- ENTREE de SECOURS -



jeudi 24 décembre 2020

La révolution géothermique

Par Craig Rucker 

23 décembre 2020


Les énergies dites «renouvelables» font fureur. Le problème est que l'éolien et le solaire, les énergies renouvelables les plus populaires, sont des sources d'énergie intermittentes et inefficaces qui sont bien meilleures pour générer des subventions que l'électricité.

Ensuite, il y a la géothermie, qui pourrait bien être une source d'énergie renouvelable à zéro émission (si c'est votre truc), qui évolue.

David Wojick explique la science sur CFACT.org:

Il y a une révolution à venir dans l'énergie géothermique. Il reste à voir quelle sera sa taille et à quelle vitesse elle pourra croître, mais la technologie révolutionnaire est là maintenant… La croûte terrestre sur laquelle nous vivons n’est qu’un film mince enroulé autour d’une boule fondue de 8 000 milles (12 874 km) de diamètre. Dans certains endroits sous l'océan profond, cette croûte est estimée à seulement 3 miles ou plus d'épaisseur. Il est un peu plus épais sous les continents mais la pointe demeure; il chauffe rapidement lorsque vous percez la croûte. Cette chaleur est de l'énergie géothermique.

La fracturation a permis aux États-Unis d'atteindre l'objectif longtemps recherché de l'indépendance énergétique. Il s'avère que la fracturation hydraulique est un cadeau qui ne cesse de donner. Wojick explique que la fracturation hydraulique a de profondes applications pour la géothermie, permettant aux producteurs d'énergie de localiser les sources de chaleur souterraines avec une plus grande précision que jamais:

Avec la fracturation hydraulique (ou fracturation hydraulique), nous pouvons fabriquer ces réservoirs géothermiques où nous les voulons, à la taille que nous voulons et où la chaleur est la température que nous voulons, en particulier très chaude. Cela inclut l'eau dite «supercritique» à 400 ° C, qui est maintenant utilisée dans les centrales les plus avancées.

La gauche anti-énergie ronfle, espérant que Joe Biden réalisera ses fantasmes les plus destructeurs.

Jusqu'à présent, ils ont donné une approbation quelque peu tacite à la géothermie… mais est-ce que cela va continuer si elle est liée à la «fracturation»? Je suppose que nous devrons attendre et voir !

https://www.cfact.org/2020/12/23/the-geothermal-revolution/

30 commentaires:

  1. Il ne fait plus de doute que l'énergie d'un lieu ne dépend pas du soleil (espace glacial) mais de sa réverbération sur une planète. Ainsi, les 'nouveaux chercheurs' ont-ils découvert que la vie sur une planète (Uranus, Mercure, Lune, Jupiter, Terre, etc) ne dépendent pas de leur ensoleillement mais de la présence intérieure du magma que compose chaque planète. Çà alors !!

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  2. Le temps rendu (en quelque sorte) compréhensible: les éléments principaux: l'eau, la terre et l'air


    Par le Dr Jay Lehr, Terigi Ciccone
    23 décembre 2020


    LES ASPECTS PHYSIQUES ÉTRANGERS DE L'EAU

    Comme nous l'avons fait dans les parties 1 et 2 de cette série sur la météo, nous commencerons par ce qui peut être une exclamation choquante. Le temps n'est ni plus ni moins que la nature essayant d'équilibrer l'équilibre de toute l'énergie transmise à la Terre par le Soleil. Il s'agit d'un spectacle interminable de physique à plusieurs niveaux essayant de surmonter les déséquilibres et les irrégularités trop nombreux pour être quantifiés avec précision. Pourtant, nous essayons heure après heure et jour après jour sur toute la Terre.

    L'EAU

    L'eau est la seule substance capable d'inverser la direction de la densité en fonction de la température. Qu'est-ce que ça veut dire ? Comme toutes les autres substances, l'eau rétrécit et se densifie à mesure qu'elle se refroidit. Mais contrairement à la plupart des matériaux, lorsque l'eau atteint environ 4,0 C, la direction change. Comme il fait de plus en plus froid, il commence à se dilater et le volume augmente. C’est pourquoi nous voyons de la glace au-dessus des eaux et non au fond, et c’est pourquoi nous voyons les extrémités des icebergs flotter au sommet des mers. Ces icebergs sont environ 10 % moins denses que l'eau sur laquelle ils flottent, et pourquoi 90 % se trouvent sous le niveau de l'eau. "Et alors ?" vous pourriez demander.? Le «alors quoi» est énorme ! Le facteur le plus dominant est que si la glace se formait et tombait au fond des océans, il n'y aurait pas de poisson dans le monde ni d'amphibiens pour ramper sur la terre et former d'autres créatures.

    • À l'inverse, si l'eau chaude ne montait pas et ne restait pas au sommet des 100 mètres environ, le phytoplancton n'aurait peut-être pas été possible de croître et de prospérer. Les arbres, les plantes et les herbes ne produisent qu’environ 30 % de l’oxygène de la planète, tandis que les planctons et autres végétaux marins produisent 70 % de l’oxygène de la Terre.

    • De plus, l'eau plus chaude contient moins de gaz dissous que l'eau froide, et plus elle devient froide, plus elle absorbe. Nous voyons cela dans notre expérience quotidienne. Lorsque nous ouvrons une bouteille de soda froide, du gaz carbonique s'échappe. Lorsque nous laissons le soda se réchauffer lorsqu'il est ouvert, le gaz carbonique sort naturellement, le laissant à plat.

    Un poisson comme la truite ou l'omble chevalier qui a besoin de plus d'oxygène qu'une carpe est plus susceptible de vivre dans les eaux plus froides et la carpe dans les eaux plus chaudes. Cette différence de température récompense les poissons les plus aventureux qui ont bravé le passage vers les eaux plus froides avec plus d'oxygène et plus de plancton, et plus de sources de nourriture.

