- ENTREE de SECOURS -



jeudi 10 décembre 2020

Dans la foulée du film « Hold-up », le Pr Perronne persiste et signe en dépit de l'acharnement dont il est victime M.K. Scarlett

 https://fr.sott.net/article/36378-Dans-la-foulee-du-film-Hold-up-le-Pr-Perronne-persiste-et-signe-en-depit-de-l-acharnement-dont-il-est-victime

100 commentaires:

  1. Dans la foulée du film « Hold-up », le Pr Perronne persiste et signe en dépit de l'acharnement dont il est victime
    M.K. Scarlett

    Sott.net
    jeu., 10 déc. 2020 08:35 UTC


    Les rebelles à l'ordre établi, ceux dont la voix contredit le discours orwellien uniformisé du cartel médiatico-politique et du paradigme scientifique dominant sont bassement attaqués pour oser s'élever contre la dictature. Le Pr Perronne fait partie des ces voix. Pour répondre aux attaques qu'il a subies ces derniers mois, il s'est confié au micro de Hold-Up.
    Pr Perronne
    © Hold-Up
    Il commence son interview de 27 minutes en déclarant :
    « Je suis à l'aise et droit dans mes bottes. [...] J'ai traité et sauvé des patients et on me traite de charlatan. »
    Il parle aussi du mail qu'il a reçu dans lequel il apprend la procédure engagée à son encontre de retrait d'agrément de formation. Le Pr Christian Perronne a dans le cadre de cette affaire reçu plusieurs centaines de milliers de manifestations de soutien .
    « On m'attaque alors que j'ai soigné et que j'ai dit la vérité. [...] Maintenant je dis stop, et je vais prendre les actions nécessaires. »
    Voici tout d'abord l'article de FranceSoir sur l'acharnement que subit le Pr Perronne, publié le 4 décembre. Vous retrouverez en fin d'article l'interview qu'il a donnée à Hold-Up et qui a été publié sur YouTube le 9 décembre.

    * * * * * * * * * * * * * * * *

    La cabale contre les médecins et les scientifiques continue. Après qu'un grand nombre de médecins ont été inquiétés par le Conseil de l'Ordre pour leurs manquements supposés à la déontologie, ou le fait qu'ils aient soigné et guéri des patients, les actions contre le Pr Raoult de la part de la SPILF (Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française), ou le Conseil de l'Ordre, la convocation de Louis Fouché par sa hiérarchie à Marseille, sans oublier le licenciement du Dr Sacré en Belgique, quelle ne fut pas la surprise du professeur Perronne ce matin en recevant un message du professeur Riou, doyen de la faculté de médecine de la Sorbonne.

    Ce mail lui annonce une procédure de retrait d'agrément de formation dans le cadre du DES (Diplôme d'Etudes Spécialisées) de maladies infectieuses et tropicales, alors que le Pr Perronne a, d'abord en tant que président du Collège des universitaires des Maladies Infectieuses et Tropicales (CMIT), et en tant que président du Conseil national des universités pour cette discipline, a obtenu du ministère de la Santé et du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche, la reconnaissance nationale par toutes les instances (universités, ministère de la Santé, Conseil National de l'Ordre de Médecins) d'une spécialité pleine et entière. Auparavant, en France, l'infectiologie était une sous-spécialité non reconnue.

    RépondreSupprimer
  2. Un médecin proche du Pr Perronne nous confie :

    « Cette attaque, contre ce médecin et universitaire prestigieux qui s'est battu pendant des années pour la reconnaissance de sa discipline avant de se voir jeter dans le caniveau, par ses propres collègues qu'il a du fond de ses tripes cherché à valoriser, est une honte. C'est indécent. Tout ça pour protéger des conflits d'intérêts bien gardés, pourtant largement exposés sur la place publique. »

    Le motif invoqué est que Christian Perronne aurait tenu

    « des propos non confraternels envers un jeune médecin en formation qui pourraient être considérés comme une incitation à la haine et se sont traduits effectivement par des menaces de mort sur les réseaux sociaux. »
    Le courrier ne précise pas les propos qui lui sont reprochés.

    De plus, ce 3 décembre, un médecin gériatre, le Dr Christophe Trivalle, membre de la Commission médicale d'établissement (CME) de l'Assistance Publique — Hôpitaux de Paris (AP-HP), dévoilait une photo d'écran d'une discussion confidentielle en cours au sein de l'AP-HP sur Twitter. Ce médecin, outrepassant visiblement les règles éthiques d'une commission non publique, a jeté l'opprobre sur le Pr Perronne, et par la même porté atteinte à son intégrité.

    Le professeur Perronne aura donc été informé par Internet de cette procédure, souhaitant une condamnation ordinale. Pourtant, les propos publics d'information scientifique du Pr Perronne, appuyés sur des faits établis, n'ont fait l'objet d'aucune plainte en diffamation à notre connaissance. Pas plus qu'ils ne paraissent contraires à la déontologie médicale, s'agissant tout simplement de la liberté d'expression d'un universitaire, inscrite dans la loi, au sujet d'une publication scientifique n'ayant pas respecté des critères d'objectivité et largement contestée.

    Le Dr Trivalle, membre de la CME, ne se serait-il pas rendu coupable d'une grave atteinte au code de déontologie qui pourrait à son tour être jugée sévèrement par le Conseil de l'Ordre ? Ceci est d'autant plus surprenant que d'après nos sources, ce vote n'a fait l'objet d'aucune audition de l'intéressé-accusé, ni d'aucun débat contradictoire, et s'est déroulé sans qu'aucun élément factuel n'ait été avancé.

    RépondreSupprimer
  3. Tweet Trivalle to Perronne

    Le jeune médecin en question serait Monsieur Nathan Peiffer-Smadja, qui a été très actif sur les réseaux sociaux et qui est un opposant déclaré au professeur Raoult et au traitement en phase précoce pratiqué par un nombre croissant de médecins dans le monde qui cherchent avant tout à soigner leurs patients. Ce jeune médecin est l'élève du Pr Yazdan Yazdanpanah, ancien membre du board de Gilead et membre du Conseil scientifique de l'Elysée : tous deux ont vanté les mérites du Remdesivir. Monsieur Peiffer-Smadja a même continué à encourager le recrutement de patients dans l'étude de ce médicament, alors même que l'OMS avait déjà déclaré que le Remdesivir n'avait pas d'efficacité et était toxique. De nombreuses questions se posent quant aux motivations de Monsieur Peiffer-Smadja, et les éventuels liens ou conflits d'intérêt qu'il pourrait avoir dans cette controverse et qui le conduiraient à un tel dénigrement, bien peu confraternel, de professeurs aux pedigrees autrement plus établis que le sien.

    Tweet contre Perronne

    Un autre médecin actif sur les réseaux sociaux et qui suit M. Peiffer-Smadja nous dit :
    « Les tweets de ce jeune médecin en cours de formation, qui semble déjà tout connaître de la vie et du métier, sont sans équivoque. Ils vont du mépris à la désobligeance vis-à-vis du Pr Perronne, reconnu au niveau international comme un des meilleurs spécialistes des maladies infectieuses, jusqu'à la diffamation comme le montre ce tweet déclarant que le professeur aurait accusé ses confrères d'être des assassins. »
    Rappelons que M.Peiffer-Smadja n'avait pas encore soutenu sa thèse à ce moment-là.

    Tweet contre Perronne

    Monsieur Peiffer-Smadja a déclaré dans d'autres médias avoir été l'objet de messages haineux. C'est fort regrettable, cependant ce monsieur ne semble pas en reste dans ses campagnes de messages sur Twitter ou d'autres réseaux sociaux, n'hésitant pas à dépasser les bornes de la bienséance.

    À croire que l'arroseur serait à son tour arrosé, puisqu'il avait lancé une pétition contre le professeur Perronne qui n'avait reçu que 3 281 soutiens alors qu'au même moment une pétition en soutien au professeur recevait plus de 110 000 signatures.

    Pétition contre Perronne

    De plus, contrairement à ce qu'annonce M.Peiffer-Smadja, la bithérapie ou trithérapie a fait l'objet de témoignages au Sénat américain par les Dr Risch et McCullough, a été aussi utilisée avec succès par le Dr Wolfkoff au Brésil ainsi que dans de nombreux autres pays. En France, outre le Pr Raoult, le Dr Guérin de « Laissons-les prescrire » ou encore le microbiologiste Claude Escarguel par exemple, prônent le traitement en phase précoce pour éviter la complication dans le cadre de l'infection. M. Peiffer-Smadja avait déjà induit TF1 en erreur lors d'un 20h en affirmant que l'hydroxychloroquine ne serait utilisée que dans des pays comptant 1,5 milliard d'habitants, le Collectif citoyen de FranceSoir avait démonté cette déclaration dès le lendemain, montrant qu'avec les mêmes sources que celles utilisées par M.Peiffer-Smadja et simplement en lisant les documents, cette thérapie est utilisée dans des pays qui représentent plus de 4 milliards d'habitants sur la planète.

    RépondreSupprimer
  4. Contacté ce jour (vendredi 4 décembre) par la rédaction de FranceSoir, Mr Peiffer-Smadja n'a pas répondu à nos sollicitations.

    Un médecin, sous couvert d'anonymat par peur de représailles, s'indigne :
    « Ça va trop loin. C'est très choquant et diffamatoire. De mon point de vue, un avocat doit se saisir de ce dossier. »
    « Nathan Peiffer-Smadja m'a menacé, en disant avoir transmis mes agissements au Conseil de l'Ordre. »
    Tandis qu'un de ses confrères s'exclame :
    « Incroyable ! C'est l'inverse qui est vrai ! Il ne faut pas laisser passer cela. »
    Selon nos sources, une procédure serait aussi envisagée pour priver le professeur Perronne de sa « chefferie de service ».

    L'AP-HP serait-elle aux abois, suite à la prise de conscience d'avoir eu une mortalité particulièrement élevée pour la Covid-19, potentiellement liée à sa politique contre le traitement en phase précoce ?

    La meilleure défense étant l'attaque, l'AP-HP aurait-elle mis en branle l'artillerie lourde contre l'un de ses plus éminents spécialistes pour essayer de se protéger ?

    Nous reproduisons ci-dessous le courrier, qui était adressé en copie à Martin Hirsch, directeur général de l'APHP ; au Pr Rémi Salomon, président de la CME de l'APHP ; à M. Aurélien Rousseau, Directeur général de l'ARS Ile-de-France ; au Pr Djillali Annane, Doyen de la Faculté de médecine UVSQ.
    Cher collègue,

    En tant que chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l'hôpital Raymond Poincaré (Assistance-Hôpitaux de Paris) vous disposez d'un agrément dans le cadre du DES de maladies infectieuses et ce pour l'ensemble des phases de ce DES et du DES de médecine interne pour la phase socle. Après avoir consulté les commissions pédagogiques du DES de maladies infectieuses et du DES de médecine interne, et le Comité de Coordination des études médicales (CCEM) qui s'est prononcé à l'unanimité en ce sens, je vous informe qu'une procédure de retrait de votre agrément est engagée. L'élément déterminant qui motive le déclenchement de cette procédure sont vos propos non confraternels vis-à-vis d'un jeune médecin en formation qui pourraient être considérés comme une incitation à la haine et se sont traduits effectivement par des menaces de mort sur les réseaux sociaux. Votre attitude n'est pas compatible avec la Charte déontologique des Facultés de médecine qui prône le respect de l'intégrité professionnelle et scientifique et la bienveillance envers nos étudiants et il n'est donc plus raisonnable de vous confier leur formation. J'adresse donc aujourd'hui une demande au Directeur général de l'Agence régional de santé d'Ile de France afin que ce retrait d'agrément soit examiné lors de la prochaine commission d'agrément.

    Je vous prie d'agréer, cher collègue, mes salutations.

    Bruno Riou Président de la Conférence des Doyens de santé d'Ile de France Président du Comité de Coordination des Etudes Médicales

    * * * * *

    RépondreSupprimer
  5. « L'expérience a montré que peu importe ce que nous disons, ce que nous leur faisons remarquer, la quantité de preuves fournies, cela ne signifie rien pour les psychopathes. Ils n'ont qu'un but : nous tromper afin qu'on les classifie comme humains normaux de sorte qu'ils puissent continuer à nous duper, nous contrôler et nous utiliser pour leur propre pouvoir et gloire, parce que c'est ce qui leur donne du plaisir. »

    ~ Le truc du psychopathe : nous faire croire que le Mal vient des autres
    Voici l'interview du Pr Perronne :

    https://fr.sott.net/article/36378-Dans-la-foulee-du-film-Hold-up-le-Pr-Perronne-persiste-et-signe-en-depit-de-l-acharnement-dont-il-est-victime

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. 0,05 % de mortalité et la dictature impose un vaccin !!!

      Supprimer
  6. Quatre cas de paralysie faciale recensés chez des personnes ayant reçu le vaccin de Pfizer


    13:38 10.12.2020
    Par Ekaterina Bogdanova


    Le vaccin de Pfizer entraîne des effets indésirables: il y a eu quatre cas de paralysie faciale a frigore (de Bell) sur 18.000 vaccinés, indique la Food and Drug Administration (FDA) dans un document de données issues d’un essai clinique sur les volontaires. Même si c’est souvent temporaire, la FDA a recommandé une surveillance accrue.

    La Food and Drug Administration (FDA) a rendu public un document de données issues d’un essai clinique sur 44.000 volontaires et préparé pour la réunion de l’agence prévue ce 10 décembre.

    D’après ces données, le vaccin a des effets indésirables. Ainsi, 80 % des vaccinés ont eu mal autour du point d’injection, plusieurs ont ressenti de la fatigue, des maux de tête ou des courbatures. En outre, il y a eu quatre cas de paralysie faciale a frigore (de Bell) sur 18.000 vaccinés.

    Bien que temporaire, la FDA a recommandé «une surveillance des cas de paralysie de Bell avec le déploiement du vaccin parmi les populations plus importantes».

    Six personnes sont mortes

    Le même document a également dévoilé que six personnes vaccinées étaient décédées. La moitié avaient plus de 55 ans. Deux ont reçu le vaccin et les autres un placebo. Elles avaient des problèmes de santé et des maladies chroniques.

    Le directeur de Pfizer, Albert Bourla, a pour sa part assuré que la sécurité n’avait en aucun cas été sacrifiée à la vitesse de la mise sur le marché. «Nous n’avons pas rogné» sur la sûreté, a-t-il déclaré au cours d’une table ronde virtuelle à Genève organisée par la Fédération internationale des groupes pharmaceutiques (IFPMA).

    Efficacité de 95%

    Le géant pharmaceutique américain Pfizer et son partenaire allemand BioNTech ont déclaré le 18 novembre que leur candidat vaccin contre le Covid-19 était efficace à 95 %.

    Une dose coûtera 19,50 dollars (environ 16 euros). Cependant, celui-ci devra être administré en deux étapes, ce qui signifie que son prix par personne atteindra près de 40 dollars (33 euros).

    Le Royaume-Uni a lancé mardi une campagne massive de vaccination dirigée pour l’instant vers les soignants et les personnes âgées. Le Canada a approuvé mercredi le vaccin de Pfizer/BioNTech.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/202012101044907682-quatre-cas-de-paralysie-faciale-recenses-chez-des-personnes-ayant-recu-le-vaccin-de-pfizer/

    RépondreSupprimer
  7. Regardez en direct: Votes du panel de la FDA sur l'autorisation du vaccin Pfizer COVID pour une utilisation d'urgence

    par Tyler Durden
    Jeu, 12/10/2020 - 08:55


    Le grand jour est enfin arrivé. Deux jours après le NHS, les premiers patients âgés ont vacciné avec le nouveau vaccin Pfizer ARNm-vecteur (avant de demander tranquillement aux patients ayant des antécédents de réactions allergiques sévères d'attendre avant de recevoir le premier vaccin).

    Pendant ce temps, en attendant la décision finale, voici un aperçu de ce qu'il faut rechercher avec l'aimable autorisation de CNBC.

    Quand votent-ils?

    La réunion consultative de la FDA est prévue de 9 h 00 HE à 18 h 00. ET. Le vote aura probablement lieu vers la fin de la réunion. Avant le vote, des experts médicaux externes évalueront les données des essais cliniques de Pfizer et donneront leur avis sur le vaccin, y compris si les avantages l'emportent sur les risques d'une autorisation d'utilisation d'urgence. L'autorisation d'utilisation d'urgence signifie que la FDA permettra à certaines personnes de recevoir le vaccin pendant que l'agence continue d'évaluer les données. Ce n’est pas la même chose qu’une approbation complète, qui peut généralement prendre des mois. Jusqu'à présent, Pfizer n'a soumis que deux mois de données de suivi sur la sécurité, mais l'agence a généralement besoin de six mois pour une approbation complète. Le comité consultatif, qui devrait comprendre 23 membres pour la réunion, a déjà examiné les documents envoyés par la FDA sur le vaccin de Pfizer, a déclaré le Dr Paul Offit, membre votant du comité. Ces documents ont été mis à la disposition du public mardi. «Le public verra tout ce que nous voyons», a ajouté Offit.

    Que se passe-t-il ensuite?

    La FDA décidera d’approuver ou non le vaccin pour une utilisation d’urgence, ce qui pourrait arriver dès vendredi, a déclaré samedi James Hildreth, membre du comité, à «Weekend Today» de NBC. Le secrétaire à la Santé et aux Services sociaux, Alex Azar, a déclaré dimanche à ABC News «This Week» qu’une autorisation pouvait intervenir «dans les jours» suivant la réunion. La recommandation du comité n’est pas contraignante, ce qui signifie que l’agence n’a pas à l’accepter. Mais c'est souvent le cas. Le commissaire de la FDA, Stephen Hahn, a déclaré en septembre qu'il n'avait «aucune intention» d'écarter les scientifiques de carrière de l'agence, y compris Peter Marks, qui dirige la division qui supervise les approbations de vaccins. «J'ai une confiance totale et absolue dans les scientifiques de la FDA et dans la prise de décision qu'ils ont ici», a-t-il déclaré le 10 septembre.

    RépondreSupprimer
  8. Dans combien de temps le vaccin sera-t-il distribué ?

    Le gouvernement fédéral devrait expédier 2,9 millions de doses du vaccin Pfizer aux juridictions du pays dans les 24 heures suivant une autorisation d'utilisation d'urgence de la FDA, a déclaré le général de l'armée Gustave Perna, chef des opérations de l'opération Warp Speed, lors d'un briefing mercredi. .

    2,9 millions de doses supplémentaires seront retenues pour être distribuées 21 jours plus tard pour les secondes doses, a-t-il ajouté.

    Les États avaient déjà soumis au CDC des plans sur la manière dont ils avaient l'intention de vacciner quelque 331 millions d'Américains contre Covid-19 une fois qu'un vaccin est approuvé. Le CDC a alloué 200 millions de dollars aux juridictions pour la préparation des vaccins, bien qu'une grande partie de ce financement n'ait pas été versée au niveau local.

    Quand vais-je recevoir le vaccin ?
    Les doses initiales du vaccin seront limitées à mesure que la fabrication s'accélérera, les responsables prévoyant qu'il faudra des mois pour vacciner toutes les personnes aux États-Unis qui souhaitent se faire vacciner. Le vaccin devrait être distribué par étapes, les Centers for Disease Control and Prevention demandant aux États de donner la priorité aux agents de santé et aux maisons de soins infirmiers en premier.

    Le Dr Moncef Slaoui, qui dirige le programme de vaccination du président Donald Trump, Operation Warp Speed, a déclaré que les États-Unis devraient être en mesure de distribuer suffisamment de doses de vaccin pour immuniser 100 millions d'Américains d'ici la fin du mois de février, soit près d'un tiers de la population américaine. Il a déclaré que toute la population américaine pourrait être vaccinée contre Covid-19 d'ici juin.

    Là encore, en fonction de votre position dans la hiérarchie des classes sociales, on peut se retrouver à recevoir le vaccin plus tôt que prévu.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/watch-live-fda-panel-votes-authorization-pfizer-covid-vaccine-emergency-use

    RépondreSupprimer
  9. Si le vaccin anti-Covid n'empêche pas l'infection, l'hospitalisation ou la mort, à quoi sert-il ?


    Mike Whitney — Unz Review
    Sott.net
    mar., 08 déc. 2020 11:13 UTC


    Les nouveaux vaccins contre le Covid vont rapporter des milliards de dollars aux grandes entreprises pharmaceutiques, mais voici ce qu'ils ne feront pas :

    Les vaccins ne guériront pas le Covid ;
    Les vaccins n'empêcheront pas les gens de contracter le Covid ;
    Les vaccins n'empêcheront pas les hospitalisations liées au Covid ;
    Les vaccins n'empêcheront pas les décès dus au Covid.

    « Le monde a misé sur les vaccins comme solution à la pandémie, mais les phases de test ne visent pas à répondre aux questions soulevées par beaucoup quant à ce qu'ils sont exactement. »

    ~ Peter Doshi, rédacteur en chef adjoint du British Medical Journal et professeur adjoint de recherche sur les services de santé pharmaceutiques à l'école de pharmacie de l'université du Maryland
    « La différence entre le génie et la stupidité, c'est que le génie a ses limites. »
    ~ Albert Einstein

    Maintenant, je sais ce que vous pensez. Vous vous dites : « Si le vaccin ne m'empêche pas d'attraper le Covid, ou de mourir du Covid, alors pourquoi devrais-je me le faire injecter ? »

    Et la réponse est : Vous ne devriez pas. Cela n'a aucun sens, surtout si l'on considère que les nouveaux vaccins présentent des risques considérables pour la santé et le bien-être de chacun.

    Et vous vous dites : « Des risques ? Personne n'a parlé de risques. Je pensais que ce merveilleux nouveau remède anti-Covid était entièrement sans risque ; il suffit de se le faire injecter et — illico presto — la vie redevient normale. »

    Faux. Les risques existent, des risques importants, que les médias et l'establishment médical ont dissimulés avec leurs ridicules discours enthousiastes sur les vaccins « miracles ». Mais tout cela n'est qu'un battage publicitaire destiné à tromper les populations pour qu'elles se fassent injecter une substance douteuse qui ne fait PAS ce qu'elle est censée faire et qui présente de graves risques à long terme pour la santé.

    Alors, creusons un peu plus cette question des risques et voyons ce que disent les experts. Voici un extrait d'une « Lettre ouverte de : UK Medical Freedom Alliance à : Le Comité mixte sur la vaccination et l'immunisation... pour le Covid-19 au Royaume-Uni » :
    « Il est inquiétant de constater que les récents débats parlementaires semblent ne pas accorder suffisamment d'importance à toutes les préoccupations concernant les risques des vaccins et le droit au consentement éclairé, tout en se concentrant uniquement sur les stratégies visant à accroître l'utilisation des vaccins dans la population générale.

    RépondreSupprimer
  10. Évaluation inadéquate du risque pour la santé publique d'un vaccin Covid

    Dans une récente lettre au British Medical Journal, le médecin Arvind Joshi a mis en garde contre le désastre qui pourrait résulter de cette politique malavisée et a souligné les risques graves encourus par le public et les autres conséquences désastreuses qui pourraient découler de l'utilisation précipitée d'un vaccin contre le Covid sans que des tests approfondis et adéquats aient été effectués quant à leur innocuité et leur efficacité :

    « Des effets indésirables tels que la panencéphalite sclérosante subaiguë, la polynévrite ascendante, les myopathies, les maladies auto-immunes et la possibilité plus rare de déclencher le développement de malignités sont les possibilités les plus redoutées. [...] La ruée vers les vaccins ne devrait pas conduire au désastre. »
    Note : une liste plus complète des potentielles « conséquences désastreuses » est disponible dans le lien de l'article en anglais ci-dessus.

    « Les vaccins à base de vecteurs viraux et les vaccins génétiquement modifiés pourraient subir une recombinaison ou une hybridation avec des résultats imprévisibles... Les tentatives précédentes de développer des vaccins contre les coronavirus et d'autres vaccins, par exemple le VRS [virus respiratoire syncytial - NdT] et la dengue, ont été entravées par le problème de « l'immunité renforcée liée aux anticorps », qui a conduit à des maladies graves et à des décès chez les animaux et les sujets humains participant aux essais[28]. Ce phénomène n'apparaît qu'après la vaccination, lorsque le sujet est exposé au virus naturel à un moment donné dans le futur. Il est inquiétant de constater que les essais du vaccin anti-Covid n'ont pas été menés de manière à exclure la possibilité que cette grave séquelle se produise des mois ou des années après la vaccination...

    Les effets indésirables tardifs du vaccin, tels que la panencéphalite sclérosante subaiguë, la polynévrite ascendante, les myopathies, les maladies auto-immunes, la stérilité et les cancers, ne peuvent être exclus des essais de courte durée. »

    Tout cela est très technique, mais la vérité est évidente : se faire injecter le vaccin anti-Covid comporte de sérieux risques. La plupart des personnes vaccinées ne ressentiront que des douleurs mineures, mais certaines seront sans aucun doute très malades et leur santé en souffrira de façon permanente. Personne n'en est vraiment sûr, car il n'y a pas eu d'essais à long terme. Le vaccin anti-Covid a fait l'objet, dès le premier jour, d'une procédure accélérée. La question est donc la suivante : « Les avantages l'emportent-ils sur les risques ? » Il se trouve que, dans le cas présent, ce n'est clairement pas le cas. Les risques de tomber gravement malade ou de mourir à cause du Covid sont très faibles — le taux de survie est de 1 sur 400 — alors que les effets indésirables — potentiels — du vaccin sont eux décrits ci-dessus. Pourquoi devrait-on jouer à la roulette russe avec un vaccin qui n'empêche pas de contracter le Covid, ne protège pas contre l'hospitalisation et n'empêche pas de mourir ? Ce n'est tout simplement pas un bon compromis. Voici d'autres extraits d'un article paru dans le magazine Forbes :

    RépondreSupprimer
  11. « La prévention de l'infection devrait constituer le but primordial... Mais la prévention de l'infection n'est un critère de succès pour aucun de ces vaccins. En fait, leurs buts à tous requièrent des infections préalablement confirmées... puisque leurs vaccins ne sont pas censés prévenir l'infection, mais seulement modifier les symptômes des personnes infectées.

    En cas d'infection, nous attendons tous d'un vaccin efficace qu'il protège d'une maladie grave. Trois des protocoles de vaccination [Moderna, Pfizer et AstraZeneca - NdT] n'exigent pas de leur vaccin qu'il protège d'une maladie grave, mais seulement qu'il empêche des symptômes modérés pouvant être aussi bénins que la toux ou les maux de tête... »

    Note du traducteur : nous avons déjà partiellement traduit ce passage de Forbes — ainsi que celui qui suit — dans notre Focus qui y fait également référence : « Les critères de référence des tests des vaccins anti-Covid sont truqués et les effets secondaires sont désastreux ».

    Comprenez-vous ce qui se passe ? La « prévention » n'est même pas un objectif premier. La norme de réussite dans ces essais est de savoir si le vaccin atténue les symptômes du Covid chez les personnes qui sont testées positives. Mais qui se soucie des symptômes ? Ce qui intéresse les gens, c'est la mort. C'est la raison pour laquelle [une partie] du public est si désireuse de se faire vacciner, dans l'espoir d'échapper à la mort.

    C'est un point critique, et l'un de ceux qui mérite que l'on y réfléchisse sérieusement.

    Pourquoi ?

    Parce qu'il permet d'illustrer à quel point la campagne de vaccination est construite sur une base de mensonges et de tromperie. Par exemple, lorsque les sociétés pharmaceutiques se vantent que leur produit est « efficace à 95 % », cela ne signifie PAS que — si vous vous faites vacciner — vous serez immunisé contre le Covid. Cela ne signifie même pas que vous ne tomberez pas gravement malade et que vous ne mourrez pas. Cela signifie simplement que le vaccin a réduit les symptômes de certaines des personnes testées positives.

    RépondreSupprimer
  12. Le saviez-vous ?

    Bien sûr, vous ne le saviez pas. Vous pensiez qu'en vous faisant vacciner vous seriez protégé contre le Covid, parce que c'est l'hypothèse logique que tout le monde ferait. La plupart des gens assimilent les vaccins à l'immunité. Les compagnies pharmaceutiques le savent, c'est pourquoi elles exploitent leur ignorance et obscurcissent délibérément la vérité. Elles veulent que les populations continuent à croire que la vaccination constitue un bouclier protecteur qui les sauvera de la maladie et de la mort. Mais ce n'est pas le cas. C'est un ramassis de balivernes.

