- ENTREE de SECOURS -



samedi 19 décembre 2020

Vaccins SARS-CoV-2 : mais où est passé le principe de précaution ?

 le 19 décembre 2020


Formulé pour la première fois en 1992 lors de la conférence de Rio sur l’environnement le principe de précaution a été inscrit dans le « marbre » de la constitution française par Michel Barnier en 1995 :

« L’absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l’adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles à l’environnement à un coût économiquement acceptable » (source Wikipedia). 

Ce texte à dessein abscons autorise toutes sortes d’interprétations et les décideurs ne se sont pas privés de légiférer au cours des années suivantes et jusqu’à aujourd’hui pour réglementer des domaines de l’activité scientifique, économique et sociale ne relevant pas de ce principe. Fondamentalement le principe de précaution résulte directement de la peur suscitée par toute activité humaine étrangère aux lois de la nature. C’est exactement cet aspect qui a conduit Michel Barnier, en France, à en quelque sorte radicaliser ce principe de précaution. En effet Michel Barnier a enduré une enfance vécue dans la banlieue industrielle de Grenoble au milieu des fumées et des odeurs des usines chimiques du bord de l’Isère. Il en a été profondément marqué et il n’a cessé de mépriser toute forme d’activité humaine non conforme à la réalité de la nature. Sa carrière politique a toujours été teintée de cet arrière-goût de l’environnement qui est la porte ouverte à tous les politiciens opportunistes et Barnier est l’archétype du politicien professionnel n’ayant jamais mis les mains dans le cambouis mais toujours dans la confiture de l’appareil d’Etat, qu’il soit français ou européen.

Aujourd’hui le principe de précaution, dans sa formulation sibylline mentionnée ci-dessus, est donc appliqué « à la lettre » pour la production et l’utilisation massive d’un vaccin dirigé contre le SARS-CoV-2 issu d’une technologie entièrement nouvelle jamais utilisée chez l’homme auparavant. Des cas de paralysie faciale dite paralysie de Bell et plus préoccupant encore des cas de myélite transverse, comprenez une inflammation de la moelle épinière ont déjà été observés à la suite de l’administration de ce vaccin, outre des cas de réactions allergiques plus ou moins violentes (sources: Mayo Clinic et FDA). On est donc en droit de se poser une première question relative à la pertinence de l’application du principe de précaution dans le cas de ce vaccin : le SARS-CoV-2 constitue-t-il un « risque de dommages graves et irréversibles » pour l’humanité ? La réponse est non ! le SARS-CoV-2 ne constitue pas un risque majeur pour l’humanité puisque le taux de mortalité global est à peine supérieur à celui d’une mauvaise grippe saisonnière, quoiqu’en pensent les médias et les politiciens.


La deuxième question au sujet de ce vaccin est la suivante : constitue-t-il une « mesure effective et proportionnée » dans la lutte contre le SARS-CoV-2 ? La réponse est non ! D’une part on ignore si ce vaccin abolira toute contagiosité des sujets ayant été traités. On ignore également « compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment » si ce vaccin sera efficace dans les mois et les années à venir contre des variants génétiques de ce virus, variants qui apparaissent presque chaque semaine dans le monde entier. À l’IHU de Marseille seulement une quinzaine de patients ayant déjà été atteints par le coronavirus ont à nouveau été contaminés par des variants alors qu’on pouvait s’attendre à ce qu’ils soient immunisés contre toute autre forme de ce virus. Personnellement j’ai déjà fait l’expérience de cette grippe étrange avec peu de fièvre et une toux sèche impossible à maîtriser et si cette situation se répétait j’aurai toujours ma vieille chloroquine sous la main pour me traiter, étant entendu que quel que soit le variant génétique de ce virus la chloroquine agira toujours de la même manière.

Cette dernière réflexion personnelle et parfaitement logique m’amène donc à la question suivante : pourquoi les grandes firmes pharmaceutiques ont-elles osé prendre des risques moraux et éthiques disproportionnés pour produire ce vaccin tout en exigeant de la part des gouvernements que ces derniers prennent en charge tous les risques juridiques liés à des effets secondaires, voire des décès, à la suite de campagnes de vaccination massives décidées par ces mêmes gouvernements ? C’est nouveau dans l’histoire de la médecine, du jamais vu ! Les gouvernements, qui ont mis en place le principe de précaution renient ouvertement ce même principe en assumant l’entière responsabilité des risques encourus « qui sont d’un coût économiquement inacceptable » pour paraphraser le texte liminaire de la loi Barnier. Alors qu’il existe maintenant plusieurs traitements prophylactiques et également curatifs dès l’apparition des premiers symptômes, confirmés le cas échéant par un test RT-PCR, qui ne présentent aucun effet secondaire et sont en outre d’un coût ridicule, une dizaine d’euros par mois, alors quelles sont les raisons justifiant l’urgence d’une vaccination massive, systématique, et éventuellement obligatoire ? Je me mets à la place du CEO de Pfizer et je comprend parfaitement son attitude : un vaccin fabriqué massivement par des robots ne revenant qu’à quelques centimes pour être vendu entre 8 et 20 euros la dose (il en faut 2 par personne) aux gouvernements qui ont accepté d’assumer à la place de Pfizer toutes leurs responsabilités juridiques, ce n’est que du très bon pain !

Note. Voici les 5 traitements efficaces (source partielle IHU de Marseille) en prophylaxie et traitement précoce du SARS-CoV-2 : doxycycline, hydroxychloroquine, azithromycine, teicoplanine et ivermectine. Ce sont des « vieilles » molécules pour lesquelles le principe de précaution n’a pas lieu d’être appliqué à condition toutefois que les posologies indiquées par les autorités médicales soient respectées et après avis de ces dernières, vieilles molécules qui constituent un seul grave problème : elles ne sont la source d’aucun profit pour les grandes entreprises pharmaceutiques : voilà le cœur de la problématique des vaccins anti-SARS-CoV-2



Illustration : source La Libre Belgique. Relire aussi sur ce blog : https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/11/11/sars-cov-2-jusqua-quand-on-va-nous-prendre-pour-des-veaux

https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/12/19/vaccins-sars-cov-2-mais-ou-est-passe-le-principe-de-precaution/

 

60 commentaires:

  1. Le scandale des tests COVID-19 s'approfondit


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    19 décembre 2020


    Des tests positifs de réaction en chaîne par polymérase de transcription inverse (RT-PCR) ont été utilisés pour justifier le maintien de grandes parties du monde enfermées au cours des neuf derniers mois. Taux d'hospitalisation ou de mortalité non fiables; Seuls les nombres de tests PCR positifs - dont une grande partie proviennent de personnes qui ne présentent aucun symptôme de maladie réelle - sont les déclencheurs des arrêts.

    Les experts se manifestent maintenant de plus en plus en dénonçant les tests PCR de masse comme étant imprudents et absurdes, voire carrément criminels. Pourquoi ? Parce que nous constatons maintenant que les tests PCR nous disent rarement quelque chose de vraiment utile, du moins pas lorsqu'ils sont utilisés comme ils l'ont été jusqu'à présent.

    Pourquoi les tests PCR sont le mauvais outil pour évaluer la menace pandémique

    Nous savons maintenant que les tests PCR:

    1. Impossible de faire la distinction entre les virus «vivants» et les particules virales inactives (non infectieuses) et ne peut donc pas être utilisé comme un outil de diagnostic - Pour cette raison, il est extrêmement trompeur de désigner un test positif comme un «cas COVID-19».

    Comme l'explique le Dr Lee Merritt dans sa conférence de Médecins pour la préparation aux catastrophes en août 20201, présentée dans «Comment la technocratie médicale a rendu la plandémie possible», les médias et les responsables de la santé publique semblent avoir délibérément confondu des «cas» ou des tests positifs avec la maladie réelle.

    Médicalement parlant, un «cas» fait référence à une personne malade. Il n'a jamais fait référence à quelqu'un qui ne présentait aucun symptôme de maladie. Maintenant, tout d'un coup, ce terme médical bien établi, «cas», a été arbitrairement redéfini pour désigner une personne qui a été testée positive pour la présence d'ARN viral non infectieux. Comme l'a noté Merritt, «Ce n'est pas de l'épidémiologie. C'est de la fraude. »

    2. ne peut pas confirmer que le 2019-nCoV est l'agent causal des symptômes cliniques, car le test ne peut pas exclure des maladies causées par d'autres pathogènes bactériens ou viraux.

    3. N'ont pas été établis pour surveiller le traitement de l'infection à 2019-nCoV.

    Avoir des taux de faux résultats exceptionnellement élevés - Plus le seuil de cycle (CT) est élevé, c'est-à-dire le nombre de cycles d'amplification utilisés pour détecter les particules d'ARN, plus le risque de faux positif est élevé.

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  2. Alors que tout CT de plus de 35 ans est jugé scientifiquement injustifiable 2,3,4, la Food and Drug Administration des États-Unis et les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis recommandent d'exécuter des tests PCR à un CT de 40,5.

    Les tests Drosten et les tests recommandés par l'Organisation Mondiale de la Santé sont fixés à un CT de 45. Ces CTs excessivement élevés garantissent l'apparition d'une infection généralisée (pandémique) lorsque les taux d'infection sont en fait faibles.

    Le CT est la clé de la pandémie

    Beaucoup sinon la plupart des laboratoires amplifient l'ARN collecté beaucoup trop de fois, ce qui aboutit à ce que les personnes en bonne santé soient testées «positives» pour l'infection par le SRAS-CoV-2 et se voient ordonner de quitter le travail et de s'auto-isoler pendant deux semaines.

    Pour optimiser la précision et éviter d'imposer des difficultés inutiles aux personnes en bonne santé, les tests PCR doivent être exécutés à bien moins de cycles que les 40 à 45 CT actuellement recommandés.

    Au-delà de 34 cycles, vos chances qu'un test PCR positif soit un vrai positif diminue à zéro.
    Une étude d'avril 20206 dans le European Journal of Clinical Microbiology & Infectious Diseases a montré que pour obtenir 100% de vrais positifs confirmés, le test PCR doit être effectué à 17 cycles. Au-dessus de 17 cycles, la précision diminue considérablement.

    Au moment où vous atteignez 33 cycles, le taux de précision n'est que de 20%, ce qui signifie que 80% sont des faux positifs. Au-delà de 34 cycles, vos chances qu'un test PCR positif soit un vrai positif diminue à zéro, comme illustré dans le graphique suivant de cette étude.7

    En exécutant des tests PCR à 40 à 45 cycles d'amplification, vous vous retrouvez avec la fausse apparence d'une épidémie, et ce schéma de test extrêmement défectueux est ce sur quoi les dirigeants gouvernementaux fondent leurs mandats de masque et leurs ordres de verrouillage.

    - voir graphique sur site -

    Pourcentage de culture virale positive d'échantillons de nasopharynx SARS-CoV-2 PCR positifs provenant de patients Covid-19, selon la valeur Ct (trait simple). La courbe en pointillés indique la courbe de régression polynomiale.

    Une revue scientifique confirme les failles de la PCR

    Plus récemment, une revue systématique8 publiée le 3 décembre 2020 dans le journal of Clinical Infectious Diseases a évalué les résultats de 29 études différentes - qui ont toutes été publiées en 2020 - comparant les preuves d'une infection par le SRAS-CoV-2 avec les CT utilisés dans les tests . Ils ont également examiné le moment du test et la relation entre la gravité des symptômes et les résultats des tests PCR. Tel que rapporté par les auteurs:

    «Les données suggèrent une relation entre le temps écoulé entre le début des symptômes et le moment du test sur échantillon, le seuil du cycle (CT) et la gravité des symptômes. Douze études ont rapporté que les valeurs CT étaient significativement plus basses et les copies log plus élevées dans les échantillons produisant une culture de virus vivants.

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  3. Deux études ont rapporté que les chances de culture virale vivante étaient réduites d'environ 33% pour chaque augmentation d'une unité de CT. Six études sur huit ont rapporté un ARN détectable pendant plus de 14 jours, mais le potentiel infectieux a diminué après le huitième jour, même parmi les cas avec des charges virales élevées en cours… »

    En d'autres termes, si vous présentez des symptômes du COVID-19, au jour 8 à compter du début des symptômes, les chances que vous le transmettiez à d'autres commencent à diminuer, et dans les jours qui suivent, il est peu probable que vous soyez test positif. Cela est particulièrement vrai si le test PCR utilise un CT supérieur à l'idéal. Comme noté par les auteurs: 9

    «Des virus vivants complets sont nécessaires pour la transmission, pas les fragments identifiés par PCR. Des tests de routine prospectifs des échantillons de référence et de culture et leur relation avec les symptômes, les signes et les cofacteurs du patient doivent être utilisés pour définir la fiabilité de la PCR pour évaluer le potentiel infectieux. Ceux dont le seuil de cycle est élevé sont peu susceptibles d’avoir un potentiel infectieux. »

    Virus vivant peu probable dans les tests utilisant CT au-dessus de 24

    Selon le New York Times, 10 chercheurs ont été «incapables de cultiver le coronavirus à partir d'échantillons de volontaires dont les tests PCR avaient des valeurs CT supérieures à 27», et si le virus ne peut pas se répliquer, vous ne tomberez pas malade et n'êtes pas infectieux, donc vous ne pouvez pas le diffuser aux autres.

    La revue Clinical Infectious Diseases11 le confirme. Sous le titre «La relation entre les résultats de la RT-PCR et la culture virale du SRAS-CoV-2» 12, ils soulignent que des tomodensitogrammes «significativement inférieurs» ont été utilisés dans les études qui ont correctement identifié les patients infectieux.

    Cinq des études incluses n'ont pas pu identifier de virus vivants dans les cas où un test PCR positif avait utilisé un CT supérieur à 24. De plus, afin de produire une culture virale vivante, un patient dont le test PCR utilisait un CT à 35 ou plus avait être symptomatique.

    Donc, pour clarifier, si vous présentez des symptômes de COVID-19 et que vous testez positif à l'aide d'un test PCR effectué à 35 cycles d'amplification ou plus, vous êtes susceptible d'être infecté et infectieux.

    Cependant, si vous ne présentez pas de symptômes, mais que vous testez positif à l'aide d'un test PCR effectué à 35 CT ou plus, il s'agit probablement d'un faux positif et vous ne présentez aucun risque pour les autres car il est peu probable que vous soyez porteur d'un virus vivant. En fait, à condition que vous soyez asymptomatique, il est peu probable que vous soyez contagieux, même si votre test est positif avec un test effectué à 24 CT ou plus.

    Le moment du test PCR est également important

    L'examen des maladies infectieuses cliniques a également confirmé que le moment du test était important. D'après les auteurs: 13

    «… Il semble y avoir une fenêtre de temps pendant laquelle la détection de l'ARN est à son maximum avec un seuil de cycle bas et une possibilité plus élevée de cultiver un virus vivant, avec une charge virale et une probabilité de croissance du virus vivant du SRAS-CoV2…

    Nous proposons que des travaux supplémentaires soient effectués à ce sujet dans le but de construire un algorithme pour intégrer les résultats de la PCR avec d'autres variables, afin d'augmenter l'efficacité de la détection des patients infectieux.

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  4. Une autre revue scientifique14,15 qui a examiné comment le moment du test influence les résultats et votre risque d'être infectieux a été publiée sur le serveur de pré-impression medRxiv le 29 septembre 2020. Quatorze études ont été incluses dans cette revue.

    Les données montrent que vos chances d'obtenir un vrai positif le premier jour de l'apparition des symptômes du COVID-19 ne sont que d'environ 40 %. Ce n'est que le troisième jour après l'apparition des symptômes que vous avez 80 % de chances d'obtenir un résultat précis de la PCR.

    Au jour 5, la précision diminue considérablement et au jour 8, la précision est nulle. Maintenant, ce sont des personnes symptomatiques. Lorsque vous êtes asymptomatique, vos chances qu'un test PCR positif soit précis sont pratiquement inexistantes.

    Le graphique ci-dessous, issu de l'une des études16 incluses dans la revue (Bullard et al.), Illustre la probabilité qu'un patient soit infectieux (ayant un virus vivant) en fonction du scanner utilisé et du moment du test. Comme expliqué par les auteurs de la revue: 17

    «La figure… montre à quel point la probabilité du virus infectieux du SRAS-CoV-2 est plus élevée (les barres rouges) lorsque le seuil de cycle est inférieur (la ligne bleue) et lorsque le temps de test des symptômes est plus court - au-delà de 8 jours, pas de virus vivant a été détecté."

    - voir graphique sur site -

    La Floride doit exiger la divulgation des données CT

    Même si les autorités sanitaires savent que des CT élevés entraînent des taux élevés de faux positifs, elles ne précisent pas le CT utilisé pour les tests PCR qu’elles signalent. Heureusement, cela est sur le point de changer en Floride, qui vient de devenir le premier État à obliger tous les laboratoires de l’État à déclarer le scanner utilisé pour leurs tests PCR.18

    Le département de la santé de Floride a émis l'ordonnance le 3 décembre 2020 et les laboratoires doivent se conformer à la nouvelle règle de déclaration obligatoire dans les sept jours19.

    Cela pourrait s'avérer assez intéressant, surtout si le département de la santé de l'État décide d'invalider les résultats positifs obtenus à partir de tests exécutés au-dessus d'un certain seuil d'amplification. Le temps nous dira exactement comment cette exigence de rapport pourrait influencer les mesures de réponse à une pandémie telles que les mandats de masque et les verrouillages.

    Le Portugal règle la quarantaine sur la base des résultats de la PCR est illégale

    Dans le même ordre d'idées, une cour d'appel au Portugal a récemment statué20,21 que le test PCR n'est «pas un test fiable pour le SRAS-CoV-2» et qu '«un seul test PCR positif ne peut pas être utilisé comme un diagnostic efficace de l'infection». Par conséquent, «toute mise en quarantaine forcée basée sur les résultats est illégale.» 22

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  5. Le tribunal a également noté que forcer des personnes en bonne santé à s'auto-isoler pouvait être une violation de leur droit fondamental à la liberté. L'affaire a été intentée par quatre touristes allemands qui avaient été contraints de se mettre en quarantaine après que l'un d'eux eut été testé positif.

    Plusieurs études scientifiques ont été présentées comme preuves dans ce cas, y compris une étude 23 du 28 septembre 2020 sur les maladies infectieuses cliniques, qui a révélé que lorsque vous exécutez un test PCR à un CT de 35 ou plus, la précision chute à 3%, ce qui dans un taux de faux positifs de 97%. Le tribunal a statué que, sur la base de la science présentée, tout test PCR utilisant un scanner de plus de 25 ans n'est pas fiable.