    Ce changement de température de l'eau permet à la Terre de moduler les quantités de gaz dans l'air par rapport à l'eau. Les océans libéreront plus de gaz carbonique dans l'air pour soutenir la biomasse croissante qui accompagne les périodes plus chaudes. À l'inverse, quand il fait plus froid, les océans réabsorbent le gaz carbonique parce que la vie végétale a ralenti, et cela économise l'excès de gaz carbonique pour quand il se réchauffe cycliquement.

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  3. TERRE

    La terre comprend notre pelouse, nos terres agricoles et nos montagnes, vous et les phoques au nord et les pingouins au pôle sud et les prairies en Argentine et les montagnes du Pérou et des arbres du Canada. La terre se réchauffe très différemment de l'eau et de l'air. Le sol réfléchit très peu les rayons du soleil vers l’espace. C’est l’une des raisons pour lesquelles la terre se réchauffe plus vite que l’eau. La majeure partie du réchauffement des terres et des océans est due à la lumière visible et aux infrarouges et à des UV extrêmes (EUV). Sur la plage, l'infrarouge est la raison pour laquelle vous vous sentez chaud et votre peau brûle, et les UV sont la raison pour laquelle vous avez des ampoules solaires. La terre absorbe la chaleur très rapidement mais ne stocke pas la chaleur aussi longtemps que les océans, la perdant tout aussi vite. Sur terre, l'énergie est absorbée jusqu'à la nuit. Ensuite, le sol plus chaud commence à perdre la chaleur vers l'air plus frais, principalement par rayonnement et un peu par convection. Ce rayonnement continue à traverser l'atmosphère pendant la nuit. Lorsque ces rayons atteignent le ciel et les nuages, certains sont absorbés (effet de serre) et une partie du rayonnement va directement dans l'espace extra-atmosphérique.

    Ensuite, nous constatons que toutes les terres ne sont pas créées égales. Certains matériaux, comme l'asphalte et les roches et les briques et le ciment et les bâtiments et les rues, absorbent plus de chaleur et plus rapidement et la retiennent plus longtemps que les prairies, les zones humides et les arbres. Cette capacité à retenir la chaleur contribue aux changements météorologiques et climatiques sous la forme que nous appelons «l'effet d'urbanisation». Cet effet d'urbanisation peut ajouter jusqu'à 2 ou 3 ou même 4 degrés Celsius dans les grandes zones urbaines par rapport aux terres agricoles situées à quelques kilomètres seulement. Las Vegas est probablement le meilleur exemple. Donc, si vous êtes un météorologue ou un climatologue, cela signifie que vous devez être très prudent où vous placez vos thermomètres terrestres pour vous assurer de ne pas créer de mauvais profils ou tendances de température.

    AIR

    L'air est un mélange très fluide de nombreux gaz différents et de nombreux autres aérosols, poussières et vapeur d'eau. Les gaz primaires comprennent 78 % d'azote, 21 % d'oxygène et 0,04 % de gaz carbonique. Cela n'inclut pas les vapeurs d'eau et les aérosols qui contribuent à la formation des nuages. La teneur en eau dans les nuages ​​peut être minime et vaporeuse dans les régions plus élevées ou former des nuages ​​beaucoup plus proéminents et plus massifs dans les régions inférieures. Les propriétés du cloud sont difficiles à mesurer, quantifier et modéliser.

    Comme le montre la figure 1, cinq couches remontent dans l'atmosphère du niveau de la mer à plus de 600 kilomètres.

    Ces couches sont très fluides et changeront de différentes manières en fonction de ce qui les pousse ou les tire, comme la chaleur du Soleil, les vents solaires et les différences de pression. L'exosphère est la couche la plus élevée à plus de 600 km. L'air est mince et composé principalement d'hydrogène et d'hélium, et il s'estompe progressivement dans le vide de l'espace. La troposphère est la couche directement au-dessus de la Terre, où se trouvent la plupart des nuages ​​et où se produisent la plupart des actions météorologiques.

    Le temps rendu (en quelque sorte) compréhensible: Les principaux éléments: l'eau, la terre et l'air 1

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  4. VAPEUR D'EAU

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    La figure 2. joue un rôle crucial dans le cycle de l’eau de la Terre et est une nécessité absolue pour la capacité de la Terre à soutenir toute vie; les plantes, les animaux, les oiseaux et les poissons, les arbres et les baleines, les ours polaires, etc. Dans le plus simple des conditions météorologiques (en quelque sorte) compréhensibles: les éléments primaires: eau, terre et air 2 termes, le soleil chauffe les eaux et forme des vapeurs d'eau qui montent dans les airs. À certaines altitudes, températures et pressions barométriques, certains de ces minuscules éléments de vapeur d'eau rencontreront une particule d'aérosol. L'aérosol peut être une particule de poussière provenant d'un volcan ou d'une terre agricole ou d'un polluant industriel ou d'une voiture ou d'un jet ou autre, et ils deviennent la graine autour de laquelle la vapeur d'eau commence à se condenser et à coller. Un exemple de cela peut être vu dans le ciel comme de longues stries de nuages ​​derrière un avion à réaction haut vol. Ces stries blanches ne sont ni de la fumée, ni de la pollution. Ce sont des nuages ​​qui se forment autour de la libération de l'aérosol par les moteurs à réaction et de la vapeur d'eau collée sur eux.

    Alors que de plus en plus de vapeur d'eau adhère à ces graines, elles deviennent de plus en plus grosses, et de plus en plus de ces graines accumulent de la vapeur d'eau jusqu'à ce qu'un nuage se forme. Ce processus naturel est appelé «nucléation». Les nuages ​​deviennent de plus en plus gros à mesure que de plus en plus de ces gouttelettes sont créées. Le nuage devient également plus substantiel et plus massif à mesure que chacune de ces gouttelettes de vapeur d'eau condensée devient de plus en plus grande. À un moment donné, quand suffisamment d'entre eux sont assez gros, il commence à pleuvoir ou à neiger. Au fur et à mesure que les gouttelettes de pluie tombent dans le ciel vers la Terre, elles toucheront le sol sous forme de pluie s’il fait assez chaud. S'il fait un peu plus frais, il peut tomber comme de la grêle, ou s'il fait glacial, ce sera de la neige. Cette eau se répand ensuite sur les terres et les mers. La vie végétale en absorbe une partie, et certaines finissent dans les rivières et les lacs, les mers et les océans, et le cycle recommence.