    En fin de compte, l'« efficacité » d'un vaccin ne se mesure pas en termes de « prévention de l'infection ». Elle est liée à l'impact du vaccin sur les symptômes. Voici d'autres informations issues de l'article paru dans le magazine Forbes :

    « L'une des questions les plus immédiates auxquelles un essai doit répondre est de savoir si un vaccin prévient l'infection. Si une personne prend ce vaccin, a-t-elle beaucoup moins de chances d'être infectée par le virus ? Ces essais sont tous clairement axés sur l'élimination des symptômes du Covid-19, et non sur les infections elles-mêmes...

    Il s'avère que toutes les entreprises pharmaceutiques partent du principe que le vaccin n'empêchera jamais l'infection. Leur critère d'approbation est la différence de symptômes entre un groupe contrôle [ou témoin - NdT] infecté et un groupe infecté qui reçoit le vaccin.

    Pour les millions de personnes âgées et celles souffrant de maladies préexistantes, la question est de savoir si ces essais testent la capacité du vaccin à prévenir les maladies graves et la mort. Une fois de plus, nous constatons que dans ces tests, la maladie grave et la mort ne sont que des objectifs secondaires. Aucun d'entre eux ne mentionne la prévention des décès et des hospitalisations comme un obstacle d'une importance capitale...

    RépondreSupprimer
  13. Ces protocoles ne mettent pas l'accent sur les ramifications les plus importantes du Covid-19 dont les personnes cherchent le plus à se prémunir : l'infection globale, l'hospitalisation et la mort. Cela dépasse l'entendement et défie le bon sens que le National Institute of Health, le Center for Disease Control, le National Institute of Allergy and Infectious Disease et les autres organismes envisagent l'approbation d'un vaccin qui serait distribué à des centaines de millions de personnes sur des bases aussi minces.

    Il s'avère que ces essais sont intentionnellement conçus pour être couronnés de succès. »
    L'auteur a raison, n'est-ce pas ? Si le vaccin n'empêche pas l'infection, il ne sert à rien. Point final. Et pourtant, toutes ces institutions grandiloquentes sont d'accord avec cette farce. C'est une honte. Nous ne parlons même pas de « faible seuil » en matière de réussite vaccinale. Il n'y a « pas de seuil du tout ». Si les gens sont préoccupés par les symptômes, ils feraient mieux de prendre une aspirine [de la Vitamine C - NdT] et d'en rester là. Il n'est pas nécessaire de se faire injecter un cocktail hybride dont personne n'a la moindre idée des effets à long terme. Ce serait tout simplement très imprudent.

    Comme nous l'avons dit plus tôt, les vrais problèmes sont habilement dissimulés par ceux qui, pour inciter les populations à coopérer, font miroiter l'absurdité d'une « efficacité à 95 % ». C'est d'une malhonnêteté flagrante.

    Et voici une autre chose à laquelle il faut réfléchir : Que savons-nous vraiment de ces vaccins miraculeux qui sont censés nous sortir de notre « crise de santé publique » ?

    Pas grand chose. Nous savons qu'ils sont lancés sur le marché à toute vitesse. Nous savons qu'ils ont été retardés pour des raisons politiques. Nous savons que la science est façonnée par la politique. Nous savons que le développement de vaccins prend généralement dix ans, que le développement « précipité » de vaccins prend trois ans, et que le prochain lot de vaccins douteux aura pris environ huit mois.

    Huit mois !

    Trouvez-vous cela rassurant ? Cela vous donne-t-il envie de vous frayer un chemin jusqu'au premier rang de la file d'attente en retroussant votre manche quand la « Journée vaccinale » viendra ? Et êtes-vous surpris qu'un grand nombre de professionnels de la santé aient décidé de ne pas se faire vacciner avant au moins un an ?

    RépondreSupprimer
  14. Et voici une autre chose : les géants pharmaceutiques ne savent même pas si leurs vaccins vont arrêter la transmission ou non. Je ne plaisante pas, ils ne le savent vraiment pas. Par conséquent, outre le fait que le vaccin ne confère pas d'immunité, il n'arrêtera pas la propagation de l'infection, ce qui signifie que la pandémie va se poursuivre.

    Note du traducteur : Et il y aura plus de malades — certains induits par ces vaccins anti-Covid — et donc plus de confinements, plus de distanciation sociale, plus de fermetures de commerces et d'entreprises, plus de faillites, plus de morts, plus de suicides, plus de violence, plus de contrôle super-étatique, plus de Hold-Up sur nos vies et nos libertés, plus de passeport d'immunité pour voyager, travailler, vivre, voire des internements forcés dans des camps, etc. Bienvenue dans 1984, Le meilleur des mondes et Le Travailleur, tout ça mélangé à la sauce Nouvel Ordre mondial.

    Ne pensez-vous pas que le public a le droit de savoir cela ?

    Et n'oublions pas que ces soi-disant « vaccins » ne correspondent pas du tout à la définition traditionnelle du vaccin. Le CDC définit un vaccin comme suit :
    « Un produit qui stimule le système immunitaire d'une personne afin qu'il produise une immunité contre une maladie spécifique, protégeant ainsi la personne contre cette maladie. »
    Et le CDC définit l'« immunisation » comme suit :

    « Un processus par lequel une personne devient protégée contre une maladie par la vaccination. Ce terme est souvent utilisé de manière interchangeable avec la vaccination ou l'inoculation. »
    Il se trouve que nous avons déjà montré que les nouveaux vaccins ne procurent pas nécessairement une immunité. La question est donc de savoir s'ils « stimulent réellement le système immunitaire » d'une personne ou si le surnom de « vaccin » a simplement été conservé comme outil marketing pour tromper le public. Voici quelques éléments de contexte tirés d'un article paru sur RT :
    « Le type de vaccin développé contre le Covid-19 n'a jamais été utilisé auparavant, en dehors d'Ebola. Certaines personnes estiment qu'il ne faut pas vraiment les appeler des vaccins, car ils sont complètement différents de tout ce qui a été fait auparavant.

    RépondreSupprimer
  15. Jusqu'à présent, la vaccination consistait à injecter un virus mort — ou une bactérie — , ou un virus affaibli qui ne peut se répliquer que difficilement, ou des parties d'un virus, ou d'autres éléments similaires. Une fois à l'intérieur du corps, le système immunitaire repère cette entité étrangère et y réagit en créant une réponse qui, avec un peu de chance, sera mémorisée pour des années. Lors de l'apparition suivante du virus dangereux, le corps utilisera la mémoire immunitaire d'une substance très similaire à même d'éliminer le virus — ou la bactérie — et de le faire suffisamment rapidement pour lui ôter toute possibilité de provoquer des dommages.

    Nous disposons à présent d'une chose appelée vaccin à ARN messager (ARNm). L'ARN est, en fait, un simple brin d'ADN — la double hélice qui se trouve à l'intérieur de nos cellules et qui constitue notre code génétique. De nombreux virus sont constitués d'un seul brin d'ARN, entouré d'une sphère protéique. Ils entrent dans la cellule, prennent le contrôle des systèmes de réplication, font des milliers de copies d'eux-mêmes, puis sortent de la cellule. Parfois ils tuent la cellule au fur et à mesure, parfois ils en sortent plus doucement. Le Sras-Cov2 du Covid-19 est un virus à ARN.

    Plutôt que d'essayer de créer un virus affaibli, ce qui peut prendre des années, ou de briser le virus en morceaux, les chercheurs ont en toute connaissance de ce qui précède décidé d'utiliser l'ARN du Sras-Cov2 contre lui-même. Pour ce faire, ils ont isolé la section de l'ARN qui code pour la protéine « Spike » — la « clé » utilisée par le virus pour entrer dans les cellules...

    Ces protéines « Spike » quittent ensuite la cellule — d'une manière ou d'une autre, ce point n'est pas clair. Le système immunitaire les rencontre, les reconnaît comme entités étrangères et lance l'offensive. Ce faisant, des anticorps sont créés et la mémoire du système de immunitaire entre en action. Si, plus tard, un virus de type Sras-Cov2 pénètre dans l'organisme, le système immunitaire s'active et lance l'offensive contre la protéine « Spike » qu'il a mémorisée. Avec un peu de chance, il tuera le virus dans sa totalité. »

    RépondreSupprimer
  16. Tout cela est très compliqué et avant-gardiste, mais ce qui est clair, c'est que l'« ARN messager » et la « protéine Spike » sont très éloignés du traditionnel virus mort [ou « inactivé » - NdT] utilisé depuis des décennies.
    Note du traducteur : Pour plus de détails sur l'usage du mot « vaccin » comme outil marketing, voir nos Focus :
    Fraude ou médecine ? Ces concoctions bizarres et profondément dangereuses que l'on appelle encore « vaccins
    Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l'humanité ?

    Et sur le fonctionnement du système immunitaire et la vraie nature des virus, voir nos Focus :
    Pourquoi tout le monde semble-t-il avoir oublié comment fonctionne le système immunitaire ? Le « terrain », les nutriments essentiels, le Covid-19 et les vaccins

    Les preuves irréfutables de l'origine humaine du Sras-Cov-2

    Pasteur versus Béchamp - La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans

    Il est difficile de comprendre pourquoi les compagnies pharmaceutiques ont décidé de réinventer la roue en essayant de trouver un antidote au Covid. Comme l'ont souligné dans leur lettre les chercheurs de la Medical Freedom Alliance, cette nouvelle technologie de pointe présente néanmoins des inconvénients. Voici ce qu'ils en ont dit dans leur Lettre ouverte de : UK Medical Freedom Alliance à : Le Comité mixte sur la vaccination et l'immunisation... pour le Covid-19 au Royaume-Uni :

    « Plusieurs vaccins anti-Covid impliquent l'utilisation d'une technologie totalement nouvelle — la vaccination par ARNm — dont l'utilisation à grande échelle chez des sujets humains sains est sans précédent et dont les effets à long terme sont inconnus. L'ARNm exogène est intrinsèquement immunostimulateur, et cette caractéristique de l'ARNm pourrait être bénéfique ou nuisible. En outre, une étude a mis en évidence des preuves de mimétisme moléculaire...

    RépondreSupprimer
  17. Note du traducteur : L'auteur inclut à nouveau un des paragraphes déjà présents plus haut :
    « Les vaccins à base de vecteurs viraux et les vaccins génétiquement modifiés pourraient subir une recombinaison ou une hybridation avec des résultats imprévisibles... Les tentatives précédentes de développer des vaccins contre les coronavirus et d'autres vaccins, par exemple le VRS [virus respiratoire syncytial - NdT] et la dengue, ont été entravées par le problème de « l'immunité renforcée liée aux anticorps », qui a conduit à des maladies graves et à des décès chez les animaux et les sujets humains participant aux essais[28]. Ce phénomène n'apparaît qu'après la vaccination, lorsque le sujet est exposé au virus naturel à un moment donné dans le futur. Il est inquiétant de constater que les essais du vaccin anti-Covid n'ont pas été menés de manière à exclure la possibilité que cette grave séquelle se produise des mois ou des années après la vaccination... »
    Le fait est que les effets de l'injection d'une concoction hybride dans le corps d'une personne peuvent être très graves. Nous ne savons tout simplement pas quels seront les effets à long terme, et nous ne le saurons probablement pas parce que le vaccin va être rapidement distribué avant que ces essais puissent être effectués. S'il s'agit de lutter contre le virus ce n'est pas une stratégie judicieuse. Elle est inutilement risquée, voire mortelle. Voici un extrait issu d'un article intitulé « Les vaccins anti-Covid-19 à ARNm pourraient-ils être à long terme dangereux ? » paru dans le Jerusalem Post, dans lequel Tal Brosh, chef de l'unité des maladies infectieuses à l'hôpital Samson Assuta Ashdo, déclare :

    « Une course à la vaccination du public est en cours, nous sommes donc prêts à prendre plus de risques. Nous ne disposerons d'un profil connu d'innocuité que pour un certain nombre de mois, donc si un effet à long terme existe après deux ans, nous ne pouvons pas le savoir. Nous pourrions attendre deux ans pour les découvrir, mais alors nous aurions à faire face au coronavirus pour deux années supplémentaires. »

    L'article précise que
    Brosh a reconnu qu'il existe des risques uniques et inconnus pour les vaccins à ARN messager, notamment des réactions inflammatoires locales et systémiques qui pourraient conduire à des maladies auto-immunes... Un article publié par le National Center for Biotechnology Information, une division des National Institutes of Health, a déclaré que les autres risques comprennent la biodistribution et la persistance de l'expression immunogène induite ; le développement possible d'anticorps auto-réactifs ; et les effets toxiques de tout nucléotide non natif et des composants du dispositif d'administration...

    Michal Linial, professeur de chimie biologique à l'université hébraïque de Jérusalem, a exprimé des sentiments similaires :

    « Les vaccins classiques ont été conçus pour être développés en 10 ans. Je ne pense pas que le monde puisse attendre un vaccin classique. »
    [...] Mais lorsqu'on lui a demandé si elle accepterait de prendre le vaccin tout de suite, elle a répondu :
    « Je ne le prendrai pas immédiatement — probablement pas avant au moins l'année prochaine. Nous devons attendre et voir si cela fonctionne vraiment. »
    Super ! Donc le « professeur de chimie biologique » ne se fera pas injecter le vaccin, mais les gens ordinaires comme vous et moi devrions le faire ?

    RépondreSupprimer
  18. Un peu de sérieux. La réticence du professeur Linial est un aveu tacite que le vaccin n'est pas sans danger. Qu'est-ce que cela pourrait signifier d'autre ? Voici d'autres informations tirées du même article :

    « Pour obtenir l'approbation de la FDA, les fabricants devront prouver que l'injection de ces vaccins n'a pas d'effets négatifs sur la santé, immédiats ou à court terme. Mais lorsque le monde commencera à recevoir ces vaccins totalement nouveaux et révolutionnaires, il ne saura pratiquement rien de leurs effets à long terme. »
    Eh bien, c'est tout simplement génial. Nous savons que les vaccins n'empêcheront pas l'infection, l'hospitalisation ou la mort. Nous savons également qu'ils sont « complètement différents de tout ce qui a été fait auparavant ». Nous savons aussi qu'ils n'arrêteront pas la transmission et que leur innocuité à long terme est très douteuse. Malgré cela, nos dirigeants — qui nous mentent sur pratiquement tout — nous veulent au garde-à-vous et soumis à une injection vaccinale qu'on la veuille ou pas.

    À mon avis, les risques de la vaccination dépassent de loin les avantages. Je préfère faire confiance à mon propre système auto-immunitaire — et aux nouveaux traitements, médicaments et thérapies — plutôt que d'être le cobaye de la sinistre expérience de laboratoire [« grandeur nature » - NdT] de Big Pharma.

    « Merci, mais non merci. »

    Source de l'article initialement publié en anglais le 28 novembre 2020 : The Unz Review
    Traduction : Sott.net

    * * * * *

    RépondreSupprimer
  19. Alors, à quoi ce vaccin sert-il ?
    Quelques articles pour un début de réponse :

    L'arbre qui cache la forêt : « pandémie » du Covid-19 et « Agenda ID2020 »
    Covid-19, déconfinement, ID2020, OMS, MIT - Bill Gates recommande un vaccin avec implant RFID ou Tatouage à points quantiques
    Dépeuplement, ID2020 et preuve d'immunité numérique - La doctrine agressive de la Fondation Gates pour une vaccination massive
    Covid-19 - La catastrophe humanitaire provoquée par le Plan diabolique de « confinement » mondial voulu par Bill Gates, Rockefeller et autres psychopathes
    Le Covid-19 sert de prétexte pour établir une surveillance de masse et un traçage numérique de tous impossibles sans la 5G
    Covid-19 — Le fer de lance pour la mise en place d'une « nouvelle ère » de VACCINS à haut risque, génétiquement MODIFIÉS
    Le projet diabolique du Forum économique mondial : « Réinitialiser le futur du monde du travail »
    La « Grande Réinitialisation » du Forum économique mondial bénéficie à l'industrie alimentaire et prépare l'enfer pour les populations
    Covid-21 — Cette feuille de route correspond-elle vraiment au plan canadien du NOM pour 2021 ? À vous de décider...
    Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore
    Bill Gates continue de pousser les « passeports d'immunité » et l'État de surveillance technologique pour lutter contre le COVID
    5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom
    Robert F Kennedy Jr : Les vaccins sont pour Bill Gates une « philanthropie stratégique » afin d'obtenir un contrôle dictatorial sur la politique de santé mondiale

    Par ailleurs, la FDA a émis dans sa Présentation de la réunion de la commission du 22 octobre 2020, un avis sur les vaccins et produits biologiques connexes, ***Sous réserve de modifications***. Pour ce qui concerne la surveillance de l'innocuité des vaccins Covid-19, le rapport de la FDA liste — dans une ébauche — la survenue possible d'effets indésirables, dont la mort ; cette liste se trouve à la page 16 dudit rapport :

    Syndrome de Guillain-Barré ;
    Encéphalomyélite aiguë disséminée ;
    Myélite transverse ;
    Encéphalite / Myélite / Encéphalomyélite / Méningo-encéphalite / Méningite / Encéphalopathie ;
    Convulsions / Crises ;
    AVC ;
    Narcolepsie et cataplexie ;
    Anaphylaxie ;
    Infarctus aigu du myocarde ;
    Myocardite / Péricardite ;
    Maladie auto-immune ;
    Décès ;
    Fausse couche ;
    Autres maladies démyélinisantes aiguës ;
    Réactions allergiques non anaphylactiques ;
    Thrombocytopénie ;
    Coagulation intra-vasculaire disséminée ;
    Thrombo-embolie veineuse ;
    Arthrite et arthralgie / Douleurs articulaires ;
    Maladie de Kawasaki ;
    Syndrome inflammatoire multi-systémique chez les enfants ;
    Maladie renforcée par le vaccin.

    RépondreSupprimer
  20. Lise effets vaccins Covid

    - voir liste sur site -

    Voir aussi la mise en garde du Professeur Perronne :
    « Le pire est que les premiers « vaccins » qu'on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d'éléments du virus par nos propres cellules. On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c'est une première chez l'homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d'éléments viraux, entraînant des réactions incontrôlables dans notre corps ? Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l'ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l'ADN vers l'ARN, mais l'inverse est possible dans certaines circonstances, d'autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l'ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l'envers, de l'ARN vers l'ADN.

    Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l'ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s'intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.

    https://fr.sott.net/article/36373-Si-le-vaccin-anti-Covid-n-empeche-pas-l-infection-l-hospitalisation-ou-la-mort-a-quoi-sert-il

    RépondreSupprimer
  21. Un médicament éprouvé qui sauve maintenant des milliers de vies devrait être approuvé pour prévenir / guérir Covid-19 au lieu de vaccins non prouvés


    Par Bill Sardi
    10 décembre 2020


    Chest Doctor Lambasts Health Agencies pour avoir ignoré un médicament réutilisé qui offre une protection presque complète contre le COVID-19 et remplacerait le besoin de tous les vaccins

    S'exprimant à l'aube de l'homologation par la FDA des vaccins COVID-19 et de l'immunisation forcée de l'ensemble de la population américaine, le docteur Pierre Kory MD, s'exprimant devant le Congrès américain, supplie avec passion les National Institutes of Health de cesser de vanter des médicaments et des vaccins coûteux analyser des données convaincantes produites par l'ivermectine, un médicament antiparasitaire de longue date, sûr et récompensé par le prix Nobel, qui sauve des vies de manière convaincante et empêche complètement les travailleurs de la santé de présenter les symptômes du COVID-19.

    Selon les données tabulées par la Front Line Covid-19 Critical Care Alliance, l'utilisation de l'ivermectine éliminerait le besoin d'immuniser 325 millions d'Américains avec des vaccins non éprouvés qui ne sont testés que pour voir s'ils apaisent les symptômes, pas pour sauver des vies.

    Avec moins de 1 Américain sur 10000 sans conditions comorbides accompagnant les symptômes associés au COVID-19 et mourant, un vaccin totalement sûr et efficace devrait être administré à 9 999 personnes pour épargner 1 vie. Un vaccin efficace à 100% serait efficace à moins de 1%.

    Traiter efficacement ~ 9000 patients ICU COVID-19, le recensement actuel des soins intensifs, avec un médicament hautement efficace serait plus ciblé, économique et pratique.

    Took Kory a pris ombrage des critiques selon lesquelles il vante l'ivermectine pour des raisons politiques.

    Le Dr Kory a déclaré: «Il est gravement troublé par le fait que la FDA, le CDC et le NIH vantent des médicaments nouveaux et / ou coûteux issus du génie pharmaceutique.»

    Kory a déclaré qu'il existe un «médicament à effet miraculeux. Il efface fondamentalement la transmission de ce virus. Si vous le prenez, vous ne tomberez pas malade. L'ivermectine n'est pas seulement une prophylaxie - elle a été utilisée chez 800 travailleurs de la santé, pas un n'est tombé malade; parmi les 400 qui n’ont pas reçu d’ivermectine, 237 (58 %) sont tombés malades. »

    Le Dr Kory a poursuivi en disant que l'ivermectine a une immense activité antivirale. «Si vous prenez de l'ivermectine à l'hôpital, vous ne mourrez pas ou n'éliminerez presque pas votre risque de mourir. Il est essentiel pour une utilisation dans cette maladie. »

    RépondreSupprimer
  22. «Toute nouvelle mort sera une mort inutile !» dit-il au Congrès.

    Dans un article historique, la Front Line Covid-19 Critical Care Alliance a publié des preuves de l’efficacité de l’ivermectine. D'autres preuves sont également disponibles pour analyse.

    Une déclaration publiée par la Front Line COVID-19 Critical Care Alliance est également disponible pour examen. Ou écoutez le Dr Kory plaider auprès du Congrès pour un examen des NIH.

    https://www.lewrockwell.com/2020/12/no_author/proven-drug-that-is-now-saving-thousands-of-lives-should-be-approved-to-prevent-cure-covid-19-instead-of-unproven-vaccines/

    RépondreSupprimer
  23. Le plus grand canular jamais perpétué sur un public sans méfiance


    Par Joseph Mercola
    Mercola.com
    10 décembre 2020


    Selon le Dr Roger Hodkinson, l’un des meilleurs pathologistes du Canada et un expert en virologie, la pandémie du COVID-19 est le «plus grand canular jamais commis sur un public sans méfiance». Hodkinson a fait ces déclarations brutales lors d'une conférence zoom avec un comité des services communautaires et publics de l'Alberta (voir la vidéo ci-dessus).

    Hodkinson est le PDG de Western Medical Assessments, une société de biotechnologie qui fabrique des tests de PCR COVID-19, donc «Je pourrais en savoir un peu plus sur tout cela», a-t-il déclaré, ajoutant que toute la situation représente «la politique jouant à la médecine», ce qui est «Un jeu très dangereux.» 1

    Il a souligné que les tests PCR ne peuvent tout simplement pas diagnostiquer une infection et que les tests de masse devraient donc cesser immédiatement. Il a également souligné que la distanciation sociale est inutile car le virus «se propage par des aérosols qui parcourent environ 30 mètres». En ce qui concerne les masques faciaux, Hodkinson a déclaré que:

    «Les masques sont totalement inutiles. Il n'y a aucune base de preuve pour leur efficacité. Les masques en papier et les masques en tissu sont simplement une signalisation de vertu. Ils ne sont même pas portés efficacement la plupart du temps.

    C’est complètement ridicule. Voir ces gens malheureux et sans instruction - je ne dis pas cela dans un sens péjoratif - voir ces gens se promener comme des lemmings obéir sans aucune base de connaissances pour mettre le masque sur leur visage… Rien ne pouvait être fait pour arrêter la propagation du virus d'ailleurs protéger les personnes âgées plus vulnérables. »

    Un ancien officier scientifique de Pfizer affirme que le COVID-19 est une arnaque

    - voir clip sur site -

    RépondreSupprimer
  24. Hodkinson est loin d'être le seul dans ses affirmations. Par exemple, Michael Yeadon, Ph.D., ancien vice-président et conseiller scientifique en chef de la société pharmaceutique Pfizer et fondateur et PDG de la société de biotechnologie Ziarco, a expliqué comment des tests PCR frauduleux sont utilisés pour fabriquer l'apparence. d'une pandémie qui n'existe pas vraiment.

    Comme je l'ai expliqué dans «La« casédémie asymptomatique »est une perpétuation de la peur inutile», en utilisant des tests PCR, qui ne peuvent pas diagnostiquer une infection active, un faux récit a été créé.

    J’appelle les statistiques, et même l’affirmation selon laquelle il y a une pandémie en cours, comme fausse. ~ Michael Yeadon, Ph.D.
    Actuellement, des «cas» en hausse, c'est-à-dire des tests positifs, sont à nouveau utilisés pour justifier l'imposition de restrictions plus sévères, y compris des verrouillages et le port obligatoire du masque, alors qu'en fait les tests positifs n'ont rien à voir avec la propagation réelle de la maladie, et rien à voir avec le risque de mort.

    Comme plusieurs autres scientifiques, médecins et chercheurs, Yeadon a souligné qu'il n'y avait pas de décès excessifs dus au COVID-19.2,3,4.Selon Yeadon, qui a analysé les statistiques, environ 1700 personnes meurent chaque jour au Royaume-Uni. an. Beaucoup de ces décès sont désormais faussement attribués au COVID-19.

    «J'appelle les statistiques, et même l'affirmation selon laquelle une pandémie est en cours, comme fausse», a-t-il déclaré dans une récente interview avec la journaliste britannique Anna Brees (voir la vidéo ci-dessus). Il met au défi quiconque ne le croit pas de rechercher une base de données sur la mortalité totale. Si vous faites cela, vous constaterez que le décompte quotidien des décès est «absolument normal», a déclaré Yeadon.

    Comme Hodkinson, Yeadon est préoccupé par le fait que les lois de l'immunologie sont complètement ignorées - apparemment pour correspondre à un agenda caché.

    Alors que Yeadon n'est pas disposé à deviner ce qui pourrait être derrière la création de ces faux récits, ou pourquoi la vérité scientifique est censurée, d'autres ont lié des preuves indiquant que la pandémie est utilisée comme excuse pour la redistribution de la richesse et la prise de contrôle technocratique de le monde entier sous la bannière d'une «grande réinitialisation».

    Il est utilisé pour inaugurer des changements sociaux et économiques qui ne pourraient tout simplement jamais être introduits sans une sorte de calamité, que ce soit une guerre ou une menace biologique, car ils impliquent une limitation radicale des libertés personnelles, y compris la liberté médicale et financière, et l'élimination des intimité et propriété privée. En bref, aucune personne sensée n'accepterait les changements à venir, c'est pourquoi la peur est utilisée comme un outil pour forcer la conformité.

    Comme indiqué dans le Journal of Law and the Biosciences paper5 «COVID-19 Emergency Measures and the Imending Autoritarian Pandemic», rédigé par Stephen Thompson et Eric C. Ip, tous deux de l'Université de Hong Kong:

    RépondreSupprimer
  25. «Cet article démontre - avec divers exemples tirés du monde entier - qu'il y a des régressions incontestables vers l'autoritarisme dans les efforts gouvernementaux pour contenir le virus.

    Malgré la nature sans précédent de ce défi, il n’existe aucune justification valable pour une érosion systémique des idéaux et des institutions démocratiques protecteurs des droits au-delà de ce qui est strictement exigé par les exigences de la pandémie…

    Avec un péage gratuit infligé à la démocratie, aux libertés civiles, aux libertés fondamentales, à l'éthique des soins de santé et à la dignité humaine, cela a le potentiel de déclencher des crises humanitaires non moins dévastatrices que le COVID-19 à long terme.

    Des avocats allemands se préparent pour dénoncer le canular

    - voir clip sur site -

    Parmi les autres personnes qui ont identifié la pandémie COVID-19 comme un canular mondial aux proportions sans précédent, on peut citer un groupe d'avocats allemands qui ont fondé la commission d'enquête extraparlementaire allemande Corona.6,7 Ils préparent actuellement le plus grand recours collectif de l'histoire, 8 , 9,10,11 dans lequel ils cherchent à prouver que des tests PCR frauduleux sont mal utilisés pour créer l'apparence d'une pandémie dangereuse.