    Erreurs fatales trouvées dans le papier sur lesquelles le test PCR est basé

    La cour d'appel portugaise n'est pas la seule à critiquer le test PCR utilisé comme seul critère de quarantaine. Le 30 novembre 2020, l'article scientifique24 décrivant le flux de travail sur la façon d'utiliser le test PCR pour diagnostiquer l'infection par le SRAS-CoV-2 - qui a été rapidement accepté comme la norme par l'OMS et appliqué dans le monde entier - a été contesté25 par 22 scientifiques internationaux qui exigent que l'article soit rétracté en raison d '«erreurs fatales». 26

    Le document en question a été rédigé par Christian Drosten, Ph.D., virologue allemand, et Victor Corman, qui dirige un groupe de travail allemand sur le diagnostic des virus et la virologie clinique. Selon Reiner Fuellmich 27, membre fondateur de la commission d'enquête extraparlementaire allemande Corona (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss, 28 ou ACU), 29,30 Drosten est l'un des principaux coupables du canular de la pandémie COVID-19.

    L'une des principales «erreurs fatales» dans l'article de Corman-Drosten est qu'ils l'ont écrit - et ont développé le test PCR - avant qu'il n'y ait un isolat viral disponible. Tout ce qu'ils ont utilisé était la séquence génétique publiée en ligne par des scientifiques chinois en janvier 2020.

    Fait intéressant, l'article a été publié à peine 24 heures après sa soumission, ce qui suggère qu'il n'a même pas été évalué par des pairs avant d'être adopté par le monde entier. Undercover DC a interviewé Kevin Corbett, Ph.D., l'un des 22 scientifiques qui réclament maintenant la rétractation de l'article, qui a déclaré: 31

    «Toutes les raisons scientifiques du développement de ce test ont été totalement détruites par cet article. C’est comme Hiroshima / Nagasaki au test COVID.

    Lorsque Drosten a développé le test, la Chine ne leur avait pas donné d'isolat viral. Ils ont développé le test à partir d'une séquence dans une banque de gènes. Est-ce que tu vois? La Chine leur a donné une séquence génétique sans isolat viral correspondant. Ils avaient un code, mais aucun corps pour le code. Pas de morphologie virale.

    Au marché aux poissons, c’est comme vous donner quelques os et dire «c’est votre poisson». Cela peut être n’importe quel poisson… Écoutez, le journal Corman-Drosten, il n’y a rien d’un patient dedans. Tout cela provient de banques de gènes. Et les fragments de la séquence virale qui n’étaient pas là, ils les ont inventés.

    Ils les ont créés synthétiquement pour remplir les blancs. C’est ce qu’est la génétique; c'est un code. Donc, son ABBBCCDDD et vous en manquez, ce que vous pensez être EEE, alors vous le mettez dans… Il s'agit essentiellement d'un virus informatique.

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  6. Il y a 10 erreurs fatales dans ce papier test Drosten… Mais voici l'essentiel: il n'y avait pas d'isolat viral pour valider ce qu'ils faisaient. Les produits PCR de l’amplification ne correspondaient à aucun isolat viral à ce moment-là. J'appelle cela «la science de l'anneau de donut». Il n'y a rien au centre de cela. Tout est question de code, de génétique, rien à voir avec la réalité…

    Depuis, des articles disent qu’ils ont produit des isolats viraux. Mais il n'y a aucun contrôle pour eux. Le CDC a produit un article en juillet… dans lequel ils disaient: «Voici l’isolat viral.» Savez-vous ce qu’ils ont fait? Ils ont nettoyé une personne. Une personne, qui était allée en Chine et avait des symptômes du rhume. Une personne. Et ils ont supposé qu'il avait [COVID-19] pour commencer. Donc, tout est plein de trous, le tout. »

    Aucun virus viable détecté dans les cas positifs

    La critique contre les tests PCR est encore renforcée par une étude du 20 novembre 202032 dans Nature Communications, qui n'a trouvé aucun virus viable dans les cas positifs à la PCR. L'étude a évalué les données de 9865404 résidents de Wuhan, en Chine, qui avaient subi des tests PCR entre le 14 mai et le 1er juin 2020.

    Un total de 300 a été testé positif mais n'a présenté aucun symptôme. Sur les 34424 personnes ayant des antécédents de COVID-19, 107 ont été testées positives une deuxième fois. Pourtant, lorsqu'ils ont fait des cultures de virus sur ces 407 individus qui avaient été testés positifs (que ce soit pour la première ou la deuxième fois), aucun virus vivant n'a été trouvé.

    Exposer la fraude, mettre fin à la misère

    Un certain nombre d'experts se sont maintenant manifestés, qualifiant la pandémie de COVID-19 de canular cruel perpétué par des tests mortellement défectueux. Hormis ces données de test, il n’y a aucune preuve d’une pandémie mortelle. Bien qu'il existe une chose telle que le COVID-19 et que les gens en meurent et en meurent, il n'y a pas de décès excessif à cause de celui-ci.33,34,35

    En d'autres termes, la mortalité totale pour 2020 est normale. La pandémie n'a pas tué plus de personnes qu'il n'en mourrait au cours d'une année donnée - de quelque chose, quoi que ce soit - de toute façon. Donc, à moins que nous ne pensions que nous devrions fermer le monde et cesser de vivre parce que des gens meurent de maladie cardiaque, de diabète, de cancer, de grippe ou de toute autre chose, alors il n'y a aucune raison de fermer le monde parce que certaines personnes meurent du COVID-19 .

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  7. La bonne nouvelle est que le canular commence à être dévoilé et continuera de l'être à mesure que de plus en plus d'affaires seront portées devant les tribunaux du monde. Fuellmich et son équipe juridique ACU mènent cette charge. Quant à ce que vous pouvez faire en attendant, pensez à:

    • Désactiver les nouvelles des médias grand public et se tourner vers des experts indépendants - Faites des recherches. Lisez la science.

    • Continuez à contrer la censure en posant des questions - Plus vous posez de questions, plus vous trouverez de réponses. Armez-vous des statistiques de mortalité et des faits sur les tests PCR, afin que vous puissiez expliquer comment et pourquoi cette pandémie n'est tout simplement plus une pandémie.

    • Si vous êtes un professionnel de la santé, en particulier si vous êtes membre d’une société professionnelle, écrivez une lettre ouverte à votre gouvernement, en les exhortant à parler et à tenir compte des recommandations d’experts indépendants.

    • Signez la déclaration de Great Barrington36, qui appelle à la fin des verrouillages.

    • Rejoignez un groupe pour avoir du soutien. Voici des exemples de groupes formés pour lutter contre la portée excessive du gouvernement:

    ◦Us for Them, un groupe qui fait campagne pour la réouverture des écoles et la protection des droits des enfants au Royaume-Uni.

    ◦Le COVID Recovery Group (CRG), fondé par 50 députés britanniques conservateurs pour lutter contre les restrictions de verrouillage37

    ◦ The Freedom to Breathe Agency, une équipe américaine d'avocats, de médecins, de chefs d'entreprise et de parents qui se battent pour protéger la liberté et la liberté

    Sources and References

    1 Doctors for Disaster Preparedness
    2 The Vaccine Reaction September 29, 2020
    3 Jon Rappaport’s Blog November 6, 2020
    4 YouTube TWiV 641 July 16, 2020
    5 FDA.gov CDC 2019-nCoV Real-Time RT-PCR Diagnostic Panel Instructions, July 13, 2020 (PDF) Page 35
    6, 7 European Journal of Clinical Microbiology & Infectious Diseases April 27, 2020; 39: 1059-1061
    8, 9, 11, 12, 13 Clinical Infectious Diseases December 3, 2020; ciaa1764
    10 The New York Times November 2, 2020 (Archived)
    14, 17 CEBM August 5, 2020
    15 medRxiv September 29, 2020 DOI: 10.1101/2020.08.04.20167932
    16 Clin. Infect. Dis. 2020 May 22;ciaa638
    18 Zerohedge December 7, 2020
    19 Zerohedge.com Florida Health December 3, 2020 Press Release (PDF)
    20 Judgment of the Lisbon Court of Appeal, Portugese Original
    21 Judgment of the Lisbon Court of Appeal, English Translation
    22 Geopolitic.org November 21, 2020
    23 Clinical Infectious Diseases September 28, 2020; ciaa1491
    24 Eurosurveillance, Detection of 2019 novel coronavirus by real-time RT-PCR
    25 Corman Drosten Review Report
    26, 31 Undercover DC December 3, 2020
    27 Fuellmich.com, Dr. Reiner Fuellmich Bio (German)
    28 Acu2020.org Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss
    29 Acu2020.org Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee, English
    30 Algora October 4, 2020
    32 Nature Communications November 20, 2020; 11 Article number 5917
    33 YouTube, SARS-CoV-2 and the rise of medical technocracy, Lee Merritt, MD, aprox 8 minutes in (Lie No. 1: Death Risk)
    34 Technical Report June 2020 DOI: 10.13140/RG.2.24350.77125
    35 Johns Hopkins Newsletter November 26, 2020 (Archived)
    36 Great Barrington Declaration
    37 City AM November 11, 2020

    https://www.lewrockwell.com/2020/12/joseph-mercola/covid-19-testing-scandal-deepens/

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    1. Rappel pour simplifier les choses:
      AVEC ou SANS masque nous respirons toutes & tous 200 000 microbes ou virus PAR MINUTE et 2 millions en activité physique. Ces millions-milliards de microbes et virus sont combattus par notre organisme. Donc, imaginez le champs de bataille ! Des milliards de cadavres allongés raides morts. C'est là qu'intervient le camion-poubelle de la 'RT-PCR sarl' et qui ramasse toutes les poubelles renversées et papiers qui s'envolent. Et là, ôh miracle ! parmi les papiers gras ou pq se trouvent des billets de mille !! Whôaw !
      C'est la prime aux cadavres ! Plus ils en ramassent, plus ils sont payés !

      Si on leur avait dit de ne ramasser que les vivants, ils n'en auraient trouvé aucun ou un a demi-mort et désactivé. Mais, l'escroquerie a été de leur dire de ramasser même les cadavres et donc, sur quelques milliards de trouvés voir si il y en aurait un qui bouge encore !

      A savoir que depuis notre naissance nous avons respiré des milliards de milliards de milliards de milliards de microbes et de virus !! ET NOUS NE SOMMES PAS MORTS ! Çà alors !!

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  8. L’enquête le confirme: nous nous tuons, c’est un mode de vie / Les vaccins contre les maladies alimentaires n’aideront pas

    La mort par alcool, sucre, café et thé entraîne une carence en vitamine B et une perte de contrôle du système nerveux


    Par Bill Sardi
    19 décembre 2020


    Une autorité de premier plan affirme que le déni de la médecine moderne selon laquelle il existe des maladies de carence alimentaire actuelles dans les sociétés où il y a une sécurité alimentaire a conduit à la peste appelée COVID-19. C'est la «malnutrition hypercalorique» qui tue les Américains, pas un coronavirus.
    La question de savoir si le coronavirus COVID-19 existe réellement est remise en question par d'autres enquêteurs.

    Si les symptômes actuellement analysés comme COVID-19 émanent vraiment d'une carence alimentaire, tous les vaccins échoueront de manière prévisible.

    Depuis le début des mesures de verrouillage du COVID-19, les populations humaines souffrent d'un syndrome induit par l'anxiété qui a augmenté une carence en vitamine B déjà répandue, un nutriment qui contrôle le système nerveux autonome qui contrôle inconsciemment le rythme cardiaque, la respiration, la digestion, et tous les sens de l'odorat, du goût, du toucher et de l'ouïe.

    L’idée, qui suscite la peur, qu’un virus du froid muté contre lequel l’humanité n’était pas immunisée pourrait rapidement provoquer un essoufflement et emporter la vie de quelqu'un est quelque chose que les populations humaines du monde entier ne peuvent certainement pas oublier. En l'absence de traitements ou de vaccins éprouvés, le monde est en proie à la peur. Le Grim Reaper entraîne la mort même parmi des individus apparemment en bonne santé. Qui sera le prochain ?

    Mais effacez le tableau de bord des cas COVID-19 et des décès et la peur qui l'accompagne. Tout cela est une ruse, une tromperie de masse. Oui, des gens meurent, mais pas d'un coronavirus muté, ni d'aucun coronavirus d'ailleurs. Les «comorbidités» qui accompagnent le COVID-19, le diabète, les maladies cardiaques, la coagulation sanguine, l'insuffisance rénale, sont plus probablement le résultat d'un changement des pratiques alimentaires pendant le verrouillage que n'importe quel coronavirus imaginé.

    Nous nous tuons en mangeant et en nous buvant à mort

    Les verrouillages devraient générer 29 fois plus de décès que le coronavirus lui-même. Pourquoi ?

    Qu'est-ce qui fait que de nombreux adultes meurent d'essoufflement dans les unités de soins intensifs des hôpitaux ?

    Les résultats d'une enquête récente menée par une étude de marché OnePoll, pour le compte d'une marque d'eau potable en conserve qui ajoute du houblon et d'autres «adaptogènes» comme alternative saine à la bière, révèlent que le COVID-19 est une maladie liée au mode de vie qui entraîne un régime alimentaire induit par l'anxiété et les changements de boissons. L’organisme de vote ne se rend pas compte que tous ces changements dans les pratiques alimentaires bloquent un nutriment essentiel nécessaire au contrôle du système nerveux.

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  9. L'enquête OnePoll révèle que les Américains boivent plus d'alcool à la maison, consomment plus «d'aliments réconfortants» et avalent plus de café et de thé pour faire face à la fatigue et à la perte de sommeil.

    L'enquête révèle que 46 % des Américains travaillant à domicile se versent une boisson alcoolisée pendant la journée de travail; 53 % des Américains boivent plus fréquemment pendant le verrouillage. Une enquête qui montre que 52 % des répondants ressentent le besoin de boire en regardant les informations à la télévision présente un intérêt particulier.

    Selon le National Institute on Alcohol Abuse & Alcoholism, 14,1 millions d'adultes américains souffrent de «troubles liés à la consommation d'alcool». La carence en vitamine B1 est courante chez les imbibés d'alcool.

    Deux sur cinq affirment également avoir grignoté davantage et consommé des «aliments réconfortants». Cela se traduit par «glucides», pain / pâtisserie, riz, pâtes, céréales.

    Ajouter 32 % qui déclarent boire trop de boissons caféinées - - café et thé.

    Tous ces aliments et boissons liés à l'anxiété / fatigue interfèrent avec la nutriture à la vitamine B1.

    Ce qui a commencé à Wuhan, en Chine, n'est pas le COVID-19 d'aujourd'hui

    Le coronavirus COVID-19 qui a déclenché cette pandémie mondiale à la fin de 2019 n'est pas le syndrome COVID-19 auquel le public est confronté aujourd'hui pendant l'ère de verrouillage de la maladie.

    Gardez avec moi un moment alors que je m'éloigne du début de l'épidémie de coronavirus COVID-19. Le COVID-19 a peut-être initialement été analysé comme émanant d'un virus muté à Wuhan, en Chine, où les autorités sanitaires luttaient contre une épidémie de tuberculose deux ans avant le COVID-19.

    La tuberculose est, comme le COVID-19, une maladie pulmonaire infectieuse saisonnière, non pas causée par un virus mais plutôt par une mycobactérie.

    La tuberculose aurait facilement pu être reclassée comme une infection à coronavirus COVID-19. Modène, Italie et New York, deux autres points chauds géographiques du COVID-19, ont également été en proie à des épidémies antérieures de tuberculose.

    Le vaccin antituberculeux Bacillus Calmette Guerin protège contre l'infection COVID-19, ce qui suggère également que les cas de tuberculose ont simplement été reclassés comme COVID-19. Curieusement, personne n'a soulevé de soupçons que le COVID-19 pourrait simplement être la tuberculose.

    Et qu'est-il arrivé à Wuhan ? Il n'y a pratiquement pas de nouveaux cas dans cette ville de 11 millions d'habitants, tandis que les États-Unis signalent un nombre de décès sans précédent.

    Puis vinrent les verrouillages et ce qui semblait être un deuxième cycle de COVID-19 qui était en fait causé par les verrouillages eux-mêmes.

    Perte de contrôle du système nerveux

    La vitamine B1 contrôle le système nerveux autonome - - rythme cardiaque, respiration, digestion et élimination, et tous les sens (toucher / douleur, odeur, goût, audition, vision). Les symptômes chroniques qui caractérisent le COVID «long-courrier» - - maux de tête, fatigue écrasante, perte de mémoire, faiblesse musculaire, ne sont pas associés à une infection virale mais sont des symptômes courants du béribéri (carence en vitamine B1).

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  10. Le béribéri (carence en vitamine B1) est connu comme le grand mascarade - il trompe les meilleurs médecins. Il y a plus de 120 ans, une carence en vitamine B1 a trompé les médecins qu'il s'agissait d'une maladie virale, car cette carence alimentaire peut provoquer une fièvre dans l'hypothalamus cérébral ainsi que des vomissements et de la diarrhée, des symptômes généralement associés aux infections virales.

    Le contrôle inconscient de la fréquence cardiaque et de la respiration est perdu. Dans cette forme d'insuffisance respiratoire, le patient devient essoufflé et meurt simplement car il ne peut plus rester éveillé et contrôler volontairement sa respiration. La mort n'est pas causée par une soi-disant «tempête de cytokines» dans les poumons des patients infectés par le COVID-19. C’est un problème du système nerveux, pas une infection.

    Pourquoi le zinc est-il utile s'il s'agit d'une carence en vitamine B1 ?

    Cet auteur a largement vanté le zinc (en particulier les pastilles de zinc) pour la prévention et le traitement du COVID-19. Mais si les symptômes du COVID-19 sont vraiment causés par une carence en vitamine B1 (thiamine) et non par une maladie virale infectieuse, alors pourquoi le zinc a-t-il un effet positif sur l'évolution de cette maladie par carence en vitamines ?

    Premièrement, les infections sévères sont courantes chez les patients déficients en thiamine-B1. Ces infections peuvent être des pseudo-infections trompeuses en tant que manifestations d'un déficit en B1 et non de véritables infections.

    De manière remarquable, nous constatons que le zinc améliore l'absorption de la thiamine (vitamine B1) dans les cellules.

    Paralysie flasque aiguë

    Une autre maladie du nerf paralytique idiopathique (inexpliquée) a été signalée aux États-Unis avant l'épidémie de COVID-19. Elle est appelée paralysie flasque aiguë (AFP), caractérisée par un début rapide de faiblesse des cellules nerveuses motrices inférieures (jambes), accompagnée d'une faiblesse des muscles respiratoires et pharyngiens (déglutition), progressant jusqu'à une sévérité maximale en quelques jours à quelques semaines.

