- ENTREE de SECOURS -



mardi 22 décembre 2020

Brève. Les fondement de la dictature sanitaire en Europe occidentale

 

 le 22 décembre 2020


Après avoir mis dans l’embarras de nombreux gouvernements et en particulier l’Union européenne mais également la France en déconseillant l’administration de Remdesivir (Gilead) comme traitement curatif du SARS-CoV-2, l’OMS enfonce le clou en dénonçant le peu de fiabilité des tests RT-PCR pour la détection des « cas » de SARS-CoV-2. En effet, afin de « gonfler le nombre de cas positifs » pour justifier les mesures coercitives imposées aux populations le test RT-PCR (reverse transcriptase-polymerase chain reaction) le nombre de cycles d’amplification préconisé par les autorités de santé gouvernementales est ridiculement élevé. Au delà de 25 cycles les résultats ne sont plus fiables, comprenez ils ne veulent plus rien dire, du genre Seralini si on peut dire les choses ainsi. Les laboratoires d’analyse ne sont pas équipés pour détecter la « vraie » présence du virus et le protocole utilisé pour ces tests nécessite un grand nombre de cycles d’amplification pour que la présence d’ARN viral puisse être effectivement détectable. Lorsque j’ai utilisé cette technique PCR au cours de mes travaux de recherche la confirmation finale de l’amplification était réalisée par électrophorèse qui permettait d’évaluer la taille de l’ADN amplifié ainsi que sa teneur dans l’échantillon initial par extrapolation. C’est la raison pour laquelle le Docteur Kary Mullis qui fut nobélisé pour sa découverte et la mise au point de la PCR (c’est bien féminin car il s’agit d’une réaction enzymatique !) mettait en garde les utilisateurs devant les faux positifs qui apparaissaient proportionnellement au nombre de cycles d’amplification et qu’en aucun cas un test PCR pouvait être considéré comme un diagnostic médical. C’est du « lourd » et Mullis l’a répété de nombreuses fois.

Mais l’augmentation astronomique du nombre de « cas » détectés par PCR arrange bien les gouvernements qui peuvent ainsi museler les récalcitrants et maintenir des populations entières dans un état de peur permanente pour mieux les manipuler et les dominer. Jamais je n’aurais imaginé il y a 30 ans que le test PCR servirait un jour d’instrument pour mettre en place des dérives politiques dictatoriales à la limite du fascisme. Il est possible que l’OMS se soit rendue compte de cet état de fait et a finalement décidé dans un bref communiqué en date du 14 décembre 2020 d’avertir ces mêmes autorités politiques en charge des questions de santé qu’ils en faisaient « un peu trop » ( https://www.who.int/news/item/14-12-2020-who-information-notice-for-ivd-users ). Déjà en 2009 les auteurs de manuscrits de recherche scientifique et médicale étaient mis en garde contre les possibles mauvaises interprétations des tests PCR mais visiblement les autorités politiques ont pris soin de l’ignorer pour mieux tromper les populations. Il faudra bien que ces malfaisants répondent de leurs actes un jour ou l’autre ( https://www.gene-quantification.de/miqe-bustin-et-al-clin-chem-2009.pdf ) car il s’agit de tromperies grossières.

L’apparition d’une nouvelle souche de SARS-CoV-2 d’origine britannique cette fois, ça change de la Chine, a réchauffé les velléités des gouvernements européens de réduire encore une fois les libertés individuelles des citoyens. Mais laissez-moi rire de ce nouveau psychodrame qui ébranle toute l’Europe à quelques jours des fêtes de fin d’année. L’IHU de Marseille, l’organisme de recherche médicale à la pointe des recherches mondiales relatives au SARS-CoV-2, a dénombré par moins de 6 souches nouvelles de ce même virus dont une petite épidémie locale provenant d’Afrique du Nord qui a disparu en quelques semaines.

Avec le gonflement artificiel du nombre de morts estampillés « coronavirus », l’utilisation abusive des tests PCR et l’apparition presque magique de nouvelles souches du virus pour raviver la peur des populations avec le relais des médias « main-stream » qui ont toujours un os à ronger, celui des subventions gouvernementales, cette pandémie est-elle finalement toujours aussi réelle qu’on veut bien nous le dire ? Tout à fait réel néanmoins est l’appétit insatiable des « Health Majors », comprenez « Big Pharma » qui a décroché le gros lot avec les vaccins, pas pour moi :


Source partielle : Off-Guardian.org et pour les curieux cet exposé de Reiner Fuellmich sous-titré en français : https://www.youtube.com/watch?v=asSSfQGd_u4 et l’extraordinaire exposé de l’anthropologue Jean-Dominique Michel « Covid-19, anatomie d’une crise » https://www.youtube.com/watch?v=8WGOobEHOos

https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/12/22/breve-les-fondement-de-la-dictature-sanitaire-en-europe-occidentale/

70 commentaires:

  1. PRISON A VIE !... pour le Peuple français !!

    Un état d’urgence sanitaire à vie ? Déposé en catimini ce lundi, un projet de loi fait craindre des dérives liberticides


    17:33 22.12.2020
    Par Thomas Arrighi


    Passé hier en procédure accélérée en conseil des Ministres, un texte vise à pérenniser l’état d’urgence sanitaire. Le gouvernement voit dans ce cadre législatif un moyen de mieux lutter contre le Covid. Pour certains, le scénario d’un glissement vers une restriction officielle des libertés individuelles doit être pris au sérieux.

    «Ce projet de loi va nous faire changer de paradigme», s’inquiète maître René Boustany au micro de Sputnik. Pour le cofondateur du Cercle droit et liberté, «l’état d’exception actuel va entrer dans le droit commun et devenir la norme», ce qui «est gravissime pour nos libertés». Une inquiétude partagée sur les réseaux sociaux depuis la présentation en Conseil des ministre, lundi, d’un projet de loi instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires.

    L'état d'urgence sanitaire prolongé en France pour une «période longue et difficile», annonce Véran
    Pour stabiliser l’état d’urgence actuel, le gouvernement entend instaurer un cadre législatif «dotant les pouvoirs publics des moyens adaptés» afin de faire face aux «situations sanitaires exceptionnelles». Parmi ces mesures, l’inscription dans la loi d’un «régime de crise sanitaire» calqué sur l’état d’urgence sanitaire actuel, mais agrémenté de mesures «dont l’expérience a révélé la nécessité». Assignation à résidence, interdiction d’ouverture de commerces, limitation voire interdiction de la liberté de circulation: autant de restrictions qui pourraient bien être intégrées au droit commun.

    «En clair, le gouvernement tente d’ancrer dans la loi des mesures prises depuis mars sous l’état d’urgence sanitaire, en les inscrivant dans le marbre législatif afin de les normaliser. Le plus grave, c’est que cela se fait sans débat et sans le moindre consentement de la population», explique maître René Boustany.
    L’état d’urgence sanitaire, en tant que mesure exceptionnelle, avait été décidé en Conseil des ministres en mars pour une durée d’un mois. Au-delà de ce délai, sa prorogation doit être autorisée par la loi, en passant donc devant le Parlement.

    Un état d’urgence généralisé pour l’avenir ?

    La loi du 14 novembre est la dernière en date à avoir autorisé une nouvelle fois la prorogation de l’état d’urgence sanitaire. Elle l’a prolongé jusqu’au 16 février 2021. Dans son projet de loi, le gouvernement se défend par avance de vouloir introduire l’état d’urgence sanitaire dans le droit commun afin de court-cicuiter le Parlement. Le texte prévoit, en effet, la mise en place de plusieurs dispositifs procéduraux contraignants à l’égard de l’exécutif.

    RépondreSupprimer
  2. ​Le déclenchement de ce nouveau «régime de crise sanitaire» devra être «déclaré par décret simple» afin de faire face à «une menace ou une situation sanitaire grave». Il sera renouvelable tous les deux mois «par décret en Conseil des ministres» et fondé sur «avis public du Haut Conseil de la santé publique». Enfin, le projet de loi prévoit que le Parlement sera mieux informé par «la remise d’un rapport» si l’état de crise sanitaire est déclaré «pendant plus de six mois».

    Ces précautions oratoires n’ont guère convaincu René Boustany. Selon, lui, le gouvernement use de cet «argumentaire textuel» pour dissimuler «un passage en force» et la normalisation d’un état d’exception.

    «Il saute aux yeux que ces restrictions sont très limitées», ajoute l’avocat. «L’avis [du Haut Conseil de la santé publique] n’aura rien de contraignant et il n’y aura aucun contrôle sérieux. Certes, textuellement, ce n’est pas du droit commun. Mais, dans la réalité, il suffira d’un décret en Conseil des ministres conforme à cette nouvelle loi pour passer en état d’urgence sanitaire pour une durée indéterminée.»

    Une procédure législative suspecte

    Le contenu du projet de loi interroge autant que le processus d’adoption amorcé par le gouvernement. Passé en procédure accélérée, le texte déposé hier soir à l’Assemblée nationale n’empruntera pas le circuit habituel de la navette parlementaire entre le Sénat et l’Assemblée nationale. Il ne fera l’objet que d’une lecture devant chaque chambre avant adoption. Pour René Boustany, si le texte sera «effectivement discuté par les deux chambres», il n’y aura toutefois que «très peu de retouches».

    «Des amendements seront proposés par l’opposition. La plupart seront rejetés par la majorité parlementaire, ajoute-t-il. Le projet de loi ne sera pas amandé sur le fond et l’esprit liberticide du texte sera maintenu.»
    En cas d’adoption, le texte pourrait néanmoins se voir retoqué par le Conseil constitutionnel, notamment en raison d’un passage spécifique. Le projet de loi prévoit de confier au Premier ministre la possibilité de «subordonner les déplacements des personnes» et «l'exercice de certaines activités» à la «présentation des résultats d'un test de dépistage», mais aussi «au suivi d'un traitement préventif, y compris à l'administration d'un vaccin ou d'un traitement curatif».

    ​Une telle disposition pourrait porter atteintes aux libertés individuelles et contredire la promesse du Président de la République de ne pas rendre le vaccin obligatoire en France. Pour maître Boustany, il est à prévoir que «la défiance envers l’autorité publique et les institutions» atteigne des sommets.

    RépondreSupprimer
  3. Covid 19 — Une pandémie plus médiatique et politique que meurtrière ? Bilan mondial chiffré pour 2020


    D. Delawarde — Breizh-Infos
    Sott.net
    lun., 21 déc. 2020 13:12 UTC


    En 2020, sur 218 pays ou territoires affectés par la pandémie, 12 pays seulement auront regroupé, à eux seuls, 71,2 % des décès Covid-19 de la planète. En 2020, 117 ou territoires (sur deux cent dix-huit) auront compté, en moyenne sur l'année, moins de 1 décès par jour du Covid-19 (moins de 365 décès sur l'année). En 2020, 174 pays ou territoires auront compté, en moyenne, moins de 10 décès par jour du Covid-19.

    Dans ces 174 pays ou territoires, les pertes Covid auront été tout simplement infinitésimales si l'on veut bien considérer que 75 % de ces décès auraient pu, ou dû, être attribués à un autre facteur de comorbidité, dont l'âge et les pathologies cardio-vasculaires.

    En 2020, 1 % des habitants de la planète aura été testé positif à la Covid-19 mais seulement 0,25 pour mille habitants en sera décédé (1 décès sur 4 000 habitants). Rien à voir avec les grandes épidémies des siècles passés... d'autant que ces décès ont majoritairement concerné des personnes âgées, voire très âgées, ayant une très faible espérance de vie.

    On ne le répétera jamais assez, cette pandémie aura été plus médiatique et politique que meurtrière. La meute médiatique mondiale aura été conduite par les médias occidentaux, tout simplement parce que l'Occident, mal préparé à ce genre « d'incident de parcours », aura subi l'essentiel des pertes et que le rapport à la mort n'y est pas le même que sur le reste de la planète. La vie d'un « occidental » n'a pas de prix...

    En Occident, on s'imagine peut être trop, et certainement à tort, que l'on va pouvoir prolonger la vie éternellement à force d'injection ou d'ingestion de produits « médico-dopants ». On s'acharne à vouloir prolonger, à tout prix, la vie de personnes très âgées, atteintes de multiples pathologies, toutes potentiellement mortelles. Ces personnes âgées ont déjà très largement dépassé l'espérance de vie moyenne de leur pays. En Occident, on « consomme » sans modération des médicaments pour un oui ou pour un non, et très souvent par confort. On se vaccine à qui mieux mieux au point que certaines personnes âgées quitteront notre planète avec plus de 60 injections vaccinales au compteur (le vaccin contre la grippe est annuel...). Est ce bien raisonnable ?

    L' « homo occidentalus » est très majoritairement « égocentrique ». Il ne voit pas toujours l'intérêt de s'occuper des malnutris, dont plus de 8 millions décèdent chaque année sur la planète, alors qu'il aurait les moyens de le faire. Il préfère investir dans la recherche et la consommation de produits pharmaceutiques dans le but de sauver ou prolonger « sa propre vie », ou dans les armements destinés à soumettre ceux qui n'adhèrent pas à « ses valeurs », proclamées « universelles », ou ceux qui refusent de servir « ses intérêts ».

    L'homo occidentalus, qui manque d'humilité, se prend trop souvent pour Dieu, capable de gouverner et de maîtriser toute chose. Cette épidémie de Covid-19 aura eu l'immense mérite de remettre cet homo occidentalus à sa juste place... celle d'un simple mortel. Mais cette épidémie aura constitué un véritable tsunami pour les grandes économies occidentales dont certaines gouvernances ont très clairement failli. Elle aura bouleversée les normes sociales et sociétales considérées comme acquises depuis très longtemps dans l'imagination populaire. Ses conséquences seront probablement plus durables que ne l'imaginent et le proclament les politiciens de l'Ouest, bardés de certitudes, qui comptent beaucoup sur un hypothétique grand « Reset » pour se « refaire une santé ».

    RépondreSupprimer
  4. Certains pays seront « déclassés » de manière irréversible. Les reconstructions ou refondations seront longues, à n'en pas douter, dans les pays les plus affectés (UE de l'Ouest et USA), et surtout dans les pays pour lesquels une trop large part des populations privilégie désormais le loisir au travail. Le monde « non-occidental » en tirera probablement profit pour bousculer les hiérarchies économiques et géopolitiques établies.

    Mais quid de cette épidémie en France ?

    L'examen du tableau ci-après permet à chacun de re-situer les effets de la pandémie dans le contexte de la mortalité française des quatre dernières années. S'il y aura bien une surmortalité relevée en 2020, celle ci ne semble pas dramatique, d'autant que les périodes de surmortalité sont généralement suivies de périodes de sous mortalité. Ceux qui sont décédés en 2020 ne seront plus en situation de pouvoir décéder à nouveau en 2021 ou 2022.

    - voir graphique sur site -

    Tableau de la mortalité mensuelle française toutes causes confondues de Janvier 2017 à décembre 2020.
    Pour relativiser l'importance des deux épisodes épidémiques 2020 en France, il faut se souvenir qu'au mois de Janvier 2017, pic épidémique de la grippe saisonnière de cette année là, le nombre de décès en France, toutes causes confondues, a été, selon l'INSEE, de 66 990. Ce nombre de décès était supérieur à celui d'avril 2020, pic épidémique de la crise Covid-19 : 66 956 décès. Nos médias et nos hommes politiques n'en avaient pas fait tout un fromage, nos structures hospitalières avaient tenu, et la France n'avait pas eu recours au confinement général du pays, solution moyenâgeuse, pour limiter la contagion et la létalité d'un virus grippal 2017 particulièrement meurtrier.

    Pour remettre la mortalité mensuelle française en perspective, il faut rappeler que celle-ci a varié, entre 2017 et 2020, entre un plus bas estival de 43 400 et un plus haut hivernal à 66 990, relevés en juillet et janvier 2017. Aucun des mois de l'année 2020 n'est sorti de ces limites, jusqu'à présent et le mois de décembre ne fera pas exception. À l'échelle de l'histoire, cette épidémie sera donc un non-événement « démographique », mais restera comme un bouleversement majeur de notre économie, de notre société et sans doute des grands équilibres géo-économique et géopolitique mondiaux.

    RépondreSupprimer
  5. 1 - La stratégie du confinement généralisé sauve-t-elle vraiment des vies et combien ?

    Toutes les projections apocalyptiques faites par les « scientifiques » (?) — ceux qui tiennent le haut du pavé et qui sont à l'origine des mesures de confinement général prises par certains gouvernements — se sont avérées fausses, et pas qu'un peu. Ceux ci prévoyaient, pour la Suède, 96 000 décès pour la fin avril, elle en aura compté douze fois moins sur l'année entière, sans jamais avoir confiné.

    Évoquons aussi le cas du Brésil, dont le Président Bolsonaro, très critiqué par les politiques et les médias français parce qu'il disait que le confinement était une solution de pays riche et qu'il n'en voulait pas pour son pays. En fin d'année 2020, le Brésil, grand pays latin comme la France, l'Espagne et l'Italie affichera un taux de mortalité bien inférieur à ceux de ces trois pays, champions du monde du confinement.

    - voir graphique sur site -

    Taux de mortalité par million d'habitants, depuis le début de l'épidémie, de 22 pays de plus de dix millions d'habitants (au 19 décembre 2020 0h00 GMT)

    À chacun de se demander si les intégristes du confinement n'ont pas appliqué, en définitive, un remède pire que le mal... pour un résultat manifestement peu probant partout où cette solution aura été appliquée sans nuance.

    Quid du bras de fer entre Gilead et ses obligés d'une part et l'IHU de Marseille d'autre part ?

    Quatre nouvelles pièces à conviction très intéressantes méritent d'être consultées par les internautes.

    1
    La revue mainstream allemande Der Spiegel, l'une des plus suivies du pays, admet que le faible taux de mortalité allemand s'explique par la liberté laissée aux médecins de ville de prescrire le traitement qui leur paraissait le plus adapté à l'état de leurs patients. Les médecins de ville allemands ont donc, dans la discrétion, massivement prescrit l'hydroxychloroquine : 1,8 millions de doses de chloroquine sur la période février et mars auraient été consommées, selon Der Spiegel qu'on peut difficilement accuser de complotisme. Le résultat est éloquent. Le taux de mortalité Covid par million d'habitants en Allemagne est de quatre fois inférieur à celui constaté en France. Les autorités sanitaires et la gouvernance française, dont une trop large part est corrompue par Big Pharma, ont donc interdit la prescription d'un médicament qui aurait pu diviser par quatre le nombre des décès. C'est la seule gouvernance au monde à l'avoir fait en s'appuyant sur une étude frauduleuse publiée puis rétractée par The Lancet. Sur les 60 000 décès attribués au Covid, en France, jusqu'à 45 000 vies auraient donc pu être sauvées, si l'on avait imité l'Allemagne.

    RépondreSupprimer
  6. 2
    Dans la vidéo ci-après, le point de vue exposé et surtout très argumenté par Laurent Mucchielli, directeur de recherche au CNRS mérite aussi d'être pris en considération. Le constat et les conclusions sont limpides et difficilement contestables.

    3
    Le professeur Philippe Brouqui nous explique « La très vilaine histoire du Remdesivir ». Il ne faut pas oublier que c'est bien pour promouvoir ce nouveau médicament que la chloroquine a été aussi vigoureusement combattue par les obligés de Gilead.

    4
    Enfin, le point de situation hebdomadaire de notre Panoramix national qui a su limiter l'hécatombe dans son agglomération gauloise et qui résiste, encore et toujours, aux assauts de ses détracteurs subventionnés par Big Pharma.

    Le point sur la situation au samedi 19 décembre 2020 0h00 GMT

    Depuis le début de l'épidémie :

    218 pays ou territoires ont été affectés par le virus, pour 76 millions de cas déclarés (+ 4,55 millions en une semaine) ;

    1,68 million décès (+79 721 en une semaine) et 53,242 millions guérisons (+ 3,6 millions en une semaine) ;

    21,052 millions de cas « actifs » (+ 857 000 en une semaine), dont 106 922 en état critique (+ 304 en une semaine).

    34 pays ont déclaré plus de 7 000 décès depuis le début de l'épidémie et comptent 91 % des décès. Voici le classement du plus grand nombre de décès au plus petit : USA, Brésil, Inde, Mexique, Italie, Royaume Uni, France, Iran, Russie, Espagne, Argentine, Colombie, Pérou, Allemagne, Pologne, Afrique du Sud, Indonésie, Belgique, Turquie, Ukraine, Chili, Roumanie, Canada, Équateur, Irak, Pays Bas, République Tchèque, Pakistan, Bolivie, Philippines, Suède, Hongrie, Bangladesh, Égypte.

    À l'échelle de la planète, la pandémie plafonne désormais à une moyenne de 11 400 décès/jour. Ce rebond est important mais n'a pas été brutal. L'aspect saisonnier de cette maladie virale semble vouloir s'inscrire dans la durée, comme il l'est pour la grippe. 79 721 décès « avec » le Covid en 1 semaine, c'est 2 800 de plus que la semaine dernière.

    Ce rebond affecte principalement les USA et l'Europe, plus particulièrement l'Europe de l'Ouest, où les populations âgées et fragiles abondent et sont, chaque année, les premières victimes des rigueurs hivernales. Les cas critiques (106 922) sont stables. Avec près de 4,55 millions de nouveaux cas déclarés cette semaine, le rythme de contamination est stable lui aussi.

    RépondreSupprimer
  7. L'épidémie reste largement à la portée des États qui disposent d'un appareil de santé quantitativement et qualitativement de bon niveau et dont les gouvernances ne paniquent pas.