    «Cette crise corona, selon tout ce que nous savons aujourd'hui, doit être rebaptisée scandale corona; et ceux qui en sont responsables doivent faire l’objet de poursuites pénales et de dommages-intérêts civils », a déclaré Reiner Fuellmich lors d’une annonce vidéo de l’affaire délictuelle du comité (voir la vidéo ci-dessus).

    Les principales questions auxquelles le comité cherche à répondre par des moyens judiciaires comprennent:

    Y a-t-il une pandémie de COVID-19 ou y a-t-il seulement une pandémie de test de réaction en chaîne par polymérase (PCR)? - Plus précisément, un résultat de test PCR positif signifie-t-il que l'individu est infecté par le SRAS-CoV-2 et a COVID-19, ou cela ne signifie-t-il absolument rien en relation avec l'infection COVID-19?
    Les mesures de réponse à une pandémie telles que les verrouillages, les mandats de masques, la distanciation sociale et les réglementations de quarantaine servent-elles à protéger la population mondiale du COVID-19, ou ces mesures ne servent-elles qu'à faire paniquer les gens et donc à se conformer aux décrets érodant la liberté?
    L’équipe de Fuellmich souligne également que le SRAS-CoV-2 - qui est présenté comme l’une des menaces à la vie les plus graves de l’histoire moderne - «n’a causé aucune surmortalité nulle part dans le monde». Les mesures pandémiques, d'un autre côté, ont «causé la perte d'innombrables vies humaines et détruit l'existence économique d'innombrables entreprises et individus dans le monde», a noté Fuellmich dans son annonce.

    Comme je l’ai discuté dans l’article d’hier, «Les vaccins d’urgence contre le COVID-19 peuvent causer des effets secondaires massifs», l’histoire moderne est remplie de pannes de pandémie, dont aucune n’a eu lieu et n’a été à la hauteur du nombre de morts projeté. Les technocrates en charge ont eu beaucoup de pratique, et COVID-19 semble être le joyau de leur arsenal de guerre pandémique.

    RépondreSupprimer
  26. Tout était en place cette fois. Les médias grand public, Big Tech, les principaux dirigeants gouvernementaux, les organisations non gouvernementales et leurs «experts» de la santé choisis - ont tous travaillé en tandem pour produire une peur déraisonnable et illogique. Ensemble, ils ont efficacement promu les mensonges tout en censurant la vérité. Le résultat final est dévastateur pour la démocratie, la liberté et la santé publique.

    D'autres parlent du canular COVID

    Un professionnel de la santé qui parle maintenant ouvertement de la pandémie de COVID-19 étant une prise de pouvoir effrontée par l'élite technocratique est le Dr Lee Merritt, un chirurgien orthopédique de la colonne vertébrale avec un cabinet médical à Logan, Iowa.12

    Le 16 août 2020, elle a prononcé un discours lors de la convention Doctors for Disaster Preparedness13 à Las Vegas, Nevada, présenté dans «How Medical Technocracy Made the Plandemic Possible», dans lequel elle disséquait les nombreux mensonges effrayants dont nous avons été informés. cette pandémie.

    Lorsque vous examinez les données et statistiques disponibles et que vous les comparez à ce que nous disent les représentants du gouvernement et les médias, il devient évident qu’il y a un fossé entre les deux. Les données nous disent que le SRAS-CoV-2 n’est pas la menace existentielle pour laquelle il a été établi que si, clairement, ils veulent que nous ayons peur pour une autre raison.

    Merritt suggère que c’est parce qu’un public craintif ne se battra pas lorsque ses droits humains seront supprimés. En effet, beaucoup de ceux qui ont peur renonceront volontiers à toutes les libertés. Comme l'a noté le juge de la Cour suprême britannique Lord Sumption dans un entretien du 30 mars 2020 avec The Post: 14

    «Le vrai problème est que lorsque les sociétés humaines perdent leur liberté, ce n’est généralement pas parce que les tyrans l’ont enlevée. C’est généralement parce que les gens renoncent volontairement à leur liberté en échange d’une protection contre une menace extérieure. Et la menace est généralement une menace réelle mais généralement exagérée.

    C’est ce que je crains que nous voyions maintenant. La pression sur les politiciens est venue du public. Ils veulent de l'action. Ils ne s'arrêtent pas pour demander si l'action fonctionnera. Ils ne se demandent pas si le coût vaudra la peine d'être payé ...

    Quiconque a étudié l'histoire reconnaîtra ici les symptômes classiques de l'hystérie collective. L'hystérie est contagieuse. Nous travaillons à une mousse dans laquelle nous exagérons la menace et cessons de nous demander si le remède peut être pire que la maladie.

    L'objectif final est le contrôle total

    RépondreSupprimer
  27. - voir clip sur site -

    Vladimir Kvachkov, un ancien colonel du renseignement militaire russe, serait probablement d’accord avec l’évaluation selon laquelle les propos alarmistes ont un autre but que de nous protéger d’un virus respiratoire. Dans la vidéo ci-dessus, Kvachkov se réfère au COVID-19 comme une fausse pandémie, planifiée et mise en œuvre dans le but de prendre le contrôle totalitaire de la population mondiale.

    «Tout cela est un mensonge et doit être considéré comme une opération spéciale mondiale et stratégique», dit Kvachkov. «Il s’agit d’exercices de commandement et d’état-major des pouvoirs du monde en coulisse sur le contrôle de l’humanité.»

    En le comparant à un exercice militaire, Kvachkov dit que l’objectif ultime est de réduire la population mondiale à 1 milliard de personnes «ordinaires» et à seulement 100 millions de personnes aux commandes - les gens ordinaires étant là pour servir les 100 millions.

    En bref, dit-il, le coronavirus «créé artificiellement» et «propagé à dessein» a quatre dimensions. Le premier est la religion et la réduction de la population; le second est d'établir un contrôle politique sur l'humanité; le troisième est de dégonfler l'économie mondiale; et le quatrième est d'éliminer la concurrence géo-économique.

    Il est important de se rappeler que l’Organisation mondiale de la santé, le Forum économique mondial et l’Organisation des Nations Unies sont tous des sociétés privées, mais qu’ils exercent un pouvoir énorme sur les gouvernements du monde et agissent au-dessus des lois d’une nation donnée.

    La Big Tech joue également un rôle énorme dans cette usurpation du pouvoir. La prise de pouvoir ne pourrait probablement pas réussir sans eux, car la plus grande menace pour les dirigeants totalitaires potentiels est un public informé et éduqué. En se regroupant pour censurer certaines informations et certains segments de la population mondiale, Big Tech contribue à saper les fondements de la démocratie dans le monde.

    Que pouvez-vous faire ?

    De plus en plus de gens dans le monde commencent à se rendre compte que les restrictions mises en place sous prétexte de protéger la santé publique sont là pour durer. Ils font partie d’un plan à long terme beaucoup plus vaste, et l’objectif final est d’introduire un nouveau mode de vie, dépourvu de nos anciennes libertés. Cela signifie que, finalement, chacun doit décider ce qui est le plus important: la liberté personnelle ou la fausse sécurité ?

    RépondreSupprimer
  28. Pour faire dérailler le plan des technocrates, nous devons utiliser pleinement le système judiciaire, c'est pourquoi Fuellmich et son équipe poursuivent pour dénoncer la fraude, mettre fin aux restrictions pandémiques et restaurer nos droits humains. Des recours collectifs sont actuellement en préparation aux États-Unis et au Canada.

    Des poursuites sont également en cours de préparation en Allemagne, et la commission d'enquête extraparlementaire Corona travaille à la création de directives juridiques et de caches de données que les avocats du monde entier pourront utiliser pour déposer leurs propres contestations judiciaires. Fuellmich peut être contacté via www.fuellmich.com et le comité d'enquête Corona via corona-ausschuss.de.

    En terminant, voici une liste récapitulative de suggestions compilées par Fuellmich, Yeadon et d'autres sur la façon dont vous pouvez résister et faire partie de la solution:

    • Éteignez les nouvelles des médias grand public et faites appel à des experts indépendants - Faites la recherche. Lisez la science. Le bulletin d'information The Defender de Robert F. Kennedy Jr. est une source fiable d'informations «interdites». Parmi les autres sources figurent les médecins américains de première ligne et les médecins pour la vérité (Medicos por la verdad - un groupe de plus de 600 médecins en Espagne).

    • Continuez à contrer la censure en posant des questions - Plus vous posez de questions, plus vous trouverez de réponses. Armez-vous des statistiques de mortalité et des faits sur les tests PCR, afin que vous puissiez expliquer comment et pourquoi cette pandémie n'est tout simplement plus une pandémie.

    • Si vous êtes un professionnel de la santé, surtout si vous êtes membre d’une société professionnelle, écrivez une lettre ouverte à votre gouvernement, en les exhortant à parler et à tenir compte des recommandations d’experts indépendants.

    • Signez la Déclaration de Great Barrington15, qui appelle à la fin des verrouillages.

    • Rejoignez un groupe pour avoir du soutien. Voici des exemples de groupes formés pour lutter contre la portée excessive du gouvernement:

    ◦Us for Them, un groupe qui fait campagne pour la réouverture des écoles et la protection des droits des enfants au Royaume-Uni.

    ◦Le COVID Recovery Group (CRG), fondé par 50 députés britanniques conservateurs pour lutter contre les restrictions de verrouillage16

    ◦ The Freedom to Breathe Agency, une équipe américaine d'avocats, de médecins, de chefs d'entreprise et de parents qui se battent pour protéger la liberté et la liberté

    RépondreSupprimer
  29. Sources and References

    1 Summit News November 18, 2020
    2 YouTube, SARS-CoV-2 and the rise of medical technocracy, Lee Merritt, MD, aprox 8 minutes in (Lie No. 1: Death Risk)
    3 Technical Report June 2020 DOI: 10.13140/RG.2.24350.77125
    4 Johns Hopkins Newsletter November 26, 2020 (Archived)
    5 Journal of Law and the Biosciences September 29, 2020; Isaa064
    6 Acu2020.org Corona Extra-Parliamentary Inquiry Committee, English
    7 Algora October 4, 2020
    8 Orwell1984366490226.wordpress.com October 5, 2020
    9 Age of Autism Reiner Fuellmich Crimes Against Humanity Transcript
    10 Internationalfreepress.com October 6, 2020
    11 Nexus Newsfeed Reiner Fuellmich Crimes Against Humanity Transcript
    12 Burgess Health Center, Lee Merritt, MD
    13 Doctors for Disaster Preparedness
    14 Unherd The Post March 30, 2020
    15 Great Barrington Declaration
    16 City AM November 11, 2020

    https://www.lewrockwell.com/2020/12/joseph-mercola/the-greatest-hoax-ever-perpetuated-on-an-unsuspecting-public/

    RépondreSupprimer
  30. PDG d'AirAsia: Les nations asiatiques "ne laisseront personne entrer sans vaccination"


    par Tyler Durden
    Jeu, 12/10/2020 - 09:05
    Rédigé par Steve Watson via Summit News,


    Pourtant, un autre patron de la compagnie aérienne a déclaré qu'il était pleinement attendu que la vaccination contre le coronavirus devienne obligatoire pour voyager.

    Le PDG d'AirAsia, Tony Fernandes, a déclaré mercredi lors d'une conférence sur l'aviation que les pays asiatiques pourraient bientôt exiger que quiconque franchissant leurs frontières reçoive un coup de Covid-19.

    "Je prévois qu'en Asie, de toute façon, je pense qu'ils ne laisseront personne entrer sans vaccination", a déclaré Fernandes lors de l'événement du CAPA Center for Aviation.

    «Ce n’est pas aux compagnies aériennes de décider», a-t-il ajouté, expliquant que «c’est aux gouvernements de décider. Ce sera le pays qui décidera s’il autorisera les gens à entrer s’ils ne sont pas vaccinés. »

    Les commentaires de Fernandes font écho à ceux de Todd Handcock, président Asie-Pacifique du groupe Collinson, propriétaire des salons d'aéroport Priority Pass.

    Handcock a récemment déclaré: «Nous pensons que des vaccins seront nécessaires pour entrer dans de nombreux pays à l'avenir. Et pendant un certain temps, des exigences parallèles de (être) vaccinés ou de tests négatifs avant vol. »

    Air Asia a déjà mis en place un «laissez-passer santé» numérique appelé Scan2Fly, qui est utilisé sur les liaisons de Kuala Lumpur à Singapour, Surabaya et Jakarta.

    L'application, dont l'utilisation est volontaire à ce stade, permet aux passagers de télécharger des certificats médicaux lors de l'enregistrement en ligne. L'application détaille également la documentation d'entrée requise par le pays de destination, y compris les données relatives à Covid-19.

    - voir sur site -

    Capture d'écran: l'application Scan2Fly d'Air Asia

    La compagnie aérienne s'attend à ce que la technologie soit éventuellement déployée sur d'autres destinations d'Air Asia.

    Les développements surviennent après que plusieurs autres chefs de compagnies aériennes et responsables des transports ont déclaré que de prétendus «passeports de vaccination» étaient à venir.

    Le président de l'agence de voyage Acendas, Brent Blake, a déclaré à Fox 4 News qu'il pensait que les documents d'immunité seraient introduits, obligeant quiconque souhaite monter à bord d'un avion à se faire vacciner.

    Lance Gokongwei, président et chef de la direction de Cebu Pacific, la plus grande compagnie aérienne à petit budget des Philippines, a récemment déclaré: «Je pense que nous devons travailler sur un seul passeport COVID mondial afin que chaque pays respecte le passeport.»

    RépondreSupprimer
  31. «Cela doit être la priorité numéro un: mettre les vaccins entre les mains du plus grand nombre possible de la population mondiale, puis les connecter à un passeport COVID», a-t-il ajouté.

    Korean Air a également déclaré qu'il existe une «réelle possibilité» que les compagnies aériennes obligent les passagers à prendre un vaccin COVID-19 avant d'être autorisés à voyager.

    Le PDG de Qantas Airlines a également annoncé en novembre que le vaccin COVID-19 sera obligatoire pour toute personne embarquant sur ses vols et que cela deviendra la norme pour tous les voyages internationaux.

    Les tests des passeports ont déjà commencé dans les aéroports du monde entier.

    En outre, le plus grand groupe de pression du transport aérien au monde développe une application mondiale de «pass de voyage COVID» conçue pour relier le statut de vaccination et les résultats des tests de coronavirus aux documents de voyage d'une personne.

    Un autre système de type «passeport COVID» connu sous le nom de CommonPass, parrainé par le Forum économique mondial, est en cours de développement.

    Une autre application de «passeport COVID» appelée AOKpass de la société de sécurité de voyage International SOS est actuellement en cours d'essai entre Abu Dhabi et le Pakistan.

    Des centaines d'entreprises technologiques se démènent pour développer ces systèmes de passeport COVID.

    Quiconque qualifie encore cela de «théorie du complot» est soit volontairement ignorant, soit simplement mal informé.

    https://www.zerohedge.com/political/airasia-ceo-asian-nations-wont-let-anyone-without-vaccination

    RépondreSupprimer
  32. Se préparer pour une année très douloureuse: 38 % des Américains disent qu'ils passeront 2021 en "mode survie"


    par Tyler Durden
    Mer, 12/09/2020 - 17:45
    Rédigé par Michael Snyder via TheMostImportantNews.com,


    Si près de 40% de la nation entière prévoit de passer les 12 prochains mois en «mode survie», ce n'est pas un bon signe pour ce que l'année à venir apportera.

    Traditionnellement, les Américains attendaient avec impatience la fin de l'année avec un optimisme énorme, mais cette fois-ci, les choses sont très, très différentes. 2020 nous a apporté la pandémie de COVID, d'énormes violences et troubles civils dans nos grandes villes, et le plus grand ralentissement économique depuis la Grande Dépression des années 1930. Malheureusement, une grande partie du pays anticipe davantage de difficultés dans les mois à venir, car une enquête récente a révélé que 38% de tous les Américains prévoient de passer 2021 en «mode survie»…

    Sur les 3011 adultes interrogés, plus de 38 % ont déclaré qu'ils passeraient l'année en «mode survie», ce qui signifie qu'ils se concentreraient sur les objectifs quotidiens plutôt que sur les objectifs à long terme pour essayer de se réaliser eux-mêmes et leurs familles jusqu'en 2021.

    La principale raison pour laquelle tant de personnes anticipent être en «mode survie» est à cause des problèmes financiers qu'ils ont connus cette année. Selon cette même enquête, 68 % de tous les Américains disent avoir subi une sorte de «revers financier» en 2020…

    Bien que certains répondants aient maintenu leur revenu habituel au cours de la dernière année, 68 % ont connu des revers. Parmi ceux-ci, 23 % ont perdu un emploi ou un revenu du ménage; 20 % ont eu une urgence non sanitaire inattendue; 18 % ont dû fournir une aide financière imprévue à leur famille ou à leurs amis; et 16% ont eu une urgence sanitaire dans leur famille.

    Comme je n'arrête pas de le rappeler à mes lecteurs, les Américains ont déposé plus de 70 millions de nouvelles demandes de prestations de chômage cette année, mais même nombre de ceux qui ont pu conserver leur emploi ont connu des moments très difficiles.

    Une autre nouvelle enquête a révélé qu'environ un tiers de tous les travailleurs à temps plein aux États-Unis «ont subi une baisse de salaire» en 2020…

    Environ 1 travailleur à temps plein sur 3 a subi une réduction de salaire en raison de la pandémie de coronavirus cette année, selon une récente enquête MagnifyMoney auprès de 984 professionnels interrogés du 6 au 11 novembre.

    Si vous avez été employé pendant toute l'année 2020 et que vous êtes toujours en mesure de payer toutes vos factures à temps, vous devriez être très reconnaissant pour vos bénédictions, car vous êtes maintenant minoritaire.

    RépondreSupprimer
  33. Pour la plupart des Américains, les 12 derniers mois ont été extrêmement douloureux, et cette nouvelle série de verrouillages promet de prolonger les souffrances économiques jusqu'en 2021.

    Certaines industries qui ont été absolument dévastées par la première série de verrouillages sont officiellement en mode panique à ce stade. Par exemple, nous avons déjà définitivement perdu environ 17 % de tous les restaurants de tout le pays, et la National Restaurant Association prévient que 10 000 autres pourraient fermer définitivement «dans les trois prochaines semaines»…

    Environ 17 % des restaurants américains ont déjà fermé définitivement cette année, et des milliers d’autres sont au bord du gouffre selon un nouveau rapport.

    La National Restaurant Association plaide publiquement auprès du Congrès pour qu'il adopte de nouvelles mesures de relance pour aider l'industrie qui a été endommagée par la pandémie. Le groupe a déclaré lundi que 10.000 restaurants pourraient fermer dans les trois prochaines semaines, en plus des 110.000 qui ont déjà fermé en 2020.

    Même dans les meilleurs moments, gérer un restaurant avec succès est extrêmement difficile. Les marges sont minces comme des rasoirs, une nouvelle concurrence surgit toujours et les employés vont et viennent constamment.

    Lorsque vous ajoutez une pandémie mondiale en plus de tout cela, il est devenu presque impossible pour de nombreux restaurants de continuer, et on nous dit que l'avenir de l'industrie semble assez «sombre» ...

    87 % des restaurants à service complet (indépendants, chaînes et franchisés) rapportent une baisse moyenne de 36 % de leurs revenus de vente. Pour une industrie avec une marge bénéficiaire moyenne de 5 % à 6 %, c'est tout simplement insoutenable. 83 % des opérateurs de services complets s'attendent à ce que les ventes soient encore plus mauvaises au cours des trois prochains mois.

    Bien que les ventes soient nettement inférieures pour la plupart des propriétaires indépendants et franchisés, leurs coûts n'ont pas baissé proportionnellement. 59 % des opérateurs déclarent que leurs coûts totaux de main-d'œuvre (en pourcentage des ventes) sont plus élevés qu'ils ne l'étaient avant la pandémie.

    L'avenir reste sombre. 58 % des chaînes et des exploitants de services complets indépendants s'attendent à des congés et à des mises à pied continus pendant au moins les trois prochains mois.

    Bien entendu, ce n’est pas seulement l’industrie de la restauration qui licencie en grand nombre.

    À peu près tous les jours, il y a de plus en plus d'annonces de mises à pied importantes dans les nouvelles, et de nombreux experts s'attendent à ce que les chiffres des pertes d'emplois s'accélèrent à mesure que nous passons à 2021.

    RépondreSupprimer
  34. Sans chèque de paie, des millions d'Américains au chômage sont incapables de payer les factures, et nous sommes avertis que nous pourrions être confrontés à un tsunami historique d'expulsions commençant juste après la période des fêtes ...

    Le lendemain de Noël, les allocations de chômage prolongées qui ont maintenu à flot 12 millions de personnes et leurs familles devraient expirer. Puis, quelques jours à peine après cette falaise, le jour du Nouvel An, une interdiction nationale des expulsions de locataires des Centers for Disease Control and Prevention est également appelée à expirer.

    Du jour au lendemain, une facture sans précédent de 70 milliards de dollars de loyer et de services publics impayés arrivera à échéance, selon les estimations de l'économiste en chef de Moody's Analytics, Mark Zandi. En tout, jusqu'à 40 millions de personnes pourraient être menacées d'expulsion au cours des prochains mois, selon une étude de l'Institut Aspen.

    Les politiciens insistent sur le fait qu'ils nous gardent en cage pour notre propre bien, mais la vérité est qu'ils détruisent absolument des millions et des millions de vies dans le processus.

    Il y a beaucoup de débats sur la question de savoir si les verrouillages ont contribué ou non à empêcher la propagation du virus, mais ce que nous savons, c'est que des milliers d'entreprises ont été définitivement détruites, des millions d'emplois ont été perdus, plus de personnes se suicident, et les Américains adoptent de plus en plus des comportements autodestructeurs…

    Dans l'ensemble, un Américain sur trois rapporte une consommation excessive d'alcool pendant la pandémie de coronavirus. La personne moyenne déclare également avoir passé environ quatre semaines en lock-out cette année; passer 21 heures par jour à la maison. Plus de sept personnes sur dix dans l'enquête n'ont même pas quitté leur domicile pour travailler.

    Si nous ne pouvons même pas gérer la pandémie de COVID, comment diable notre société va-t-elle pouvoir gérer ce qui s'en vient ?

    Alors que les choses continuent de se dérouler autour de nous, les gens vont avoir un grand besoin d'espoir.

    Des millions d'Américains sont déjà en «mode survie», et le chemin à parcourir ne sera certainement pas plus facile.

    https://www.zerohedge.com/markets/bracing-very-painful-year-38-americans-say-they-will-spend-2021-survival-mode

    RépondreSupprimer
  35. « Les vraies informations ne chassent pas les fausses» » selon le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel


    10 Décembre 2020
    par Seppi
    Glané sur la toile 618


    (Source)

    Avec « Le CSA pointe l'inquiétante propagation des "fake news" sur Twitter », les Échos ont produit un intéressant résumé d'une étude du Conseil Supérieur de l'Audiovisuel.

    Il en est de même pour le Figaro et son « Sur Twitter, "les vraies informations ne chassent pas les fausses", prévient le CSA »

    Résumé introductif de l'article des Échos :

    « Les fausses informations sont très partagées sur Twitter, et pas toujours corrigées. 20 % des abonnés à des comptes propageant des infox ne sont abonnés à aucun compte fiable. Ce sont les principales conclusions d'une étude du Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) sur les "fake news" sur Twitter. »

    Extrait :

    « Deuxième constat : presque 20 % des abonnés à des comptes non fiables - 20 % des quelque 413.000 donc - ne sont abonnés à aucun compte dit fiable. Autrement dit, un internaute sur cinq (suivant au moins un compte diffusant des infox) ne suit pas nécessairement un compte fiable de manière régulière, et donc ne bénéficie pas de données vérifiées sur le réseau social du moins (on peut toutefois supposer qu'ils lisent d'autres tweets, s'informent via les médias traditionnels etc.).

    "Nous anticipions plutôt que ce chiffre soit supérieur. Il ne met pas en évidence un phénomène de chambre d'écho ou d'enfermement massive. Il peut cependant suggérer une certaine défiance vis-à-vis des médias traditionnels", note Christophe Cousin, directeur des études, des affaires économiques et de la prospective du CSA. L'étude relève par ailleurs une forte corrélation entre les comptes complotistes et les comptes d'infox. »

    Les « médias traditionnels » ? On aimerait que le CSA fasse la police des « fake news » dans son domaine de compétence traditionnel, et notamment à ce que nous appellerons ici, au sens large, agribashing.

    Conclusion de la conclusion du rapport du CSA :

    « L’analyse des Tweets ayant témoigné de la viralité la plus importante dans le corpus étudié permet enfin de faire ressortir plusieurs traits intéressants. Les fausses informations sont majoritairement le support d’une critique adressée aux autorités ou expriment une forme de panique, par exemple sur des sujets sanitaires sensibles. Elles s’appuient sur des informations non recoupées ou qualifiées de fausses par les journalistes, qui apportent de leur côté des correctifs empruntant les codes spécifiques aux réseaux sociaux. Ces correctifs récoltent néanmoins un faible degré d’engagement (ReTweet, commentaires) par rapport aux comptes susceptibles de diffuser de fausses informations.

    Si cette étude s’est attachée à étudier la viralité des fausses informations sur un réseau social, le contexte de sa publication rappelle avec force que les réseaux sociaux sont susceptibles de faciliter les partages d’autres formes de contenus préjudiciables, tels ceux appelant à la haine et à la violence. La compréhension des modalités de propagation des différentes formes de contenus sur les plateformes restera donc un enjeu central pour le Conseil. »

    Et ? Pas plus ? Comme pour cet infâme' Envoyé Spécial sur le glyphosate ?

    https://seppi.over-blog.com/2020/12/les-vraies-informations-ne-chassent-pas-les-fausses-selon-le-conseil-superieur-de-l-audiovisuel.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Notez que lorsqu'ils suppriment un article ou film sur Internet ils ne disent JAMAIS pourquoi !!!
      Il s'agit donc d'une politique visant à supprimer les vérités qui dérangent en mettant en exergue des articles mensongés !

      Supprimer
  36. Cookies: des amendes de 100 et 35 millions à Google et Amazon


    10/12/2020


    Les deux géants du numérique ont été amendés par le régulateur français de l’internet pour non-respect de la législation sur les traceurs publicitaires.

    Une commission française reproche notamment à Google.fr d’avoir utilisé des cookies sans l’accord des internautes.

    Le régulateur français de l’internet a annoncé jeudi avoir infligé des amendes de respectivement 100 et 35 millions d’euros d’amende (environ 107 et 37 millions de francs) à Google et Amazon pour non-respect de la législation sur les cookies (traceurs publicitaires).

    La Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) reproche notamment à Google.fr et Amazon.fr la pratique consistant à déposer des traceurs publicitaires sur l’ordinateur de l’internaute «sans qu’il ait préalablement donné son accord».

    Par ailleurs, les bandeaux d’information affichés lors de la consultation de ces sites ne contenaient pas, au moment des contrôles de la Cnil, «d’informations suffisamment claires pour que l’internaute sache ce à quoi servent ces cookies et la façon dont il peut les refuser», selon la Commission.

    100’000 euros par jour

    En complément des amendes, la Cnil «a enjoint aux sociétés de modifier leur bandeau d’information, dans un délai de 3 mois», avec une astreinte de 100’000 euros (environ 107’000 francs) par jour de retard après l’expiration de ce délai.

    Les manquements constatés par la Cnil «portent atteinte à la vie privée des internautes dans leur quotidien numérique», puisqu’ils «permettent de collecter de nombreuses informations sur les personnes, sans leur consentement, afin de pouvoir par la suite leur proposer des publicités» ciblées, selon la Cnil.

    Elle note qu’en septembre 2020, les deux entreprises ont cessé de déposer automatiquement les cookies chez les internautes. Mais dans les deux cas, le bandeau d’information ne permet toujours pas d’informer suffisamment clairement les internautes sur les finalités de ces cookies, et sur la possibilité qu’ils ont de les refuser, estime-t-elle. Le montant des amendes est lié «à la gravité des manquements», et à l’impact de ces sites dans la population française.

    Le moteur de recherche de Google détient une part de marché supérieure à 90% en France, alors qu’Amazon détient plus de 20% du marché français du commerce en ligne.

    RépondreSupprimer
  37. Ancienne législation

    Les sanctions ont été prononcées sur la base de la législation datant d’avant le Règlement général européen sur la protection des données (RGPD), entré en vigueur en 2018. Celui-ci a durci encore le régime du consentement pour les traceurs publicitaires.