    On pense que la myélite flasque aiguë (AFM) est causée par une infection par un type de virus connu sous le nom d'entérovirus. Les maladies respiratoires et la fièvre des entérovirus sont courantes, en particulier chez les enfants. La plupart des gens se rétablissent. On ne sait pas pourquoi certaines personnes atteintes d’une infection à entérovirus développent une myélite flasque aiguë.

    De 2015 à 2017, 43 États ont signalé 305 cas cliniques. Le CDC a confirmé 193 cas d'AFM pédiatriques dans 41 États, la plupart des cas (143, 74%) rapportés en 2016

    Dans l'ensemble, 161 (83 %) patients ont eu de la fièvre, de la toux, de la rhinorrhée (écoulement nasal), des vomissements et / ou de la diarrhée pendant une période médiane de 5 jours (intervalle: 0 à 28 jours) avant le début de la faiblesse des membres; 120 (62 %) avaient de la fièvre, 127 (66 %) une maladie respiratoire et 45 (29 %) une maladie gastro-intestinale.

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  11. Au total, 106 patients (55 %) avaient seulement 1 ou 2 membres atteints contre 87 patients (45%) qui avaient 3 ou 4 membres touchés 152 (79 %) patients avaient au moins 1 membre supérieur affecté.

    Au moment de l'apparition de la faiblesse des membres, 63 (33 %) patients présentaient également des anomalies du nerf crânien, 69 (36 %) étaient quadriplégiques, 51 (28 %) avaient un état mental altéré et 59 (33 %) nécessitaient une ventilation mécanique. Vingt-huit (15 %) avaient des conditions médicales sous-jacentes, dont 15 (8 %) ont déclaré de l'asthme. Seul 1 des 81 patients qui ont subi un test de liquide céphalo-rachidien s'est avéré avoir une infection virale positive.

    La paralysie flasque aiguë est classée comme béribéri en Asie

    Des chercheurs en Asie attirent l'attention sur les patients présentant des symptômes similaires allant de la perte de poids, des vomissements récurrents, de la faiblesse profonde, de l'anorexie, du dysfonctionnement des cordes vocales, des mouvements oculaires latéraux, de la confusion mentale, qui avaient des antécédents d'abus d'alcool qui ont été traités avec succès avec de la thiamine vitamine B1. D'autres chercheurs rapportent qu'une paralysie flasque sévère est liée à une carence en thiamine. La médecine moderne, imprégnée de sa haute technologie, ne peut pas diagnostiquer une simple maladie de carence alimentaire comme le béribéri. Aux États-Unis, cette maladie reste mystérieuse.

    Malnutrition hypercalorique

    Derrick Lonsdale MD, la principale autorité sur la vitamine B1, appelle ce syndrome «malnutrition hypercalorique» qui frappe les sociétés modernes où il y a une abondance d'aliments transformés, d'alcool et de sucre, mais manquant de nutriments essentiels.

    À 96 ans, le Dr Lonsdale écrit toujours sur la thiamine, y compris son rôle dans la pandémie de COVID-19.

    Lorsque cet auteur a contacté le Dr Lonsdale pour savoir si le COVID-19 n'était pas vraiment du béribéri, il a répondu: «Je ne pourrais pas être plus d'accord.» Le Dr Lonsdale est l'auteur du texte médical: MALADIE DE CARENCE EN THIAMINE, DYSAUTONOMIE ET ​​MALNUTRITION HAUTE CALORIE.

    Le Dr Lonsdale a écrit: «La profession médicale est sourde à l'idée parce qu'elle est convaincue que la carence en vitamines n'existe pas en Amérique. Comment guérissez-vous d'abord la surdité répandue chez les médecins? » Il dit que pour les cas hospitalisés et graves, une méga-dose de thiamine-B1 peut être nécessaire. La véritable pandémie est le «refus des médecins».

    On a découvert que la vitamine B1 était la cause du béribéri il y a des décennies. Les médecins qui ne sont pas de première ligne, avec des œillères, meurent eux-mêmes faute de reconnaître les symptômes du béribéri. La médecine moderne gagne trop d'argent avec le béribéri pour le guérir ou l'éradiquer, sans parler de le reconnaître chaque jour au bureau.

    Le coronavirus COVID-19 existe-t-il même?

    Les images au microscope électronique du coronavirus COVID-19 ont été remises en question. Alors que les images graphiques du coronavirus COVID-19 montrent des pics orientés vers l'extérieur, les images au microscope électronique montrent ces pics face vers l'intérieur dans les cellules vivantes. Il est facile de mal interpréter d'autres structures intracellulaires comme des particules de coronavirus. Les médias d'information ont largement utilisé de fausses images du coronavirus COVID-19.

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  12. Le test actuel de réaction en chaîne par polymérase-PCR ne détecte pas non plus de manière fiable le COVID-19. Alors, COVID-19 existe-t-il vraiment ?

    Une analyse approfondie du test de détection de l'infection à coronavirus COVID-19 a été menée par Jesus Garcia Blanca (Discovery Health, novembre 2020). La version originale de ce rapport est en espagnol mais est reproduite en anglais sur GreenMedInfo.

    L’étude du Dr Blanca révèle que les séquences génétiques (lettres d’ADN) utilisées dans le test de réaction en chaîne par polymérase (PCR) sont présentes dans le génome humain lui-même et par conséquent, le test de PCR est sans valeur. La séquence originale du virus COVID-19 correspond à 74 séquences dans le génome humain, il ne s'agit donc pas d'une nouvelle mutation.

    À ce jour, aucun virus purifié n'a été produit pour servir d'étalon. Le test PCR ne détecte que les fragments d'ARN humain, pas le COVID-19 dans son intégralité. Aucun des sept coronavirus connus n'a été isolé et caractérisé non plus.

    Toutes les séquences d'ARN du COVID-19 ont été trouvées dans d'autres bactéries. Un effort pour isoler un coronavirus admet que les chercheurs «assemblés et édités manuellement pour produire une séquence finale du génome viral». Par conséquent, aucun coronavirus ne peut être tenu responsable d'aucune maladie. C'est peut-être pourquoi aucun vaccin contre un coronavirus n'a été homologué au cours de la dernière décennie.

    De nombreuses enquêtes sur la confirmation du coronavirus COVID-19 dans les bases de données universitaires ont abouti à la même réponse: «Aucun enregistrement de travail décrivant l'isolement du virus censé provoquer le COVID19 ne peut être trouvé.»

    Une carence en vitamines sans équivoque

    Malgré les preuves claires que la pandémie de COVID-19 est une mauvaise direction et que l'antidote est la vitamine B1, ce fléau est aidé et encouragé par les négateurs de la médecine nutritionnelle. Un rapport historique publié en 2014 dans Scientific American a remis en question «L'impact sur la santé de la pilule de vitamine reste incertain dans un monde développé».

    Il est sans équivoque que les nombreux symptômes de l'infection au COVID-19, qui sont à l'échelle du système (cœur, reins, foie, cerveau, membres), ne sont pas caractéristiques d'un virus du rhume mais émanent plutôt d'une carence alimentaire qui a été prise à tort pour un virus il y a plusieurs décennies, lorsque les chercheurs ont tenté d'expliquer la cause du béribéri.

    Si la tromperie du COVID-19 est supposée vraie, tous les vaccins échoueront de manière prévisible. Avec un média complice de cette ruse, le monde découvrira-t-il jamais que cette pandémie est artificielle? Le remède est la prévention avec une pilule de 10 centimes de vitamines. Les milliardaires pro-vaccins qui se présentent comme des philanthropes doivent être damnés.

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  13. Instruction

    La vitamine B1 est un nutriment hydrosoluble (chlorhydrate de thiamine) qui est rapidement excrété. Les diurétiques (pilules d'eau, café) augmentent son excrétion. Les antiacides pour les cas de brûlures d'estomac altèrent l'absorption de B1. Le médicament anti-diabétique metformine interfère également avec la vitamine B1. Par conséquent, nous voyons beaucoup de diabétiques parmi les patients hospitalisés pour COVID-19.

    Les formes supérieures de compléments alimentaires B1 sont la BENFOTIAMINE liposoluble et l'ALLITHIAMINE, cette dernière passant à travers la barrière hémato-encéphalique. Essentiellement, tous les consommateurs réguliers d'alcool devraient compléter leur alimentation avec B1.

    Sachant que les Américains consomment plus d'aliments et de boissons transformés qui interfèrent avec la nutriture B1, le Food & Nutrition Board est négligent de ne pas augmenter l'enrichissement des aliments B1.

    Il y a plus de 40 ans, la fortification des boissons alcoolisées en thiamine B1 était proposée. Plus récemment, un éthicien médical de premier plan a écrit un livre blanc intitulé: The Case For Vitamin-Enriched Alcohol (Real Clear Science). Cela conduit à ma conclusion que les Américains sont joués pour la maladie à traiter. La médecine préventive n'est pas pratiquée.

    L'industrie des compléments alimentaires est inexplicablement aussi ignorante de cette épidémie de béribéri que la médecine alternative et conventionnelle, ce qui aggrave le problème.

    Il est difficile de trouver des formes liposolubles de vitamine B1 sur les tablettes des magasins. Il est préférable de prendre les suppléments B1 à un moment différent de celui de l’alcool, du café, du thé, du sucre ou des médicaments.

    Le béribéri est très détourné. Une pénurie de thiamine-B1 arrête l'odorat et le goût et il n'y a pas de faim. Moins il y a de nourriture consommée, moins B1. Le manque de B1 arrête la sécrétion d'acide gastrique et moins de B1 est absorbé.

    https://www.lewrockwell.com/2020/12/no_author/survey-confirms-were-killing-ourselves-its-a-lifestyle-dietary-disease-vaccines-wont-help/

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    1. Pourquoi cette saloperie quotidienne est-elle servie par les merdias ? Parce que l'intelligence n'est PAS génétique et, qu'un ingénieur, scientifique peut avoir un enfant con.
      C'est ce qui s'est passé depuis les débuts de l'humanité où les armes ont remplacé l'intelligence puis ont fait partie de cette dernière.
      L'intelligence n'est pas transmissible à tous êtres tandis que les armes le sont.
      C'est dans ce relief que nous nous trouvons aujourd'hui où les gros cons de psychopathes qui gouvernent ne savent pas faire quoi, ni se torcher le cul d'eux-mêmes !
      Ils n'ont pas appris. Donc, au lieu depuis leur rang de basse fosse septique d'écouter les professeurs leurs parler du 'comment s'en sortir', ils se demandent seulement "C'est quoi un professeur" !
      Ce sont des merdes à qui il ne manquent que la parole !

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  14. L'existence du SARS-CoV-2 n'a pas été prouvée; Je peux le faire pour toujours


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    19 décembre 2020


    Tout d'abord, des éloges très vifs vont à Christine Massey, pour son travail de dénonciation de la fraude au coronavirus. Dans un monde à moitié sain d'esprit, elle aurait déjà reçu de nombreux prix.

    Sa dernière communication se lit comme suit: «L’accès à l’information révèle que l’Agence de la santé publique du Canada n’a aucune trace d’isolement du« SRAS-COV-2 »effectué par quiconque, n’importe où, jamais» [1]

    J'exhorte les lecteurs à visiter le site de Massey, à lire son nouvel article et à suivre tous les liens. Ses découvertes sont stupéfiantes. Elle et son équipe ont fait une quarantaine de demandes d'accès à l'information auprès d'agences de santé publique dans divers pays, demandant la preuve que le SRAS-CoV-2 a été isolé. Vous verrez dans les réponses qu'aucune agence ne dispose d'enregistrements démontrant l'isolement.

    Cela signifie exactement ce que cela semble signifier: le virus n'a pas été prouvé.

    Quant aux gens qui continuent de répéter que le virus a été isolé, je peux continuer à expliquer pourquoi ce n'est pas le cas. Je peux faire ça pour toujours. [2] [3]

    Qu'il s'agisse d'un scientifique, d'un groupe de scientifiques, d'un fonctionnaire du gouvernement, d'une personne agitant une étude comme un journal avec un titre brûlant d'un vieux film, ma réponse est la même, et je le fais savoir que certaines personnes refuseront intentionnellement de le faire. le comprendre:

    UN: Dire que le virus a été isolé n’est pas la même chose que prouver qu’il l’a été.

    DEUX: Les chercheurs déforment régulièrement le sens du mot «isolé» pour signifier son contraire.

    L'isolement signifie absurdement: «Nous avons le virus dans une soupe dans un plat du laboratoire. Il n'est pas séparé (isolé) de la soupe. La soupe contient diverses cellules - humaine, singe - et un éventail de produits chimiques (toxiques) et de médicaments. Nous savons que le virus est là, car il infecte et tue certaines cellules. »

    Un lycéen raisonnablement brillant se rendrait immédiatement compte qu'il ne s'agit pas d'une description de l'isolement.

    Un lycéen raisonnablement brillant ferait remarquer qu'il n'y a aucune preuve que le virus infecte et tue les cellules, car les produits chimiques toxiques et les médicaments contenus dans la soupe sont suffisants pour tuer les cellules. Il pourrait également mentionner que les cellules de la soupe sont privées de nutriments, et cela seul pourrait causer leur mort.

    Par conséquent, rien ne prouve que «le virus» se trouve réellement dans la soupe.

    Par conséquent, il n'y a aucune preuve dans cette situation pour affirmer que le virus existe.

    Passons au facteur suivant: les affirmations omniprésentes d'avoir «séquencé la structure génétique du virus». Encore une fois, dire que le séquençage a été réalisé n'est pas la même chose que le prouver.

    Et prouver que c’est impossible, si vous n’avez pas déjà le virus dans un état purifié et isolé. Au lieu de preuves, vous avez des inférences et des hypothèses louches, des conjectures et des tromperies.

    Comment pouvez-vous séquencer quelque chose que vous n’avez pas ? Vous ne pouvez pas.

    J'ai utilisé plusieurs analogies pour expliquer ce non-sens. En voici un autre:

    Un restaurateur d'art, un défenseur de l'environnement et un historien est appelé dans la maison d'un exécuteur de la foule bien connu.

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  15. L'exécuteur lui dit qu'il a quelque chose à lui montrer dans le grenier. Sur le chemin, ils traversent le salon, où plusieurs valises ouvertes sont posées sur le sol. Ils débordent de tas d’argent. Les armes automatiques et les boîtes de munitions sont disposées sur une longue table. Dans un placard ouvert, l'expert en art voit une rangée de vestes avec des désignations indiquant: FBI, BATF, Federal Marshal, shérif, police locale.

    Dans le grenier, l'agent de police montre du doigt un petit tas de minuscules copeaux sur le sol.

    «Celles-ci proviennent d'un autoportrait perdu de Rembrandt», dit-il. «Collectionnez-les, allez travailler dessus, faites-moi un rapport favorable. Ou sinon."

    De retour dans son laboratoire, l'expert en art obéissant divise rapidement les puces en trois groupes. Le premier groupe est constitué de puces d’aquarelle provenant d’un ensemble de jouets pour enfants. Le deuxième groupe est constitué de copeaux acryliques du milieu du XXe siècle. Le troisième groupe est constitué de copeaux blancs de plomb, utilisés pendant cent ans de part et d'autre de la date approximative où Rembrandt aurait pu peindre l'autoportrait perdu.

    L'expert en art constate que Rembrandt (et des centaines d'autres peintres) ont utilisé ce type général de blanc de plomb.

    L’expert construit, à partir des travaux d’autres chercheurs, un essai affirmant qu’il y avait et qu’il reste un autoportrait perdu de Rembrandt. Il exclut les commentaires qui nient l'existence de ce tableau.

    Il «séquence» toutes ces informations et conjectures et conjectures (et con) dans un rapport convaincant, qui pointe vers le petit tas de puces dans le grenier de l'agent de police.

    (Il s'avère que l'exécuteur a l'intention d'accuser un chef de la mafia rival d'avoir volé «l'autoportrait perdu de Rembrandt».)

    L'existence de l'autoportrait est ainsi «établie», c'est-à-dire qu'il est assemblé, bricolé à partir de sources diverses, concocté, lissé en ignorant la contre-information - employant une vaste généralité sur la peinture blanche plomb.

    Bien sûr, dans toute cette invention ridicule, l'autoportrait lui-même n'est pas là, il n'est pas en main, son existence n'a pas été démontrée, c'est une histoire, IL N'Y A AUCUNE ISOLATION de l'hypothèse environnante et du gimcrackery.

    Il en va de même pour le SRAS-CoV-2. Des morceaux de données qui font référence à des séquences d'ARN supposées antérieures dans des bibliothèques sont tous liés ensemble, pour ressembler à ce qui est prétendu être un nouveau et unique coronavirus - sans avoir le virus réel, sans avoir montré qu'il existe du tout.

    Dans des articles précédents, j’ai cité deux documents clés, l’un du CDC et l’autre du «groupe Drosten». Ces documents décrivaient comment effectuer le test PCR pour le nouveau virus - et dans les deux documents, les auteurs déclarent qu’ils n’ont pas le virus.

    Alors… un test pour quoi ? Le virus que vous n’avez pas.

    Toutes les affirmations selon lesquelles ces auteurs ont finalement obtenu le virus sont basées sur la définition tordue de «isolé» que j'ai expliquée ci-dessus.

    Oui, ils se sont emparés du «virus isolé», c'est-à-dire de la soupe dans le plat du laboratoire - et nous sommes revenus là où nous avons commencé. Isolement signifiant non-isolement.

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  16. J’ai expliqué tout cela à plusieurs reprises, en détail, dans des articles précédents, et bien sûr, des gens ici et là continuent de m’envoyer des études prétendant être isolées.

    Je peux faire ça pour toujours.

    Les gens peuvent dire: «Eh bien, nous savons d'après les photos d'échantillons de sol martien que le deuxième mardi de mars 1843, il y avait un pique-nique sur Mars en présence de trois virologues de l'Institut martien d'épidémiologie, et ils ont mangé des sandwichs baloney sur des toasts de seigle. et j'ai bu Miller Lite.

    J'apprécie ces contes de fiction dans le vide. Je les laisserais tranquilles, sauf que le fait de ne pas prouver l'existence du SRAS-Cov-2 est au fond de tous les mensonges qui ont été utilisés pour voler la liberté, les biens et les moyens de subsistance d'au moins un milliard de personnes.

    Je ne laisserai pas cela seul.

    Vous non plus.

    «… Mais attendez, M. Rappoport, voici une étude de la Mongolie extérieure qui indique que le virus a été isolé. Cela semble régler la science sur cette question, une fois pour toutes. »

    Sûr. Bien sûr que oui. Et le soleil se couche tous les jours à midi à Cincinnati.