    La circulation du virus poursuit sa hausse en Europe mais celui ci se révèle beaucoup moins létal qu'en avril dernier : (plus de 1,48 millions de nouveaux cas en une semaine), plus de 12 millions de patients en cours de traitement (si l'on tient compte des pays qui ne les déclarent plus : UK, Espagne, Suède et Pays Bas) ; 26 477 cas critiques (- 1 000 en 1 semaine) pour 34 734 décès en une semaine (nombre stable par rapport au bilan de la semaine précédente).

    L'épidémie s'est stabilisée en Asie de l'Ouest (Inde, Bangladesh, Pakistan, Arabie Saoudite, Irak, Iran). Elle marque le pas en Afrique (Afrique du Sud, Égypte). Au rythme actuel d'évolution de l'épidémie les caps des 80 millions de cas et des 1,8 million de décès devraient être franchis le 31 décembre 2020, ce qui représentera, à très peu près, 2,9 % des décès de l'année 2020 sur la planète.

    L'évolution des pertes déclarées des semaines écoulées se résume en un tableau. À sa lecture, on réalise à quel point la mortalité reste très faible et recule en Océanie et en Asie de l'Est, reste faible et se stabilise en Afrique, en Asie de l'Ouest et en Amérique latine, et plafonne à un niveau plus élevé en Europe et aux États-Unis. Les nouveaux épicentres de l'épidémie ont indiscutablement re-basculé vers l'Europe (plus particulièrement vers l'UE de l'Ouest) et vers les USA. Si la situation semble désormais s'améliorer en Europe, elle se détériore toujours sévèrement aux USA.

    - voir graphique sur site -

    Covid Bilan 2020 - Tableau 1

    Au cours de la semaine écoulée, les USA ont déclaré 4 fois plus de décès que l'Italie et 3 fois plus que le Brésil. Les épicentres de l'épidémie sont désormais l'Europe de l'Ouest et l'Amérique septentrionale. Sur les 79 721 décès de la semaine écoulée, 34 734 sont européens, 18 749 sont US ou Canadiens, 13 449 sont latino-américains, et 10 131 sont asiatiques.

    Bilan actuel du nombre de cas et de décès par grande région du monde

    Les bilans les plus lourds de la journée d'hier ont été ceux des USA, de l'Allemagne, du Brésil et du Mexique. Ces quatre pays ont déclaré hier, à eux seuls 48,5 % des nouveaux cas, 41,6 % des nouveaux décès et 42,3 % des cas critiques de la planète.

    - voir graphique sur site -

    Covid bilan 2020 - Tableau 2

    L'Océanie, l'Afrique et l'Asie enregistrent des taux de mortalité encore très faibles et une part des pertes mondiales de 22,5 % alors qu'elles regroupent 77 % de la population. L'Europe et le continent américain (Nord et Sud) enregistrent 77,5 % des pertes pour moins de 23 % de la population mondiale. Les parts de l'Europe et de l'Amérique Septentrionale vont désormais augmenter, celle de l'Afrique, de l'Amérique latine, et de l'Asie (de l'Ouest) vont donc se réduire.

    RépondreSupprimer
  8. Pour relativiser encore et toujours les bilans humains de cette pandémie 2020, il convient de rappeler qu'il y a déjà eu, depuis le début de l'année 2020, en onze mois et trois semaines, 135 millions de naissances, 41,2 millions d'avortements et 56,9 millions de décès dans le monde dont :

    16,7 millions de décès liés aux pathologies cardio-vasculaires ;

    10,4 millions de décès liés à la malnutrition ;

    8 millions de décès liés au cancer ;

    4,85 millions de décès liés au tabagisme ;

    3,8 millions de maladies respiratoires non transmissibles (MNT) ;

    2,42 millions de décès liés à l'alcool ;

    1,8 million de décès du diabète ;

    1,68 million décès « avec » le Covid-19 ;

    1,6 million de décès de la tuberculose ;

    1,31 million de décès d'accident de la circulation ;

    1,05 million de suicides.

    en plus des personnes décédées naturellement (et majoritairement) de vieillesse !

    Ces données sont des estimations tirées des statistiques annuelles de l'OMS et rapportées à la période considérée (11 mois et 18 jours).

    On pourrait y rajouter les décès liés à d'autres maladies infectieuses (hors Covid) qui se comptent par millions et les décès liés directement et indirectement aux ingérences militaires ou aux sanctions économiques de pays occidentaux dans les zones du proche et moyen-orient ou en Amérique Latine.

    Toujours pour relativiser, voici la comparaison avec les autres grandes épidémies mondiale du siècle dernier :

    - voir graphique sur site -

    Tableau grands épisodes grippe depuis 1918

    Enfin, la France enregistre, en moyenne d'octobre et novembre, 12 200 décès par semaine, toutes causes confondues. La semaine dernière, 2 662 personnes, la plupart très âgées, sont décédées « avec » le Covid-19 ce qui représente, à peu près, 21,8 % des décès de la semaine.

    S'agissant des décès Covid, il convient de rappeler que les nombres déclarés sont très incertains... Les exemples du Royaume Uni qui soustrait 5 303 décès à son total le 12 août ou de l'Espagne qui a fait de même en juin dernier, de la Colombie, de la Bolivie, de l'Argentine et du Mexique qui rajoutent quelques milliers de décès à leur bilan depuis début septembre, sont là pour le prouver. Certains pays en développement n'ont pas les moyens de collecter des informations fiables. D'autres sous estiment le nombre de décès en oubliant, par exemple, volontairement ou non, de comptabiliser les décès à domicile, d'autres surestiment fortement ce nombre en attribuant au seul Covid, les décès de très nombreux patients souffrant de multiples pathologies (dont « le grand âge »). Plusieurs de ces pathologies, autres que le Covid ont souvent été la cause première du décès.

    RépondreSupprimer
  9. Situation par continent, sous continent, et pays les plus affectés

    1 — L'Amérique latine

    Avec près de 481 702 décès déclarées, l'Amérique latine n'est plus la partie du monde la plus affectée par l'épidémie pour le nombre total de décès. Elle est désormais devancée par l'Europe. Elle est aujourd'hui la deuxième pour le taux de mortalité par million d'habitants derrière les USA.

    En Amérique latine, les pertes humaines se concentrent dans onze états qui déclarent près de 98 % des décès « latinos » et plus de 2 400 décès chacun. Les autres pays des Caraïbes et d'Amérique du Sud restent encore relativement épargnés par l'épidémie.

    - voir graphique sur site -

    Tableau covid bilan 2020 Amérique latine

    La situation du Brésil se détériore à nouveau. Le nombre des décès quotidiens reste derrière celui des USA et proche de 800.

    Au Mexique, le nombre de décès de la semaine passée a été de 4 161. Il est stable.

    2 — L'Asie

    L'Asie de l'Est et du Sud-Est (Chine, Japon, Vietnam, les deux Corées, Taïwan, Philippines, Indonésie, Laos, Cambodge, Malaisie, Birmanie...) est très peu touchée par la pandémie. La Chine continue de bien se porter. Avec moins de 100 nouveaux cas déclarés en une semaine, 304 patients encore sous traitement dont 8 cas sérieux, aucun nouveau décès déclaré depuis avril, elle a quasiment éradiqué l'épidémie sur son sol. Depuis le début de l'épidémie, l'Indonésie, pays le plus touché d'Asie de l'Est enregistre un taux de mortalité dérisoire de 71 décès par million d'habitants. Taïwan, pays le moins touché et qui n'a jamais confiné, déclare un taux de mortalité de 0,3 par million d'habitants (7 décès du Covid pour 24 millions d'habitants). Le Japon, quant à lui, déclare 2 783 décès pour 126 millions d'habitants soit 22 décès/million d' habitants.

    C'est donc l'Asie de l'Ouest (Inde, Iran et pays voisins du Moyen-Orient) qui enregistre l'essentiel des pertes en Asie. À noter que l'Iran est toujours un pays sous sanctions économiques « maximales » de la part des USA (au profit d'Israël) et enregistre le 2e taux de mortalité le plus élevé d'Asie, derrière l'Arménie qui a cumulé la guerre et le Covid, à 631 décès/million d'habitants. Ce taux reste toutefois très inférieur aux taux des continents américains et de l'Europe de l'Ouest.

    - voir graphique sur site -

    Tableau des douze pays d'Asie ayant dépassé les 2 800 décès (91,1% des pertes en Asie)

    Tableau des douze pays d'Asie ayant dépassé les 2 800 décès (91,1% des pertes en Asie)

    RépondreSupprimer
  10. 3 — L'Amérique septentrionale

    Les USA déclarent encore 35 % des nouveaux cas de Covid de la planète. Ils ont aussi déclaré 19,1 % de la totalité des pertes de l'épidémie (Chine 0,28 %).

    Le nombre des décès hebdomadaires s'inscrit en hausse de 4 % par rapport à la semaine précédente à 17 996. Le nombre de patients en cours de traitement excède les 7,18 millions et continue d'augmenter (+690 000 en 1 semaine). Celui des cas critiques à 28 107 augmente lui aussi. L'épidémie semble donc repartir aux USA qui resteront à la première place mondiale pour le nombre des décès. Celui-ci devrait dépasser les 325 000 décès en fin d'année 2020, soit plus de 70 fois les pertes déclarées par la Chine...

    Au Canada, l'épidémie a repris de la vigueur avec 753 décès pour toute la semaine écoulée. Son taux de mortalité depuis le début de l'épidémie reste deux fois et demi moindre que celui des USA. Le nombre de cas critiques déclarés est de 676. Il est en hausse, mais ces nombres restent très faibles.

    4 — L'Afrique

    La mortalité liée au Covid y a été dérisoire. À l'exception de l'Afrique du Sud, la chloroquine y a été massivement employée pour traiter les patients. C'est d'ailleurs l'Afrique du Sud qui a payé le prix le plus fort avec 36,3 % des cas et 41,6 % des décès du continent.

    - voir graphique sur site -

    Covid bilan 2020 pour l'Afrique

    Avec l'Égypte, le Maroc, la Tunisie, l'Algérie, l'Éthiopie et le Kenya, seuls autres pays d'Afrique à dépasser les 1 410 décès déclarés, elle regroupe plus de 83 % des décès africains déclarés.

    5 — L'Europe

    Une détérioration forte, mais plus progressive qu'en avril, de la situation épidémique peut y être constatée. 24 626 des 34 288 décès européens déclarés cette semaine le sont dans une poignée de pays avec, dans l'ordre : l'Italie 4 507, l'Allemagne 4 112, la Russie 3 869, le Royaume Uni 3 035, la France 2 662, la Pologne 2 597, l'Ukraine 1 501, l'Espagne 1 302, La Roumanie 1 041. Pour les 39 autres pays ou territoires européens, la hausse du nombre des décès est beaucoup moins sensible. Ces nombres restent plus faibles que ceux du pic épidémique d'avril dernier pour une majorité de pays.

    La situation du Royaume Uni est stable. Le nombre des cas critiques stagne à 1 340 (mais plus de deux fois inférieur à celui de la France). Le niveau des pertes hebdomadaires est stable à 3 035 décès déclarés en une semaine, ce qui reste faible par rapport au pic épidémique d'avril. Le bilan total des pertes est, désormais le deuxième plus élevé d'Europe derrière l'Italie. Il a passé les 66 500 mais devrait dépasser les 70 000 décès en fin d'année (quinze fois le bilan de la Chine).

    La situation de l'Italie s'améliore : baisse des cas critiques à 2865 (- 400 en une semaine). Le nombre des nouveaux cas hebdomadaire (+ 100 000 en 1 semaine) est important mais inférieur à celui de la semaine dernière ; celui des patients sous traitement diminue fortement (- 55 000 en une semaine). Le nombre des décès reste encore le plus important d'Europe à plus de 4 500 en une semaine .

    La situation de la France s'améliore doucement. Son nombre de patients sous traitement a placé la France en deuxième position mondiale derrière les USA pour cet indicateur avec près de 2,2 millions de cas actifs. Mais les deux indicateurs les plus pertinents sont le nombre de cas critiques qui est en légère baisse (- 76 en une semaine) et le nombre de décès hebdomadaire qui est lui aussi en légère baisse (- 200 par rapport à la semaine dernière).

    Pour le nombre des décès, la France a passé hier le cap des 60 500 décès. Elle pourrait franchir celui des 65 000 avant le 1er janvier 2021.

    RépondreSupprimer
  11. L'analyse des deux courbes qui suivent montre que nous avions très peu de cas et beaucoup de décès en première semaine d'avril (pic épidémique) et que nous avons maintenant huit fois plus de cas et deux fois moins de décès... Il y a donc bien une deuxième vague de « cas » beaucoup plus haute que la première (parce que nous testons enfin beaucoup). Mais la deuxième « vague » de décès est plus progressive, moins haute et a déjà bien amorcé sa décrue.

    - voir graphique sur site -

    Courbes décès France Covid 2e vague

    La courbe ci-dessous montre les décès quotidiens (en barre grise) et la moyenne quotidienne sur 7 jours (en orange) depuis le 1er jour de l'épidémie. On peut distinguer l'ampleur d'un rebond plus progressif qu'en avril.

    Le taux de mortalité Covid est, à ce jour, de 923 décès par million d'habitants (hors décès à domicile), pour une moyenne mondiale de 215,5. Pour le nombre des décès, la France reste à la troisième place européenne (sur 48 pays ou territoires) derrière le Royaume Uni et l'Italie.

    - voir graphique sur site -

    Décès Covid France par jour

    S'agissant de la « létalité » Covid (nombre de décès/nombre de cas confirmés), la France affiche un taux de 2,47 %, grâce aux campagnes massives de tests qui dépistent de nombreux porteurs sains. (Pour mémoire la létalité Covid européenne est de 2,31 % et la létalité Covid mondiale est de 2,21 %) .

    Pour tous les hôpitaux publics de Marseille (IHU et HP-HM) sur 20 173 cas confirmés et traités depuis le début de l'épidémie, la létalité est de 461 décès soit 2,29 %, tous traitements confondus (données du 1er décembre).

    À l'IHU de Marseille, sur les 8 818 patients traités à l'hydroxychloroquine en début de maladie, 46 sont décédés (létalité de 0,52 %).

    46 % des français ont été testés, pour la majorité d'entre eux depuis le premier déconfinement. Les Allemands ont testé 38,1 % de leur population, les Italiens 41,2 %, les Portugais 50,1 %, les Russes 58,2 %, les États-uniens 69,3 %, les Danois 157 % (certains ont donc déjà été testés deux fois) en appliquant les tests dès le début d'épidémie. Grâce à l'effort bien tardif consenti depuis 3 mois, la France est désormais à la trente-deuxième place mondiale pour le nombre de tests par million d'habitants.

    La France est désormais, de très loin, le pays d'Europe qui déclare le plus de cas actif (plus de 2,2 millions). Ce nombre est toujours en augmentation (+ 82 000 en une semaine). Pour cet indicateur, la France reste deuxième au monde derrière les USA et devant l'Italie. Elle a largement dépassé la Russie qui ne compte plus que 512 000 cas actifs). Mais les cas sont bénins dans leur grande majorité et ne nécessitent pas tous une hospitalisation.

    La France est encore à la traîne en matière de guérisons déclarées (7,5 % des cas confirmés). C'est à croire qu'elle ne déclare pas les guérisons des cas bénins qui se soignent à domicile, et donc, qu'elle n'en fait pas le suivi... Elle fait moins bien que la Russie qui en a guéri 79,9 %, que le Maroc qui en a guéri 90,4 %, que le Sénégal qui en a guéri 93,7 % (à noter que ces trois pays ont utilisé, avec plus de cinquante autres pays, des protocoles de traitement inspirés de celui de l'IHU de Marseille). Le taux mondial de guérison des cas confirmés est aujourd'hui de 70,1 %, alors même qu'une majorité de pays sont entrés bien après la France dans l'épidémie. Le taux de guérison africain est de 84,2 %, le taux asiatique est de 91 %, le taux de guérison de l'Amérique septentrionale est de 58,8 % Le taux européen n'est que de 47,5 % : il devrait être bien meilleur à ce stade de l'épidémie... La France est donc, avec la Belgique, le pays qui tire le plus cet indicateur européen vers le bas.

    RépondreSupprimer
  12. La situation de l'Espagne continue de s'améliorer. Elle déclare 76 009 nouveaux cas, 1 302 décès, mais une réduction de 180 cas critiques en une semaine. Tous ces indicateurs marquent une amélioration même si l'Espagne reste, après l'Allemagne, l'Italie, la France et la Russie, le pays qui compte encore le plus de cas critiques en Europe (1 920).

    La situation de l'Allemagne se détériore encore progressivement : Le nombre de cas actifs augmente de 30 000 en une semaine et celui des cas critiques augmente de 400 et place l'Allemagne en première position pour cet indicateur en Europe. Le nombre des décès hebdomadaires augmente sensiblement (+ 4 112). C'est la pire semaine qu'a connu le pays depuis le début de l'épidémie. L'Allemagne compte, aujourd'hui, près de 6 fois moins de patients en cours de traitement, mais 2 091 cas critiques de plus que la France. Pour autant, elle enregistre un taux de mortalité par million d'habitants 3 fois inférieur à celui de la France sur toute l'épidémie.

    Avec un taux de mortalité de 1 582 décès par million d'habitant, la Belgique est et restera le leader mondial pour cet indicateur (hors micro-états). Le nombre de nouveaux cas y est élevé pour un pays de 11 millions d'habitants (+ 17 807 en une semaine). Le rythme de contamination ne diminue plus. Le nombre de patients sous traitement continue d'augmenter (557 431 aujourd'hui soit + 15 500 en une semaine). Il est, lui aussi, très élevé au regard de la population puisqu'il est supérieur à celui de la Russie, pays de 146 millions d'habitants et qu'il représente près de 5 % de toute la population belge. Le nombre de cas critiques est en légère baisse (- 86 en une semaine). Le taux de guérison belge reste le plus faible au monde mais s'améliore tout de même légèrement (6,9 % seulement des cas déclarés à ce jour, ce qui signifie probablement qu'elle ne suit pas les cas non hospitalisés qui guérissent seuls, chez eux). La Belgique reste donc, avec l'Espagne, la France et l'Italie le foyer le plus actif de l'épidémie en Europe de l'Ouest. À noter que les Belges déclarent les décès Covid à domicile, ce que ne font pas certains de ses voisins.

    En Russie, un rebond sensible de l'épidémie a pu être observé depuis le 15 Octobre : 58,2 % des habitants ont été testés, ce qui représente le troisième taux de dépistage pour les pays de plus de 10 millions d'habitants, d'où un nombre encore élevé de nouveaux cas déclarés (193 502 en une semaine). Avec 513 000 patients sous traitement, la Russie se place en 6èe position derrière les USA, la France, le Brésil, l'Italie et la Belgique. Ce nombre s'inscrit encore en très légère hausse sur les deux dernières semaines.

    Le nombre des décès quotidiens russes a culminé à 613 décès le 11 décembre. Le taux de mortalité russe par million d'habitants a atteint les 341 mais il reste encore près de trois fois inférieur à celui de la France (922).

    Parce qu'elle détecte vite, isole et traite sans attendre, et parce qu'elle applique une stratégie et un protocole inspirés de ceux de l'IHU de Marseille, la Russie a déjà guéri près de 80 % de ses cas confirmés soit près de 2,23 millions de patients. Elle est pourtant entrée dans la ronde épidémique un mois après la France qui ne déclare guéris que 7,5 % de ses cas confirmés soit 182 552 patients (plus de douze fois moins).

    La Russie n'a donc pas trop mal géré la crise de la Covid-19 jusqu'à présent.

    RépondreSupprimer
  13. 6 — L'Océanie

    L'épidémie y est quasiment terminée. Ce continent a été et reste encore très largement épargné. Sur 42 millions d'habitants, il a déclaré, à ce jour, 47 193 cas dont 33 267 ont déjà été guéris. Il reste 12 882 cas « actifs » dont 20 seulement en état sérieux ou critique. Le continent océanien a déclaré 10 décès cette semaine. Son taux de mortalité Covid est de 24,9 décès par million d'habitants (France : 922).

    Les taux de mortalité Covid par million d'habitants, présentés ci après, des 34 pays ayant dépassé les 7 000 décès de la Covid-19 en 2020, (20 décès/jour) donnent une idée des zones géographiques et/ou quels sont pays les plus touchés.

    - voir graphique sur site -

    Tableau taux mortalité covid des pays de plus de 7 000 décès

    Un tableau présente ci après les bilans du 19 décembre 0h00 GMT des 34 pays ayant déclaré plus de 7 000 décès (90,6 % des pertes)

    - voir graphique sur site -

    Tableau des 34 pays avec plus de 7 000 décès

    Rappel : Le taux de mortalité du Covid au niveau mondial est de 215,5 décès/million d'habitants et il est au niveau européen de 649 décès/million d'habitants.

    — Général (2s) Dominique Delawarde —

    Source de l'article publié le 21 décembre 2020 : Breizh-Info

    https://fr.sott.net/article/36413-Covid-19-Une-pandemie-plus-mediatique-et-politique-que-meurtriere-Bilan-mondial-chiffre-pour-2020

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. (...) Rappel : Le taux de mortalité du Covid au niveau mondial est de 215,5 décès/million d'habitants et il est au niveau européen de 649 décès/million d'habitants. (...)

      Prendre cette rumeur avec des pincettes de 150 m de long car, sont étiquetés 'corona' toutes personnes décédées de vieillesse, cancer, diabète, accident, suicide, etc !!

      Et, notons bien que tous les morts du 'corona' auraient pu être évitées à 100 % s'ils avaient pris de l'hydrochloroquine !

      Supprimer
  14. Le journal Johns Hopkins supprime une étude sur le taux de mortalité COVID


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 22 DÉC 2020-11: 30
    Rédigé par Benjamin Zeisloft via Campus Reform,


    Le journal étudiant de l'Université Johns Hopkins, le News-Letter, a rapporté une présentation de l'université déclarant que le COVID-19 «n'avait aucun effet sur le pourcentage de décès de personnes âgées» et que le virus «n'a pas non plus augmenté le nombre total de décès» dans comparaison avec des données historiques. Cependant, le journal a par la suite retiré l'article, déclarant qu'il avait été utilisé pour soutenir des «inexactitudes dangereuses» sur les réseaux sociaux.