    ÉRUPTIONS VOLCANIQUES

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    Figure 3 Les éruptions volcaniques jouent un rôle important dans les changements météorologiques car elles fournissent le nuage. Le temps est (en quelque sorte) compréhensible: Les principaux éléments: l'eau, la terre et l'air, 3 aérosols d'ensemencement contribuant à l'augmentation de la formation des nuages. La poussière et les gaz polluants formeront une barrière qui protège les rayons du soleil et refroidira la Terre. En cas d’éruption massive, ces nuages ​​peuvent couvrir de vastes zones et durer des mois et peuvent détruire une année d’agriculture dans les zones touchées.

    Un tel exemple s'est produit en 1816, connu sous le nom de «Année sans été», en raison de l'éruption du mont Tambura en Indonésie. Cette super-éruption a entraîné des éjections massives de milliards de tonnes de poussières, de gaz et d'aérosols dans l'atmosphère. Cette éruption a considérablement réduit la quantité d’énergie solaire atteignant la Terre, entraînant une baisse de la température moyenne mondiale de 0,7 à 1,3 ° F. (-17,3°c à -17°c). Et d’énormes échecs de l’agriculture.

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  5. LES LATITUDES DE LA TERRE La météo rend (en quelque sorte) compréhensible: les principaux éléments: l'eau, la terre et l'air 4

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    Voir la figure 4. En ce qui concerne la météo et le climat, l'endroit où vous vivez compte, et c'est très important ! Si vous vivez dans les régions tropicales, près de l’équateur, c’est là que les rayons du soleil atteignent plus directement la planète. En conséquence, il fait chaud et généralement beaucoup plus humide. C’est très différent des zones tempérées plus froides, et à mesure que vous vous éloignez de l’équateur, au nord ou au sud, plus vous vous éloignez, plus il fait froid et vraiment froid à mesure que vous vous rapprochez des pôles nord et sud.

    COUVERTURE THERMIQUE DE LA TERRE

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    Figure 5. L'effet de serre est un excellent avantage pour la Terre. C'est la couverture qui nous aide à rester dans la météo rendue (en quelque sorte) compréhensible: Les éléments principaux: l'eau, la terre et l'air 5 la zone Boucle d'or en empêchant plus de chaleur de s'échapper la nuit qu'elle n'en reçoit du soleil pendant la journée. 95 % de cet effet de serre est dû à la teneur en vapeur d'eau de l'air. Les 5 % restants sont apportés par les soi-disant «gaz à effet de serre», où le gaz carbonique est le deuxième plus grand contributeur, le méthane est le troisième et d'autres gaz remplissent l'équilibre.

    À présent, bien sûr, cher lecteur, vous vous rendez compte que nous avons au mieux «en quelque sorte» rendu le temps un peu plus compréhensible. Mais ce dont nous sommes sûrs, c’est que vous avez une meilleure compréhension de la complexité du temps et une appréciation du travail des experts en tous temps et pourquoi les prévisions par semaine sont difficiles. Vous vous rendrez peut-être aussi compte à quel point il est ridicule de prédire la température de la Terre dans des décennies.

    Des parties de cet article sont extraites du livre 2020 A HITCHHIKER’S VOYNEY THROUGH CLIMATE CHANGE par Terigi Ciccone et Dr. Jay Lehr. Le livre est la meilleure source pour les parents et les grands-parents pour expliquer la réalité du changement climatique à leurs enfants. Il est particulièrement recommandé aux jeunes adolescents et à la génération Z car ils subiront les conséquences de la folie du changement climatique.

    Disponible sur Amazon à l'adresse https://www.amazon.com/Hitchhikers-Journey-Through-Climate-Change-ebook/dp/B086R49RS6 En format Kindle, livre de poche noir et blanc et chiffres en couleur grand format. Ou envoyez un e-mail à terigiciccone@gmail.com.

    https://www.cfact.org/2020/12/23/weather-made-sort-of-understandable-the-primary-elements-water-land-and-air/

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    1. (...) Comme nous l'avons fait dans les parties 1 et 2 de cette série sur la météo, nous commencerons par ce qui peut être une exclamation choquante. Le temps n'est ni plus ni moins que la nature essayant d'équilibrer l'équilibre de toute l'énergie transmise à la Terre par le Soleil. (...)

      Première ERREUR celle d’excommunier la présence du magma à la vie sur Terre (sans quoi elle ne serait que Saturne, Jupiter, Vénus, Mars ou autre 'Lune' sans énergie).

      (...) La terre comprend notre pelouse, nos terres agricoles et nos montagnes, vous et les phoques au nord et les pingouins au pôle sud et les prairies en Argentine et les montagnes du Pérou et des arbres du Canada. (...)

      Deuxième ERREUR: Le pingouin vit au Nord et le manchot vit au Sud.

      (...) Un exemple de cela peut être vu dans le ciel comme de longues stries de nuages ​​derrière un avion à réaction haut vol. Ces stries blanches ne sont ni de la fumée, ni de la pollution. Ce sont des nuages ​​qui se forment autour de la libération de l'aérosol par les moteurs à réaction et de la vapeur d'eau collée sur eux (...)

      Les traînées blanches à l'arrière d'avions ne sont pas des condensations mais des largages de particules nano-métriques (chemtrails). Un autre avion peut suivre ou traverser l'espace derrière l'avion à même altitude sans faire de trace. Ils ne sont nullement les fabricants de nuages ! (D'où la facilité de faire pleuvoir en plein désert ! Hahaha !).