    SOURCES:

    [1] https://www.fluoridefreepeel.ca/freedom-of-information-reveals-public-health-agency-of-canada-has-no-record-of-sars-cov-2-isolation-performed-by-anyone-anywhere-ever/

    [2] https://twitter.com/jonrappoport/status/1339769925402038273

    [3] https://www.youtube.com/watch?v=R6-8VRGvNtQ

    https://www.lewrockwell.com/2020/12/jon-rappoport/sars-cov-2-has-not-been-proven-to-exist-i-can-do-this-forever/

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  17. La fin arrive très bientôt, et peu d'Américains sont prêts à faire quoi que ce soit pour l'arrêter !


    Par Gary D. Barnett
    19 décembre 2020


    «Les gouvernements ne veulent pas d’une population capable de pensée critique, ils veulent des travailleurs obéissants, des gens juste assez intelligents pour faire fonctionner les machines et juste assez stupides pour accepter passivement leur situation. Tu n'as pas le choix. Vous avez des propriétaires. Ils vous possèdent. Ils possèdent tout. Ils possèdent toutes les terres importantes. Ils possèdent et contrôlent les sociétés. Ils ont depuis longtemps acheté et payé pour le Sénat, le Congrès, les maisons d'État, les mairies, ils ont les juges dans leurs poches arrière et ils possèdent toutes les grandes entreprises de médias, donc ils contrôlent à peu près toutes les nouvelles. et des informations que vous entendez.
    ~ George Carlin

    Ce pays est-il confronté à la fin des temps ? Les habitants de ce pays sont-ils inconscients de toute réalité ou vérité, ou sont-ils simplement consumés par l'ignorance, la passivité, la lâcheté et la médiocrité ? Cet assaut de tyrannie par la classe dominante et les politiciens se poursuivra-t-il sans relâche, ou se réveillera-t-il suffisamment à temps pour s'opposer à la décimation totale de leur vie, de leurs biens, de leur liberté et de leur terre? Qu'est-ce qui pourrait motiver les masses à accepter volontairement leur propre servitude, une servitude qui ne peut conduire qu'à leur disparition imminente? Même les formes de vie les plus simplistes de cette planète possèdent l'instinct de base de l'autodéfense, alors pourquoi se fait-il que le supposé le plus intelligent de tous les êtres vivants puisse être contrôlé et brutalisé jusqu'à l'extinction, sans lever le petit doigt pour protéger ses propres intérêts ? Aujourd'hui, en Amérique, les gens se noient dans une mare de leur propre sang, tandis que leurs maîtres choisis se régalent des restes.

    Il reste très peu de temps pour changer la voie que nous suivons aujourd'hui, car ce complot vers la grande réinitialisation du monde est proche. Dans le passé, lorsque la liberté a été menacée, certains ont riposté et ont gagné, mais la plupart se sont assis et ont attendu, espérant que d'autres viendraient à leur secours et les sauveraient d'eux-mêmes. Chaque fois que les menaces sont venues et disparues, il y avait moins de liberté et beaucoup plus de contrôle. Chaque événement tyrannique a entraîné une attaque contre la liberté qui est restée longtemps après l’attente d’un soi-disant «retour à la normale». Le terme «normal» n’a cessé de changer, ce qui signifie que chaque nouvelle norme a entraîné moins de liberté et plus de mesures autoritaires. C'est jusqu'à aujourd'hui, car nous sommes maintenant confrontés à la fin de toute liberté et à une vie de soumission et d'asservissement. À moins que et jusqu'à ce que l'oligarchie dirigeante actuelle soit éliminée ou affaiblie au point de l'impuissance, et par tous les moyens nécessaires, la tyrannie suivra son cours jusqu'à ce qu'elle ait un contrôle total ou que le système entier s'effondre sous son propre poids.

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  18. Tout au long de l'histoire, des royaumes, des États et des nations se sont succédés. Les empires règnent, mais finissent toujours par tomber. Après un échec sociétal, un meilleur système peut être en place temporairement, comme cela s'est produit ici dans ce pays après l'éviction de la domination britannique, mais en raison du pouvoir, de la cupidité et des populations faibles et complaisantes, l'effondrement des sociétés a toujours été inévitable. Celui-ci n'est pas différent. La vraie question est combien de temps cela durera-t-il? Compte tenu de la fondation «supposée», cette nation n’existe que depuis un peu plus de 240 ans. Historiquement parlant, c'est un temps très court certes, mais la marche vers une fin totalitaire est proche. Nous sommes maintenant au bord de ce précipice, avec déjà un pied suspendu au-dessus de la falaise. Il n’y aura pas de retour à la «normale» ni à aucune notion de liberté, à moins qu’un démantèlement complet de ce système de gouvernement très imparfait ne se produise. Cela ne peut se produire que si une majorité de la population non seulement le désire, mais est également prête à prendre tous les risques pour retrouver sa propre indépendance.

    À ce stade, notre chute probable ne sera pas due aux quelques oligarques maléfiques qui commettent cette fraude appelée «pandémie virale», elle sera due à un abandon complet de la responsabilité personnelle des populations elles-mêmes. Cette vérité doit être reconnue avant qu'un soulagement ne soit possible. Tant que le blâme est largement répandu pour apaiser la faible psyché des masses pitoyables, et qu'aucune responsabilité pour sa propre vie et existence n'est acceptée, alors aucune résolution ne sera possible. Nous vivons maintenant dans une société qui a perdu sa capacité à fonctionner sans règle. Le troupeau cherche toujours à trouver un maître au lieu de se tourner vers lui-même. Tant que cette attitude est présente dans la majorité, la souveraineté individuelle ne prévaudra pas, et il en résultera une population de preneurs d'ordres et de pratiquants de règles. Cela ne peut pas conduire à la liberté, mais seulement à l'assujettissement complet du peuple américain. Il y a cinq cents ans, Étienne de La Boétie écrivait «La politique de l'obéissance et le discours de la servitude volontaire». Les habitants de ce pays ont volontairement renoncé à leur liberté et, ce faisant, sont devenus des serfs obéissants. Dans ce passage ci-dessous, il a résumé l'essence de l'esclavage volontaire par un comportement obéissant.

    «Cela nous étonne d'entendre les récits de la valeur que la liberté suscite dans le cœur de ceux qui la défendent; mais qui pourrait croire les rapports de ce qui se passe chaque jour parmi les habitants de quelques pays, qui pourrait vraiment croire qu'un seul homme peut en maltraiter cent mille et les priver de leur liberté? Qui créditerait un tel rapport s'il l'entendait simplement, sans être présent pour assister à l'événement? Et si cette condition ne se produisait que dans des pays lointains et nous était rapportée, laquelle d'entre nous ne supposerait pas que l'histoire soit imaginée ou inventée, et pas vraiment vraie? Il n'est évidemment pas nécessaire de se battre pour vaincre ce tyran unique, car il est automatiquement vaincu si le pays refuse de consentir à son propre asservissement: il n'est pas nécessaire de le priver de quoi que ce soit, mais simplement de ne rien lui donner; il n'est pas nécessaire que le pays fasse un effort pour faire quoi que ce soit pour lui-même pourvu qu'il ne fasse rien contre lui-même. Ce sont donc les habitants eux-mêmes qui permettent, ou plutôt provoquent leur propre soumission, puisqu'en cessant de se soumettre ils mettraient fin à leur servitude.

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  19. Combien de fois les Américains ont-ils critiqué les habitants d'autres pays pour avoir permis aux tyrans de régner sur eux sans se lever pour protéger leur propre liberté ? Combien de fois ceux de ce pays ont-ils condamné des monstres totalitaires à travers le monde et demandé qu'ils soient enlevés ou tués? Combien de fois les Américains ont-ils applaudi à une guerre agressive contre d'autres nations parce qu'ils vivaient sous des régimes brutaux ? Combien de fois les Américains se sont-ils vantés d'être exceptionnels et ont-ils faussement déclaré qu'ils étaient les personnes les plus libres du monde ? Combien de fois cette population américaine a-t-elle permis cette même tyrannie et cette même brutalité chez nous sans rien faire ?

    Je peux vous dire que la plupart de tous dans ce pays autorisent volontairement cette prise de contrôle aujourd'hui et ne font absolument rien pour l'arrêter. La désobéissance civile et la dissidence de masse suffiraient à réprimer cet assaut de mensonges gouvernementaux, de carnage, de meurtre et de destruction de la liberté, mais pendant que vous condamnez les autres, vous restez les bras croisés et regardez votre propre liberté enlevée sans jamais lever le petit doigt pour l'arrêter. Honte à vous tous qui refusez de désobéir et refusez de défendre votre propre liberté !

    https://www.lewrockwell.com/2020/12/gary-d-barnett/the-end-is-coming-very-soon-and-few-americans-are-willing-to-do-anything-to-stop-it/

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    1. Les animaux ne constatent leur privation de liberté que lorsqu'il est trop tard pour la défendre.

      Ne perdons pas notre temps à nous poser des questions sur le pourquoi ils font çà, mais le pourquoi nous nous rebellons pas contre la dictature.

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  20. Comment l'État propage l'hystérie de masse


    Par Philipp Bagus
    Mises.org
    19 décembre 2020


    L'histoire de l'hystérie de masse, ou maladie sociogénique de masse, est fascinante. Des cas d'hystérie de masse ont été documentés depuis le Moyen Âge. Permettez-moi de mentionner quelques-uns des cas les plus récents.

    Lorsqu'une pièce radiophonique d'Orson Welles, Guerre des mondes, a été diffusée en 1938 peu après la suspension de l'accord de Munich, la pièce aurait provoqué la panique parmi les auditeurs, qui pensaient être attaqués par des Martiens.

    Un autre cas intriguant est un épisode d'une émission de télévision portugaise intitulée Strawberries with Sugar. Dans l'épisode, les personnages ont été infectés par un virus mortel. Après l'émission, plus de trois cents élèves ont signalé des symptômes similaires à ceux ressentis par les personnages de l'émission télévisée, tels que des éruptions cutanées et des difficultés respiratoires. Certaines écoles ont même fermé. L'Institut national portugais des urgences médicales a conclu que le virus n'existait pas dans la réalité et que les symptômes étaient causés par une hystérie de masse.

    De même, sur le vol 203 d'Emirates en septembre 2018, des dizaines de passagers ont commencé à croire qu'ils étaient malades après avoir observé d'autres passagers présentant des symptômes pseudo-grippaux. En raison de la panique, tout le vol a été mis en quarantaine. En fin de compte, seuls quelques passagers ont eu un rhume ou la grippe saisonnière.

    Il est bien connu qu'il existe des effets nocebo, qui sont à l'opposé des effets placebo. En raison de l'effet placebo, une personne se remet d'une maladie parce qu'elle s'attend à le faire. Lorsque nous subissons un effet nocebo, par contre, nous tombons malades simplement parce que nous nous attendons à tomber malades.1 Dans une prophétie auto-réalisatrice, l'attente peut provoquer les symptômes. L'anxiété et la peur aggravent ce processus.

    L'hystérie de masse peut provoquer des symptômes. De plus, l'hystérie, qu'elle soit collective ou non, pousse les gens à se comporter d'une manière que des personnes prudentes non affectées par l'hystérie considéreraient probablement comme absurdes. Il est ouvert à la recherche empirique d'étudier si et dans quelle mesure le monde a souffert d'hystérie de masse pendant l'épidémie de covid-19.3 Nous avons tous vu des gens accumuler du papier hygiénique, porter des masques en conduisant seuls dans des voitures ou avoir entendu des histoires. des personnes ne quittant pratiquement pas leur maison pendant des mois. Nous connaissons également des personnes qui ont peur du virus même si leur propre risque de mort est minime.

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  21. Bien qu'étudier la possibilité d'une hystérie de masse corona soit certainement intéressant, je voudrais me concentrer ici sur une question plus fondamentale; à savoir, la mesure dans laquelle l'existence de l'État peut exacerber l'hystérie de masse. Certes, il peut y avoir des cas d'hystérie de masse dans une société libre, en raison du biais de négativité du cerveau humain. Nous nous concentrons sur les nouvelles négatives et subissons un stress psychologique lorsque nous pensons ne pas avoir le contrôle. Cela peut également se produire dans une société libre lorsque les nouvelles négatives prévalent. Pourtant, dans une société libre, il existe certains mécanismes d'autocorrection et certaines limites qui font qu'il est plus difficile pour l'hystérie de masse de devenir incontrôlable.

    En tant que mécanisme correctif, il existe des stratégies bien connues pour réduire la peur et l'anxiété. Dans une société libre, les gens sont libres d'utiliser ces stratégies. On peut relâcher la tension de son corps grâce au sport et aux exercices. De plus, il est essentiel de trouver des distractions par rapport aux nouvelles négatives et de socialiser. Dans une société libre, ces distractions abondent.

    Il est vrai que l’hystérie peut amener les gens à s’infliger un tort énorme à eux-mêmes et aux autres. Pourtant, dans une société libre, il existe une limite essentielle aux ravages causés par l'hystérie de masse, et cette limite est le droit de propriété privée. Dans une société libre, l'hystérie de masse ne peut pas conduire à une violation massive des droits de propriété privée par l'État, simplement parce que l'État n'existe pas.

    De plus, alors que toute personne dans une hystérie de santé peut volontairement fermer son entreprise, porter un masque ou rester à la maison, dans une société libre, personne ne peut forcer les autres qui ne succombent pas à l'hystérie à fermer leurs entreprises, porter des masques ou mettre en quarantaine. Une petite minorité qui continue de vivre sa vie normale et qui est libre de le faire peut être un signal d'alarme pour ceux qui ont succombé à l'hystérie de masse, en particulier les cas limites. Imaginez qu'un petit groupe de personnes continue à faire des courses, à travailler, à respirer librement, à se retrouver entre amis et en famille, et qu'ils ne meurent pas. D'autres peuvent alors suivre leur exemple et le groupe d'hystériques se rétrécit.

    Alors que la destruction infligée par l'hystérie de masse est limitée par les droits de propriété privée dans une société libre, de telles limites n'existent pas lorsqu'il y a un État.4 En effet, un groupe bien organisé qui a succombé à une hystérie de masse peut prendre le contrôle de l'appareil d'État. et imposer des mesures au reste de la population et infliger des dommages indicibles. La possibilité d'une hystérie de masse est une raison importante pour laquelle l'institution de l'État est si dangereuse.

    De plus, alors que dans une société libre il existe des mécanismes qui réduisent les paniques de masse, l'hystérie de masse peut être exacerbée par l'État pour plusieurs raisons:

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  22. Premièrement, l'État peut et, comme dans le cas de l'épidémie de covid-19, interdit et diminue les activités qui réduisent la peur et l'anxiété, telles que le sport et la diversion. L'État favorise en fait l'isolement social, contribuant à l'anxiété et à la tension psychologique, ingrédients qui stimulent l'hystérie de masse.

    Deuxièmement, l'État adopte une approche centralisée pour traiter la source de l'hystérie, dans notre cas, la menace perçue d'un virus. L'État impose sa solution, et par conséquent il n'y a pas ou très peu d'expérimentation pour résoudre le problème. Les gens qui n’ont pas succombé à l’hystérie et s’opposent à l’approche de l’État sont réprimés. Ils ne peuvent pas montrer d'autres moyens de faire face à la «crise», car ces moyens alternatifs sont interdits par l'État. En conséquence, la pensée de groupe augmente et l'hystérie se nourrit d'elle-même, car aucune alternative n'est présentée aux gens.

    Troisièmement, dans un État, les médias sont souvent politisés. Les organes de presse et les plateformes de médias sociaux entretiennent des relations étroites avec l'État. Les médias peuvent être la propriété directe de l'État, tout comme les chaînes de télévision publiques, ils peuvent avoir besoin de licences d'État pour fonctionner, ils peuvent rechercher la bonne volonté des agences publiques ou simplement être dotés de personnes qui ont été éduquées dans des écoles publiques. Ces agences de presse et plateformes de médias sociaux se lancent dans des campagnes massives d'informations négatives, effraient intentionnellement les gens et suppriment les informations alternatives. Si les gens écoutent, regardent ou lisent des histoires négatives et unilatérales toute la journée, leur stress psychologique et leur anxiété augmentent. L'hystérie de masse parrainée par un secteur médiatique biaisé peut devenir incontrôlable.

    Quatrièmement, les nouvelles négatives provenant d'une source faisant autorité sont particulièrement néfastes pour la santé psychologique et produisent de l'anxiété. S'il existe dans la société une institution de pouvoir total comme l'État qui intervient dans la vie des gens de la naissance à la mort5, les annonces de ses représentants prennent du poids. Beaucoup de gens attachent une grande autorité à ces représentants et aux avertissements des institutions étatiques. Ainsi, lorsqu'un médecin comme Anthony Fauci parle au nom de l'État et dit aux gens de s'inquiéter et de porter des masques, il devient plus facile pour l'hystérie de masse de se développer que ce ne serait le cas dans une société décentralisée.

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  23. Cinquièmement, l'État veut parfois activement instiller la peur dans la population, contribuant ainsi à créer une hystérie de masse. En fait, pendant les premiers mois de l'épidémie corona, un document interne du ministère allemand de l'Intérieur a été divulgué au public. Dans le document, les experts recommandent que le gouvernement allemand instille la peur dans la population allemande. Le document recommande d'augmenter la peur avec trois mesures de communication.

    Premièrement, les autorités devraient insister sur les problèmes respiratoires des patients atteints de covid-19, car les êtres humains ont une peur primordiale de la mort par suffocation, ce qui peut facilement déclencher la panique.

    Deuxièmement, la peur doit également être instillée chez les enfants. Les enfants peuvent facilement être infectés lorsqu'ils rencontrent d'autres enfants. Il faut leur dire que lorsqu'ils infectent à leur tour leurs parents et leurs grands-parents, ceux-ci peuvent subir une mort douloureuse à la maison. Cette mesure vise à invoquer des sentiments de culpabilité.

    Troisièmement, les autorités devraient mentionner la possibilité de dommages irréversibles à long terme inconnus après une infection corona et la possibilité de mort subite de personnes infectées. Toutes ces mesures visaient à accroître la peur dans la population. La peur, à la fin, est le fondement du pouvoir de chaque gouvernement. Comme l'a dit H.L. Mencken:

    Tout le but de la politique pratique est de garder la population alarmée (et donc clameuse pour être conduite à la sécurité) en la menaçant d'une série interminable de hobgobelins, tous imaginaires.

    Pour résumer: l'hystérie de masse est possible dans une société libre, mais il existe des mécanismes d'autocorrection. Le préjudice qu'une telle hystérie peut infliger est limité par l'application des droits de propriété privée. L'État amplifie et exacerbe les paniques de masse, provoquant d'énormes ravages. Que sont les flambées locales, limitées et isolées d'hystérie de masse dans une société libre, l'État peut se transformer en une hystérie de masse mondiale. Malheureusement, il n'y a pas de limite aux dommages que l'hystérie de masse peut faire à la vie et à la liberté si elle s'empare du gouvernement, car l'État ne respecte pas la propriété privée. La violation sans scrupules des libertés fondamentales pendant l'épidémie corona en est un bon exemple. La possibilité d'une hystérie de masse est une autre raison pour laquelle l'État est une institution si dangereuse à avoir.