    La directrice adjointe du programme d’économie appliquée de l’université, Geneviève Briand, a analysé de manière critique l’effet net du COVID-19 sur les décès aux États-Unis sur la base de données historiques. En utilisant les informations du Center for Disease Control and Prevention, Briand a identifié les pourcentages de décès totaux par catégorie d'âge avant et après le début de la pandémie.

    «Étonnamment, les décès de personnes âgées sont restés les mêmes avant et après le COVID-19», a déclaré l’article du News-Letter.

    «Étant donné que le COVID-19 affecte principalement les personnes âgées, les experts s'attendaient à une augmentation du pourcentage de décès dans les groupes plus âgés. Cependant, cette augmentation n'apparaît pas à partir des données du CDC. En fait, les pourcentages de décès parmi tous les groupes d'âge restent relativement les mêmes. »

    Bien que les décès dans des catégories comme les maladies respiratoires et les maladies cardiaques augmentent et diminuent de façon saisonnière aux États-Unis, Briand a remarqué une étrange tendance.

    «Au lieu de l'augmentation drastique attendue pour toutes les causes, il y a eu une diminution significative des décès dus aux maladies cardiaques», en plus de «toutes les autres causes». De plus, «la diminution totale des décès dus à d'autres causes équivaut presque exactement à l'augmentation des décès dus au COVID-19».

    «Tout cela ne montre aucune preuve que le COVID-19 a créé des décès excessifs. Le nombre total de décès ne dépasse pas le nombre normal de décès. Nous n'avons trouvé aucune preuve du contraire », a conclu Briand dans sa présentation. Elle a déclaré au News-Letter qu '"une diminution du nombre de crises cardiaques et de toutes les autres causes de décès ne nous donne pas le choix mais de signaler une classification erronée."

    Le News-Letter a supprimé l'article fin novembre après que le personnel a découvert que sa couverture de l'étude était «utilisée pour étayer des inexactitudes dangereuses qui minimisent l'impact de la pandémie». Le journal a lié un PDF de l'article original avec un filigrane indiquant «Retracté par la lettre d'information» à une déclaration expliquant la décision.

    La News-Letter a expliqué qu'elle avait pris la décision de manière indépendante et encouragé les lecteurs à prendre l'article «dans le contexte des innombrables autres données publiées par Hopkins, l'Organisation mondiale de la santé et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC)».

    RépondreSupprimer
  15. Le personnel de la News-Letter a renvoyé Campus Reform à un éditorial rédigé le 3 décembre par le comité de rédaction du journal, qui disait que «l'article n'aurait pas dû être supprimé en premier lieu».

    «Au lieu de le supprimer temporairement de notre site Web, la lettre d’information aurait dû se retirer immédiatement et fournir une explication détaillée des inexactitudes dans les recherches de Briand», ont expliqué les éditeurs.

    «Nous n'avions pas l'intention de faire taire Briand; au lieu de cela, nous avons cherché à mettre ses affirmations en conversation avec les conclusions de Hopkins, de l'Organisation mondiale de la santé et du CDC.

    Briand a déclaré à Campus Reform que la décision de la News-Letter de supprimer l'article était la sienne, et a souligné qu'elle avait expliqué "pendant la présentation où j'ai trouvé et téléchargé les données, afin que tout le monde puisse facilement reproduire mon analyse."

    https://www.zerohedge.com/covid-19/johns-hopkins-newspaper-removes-study-examining-covid-death-rate

    RépondreSupprimer
  16. CRISE ÉCONOMIQUE : PRÉPAREZ-VOUS À DE LOURDES CONSÉQUENCES


    par JEAN-BAPTISTE GIRAUD
    22/12/2020


    Le gouvernement s'attend à une hausse d'environ 9 % des bénéficiaires
    du RSA (Revenu de solidarité active) en 2020.


    Même la fin de l'année ne sera pas tranquille. La mutation du coronavirus SARS-CoV-2, découverte en Grande Bretagne, conduit la plupart des pays européens à fermer brutalement leurs frontières avec Londres. Les Bourses occidentales s’effondrent à nouveau.

    Je n’ai pas l’intention de vous parler moi aussi du coronavirus dans la minute éco, même si c’est difficile d’échapper aux conséquences sur notre économie. Aux conséquences absolument dramatiques, je suis bien obligé de le préciser. Vous êtes nombreux à nous écouter, à le vivre dans votre chair, parfois depuis des mois.

    Crise économique : l'année 2021 sera lourde en conséquences

    Alors, puisque je me suis engagé à faire une sorte de “bilan/ perspectives” cette semaine, je suis obligé de vous dire aujourd’hui que nous n’avons encore rien vu.

    Malheureusement, toutes les mesures prises pour tenter de soutenir l’économie ne font que masquer l’ampleur des dégats. On tente d’éteindre avec des extincteurs, de gros extincteurs, un super méga incendie de forêt. Qui n’en finit pas de reprendre, au moindre petit coup de vent.

    Si votre activité est lourdement impactée ou à l’arrêt à cause de la crise, n'espérez pas de miracle l’an prochain. Si vous pouvez tout geler, et faire autre chose, faites-le. Si on vous demande de gager votre maison ou des économies, refusez.

    Préparer l'avenir, faire des choix radicaux

    Quant à tous les autres, et je m’adresse ici en particulier aux parents, je ne peux que vous conseiller d’avoir une conversation sérieuse avec vos enfants. Qu’ils soient collégiens, ou adultes installés dans la vie.

    À l’heure du bilan, il faut leur dire que 2021 n’aura rien à voir avec ce qu’ils ont connu avant. Et que le monde dans lequel nous entrons sera vraiment plus violent. Nous arrivons à l’heure des choix : y compris les plus radicaux, comme par exemple, celui de l’Île déserte, ou de la maison au fond des bois.

    http://www.economiematin.fr/news-crise-economique-lourdes-consequences

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. (...) Nous arrivons à l’heure des choix : y compris les plus radicaux, comme par exemple, celui de l’Île déserte, ou de la maison au fond des bois. (...)

      Pour 'aller' sur une île déserte faut d'abord passé la frontière au vaccin létal !
      Quant 'au fond des bois'... avec les drones

      Supprimer
  17. Libertés et vaccin contre le Covid-19: «C’est la dictature sanitaire !» et «les Français doivent se réveiller»


    19:26 22.12.2020
    Par Fabien Buzzanca


    Plusieurs personnalités politiques dénoncent le projet de loi du gouvernement instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires, le qualifiant de dangereux. Un point traitant des vaccins a particulièrement mis le feu aux poudres. Pour Florian Philippot, président des Patriotes, la liberté de se faire vacciner est remise en cause.

    «Je veux être clair : je ne rendrai pas la vaccination obligatoire.»

    Lorsqu’il s’est adressé à la nation le 24 novembre dernier, Emmanuel Macron s’y était engagé: la vaccination contre le Covid-19 se ferait sur la base du volontariat. Or, à l’approche de la campagne qui devrait débuter ce 27 décembre en France, de plus en plus de questions occupent le débat public.

    ​Le Premier ministre, Jean Castex, a présenté lundi 21 décembre en Conseil des ministres son projet de loi instaurant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires. Officiellement, «l’objectif de ce texte est de nous préparer à la fin de l'état d'urgence sanitaire, le 1er avril 2021, et d'établir un cadre juridique durable face aux crises sanitaires», a expliqué le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal.

    «Délétère et liberticide»

    Enregistré à la présidence de l’Assemblée nationale le jour-même et mis en ligne à disposition du public, le projet de loi a provoqué une levée de boucliers. Un passage en particulier a éveillé la suspicion. Il s’agit de l’article L. 3131-9, n° 6 de la section 2: «Le Premier ministre peut, le cas échéant […], subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transport ou à certains lieux, ainsi que l’exercice de certaines activités à la présentation des résultats d’un test de dépistage établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin, ou d’un traitement curatif.»

    «Ce projet de loi, c’est tout l’inverse de la liberté vaccinale. Je n’ai jamais cru Macron en premier lieu. Parce que, par principe, j’ai déjà du mal à le croire, mais aussi parce que ce projet de passeport sanitaire traîne depuis un moment. Une compagnie aérienne australienne l’avait mis sur le devant la scène. C’est aussi le cas d’une élue UDI à l’Assemblée nationale», explique au micro de Sputnik Florian Philippot, président des Patriotes, résolument opposé au projet de loi Castex.

    À l’instar de Florian Philippot, plusieurs personnalités politiques se sont empressées de dénoncer le texte sur les réseaux sociaux. «Jamais nous n’accepterons que le gouvernement impose par la coercition ce qu’il n’a pas été capable de faire accepter par la confiance. Il ne peut y avoir de citoyenneté de seconde zone pour les individus non vaccinés. C’est profondément délétère et liberticide», a tweeté Marine Le Pen.

    ​Dans une vidéo, Charles-Henri Gallois, président de Génération Frexit et ex-cadre de l’UPR, a fustigé «l’instauration d’un passeport sanitaire liberticide» ainsi qu’«un projet de loi très inquiétant».

    RépondreSupprimer
  18. ​«Aux Patriotes, nous sentions que quelque chose se préparait et nous avions raison. Si le projet de loi passait tel quel, nous créerions une catégorie de sous-citoyens dont les droits et les libertés seraient restreints tant qu’ils ne sont pas vaccinés», alerte Florian Philippot.

    «C’est la dictature sanitaire ! Quand un gouvernement peut vous interdire de travailler, de sortir de chez vous, d’aller au cinéma ou au restaurant parce que vous n’avez pas accepté d’être vacciné, comment appeler cela autrement qu’une dictature ?» s’interroge l’auteur de COVID-19: l’oligarchie démasquée.
    Même son de cloche du côté de Guillaume Peltier, numéro deux des Républicains: «Je croyais naïvement que, dans notre patrie, le respect des libertés était la règle et ses restrictions, l'exception. Là, l'exécutif aurait tout pouvoir pour suspendre nos libertés sans contrôle du Parlement ? Inconcevable.»

    «C’est éminemment politique»

    Le patron de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, a pointé du doigt «une remise en cause totale et scandaleuse de la liberté vaccinale» alors que le porte-parole du RN, Sébastien Chenu, a lui aussi parlé sur France 2 de «dictature sanitaire». «Tout ça est très dangereux» et «ça voudrait dire qu'il faut que la vaccination soit obligatoire», a-t-il lancé.

    En dehors de l’article polémique sur le vaccin, Florian Philippot relève un autre point qu’il juge très inquiétant:

    «Dans le projet de loi, il est inscrit que les autorités peuvent vous isoler contre votre volonté. Votre recours sera le juge des libertés et de la détention. Comment appeler cela? Le gouvernement ouvre, ferme et rouvre des activités économiques, vous met et vous remet confiné chez vous pendant plusieurs semaines. Il faut d’urgence ouvrir les yeux.»

    Le président des Patriotes, un des fers de lance du Frexit, ne mâche pas ses mots: «Ce qui se passe aujourd’hui n’a plus grand-chose de sanitaire.» «C’est éminemment politique. Le gouvernement joue avec ses citoyens comme il jouerait avec des pions», souffle-t-il.

    Devant cet élan de contestation, l’exécutif a bien essayé de calmer le jeu. Amélie de Montchalin, ministre de la Transformation et de la Fonction publique, a assuré que le texte «n'est pas là du tout pour créer des pouvoirs exceptionnels pour le gouvernement» ou «créer un État sanitaire», pas plus que «pour pérenniser l'état d'urgence». «Il est là pour renforcer notre gestion de crise», a-t-elle martelé. Elle a également assuré sur CNews qu’un débat aurait lieu et que «tout ce qui devra être clarifié le sera».

    Alors qu’il était en déplacement ce 22 décembre à Chanteloup-en-Brie (Seine-et-Marne) afin de visiter l’un des six sites de stockage du vaccin contre le Covid-19, le ministre de la Santé, Olivier Véran, a été interrogé sur la polémique. D’après lui, le texte présenté par Jean Castex veut «mettre dans le droit commun des dispositifs» qui permettraient de «ne pas rentrer dans un état d'urgence à proprement parler, tout en prenant les mesures pour protéger les populations».

    RépondreSupprimer
  19. Le Conseil d’État prudent

    Toujours d’après l’analyse du ministre, il «peut concerner aussi bien cette pandémie que n'importe quel autre événement sanitaire majeur qui pourrait toucher notre pays».

    Pas de quoi convaincre Florian Philippot:

    «Le ministre peut dire ce qu’il veut. J’ai lu ce projet de loi de A à Z. Je pressentais depuis un moment la mise dans le droit commun de l’état d’urgence sanitaire comme ils l’ont déjà fait avec d’autres dispositifs d’exception par le passé. Cette-fois, ils vont même plus loin que les mesures qui sont actuellement prévues dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire. Le Premier ministre aura encore plus de pouvoirs.»

    Saisi sur le projet de loi, le Conseil d’État a rendu un avis le 21 décembre. Au sujet de l’article controversé, il juge: «Sans être par elle-même assimilable à une obligation de soins, une telle mesure peut, si notamment elle conditionne la possibilité de sortir de son domicile, avoir des effets équivalents et justifie, à ce titre, un strict examen préalable de nécessité et de proportionnalité, dans son principe comme dans son étendue et ses modalités de mise en œuvre, au vu des données scientifiques disponibles.» La haute juridiction conseille «une rédaction visant à préciser la nature des activités ou lieux concernés».

    ​«Si on s’amusait à faire ce vaccin obligatoire, vous auriez une révolution», lançait récemment le professeur Didier Raoult sur CNews. Ce n’est pas prévu dans le projet de loi du gouvernement. Du moins pas directement. Alors un tel texte est-il de nature à déclencher un soulèvement populaire?

    «J’espère. Les Français doivent se réveiller. La société a besoin de sortir de son état de zombification. Le pays a besoin de cesser de voir ses rues remplies de zombies masqués et distanciés les uns des autres, disant amen dès que Véran ou Macron ouvrent le bouche. Il est nécessaire d’avoir de la jugeote et du sens critique», répond Florian Philippot.
    D’après le président des Patriotes: «Le temps est venu de mettre par terre la montagne de bêtises, d’incohérences et de folie –ce projet de loi étant la cerise sur le gâteau– que les autorités empilent depuis des mois.»

    ​Florian Philippot caresse l’espoir que le projet de loi présenté par Jean Castex sera «la goutte qui fera débordera le vase».

    «Mais force est de constater que cela fait des mois que ça dure et qu’il n’a toujours pas débordé», poursuit-il.
    Reste que le président des Patriotes est optimiste concernant le rassemblement qu’il organise avec son mouvement samedi 26 décembre à 15 heures devant le ministère de la Santé. «Je pense qu’il y aura encore plus de monde que d’habitude.»

    RépondreSupprimer
  20. Le CDC déclare que la mutation COVID britannique "Aucune preuve" est plus mortelle ou plus grave: mises à jour en direct


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 22 DÉC.2020-13: 24


    Sommaire:

    SC Gov McMaster quaratines après COVID tests positifs.
    Le CDC affirme que la nouvelle souche COVID "aucune preuve '' ne provoque "un risque accru de décès ''
    Dr Fauci vacciné avec Moderna jab
    La France autorise les camionneurs du Royaume-Uni avec un test COVID négatif
    La moyenne des décès sur 7 jours aux États-Unis atteint un nouveau record
    L'UE appelle ses membres à poursuivre le commerce de fret avec le Royaume-Uni
    Un responsable de la santé publique met en garde "seulement une question de temps" avant que la mutation n'arrive en Allemagne
    La Hongrie enregistre le plus bas nombre de nouveaux cas en 2 mois
    L'Irlande devrait imposer le verrouillage des vacances

    * * *

    Mise à jour (1300ET): Le Canada vient de suivre les étapes du CDC, alors que son principal organisme de réglementation des médicaments a averti qu'il était «trop tôt» pour dire si la nouvelle mutation affectera sérieusement le Canada, à la suite d'une remarque similaire plus tôt dans la journée.

    Aujourd'hui, malgré les avertissements pratiquement incessants de l'UE, l'inquiétude concernant la nouvelle variation augmente de manière intense.

    * * *

    Mise à jour (1145ET): Alors que le monde continue de paniquer à propos de la nouvelle mutation COVID découverte dans le sud de l'Angleterre (tandis que d'autres s'interrogent sur les `` preuves tangibles '', dont il ne semble y avoir aucune), le CDC a officiellement pesé pour la première fois , l'agence déclarant qu'il n'y a «aucune preuve» que la variation provoque une maladie plus grave ou augmente de quelque manière que ce soit le risque de décès.

    La variante, connue sous le nom de "B.1.1.7." Les scientifiques américains n'ont pas encore identifié non plus, bien que l'ancien chef de la FDA Scott Gottlieb ait déclaré lors d'une interview plus tôt que la nouvelle souche avait presque certainement déjà fait son chemin ici.

    Voici le reste du résumé analytique:

    Une nouvelle souche variante de SRAS-CoV-2 qui contient une série de mutations a été décrite au Royaume-Uni (UK) et est devenue très répandue à Londres et dans le sud-est de l'Angleterre. Sur la base de ces mutations, il a été prédit que cette souche variante serait potentiellement plus rapidement transmissible que les autres souches circulantes de SRAS-CoV-2. Bien qu'un variant puisse prédominer dans une zone géographique, ce seul fait ne signifie pas que le variant est plus infectieux. Les scientifiques s'efforcent d'en savoir plus sur cette variante afin de mieux comprendre sa facilité de transmission et si les vaccins actuellement autorisés en protégeront les gens. À l'heure actuelle, rien ne prouve que cette variante provoque une maladie plus grave ou un risque accru de décès. Des informations concernant les caractéristiques virologiques, épidémiologiques et cliniques du variant émergent rapidement. Le CDC, en collaboration avec d'autres agences de santé publique, suit de près la situation. CDC communiquera les nouvelles informations dès qu'elles seront disponibles.

    RépondreSupprimer
  21. Le CDC a également clarifié certains faits de base sur la variante mutée découverte en Afrique du Sud, qui aurait été la même que la souche trouvée dans le sud de l'Angleterre, était en fait formée par une série complètement distincte de mutations, et non par une migration du Royaume-Uni vers l'Afrique du Sud. .

    Dans d'autres nouvelles d'un lent mardi avant les vacances: le Dr Fauci vient de recevoir le jab Moderna. En direct à la télé.

    * * *

    Boris Johnson a réussi à tenir sa promesse au peuple britannique, et mardi matin, les Français ont levé les restrictions sur les voyageurs et les camionneurs britanniques - avec un problème important: pour entrer en France, les camionneurs et les voyageurs doivent fournir un test négatif récent pour COVID-19 pris au cours des trois derniers jours.

    Les États-Unis, quant à eux, envisageraient d'imposer des restrictions de voyage, bien que nous soupçonnions que ces rapports divulgués ne sont qu'une réponse aux demandes du gouverneur Cuomo que tous les voyageurs britanniques arrivant à JFK soient testés pour COVID.

    - voir graphique sur site -

    Dans d'autres nouvelles, au cours de ce que beaucoup espèrent être une semaine calme et écourtée aux États-Unis, nous avons des nouvelles majeures en dehors de Taiwan, qui vient d'enregistrer son premier cas de COVID-19 en plus de huit mois, mettant fin au monde. la plus longue étendue sans infection domestique. À la fin du mois dernier, le Vietnam a cassé une séquence de près de 3 mois. Les deux pays ont été des modèles pour la communauté internationale, car d'autres pays de la région - dont la Thaïlande, la Corée du Sud et l'Australie - n'ont pas été en mesure de maîtriser les épidémies.

    Alors que le monde continue de s'inquiéter du virus muté prétendument découvert dans le sud de l'Angleterre et dans quelques autres régions du monde, l'UE a appelé tous ses États membres à au moins rouvrir les liaisons de fret avec le Royaume-Uni.

    Les hospitalisations ont continué d'augmenter à travers les États-Unis, tandis que le nombre de nouveaux cas signalés a diminué pour un deuxième jour.

    Mais les décès dans tout le pays atteignent de nouveaux records quotidiens, avec une moyenne sur 7 jours à un record de 2,6K.

    Pendant des mois, les scientifiques ont averti que le virus n'avait observé aucune mutation notable. Mais dans un autre exemple de la façon dont notre compréhension du vaccin peut changer en un clin d'œil, le monde panique maintenant à propos d'une mutation trouvée dans le sud de l'Angleterre et dans une poignée d'autres endroits, dont les scientifiques craignent qu'elle ne puisse atteindre 70%. plus infectieux que le COVID-19 «original».

    Ailleurs en Europe, les Pays-Bas viennent de se joindre à Stockholm pour suspendre tous les soins de santé non urgents afin de permettre aux hôpitaux de mieux soigner l'écrasement des patients Covid, certains étant même transférés vers l'Allemagne voisine. Parlant de l'Allemagne, le président de l'Institut Robert Koch, Lothar Wieler, a déclaré que si la variante n'a pas encore été identifiée dans la plus grande économie d'Europe, ce n'est qu'une question de temps. Le pays a déjà interdit les voyageurs d'Angleterre et d'Irlande du Nord, ainsi que d'Afrique du Sud.

    RépondreSupprimer
  22. «J’estimerais que la probabilité qu’il soit déjà en Allemagne mais pas encore détecté est très, très élevée», a déclaré Wieler.