      (...) À présent, bien sûr, cher lecteur, vous vous rendez compte que nous avons au mieux «en quelque sorte» rendu le temps un peu plus compréhensible. Mais ce dont nous sommes sûrs, c’est que vous avez une meilleure compréhension de la complexité du temps et une appréciation du travail des experts en tous temps et pourquoi les prévisions par semaine sont difficiles. Vous vous rendrez peut-être aussi compte à quel point il est ridicule de prédire la température de la Terre dans des décennies. (...)

      'une appréciation du travail des experts en tous temps et pourquoi les prévisions par semaine sont difficiles'. !! HAHAHA !

      TOUTE la nature qui nous entoure est régie par le magma (sans quoi il n'y aurait de vie sur Terre). Il est donc impossible de prévoir les éruptions volcanique (terrestres ou sous-océanique/sous-marine) qui modifient chaque minute la chaleur des courants marins & océaniques et qui, s'échappant des eaux, apportent une douceur côtière çà et là.

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  6. Alzheimer : du fromage avec un verre de vin rouge chaque jour …


    le 24 décembre 2020


    Le Docteur Auriel Willette, professeur de science des aliments et de la nutrition à l’Université de l’Iowa à Ames, USA, a analysé les données englobant 1787 adultes âgés de 46 à 77 ans provenant de la banque de données santé du Royaume-Uni. L’étude a duré 10 ans et au cours de cette période tous les paramètres concernant chaque personne dont l’anonymat a été scrupuleusement respecté ont été actualisés chaque trois ou quatre année. De nombreuses données relatives au régime alimentaire de chaque participant ont été assorties à des tests cognitifs pour suivre l’apparition d’un déclin de la mémoire à court terme, l’un des principaux symptômes de l’apparition de la maladie d’Alzheimer. Le questionnaire relatif aux habitudes alimentaire était exhaustif, chaque participant devant noter les quantités respectives quotidiennement ingérées de fruits frais, de fruits secs, de légumes crus et en salade, de légumes cuits, de poisson gras ou de poisson blanc, de viande transformée industriellement, de volailles, bœuf, agneau, porc, fromage, pain, céréales, thé et café, bière et cidre, vin rouge, vin blanc et boissons alcoolisées type whisky ou gin.

    Le dépouillement minutieux de cet immense ensemble de données a permis de mettre en évidence un effet préventif ou au moins retardateur de l’apparition des troubles cognitifs du fromage ingéré quotidiennement. De quels fromages s’agit-il, l’étude ne le mentionne pas mais très probablement de fromages anglais. Il ne faut pas dénigrer les fromages anglais qui comptent plusieurs centaines de variétés bien que toutes soient dérivées des « bleus » préparés à partir de lait de vache cru, des fromages durs comme le Cheddar également préparés à partir de lait cru, des fromages à pâte molle également préparés à partir de lait de vache cru et enfin les fromages préparés à partir de lait de chèvre ou de brebis. Le fromage est riche en vitamines, en acides gras et en sels minéraux. De plus les fromages fermentés sont souvent recouverts de moisissures. Or la majorité des antibiotiques connus ont été initialement isolés à partir de moisissures, souvenons-nous de la pénicilline, alors l’une des hypothèses assez satisfaisante qui m’est apparue est que ces moisissures et ces fermentations variées donnant à chaque fromage son individualité gastronomique contiennent des antibiotiques utiles pour combattre la prolifération de la bactérie Phorphyromonas gingivalis dont la présence dans le cerveau des personnes mortes de la maladie d’Alzheimer a été décelée presque systématiquement après que l’on ait observé que dette bactérie provoquait l’apparition des mêmes symptômes dans le cerveau des souris, symptômes provoqués par la gingipaïne, la protéase excrétée par cette bactérie qui détruit les cytokines et réduit les défenses immunitaires de l’hôte.

    Il y a donc un domaine d’étude qui s’ouvre avec cette analyse réalisée à l’Université de l’Iowa. J’ai informé le Docteur Willette de ma remarque.

    Les deux autres paramètres moins significatifs qui ont été identifiés dans cette étude sont le vin rouge et curieusement la viande de mouton ou d’agneau, un verre de vin rouge quotidien et de la viande ovine au moins une fois par semaine. Pour ma part voici les fromages exclusivement français dont je me nourris chaque jour accompagnés d’un bon verre de vin rouge :

    Source : doi, 10.3233/JAD-201058 aimablement communiqué par le Docteur Willette. Et aussi :

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/01/27/maladie-dalzheimer-coup-de-theatre-terrifiant/

    https://advances.sciencemag.org/content/5/1/eaau3333

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/12/24/alzheimer-du-fromage-avec-un-verre-de-vin-rouge-chaque-jour/

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  7. La course pour sauver des vies: comparaison des délais de développement des vaccins


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 24 DÉC 2020-16: 15


    Les progrès majeurs de la médecine ont conduit à une augmentation significative de l'espérance de vie moyenne, les vaccins étant salués comme l'une des interventions les plus réussies à ce jour.

    En fait, l'Organisation mondiale de la santé estime que les vaccins ont évité 10 millions de décès entre 2010 et 2015 seulement. Mais si certains ont été créés et distribués en un peu plus de quatre mois, d'autres ont mis plus de 40 ans à se développer. Là encore, les pandémies précédentes ont disparu sans aucun vaccin.

    Avec les vaccins COVID-19 approuvés qui seront bientôt distribués dans le monde entier, le processus de développement du vaccin est examiné par des experts (et des non-experts) du monde entier.

    Dans le graphique ci-dessous, Katie Jones de Visual Capitalist explore combien de temps il a historiquement fallu pour mettre un vaccin sur le marché lors de pandémies remontant aux années 1900, et ce que le processus implique.

    Vaccins pandémiques du passé

    Bien que l'on puisse faire l'hypothèse que le développement d'un vaccin contre les maladies infectieuses est devenu plus efficace depuis les années 1900, cette affirmation n'est pas tout à fait correcte.