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  24. Dans un cas célèbre, un homme a tenté de se suicider. Il pensait avaler vingt-neuf capsules d'un médicament expérimental. Cependant, ils étaient en réalité des placebos. Mais il pensait qu'il se suiciderait. Il est arrivé à l'hôpital avec une pression artérielle extrêmement basse et d'autres symptômes graves. Lorsque le médecin de l'essai médical est arrivé et lui a dit qu'il n'avait pris que des placebos, l'homme s'est rétabli en quinze minutes.

    Au cours de la panique de la grippe espagnole, la panique a contribué à des décès qui autrement n'auraient pas eu lieu.

    3. Gardez à l'esprit que la tension psychologique et l'anxiété subies par la population pendant les confinements étaient énormes.

    4 Pour la psychologie des masses et leur irrationalité, voir l'ouvrage classique de Gustave Le Bon.

    Un point connexe concerne les conséquences d'une population qui a cessé de croire en Dieu et a commencé à croire en l'État à la place. Lorsque les gens se détournent de la religion et arrêtent de croire en une vie après la mort, ils commencent à craindre davantage la mort. Une forte peur de la mort est un autre facteur contribuant à la panique, aux troubles et à l'hystérie de masse. Comme l'a dit Erik von Kuehnelt-Leddihn: «Il est difficile de craindre la mort si l'on est très pieux. Il est difficile de ne pas adorer la santé si l'on craint la mort. Il est difficile de faire respecter la santé générale sans une intervention à grande échelle de l’État et il est tout aussi difficile d’imaginer une intervention accrue de l’État sans perte de libertés. » La menace du troupeau ou Procrustes at Large (Milkwaukee, WI: Bruce Publishing Company, 1943), pp. 38–39.

    Remarque: les opinions exprimées sur Mises.org ne sont pas nécessairement celles de l'Institut Mises.

    https://www.lewrockwell.com/2020/12/no_author/how-the-state-spreads-mass-hysteria/

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    1. Nocebo


      L'effet nocebo (du latin : « je nuirai ») est un terme introduit en 1961 par Walter Kennedy. L'effet psychologique ou physiologique lié à la prise d'une substance inerte n'est pas toujours bénéfique, sous la forme d'un effet placebo, il peut aussi être dommageable pour l'individu, et on parle alors d'effet nocebo1.

      Cet effet nocebo peut prendre la forme d'effets indésirables. Le patient, croyant qu'il prend un médicament, est susceptible de recréer, par suggestion, les effets indésirables dont il a pu entendre parler auprès de ses amis ou dans les médias, ou qu'il a simplement lus sur la notice. Ces effets, distincts des effets secondaires réels d'un médicament, sont de nature psychologique, même si la distinction entre les deux n'est pas toujours aisée, car il peut aussi exister un effet nocebo lors de la prise d'un vrai médicament entraînant des effets secondaires n'étant pas la résultante de son action pharmacologique2. 20 à 30 % des sujets en parfaite santé observeraient des effets secondaires tels que maux de tête, somnolence et nausées lors de la prise d'un placebo3.

      Le fait d'anticiper une douleur lors d'une procédure médicale est susceptible d’entraîner un effet nocebo. Des recherches suggèrent que la cholécystokinine est un médiateur de l'hyperalgésie nocebo4. D'autres études montrent l'implication du système dopaminergique du cerveau, comme pour l'effet placebo5.

      Les inquiétudes collectives sur des sujets de santé publique peuvent avoir un effet nocebo, comme par exemple concernant les effets des rayonnements électromagnétiques sur la santé6.

      https://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_nocebo#:~:text=L%27effet%20nocebo%20(du%20latin,parle%20alors%20d%27effet%20nocebo.

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  25. Michael Flynn: Trump pourrait relancer les élections dans les États frauduleux
    Ce que MSNBBCNN ne mentionnera pas que Michael Flynn suggère comme étant possible:


    December 19th, 2020


    Le président Trump pourrait saisir toutes les machines du Dominion - sur son ordre.
    Trump pourrait relancer les élections dans les États swing,
    La loi martiale est une option, mais en aucun cas la seule, et a déjà été instaurée 64 fois dans l'histoire des États-Unis.
    Il n'y a que deux façons de résoudre pacifiquement le grand fossé politique:

    Premièrement, les médias font leur travail et rapportent les deux côtés du paysage politique. Les électeurs démocrates honnêtes n'ont aucune idée de la raison pour laquelle la moitié de la nation pense que l'élection a été volée. Il y aura peu de sympathie du public pour les émeutes visant à protéger les droits des postiers à antidater de faux votes, etc. - mais nous sommes plus susceptibles de trouver la vie sur la Lune.

    Deux: Relancez l'élection avec des bulletins de vote papier et une pièce d'identité de l'électeur.

    Trump ne devrait pas avoir à relancer une élection qu'il semble avoir gagnée, mais les faux votes ont été mélangés avec les vrais, et l'œuf ne peut pas être déchiffré. Même les audits appropriés ne peuvent pas compter uniquement les votes légaux et rejeter les votes illégaux, ils ne peuvent que montrer l'ampleur de la fraude.

    La démocratie commence et se termine par des élections libres et équitables.

    - voir clip sur site -

    Michael Flynn à Newsmax TV: Trump a des options pour garantir l'intégrité des élections de 2020
    (Newsmax TV / "Greg Kelly Reports")
    Par Solange Reyner | Jeudi 17 décembre 2020 20:27

    L'ancien conseiller à la sécurité nationale Michael Flynn a déclaré que le président Donald Trump avait des options pour s'assurer que l'intégrité de l'élection de 2020 reste intacte, y compris la saisie de machines à voter dans tout le pays et l'utilisation de capacités militaires pour relancer les élections dans les États swing.

    «Je ne sais pas s’il va prendre l’une de ces options. Le président doit prévoir toutes les éventualités, car nous ne pouvons pas permettre que cette élection et l'intégrité de notre élection se déroulent comme elles sont », a déclaré Flynn jeudi lors d'une apparition sur Newsmax TV" Greg Kelly Reports "."

    «C'est tout simplement insatisfaisant. Il n'y a aucun moyen au monde que nous puissions avancer en tant que nation avec cela. …

    La démocratie a également besoin d'une presse libre. Mais même avec un biais systématique et culturel dans la presse Pravda et des niveaux obscènes de censure par les géants de la technologie, les électeurs américains semblent voir à travers (pour l'instant). Les citoyens américains ont encore beaucoup plus de liberté d'expression que les citoyens soviétiques. Mais pour combien de temps?

    https://joannenova.com.au/2020/12/michael-flynn-trump-could-rerun-elections-in-states-with-fraud/

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  26. La plate-forme SolarWinds piratée a été utilisée dans les systèmes de vote du Dominion, rendant toute l'élection sujette à des cyber-interférences


    Vendredi 18 décembre 2020
    par: Ethan Huff


    (Natural News) Le journal indien GreatGameIndia a vérifié que les machines de Dominion Voting Systems utilisent en fait la plate-forme logicielle SolarWinds qui a été exploitée et piratée plus tôt dans la semaine.

    Une capture d'écran archivée du portail de connexion du site Web de Dominion montre SolarWinds clairement écrit en bas de la page en tant que partenaire logiciel depuis 1995.

    Ceci est important parce que les pirates ont réussi à cacher du code malveillant dans une récente mise à jour logicielle SolarWinds appelée «Orion», ce qui a incité la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA) à publier une note d'urgence exhortant toutes les «agences civiles fédérales» qui utilisent SolarWinds - et là sont nombreux - pour «éteindre» leurs systèmes pour éviter d'autres piratages.

    Comme nous l'avons signalé, tout, du Pentagone aux entreprises Fortune 500 en passant par le bureau du président des États-Unis, utilise SolarWinds, ce qui signifie qu'un piratage à l'échelle du système comme celui qui s'est produit récemment a le potentiel de détruire de nombreux réseaux qui gèrent et régir notre vie quotidienne.

    Après que la nouvelle du hack soit devenue publique, SolarWinds a répondu en recommandant à tous ses clients de «mettre à niveau» la mise à jour défectueuse d'Orion vers la dernière version. Il est conseillé aux clients qui ne peuvent pas le faire de désactiver l'accès Internet sur la plate-forme et de limiter tous les ports et connexions à ceux qui sont absolument nécessaires.

    Les fournisseurs de SolarWinds, comme l'agent de la Couronne canadienne, sont-ils derrière le truquage des élections fédérales ?
    Maintenant que nous savons que les machines à voter Dominion étaient connectées à Internet pendant les élections tout en exécutant le logiciel SolarWinds, le récent piratage soulève encore plus de questions sur ce qui s'est réellement passé après les élections pour pousser Joe Biden au sommet.

    Ces mystérieux «problèmes» qui ont entraîné une permutation ou une pondération incorrecte des votes semblent avoir été rendus possibles par un piratage de la porte dérobée du cheval de Troie un peu comme celui qui a été découvert dans la mise à jour d'Orion.

    Vu comment Orion a été libéré cet été quelques mois avant les élections, est-il prudent de supposer que cette version particulièrement vulnérable du logiciel SolarWinds a été installée exprès pour cette raison précise, permettant à des acteurs malins de manipuler plus tard le décompte des voix. à distance?

    À tout le moins, les autorités devraient sonder l'entreprise, avec Dominion, pour aller au fond de la situation. Le sort de notre république dépend des bons hommes qui font quelque chose plutôt que rien, après tout.

    Selon GreatGameIndia, il est possible que les fournisseurs de SolarWinds, plutôt que les pirates, soient derrière le truquage. Peut-être que ces fournisseurs ont travaillé aux côtés de pirates pour rendre ce truquage possible ?

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  27. La société Canadian Crown Agent basée à Denver, par exemple, est un fournisseur de SolarWinds qui a une longue histoire d'interférence et de truquage d'élections dans d'autres pays, y compris en Inde où les données de recensement ont été volées.

    Il est important de noter que Trey Trainor, président de la Federal Election Commission des États-Unis, est pleinement convaincu que la fraude électorale a eu lieu dans tous les États où les bulletins de vote étaient encore comptés après le jour du scrutin. Trainor a déclaré publiquement qu'il pensait que les résultats des élections de 2020 étaient par conséquent illégitimes.

    «Le Pentagone est le plus gros client de SolarWinds Orion avec l’armée américaine et la marine», rapporte GreatGameIndia.

    «Le ministère des Anciens Combattants, qui est fortement impliqué dans la réponse américaine à Covid-19, est un autre client d'Orion et le plus gros dépensier sur l'outil ces dernières années. En août, il a renouvelé sa licence Orion dans le cadre d'une commande de 2,8 millions de dollars. Les National Institutes of Health, le DHS et le FBI font également partie des nombreuses branches du gouvernement américain qui ont déjà acheté l'outil. »

    Vous trouverez plus de couverture de la fraude électorale sur Trump.news. Vous pouvez également soutenir la lutte de l'avocat Sidney Powell pour préserver des élections libres et équitables en visitant son site Web.

    Les sources de cet article incluent:

    GreatGameIndia.com
    NaturalNews.com
    Archive.vn
    DefendingTheRepublic.org

    https://www.naturalnews.com/2020-12-18-hacked-solarwinds-platform-used-dominion-voting-systems.html

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  28. NE PAS TRAITER “MAL TRAITÉS”


    18 DÉCEMBRE 2020


    Avec plus de 20.000 abonnés sur la page FB de Kairos, le post sur Mal traités comptabilisait zéro vue, zéro partage et zéro personne touchée, après 20min. Résultat impossible sans une censure organisée par le réseau "social"

    Difficile d’accoler au documentaire “Mal traités”, l’épithète complotiste*… Les médias de masse, ceux qui s’érigent en producteurs d’Infos d’Origine Contrôlée® (IOC), en parlent donc peu. Quand la catégorisation excluante n’est pas possible, ils en reviennent aux anciennes habitudes qui ont fait leur marque de fabrique : le silence, comme si cela n’avait jamais existé.

    * À l’instar du documentaire Hold-Up, qui bien que critiquable, a donné lieu dans les médias mainstream et alternatifs confondus, à un inventaire obligé des “fausses informations”, permettant ainsi de ne pas discuter de tout ce qui était vrai et intéressant. On a aussi pu assister à des situations assez cocasses, où des organismes comme Les Décodeurs du journal Le Monde osaient se faire donneurs de leçons.

    https://cdn.lbryplayer.xyz/api/v3/streams/free/mal-traites-le-documentaire-choc-sur-la-covid-19/9eb88a3f7d4773b16dc6c7c62a901b1fc4e0df0b/f7fbfa

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  29. Un hôpital de banlieue interrompt temporairement les vaccinations «par prudence» suite à des effets indésirables


    Par Becca Wood
    le 18 décembre 2020


    Vendredi, un hôpital de banlieue a suspendu temporairement les vaccinations contre les coronavirus après que quatre membres de l'équipe aient eu des effets indésirables. Lisa Chavarria de NBC 5 en a plus.

    Vendredi, un hôpital de banlieue a suspendu temporairement les vaccinations contre les coronavirus après que quatre membres de l'équipe aient eu des effets indésirables.

    Depuis jeudi, l'avocat Condell Medical Center de Libertyville a déclaré que quatre personnes qui avaient reçu le vaccin COVID-19 avaient ressenti des picotements et une augmentation du rythme cardiaque peu de temps après l'injection.

    «Par prudence, nous suspendons temporairement les vaccinations à Condell, ce qui nous permettra de mieux comprendre ce qui a pu provoquer ces réactions», a déclaré le centre de santé dans un communiqué.

    https://www.nbcchicago.com/news/local/suburban-hospital-suspends-covid-19-vaccinations-after-adverse-reactions/2398756/?amp&__twitter_impression=true

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  30. QUAND LA DÉMOCRATIE EST INFECTÉE PAR LE COVID-19



    18 DÉCEMBRE 2020
    Inès Trépant


    Selon la Commissaire européenne en charge de la santé Stella Kyriakides, la levée des mesures de confinement les plus drastiques au début de l’été a eu l’effet tant redouté : une remontée des cas. Ce qui a conduit d’aucuns à fustiger les mesures d’assouplissement prises en septembre par le gouvernement Wilmès. Or, depuis mars, la Belgique fait partie des pays stricts, s’alignant largement sur les mesures appliquées en France. Des mesures restrictives dont il est, au minimum, permis de discuter l’efficacité, au vu des résultats catastrophiques de la Belgique, dans la gestion de la crise sanitaire. Un large débat public qu’on souhaiterait voir pris en charge par les médias, les partis politiques, avec l’ensemble de la population. Or, on en est loin.

    QUAND L’ÉMOTION FAIT PERDRE LA RAISON

    En premier lieu, on s’interroge sur le rôle joué par les médias officiels dans la crise sanitaire, jouant davantage la carte de la dramatisation, la culpabilisation et l’accusation, au lieu d’endosser le rôle d’honnête courtier dans les débats. Les exemples sont légion.

    Dans son édition du 23 octobre dernier, le journal De Morgen publiait la Tribune « Cher Lieven Annemans. Vous êtes le clown entre les acrobates et les trapézistes ». Au motif qu’il préconisait l’assouplissement des mesures corona, en raison des dommages mentaux occasionnés par la maladie, cet économiste de la santé a été décrit comme l’homme qui minimise le virus. Comprenez : « un rassuriste ». Un scientifique, pour qui les mesures sanitaires liberticides sont disproportionnées et qui refuse d’être gouverné par la peur. Un feu de critiques qui l’a conduit à se retirer du Celeval, l’organe consultatif qui aide le gouvernement à lutter contre la crise corona. Est-il légitime de discréditer violemment un académique ou un scientifique sur la place publique, sous prétexte qu’il nage à contre-courant ? Est-ce que le climat de psychose collective, auto-entretenu par les médias, fait à ce point perdre la raison, que les principes de courtoisie, de respect dans les échanges d’idées soient enterrés au passage ? Au vu de la montée d’une intolérance grandissante à toute opinion qui ne s’inscrit pas dans la doxa dominante, on n’ose imaginer le sort réservé en Belgique au virologue suédois le plus écouté en Suède, Anders Tegnell, qui n’a préconisé ni le confinement ni l’obligation du port du masque par exemple, et dont les conseils ont pourtant été suivis scrupuleusement par son gouvernement, en opposition aux stratégies suivies par la majorité des pays d’Europe. Il ne fait guère de doute que ce virologue, pour qui « On ne pourra pas éradiquer le virus, même avec un vaccin. Il va falloir apprendre à vivre avec »(1), eût été médiatiquement lynché, taxé de darwiniste irresponsable, quand bien même sa stratégie ne se soit pas soldée, dans les faits, par un bilan de morts pire que le nôtre, qui l’aurait obligé à revoir fondamentalement sa copie. C’est que chez nous, les grands-prêtres de l’information anxiogène sont à la barre. Les anathèmes et insultes de tous bords, y compris dans les médias officiels, font florès. Florilège.

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  31. « Il faut d’urgence nous protéger des égarements des complotistes et négationnistes : il y a péril en la demeure humaine »(2). Les termes sont forts. Le délit du « négationnisme » est punissable par la loi. Faut-il entendre par « négationniste sanitaire » une personne qui nie l’existence même du virus, une simple élucubration de l’esprit, ou une personne qui en appelle, par exemple, à une autre interprétation des chiffres bruts, publiés par Sciensano, en pointant que le chiffre de mortalité reste stable ? Ce qui relativise, de facto, la dangerosité de l’épidémie. Qu’entend-on par « complotiste » ? Un citoyen lambda qui estimerait que le virus a été créé par l’homme pour anéantir la population ou un citoyen qui exerce son sens critique ?

    À ce stade de la crise sanitaire, où l’émotionnel prime sur la raison, tous les amalgames sont permis. La seule vérité scientifique qui vaille, c’est assurément celle des scientifiques dits « alarmistes » (par opposition aux « rassuristes »). « Complotiste » est devenu un mot fourre-tout, utilisé à tort ou à raison, dont l’effet le plus immédiat est de couper court au débat et de cliver la société. Il sonne comme une excommunication du sérail des « bien-pensants ».

    Qui plus est. C’est à une véritable chasse aux sorcières que s’adonnent les tenants de l’orthodoxie du « sanitairement correct », dont l’édito paru dans La Libre Belgique, les 17-18 octobre derniers, en constitue un exemple éclairant. « (…) Ce combat contre le virus n’est pas celui de quelques-uns, il est l’affaire de tous et toutes. Les râleurs, ceux et celles qui savent mieux que tout le monde, vont critiquer, se rebeller. Ces inciviques ont une lourde responsabilité dans la propagation du virus. Car ce n’est pas leur vie qu’ils mettent en danger. Mais celles des autres, surtout des personnes fragiles ».

