délégation à autrui devient critique, car le choix engage la survie. Le consentement peut passer par un mandat, mais il s'agit alors de se dessaisir de son autonomie comme si l'exercice de sa liberté se confiait à un tiers ? La relation à des tiers de confiance demeure un point de cette relation.
2) le consentement dépendant des capacités cognitives suppose que celles-ci sont jugées par un tiers appréciant l'autonomie du patient. Un tiers s'arroge le droit d'évaluer l'incompétence ou la dépendance du patient parce que la maladie peut altérer les capacités de discernement conditionnant un consentement éclairé. Si l'herméneutique de soi des modernes exige la volonté rationnelle, sa substitution par la volonté d'un tiers met en évidence la difficulté d'apprécier par soi-même ces capacités, dans les cas psychiatriques par exemple. Cette prise de pouvoir sur l'autre aliène bien la liberté d'un patient jugé inapte, jugé dénué d'un degré de conscience indispensable à l'expression de son consentement. Par transposition au politique, ce dessaisissement acte une séparation entre une population apte au gouvernement et une seconde inapte à l'instar des propos de Lippmann inspiré par la psychanalyse. Existe alors une manœuvre de propagande, dès lors que l'évaluateur ou le juge préféreront conclure à l'incapacité, plutôt que de respecter l'autre en cherchant obstinément à obtenir son témoignage en reconnaissant les signes d'une autonomie toujours présente et s'exprimant imparfaitement. Là encore l'herméneutique de soi et celle d'autrui détermine la conclusion.
RépondreSupprimer3) le consentement et le libre renoncement relèvent d'un arbitrage où le patient doit accepter une perte : amputation ou opération aux effets invalidants durables par exemple. Ce renoncement acte une atteinte à son intégrité qui est le prix à payer à une survie par un engagement éclairé sur les conséquences : acceptables, supportables. Le patient doit à la fois se préserver dans son identité et son image de soi et comprendre ce qui l'atteint pour lui donner un sens : nouvel acte et décision personnelle dans un projet pour soi Le patient compose avec lui-même et cela s'appelle la liberté.
En synthèse, la relation du patient à l'équipe médicale révèle un triptyque du consentement : 1) la confiance, 2) le jugement et 3) l'engagement, ce dernier prenant un sens plus positif dans un consentement politique ou humain : relation maritale, relation sociale, projet politique communale, etc. Ce qui est éprouvé dans cette relation particulière prolonge l'herméneutique des modernes. L'équipe médicale doit être digne de confiance et a contrario ne pas susciter la défiance : manipulation, influence, intérêt propre, pouvoir, expérimentation, exploration, etc. Elle doit soutenir la liberté de jugement et a contrario ne pas masquer des connaissances, des données, des alternatives par pré-choix ou décision autoritaire. Elle doit éclairer des conséquences de l'engagement et a contrario ne pas occulter des explications sur tous les impacts connus, probables ou potentiels sans déformation altérant le sens de cet engagement respectueux de la personne [1].
Nous aurons ici la sagesse de considérer que malgré l'assentiment de tous, l'enfermement ou la violation des libertés de la personne humaine comme la vaccination obligatoire sont des entreprises de destruction de notre libre humanité. Je ne suis pas sûr que le consentement suffise à changer la nature du Goulag ou du camp de concentration hier, la loi Castex aujourd'hui qui nous fait basculer définitivement dans un autre monde politique. C'est à cette seule question que nos contemporains devraient répondre de manière cohérente en étant comptable de leur pensée devant l'histoire. Tous les élus locaux de la République doivent se révolter ou ils auront une responsabilité cruciale face à l'histoire. La France est le seul pays au monde à installer une telle dictature politique au prétexte du sanitaire.
Note
RépondreSupprimer[1] La définition de Tom Beauchamp et James Childress, dans Les principes de l'éthique biomédicale - 2008, Paris, éditions Les Belles Lettres, p.101, est éclairante :
« Respecter un individu autonome, c'est, au minimum, reconnaître le droit de cette personne à avoir des opinions, à faire des choix et à agir en fonction de ses valeurs et de ses croyances. Un tel respect implique une action respectueuse, et pas uniquement une attitude respectueuse. Un tel respect implique davantage que la non-intervention dans les affaires personnelles d'autrui. Il inclut, du moins dans certains contextes, des obligations de développer ou de maintenir les aptitudes au choix autonome des autres, tout en dissipant leurs craintes et autres conditions qui détruisent ou perturbent leur actions autonomes. »
Source de l'article publié le 22 décembre 2020 : FranceSoir
Note : Quant à la dernière phrase de l'auteur, il se trompe, la France n'est PAS le seul pays au monde à installer une telle dictature politique au prétexte sanitaire. On peut avoir cette impression parce que les différents gouvernements ne prennent pas exactement les mêmes mesures exactement au même moment, certainement pour éviter que la vue d'ensemble de la volonté hégémonique des élites mondialistes à instaurer leur Nouvel ordre mondial ne soit par trop évidente aux masses qui seraient encore en mesure de réfléchir. Mais le schéma est le même partout, la manipulation est la même partout, les medias mainstream utilisent le même langage dans leurs langues respectives pour influencer les populations vers telle ou telle mesure qu'il faudra prendre — vaccins, passeport d'immunité, lois liberticides, énième confinement, re-fermetures des commerces et des lieux de culture, etc.
https://fr.sott.net/article/36433-Quand-l-homme-devient-le-betail-du-politique-ou-l-atteinte-totalitaire-au-consentement
Contagion d'ingénierie: UPMC, Corona-Thrax et «The Darkest Winter»
RépondreSupprimerle 25 septembre 2020
Auteur Whitney Webb
Selon des documents FOIA, des chercheurs d'un laboratoire BSL-3 lié aux organisateurs de la simulation Dark Winter 2001, DARPA et du complexe industriel de biodéfense post-9/11 modifient génétiquement l'anthrax pour exprimer les composants de Covid-19.
Peu de temps après avoir été licencié de son poste de secrétaire du Trésor en décembre 2002, après un conflit politique avec le président, Paul O'Neill est devenu administrateur du Centre médical de l'Université de Pittsburgh. Bien qu'il vienne de travailler sous et de se battre avec George W. Bush et Dick Cheney, ce n'est que lorsque O'Neill a commencé à répondre au PDG de l'UPMC Jeffrey Romoff en tant que membre du conseil d'administration du Centre qu'il a choisi de dénoncer publiquement un supérieur comme «maléfique». "
«Il veut détruire la concurrence. Il veut être le seul jeu en ville », déclarera O’Neill plus tard à Romoff, ajoutant qu '« après 18 mois, j'ai quitté [le conseil de l'UPMC] par dégoût »en raison du« contrôle absolu »de Romoff sur les actions du conseil. O’Neill a noté par la suite que «les membres du conseil d’administration de l’UPMC qui détiennent des centaines de millions de dollars ne sont pas disposés à accepter ce type». Lorsqu'il a été pressé par un journaliste local, O’Neill a ajouté que d'autres membres du conseil lui avaient dit qu'ils avaient «peur» de Romoff parce que Romoff pourrait «leur faire du mal d'une manière ou d'une autre».
Les critiques d’O’Neill à l’encontre de Romoff ne sont guère une exception, car des militants de la communauté locale et même un procureur général d’État ont noté que le conseil d’administration de l’UPMC laisse Romoff faire ce qu’il veut.
Jeffrey Romoff dirige l'UPMC d'une main de fer depuis que son prédécesseur, Thomas Detre, a eu une crise cardiaque en 1992. En raison de l'accumulation massive de richesses du Centre, d'abord stimulé par sa touche magique pour recevoir des subventions des National Institutes of Health (NIH) , Detre a pu utiliser le pouvoir financier qui lui était accordé pour consolider le contrôle d'une quantité suffisante de l'Université de Pittsburgh pour créer son «propre fief personnel», qui est maintenant la société autonome connue sous le nom d'UPMC.
Peu de temps après que Romoff a pris les rênes du Centre, il a clairement fait part de ses intentions aux professeurs et au personnel, déclarant lors d'une réunion de l'UPMC en 1995 que sa «vision» de l'avenir des soins de santé américains était «la conversion des soins de santé d'un bien social à un marchandise." Motivé par le profit avant tout, Romoff a développé de manière agressive l'UPMC, engloutissant les hôpitaux communautaires, les centres de chirurgie et les cabinets privés pour créer un «réseau de soins de santé» qui s'est étendu dans une grande partie de la Pennsylvanie et même à l'étranger dans d'autres pays, y compris la Chine. Sous Romoff, l'UPMC s'est également développée dans le secteur de l'assurance maladie, avec 40 pour cent des réclamations médicales qu'elle paie retournant directement dans des lieux de soins qui appartiennent à l'UPMC - ce qui signifie que l'UPMC se paie essentiellement.
De plus, comme l'UPMC est officiellement une «société de bienfaisance à but non lucratif», elle est exonérée de l'impôt foncier et bénéficie d'un accès spécial au marché des obligations municipales exonérées d'impôt. L'UPMC peut également solliciter des subventions déductibles d'impôt auprès de particuliers et d'organisations privées, ainsi que des gouvernements. Ces subventions ont totalisé plus d'un milliard de dollars entre 2005 et 2017.
RépondreSupprimerBien que ces avantages soient officiellement justifiés en raison du statut d '«institution caritative» de l'UPMC, le conseil d'administration de l'UPMC, avec Romoff au sommet, a vu ses propres salaires de plusieurs millions de dollars par an continuer à grimper. Peut-être que cet avantage vient également du fait que l'UPMC est une société à but non lucratif, car il n'y a pas d'actionnaires à qui Romoff et le conseil d'administration doivent expliquer leurs salaires de plus en plus exorbitants. Par exemple, Romoff a gagné 8,97 millions de dollars l’année dernière en tant que PDG de l’UPMC, une augmentation marquée par rapport aux 6,12 millions de dollars qu’il avait récoltés l’année précédente.
La chicane financière de l'UPMC est si incontrôlable que même le procureur général de Pennsylvanie a pris des mesures contre elle, poursuivant l'UPMC en février 2019 pour violations des lois sur les organismes de bienfaisance de l'État en raison de leur «enrichissement sans cause» et se livrant à des «actes ou pratiques déloyaux, frauduleux ou trompeurs. . » Bien que l'UPMC ait décidé de régler à l'amiable, le Centre et Romoff sont sortis de l'affaire relativement indemnes.
Aujourd'hui, grâce à la crise provoquée par Covid-19, l'UPMC est à nouveau sur la voie d'une croissance encore plus grande et plus puissante dans la poursuite de l'objectif ultime de Romoff, qui est, selon ses propres mots, de faire de l'UPMC l '«Amazonie des soins de santé . »
Dans ce quatrième opus de la série The Last American Vagabond «Contagion de l'ingénierie: Amerithrax, Coronavirus and the Rise of the Biotech-Industrial Complex», le géant de la santé «à but non lucratif» qu'est l'UPMC est carrément placé à l'intersection de l'après-9 / 11 partenariats public-privé «biodéfense»; des universitaires financés par des entreprises qui façonnent la politique publique au nom de leurs bienfaiteurs du secteur privé; et des recherches risquées sur des agents pathogènes dangereux qui menacent de déclencher la «bioterreur» même contre laquelle ces institutions prétendent se prémunir.
L'étrange trajectoire des efforts de vaccination contre le Covid-19 de l'UPMC
RépondreSupprimerEn janvier 2020, alors qu'une grande partie du monde restait parfaitement inconsciente de la pandémie mondiale à venir, l'UPMC était déjà en train de développer un vaccin pour se protéger contre le nouveau coronavirus qui cause Covid-19, connu sous le nom de SRAS-CoV-2. Ce mois-là, avant que l'État de Pennsylvanie n'ait un seul cas de Covid-19, l'UPMC a formé un «groupe de travail sur les coronavirus», qui se concentrait initialement sur le lobbying des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis pour obtenir des échantillons de SRAS vivant. CoV-2 à des fins de recherche. Cette recherche devait être menée au Laboratoire régional de confinement biologique (RBL) de niveau de biosécurité 3 (BSL-3) situé dans le Centre de recherche sur les vaccins de l’UPMC. Un jour après que le directeur du Centre de recherche sur les vaccins de l'UPMC, W.Paul Duprex, a révélé les efforts de l'UPMC pour accéder au virus SARS-CoV-2, il a annoncé que les échantillons de virus, contenant environ 50 à 60 millions de particules de coronavirus, étaient déjà en route vers l'université. À l’époque, l’UPMC était l’une des rares institutions figurant sur la liste restreinte du CDC à recevoir des échantillons en direct du SRAS-CoV-2.
L'UPMC a déclaré plus tard qu'elle avait commencé à travailler sur un vaccin contre Covid-19 le 21 janvier, quelques semaines avant l'annonce du 14 février que le virus était en route vers l'université. Ce candidat vaccin original a utilisé la séquence génétique publiée du SRAS-CoV-2, publiée début janvier 2020 par des chercheurs chinois, pour produire synthétiquement des protéines de pointe du SRAS-CoV-2 qui seraient transportées dans les cellules par un vecteur adénoviral, qui est couramment utilisé. dans une variété de vaccins. Le candidat vaccin était surnommé PittCoVacc, abréviation de Pittsburgh Coronavirus Vaccine.
Un peu plus d'un mois après la réception des échantillons vivants de SRAS-CoV-2 par le Centre de recherche sur les vaccins de l'UPMC, l'UPMC a reçu une subvention de 5 millions de dollars de la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI), une organisation internationale fondée en 2017 par les gouvernements de La Norvège et l'Inde avec le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates. La subvention a été officiellement attribuée à «un partenariat international université-industrie» que le Centre de recherche sur les vaccins avait récemment formé avec l'Institut Pasteur en France et le fabricant de vaccins autrichien Themis. Peu de temps après, en mai, Themis a été acquis par le géant des vaccins Merck, qui a commencé à recruter des volontaires pour des essais sur l'homme au début du mois le 11 septembre. Merck entretient des liens incroyablement étroits avec l'UPMC, en particulier sa branche de commercialisation connue sous le nom de UPMC Enterprises.
La subvention du CEPI semble avoir radicalement modifié l’intérêt du Centre de recherche sur les vaccins pour le candidat vaccin adénovirus vecteur original, PittCoVacc, car la subvention du CEPI visait spécifiquement à financer un vaccin candidat différent qui utilise à la place le virus de la rougeole comme vecteur. Le virus de la rougeole et la manipulation génétique de la rougeole en vue de son utilisation dans le vaccin antirougeoleux est, notamment, le principal intérêt de recherche et l'expertise du directeur du Centre de recherche sur les vaccins Paul Duprex.
RépondreSupprimerCe vaccin candidat à base de rougeole a été décrit comme «un virus de la rougeole modifié [génétiquement modifié] qui délivre des fragments du nouveau coronavirus dans le corps pour prévenir Covid-19» ainsi que comme un «virus de la rougeole atténué [génétiquement modifié mais affaibli] comme un vecteur permettant d'introduire du matériel génétique du SRAS- [CoV-] 2 dans le système immunitaire. » La combinaison de ce virus de la rougeole affaibli et du SRAS-CoV-2, selon Duprex, produira une «version plus bénigne du coronavirus [qui] familiarisera le système immunitaire d’une personne» avec le SRAS-CoV-2. Aucun vaccin utilisant cette modalité n'a jamais été homologué.
Le 2 avril, moins d'une semaine après l'annonce du prix CEPI, les chercheurs de l'UPMC qui avaient développé le vaccin candidat original en utilisant l'approche plus traditionnelle adénovirus-vecteur ont publié une étude dans EBioMedicine (une publication de la revue médicale Lancet) qui a rapporté résultats prometteurs de leur candidat vaccin dans les études animales. La nouvelle qu'une institution américaine était parmi les premières au monde à développer un candidat vaccin Covid-19 avec des résultats prometteurs d'une étude animale a été fortement amplifiée par les principaux médias américains, ces rapports indiquant que l'UMPC demandait la permission du gouvernement d'agir rapidement. sur les essais humains.
Ce vaccin candidat original, cependant, a été mystérieusement exclu des rapports et déclarations ultérieurs de l'UPMC concernant ses efforts de vaccination Covid-19. En effet, ces derniers mois, les déclarations de Duprex sur les candidats vaccins Covid-19 du centre ne mentionnent plus du tout le PittCoVacc autrefois prometteur. Au lieu de cela, de nouveaux rapports, citant Duprex, affirment que les seuls candidats vaccins UPMC sont le candidat vaccin contre la rougeole financé par le CEPI et un autre candidat vaccin plus mystérieux, dont la nature n'a été révélée que récemment par des documents obtenus par le biais d'un Freedom of Information Act (FOIA ) demande.
Il est tout aussi étrange que les récents reportages des médias sur le candidat vaccin original aient cessé de mentionner l'UPMC, citant à la place uniquement Themis, son nouveau propriétaire Merck et l'Institut Pasteur français. Aucun rapport n'indique une rupture du «partenariat université-industrie» d'origine qui avait reçu la subvention du CEPI. Il semble que ce soit ce qui s'est peut-être produit, car Duprex a déclaré que le candidat vaccin contre la rougeole de l'UPMC s'était associé au Serum Institute of India pour une production de masse, d'abord pour des essais, puis pour un usage public, en fonction de l'évolution du vaccin. à travers le processus de réglementation. En revanche, Themis / Merck ont déclaré que leur vaccin était produit en France. On ne sait toujours pas quelle est la relation entre ces deux candidats vaccins, et apparemment analogues.
RépondreSupprimerBien que Duprex ait été relativement franc sur la nature du premier candidat vaccin UPMC (c'est-à-dire le vaccin contre la rougeole financé par le CEPI), il a été beaucoup plus discret sur son deuxième candidat vaccin. Fin août, il a déclaré au Pittsburgh Business Times que le deuxième vaccin candidat que l'UPMC était en train de développer «fonctionne en fournissant du matériel génétique codant pour une protéine virale au lieu du virus entier affaibli ou tué comme c'est la norme dans d'autres vaccins. Pourtant, Duprex a refusé d'indiquer quel vecteur sera utilisé pour fournir le matériel génétique aux cellules humaines. Des révélations récentes de la FOIA ont néanmoins révélé que le deuxième candidat vaccin de l’UPMC consiste à modifier génétiquement une combinaison de SRAS-Cov-2 et d’anthrax, une substance mieux connue pour son utilisation potentielle comme arme biologique.
Corona-thrax
Les documents récemment obtenus révèlent que le laboratoire BSL-3, qui fait partie du Centre de recherche sur les vaccins de l’UPMC, mène des recherches sur la combinaison du SRAS-CoV-2 avec Bacillus anthracis, l’agent causal de l’infection par le charbon. Selon les documents, l'anthrax est en cours de génie génétique par un chercheur, dont le nom a été expurgé dans le communiqué, afin qu'il exprime la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, qui est la partie du coronavirus qui lui permet d'accéder à l'homme. cellules. Le chercheur affirme que «l'hybride [anthrax / SRAS-CoV-2 génétiquement modifié] peut [être] utilisé comme souche hôte pour fabriquer le vaccin à protéine S recombinante du SRAS-CoV-2», et la création dudit vaccin est officiellement déclarée but du projet de recherche. Les documents ont été produits par le Comité institutionnel de biosécurité (IBC) de l’Université de Pittsburgh, qui a tenu une réunion d’urgence le 22 juin de cette année pour «discuter de protocoles spécifiques impliquant la recherche sur le coronavirus», qui comprenait un vote sur la proposition susmentionnée.
Edward Hammond, l'ancien directeur du Sunshine Project, une organisation qui s'opposait aux armes chimiques et biologiques et à l'expansion de la recherche «à double usage» sur la biodéfense et les armes biologiques, a obtenu les documents. D'autres documents FOIA récemment obtenus par Hammond ont révélé une «explosion» de recherches risquées liées à Covid-19 dans d'autres institutions universitaires, telles que l'Université de Caroline du Nord, qui a déjà eu des accidents de laboratoire impliquant des variantes génétiquement modifiées du SRAS-CoV-2 .
RépondreSupprimerHammond a déclaré à The Last American Vagabond que l'expérience, qu'il surnomme «Corona-thrax», est «emblématique des excès de recherche inutiles qui caractérisent souvent la réponse des scientifiques au gouvernement fédéral qui jette des milliards de dollars dans des crises sanitaires. Hammond a ajouté: «Bien que je ne pense pas que Corona-thrax serait contagieux, il entre dans les catégories des inutiles et des fous. Le plus grand risque immédiat de toute cette activité est qu'un chercheur crée délibérément ou par inadvertance une forme modifiée de SRAS-CoV-2 encore plus difficile à traiter, ou plus mortelle, et ce virus s'échappera du laboratoire. Cela ne prend qu'une goutte égarée. »
Jonathan Latham, un virologue qui a précédemment enseigné à l'Université du Wisconsin et qui est actuellement rédacteur en chef de Independent Science News, a convenu avec Hammond que l'expérience Corona-thrax est étrange et a déclaré qu'il était "préoccupé ici spécifiquement par le processus de recherche et le risques de ces expériences spécifiques à Pittsburgh. » Dans une interview avec The Last American Vagabond, Latham a affirmé que c'était «inhabituel par rapport aux normes historiques. . . la combinaison de deux organismes hautement pathogènes en une seule expérience. » Il a cependant noté que de telles études à des fins de recherche sur les vaccins sont devenues plus courantes ces dernières années, comme le montre clairement une étude de 2012.