    Voici quelques nouvelles COVID de la nuit et du mardi matin:

    La Suisse tente de localiser environ 10000 Britanniques qui sont entrés dans le pays après le 14 décembre et doivent désormais mettre en quarantaine pendant 10 jours après que la nation alpine a bloqué les frontières pour les touristes en provenance du Royaume-Uni, selon le journal suisse Tages Anzeiger. Le gouvernement utilisera les registres des passagers pour environ 92 vols pour retrouver les visiteurs, dont beaucoup se sont rendus dans des stations de ski du sud-ouest de la Suisse.

    La Hongrie a enregistré 1 238 nouvelles infections, le décompte quotidien le plus bas en deux mois, selon les données officielles publiées mardi. Le nombre de décès est resté près des sommets records à 180, et les chiffres d'infection ont souvent été faussés par un faible taux de dépistage.
    L'Irlande devrait fermer les pubs et les restaurants à partir du 24 décembre dans le but de contenir la propagation du coronavirus, a rapporté la chaîne de télévision publique RTE.

    https://www.zerohedge.com/markets/uk-mostly-cut-europe-over-mutation-fears-us-covid-deaths-hit-new-record-live-updates

    RépondreSupprimer
  23. Le gouvernement, pas le coronavirus, tue les petites entreprises


    Par Ron Paul, MD
    Institut Ron Paul
    22 décembre 2020


    Une vidéo d'une confrontation entre les responsables de la santé du comté de Ventura, en Californie et le propriétaire du restaurant Anton Van Happen, est devenue virale. Les responsables de la santé ont ordonné à M. Van Happen de fermer son entreprise parce qu'il aurait violé l'interdiction de manger en plein air en Californie. M. Van Happen a demandé aux responsables de la santé si le gouvernement paierait ses employés et son loyer pendant que son entreprise serait fermée indéfiniment.

    M. Van Happen n'est pas le seul propriétaire de petite entreprise à s'inquiéter de la façon de payer les factures pendant les verrouillages. De nombreuses petites entreprises fonctionnent avec une marge bénéficiaire étroite, donc être forcée de fermer «temporairement» ou de limiter le nombre de clients qu'elles peuvent servir est une peine de mort virtuelle.

    Les verrouillages ont déjà entraîné la fermeture définitive de près de 200 000 petites entreprises. Les verrouillages, en réduisant le nombre d'employeurs, entraînent un chômage de longue durée ou une baisse des salaires pour de nombreux travailleurs.

    Alors que les gouvernements ont terrorisé les petites entreprises, ils ont généralement considéré les grandes chaînes de magasins comme des «entreprises essentielles» pour qu'elles puissent rester ouvertes. Les verrouillages constituent donc une autre politique gouvernementale qui donne aux grandes entreprises un avantage concurrentiel sur leurs concurrents plus petits.

    Les avantages que les grandes entreprises tirent des verrouillages - y compris moins de concurrents, plus de clients et un marché du travail avec plus de travailleurs en concurrence pour moins d'emplois - peuvent expliquer pourquoi de nombreuses grandes entreprises ne luttent pas contre les verrouillages. Au lieu de cela, la plupart des grandes chaînes de vente au détail exigent de leurs employés et clients qu'ils portent des masques. De nombreuses grandes entreprises pourraient bientôt refuser le service à ceux qui refusent de recevoir un vaccin Covid.

    On pourrait penser que les progressistes qui prétendent s'opposer aux politiques qui profitent aux grandes entreprises comme WalMart, Target et Amazon s'opposeraient aux verrouillages. Malheureusement, même de nombreux progressistes parrotient sans aucun doute la propagande Covid et diabolisent ceux qui sont en désaccord.

    RépondreSupprimer
  24. En ralentissant le développement de l'immunité collective au sein de la population, les verrouillages pourraient mettre les personnes réellement en danger dans un plus grand danger. Les verrouillages ont également eu des effets négatifs tels que l'augmentation de l'abus de drogues et d'alcool et l'augmentation de la violence domestique. Pendant ce temps, de nombreux écoliers sont privés de la possibilité d'interagir avec leurs enseignants et leurs pairs. Au lieu de cela, ces enfants sont soumis à la fraude de «l'apprentissage virtuel».

    La résistance à la tyrannie de Covid augmente à mesure que de plus en plus de gens se rendent compte que les verrouillages et les mandats sont à la fois inutiles et nuisibles. Cette résistance a été en grande partie déclenchée par les propriétaires de petites entreprises confrontés au choix entre obéir au gouvernement ou s'assurer qu'eux-mêmes et leurs employés peuvent nourrir leur famille. Les propriétaires de petites entreprises ont été les chefs de file des récentes manifestations contre le verrouillage à travers l'Amérique.

    Finalement, la résistance augmentera au point où les politiciens seront forcés de doubler l'autoritarisme ou d'admettre que les verrouillages étaient une erreur. Quoi qu'il en soit, ceux d'entre nous qui connaissent la vérité doivent résister à la tyrannie Covid jusqu'à ce que les représentants du gouvernement ne terrorisent plus les petites entreprises pour le crime de servir des consommateurs consentants.

    https://www.lewrockwell.com/2020/12/ron-paul/government-not-coronavirus-is-killing-small-businesses/

    RépondreSupprimer
  25. La mort par les décrets du gouvernement et la vaccination est un démocide planifié !


    Par Gary D. Barnett
    22 décembre 2020


    «Plus un gouvernement a de pouvoir, plus il peut agir arbitrairement selon les caprices et les désirs de l'élite, et plus il fera la guerre aux autres et assassine ses sujets étrangers et nationaux. Plus le pouvoir des gouvernements est limité, plus le pouvoir est diffusé, contrôlé et équilibré, moins il agressera les autres et commettra un démocide.
    ~ Rudolph Rummel - «Mort par le gouvernement». Livre de Rudolph Rummel, pp.1-2, 1994.

    Le démocide est un concept proposé par Rudolph Rummel depuis au moins 1994 pour décrire «le meurtre intentionnel d’une personne non armée ou désarmée par des agents du gouvernement agissant en leur qualité d’autorité et conformément à la politique gouvernementale ou au haut commandement». Quel meilleur terme pourrait décrire ce qui se passe aujourd'hui? Les gouvernements et ceux qui contrôlent le processus politique prospèrent et n'existent qu'en recherchant le pouvoir et le contrôle. Ce faisant, le sacrifice du peuple est une conséquence naturelle de toute action gouvernementale. Aujourd’hui, une «pandémie de virus» complètement frauduleuse et fabriquée à dessein est utilisée comme outil pour atteindre ces objectifs de pouvoir et de contrôle de l’État, et être condamné le peuple dans le processus.

    Les centaines de millions de citoyens assassinés par leur propre gouvernement au cours du seul XXe siècle contrastent nettement avec le nombre bien moindre de décès dus aux guerres gouvernementales inhumaines au cours de cette même période. Ce seul fait devrait servir de confirmation absolue de la nature odieuse de la classe dirigeante et de tous les systèmes de gouvernement. Il a été frappé dans la tête des Américains par des techniques d'endoctrinement que ce pays est différent et que d'autres ont commis tout le génocide passé alors que ce pays était noble et exempt de ces politiques monstrueuses et meurtrières. Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité, et si quelqu'un accepte ce qui est évidemment prévu pour notre avenir, il serait impossible de ne pas voir le carnage imminent contre les Américains venir aux mains de leur propre gouvernement.

    RépondreSupprimer
  26. Déjà au cours des dix derniers mois, des décès supplémentaires dus au désespoir causé par l'État sous la forme de verrouillages, de pertes d'emploi, de destruction du système immunitaire et de suicide sont évidents, et ce n'est rien de moins qu'un meurtre au premier degré sous un autre nom. Comme je l'ai souligné à maintes reprises, tout ce que fait le gouvernement est planifié d'avance et intentionnel. Rien n'arrive par hasard, n'est accidentel ou naturel, comme tout est connu à l'avance. Les contrôleurs de l’État comprennent parfaitement la faiblesse de ses citoyens, car ce système de gouvernement et d ’« éducation »a été utilisé pendant de nombreuses décennies pour former cette population à devenir de bons et utiles citoyens de l’État, au lieu de penser et d’agir. Nous vivons maintenant dans une société collective d'imbéciles passifs, tout cela grâce au succès des politiques gouvernementales de lavage de cerveau et de propagande. Sans un renversement de cette rupture sociétale tracée, nous sommes en effet confrontés à des temps terribles.

    La paille qui brisera le dos du chameau pour ainsi dire, sera les vaccins mortels à venir. Cette nation a traversé un enfer l'année dernière en raison d'une fraude, et chaque mandat d'État a conduit au prochain, chacun à sa manière d'une portée plus meurtrière ne serait-ce qu'en raison de cette aggravation de la terreur d'État. Tout a commencé par une campagne de peur, mais la plupart ont finalement choisi de se conformer volontairement à des mesures draconiennes en raison de la pression des pairs et des fausses menaces. Cela indique une extrême faiblesse de la population dans son ensemble, mais la combinaison de propagande, de tactiques de peur, de stress et d'acquiescement aux ordres a conduit à l'assurance probable d'un avenir très dangereux.

    Les effets très néfastes de ces directives gouvernementales oppressives qui ont frappé cette population aggravent considérablement le caractère toxique de ce processus de vaccination, un processus qui a déjà commencé. C'était le résultat escompté recherché par l'État. Des mois de verrouillage, de quarantaine, de perte d'emploi, de stress extrême, d'isolement et de port de masque faisaient tous partie du complot visant à nuire au système immunitaire et à la psyché des Américains. Ces actions ordonnées sapent la capacité naturelle des populations à surmonter l’adversité sanitaire et les rendent donc vulnérables à toute invasion extérieure due à l’injection massive de poisons. Les vaccins mis à disposition contiendront plusieurs virus, des adjuvants toxiques mortels, notamment du mercure et de l'aluminium, de l'ARN et d'éventuels additifs modifiant l'ADN, des éléments de suivi et de traçage, la technologie des biocapteurs, l'introduction de nanoparticules et pourraient même entraîner la stérilité. Ceci est une parodie et apaisera certainement ceux qui ont l'intention de faire progresser les procédures fondées sur l'eugénisme.

    RépondreSupprimer
  27. Je suis d’avis que la première série de vaccins ne sera pas aussi meurtrière et changera la vie que celles qui suivront. Cela va de soi en raison du fait que le pouvoir gouvernemental normal et les mesures de contrôle sont généralement mis en œuvre progressivement de manière à obtenir ce qui semble être une acceptation volontaire. Le complot initial appelait à ce que tout le monde soit vacciné une fois pour qu’un «retour à la normale» puisse se produire, mais aucune de ces fausses allégations n’a jamais été légitimée. Maintenant, la classe dirigeante perverse postule qu'une deuxième ou troisième injection sera nécessaire, la seconde seulement quelques semaines après la première. En outre, cette politique invasive sera également dite en raison de futures mutations prétendues, nécessaire tous les quelques mois ou années pour toujours. Si l'on considère les désirs de contrôle inhérents à tous les organes directeurs, alors il devrait être tout à fait évident que les politiques de vaccination envisagées aujourd'hui sont d'une extrême importance pour ceux qui souhaitent obtenir le contrôle total du peuple américain.

    Cette stratégie a toutes les qualités d'un complot mortel lent et très ciblé. Cela mènera non seulement à la mort de la liberté, mais servira à provoquer une mort lente d'une grande partie de la population. Selon la National Academy of Sciences (NAS), l'ordre de progression de ce vaccin toxique est complètement inquiétant. Premièrement, tous les travailleurs dits à haut risque, à commencer par les agents de santé et les premiers intervenants, et les personnes de tous âges qui sont faibles et malades et qui ont des problèmes de santé comorbides et sous-jacents. Cela inclura toutes les personnes âgées; en particulier tous ceux qui vivent dans des maisons de soins infirmiers et qui vivent dans des conditions très encombrées et surpeuplées, et tous les individus extrêmement insalubres. Les suivants seront les enseignants, tous avec des comorbidités modérées, les sans-abri, les déséquilibrés mentaux, les handicapés, les prisonniers et tous les enfants. Cela a tous les aspects de la liste de rêve d’un eugéniste. C'est une façon d'utiliser la vaccination de masse comme démocide.

    La planification des vaccins entraînera certainement beaucoup plus de décès pouvant être attribués au faux virus appelé Covid-19, cette stratégie vaccinale aura donc un double objectif. Il sera utilisé pour éliminer la liste des indésirables et des "indésirables '' de l'État, et dans le processus, les meurtres de vaccins commis par l'État seront utilisés pour continuer à augmenter la fausse peur de la pandémie afin de faire avancer les agendas odieux des prétendus '' classe d'élite et leurs complices consentants au gouvernement.

    Chaque édit à venir et chaque vaccin provoquera essentiellement un règne de mort et de destruction aux mains de ceux que vous avez volontairement autorisés à régner sur vous. Ce n'est qu'en supprimant votre consentement à la règle que cette horreur peut prendre fin.

    Source links:

    https://www.hawaii.edu/powerkills/NOTE1.HTM

    https://www.globalresearch.ca/america-has-been-at-war-93-of-the-time-222-out-of-239-years-since-1776/5565946

    https://www.globalresearch.ca/us-has-killed-more-than-20-million-people-in-37-victim-nations-since-world-war-ii/5492051

    https://www.aier.org/article/death-by-lockdown/

    https://www.lewrockwell.com/2020/10/jon-rappoport/what-could-they-put-in-the-covid-vaccine/

    https://www.lewrockwell.com/2020/05/jon-rappoport/covid-vaccine-what-else-could-they-put-in-the-shot/

    https://www.cbsnews.com/news/coronavirus-vaccine-bill-gates-multiple-doses/

    https://www.minnpost.com/health/2020/12/how-the-government-decides-who-should-get-vaccinated-first/

    https://www.lewrockwell.com/2020/12/gary-d-barnett/death-by-government-edicts-and-vaccination-is-planned-democide/

    RépondreSupprimer
  28. Pourquoi vous ne devriez pas croire que le vaccin COVID est efficace


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    22 décembre 2020


    J'ai couvert les dangers du vaccin. Maintenant, je veux montrer pourquoi il est inefficace, même en supposant que la théorie de base de la vaccination est valide.

    Peter Doshi, rédacteur en chef adjoint de la revue médicale BMJ, et Eric Topol, professeur de médecine moléculaire à Scripps Research, ont rédigé un article d'opinion dévastateur du NY Times sur les essais cliniques du vaccin COVID.

    Ils ont révélé la faille fatale dans les grands essais Pfizer, AstraZeneca et Moderna.

    22 septembre, The Times: "Ces essais de coronavirus ne répondent pas à la seule question que nous devons savoir":

    «Si vous deviez approuver un vaccin contre le coronavirus, en approuveriez-vous un dont vous ne connaissiez que les personnes protégées uniquement contre la forme la plus bénigne de Covid-19, ou qui empêcherait ses complications graves?»
    «La réponse est évidente. Vous voudriez vous protéger contre les pires cas. »

    «Mais ce n’est pas ainsi que les entreprises qui testent trois des principaux candidats vaccins contre le coronavirus, Moderna, Pfizer et AstraZeneca, dont l’essai américain est suspendu, abordent le problème.»

    «Selon les protocoles de leurs études, qu'ils ont publiés à la fin de la semaine dernière, un vaccin pourrait répondre aux critères de réussite des entreprises s'il réduisait le risque de Covid-19 léger, mais il n'a jamais été démontré qu'il réduisait les formes modérées ou sévères de la maladie. , ou le risque d'hospitalisation, d'admissions en unité de soins intensifs ou de décès. »

    «Dire qu'un vaccin fonctionne devrait signifier que la plupart des gens ne courent plus le risque de tomber gravement malades. Ce n’est pas ce que ces essais vont déterminer. »

    Cela signifie que ces essais cliniques étaient morts dans l'eau.

    Les essais ont été conçus pour montrer leur efficacité dans la prévention des cas bénins de COVID - toux, frissons et fièvre - dont personne ne devrait se soucier, car les cas bénins suivent naturellement leur cours et ne causent aucun dommage. IL N'Y A PAS BESOIN D'UN VACCIN QUI ÉVITE LES CAS DOUX.

    Je vais maintenant expliquer POURQUOI les essais cliniques ont été uniquement conçus pour montrer que le vaccin pouvait prévenir les cas bénins.

    Les fabricants de vaccins supposent que le virus SRAS-CoV-2 est partout. Ainsi, au cours d'un essai clinique, le virus descendra des nuages ​​et infectera un certain nombre de volontaires de l'essai.

    Tous ces volontaires sont en bonne santé. Ils ne sont ni vieux ni fragiles. Ils ont déjà été dépistés et éliminés s’ils ont des antécédents d’allergies graves.

    Alors, lorsque le virus SRAS-CoV-2 attaque quelques-uns de ces volontaires en bonne santé, quelles sont les chances qu'il provoque des cas graves de pneumonie, nécessitant une hospitalisation ?

    RépondreSupprimer
  29. Les chances sont TRES longues contre.

    Combien de temps pensez-vous que les fabricants de vaccins devraient attendre avant que, disons, 150 des volontaires en bonne santé contractent une pneumonie grave?

    Cinq ans ? Dix ? Pour toujours ?

    Pfizer ne va pas rester là et attendre et attendre et attendre. Est-ce que vous plaisantez ?

    Non, ils vont seulement attendre que 150 volontaires (le nombre magique prédéterminé) descendent avec une toux, ou de simples frissons et fièvre - un cas de COVID léger.

    Ensuite, ils vont arrêter l’essai clinique.
    Ensuite, ils vont voir combien de ces 150 cas bénins sont survenus chez les personnes qui ont reçu le vaccin, et combien de cas sont survenus chez les personnes qui ont reçu le vaccin placebo à l’eau salée.

    C'est ainsi qu'ils découvrent l'efficacité du vaccin.

    Et en effet, selon Pfizer, la plupart des cas sont survenus chez des volontaires qui ont reçu le vaccin placebo à l'eau salée.

    Par conséquent, Pfizer pouvait affirmer que le vaccin était efficace pour protéger contre la toux, les frissons et la fièvre. Cas bénins de COVID.

    C’est tout ce que Pfizer pouvait dire.

    Et C’est pourquoi les essais cliniques ont été un échec. Parce que les essais n'ont été mis en place que pour montrer la prévention des cas bénins - dont personne ne devrait se soucier.

    Je pourrais continuer et expliquer comment les fabricants de vaccins pourraient simuler même cette affirmation inutile, mais je vais en rester là.

    Le vaccin COVID est conçu pour éviter rien d'important ou de significatif.

    Toutes les critiques élogieuses du vaccin, les bavardages sur une percée historique, les célébrations - des absurdités complètes et absolues.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/12/jon-rappoport/why-you-shouldnt-believe-the-covid-vaccine-is-effective/

    RépondreSupprimer
  30. Les démocrates doivent prouver comment Biden a obtenu 13 millions de votes en excès d'électeurs qui n'ont pas voté


    Lundi 21 décembre 2020
    par: Lance D Johnson


    (Natural News) Des témoins de fraude électorale, des équipes juridiques, des opérations de cyber-guerre, des analystes de données, des journalistes indépendants et d'autres patriotes américains se sont battus sans relâche pour présenter la vérité sur la fraude électorale coordonnée, pour protéger l'intégrité du processus électoral et pour défendre les États-Unis. États contre des ennemis étrangers et nationaux.

    Les démocrates et leurs Big Tech, Big Media et alliés étrangers ont remporté la victoire à l'élection présidentielle de 2020 pendant près de deux mois, mais ils doivent maintenant faire face à la réalité des mathématiques simples.

    Le total historique des votes de Biden dépasse le nombre total d'électeurs inscrits qui ont effectivement voté de 13 millions

    En 2020, il y avait environ 212 millions d'électeurs inscrits. Parmi les électeurs inscrits, 66,2 % ont effectivement voté. Au total, 140,344 millions d'électeurs inscrits ont voté pour la présidence. Si le président Trump a reçu un nombre historique de 74 millions de voix et qu'aucun de ses totaux n'a été contesté ou prouvé frauduleux, comment Joe Biden a-t-il obtenu plus de 80 millions de voix ?

    Ensemble, le total des voix des deux candidats dépasse le nombre total d’électeurs inscrits qui ont voté de 13 millions de voix ! Cette simple anomalie mathématique a été avancée par Bill Binney, de l'US Intel Fame. Il a souligné que plus de personnes avaient voté aux élections de 2020 dans tout le pays qu'il n'y avait eu le droit de voter. Si le total incontesté de 74 millions de votes de Trump est vrai, alors il ne reste que suffisamment de voix pour donner à Biden 66,344 millions de voix. Des calculs simples montrent que Donald Trump a gagné dans un glissement de terrain!

    Il est temps pour Joe Biden et les démocrates de prouver qu’ils ont recueilli plus de 13 millions de voix! L'identité des électeurs inscrits a-t-elle été volée et utilisée pour créer des quantités massives de bulletins de vote par la poste ? Combien d’identités de personnes décédées ont été volées pour permettre un vote par correspondance précoce ou tardif ? Dans quelle mesure la fraude au changement d'adresse a-t-elle été commise pendant l'élection ? En d'autres termes, combien de personnes ont été autorisées à voter deux fois et leur identité a-t-elle été récoltée dans leur État d'origine pour pousser plus de bulletins de vote par la poste à travers le logiciel de tabulation des votes ? Combien de votes frauduleux ont été introduits dans des urnes de dépôt, sans responsabilité ni vérification réelle ? (Connexes: le rapport explosif du conseiller commercial de la Maison Blanche Navarro prouve (encore une fois) que Trump a remporté l'élection.)