    Les coupables sont clairement désignés. Les citoyens. Ceux qui auraient l’outrecuidance de s’interroger sur la pertinence et la cohérence des choix politiques, la « proportionnalité » des mesures dans l’État de droit, les dégâts socio-économiques d’un second confinement brutal, la détérioration alarmante de la santé psychique de la population, face à la prolongation sine die de mesures antisociales contre-nature. Quand bien même les dirigeants politiques ont copieusement insulté notre intelligence collective, en édictant des règles totalement incohérentes, à l’instar du protocole à suivre dans les restaurants, on en déduit qu’un « bon citoyen » est celui qui se tait, donne son blanc-seing au gouvernement dans la gestion de la crise.

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  32. Certes, de tels propos n’engagent que leur auteur. Toutefois, ils ne sont pas fortuits. Ils dénotent une dérive médiatique, où la presse devient « muselante ». L’essentiel n’est pas que les mesures soient toujours plus strictes, mais qu’elles suscitent l’adhésion. Ce qui suppose, en premier lieu, qu’elles démontrent leur efficacité. Ce qui présuppose la tenue d’un débat scientifique ouvert et contradictoire, y compris dans la prise en charge médicale, qui ne s’abaisse pas au niveau des invectives et des insultes. Il est sidérant de voir que des scientifiques, académiques, personnel soignant remettant en cause la stratégie sanitaire en vigueur soient discrédités, relégués au rang de « rassuristes », voire « complotistes », autrement dit, de « scientifiques frappés d’hérésie », de parias.

    Stigmatisation. Les médias ont un rôle clé à jouer pour empêcher cette dérive dangereuse. Éviter le piège de la propagande inavouée. Dès lors qu’une personne a peur de s’exprimer, de crainte d’être vouée aux gémonies, car son point de vue ne répond pas à la doxa sanitaire, ce sont autant de lézardes dans l’édifice « démocratie ».

    Le journalisme en tant que contre-pouvoir. Révéler la face cachée des choses. L’essence du journalisme d’enquête et d’investigation. Nourrir le débat démocratique et faire avancer les mentalités, dans le respect de chacun. Un principe cardinal qui doit impérativement retrouver ses lettres de noblesse.

    QUAND LA SCIENCE SE MUE EN IDÉOLOGIE

    Qu’il existe une controverse scientifique à propos de la crise sanitaire n’a pas lieu de surprendre, dans la mesure où le virus est loin d’avoir livré tous ses secrets. Asséner, dans ce contexte, des certitudes scientifiques est d’autant plus hasardeux que la recherche scientifique indépendante est structurellement sous-financée. En l’occurrence, à chaque fois qu’une étude scientifique est brandie pour justifier une mesure politique, il convient de s’interroger tant sur son financement que sur les potentiels conflits d’intérêt. Une précaution que devraient systématiquement prendre les dirigeants politiques. À titre d’exemple, lorsque le Ministre-Président de Bruxelles-Capitale, Rudy Vervoort, justifie le maintien du port du masque généralisé à l’extérieur en s’appuyant sur une étude rapportée par Marc Van Ranst(3) dit « notre expert national », on est en droit de se poser la question : pourquoi faire foi en cette étude en particulier (sans même la citer), préconisée par un expert connu pour ses multiples déclarations tonitruantes en faveur de mesures sanitaires toujours plus répressives ? En quoi cette étude serait-elle plus crédible que d’autres, qui prétendent l’inverse, mais qui sont susceptibles d’être écartées au prétexte que ce serait des agents du complot ? Bref, un tri est opéré, qui relève davantage d’un choix politique assumé, et non d’une preuve scientifique irréfutable. D’ailleurs, tous les pays européens ne se sont pas alignés sur des mesures aussi attentatoires à la liberté individuelle. En Suède, il n’est toujours pas question d’obligation du port du masque. En Hollande, un nombre limité de secteurs est concerné. Doit-on penser que ces pays soient gérés par des dirigeants politiques irresponsables, en prise avec des experts fantaisistes et iconoclastes ? Dans la mesure où la décision politique d’entraver le droit de respirer en plein air serait scientifiquement prouvée, comment explique-t-on que ces pays n’aient pas connu un taux de surmortalité par rapport aux nôtres ? Plus fondamentalement, sachant que les dirigeants politiques ont réussi à dire tout et son contraire sur l’utilité du masque pour freiner la propagation du virus en quelques mois, n’ont-ils pas, eux-mêmes, dévoyé la science, en usant abusivement de cet argument d’autorité ?

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  33. La lecture des documents officiels de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qu’on ne pourrait raisonnablement suspecter de faire partie de la « complosphère », permet de le penser. En effet, dans sa dernière version Orientations provisoires sur le port du masque, réactualisée le 5 juin dernier, on peut lire ce qui suit : « De nombreux pays ont recommandé au grand public de se couvrir le visage, notamment par un masque en tissu. À l’heure actuelle, on ne dispose pas encore de données factuelles directes de qualité attestant de l’efficacité du port généralisé du masque par les personnes en bonne santé dans la communauté et il faut procéder à un bilan des avantages et des inconvénients à cet égard »(4). Et l’OMS de détailler la liste des avantages potentiels, dont : « l’impression donnée aux gens de contribuer à stopper la propagation du virus », « l’occasion de rappeler à la population les autres mesures (gestes barrières) à respecter ». Quant à la liste des inconvénients, retenons entre autres : « le risque potentiellement accru d’autocontamination dû au fait de manipuler un masque facial », « mal de tête et/ou difficultés respiratoires », « difficulté de communiquer clairement », « difficultés liées au port du masque par les enfants, asthmatiques ou les personnes souffrant d’affections respiratoires chroniques (…) ».

    À la lumière de ces recommandations, on s’étonne que le gouvernement belge, épris de multilatéralisme, ait fait peu de cas des conseils nuancés, formulés par l’OMS. Or, si l’été dernier, l’obligation généralisée du port du masque en extérieur dans certaines villes a suscité de l’opposition, c’est précisément en raison de son caractère arbitraire, disproportionné et non étayé par aucun consensus scientifique. Qu’à cela ne tienne. Revendiquer son droit de respirer à l’air libre en extérieur est désormais (très) mal vu. Un acte d’égoïsme éhonté, une incivilité, voire un crime, la tyrannie de la liberté individuelle ? Du reste, que les enseignants, et plus singulièrement les élèves de secondaire aient le triste privilège de devoir le porter de nombreuses heures durant, sans que la question des risques, notamment pour la scolarité, soit débattue, leurs souffrances entendues, tranche avec la rhétorique de la solidarité collective envers les personnes vulnérables, que les médias et dirigeants politiques nous martèlent au quotidien. Plus généralement, que valent les discours de bienveillance, selon la formule consacrée « Prenez soin de vous et des autres », dès lors que, dans les faits, il n’est même pas permis de débattre sur l’état de nos droits fondamentaux, affectés par la crise sanitaire ? Ce qui suscite pourtant de plus en plus l’inquiétude de nombreux avocats et experts des questions juridiques, pour qui certaines mesures restrictives ont une base juridique trop faible ou qui s’interrogent sur leur « proportionnalité ».

    À une époque où les études scientifiques sont de plus en plus instrumentalisées à des fins politiques, les dirigeants sont tenus d’étayer leurs décisions sur base de preuves scientifiques solides, irréfutables, en citant leurs sources. Sans quoi ils alimenteront la défiance citoyenne vis-à-vis du politique. À ce titre, la citation de la philosophe Hannah Arendt est d’une actualité criante : « Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges, mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger ».

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  34. LA STRATÉGIE DE LA COMMUNICATION

    « Le marathon sanitaire durera au minimum jusqu’à l’été 2021. C’est notre comportement qui décidera de la vie ou de la mort de quelqu’un de vulnérable », dixit le Premier ministre Alexander De Croo(5) . L’arme absolue contre le virus : la culpabilité. L’héritage de notre culture judéo-chrétienne, avec laquelle les dirigeants politiques jouent à plein régime. Si on doit resserrer la vis, c’est parce qu’une frange des citoyens (en particulier, les jeunes, dernière catégorie en date à être clairement stigmatisée) ne respecte pas les gestes-barrières. Des citoyens « déviants » en qui sommeillerait un assassin potentiel. C’est de leur faute si, à présent, on doit opérer des choix dans les hôpitaux.

    La culpabilité collective : un moyen commode pour masquer les failles béantes du politique. À leur décharge, il est difficile de naviguer à vue. Ce qui doit nous inspirer de l’indulgence. A fortiori que la mise en place de certaines mesures pour corriger le tir prend désormais du temps. Désengorger les hôpitaux suppose, entre autres, l’investissement dans les soins de première ligne, la formation du personnel soignant, la valorisation du métier d’infirmier, etc. Ce qui ne peut se faire par un simple coup de cuiller à pot. Toutefois, il incombe aux dirigeants politiques de balayer devant leur porte. La crise dans les hôpitaux, c’est le fruit de décisions politiques prises en amont, qui s’enracinent dans un corpus de mesures néolibérales, portant le sceau du Consensus de Washington, ayant foi en la « libéralisation, dérégulation et privatisation » de l’économie. Des recettes largement appliquées en Belgique, avec la bénédiction d’une succession de gouvernements, associant généralement des partis qui se revendiquent d’un ancrage à gauche, dont un des avatars est le Pacte budgétaire européen. Véritable ceinture de chasteté budgétaire, il est le reflet d’une vision de l’économie politique automutilatrice. Entré en vigueur en 2013, il gravait durablement dans le marbre le principe d’austérité budgétaire, dont la collectivité paie à présent le prix douloureux. Celle d’un désinvestissement public chronique dans les soins de santé, malgré une démographie vieillissante, qui prend l’ensemble de la population belge en otage.

    Que des erreurs de communication politique soient commises dans la gestion de la crise est probablement inévitable, voire excusable. La lasagne institutionnelle belge n’y aide pas. Ce qui ne justifie pas d’opérer sur le mode de l’infantilisation. La conférence de presse de Sciensano du 7 octobre dernier, où Yves Van Laethem nous exposait le guide du parfait « hôte », restera dans les annales. Le gouvernement s’invite désormais dans notre cuisine, notre salon, salle à manger, toilette. Bref, notre espace privé, intime. De façon symptomatique, s’il insiste sur l’importance de fournir du gel hydroalcoolique à table et une enveloppe pour le masque, il omet singulièrement de se prononcer sur l’importance d’avoir une alimentation saine, équilibrée, variée, pour fortifier son système immunitaire. Le béaba pour ne pas tomber dans la catégorie des personnes « vulnérables », sachant que les patients atteints d’antécédents cardio-vasculaires, d’obésité, les diabétiques, sont susceptibles de développer des formes graves de la maladie.

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  35. Pourquoi, dans ce contexte, un plan d’action national contre la malbouffe, en réponse à la crise sanitaire, n’est pas à l’agenda des ministres ? Comme le rappelle la Commission européenne, dans sa Stratégie « De la ferme à la table » (mai 2020) : « Plus de 950.000 décès (1 sur 5) et plus de 16 millions d’années de vie en bonne santé perdues dans l’Union en 2017, principalement en raison de maladies cardiovasculaires et de cancers, étaient imputables à des régimes alimentaires peu sains6. Et d’ajouter : « L’obésité gagne du terrain. Plus de la moitié de la population adulte est aujourd’hui en surpoids ce qui contribue à une prévalence élevée des maladies liées à l’alimentation (y compris différents types de cancer) et occasionne des dépenses de santé à l’avenant ». En clair, c’est l’affaiblissement du système immunitaire qui fait exploser, par le principe des vases communicants, la catégorie des « personnes vulnérables » à protéger. Pourquoi donc les médias, qui nous matraquent au quotidien avec les chiffres sur la mortalité du Covid-19, ne le font-ils pas également au sujet du cancer (soit 9 millions de décès par an dans le monde), autre facteur de co-morbidité ? Ce qui apporterait un éclairage nouveau à la population sur les défis majeurs à relever en termes de santé publique, selon une approche holistique, où l’enjeu est d’attaquer le mal à la racine.

    De la même façon, dans la campagne gouvernementale « Une équipe de 11 millions », on est en droit de s’étonner que la pratique d’une activité physique, telle que la marche, le jogging ou le vélo, durant laquelle on peut respirer à pleins poumons, ne figure pas dans les fameuses « règles d’or », quand bien même l’alimentation saine et la pratique d’une activité physique constituent l’alpha et l’oméga d’une approche préventive de la santé.

    Plus globalement, rappelons que l’Agence européenne de l’environnement signalait, dans son rapport du 8 septembre dernier, que la pollution tue des centaines de milliers de personnes chaque année en Europe, soit 13 % des décès. Et de souligner que l’émergence de la pandémie de coronavirus doit faire réfléchir à l’impact de la dégradation de l’environnement sur la santé humaine. Logiquement, dès lors que les autorités publiques justifient les mesures draconiennes de privation de liberté au motif que la santé est une priorité absolue, cette question devrait faire la Une de l’actualité politique, dans le souci d’une approche globale et multidisciplinaire de la protection de celle-ci. Or, il n’en est rien. Comme si les dirigeants politiques étaient frappés de cécité, le nez dans le guidon, gérant l’épidémie à la petite semaine, sans vision.

    Les incessants tours de vis : Franck Vandenbroucke, ministre de la Santé, les justifie « pour ne pas avoir de morts sur la conscience ». En mésestimant lourdement l’ampleur des dégâts socio-économiques et psychologiques collatéraux, il contribue à détruire la société. Oubliant, pour paraphraser Renaud Girard, co-auteur du livre Quand la psychose fait dérailler le monde, que l’homme n’est pas qu’un être sanitaire. Il est aussi un être social, un être économique, un être culturel, un être spirituel.

    Inès Trépant,
    politologue, autrice d’essais sur la politique européenne.

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  36. 1. https://www.7sur7.be/monde/le-marc-van-ranst-suedois-on-ne-pourra-pas-eradiquer-le-virus-meme-avec-un-vaccin-il-va-falloir-apprendre-a-vivre- avec~a53c0ba6/?referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.com%2F
    2. Chronique de Xavier Zeegers, “Quand la raison recule”, parue dans La Libre Belgique, 25 septembre 2020.
    3. Crf. Interview de Rudy Vervoort, l’invité de Matin Première, 26 août 2020.
    4. Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19 : Orientations pro- visoires, pp.7-10. https://apps.who.int/iris/bitstream/handle/10665/332448/ WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf
    5. Interview du Premier ministre donnée dans La Libre Belgique, 24-25 octobre 2020.
    6. Page 15. Pôle scientifique de l’UE : https://ec.europa.eu/jrc/en/health- knowledge-gateway/societal-impacts/burden.

    https://www.kairospresse.be/article/quand-la-democratie-est-infectee-par-le-covid-19/

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  37. A PROPOS DU VACCIN ANTI-COVID-19. NI COMPLOTISME NI CROYANCE AVEUGLE


    17 DÉCEMBRE 2020
    Paul Lannoye


    En Belgique, comme dans l’ensemble des pays européens qui ont adopté des mesures de confinement difficiles à vivre pour tous, la fin du tunnel est annoncée pour très bientôt grâce aux vaccins anti Covid.

    Plusieurs vaccins seront disponibles dans quelques semaines ; leur efficacité annoncée serait de l’ordre de 95 %… selon les producteurs. Restent à obtenir les autorisations de mise sur le marché de l’Agence européenne des médicaments : une formalité si on considère les délais très courts prévus.

    Le porte-parole du Conseil de Sécurité, le docteur Yves Van Laethem, n’a cessé de le marteler : l’immunité collective ne pourra être assurée que par les vaccins, à condition que soit acquise une couverture vaccinale d’au moins 70 %.

    Mais pour cela, il faudra rassurer et convaincre les réticents non seulement de leur efficacité mais surtout de leur innocuité. Tous ceux qui contestent ce discours ou font état des risques à long terme ou des effets secondaires de vaccins fabriqués et autorisés à la hâte sont classés au mieux comme des idéologues anti-vaccins, au pire comme des complotistes. Balayées les objections les plus fondées et les réticences face aux incertitudes, ignorés les faits pourtant avérés qui mettent à mal la doxa vaccinaliste de Mr Van Laethem.

    Pourtant les faits sont les faits ; on peut les ignorer mais on ne peut pas les nier : ils ont plus de valeur que des croyances.

    Je les soumets ici à un examen critique :

    Il est généralement admis que la mise au point d’un nouveau vaccin requiert en moyenne 10 ans, ce que confirment tant la littérature scientifique que les données de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). On peut remarquer, en outre, en consultant ces mêmes données de l’OMS(1) qu’aucun vaccin n’est opérationnel pour lutter contre des virus les plus dévastateurs apparus au cours de ces dernières décennies ; aucun vaccin n’est cité comme disponible (available vaccine) pour les maladies mortelles que sont le SIDA, la fièvre Ebola, la dengue sévère ou le Chikungunya. Avec la Covid-19, nous allons disposer en moins d’un an de vaccins présentés comme efficaces grâce à une procédure accélérée et à la suite d’essais cliniques réalisés par les fabricants à qui on est prié de faire confiance. Il est difficile de croire qu’on peut obtenir les mêmes garanties de sécurité à l’issue d’essais cliniques menés sur quelques sites pendant quelques mois qu’avec des essais menés sur de nombreux sites différents pendant plusieurs années. On se rappellera l’épisode du vaccin développé en urgence par GlaxoSmithKline lors de l’épidémie de H1N1 en 2009. Au bout de deux ans d’utilisation généralisée de ce vaccin en Finlande, le système de vaccino vigilance avait mis en évidence un risque de narcolepsie au cours des 6 mois qui suivaient l’injection chez les enfants et les adolescents. Une étude publiée par le British Medical Journal en 2013 a confirmé ces résultats pour le Royaume-Uni. Il y a au total 1500 cas de narcolepsie en Europe et 80 % des victimes sont des enfants.(2) Pour rappel la narcolepsie est une maladie neurologique chronique et incurable qui se manifeste sous la forme d’une somnolence brutale et aiguë apparaissant n’importe quand au cours de la journée et n’importe où. Elle endommage la fonction mentale et la mémoire et ne peut être soignée qu’au prix de traitements médicamenteux coûteux.