Peu d'expériences ont été menées qui utilisent spécifiquement l'anthrax de cette manière. Depuis 2000, les études qui ont examiné l'utilisation de l'anthrax génétiquement modifié en tant que vecteur vaccinal potentiel sont affiliées à l'Université de Harvard. L'une de ces études portait sur l'utilisation de l'anthrax comme vecteur dans un vaccin potentiel contre le VIH et a été menée conjointement en 2000 par des chercheurs de Harvard et la société de vaccins Avant Immunotherapeutics (qui fait maintenant partie de Celldex).
RépondreSupprimerMalgré les résultats préliminaires positifs de leurs expériences, Avant / Celldex n'a pas financé d'autres expériences sur un vaccin utilisant cette modalité à base d'anthrax, et il ne commercialise pas actuellement ou n'a pas de vaccin de ce type dans son portefeuille de produits. Cela suggère que, pour une raison quelconque, cette société n'a pas vu beaucoup de valeur dans ce vaccin, malgré l'étude préliminaire avec Harvard affirmant que la méthodologie était sûre et efficace.
Les chercheurs de Harvard impliqués dans cette étude de 2000, cependant, ont continué à étudier la possibilité d'un vaccin anti-VIH à base d'anthrax en 2003, 2004 et 2005, bien que sans parrainage d'entreprise. Des recherches connexes mais différentes ont exploré l'utilisation de composants de l'anthrax «désarmés» comme adjuvant dans les vaccins et comme base pour les dosages d'immunospot lié aux enzymes.
Les chercheurs susmentionnés de Harvard ont breveté leur méthodologie d'utilisation de l'anthrax de cette manière pour la production d'un vaccin en 2002. Cela signifie que le «vaccin» à base d'anthrax actuellement développé par le Centre de recherche sur les vaccins de l'UPMC devrait développer une nouvelle méthode qui utilise anthrax à peu près de la même manière pour ne pas enfreindre le brevet, ce qui est peu probable. L'autre alternative est que l'UPMC paierait les titulaires de brevets pour l'utilisation de leur méthodologie s'ils veulent la commercialiser dans un vaccin. Pourtant, étant donné le modèle commercial de l’UPMC en général, ainsi que celui du Centre de recherche sur les vaccins de l’UPMC en particulier, cela semble également peu probable.
Le type d’incitation que le Centre de recherche sur les vaccins de l’UPMC possède pour l’expérience Corona-thrax est également étrange. Il existe actuellement plus d'une centaine de candidats vaccins qui utilisent des plates-formes vaccinales existantes et testées à la recherche d'un vaccin Covid-19, un fait que Duprex lui-même a reconnu. Comme l'a dit Hammond au dernier Vagabond américain, «il est parfaitement évident qu'il existe de nombreuses plates-formes de vaccins pour Covid-19 et que certaines d'entre elles réussiront tôt ou plus tard. Il n'y a aucun besoin sérieux d'une sorte de plate-forme bactérienne assez étrange, encore moins d'une plate-forme qui se trouve être l'anthrax. C'est complètement inutile et franchement bizarre. »
RépondreSupprimerLe joyau de la couronne du complexe biotechnologique industriel
L’expérience Corona-thrax est menée au Laboratoire régional de confinement biologique (RBL) du Centre de recherche sur les vaccins, où le centre travaille avec des agents pathogènes, tels que l’anthrax et le SRAS-CoV-2.
La création du RBL de l'UPMC a été annoncée pour la première fois en 2003, lorsque l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID, alors et actuellement dirigé par Anthony Fauci) a déclaré qu'il financerait la construction du laboratoire avec une subvention de 18 millions de dollars. Il était initialement prévu d'être principalement «dédié à la recherche sur les agents responsables des infections naturelles et émergentes, ainsi que sur les agents potentiels du bioterrorisme». Le projet de création du laboratoire faisait partie de la décision du gouvernement américain d'intensifier considérablement la recherche sur la «biodéfense» à la suite des attaques à l'anthrax de 2001.
Le laboratoire visait également à «développer un programme de vaccination axé sur la recherche fondamentale et translationnelle» lié aux virus à potentiel pandémique qui risquent d'être «militarisés», y compris le SRAS. Après l'annonce initiale de la création du laboratoire, le projet s'est élargi pour devenir le Centre de recherche sur les vaccins de l'UPMC, qui a été lancé en 2007. Le Centre de recherche sur les vaccins a été la deuxième institution de ce type à être officiellement ajoutée au réseau RBL «biodefense» du NIAID .
L'ouverture de ce laboratoire et du Center for Vaccine Research de l'UPMC a été réalisée grâce aux efforts des principaux auteurs de la simulation de bioterrorisme Dark Winter de juin 2001, un exercice controversé qui prédisait étrangement les attaques d'anthrax de 2001 ainsi que la première, mais fausse , récit selon lequel l'Irak et les groupes terroristes extrémistes islamiques étaient responsables de ces attaques. Cependant, l'anthrax utilisé dans les attaques s'est révélé par la suite être d'origine militaire américaine. Comme indiqué dans la partie I de cette série, les participants à l'exercice Dark Winter avaient une connaissance préalable des attaques à l'anthrax et d'autres ont été impliqués dans l '«enquête» ultérieure, que de nombreux experts et anciens enquêteurs du FBI décrivent comme une dissimulation.
RépondreSupprimerDark Winter a été en grande partie écrit par Tara O’Toole, Thomas Inglesby et Randall Larsen, qui ont tous trois joué un rôle essentiel dans la fondation ou les opérations du Center for Biosecurity de l’UPMC, avec le mentor d’O’Toole, D. A. Henderson. Le Centre pour la biosécurité de l’UPMC a été lancé en septembre 2003, quelques jours à peine avant l’annonce par le NIAID de son intention de financer le laboratoire RBL qui deviendra plus tard le Centre de recherche sur les vaccins de l’UPMC.
Notamment, quelques jours seulement après les attentats du 11 septembre 2001, O'Toole, Inglesby et Larsen ont personnellement informé le vice-président Cheney de Dark Winter. Simultanément, le bureau de Cheney à la Maison Blanche a commencé à prendre l'antibiotique ciprofloxacine pour prévenir l'infection par le charbon. Dans les semaines entre ce briefing et les attaques à l'anthrax de 2001, les participants de Dark Winter et plusieurs associés de Cheney, à savoir des membres du Projet pour un nouveau siècle américain (PNAC) comme Donald Kagan et Richard Perle, ont affirmé qu'une attaque bioterroriste impliquant l'anthrax serait bientôt prend place.
Au lendemain des attaques à l'anthrax de 2001, Henderson «a été sollicité par le gouvernement fédéral pour augmenter considérablement le nombre de laboratoires [de biodéfense], à la fois pour détecter des agents pathogènes présumés comme l'anthrax et pour mener des recherches sur la bio-défense, comme le développement de vaccins». l'annonce de la participation du RBL de l'UPMC au lancement du Centre pour la biosécurité dirigé par O'Toole à l'UPMC, où Henderson a été nommé conseiller principal. En 2003, le Center for Biosecurity a été créé à l'UPMC en partie à la demande de Jeffrey Romoff pour être «le seul centre de réflexion et de recherche du pays consacré à la prévention et au traitement des attaques biologiques», le Centre de recherche sur les vaccins de l'UPMC étant le centre d'un nouveau réseau de laboratoires de «recherche sur la biodéfense» qu'Henderson était en train de mettre en place et de gérer à l'époque. Ce réseau reste techniquement géré par le NIAID dirigé par le Fauci.
Il convient également de noter que le directeur du Centre de recherche sur les vaccins, depuis son ouverture en 2007 jusqu'en 2016, était Donald Burke. Burke est un ancien chercheur en biodéfense pour l'armée américaine à Fort Detrick et dans d'autres installations et, juste avant de diriger le centre UPMC, était directeur de programme à la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, où il a travaillé en étroite collaboration avec O'Toole et Inglesby. .
RépondreSupprimerAu moment de l’annonce en 2003 de la création de ce qui deviendrait le Centre de recherche sur les vaccins de l’UPMC, Tara O'Toole a déclaré:
«Ce nouveau laboratoire permettra aux chercheurs en médecine de l'Université de Pittsburgh d'approfondir les traitements possibles et de développer des vaccins contre les maladies qui pourraient résulter d'une attaque bioterroriste ou d'épidémies naturelles.»
Quelques années plus tard, après avoir été nommée à un poste de haut niveau au Département de la sécurité intérieure, O’Toole a été critiquée par des experts pour son lobbying excessif «pour une expansion massive de la biodéfense et un assouplissement des dispositions relatives à la sûreté et à la sécurité». Le microbiologiste de Rutgers, Richard Ebright, a fait remarquer à l'époque qu '«elle rend le Dr Strangelove sain d'esprit». Il a également été noté lors d'audiences que O'Toole avait travaillé comme lobbyiste pour plusieurs sociétés de «sciences de la vie» spécialisées dans la vente de produits de biodéfense au gouvernement américain, y compris Emergent Biosolutions - une société très controversée et un suspect clé dans l'anthrax de 2001. attaques.
L’histoire du RBL du Centre de recherche sur les vaccins, en particulier le réseau de personnes à l’origine de la création du laboratoire, soulève des inquiétudes quant à la nature de l’expérience Corona-thrax actuellement menée au sein de l’installation. Cela est d'autant plus vrai que le chercheur qui mène l'expérience semble ne pas connaître les éléments clés de la recherche qu'il mène.
Par exemple, le chercheur expurgé par la FOIA déclare à tort qu'un virus recombinant proposé pour une utilisation dans l'étude est incapable d'infecter les cellules humaines, alors que les membres du CIB notent que ce n'est pas le cas. En outre, le chercheur anonyme a faussement affirmé que l'un des vecteurs viraux à utiliser dans l'étude de l'investigateur n'exprimait pas Cas9 (une protéine associée à l'édition du gène CRISPR) et l'ARNg («ARN guide», également utilisé dans CRISPR) et ignorait que la manipulation de ces agents nécessite un laboratoire BSL-2 amélioré (BSL-2 +) par opposition à un laboratoire BSL-2 typique.
Apparemment, de telles erreurs parmi les chercheurs impliqués dans la recherche sur Covid-19 à l'UPMC ne sont pas une anomalie. Lors d'une autre réunion du CIB de l'UPMC incluse dans la publication de la FOIA, le CIB a noté ce qui suit à propos d'une proposition de recherche distincte:
RépondreSupprimer«Dans les notes de l’enquêteur en réponse aux modifications demandées par les pré-examinateurs du CIB, l’enquêteur indique que l’ARN des cellules infectées par le SRAS-CoV-1 et le SRAS-CoV-2 sera obtenu auprès des ressources de BEI. L'ARN génomique isolé à partir de cellules infectées par le SRAS-CoV-1 est réglementé en tant qu'agent de sélection par le Federal Select Agent Program et ni l'Université ni ce chercheur ne sont enregistrés pour la possession et l'utilisation de ces matériaux [italiques ajoutés] (SARS-CoV-1 ). L'investigateur ne doit PAS obtenir d'ARN génomique du SRAS-CoV-1 sans avoir consulté au préalable les RO / ARO de l'Université pour certains agents. "
Cette partie, en particulier, a attiré l'attention de Jonathan Latham, qui a noté qu'il était étrange qu '«un chercheur universitaire tente d'obtenir l'approbation d'une expérience que personne à l'université n'est autorisé à faire». Latham a ajouté dans une interview qu '"apparemment, ce candidat est totalement ignorant de l'environnement réglementaire et par extension des risques de SRAS-CoV, qui est un virus hautement infectieux dont la fuite d'un laboratoire a déjà entraîné au moins un décès."
Alors que Latham supposait qu’il s’agissait d’un «chercheur universitaire», il convient de noter que l’utilisation du RBL du Centre UPMC pour la recherche sur les vaccins n’est pas réservée aux chercheurs affiliés à l’université. En effet, comme indiqué sur le site Web des NIH, «les chercheurs du milieu universitaire, des organisations à but non lucratif, de l'industrie et du gouvernement qui étudient la biodéfense et les maladies infectieuses émergentes peuvent demander l'utilisation de laboratoires de bioconfinement», y compris le RBL géré par le Center for Vaccine Research .
En outre, le site Web du Center for Vaccine Research note que «des scientifiques extérieurs à l'Université de Pittsburgh peuvent travailler dans le RBL par le biais d'une collaboration ou d'un contrat. Les scientifiques externes doivent se conformer à toutes les exigences en matière de formation, de documentation, de réglementation et médicales de l'Université de Pittsburgh. » Cela signifie que les scientifiques extérieurs utilisant l'installation sont également soumis à un examen du CIB. Les sites du NIH et du Center for Vaccine Research notent que, pour qu’un chercheur extérieur utilise l’installation UPMC RBL, l’approbation du directeur du centre doit être obtenue.
Étant donné que le nom du chercheur Corona-thrax est expurgé, il n'y a aucun moyen de savoir s'il est affilié à l'université ou à une institution, une société ou un organisme gouvernemental distinct. Indépendamment de la personne qui mène cette expérience, cependant, il est possible d’examiner l’histoire et les motivations de l’homme qui l’a finalement signée - le directeur du Centre de recherche sur les vaccins, Paul Duprex.
RépondreSupprimerPaul Duprex: Chercheur financé par la DARPA et passionné de gain de fonction
Directeur du Centre de recherche sur les vaccins de l’UPMC, W. Paul Duprex
Paul Duprex est un ancien scientifique en chef de Johnson & Johnson, dont l'incursion ultérieure dans le milieu universitaire a été largement financée par des subventions de recherche du NIH et de la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) du Pentagone. Une grande partie des recherches de Duprex s'est concentrée sur les virus recombinants (c'est-à-dire génétiquement modifiés) ou sur l'évolution virale.
Pour ce qui est de ses recherches financées par la DARPA, Duprex a été le plus étroitement associé au programme «Prophecy» de la DARPA, dont la création a été supervisée par Michael Callahan. Le passé suspect de Callahan et ses liens avec l’origine de la crise actuelle de Covid-19 à Wuhan, en Chine, ont fait l’objet d’un récent article de Raul Diego sur le Hangout illimité.
Dans cet article, Diego note que le programme Prophecy, aujourd'hui disparu, avait «cherché à« transformer l'entreprise de développement de vaccins et de médicaments d'observations et de réactifs en prédictifs et préventifs »grâce à des techniques de programmation algorithmique» et que le programme «proposait en outre que« les mutations virales et les flambées «pourraient être prédites à l'avance pour contrer plus rapidement la maladie inconnue grâce au développement de médicaments préventifs et de vaccins.»
RépondreSupprimerSelon toutes les indications, Prophecy a été la première incursion majeure de la DARPA dans les soins de santé «prédictifs» basés sur l'IA, qui s'est considérablement développée au cours des années qui ont suivi. Il s'agissait également d'un composant, que Duprex était particulièrement impliqué dans l'avancement, par lequel les algorithmes d'évolution virale «prédictive» seraient «validés et testés». . . en utilisant plusieurs pressions sélectives sur au moins trois souches de virus étroitement apparentées dans un cadre expérimental. »
De telles expériences, comme cette étude de Duprex, impliquaient le génie génétique de trois souches de pathogènes viraux et ensuite voir laquelle deviendrait la plus transmissible et la plus virulente chez un hôte animal. Ces études sont souvent appelées recherche sur le gain de fonction (GOF) et sont extrêmement controversées étant donné qu'elles créent souvent des agents pathogènes qui sont plus virulents et / ou transmissibles qu'ils ne le seraient autrement. Il convient également de noter que l'UPMC, avant que Duprex ne rejoigne le centre, avait également reçu des millions de fonds du programme Prophecy de la DARPA «pour développer des modèles in vitro et de calcul pour prédire l'évolution virale sous la pression de sélection de plusieurs facteurs de stress évolutifs.»
Duprex a également été impliqué dans la conduite de recherches pour le programme INTERfering and Co-Evolving Prevention and Therapy (INTERCEPT) actuel de la DARPA, un successeur de Prophecy qui «vise à exploiter l'évolution virale pour créer une nouvelle forme adaptative de contre-mesure médicale - les particules interférentes thérapeutiques ( CONSEILS) - qui surpasse les virus dans le corps pour prévenir ou traiter l'infection. » Les TIP sont des virus génétiquement modifiés avec des génomes défectueux qui rivalisent théoriquement avec de vrais virus pour les composants viraux du corps humain, mais qui «évoluent avec» les virus contre lesquels ils sont censés protéger le corps et qui sont «susceptibles de subir des mutations au fil du temps».
Le but du programme INTERCEPT est d'utiliser les TIP comme «thérapeutiques» et de les faire injecter dans le corps humain pour se protéger «préventivement» contre le virus à partir duquel un TIP particulier a été développé. Il convient de noter que, bien que la DARPA encadre une grande partie de ses recherches sur l'édition de gènes (y compris ses recherches sur la technologie «d'extinction génétique») comme visant à promouvoir la santé humaine ou environnementale, elle a également ouvertement admis que ces mêmes technologies intéressent DARPA pour leur capacité à «subvertir» les gènes des adversaires humains de l'armée américaine via des «armes génétiques».
Duprex a dirigé une étude INTERCEPT publiée en février de cette année dans laquelle lui et ses co-auteurs ont exploré comment créer un TIP synthétique du virus Nipah, un virus mortel avec un taux de mortalité de plus de 70%. Dans cette étude, ils ont utilisé des souches sauvages et génétiquement modifiées du virus Nipah. Notamment, la simulation de la pandémie Clade X, qui sera discutée en détail dans la prochaine tranche de cette série, impliquait une combinaison génétiquement modifiée du virus Nipah et d'une maladie parainfluenza.
Clade X a eu lieu en 2018 et a été dirigé par une grande partie de la même équipe qui était responsable de la simulation de bioterrorisme Dark Winter 2001, y compris l'ancienne commissaire de la FDA Margaret Hamburg et Tara O'Toole et Thomas Inglesby du Centre UPMC pour la biosécurité. Un autre participant notable à Clade X était Julie Gerberding, ancienne directrice du CDC et actuelle vice-présidente exécutive de Merck, qui entretient des liens étroits avec l'UPMC ainsi qu'avec le projet raté du Center for Biosecurity «21st Century Biodefense».
RépondreSupprimerQuelques mois après la publication de l’étude financée par le programme INTERCEPT de la DARPA, Duprex a co-écrit une autre étude sur l’utilisation de «nanocorps» synthétiques (c’est-à-dire des nanoparticules synthétiques bio-ingénierie agissant comme des anticorps) qui a été publiée en août. Cet effort reflète d'autres projets de la DARPA «axés sur la santé». Cette étude a été financée par l’Université de Pittsburgh, le NIH et le Ministère israélien des sciences et de la technologie.
En plus de ses liens avec les programmes DARPA impliquant le génie génétique des agents pathogènes viraux, Duprex est l'un des principaux défenseurs de la recherche controversée sur le gain de fonction et a été nommé pour diriger le Centre de recherche sur les vaccins de l'UPMC moins de trois mois après le moratoire fédéral sur la recherche GOF. terminé.
En octobre 2014, cinq jours après l'imposition de ce moratoire pour la première fois, Duprex a donné une conférence au Conseil consultatif scientifique national pour la biosécurité intitulée «Études sur le gain de fonction: leur histoire, leur utilité et ce qu'ils peuvent nous dire». Dans la conférence, il a affirmé que «les études d'infection interspécifique ont déjà contribué à améliorer la surveillance sur le terrain, ont jeté un nouvel éclairage sur la biologie de base du virus de la grippe et pourraient aider à mieux faire croître les virus vaccinaux» et plaide contre le moratoire récemment imposé.
En 2014, Duprex a également écrit dans un article publié dans Nature que «les approches GOF sont absolument essentielles dans la recherche sur les maladies infectieuses; bien que des approches alternatives puissent être très utiles, elles ne peuvent jamais remplacer les expériences GOF. » Il a ajouté qu'à son avis, il n'y avait que deux raisons à la recherche du GOF, la première étant «d'améliorer la surveillance ou de développer des thérapies» et la seconde étant simplement d'apprendre «une biologie intéressante».
RépondreSupprimerDans ce même article, il a également fait valoir que «le génie génétique destiné et susceptible de conférer à un agent de faible pathogénicité et de faible transmissibilité une pathogénicité accrue ou une transmissibilité accrue peut être approprié si les avantages sont substantiels.» Il a également suggéré dans cet article de 2014 qu'il «pourrait» être nécessaire «d'améliorer la pathogénicité des coronavirus afin de développer un modèle animal valide pour les coronavirus». Des années plus tard, pendant la crise actuelle du coronavirus, Duprex et d'autres responsables du Centre de recherche sur les vaccins de l'UPMC ont co-développé un «plan» de recherche et de développement Covid-19 pour l'Organisation mondiale de la santé de l'ONU.
En outre, le travail de Duprex pour le programme Prophecy de la DARPA impliquait la recherche du GOF, comme indiqué ci-dessus, et le créateur de ce programme, Michael Callahan - ancien chef des initiatives thérapeutiques de biodéfense de la DARPA, est également un partisan de GOF qui croit qu'une telle recherche risquée est inséparable de «L'entreprise de recherche et développement dans les sciences de la vie et pour la biotechnologie.»