    RépondreSupprimer
  31. Il est temps pour l'équipe de Biden d'admettre que ses 13 millions de votes excédentaires ont été fabriqués
    Biden a remporté un record de 17 % des comtés et a perdu des niveaux historiques de soutien des Noirs et des Hispaniques (par rapport aux candidats démocrates dans le passé). Il a perdu 18/19 comtés de Bellwether et a été détruit dans des États qui sont généralement trop proches pour appeler (Floride, Ohio et Iowa), mais d'une manière ou d'une autre, il a réussi à dégager un excédent de 13 millions de votes qui dépasse le nombre total d'inscrits. les électeurs qui ont voté! Les républicains ont également remporté 27 des 27 sièges au Congrès lors de l'élection de 2020, démolissant les démocrates à la baisse dans tous les domaines. Pourquoi des millions de bulletins de vote excédentaires n'ont-ils été remplis que pour Biden et les candidats démocrates à bulletin inférieur ont-ils été ignorés ? Pourquoi les témoins oculaires parlent-ils des bulletins post-électoraux post-électoraux qui n’avaient même pas de pli et qui n’ont manifestement jamais été traités par les électeurs au départ ?

    La fraude est si flagrante, si arrogante et si évidente. Il est temps pour l'équipe juridique de Biden et les démocrates de prouver comment ils ont reçu des totaux de votes historiques alors qu'il n'y avait pas assez d'électeurs inscrits pour tenir compte des totaux de votes astronomiques que Biden a reçus dans certains comtés remarquables après les élections. Il semble évident qu'un certain nombre de comtés du pays ont été ciblés pour commettre des fraudes massives. Peut-être que les responsables électoraux de ces bastions démocrates étaient tellement occupés à démettre Trump de leurs fonctions qu'ils se joindraient à un effort de guerre contre le pays et son système électoral. Peut-être ont-ils été menacés par les foules qui sont descendues dans les rues d'Amérique en 2020. Peut-être ont-ils été contraints par des personnes en position de pouvoir et d'influence.

    La question maintenant: qui est assez courageux pour arrêter cette règle de foule? Les tribunaux refusent-ils d'entendre le bien-fondé de la fraude par crainte que les foules violentes de gauche ne menacent leur vie, comme ils l'ont fait toute l'année ?

    Les sources comprennent:

    TheGateWayPundit.com
    WorldPopulationReview.com
    NaturalNews.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2020-12-21-biden-received-13-million-excess-votes-from-voters-who-didnt-vote.html

    RépondreSupprimer
  32. L'Amérique peut vaincre le coronavirus sans verrouillage en étudiant «l'approche réussie» de la Corée du Sud


    Lundi 21 décembre 2020
    par: Zoey Sky


    (Natural News) L'année tire à sa fin et alors que l'Amérique était bloquée pendant la majeure partie de 2020, il ne semble pas y avoir d'améliorations majeures dans la façon dont le pays gère la pandémie de coronavirus (COVID-19).

    Cependant, en Corée du Sud, les citoyens conservent pour la plupart des routines normales sans avoir besoin de verrouillage. Les experts suggèrent qu'au lieu d'appliquer des verrouillages, les États-Unis devraient apprendre de la Corée du Sud pour faire face à la pandémie plus efficacement.

    La réponse au COVID-19 de la Corée du Sud n'est pas parfaite, mais elle est efficace
    Au début de 2020, Park Young Joon, directeur des enquêtes épidémiologiques à l'Agence coréenne de contrôle et de prévention des maladies (KDCA), craignait que la Corée du Sud perde la bataille contre le coronavirus. Il a été envoyé à Daegu, une ville de 2,5 millions d'habitants dans le sud en raison d'une «situation d'urgence».

    Les experts ont enregistré plusieurs cas de COVID-19 parmi des membres de l'Église Shincheonji de Jésus, un groupe religieux obscur et secret avec des services qui incluent des contacts physiques étroits. Le premier fidèle a été testé positif le 17 février et était connu comme le 31e patient COVID-19 de Corée du Sud.

    Dans les jours qui ont suivi, le nombre de nouveaux cas quotidiens était à deux chiffres. Lorsqu'elle a atteint trois chiffres, les experts de la santé ont réalisé qu'une «épidémie exponentielle était en cours».

    À l'époque, les responsables de la santé publique traitaient chaque cas individuellement. Les traceurs de contacts ont rassemblé des historiques détaillés des allées et venues récentes d'un patient tandis que d'autres ont été examinés.

    Cependant, de nombreux pratiquants et membres de la famille qui ont été testés positifs n’avaient pas de liens évidents avec des cas antérieurs. Pour arrêter l'infection, Park pensait que des mesures drastiques devaient être appliquées, comme la mise en quarantaine de tous ceux qui entraient dans le bâtiment de neuf étages abritant les opérations de Shincheonji à Daegu.

    RépondreSupprimer
  33. La mesure devait être obligatoire et elle serait appliquée à au moins 9 000 personnes, peu importe où elles se trouvaient dans le bâtiment ou si elles avaient interagi avec un transporteur connu. Ceux qui ont été testés positifs feraient un dépistage de leurs contacts, ces personnes auraient ensuite leurs propres contacts examinés. Le traçage des contacts se poursuivait jusqu'à ce que la chaîne s'arrête.

    Bien que cette stratégie particulière soit coûteuse, elle était très efficace. La quarantaine était en vigueur quatre jours après le premier diagnostic de Shincheonji.

    À la mi-mars, l'épidémie de Daegu était sous contrôle. La réponse de la Corée du Sud aux infections de Shincheonji a établi le modèle de ce qui est maintenant considéré comme l’un des efforts les plus efficaces au monde pour contenir le virus.

    Pendant la majeure partie de 2020, la Corée du Sud a maintenu les infections dans un chiffre gérable d'environ plusieurs centaines de nouveaux cas ou moins par jour. Bien que le pays n'ait pas totalement éliminé les cas de coronavirus, il a maintenu les cas suffisamment bas pour que les autorités puissent faire face.

    À au moins trois reprises, la Corée du Sud a contenu «des flambées à évolution dangereusement rapide» avec «des tests agressifs, une recherche des contacts de haute technologie et un isolement obligatoire». Tout cela sans aucun verrouillage, une stratégie que le président Moon Jae-in a rejetée au début de la pandémie car elle affecterait les moyens de subsistance et les liens sociaux.

    En septembre, l'Organisation de coopération et de développement économiques a suggéré que l'économie coréenne ne se contracterait que de 1 % en 2020, ce qui était relativement faible par rapport à une baisse moyenne de 4,1 % dans le Groupe des 20 pays.

    Alors que le chômage est au moins quatre pour cent plus élevé qu'avant le virus, le chiffre est toujours inférieur aux niveaux des autres grandes économies.

    Et même si la majeure partie de l'Asie a bien géré la pandémie, la Corée du Sud donne l'exemple le plus convaincant pour les pays qui veulent limiter les décès et les incapacités avant qu'un vaccin sûr ne soit développé. Selon le président élu américain Joe Biden, l'attente du vaccin pourrait signifier plus de 250000 morts aux États-Unis.

    La Corée du Sud a également prouvé que tenter «une stratégie d'élimination virale pure et simple» serait impossible pour le reste du monde.

    Une leçon tirée du virus MERS
    La réponse de la Corée du Sud n’est pas infaillible et elle a perdu plus de 500 personnes à cause du coronavirus. Le chiffre peut sembler faible, mais il s’agit d’un taux de mortalité relativement élevé par rapport aux normes asiatiques.

    Les nouvelles épidémies, même minimes, constituent une menace constante. Au moment d'écrire ces lignes, les autorités tentent actuellement de contrôler une nouvelle vague d'infections à Séoul, la pire flambée en Corée du Sud depuis février.

    RépondreSupprimer
  34. Si les mesures appliquées ne sont pas aussi strictes dans d’autres pays, la vie quotidienne n’est toujours pas normale à 100 %. Partout en Corée du Sud, des mesures de distanciation sociale d'intensité variable sont appliquées:

    Les masques sont obligatoires dans presque tous les espaces publics, en particulier dans les lieux à «haut risque» comme les clubs, les cybercafés, les bars karaoké et les parcs publics.
    Les masques faciaux sont également obligatoires dans les spas, les salles de mariage,
    Les gymnases, cafés, restaurants et discothèques sont pour la plupart ouverts, mais la capacité est souvent limitée. Tous les clients doivent scanner un code QR lié à un système national de recherche de contacts avant d'entrer.
    Les écoles sont devenues partiellement numériques pour que les élèves puissent s'espacer.
    Au lieu de verrouillages, le gouvernement et le peuple coréens ont souvent pensé à des alternatives à un choix que les citoyens des pays occidentaux ont souvent dit que c'était inévitable. La Corée du Sud s'est concentrée sur l'utilisation des ressources pour atteindre un objectif simple mais global: «Faire fonctionner la société».

    Mais la stratégie nécessite une certaine prudence qui peut sembler trop forte aux Américains jusqu'à ce que vous la compariez à la perte et à la lutte économique que les États-Unis ont subies avec leur approche différente.

    Park a déclaré que si sa vie a radicalement changé, c'est un sacrifice qui vaut la peine d'être fait, car lui et ses collègues ont aidé le pays à faire face à la pandémie sans pertes majeures. Il pense que la Corée du Sud peut maintenir cette approche jusqu'à la fin de la pandémie.

    «Nous appelons cela la suppression à long terme - maintenir notre société tout en supprimant le virus», a expliqué Park. En bref, la Corée du Sud applique un concept qui consiste à apprendre à vivre avec le virus.

    La Corée du Sud a appris pour la première fois qu’elle n’était pas prête pour une nouvelle épidémie virale il y a cinq ans. En mai 2015, un Coréen de 68 ans qui dirigeait une serre à Bahreïn est tombé malade après son retour à Séoul.

    Ses symptômes ne se sont pas améliorés et il a été admis dans un hôpital en dehors de la ville. Ses médecins lui ont diagnostiqué une pneumonie et cinq jours plus tard, après avoir été transféré dans un centre médical plus sophistiqué, les résultats des tests ont montré qu’il était le premier porteur du syndrome respiratoire du moyen-orient (MERS) en Corée.

    Le MERS est une maladie virale mortelle. Il est également lié à la fois au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et au coronavirus.

    RépondreSupprimer
  35. En 2015, le MERS s'est propagé en Corée du Sud lorsque des dizaines de personnes ont été exposées dans le premier hôpital où le voyageur de retour a été traité. L'agent pathogène s'est également propagé au deuxième hôpital après qu'un homme exposé lors de l'épidémie initiale se soit rendu à l'urgence. Quatre-vingt-deux personnes ont été infectées.

    Les infections nosocomiales (celles qui se propagent dans les établissements médicaux) sont l'un des pires scénarios de santé publique, d'autant plus que les hôpitaux traitent déjà des patients malades ou blessés qui sont vulnérables.

    Les retards de test ont également donné plus de temps au MERS pour se propager. Les autorités ont refusé de révéler où les patients du MERS étaient traités, ce qui a provoqué une panique généralisée. Les infections ont coûté la vie à 38 patients.

    Le gouvernement du président conservateur Park Geun-hye a appris de ses erreurs. Pour faire en sorte que le pays ne connaisse pas la même chose, une série de réformes de santé publique ont été appliquées. Dans le passé, le KDCA était un département du ministère de la Santé avec peu d'autonomie réelle.

    Mais après l'épidémie de MERS, il a agi en tant qu'organe de coordination de la riposte à l'épidémie, devenant une «tour de contrôle» pour d'autres agences et administrations locales du pays.

    La Corée du Sud a également créé un processus d'urgence pour l'approbation de nouveaux tests de diagnostic afin d'accélérer le temps requis d'un an à une semaine ou moins. La principale loi sur la santé publique du pays a également été mise à jour afin que les traceurs de contacts puissent collecter des données à partir de téléphones portables, de cartes de crédit, de registres des transports en commun et d'autres sources «si nécessaire pour prévenir les maladies infectieuses et bloquer la propagation de l'infection.

    Mais la loi exigeait que les informations ne soient utilisées qu'à des fins de santé publique. Une fois le danger passé, les données personnelles doivent être détruites.

    Le secret nuit à une recherche des contacts efficace
    La première phase de la pandémie de COVID-19 a permis de confirmer que les nouvelles politiques étaient nécessaires.

    RépondreSupprimer
  36. Lorsque la vague a commencé à Daegu, le virus se propageait déjà dans la communauté. Le premier membre de Shincheonji à être diagnostiqué était une femme de 61 ans.

    Alors qu'elle a été admise à l'hôpital le 7 février après un accident de voiture, elle a développé des symptômes pseudo-grippaux plusieurs jours plus tard. Malheureusement, les patients hospitalisés en Corée peuvent partir et revenir tout en recevant un traitement.

    Le 9 février, la femme est allée à l'église. Elle y est retournée le 16 février avant que les médecins ne décident d'administrer un test de coronavirus.

    Dans l'église, la femme a interagi avec plus de 1 000 personnes. Pire encore, l'église est secrète. Certains membres cachent leur affiliation même à leurs familles immédiates, mais maintenant ils étaient difficiles à retracer et à retracer alors qu'ils continuaient à tracer à travers la Corée du Sud.

    Le gouvernement a eu du mal à confirmer l'identité des fidèles de l'église. Ce n’est que lorsque les autorités ont menacé le fondateur de la secte Lee Man-hee d’une enquête criminelle qu’ils ont pu obtenir la liste avec environ 200 000 noms.

    Les décideurs politiques de Séoul sont restés méfiants face à un verrouillage même si cela a contribué à enrayer le virus en Chine. Park Neunghoo, ministre de la Santé et du Bien-être social, a expliqué que le principe de base que la Corée appliquait était axé sur «un équilibre entre les mesures préventives et la croissance économique.

    Même si une fermeture n'aurait que des effets à court terme sur l'économie, elle aurait également pu provoquer un niveau de frustration qui rend difficile la «mise en œuvre et l'application» des mesures de prévention et de quarantaine. (Connexes: OMS: Les verrouillages ne sont pas la principale méthode de lutte contre le COVID-19, les gouvernements doivent développer de «meilleurs systèmes» contre la pandémie.)

    Pour contenir la flambée drastique des infections, les responsables savaient qu'ils devaient adopter une approche scientifique. La première consisterait à accélérer les tests, ce qui a été facilité par l'approbation rapide des tests commerciaux.

    Mais alors que la Corée était en avance sur la plupart des pays, son personnel médical de première ligne était toujours débordé. Pour résoudre ce problème, Ahn Yeo-hyun, un anesthésiste de 40 ans dans un centre de santé publique de la ville portuaire de Busan, a proposé une solution créative.

    Ahn, qui a été chargé d'aider à dépister les patients, savait que les équipements de protection étaient rares et que l'infection croisée des patients aux cliniciens était une préoccupation. Pour se protéger à la fois elle-même et les patients, elle a pensé à une «cabine téléphonique modifiée dans laquelle un travailleur de la santé pourrait se tenir à l'intérieur, en utilisant une paire de gants encastrés dans l'une de ses parois de verre pour tamponner un patient debout en face.

    RépondreSupprimer
  37. En éliminant le besoin d'une protection complète du corps, les opérateurs de kiosques n'auraient besoin que de masques. Après avoir convaincu son patron d'allouer de l'argent pour les prototypes, elle avait un modèle fonctionnel en mars.

    Des centaines de ces cabines ont été installées dans toute la Corée et les tests ont été accélérés grâce à une autre innovation locale: les sites d'essais au volant. Après plusieurs semaines, la Corée avait effectué plus d'un quart de million de tests alors que l'Amérique n'en gérait que moins de 35 000.

    Dans le même temps, le nombre quotidien de nouvelles infections est tombé en dessous de 100, où il est resté pendant plusieurs mois. Mais les outils de haute technologie peuvent être inutiles si les patients mentent sur leurs mouvements.

    En réponse, le Coréen a rendu publiques les données sur les patients sur les sites Web officiels. Bien que les patients restent anonymes, il existe suffisamment de détails qui peuvent être utilisés pour les identifier.

    Malgré les plaintes, les Coréens étaient «plus disposés à accepter de telles intrusions que les habitants d'autres pays», d'autant plus que fournir leurs coordonnées peut aider à protéger les autres qui leur tiennent à cœur.

    Les verrouillages restreignaient la liberté plus que la recherche des contacts, une chose qui semblait également rendre les Coréens plus coopératifs. Grâce à ces mesures, ils sont convaincus qu’ils peuvent manger dans les restaurants et continuer les activités quotidiennes que la plupart des Américains évitent, même là où ils sont autorisés au milieu de la pandémie.

    Après avoir étudié la réponse de la Corée du Sud à la pandémie de coronavirus, les experts espèrent que l'Amérique pourra également trouver les ressources pour «une dernière impulsion pour des tests plus efficaces et des règles cohérentes sur les masques» d'ici le 20 janvier de l'année prochaine, deux facteurs qui peuvent réduire considérablement morts du coronavirus.

    Les États-Unis peuvent également bénéficier d’investissements dans la recherche des contacts, même ceux qui ne nécessitent pas de surveillance numérique.

    Ces mesures nécessitent une attention soutenue, suffisamment de temps et de ressources et le soutien actif du public, dont le dernier est parfois difficile à obtenir. Cependant, plus les gens coopèrent, plus vite l'Amérique pourra reprendre une vie plus normale.

    Sources include:

    Bloomberg.com
    Reuters.com

    https://www.naturalnews.com/2020-12-21-america-beat-coronavirus-by-studying-south-korea.html

    RépondreSupprimer
  38. Une étude suggère que l'ère glaciaire a été causée par le refroidissement global après une collision d'astéroïdes géants dans l'espace


    Lundi 21 décembre 2020
    par: Virgilio Marin


    (Natural News) Une équipe internationale de chercheurs suggère qu'une collision massive d'astéroïdes dans l'espace pourrait avoir déclenché l'ère glaciaire il y a 460 millions d'années. Dans une étude publiée dans la revue Science Advances, les chercheurs ont déclaré que la rupture d'un énorme astéroïde a envoyé des quantités massives de débris vrombissant à travers le système solaire, enveloppant la Terre d'une épaisse couche de poussière cosmique qui bloquait efficacement la lumière du soleil.

    «Nos résultats montrent pour la première fois qu'une telle poussière a parfois refroidi la Terre de façon spectaculaire», a déclaré l'auteur principal Birger Schmitz de l'Université de Lund en Suède et du Field Museum of Natural History de Chicago.

    La rupture d'astéroïdes averse la Terre avec de la poussière

    Les preuves géologiques montrent que la Terre a été plongée dans une ère glaciaire pendant la période de l'Ordovicien supérieur, il y a environ 466 millions d'années. Cette période a été marquée par le Grand Événement de Biodiversification de l'Ordovicien, au cours duquel plusieurs nouvelles espèces ont émergé et les animaux invertébrés de l'époque se sont diversifiés. Le mécanisme proposé pour cela, selon Schmitz, est l'âge glaciaire de l'Ordovicien. Mais on ne sait toujours pas ce qui a déclenché l'événement de refroidissement mondial.

    Les chercheurs ont recherché s'il existe un lien entre la période glaciaire et l'éclatement d'une roche de 150 km de large dans la ceinture d'astéroïdes, qui, selon l'équipe, livre encore des météores sur Terre à ce jour. L'équipe a recherché de la poussière spatiale dans les sédiments de l'Ordovicien supérieur trouvés dans une carrière suédoise et a comparé la poussière à de minuscules micrométéorites de l'Antarctique comme référence. La carrière était riche en météorites qui partagent la même composition les unes avec les autres, ce qui suggère qu'ils sont tous des débris de la même collision d'astéroïdes.

    «Nous avons étudié la matière extraterrestre, les météorites et les micrométéorites dans les archives sédimentaires de la Terre», a déclaré le co-auteur Philipp Heck de l'Université de Chicago et du Field Museum. «Et puis nous avons extrait la matière extraterrestre pour découvrir ce qu'elle était et d'où elle venait.»

    Pour extraire la matière extraterrestre, les chercheurs ont imbibé les roches anciennes d'acide qui a rongé la pierre et isolé des matériaux cosmiques, tels que des micrométéorites et de la poussière cosmique. L’équipe s’est assurée que ces fragments provenaient de l’espace en recherchant des isotopes qui apparaissent rarement dans les roches de la Terre. Par exemple, les atomes d'hélium dépourvus de neutron sont rares sur Terre, ce qui signifie que les roches ou la poussière contenant de tels isotopes peuvent provenir de l'espace.

    En appliquant ces mesures, les chercheurs ont découvert que d'énormes quantités de poussière à grains fins atteignaient la Terre peu de temps après la dissolution de l'astéroïde. «Normalement, la Terre gagne environ 40 000 tonnes de matériel extraterrestre chaque année. Imaginez multiplier cela par un facteur de mille ou dix mille », a déclaré Heck. (En relation: La pluie cosmique explique-t-elle le changement climatique? Les rayons cosmiques «pleuvent» dans l'atmosphère, influençant le temps.)

    Le niveau de la mer a chuté de façon spectaculaire dans le monde entier immédiatement après l'arrivée de la poussière, coïncidant avec le début de l'ère glaciaire de l'Ordovicien, selon les chercheurs. "Le timing semble parfait", a déclaré Schmitz.

    RépondreSupprimer
  39. La douche de poussière déclenche la diversification des formes de vie
    Les auteurs ont noté que la poussière a probablement flotté sur Terre pendant au moins deux millions d'années, provoquant un refroidissement progressif qui a permis à la vie de s'adapter aux températures plus froides. En fait, selon les chercheurs, cette période de refroidissement global aurait pu s'avérer bénéfique pour la vie, stimulant de nouvelles espèces et provoquant l'événement de biodiversification.

    «[Ce] refroidissement global était un léger coup de pouce. Il y avait moins de stress », a déclaré Heck.

    Les résultats de l'étude fournissent de nouvelles leçons pour la recherche sur le climat, d'autant plus que les scientifiques recherchent maintenant diverses méthodes artificielles pour refroidir la Terre. Une solution proposée consiste à placer les astéroïdes en orbite autour de la Terre de manière à ce qu'ils libèrent en permanence de la poussière fine et bloquent partiellement la lumière du soleil.