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  38. Les vaccins qui seront disponibles très prochainement, produits respectivement par Pfizer/BioNTech et Moderna auxquels il faut ajouter Curevac, sont d’un type nouveau. Ils font appel aux biotechnologies en injectant l’ARN codant la protéine virale pour faire produire l’antigène du virus infectieux par les cellules de la personne vaccinée. Il s’agit là d’une première pour laquelle des risques d’une nature spécifique sont à craindre. Comme le fait remarquer le généticien moléculaire Christian Velot dans une note d’expertise récente effectuée comme président du Conseil scientifique du CRIIGEN, les risques d’apparition de virus recombinants et de mutagenèse insertionnelle sont réels. Mais il insiste sur le fait que l’immunité anti-vecteur viral peut aussi directement interférer avec l’efficacité vaccinale recherchée.Il en conclut que les candidats vaccins actuels nécessitent une évaluation sanitaire et environnementale approfondie incompatible avec l’urgence.(3) Or cette évaluation n’a pas eu lieu et n’aura pas lieu si rien ne change. Dans le but d’accélérer la mise sur le marché de ce type de vaccin, le Conseil des Ministres de l’Union européenne et le Parlement européen(4) ont adopté le 15 juillet dernier, selon une procédure d’urgence, sans débats ni amendements, un règlement permettant aux producteurs de vaccins contre la Covid-19 d’échapper à l’exigence de procéder préalablement à une étude d’impact environnemental et de biosécurité. Cette dérogation à la législation OGM viole totalement le principe de précaution, principe de base du traité de fonctionnement de l’Union européenne.*Seule une petite minorité de députés a osé s’opposer à cette décision. S’ajoute ici au risque de non prise en compte des effets secondaires en conséquence du peu de recul dont on disposera, le risque écologique et en fin de compte sanitaire lié à la propagation possible de virus recombinants potentiellement plus dangereux que le virus que l’on prétend combattre. Un recours en annulation de ce nouveau règlement européen auprès du Tribunal de l’Union européenne a été introduit par six associations (la CNMSE, Terra SOS Tenible, LNPLV, EFVV, AIMSIB et Children’s Health Defense Europe) considérant que rien ne justifie l’abandon du principe de précaution sous prétexte d’urgence.

    Les négociations menées par la Commission européenne avec les firmes pharmaceutiques se sont déroulées dans la plus grande opacité, ce qu’a dénoncé à plusieurs reprises la députée européenne Michèle Rivasi : ni les accords de pré-achat négociés en secret, ni les données brutes des essais cliniques, ni les critères d’efficacité retenus, ne sont disponibles. Ce qui semble acquis, à tout le moins, c’est la clause, selon laquelle la responsabilité des produits défectueux incombera bien aux producteurs mais pas les dommages et intérêts consécutifs aux effets secondaires indésirables, lesquels seront à charge des États ! Il est assez évident que les grands gagnants dans cet accord sont de toute manière les producteurs de vaccins à qui on garantit un marché captif sans risques financiers.

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  39. Le postulat de base, lorsque des négociations sont entamées entre deux parties, est celui de la bonne foi qu’on prête à ses interlocuteurs. À cet égard, on est en droit de s’interroger sur la confiance qu’on devrait accorder aux déclarations des firmes pharmaceutiques productrices de vaccins. S’agissant plus précisément de Pfizer, il est avéré que des condamnations multiples ont frappé cette société au cours des 15 dernières années(5). Signalons notamment que Pfizer a plaidé coupable dans une affaire de publicité mensongère relative à plusieurs médicaments aux USA en 2009 et a payé une amende de 2.3 milliards de dollars pour éviter tout jugement. Il est juste de dire que Pfizer n’est pas le mouton noir de l’industrie pharmaceutique ; la plupart de ses concurrents présentent un palmarès qui n’est guère plus flatteur. On est à la recherche d’un mouton blanc.

    Il faut se méfier des effets d’annonce. C’est la conclusion qui s’impose lorsqu’on se penche sur la longue liste des espoirs déçus après les déclarations prématurées sur l’efficacité de vaccins en voie de commercialisation. Deux épisodes particulièrement dramatiques ont eu lieu récemment. Ils sont révélateurs du caractère intrinsèquement dangereux d’une course aux vaccins qui en arrive à oublier les principes éthiques fondamentaux de la recherche médicale.

    LE CAS DE LA DENGUE HÉMORRAGIQUE : DES ESSAIS CLINIQUES BÂCLÉS

    En 2015, un vaccin mis au point par Sanofi s’annonçait comme un miracle d’ampleur planétaire. C’était une première mondiale, après vingt ans de recherche et 1.5 milliard d’euros d’investissement. Dès cette annonce, des voix se sont élevées dans la communauté scientifique pour alerter sur les résultats non concluants des premiers essais cliniques. Le gouvernement des Philippines, enthousiasmé, a lancé une campagne de vaccination qui s’est révélée désastreuse : 500 enfants sont morts et plusieurs milliers victimes d’hémorragies sévères. Il est apparu que le risque de dengue sévère était 7 fois plus élevé chez les enfants de moins de 5 ans vaccinés que chez les non vaccinés. Les essais cliniques en phase 3 après ré-analyse, ont montré qu’il n’avait pas été tenu compte des antécédents de la dengue. Le programme a finalement été interrompu.

    UN VACCIN CONTRE LE PALUDISME EN COURS D’EXPÉRIMENTATION EN AFRIQUE(6)

    En janvier 2020, un article publié dans le British Medical(7) et signé par plusieurs épidémiologistes expérimentés et connaisseurs du contexte africain, révèle les effets adverses du vaccin de GSK, Mosquirix, en cours d’expérimentation en Afrique depuis quelques années.

    Après avoir recherché les effets adverses avec acharnement dans les rapports échangés entre l’industriel et les autorités sanitaires (OMS et Agence Européenne du médicament), les auteurs ont conclu comme suit : « les données de toxicité sont catastrophiques : plus de méningites, plus de malarias cérébrales et doublement de mortalité féminine chez les vaccinés ».

    Il eut été logique d’arrêter aussitôt l’expérience, au vu de ces résultats désastreux. Mais, la décision fut tout autre : lancer une nouvelle étude pour vérifier si le vaccin augmentait vraiment le risque de malaria cérébrale (souventmortelle) et la mortalité des bébés filles vaccinées.

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  40. Pire, cette nouvelle étude a été programmée sans le consentement éclairé des parents, avec l’argument fallacieux que le fait de confier son bébé à des soignants constituait un consentement implicite. Cette violation manifeste des règles de l’éthique médicale a été dénoncée dans un nouvel article du BMJ le 24 février 2020(8).

    EN GUISE DE CONCLUSION

    Tous les faits évoqués ci-dessus concordent pour provoquer de légitimes interrogations sur la pertinence d’une campagne de vaccination dans un contexte où les informations relatives à l’efficacité des vaccins sont strictement publicitaires et peu explicites et où les risques éventuels pour les personnes vaccinées sont ignorés. Plus grave encore est le saut dans l’inconnu que constitue l’utilisation à grande échelle de vaccins à ARN.

    Renforcer le système immunitaire de tous est un choix qui ne comporte aucun risque : réduire les pollutions qui affaiblissent l’immunité, assurer à tous l’accès à une alimentation saine et équilibrée, inciter au recours à des supplémentations utiles, vitaminiques ( vitamine D) et sous forme d’oligo-éléments (zinc), encourager à une bonne hygiène de vie ( exercices physiques réguliers, et sorties au grand air) constituent un plan pour l’immunité où tout le monde gagne… sauf les multinationales du médicament et les pollueurs de toutes catégories

    Rappelons que la vaccination est un acte médical. A cet égard, il exige une information rigoureuse et objective des risques éventuels que court chaque patient au regard des bénéfices attendus. En outre, il s’agit d’un acte médical préventif. A défaut de données fiables sur l’efficacité du vaccin pour chaque personne prise individuellement, il faudrait au minimum pouvoir justifier ses avantages pour la société dans son ensemble, vu le coût élevé de l’opération et l’absence de prévisions fiables disponibles. Nous sommes priés de croire au bien-fondé d’un choix en restant aveugles et sourds à tous les signaux qui nous mettent en garde.

    Une autre politique de prévention est pourtant à notre portée. Renforcer le système immunitaire de tous est un choix qui ne comporte aucun risque : réduire les pollutions qui affaiblissent l’immunité, assurer à tous l’accès à une alimentation saine et équilibrée, inciter au recours à des supplémentations utiles, vitaminiques ( vitamine D) et sous forme d’oligo-éléments (zinc), encourager à une bonne hygiène de vie ( exercices physiques réguliers, et sorties au grand air) constituent un plan pour l’immunité où tout le monde gagne(9) … sauf les multinationales du médicament et les pollueurs de toutes catégories. Assez curieusement, tout cela est absent du discours des responsables politiques et des experts.

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  41. Un dernier mot pour la fin : le vaccin contre le virus de la grippe saisonnière est disponible et largement recommandé depuis des décennies. Il n’a jamais éradiqué le virus ni empêché les milliers de décès annuels dus à cette grippe.

    Paul Lannoye, Membre du Bureau du Grappe ASBL. Ancien président du Groupe des Verts au Parlement européen. Article publié originellement sur le site du GRAPPE, grappebelgique.be

    1
    Organisation mondiale de la Santé : « available vaccine » ; https://www.who.int/fr/home
    2
    Miller E et al. : Risk of narcolepsy in children and young people receiving AS03 adjuvanted pandemic A/H1N1 2009 influenza vaccine : retrospective analysis ; BMJ 2013 ; 346-f794.
    3
    Christian Velot : Note d’expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM ; CRIIGEN ; septembre 2020
    4
    Règlement (UE )2020/1043 du Parlement Européen et du Conseil du 15 juillet 2020 relatif à la conduite d’essais cliniques avec des médicaments à usage humain contenant des organismes génétiquement modifiés ou consistant en de tels organismes et destinés à traiter ou prévenir la maladie à coronavirus ( COVID-19), ainsi qu’à la fourniture de ces médicaments.
    5
    Dr Vincent Reliquet : Vaccinsanti-Covid en 2020 : folie sanitaire, politique, médiatique et financière : AIMSIB ; 22/11/2020.
    6
    Le texte qui suit est largement inspiré du dossier publié par l’AIMSIB : Paludisme, Covid -19 et miracle vaccinal ; 19 avril 2020.
    7
    P.Aaby et al. : WHO’s rollout of Malaria vaccine in Africa : can safety questions be answered after only 24 months ? , janvier 2020.
    8
    P.Doshi, WHO’s malaria vaccine study represents a « serious breach of international ethical standards », février 2020.
    9
    https://www.kairospresse.be/article/stimuler-notre-systeme-immunitaire-un-imperatif-sanitaire-urgent

    https://www.kairospresse.be/article/a-propos-du-vaccin-anti-covid-19-ni-complotisme-ni-croyance-aveugle/

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  42. Campagne de tests, campagne de comm’

    Pour que ce soit efficace, ce n’est pas la masse des tests qui compte, c’est la rapidité et la qualité, or on a choisi la masse.


    20 DÉCEMBRE 2020
    Par Gérard Maudrux.


    Face aux examens inutiles, j’ai toujours essayé de diffuser une doctrine : « Avant de prescrire un examen, pose-toi deux questions. La première, est-ce que le résultat va changer ton diagnostic ? La seconde, est-ce que le résultat va changer ton traitement ? » Si la réponse aux deux questions est non, alors ne le fais pas, c’est inutile.

    J’ai l’impression que la vaste campagne de tests engagée à grands renforts publicitaires entre dans ce cadre et n’est qu’une vaste opération de communication, donner l’impression qu’on s’occupe du problème alors que ce n’est que du vent.

    DANS QUEL BUT ?

    Tester massivement dans une ville, OK, mais après ? Pour faire quoi ensuite ? À quoi cela sert-il ? Cette démarche a un sens au tout début de l’épidémie, tester-isoler, comme on le fait pour Ebola, comme le font les Chinois en traçant un cas pour isoler une ville ; mais quand le virus est partout, quand ce n’est pas pour isoler la ville, et si là-dessus vient le rush des vacances de Noël, quel est le but de ces opérations qui ne déboucheront sur rien de concret, en tous cas rien de plus que ce qui est fait aujourd’hui ?

    Le tester-isoler à la française a déjà été lancé quand il y avait moins de cas, cela a été un échec à plusieurs niveaux. Le refaire de manière ponctuelle dans les conditions actuelles a-t-il un sens ?

    DES TESTS DOUTEUX ?

    De plus en plus d’experts remettent en cause l’exactitude de la situation reflétée par les résultats du dépistage de masse. De plus la France dépiste avec des cycles d’amplification des tests de 35 voire 40 fois.

    Avec ces chiffres, plus de 75 % des positifs ne sont pas contagieux, beaucoup n’ont que des fragments d’ADN, pas de virus actif. D’autres en ont trop peu pour être contagieux. Seule la charge virale devrait dicter la conduite à tenir, isoler ou non. La réponse « Oui » ou « Non » des tests, ne suffit pas, selon les experts. Parmi les positifs, il y a de tout, et beaucoup moins de contagieux que de non contagieux.

    Avec 40 cycles d’amplification, 95 % des positifs ne seraient pas contagieux ou pas malades. Même si on a un peu baissé l’amplification, cela explique le nombre très important de positifs détectés actuellement, alors que les entrées en réanimation sont 10 fois inférieures à celles de la première vague.

    Ce dernier mois, la moyenne était de 13 000 positifs par jour, celles des entrées en réanimation de 200 par jour, soit 1,5 %. Tester davantage ne fait qu’affoler, va conduire à un reconfinement, mais ne reflète pas la réalité concernant les vrais malades.

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  43. LA QUALITÉ PLUS QUE LA QUANTITÉ

    Au lieu de se noyer dans des chiffres qui ne veulent plus dire grand-chose, on ferait mieux de se concentrer sur la détection des patients les plus contagieux. Tester massivement à 25 cycles a un sens, à 35 ou 40, non.

    Et plutôt que de tester massivement, ce qui encombre les centres et retarde les résultats, mieux vaut s’organiser pour tester très rapidement dès les premiers symptômes, le jour même de ces symptômes si possible (on peut être contagieux en 48 heures), avec résultat immédiat pour isoler.

    Tester massivement pour isoler des non contagieux n’a pas de sens, ce n’est pas dans les parkings qu’il faut tester, mais ce doit être chez le généraliste, lorsqu’il voit le patient, et au lieu de dire aux patients d’attendre et d’appeler le 15 quand cela va mal, on devrait leur dire d’aller consulter au premier signe. Tout à l’envers.

    Tester en masse va nous coûter en temps et en argent, sans résultat, mais ce n’est sans doute pas perdu pour tout le monde. Pour que ce soit efficace, ce n’est pas la masse des tests qui compte, c’est la rapidité et la qualité, or on a choisi la masse. Un coup d’épée dans l’eau.

    https://www.contrepoints.org/2020/12/20/386908-campagne-de-tests-campagne-de-comm

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    1. C'est 7 milliards de personnes qui (AVEC ou SANS masque) respirent tout les jours des milliards de milliards de microbes & virus. Et ils n'en meurent pas !! Çà alors !
      Depuis ce matin vous en avez respiré DES milliards et, parmi ces milliards il y avait des corona - sitôt respirés sitôt morts.
      C'est-à-dire que lors des 'tests' RT-PCR, sont rapportés des échantillons de cadavres prouvant que vous avez osé en respiré !! et prouvant que vous êtes une personne dangereuse qu'il faut isoler/enfermer/mettre sous respirateurs artificiels puis four crématoire (pour éviter les inhumations pour des autopsies) !!!

      Vous avez peur ? C'est juste ce qu'ils veulent ! Car c'est la peur qui tue - pas le corona éliminé par votre organisme.
      C'est pourquoi il ne faut prêter attention aux 'tests' au-delà de 25 cycles (et non 50 comme en France !!).

      Le corona, c'est la grippe de la peur ! L'escroquerie 2020 !
      Mais, rassurez-vous, après le 'Global Warming', '9-11' et 'Corona' il y en aura d'autres !! Vous avez vu les élections truquées aux Etats-Unis ? Les 'tribunaux' qui refusent les preuves !! Le parti démocrate qui officialise et glorifie l'escroquerie ! Cà ce n'est qu'un avant-goût de ce qui nous attend !

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  44. L'OMS admet (enfin) que les tests PCR créent de faux positifs


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 19 DÉC.2020-16: 30
    Rédigé par Kit Knightly via Off-Guardian.org,


    Les avertissements concernant la valeur CT élevée des tests sont des mois trop tard… alors pourquoi apparaissent-ils maintenant ? L'explication potentielle est scandaleusement cynique ...

    L'Organisation mondiale de la santé a publié une note d'orientation le 14 décembre, avertissant que des seuils de cycle élevés sur les tests PCR entraîneront des faux positifs.

    Bien que ces informations soient exactes, elles sont également disponibles depuis des mois, nous devons donc nous demander: pourquoi les signalent-ils maintenant ? Est-ce pour faire croire que le vaccin fonctionne ?

    Les tests Sars-Cov-2 «gold standard» sont basés sur la réaction en chaîne par polymérase (PCR). La PCR fonctionne en prenant des nucléotides - de minuscules fragments d'ADN ou d'ARN - et en les répliquant jusqu'à ce qu'ils deviennent quelque chose d'assez grand pour être identifié. La réplication se fait par cycles, chaque cycle doublant la quantité de matériel génétique. Le nombre de cycles nécessaires pour produire quelque chose d'identifiable est appelé «seuil de cycle» ou «valeur CT». Plus la valeur CT est élevée, moins vous êtes susceptible de détecter quelque chose d'important.

    Cette nouvelle note de l'OMS indique que l'utilisation d'une valeur CT élevée pour tester la présence de Sars-Cov-2 entraînera des résultats faussement positifs.

    Pour citer leurs propres mots [notre emphase]:

    Les utilisateurs de réactifs RT-PCR doivent lire attentivement la notice d'utilisation pour déterminer si un ajustement manuel du seuil de positivité de la PCR est nécessaire pour tenir compte de tout bruit de fond pouvant conduire à un échantillon avec un résultat de valeur de seuil de cycle élevé (Ct) étant interprété comme un résultat positif. résultat.

    Ils continuent en expliquant [encore une fois, notre emphase]:

    Le principe de conception de la RT-PCR signifie que pour les patients présentant des niveaux élevés de virus en circulation (charge virale), relativement peu de cycles seront nécessaires pour détecter le virus et donc la valeur Ct sera faible. Inversement, lorsque les échantillons renvoient une valeur Ct élevée, cela signifie que de nombreux cycles ont été nécessaires pour détecter le virus. Dans certaines circonstances, la distinction entre le bruit de fond et la présence réelle du virus cible est difficile à établir.

    Bien sûr, rien de tout cela n'est nouveau pour quiconque y a prêté attention. Le fait que les tests PCR aient été facilement manipulables et potentiellement très inexacts a été l’un des cris de guerre souvent répétés de ceux d’entre nous qui s’opposent au récit de la «pandémie» et aux politiques qu’ils utilisent pour vendre.