    La nouvelle législation oblige les sites internet à afficher, en face du bouton «tout accepter», un bouton «tout refuser» ou une solution équivalente. La Cnil commencera à sanctionner les entreprises qui ne satisfont pas aux nouvelles règles à partir du 1er avril 2021.

    Malgré ce délai, lié notamment aux concertations avec le secteur de la publicité et la crise sanitaire, «nous sommes parmi les premiers en Europe à fixer un cadre très clair», s’était félicitée en octobre la présidente de la Cnil Marie-Laure Denis.

    https://www.lematin.ch/story/cookies-des-amendes-de-100-et-35-millions-a-google-et-amazon-156488546044

    RépondreSupprimer
  38. Pas d'intimité, pas de propriété: le monde en 2030 selon le WEF


    Par Antony P. Mueller
    Mises.org
    10 décembre 2020


    Le Forum économique mondial (WEF) a été fondé il y a cinquante ans. Il a gagné de plus en plus d'importance au fil des décennies et est devenu l'une des principales plates-formes de réflexion et de planification futuristes. En tant que lieu de rencontre de l'élite mondiale, le WEF rassemble les leaders du monde des affaires et de la politique ainsi que quelques intellectuels sélectionnés. Le principal objectif du forum est le contrôle mondial. Les marchés libres et le choix individuel ne sont pas les principales valeurs, mais l'interventionnisme et le collectivisme étatiques. La liberté individuelle et la propriété privée doivent disparaître de cette planète d'ici 2030 selon les projections et les scénarios issus du Forum économique mondial.

    Huit prédictions

    La liberté individuelle est à nouveau en danger. Ce qui nous attend a été projeté en novembre 2016 lorsque le WEF a publié «8 Prédictions pour le monde en 2030». Selon le scénario du WEF, le monde deviendra un endroit tout à fait différent à partir de maintenant parce que la façon dont les gens travaillent et vivent va subir un profond changement. Le scénario pour le monde en 2030 est plus qu'une simple prévision. C'est un plan dont la mise en œuvre s'est considérablement accélérée depuis avec l'annonce d'une pandémie et les verrouillages qui en résultent.

    Selon les projections des «Global Future Councils» du WEF, la propriété privée et la vie privée seront abolies au cours de la prochaine décennie. L'expropriation à venir irait plus loin que même la demande communiste d'abolir la propriété des biens de production tout en laissant un espace aux possessions privées. La projection du WEF indique que les biens de consommation, eux aussi, ne seraient plus une propriété privée.

    Si la projection du WEF se réalisait, les gens devraient louer et emprunter leurs biens à l'État, qui serait le propriétaire unique de tous les biens. L'offre de biens serait rationnée selon un système de points de crédit social. Le shopping au sens traditionnel disparaîtrait avec les achats privés de biens. Chaque déménagement personnel serait suivi électroniquement et toute la production serait soumise aux exigences d'une énergie propre et d'un environnement durable.

    Afin d'atteindre une «agriculture durable», l'approvisionnement alimentaire sera principalement végétarien. Dans la nouvelle économie de services totalitaire, le gouvernement fournira le logement de base, la nourriture et le transport, tandis que le reste devra être prêté par l'État. L'utilisation des ressources naturelles sera ramenée à son minimum. En coopération avec les quelques pays clés, une agence mondiale fixerait le prix des émissions de CO2 à un niveau extrêmement élevé pour décourager leur utilisation.

    Dans une vidéo promotionnelle, le Forum économique mondial résume les huit prédictions dans les déclarations suivantes:

    Les gens ne posséderont rien. Les marchandises sont soit gratuites, soit doivent être prêtées par l'État.
    Les États-Unis ne seront plus la première superpuissance, mais une poignée de pays domineront.
    Les organes ne seront pas transplantés mais imprimés.
    La consommation de viande sera minimisée.
    Des déplacements massifs de personnes auront lieu avec des milliards de réfugiés.
    Pour limiter les émissions de dioxyde de carbone, un prix global sera fixé à un niveau exorbitant.
    Les gens peuvent se préparer à aller sur Mars et commencer un voyage pour trouver une vie extraterrestre.
    Les valeurs occidentales seront testées jusqu'au point de rupture.
    Au-delà de la confidentialité et de la propriété

    RépondreSupprimer
  39. Dans une publication pour le Forum économique mondial, l'éco-activiste danoise Ida Auken, qui avait été ministre de l'environnement de son pays de 2011 à 2014 et est toujours membre du Parlement danois (le Folketing), a élaboré un scénario d'un monde sans intimité ni propriété. Dans «Bienvenue en 2030», elle envisage un monde où «je ne possède rien, je n'ai pas d'intimité et la vie n'a jamais été aussi bonne». En 2030, selon son scénario, les achats et la possession sont devenus obsolètes, car tout ce qui était autrefois un produit est maintenant un service.

    Dans ce nouveau monde idyllique qui est le sien, les gens ont un accès gratuit au transport, à l'hébergement, à la nourriture, «et à tout ce dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne». Comme ces choses deviendront gratuites, «cela n'a finalement pas de sens pour nous de posséder beaucoup». Il n'y aurait pas de propriété privée dans les maisons et personne ne paierait de loyer, "parce que quelqu'un d'autre utilise notre espace libre chaque fois que nous n'en avons pas besoin." Le salon d’une personne, par exemple, sera utilisé pour des réunions d’affaires en cas d’absence. Des préoccupations telles que «les maladies liées au mode de vie, le changement climatique, la crise des réfugiés, la dégradation de l'environnement, les villes complètement encombrées, la pollution de l'eau, la pollution de l'air, les troubles sociaux et le chômage» appartiennent au passé. L'auteur prédit que les gens seront heureux de profiter d'une si belle vie qui est tellement meilleure "que le chemin sur lequel nous étions, où il est devenu si clair que nous ne pouvions pas continuer avec le même modèle de croissance."

    Paradis écologique

    Dans sa contribution de 2019 à la réunion annuelle des Global Future Councils du Forum économique mondial, Ida Auken prédit à quoi le monde pourrait ressembler dans le futur «si nous gagnons la guerre contre le changement climatique». D'ici à 2030, lorsque les émissions de CO2 seront considérablement réduites, les gens vivront dans un monde où la viande dans l'assiette «sera rare» tandis que l'eau et l'air seront beaucoup plus propres qu'aujourd'hui. En raison du passage de l'achat de biens à l'utilisation de services, le besoin d'argent disparaîtra, car les gens dépenseront de moins en moins en biens. Le temps de travail diminuera et le temps de loisirs augmentera.

    Pour l'avenir, Auken envisage une ville où les voitures électriques ont remplacé les véhicules à combustion conventionnels. La plupart des routes et des parkings deviendront des parcs verts et des zones de marche pour les piétons. D'ici 2030, l'agriculture offrira principalement des alternatives végétales à l'approvisionnement alimentaire au lieu de la viande et des produits laitiers. L'utilisation de la terre pour la production d'aliments pour animaux diminuera considérablement et la nature se répandra à nouveau dans le monde entier.

    RépondreSupprimer
  40. Fabriquer le consentement social

    Comment amener les gens à accepter un tel système ? L'appât pour attirer les masses est l'assurance de soins de santé complets et d'un revenu de base garanti. Les promoteurs de la Grande Réinitialisation promettent un monde sans maladies. En raison des organes produits par biotechnologie et des traitements médicaux individualisés basés sur la génétique, une espérance de vie considérablement augmentée et même une immortalité seraient possibles. L'intelligence artificielle éradiquera la mort et éliminera la maladie et la mortalité. La course est lancée parmi les entreprises biotechnologiques pour trouver la clé de la vie éternelle.

    Parallèlement à la promesse de transformer n'importe quelle personne ordinaire en un surhomme divin, la promesse d'un «revenu de base universel» est très attrayante, en particulier pour ceux qui ne trouveront plus d'emploi dans la nouvelle économie numérique. Obtenir un revenu de base sans avoir à passer par le tapis roulant et la honte de demander l'aide sociale est utilisé comme un appât pour obtenir le soutien des pauvres.

    Pour la rendre économiquement viable, la garantie d'un revenu de base nécessiterait de niveler les écarts de salaire. Les procédures techniques du transfert d'argent de l'État seront utilisées pour promouvoir la société sans numéraire. Avec la numérisation de toutes les transactions monétaires, chaque achat individuel sera enregistré. En conséquence, les autorités gouvernementales auraient un accès illimité pour superviser en détail comment les personnes dépensent leur argent. Un revenu de base universel dans une société sans numéraire fournirait les conditions nécessaires pour imposer un système de crédit social et fournirait le mécanisme pour sanctionner les comportements indésirables et identifier les superflus et les indésirables.

    Qui seront les dirigeants ?

    Le Forum économique mondial est muet sur la question de savoir qui régnera dans ce nouveau monde.

    Il n'y a aucune raison de s'attendre à ce que les nouveaux détenteurs du pouvoir soient bienveillants. Pourtant, même si les principaux décideurs du nouveau gouvernement mondial n'étaient pas méchants mais juste des technocrates, quelle raison aurait une technocratie administrative pour continuer avec les indésirables ? Quel sens cela a-t-il pour une élite technocratique de transformer l'homme ordinaire en un surhomme ? Pourquoi partager les bénéfices de l'intelligence artificielle avec les masses et ne pas garder la richesse pour quelques élus ?

    RépondreSupprimer
  41. N'étant pas emporté par les promesses utopiques, une évaluation sobre des plans doit aboutir à la conclusion que dans ce nouveau monde, il n'y aurait pas de place pour le citoyen moyen et qu'il serait mis à l'écart avec les «inemployables», « faible d'esprit »et« mal élevé ». Derrière la prédication de l'Évangile progressiste de la justice sociale par les promoteurs de la Grande Réinitialisation et de l'établissement d'un nouvel ordre mondial se cache le sinistre projet de l'eugénisme, qui en tant que technique est maintenant appelé «génie génétique» et en tant que mouvement est nommé « transhumanisme », terme inventé par Julian Huxley, le premier directeur de l'UNESCO.

    Les promoteurs du projet gardent le silence sur qui seront les dirigeants de ce nouveau monde. La nature dystopique et collectiviste de ces projections et plans est le résultat du rejet du capitalisme libre. Établir un monde meilleur par une dictature est une contradiction dans les termes. Pas moins mais plus de prospérité économique est la réponse aux problèmes actuels. Par conséquent, nous avons besoin de plus de marchés libres et de moins de planification étatique. Le monde devient plus vert et une baisse du taux de croissance de la population mondiale est déjà en cours. Ces tendances sont la conséquence naturelle de la création de richesses grâce aux marchés libres.

    Conclusion

    Le Forum économique mondial et ses institutions connexes, en combinaison avec une poignée de gouvernements et quelques entreprises de haute technologie, veulent conduire le monde dans une nouvelle ère sans propriété ni vie privée. Des valeurs comme l'individualisme, la liberté et la poursuite du bonheur sont en jeu, à répudier au profit du collectivisme et de l'imposition d'un «bien commun» défini par l'élite autoproclamée des technocrates. Ce qui est vendu au public comme la promesse d'égalité et de durabilité écologique est en fait une attaque brutale contre la dignité humaine et la liberté. Au lieu d'utiliser les nouvelles technologies comme un instrument d'amélioration, la Grande Réinitialisation cherche à utiliser les possibilités technologiques comme un outil d'asservissement. Dans ce nouvel ordre mondial, l'État est le seul propriétaire de tout. Il est laissé à notre imagination de déterminer qui programmera les algorithmes qui gèrent la distribution des biens et services.

    Note: The views expressed on Mises.org are not necessarily those of the Mises Institute.

    https://www.lewrockwell.com/2020/12/antony-mueller/no-privacy-no-property-the-world-in-2030-according-to-the-wef/

    RépondreSupprimer
  42. Que se passe-t-il lorsque la suspension des expulsions prend fin


    Par Doug Casey
    Homme international
    10 décembre 2020


    International Man: Plus tôt cette année, le CDC a pu étendre ses pouvoirs sans précédent en émettant une suspension nationale des expulsions.

    Que pensez-vous de la façon dont une agence de santé publique est devenue en mesure de dire aux propriétaires ce qu'ils peuvent faire sur leurs propriétés ?

    Doug Casey: La paranoïa sanitaire est une excellente méthode de contrôle. Les gens mettent leur santé au-dessus de presque tout. Je suis seulement surpris qu'il n'ait pas été utilisé comme levier jusqu'à présent. Cela fait partie d'une tendance au contrôle de masse qui a véritablement commencé au début du 20e siècle et qui a augmenté de façon exponentielle au fil du temps.

    Le premier était l'impôt sur le revenu. Si vous ne vous êtes pas conformé, cela a été non seulement considéré comme un crime légal, mais aussi promu comme un péché moral. L'interdiction de l'alcool de 1919 à 1933 a commencé comme un échec moral et a ensuite été transformée en crime. C’est la même chose avec l’interdiction de certaines drogues; Nixon a commencé cette hystérie en 1971, et il a été mis sous stéroïdes, pour ainsi dire, par Nancy Reagan. Vient ensuite la guerre contre le terrorisme, surtout depuis 2001. Toutes ces activités ont été promues avec des tabous juridiques et moraux. Tout le monde est censé s'aligner avec eux côte à côte, comme dans l'une de ces vieilles affiches de propagande de réalisme socialiste dans lesquelles les Soviétiques et les Nazis se sont spécialisés. Le public est censé s'auto-contrôler sous la supervision des autorités, comme ils l'ont fait à Salem en 1692.

    La santé publique est le moteur actuel de l'hystérie et de la paranoïa de masse. Toutes ces choses empiètent sur votre droit à la propriété de la propriété privée, y compris votre propre corps, qui est la principale forme de propriété. L'angle de santé publique est potentiellement le plus dangereux et le plus invasif du point de vue de la liberté. Les personnes occupées - le type de personnes qui travaillent pour et soutiennent activement l'État - ont toujours besoin d'une excuse pour contrôler les autres en masse. Cette pandémie constitue un excellent modèle pour l’avenir.

    Le port d'un masque - que vous le vouliez ou que vous pensiez que cela aide - ne se résume pas à la signalisation de la vertu. Cela montre également si vous êtes prêt à faire ce qu'on vous dit - si vous êtes «politiquement fiable», comme aiment le dire les communistes. C’est comme porter le brassard du Parti.

    En fait, le port d'un masque et la distanciation sociale dans les magasins, les bars, les restaurants et les gymnases ne devraient pas être du ressort du gouvernement. Cela devrait être strictement du ressort du propriétaire. Les décisions que l'individu prend concernant sa propre santé sont les siennes; c'est entre l'individu et son médecin.

    RépondreSupprimer
  43. Je n'ai aucun problème si le propriétaire d'un bar ou d'un restaurant veut m'empêcher d'entrer si je ne porte pas de masque. C’est sa propriété. Il établit les règles. Je peux aller ailleurs, là où cela me convient le mieux. C’est un affront et une contrainte pour les restaurateurs et les commerçants de se faire dire ce qu’ils et leurs invités peuvent et ne peuvent pas faire.

    Il ne s’agit pas, d’ailleurs, d’un problème technique ou médical. La valeur du port de masques, de la distanciation sociale et du respect des quarantaines et des verrouillages est au mieux discutable, comme l'a montré la Suède. Le vrai problème est éthique et qu'il n'y a pas de répulsion morale de la part du public ou des propriétaires. Les gens se disputent pour des raisons strictement techniques: «Oui, vous avez le droit de me dire quoi faire, et même de fermer mon entreprise. Mais vous ne devriez pas parce que ce n’est pas «juste» ou que vos solutions ne sont pas optimales ». Ils acceptent les locaux de la personne occupée. L'argument est terminé avant même qu'il ne commence. Les Américains agissent vraiment comme des chiens fouettés.

    Que les masques, la distanciation et le reste fonctionnent ou non, ce n’est pas la question. Ma propre conviction est qu’elles ont au mieux une valeur marginale et qu’elles pourraient bien être contre-productives. Mais ce n’est pas la question. Le fait est qu’il est immoral et destructeur pour l’État de dire aux gens comment interagir.

    Quant au CDC, c’est juste une autre bureaucratie gouvernementale soucieuse de se mettre sous les feux de la rampe, d’acquérir plus de pouvoir, d’améliorer son budget et le nombre de ses employés - et de faire de Fauci, une créature des marais qui n’était depuis longtemps qu'une célébrité internationale.

    International Man: Actuellement, plus de 18 millions d'Américains sont actuellement en retard sur leurs paiements hypothécaires ou de loyer.

    Cette suspension temporaire des expulsions prend fin le 31 décembre. Que penses tu qu'il va advenir par la suite?

    Doug Casey: Tout comme pour les marchés financiers, le gouvernement n'a pas d'autre alternative que de «faire quelque chose». Ils vont - ils doivent - imprimer plus d'argent pour empêcher le château de cartes pourri de s'effondrer sur lui-même.

    Les démocrates ont déjà dit qu'ils voulaient augmenter le prochain stimulus à plus de 3 billions de dollars. Le fait que la plus grande partie de la dernière série de mesures de relance ait été soit ouvertement gaspillée, soit allé à des copains, ou ne puisse pas être expliqué, est complètement perdu pour eux. Ils reconnaissent qu'à moins de donner beaucoup d'argent directement ou indirectement aux hoi polloi, il y en aura des millions dans les rues.

    Environ 11 millions de locataires et 4 ou 5 millions de créanciers hypothécaires sont maintenant en abstention. Ils seront expulsés de leurs maisons et appartements le 1er janvier, à moins d'un énorme renflouement. Où ces gens vont-ils aller ?

    RépondreSupprimer
  44. Si Obama avait tenu sa promesse ridicule concernant les projets prêts à l'emploi, il y aurait beaucoup plus de ponts sous lesquels ils pourraient camper. Mais il ne l’a pas fait. Ils ont un vrai problème entre les mains. Des millions de personnes vivent au-dessus de leurs moyens et n'ont pas d'économies. À ce stade, s'ils laissent les propriétaires et les banques expulser tous ces gens, un certain nombre de choses se produiront. Les prix de l'immobilier résidentiel s'effondreront. Des millions de personnes chercheront un endroit où vivre. Beaucoup de banques et de propriétaires feraient faillite.

    Plus le gouvernement lance la boîte de conserve longtemps, plus le buste inévitable sera important. L'argent de relance devra continuer parce que Biden ne veut pas que tout se décolle sur sa montre. L'État ne va pas seulement devoir payer les particuliers et les chefs d'entreprise que leurs politiques idiotes ont brisé. Ils subventionneront les banques, les propriétaires et les entreprises de services publics, car vous ne pouvez pas vivre dans une maison ou un appartement sans eau ni électricité.

    C’est pire que cela, car même si vous couvrez le strict nécessaire, il ne reste plus d’argent pour la maintenance. Il y aura des millions de bâtiments à travers le pays qui souffriront d'un entretien différé. Le South Bronx, East St. Louis et Baltimore seront reproduits à travers le pays.

    Et personne ne parle de la façon de couvrir les taxes foncières dues sur ces propriétés. De nombreux gouvernements locaux sont déjà en faillite. Leurs dépenses augmentent alors même que leurs revenus fiscaux s'effondrent. Le pays tout entier s'est peint dans un coin à ce stade. C’est ce qui se passe lorsque vous adoptez une politique économique collectiviste, comme l’ont découvert les Soviétiques, les Chinois et bien d’autres pays.

    Je ne sais pas comment ils vont en sortir, car l’économie elle-même vient de commencer à s’effondrer. Bien sûr, ils imprimeront plus d’argent parce qu’ils y voient une solution alors qu’il s’agit en fait d’une cause. Cela va aggraver l'effondrement.

    International Man: Pour les dizaines de millions de personnes en retard sur leurs paiements d'hypothèque et de loyer, leur arriéré de loyer et leurs arriérés de paiement seront-ils jamais remboursés ?

    Doug Casey: Le gouvernement devra non seulement payer le loyer pour l’avenir, mais il devra également couvrir le loyer impayé des propriétaires - s’ils ne veulent pas de nombreux propriétaires et banques en faillite.

    Cela mènera à un revenu annuel garanti, auquel ils réfléchissent depuis un certain temps. Dans certains cas, le gouvernement reprendra les propriétés. Ce n’est rien de nouveau. La plupart des grandes villes américaines possèdent déjà d'importants logements sociaux. Rien de tout cela n'est bon, mais la plupart ne sont pas aussi mauvais que Cabrini-Greene ou Pruitt-Igoe.

    Qui sait où mènera cette guirlande ? Avec tous les chômeurs qui ne peuvent pas payer leur loyer, peut-être que le gouvernement développera quelque chose comme le service national. Ensuite, il y aura des millions de personnes supplémentaires qui travailleront pour le gouvernement, faisant Dieu sait quoi. Cela conduira à la socialisation de la société. N'oubliez pas que cette hystérie COVID n'est que la broche qui a brisé la bulle. La Grande Dépression était déjà dans les cartes. Les Américains imploreront le gouvernement de le guérir, ce qui est garanti pour l'aggraver considérablement et durer plus longtemps et inviteront certains autoritaires charismatiques à être leur sauveur et à prendre les choses en main.

    RépondreSupprimer
  45. International Man: En supposant que l'hystérie COVID et les verrouillages sont derrière nous en 2021, quels effets durables pourrions-nous voir se produire ?

    Doug Casey: Cela va détruire les industries de la restauration, de la vente au détail et du voyage à la fois.

    Les magasins, les restaurants et les petites entreprises échouent toujours - peut-être 15% d'entre eux chaque année - et de nouveaux démarrent en temps normal. C’est le cercle de la vie. Le problème est qu'environ la moitié de ces entreprises échouent toutes à la fois. Cela rend la récupération beaucoup plus difficile.

    L'économie ressemble beaucoup à un corps. Si vous vous brûlez le doigt, ça fait mal, mais vous récupérerez. Mais si vous souffrez de brûlures sur plus de 50 % de votre corps à la fois, cela pourrait vous tuer. C’est ce que nous examinons actuellement.

    L'immobilier commercial est un autre domaine qui va être dévasté parce que beaucoup de gens continueront à travailler à domicile et préfèrent travailler dans un bureau.

    Qui sait ce qu’il adviendra de tout cet immeuble commercial et comment il sera réutilisé. Cela va certainement consommer énormément de capital.

    Les écoles sont un autre domaine qui changera. J'aurais été heureux d'avoir un an de congé parce que les cours m'ennuyaient. J'aurais lu beaucoup plus de choses par moi-même. Mais aujourd'hui, la plupart des enfants ne lisent pas de livres. Les écoliers publics ont la chance d'absorber certaines choses par osmose.

    Maintenant, ils jouent principalement à des jeux vidéo ou sont sur les réseaux sociaux, principalement à des activités non productives sur leur ordinateur à la maison. Je ne connais pas l’effet de ne pas pouvoir être associé à d’autres enfants.

    Pour la plupart des enfants, cela peut être dommageable. Du bon côté, de nombreux parents ont décidé que l'école était une perte de temps et ont commencé à scolariser leurs enfants à la maison. C’est généralement une chose positive.

    Voici l’important, nous ne savons pas combien de temps cette hystérie va durer. Les gens ont tellement peur qu'ils seront faciles à contrôler par peur du prochain virus réel ou imaginaire qui arrivera sur la route. Lorsque les gens ont peur et ne savent pas quoi faire, ils voudront que quelqu'un l'embrasse et l'améliore.

    Donc, je pense que nous nous dirigeons vers un véritable homme fort pour le président des États-Unis, que ce soit Kamala Harris ou quelqu'un d'autre. Si l'élection de 2020 était mauvaise, l'élection de 2024 serait pire.

    Reprinted with permission from International Man.

    https://www.lewrockwell.com/2020/12/doug-casey/doug-casey-on-what-happens-when-the-suspension-on-evictions-ends/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Même si sur 7 milliards et quelques d'habitants il y a 7 milliards de têtes de cons, rien ne justifie l'application d'une dictature sur une planète où - les têtes de con suprême (qui se disent 'élite' ! Hahaha !) - dirigent le monde avec des armes !

      Pareillement que 7 milliards de personnes peuvent être excusées de n'avoir jamais réclamé la Démocratie car, 1°) Ils ne savaient pas ce que ce mot voulait dire et, 2°) ils croyaient vivre en Démocratie !!!
      C'est d'ailleurs pour cette raison que les merdias font tout les reproches possibles à l'Internet d'exister car, le web représente la Démocratie où chacun peut s'exprimer. Il ne se passe pas un jour sans que des textes publiés soient censurés comme des films/documents ôtés de la vue par des dictateurs de merde anti-Démocratie.

      En ce qui concerne le port du masque, dans un sens peut-être considéré comme un 'vêtement'. Car, si on était libre on se baladerait tous à poil ! (tout au moins en plein été).
      En ce qui concerne l'immigration, là c'est une situation qui nous touche toutes & tous puisque dès que l'on naît on immigre ! On sort d'une pièce, d'une maison, d'un quartier, d'une région, d'un pays. Mais, là où doit être portée l'attention est la propriété !
      Le respect de la propriété c'est bien sûr en premier lieu ne pas obliger quelqu'un d'autre à faire ce qu'il ne veut pas ! Un cerveau est une propriété privée ! Chacun est dont libre de penser ce qu'il veut et y stocker dedans les souvenirs qu'il veut comme ses intentions.
      Donc, l'immigration s'arrête à la propriété privée.
      Un être humain a parfaitement le droit de cultiver la terre, d'y semer ce qu'il veut, de l'arroser comme d'en retirer les fruits. Mais il y a le terme d''achat de propriété' à une personne qui n'en est propriétaire !!! Pire, ce dit 'propriétaire foncier' qui vendrait ou louerait 'ses' terres réclame de plus un impôt !!!
      Il y a donc tout un système à refaire en ce qui concerne le terme de 'propriété'; Il est donc à définir par le Peuple appelé à se prononcer.

      Supprimer
  46. Être un ennemi de l'État


    Par Donald Jeffries
    Le garder irréel
    10 décembre 2020


    Ce n’est pas facile d’être contrariant, d’aller instinctivement à contre-courant. Ce n’est certainement pas rentable. J'adorerais soutenir quelque chose sur notre société, ou quelqu'un qui a un rôle à jouer dans sa gestion. Mais je ne peux pas. La corruption est si immense, et si répandue même au niveau local, qu’elle ne peut être confrontée à rien de moins que des centaines de milliers d’opposants coordonnés.

    Cette situation a toujours existé. Pensez au vieux canard très précis "Vous ne pouvez pas combattre la mairie." La différence est que maintenant la tyrannie s'est développée bien au-delà des rivalités politiques grossières ou même des querelles entre les familles du crime organisé. La mafia et les gangs intercités plus récents ont au moins une sorte de code tordu, et des lignes qu'ils ne franchiront pas. L'élite qui nous gouverne semble ne pas avoir de telles lignes.

    Le monde entier a été pratiquement fermé en mars de cette année, à cause d'un prétendu virus mortel. Il n'y avait aucun signe manifeste que quelque chose de dangereux se préparait. Aucun corps n'est transporté, et la mort visite chaque famille, comme la Grande Peste qui en a détruit tant en Europe il y a des siècles. La plupart d'entre nous ne connaissions personnellement aucune victime. Et pourtant, tous ont été mis en quarantaine dans une certaine mesure. Comme quelques critiques l'ont souligné, vous ne mettez pas en quarantaine les personnes en bonne santé. Eh bien, pas jusqu'à maintenant. Les sports, les films, les églises et les écoles ont été annulés. Des millions de personnes ont perdu leur emploi. Le public a enfilé des masques ridicules et a suivi des règles de «distanciation sociale» sans fondement scientifique.

    Et tout cela a été accompli sans qu'aucun pays n'ait besoin de sa police pour l'appliquer. Pas de troupes dans les rues. Sans un seul coup de feu. L'opposition à un tel contrôle étatique sans précédent se limitait aux «théoriciens du complot» sur Internet. Comme moi. Ceux d'entre nous qui ont souligné que l'empereur était complètement nu ont perdu de nombreux amis et ont irrité les membres de leur famille proche. Notre scepticisme a fait de nous des citoyens de seconde zone. On m'appelait «dangereux» et cela n'a certainement pas aidé les opportunités de carrière potentielles. Ma propre nièce m'a supprimé sur Facebook. Il en est de même pour certains de mes amis célèbres, comme Candy Clark d'American Graffiti et Barry Livingston de My Three Sons. Eh bien, au moins je sais qu'ils lisaient.