Duprex est également un membre fondateur de Scientists for Science, un groupe de chercheurs (dont la plupart sont impliqués dans la recherche GOF) qui se sont opposés au moratoire GOF et étaient «convaincus que la recherche biomédicale sur les pathogènes potentiellement dangereux peut être effectuée en toute sécurité et compréhension approfondie de la pathogenèse, de la prévention et du traitement des maladies microbiennes. » Un autre membre fondateur du groupe est Yoshihiro Kawaoka, dont les expériences controversées du GOF qui ont rendu les virus pathogènes plus meurtriers ont attiré une attention considérable des médias.
Lorsque le moratoire sur le GOF a été levé en décembre 2017, Duprex l'a qualifié de «signe de progrès», ajoutant que «sur le plan personnel, je suis vraiment ravi que ces scientifiques financés par les NIH [menant des recherches sur le GOF] obtiennent une certaine clarté.» Comme mentionné précédemment, il est devenu directeur du Centre de recherche sur les vaccins moins de trois mois plus tard, en mars 2018.
RépondreSupprimerLes métiers à tisser de «l'hiver le plus sombre»
UPMC
Après un examen rapide du contexte de l'UPMC, de son laboratoire régional de bioconfinement et de l'homme qui dirige son centre de recherche sur les vaccins, la question sur la nature de l'expérience Corona-thrax devient: est-ce encore une autre expérience mal avisée par un laboratoire dirigé par un passionné de GOF et alimenté par une frénésie alimentaire sur les milliards de dollars jetés par le gouvernement et d'autres entités dans la recherche sur Covid-19 ? Ou y a-t-il peut-être un motif plus néfaste à l'ingénierie génétique de quelque chose d'aussi bizarre que Corona-thrax ?
Bien que cette dernière question puisse sembler conspiratrice, il convient de souligner que les institutions les plus susceptibles d'avoir été les sources de l'anthrax utilisé dans les attaques à l'anthrax de 2001 menaient des recherches du GOF sur l'anthrax financées par le Pentagone et la CIA qui étaient justifiées comme « amélioration »du vaccin controversé contre l'anthrax connu sous le nom de BioThrax.
Par exemple, le Battelle Memorial Institute - un entrepreneur du Pentagone et de la CIA - a commencé à modifier génétiquement une forme plus virulente d'anthrax «pour voir si le vaccin [contre l'anthrax] que les États-Unis ont l'intention de fournir à leurs forces armées est efficace contre cette souche.» Pendant que ces expériences se poursuivaient, le fabricant assiégé du vaccin contre l'anthrax maintenant connu sous le nom d'Emergent Biosolutions, a conclu un contrat avec Battelle qui donnait à Battelle une «exposition immédiate au vaccin» qu'il utilisait dans le cadre du programme d'anthrax génétiquement modifié.
Comme indiqué dans la partie II de cette série, BioPort était sur le point de perdre son contrat du Pentagone pour le vaccin contre l'anthrax entièrement en septembre 2001, et l'intégralité de son activité de vaccin contre l'anthrax a été sauvée par les attaques à l'anthrax de 2001, qui ont suscité des inquiétudes quant à la corruption de BioPort et à son horrible les antécédents en matière de sécurité ont été remplacés par des demandes ferventes pour plus de son vaccin contre le charbon. De plus, comme indiqué en détail dans la partie III de cette série, Battelle était la source la plus probable de l'anthrax utilisé lors des attaques de 2001. Les liens entre le Centre pour la biosécurité de l'UPMC, Battelle et Emergent Biosolutions seront discutés dans le prochain épisode de la série.
RépondreSupprimerCe qui est également remarquable à propos de ces expériences Corona-thrax qui se déroulent à l’UPMC, ce sont les liens entre le RBL de l’UPMC et le Centre de recherche sur les vaccins avec un autre élément clé du complexe de «biodéfense» du centre, le Centre UPMC pour la biosécurité. Comme mentionné précédemment, les personnes recrutées pour diriger ce centre lors de sa création en 2003 ont été intimement impliquées dans la simulation de bioterrorisme 2001 Dark Winter, à savoir Tara O'Toole et Thomas Inglesby.
Tout en dirigeant le Centre pour la biosécurité de l'UPMC, O’Toole et / ou son successeur Inglesby se sont lancés dans d'autres simulations de bioterreurs notables, dont une qui a eu lieu l'année dernière - l'événement 201, qui prédit étrangement la crise des coronavirus qui a commencé cette année. Inglesby, qui est également directeur du Johns Hopkins Center for Health Security en plus de son poste à l'UPMC, était le modérateur de l'événement 201.
Bien que l'événement 201 ait fait l'objet d'un examen approfondi ces derniers mois, un autre exercice moins connu en 2018 qui impliquait O'Toole et Inglesby, a examiné comment une attaque bioterroriste impliquant un agent pathogène génétiquement modifié pourrait déclencher un scénario de continuité du gouvernement (CoG), un feuille de route gouvernementale pour l'imposition de la loi martiale aux États-Unis. Comme d'autres séries d'enquête de la mienne l'ont noté, il y a eu récemment une myriade de simulations liées aux agences de renseignement qui prédisent l'imposition imminente de la loi martiale aux États-Unis après les élections de 2020.
Il est également à noter que la mise à jour controversée et classifiée de George W.Bush sur les plans du CoG en 2007, connue sous le nom de directive exécutive 51, a été directement inspirée par Dark Winter, et les décrets ultérieurs de Barack Obama sur le CoG ont donné un contrôle presque complet de l'infrastructure américaine au Department of Homeland Security dans une telle situation. Au moment où Obama a publié ces décrets, O’Toole était le sous-secrétaire du DHS pour la science et la technologie et a également influencé ces mises à jour des plans du CdG. O’Toole est actuellement vice-président exécutif de In-Q-tel de la CIA.
RépondreSupprimerLa simulation connue sous le nom de Clade X sera examinée plus en détail dans la prochaine tranche de cette série, tout comme les nombreuses et récentes «prédictions» de sources gouvernementales américaines, des milliardaires controversés tels que Bill Gates et un réseau d'individus liés à l'UPMC qui ont a averti qu'une attaque bioterroriste ou une catastrophe de santé publique connexe devrait avoir lieu aux États-Unis dans la seconde moitié de 2020. Comme l'a déclaré un haut responsable gouvernemental plus tôt cette année, cet événement prétendument imminent entraînera «l'hiver le plus sombre dans l’histoire moderne. »
https://www.thelastamericanvagabond.com/engineering-contagion-upmc-corona-thrax-darkest-winter/
Il est plus que temps que le CDC nettoie les décomptes de décès du COVID-19
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 28 DÉC.2020 - 17h00
Rédigé par Stacey Lennox via PJMedia.com,
Certains d'entre nous remettent en question les décomptes de décès COVID-19 rapportés par le CDC via le Centre national des statistiques de la santé (NCHS) depuis un certain temps.
Bien sûr, CNN et les médias d'entreprise adorent le nombre probablement élevé pour pousser leur récit. Lockdown Inc. les aime pour justifier la destruction de leurs vies et de leurs moyens de subsistance. Un rapport de la Freedom Foundation, un groupe de réflexion de l'État de Washington, explique pourquoi. L’analyse initiale de la fondation sur les décès dans l’État a révélé que le nombre pouvait avoir été gonflé de 13 %:
En mai, un rapport publié par la Freedom Foundation, un groupe de réflexion sur le marché libre basé à Olympia, a révélé que le DOH attribuait au COVID-19 chaque décès au cours duquel le défunt avait déjà été testé positif au virus. Cependant, il est clair qu'attraper la maladie et en mourir sont deux choses très différentes.
Les données de Washington étaient criblées de cas - jusqu'à 13 % du total - dans lesquels le certificat de décès ne faisait aucune référence au COVID-19 comme cause de décès. Dans plusieurs cas, même les décès par balle ont été attribués au virus.
Alors que le ministère de la Santé a supprimé 200 décès du décompte, la Freedom Foundation a fait une autre analyse. En combinant les sources de données du ministère de la Santé pour près de 2000 décès au début de septembre, la nouvelle analyse a révélé que 170 certificats de décès ne mentionnaient pas le COVID-19. 171 autres décès n'avaient aucun lien de causalité avec le virus. Selon le Post Millennial, le groupe estime que le nombre de décès à Washington pourrait être gonflé jusqu'à 20 %.
De nouvelles données du CDC concernant les conditions contribuant aux décès dans lesquels le COVID-19 est également impliqué démontrent clairement que les décès dus au virus sont surestimés à l'échelle nationale. Cela n’est pas surprenant étant donné les directives vagues pour attribuer un décès au COVID-19 et les incitations financières des assurances publiques et privées pour inscrire le COVID-19 dans le dossier d’un patient.
Premièrement, comme je l'ai écrit à plusieurs reprises, de nombreuses personnes positives au COVID-19 qui étaient en phase terminale sont décédées quelques mois avant qu'elles ne le soient autrement. Ces «décès par traction vers l'avant» surviennent souvent avec la grippe et la pneumonie lorsqu'une personne est âgée ou gravement compromise. Par exemple, les données montrent que 3 622 personnes de plus de 75 ans sont décédées d'une maladie rénale hypertensive avec insuffisance rénale. L'insuffisance rénale est une maladie évolutive et terminale, même avec une dialyse rénale. Un autre 939 dans le même groupe d'âge est décédé d'un cancer du poumon ainsi que du COVID-19.
Deuxièmement, le rapport démontre que la plupart des patients plus jeunes souffraient également d'une maladie grave différente s'ils décédaient du COVID-19. Sur la même ligne pour l'insuffisance rénale, un total de 18 personnes de moins de 35 ans sont décédées avec cette maladie et le COVID-19. Dix personnes de moins de 35 ans sont décédées avec un lymphome lymphoblastique aigu (LAL) en plus du virus. Le taux de survie moyen à cinq ans dans ce groupe d'âge se situe entre 68,1 % et 85 %, laissant la possibilité distincte qu'il s'agissait des patients atteints de LAL les plus malades.
RépondreSupprimerCe ne sont là que quelques exemples de conditions terminales qui auraient pu être des exemples de mort par traction. Puisqu'il n'y a rien dans les directives du NCHS pour exiger des symptômes ou des preuves de COVID-19 actif, il est impossible de dire s'il s'agissait ou non de décès par anticipation. Comme Washington le démontre, une partie de cette erreur proviendra de pratiques au niveau des États. New York, par exemple, a antidaté 3 700 «décès présumés dus au COVID-19» au début de la pandémie.
Ce qui précède n'inclut même pas la grande classe de codes CIM-9 appelée «blessures, empoisonnements et autres événements indésirables intentionnels et non intentionnels». Ce rapport contient 9 343 décès associés à tout, des surdoses de drogue aux accidents traumatiques et au suicide. Ces décès représentent à eux seuls 3% du nombre actuel de décès totaux.
Il est grand temps que le CDC et le NCHS exigent des preuves d'une maladie grave due au COVID-19 plutôt qu'un simple test positif. Il existe un nombre important de valeurs de laboratoire et de changements d'imagerie qui, pris ensemble, peuvent raisonnablement être supposés représenter une évolution clinique qui comprend une maladie active due au COVID-19. Le meilleur test serait une culture virale. Si le virus ou les débris viraux dans le système d’un patient ne peuvent pas se répliquer dans une culture, cela ne peut pas être une cause de décès.
Un test PCR positif dans les 28 jours, la norme actuelle que Washington utilise maintenant, est également inacceptable, en particulier avec le nombre de cas asymptomatiques. Un virus qui ne vous rend jamais malade ou ne vous rend que légèrement malade ne vous tuera pas ou ne contribuera probablement pas à votre mort. Au contraire, vous faites probablement partie des 30 à 60% des personnes immunisées réactives contre une autre exposition aux coronavirus. De même, si une personne souffre déjà d'une maladie en phase terminale, à moins que les événements en phase terminale n'incluent des symptômes de COVID-19 grave, il ne doit pas être compté parmi les causes de décès.
Un défilement de la feuille de calcul et un peu de connaissances cliniques appuient l'estimation de la Freedom Foundation comme un nombre minimum. Les Américains méritent à ce stade transparence et précision. C’est un manquement au devoir des CDC et du NCHS de ne pas adapter leurs directives à la progression de la maladie d’une infection au COVID-19 susceptible de contribuer à la mort d’une personne.
https://www.zerohedge.com/covid-19/its-long-past-time-cdc-clean-covid-19-death-counts
Douze fois les "lockdowners '' se sont trompés
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 27 DÉC 2020-23: 35
Rédigé par Phillip Magness via l'American Institute for Economic Research,
Ce fut une année d’échec politique étonnant. Nous sommes entourés de dévastations conçues et acclamées par les intellectuels et leurs servantes politiques ...
Les erreurs se comptent par milliers, alors considérez ce qui suit un peu plus qu'une première ébauche, un simple guide de ce qui sera sûrement déterré dans les mois et les années à venir. Nous avons confié à ces personnes nos vies et nos libertés et voici ce qu'elles ont fait avec cette confiance.
Anthony Fauci dit que les verrouillages ne sont pas possibles aux États-Unis (24 janvier):
Interrogé sur les efforts de confinement de masse en quarantaine en cours à Wuhan, en Chine, en janvier, Fauci a rejeté la perspective de verrouillages aux États-Unis:
«C'est quelque chose que je ne pense pas que nous pourrions faire aux États-Unis, je ne peux pas imaginer fermer New York ou Los Angeles, mais le jugement de la part des autorités sanitaires chinoises est que compte tenu du fait que cela se propage dans toutes les provinces… ils estiment que c'est quelque chose qui, en fait, va aider à le contenir. Que ce soit le cas ou non est vraiment discutable, car historiquement, lorsque vous fermez les choses, cela n'a pas d'effet majeur. "
Moins de deux mois plus tard, 43 des 50 États américains étaient sous verrouillage - une politique préconisée par Fauci lui-même.
Le gouvernement américain et les responsables de l'OMS déconseillent l'utilisation de masques (février et mars)
Lorsque les ventes de masques ont augmenté en raison de l'adoption généralisée par les individus dans les premières semaines de la pandémie, de nombreux responsables du gouvernement américain et de l'OMS se sont rendus sur les ondes pour décrire les masques comme inefficaces et décourager leur utilisation.
Le chirurgien général Jerome Adams a tweeté contre les masques le 29 février. Anthony Fauci a publiquement découragé l'utilisation des masques lors d'une interview de 60 minutes diffusée à l'échelle nationale le 7 mars. dans le grand public.
À la mi-été, tous avaient inversé le cours et encouragé le port de masques dans le grand public comme un outil essentiel pour enrayer la pandémie. Fauci a essentiellement concédé qu'il avait menti au public afin d'éviter une pénurie de masques, tandis que d'autres responsables de la santé ont fait volte-face sur les allégations scientifiques concernant le masquage.
Alors que la littérature épidémiologique grand public soulignait la nature ambiguë des preuves entourant les masques aussi récemment qu'en 2019, ces scientifiques étaient soudainement certains que les masques étaient en quelque sorte une solution miracle pour Covid. Il s'avère que les deux positions sont probablement fausses. Les masques semblent avoir des effets marginaux en diminuant la propagation, en particulier dans les milieux hautement infectieux et autour des personnes vulnérables. Mais leur efficacité dans la lutte contre Covid a également été grossièrement exagérée, comme l'illustre le fait que l'adoption du masque a atteint des niveaux quasi universels aux États-Unis d'ici l'été avec peu d'effet perceptible sur le cours de la pandémie.
RépondreSupprimerErreur décimale d'Anthony Fauci dans l'estimation des taux de mortalité de Covid (11 mars)
Fauci a témoigné devant le Congrès au début du mois de mars, où on lui a demandé d'estimer la gravité de la maladie par rapport à la grippe. Son témoignage selon lequel Covid était «10 fois plus meurtrier que la grippe saisonnière» a alimenté l’alarme générale et a donné une impulsion majeure à la décision d’entrer en lock-out.
Le problème, comme Ronald Brown l'a documenté dans un article de revue d'épidémiologie, est que Fauci a basé ses estimations sur une fusion du taux de mortalité par infection (IFR) et du taux de mortalité par cas (CFR) pour la grippe, le conduisant à exagérer le danger comparatif de Covid en Un ordre de grandeur. L'erreur de Fauci - qu'il a encore aggravée dans un article de fin février pour le New England Journal of Medicine - a contribué à convaincre le Congrès de la nécessité de mesures de verrouillage drastiques, tout en semant la panique dans les médias et le grand public. Au moment d'écrire ces lignes, Fauci n'a pas reconnu l'ampleur de son erreur et le journal n'a pas non plus corrigé son article.
«Deux semaines pour aplatir la courbe» (16 mars)
Les lockdowners ont opté pour un slogan accrocheur à la mi-mars pour justifier leur fermeture sans précédent de la vie économique et sociale dans le monde: deux semaines pour aplatir la courbe. Le groupe de travail Covid de la Maison Blanche a vigoureusement promu cette ligne, tout comme les médias d'information et une grande partie de la profession d'épidémiologie. La logique derrière le slogan est venue du graphique omniprésent montrant (1) une charge de travail importante qui submergerait notre système hospitalier, ou (2) une alternative atténuée qui répartirait la charge de travail sur plusieurs semaines, le rendant gérable.
Pour arriver au graphique n ° 2, la société aurait besoin de boucler pendant deux semaines des commandes d'abris sur place jusqu'à ce que le problème de capacité puisse être géré. En effet, on nous a dit que si nous n'acceptions pas cette solution, le système hospitalier entrerait en panne catastrophique en seulement 10 jours, comme l'a affirmé l'ancien conseiller pandémique du DHS Tom Bossert dans une interview largement diffusée et dans une chronique du Washington Post le 11 mars.
RépondreSupprimerDeux semaines sont allées et venues, puis la justification sur laquelle ils ont été vendus au public a changé. Les hôpitaux n'étaient plus sur le point d'être débordés - en effet, la plupart des hôpitaux du pays restaient bien en deçà de leur capacité, avec seulement un petit nombre d'exceptions dans les quartiers les plus touchés de New York.
Un navire-hôpital de la marine américaine envoyé pour soulager New York est parti un mois plus tard après avoir servi seulement 182 patients, et un hôpital éphémère dans le Javits Convention Center de la ville était presque vide. Mais les verrouillages sont restés en place, tout comme les ordres d'urgence les justifiant. Deux semaines sont devenues un mois, qui sont devenues deux mois, qui sont devenues presque un an. Nous n'étions plus «aplatir la courbe» - une stratégie fondée sur la sauvegarde du système hospitalier d'une menace qui ne s'était jamais manifestée - mais plutôt recentrés sur l'utilisation des verrouillages comme stratégie générale de suppression contre la maladie elle-même. Bref, la profession d'épidémiologie nous a vendu une facture.
Neil Ferguson prédit un scénario américain de «meilleur cas» de 1,1 million de morts (20 mars)
Le nom de Neil Ferguson, modeleur principal et porte-parole en chef de l’équipe de lutte contre la pandémie de l’Imperial College de Londres, est devenu synonyme d’alarmisme de verrouillage pour une bonne raison. Ferguson a une longue expérience en matière de prédictions excessivement exagérées du nombre de décès catastrophiques pour presque toutes les maladies qui surviennent, et d'exhorter des réponses politiques agressives à la même chose, y compris les verrouillages.
Covid n’était pas différent, et Ferguson a occupé le devant de la scène quand il a publié un modèle très influent des prévisions de décès du virus pour les États-Unis et le Royaume-Uni. Ferguson est apparu avec le Premier ministre britannique Boris Johnson le 16 mars pour annoncer le passage au verrouillage (sans petite ironie, il descendait avec Covid lui-même à l'époque et a peut-être été le patient zéro d'un événement super-épandeur qui a traversé Downing. Street et infecté Johnson lui-même).
RépondreSupprimerDe l'autre côté de l'Atlantique, Anthony Fauci et Deborah Birx ont cité le modèle de Ferguson comme justification directe du verrouillage des États-Unis. Il y avait cependant un problème: Ferguson avait la mauvaise habitude de faire énormément passer ses propres prédictions aux dirigeants politiques et à la presse. Le document de l'Imperial College a modélisé un large éventail de scénarios, y compris le nombre de morts allant de dizaines de milliers à plus de 2 millions, mais les déclarations publiques de Ferguson ont seulement souligné ce dernier - même si le document lui-même a admis qu'un tel scénario extrême du «pire des cas» était très irréaliste. Un exemple révélateur est venu le 20 mars lorsque Nicholas Kristof du New York Times a contacté le modélisateur de l’Imperial College pour lui demander quel était le scénario le plus probable pour les États-Unis. Comme Kristof l'a raconté à ses lecteurs, «j'ai demandé à Ferguson son meilleur cas. «Environ 1,1 million de morts», a-t-il déclaré.
Des chercheurs suédois utilisent le modèle de l'Imperial College pour prédire 95000 décès (10 avril)
Après que les prédictions choquantes de Neil Ferguson sur le nombre de morts aux États-Unis et au Royaume-Uni aient captivé l'attention des décideurs politiques et poussé les deux gouvernements à se bloquer, des chercheurs d'autres pays ont commencé à adapter le modèle de l'Imperial College à leurs propres circonstances. Habituellement, ces modèles visaient à réaffirmer les décisions de chaque pays de verrouiller. Le gouvernement suédois avait cependant décidé de renverser la tendance, ouvrant la voie à une expérience naturelle pour tester les performances du modèle impérial.
Début avril, une équipe de chercheurs de l’Université d’Uppsala a adapté le modèle impérial à la population et à la démographie de la Suède et a réalisé ses projections. Leur résultat ? Si la Suède maintenait le cap et ne bloquait pas, elle pourrait s'attendre à un nombre catastrophique de 96 000 morts au début de l'été. Les auteurs de l'étude ont recommandé un verrouillage immédiat, mais étant donné que la Suède était en retard par rapport à l'Europe dans l'adoption de telles mesures, ils ont également prédit que cette «meilleure option» réduirait les décès à «seulement» 30 000.