    Il a fallu environ 25 ans pour développer un vaccin contre la grippe espagnole qui a tué entre 40 et 50 millions de personnes. De même, ce n'est que l'année dernière que la FDA a approuvé le premier vaccin contre le virus Ebola - un effort qui a pris 43 ans depuis la découverte du virus.

    Mais alors que les scientifiques et les experts médicaux ont fait des progrès pour arrêter les grandes pandémies dans leur élan, certaines des pires épidémies de l'histoire n'ont pas encore été guéries.

    Voici un examen plus approfondi des délais de développement de vaccins pour chaque pandémie depuis le début du 20e siècle:

    - voir liste sur site -

    En ce qui concerne le développement rapide d'un vaccin COVID-19, le financement a joué un rôle essentiel. Le nombre de cas augmentant à un rythme alarmant, la demande et l'urgence d'un vaccin sont élevées. Aux États-Unis, le gouvernement a payé à Pfizer et BioNTech près de 2 milliards de dollars pour 100 millions de doses d'un vaccin sûr contre le COVID-19. Ce niveau de soutien des gouvernements du monde entier signifie que les géants pharmaceutiques ont moins d'incertitudes financières à gérer par rapport aux autres vaccins.

    Même si l'effort mondial de distribution des vaccins COVID-19 est maintenant en cours, de nombreux experts craignent que le rythme d'approbation puisse compromettre la sécurité à long terme - mais il y a des étapes rigoureuses qu'un vaccin doit d'abord franchir avant d'être approuvé.

    Le parcours d'un candidat vaccin

    En moyenne, il faut 10 ans pour développer un vaccin. Selon le CDC, il y a six étapes impliquées dans le processus du début à la fin:

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  8. 1 Étape exploratoire: Cette étape consiste généralement en une recherche fondamentale en laboratoire qui peut durer de 2 à 4 ans.

    2 Étape préclinique: Cette étape utilise des systèmes de culture tissulaire ou de culture cellulaire et des tests sur les animaux pour donner aux chercheurs une idée de la façon dont les humains pourraient répondre à un vaccin candidat.

    3 Développement clinique: Au stade du développement clinique, il y a trois phases. La phase 1 examine la réponse d'un petit groupe de personnes à un vaccin candidat. La phase 2 consiste à administrer le vaccin candidat à un plus grand groupe de personnes pour en étudier l'innocuité, l'immunogénicité, les doses proposées, le calendrier de vaccination et la méthode d'administration. Au cours de la phase 3, le vaccin est administré à des milliers de personnes pour en tester davantage l'efficacité et la sécurité.

    4 Examen et approbation réglementaires: les autorités réglementaires nationales sont responsables de l'approbation des vaccins dans différents pays. Par exemple, le Center for Biologics Evaluation and Research (CBER) de la Food and Drug Administration des États-Unis réglemente tous les vaccins américains.

    5 Fabrication: En règle générale, la production, l'emballage et la livraison d'un vaccin de haute qualité peuvent prendre de 6 à 36 mois.

    6 Contrôle de qualité: différents lots d'un vaccin sont continuellement testés par différentes autorités à travers le monde pour garantir sa sécurité continue.

    Malgré ces longs délais, les vaccins COVID-19 et les candidats suivants ont renversé le processus conventionnel en raison de leur technologie non conventionnelle.

    Technologies innovantes au cœur de la guérison du COVID

    Même s'il n'y a pas de vaccins approuvés pour d'autres coronavirus tels que le MERS et le SRAS, des recherches antérieures sur ces maladies ont aidé à identifier des solutions potentielles pour COVID-19 en utilisant la technologie de l'ARN messager (ARNm).

    «La technologie de plateforme de vaccin à ARNm [utilisée par le vaccin Pfizer / BioNTech] est en développement depuis plus de deux décennies.»

    - Dr Zoltán Kis, Imperial College London.

    La technologie demande à notre corps de produire une petite partie du virus COVID-19 appelée protéine de pointe. Cela déclenche le système immunitaire pour qu'il fabrique des anticorps pour le combattre et prépare le corps à une véritable infection au COVID-19.

    Contenant COVID-19 lot par lot
    Le déploiement d'un vaccin sûr et efficace pourrait avoir le potentiel de sauver des millions de vies et de prévenir l'infection pour beaucoup d'autres.

    Bien que certains experts aient critiqué la rapidité des approbations de candidats-vaccins, la qualité sera étroitement surveillée lot par lot.

    La crise du COVID-19 ne montrant aucun signe de ralentissement, la plupart d'entre nous continuent à vivre dans l'espoir que la lumière soit au bout du tunnel.

    https://www.zerohedge.com/medical/race-save-lives-comparing-vaccine-development-timelines

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  9. Une explosion inexpliquée et un incendie détruisent la deuxième plus grande usine pharmaceutique au monde produisant des précurseurs d'hydroxychloroquine


    Par Thomas Lifson
    23 décembre 2020


    Préparez-vous à resserrer les approvisionnements pour le traitement thérapeutique bon marché et efficace de l'infection à COVID-19 à un stade précoce, l'hydroxychloroquine (HCQ). Tout comme l'establishment médical aux États-Unis assouplit sa suppression absurde et mortelle du médicament générique bon marché, après l'avoir approuvé par le président Trump au début de la pandémie, la disponibilité continue du HCQ pourrait en souffrir. La deuxième plus grande installation pharmaceutique au monde produisant les précurseurs du HCQ a été détruite par une explosion et un incendie.

    Rapports de Taiwan English News:

    Une explosion dans une usine pharmaceutique de la ville de Taoyuan a fait deux blessés et provoqué un incendie en début d'après-midi, le 20 décembre.

    Des gens du district de Tamsui à New Taipei ont rapporté avoir entendu l'explosion massive peu après midi. Immédiatement après l'explosion, une épaisse fumée noire a pu être vue s'échapper de l'usine SCI Pharmtech. (couper)

    La cause de l'explosion fait actuellement l'objet d'une enquête.