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  45. De nombreux articles ont été écrits à ce sujet, par de nombreux experts du domaine, des journalistes médicaux et d'autres chercheurs. On sait depuis des mois que tout test utilisant une valeur CT supérieure à 25 est potentiellement dénué de sens.

    Le Dr Kary Mullis, qui a remporté le prix Nobel pour avoir inventé le procédé PCR, a clairement indiqué qu'il ne s'agissait pas d'un outil de diagnostic, en disant:

    avec la PCR, si vous le faites bien, vous pouvez trouver presque tout chez n'importe qui. »

    Et, commentant les seuils de cycle, a dit un jour:

    Si vous devez effectuer plus de 40 cycles pour amplifier un gène à copie unique, il y a quelque chose qui ne va pas avec votre PCR. »

    Les directives MIQE pour l'utilisation de la PCR indiquent:

    Les valeurs Cq supérieures à 40 sont suspectes en raison de la faible efficacité implicite et ne doivent généralement pas être signalées. »

    Tout cela est de notoriété publique depuis le début du verrouillage. Le site Web du gouvernement australien a admis que les tests étaient défectueux et un tribunal portugais a jugé qu’ils n’étaient pas adaptés à leur objectif.

    Même le Dr Anthony Fauci a admis publiquement qu'un seuil de cycle supérieur à 35 détectera des «nucléotides morts», et non un virus vivant.

    Malgré tout cela, on sait que de nombreux laboratoires à travers le monde utilisent des tests PCR avec des valeurs CT supérieures à 35, même dans les faibles 40.

    Alors pourquoi l'OMS a-t-elle finalement décidé de dire que c'était faux ? Quelle raison pourraient-ils avoir pour choisir enfin de reconnaître cette simple réalité ?

    La réponse à cela est potentiellement choquante cynique: nous avons un vaccin maintenant. Nous n’avons plus besoin de faux positifs.

    Notamment, le système a produit son remède miracle.

    Ainsi, une fois que tout le monde aura été vacciné, tous les tests PCR effectués seront effectués «selon les nouvelles directives de l'OMS», et ne fonctionneront que 25 à 30 cycles au lieu de 35+.

    Et voilà, le nombre de «cas positifs» chutera et nous aurons la confirmation que notre vaccin miracle fonctionne.

    Après des mois d'inondation de la base de données avec des faux positifs, un mauvais décompte des décès «par accident», l'ajout de «décès lié à Covid19» à tous les autres certificats de décès… ils peuvent arrêter. La machine de création d'une pandémie peut être à nouveau réduite à zéro.

    … Tant que nous faisons tous ce qu'on nous dit. Tous les signes de dissidence - des masses de personnes refusant le vaccin, par exemple - et la valeur CT peuvent recommencer à grimper, et ils ramènent leur maladie magique.

    https://www.zerohedge.com/medical/who-finally-admits-pcr-tests-create-false-positives

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    1. - "Comment çà, 'il y aurait cette année 500 000 morts du corona en France' ?!... âah ! C'était 'pour rire' .... mais au fait, ils sont morts de quoi ?... 'de peur' ?!... ils... ils sont morts de peur ?!... Peur de quoi ?... Peur d'avoir le corona ?... HAHAHAHA ! Vous me rassurez ! Hahaha !"

      --------------

      Rappelons que 99 % des médicaments et vaccins contiennent du porc (comme aussi les produits de beauté, rouge à lèvres, shampoings, vernis, etc)

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  46. 2020: l'année où nous nous laissons infantiliser et déshumaniser


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 19 DÉC.2020-23: 30
    Rédigé par Rob Slane via TheBlogMire.com,


    Lisez la partie 1 ici ...

    J'ai récemment écrit un discours satirique de notre premier ministre, dans lequel je l'imaginais proposer toutes sortes de règles absurdes pour la saison de Noël. C'était vraiment dur. Ce n’était pas parce que je n’étais pas en mesure de proposer des centaines de règles de ce type, mais parce que l’intérêt de la satire est de faire monter les absurdités d’un pas ou deux, afin de mettre en évidence le ridicule de ce qui se passe. Mais comment faire cela alors que les absurdités de la vie réelle ont déjà été portées à 11 sur l'amplificateur ? Je ne plaisante pas quand je vous dis que ma liste originale comprenait une règle interdisant de jouer à certains jeux de société à Noël - que j'ai rejetée - pour voir quelques jours plus tard SAGE sortir et déconseiller les jeux de société.

    Nous avons maintenant près de neuf mois à être traités comme des imbéciles absolus. Un pays autrefois grand avec un peuple autrefois libre a été réduit au niveau d'être gouverné par des slogans pathétiques et enfantins. Et pour une raison quelconque, nous nous sommes permis d'être infantilisés.

    Je suis complètement perplexe quant à la façon dont les gens ont pu se reposer sur certains de ces slogans introduits sans répondre par des hurlements de rire.

    "Reste attentif. Contrôlez le virus. Sauver des vies."

    Qu'est-ce que c'est censé vouloir dire ?

    Reste attentif ? Pour quoi ? Sommes-nous censés être sur nos gardes pour un virus qui mesure environ 120 nanomètres, soit environ 1 000e de la largeur d'un cheveu humain ? Devons-nous transporter un microscope électronique partout avec nous, au cas où ? L'un de mes panneaux préférés est un panneau électronique que je vois parfois lors de mes déplacements occasionnels au bureau. Un jour, il dit: «Restez vigilant. Contrôlez le virus. » Sur un autre, il dit: «Restez vigilant. Attention aux cyclistes. » Il convient de noter que les cyclistes sont considérablement plus gros que 120 nm et portent même souvent le type de vestes haute visibilité que les coronavirus refusent de porter.

    Contrôler le virus ? Tu peux répéter s'il te plait ? Vous voulez dire qu’ils pensent que nous sommes assez stupides pour penser qu’ils sont assez intelligents pour concevoir des systèmes capables de contrôler ces petites particules virales invisibles de 120 nm qui sont dans l’air et sur les surfaces. Apparemment oui.

    Sauver des vies ? Je n'ai pas encore entendu d'argument convaincant sur la façon dont moi et ma famille, n'ayant aucun symptôme et donc n'étant pas infectés par le virus, pouvons éventuellement arrêter la propagation dudit virus que nous n'avons pas en restant à la maison ou en portant un morceau de tissu sur ou sur les voies respiratoires, de manière à sauver des vies.

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  47. Plus récemment, il a été décidé que les slogans étaient peut-être un peu trop hauts et devaient être encore simplifiés, cette fois en monosyllabes: «Mains. Visage. Espace." Bien que j'aie tendance à éviter de regarder le camarade Johnson and Co alors qu'ils jettent cette absurdité à leurs stand-ups réguliers, les occasions où j'ai eu ce malheur, j'ai eu l'impression d'être soudainement poussé dans le plus grand jardin d'enfants du monde avec un enseignant qui parlait à ses petites charges comme si elles étaient vraiment, vraiment stupides.

    Je ne vais pas jouer avec votre intelligence en mentionnant tous les autres slogans stupéfiants que nous avons reçus cette année, il suffit de dire que des phrases telles que "bulle sociale" et "Covid sécurisé" seraient profondément amusantes si ce n'était pas pour la gravité de la situation dans laquelle ceux qui viennent avec de telles tripes nous ont placés (à part, sont de tels bâtiments pour lesquels on prétend qu'ils sont «Covid-secure» aussi «Flu-Secure» et «Cold-Secure») ?)

    Mais l'infantilisation de toute une population n'est en aucun cas la pire chose qu'ils nous aient faite. Pire encore a été la déshumanisation de millions de personnes, qui a été réalisée par un certain nombre de méthodes extrêmement destructrices.

    Le principal d'entre eux est l'idée que nous devons tous nous éviter les uns les autres. Je ne peux même pas commencer à penser à quel point cela est devenu destructeur. Dans une société normale, si vous ou moi avons des symptômes d'une maladie respiratoire saisonnière particulièrement désagréable, qui est ce qu'est Covid-19, nous nous évitons. Évidemment. Mais l'idée de personnes en parfaite santé évitant d'autres personnes en parfaite santé doit être considérée comme l'un des concepts les plus absurdes jamais imaginés. Non seulement cela est évidemment inutile, mais cela aura forcément des conséquences à long terme sur la façon dont nous nous voyons les uns les autres, la façon dont nous nous rapportons les uns aux autres, la façon dont nous nous comportons les uns envers les autres. Cela nous fait passer de nous voir comme des humains, créés à l'image de Dieu, à des porteurs de virus ambulants et à un risque potentiel. Certaines personnes se comportent désormais littéralement comme si elles se frayaient un chemin à travers une foule de terroristes potentiels, plutôt que de simplement traverser un groupe de frères humains.

    L'évitement des personnes n'est pas seulement profondément destructeur d'un point de vue psychologique et social, il est également profondément cruel. L'idée qu'un grand-parent ne peut pas avoir de contact avec ses enfants ou petits-enfants est tout simplement obscène. Et l'idée même de laisser les personnes âgées s'envenimer dans des maisons de retraite plutôt que de pouvoir entrer en contact avec leur famille est malsaine. Pourtant, c’est ce que nous avons fait ou que nous avons permis de faire.

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  48. Et bien sûr, je ne peux pas m'arrêter de parler de déshumanisation sans évoquer les masques. Ces choses misérables ont été introduites en été, longtemps après la fin de l'épidémie, à un moment où elles n'auraient pas pu faire de bien, même si elles avaient été capables de faire du bien. Pourquoi ont-ils été introduits? En partie pour maintenir le récit de la peur, même s'il y avait extrêmement peu de risque de mourir d'un virus respiratoire saisonnier à cette période de l'année. Mais plus important encore, ils sont un signe de soumission. Ils sont un moment «nous pouvons faire avec vous ce que nous aimons». Ils n'ont rien à voir avec la santé. Ils sont un masque psychologique, et plus encore que la distanciation sociale, ils ont servi à modifier la façon dont nous nous voyons et sommes vus par les autres.

    Des millions de personnes humiliées par l'équipe marketing de Covid-19 et leurs slogans infantiles. Des millions de personnes déshumanisées en ayant leurs visages, leurs sourires, leurs rires, leur prévenance, etc. couverts pour en faire des drones sans expression. C'était l'année que nous venons de vivre. 2021 sera-t-elle l'année où une masse critique tentera d'échapper à la maternelle et de redevenir humaine?

    https://www.zerohedge.com/covid-19/2020-year-we-let-ourselves-be-infantilised-and-dehumanised

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    1. Interdire les jeux de société ?! Les cartes ne sont réservées qu'aux réussites.
      Par exemple vous prenez un jeu de 52 cartes et vous les retournez toutes pour voir les couleurs, et là, si vous voyez plus de 2 cartes de pique c'est que vous serez mort dans l'année !
      Hahahaha !

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  49. La Californie rapporte des cas et des décès enregistrés par COVID ... malgré le verrouillage le plus strict


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 19 DÉC.2020-22: 30
    Rédigé par Jon Miltimore via The Foundation for Economic Education,


    Le 4 décembre, un groupe bipartisan de législateurs californiens a envoyé au gouverneur Gavin Newsom une lettre l'exhortant à reconsidérer son ordre de fermeture des terrains de jeux extérieurs dans le cadre de son ordre régional de rester à la maison.

    «Bien que nous devions considérer de manière appropriée les meilleures pratiques pour réduire le risque de transmission du COVID-19, nous devons également nous assurer que les enfants à travers l'État ne sont pas injustement privés de leurs possibilités d'accès et de jeu en plein air», ont écrit les législateurs.

    Aujourd'hui, nous avons envoyé une autre lettre au gouverneur pour le prier de reconsidérer la fermeture complète des structures de jeux. Le terrain de jeu local peut être la seule occasion pour certaines familles de «sortir», comme indiqué pour la santé physique et mentale. pic.twitter.com/2FB8Oe1CgQ
    - Lorena Gonzalez (@LorenaSGonzalez) 4 décembre 2020

    L'ordre de Newsom de fermer les terrains de jeux extérieurs - une réponse que beaucoup considèrent comme insensée et inefficace, qui a incité le gouverneur à l'annuler - n'est qu'un exemple de l'approche dure que les responsables publics californiens ont adoptée pour tenter d'atténuer la propagation du coronavirus.

    Les autres restrictions incluent un 22 h. couvre-feu, interdiction des repas en plein air et des rassemblements religieux, ainsi que des fermetures d'écoles. Des enquêtes menées ces derniers mois ont montré que les restrictions de la Californie sont parmi les plus strictes aux États-Unis.

    Malheureusement, mais peut-être prévisible, les règlements ne semblent pas fonctionner. Les données des États montrent que la Californie bat ses records précédents dans les cas de COVID-19 et les décès.

    «La Californie a battu ses records à l'échelle de l'État pour les cas de coronavirus signalés et les décès signalés en une seule journée mercredi», rapporte The Hill.

    "L'État a signalé 51 724 cas de COVID-19 mercredi, battant le précédent record de 42 088 cas, qui venait d'être établi lundi, selon un décompte du Los Angeles Times."

    Pour mettre ces chiffres en perspective, le nombre de décès signalés par la Californie mercredi était plus du double du sommet quotidien de n'importe quel mois précédent.

    Les données des États montrent que la Californie a battu les records précédents de # cas et de décès de Covid_19, malgré le verrouillage le plus strict du pays.

    Le nombre total de décès hier (407) était plus de deux fois le plus haut par jour au cours de tout autre mois. pic.twitter.com/RQJ3RqCWBP
    - Jon Miltimore (@ miltimore79) 17 décembre 2020

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  50. La Californie n'est pas le seul État à souffrir d'une forte augmentation de la mortalité due au COVID-19. Mais les chiffres renforcent les preuves émergentes qui suggèrent que les verrouillages et autres restrictions gouvernementales ne font pas grand-chose pour apprivoiser le coronavirus.

    Comme je l'ai récemment noté, une abondance de recherches universitaires suggère qu'il y a peu ou pas de corrélation entre la rigueur du verrouillage et les taux de mortalité COVID. Cela comprend une étude publiée le 21 juillet dans The Lancet, une recherche de l'Université de Tel Aviv publiée en octobre et une étude publiée dans Frontiers in Public Health en novembre.

    «Je ne suis pas sûr que nous sachions ce que nous faisons»
    La décision de Newsom de réimposer les verrouillages à la lumière des preuves dont nous disposons aujourd'hui a laissé certains fonctionnaires californiens perplexes.

    "Lors de la première commande Shelter in Place, que j'ai approuvée sans réserve, le virus était tout nouveau et avait la capacité de se propager de manière exponentielle en raison de l'immunité nulle et du manque total de sensibilisation des gens", a récemment observé le responsable de la santé du comté de San Mateo, Scott Morrow site Internet.

    «[Cet ordre] était tout à fait conforme à mes vues de longue date sur l'utilisation judicieuse du pouvoir.… Cependant, j'ai très rapidement annulé mes ordres initiaux de fermeture de la société et concentré mes nouveaux ordres sur les comportements personnels qui sont à l'origine de la pandémie…. "

    Morrow a laissé entendre que de nombreuses mesures prises suggèrent que les responsables californiens ont peu appris depuis le printemps.

    «Ce n'est pas parce qu'on a l'autorité légale de faire quelque chose que l'on doit l'utiliser, ou que l'utiliser est la meilleure ligne de conduite», a-t-il écrit.

    «Ce que je croyais en mai, et ce que je crois maintenant, c'est que le pouvoir et l'autorité de contrôler cette pandémie sont principalement entre vos mains, pas les miennes.

    Morrow a été franc dans son évaluation des restrictions imposées dans le Golden State.

    «Je ne suis pas sûr que nous sachions ce que nous faisons», a-t-il écrit. "Je regarde les comtés environnants qui ont été beaucoup plus restrictifs que moi et je me demande ce que cela leur a acheté."

    Et n'oubliez pas, la Floride est le pays des personnes âgées. Les lockdowns tuent, pas covid. https://t.co/by5ZZWByyu
    - Mark Stoval (@MarkStoval) 15 décembre 2020

    Pourquoi toutes les histoires des médias détestant la Floride maintenant? 1) politique, 2) il est ouvert depuis des mois sans désastre, 3) l'État se classe 20e pour le nombre de morts par million, montrant ENCORE (pour la millième fois) que les mérites des verrouillages ne sont pas prouvés.
    - Jeffrey A Tucker (@jeffreyatucker) 17 décembre 2020

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  51. Morrow semble avoir glané un aperçu une fois observé par l'économiste Milton Friedman.

    «L'une des grandes erreurs est de juger les politiques et les programmes en fonction de leurs intentions plutôt que de leurs résultats», a fait remarquer Friedman.

    Chaque semaine qui passe, les résultats des verrouillages gouvernementaux deviennent plus clairs. Ils causent des préjudices considérables et généralisés - personne n'est en désaccord sur ce point - mais les avantages supposés des politiques restent faibles. Malgré la multitude de preuves dont ils disposent, les législateurs continuent d'adopter des restrictions en raison de mauvaises incitations.

    Les coûts de l'abandon de la liberté

    Le grand économiste Ludwig von Mises a noté il y a longtemps qu'une grande partie des conflits sociaux modernes est une lutte pour savoir qui doit concevoir le monde, les individus ou les autorités. Mises croyait que les individus, s'ils étaient laissés à eux-mêmes, prendraient généralement des décisions rationnelles basées sur leur propre intérêt. C'est pourquoi il a vu peu de choses aussi dangereuses que les planificateurs centraux qui cherchent à supplanter la planification individuelle par la leur (malgré leurs limites de connaissances) dans le but de créer une société plus parfaite.

    «Le planificateur est un dictateur potentiel qui veut priver toutes les autres personnes du pouvoir de planifier et d'agir selon leurs propres plans», a écrit Mises dans Socialism: An Economic and Sociological Analysis.

    «Il vise une seule chose: la prééminence absolue et exclusive de son propre plan.»

    Le Washington Post a rapporté hier que près de 8 millions d'Américains sont tombés dans la pauvreté depuis l'été. Quand on considère les dommages causés par les verrouillages gouvernementaux par rapport aux résultats positifs qu’ils ont obtenus, on commence à voir pourquoi Mises considérait le pouvoir incontrôlé des autorités comme une telle menace.

    https://www.zerohedge.com/markets/california-reports-record-covid-cases-and-deaths-despite-strictest-lockdown

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    1. Si vous enfermez une personne malade avec d'autres personnes saines, tout le monde sera malade ! Çà alors !! Vous êtes sûr ? Hahaha !

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    2. Et pourquoi pas 13 à table ?

      Faut-il détruire les fourmilières, les ruches d'abeilles et les bataillons de types armés ?

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