Début juin, alors que la prévision de 96 000 était censée se réaliser, la Suède avait enregistré 4 600 décès. Six mois plus tard, la Suède compte environ 8 000 morts - une pandémie grave certes, mais un ordre de grandeur inférieur à ce que les modélisateurs avaient prédit. Faisant face à l'embarras de ces résultats, Ferguson et l'Imperial College ont tenté de se distancier de l'adaptation suédoise de leur modèle début mai. Pourtant, les projections de l’équipe d’Uppsala correspondaient étroitement aux prévisions de l’Impériale au Royaume-Uni et aux États-Unis lorsqu'elles ont été mises à l'échelle pour refléter la taille de leur population. En bref, le modèle impérial a échoué de manière catastrophique à l'un des rares tests expérimentaux naturels clairs de sa capacité prédictive.
RépondreSupprimerLes scientifiques suggèrent que les embruns océaniques propagent Covid (2 avril)
Au cours de la deuxième semaine des verrouillages, plusieurs journaux californiens ont promu une théorie bizarre: Covid pourrait se propager par les embruns océaniques (bien que le journal ait plus tard repris cette affirmation qui fait la une des journaux, elle est exposée ici dans le Los Angeles Times). Selon cette théorie - initialement promue par un groupe de biologistes qui étudient l'infection bactérienne liée au ruissellement des tempêtes - le virus Covid a emporté les gouttières des tempêtes et dans l'océan, où la brise de l'océan le ferait exploser dans les airs et infecter les personnes à proximité. des plages. Aussi ridicule que puisse paraître cette théorie, elle a aidé à informer l’application initialement draconienne des restrictions sur ses plages publiques par la Californie.
La même semaine où cette théorie moderne de la dérive miasmique est apparue, la police de Malibu a même arrêté un pagayeur solitaire pour être entré dans l'océan pendant le verrouillage - tout en évoquant la possibilité que la brise océanique ait emporté Covid avec elle.
Neil Ferguson prédit un nombre catastrophique de morts dans les États américains qui rouvriront (24 mai)
Fraîchement sortie de leurs prédictions exagérées de mars, l'équipe de l'Imperial College dirigée par Neil Ferguson a doublé sa modélisation alarmiste. Alors que plusieurs États américains commençaient à rouvrir fin avril et mai, Ferguson et ses collègues ont publié un nouveau modèle prévoyant une autre vague catastrophique de décès d'ici le milieu de l'été. Leur modèle s'est concentré sur 5 États avec des flambées modérées et sévères au cours de la première vague. S'ils rouvraient, selon le modèle de l'équipe impériale, New York pourrait faire face à jusqu'à 3 000 morts par jour d'ici juillet.
La Floride pourrait atteindre 4000 morts et la Californie 5000 morts par jour. En gardant à l'esprit que ces projections ne concernaient que chaque État, elles dépassent les sommets quotidiens du nombre de morts pour l'ensemble du pays à l'automne et au printemps. Montrant à quel point le modèle impérial était mauvais, le nombre réel de morts à la mi-juillet dans plusieurs des États examinés est même tombé en dessous de la limite de confiance inférieure de son décompte projeté. Bien que Covid reste une menace dans les 5 États, l'explosion de décès après la réouverture prévue par l'Imperial College et utilisée pour plaider pour le maintien des verrouillages en place ne s'est jamais produite.
RépondreSupprimerAnthony Fauci attribue des verrouillages pour avoir vaincu le virus en Europe (31 juillet)
Fin juillet, Anthony Fauci a offert un témoignage supplémentaire au Congrès. Son message attribuait aux sévères verrouillages de l’Europe la lutte contre le virus, alors qu’il accusait les États-Unis d’avoir rouvert trop tôt et d’être insuffisamment agressifs lors des premiers verrouillages. Comme Fauci l'a déclaré à l'époque, «si vous regardez ce qui s'est passé en Europe, quand ils ont fermé ou verrouillé ou se sont mis à l'abri sur place - quelle que soit la manière dont vous voulez le décrire - ils l'ont vraiment fait à hauteur d'environ 95 % plus du pays a fait cela.
Le message était clair: les États-Unis auraient dû suivre l'Europe, mais ne l'ont pas fait et ont reçu une vague estivale de Covid à la place. L’argument entier de Fauci était cependant basé sur une série de mensonges et d’erreurs.
Les données sur la mobilité des États-Unis ont clairement montré que la plupart des Américains restaient chez eux pendant l'épidémie de printemps, avec une baisse enregistrée qui correspond à l'Allemagne, aux Pays-Bas et à plusieurs autres pays européens. Contrairement à l’affirmation de Fauci, les États-Unis ont en fait été plus lents que la plupart des pays européens à rouvrir. En outre, son éloge de l'Europe s'est effondré au début de l'automne lorsque presque tous les pays bloqués en Europe ont connu de graves secondes secondes - tout comme les régions verrouillées des États-Unis.
La Nouvelle-Zélande et l'Australie se déclarent exemptes de Covid (août-présent)
La Nouvelle-Zélande et l'Australie ont jusqu'à présent résisté à la pandémie avec un nombre de cas extrêmement faible, ce qui a conduit de nombreux épidémiologistes et journalistes à confondre ces résultats avec des preuves de leurs politiques d'atténuation réussies et reproductibles. En réalité, la Nouvelle-Zélande et l’Australie ont opté pour la stratégie médiévale du «Prince Prospero» consistant à tenter de se séparer du monde jusqu’à ce que la pandémie passe - une approche qui dépend fortement de leurs géographies uniques.
En tant que pays insulaires où les voyages internationaux sont comparativement inférieurs à ceux de l'Amérique du Nord et de l'Europe, les deux pays ont fermé leurs frontières avant que le virus encore non détecté ne se propage et ne soit resté fermé depuis. C'est une stratégie coûteuse en termes d'impact économique et de déplacement personnel, mais elle a empêché le virus d'entrer - surtout.
RépondreSupprimerLe problème avec la stratégie Prince Prospero de la Nouvelle-Zélande et de l’Australie est qu’elle est intrinsèquement fragile. Tout ce qu'il faut pour le jeter dans le chaos, c'est que le virus passe la frontière - y compris par accident ou par erreur humaine. Ensuite, des verrouillages sévères s'ensuivent, imposés avec un maximum de perturbations sous l'impulsion du moment dans une tentative effrénée de contenir la brèche.
L’exemple le plus célèbre s’est produit le 9 août, lorsque la Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern a déclaré que la Nouvelle-Zélande avait atteint 100 jours sans Covid. Puis, à peine deux jours plus tard, une brèche s'est produite, envoyant Auckland dans un grave verrouillage. C’est un modèle qui se répète toutes les quelques semaines dans les deux pays.
Début décembre, nous avons vu une vague d'histoires similaires en provenance d'Australie annonçant que le pays avait battu Covid. Deux semaines plus tard, une autre brèche s'est produite dans la banlieue autour de Sydney, provoquant un verrouillage régional. Il y a eu également des faux pas embarrassants. En novembre, tout l'État d'Australie-Méridionale est entré dans un verrouillage sévère pour un seul cas de Covid mal signalé qui a été attribué à tort à un achat de pizza qui n'existait pas. Alors que les deux pays continuent de célébrer leur faible taux de mortalité, ils ont également subi certaines des restrictions les plus dures et les plus perturbatrices au monde - tout cela à la suite de déclarations prématurées d'être «sans Covid» suivies d'une violation inattendue et d'un autre verrouillage frénétique .
"Les verrouillages renouvelés ne sont qu'un homme de paille" (octobre)
RépondreSupprimerDébut octobre, un groupe de scientifiques s'est réuni à l'AIER où ils ont rédigé et signé la Déclaration de Great Barrington, une déclaration attirant l'attention sur les graves préjudices sociaux et économiques des verrouillages et exhortant le monde à adopter des stratégies alternatives pour assurer la protection des plus vulnérables. Bien que la déclaration ait rapidement rassemblé des dizaines de milliers de cosignataires des sciences de la santé et des professionnels de la santé, elle a également rendu les partisans du lock-out furieux. Ils ont répondu non par un débat scientifique sur les mérites de leurs politiques, mais par une campagne de diffamation.
Ils ont répondu en inondant la pétition de signatures de canular et de injures juvéniles, et en colportant des théories du complot follement fausses sur le financement de l'AIER (le principal instigateur des deux tactiques, ironiquement, était un blogueur britannique connu pour la promotion des conspirations du 9/11 Truther). Mais les lockdowners ont également adopté un autre récit: ils ont commencé à nier que les lockdowns étaient même sur la table.
Personne n'envisageait de ramener les verrouillages du printemps, ont-ils insisté. Se disputer à l'automne contre les ordonnances politiquement impopulaires d'abris sur place n'a servi qu'à saper le soutien du public en faveur de restrictions plus étroites et plus tempérées. Les auteurs de Great Barrington, nous a-t-on dit, se disputaient avec un «homme de paille» du passé.
Au cours des semaines qui ont suivi en octobre, une douzaine d'épidémiologistes, d'experts en santé publique et de journalistes, ou plus, ont colporté la ligne «les verrouillages sont un homme de paille». L'affirmation de «l'homme de paille» a vu la promotion dans les principaux médias, y compris le New York Times, et dans un éditorial de deux principaux cosignataires du John Snow Memorandum, une pétition concurrente que les partisans du lock-out ont rédigée en réponse à la déclaration de Great Barrington.
Le message était clair: le GBD sonnait une fausse alerte contre les politiques du passé que les lockdowners soutenaient «à contrecœur» au printemps comme mesure d'urgence mais n'avaient aucune intention de relancer. Début novembre, «l'homme de paille» des nouveaux verrouillages est devenu une réalité dans des dizaines de pays à travers le monde - souvent encouragé par les mêmes personnes qui ont utilisé le canard «homme de paille» en octobre.
Plusieurs États américains ont emboîté le pas, dont la Californie, qui a imposé de sévères restrictions sur les rassemblements privés jusqu'à et y compris la réunion de votre propre famille pour Thanksgiving et Noël. Et quelques semaines plus tard, certains des mêmes épidémiologistes qui ont utilisé la ligne «de l'homme de paille» en octobre ont révisé leurs propres positions après coup. Ils ont commencé à affirmer qu'ils avaient toujours soutenu un deuxième verrouillage et ont commencé à blâmer le GBD pour avoir entravé leurs efforts pour les imposer à une date antérieure. En bref, tout le récit «les verrouillages sont un homme de paille» était faux. Et il semble maintenant que plus de quelques-uns des scientifiques qui l'ont utilisé mentaient activement sur leurs propres intentions en octobre.
RépondreSupprimerAnthony Fauci vante New York comme modèle pour l'endiguement de Covid (juin-décembre)
Selon tous les indicateurs, l'État de New York a subi l'une des pires épidémies de coronavirus au monde. Son taux de mortalité en fin d'année de près de 1 900 décès par million d'habitants dépasse tous les pays du monde. L'État a raté sa réponse dans les foyers de soins lorsque le gouverneur Andrew Cuomo a forcé ces établissements à réadmettre les patients positifs à Covid afin de soulager les tensions sur les hôpitaux. La politique s'est retournée contre lui, car la plupart des hôpitaux n'ont jamais atteint leur capacité, mais les réadmissions ont introduit le virus dans les populations vulnérables des foyers de soins, ce qui a entraîné des décès généralisés (à ce jour, New York sous-estime intentionnellement les décès des foyers de soins en excluant les résidents transférés dans un hôpital de ses chiffres rapportés, obscurcissant davantage le vrai péage de la commande de Cuomo).
New York s'est également mal comporté lors de la «deuxième vague» d'automne malgré la réimposition de restrictions sévères et de mesures de verrouillage régional. À la mi-décembre, son taux de mortalité a dépassé de loin l'État de Floride pour la plupart ouvert, qui a la taille de population comparable la plus proche de New York. Tout bien considéré, la résistance à la pandémie à New York est un exemple de ce qu’il ne faut pas faire.
Les politiques de Cuomo ont non seulement échoué à contenir le virus - elles l'ont probablement rendu beaucoup plus mortel pour les populations vulnérables. Entrez Anthony Fauci, à qui la presse a demandé à plusieurs reprises à quoi ressemblerait un modèle de politique de réponse Covid. Il a donné sa première réponse le 20 juillet: «Nous savons que, lorsque vous le faites correctement, vous dénoncez ces cas. Nous l'avons fait. Nous l'avons fait à New York. »
Fauci fonctionnait sous l'hypothèse que New York, malgré sa mauvaise course au printemps, avait réussi à maîtriser la pandémie grâce à ses verrouillages agressifs et à sa lente réouverture. On pourrait penser que le rebond de l'automne à New York, malgré un nouveau verrouillage, remettrait en cause cette conclusion. Pas tellement pour le Dr Fauci, qui a déclaré au Wall Street Journal le 8 décembre: "New York a été très durement touché au début" mais ils ont fait "un très bon travail de maintien de l'ordre, et malgré tout, leur niveau est bas par rapport au reste du pays. »
https://www.zerohedge.com/political/twelve-times-lockdowners-were-wrong
The-Bill Gates Pot-de-vin de plusieurs milliards de dollars dans les universités, Big Vaccine, Big Pharma, l'OMS, les NIH / CDC / Fauci et la grande réinitialisation du Forum économique mondial
RépondreSupprimerPar Gary G. Kohls, MD
28 décembre 2020
Merci au Dr Betty Martini pour le grand tableau ci-dessous qui illustre juste une partie de l'influence économique injuste de Bill Gates sur les programmes mondiaux de sur-vaccination de tant d'agences gouvernementales, d'institutions universitaires et de Big Pharma au cours des dernières décennies. (Dr Martini, D. Hum., Est l'un des scientifiques les plus compétents au monde qui comprend les toxicités dangereuses de l'aspartame, cet édulcorant artificiel omniprésent (Diet Coke, et.ad) qui a une multitude d'effets nocifs toxiques. Dr Martini est également une source fiable d'informations concernant la pseudoscience tournant autour des sociétés sociopathiques Big Vaccine qui sont garanties de tuer les divers vaccins Covid profondément défectueux, expérimentaux et génétiquement modifiés qui n'ont pas été réellement approuvés par la FDA - uniquement en cas d'urgence Utilisez l'autorisation (EUA) de cette agence de régulation gouvernementale profondément imparfaite qui reçoit une grande partie de ses revenus annuels des grandes sociétés pharmaceutiques! Le site Web du Dr Martini est à l'adresse: www.mpwhi.com. GGK
- voir sur site documents & tableau -
https://www.lewrockwell.com/2020/12/gary-g-kohls/the-bill-gates-multi-billion-dollar-briberies-of-academia-big-vaccine-big-pharma-who-the-nih-cdc-fauci-and-the-world-economic-forums-great-reset/
Mal traités. Un reportage sur le Covid-19 et le scandale de l'Hydroxychloroquine
RépondreSupprimerBreizh-info
dim., 27 déc. 2020 17:23 UTC
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/12/mal-traites-le-documentaire-sur-la.html
Mal traités. Tel est le nom d'un reportage d'1h27 signé Alexandre Chavouet, qui évoque la pandémie de Covid-19, mais surtout les traitements médicaux inhérents et la bataille, autour de l'hydroxychloroquine notamment.
Le documentaire évoque également la pensée unique sanitaire gouvernementale, sous influence de l'industrie pharmaceutique, visant à empêcher tout traitement alternatif à celui que propose les autorités. Producteur exécutif et réalisateur de ce projet, Alexandre Chavouet présente dans ce documentaire les traitement naturels passés sous silence et qui ont prouvé, études scientifiques à l'appui, une efficacité réelle contre la Covid-19.
Un reportage qui permettra d'avoir un autre regard (la mission que s'étaient donnés les réalisateurs d'Hold-Up) sur la pandémie et ses conséquences. Il devrait toutefois susciter la critique et les tentatives de censure habituelles de la petite caste dirigeante, et de ses relais économiques et médiatiques.
A noter que le film est promu et diffusé par la fondation Hippocrate, basée à Sion, en Suisse, qui écrit - sur la seule page que nous ayons trouvé à son sujet - avoir pour but de
« promouvoir et soutenir la médecine naturelle et intégrative, préventive et d'accompagnement, ainsi que les thérapeutiques holistiques; de soutenir financièrement les projets de recherche scientifique relatifs à ces thérapies ainsi que les médecins et acteurs qui appliquent et défendent ce type d'approche thérapeutique ».
Une fondation qui, à défaut de mettre le documentaire en accès libre ou en accès payant, le propose 48h gratuitement, moyennant l'inscription à sa base de données via l'envoi de votre adresse email (à noter tout de même que nous avons essayé de contacter la fondation par mail, mail qui nous est revenu...).
Voici la bande annonce ci-dessous, ainsi que le film entier à retrouver sur Odysee.
https://fr.sott.net/article/36434-Mal-traites-Un-reportage-sur-le-Covid-19-et-le-scandale-de-l-Hydroxychloroquine
L'État de Washington a gonflé son bilan des décès de COVID-19, conclut l'analyse des certificats de décès
RépondreSupprimerDimanche 27 décembre 2020
par: JD Heyes
(Natural News) L'un des plus gros mensonges perpétués pendant la pandémie de COVID-19 est le nombre de morts, comme cela a été prouvé à nouveau à la suite d'une analyse des certificats de décès dans l'État de Washington.
Tout au long de la pandémie, le nombre de morts est devenu l'un des aspects les plus politisés, mis en évidence sur de fausses chaînes d'information comme CNN et MSNBC dans le but d'enflammer les passions parmi leur public de gauche et d'alimenter la haine du président Donald Trump, qui a déplacé des montagnes vers obtenir de l'aide pour les États qui n'étaient pas préparés seuls à faire face à l'épidémie.
Mais depuis le début, les Américains ont remis en question la manière dont le bilan «officiel» des morts a été calculé; à savoir, toute personne ayant été testée positive pour le virus et décédée était considérée comme une «mort de coronavirus», même si le virus lui-même n'avait rien à voir avec cela.
Maintenant, grâce à une nouvelle analyse des certificats de décès dans l'État de Washington, nous avons encore plus de preuves pour remettre en question le nombre de décès dus au virus.
The Epoch Times rapporte:
Une analyse du certificat de décès montre que le nombre de décès attribués au COVID-19 dans l'État de Washington reste gonflé, selon une nouvelle enquête.
La Freedom Foundation, un groupe de réflexion sur le marché libre, a publié une recherche en mai affirmant que le nombre total de décès par COVID-19 du ministère de la Santé de l'État était gonflé de 13% en comptant toutes les personnes testées positives pour la maladie, même si le la mort n'a pas été causée par cela.
Les responsables de la santé de Washington ont ensuite admis que oui, certains décès déclarés par l'État comme «liés au COVID» n'étaient pas réellement causés par le virus.
Il s'agissait notamment de personnes qui ont été abattues, selon Katie Hutchinson, la responsable des statistiques sanitaires au département de la Santé de l'État de Washington, qui a discuté du nombre de morts avec des journalistes ces derniers jours.
En outre, elle a déclaré que les responsables de la santé examinaient actuellement quelque 3000 certificats de décès qui montraient que ces personnes étaient décédées de symptômes similaires au COVID-19, mais il n'était pas du tout clair que le virus avait réellement causé la mort.
Selon un e-mail interne, Hutchinson a également déclaré que «en théorie», l'auteur du rapport de la Freedom Foundation avait «raison» en notant qu'une personne qui avait été testée positive pour le virus mais est décédée dans un accident de voiture un mois plus tard serait également comptabilisée comme une «mort COVID».
RépondreSupprimerCela prend tout son sens quand on y pense; nous ne comptons pas les décès dus à la grippe de la même manière (tout décès lié à la grippe comme un arrêt cardiaque ou un décès par pneumonie), alors pourquoi avons-nous compté les décès par COVID de cette manière ? La politique, quelqu'un ? Alors la faction anti-Trump pourrait-elle le frapper sur la tête quotidiennement ? Pour contrôler les gens ?
Quelle que soit la raison, il est évident que l'on nous a menti - encore une fois - à propos de ce virus.
En juin de cette année, environ un mois après la publication de l’analyse initiale de la Freedom Foundation, les responsables de la santé de l’État ont signalé qu’ils changeaient la façon dont les décès par COVID étaient comptés. (Connexes: quatre volontaires immunisés avec le vaccin contre le coronavirus de Pfizer ont développé la paralysie de Bell; la FDA nie que le jab l'ait causé.)
«Jusqu'à présent, lorsqu'un décès est signalé comme un décès par COVID-19, c'est parce que la personne décédée a également été testée positive pour le COVID-19. Cependant, cette méthode ne reflète pas seulement les décès de personnes dont la mort a été causée par COVID-19; il peut inclure une personne qui peut être décédée d'autres causes », a déclaré le ministère de la Santé de Washington dans un communiqué.
Mais la nouvelle analyse du groupe a révélé que Washington surdéclarait toujours les décès par COVID, et peut-être des centaines de cas.
La nouvelle analyse a examiné près de 2000 certificats de décès et n'a pas trouvé de référence au COVID-19 sur 170 d'entre eux. 171 autres viennent de faire référence au COVID-19 comme un «facteur contributif» potentiel, a déclaré le groupe dans un communiqué de presse. Des dizaines d'autres cas «n'avaient qu'un lien douteux ou minime avec le virus».