    Liberty Times a rapporté que l'usine produit des API d'hydroxychloroquine [ingrédients pharmaceutiques actifs —TL] et qu'elle est le deuxième fournisseur mondial de matières premières HCQ.

    Un rapport ultérieur indique que l'un des travailleurs blessés, un travailleur invité philippin qui a subi des brûlures au troisième degré sur 90 % de son corps, est décédé. L'explosion a éclaté vers midi et a déclenché des explosions ultérieures de substances volatiles à proximité.

    Le Taipei Times rapporte que les porte-parole de l'entreprise déclarent: "[Il] faudrait au moins six mois pour reconstruire l'usine, car la plupart des lignes de production ont été endommagées par l'incendie [.]"

    Les approvisionnements peuvent être serrés, car la SCI Pharmtech avait déjà augmenté la production et les ventes d'API HCQ pour répondre à la demande croissante:

    La société a déclaré un chiffre d'affaires cumulé de 2,61 milliards de dollars NT au cours des 11 premiers mois de cette année, en hausse de 18,19% par rapport à 2,21 milliards de dollars NT à la même période l'an dernier, grâce à des expéditions régulières d'API pour l'hydroxychloroquine

    La cause de l'incendie est sous enquête. Compte tenu du caractère explosif de certains des ingrédients, il pourrait bien y avoir une explication parfaitement innocente à l'incendie. Mais un retard de six mois dans la reprise de la production peut retarder l'approvisionnement en HCQ des patients au stade précoce du COVID-19, qui pourraient autrement traiter leur affliction avec celui-ci, combiné avec du zinc et un antibiotique comme l'azithromycine.

    Je suis allé à Taoyuan et j'ai visité des installations industrielles là-bas. Il est très proche de l'aéroport international de Taipei Taoyuan, le principal aéroport international desservant Taipei et Taiwan, ainsi que de Hsinchu Science Park, un haut lieu de la haute technologie, abritant plus de 400 entreprises. Cette zone est très sophistiquée et prospère et dispose d'une gare à grande vitesse la reliant au centre de Taipei en environ une demi-heure de trajet. Ce n'est pas du tout un marigot du tiers monde; bien au contraire.

    https://www.americanthinker.com/blog/2020/12/unexplained_explosion_and_fire_destroy_worlds_second_largest_pharmaceutical_factory_producing_precursors_for_hydroxychloroquine_.html

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    1. Primo, vu les proportions que la nano-grippette 'corona' a prise en additionnant involontairement tous les morts de peur, les morts de fatigue et les morts de chez mort, la suggestion du 'principe de précaution' aurait donc prévalue quant à protéger le laboratoire voire de penser derechef d'en cloner le système. Mais, bizarrement, les finances n'étaient pas là (malgré l'interdiction de l'emploi de l'HCQ pour sauver des vies) et que personne ne se serait douter qu'une telle chose pouvait exister !! Boum ! Secundo, qui va se mobiliser pour l'antidote ? Faire des dons à la Recherche pour le cancer quand on l'a ?

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  10. Covid-19 en Biélorussie — La stratégie la moins dictatoriale d'Europe révèle le mensonge des partisans du confinement


    Rachel Allen — Off-Guardian
    Sott.net
    mer., 23 déc. 2020 10:22 UTC


    La plupart des gouvernements européens ont adopté des mesures qui paralysent les économies, ont mis en place des restrictions à la liberté de circulation et autres dispositifs connus sous le nom de « confinement ». La décision de confiner aurait été prise en réaction à la propagation du Sras-Cov-2, un dangereux virus respiratoire originaire de Wuhan, en Chine.

    Peu de pays ont rejeté cette approche ; la Suède est le plus connu d'entre eux [jusqu'à récemment - NdT]. Cependant, un cas plus intéressant de dissidence vis-à-vis du récit officiel est celui de la Biélorussie et de son leader Alexandre Loukachenko. Cet article présente l'approche de Loukachenko face à la prétendue pandémie, suivie d'une analyse des chiffres de la mortalité et de la façon dont le cas biélorusse expose les mensonges des partisans du confinement.

    La stratégie biélorusse face au Covid-19

    La prétendue pandémie a éclaté en Europe en mars 2020, et la plupart des gouvernements européens ont suivi la stratégie draconienne consistant à imposer des mesures de confinement. La réponse de Loukachenko a été beaucoup plus limitée. Un communiqué de presse biélorusse du 25 mars parle des quarantaines mises en place pour les personnes qui entrent en Biélorussie :

    « Des centres de quarantaine ont été mis en place à tous les points d'entrée. Les mesures de dépistage comprennent des contrôles de température. Ce système de contrôle fonctionne vraiment, a noté Vladimir Karanik, ministre de la Santé. Cela a permis d'identifier les symptômes d'une infection virale chez plus de 250 personnes, mais la majorité absolue d'entre elles avaient la grippe, la parainfluenza et l'adénovirus. Si une personne est testée positive au coronavirus, les personnels de la santé mettent ses contacts sous observation médicale. « Une telle approche ciblée contribue à freiner la propagation du virus », a déclaré le ministre. »

    M. Loukachenko a également préconisé de rester chez soi si l'on présente des symptômes du virus. Il a également prononcé quelques fameux commentaires — largement repris dans les médias occidentaux — dans lesquels il a prodigué des conseils de santé :

    « Je ne bois pas d'alcool, mais ces derniers temps, je dis en plaisantant qu'il faut non seulement se laver les mains avec de la vodka, mais aussi probablement que [consommer] 40 à 50 grammes d'alcool pur par jour — [peut] « empoisonner » [entre guillemets dans le texte original] ce virus. Mais pas au travail. Aujourd'hui, allez au sauna. Mais si vous y allez deux ou trois fois par semaine, c'est encore plus bénéfique pour la santé. Les Chinois nous ont dit que ce virus ne peut pas supporter des températures de 60 degrés. »

    Dans l'ensemble, l'approche biélorusse a été la moins autoritaire de toute l'Europe. Les matchs de football biélorusses se sont déroulés normalement et les supporters ont pu continuer à assister aux rencontres. Les théâtres, les cafés et autres événements publics ont été maintenus et l'économie n'a pas été paralysée. Les défilés du jour de la Victoire ont également eu lieu le 9 mai, bien qu'ils aient été annulés dans des pays comme la Russie. Loukachenko n'a pas non plus retardé les élections qui étaient prévues, contrairement à la Néo-Zélandaise Jacinda Ardern.