    RépondreSupprimer
  47. Il est toujours plus facile d’appuyer une motion populaire, d’être un homme du «oui» bien payé. Après tout, si vous dites que le président, le Congrès, la Cour suprême, les autorités nationales et locales, les entreprises américaines, la profession médicale, la profession de l'assurance, le système éducatif, le système juridique, les médias et le monde du divertissement sont tous désespérément corrompu, vous vous êtes éloigné de beaucoup de gens. Vous n’êtes pas amusant lors des fêtes. La plupart des gens avaient l'habitude de l'apprécier lorsque je pontifiais et que je fulminais dans des réunions sociales ou au travail. Si nous avions encore des réunions sociales, je ne serais pas invité. Et je serais licencié assez rapidement de n'importe quel travail, si je me conduisais simplement comme je l'ai fait pendant 44 ans, jusqu'à vivre l'une des licenciements les plus injustes imaginables. Ce dont je suis incapable de faire quoi que ce soit, à cause de ce système corrompu.

    La raison n’a prévalu dans aucune bataille depuis peut-être le Fair Labor Standards Act de 1938, qui a établi la semaine de travail de quarante heures, les heures supplémentaires et autres avantages pour les employés Les baby-boomers comme moi ont pris pour acquis. Chaque guerre réclamée, depuis que JFK s'est opposée au complexe militaro-industriel pendant la crise des missiles cubains, a reçu le feu vert. Eh bien, je suppose que nous devrions également considérer cela comme une victoire pour la raison. La raison n’a donc pas gagné le débat depuis 1962. La liste des pertes pour le peuple est longue. L'ALENA, l'immigration aux frontières ouvertes, la dissimulation de tous les crimes d'État importants, de l'assassinat de JFK au 11 septembre, le Patriot Act, la NDAA, la Cour suprême confirmant les lois tyranniques sur la confiscation d'actifs, et bien d'autres.

    Il nous reste maintenant à lutter contre une vaccination forcée dont nous n’avons pas besoin à distance, peut-être même en étant ébréchée de force. Ou pour essayer de contrer l'étalement rampant des lois sur le «discours de haine» et le «crime de haine». Pour marmonner docilement "Je ne suis pas un suprémaciste blanc." Plaider pour la réouverture des écoles, des entreprises, des églises et des événements culturels. Mais seulement avec les précautions appropriées, bien sûr. Doit maintenir cette «distanciation sociale».

    Nous avons perdu la guerre culturelle dont Pat Buchanan nous a mis en garde. Je veux dire, nous avons été massacrés. Exclure. Et donc, nous regardons impuissants les «éducateurs» qui ont une telle influence sur nos enfants concevoir des idées comme l'heure du conte transgenre dans les écoles élémentaires. Ou des fêtes de «révélation du genre» où les parents manipulent souvent leurs très, très jeunes enfants pour qu'ils «s'identifient» comme du sexe opposé. Si ce n’est pas de la maltraitance des enfants, qu’est-ce ?

    Pendant des années, j'ai soutenu que notre économie de casino devait inévitablement s'effondrer. Dans mon idéalisme de jeunesse, j'imaginais quelque chose de mieux émergeant des ruines. Maintenant, je suis beaucoup plus âgé et je n’ai pas de telles attentes. Ils semblent être en mesure de maintenir ce désordre à flot sur le support de la vie, quoi qu'il arrive. Le fait qu'il ne s'est pas effondré après des milliers de bus

    RépondreSupprimer
  48. Pendant des années, j'ai soutenu que notre économie de casino devait inévitablement s'effondrer. Dans mon idéalisme de jeunesse, j'imaginais quelque chose de mieux émergeant des ruines. Maintenant, je suis beaucoup plus âgé et je n’ai pas de telles attentes. Ils semblent être en mesure de maintenir ce désordre à flot sur le support de la vie, quoi qu'il arrive. Le fait qu’elle ne s’est pas effondrée après que des milliers d’entreprises aient été forcées de fermer, des millions d’entre elles se soient retrouvées sans travail et que d’énormes pans de l’économie comme le sport et les films aient été effectivement annulés, est très révélateur. Ils continueront simplement à créer de l'argent à partir de rien sous leur système bancaire contrefait. Peut-être recevrons-nous un autre chèque de 1 200 $.

    Nos «représentants» au Sénat viennent de voter à l'unanimité pour éliminer le plafond des travailleurs étrangers chargés des visas. C’est une chose assez étrange à faire pendant une «pandémie» meurtrière et lorsque des millions de citoyens américains ont perdu leur emploi en raison du verrouillage inconstitutionnel. Ne vous attendez pas à un veto de Donald Trump, qui s’est bien entendu engagé à éliminer les programmes inutiles de travailleurs étrangers. Peut-être aurons-nous un tweet exaspéré.

    Le peuple perd en fait depuis que le tyran Lincoln a écrasé tout ce «consentement du gouverné». Vous savez, la prémisse principale de la guerre pour l'indépendance. Nous avons perdu à chaque fois que leurs faux drapeaux risibles, de «Remember the Maine» en 1898 au mensonge «armes de destruction massive», ont été crus par une majorité crédule du public. C’est notre problème - cette majorité crédule. Ce sont eux qui téléphonent aux autorités pour dénoncer les violations de «distanciation sociale», ou crient «il n’ya aucune preuve!» de fraude électorale, et ils seront en première ligne pour le vaccin obligatoire. Ils ont été formés, comme les chiens pavloviens, à être sceptiques vis-à-vis des «théoriciens du complot», et non de toute figure d'autorité ou institution. Sauf Donald Trump. Ils ont subi un lavage de cerveau pour le haïr, comme le faux chef d’opposition d’Orwell Goldstein en 1984.

    En parlant d'Orwell, son monde dystopique est ici. Quelle est exactement la distinction entre son crime de pensée et le «crime de haine de la gauche« réveillée »?» Cette majorité crédule répète à nouveau l'expression «discours de haine» sans comprendre en quoi un tel concept est incompatible avec la liberté d'expression. La majorité des Américains ne croient plus à la liberté d'expression pour ceux avec qui ils ne sont pas d'accord. Puisque c'est la signification du premier amendement, ils ne croient vraiment pas à la liberté d'expression. Période. Et comme ils ne considèrent pas un millier de témoins ou plus signant des affidavits sous serment de fraude électorale comme des «preuves», ils ne semblent pas non plus croire à des élections libres et sûres. Mais ils détestent le «racisme». Et ils soutiennent chaque guerre.

    RépondreSupprimer
  49. Si les fondateurs pouvaient voir à quel point nous sommes devenus une république bananière choquante, ils auraient le cœur brisé. Ils n’ont pas fait sécession de la domination britannique pour que la société puisse célébrer 57 sexes différents. Ou affirmer que même les habitants les plus pauvres des Appalaches ont une sorte de «privilège blanc» que les milliardaires noirs n'ont pas. Ou permettez à notre police militarisée d'abuser de son autorité et de confisquer les biens de ceux qui n'ont même pas été accusés d'un crime. Ou donner des avantages sociaux, une scolarité publique, des préférences professionnelles et un favoritisme juridique aux non-citoyens, y compris à ceux qui sont entrés illégalement dans le pays. Ou consacrer la majeure partie du budget fédéral à des forces armées permanentes centralisées et à des agences de renseignement obscures avec des budgets secrets.

    Nos «représentants» jurent toujours allégeance à une Constitution en laquelle ils ne croient pas ou auxquels ils ne font pas attention. Le gouvernement fédéral gargantuesque est aussi éloigné de ce que les pères fondateurs entendaient comme un One Percenter est d'une horloge et d'un patron exigeant. Et pourtant, alors qu’elle a acquis un pouvoir et une portée qu’elle n’est pas censée avoir constitutionnellement, elle ne fournit pratiquement aucun service en retour. Cela prend juste. Et les mandats.

    Nous sommes comme un boxeur, qui a été battu sans relâche pendant quatorze rounds. Nous sommes au quinzième et dernier tour, essayant désespérément de nous accrocher aux cordes. L'arbitre est ouvertement contre nous, et les juges ne marquent pas équitablement les rondes. Les fans, qui risquent de perdre si nous le faisons, encouragent sauvagement notre (et leur) adversaire. Notre seul espoir est que ces fans prennent d'assaut le ring et nous sauvent (et eux-mêmes).

    Comme le déclarait Orwell en 1984, «s'il y avait de l'espoir, il doit résider dans les prolétaires, car ce n'est que là, dans ces masses grouillantes et ignorées, quatre-vingt-cinq pour cent de la population de l'Océanie, pourrait jamais être générée la force de détruire le Parti. Le Parti ne pouvait pas être renversé de l'intérieur. " Nous sommes les prolétaires, et nous dépassons par millions nos dirigeants corrompus et incompétents. Mais si nous ne nous réunissons pas, ce n’est pas pertinent.

    Alors que nous entrons dans la saison des vacances, cette même majorité crédule embrasse encore plus de restrictions tyranniques. Les cas se multiplient - nous devons annuler Noël! C’est comme si nous étions passés par le miroir - où l’esprit d’Ebenezer Scrooge est célébré.

    Nous sommes tous dans le même bateau. Prenez vos vaccins. Faites confiance à la «science». Écoutez les «vérificateurs de faits». Adoptez la «grande réinitialisation» et la «nouvelle normalité». Oui, Virginie, il y a une conspiration. Que Dieu nous bénisse, tous.

    Reprinted with the author’s permission.

    https://www.lewrockwell.com/2020/12/donald-jeffries/being-an-enemy-of-the-state/

    RépondreSupprimer
  50. Repérer l'écart de richesse générationnel croissant


    par Tyler Durden
    Mer, 12/09/2020 - 23:25


    À mesure que les jeunes générations entrent dans l'âge adulte, elles commencent inévitablement à accumuler et à hériter de la richesse, une tendance qui est globalement restée constante.

    Mais, comme l'explique ci-dessous Omri Wallach de Visual Capitalist, ce qui a changé récemment, c'est le taux d'accumulation.

    Aux États-Unis, la richesse des ménages a traditionnellement connu une répartition relativement uniforme entre les différents groupes d'âge. Cependant, au cours des 30 dernières années, la Réserve fédérale américaine montre que les générations plus âgées ont accumulé de la richesse à un rythme beaucoup plus élevé que leurs cohortes plus jeunes.

    - voir tableau sur site -

    Comme le montre le visuel ci-dessus, les plus âgés sont de plus en plus riches et les plus jeunes sont partis plus loin que jamais.

    Par génération: bénéfices des baby-boomers et retard de la génération Y
    Pour examiner la proportion de richesse de chaque génération, il est important de définir clairement chaque groupe d’âge. Bien que les définitions personnelles puissent différer, la Réserve fédérale américaine utilise une métrique claire:

    - voir tableau sur site -

    Par rapport aux générations plus jeunes qui grandissent, la génération silencieuse et la plus grande génération avant elles ont vu une part décroissante de la richesse des ménages au cours des 30 dernières années.

    Cependant, les niveaux numériques ont été relativement stables. Pour ces générations combinées, la richesse totale est passée de 16 billions de dollars en 1989 à 19 billions de dollars en 2019, avec un pic de 27 billions de dollars en 2007. Compte tenu de les parts individuelles de richesse ont en fait augmenté.

    Immédiatement après sont les baby-boomers, qui détenaient plus de la moitié de la richesse des ménages américains vers la fin de 2020. À 59 trillions de dollars, la génération détient plus de dix fois le montant détenu par un nombre comparatif de milléniaux.

    Avec 29 billions de dollars détenus en 2019, la génération X a également gagné en richesse au cours des 30 dernières années. C'est assez bon pour cinq fois la richesse des Millennials, même si à seulement 440 000 $ / personne, ils sont loin derrière les baby-boomers en termes de taux de croissance.

    Enfin, essayant de rattraper leurs cohortes plus âgées, ce sont les Millennials, qui détenaient le moins de richesse des ménages (5000 milliards de dollars) pour la plus grande population (73 millions de dollars) en 2019, soit une moyenne d'un peu moins de 69000 dollars / personne.

    Pour une comparaison directe, il a fallu neuf ans à la génération X pour passer du début de 0,4% de la richesse des ménages en 1989 à plus de 5%, alors que la génération Y n’a toujours pas franchi ce seuil. Mais ce n’est pas tout pour les Millennials. Leur taux de croissance commence à augmenter, le niveau de richesse de la génération passant de 3 billions de dollars en 2016 à 5 billions de dollars en 2019.

    RépondreSupprimer
  51. - voir tableau sur site -

    Par âge: une part croissante pour les 55 ans et plus

    Bien que le tableau générationnel soit frappant, la différence de richesse des ménages américains par âge rend le tableau du transfert de richesse encore plus clair.

    Jusqu'en 2001, les parts du patrimoine des ménages détenues par différents groupes d'âge étaient relativement stables. Les personnes âgées de 40 à 54 ans et de 55 à 69 ans détenaient environ 35% chacun de la richesse des ménages, les retraités âgés de 70 ans et plus tournaient autour de 20 % et les jeunes de moins de 40 ans environ 10 %.

    Depuis lors, cependant, le transfert de la richesse vers les générations plus âgées est clair. Le groupe des 70 ans et plus a vu sa part de richesse augmenter à 26 %, tandis que la part des 55-69 ans est passée de 35 % à près de la moitié.

    Mais tous les âges ne voient pas une part croissante de la richesse. La tranche d'âge des 40-54 ans a vu sa part chuter fortement de 36 % à 22 % entre 2001 et 2016 avant de commencer à se redresser vers la fin de la décennie, tandis que la plus jeune cohorte tourne désormais autour de 5 % seulement.

    Décomposer cette richesse par composants est encore plus révélateur. Les 39 ans et moins détiennent 37,9 % de leurs actifs dans l'immobilier, la part la plus importante parmi tous les groupes d'âge (et concentrée entre les mains d'un moins grand nombre de personnes) tandis que les groupes plus âgés voient leur patrimoine réparti entre l'immobilier, les actions et les retraites .

    Mais la différence réside autant dans les actifs que dans les opportunités. En 1989, les baby-boomers et la génération X de moins de 40 ans représentaient 13 % de la richesse des ménages, contre seulement 5,9 % pour les milléniaux et la génération Z de moins de 40 ans en 2020.

    Le vent va-t-il tourner pour la génération Z ?

    Alors que la richesse nouvelle et accumulée s'est accumulée au cours des générations plus anciennes, ce n'est qu'une question de temps avant que le balancier ne commence à basculer dans l'autre sens.

    On s'attend à ce que le groupe d'âge de la génération Y hérite de 68 billions de dollars d'ici 2030 des parents baby-boomers. Bien sûr, ce paiement ne sera pas uniforme dans tous les domaines, les familles les plus riches conservant l'essentiel de la richesse et la majorité des milléniaux endettés.

    Et avec la génération Z (née en 1997-2012) qui commence à mûrir, les règles du jeu inégales font qu'il est difficile de commencer à accumuler de la richesse en premier lieu.

    RépondreSupprimer
  52. Puisqu'il est dans le meilleur intérêt des sociétés d'avoir des générations riches capables de stimuler la croissance économique, des solutions potentielles sont examinées partout dans la sphère politique. Ils incluent différents régimes fiscaux, la modification des lois successorales et l'annulation potentielle de la dette étudiante.

    Quoi qu'il en soit, il est important de suivre l'évolution de la répartition de la richesse au cours de la prochaine décennie et de commencer à accumuler votre richesse personnelle du mieux que vous le pouvez.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/charting-growing-generational-wealth-gap

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Avoir des enfants c'est ajouter des cerveaux autour de la table. Mais chaque génération a ses modes de vie.

      Supprimer
  53. "Vous ne posséderez rien et vous serez heureux ..."


    par Tyler Durden
    Mer, 12/09/2020 - 23:05
    Rédigé par Jeff Thomas via InternationalMan.com,


    Klaus Schwab est né en Allemagne nazie en 1938. Peu d'informations sont disponibles sur son éducation - c'est-à-dire le degré auquel il a été éduqué pour croire en la doctrine nazie - mais quoi qu'on lui ait appris dans sa jeunesse, il est, aujourd'hui, l'un des les plus fervents croyants et partisans du régime totalitaire.

    Le terme «nazi» fait référence au nationalsozialistisch, ou «national-socialisme», et son concept global était le fascisme - un concept qui englobait un système économique corporatiste, un système politique socialiste et un régime totalitaire.

    Bien que cette description puisse sembler assez compliquée, le concept était considéré par Wall Street et une grande partie du gouvernement américain dans les années 1930 comme la voie de l'avenir. À tel point qu'ils ont fourni un soutien financier et logistique considérable à l'Allemagne nazie dans les années 1930 et même dans les années 1940.

    Après la guerre, seule une poignée d'Allemands a été poursuivie pour crimes de guerre lors des procès de Nuremberg. D'innombrables autres ont été embarqués à la fois par l'industrie américaine et le gouvernement après la guerre, pour éduquer l'industrie américaine à la méthodologie allemande.

    Pendant de nombreuses années après la guerre, les concepts nazis sont restés sous le radar, mais ces dernières années, ils sont devenus une force majeure non seulement aux États-Unis, mais aussi dans les États alliés des États-Unis: le Canada, l'Australie, le Royaume-Uni et, plus particulièrement, le UE.

    Les concepts de base sont éternels dans leur attirance pour ceux qui cherchent à dominer:

    Créez une classe supérieure de ceux qui sont hautement positionnés dans l'industrie et la politique.

    Crippez économiquement la classe moyenne pour qu'elle n'ait plus le pouvoir de prendre ses propres décisions de vie.

    Offrir une dépendance considérablement accrue vis-à-vis de l'État pour soulager les difficultés économiques créées par l'État.

    Supprimer les libertés, en échange de la promesse de largesses de l'Etat.

    Instituer un État policier et un régime totalitaire pour garantir la pérennité du nouveau paradigme.

    Une fois que les contrôles sont pleinement mis en œuvre et que la population est devenue dépendante du nouveau système, commencez à supprimer les droits promis.

    L'idée derrière ce dernier point est que, une fois que la population est totalement dépendante de l'État, elle aura perdu le pouvoir de s'opposer ou de se rebeller si les droits sont supprimés. Ils sont alors totalement dominés.

    Bien sûr, si un individu lisait le menu ci-dessus, il dirait immédiatement: «Pas question!» et rejeter catégoriquement le programme. Par conséquent, si un régime aussi oppressif devait être imposé à un peuple, il devrait lui être vendu comme un avantage et non comme un asservissement virtuel.

    Adolf Hitler était fier de dire: «Faites grand mensonge. Rester simple. Continuez à le dire et finalement, ils le croiront.

    Tout à fait. Heureusement, Monsieur Hitler et ses amis ont été retirés du firmament avant que les dernières étapes du programme puissent être mises en œuvre.

    Mais aujourd'hui, les juridictions énumérées ci-dessus sont maintenant solidement en phase d'achèvement du point n ° 2 et ont commencé à fournir l'offre du point n ° 3: la solution promise à la population.

    Et ainsi, nous revenons à notre garçon d'affiche pour le totalitarisme: Klaus Schwab.

    Sa renommée s'est acquise grâce à sa création et à sa présidence du Forum économique mondial (WEF). Au cours du dernier demi-siècle, le WEF a gagné en influence pour devenir l'un des leaders les plus importants dans la proposition d'un nouvel ordre mondial.

    RépondreSupprimer
  54. Comme pour Monsieur Hitler, pour vendre le totalitarisme 201 aux peuples des pays en question, la technique est encore une fois de «faire le mensonge grand».

    La vidéo du professeur Schwab offre un état idyllique dans lequel les gens peuvent se débarrasser de toutes les dettes personnelles, des bouleversements politiques et des troubles sociaux qui s’étendent maintenant si rapidement.

    La solution proposée est que vous cédiez votre droit à posséder des biens de façon permanente, en échange d'une vie où la responsabilité est minimale.

    Le gouvernement mondial vous fournira un revenu de base. Vous louerez tout ce dont vous avez besoin - une résidence, un véhicule, des appareils électroménagers, même vos vêtements.

    Plus important encore, comme le montre le visage du citoyen dans l’image ci-dessus, vous serez heureux.

    Il n'y aura plus de guerres.

    Une «poignée de pays» gouvernera le monde en coopération.

    Il n'y aura pas d'attente pour des soins médicaux.

    «Il y aura un prix mondial des émissions de carbone». (Cela stipule que ceux qui utilisent des combustibles fossiles - tout le monde - seront taxés pour leur utilisation, bien qu'aucune explication ne soit donnée sur la façon dont cela empêche le monde de se terminer dans douze ans en raison des émissions, comme le prétendent les mondialistes.)

    Le gouvernement aura le contrôle total de tous les aspects de votre vie, ainsi que la tâche d'éliminer tous les obstacles à votre bonheur.

    Cela semble merveilleux. Où dois-je m'inscrire ?

    Mais si nous nous arrêtons et réfléchissons un instant, nous pourrions souhaiter poser quelques questions.

    D'une part, vous renoncez à tous les droits au début de l'accord. Vous aurez perdu tous vos biens et toutes vos libertés. Vous serez à 100 % dépendant de l'état. Leur partie de l'accord est d'être livrée sur le back-end.

    Mais une fois que vous êtes totalement dépendant et que vous ne pouvez plus vous dégager de l’accord, rien ne les empêche de retirer le bol à punch… Oh-oh.

    Toutes les choses qui ont été promises peuvent être retirées une à une, jusqu'à ce que vous soyez à la fois soumis et appauvri. Vous n'aurez pas la capacité de vous rebeller ou même de vous plaindre.

    Pendant des générations, les dirigeants politiques ont offert des promesses creuses qui n'ont jamais été tenues. Les dirigeants politiques conservateurs et libéraux ont toujours fait une grande démonstration de désaccord les uns avec les autres sur la forme de gouvernance qui pourrait le mieux servir le peuple. Pourtant, d'une manière ou d'une autre, le résultat, quel que soit le groupe qui détient théoriquement les rênes du pouvoir à un moment donné, a toujours été un gouvernement plus grand et plus puissant et une population qui a été de plus en plus privée de ses libertés - sociales, politiques et économiques.

    RépondreSupprimer
  55. Nous sommes maintenant au tournant où une grande partie de l'ancien monde libre est tentée de faire le saut dans le «Brave New World».

    Tous les problèmes sociaux, politiques et économiques qui existent actuellement ont été causés par des dirigeants politiques. Ils vous demandent maintenant de leur faire confiance pour mettre fin à ces problèmes.

    La promesse est simple: vous ne posséderez rien. Et vous serez heureux.

    Mais vous n'êtes pas obligé de vous inscrire. Tout ce que vous avez à faire est de rester immobile et d'accepter la transformation au totalitarisme au fur et à mesure qu'elle se déroule.

    Rien de plus simple.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/youll-own-nothing-and-youll-be-happy

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est pourquoi nous nous devons toutes & tous demander la Démocratie (comme en Suisse).
      De cette façon, c'est VOUS qui gouvernez.

      Supprimer
  56. Une perturbation de l'économie numérique est possible car "l'événement Terminator" suggère que le cycle de taches solaires le plus fort enregistré est imminent


    par Tyler Durden
    Mer, 12/09/2020 - 22:45


    Des chercheurs du National Center for Atmospheric Research (NCAR) prévoient que le Soleil est sur le point de se réveiller, projetant des impulsions d'énergie dans l'espace. Les implications de la Terre pourraient être désastreuses car une «météo spatiale» orageuse pourrait être désastreuse pour l'économie numérique.

    Le nouvel article du NCAR publié dans Solar Physics et intitulé "Overlapping Magnetic Activity Cycles and the Sunspot Number: Forecasting Sunspot Cycle 25 Amplitude", prédit que le Sunspot Cycle 25 pourrait culminer avec un nombre maximal de taches solaires entre 210 et 260. Cela contredit les prévisions officielles du National L'Administration de l'aéronautique et de l'espace et la National Oceanic and Atmospheric Administration, qui s'attendent toutes deux à ce que le cycle 25 des taches solaires soit aussi faible que le cycle 24 des taches solaires a culminé autour de 116.

    Si la prévision du NCAR est correcte, elle soutiendra la théorie de l'équipe de recherche selon laquelle le Soleil a «des cycles magnétiques de 22 ans qui se chevauchent et interagissent pour produire le cycle bien connu des taches solaires d'environ 11 ans comme sous-produit. Les cycles de 22 ans se répètent comme horloge et pourrait être une clé pour enfin faire des prédictions précises du moment et de la nature des cycles de taches solaires, ainsi que de nombreux effets qu'ils produisent », selon NCAR & UCAR News, citant les auteurs de l'étude.

    En utilisant 140 ans d'observations solaires, les chercheurs ont pu identifier les événements «terminateurs» qui signalent la fin d'un cycle de taches solaires. Ils pensent que le cycle 24 des taches solaires s'est terminé au premier semestre de 2020, avec le début imminent du cycle 25 des taches solaires.

    "McIntosh pense que les points lumineux marquent le voyage des bandes de champ magnétique, qui s'enroulent autour du Soleil. Lorsque les bandes des hémisphères nord et sud - qui ont des champs magnétiques de charge opposée - se rencontrent à l'équateur, elles s'annihilent mutuellement, entraînant une Événement «terminateur». Ces terminateurs sont des marqueurs cruciaux sur l'horloge de 22 ans du Soleil, dit McIntosh, car ils signalent la fin d'un cycle magnétique, ainsi que son cycle de taches solaires correspondant, - et agissent comme un déclencheur pour le cycle magnétique suivant pour commencez, "ont déclaré NCAR & UCAR News.

    Événement Terminator

    Le directeur adjoint du NCAR, Scott McIntosh, un physicien solaire qui a dirigé l'étude, a déclaré: «Les preuves de terminateurs ont été cachées dans les enregistrements d'observation pendant plus d'un siècle, mais jusqu'à présent, nous ne savions pas ce que nous recherchions. une telle variété d'observations sur tant d'années, nous avons pu reconstituer ces événements et fournir un regard entièrement nouveau sur la façon dont l'intérieur du Soleil entraîne le cycle solaire. "

    La source d'une tache solaire est une éruption solaire, qui peut interrompre l'activité des satellites, les systèmes de navigation et même faire sauter des transformateurs sur les réseaux électriques. Simultanément, les taches solaires peuvent également libérer des éjections de masse coronale, qui est une énergie magnétique qui peut produire des aurores boréales.

    Alors que le Soleil entre dans une période d'activité peut-être record, le télescope solaire Daniel K. Inouye à Hawaï a publié une image d'une tache solaire avec des détails sans précédent.

    RépondreSupprimer
  57. «Chacune des 'échelles' autour de la tache solaire elle-même est une cellule de convection - des zones d'environ 1500 km (932 miles) de diamètre, avec du plasma chaud en éruption du centre qui se refroidit alors qu'il s'écoule vers l'extérieur, créant l'effet de motif autour de la périphérie de la la tache solaire elle-même », a déclaré RT News.

    Peut-être que les prévisions du NCAR sont exactes. La semaine dernière, l'une des explosions solaires les plus fortes, mesurée comme une éruption de catégorie M4.4, a été enregistrée.

    Il y a quelques années, Mike Hapgood, responsable de la météorologie spatiale au laboratoire britannique Rutherford Appleton, a déclaré que le soleil était "très calme ces dix dernières années. Il rappelle aux gens de ne pas se montrer complaisants".

    Même le gouvernement fédéral a commencé à préparer la nation pour un événement météorologique spatial avec le décret de 2016 signé par l'administration Obama intitulé «Coordonner les efforts pour préparer la nation aux événements météorologiques spatiaux».

    Un cycle solaire super actif pourrait être une horrible nouvelle pour l'économie numérique, car les perturbations provoquées par les éruptions solaires pourraient créer des dommages économiques massifs. Imaginez simplement si une tempête solaire détruisait les réseaux électriques ou les réseaux de communication, avec tout le monde travaillant à domicile, l'économie serait pratiquement paralysée.

    https://www.zerohedge.com/markets/digital-economy-disruption-possible-terminator-event-suggests-strongest-sunspot-cycle

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Disons plutôt que cela ne s'est JAMAIS passé dans le passé et que ce ne sont donc que des suggestions !
      Mais, que certains pays profitent de cette situation pour sortir l'EMP, c'est aussi tout-à-fait possible.