"Ne fais pas d'erreur. Ce n’est pas une erreur comptable innocente dont nous parlons », a déclaré Aaron Withe, directeur national de la Freedom Foundation, dans un communiqué. «Il s'agit d'une agence d'État sous l'autorité du gouverneur Jay Inslee qui continue de déformer le nombre de personnes décédées du COVID même après avoir déjà été surpris en train de faire la même chose.»
En fait, les Américains ne connaîtront peut-être jamais le nombre exact de décès légitimes liés au COVID-19. Mais nous en savons maintenant assez pour conclure que les décomptes dans tous les États ont été exagérés; la question est, pourquoi ?
Voir plus de rapports comme celui-ci sur Pandemic.news.
Sources include:
TheEpochTimes.com
FreedomFoundation.com
Vaccines.news
https://www.naturalnews.com/2020-12-27-washington-state-inflated-covid-death-toll-analysis.html
Des traîtres à l'intérieur de la Maison Blanche et un appel aux patriotes pour se rendre à Washington DC du 4 au 6 janvier
RépondreSupprimerDecember 28th, 2020
Il y a une semaine, une réunion de quatre heures a eu lieu avec le président Trump, Sidney Powell, Rudy Guiliani, Michael Powell et le personnel juridique clé de Whitehouse. Patrick Byrne (milliardaire fondateur d'Overstock, combattant contre la corruption de Wall St) était là.
"Trahi de l'intérieur"
Byrne a fait plusieurs interviews la semaine dernière. Celui avec Jerome Corsi était probablement le plus détaillé. À regarder, alors qu'une histoire extraordinaire se déroule. Il raconte une histoire d'initiés à la Whitehouse à Whitehouse, où des cadres juridiques se sont apparemment vu offrir des salaires d'un million de dollars par des étrangers et ont menacé d'être «annulés» s'ils ne jouent pas le bon jeu, qui consiste à convaincre Trump concéder. L'équipe senior s'appuie sur les juniors. Les avocats intéressés sont incroyablement irrespectueux, sexistes et Byrne les licencierait en un instant s'ils travaillaient pour lui.
- voir clip sur site -
Selon Byrne - Trump est l'homme le plus intelligent de la salle (Byrne a un doctorat de Stanford) - un gentleman, très différent de ce que les médias décrivent, et «trop gentil» presque trop un défaut. Byrne est un petit libéral qui n'a pas voté pour Trump, mais qui semble être devenu l'un de ses plus grands partisans depuis sa rencontre. Mais il insiste, et du point de vue de Trump aussi - il ne s’agit pas de Trump ou de Biden, mais de la République. Trump a besoin de cette bataille «comme un trou dans la tête» et concéderait volontiers et «aurait une belle vie» si seulement les élections avaient été organisées équitablement et que l'avenir des États-Unis n'en dépendait pas.
Il souligne qu'il n'y a eu aucune mention de l'acte d'insurrection ou de la loi martiale lors de la réunion malgré la fabrication à 100% de cette affirmation dans le New York Times.
Il était heureux que Trump ait accepté le plan que lui, Powell et Flynn voulaient dans la demi-heure, mais ils ont passé les trois heures suivantes à travailler contre les avocats qui disaient non et à ne rien faire de lâches. La réunion était si passionnée qu'elle en est presque venue aux coups de poing.
Selon Byrne, toutes les preuves sont là, elles seront révélées et ils ont retracé les communications électroniques des machines électorales directement en Chine. (Plus à ce sujet dans le prochain post).
Manifestations de masse à venir les 4, 5, 6 janvier 2021
Patrick Byrne termine par un appel à tous ceux qui aiment leur pays à se rendre à la manifestation de masse les 4, 5 et 6 janvier à Washington D.C. Et aux personnes qui ne peuvent pas y arriver - à viser les législatures de leur État les mêmes jours.
Voir son fil Twitter pour des citations: @PatrickByrne. Où - par coïncidence - a publié il y a 4 heures un message "Est-ce étrange ?" et montre une vidéo de ce qui ressemble à une longue boule de feu rougeoyante dans le ciel. Cela dure trop longtemps, trop lentement, pour être un météore. Qu'Est-ce que c'est ? Les commentateurs suggèrent une traînée d'avion au soleil. Mike dit: C'est le camping-car de Nashville qui rentre dans l'atmosphère
https://joannenova.com.au/2020/12/traitors-inside-the-whitehouse-and-voting-data-sent-direct-to-china/
Les ventes d'armes à feu en 2020 détruisent les records alors que les Américains verrouillent N 'Load
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 27 DÉC 2020-17: 10
Au milieu de la "tempête parfaite '' de tensions raciales, de verrouillages et d'un pic record de chômage qui a coïncidé avec une vague de criminalité nationale en 2020, les gens se sont approvisionnés en armes à feu comme jamais auparavant.
Selon les données mensuelles du FBI, novembre a été le mois le plus chargé jamais enregistré pour la vérification des antécédents avec plus de 3,6 millions de demandes - un chiffre en hausse de 40 % par rapport à novembre précédent, plaçant le pays à un niveau record de 35758249 chèques jusqu'à présent cette année. - et 26 % de plus que les 28 400 000 chèques de 2019.
Propriétaire typique d'une arme à feu
L'augmentation par rapport à 2019 marque la plus forte augmentation en pourcentage de l'histoire de 21 ans du système national de vérification instantanée des antécédents criminels (NICS) (lorsque l'on exclut les données de l'année 2000 lorsque le système a été entièrement mis en œuvre et a produit une augmentation synthétique de 1000 %).
Pourtant, les 3,6 millions de chèques de novembre ne le placent qu'au quatrième rang en 2020, alors que juin a vu un record de 3931607 chèques au milieu d'émeutes et de violences généralisées au milieu des manifestations anti-police du BLM qui ont commencé à la fin mai après la mort de George Floyd, un homme noir décédé en garde à vue de la police de Minneapolic.
Comme le note Just The News:
Ce nombre augmentera certainement encore plus: le total actuel des chèques en 2020 n'inclut pas les chiffres de décembre. Les données historiques indiquent que les contrôles de décembre ont tendance à être plus élevés que le reste de l'année.
Bien que chaque vérification des antécédents individuels ne représente pas nécessairement un acheteur individuel (de nombreux acheteurs d'armes à feu achèteront plusieurs armes par an, tandis que beaucoup d'autres échoueront à leur vérification des antécédents), l'industrie des armes à feu a signalé une activité importante pour la première fois cette année.
La National Shooting Sports Foundation a rapporté en juin que les détaillants d'armes à feu estimaient que 40% de leurs ventes au cours des quatre premiers mois de l'année étaient allés à des propriétaires d'armes pour la première fois, et que près de la moitié de ces acheteurs pour la première fois étaient des femmes, deux hausses notables.
«Les ventes d'armes à feu ont été élevées et stables toute l'année, même pendant l'arrêt [COVID-19]», a déclaré Peyton Galanti, porte-parole de la Colonial Shooting Academy de Richmond, en Virginie, qui a ajouté que le marché avait été conduit par «d'abord- les acheteurs d'armes à feu "et les" personnes qui n'auraient jamais pensé posséder une arme "(également connus sous le nom de démocrates).
RépondreSupprimer"Nos classes ont été épuisées des mois à l'avance et, jusqu'à cette semaine environ, le temps de parcours a également augmenté toute l'année", a ajouté Galanti.
Pendant ce temps, les ventes record d'armes à feu ont coïncidé avec une pénurie massive de munitions.
"Obtenir des armes à feu, obtenir des optiques, obtenir des munitions est difficile en ce moment", a déclaré Tim Grover, instructeur d'armes à feu chez Rev-Tac, basé à Jackson, dans le Nebraska.
Jake Schira, propriétaire de Gunsmith Jake LLC à Rothschild, WI dit: "Je reçois 20 à 40 appels par jour concernant des personnes qui cherchent à acheter des munitions ou à les chercher." Un autre propriétaire de magasin d'armes à proximité, Mitch Mode, a déclaré à WAOW: "Nous sommes dans la saison des cerfs, où nous devrions avoir des munitions pour tout le monde, mais nous n'avons de munitions pour personne."
https://www.zerohedge.com/economics/2020-gun-sales-shatter-records-americans-lock-n-load
La tempête du Nouvel An pourrait causer des ravages à travers les États-Unis
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 27 DÉC 2020-19: 30
Une nouvelle tempête balayera le pays la semaine prochaine, tout comme la dernière, du sud-ouest aux plaines du Midwest à l'est, répandant la pluie et la neige en cours de route.
Alors que 2020 se termine et que 2021 n'est qu'à quelques jours, il semble que des conditions météorologiques plus mauvaises soient en route. La tempête se déroulera en deux phases, selon The Weather Channel.
- voir carte sur site -
La première phase débutera dimanche soir.
San Francisco et Los Angeles seront frappés par de fortes pluies, des vents forts et de la neige en montagne.
D'ici mardi à mercredi, la tempête traversera la partie centrale du pays avec de fortes chutes de neige pour l'Iowa, le Minnesota et le Wisconsin. De la pluie est attendue le long de la vallée du fleuve Mississippi avec de violents orages au Texas.
La deuxième phase de la tempête commencera au milieu de la fin de la semaine.
À la veille du Nouvel An, de fortes pluies et des orages sont attendus dans les régions de la côte du golfe du Mexique et de la vallée du Tennessee. De la pluie et du vent sont également attendus dans toutes les grandes villes du centre de l'Atlantique et du nord-est.
Plus de neige pourrait se développer dans le Midwest et les Grands Lacs. Un mélange hivernal pouvait être vu dans le nord du Texas et dans certaines parties de l'Oklahoma. Certaines parties du nord-est près de la frontière canadienne pourraient voir s'accumuler des chutes de neige.
Les météorologues du BAMWX ont analysé "103 des modèles d'ensemble" pour le potentiel de tempête du Nouvel An / Jour.
J'ai examiné les 103 modèles d'ensemble pour le potentiel de tempête #NewYearsDay ...
Jusqu'à présent, il n'y a pas de consensus car les modèles continuent de faire des changements drastiques vers l'ouest à chaque nouvelle course.
Peut-être une certaine cohérence se produira-t-elle aujourd'hui ? Brutal ... pic.twitter.com/lcl4HpHolB
- BAMWX (@bamwxcom) 27 décembre 2020
La précision des modèles météorologiques s'améliorera considérablement dans les prochains jours, néanmoins, si vous prévoyez de voyager et de vous mélanger avec d'autres ménages autour du Nouvel An, soyez prudent, une tempête potentiellement puissante pourrait se diriger vers l'est des États-Unis.
https://www.zerohedge.com/commodities/new-years-week-storm-could-cause-havoc-across-us
Supprimervoir: ventusky.com
La propagande dans les médias de masse est l'ennemi n ° 1: notes du bord de la matrice narrative
RépondreSupprimerPar Caitlin Johnstone
CaitlinJohnstone.com
28 décembre 2020
L'outil le plus orwellien de nos dirigeants qui fait le plus de dégâts et affecte le plus de vies n'est pas la surveillance, ni la militarisation policière, ni le secret gouvernemental, mais la propagande des médias de masse nationaux. C’est aussi le plus négligé. Il est bon de protester contre les autres mécanismes de contrôle autoritaire, mais la propagande est l’ennemi numéro un.
Vous n’avez pas besoin d’espionner les groupes dissidents si vous pouvez contrôler suffisamment l’opinion publique pour empêcher la formation de ces groupes. Vous n’avez pas besoin de la capacité d’annuler les soulèvements publics si vous pouvez dissuader les gens de se lever du tout. Et ils peuvent. Et ils le font.
La capacité de la classe ploutocratique à manipuler la pensée publique à grande échelle est l'aspect le plus négligé et sous-estimé de notre société. Il déforme l'intégralité de notre spectre politique, toute notre pensée, tout notre discours et ce que nous percevons comme normal. Et vous ne voyez tout simplement pas les gens se battre. L’ACLU ne protège pas la souveraineté mentale des gens contre les manipulations d’oligarques sociopathes alignés sur le gouvernement. Les gens n’amènent pas la classe des propriétaires de médias devant la Cour suprême pour ingérence effrontée dans les élections. Les gens ne descendent pas dans la rue pour protester. Mais ils pourraient.
En termes d'effet sur la société, aucun outil de contrôle ne se rapproche d'autant plus des intérêts des puissants contre les intérêts du peuple que la propagande nationale parrainée par les ploutocrates. Rien ne changera tant que les gens ne commenceront pas à le remarquer et à y résister.
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Les théories sur les complots d'élite visant à renforcer le contrôle de la population ont tendance à sous-estimer considérablement le contrôle qu'ils ont déjà.
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Vouloir que le gouvernement américain ait un «leader compétent», c'est comme vouloir qu'un tueur en série soit habile à échapper à la détection.
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Un nouveau rapport indique que la Chine dépassera les États-Unis en tant que première économie mondiale d’ici 2028. C’est la vraie raison pour laquelle ils ont besoin que vous détestiez la Chine dès maintenant. Remplacez mentalement tous leurs récits soigneusement fabriqués par ceci.
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L’incapacité du Parti démocrate à saisir cette opportunité évidente et à transformer «Nous voulons vous donner de l’argent et ils ne le font pas» en une plate-forme de victoire électorale serait étrange… si la fonction principale du Parti démocrate était de gagner les élections. Mais ce n’est pas le cas. La fonction première du Parti démocrate est de tuer tout mouvement de gauche aux États-Unis pour faire en sorte que les Américains restent trop pauvres et impuissants pour s’ingérer dans le fonctionnement de l’empire.
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Le Parti démocrate est ce à quoi ressemblerait le gauchisme si vous le dépouilliez de tout ce qui pourrait éventuellement gêner les ploutocrates, les agences de renseignement ou le complexe militaro-industriel de quelque manière que ce soit.
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Ce n'est pas seulement que les démocrates ignoreront toutes les choses perverses que Biden va faire, c'est qu'ils ont ignoré toutes les choses les plus perverses que Trump a faites pendant son mandat. Ce n’est pas simplement une chose partisane: ils voient vraiment le meurtre d’étrangers comme une affaire présidentielle américaine normale.
Une grande partie des critiques de Biden consistera en «Si Trump avait fait cela, les démocrates hurleraient!» Et ce sera simplement faux; ils ne le feraient pas. Pas si cela faisait avancer les intérêts des oligarques, des profiteurs de guerre ou des agences de renseignement sociopathiques. Nous le savons parce qu’ils ne l’ont pas fait.
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Alors que les choses se réchauffent à nouveau avec l'Iran, rappelez-vous qu'il n'y a jamais, jamais aucune raison de traiter les allégations non prouvées des États-Unis sur les agressions d'une nation non alignée avec autre chose que la dérision et le rejet.
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Montrez-moi d'abord une preuve vérifiable que la nation accusée a fait ce que dit le gouvernement américain. Ensuite, montrez-moi la preuve que ce qui a été fait n’était pas une réponse valable à ce que font les États-Unis. Alors montrez-moi la preuve que l'interventionnisme aiderait. Alors va te faire foutre, car tu ne feras rien de tout ça.
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Les gens qui disent que le monde est contrôlé par les reptiliens de l'espace ont plus de crédibilité que les journalistes de médias de grande envergure qui répètent sans critique les affirmations non prouvées du gouvernement sur les agressions de nations non alignées.
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Cela ne me rendra jamais furieux que lorsque le moment est venu pour les femmes de commencer à revendiquer un espace à taille humaine dans notre société, la solution que nous avons trouvée était pour nous de commencer à agir davantage comme des hommes. C'était exactement le contraire de ce dont le monde a besoin.
«Nous voulons l'égalité, alors sautons dans le jeu capitaliste inventé par les hommes et le jeu politique inventé par les hommes et les jeux de guerre inventés par les hommes et prouvons que nous pouvons être aussi fous et destructeurs que n'importe quel homme.»
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Les shitlibs cyniques de placard peuvent faire sonner n'importe quoi. Changement de régime en Syrie. Escalade de la guerre froide contre la Russie et la Chine. Assange frottis. Attaques contre le mariage de Glenn Greenwald. N'importe quoi. Un peu de jargon gauchiste savamment mélangé et du coup il peut être gauchiste pour soutenir la CIA.
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Lorsque les humains sont apparus pour la première fois, ce sont les fortes brutes qui dirigeaient la tribu. Plus tard, ce sont les manipulateurs intelligents qui ont dirigé, car ils pouvaient manipuler les brutes fortes pour qu'elles exécutent leurs ordres. Maintenant, les manipulateurs s'efforcent de rendre obsolètes même leurs armées brutes grâce à la technologie, il ne s'agira donc que de manipulateurs intelligents en haut et de tous les autres en bas. C'est la vraie revanche des nerds.
RépondreSupprimer❖
La façon d'obtenir ce que vous voulez est de continuer courageusement à sauter dans les trous intérieurs des lapins d'auto-exploration, d'apprendre ce qui vous fait vibrer, de nettoyer vos illusions et de guérir vos blessures psychologiques. En outre, vous finirez par vouloir des choses complètement différentes de celles de vos débuts.
https://www.lewrockwell.com/2020/12/no_author/mass-media-propaganda-is-enemy-1-notes-from-the-edge-of-the-narrative-matrix/
Ce ne sont pas seulement les merdias !!
SupprimerIl y a eu dans toutes les écoles (publiques & privées) de la désinformation de répandus durant des millénaires !!
Du "Comment faire du feu ?"/"Avec 2 silex !"/"HAHAHAHA ! (essayez d'enflammer une touffe de coton avec des étincelles !! Hahaha !
A l'Âge de fer (il y a 3000 ans) ils avaient du fer, ils avaient de l'eau, ils avaient du feu.
Il a fallut attendre 3000 ans pour que soit inventé le chauffage central !!! 3000 ans !!!
Une hausse des prix de la viande est à prévoir... avant sa complète disparition ? Bienvenue dans l'Ère du Covid et de l'écologie totalitaire qui se prétend « vertueuse »
RépondreSupprimerM.K. Scarlett
Sott.net
dim., 27 déc. 2020 12:22 UTC
Ce n'est pas la première fois que les êtres humains carnivores-méchants sont pointés du doigt, mais ils le sont de plus en plus. Une nouvelle étude comparant l'empreinte environnementale des viandes Bio et des viandes dites « conventionnelles » — pour les scientifiques, ce terme est plus « acceptable » pour les masses que celui pas-beau-pas-ragoûtant « d'élevage industriel » — a récemment été publiée dans Nature Communications, et il s'avère — comme c'est « bien commode pour certains » comme nous le verrons plus loin — que selon cette étude, l'empreinte environnementale des viandes Bio ne serait pas moins élevée que les autres. La viande biologique est donc aujourd'hui attaquée pour sa soi-disant empreinte environnementale. Le grand cirque continue...
Cette étude indique ainsi que les productions Bio et non Bio auraient un impact identique sur l'environnement notamment pour le bœuf et le mouton. L'étude met aussi en avant le fait que l'empreinte environnementale des élevages de porcs dits « conventionnels » se révèle être plus importante que celle des élevages en agriculture biologique, et que les poulets issus de la filière non Bio auraient pour leur part moins d'impact sur l'environnement que leurs homologues Bio.
Parcourons dans un premier temps la description de cette étude effectuée par Breizh-Info dans leur article publié le 26 décembre, et nous reviendrons ensuite sur des considérations plus générales.
« Pour expliquer cette empreinte environnementale pour ce qui est de l'élevage conventionnel, les auteurs de l'étude expliquent que les principales émissions proviennent du fumier et du méthane produit par les vaches et moutons. L'équipe de chercheurs a aussi déterminé l'impact de la nourriture administrée aux animaux, à savoir le bilan carbone des céréales ou encore le fait que ces dernières soient en lien avec la déforestation, comme cela peut être le cas en Amérique du Sud.
Mais, si ces premières conclusions ne constituent pas réellement une nouveauté, celles au sujet de l'élevage biologique sont particulièrement rudes pour ce dernier. En effet, la publication souligne que, si les animaux élevés en bio ne sont pas nourris avec du fourrage importé mais souvent avec de l'herbe, cela a aussi pour conséquences le fait qu'ils produisent moins de viande et grandissent moins rapidement. Ce qui occasionne en contrepartie davantage d'émissions de gaz à effet de serre de la part de ces bêtes avant qu'elles ne soient abattues.
Avec cette mise à l'index de la viande produite y compris par la filière biologique, l'équation devient sérieusement compliquée à résoudre pour les carnivores. Difficile de ne pas y voir une chasse aux consommateurs de viande en bonne et due forme quand, dans le même temps, l'étude met aussi l'accent sur le faible impact environnemental des cultures végétales, en conventionnel comme en biologique par rapport à la production de viande.
Le coût climatique est le même pour la viande conventionnelle et la viande Bio
RépondreSupprimerPar ailleurs, les chercheurs à l'origine de l'étude n'y vont pas par quatre chemins quant à leurs préconisations : ils suggèrent directement aux responsables politiques d'imposer des taxes sur la viande afin que, selon eux, les prix imposés aux consommateurs reflètent le coût environnemental réel des élevages.
Outre la culpabilisation des consommateurs de viande, ces scientifiques souhaitent ainsi leur faire payer leur supposée responsabilité dans le changement climatique de la planète. En allant acheter un morceau de bœuf chez votre boucher, serez-vous alors prêts à payer celui-ci beaucoup plus cher en compensation de votre implication indirecte dans une tempête ou une inondation de l'autre côté du globe ? Si cette idée loufoque peut prêter à sourire, elle fait pourtant son chemin dans certains milieux scientifiques et politiques.