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  11. Les médias occidentaux ont qualifié la stratégie de Loukachenko de curiosité risible — dans les cas où ils ne l'ont pas purement et simplement ignorée. Ils se sont gaussés de ses commentaires sur la vodka et les saunas, ce qui leur a permis au passage d'éviter de formuler des questions plus pertinentes.

    Selon le récit officiel, la Biélorussie était supposée devenir un pays dans lequel règnent la mort, la destruction et le désastre. La modélisation de Neil Ferguson — l'une des pièces maîtresses de la propagande utilisée pour confiner la Grande-Bretagne — prédisait que si l'on ne contrôlait pas le Covid 19, il tuerait entre 54 090 et 71 616 Biélorusses.

    Quels sont donc les faits ?

    Les morts du Covid et la Biélorussie

    La population du Belarus compte environ 9,5 millions d'habitants. Sur cette population, au 12 décembre 2020, on a enregistré un total de 1 263 décès attribués au Covid-19. Il s'avère que le premier décès attribué à cette maladie en Biélorussie s'est produit le 31 mars, puis entre deux et onze décès ont ensuite été enregistrés chaque jour jusqu'au 12 décembre.

    Il va sans dire que 1 263 décès sur une population de 9,5 millions d'habitants constitue un chiffre minuscule et n'indique guère qu'une pandémie mortelle soit en train de balayer le pays. Mais les détracteurs de la stratégie biélorusse pourraient prétendre que Loukachenko cache la réalité quant au nombre exact de décès attribués au Covid-19 survenus dans son pays.

    La méthode la plus logique pour examiner cette question est de déterminer s'il existe au cours de cette période un nombre supérieur de décès dans l'ensemble de la Biélorussie et, dans l'affirmative, combien. Bien sûr, ce n'est pas parce qu'il existe un nombre supérieur de décès que l'on peut prouver que les décès ont été causés — ou pas — par des cas cachés de Covid 19. Mais un nombre relativement faible de décès en plus révélerait que l'affirmation selon laquelle Loukachenko cache des décès en masse du Covid 19 n'est pas plausible.

    Selon les données, la Biélorussie a enregistré quelques décès supplémentaires au cours du deuxième trimestre 2020 (avril, mai et juin). Au cours de cette période, 35 858 personnes sont mortes, soit 5 606 de plus qu'en 2019. En examinant les données, nous observons que la grande majorité de ces décès supplémentaires ont eu lieu en juin, que pratiquement aucun ne s'est produit en avril et que le mois de mai a enregistré un léger surnombre.

    Si on le compare aux prédictions funestes et dévastatrices avancées par des personnes comme Neil Ferguson, ce chiffre est plutôt modeste.
    Note du traducteur : Ce chiffre se situe, en outre, dans la fourchette des récents chiffres annuels de décès supplémentaires.
    La Biélorussie versus l'Angleterre et le Pays de Galles

    En comparant avec un autre pays ayant mis en place des mesures de confinement, on se rend compte que les prédictions alarmistes sur les conséquences d'un non confinement ne sont pas fondées.

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  12. Cette analyse a été réalisée en prenant le nombre de décès en plus en Biélorussie et en le comparant aux chiffres de 2019 et 2020 enregistrés en Angleterre et au Pays de Galles. Le Belarus a enregistré 5 605 décès en plus en avril, mai et juin 2020, pour une population de 9,5 millions d'habitants. L'Angleterre et le Pays de Galles ont enregistré 54 798 décès en plus au cours de la même période pour une population de 59,5 millions d'habitants.

    La population de l'Angleterre et du Pays de Galles est 6,26 fois plus importante que celle de la Biélorussie, donc en divisant le chiffre de 54 798 par 6,26, on obtient un résultat de 8 754. Si la Biélorussie avait le même taux de mortalité en plus que l'Angleterre et le Pays de Galles, on y aurait observé 3 149 décès supplémentaires [en plus des 5 605 déjà enregistrés - NdT]. Ou pour formuler ces données autrement, si l'Angleterre et le Pays de Galles avaient le même taux de mortalité en plus que la Biélorussie, on aurait sur la période enregistré 19 711 décès de moins.

    Note du traducteur : Ce qui revient à dire que ce sont les confinements qui engendrent plus de morts que d'habitude, et pas « Le Covid ».
    L'article du British Medical Journal sur la Biélorussie ou comment garantir le bien-fondé du confinement

    Cette preuve se révèle accablante pour les partisans du confinement. Cependant, le British Medical Journal a publié un article pour tenter d'expliquer le faible taux de mortalité en Biélorussie en dépit du fait que le pays n'a pas instauré de confinement. L'article avance quatre raisons pour lesquelles la Biélorussie présente un faible taux de mortalité, dont certaines offrent des données comparatives avec le Royaume-Uni.

    Note du traducteur : L'article précise que la Biélorussie constitue la « dernière dictature » encore présente en Europe — ou le monde à l'envers — et que son président nie le Covid-19 ; ce qui n'est pas le cas, sinon il n'aurait pas conseillé à ses citoyens d'aller au sauna n'y n'aurait institué des centres de quarantaine pour les personnes entrant en Biélorussie. Ils entament leur article en précisant que le président Aleksander Loukachenko — qui nous considère, nous en tant qu'occidentaux, comme des « bandits démocrates » — est « au pouvoir depuis 1994 » — Ah oui, ça, c'est gênant — et que « son gouvernement est assiégé ». Ils font certainement référence à l'énième « Révolution de couleurs » qui n'a pas pour l'instant pris, mais dont le but était/est de créer un autre « Maïdan » à la sauce biélorusse.