    Mais alors que la pluie de poussière pendant l'Ordovicien ultérieur avait été une aubaine pour la vie, Heck se méfiait de ces projets de géo-ingénierie et a déclaré: «[Si] quelque chose ne va pas, les choses pourraient devenir pires qu'avant.»

    Discoveries.news a plus d'informations sur les découvertes scientifiques sur l'histoire de la Terre.

    Les sources comprennent:

    ScienceDaily.com
    TheConversation.com
    Advances.ScienceMag.org

    https://www.naturalnews.com/2020-12-21-ice-age-from-global-cooling-after-asteroid-collision.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. (...) Une étude suggère que l'ère glaciaire a été causée par le refroidissement global après une collision d'astéroïdes géants dans l'espace (...)

      La suggestion dans le titre du mot 'suggère' relève plus de l'incompréhension enfantine que celle d'un étudiant. Car, notre planète (ex star échappée du 'big-bang') n'était qu'une masse de fer en fusion tournoyant dans l'espace glacial. C'est alors qu'un jour, elle rencontra une masse de glace qui ne l'éteignit pas comme la lune mais était juste à sa taille !
      L'eau est le feu entreprirent alors des millions de rapprochements et d'expropriations avant de s'unir en toutes amitiés.

      Supprimer
  40. Candace Owens défend les sceptiques du vaccin COVID-19 et évoque sa blessure «terrifiante» due au vaccin contre le VPH


    Lundi 21 décembre 2020
    par: JD Heyes


    (Natural News) La experte et auteure conservatrice Candace Owens a apporté son soutien aux Américains qui sont sceptiques quant à la sécurité de deux nouveaux vaccins COVID-19, dont beaucoup ont juré de ne pas prendre les concoctions expérimentales qui ont été précipitées avec seulement des tests limités.

    Owens a utilisé son style "ne pas prendre de prisonniers'' pour déchirer les critiques des sceptiques en matière de vaccins tout en se demandant s'il était même nécessaire de vacciner contre un virus qui, comme le SRAS, le MERS et la grippe porcine avant lui, était en passe d'épuiser un an après que les Chinois l'ont «introduit» dans le monde, a rapporté LifeSiteNews.

    Plus précisément, Owens a récemment raconté son expérience «terrifiante» avec le vaccin hautement controversé Gardisil HPV, fabriqué par Merck, qui a «changé à jamais» sa façon de voir tous les vaccins.

    De plus, maintenant que deux nouveaux vaccins COVID-19 ont été approuvés pour une utilisation d'urgence par la Food and Drug Administration (l'approbation du vaccin prend généralement environ cinq ans, en moyenne), il est extrêmement important pour tout le monde d'avoir de vrais avantages et inconvénients discussion sur la vaccination en général puisque «nous sommes plus éveillés en tant que société face aux maux de l'industrie pharmaceutique», ce qui, bien sûr, est incité à faire pression pour la vaccination obligatoire contre le coronavirus, a déclaré Owens dans une vidéo publiée sur Instagram cette semaine.

    Owens, qui donnera naissance à son premier enfant vers la fin du mois de décembre, répondait aux personnes qui, selon elle, lui ont demandé son avis à la suite d'une vidéo qu'elle a postée le 30 novembre demandant qui «faisait la queue pour le vaccin COVID-19 ?»

    "Combien d'entre vous allez être parmi les premiers à injecter ce vaccin expérimental, qui a été précipité, dans vos bras ?" Owens a demandé à l'époque. «J'ai été vraiment étonné de voir simplement le pouvoir de la propagande, et si les gens disent les choses assez souvent, les gens suspendent complètement la pensée critique.»

    LifeSiteNews a ajouté:

    RépondreSupprimer
  41. Le 11 décembre, la FDA a émis une autorisation d'utilisation d'urgence du vaccin à deux doses Pfizer-BioNTech COVID-19, qui utilise la technologie de l'ARN messager et doit être stocké entre -60 et -80 degrés Celsius. Le vaccin Pfizer a également été approuvé en Grande-Bretagne, au Canada, à Bahreïn, au Mexique et en Arabie saoudite.

    Jeudi, un panel d'experts indépendants a recommandé à la FDA de donner son approbation pour l'utilisation d'urgence d'un nouveau vaccin contre le coronavirus développé par Moderna.

    Mais Owens n'est pas à bord et elle fournit de l'oxygène à d'autres sceptiques du vaccin COVID, y compris des millions d'Américains qui ne sont pas du tout d'accord avec la vaccination obligatoire.

    Dans sa deuxième vidéo Instagram, la marque de feu conservatrice a expliqué comment sa réaction indésirable à une injection de VPH avait changé sa perspective - d'un «pro-vaxxer super ignorant» qui en acceptait volontiers un sur les conseils de son médecin à une personne qui n'est ni «explicitement pro». -vaccin »ou« explicitement anti-vaccin ».

    Au contraire, elle est maintenant «pro avec les gens utilisant leur cerveau et évaluant les risques et évaluant si c'est une bonne idée ou non de prendre un vaccin» - en particulier un vaccin qui est encore hautement expérimental.

    Elle a ajouté que notre société considérait ne pas vacciner nos enfants comme le «crime le plus grave contre l'humanité et nous n'avons même pas la discussion».

    "Nous avons été une société tellement vicieuse et dégoûtante contre les mères qui dénoncent leurs enfants blessés par les vaccins, nous les traitons comme si elles étaient toutes des théoriciens du complot fous", a-t-elle ajouté. «Maintenant que j'ai une plateforme, je veux l'utiliser pour soutenir ces mamans et dire que je vous crois. Tu sais, je te crois parce que… j'ai eu un vaccin. J'ai été blessé par le vaccin.

    Owens a déclaré que son expérience s'était produite à l'âge de 20 ans.

    «La première fois que j'ai eu la première partie de la série [HPV], dès qu'il m'a donné une injection, je me suis évanouie», a expliqué Owens, ce qui l'a secouée.

    À sa deuxième dose, «dès qu'ils ont mis le vaccin dans mon bras, non seulement je me suis évanoui à nouveau, mais quand je me suis réveillé, j'ai immédiatement commencé à vomir et à avoir des convulsions partout dans mon infirmière», a-t-elle expliqué.

    RépondreSupprimer
  42. Ses médecins lui ont alors recommandé de ne pas prendre la troisième dose.

    Cette expérience «a changé à jamais mon opinion sur les vaccins, ce qui signifie que je ne serais jamais, jamais, jamais une personne qui recevrait simplement le vaccin parce que le médecin l'a dit», a déclaré Owens.

    «Nous devrions toujours faire une pause et poser des questions.»

    Voir plus de rapports comme celui-ci sur Vaccines.news.

    Les sources comprennent:

    LifeSiteNews.com
    Instagram.com
    NYTimes.com

    https://www.naturalnews.com/2020-12-21-candace-owens-sticks-up-skeptics-covid-19-vaccine-terrifying-injury.html

    RépondreSupprimer
  43. Montée de la délinquance en Île-de-France: «On assiste à la dépravation morale des délinquants»


    18:21 22.12.2020
    Par Victor Lefebvre


    Selon une enquête récente, le nombre de personnes se déclarant victimes d’actes de délinquance ne cesse d’augmenter. Si cette inflation inquiète, c’est surtout le basculement vers la violence gratuite qui rend la situation préoccupante, selon Laurent Lemasson, de l’Institut pour la justice.

    Jusqu’où ira la montée de la délinquance sur le territoire français ? Publiée le 16 décembre dernier, une enquête réalisée par l’Institut Paris Région, un organisme rattaché à la région Île-de-France, révèle une inflation constante des actes de délinquance dans la région entre 2017 et 2019. Menée sur «10.500 Franciliennes et Franciliens âgés de 15 ans et plus, représentatifs de la population régionale par département», l’étude illustre la gravité de la situation.

    Un Francilien sur cinq dit avoir être victime d’agression ou de vol

    Les chiffres fournis par le document de près de 70 pages sont sans appel: parmi les personnes sondées, plus d’un Francilien sur cinq (22%) déclare ainsi avoir été personnellement victime d’agression ou de vol, contre 17,4 % en 2017. Plus inquiétant: «Il s’agit du taux le plus élevé depuis le début de la mesure de cet indicateur en 2001.»

    Les chiffres de la délinquance en Île-de-France, en 2019

    Une nouvelle illustration de l’«ensauvagement d’une partie de la société», dénoncé par Gérald Darmanin l’été dernier ? S’il admet la pertinence du terme, Laurent Lemasson, responsable des publications de l’Institut pour la justice, veut aller plus loin que les seules statistiques:

    «”L’ensauvagement” ne traduit pas seulement l’augmentation statistique du nombre d’actes de délinquance, il reflète aussi un phénomène d’ordre moral: la dépravation morale des délinquants, c’est-à-dire le fait qu’ils soient de plus en plus violents et “audacieux” dans leurs agissements», analyse-t-il.
    Le phénomène le plus inquiétant serait ainsi la montée en puissance de la «violence gratuite, avec des coups et blessures sans motif crapuleux apparent». Une inflation là encore difficile à mesurer statistiquement. «C’est par exemple l’automobiliste qui va se faire tabasser parce qu’il a fait un appel de phares, ou le père de famille qui se fera rouer de coups s’il a demandé à une bande de jeunes de faire moins de bruit dans la rue», énumère Laurent Lemasson.

    Triplement du nombre d’atteintes sexuelles

    Un chiffre en particulier cristallise ce «sentiment d’insécurité»: selon 40,9% des usagers, les transports en commun sont décrits comme «anxiogènes». Ce sentiment de peur croît partout depuis 2017, aussi bien dans le bus, le tramway (+2,3 points), le train (+1,9), le métro (+2), que le RER (+1,4). Et la réalité pourrait être pire, selon Laurent Lemasson:

    RépondreSupprimer
  44. «Les statistiques ne permettent d’appréhender qu’une partie de la réalité de l’insécurité. Le “sentiment d’insécurité” n’est pas une plainte qui se fonde sur la lecture des statistiques. Elle se fonde sur l’expérience quotidienne, et les chiffres n’en reflètent qu’une partie.»

    Si l’approche statistique montre ses limites, certains chiffres demeurent particulièrement évocateurs et préoccupants. Ainsi en est-il de l’augmentation du nombre d’atteintes sexuelles dans la région, lesquelles ont plus que triplé en vingt ans, passant d’un taux de déclaration de 0,7% à 2,4%.

    Dans les quartier, «la loi commune ne s’applique plus»

    Le dernier point important concerne l’insécurité vécue dans les banlieues franciliennes. D’après l’étude de «victimation», ce sont sans surprise la drogue et le vandalisme qui gâchent la vie de plus de 40% des déclarants en Seine-Saint-Denis, soit 10 points au-dessus des autres départements franciliens.

    La drogue et le vandalisme gâchent la vie de plus de 40 % des déclarants en Seine-Saint-Denis (10 points au-dessus des autres départements). Même écart s’agissant des bandes (38,9 % souffrent de leurs agissements dans le 93, contre 28,3 % à Paris).

    L’écart est quasiment identique concernant les bandes: 38,9% souffrent de leurs agissements dans le 93, contre 28,3% à Paris. Les habitants des banlieues sont-ils ainsi les premières victimes de la montée de la délinquance? Pour Laurent Lemasson, cela ne fait aucun doute.

    «C’est une vérité criminologique bien connue: les premières victimes des délinquants sont très largement des gens sociologiquement proches des délinquants eux-mêmes. Ces derniers ne vont pas chercher très loin leurs victimes. La concentration de délinquance dans les quartiers dits “sensibles” a pour conséquence que la loi commune ne s'y applique plus au quotidien: la police et la justice y interviennent de manière notablement différente par rapport au reste du territoire.»

    Preuve à l’appui, c’est aussi dans le 93 que plus d’un habitant sur deux trouve la «police insuffisante, voire insignifiante», quand les taux s’élèvent à 42 % et 41,2 % dans le Val-d’Oise et la Seine-et-Marne.

    RépondreSupprimer
  45. Électricité: les prix flambent à cause du Covid, mais surtout de l’UE


    20:00 22.12.2020
    Par Maxime Perrotin


    La facture d’électricité des ménages devrait s’alourdir plus que prévu en 2021. Outre la hausse des taxes et la surconsommation due au confinement, la préservation de la concurrence sur le marché français édictée par la Commission européenne impose une hausse supplémentaire des tarifs. Bruxelles veut empêcher de favoriser EDF et Engie. Éclairage !

    La facture énergétique des Français s’alourdira. Et pas qu’un peu! Pour l’heure, une hausse «d’au moins 2 %» des prix serait envisagée par la Commission de régulation de l'énergie (CRE) dès janvier prochain, d’après les informations du Parisien.

    Cette hausse représenterait 30 euros par an et par foyer. Elle serait une répercussion du surplus de 20% de la consommation d’électricité des particuliers lors du second confinement, selon Engie, rapportait Europe 1.

    La radio revient ainsi sur les «mauvaises surprises» que les Français pourraient avoir à la réception de leur facture de régularisation annuelle. En somme, ce serait «à cause de la crise sanitaire» que les prix augmenteront… du moins, qu’ils augmenteront davantage que prévu.

    Peut-on vraiment expliquer la hausse (permanente) des prix de l’électricité par la seule surconsommation (ponctuelle) provoquée par une présence accrue des Français à leur domicile ? Ce serait faire l’impasse sur les dynamiques qui régissent les prix de l’électricité. La tendance est lourde: comme le soulignait TF1 le 21 décembre, la facture des Français a augmenté de 49% en une décennie, passant de 1.019 euros à 1.522 euros par an en moyenne pour une famille de quatre personnes. Le Parisien, qui a levé le lièvre, revient sur l’une des causes: le jeu de l’offre et de la demande sur le «marché de capacité» de la production électrique.

    Des cours qui flambent sur un marché libéralisé par l’UE

    Depuis plusieurs années, la Commission européenne impose l’ouverture des marchés à la concurrence. Dans ce contexte, les monopoles d’EDF (ex-numéro un mondial de la production d’électricité) et GDF (devenu Engie après fusion avec Suez) ont été brisés non seulement par leur privatisation, mais également via l’arrivée de fournisseurs dits «indépendants», distincts des producteurs.

    Ces nouveaux intermédiaires, privés, ne produisent pas tous l’énergie qu’ils revendent à leurs clients français et s’approvisionnent ainsi majoritairement auprès d’EDF, qui est obligé de vendre 25% de sa production nucléaire à prix cassé.

    En théorie, au-delà de briser toute position monopolistique sur le marché européen, cette mise en concurrence vise à tirer les prix vers le bas pour le consommateur final. Dans les faits, on a assisté à la démultiplication d’acteurs achetant sur un même marché l’énergie qu’ils revendent. D’où la flambée des cours observée ces derniers mois.

    Ainsi, face à la hausse de la consommation, aux incertitudes suscitées par la crise (notamment le report de l’entretien des centrales nucléaires) et aux décisions purement politiques (comme la fermeture de Fessenheim qui pourrait provoquer des épisodes de black-out cet hiver), les fournisseurs se sont rués sur le marché. «Le mégawatt (MW) s'est vendu jusqu'à 53.000 euros lors des enchères d'octobre, note Albert Codinach, le PDG de Planète OUI», l’un de ces fournisseurs indépendants, souligne notamment Le Parisien. Un prix trois fois plus élevé que le prix moyen de l’an passé.

    RépondreSupprimer
  46. À première vue, la situation ne devrait pas inquiéter les clients restés chez EDF. Cependant, la démultiplication des fournisseurs qui comptent sur le nucléaire à bas coût des centrales françaises génère des difficultés d’accès et donc des surcoûts. Or ces surcoûts sont pris en compte par l’État dans la régulation des tarifs. L’objectif ? Ne pas pénaliser les nouveaux concurrents face aux acteurs historiques, comme l’expliquait le directeur de l’association de défense des consommateurs CLCV au micro de France info lorsqu’une augmentation de 5,9% des tarifs de l’électricité avait été annoncée pour le 1er juin 2019.

    De la part des autorités, il ne s’agit donc plus de limiter la casse pour les Français en faisant correspondre les hausses tarifaires de l’électricité à celles des coûts, mais de préserver la rentabilité des concurrents des fleurons nationaux, comme l’exige Bruxelles.

    Un cocktail de taxes revues à la hausse

    Pour autant, l’État n’est pas à plaindre. Rappelons qu’une part importante (environ 37%) de la somme réglée par les Français, tant sur leurs abonnements que sur leurs consommations d’électricité, sont des taxes. Hormis la TVA qui s’applique à hauteur de 5,5% sur l’abonnement et 20% sur le kWh et… leurs taxes, on retrouve la Contribution tarifaire d’acheminement (CTA). Destinée à équilibrer le régime des retraites des personnels d’EDF-GDF, la CTA pèse pour près de 15% du prix de l’abonnement. La Contribution au service public de l'électricité (CSPE) finance, quant à elle, le développement des énergies renouvelables. Son poids: 15% du prix du kWh. S’ajoute à cela la Taxe sur la consommation finale d'électricité (TCFE) qui est destinée à alimenter les budgets des collectivités territoriales.

    À chaque hausse assenée aux usagers, les recettes fiscales augmentent mécaniquement en conséquence. Et ce, quel que soit le fournisseur! De surcroît, les prélèvements obligatoires ont tendance à augmenter naturellement. Sans lien direct avec les conséquences de la régulation de la concurrence.

    En 2021, la TCFE devrait faire un bond. Cette taxe est subdivisée en trois parties respectivement à destination des communes (TCCFE), des départements (TDCFE) et de l’État (TICFE). Elle sera «harmonisée» par Bercy au 1er janvier. Ne restera plus que la TICFE, régie par l’État. Or, jusqu’à présent, communes et départements n’appliquaient pas systématiquement le taux maximal d’imposition offert par cette taxe, comme le souligne le site energietoutcompris, de Total (là encore un opérateur alternatif). Mais la loi de finances «prévoit le passage obligatoire au taux maximum à l’horizon 2023». Surplus estimé sur la facture annuelle par foyer: entre 55 et 110 euros suivant les taux qui étaient jusqu’à présent appliqués.

    D’un montant de 0,5 euro par MWh en 2015 et ne s’appliquant qu’aux plus gros consommateurs (industriels), la TICFE avait été instaurée afin de répondre aux exigences de Bruxelles en matière de libéralisation du marché de l’électricité en France. Elle s’établit aujourd’hui à 22,5 euros par MWh et concerne tous les consommateurs. Soit une multiplication par 45 en quelques années, en partie suite à l’absorption d’une autre taxe sur l’électricité: la CSPE, qui vise à financer la transition écologique.

    Entre la tendance de l’exécutif à augmenter les taxes pour éviter d’avoir à assumer une hausse d’impôts, les exigences de Bruxelles en matière de concurrence ou encore le besoin de trouver des financements toujours plus importants pour les énergies renouvelables, l’augmentation de la facture d’énergie des Français a de beaux jours devant elle.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Comme pour les FAI (lignes appartenant à FranceTélécom), les déplacements y circulent à prix cassés, oui mais, la dictature (Bruxelles and Cie) à décidé (sans demander aux usagers puisque c'est une dictature et non une Démocratie comme en Suisse) que les achemineurs devaient s'ouvrir obligatoirement à la concurrence !!! par exemple ouvrir obligatoirement votre logement à des immigrés !
      Donc, résultat des courses, comme un fonctionnaire coûte plus cher à entretenir, les prix publics sont plus élevés que les prix privés.

      Et comme la dictature impose des taxes aux taxes taxées, elle ruine tout le monde non pas par manque d'électricité (ce qui est rare est cher) car, les magasins et entreprises étant fermés ils et elles n'utilisent pas d'électricité, mais parce que les voisins (équipées d'éoliennes HAHAHA ! et de panneaux solaires HAHAHA !) n'ont donc plus d'électricité !! HAHAHA ! Et donc, mendient et achètent (à prix cassés) de l'électricité nucléaire à la France ! Et donc, si l'électricité française doit éclairer toute l'Europe il est normal qu'il n'y en ait plus en France et qu'elle soit très chère !!

      Faut dire que l'électricité nucléaire est 100 fois moins chère que celle des éoliennes (qui consomment plus qu'elles ne peuvent produire !!) et celles des panneaux solaires (sous les nuages 9 fois sur 10 ! HAHAHA !).

      Supprimer
  47. Noël coûte moins cher qu’auparavant

    Le coût de biens de consommation typiques a baissé avec le temps, lorsqu’on le mesure en heures de travail requises pour se les procurer.


    23 DÉCEMBRE 2020
    Par David Descôteaux.


    Lorsque Noël approche, la consommation et le pouvoir d’achat sont des thèmes qui font régulièrement les manchettes. Sur ce sujet, on entend souvent dire que « tout coûte plus cher » ou que « notre pouvoir d’achat stagne ».

    QU’EN EST-IL VRAIMENT ?

    Les discussions portant sur le pouvoir d’achat mettent souvent l’accent sur l’évolution des salaires ou celle des prix. Or, ce genre de comparaison occulte un facteur important qui est que notre capacité à nous procurer des biens augmente constamment : la productivité.

    En effet, lorsqu’on évalue le pouvoir d’achat en mesurant le coût des biens et services en temps de travail nécessaire pour se les procurer, le portrait change considérablement. On constate alors une grande différence entre ce que nous pouvons consommer aujourd’hui par rapport à il y a une trentaine d’années.

    Pour illustrer cette réalité souvent oubliée, nous avons comparé les prix en 2018 d’un panier de biens pouvant être offerts aujourd’hui en cadeau à Noël avec les prix de ces mêmes biens en 19841.