Plus surprenant encore, les chercheurs en question ont aussi établi le niveau des hausses de prix nécessaire pour couvrir le « coût climatique » de la consommation de viande. Ils préconisent d'augmenter de 40 % les prix de la viande conventionnelle dans les magasins, et de 25 % ceux de la viande biologique. Si les auteurs de l'étude ont basé leur calcul sur la production alimentaire allemande, ils considèrent que ces résultats seraient similaires dans tous les pays de l'Union européenne.
Avec de telles conclusions, c'est donc une nouvelle attaque contre la consommation de viande qui est menée tandis que de nombreux éleveurs, notamment en Bretagne, ont réalisé des efforts considérables ces dernières années afin de transformer leur exploitation du mode conventionnel au biologique. »
Considérations plus générales
L'Ère du Covid n'a qu'un seul but et l'« écologie » a bon dos, mais ça c'est désormais évident : depuis qu'elle est devenue politique, l'écologie est aussi devenue totalitaire. Connaissant la main-mise des lobbies d'Agro-Pharma exercée depuis des années sur les — et/ou avec l'aide des — gouvernements, il ne fait presque aucun doute que cette taxe sera appliquée très prochainement. Les relations familières et d'intérêts désormais avérées entre le politique et l'industrie mondialiste préparent l'enfer pour les populations. Ils aimeraient — et s'y attellent — nous forcer à acheter de la viande artificielle qui contient d'énormes quantités de glyphosate et des produits qui visent à « remplacer les aliments nutritifs et sains par des créations de laboratoire génétiquement modifiées qui sont présentés comme saines et durables, ce qu'elles ne sont évidemment pas ».
Rappelons-nous que le philanthro-capitaliste Bill Gates exerce une influence majeure sur la technologie et la médecine — et sur les vaccins en particulier — mais qu'il dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale :
« La Fondation Gates cherche à exercer une influence non seulement par le financement de projets et la mise en forme de l'expertise, mais aussi par le financement des plateformes de gouvernance qui déterminent la politique alimentaire et agricole. Ce rôle de la Fondation Bill & Melinda Gates dans la prise de décisions politiques basées sur son modèle technologique de développement agricole dont elle est propriétaire est souvent négligé... »
RépondreSupprimerRappelons-nous que le Forum économique mondial prône, aidé par le livre écrit par son directeur Klaus Schwab, ce qui suit :
« la sécurité alimentaire mondiale ne sera atteinte que si les réglementations sur les aliments génétiquement modifiés sont adaptées pour refléter la réalité selon laquelle la manipulation génétique offre une méthode précise, efficace et sûre pour améliorer les cultures. »
Ils veulent mettre en place un régime alimentaire qui vise à
« réduire la consommation de la population mondiale en viande et en produits laitiers jusqu'à 90 % dans certains cas, et à la remplacer par des aliments fabriqués en laboratoire, des céréales et de l'huile. »
Il s'agit aussi au passage d'un marché juteux et d'une prise de contrôle par les entreprises mondialistes du système alimentaire, aidés par des soi-disant études « scientifiques », un domaine aujourd'hui corrompu jusqu'à la moelle. Ces mêmes « scientifiques » corrompus aident à « définir, discuter et faire avancer les questions clés de l'agenda mondial ».
Rappelons aussi que leur date butoir de 2030 pour la mise en place de leur Grande Réinitialisation n'est en rien arbitraire mais a tout à voir avec l'Agenda 2030 qui suit l'Agenda Santé 2020 :
« L'Agenda 2030 fera le lien entre toutes les dimensions du développement — y compris la santé — et l'environnement, la prospérité et toutes les interventions et politiques nécessaires pour la population. »
Rappelons enfin que la Grande Réinitialisation est supposée être globale :
« Ses organisations partenaires comprennent les plus grands acteurs de collecte des données, des télécommunications, de l'industrie de l'armement, de la finance, des produits pharmaceutiques, de la biotechnologie et de l'industrie alimentaire.
Les plans du Forum économique mondial pour la « réinitialisation » de l'alimentation et de l'agriculture comprennent des projets et des partenariats stratégiques qui favorisent les organismes génétiquement modifiés, les protéines fabriquées en laboratoire et les produits pharmaceutiques et chimiques industriels comme solutions durables aux problèmes d'alimentation et de santé. »
Tous ces plans concoctés de longue date ont un seul but majeur : le contrôle d'autant d'éléments de la vie planétaire que possible, par tous les moyens qu'ils jugeront bons d'utiliser — en passant par l'ingénierie sociale et la fenêtre d'Overton plus qu'abondamment utilisées depuis neuf mois dans les medias de masse et par les hommes et les femmes politiques pour faire accepter aux masses l'inacceptable et leur faire croire que les « miraculeux vaccins » nouvelle génération leur offriront la Liberté de retourner à leur vie d'avant.
Il n'y aura pas de retour à la « normale ». Il y aura d'autres confinements, en France le 3e est pour dans quelques jours, ailleurs il est déjà en place. On peut même avancer qu'il pourrait y avoir en 2021 au moins deux ou trois autres confinements-mesures-coercitives qui achèveront de mettre l'économie par terre et qui pourra dès lors lancer le grand chambardement-chaos qu'ils appellent Grande Réinitialisation en vue d'installer leur Nouvel ordre mondial. La question à un million d'euros : « Y parviendront-ils ? »
RépondreSupprimerhttps://fr.sott.net/article/36432-Une-hausse-des-prix-de-la-viande-est-a-prevoir-avant-sa-complete-disparition-Bienvenue-dans-l-Ere-du-Covid-et-de-l-ecologie-totalitaire-qui-se-pretend-vertueuse
CRIIGEN — Note d'expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies de modifications génétiques des organismes
RépondreSupprimerChristian Vélot — CRIIGEN
Sott.net
dim., 27 déc. 2020 09:09 UTC
Nous reproduisons ici la totalité de la « Note d'expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM » écrite et publiée en septembre 2020 par le Dr Christian Vélot, généticien moléculaire à l'Université Paris-Saclay et Président du Conseil scientifique du CRIIGEN. Le tout est assez technique mais toutefois essentiel à ceux qui rechercheraient des informations plus formelles sur les sujets qui y sont traités. Les mises en gras dans le texte sont de notre fait. Pour les lecteurs qui l'auraient manqué, voir aussi l'interview sur le même sujet — bien que plus simplifié — du docteur Vélot que nous avons récemment publié : Les « vaccins » nouvelle génération et le Covid-19 — Interview intégrale du Docteur Christian Vélot.
Vaccins OGM
* * * * *
I. Rappels de quelques notions et de terminologie
1. La cellule, l'ADN, l'ARN, les protéines
L'ADN est le support de l'information génétique. Il est localisé dans un compartiment particulier de chaque cellule de l'organisme, le noyau, lequel est séparé du reste de la cellule (le cytoplasme) par une membrane biologique appelée membrane nucléaire et contenant des ouvertures (les pores nucléaires). Chaque cellule est elle-même délimitée par une membrane biologique appelée membrane plasmique et constituée d'une bicouche de lipides (Figure 1). L'information génétique est identique dans toutes les cellules du corps d'un même individu, et est répartie sur plusieurs entités appelées chromosomes. Chez les humains, le nombre de chromosomes différents est de 23. Ils sont présents en double dans chaque cellule (à l'exception des spermatozoïdes et des ovules où ils ne sont qu'en un seul exemplaire), soit 46 chromosomes (23 paires comprenant chacune un chromosome provenant du père et l'autre provenant de la mère). L'ensemble des chromosomes d'un organisme vivant constitue son génome.Chaque chromosome est constitué de deux brins parallèles entourés autour d'un axe pour former une double hélice : la double hélice d'ADN. Chacun des deux brins de cette double hélice est lui-même constitué de l'enchaînement de quatre molécules plus petites, les nucléotides, que l'on désigne par leurs initiales respectives, c'est-à-dire quatre lettres : A,G,C,T (Figure 1).
Les gènes sont des segments de chromosomes (des morceaux de séquences en quatre lettres) qui détiennent une (ou des) information(s) biologique(s) permettant aux cellules de fonctionner. Un même gène chez une même espèce peut exister sous différentes formes, avec de légères modifications de séquence : ce sont les différents allèles d'un gène. Les allèles de l'ensemble des gènes d'un individu déterminent son génotype. Pour l'essentiel des gènes que nous connaissons aujourd'hui (et qui ne représentent qu'une toute petite partie d'un génome), les gènes détiennent le secret de fabrication des protéines. Les protéines sont de grosses molécules constituées par l'enchaînement linéaire, non pas de quatre, mais de 20 molécules différentes : les acides aminés (Figure 1). Le passage d'un gène à une protéine correspond donc au passage d'un langage en quatre lettres (A,G,C,T : le langage génétique) à un langage en 20 lettres (les 20 acides aminés : le langage protéique). Ce processus s'appelle d'ailleurs la traduction.
Toutefois, le passage du gène à la protéine n'est pas direct : il nécessite une molécule intermédiaire, constituée elle aussi de l'enchaînement de quatre nucléotides (langage génétique A,G,C,U au lieu de A,G,C,T) et formée d'un seul brin (simple hélice). Il s'agit d'une molécule d'ARN, appelée aussi transcrit car elle est le résultat d'un processus appelé transcription (passage de l'ADN à l'ARN) qui a lieu dans le noyau. Cette molécule d'ARN va ensuite sortir du noyau par les pores nucléaires pour rejoindre le cytoplasme où elle sera traduite en protéine. L'expression d'un gène codant une protéine se fait donc en deux étapes, la première (nucléaire)étant la transcription, et la seconde (cytoplasmique) la traduction (Figure 1).
RépondreSupprimerPrécisons que tous les gènes ne codent pas des protéines. Autrement dit, l'expression des gènes ne comprend pas toujours une étape de traduction mais, en revanche, passe systématiquement par une étape de transcription. Les transcrits ne sont donc pas toujours des intermédiaires mais peuvent être les produits finis de l'expression génique.
Figure 1-Note d'expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM-Christian Vélot-Septembre 2020
- voir tableau sur site -
2. Les virus
Les virus sont des agents infectieux constitués d'une coque protéique appelée capside, constituée de la juxtaposition d'un grand nombre d'exemplaires d'une protéine virale, et renfermant le matériel génétique du virus (Figure 2) qui est soit de l'ADN soit de l'ARN. De nombreux virus sont en plus entourés d'une enveloppe qui est constituée d'une bicouche de lipides correspondant à celle de la membrane plasmique de leurs cellules hôtes (les cellules qu'ils infectent) et contenant des protéines qui y sont enchâssées : les protéines de surface du virus (Figure 2). Les virus possédant une enveloppe sont appelés des virus enveloppés ; ceux n'en possédant pas sont les virus nus (Figure 2). Le virus SARS-CoV-2, responsable de la Covid-19, est un virus enveloppé, de même que le virus de la grippe ou le VIH, responsable du SIDA.
Les virus n'ont pas la capacité de se reproduire seuls et doivent nécessairement infecter des cellules hôtes dont ils détournent l'activité au profit de leur propre multiplication. Pour cela, les virus injectent leur matériel génétique dans les cellules qu'ils infectent. Celles-ci vont alors multiplier ce matériel génétique et exprimer les gènes viraux qu'il contient afin de produire en grand nombre les protéines virales. De nombreuses particules virales vont alors se reconstituer à l'intérieur de la cellule infectée.
Pour les virus nus, la reconnaissance des cellules hôtes se fait par l'intermédiaire des protéines de la capside qui vont interagir spécifiquement avec une ou plusieurs protéine(s) située(s) dans la membrane plasmique des cellules hôtes. Cette interaction permet l'encrage du virus à la surface de la membrane plasmique puis sa pénétration dans les cellules ainsi infectées. Dans le cas des virus enveloppés, la reconnaissance et l'encrage se fait par la protéine de surface, et la pénétration du virus par fusion entre l'enveloppe virale et la membrane plasmique de la cellule hôte.
RépondreSupprimer- voir tableau sur site -
Figure 1-Note d'expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM-Christian Vélot-Septembre 2020
Une fois à l'intérieur de la cellule infectée, le matériel génétique viral va y être pris en charge selon des mécanismes différents en fonction notamment de sa nature : ADN ou ARN.
Pour les virus à ADN, l'ADN viral est directement pris en charge par la machinerie de la cellule infectée afin de le répliquer et d'exprimer ses gènes pour produire les protéines virales. Dans un certain nombre de cas, l'ADN viral peut aussi s'intégrer dans le génome des cellules infectées (c'est notamment le cas du papillomavirus responsable de cancers de l'utérus).
Concernant les virus à ARN, on distingue deux grands cas de figure.
Pour certains virus à ARN, comme le VIH, l'ARN viral est d'abord transformé en ADN sous l'action d'une enzyme virale, la transcriptase inverse, injectée dans la cellule infectée avec l'ARN viral. Cette étape est donc l'inverse d'une transcription, qui, elle, consiste à faire de l'ARN à partir d'ADN (Figure 1). L'ADN viral ainsi obtenu pénètre dans le noyau par les pores nucléaires et s'intègre alors au génome des cellules infectées. Cette seconde étape, pour se faire avec une grande efficacité, nécessite à nouveau une enzyme virale : l'intégrase. La cellule infectée peut alors prendre en charge l'ADN viral comme s'il s'agissait du sien et le transcrire en un grand nombre d'exemplaires, certains des transcrits seront traduits afin de produire les protéines virales.
Pour d'autres virus à ARN, comme le SARS-CoV-2, l'ARN viral est directement pris en charge par la machinerie cellulaire pour le traduire et ainsi fabriquer les différentes protéines virales, dont l'enzyme nécessaire à la réplication en un grand nombre d'exemplaires de cet ARN. Il n'y a donc pas dans ce cas présence ou production d'ADN viral, et donc pas d'intégration du génome viral dans les cellules infectées. C'est aussi le cas du virus de la grippe même si son ARN viral ne peut être traduit directement par la machinerie cellulaire et doit d'abord être répliqué en une copie complémentaire grâce à une enzyme virale directement libérée dans la cellule avec l'ARN.
II. La vaccination
RépondreSupprimerLa vaccination a pour but de stimuler les défenses immunitaires d'un humain ou d'un animal vis-à-vis d'un agent infectieux en l'exposant volontairement à cet agent (sous une forme atténuée ou inactivée) ou à l'un de ses composants appelé antigène (généralement une protéine). Pour ce qui est des virus, la plupart des vaccins consiste jusqu'à aujourd'hui à injecter une forme atténuée (« vaccins vivants ») ou inactivée (« vaccins inactivés ») du virus entier.
L'atténuation est obtenue principalement selon deux procédés. Le premier consiste à faire passer le virus sur des cultures de cellules d'une autre espèce : il reste alors immunisant mais ne peut plus se multiplier chez l'homme. C'est le procédé utilisé notamment pour les vaccins contre la rougeole, les oreillons, la rubéole, la varicelle. Le second procédé consiste à utiliser soit des mutants thermosensibles du virus, soit des virus adaptés au froid après passages successifs en cultures cellulaires à basse température : ces virus ont alors une capacité très réduite à se multiplier à 37°C (et donc chez l'humain). Ce procédé a été utilisé notamment pour un ancien vaccin contre le virus de la grippe administré par voie nasale (Fluenz®, aujourd'hui retiré) et pour le vaccin contre le virus respiratoire syncytial (VRS). Les principaux inconvénients sont d'une part les risques d'apparition de révertants du virus (souche sauvage) par recombinaison entre la souche vaccinale et une souche pathogène présente chez l'hôte vacciné (c'est-à-dire une ré-acquisition de pathogénicité par la souche vaccinale initialement atténuée), et d'autre part une contre-indication chez les personnes immunodéprimées ou chez les femmes enceintes en raison d'un risque d'atténuation insuffisante pour ces personnes.
L'utilisation de virus inactivés est donc plus sûre (mais pas dénuée de tout risque pour autant : voir section IV.1.). L'inactivation est soit chimique (traitement au formaldéhyde essentiellement), soit physique (chaleur ou irradiation). Ce type de vaccins dits « inactivés » concerne notamment la grippe, l'hépatite A, la poliomyélite, la rage. Leur désavantage est qu'ils provoquent une réponse immunitaire plus faible, ce qui nécessite des injections multiples et répétées, ainsi que l'utilisation d'adjuvants tels que l'aluminium ajoutés pour potentialiser l'effet immunogène du vaccin, et susceptibles d'engendrer des effets toxiques.
Depuis les années 90, des vaccins sont obtenus en ayant recours aux biotechnologies. Actuellement, cela consiste principalement à faire produire à des cellules cultivées en laboratoire (essentiellement des cellules de bactéries, de levures ou de champignons filamenteux) une protéine d'un agent infectieux (antigène). Il s'agit donc de cellules transgéniques dans le génome desquelles a été inséré le gène de l'agent infectieux codant cet antigène. L'antigène en question est alors purifié et associé à divers adjuvants pour élaborer un vaccin qui sera injecté aux patients. C'est notamment le cas du vaccin Engerix™-B contre l'hépatite B où la protéine de surface de ce virus a été produite dans des cellules d'une levure transgénique (levure de boulanger) exprimant le gène viral en question. Le coût de production est relativement élevé en raison notamment de l'étape de purification de l'antigène à partir des cellules transgéniques qui le produisent.
Enfin, de nouvelles stratégies faisant également appel aux biotechnologies sont en cours de développement depuis plusieurs années. Elles consistent à faire produire l'antigène de l'agent infectieux directement par les cellules de l'hôte (de la personne que l'on cherche à vacciner) en lui injectant l'ADN ou l'ARN codant la protéine virale en question.
RépondreSupprimerL'introduction de ce matériel génétique dans les cellules de l'hôte nécessite d'utiliser des « véhicules » appelés vecteurs. Ces vecteurs sont soit dérivés de petites molécules d'ADN circulaire bactérien, appelées plasmides, et dans lesquelles a été introduit l'ADN viral codant la protéine antigénique, soit des nanoparticules de lipides dans lesquelles sont emprisonnées l'ARN codant cet antigène, soit encore des virus génétiquement modifiés dits « désarmés », c'est-à-dire rendus notamment incapables de se répliquer par élimination d'une partie de leur matériel génétique (ADN ou ARN), lequel est remplacé par le matériel génétique d'intérêt que l'on souhaite introduire dans les cellules de l'hôte. Dans ce dernier cas, on utilise alors la capacité naturelle des virus en question à injecter le matériel génétique qu'ils contiennent dans les cellules humaines.
- voir tableau sur site -
III. Les projets de vaccins contre la Covid-19
Selon la liste de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) actualisée au 22 septembre 2020 [1], 38 candidats vaccins font l'objet d'essais cliniques (de phase I, II ou III).
Six d'entre eux utilisent le virus inactivé, tous les autres reposent sur des approches biotechnologiques et consistent à injecter soit a) une protéine du virus (antigène) ; b) des particules pseudo-virales ; c) l'ADN ou l'ARN codant l'antigène.
Dans le cas où le vaccin consiste à injecter une protéine du virus, celle-ci est produite en laboratoire par des cellules transgéniques dans lesquelles a été introduit une construction génétique contenant le gène viral correspondant et permettant son expression en grande quantité dans les cellules en question. Ces cellules sont alors cultivées à grande échelle dans des fermenteurs (bioréacteurs) et la protéine est extraite des cellules et purifiée. Cela concerne 13 des 38 vaccins en cours d'essais
Une particule pseudo-virale (VLP en anglais : virus-like particle) est en fait la capside sans le génome viral, obtenue par l'assemblage spontané de la protéine de la capside elle-même produite en laboratoire dans des cellules transgéniques. Dans ce cas précis (1 seul des 38 vaccins testés), il s'agit de cellules de plantes.
Les 18 vaccins restants consistent donc à introduire du matériel génétique viral dans les cellules de la personne à vacciner (l'administration est essentiellement intramusculaire, voire intradermique dans deux des cas). Il s'agit soit d'ARN emprisonné dans des nanoparticules de lipides (6 cas), soit d'ADN inséré dans un plasmide (4 cas), soit encore d'ADN ou d'ARN délivré par un virus génétiquement modifié désarmé (8 cas).
IV. Analyse des risques liés à chaque type de candidat vaccin contre la Covid-19
1. Vaccins inactivés
RépondreSupprimerLe fait qu'un vaccin utilise un virus inactivé ne signifie pas une absence de risques. L'effet immunisant de ce type de vaccins est moindre qu'avec un virus atténué. Il nécessite donc des injections répétées et l'ajout d'adjuvants, présentant potentiellement des effets toxiques, pour potentialiser l'effet immunogène (cf. partie II). Une étude suisse de 2004 [2] a montré qu'un vaccin inactivé de la grippe, en administration intra-nasale, provoquait chez un grand nombre de patients la paralysie de Bell (paralysie de l'ensemble des muscles du visage), sans qu'on en connaisse toutefois la raison exacte. Ce vaccin a depuis été retiré.
Par ailleurs, plusieurs études ont révélé une augmentation du risque d'infection (par le même virus ou d'autres) suite à une vaccination avec des vaccins inactivés. C'est le cas de vaccins de la grippe, Vaxigrip et Fluzone. Pour le premier il a été montré en 2012 qu'il augmentait chez des enfants de 6 à 15 ans le risque d'infection par d'autres virus respiratoires [3]. Le second s'est avéré augmenter le risque d'infection par la grippe chez des adultes obèses (par rapport à des personnes non obèses elles-mêmes vaccinées) [4]. Plus récemment, en 2019, une étude révèle qu'un vaccin inactivé de la dengue augmente le taux d'infection par le même virus chez des macaques [5], ce qui avait déjà été observé auparavant avec un virus atténué chez des enfants non exposés à la dengue avant vaccination [6].