      Supprimer
  58. Une enquête criminelle de Hunter Biden confirme l'affirmation d'un érudit chinois selon laquelle Pékin s'est infiltré au sommet de l'Amérique


    par Tyler Durden
    Mer, 12/09/2020 - 22:25
    Rédigé par Glenn Greenwald via greenwald.substack.com,


    Hunter Biden a reconnu aujourd'hui qu'il avait été informé d'une enquête criminelle en cours sur ses affaires fiscales par le procureur américain du Delaware. Parmi les nombreux volets de l'enquête, rapporte CNN, les enquêteurs examinent «si Hunter Biden et ses associés ont violé les lois fiscales et de blanchiment d'argent dans les relations commerciales dans les pays étrangers, principalement en Chine».

    Des documents relatifs à l'exploitation par Hunter Biden du nom de son père pour s'enrichir lui-même et d'autres proches grâce à des accords avec la Chine figuraient parmi la cache publiée la semaine précédant les élections par le New York Post - des révélations censurées par Twitter et Facebook et fermement ignorées par la plupart des informations grand public. prises électriques. Cet effort de répression concerté des médias et de la Silicon Valley a laissé le soin à des médias de droite tels que Fox News et The Daily Caller de faire rapport, ce qui signifiait que des millions d'Américains étaient tenus dans le noir avant de voter.

    Mais l'enquête criminelle fédérale qui vient d'être révélée dans le Delaware se concentre exactement sur les questions que les médias d'entreprise ont refusé d'examiner de peur que cela n'aiderait Trump: à savoir, si Hunter Biden s'est engagé dans un comportement illicite en Chine et quel impact cela pourrait avoir sur la présidence de son père.

    Les allégations au cœur de cette enquête obligent à examiner un discours fascinant et parfois dérangeant lors d'un événement financier majeur qui s'est tenu la semaine dernière à Shanghai. Dans ce discours, un spécialiste chinois des sciences politiques et de la finance internationale, Di Donghseng, a insisté sur le fait que Pékin aurait beaucoup plus d'influence à Washington sous une administration Biden qu'avec l'administration Trump.

    La raison, a déclaré Di, est que la capacité de la Chine à se frayer un chemin à Washington dépend depuis longtemps de ses nombreux alliés puissants de Wall Street. Mais ces alliés, a-t-il dit, ont eu du mal à contrôler Trump, mais exerceront un pouvoir pratiquement illimité sur Biden. Le fait que la Chine entretienne des liens financiers étendus avec Hunter Biden, a expliqué Di, sera crucial pour renforcer encore davantage l'influence de Pékin.

    Di, qui en plus de ses fonctions d’enseignant est également vice-doyen de l’École des relations internationales de l’Université Renmin de Beijing, a prononcé son allocution aux côtés de trois autres experts chinois des banques et du développement. Le discours de Di lors de l'événement, intitulé «L'ouverture de son secteur financier par la Chine attirera-t-il Wall Street?», A été traduit et publié par Jennifer Zeng, une critique du Parti communiste chinois qui a quitté la Chine il y a des années, citant des persécutions religieuses, et vit maintenant dans le États-Unis Une source parlant couramment le mandarin a confirmé l'exactitude de la traduction.

    La pièce maîtresse du discours de Di était l'histoire qu'il a exposée de la façon dont Pékin a longtemps réussi à protéger ses intérêts dans les couloirs du pouvoir américain: à savoir, en s'appuyant sur des «amis» à Wall Street et dans d'autres secteurs de la classe dirigeante américaine - qui ont fonctionné efficacement. jusqu'à la présidence Trump.

    Faisant référence à la guerre commerciale de l'ère Trump entre les deux pays, Di a posé cette question: «Pourquoi la Chine et les États-Unis ont-ils utilisé pour être en mesure de régler toutes sortes de problèmes entre 1992 [lorsque Clinton est devenu président] et 2016 [lorsque le président d'Obama a quitté ses fonctions ? ] ? » Il a ensuite fourni cette réponse:

    RépondreSupprimer
  59. Quel que soit le type de crise que nous avons rencontré - que ce soit l'incident de Yinhe [lorsque les États-Unis ont interdit un navire chinois en croyant à tort qu'il transportait des armes chimiques pour l'Iran], le bombardement de l'ambassade [l'attentat de 1992 par les États-Unis contre l'ambassade de Chine à Belgrade], ou l’écrasement de l’avion [l’écrasement en 2001 d’un avion espion militaire américain contre un avion de chasse chinois] - les choses ont toutes été résolues en un rien de temps, comme le font un couple avec leurs querelles commençant à la tête de lit mais se terminant au extrémité du lit. Nous avons tout réglé en deux mois. Quelle est la raison? Je vais lancer quelque chose peut-être un peu explosif ici.

    C'est simplement parce que nous avons des gens au sommet. Nous avons nos vieux amis qui sont au sommet du cercle restreint de pouvoir et d'influence de l'Amérique.

    Qui sont ces «vieux amis» de la Chine «qui sont au sommet du cercle restreint du pouvoir et de l'influence de l'Amérique» et qui ont veillé à ce que, selon ses propres termes, «depuis 30 ans, 40 ans, nous utilisons le noyau puissance des États-Unis »? Di a fourni la réponse: Wall Street, avec qui la partie communautaire chinoise et l'industrie chinoise entretiennent une relation étroite, multidimensionnelle et interdépendante.

    «Depuis les années 1970, Wall Street a eu une très forte influence sur les affaires intérieures et étrangères des États-Unis», a observé Di. Ainsi, "nous avions un canal sur lequel nous appuyer."

    Pour illustrer l'utilité de Wall Street envers les intérêts chinois aux États-Unis, Di a raconté une histoire colorée, bien que fusionnée avec des tropes antisémites, de ses efforts infructueux en 2015 pour obtenir le lieu de prédilection à Washington pour les débuts de Livre du président Xi Jinping sur la Chine. Peu importe à quel point il cajolait le propriétaire de la librairie emblématique de D.C. Politics and Prose, ou ce qu'il lui offrait, Di s'est fait dire qu'il n'était pas disponible, déjà promis à un autre auteur. Il a donc fait part de son échec à la direction du Parti.

    Mais à la dernière minute, raconte Di, on lui a dit que le lieu avait soudainement changé d'avis et avait accepté d'accueillir l'événement du livre de Xi. C'était le travail, a-t-il dit, de quelqu'un à qui les dirigeants du Parti l'ont présenté: «Elle vient d'une institution financière mondiale célèbre et de premier plan à Wall Street», a déclaré Di, «le président de la région Asie d'une institution financière de haut niveau. », Qui parle parfaitement le mandarin et a une maison tentaculaire à Pékin.

    Le fait - que la relation étroite de la Chine avec Wall Street lui a donné des amis très puissants aux États-Unis - était si clair qu'il lui suffisait de rire timidement avec le public: «Comprenez-vous ce que je veux dire? Si vous le faites, mettez vos mains ensemble! » Ils ont applaudi sciemment.

    Tout cela a provoqué une question évidente: pourquoi cette relation étroite avec Wall Street n'a-t-elle pas permis à la Chine d'exercer la même influence pendant les années Trump, notamment en évitant une guerre commerciale coûteuse ? Di a expliqué que - mis à part le statut réduit de Wall Street en raison de la crise financière de 2008 - tout a changé lorsque Trump est monté à la présidence; plus précisément, Wall Street ne pouvait pas le contrôler comme il avait eu des présidents précédents en raison des conflits antérieurs de Trump avec Wall Street:

    RépondreSupprimer
  60. Mais le problème est qu'après 2008, le statut de Wall Street a décliné et, plus important encore, après 2016, Wall Street ne peut pas réparer Trump. C'est très gênant. Pourquoi ? Trump avait déjà eu un problème avec Wall Street par défaut, il y avait donc un conflit entre eux, mais je n'entrerai pas dans les détails, je n'ai peut-être pas assez de temps.

    Ainsi, pendant la guerre commerciale américano-chinoise, [Wall Street] a essayé d'aider, et je sais que mes amis du côté américain m'ont dit qu'ils essayaient d'aider, mais ils ne pouvaient pas faire grand-chose.

    Mais alors que Di passait à sa discussion sur la nouvelle administration entrante, son ton a sensiblement changé, devenant beaucoup plus animé, excité et optimiste. C'est parce qu'une présidence Biden signifie une restauration de l'ordre ancien, où Wall Street exerce une grande influence auprès de la Maison Blanche et peut ainsi faire la demande de la Chine: «Mais maintenant, nous voyons que Biden a été élu, l'élite traditionnelle, l'élite politique, le établissement, ils sont très proches de Wall Street, alors vous voyez ça, non ?

    Et Di a spécifiquement fait référence au travail effectué par Pékin pour cultiver Hunter:

    Trump a dit que le fils de Biden avait une sorte de fondation mondiale. Avez-vous remarqué cela ?

    Qui a aidé [le fils de Biden] à construire les fondations ? Je l'ai ? Il y a beaucoup d'offres à l'intérieur de tout cela.

    Les extraits du discours de Di peuvent être vus ci-dessous, et la transcription traduite ici.

    Les allégations dans son discours peuvent être vues sous un nouveau jour étant donné les révélations d'aujourd'hui selon lesquelles le procureur américain a repris son enquête criminelle active sur les relations commerciales de Hunter Biden en Chine et s'il a rendu compte à l'I.R.S. pour le revenu (Shimon Prokupecz de CNN dit qu '«au moins l'une des questions que les enquêteurs ont examinées est un cadeau en 2017 d'un diamant de 2,8 carats que Hunter Biden a reçu du fondateur et ancien président du CEFC [China Energy'], Ye Jianming après un Réunion d’affaires à Miami. »

    Les déclarations de ce professeur d'université et administrateur ne doivent pas être considérées comme un évangile, mais il y a une confirmation indépendante substantielle pour une grande partie de ce qu'il a affirmé. C’est encore plus vrai après les nouvelles d’aujourd’hui sur Hunter Biden.

    Le fait que Hunter Biden ait reçu d'importantes sommes d'argent d'entités chinoises n'est pas contesté. Un rapport du Comité sénatorial américain sur la sécurité intérieure et les affaires gouvernementales plus tôt cette année, tout en ne trouvant aucun acte répréhensible de Joe Biden, a documenté des millions de flux de trésorerie entre Hunter et ses proches et les intérêts chinois.

    RépondreSupprimer
  61. Il ne peut pas non plus être raisonnablement contesté que Wall Street exerce une influence significative sur la politique du Parti démocrate en général et dans le monde de Joe Biden en particulier. Citant des données du Center for Responsive Politics, CNBC a rapporté dans les semaines précédant les élections:

    Les gens du secteur des valeurs mobilières et des investissements termineront le cycle électoral de 2020 en contribuant plus de 74 millions de dollars pour soutenir la candidature de Joe Biden à la présidence, une somme beaucoup plus importante que ce que le président Donald Trump a recueilli à Wall Street.

    Ils ont ajouté: "Biden a également reçu une tonne de soutien financier de la part des dirigeants de Wall Street au troisième trimestre." Dans le même temps, a déclaré CNN, "les professionnels de Wall Street évitent Trump et acheminent des sommes faramineuses vers son adversaire." Les dirigeants de Wall Street, a rapporté CNBC, ont spécialement célébré le choix de Biden de Kamala Harris comme colistier, notant que sa propre campagne présidentielle de courte durée était inondée de «contributions de cadres dans un large éventail d'industries, y compris le cinéma, la télévision, la finance."

    De plus, les meilleurs membres de Biden jusqu'à présent ont des liens massifs avec Wall Street et les industries qui dépensent le plus pour contrôler le gouvernement américain. À titre d'exemple flagrant, Pine Island Investment Corp. - une société d'investissement dans laquelle des personnes clés nommées par Biden, y compris le candidat du secrétaire d'État Antony Blinken et le candidat en chef du Pentagone, le général Lloyd Austin, ont été impliquées au niveau central - «constate une augmentation du soutien de Wall Street. joueurs après avoir présenté un accès aux investisseurs. »

    Avant la sélection officielle de Blinken et Austin pour des postes clés au sein du Cabinet, The Daily Poster a rapporté que «deux anciens responsables du gouvernement qui pourraient désormais diriger l'équipe de sécurité nationale du président élu Joe Biden ont été associés dans une société de capital-investissement promettant désormais aux investisseurs de gros bénéfices. les affaires du gouvernement en raison de ses liens avec ces fonctionnaires. Le New York Times a déclaré la semaine dernière que «les liens de l'équipe Biden avec ces entités présentent à l'administration entrante son premier test de transparence et d'éthique» et que Pine Island est un exemple «de la façon dont d'anciens responsables tirent parti de leur expertise, de leurs relations et de leur accès au nom. des sociétés et d'autres intérêts, sans dans certains cas divulguer les détails de leur travail, y compris les noms des clients ou ce qu'ils sont payés. »

    Le fait que la Chine et Wall Street aient une relation extrêmement étroite est documenté depuis des années. Le Financial Times - sous le titre «Pékin et Wall Street approfondissent leurs liens malgré la rivalité géopolitique» - a rapporté le mois dernier que «des groupes de Wall Street, dont BlackRock, Citigroup et JPMorgan Chase, ont chacun reçu l'autorisation d'étendre leurs activités en Chine ces derniers mois.

    RépondreSupprimer

  62. Un article majeur du Wall Street Journal de la semaine dernière, portant le titre «La Chine a encore un ami puissant aux États-Unis: Wall Street», a fait écho au discours de Di en notant que «les dirigeants chinois se sont tournés à maintes reprises vers Wall Street pour obtenir de l'aide en période de difficulté." Cet article du WSJ a particulièrement souligné les liens croissants entre la Chine et le géant de la gestion d'actifs BlackRock, une entreprise qui a déjà une influence démesurée dans l'administration Biden. Et les liens de Michael Bloomberg avec la Chine ont été si cruciaux qu'il a régulièrement fait l'éloge de Pékin, même si cela était politiquement néfaste.

    Même les plus petits détails du discours de Di - y compris son anecdote sur l’événement du livre qu’il a tenté d’organiser pour Xi - sont à vérifier. Des reportages contemporains montrent que exactement l'événement du livre qu'il a décrit a eu lieu à Politics and Prose en 2015, comme il l'a rappelé.

    Rien de tout cela ne signifie que Trump était une sorte d'ennemi fidèle de Wall Street. Des réductions massives de l'impôt sur les sociétés aux annulations de réglementations dans de nombreux secteurs et dans bon nombre des leurs à des postes clés, le secteur financier a bénéficié de toutes sortes de manières de la présidence Trump.

    Mais tout leur comportement indique qu'ils considèrent une administration Biden / Harris comme beaucoup plus bénéfique pour leurs intérêts et beaucoup plus susceptible de leur contrôle. Et cela, à son tour, rend Pékin beaucoup plus convaincu qu'ils exerceront beaucoup plus d'influence à Washington qu'ils ne le pourraient au cours des quatre dernières années.

    Cette confiance est due, dit le professeur Di, aux liens étroits de Pékin avec un Wall Street nouvellement habilité ainsi qu'à leurs efforts pour cultiver Hunter Biden, efforts sur lesquels nous allons probablement en apprendre beaucoup plus maintenant que les activités de Hunter en Chine font l'objet d'une enquête criminelle active. Delaware. Nous aurions dû et aurions pu être informés de ces transactions avant les élections si la plupart des médias n'avaient pas décidé par la corruption d'ignorer tout rapport incriminant sur Biden, mais en apprendre à leur sujet maintenant est, pourrait-on dire, mieux vaut tard que jamais.

    https://www.zerohedge.com/political/hunter-biden-criminal-probe-bolsters-chinese-scholars-claim-beijing-infiltrating-top

    RépondreSupprimer
  63. "Moment historique" - La viande cultivée en bioréacteur obtient l'approbation à Singapour


    par Tyler Durden
    Mer, 12/09/2020 - 22:05


    Selon NYT, la société alimentaire californienne Eat Just Inc. a obtenu l'approbation réglementaire à Singapour la semaine dernière pour produire et vendre de la viande de poulet cultivée en laboratoire.

    Eat Just décrit sa viande cultivée en laboratoire comme «une vraie viande de haute qualité créée directement à partir de cellules animales pour une consommation humaine sûre».

    Le 2 décembre, la Singapore Food Agency (SFA) a approuvé la vente de la viande comme ingrédient dans les nuggets de poulet.
    Source: Reuters

    "C'est un moment historique dans le système alimentaire", a déclaré le directeur général de Eat Just, Josh Tetrick, au NYT lors d'un entretien téléphonique la semaine dernière.

    Tetrick a déclaré: "Nous mangeons de la viande depuis des milliers d'années, et chaque fois que nous avons mangé de la viande, nous avons dû tuer un animal - jusqu'à maintenant."

    Le processus d'approbation fait suite à deux ans de discussions et d'examen avec la SFA. L'agrément ouvre la voie aux premières ventes commerciales de viande de culture cellulaire produite dans un bioréacteur.

    La décision de Singapour est "la première approbation réglementaire au monde pour un produit de viande cultivée", a déclaré Elaine Siu, directrice générale du Good Food Institute Asia Pacific, un groupe à but non lucratif axé sur la promotion de substituts végétaux pour les produits d'origine animale.

    "N'importe qui dans ce domaine saurait que c'est le premier au monde parce que tout le monde attend - et essaie de faire pression et de se battre pour cela - depuis quelques années", a ajouté Siu.

    Avec la technologie encore à ses débuts, la production de viande de poulet dans des bioréacteurs est extrêmement coûteuse que l'élevage de bétail. La société prévoit d'augmenter la taille de ses bioréacteurs qui produiraient plus de viande de laboratoire et feraient baisser les prix.

    Tetrick ne nommerait pas le restaurant de Singapour qui commencerait à vendre la viande de culture cellulaire. La société avait précédemment déclaré qu'une seule pépite de poulet coûte environ 50 $ à fabriquer.

    Alors que les écologistes ont soulevé des inquiétudes quant au fait que le bétail produit une quantité importante des émissions mondiales de gaz à effet de serre chaque année - une transition de l'approvisionnement alimentaire mondial, lors de la «réinitialisation mondiale», à la viande de laboratoire pourrait faire partie du plan directeur de durabilité alimentaire.

    Il est probable qu'un jour nous mangerons tous de la fausse viande, oh oui, et probablement des grillons.

    https://www.zerohedge.com/technology/historic-moment-meat-grown-bioreactor-gets-approval-singapore

    RépondreSupprimer
  64. LA COUR SUPRÊME HUMILIE TRUMP... VRAIMENT ?


    par CHARLES SANNAT
    10/12/2020


    La dette des USA a atteint 135 % du PIB.

    Comme vous le savez je me passionne pour ce qu’il se passe outre-Atlantique, parce que c’est potentiellement explosif en termes économique, politique et même géopolitique. Je me passionne également sur cette affaire parce que le traitement médiatique est assez ahurissant, ce qui montre d’ailleurs bien le potentiel explosif justement de cette histoire.

    Il s’est encore passé des choses.

    Ce matin je me réveille, et ma tendre épouse m’attend au pied du lit (elle se réveille toujours plus tôt que moi) avec son smartphone à la main, l’air victorieux, le regard provocateur ! Chéri, regarde ce que dit la presse ce matin » La Cour suprême inflige un revers cinglant à Trump », tu vois, il a perdu les élections, c’est Biden qui a gagné !

    Le problème, c’est qu’au saut du lit, vous conviendrez que faire une docte analyse du droit constitutionnel américain n’est pas chose aisée… mais comme la veille j’avais un peu travaillé mon dossier jusqu’à très tard dans la nuit pour tout vous dire, j’explique entre deux bâillements et en frottant mes yeux embrumés à ma tendre épouse que je trouve ça plutôt logique, que la Cour suprême que nous appellerons SCOTUS (Pour Supreme Court Of The United States) est là pour se prononcer non pas sur le vol de l’orange du marchand et de savoir si Peter (Pan) qui est le présumé coupable est bien coupable ou pas, mais sur la constitutionnalité par exemple de ses droits, de la peine, de sa détention, etc…

    Ici Scotus a bien rejeté la demande d’un élu républicain qui demandait à ce que les résultats des élections en Pennsylvanie ne puissent pas être certifiés. Mais ce n’est pas un problème constitutionnel puisque l’énEtat concerné a bien le droit de certifier ce que bon lui semble sans que cela ne soit « inconstitutionnel » ce qui ne veut pas dire que ce soit honnête ou pas risqué de le faire juridiquement ! D’ailleurs le blog Scotus (indépendant de la vraie Scotus) écrit bien que ce cas est différent de l’affaire engagée par l’Etat du Texas qui entre temps a été rejoint par de nombreux autres Etats !

    The Supreme Court has rejected a Pennsylvania Republican congressman’s request to prevent Pennsylvania from certifying its presidential election results in favor of Joe Biden.

    This case is different from the lawsuit filed by the state of Texas this morning. https://t.co/ReS0eU0JsY pic.twitter.com/ybt6Dvlom4

    — SCOTUSblog (@SCOTUSblog) December 8, 2020
    Entre temps, Trump a également mis un petit message.

    RépondreSupprimer
  65. Le voici.

    This was not my case as has been so incorrectly reported. The case that everyone has been waiting for is the State’s case with Texas and numerous others joining. It is very strong, ALL CRITERIA MET. How can you have a presidency when a vast majority think the election was RIGGED ? https://t.co/ZKu9sNVz2U
    — Donald J. Trump (@realDonaldTrump) December 9, 2020

    Que nous dit Trump ?

    Que le cas dont on parle n’était pas son affaire, ni une bien grosse affaire, et que la grosse affaire, celle que tout le monde attendait est celle de l’Etat du Texas accompagné par d’autres états car « tous les critères sont rencontrés ».

    Entendez par là que cette saisie se fait effectivement sur la base de critères purement constitutionnels, et Scotus comme chez nous le Conseil Constitutionnel ne se prononce pas sur la culpabilité des justiciables mais sur… la constitutionnalité des choses !!! Cela n’a rien à voir, et c’est ce que l’on apprend en première année de droit pour celles et ceux qui ont fait leur droit!!

    « Quand Scotus renversera le résultat de l’élection… »

    Cette affirmation comme ce texte sont de Graham Summers qui est Senior Market Strategist chez Phoenix Capital Research, une société indépendante de recherche financière basée à Charlottesville, en Virginie. Au moins il est un peu américain et un peu en Amérique ! Pas comme moi. Voilà ce qu’il dit dans sa dernière lettre à laquelle je suis abonné :

    « Comment et quand le SCOTUS renversera l’élection

    Préparez-vous pour un feu d’artifice.

    L’État du Texas (ainsi que l’Alabama, l’Arkansas, la Floride, le Kentucky, la Louisiane, le Mississippi, la Caroline du Sud et le Dakota du Sud) poursuit les États de Géorgie, du Michigan, de Pennsylvanie et du Wisconsin devant la Cour suprême.

    Le Texas fait valoir que ces quatre États ont violé la constitution lorsqu’ils ont adopté de nouvelles lois électorales pour permettre le vote par correspondance et d’autres modifications de leur processus électoral.

    La Constitution des États-Unis stipule explicitement que seuls les législateurs des États, et NON les gouverneurs, les procureurs généraux ou les secrétaires d’État, peuvent modifier la manière dont les élections sont traitées.

    Les médias restent assez discrets à ce sujet, ou tentent de faire croire que ce n’est rien, mais c’est un accord énorme. La Cour suprême a déjà inscrit l’affaire sur les registres, ce qui signifie que le CSCE va l’entendre.

    Si le SCOTUS juge que la Géorgie, le Michigan, la Pennsylvanie et le Wisconsin ont effectivement violé la constitution (ils l’ont fait), alors soit :

    1) Les votes qui étaient autorisés par les nouvelles lois sont rejetés.

    Ou bien…

    2) Les élections dans ces États deviennent nulles et non avenues.

    Si le résultat est #1, alors le président Trump remporte les quatre États dans une écrasante majorité.

    RépondreSupprimer
  66. N’oubliez pas que les bulletins de vote par correspondance ont été massivement favorables à Biden (plus de 90 %). Si ces votes ne comptent plus, Biden perd des dizaines de milliers de voix dans les quatre États clés (sa marge de victoire n’est que de 1 % ou moins dans ces quatre États).

    Si le résultat est #2, alors 62 votes du collège électoral disparaissent du décompte des votes.

    Cela signifie que PERSONNE n’atteint les 270 votes du collège électoral requis pour remporter l’élection et que l’élection se déroule au Congrès conformément au 12e amendement.

    Là, la Chambre des représentants vote pour le Président sur la base d’un vote par État. Le GOP compte 26 États, les démocrates 24.

    Cela signifie encore une fois que Trump remporte l’élection.

    Vous pouvez être furieux autant que vous voulez, mais c’est la loi. Le fait que les médias ne se donnent pas la peine d’expliquer cela révèle seulement qu’ils ignorent le fonctionnement des élections aux États-Unis ou qu’ils sont tellement partiaux qu’ils ne peuvent pas se donner la peine de considérer un résultat dans lequel Biden ne gagne pas.

    Alors, comme je l’ai dit… préparez-vous à un feu d’artifice. Les chances que le président Trump gagne réellement l’élection sont les plus élevées qu’il ait jamais eues depuis l’élection elle-même ».

    Trump peut donc parfaitement gagner juridiquement parlant. Cela n’est pas du tout impossible. Cela peut ouvrir une période de grandes difficultés aux Etats-Unis et donc pour le monde entier.

    Encore une fois, je ne sais pas si cela VA arriver, et je me garde bien d’exprimer des certitudes ou de doctes vérités que d’autres en revanche répandent de manière totalement fausse ! Tenez regardez par vous-même !

    Quant au dernier message de Laurence Haim l’envoyée spéciale en contrée américaine… le voici !

    Ca continue avec 81 millions de voix Biden /74 millions Trump
    306 grands électeurs Biden/ 232 Trump.
    MAIS Trump refuse de concéder, a reparlé hier "d'un second mandat Trump". Le Texas demande à la Cour Supreme de déclarer dans des etats swings l'élection inconstitutionnelle

    — LAURENCE HAIM (@lauhaim) December 9, 2020
    Il est confondant.

    Car le problème n’est pas le nombre de voix.

    Le problème est encore moins le nombre de grands électeurs.

    Le problème EST la constitutionnalité ou pas de ces élections.

    Je rappelle que même en ex-Urss une République, le secrétaire général était élu avec 99 % des voix !

    La différence entre une démocratie et une dictature tient souvent à de simples principes écrits sur ce que l’on appelle des Constitutions.

    Et c’est dans ces cas-là que le respect de la Constitution peut tout changer, que cela plaise ou non.

    L’heure décisive arrive, elle approche.

    Le monde retient son souffle.

    Je me demande comment ma femme me réveillera demain matin !

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

    http://www.economiematin.fr/news-cour-supreme-trump-election-echec-sannat

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Pareillement que le parti Américain 'démocrate' est ANTI Démocratie !!
      Car, la Démocratie c'est Par le Peuple, Pour le Peuple
      C'est-à-dire que c'est le Peuple qui propose SES lois et vote SES lois (ce qui n'EXISTE PAS en Amérique !).
      Donc: Remise en cause avec effaçage du mot 'démocrate' a un parti qui s'y oppose à l'être.

      Supprimer
  67. Le Texas intente un procès pour invalider l’élection de Biden, 17 États soutiennent sa procédure


    14:59 10.12.2020
    Par Anna Dedkova


    Le Président américain sortant et les procureurs généraux de 17 États ont accordé le 9 décembre leur soutien au Texas qui a présenté une requête devant la Cour suprême des États-Unis afin de retarder le vote des grands électeurs de quatre États clés remportés par Joe Biden.

    Il s’agit du Michigan, de la Géorgie, de la Pennsylvanie et du Wisconsin, qui représentent environ 20 millions d’électeurs.

    C’est le procureur général républicain du Texas, Ken Paxton, qui dirige la procédure. La plainte souligne que les mesures pour faciliter le vote par correspondance dans ces États étaient «inconstitutionnelles» et demande à la plus haute juridiction fédérale d’empêcher lesdits États d’utiliser les résultats pour nommer les grands électeurs.

    It looks like we have a new leader in the “craziest lawsuit filed to purportedly challenge the election” category:

    The State of Texas is suing Pennsylvania, Georgia, Michigan, and Wisconsin *directly* in #SCOTUS.