    Afin de bien mesurer le pouvoir d’achat, nous avons également tenu compte du salaire horaire du travailleur canadien moyen en 1984 et en 20182. Ainsi, nous avons pu établir combien de temps quelqu’un devait travailler à l’époque pour se payer une console de jeu vidéo ou un téléviseur, par exemple, et combien de temps ce quelqu’un doit travailler encore aujourd’hui pour se procurer ce même bien ou l’équivalent le plus proche. La comparaison ne se veut pas scientifique en soi, mais elle reste éclairante.

    LE TEMPS, C’EST DE L’ARGENT

    Par exemple, pour un téléviseur couleur 20 pouces à tube cathodique, un salarié devait travailler 49 heures en 1984, soit plus d’une semaine de travail. En 2018, il peut s’acheter une télé couleur 20 pouces à écran plat en passant neuf heures au bureau ou à l’usine, soit à peine plus d’une journée de travail. Il peut aussi commander ce même téléviseur sur Internet et s’épargner le déplacement !

    Un téléphone sans fil pour la maison nécessitait presque dix heures de travail en 1984. En 2018, un salarié ne doit travailler que deux heures et quart pour acquérir un produit similaire, dont les capacités sont pourtant supérieures. Dans la même veine, une calculatrice scientifique Sharp coûtait, en temps de travail, quatre fois plus au salarié de 1984 qu’elle en coûte au salarié de 2018. Et la calculatrice scientifique de l’époque avait 61 fonctions… contre 640 pour celle d’aujourd’hui !

    Même des biens de consommation sans composante technologique importante représentent des aubaines aujourd’hui, quoique les écarts soient parfois moins spectaculaires.

    Par exemple, un petit congélateur (4 m3) nécessitait 25 heures de travail en 1984, comparativement à 16 heures aujourd’hui. Le temps de travail nécessaire pour se procurer une scie circulaire (4,5 heures en 1984 contre 2,5 heures en 2018) ou un fer à repasser (3,5 heures en 1984 contre 2 heures en 2018) a aussi fortement diminué. Pour certains biens, le coût en heures aujourd’hui est toutefois presque le même qu’en 1984.

    RépondreSupprimer
  48. Par exemple, un ensemble Lego de 335 pièces coûtait 2,9 heures de travail en 1984, alors qu’un autre ensemble comptant le même nombre de pièces coûte 2,7 heures de travail aujourd’hui.

    Ainsi, en reconstruisant un panier de biens que l’on pourrait retrouver sous le sapin de Noël d’une famille (voir le Tableau 1), on constate que les biens du panier de 2018 coûtent environ moitié moins que ceux de 1984, mesuré en heures travaillées – l’écart moyen étant de 47 %3.

    - voir cadre sur site -

    De plus, dans la grande majorité des cas, les biens d’aujourd’hui sont de meilleure qualité et offrent un plus grand nombre de fonctionnalités. La plupart est aussi moins énergivore et polluante que leurs prédécesseurs équivalents (on peut penser par exemple à certains appareils électroménagers ou aux automobiles).

    Il se peut que certains appareils modernes aient une durée de vie moindre, mais lorsqu’on tient compte de leurs coûts relativement faibles par rapport à leurs ancêtres de 1984, les économies générées compensent généralement et amplement la moindre durée de vie, s’il y a lieu.

    POURQUOI NOTRE NIVEAU DE VIE AUGMENTE-T-IL ?

    Si le coût en temps de travail de biens de consommation typiques a eu tendance à baisser avec le temps, c’est principalement en raison de la hausse générale de la productivité. Les investissements en capital au fil du temps par les entreprises, de même que l’innovation technologique, permettent en effet d’augmenter grandement la productivité tant des machines que celle des travailleurs, ces derniers disposant ainsi d’outils plus performants4.

    À ceci s’ajoute la croissance du capital humain, soit les connaissances et compétences que les travailleurs acquièrent par l’éducation, la formation et l’expérience, qui haussent la valeur du travail et, par effet d’entraînement, le salaire moyen5. La concurrence et les gains d’efficience qu’a entraîné le commerce international ont également participé au phénomène6.

    D’ailleurs, même en ignorant le calcul en temps de travail, les prix ajustés pour l’inflation de plusieurs de ces biens sont plus bas qu’il y a une génération7. Le résultat final est que le travailleur moyen canadien améliore avec le temps son pouvoir d’achat réel par heure travaillée.

    On a parfois l’impression que le salarié moyen peine à joindre les deux bouts, et c’est vrai à certains égards ; le prix de l’immobilier, par exemple, peut représenter un défi dans certaines villes. Cela ne doit pas faire oublier qu’à bien d’autres égards, ce travailleur n’a jamais été aussi riche, et que cet enrichissement est dû en grande partie à un environnement économique favorable aux échanges commerciaux et à l’investissement.

    Ce serait un beau cadeau de Noël de la part de nos politiciens de continuer à encourager cette diffusion des bénéfices de la croissance économique.

    Article initialement publié en décembre 2018.

    RépondreSupprimer
  49. Sur le web

    1
    Nous avons constitué à cette fin un panier pour une famille composé de cadeaux destinés à des enfants et des adultes. Pour montrer l’effet de l’augmentation du pouvoir d’achat indépendamment de l’arrivée de nouvelles technologiques, nous avons choisi un nombre important de produits non technologiques.

    2
    L’année 1984 est la deuxième série la plus lointaine où les données sur la rémunération horaire moyenne des travailleurs canadiens (tirés de l’EERH de Statistique Canada) sont disponibles pour l’ensemble des secteurs. Les données concernent les salariés rémunérés à l’heure (temps plein et partiel) et n’incluent pas le temps supplémentaire.
    Cette même année permet aussi de comparer avec les prix affichés dans le catalogue Distribution aux consommateurs 1984-1985, disponible sur le site Catalogues Québec.

    3
    Nous avons fait le choix de simplement additionner tous les écarts pour en faire ensuite une moyenne non pondérée, de façon à ce qu’un fer à repasser compte autant dans le calcul qu’un ordinateur iMac.
    L’économie aurait été encore plus grande si nous avions pondéré les résultats en fonction du prix des biens : en 1984, le salarié moyen devait consacrer trois fois et demie plus d’heures de travail qu’aujourd’hui pour acquérir le panier au complet. ↩

    4
    Statistique Canada, Tableau 36-10-0208-01 : Productivité multifactorielle, valeur ajoutée, facteur capital et facteur travail dans le secteur agrégé des entreprises et ses principaux sous-secteurs, selon des industries. Consulté le 30 novembre 2018.

    5
    N. Gregory Mankiw, Germain Belzile et Benoît Pépin, Principes de macroéconomie, 2e édition, Modulo, 2014, p. 140-141.

    6
    Mathieu Bédard, « ALÉNA : les critiques de Donald Trump ne sont pas fondées », Le Point, IEDM, juillet 2016.

    7
    Steven Horwitz, « Inequality, Mobility, and Being Poor in America », Social Philosophy and Policy, vol. 31 no 2, printemps 2015, p. 81. Bien que l’étude citée porte sur les États-Unis, le phénomène à l’œuvre est, de façon générale, le même au Canada.

    https://www.contrepoints.org/2020/12/23/333354-noel-coute-moins-cher-quauparavant

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est discutable car
      1°) on ne peut plus aller couper son sapin gratuit à la montagne et le rapporter chez soi !!
      2°) Les bûches pâtissières vendues y a 4 ou 5 ans à 2 € ne sont même plus présentes aux Intermarchés, Super U, Auchan, Lidl ou Aldi !! et, sont remplacées par des petits moignons de bûches composées de beurre glacé et beaucoup de sucre et colorants à 20 ou 30 euros !!! pour les plus cons !
      3°) Les guirlandes lumineuses coûtent et reviennent de plus en plus chères cause aux hausses des coûts de l'électricité.
      Bref, le 'père noel' ressemble de plus en plus au 'père François' !!

      Supprimer
  50. Les travailleurs hospitaliers refusent le vaccin COVID: "Il y a trop de méfiance"



    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 22 DÉC 2020-15: 25


    Moins d'une semaine après avoir signalé une résistance généralisée parmi les travailleurs de la santé dans un hôpital de Chicago, Ayla Ellison de BeckersHospitalReview.com rapporte que le virus de la méfiance à l'égard des vaccins se propage ...

    De nombreux employés de l'hôpital universitaire Howard à Washington, D.C., ont des réserves quant à la prise du vaccin COVID-19, et la PDG Anita Jenkins essaie d'inciter les travailleurs à suivre son exemple en se faisant vacciner, selon CNN.

    L'hôpital, un important fournisseur de soins de santé pour la communauté noire, a reçu 725 doses du vaccin Pfizer le 15 décembre et s'attend à recevoir un deuxième envoi cette semaine. Au 18 décembre, seuls environ 600 des 1 900 employés de l'hôpital s'étaient inscrits pour les vaccins, selon Kaiser Health News.

    «Il y a un niveau élevé de méfiance et je comprends», a déclaré Mme Jenkins à Kaiser Health News.

    "Les gens ont vraiment peur du vaccin."

    Les chiffres de vaccination, bien que faibles, ont tout de même dépassé les attentes, a déclaré Mme Jenkins à CNN. Une enquête interne à l'hôpital auprès d'environ 350 employés début novembre a montré que 70% n'étaient pas disposés à prendre le vaccin COVID-19 ou ne le prendraient pas immédiatement après sa disponibilité.

    Mme Jenkins a reçu le vaccin le 15 décembre dans l'espoir d'inciter le personnel à se faire vacciner. Elle fait partie d'un effort généralisé d'experts de la santé et de dirigeants communautaires pour lutter contre l'hésitation à la vaccination chez les Noirs américains. Selon une étude de la Kaiser Family Foundation citée par CNN, environ 35% des Noirs américains ont déclaré qu'ils n'obtiendraient probablement ou certainement pas le vaccin s'il était jugé sûr par les scientifiques et largement disponible gratuitement.

    L'hôpital universitaire Howard n'est pas le seul fournisseur de soins de santé dont les travailleurs ont refusé le vaccin.

    Au Doctors Hospital de Renaissance à Edinburg, au Texas, tant de travailleurs ont refusé le vaccin COVID-19 que l'hôpital a offert des doses à d'autres travailleurs médicaux de la région, selon ProPublica.

    L'hôpital a reçu 5850 doses du vaccin, et il est rapidement devenu clair que le nombre insuffisant de personnes éligibles au vaccin, comme le personnel travaillant directement avec les patients COVID-19, choisissait de l'obtenir, a déclaré à ProPublica le directeur marketing de DHR Health, Robert Martinez, MD.

    «Vous commencez à voir des chiffres similaires à travers le pays, toute cette méfiance et cette désinformation», a déclaré le Dr Martinez.

    Après le premier jour de distribution, DHR a contacté d'autres hôpitaux et établissements de santé de la région pour offrir des doses du vaccin. ProPublica a rapporté que le vaccin a fini par être envoyé au personnel non médical également, y compris le sénateur de l'État Eddie Lucio Jr.Il a déclaré à ProPublica qu'il avait été invité à prendre le vaccin par DHR après que des responsables lui aient expliqué que tous les travailleurs éligibles qui voulaient le vaccin avaient reçu il.

    Bref, comme nous l'avons noté précédemment, personne ne veut être un cobaye.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/hospital-workers-turn-down-covid-vaccine-theres-too-much-mistrust

    RépondreSupprimer
  51. Frénésie des maisons mobiles: les expéditions de VR montent en flèche de 43 % en novembre


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 22 DÉC 2020-20: 25
    L'engouement pour les VR en Amérique continue.


    Selon l'enquête de la RV Industry Association auprès des fabricants nord-américains, les expéditions de véhicules tout-terrain remorquables ont grimpé de 46,3 % en novembre à 38485 contre 26297 un an plus tôt, toutes les expéditions de camping-cars ont augmenté de 20,3 % le mois dernier à 4028 contre 3347, et les expéditions totales de VR ont augmenté de 43,4 %. en novembre à 42 513 de 29 644.

    Comme les Américains ne peuvent plus se permettre d'acheter des maisons «stationnaires», ils se tournent de plus en plus vers des variantes mobiles (ou peut-être veulent-ils simplement pouvoir se disperser à tout moment), et jusqu'à présent de cette année à novembre, des expéditions de VR entièrement remorquables a totalisé 353 109 contre 334 792 de la période précédente, soit une croissance de 5,5 % en glissement annuel.

    Toutes les expéditions de camping-cars ont totalisé 36 921 comparativement à 43 762, soit une baisse de 15,6 %. Les expéditions totales de VR ont totalisé 390 030 comparativement à 378 554, soit une augmentation de 3,0 %.

    https://www.zerohedge.com/economics/mobile-home-frenzy-rv-shipments-soar-43-november

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. L'électricité gratuite, non polluante et présente 24/24 h est possible grâce à l'implantation d'une roue à aubes sur une rivière. La dynamo fournit de l'énergie gratuite 24/24 h;
      Pour boire de l'eau pure: Prendre une boite de conserve et la remplir d'eau sale (salée, noire, urine, etc) et la poser au centre d'une poêle posée sur le feu.
      Y ajouter une grande boite ou marmiton retourné dans la poêle.
      L'eau sale va bouillir, l'évaporation va créer des gouttelettes au fond de la grande boite ou marmiton et vont s'écouler le long des parois intérieures vers la poêle.
      Cette eau est pure ! Claire, sans goût, sans odeur et sans bactérie !

      (c'est ce que fait constamment le magma avec l'eau sale des mers & océans qui s'infiltre vers lui et qui est chauffée/bouillie et remonte vers les nappes phréatique et sources de montagnes !).

      - 'Maison mobile', voir le film 'Ultimate Engame' tourné à Plaquemine LA); Hahaha !

      Supprimer
  52. Pourquoi la grippe a-t-elle disparu ?


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    23 décembre 2020


    Le COVID-19 faisant toujours la une des journaux, la grippe (grippe) a été remarquable en son absence, en particulier pendant ce qui est généralement la saison de pointe de la grippe. Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis suivent chaque semaine les décès dus à la grippe et à la pneumonie par le biais du système de rapport de mortalité du National Center for Health Statistics (NCHS).

    Il crée également une estimation préliminaire du fardeau de la grippe saisonnière, basée sur les taux bruts d'hospitalisations pour grippe confirmées en laboratoire. Ces estimations visent à donner une idée du nombre de personnes qui ont été malades ou sont décédées de la grippe au cours d'une saison donnée - c'est-à-dire, sauf pour 2020.

    «Le 4 avril 2020, c'était la dernière semaine où des estimations préliminaires du fardeau de la saison ont été fournies», a écrit le CDC sur sa page Web de la saison grippale 2019-2020 aux États-Unis.1 La raison pour laquelle les estimations se sont arrêtées en avril est que les cas de grippe ont chuté si bas qu'ils valent à peine le suivi. Dans une mise à jour publiée le 3 décembre 2020, le CDC a déclaré: 2

    «Le modèle utilisé pour générer des estimations préliminaires du fardeau de la grippe pendant la saison utilise les données d'hospitalisation de la saison en cours. Les hospitalisations pour grippe signalées sont trop faibles à l'heure actuelle pour générer une estimation. »

    Ils ont également ajouté: «Le nombre d'hospitalisations estimé jusqu'à présent cette saison est inférieur aux estimations d'hospitalisations totales de fin de saison pour n'importe quelle saison depuis que les CDC ont commencé à faire ces estimations.» 3

    Les décès dus à la grippe chutent alors que les cas de COVID augmentent

    À la fin de l'été 2020, des avertissements ont fait surface selon lesquels il pourrait bientôt y avoir un «jumeau» de la grippe et du COVID-19 qui décimerait le monde.4 Jusqu'à présent, cela ne s'est pas produit. Aux États-Unis, le CDC a signalé que le pourcentage d'échantillons respiratoires soumis à des tests de grippe dont le test était positif était passé de plus de 20 % à 2,3 % depuis le début de la pandémie.

    En date du 18 septembre 2020, ils ont noté que les tests positifs pour la grippe étaient «restés à des niveaux intersaisonnels historiquement bas (0,2 % contre 1 à 2 %).» 5 En outre, du 29 septembre 2019 au 29 février 2020 au 1er mars au 1er mai Le 16 janvier 2020, le CDC a noté une diminution de 98 % de l'activité grippale.6

    Des baisses similaires ont été observées dans le monde entier, y compris dans les pays de l'hémisphère sud que sont l'Australie, le Chili et l'Afrique australe, qui servent souvent de sentinelles pour l'activité grippale aux États-Unis.

    Les trois zones ont eu une activité grippale très faible de juin à août 2020, qui est leur saison grippale de pointe. D'avril à juillet 2020, seuls 33 résultats de tests positifs pour la grippe ont été détectés en Australie; 12 au Chili; et six en Afrique du Sud, pour un total de 51 tests positifs. À titre de comparaison, entre avril et juillet de 2017 à 2019, 24512 échantillons ont été testés positifs pour la grippe.7

    RépondreSupprimer
  53. On pensait initialement que les fortes baisses de l'activité grippale étaient dues à une diminution des tests, car les personnes présentant des symptômes respiratoires ont probablement reçu des tests COVID-19 à la place. Cependant, selon le CDC, les responsables de la santé publique ont fait un effort concerté pour tester la grippe, et même si «des nombres adéquats» ont été testés, peu ou pas de virus grippal a été détecté.

    En Australie, pendant ce temps, ils ont testé «nettement plus d'échantillons pour la grippe» cette saison que d'habitude, mais ont encore détecté très peu de cas de grippe.8 Alors qu'est-il arrivé à la grippe?

    Le suivi CDC combine les décès dus au COVID, à la grippe et à la pneumonie

    Les décès «COVID» signalés par les CDC sont en fait une combinaison de décès par pneumonie, grippe et COVID, dans une nouvelle catégorie répertoriée comme «PIC» (pneumonie, grippe, COVID).

    Leur page Web COVIDView, qui fournit un résumé hebdomadaire de la surveillance de l'activité du COVID-19 aux États-Unis, indique que les niveaux de SRAS-CoV-2, le virus responsable du COVID-19, et les «maladies associées» ont augmenté depuis septembre 2020, tandis que le pourcentage des décès dus à la pneumonie, à la grippe et au COVID-19 est en hausse depuis octobre.9

    Comme le note le professeur William M. Briggs, consultant statistique et conseiller politique au Heartland Institute, un groupe de réflexion sur le marché libre, dans la vidéo ci-dessus, «les CDC, jusqu'en juillet 2020 environ, comptaient séparément les décès dus à la grippe et à la pneumonie, cela pour toujours, puis mystérieusement arrêté… Il est devenu très difficile de faire la différence entre ces deux éléments », se référant au suivi combiné des décès de« PIC ». Ils utilisent même PIC pour déclarer que les cas sont au-dessus du seuil épidémique: 10

    «Sur la base des données du certificat de décès, le pourcentage de décès attribués au PIC pour la semaine 49 était de 14,3% et reste au-dessus du seuil épidémique.

    Les pourcentages hebdomadaires de décès dus au PIC ont augmenté pendant sept semaines du début octobre à la mi-novembre et devraient augmenter au cours des semaines les plus récentes à mesure que des données supplémentaires sont communiquées. Les taux d'hospitalisation pour la semaine la plus récente devraient également augmenter à mesure que des données supplémentaires seront communiquées. »

    Les masques et les verrouillages ont-ils arrêté la propagation de la grippe ?

    Il pourrait sembler que la grippe n’ait pas simplement disparu dans les airs, mais que des cas pourraient être confondus avec COVID-19 - ou même intentionnellement mal étiquetés en tant que tels. Une autre théorie se concentre sur l'interférence virale, qui est le phénomène dans lequel une cellule infectée par un virus devient résistante à d'autres virus11; fondamentalement, les cellules sont rarement infectées par plus d'un virus, donc le COVID-19 pourrait l'emporter sur la grippe.

    Cependant, comme le COVID-19 est un virus si nouveau, seule une minorité de la population ayant été exposée, il devrait y avoir encore beaucoup de place pour que la grippe se propage.12

    Selon le CDC, cependant, les cas de grippe ont commencé à diminuer en réponse à «l'adoption généralisée de mesures d'atténuation communautaires pour réduire la transmission du SRAS-CoV-2». En d'autres termes, ils pensent que les cas de grippe ont chuté en raison de l'adoption généralisée du port de masque, de la distanciation sociale et des verrouillages.

    Dans leur rapport hebdomadaire du MMWR publié le 18 septembre 2020, ils déclarent: «Aux États-Unis, la circulation du virus de la grippe a fortement diminué dans les 2 semaines suivant la déclaration d'urgence COVID-19 et la mise en œuvre généralisée de mesures d'atténuation communautaires, y compris la fermeture d'écoles, la distanciation sociale et le port du masque, bien que le moment exact varie selon le lieu. »13

    RépondreSupprimer
  54. Mais là encore, cela laisse de nombreuses questions sans réponse, la principale étant pourquoi, si les efforts d'atténuation du COVID-19 sont si efficaces contre la propagation de la grippe, les cas de COVID continuent-ils d'augmenter? Les deux virus se propagent essentiellement de la même manière. Comme l'a dit le journaliste scientifique irlandais Peter Andrews dans RT: 14

    «L'establishment scientifique forme rapidement des rangs derrière la théorie selon laquelle la grippe a disparu à cause des restrictions de Covid - en particulier les masques, la distanciation sociale et les verrouillages.

    Ils «conviennent à une écrasante majorité» qu'il en est ainsi; leur certitude est remarquable à ce stade précoce. Mais pourquoi ces mesures auraient-elles fonctionné si involontairement bien pour la grippe, qui existe depuis des millénaires, mais que les cas de Covid continuent de monter en flèche ? Les masques laissent-ils passer une particule et en arrêtent-ils une autre ?