Des précautions toutes particulières doivent donc être prises avec des vaccins inactivés contre la Covid-19, d'autant plus que le virus qui en est responsable est totalement nouveau et que nous sommes loin d'en cerner tous les effets.
2. Vaccins contenant la protéine antigénique et vaccins à particule pseudo-virale
Outre le coût qu'ils représentent en raison de l'étape plus ou moins lourde de purification de la protéine virale à partir des cellules transgéniques qui la produisent, ces vaccins s'avèrent être peu efficaces et peuvent présenter des effets toxiques dus essentiellement aux adjuvants (tels que l'aluminium ou le formaldéhyde par exemple) ajoutés justement pour pallier la faible efficacité et donc potentialiser la stimulation du système immunitaire, mais également éventuellement à l'antigène lui-même qui, en étant produit par des cellules transgéniques (qui ne sont donc pas celles qui le produisent normalement) peut présenter des différences structurelles ou chimiques qui pourront lui conférer des propriétés inattendues. En effet, si le message génétique contenu dans le gène viral (transgène) dicte aux cellules qui l'hébergent (cellules transgéniques), lors du processus de traduction, la nature et l'ordre d'enchaînement des acides aminés pour fabriquer la protéine virale (antigène), il n'est en revanche que très partiellement responsable de la manière dont la protéine doit se replier dans l'espace. Ce repliement dépend en partie de la nature et de l'ordre d'enchaînement des acides aminés (et donc du gène) mais essentiellement de l'environnement de la cellule dans laquelle la protéine est fabriquée (acidité, concentration en sels...). Or l'environnement cellulaire peut varier considérablement d'un type cellulaire à un autre, et on n'aura donc jamais la certitude que la protéine d'intérêt (ici l'antigène viral) est correctement repliée lorsqu'elle est artificiellement fabriquée par les cellules transgéniques, même lorsque cette protéine conserve l'activité biologique qui nous intéresse (ici, son caractère immunogène) [7]. Le mauvais repliement d'une protéine peut avoir des conséquences absolument imprévisibles et parfois très fâcheuses. N'oublions pas que les maladies à prions, par exemple (maladie de la vache folle, maladie de Creutzfeldt-Jakob, tremblante du mouton, etc...), sont dues à de simples défauts de repliement d'une protéine particulière. Certes, tous les défauts de repliement ne font pas des prions..., mais prions pour que la protéine virale se replie bien.
RépondreSupprimerPar ailleurs, une fois son repliement terminé, la protéine peut faire l'objet de modifications chimiques secondaires (dites « post-traductionnelles ») tels que des ajouts de sucres, de phosphates, qui peuvent être nécessaires à sa fonctionnalité, à son activité, ou lui conférer des propriétés particulières telles que — justement — des propriété immunogènes. Là encore, on n'aura jamais la certitude que ces modifications post-traductionnelles (qui ne sont pas « dictées » par le gène) mises en place dans les cellules transgéniques sont absolument identiques à ce qu'elles sont dans les cellules où la protéine est naturellement fabriquée (ici, les cellules naturellement infectées par le virus) [7].
3. Les vaccins délivrant l'ARN ou l'ADN codant la protéine antigénique
3.1. Le risque d'apparition de virus recombinant
Ce risque est indépendant du vecteur utilisé pour délivrer dans les cellules de l'hôte l'ADN ou l'ARN viral codant l'antigène protéique, qu'il s'agisse d'un vecteur plasmidique, d'une nanoparticule ou d'un virus génétiquement modifié. Toutefois, ce risque est encore plus grand dans le cas du recours à des virus génétiquement modifiés car ceux-ci apportent non seulement l'ADN ou l'ARN viral d'intérêt mais également une partie de leur propre génome.
RépondreSupprimerLes virus ont une grande capacité à échanger des fragments de leur matériel génétique respectif dès lors que les génomes viraux concernés sont de même nature (soit ADN, soit ARN) et qu'ils partagent des séquences (des gènes) qui se ressemblent. Le processus bien connu qui régit ces échanges s'appelle la recombinaison (et lorsque cette recombinaison a lieu entre séquences d'ADN ou d'ARN qui se ressemblent, on parle de recombinaison homologue). Ce phénomène de recombinaison n'est pas réservé à l'ADN ou l'ARN viral mais les séquences virales sont connues pour faire l'objet de nombreuses recombinaisons (on dit qu'elles sont très « recombinogènes »). Il résulte de ces recombinaisons, entre matériels génétiques viraux, des virus dits « recombinants » dont le ou les gène(s) qui a (ont) été le site de ces échanges sont dits « mosaïques », c'est-à-dire constitués en partie de séquences provenant du virus 1 et de séquences provenant du virus 2 (Figure 3). La Figure 3 illustre la recombinaison entre ADN viraux mais ce phénomène peut se produire tout aussi bien entre ARN viraux.
Figure 1-Note d'expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM-Christian Vélot-Septembre 2020
Dans un certain nombre de cas, ces virus recombinants sont beaucoup plus virulents que les virus d'origine et peuvent donc provoquer des viroses aggravées. Ce phénomène a été largement démontré chez des plantes transgéniques dans lesquelles un gène viral a été volontairement introduit dans leur génome, et infectées par un virus apparenté à celui d'où provient le transgène viral [8-16]. Un exemple très médiatisé de virus recombinant pouvant provoquer des viroses aggravées chez l'humain est celui du virus H1N1 de 2009, recombinant entre trois souches de virus de la grippe : une souche porcine, une souche humaine et une souche aviaire [17, 18].
Bien sûr, ce phénomène ne peut se produire que si du matériel génétique provenant d'au moins deux virus se retrouve dans les mêmes cellules, ce qui est fort heureusement extrêmement rare dans la nature puisque cela implique que des mêmes cellules soient co-infectées par au moins deux virus. Mais sous l'effet de la main de l'homme, ce phénomène peut devenir beaucoup plus courant. C'est bien sûr le cas, comme mentionné précédemment, des plantes transgéniques dans lesquelles a été introduit un transgène viral où il suffit alors que ces plantes soient infectées par un seul virus pour que de tels évènements de recombinaison aient lieu. Mais c'est aussi le risque que l'on fait courir chez les humains dès lors que l'on génère des vaccins délivrant dans les cellules des patients de l'ARN ou de l'ADN viral. Les vaccins anti-Covid-19 de ce type faisant l'objet d'essais cliniques sont administrés en intramusculaire ou en intradermique. Les cellules cibles sont donc des cellules musculaires, des cellules de la peau, des fibroblastes (cellules du tissu conjonctif, c'est-à-dire du tissu de soutien qui enveloppe les organes, les tissus, et notamment les faisceaux musculaires) mais aussi des cellules du sang circulant et des cellules endothéliales (qui tapissent les vaisseaux sanguins), autant de cellules qui peuvent être la cible d'infections par d'autres virus. Par exemple des entérovirus (virus nus à ARN) ont été détectés dans des cellules musculaires [19], le virus Zika infecte les cellules de la peau [20], le Chikungunya a pour cible les cellules musculaires satellites (cellules souches du tissu musculaire) [21], mais aussi les cellules endothéliales et les fibroblastes [22]. Et ce ne sont là sans doute que quelques exemples...
RépondreSupprimerLa vaccination contre le Covid-19, si elle devient réalité, sera une vaccination de masse à travers le monde entier. La probabilité que ce genre d'évènements survienne est donc loin d'être nulle même si elle reste sans doute faible en termes de fréquence. Une telle vaccination de masse avec ce type de vaccins pourrait devenir une fabrique à grande échelle de nouveaux virus recombinants. N'oublions pas qu'il suffit qu'un seul nouveau virus apparaisse quelque part dans le monde pour que les conséquences sanitaires, environnementales, sociales, soient mondiales et colossales...
3.2. Le risque de mutagenèse insertionnelle (génotoxicité)
La mutagenèse insertionnelle est une mutation (modification de l'information génétique) par insertion d'une séquence à l'intérieur d'un génome, cette insertion pouvant alors inactiver ou modifier l'expression d'un ou plusieurs gène(s).
Ce risque de génotoxicité pour les cellules humaines cibles de la vaccination (dont le génome est bien sûr de l'ADN) ne concerne donc que les vaccins délivrant de l'ADN viral, que le vecteur soit un plasmide ou un virus génétiquement modifié. Toutefois, ce risque peut également concerner les vaccins délivrant de l'ARN par le biais d'un vecteur viral génétiquement modifié à ARN du type du virus du sida (VIH, très utilisé comme vecteur) si celui-ci n'a pas été correctement dépourvu de sa transcriptase inverse et du gène la codant. En effet, la transcriptase inverse virale peut alors convertir l'ARN délivré en ADN, lequel ira s'intégrer dans le génome des cellules cibles.
Les virus génétiquement modifiés sont également très utilisés à des fins de thérapies géniques pour délivrer dans ce cas la version normale d'un gène humain qui s'avère défaillant (muté) chez le patient traité. En 2002, trois ans après un essai de thérapie génique (chez des enfants atteints d'une immunodéficience sévère due à une mutation sur un gène du chromosome X) utilisant un virus à ARN génétiquement modifié comme vecteur, deux des 10 enfants traités ont développé une leucémie due à l'insertion de l'ADN réparateur délivré par le vecteur viral à proximité d'un proto-oncogène (gène de cancer), provoquant une perturbation sévère de l'expression de celui-ci [23]. Plusieurs études ont montré les effets de mutagenèse insertionnelle provoqués par différentes familles de virus à ARNs (dont le VIH) [24]. De même, plusieurs études réalisées chez des souris ont montré que la délivrance de gènes par des vecteurs dérivés du virus adéno-associé (AAV, petit virus à ADN non pathogène) résultent en une mutagenèse insertionnelle [25]. En 2016, une étude sur les effets génotoxiques des vecteurs viraux dérivés du VIH et du AAV, utilisés à des fins de thérapie génique, conclut que « une connaissance approfondie de la biologie virale et des progrès en génétique cellulaire sont nécessaires pour élucider la nature de la sélection des sites d'intégration des vecteurs viraux et les risques associés » [26].
RépondreSupprimer4. Risques spécifiquement liés à l'utilisation de vecteur viraux modifiés : immunotoxicité
Outre les risques d'apparition de virus recombinants et de mutagenèse insertionnelle (surtout lorsque le matériel génétique délivré est de l'ADN), les vecteurs viraux étant eux-mêmes immunogènes, ils peuvent engendrer d'importants effets d'immunotoxicité.
En 2002, une expérience pilote de thérapie génique, réalisée chez 18 garçons souffrant d'un grave trouble métabolique dû à un gène défaillant situé sur le chromosome X, a conduit au décès d'un jeune homme de 18 ans en raison d'une réponse inflammatoire systémique fatale provoquée par le vecteur viral (virus à ADN humain désarmé) : des séquences d'ADN du vecteur ont été retrouvées dans la plupart de ses tissus [27]. Le fait que les 17 autres individus traités n'ont absolument pas manifesté ce type de réponse montre à quel point ce risque est difficilement prévisible et donc maîtrisable. En Belgique, plusieurs essais cliniques d'immunothérapie pour lutter contre des cancers et utilisant un virus désarmé où plus de 15% de son génome a été remplacé par deux gènes humains (codant un antigène présent à la surface des cellules cancéreuses et une interleukine, protéine de communication entre cellules immunitaires) ont montré une activation non spécifique du système immunitaire liée au vecteur résultant en une réaction inflammatoire et une réponse auto-immune [28]. De nombreux autres études ont montré des effets d'immunotoxicité de divers vecteurs viraux utilisés à des fins de thérapie génique ou de vaccination [29-33]. Dans le cas des vecteur viraux utilisés à des fins de vaccination, l'immunité anti-vecteur peut aussi directement interférer avec l'efficacité vaccinale recherchée (l'immunogénicité du vaccin) [34].
V. Considérations générales relatives à l'évaluation des risques liés à ces vaccins
Le recours à des vaccins délivrant du matériel génétique viral (ADN ou ARN) est nouveau ou récent. L'utilisation de virus génétiquement modifiés comme vecteurs, notamment à des fins de thérapie génique ou d'immunothérapie a montré à quel point les effets indésirables sont variés, non maîtrisés et peuvent être graves. Si les tentatives de l'immunothérapie sont relativement récentes, les échecs de la thérapie génique depuis près de 35 ans sont là pour nous le rappeler. Ces échecs s'expliquent en grande partie par la recherche du scoop au détriment de l'efficacité et/ou la biosécurité. Une telle démarche ne permettra jamais de répondre à l'attente et aux besoins en termes de soin.
Mais l'utilisation de ces mêmes vecteurs à des fins de vaccination revêt encore une autre dimension. En effet, la thérapie génique ou l'immunothérapie concernent non seulement un nombre limité de personnes mais des personnes gravement malades. Par conséquent, non seulement les éventuels effets secondaires concernent un nombre restreint d'individus mais la gravité de leur état de santé et la situation d'urgence sanitaire dans laquelle ils se trouvent permet sans doute d'accepter une certaine prise de risques. Dans le cas de vaccins, nous sommes dans une démarche de prévention. Cela concerne donc un nombre considérable de personnes dont la grande majorité est en bonne santé (en tout cas vis-à-vis de la pathologie de laquelle le vaccin est censé nous protéger). Des effets secondaires non maîtrisés auraient donc des retombées considérables, surtout dans une campagne de vaccination de masse telle que celle destinée à lutter contre la Covid-19. Ces retombées pourraient être désastreuses sur le plan sanitaire bien sûr mais également sur le plan environnemental (dans le cas par exemple de la propagation de nouveaux virus recombinants : voir section IV. 3.1.) Et le fait qu'il s'agisse d'une démarche de prévention n'autorise aucune prise de risque.
RépondreSupprimerPar conséquent, ces candidats vaccins nécessitent une évaluation sanitaire et environnementale approfondie incompatible avec l'urgence, qu'il s'agisse de celle résultant de la pression des autorités décisionnelles et sanitaires ou celle des profits des industries pharmaceutiques embarquées dans cette course au vaccin. Dans sa note de cadrage du 23 juillet 2020 sur la stratégie vaccinale contre la Covid-19 [35], la Haute Autorité de Santé (HAS) déclare : « Dans le cadre de la pandémie de Covid-19, l'enjeu est donc de concevoir un vaccin le plus efficace et le plus sûr possible en un temps record ». Cette allégation est un non-sens et une aberration de la part d'une autorité telle que la HAS.
Les dangers liés aux caractéristiques des vecteurs viraux génétiquement modifiés ou à leur éventuelle dispersion ou dissémination doivent être traités dans le cadre d'une évaluation des risques environnementaux extrêmement contraignante.
Au contraire, les articles 2 et 3 du tout récent règlement européen 2020/1043 selon lesquels tout essai clinique de médicaments contenant des OGM ou consistant en de tels organismes et destinés à traiter ou à prévenir la Covid-19 échappe aux évaluations préalables sur la santé et l'environnement ouvre la porte au plus grand laxisme en termes d'évaluation et va totalement à l'encontre du principe de précaution.
De plus, ce règlement, remet en cause, de fait, la législation de confinement qui s'applique aux micro-organismes et aux virus génétiquement modifiés. Cette réglementation définit 4 niveaux de confinement (identifiés de 1 à 4, le confinement étant d'autant plus contraignant que le chiffre est plus élevé). La manipulation de virus pathogènes exige un confinement minimal de 2, très souvent de 3, voire 4. Les dispositions du règlement 2020/1043 ouvrent la porte à un confinement zéro avant même d'avoir apporté la preuve de la sécurité sanitaire et environnementale des virus génétiquement modifiés en question.
VI. Références
RépondreSupprimer1
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Source : CRIIGEN
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La fortune des milliardaires français a augmenté de 439 % entre 2009 et 2020
RépondreSupprimer11:02 28.12.2020
Après les Chinois, les milliardaires français ont connu la décennie la plus lucrative parmi les plus riches du monde: entre 2009 et mi-2020, leur fortune a augmenté de 439 %, à 443 milliards de dollars au total, selon un rapport.
Tandis que la pandémie semble marquer le début d’une décennie de dégringolade économique, celle qui s’achève a pourtant laissé les milliardaires bien plus fortunés qu’ils ne l’étaient. D’après un rapport UBS/PwC, la fortune des milliardaires français a bondi de 439 % entre 2009 et 2020.
Ce chiffre est toutefois largement dépassé par celui de la Chine, où les milliardaires ont vu leurs fortunes s’élever de 1.146 %. Aux États-Unis, première économie mondiale, la hausse est plus modeste à 170 %.
L’homme le plus riche d’Europe, le patron de LVMH Bernard Arnault, se trouve ainsi à la quatrième place des personnes les plus riches du monde, derrière Jeff Bezos, Elon Musk et Bill Gates. Sa fortune est estimée à 109 milliards de dollars, selon l’indice Bloomberg des milliardaires.
L’héritière de L’Oréal, Françoise Bettencourt Meyers, conserve le statut de femme la plus riche de la planète.
«En France, la crise des coronavirus a poussé les ultra-riches à se réveiller à la nécessité d’en faire plus, même dans un pays où la philanthropie à l’américaine est généralement considérée comme le travail de l’État», écrit Bloomberg.
LVMH et Tiffany s’acheminent finalement vers un mariage
Fin octobre, le joaillier américain Tiffany, pour sauver son mariage avec le géant mondial du luxe LVMH soudainement compromis à la fin de l’été, a accepté de baisser son prix.
Le prix de l’offre d’achat est ramené à 131,50 dollars par action, précisent les deux sociétés dans un communiqué, contre 135 dollars par action prévus initialement. À ce prix, LVMH bénéficie d’une remise de 425 millions de dollars, soit environ 3 % du prix d’achat initial de quelque 16 milliards de dollars (13,5 milliards d’euros).
L’époque des armes hypersoniques est «un cauchemar» pour l’Europe, selon Die Welt
RépondreSupprimer16:09 27.12.2020
L’apparition des armes hypersoniques est dangereuse pour la sécurité européenne, estime le journal allemand Die Welt, annonçant un nouveau tournant dans la «spirale de menaces».
Le début de l’époque des armes hypersoniques, face auxquelles les mécanismes actuels d’alerte et de défense s’avèrent inefficaces, présente une menace pour la sécurité européenne, a déclaré le journal Die Welt.
«Avec l'avènement des armes dites hypersoniques, les anciens systèmes d'alerte et de défense antimissile deviennent inutiles et le temps de riposte est considérablement réduit […]. C'est un cauchemar pour les responsables militaires et politiques. Mais en même temps, cela permet à l'industrie de la défense de compter sur de nouvelles commandes de plusieurs milliards de dollars. Il s'agit d'un nouveau tournant dans la spirale de menaces», indique le journal.
Le quotidien a rappelé l’alerte lancée le 12 décembre à la base de l’US Air Force de Ramstein, non loin de Kaiserslautern, suite à un tir d’entraînement de missiles intercontinentaux réalisé par un sous-marin russe depuis la mer d’Okhotsk. Or, il ne s’agissait pas d’armes hypersoniques, mais de missiles de type Boulava.
«L'alarme a été déclenchée à Ramstein après qu'un sous-marin russe a tiré quatre missiles balistiques intercontinentaux à quelques secondes d'intervalle. L'incident montre que les États-Unis n'excluent pas une attaque de missiles contre l'Europe et que les systèmes d'alarme sont constamment en état d’alerte. Les militaires sont maintenant confrontés à un type de menace fondamentalement nouveau.»
Un équilibre de forces entre les puissances nucléaires en danger ?
Selon le journal, les analystes du groupe de réflexion sur la politique étrangère (DGAP) basé à Berlin estiment que les armes hypersoniques peuvent perturber l’équilibre entre les puissances nucléaires et entraver les négociations sur le désarmement.
Alors que la Russie et la Chine sont en tête dans le domaine des armes hypersoniques, les États-Unis «font tout leur possible» pour combler l'écart, affirme Die Welt.
Toutefois, le développement d’armes hypersoniques américaines n’inquiéterait pas Vladimir Poutine, puisque la Russie possède le système de missiles antiaériens S-500 et «un missile intercepteur modernisé» qui sont des moyens de défense efficaces, note le journal.
Les USA en quête d’armes hypersoniques
RépondreSupprimerLe 25 décembre, Vladimir Ermakov, chef du département pour la non-prolifération et le contrôle des armements du ministère russe des Affaires étrangères, a déclaré à Sputnik que les États-Unis s'efforçaient d’acquérir un avantage militaire unilatéral, y compris grâce aux armes hypersoniques. Le diplomate a ainsi commenté les déclarations des États-Unis et de l'Australie sur le lancement d'un nouveau projet conjoint de développement d'armes hypersoniques à longue portée utilisant un statoréacteur.
Le 24 décembre, Air Force Magazine (AFM) a annoncé que le Pentagone avait raté la semaine dernière un test du premier missile air-sol hypersonique conçu dans le cadre du programme HAWC (Hypersonic Air-breathing Weapon Concept).