    (Spoiler alert: The Court is *never* going to hear this one.) pic.twitter.com/2L4GmdCB6I

    — Steve Vladeck (@steve_vladeck) December 8, 2020
    Le responsable demande également à la Cour suprême de repousser le vote du Collège électoral, prévu pour le 14 décembre et qui désignera officiellement le prochain Président.

    Soutien de 17 autres États

    Remportés par Donald Trump, 17 États se sont portés amici curiae (amis de la Cour) en apportant leur soutien au Texas. Selon eux, c’est un «intérêt national important» car «l’impact du vote dans chaque État est affecté par les votes dans les autres États».

    Reuters rapporte que les avocats représentant ces 17 États, avec en chef de file le procureur général du Missouri, Éric Schmitt, ont également demandé à la Cour suprême de se pencher sur cette affaire, dans un document distinct.

    À titre personnel, Donald Trump a déposé dans la foulée une motion to intervene, un recours par lequel il demande à devenir un plaignant.

    We will be INTERVENING in the Texas (plus many other states) case. This is the big one. Our Country needs a victory!

    — Donald J. Trump (@realDonaldTrump) December 9, 2020
    Résultats contestés
    Le camp républicain et Trump contestent la victoire de Joe Biden et dénoncent une fraude électorale massive, notamment via le vote par correspondance.

    RépondreSupprimer
  68. Un tiers des États américains se sont désormais joints à la candidature du Texas SCOTUS pour annuler les élections

    par Tyler Durden
    Mer, 12/09/2020 - 15:55


    Mise à jour (1555ET): Un total de dix-sept États américains ont déposé mercredi un mémoire devant la Cour suprême des États-Unis pour soutenir la tentative du Texas d'annuler les résultats des élections.

    - voir liste sur site -

    Par SaraACarter.com,

    C'était d'abord la Louisiane, puis mardi tard Eric Schmitt, le procureur général du Missouri, a annoncé qu'il rejoindrait le Texas dans la bataille pour la Cour suprême.

    «L'intégrité électorale est au cœur de notre république», a déclaré Schmitt dans un tweet. «Et je vais le défendre à chaque tournant. Comme je l’ai fait dans d’autres cas, j’aiderai à diriger les efforts en faveur du dépôt #SCOTUS du Texas aujourd’hui. Le Missouri est dans le combat.

    «Si d’autres États ne respectent pas la Constitution et si leur législature n’est pas chargée de superviser leurs élections… cela affecte mon État», a déclaré mardi Ken Paxton, le procureur général du Texas, dans un entretien avec Sean Hannity.

    Ken Paxton a déposé une plainte lundi dernier auprès de la Cour suprême des États-Unis pour contester les procédures électorales menées en Géorgie, au Michigan, en Pennsylvanie et au Wisconsin.

    «Notre travail consiste à nous assurer que la Constitution est respectée et que chaque vote compte. Et dans ce cas, je ne suis pas sûr que chaque vote ait été compté. Pas dans le bon sens », a poursuivi Paxton.

    https://www.zerohedge.com/political/missouri-joins-texas-taking-election-fight-supreme-court

    RépondreSupprimer
  69. Le président peut-il se pardonner ?


    Par Andrew P. Napolitano
    10 décembre 2020


    La plupart des grâces présidentielles - en fait toutes les grâces accordées par le président Donald Trump - ont été pour des crimes spécifiques dont le sujet de la grâce a déjà été accusé et condamné. Pourtant, Trump, qui n'a jamais été retenu par un précédent, a laissé entendre qu'il pourrait accorder des pardons prophylactiques à des parents et à des collègues qui n'ont été ni condamnés ni accusés de crimes. Et il pourrait se pardonner. Peut-il faire ça ?

    La reponse courte est oui. Voici la trame de fond.

    Le pouvoir de grâce est expressément et exclusivement accordé au président dans la Constitution. L'article 2, section 2, clause 1, stipule que le président «aura le pouvoir d'accorder des sursis et des grâces pour des infractions contre les États-Unis, sauf en cas de destitution». Une fois déballé, ce langage large révèle que le président ne peut pardonner que pour les crimes fédéraux, pas pour la destitution de quiconque, et il n’a besoin de l’approbation de personne d’autre au sein du gouvernement.

    Trump fait l'objet d'une enquête pénale à New York pour violations présumées ou potentielles des lois de l'État. Mais l'existence d'une enquête pénale étatique contre le président n'affecte pas sa capacité à s'isoler des conséquences juridiques d'une enquête pénale fédérale, car il est clair que le président ne peut pardonner à quiconque - y compris lui-même - pour des infractions étatiques.

    Comme il y a eu peu de litiges modernes sur la validité et la portée des pardons individuels pour des infractions fédérales, il y a peu de jurisprudence. La jurisprudence existante favorise globalement une vision large du pouvoir de grâce présidentiel. L'affaire principale est Ex parte Garland de 1866. Là, la Cour suprême a confirmé une grâce accordée à Augustus Hill Garland, un ancien sénateur de l'Arkansas dans les États confédérés d'Amérique.

    Garland, qui a soutenu son Arkansas natal pendant la guerre civile, a été gracié après la guerre de toutes les infractions contre les États-Unis par le président Andrew Johnson, même si l'ancien sénateur n'avait été accusé d'aucun crime. Lorsque des fonctionnaires fédéraux, conformément à une loi, ont refusé de lui permettre de pratiquer le droit devant les tribunaux fédéraux en raison de son soutien à la Confédération et de son refus de renoncer à ce soutien, il les a poursuivis.

    La Cour suprême s'est prononcée en faveur de Garland et a estimé que le pouvoir de grâce présidentiel «s'étend à toutes les infractions (fédérales) connues de la loi, et peut être exercé à tout moment après sa commission, soit avant que des poursuites judiciaires ne soient engagées, soit pendant leur période de suspension, ou après condamnation et jugement. »

    RépondreSupprimer
  70. Le langage utilisé dans l'affaire Garland devrait mettre un terme aux spéculations sur la validité juridique des pardons prophylactiques, tout comme nos mémoires collectives. Le président Gerald R. Ford a gracié l'ancien président Richard M. Nixon en 1974, grâce que Nixon a acceptée même s'il n'avait pas été accusé d'avoir commis un crime fédéral.

    Et en 1977, le premier jour de son mandat, le président Jimmy Carter a gracié des centaines de milliers de jeunes hommes qui ont refusé d'être enrôlés dans l'armée pendant la guerre du Vietnam, dont beaucoup avaient fui au Canada, et presque tous n'avaient pas été accusé de fraude au tirage.

    Le président George H.W. Bush a gracié six responsables de l'ère Reagan dans l'affaire Iran-Contra en 1992, y compris l'ancien secrétaire à la Défense Caspar Weinberger - dont le procès était sur le point de commencer au moment de la grâce et au cours duquel le comportement pré-présidentiel de Bush devait être soumis au jury.

    En 2001, le président Bill Clinton a gracié son demi-frère, Roger, pour une ancienne condamnation pour possession de cocaïne et son ancien partenaire commercial Susan McDougal pour un accord foncier dans lequel le président Clinton et son épouse, Hillary, avaient sans doute été impliqués.

    Clinton a également gracieusement gracié Marc Rich pour une condamnation pour évasion fiscale, puis a accepté un don substantiel à la Fondation Clinton de Mme Rich.

    Tous ces pardons étaient et restent juridiquement valables.

    Il était bien connu des auteurs que les monarques britanniques ne pardonnaient que pour des infractions spécifiques déjà inculpées. Le professeur Aaron Rappaport du Hastings College of the Law de l'Université de Californie à Berkeley a fait valoir que la compréhension originale du pouvoir de grâce était qu'il ne serait utilisé que pour des crimes qui avaient déjà été inculpés. Et d'autres ont fait valoir que le concept d'équité bilatérale - qui a certainement animé James Madison lorsqu'il a rédigé la clause de procédure régulière du cinquième amendement - stipule que personne ne doit être juge dans son propre cas.

    Ces deux points sont bien pris et historiquement corrects. Si le président pardonne des crimes non encore inculpés, exerce-t-il des pouvoirs que les encadreurs n'ont jamais compris qu'ils lui accordaient? Si le président se pardonne, agit-il en tant que juge dans son propre cas? La réponse à ces deux questions est oui. Pourtant, la Cour suprême et l'histoire enseignent que si ces pardons peuvent être éviscérés politiquement, ils seront maintenus légalement.

    Avant que le président ne pardonne à ses enfants, à ses collègues et à lui-même, il devrait pardonner à tous ceux qui ont été condamnés en vertu des lois fédérales sur les drogues pour usage et possession. Ils n'ont fait de mal à personne. Il devrait également pardonner à Julian Assange, qui a révélé le massacre de civils innocents et la dissimulation par l'armée américaine en Afghanistan, et Edward Snowden, qui a révélé que les autorités fédérales se sont livrées à des espionnages secrets, illégaux et sans mandat de centaines de millions d'innocents. Les Américains.

    RépondreSupprimer
  71. Assange et Snowden ont été amèrement ciblés et brutalisés verbalement par l'État profond, mais ces héros ont risqué leur vie et leurs libertés afin que nous puissions connaître la vérité sur la violation de la loi gouvernementale.

    Les pardons devraient-ils produire la justice ? Parfois, ils le font - comme ce serait le cas pour Assange et Snowden. Mais l'essence d'un pardon est la miséricorde, pas la justice - et ils sont souvent opposés.

    Reprinted with the author’s permission.

    https://www.lewrockwell.com/2020/12/andrew-p-napolitano/can-the-president-pardon-himself/

    RépondreSupprimer
  72. La pandémie coronavirale : un coup d’Etat global ?


    le 10 décembre 2020


    Zones rouges, masques, distanciation sociale, fermeture des écoles, des collèges et des universités, plus de rassemblements familiaux, plus de célébrations d’anniversaires, plus de musique, plus d’évènements culturels ni d’évènements sportifs, plus de mariages, la vie et l’amour mis hors la loi … et dans beaucoup de pays plus de fêtes de Noël. C’est la destruction de la vie des peuples, la déstabilisation de la société civile, et tout ça pourquoi ?

    Les mensonges sont gouvernementaux et sont repris par des campagnes médiatiques 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 depuis 10 mois inlassablement : c’est un processus d’ingéniérie sociale. Les estimations des « cas » et des décès sont manipulées, les tests RT-PCR donnent des résultats faux, surestimant systématiquement les cas positifs par dizaines de millions. Ce mauvais usage des tests RT-PCR est utilisé systématiquement et intentionnellement par les gouvernements, soutenus en cela par des conseils scientifiques spécialement constitués dans ce but et soutenus également par les médias dits « main-stream » afin de justifier ces mesures excessives comme par exemple les violations répétées des droits fondamentaux des citoyens. Les conséquences sont une destruction de pans entiers de l’économie qui se retrouvent en banqueroute aujourd’hui, la dégradation de la qualité de vie d’un nombre immense de citoyens ordinaires, et tout ça sous le faux prétexte que la pandémie est évaluée en fonction du nombre de tests RT-PCR positifs et non en fonction du nombre réel de malades et de morts.

    Le SARS-CoV-2 est qualifié de « virus tueur », c’est faux : moins de 4 morts pour 10000 personnes soit moins que la grippe saisonnière de 2017-2018 et pour faire passer ce mensonge les gouvernements ont mis en place une falsification systématique des certificats de décès. Aux Etats-Unis c’est le CDC qui l’a exigé. Le concept fondamental de cause sous-jacente du décès, défini par l’OMS comme « la maladie ou la blessure qui a initié le déroulement d’évènements ayant provoqué la mort » a été bafoué et abandonné : le SARS-CoV-2 provoque la mort beaucoup trop souvent que pas du tout.

    Les gens sont effrayés et décontenancés : les aéroports sont vides, les écoles sont vides, les commerces baissent le rideau pour toujours. Dans de nombreux pays les bars et les restaurants encore ouverts doivent noter les coordonnées de leur clients pour participer à un traçage actif le cas échéant. Même la liberté de culte est interdite du jamais vu depuis Staline ou les empereurs romains.

    RépondreSupprimer
  73. La liberté de parole est bridée.

    La nécessité des confinements est approuvée par la désinformation médiatique et la campagne de peur. Les médecins qui remettent en question le discours officiel sont menacés, certains ont perdu leur emploi et leur carrière est détruite. Ceux qui s’opposent ouvertement aux mesures gouvernementales sont traités publiquement de psychopathes. Si au contraire vous acceptez tous ces mensonges vous êtes considéré comme une bonne personne ayant de l’empathie et qui comprend ce que les autres ressentent. Si au contraire vous ne respectez pas la distanciation et ne portez pas correctement un masque vous êtes aussitôt traité de psychopathe. Google est le premier pourvoyeur de tous ces mensonges et ses algorithmes procèdent à des censures de tous les éminents scientifiques et médecins qui contestent les mesures gouvernementales. YouTube n’autorise aucun contenu susceptible de répandre des informations contredisant l’OMS ou les gouvernements locaux, y compris – et surtout – lorsqu’il s’agit de prévention, de diagnostics et de tests. Ça s’appelle du « fact-checking » sans jamais reconnaître que les faits contredisent les concepts et les données de l’OMS et des gouvernements. Tout ça pour quoi ? Pour permettre aux grands groupes pharmaceutiques d’engranger des centaines de milliards de dollars, d’abord avec les tests RT-PCR puis avec des vaccins mis au point dans l’urgence avant que la pandémie ne disparaisse d’elle-même comme cela a toujours été le cas dans le passé. Oeuvrant de concert avec les grands groupes pharmaceutiques les gouvernements envisagent de rendre ces vaccinations obligatoires alors qu’ils n’ont même pas pris connaissance des données scientifiques relatives à ces vaccins d’un type nouveau jamais encore utilisés chez l’homme.

    Où est passée la démocratie, où sont passées les libertés individuelles, où est passée la liberté fondamentale de prescrire des médecins traitants ?

    Billet inspiré de loin d’un article de Michel Chossudovsky paru sur le site globalresearch.ca

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/12/10/la-pandemie-coronavirale-un-coup-detat-global/

    RépondreSupprimer
  74. Manif des étudiants en soins infirmiers: «On met en danger les patients juste parce qu’on manque de personnel» - vidéo


    17:49 10.12.2020
    Par Mike Beuve


    Devant le ministère de la Santé, des étudiants en soins infirmiers ont manifesté ce jeudi 10 décembre pour dénoncer les effets de la crise sanitaire sur leur formation. Depuis la première vague, ils sont mobilisés afin de pallier le manque de soignants. Une situation qui crée l’épuisement chez ces jeunes. Sputnik était sur place.

    «Soigne et tais-toi», «ESI mal formés, patients en danger». Ce sont les messages que l’on pouvait lire sur les pancartes brandies par une centaine de manifestants, ce jeudi 10 décembre à Paris.

    Des élèves au bord de l’épuisement

    À l’initiative de la Fédération nationale des étudiants en soins infirmiers (FNESI), les manifestants se sont rassemblés devant le ministère de la Santé afin d’alerter le gouvernement sur leur situation.

    ​Interrogé par Sputnik, Thomas Hostettler, secrétaire général de la Fnesi, explique que les étudiants ont été très sollicités depuis le début de la crise. Si bien qu’aujourd’hui, ils n’en «peuvent plus» et «sont épuisés».

    «Lors de la première vague, 81.000 étudiants ont été mobilisés et étaient là pour soutenir les soignants», rappelle Thomas Hostettler.
    Il souligne que la période post-première vague a été particulièrement compliquée car «il n’y a pas eu d’accompagnement».

    ​«Des étudiants ont vécu des situations extrêmement lourdes et difficiles. Ils ont fait face à la mort, à la maladie, à des moments où ils n’étaient pas forcément formés pour», regrette le secrétaire général de la Fnesi.

    «Or, on leur dit de retourner à nouveau en service, qu’ils n’ont pas le choix. Et ces étudiants vivent exactement la même situation qu’en première vague: ils sont mobilisés, font fonction de soignant, de technicien de surface, voire dans certains cas d’infirmier alors que ce n’est pas légal», remarque-t-il.
    Thomas Hostettler fustige d’ailleurs le fait que des étudiants puissent «réaliser en autonomie complète le rôle d’un infirmier ou d’une infirmière en remplacement».

    «On met en danger les patients juste parce qu’on manque de personnel et que l’on préfère prendre des étudiants en stage qui coûtent un euro de l’heure plutôt que des professionnels qui ont le diplôme et les compétences requises.»

    Au micro de Spuntik, Stéphane, étudiant en deuxième année, estime pour sa part qu’en ne se focalisant que sur les patients touchés par le Covid-19, «dans deux ans, lorsqu’il n’y aura plus de Covid-19, on ne sera pas formés pour d’autres pathologies et c’est problématique».

    Une formation en danger

    Des étudiants infirmiers de l'AP-HP refusent d'être «la main-d'œuvre au rabais» dans la lutte contre le Covid-19
    Néanmoins, hors de question de lâcher prise dans la lutte contre le coronavirus. «On a été là pour la première vague, on est là pour la deuxième et on sera là pour la troisième. Mais pas à n’importe quel prix. Pas pour un euro de l’heure, pas pendant deux mois parce qu’il faut ‘boucher les trous’ de ce système de santé qui tombe en ruine», prévient le secrétaire de la Fnesi.

    Au rang des autres revendications, les étudiants souhaitent que leur «formation théorique soit préservée au mieux, avec un réel élan vers l’universalisation». En effet, l’enjeu est de taille: «Si on ne fait pas tout de suite une action massive, financièrement parlant et en instaurant un cadre législatif strict au niveau des mobilisations, on part réellement à la dérive», alerte Thomas Hostettler.

    «Des étudiants vont être diplômés, puis géreront des patients seuls mais ils ne seront pas formés correctement. Cela va mettre en danger les malades et le système de santé pour les vingt prochaines années», affirme-t-il.
    Pour porter ces doléances, une délégation de la Fnesi et une de la FAGE (Fédération des associations générales étudiantes) ont rencontré le cabinet du ministère de la Santé ce jeudi 10 décembre.

    RépondreSupprimer
  75. Vaccin contre le Covid-19: décès de volontaires, paralysies, allergies, a-t-on le recul nécessaire ?



    17:31 10.12.2020
    Par Fabien Buzzanca


    Alors que les premières campagnes de vaccination contre le Covid-19 ont débuté dans plusieurs pays, qui devraient bientôt être suivis par la France, les premiers effets secondaires apparaissent sur les patients. Manque-t-on de recul pour vacciner la population ? Éléments de réponses avec un médecin interrogé par Sputnik.

    «Un vaccin, c’est un médicament et toutes les précautions doivent être prises.»

    Gaëtan Casanova, médecin anesthésiste-réanimateur à l’hôpital Foch, en région parisienne et Président de l’Intersyndicale Nationale des Internes, appelle à la prudence concernant les vaccins contre le Covid-19:

    «Autant je soutiens la politique vaccinale, autant je comprends tout à fait les inquiétudes. Comme pour tout médicament, elles sont légitimes. Je vois d’un très mauvais œil les gens qui disent que le vaccin va transformer les patients en mutants, de même que je suis très critique envers ceux qui disent: “C’est formidable, il n’y a aucune question à se poser”», détaille le médecin au micro de Sputnik.

    Alors que les campagnes de vaccination ont débuté dans plusieurs pays comme le Royaume-Uni et la Russie, la France devrait rapidement suivre, avec un top départ prévu pour janvier. Paris a déjà précommandé 200 millions de doses, de quoi vacciner 100 millions de personnes, le vaccin nécessitant deux injections.

    Pas le «recul nécessaire»

    L’Agence européenne des médicaments s’occupe du dossier vaccin et se chargera de distribuer les feux verts. Cette même agence avait en juin donné une autorisation de «mise sur le marché conditionnelle» du remdesivir, peu de temps avant que l’OMS ne signale la dangerosité de ce possible traitement contre le Covid-19.

    Méfiance face aux vaccins anti-Covid: «vous n’êtes ni des cobayes ni des jouets de l’industrie pharmaceutique»
    En tout état de cause, les autorisations de Bruxelles devraient intervenir d’ici la fin décembre concernant le vaccin de l’alliance américano-allemande Pfizer/BioNTech et d’ici la mi-janvier pour celui de l’américain Moderna. Le vaccin de Pfizer, choisi par le Royaume-Uni et qui devrait recevoir le feu vert de l’Union européenne d’ici la fin décembre, ainsi que celui de l’Américain Moderna, commencent à soulever des inquiétudes malgré un taux d’efficacité annoncé de plus de 90 %.

    ​La Food and Drug administration (FDA) a récemment publié un document montrant que sur les environs 44.000 participants aux tests du vaccin de Pfizer, six étaient décédés. Seuls deux avaient reçu le vaccin et avaient des problèmes de santé. Le premier souffrait d’obésité et d’athérosclérose et est mort trois jours après l’administration de la première dose. Quant au second, il a succombé à un arrêt cardiaque 60 jours après l’administration de la deuxième dose.

    RépondreSupprimer
  76. «Il faudrait faire une étude poussée pour savoir si le décès de ces deux personnes est lié à l’administration du vaccin ou si c’est simplement une fatalité. Un vaccin ne rend pas invincible et leur mort peut très bien n’être aucunement reliée au vaccin», explique le docteur Casanova.

    Les décès à déplorer sur les volontaires du vaccin Pfizer sont en phase avec le taux de mortalité naturel observé dans la population. Mais cela n’empêche pas qu’ils soulèvent des inquiétudes. Surtout que la même FDA a expliqué que quatre cas de paralysie faciale avaient été diagnostiqués sur 18.000 vaccinés. Même si la gêne est souvent temporaire, la FDA a recommandé une surveillance accrue.

    Interviewé le 8 décembre sur France Inter, le professeur Éric Caumes, chef de service en maladies infectieuses à la Pitié-Salpêtrière, à Paris, s’est dit sceptique quant aux «vaccins à base de matériel génétique type ARN» comme celui de Pfizer, une méthode jamais testée auparavant à grande échelle sur l’Homme.

    L’Occident laisse sans vaccins les pays pauvres, déplore le Guardian

    «Je ne sais pas ce que ça vaut. Je n’ai pas le recul nécessaire, je n’ai toujours pas vu une publication scientifique qui corresponde à ces vaccins. Donc, me vacciner avec des produits que je ne connais pas, dont je n’ai des informations que par les communiqués de presse des laboratoires, c’est leur faire une confiance aveugle et absolue», a-t-il alerté.

    Le professeur Caumes a récidivé sur LCI le 10 décembre: «Au niveau des effets indésirables, il y a un vrai problème dans le vaccin Pfizer. La fréquence d’effets indésirables y est particulièrement élevée. Il y a plus d’effets indésirables chez les jeunes que chez les personnes âgées, et plus après la deuxième dose qu’après la première.»

    Dans une interview donnée au journal Le Parisien, le chef de service en maladies infectieuses à la Pitié-Salpêtrière s’est inquiété du rapport de la FDA sur le vaccin de Pfizer: «En lisant les 53 pages, quelque chose m’a frappé. Je n’ai jamais vu une fréquence aussi élevée d’effets indésirables pour un vaccin!»

    Ainsi il énumère les réactions de l’organisme possible à ce type de vaccin, à commencer par des effets minimes dus à l’injection comme des rougeurs et douleurs locales. «Prenons l’exemple de la fièvre, elle peut survenir de manière passagère après une injection, c’est classique. Mais là, 15,8 % des 18-55 ans ont eu 38 °C ou plus dans les sept jours qui ont suivi la seconde injection. Et 45 % ont dû prendre un médicament contre la fièvre ou la douleur. On parle aussi de 55 % de maux de tête, 62 % de fatigue. Non, mais là, c’est beaucoup trop, il y a peut-être un problème…», a-t-il mis en garde.

    ​Même son de cloche du côté du professeur Raoult, qui critique lui aussi le manque de recul sur les vaccins anti-Covid: «Le programme que j’ai lu jusqu’à maintenant, ça me paraissait de la science-fiction. Pour l’instant ce que j’ai vu, c’est surtout de la publicité. Je n’ai pas vu d’articles scientifiques. J’attends de voir de vraies données.»

    RépondreSupprimer
  77. Cas d’allergies

    Le professeur Caumes déplore le «manque d’informations» et le fait que les injections à base de matériel génétique (ARN messager) «n’ont jamais passé le stade de la commercialisation jusqu’alors». «Peut-être sont-ils révolutionnaires, mais je veux la preuve de leur fiabilité, sinon cela revient à accorder une confiance aveugle aux industriels», réitère-t-il. Des réserves qu’il n’affiche pas vis-à-vis de la concurrence: «En revanche, je me ferai volontiers immuniser avec celui d’AstraZeneca et le vaccin chinois, pour lesquels on dispose de résultats validés.»

    Les USA feront face à une pénurie du vaccin Pfizer, assure le Washington Post

    Gaëtan Casanova se montre plus mesuré, mais appelle tout de même à la prudence: «La technique de l’ARN messager employée pour le vaccin de Pfizer est censée ne pas rentrer dans le noyau où l’on trouve l’ADN. Théoriquement, il ne peut y avoir modification de l’ADN. Mais il y a la théorie et la pratique. Souvent, la pratique vérifie la théorie, mais comme pour tout médicament, il faut être attentif et se poser les bonnes questions.»

    Le 9 décembre, l’Evening Standard a mentionné que l’Agence britannique de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) avait averti les personnes ayant des antécédents de réactions allergiques «significatives», leur déconseillant le vaccin anti-Covid-19 Pfizer. Le National Health Service (NHS) du Royaume-Uni a confirmé que deux personnes qui avaient reçu le 8 décembre la première dose avaient développé des réactions allergiques avec des symptômes de type «réaction anaphylactoïde». Les patients se sont rétablis à la suite d’un traitement approprié.

    Stephen Powis, professeur et directeur médical du NHS au Royaume-Uni, a déclaré: «comme c’est courant avec les nouveaux vaccins, la MHRA a conseillé par précaution que les personnes ayant des antécédents importants de réactions allergiques ne reçoivent pas cette vaccination.»

    «Dans de très rares cas, un vaccin peut causer une allergie immédiate grave comme un choc anaphylactique, qui peut entraîner la mort. Mais cela intervient très rapidement. Toujours dans de très rares cas, il est possible qu’un vaccin cause une allergie à retardement. Mais les symptômes sont alors moins graves», explique Gaëtan Casanova.

    D’après le médecin, le caractère inédit et massif de la crise du Covid-19 va forcément contribuer à l’augmentation des cas de réactions imprévues chez les gens:

    «Les effets indésirables causés par les vaccins sont rares et donc se voient peu d’ordinaire, mais plus la population vaccinée est large, plus les cas seront nombreux.»
    Ce dernier admet que la rapidité avec laquelle les vaccins ont été produits «n’est pas l’élément le plus rassurant du monde». Du fait de ce développement rapide, les laboratoires ont demandé à être moins exposés financièrement en cas de poursuites dues à des effets secondaires. Requête entendue par la Commission européenne, qui a accepté de contribuer financièrement à d’éventuels frais de justice. Si les discussions sont encore en cours, le laboratoire AstraZeneca est déjà sûr de bénéficier de ce dispositif.

    Nonobstant ces incertitudes sur les effets secondaires, le docteur Casanova il assure qu’il n’y a pas réellement de raisons de douter des taux de fiabilité (parfois au-dessus de 90%) annoncés par les producteurs de vaccins.

    RépondreSupprimer
  78. «Ensuite se pose la question de la durabilité, des effets indésirables quand de très grandes populations seront vaccinées. Il faut faire preuve de prudence», poursuit-il.
    Il rappelle également le fort enjeu géopolitique qui se cache derrière cette course aux vaccins:

    «Le premier pays à sortir un vaccin efficace décroche les lauriers et l’influence politique, sans parler de l’enjeu économique immense.»
    Dans ce contexte, Gaëtan Casanova demande à ce que l’on revienne à la démarche qui veut que «l’on se pose des questions» et que l’on évalue la balance bénéfices-risques.

    ​«Je pense que cela explique le fait qu’en France, on a décidé de commencer par des personnes institutionnalisées, très à risque et pour lesquelles la balance bénéfices-risques reste favorable en faveur du vaccin», analyse le médecin.

    Trop de polémiques ?

    Analyse semblable du côté du professeur Caumes: «Tout dépend de la balance bénéfice-risque. Chez les personnes âgées à haut risque de Covid-19 grave, je vaccinerai largement avec ceux de Pfizer et Moderna, mais pas les plus jeunes ou les personnes sans comorbidités.»