    Les partisans de cette théorie ont une explication. Ils affirment que les personnes atteintes de Covid sont plus contagieuses que celles atteintes de grippe. Elle a une «période d’incubation» plus longue que la grippe et son «taux R» est trois fois plus élevé que celui de la grippe. Mais même si toutes ces estimations étaient exactes, la question reste sans réponse de savoir pourquoi la grippe aurait été éradiquée si complètement.

    Problèmes de verrouillage

    Lorsqu'on lui a demandé s'il pensait que les confinements étaient responsables de l'élimination de la grippe, Briggs a répondu dans la vidéo: «Non, absolument pas. Les verrouillages ne font qu'aider à propager la grippe… Verrouiller les personnes en bonne santé, mettre en quarantaine les personnes en bonne santé, est absurde. " Briggs pense que les confinements ne feraient qu'accroître l'infection grippale parce que le virus se propage plus facilement lorsque les gens passent plus de temps à l'intérieur, en étroite collaboration avec d'autres, dans l'air sec et intérieur.

    Il a également souligné les échecs de verrouillage, comme celui qui s'est produit à New York. Le taux de mortalité du COVID-19 a dépassé 50 décès par million et par jour en avril 2020, malgré un verrouillage complet mis en place en mars. L'État a ordonné aux maisons de soins infirmiers d'accepter les patients positifs au COVID-19 des hôpitaux jusqu'au 10 mai, date à laquelle l'ordre a été annulé, mais à ce moment-là, le virus ravageait déjà les résidents âgés des maisons de retraite - les plus vulnérables.

    «En facilitant la transmission du virus des hôpitaux aux maisons de soins infirmiers, le taux de propagation au sein de la population âgée a été maximisé, et tout avantage possible du verrouillage de la population jeune et en bonne santé est devenu sans objet», a déclaré le Dr Gilbert

    RépondreSupprimer
  55. Berdine, professeur agrégé de médecine au Texas Tech University Health Sciences Center, a expliqué15.

    Distances sociales et masques pour rester pour lutter contre la grippe ?

    Le CDC utilise déjà le nombre mystérieusement faible de cas de grippe cette saison comme une impulsion pour suggérer que les masques, les fermetures d'écoles et la distanciation sociale pourraient devenir la nouvelle norme chaque automne pour lutter contre la saison grippale à venir:

    «Si de vastes mesures d'atténuation communautaires se poursuivent tout au long de l'automne, l'activité grippale aux États-Unis pourrait rester faible et la saison pourrait être émoussée ou retardée. À l'avenir, certaines de ces mesures d'atténuation communautaires pourraient être mises en œuvre pendant les épidémies de grippe pour réduire la transmission, en particulier dans les populations les plus à risque de développer une maladie grave ou des complications. »16

    Pendant ce temps, même en déclarant que les cas de grippe sont quasiment inexistants cette saison et que les mesures d'atténuation du COVID-19 déjà en place sont probablement efficaces pour freiner sa propagation - ils veulent toujours que vous vous faisiez vacciner contre la grippe, «surtout cette saison»: 17

    «Étant donné la nouveauté de la pandémie du COVID-19 et l'incertitude des mesures d'atténuation communautaires continues, il est important de planifier la circulation de la grippe saisonnière aux États-Unis cet automne et cet hiver. La vaccination antigrippale de toutes les personnes âgées de ≥ 6 mois reste la meilleure méthode de prévention de la grippe et est particulièrement importante cette saison lorsque le SRAS-CoV-2 et le virus de la grippe pourraient cocirculer. »

    Si vous voulez être proactif, rappelez-vous que les vaccins antigrippaux sont controversés et que vos chances de contracter la grippe après la vaccination sont toujours supérieures à 50/50 chaque année.

    Selon les données des CDC, par exemple, l'efficacité du vaccin contre la grippe saisonnière 2017-2018 contre «l'infection par le virus de la grippe A et de la grippe B associée à une maladie respiratoire aiguë médicalement assistée» n'était que de 36% .18 Pendant ce temps, nous savons déjà que l'optimisation de la vitamine D est une bonne idée, non seulement pour le COVID-19 mais aussi pour la grippe.

    Sources and References

    1, 2, 3 U.S. CDC, 2019-2020 U.S. Flu Season: Preliminary In-Season Burden Estimates
    4 Daily Mail October 24, 2020
    5, 6, 7, 8, 13, 16, 17 MMWR September 18, 2020 / 69(37);1305–1309
    9, 10 COVIDView December 11, 2020
    11 Ric Clin Lab. Jul-Sep 1975;5(3):196-213. doi: 10.1007/BF02908284
    12, 14 RT October 26, 2020
    15 Mises Institute August 15, 2020
    18 CDC.gov MMWR February 16, 2018; 67(6): 180-185

    https://www.lewrockwell.com/2020/12/joseph-mercola/why-has-the-flu-disappeared/

    RépondreSupprimer
  56. Ce que j’ai compris de l’élection américaine…


    mardi, 22 décembre 2020 04:39


    Biden a bien été officiellement élu par les grands électeurs des 51 états unis d’Amérique. Mais le président élu par les grands électeurs n’a légalement accès à la maison blanche qu’une fois que le congrès et le sénat auront analysé le vote des grands électeurs, qu’ils seront d’accord avec ces derniers puis confirmé que le processus électoral a été respecté et que tout s’est globalement bien passé.

    Normalement quand les grands électeurs ont voté il est rare que congrès et sénat ne valident, mais c’est déjà arrivé par le passé. Donc dire que Biden est président ce n’est pas prendre un grand risque, il est bel et bien le président élu par les grands électeurs, on peut même se permettre de le féliciter officiellement d'avoir passé "cette étape", mais ce n’est pas encore légalement le président des états unis… Il faut attendre la validation le 6 Janvier et la passation de pouvoir le 21. Il y a tout un processus et tant qu’il n’est pas arrivé au bout, Biden n’est pas encore président, même si à ce stade normalement c’est bien engagé.

    Il y a déjà des rumeurs de membres du congrès ou du sénat qui ont dit qu’ils ne suivraient pas la décision des grands électeurs, mais ça on ne le saura que le jour venu le 6 janvier et ça promet d’être un gros bordel. Si le congrès et le sénat ne valident pas les élections, ils peuvent les annuler, en réorganiser ou même voter eux-mêmes sans rien demander. C’est dans la constitution et tous ces scénarios ont déjà eu lieu par le passé.

    A ce stade il faut comprendre que les états unis ne sont pas une démocratie comme nous l’entendons en Europe. Ce n’est pas le peuple qui décide par son vote qui présidera les états ensembles de manière unis, mais des grands électeurs de chaque état. Et il semble que les grands électeurs peuvent très bien voter contre l’avis du peuple. En plus de ça il faut que la décision des 540 grands électeurs plaise au congrès et au sénat. Il n’y a rien de très démocratique là-dedans. Au niveau de leurs états, oui les habitants votent démocratiquement pour leurs dirigeants et leurs lois car chaque état est indépendant. Mais au niveau des états unis le peuple ne vote pas qui sera le président, en gros on ne fait que leur demander leur avis. Je sais c’est un peu perturbant.

    Trump quant à lui conteste les élections et dit qu’il y a eu fraude massive. Qu’il en soit ainsi, ça peut arriver et il parfaitement le droit de contester. Trump a donc été devant les tribunaux, mais ceux-ci ont tous rejeté les dossiers sans même ouvrir de procès et auraient invoqué des erreurs de procédures ou des manques de preuves. Il est important à ce stade de comprendre qu'aucun procès n’a eu lieu et aucun tribunal n’a rendu de jugement quant à la validité des arguments de Trump. Les tribunaux ont parfaitement le droit de ne même pas regarder un dossier s’il manque la moindre virgule où s’ils estiment que l’affaire n’en vaut pas la peine. C’est parfaitement légal et ça arrive tous les jours dans tous les tribunaux du monde.

    RépondreSupprimer
  57. Sauf qu’on ne parle pas là d’un vol à l’étalage, on parle d’une élection qui a un impact direct sur des millions de gens. Et si des millions de plaignants ne sont pas contents ça peut mettre un pays dans le chaos. Vue l'enjeu national il semblerait judicieux que les tribunaux ne puissent pas faire leur fine bouche habituelle, qu'ils soient obliger de passer sur des erreurs de procédure pour au moins regarder les preuves et montrer au peuple que la justice est rendue. A ce niveau-là, il faut éliminer le doute car le doute crée une grosse tension entre des centaines de millions de personne. Mais il ne faut pas sous-estimer la flexibilité ou la rigidité d’un tribunal quand il n'a pas envie de se mouiller. Je ne parle pas de corruption là, je parle juste d'avoir envie ou pas de se mouiller dans un bordel pareil avec toutes les conséquences que le verdict pourrait avoir. Donc les tribunaux fuient tous leurs responsabilités pour le moment.

    Du coup, Trump c’est fait débouter de tous les tribunaux et est allé porter son dossier à la cour suprême avec le Texas si je me souviens bien. La cour suprême n’a pas non plus ouvert le dossier et donc toujours pas regardé les preuves. La cour suprême a simplement dit qu’elle ne se sentait pas super compétente pour gérer ce merdier.

    Donc dire que Trump a perdu tous les procès c’est une demi-vérité parce que pour le moment aucun procès n'a eu lieu et on ne sait même pas si les preuves de Trump sont bonnes ou pas parce qu’aucune instance publique américaine n’a voulu prendre le dossier.

    Légalement Trump peut demander à l’armée d’intervenir, de saisir les preuves, mener les interrogatoires et faire traiter tout ça par les tribunaux militaires. Ce n’est pas un coup d’état. Trump ne prend pas le pays de force avec l’aide de l’armée. D’ailleurs l’armée ne le suivrait pas dans un coup d'état militaire. Mais pour faire intervenir l'armée et les tribunaux militaires, il faut que le problème soit d’ordre de la défense nationale. On est pas en France, le président des états unis ne peu pas juste comme ça saisir l’armée pour enquêter et savoir qui a volé le scooter de son fils. Encore une fois l’armée ne le suivrait pas. L’ingérence d’une puissance étrangère dans le processus électoral est quant à lui un motif tout à fait recevable pour engager l’armée. Et depuis quelques temps on parle beaucoup de Biden et de ces relations avec la Chine. Là on tiens une bonne excuse et si le président réunis un bon dossier et le demande, les tribunaux militaires feront leur taff avec l’aide de l’armée pour gérer tout ça et décider qui a gagné. Et au bout du compte l’armée peut même totalement confirmer le vote des grands électeurs et déclarer Biden président s’ils jugent que les preuves sont insuffisantes. Les tribunaux militaires ne sont pas au service du président des états unis, mais s'ils interviennent, au moins on saura ou pas si Trump a des preuves valables ou pas. Ça se trouve oui, ça se trouve non et je me garderai bien de donner un pronostic.

    RépondreSupprimer
  58. Pour le moment Trump n’a pas l’air de bluffer et c’est un sacré Pit Bull. Mais ça se trouve il a raison et s'il a vraiment été élu, qu'il plaise ou non, il faudra respecter le choix des américains. Si jamais les tribunaux militaires donnent raison à Trump, du coup tous les juges qui n’ont pas voulu prendre l’affaire au civil ainsi que les membres de la cour suprême vont avoir très chaud aux fesses et finiront certainement en prison à vie pour trahison. Il est aussi fort à parier que le clan Biden/Clinton/Obama finisse en prison ainsi que certains dirigeants de média et réseaux sociaux…

    Ici à Hong Kong et depuis qu’on entend les histoires de Biden et de la Chine, les gens seraient un peu plus du côté de Trump qui lui est en guerre total contre la Chine en ce moment…

    C’est passionnant comme histoire et on en apprend tous les jours sur la constitution des états unis d’Amérique. Voilà, j’espère que je ne me suis pas trop trompé, il y a deux ou trois trucs dont je ne suis pas sûr à 100% sur le congrès et le sénat si jamais c’était le cas dite le moi, mais on est pas loin de la réalité.

    Affaire à suivre, joyeuses fêtes de fin d’année et surtout, pas de stress, tout vas bien se passer… Netflix ne disparaitra pas.

    http://www.objectifeco.com/dans-la-vie-des-auteurs/ce-que-j-ai-compris-de-l-election-americaine.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. (...) A ce stade il faut comprendre que les états unis ne sont pas une démocratie comme nous l’entendons en Europe. Ce n’est pas le peuple qui décide par son vote qui présidera les états ensembles de manière unis, mais des grands électeurs de chaque état. (...)

      Hahahaha ! Oui si l'Europe se résume à la Suisse ! Car, comme il n'y a qu'UN SEUL PAYS AU MONDE en Démocratie : La Suisse, les autres pays du monde (monarchies, républiques & empires) sont des dictatures.

      Qu'est-ce qu'une dictature ? Une dictature est un pays où le Peuple ne peut pas proposer SES lois et voter SES lois. Ce sont donc ses tuteurs (députés/sénateurs) qui proposent LEURS lois et votent LEURS lois sans jamais demander l'avis du Peuple !
      Une Démocratie (Par le Peuple Pour le Peuple) le Peuple propose SES lois et vote SES lois.

      Supprimer
  59. Le directeur national de la sécurité engage des poursuites contre Trump et les médias conservateurs


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 23 DÉC.2020-10: 15
    Rédigé par Steve Watson via Summit News,


    Un directeur de la sécurité chez Dominion Voting Systems, la société accusée par beaucoup de jouer un rôle dans le «truquage» des élections américaines via des machines à voter, poursuit la campagne Trump et plusieurs organes de presse conservateurs.

    Eric Coomer a intenté une action en justice, affirmant qu’il avait reçu des menaces de mort découlant des accusations selon lesquelles Dominion avait contribué à influencer les élections en faveur de Joe Biden.

    L'action en diffamation identifie la campagne Trump, ainsi que Rudy Giuliani, Sidney Powell et les organisations de presse conservatrices Gateway Pundit, Newsmax et One America News Network (OANN).

    Le costume cible également personnellement les têtes parlantes conservatrices Michelle Malkin et Joseph Oltmann.

    M. Coomer a été identifié comme la personne désignée par Oltmann comme «Éric du Dominion» dans des déclarations faites à l'OAN et à d'autres médias conservateurs concernant des allégations de vantardise auprès des militants d'Antifa pour s'assurer que Trump n'allait pas être réélu:

    Le procès déclare que M. Coomer a été présenté «le visage de fausses allégations» en relation avec l'influence présumée de Dominion sur les élections.

    Le procès indique en outre que des photos de Coomer, ainsi que son adresse personnelle et les détails personnels de sa famille ont été rendus publics par certains sites Web pro-Trump.

    M. Coomer a déclaré: «J'ai travaillé à des élections internationales dans toutes sortes de pays sortant d'un conflit où la violence électorale est réelle et où des gens se font tuer. Et je sens que nous sommes sur le point de le faire. "

    Dans un éditorial publié par le Denver Post, Coomer a déclaré qu’il n’avait «aucun lien avec le mouvement Antifa» et «n’avait pas« truqué »ni influencé les élections.»

    Le procès fait suite à une menace similaire d'action en justice par la société de machines à voter Smartmatic, qui a publié des avis juridiques à Fox News, OAN et Newsmax, accusant les réseaux d'une «campagne [qui] a été conçue pour diffamer Smartmatic et saper un élections tenues légitimement.

    L'avis juridique aurait également nommé spécifiquement les hôtes de Fox News Lou Dobbs, Jesse Watters et Maria Bartiromo, et indique que Smartmatic pourrait intenter une action en justice contre eux personnellement.

    RépondreSupprimer
  60. La lettre Smartmatic nomme Fox News héberge Lou Dobbs, Jesse Watters et Maria Bartiromo en tant qu'individus qui diffusent les théories du complot. Un porte-parole m'a dit que les poursuivre individuellement était une option sur la table. https://t.co/vb2kKDHmXg

    - Jacob Shamsian (@JayShams) 14 décembre 2020
    Fox News, via Lu Dobbs, et Newsmax ont depuis diffusé des segments qui, selon les critiques, constituent des «retours en arrière» sur des allégations antérieures:

    C'est très bizarre. Lou Dobbs a diffusé ce soir un segment pour démystifier ses propres mensonges sur les machines à voter Smartmatic pic.twitter.com/FDM91SPtT1

    - Aaron Rupar (@atrupar) 19 décembre 2020
    Newsmax vient de diffuser cette note pour «clarifier» sa couverture de Smartmatic et Dominion. pic.twitter.com/I5XZ7CQpAk

    - John Whitehouse (@existentialfish) 21 décembre 2020
    Dominion lui-même n'a encore émis aucun avis juridique aux médias. Il a cependant envoyé une lettre à Sidney Powell, lui demandant de retirer certaines allégations «sauvages et imprudentes» qu'elle a faites à leur sujet.

    https://www.zerohedge.com/political/dominion-security-director-files-lawsuits-against-trump-conservative-media

    RépondreSupprimer
  61. La Californie accélère son plan pour chasser les riches


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 23 DÉC.2020-8: 48
    Rédigé par Mike Shedlock via MishTalk,


    Le législateur californien propose schéma après schéma pour taxer les riches.

    Vous pouvez vérifier mais ne jamais partir
    L'impôt sur la fortune proposé par la Californie, le projet de loi 2028, s'appliquerait pendant une décennie à toute personne qui passe 60 jours dans l'État en une seule année.

    Voici les détails.

    Une taxe de 0,4 % sur les résidents dont la valeur nette mondiale dépasse 30 000 000 $ (15 000 000 $ pour un contribuable marié qui déclare séparément).

    La taxe proposée s'appliquerait aux résidents, aux résidents d'une partie de l'année et aux résidents temporaires.

    Les résidents temporaires sont définis comme ceux qui restent dans l'État plus de 60 jours au cours de l'année civile. Pour les résidents temporaires et pour une partie de l'année, la taxe s'appliquerait proportionnellement en fonction du nombre de jours où ils sont dans l'État au cours de l'année.

    Disposition rétrospective de 10 ans: la partie de la richesse d’un contribuable soumise à l’impôt sur la fortune est multipliée par une fraction, dont le numérateur correspondra aux années de résidence en Californie au cours des 10 années précédentes, 10 ans étant le dénominateur.

    Actifs soumis à l'impôt
    Actions, options, obligations, liquidités, fermes, bref, tout est couvert, y compris les gains latents.

    Le Wall Street Journal commente un plan californien pour chasser les riches, puis continuer à les traquer.

    L’assemblée législative de Californie envisage d’imposer un impôt sur la fortune aux résidents, aux résidents d’une partie de l’année et à toute personne qui passe plus de 60 jours à l’intérieur des frontières de l’État en une seule année. Même ceux qui quittent l'État continueraient d'être assujettis à la taxe pendant une décennie - une disposition qui rappelle les paroles célèbres de «Hotel California» des Eagles: «Vous pouvez vérifier quand vous le souhaitez, mais vous ne pouvez jamais partir . »

    L'article du WSJ est sorti le 18 décembre, mais je crois comprendre que le projet de loi était déjà mort à cette date.

    Cependant, le non-sens économique ne s'arrête jamais.

    RépondreSupprimer
  62. Deja Vu: un autre projet de loi sur l'impôt sur la fortune présenté
    Le California Globe rapporte un autre projet de loi sur l'impôt sur la fortune présenté à l'Assemblée.

    Un nouveau projet de loi a été présenté à l'Assemblée cette semaine, qui augmenterait simultanément l'impôt des sociétés, augmenterait l'impôt sur le revenu des citoyens qui gagnent plus d'un million de dollars par an et éliminerait les «échappatoires» de l'impôt sur les sociétés.

    Le projet de loi 71 de l'Assemblée, rédigé conjointement par les membres de l'Assemblée, Luz Rivas (D-Arleta) et David Chiu (D-San Francisco), vise à créer un fonds de solutions pour les sans-abri baptisé «Bring California Home Fund».

    Pour financer le programme avec au moins 2,4 millions de dollars, AB 71 augmenterait spécifiquement l'impôt sur le revenu des sociétés à des taux historiquement élevés pour créer un impôt sur le revenu des sociétés plus «progressif», augmenterait l'impôt sur le revenu des particuliers pour toute personne en Californie gagnant plus d'un million de dollars éliminer ou limiter les échappatoires fiscales sur les sociétés, y compris le choix du bord de l'eau, et «évaluer à la valeur du marché» les plus-values ​​latentes et abroger l'augmentation des actifs hérités de base, augmentant ainsi le montant généré par les gains en capital.

    «C'est absolument fou», a déclaré le consultant financier basé à Los Angeles, Richard Ritz, au Globe. «Nous voyons des personnes plus riches quitter l’État depuis des années à cause des impôts élevés, dont, plus récemment, Elon Musk. Surtout la région de la baie.

    «Beaucoup de gens riches avaient cette proposition d'impôt sur la fortune plus tôt cette année comme déclencheur, et maintenant beaucoup de ceux qui sont restés après son échec considèrent celle-ci comme un déclencheur.»

    «Bring California Home Fund»
    Quelle huée.

    Ces stratagèmes ridicules ne feront que chasser les riches contribuables.

    AB 71 est modeste par rapport au projet de loi 2028, mais soyez assurés que cela ne s'arrêterait pas là.

    La folie progressive ne s'arrête jamais.

    Un impôt sur la fortune peut être légal au niveau de l'État, mais il ne passerait jamais un test constitutionnel devant la Cour suprême sur ceux qui sont partis.

    Et oui, les riches partiraient. Il en irait de même pour plus de sociétés.

    Partez maintenant !

    1 Elon Musk quitte la Californie: alors que la technologie fuit la Silicon Valley, les loyers plongent

    2 New York: fuyez New York si vous le pouvez

    3 Illinois: Échapper à l'Illinois: Sortez de l'enfer maintenant, nous le sommes

    4 Illinois: il faut 3 semaines pour échapper à l'Illinois

    Ce sont les réponses appropriées à la folie fiscale.

    https://www.zerohedge.com/political/california-accelerates-plan-chase-away-wealthy

    RépondreSupprimer