Projet d’un système hypersonique dirigé par la France
La France travaille également sur un système hypersonique, rappelle Die Welt. Le missilier européen MBDA, filiale commune d’Airbus (37,5 %), de BAE Systems (37,5 %) et de Leonardo (25 %), réalise le projet TWISTER (Timely Warning and Interception with Space-based TheatER surveillance).
Ce projet dirigé par la France réunit également l’Espagne, la Finlande, l’Italie et les Pays-Bas. D'ici 2030, il devrait permettre de créer un système reposant notamment sur un intercepteur endo-atmosphérique capable de détecter et détruire les missiles hypersoniques aux premières étapes de leur vol.
Hypersonique : l'arme secrète des guerres futures
RépondreSupprimer29/04/2020 16:59
Yannick Genty-Boudry
Les vitesses vertigineuses promises par les systèmes de propulsion hypersoniques sont devenues le cauchemar des états-majors occidentaux. Contre toute attente, Moscou et Pékin ont, en quelques années, rattrapé leur retard sur les Etats-Unis et se préparent, après des campagnes de tests fructueuses, à déployer simultanément des missiles capables d'atteindre des vitesses allant de Mach 5 à Mach 25.
Vitesses fulgurantes
Plusieurs technologies permettent désormais d’atteindre ces vitesses fulgurantes. Celles-ci se distinguent en fonction de la période à laquelle elles sont apparues, mais aussi en fonction de leur domaine d’application. Mais si certains missiles balistiques disposent très tôt de capacités hypersoniques, leurs trajectoires en cloche sont, elles, souvent prévisibles et donc interceptables. Tout l’enjeu consistera donc pour les militaires à disposer de véhicules capables d’effectuer des manœuvres radicales à ces vitesses sur une longue distance......
La Chine la plus avancée
Au regard des Russes et des Américains, les Chinois se sont lancés dans la course hypersonique tardivement. Ils sont pourtant aujourd’hui les plus avancés. Les premiers travaux destinés à créer un superstatoréacteur ont démarré au début des années 1990, avec les projets 921 et 863. Mais c’est le spécialiste de la propulsion hypersonique, Xingzhou Liu, qui parvient en 1998 à sensibiliser plusieurs sommités du Comité central sur l’importance stratégique de ce nouveau type de propulsion pour déborder les Etats-Unis. Plusieurs projets sont alors financés par la commission militaire spéciale, et Xingzhou Liu prend la direction en 2004 du Centre national pour la recherche hypersonique rattaché au groupe Casic.....
La France reste dans la course
En Europe, seule la France reste dans la course, puisqu’elle a confié à l’Onera et à MBDA, sous l’impulsion du général Denis Mercier et de Jean-Yves Le Drian, les travaux amont destinés à la réalisation de l’ASN4G qui devrait atteindre Mach 8, pour succéder à l’ASMP-A. Des travaux rendus possibles par les programmes antérieurs Prométhée et LEA qui avaient pour but de permettre la réalisation d’une propulsion mixte stato/superstatoréacteur. Mais le ministère des Armées a également confié à Arianespace le soin de réaliser un démonstrateur de planeur hypersonique, le V-Max, qui devrait effectuer son premier vol expérimental en 2021.....
https://www.air-cosmos.com/article/hypersonique-larme-secrte-des-guerres-futures-23023
Climat : Lettre ouverte au Professeur Etienne Klein
RépondreSupprimerle 28 décembre 2020
Au cours d’une de ses récentes conférences donnée dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne à Paris (lien), Etienne Klein, physicien et philosophe des sciences, a illustré l’un de ses propos en citant une expérience simple et contre-intuitive que je vais narrer ci-après. Prenez un morceau de marbre et un morceau de bois et demandez à un enfant (ou un adulte) lequel des morceaux, marbre ou bois, est le « plus chaud ». Invariablement on vous répondra que le morceau de bois est plus chaud. Pourtant ces deux corps sont à la même température, celle de la pièce où ils se trouvent. Prenez deux glaçons de même taille et disposez l’un d’eux sur le morceau de bois et l’autre sur le morceau de marbre. Que constate-t-on ? Le glaçon posé sur la plaque de marbre fond plus vite que celui posé sur la plaque de bois. Cette constatation contredit la perception de « chaleur » de chaque objet que l’on avait pourtant admise et qui aurait permis de dire que le glaçon posé sur le morceau de bois fondrait plus vite. Klein n’en dit pas plus sinon qu’il s’agit d’une différence entre les chaleurs massiques de ces deux corps, grandeurs directement liées à leur densité.
Au cours du même exposé Klein mentionne le réchauffement du climat provoqué par l’activité humaine, sous-entendu (mais il ne l’explicite pas) en raison de l’effet de serre du gaz carbonique produit par la combustion du pétrole, du gaz et du charbon. Si Etienne Klein était vraiment en conformité avec l’enseignement de physique qu’il a suivi au cours de sa jeunesse plutôt que d’admettre comme un dogme que l’activité humaine perturbe le climat il eut été plus correct pour lui d’effectuer une analyse de la théorie de l’effet de serre compréhensible pour tout public. Comme je l’ai écrit dans un précédent billet sur ce blog avec un verre de lait froid et une tasse de café chaud posés sur ma table en sapin de Suède (oui ! ma vieille table provient de Suède, je l’ai achetée chez un brocanteur local d’origine danoise et le Danemark est près de la Suède) pour bien comprendre l’ineptie de la théorie de l’effet de serre il suffit de se munir d’un détecteur d’infra-rouges. On en trouve dans une bonne boutique d’électronique pour moins de 30 euros …
Je reprends donc l’ « expérience » de la tasse de café et du verre de lait avec un détecteur à infra-rouges pour bien détailler ce qui se passe physiquement. Lorsque j’ai posé quelques instants la tasse de café sur la table de bois, je la déplace et avec le détecteur à IR je constate que l’endroit où se trouvait cette tasse sur la table rayonne plus d’IR que le bois se trouvant autour de cet endroit. Pourquoi ? Parce que la table a reçu depuis la tasse un rayonnement infra-rouge qu’elle restitue à l’air ambiant puisque cet air ambiant est maintenant plus froid. La température du bois qui n’a pas été chauffé par la tasse de café n’est ni plus froid ni plus chaud que l’air ambiant. Pour la tasse de lait froid, l’exact inverse est constaté avec la même sonde à IR, la table a cédé par rayonnement infra-rouge de la chaleur à la tasse de lait froid et l’aire où était posée la tasse de lait rayonne moins d’IR que le bois qui l’entoure. Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas écrit : il y a eu en effet transfert de chaleur via le rayonnement infra-rouge de la table vers la tasse de lait froid et transfert de chaleur de la tasse de café chaud vers la table plus froide. On ne parle plus de phlogistons (lien) comme au début du XIXe siècle alors que l’existence du rayonnement infra-rouge, rayonnement électro-magnétique constitué de photons, était inconnu. Le résultat est bien un refroidissement ou un échauffement de la table que l’on perçoit comme de la « chaleur » ou du « froid » en posant les doigts sur la table.
RépondreSupprimerCette simple démonstration, comme je l’ai déjà écrit dans un précédent billet, est une démonstration de la conséquence du deuxième principe de la thermodynamique qui stipule qu’il ne peut pas y avoir de transfert d’énergie thermique d’un corps froid vers un corps plus chaud, quel que soit le mécanisme physique de ce transfert. Et pourtant Etienne Klein soutient la théorie de l’effet de serre en totale contradiction avec ce principe fondamental de la physique. Avec mon détecteur à infra-rouges, si je vais dans la rue par une journée ensoleillée je constaterai invariablement que le sol est plus chaud que l’air ambiant en orientant ensuite horizontalement le détecteur, et si j’oriente ce détecteur vers le ciel alors je constaterai que l’air est encore plus froid que celui qui m’entoure et ceci est indépendant des conditions climatiques ou météorologiques du moment. Pour un physicien comme Etienne Klein réfuter le second principe de la thermodynamique me paraît inconcevable.
J’ajouterai une dernière remarque. Puisque « tous les scientifiques » s’accordent pour affirmer que le climat se réchauffe en raison de l’activité humaine la climatologie telle qu’elle est abordée par l’IPCC n’est plus une science mais une croyance, un dogme, qui « fait consensus » : il n’y a plus rien à discuter …
Cette attitude est contraire à l’esprit même de la science qui fait progresser les connaissances en remettant toujours en question ces dernières. Accepter les yeux fermés le consensus climatologique du réchauffement d’origine humaine est une négation de l’esprit même de la science mais, plus grave encore, de ses lois fondatrices comme celles de la thermodynamique. En affirmant que les plus hautes couches de l’atmosphère, plus froides que le couches inférieures, sont capables par rayonnement infra-rouge de réchauffer ces dernières est un négation flagrante du deuxième principe de la thermodynamique même si celui-ci a été formulé pour la première fois en 1824 par Carnot alors qu’on ne connaissait pas les photons ni l’existence des atomes. Si Etienne Klein lit ce billet qu’il me contacte … mais pour le dédouaner de cette erreur je pense qu’il confond climat, écologie, écosystèmes … une confusion, un amalgame, qu’ont avancé par leur idéologie les défenseurs de la nature qui ont fait de leur gagne-pain la crise climatique. Etienne Klein est un grand alpiniste de l’extrême et je comprends qu’il ait été séduit par cette idéologie perverse qui mélange des problématiques qui n’ont rien à voir les unes avec les autres. Est-ce que les bactéries dont la biomasse est 1100 fois plus importante (vous avez bien lu) que celle de toute l’humanité ont une influence sur le climat puisqu’elles dégagent aussi du gaz carbonique ? Faut-il pour autant toutes les éliminer ? Bonne question.
RépondreSupprimerhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Phlogistique
https://en.wikipedia.org/wiki/Second_law_of_thermodynamics#Carnot’s_principle
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/12/28/climat-lettre-ouverte-au-professeur-etienne-klein/
2020: l'année où nous avons perdu notre bon sens, notre courage et nos libertés civiles
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 28 DÉC.2020-23: 40
Rédigé par Robert Bridge via The Strategic Culture Foundation,
Une fois qu'il est devenu clair pour l'élite occidentale que leurs sujets accepteraient volontiers des mesures anti-Covid draconiennes, cela les a encouragés à inaugurer un style de vie rouge où il n'y aura pas de "retour à la normale '' dans un avenir prévisible et, peut-être, jamais.
Si rien d'autre, personne ne peut dire que nous n'avons pas été avertis de la folie qui allait s'abattre sur l'année bissextile 2020, ce qui en fait l'un des pires 366 jours jamais enregistrés sur le calendrier grégorien.
Le 18 octobre 2019, le Johns Hopkins Center for Health Security, en collaboration avec le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates a accueilli l'incroyablement visionnaire Event 201, un exercice qui simulait l'éclosion d'une pandémie «transmise par les chauves-souris à des personnes qui devient finalement… transmissible de personne à personne. »
La simulation s'est révélée si étrangement similaire à la réalité qui a commencé à peine trois mois plus tard - de l'imagination d'une baisse spectaculaire des voyages aériens et des affaires à des ruptures dans la chaîne d'approvisionnement mondiale - que Johns Hopkins s'est finalement senti obligé de publier une déclaration disant que leur L'exercice n'était pas destiné à être une prophétie d'événements futurs.
N'est-ce pas fou comment «la distance sociale pendant deux semaines pour que nos hôpitaux ne soient pas débordés» a évolué en «distance sociale jusqu'en 2022 jusqu'à ce qu'un vaccin soit développé ...»
- Liz Wheeler (@Liz_Wheeler) 26 avril 2020
«Pour être clair, le Center for Health Security et ses partenaires n'ont pas fait de prédiction lors de notre exercice sur table», lit-on dans le communiqué, dans ce qui pourrait bien être la mise en garde la plus effrayante qui soit.
«Pour le scénario, nous avons modélisé une pandémie fictive de coronavirus, mais nous avons explicitement déclaré que ce n'était pas une prédiction… Nous ne prévoyons pas pour l'instant que l'épidémie de nCoV-2019 tuera 65 millions de personnes.»
Peu de temps après que l'élite mondiale ait joué à Nostradamus, le 15 janvier pour être exact (le même jour, d'ailleurs, où les démocrates ont présenté des articles de destitution contre le président Donald Trump au Sénat), la première personne positive à Covid est arrivée à Seattle en provenance de Wuhan, la ville chinoise où la maladie aurait pris vie. De là, il y a eu un tour de montagnes russes non-stop de la folie parrainée par le gouvernement.
Avant de continuer, il est important de se souvenir du contexte dans lequel la pandémie s'est produite, c'est-à-dire lors de l'élection présidentielle américaine la plus importante de mémoire récente. Il n'est donc pas surprenant que les démocrates et les républicains utilisent le fléau pour obtenir une sorte d'avantage, démontrant l'opportunisme machiavélique à son meilleur. En effet, telle est la nature de la bête politique.
Par exemple, bien que Trump ait fermé la frontière américaine le 31 janvier aux ressortissants chinois, les démocrates et les médias de gauche ont bondi, affirmant que le dirigeant américain avait répondu trop tard pour faire une différence. Même l’utilisation du terme «virus chinois» par Trump a été qualifiée de «raciste» par ses opposants. Pendant ce temps, ce sont les démocrates eux-mêmes qui ont été les pionniers en prenant les premières mesures draconiennes de verrouillage de la société pour arrêter la contagion.
RépondreSupprimerLe 16 mars 2020, six comtés du nord de la Californie et la ville de Berkley ont commandé une commande de séjour à la maison sans précédent pour quelque 7 millions d'habitants de la région de la baie. Tout cela faisait partie de la logique «d'aplatissement de la courbe» qui «donnerait du temps aux hôpitaux pour se préparer à l'assaut…» Eh bien, 233 jours plus tard, les dirigeants politiques non seulement aplatissent toujours la courbe, mais aussi aplatissent leurs économies. Aujourd'hui, bien que le taux de survie des personnes infectées par Covid-19 soit d'environ 99,85%, des verrouillages sévères continuent de faire des ravages, notamment pour les petites entreprises.
Considérez la situation en Californie, où le gouverneur Gavin Newsom a mandaté une autre ordonnance de "refuge sur place'', qui a fermé, entre autres entreprises, salons de coiffure, services de soins personnels, cinémas, vignobles, bars, brasseries, famille centres de divertissement et parcs d'attractions. Ce qui est difficile à comprendre, cependant, c'est la façon dont les grandes surfaces corporatives sont considérées comme des «entreprises essentielles», apparemment à l'abri du fléau, tandis que le propriétaire de la petite entreprise est condamné à être consommable.
À titre d'exemple, considérons le sort tragique d'Angela Marsden, propriétaire de Pineapple Hill Saloon and Grill à Los Angeles. Dans un effort pour se conformer aux règles anti-Covid en constante évolution, Marsden a dépensé plus de 80 000 dollars pour construire une terrasse extérieure afin qu'elle puisse rester en affaires pendant la pandémie. Cependant, avec les dernières restrictions de verrouillage de Newsom, les responsables de la ville lui ont refusé la permission de servir les clients sur place, même dans le parking.
Pour ajouter l'insulte à la blessure, les autorités ont autorisé une société de cinéma à aménager un grand coin repas extérieur pour son personnel juste en face de l'endroit où Marsden avait construit sa terrasse.
«Je perds tout», s’est-elle exclamée dans une vidéo publiée sur Twitter qui a été regardée près de 10 millions de fois. «Tout ce que je possède m'a été enlevé. Ils ne nous ont pas donné d'argent et ils nous ont fermés. Nous ne pouvons pas survivre; mon personnel ne peut pas survivre… »
C'est criminel. Terminer BS !!! Je suppose que c'est de la «science» ! RT @ClayTravis: Regardez cette vidéo d'un propriétaire de bar de LA qui cristallise parfaitement l'absurdité des règles de fermeture absurdes et ridicules de Californie. pic.twitter.com/XVLmAVyy70
- Larry The Cable Guy (@GitRDoneLarry) 5 décembre 2020
Pour les entreprises du Fortune 500, cependant, la pandémie s'est traduite par une aubaine. Entre avril et septembre, à un moment où des milliers de petites entreprises se faisaient discrètement écraser, 45 des 50 sociétés américaines les plus précieuses cotées en bourse ont réalisé des bénéfices, selon le Washington Post.
Dans le même temps, au moins 27 des 50 plus grandes entreprises ont réduit leurs effectifs cette année, supprimant collectivement plus de 100 000 travailleurs, tout en distribuant des milliards de dollars aux actionnaires. À titre d'exemple, Walmart a distribué plus de 10 milliards de dollars à ses investisseurs pendant la pandémie tout en licenciant 1 200 employés de bureau.
Pour dire ces chiffres autrement, depuis la mi-mars - lorsque le président Donald Trump a déclaré une urgence nationale - les 614 milliardaires américains ont vu leur valeur nette exploser de 931 milliards de dollars au total. Jeff Bezos, par exemple, le fondateur et directeur général d'Amazon, a vu sa fortune privée passer de 73,2 milliards de dollars depuis le début de la crise à un record de 186,2 milliards de dollars.
RépondreSupprimerCe qui est bon pour toi n’est pas bon pour moi
Un fil ⬇️ https://t.co/42p9Yc2xY7
- Patriotic Candor (@PatrioticCandor) 3 décembre 2020
Il ne serait probablement pas surprenant que les personnes mêmes qui ont contribué à ouvrir la voie à la création de richesses astronomiques parmi les 1 % soient les mêmes qui enfreignent leurs propres règles. Le gouverneur Newsom et sa femme, par exemple, ont assisté à une fête d'anniversaire avec une douzaine d'amis au restaurant French Laundry à San Francisco. Tout aussi exaspérant est que Dustin Corcoran, le PDG de la California Medical Association, était également présent. Et qui pourrait oublier la photo de Nancy Pelosi marchant dans un salon de coiffure californien alors que ces entreprises étaient considérées comme des «super épandeuses»?
De tels incidents n'ont fait que renforcer l'idée que les verrouillages draconiens, dont les pires sont centrés sur les États contrôlés par les démocrates, ont été spécifiquement conçus non pas pour contenir une contagion, mais pour susciter autant de colère et de frustration parmi la population générale dans le plus conséquent présidentielle depuis de nombreuses décennies. Après tout, les gens malheureux ont tendance à rejeter leurs dirigeants qu'ils croient responsables de circonstances aussi désastreuses. Et avec les médias grand public presque totalement dans le camp démocrate anti-Trump, rejeter la responsabilité sur le président ne s'est pas avéré une tâche difficile.
Alors, où allons-nous partir d'ici ? Maintenant que nous sommes arrivés à la fin de 2020, la situation va-t-elle commencer à s'améliorer ? Les dirigeants politiques commenceront-ils à desserrer les vis et à laisser revenir un semblant de normalité ? Ou les gens seront-ils obligés de se lever et d'exiger le retour de leur liberté et de leur liberté ?
À cette grande impasse de l’histoire de l’humanité, on a beaucoup parlé de créer des «laissez-passer pour la liberté» qui seront exigés des gens avant qu’ils ne soient autorisés à voyager ou à visiter à nouveau tout type de divertissement.
«Les personnes dont le test de dépistage du coronavirus est négatif pourraient obtenir un laissez-passer de cinq jours pour assister à de grands événements ou accéder à des bâtiments publics, dans le cadre de plans envisagés par des experts en santé publique menant un programme d'essai en Angleterre», a rapporté Bloomberg en novembre.
Déjà, cinq compagnies aériennes mondiales - United Airlines, Lufthansa, Virgin Atlantic, Swiss International Air Lines et JetBlue - ont annoncé qu'elles observeraient le soi-disant CommonPass aux passagers sur certains vols à partir de décembre.
«Le projet, développé par le groupe à but non lucratif The Commons Project et soutenu par le Forum économique mondial, utilise un certificat numérique téléchargé sur un téléphone portable pour montrer qu'un passager a été testé négatif pour Covid-19», selon le Financial Times. Voici le kicker:
«Les compagnies aériennes ne rendent pas le CommonPass obligatoire, mais à terme, il sera également utilisé pour fournir une preuve de vaccination.»
Il semble plutôt évident où tout cela se dirige: la vaccination obligatoire pour quiconque souhaite monter à bord d'un avion ou visiter à nouveau un autre lieu de divertissement. Avec le temps, il n'est pas difficile d'imaginer un schéma vaccinal s'étendant à toutes les activités humaines, y compris les achats et même l'obtention d'un emploi. Pourtant, qu'en est-il des millions de personnes qui ont exprimé un scepticisme extrême face à l'administration d'un vaccin qui a été développé si rapidement ?
RépondreSupprimerQuoi qu’il en soit, si un tel plan d’action devenait obligatoire, la vie des gens serait entièrement dominée par la peur d’un virus, ainsi que par un processus bureaucratique sans fin consistant à être testé et approuvé pour se déplacer. Les vaccins deviendront une exigence régulière puisque les virus sont dans un état de mutation constante, ce qui en fait les autoritaires rêvés comme instrument de domination.
Un tel système de contrôle totalitaire, s’il devait un jour se concrétiser, aura réalisé en quelques mois ce que le fascisme n’a pas pu en des années: la pacification et l’unification d’une grande partie de la population mondiale non pas à la baïonnette, mais à la seringue. En fait, aujourd'hui, les Londoniens fuient leur belle ville non pas par peur du virus en soi, mais par peur des restrictions de verrouillage mises en place par les autorités. Pour le dire autrement, le monde a donné un pouce et les mondialistes ont pris un kilomètre, et il faudrait être idiot pour croire que cela aurait pu se passer autrement.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/2020-year-we-lost-our-common-sense-courage-civil-liberties