    «Il faut revenir à des bases scientifiques solides, car on voit bien que certains professeurs de médecine n’ont plus des discours médicaux –et des deux côtés–. Certains parce qu’ils veulent polémiquer, d’autres, car ils ont des liens avec les labos. Cela déserte la médecine», conclut Gaëtan Casanova.

    RépondreSupprimer
  79. Un couvre-feu sera instauré en France dès 20h à partir du 15 décembre, selon Castex


    18:33 10.12.2020
    Par AFP


    Le couvre-feu entrera en vigueur à partir du 15 décembre en France, mais débutera à 20h00, a annoncé le Premier ministre Jean Castex. Selon le chef du gouvernement, il s'appliquera aussi lors du réveillon du 31 décembre.

    Le couvre-feu entrera en vigueur à partir du 15 décembre, mais débutera à 20h00, et non à 21h00 comme prévu jusqu'à présent en raison de la situation sanitaire, a annoncé ce jeudi 10 janvier le Premier ministre Jean Castex.

    Ce couvre-feu «sera strictement contrôlé avec des possibilités de dérogation limitées», a-t-il précisé au cours d'une conférence de presse. Il s'appliquera aussi lors du réveillon du 31 décembre, contrairement à ce qu'avait envisagé initialement le gouvernement.

    Jean Castex a confirmé que «la possibilité de se déplacer sur tout le territoire» serait de nouveau autorisée à partir du 15 décembre, malgré des «règles plus strictes» que prévu contre le Covid-19, et a invité à continuer le télétravail «partout où il est possible».

    Détails à suivre

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. 4 morts sur 10 000 personnes ! soit moins que la grippe saisonnière de 2017-2018

      Supprimer
  80. Un Français hospitalisé «toutes les minutes» à cause du Covid-19, annonce Véran


    18:29 10.12.2020
    Par avec Reuters


    Le ministre de la Santé a déclaré que 14.000 nouveaux cas de Covid-19 avaient été diagnostiqués ces dernières 24 heures. Un nombre loin de l’objectif des 5.000 cas journaliers fixé par le gouvernement pour un assouplissement des mesures de restriction sanitaire.

    Près de 14.000 cas supplémentaires de contamination au coronavirus ont été enregistrés en France au cours des 24 dernières heures, a annoncé jeudi soir le ministre de la Santé, Olivier Véran.

    Il a également indiqué que la France était passée de peu sous la barre des 3.000 lits occupés en réanimation par des malades souffrant du Covid-19.

    «Nous n'atteindrons pas les 5.000 cas par jour au 15 décembre», a-t-il ajouté, en référence à l'une des conditions posées par l'exécutif pour une nouvelle phase d'assouplissement des mesures de restriction face à la deuxième vague épidémique

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. (...) 14.000 nouveaux cas de Covid-19 avaient été diagnostiqués (...)

      Diagnostiqués au 'tests' RT-PCR a 50 cycles au lieu de 25 !!!

      Supprimer
  81. Moins de collège électoral ? Non, plus Collège électoral


    par Tyler Durden
    Jeu, 12/10/2020 - 11:45
    Rédigé par Tom Luongo via Gold, Goats, blog 'n Guns,


    Au cours des 20 dernières années, nous avons été agressés par la gauche marxiste aux États-Unis sur la gravité du collège électoral. Dans leur quête d'une société purement égalitaire - vous en connaissez une sans règles exécutoires, sans culture, sans sexe et sans différences d'aucune sorte - le collège électoral représente le contrecoup ultime de leurs intentions de gouverner par la mobocratie.

    Ce fut un long et sinueux chemin à travers les institutions pour ces marxistes, sapant notre système éducatif, les médias, les bureaucraties gouvernementales et achetant / «élisant» des représentants du gouvernement pour pousser progressivement les États-Unis au bord de la prise de contrôle.

    C’est là où nous en sommes aujourd’hui et la seule chose qui se trouve entre un vote populaire frauduleux et une présidence par procuration pour Davos est le collège électoral.

    Telle est l’essence des contestations juridiques de Trump contre le vote dans les États où les règles ont été jouées pour assurer une victoire, peu importe qui se présente réellement aux urnes le 3 novembre.

    Cela est clair, même pour les juges et les responsables électoraux les plus compromis qui ont rejeté des affaires au mérite évident sur le plus faible des motifs juridiques, c.f. la décision du Michigan contre Sidney Powell où le juge a pratiquement admis la fraude, mais a annulé l’affaire avec préjugé en raison du «timing» et du «refus du droit de vote».

    Mais la dernière fois que j'ai vérifié notre système juridique repose sur une mauvaise loi ou règle causant un préjudice matériel avant que la poursuite ne puisse être intentée. Notre système ne tient pas compte des préjudices potentiels, mais ne conteste la loi qu'après avoir effectivement fait du mal à quelqu'un.

    Ce n’est qu’une fois que les «bulletins de vote ont été déposés, le vote compté» et «l’élection certifiée», selon les mots de la juge de district américaine Linda V. Parker, pourrait-il y avoir une base légale pour que les électeurs soient lésés par la façon dont les élections ont été menées. Ce n'est qu'alors qu'un procès peut être intenté.

    Apportez la combinaison trop tôt et il n'y a aucune base pour un «préjudice matériel». Apportez le procès après le vote et le juge décide qu’il s’agit de «privation du droit de vote». Vous devez adorer les backflips rhétoriques que les gens font pour justifier leur biais de confirmation.

    Je suis toutefois d'accord avec le juge Parker pour dire que Powell a peut-être présenté une affaire qu'elle s'attendait à perdre avec l'intention de saper la validité de notre processus électoral. Parce que, en fait, le processus électoral est soumis à une fraude massive avec des incitations à truquer et / ou jouer le résultat à des fins politiques.

    Ne vous y trompez pas, républicains et démocrates utilisent tous les deux ce système compromis à leur avantage quand cela leur convient. Ceci, bien sûr, soulève la question: «Pour qui travaillent-ils réellement? Nous ou quelqu'un d'autre ?

    RépondreSupprimer
  82. Et il est important, avec des enjeux aussi élevés, que le plus grand nombre de personnes possible comprennent ce qui s'est passé lors des élections passées, ce qui s'est passé le mois dernier et ce qui se passera lors des prochaines élections, si jamais elles sont autorisées à se produire.

    C'était peut-être l'intention de Powell d'aller devant la Cour fédérale plutôt que devant le tribunal d'État où elle aurait eu plus de chances de succès, selon les arguments de Robert Barnes.

    Ce qui me ramène à la raison pour laquelle le collège électoral est si important. Car, en théorie, en l'absence d'un système corruptible à grande échelle, le collège électoral est une étape procédurale inutile pour déclarer le vainqueur d'une élection présidentielle.

    Mais que se passe-t-il lorsque ce système est manifestement entaché, les gens qui l'administrent motivés par les pulsions les plus sombres et la privation de leurs droits de vote de millions d'électeurs a lieu à cause de la tricherie?

    Ensuite, il faut vérifier cette puissance. Et le collège électoral est ce chèque.

    Il doit y avoir un moyen pour ceux qui découvrent la fraude mais qui sont bloqués par des personnes ayant le pouvoir de définir la fraude, dans ce cas, un système judiciaire corrompu et byzantin, de présenter ces preuves et de faire en sorte que le peuple, par l'intermédiaire des électeurs et de leurs législatures d'État, conserver le pouvoir de décider quel devrait être le résultat réel des élections.

    Ce n’est pas parfait. Aucun système ne l'est.

    C'est comme une authentification à 2 facteurs pour les élections.

    Pour renverser l'argument de la gauche marxiste sur les armes à feu, aucune société pacifique n'a besoin de la propriété privée des armes à feu. Et une société vraiment pacifique et parfaite ne le fait pas. Les armes à feu deviennent un passe-temps pour les chasseurs, les tireurs et les collectionneurs.

    Mais nous ne vivons pas dans une société parfaite et jusqu'à ce que nous fassions nos armes, restons le contrôle de la portée excessive du gouvernement de la même manière que le collège électoral effectue ce contrôle, aussi pro forma qu'il puisse être en fait, sur la fraude électorale et la tyrannie de électeurs peu informés.

    Revenons aux poursuites. Quiconque réclame le rejet du costume de Powell doit prendre une seconde pour réfléchir à ce qui a été dit lors du licenciement. Parce que «rendre la fraude légale» ne corrige pas les choses ni n'inspire confiance. Les tribunaux sont censés appliquer la loi et non l'interpréter.

    Le juge Parker a refusé d'accepter la privation du droit de vote de «5,5 millions» de personnes dans le Michigan, mais a ignoré la privation du droit de vote des quelques centaines de milliers marginaux qui ont fait pencher le résultat de l'élection et la sélection des électeurs sans même envisager un examen.

    Cela devrait vous étonner dans son implication. La tyrannie de la majorité l'emporte sur l'enquête sur les preuves matérielles de malversation.

    C'est précisément parce que les tribunaux ont été si ouvertement partisans (ou tout simplement absurdes) dans leurs décisions que le Texas a pris le pas le plus important dans toute la querelle post-électorale.

    RépondreSupprimer
  83. Il a intenté une action en justice auprès de la Cour suprême contre la Géorgie, le Michigan, la Pennsylvanie et le Wisconsin pour des motifs constitutionnels spécifiques pour violation de «la clause électorale de la Constitution parce qu'ils ne sont pas passés par les législatures…» lors de la modification de leurs normes d'acceptation des bulletins de vote par correspondance.

    Ce que j’ai dit dans la newsletter de Gold Goats n ’Guns de ce mois-ci était:

    Des États comme la Pennsylvanie, le Michigan et le Wisconsin ont, à toutes fins pratiques, renoncé à leur droit d'être représentés au Collège électoral. Ils ont supervisé des élections simulées qui ne sont pas dignes d'élire un président de classe de lycée non moins le «chef du monde libre».

    Et cela devrait avoir des gens dans des endroits comme la Floride et le Texas furieux. Ils ont compté plus de votes en quelques heures et ont certifié les résultats. Jusqu'où la Floride est-elle arrivée en vingt ans depuis Bush contre Gore? Maintenant, même les comtés corrompus comme Broward comptent leurs bulletins de vote en temps opportun et c’est tout.

    S'ils perçoivent que quelques dizaines de piratages de partis corrompus ont truqué leurs élections, pourquoi les Floridiens ou les Texans devraient-ils consentir à être gouvernés par leurs représentants à Washington? Pourquoi devraient-ils écouter tout ce que l'un d'eux dit pour quelque raison que ce soit?

    Pourquoi devraient-ils accepter le président Harris et la folle cour de chacals qu'elle nommera dans son cabinet? Des millions d’américains se demanderont pourquoi l’Amérique devrait exister dans la pratique si elle n’existe pas en principe ?

    C'est l'héritage de cette élection.

    Et c’est exactement la réponse à la montagne de preuves sur cette élection que j’espérais voir de la part d’États comme le Texas - le refus d’être gouverné par un groupe d’apparatchiks corrompus qui croient au pouvoir pour le pouvoir et qui gouvernent par le vol.

    Franchement, je veux que la Floride et les autres États qui ont obtenu le droit de vote rejoignent le Texas ici. Beaucoup ont signalé leur soutien au Texas, mais aucun n'a signé en tant que plaignant. Et je crois que la pression politique plus exercée sur le SCOTUS est ce qui est nécessaire pour obtenir une audition équitable de cette affaire sur le fond de la loi. c.f. toute cette chose de société déchue ci-dessus.

    C'est l'essence de ce que j'entends par les gens devenant ingouvernables.

    Et dans une période de l'histoire où le mince vernis de civilité sur lequel repose tout notre édifice politique est volontairement arraché pour révéler des prises de pouvoir nues, il est encore plus important que tout le monde de tous les côtés de la division politique comprenne les enjeux ici.

    Il ne s’agit pas de la victoire de Trump ou de Biden aux élections. Une fraude de cette ampleur est inacceptable. Une tricherie de cette ampleur et de cette portée ne peut pas être tolérée ni excusée comme preuve de rigueur et de facto de notre déclin inévitable en tant que société.

    RépondreSupprimer
  84. C’est, franchement, une mauvaise idée, dans le langage de Scott Adams, et une garantie que toutes les choses terribles que les gens se sont faites les uns aux autres dans le passé se reproduiront alors que les contrôles contre le pouvoir impitoyablement appliqué à l’intimidation se fanent.

    Encore une fois, aucun système comme celui-ci n'est sans défauts. En son cœur, le vote est un acte violent pour déterminer quel tyran gouverne non seulement vous mais tout le monde. Il doit être utilisé avec parcimonie et avec une extrême prudence.

    L'idée qu'elle devrait être sans friction est elle-même un aveu ouvert d'une impulsion tyrannique plutôt qu'un hymne aux principes égalitaires. Seules les personnes motivées à voter devraient voter. Si cela signifie un coût d'opportunité raisonnable pour exécuter ce privilège, qu'il en soit ainsi.

    De plus, avec un deuxième processus d'authentification comme le collège électoral en place, il retarde l'impulsion de tricher pour gagner.

    Et c'est pourquoi je veux voir plus de contrôles des collèges électoraux sur la fraude électorale plutôt que moins. Je veux que le collège électoral soit utilisé pour mon gouverneur, mon représentant d'État, mes commissaires de comté et mes élections de shérif.

    Je veux que mes comtés ici en Floride aient le pouvoir de vérifier la fraude et, si nécessaire, de priver de leurs droits les habitants d'un autre comté qui refuse de se conduire comme des membres honnêtes de la communauté.

    Cela aurait stoppé la légendaire machine frauduleuse du comté de Broward et il n’aurait pas été nécessaire de Bush contre Gore en 2000.

    Les tricheurs ne reçoivent pas de cookies.

    Parce que si nous ne reconnaissons pas nos anges les plus bas, nous sommes condamnés à un cycle de violence qui fera ressembler «Le récent désagrément de 1861 à 1865» à une convocation de producteurs laitiers amish.

    Ce qui me fait le plus peur, c'est que je crois que c'est l'intention des personnes qui ont commis cette fraude en premier lieu.

    C'est ce que le Texas signale avec son procès et il remet directement en question la validité et l'applicabilité de la Constitution en 2020 et au-delà. Si le SCOTUS ne parvient pas à remplir son rôle de garant de sa fonction de base de déménagement - arbitre entre les différents États - alors ce qui était une loi établie (ironiquement par l'usage nu de la force) lorsque Lee s'est rendu à Appomattox sera reconsidéré.

    Si nous voulons avoir cette hallucination consensuelle appelée gouvernement, nous devrions admettre ses défauts et les nôtres en plein air et construire des systèmes pour déterminer qui les dirige qui sont moins sensibles au jeu.

    RépondreSupprimer
  85. Sinon, quel est l’intérêt de la tenue d’élections. Ils deviennent simplement l'opiacé ultime des masses.

    Je voudrais continuer sur le vote basé sur la blockchain comme un remède potentiel à ce qui nous afflige ici, mais c'est un sujet différent pour un jour différent. Aujourd’hui, il s’agit de préciser ce qui ne va pas avec notre système qui n’offre pas d’implémentations, sinon de discuter du bien-fondé des protections que le collège électoral nous accorde contre les forces d’agression nue.

    Les arguments contre le collège électoral sont simplement des arguments voilés contre le fédéralisme. Et même si je suis heureux d’avoir des arguments contre toute forme de gouvernement coercitif, dans le cas des États-Unis, notre système fédéral est un système défectueux mais robuste qui a lentement cédé du terrain à ces terroristes politiques au cours des deux cents dernières années.

    Elle est dans un état d’effondrement final et il y a de fortes chances qu’elle survivra à ces défis dans un sens pratique. Bravo au Texas pour nous avoir rappelé les limites du pouvoir et avoir soulevé de vraies questions sur la direction que nous prenons.

    https://www.zerohedge.com/political/less-electoral-college-no-more-electoral-college

    RépondreSupprimer
  86. Représentant du GOP Mike Kelly: affaire de la Cour suprême "Alive And Well" après le rejet d'une ordonnance d'urgence


    par Tyler Durden
    Jeu, 12/10/2020 - 11:07
    Rédigé par Jack Phillips via The Epoch Times,


    Le représentant Mike Kelly (R-Pa.) A déclaré que sa contestation judiciaire devant la Cour suprême n’était pas terminée malgré le refus d’une ordonnance d’urgence plus tôt cette semaine.

    "Tout ce qui s'est passé, c'est que nous n'avons pas obtenu de mesures d'injonction temporaires", a déclaré Kelly à Newsmax mercredi.

    «L'affaire est toujours bien vivante.»

    La Cour suprême des États-Unis a rejeté mardi la demande de Kelly - qui a également été rejointe par le candidat au Congrès Sean Parnell et d'autres républicains - après avoir cherché à empêcher les responsables de l'État de Pennsylvanie de prendre de nouvelles mesures pour certifier les résultats des élections de l'État.

    «Et nous cherchons, comment pouvons-nous amener le tribunal à se saisir de l'affaire pour ses mérites d'être constitutionnelle ou inconstitutionnelle. C’est tout ce que nous recherchons », a déclaré Kelly.

    «C’est une énorme demande d’ailleurs. Mais nous sommes actuellement au milieu d'une crise constitutionnelle dans notre pays, et nous devons obtenir des réponses, et nous devons l'obtenir de la plus haute cour du pays.

    Le cas de Kelly a soutenu que la législature de Pennsylvanie avait agi de manière inconstitutionnelle en adoptant une loi - connue sous le nom de loi 77 - l’année dernière pour étendre l’utilisation des bulletins de vote par correspondance. Ses avocats ont déclaré que les législateurs de Pennsylvanie avaient violé la Constitution de l'État.

    Mais la Cour suprême a rejeté mardi la demande de réparation.

    «La demande d’injonction présentée au juge Alito et renvoyée par lui à la Cour est rejetée», indique l’ordonnance d’une peine unique du tribunal. Il n'a pas émis d'opinion dissidente.

    À la suite du refus de la Cour suprême, Kelly a déclaré que ce qu’ils «peuvent faire maintenant, c’est demander au tribunal d’entendre (notre) cas. Cela s'appelle cert. »

    «C’est ce que nous demandons au tribunal de faire. Écoutez le procès en fonction de ses mérites. C’est tout ce que nous demandons: constitutionnel, inconstitutionnel. Ensuite, prenez une décision sur ce que sont ces résultats et quels sont les remèdes », a déclaré Kelly. «Jouez jusqu'au coup de sifflet. Jouez jusqu'à l'écho du sifflet.

    Les avocats représentant l’administration du gouverneur démocrate Tom Wolf ont appelé la Cour suprême à rejeter son action en justice.

    «Aucun tribunal n’a jamais émis d’ordonnance annulant la certification par le gouverneur des résultats des élections présidentielles», ont déclaré les avocats, arguant que cela pourrait créer un précédent pour «l’invalidation judiciaire» d’une élection.

    RépondreSupprimer
  87. L'avocat de Kelly, Greg Teufel, a déclaré à Epoch Times que Kelly et les autres plaignants déposeraient une pétition distincte pour un bref de certiorari avec une demande d'accélérer l'affaire en temps voulu.

    Dans l'intervalle, une autre affaire renvoyée à la Cour suprême depuis le Texas a cherché à empêcher la Pennsylvanie, la Géorgie, le Wisconsin et le Michigan de participer au collège électoral en raison d'un certain nombre d'irrégularités et de modifications de la loi électorale de dernière minute. Au moins 17 autres États se sont joints au procès du Texas.

    https://www.zerohedge.com/political/gop-rep-mike-kelly-supreme-court-case-alive-and-well-after-emergency-order-denied

    RépondreSupprimer
  88. Est-ce la fraude électorale américaine a été prévue et appréhendée dans les moindres détails ? Ce scénario pourrait-il faire partie d'un plus vaste script pour servir des objectifs qui nous échappent ?


    mercredi 9 décembre 2020


    En juin 2020, le Transition Integrity Project (TIP) a réuni un groupe bipartisan (républicains et démocrates) de plus de 100 personnes; d'actuels et d'anciens responsables du gouvernement, des journalistes, responsables de sondages ainsi que d'autres acteurs, pour planifier des scénarios en vue de l'élection 2020.

    Les scénarios de simulation ont prévu des "perturbations potentielles de l'élection présidentielle et de la transition". ​

    ​En introduction du rapport du TIP, on peut lire:

    "​Nous sommes confrontés à une période de contestation qui s'étend jusqu'en janvier 2021".

    Trois trajectoires du vote ont été élaborées, soit une victoire écrasante de Biden, de Trump et un résultat mitigé. Cependant, un scénario principal domine tout au long du rapport: Trump ne reconnait pas la victoire de Biden, plaide la fraude électorale (votes par la poste, malversations), exige un recomptage des votes et intente des recours devant les tribunaux jusqu'à la Cour Suprême.

    Voici quelques-uns de ces scénarios:

    - "Nous évaluons avec un haut degré de probabilité que les élections de novembre soient marquées par un paysage juridique et politique chaotique. Nous estimons également que le président Trump est susceptible de contester le résultat par des moyens à la fois légaux et extra-légaux, dans une tentative de conserver le pouvoir."

    - "Appel à des recomptages dans tous les États où la victoire n'était pas déjà apparente. Lancer des enquêtes coordonnées aux niveaux national et fédéral sur des «irrégularités de vote» présumées dans le but de saper la confiance du public dans des résultats qui n'allaient pas dans le sens de Trump et / ou pour modifier les résultats."

    - "Les résultats définitifs des élections de plusieurs États font l'objet d'intenses combats judiciaires qui perturbent le vote par le collège électoral et la certification de l'élection par le Congrès. Finalement, ces combats finissent par être débattus devant la Cour suprême."

    - "Les élections ont également démontré qu'il y a une place considérable pour utiliser l'ingérence étrangère, réelle ou inventée, comme prétexte pour jeter le doute sur les

    résultats des élections ou plus généralement pour créer une incertitude sur la légitimité de l'élection."

    - "Les chefs militaires et des forces de l'ordre doivent être particulièrement attentifs à la possibilité que des acteurs chercheront à manipuler ou à abuser de leurs pouvoirs coercitifs à des fins politiques. Concrètement, tant au niveau étatique que fédéral, des acteurs partisans (dont le président Trump lui-même) peuvent chercher à déployer des forces de l'ordre, des troupes de la garde nationale et éventuellement un service militaire actif (en vertu de la loi sur l'insurrection) pour «rétablir l'ordre» d'une manière qui profite principalement au candidat, ou pour participer aux efforts qui interrompent le processus de dépouillement des bulletins. Les responsables militaires et de l'application de la loi doivent planifier dès maintenant ces possibilités pour éviter de devenir des pions involontaires dans une bataille partisane."

    Toutes ces projections mènent à quel résultat selon le Transition Integrity Project (TIP):

    RépondreSupprimer
  89. "Tous nos scénarios se sont terminés à la fois par des violences au niveau de la rue et par une impasse politique", a déclaré Rosa Brooks, responsable du TIP, professeur de droit et de politique à l'Université de Georgetown et ancienne responsable du département de la Défense.

    Ces exercices concernant les finalités possibles de l'élection américaine ne sont que des hypothèses me direz-vous, mais la situation en ce 9 décembre 2020 semble donner raison aux scénarios du TIP...

    https://assets.documentcloud.org/documents/7013152/Preventing-a-Disrupted-Presidential-Election-and.txt?fbclid=IwAR3xfzjoqd_NGx3QH4D0deHQydewHOUZ0KZzYaJsp9zdp2quEsiyGLOnHW4

    RépondreSupprimer
  90. Québec pense à exiger des preuves de vaccination pour certaines activités



    Se rendre au Centre Bell, prendre l’avion, aller au cinéma…Toutes ces activités pourraient nécessiter une «preuve de vaccination» dans le futur. En tout cas, Québec a admis mercredi être «en train de regarder» les options «pour mettre ça en place».

    La ministre de la Santé en Ontario, Christine Elliott, a indiqué cette semaine que des preuves de vaccination pourraient être exigées pour pouvoir aller au travail, voyager ou visiter les théâtres et cinémas

    «On a demandé à la Santé publique de regarder ce qui se fait ailleurs pour être capable d’avoir cette information-là le plus rapidement possible», a répondu mercredi le ministre de la Santé du Québec, Christian Dubé.

    «On a déjà au Québec un carnet de santé. Mais l’enjeu ici est plutôt d’être capable de montrer [qu’on a été vacciné]. Que ce soit pour prendre un vol, ou rentrer au Centre Bell.»

    -Le ministre Christian Dubé

    Selon M. Dubé, le gouvernement caquiste aurait même reçu «beaucoup de demandes» de la part d’entreprises québécoises en ce sens.

    «Alors c’est ce qu’on est en train de regarder pour mettre ça en place», a-t-il ajouté, avant d’admettre que certains «enjeux éthiques» existaient.

    Québec peut-il obliger la vaccination ?
    C’est possible, comme le stipule l’article 123 de la Loi sur la santé publique.

    Selon cet article, et comme nous l’explique Me Marianne Plamondon, avocate associée au cabinet Langlois, le gouvernement a le pouvoir d’obliger la vaccination d’une partie voire de tous les citoyens québécois. Et ce, dans le cas où «une maladie contagieuse» menace la population.

    Cela dit, pour ce faire, Québec doit remplir certaines obligations, note à Métro l’avocate. Dont celles de rendre disponibles les vaccins nécessaires et de s’assurer que les services de santé requis pour se faire vacciner sont offerts.

    En d’autres termes, tant qu’il n’y aura pas assez de doses de vaccins pour l’ensemble des Québécois, ni assez d’infirmier.es pour les administrer, impossible pour le gouvernement de rendre la vaccination obligatoire.

    Dans cette option, un juge de la Cour du Québec ou des cours municipales de Montréal, Laval ou Québec a le droit d’obliger une personne à se faire vacciner. Voire à être conduite «à un endroit précis pour y être vaccinée.»

    «Les anti-vaccins vont perdre»
    Dans notre contexte où la vaccination n’est pas obligatoire, rien n’interdit toutefois les entreprises privées d’exiger une preuve de vaccination.

    «Techniquement, oui, elles ont le pouvoir de le faire, indique le criminaliste Me Jean Dury. Mais il faut prévoir beaucoup de résistance et de problèmes. Par exemple, ceux qui refusent de se faire vacciner pourraient falsifier les documents [de preuve] ou se tourner vers les tribunaux.»

    Cependant, l’avocat Me Julius Grey, spécialisé dans les questions de libertés individuelles, croit qu’ils auront peu de chance de l’emporter devant une Cour.

    «Leur conviction d’avoir le droit à la liberté peut-elle prévaloir au droit à la vie et à la sécurité des autres, garanti par la Charte ? Il y aura une bataille, qui n’est pas farfelue, mais les anti-vaccins vont la perdre.»
    -Me Julius Grey, avocat

    RépondreSupprimer
  91. Selon l’avocat, de nouvelles questions pourraient même se poser dans le futur. Par exemple: un professeur devrait-il être vacciné pour pouvoir enseigner ? Ou encore: une infirmière devra-t-elle disposer d’une preuve de vaccination pour continuer de pratiquer ?

    Les employeurs peuvent-ils exiger une preuve ?
    Sur ce point, Me Marianne Plamondon nuance: s’il est effectivement possible qu’un employeur exige une preuve de vaccination, il devra toutefois prouver qu’il existe une «exigence professionnelle justifiée» en s’appuyant sur l’article 20 de la Charte québécoise.

    «Si l’employeur démontre que les coûts financiers liés à des cas de COVID-19 ont été faramineux ou ont eu des conséquences désastreuses alors oui, il pourra exiger qu’un employé soit vacciné.»

    -Me Marianne Plamondon

    Interrogé par Métro, à savoir s’il avait approché Québec pour instaurer une preuve de vaccination, le Centre Bell a indiqué qu’il était «trop tôt» pour approcher le gouvernement en ce sens.

    A-t-il émis une demande au gouvernement ? «Pas à ce que je sache», a répondu à Métro Paul Wilson, VP principal aux affaires publiques du Groupe CH.

    «Pour l’instant, aucune activité n’est confirmée au Centre Bell donc ça serait dur de demander cela. Le cas échéant, on verra. Je ne dis pas que c’est impossible mais pas pour l’instant», a-t-il ajouté.

    -Avec la collaboration de François Carabin.

    https://journalmetro.com/actualites/national/2587344/quebec-pense-a-exiger-des-preuves-de-vaccination-pour-certaines-activites/

    RépondreSupprimer