    La première raison avancée est que la Biélorussie dispose d'un nombre de lits de réanimation par habitant beaucoup plus élevé — 11 pour 1 000 contre 2,5 pour 1 000 au Royaume-Uni.

    Les services de santé trouvent généralement un équilibre entre le fait d'avoir suffisamment de lits de réanimation disponibles pour faire face à une crise, mais pas trop afin d'éviter de gaspiller de l'argent avec des lits de réanimation superflus. On peut faire valoir que le NHS [Système national de Santé en Grande-Bretagne - NdT] ne trouve pas le bon équilibre et penche pour un nombre insuffisant de lits de réanimation par habitant. Par exemple, le Royaume-Uni a enregistré un grand nombre de cas de grippe pendant la saison 2017-2018, période pendant laquelle les hôpitaux ont enregistré un taux d'occupation des lits de réanimation élevé.

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  13. Toutefois, le taux d'occupation des lits de réanimation au Royaume-Uni a considérablement diminué en raison du confinement et de la politique du NHS consistant à faire sortir le plus grand nombre possible de patients. Le 13 avril, quelques semaines après le début du confinement, les lits destinés aux soins intensifs étaient inoccupés à 40 %. On peut difficilement en conclure que le Système de santé aurait été totalement débordé s'il n'y avait pas eu de confinement — à titre de comparaison, les lits du NHS sont généralement remplis à 90 %. Il semblerait au contraire que le confinement a entraîné de nombreux morts qui ont été engendrés par les annulations de traitements, les renvois chez eux de patients hospitalisés et la diffusion propagandiste de messages basés sur la peur propres à décourager toute personne de se faire soigner.

    Un autre argument principal de l'article est que la Biélorussie compte un petit nombre de personnes âgées en maisons de retraite médicalisées — il y en a 203 pour 100 000, contre 854 pour 100 000 au Royaume-Uni. Il est vrai qu'un agent pathogène respiratoire se propage plus facilement dans ce type d'environnement en raison de la proximité entre elles des personnes vulnérables. Il est également vrai qu'au cours de cette période, le Royaume-Uni y a enregistré un grand nombre de décès.

    Cependant, la politique du gouvernement britannique à l'égard des maisons de retraite médicalisées a probablement, pendant cette période, contribué à une partie au moins du nombre de décès en plus. Les personnes placées dans ces structures se voyaient systématiquement refuser un traitement hospitalier et ne pouvaient pas avoir accès à un médecin généraliste. Le manque de visites de membres de leur famille a entraîné chez de nombreux patients âgés un renoncement à vivre et leur état s'est détérioré. Tous les décès qui en ont résulté ne peuvent donc pas être attribués à un virus, mais à la politique gouvernementale.

    L'argument échoue également lorsqu'il s'agit de justifier les motivations liées aux décisions de confiner. Si la majorité des décès se produisent dans un environnement relativement confiné comme une maison de retraite médicalisée, le confinement de l'ensemble de la société, comme la fermeture de magasins et l'annulation d'événements sportifs, n'aura aucun effet sur la transmission dans ce même environnement.

    Deux autres raisons données dans l'article — le meilleur système de test biélorusse et le manque d'intérêt de ce pays comme destination touristique — n'ont pas non plus d'influence sur l'efficacité de la stratégie du confinement.

    Il n'existe aucune preuve que les personnes testées positives mais asymptomatiques soient infectieuses. Il s'ensuit que le fait de tester en plus grand nombre ne va pas entraîner moins de décès, ce qui ne peut donc pas expliquer le faible taux de mortalité dans une Biélorussie non confinée. La Biélorussie a mis en place des mesures de quarantaine, alors que le Royaume-Uni a continué à autoriser l'entrée sur son sol des vols commerciaux étrangers.

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  14. L'article affirme qu'il est plus facile pour la Biélorussie (que pour le Royaume-Uni) de fermer ses frontières parce qu'elle ne constitue pas une destination touristique majeure [a contrario de la Grande-Bretagne - NdT], ce qui est vrai, mais on ne peut pas sérieusement affirmer que la mise en place de mesures de quarantaine coûte plus cher que celles qui conduisent à confiner tout un pays. Par ailleurs, une fois qu'un hypothétique virus se retrouve largement disséminé dans la population d'un pays, la quarantaine n'a plus lieu d'être.

    Conclusion

    Le cas de la Biélorussie constitue un problème important pour les personnes qui affirment que des mesures de confinement sont nécessaires pour prévenir les décès massifs dus à la pandémie mortelle de Covid-19. Les mesures limitées qui y ont été prises ont entraîné un taux de mortalité plus faible qu'en Angleterre et au Pays de Galles qui ont mis en place des confinements. Il n'existe pas non plus d'arguments clairs expliquant pourquoi la Biélorussie serait à ce point unique qu'elle a pu se passer de confinements pendant que d'autres pays les avaient instaurés.

    Compte tenu du coût pour l'économie, des dommages psychologiques infligés aux populations et des restrictions draconiennes des libertés fondamentales engendrés par les mesures de confinement, ces faits suggèrent fortement que les dirigeants ayant imposé des mesures de confinement ont des comptes à rendre à leurs citoyens.
    Note du traducteur : Cette escroquerie a également exposé au grand jour le mensonge de la « Liberté et de la Démocratie ». Dans la vision officielle du monde, la Biélorussie est le pays le plus autoritaire d'Europe. En réalité, c'est tout le contraire.

    La Biélorussie a bien évidemment payé sa désobéissance à la Secte de la Division Covidienne en se voyant imposer une « Révolution démocratique » dès la fin du « premier confinement occidental » en juin. Mais cette action a échoué, en grande partie parce que la plupart des Biélorusses ont dit « non merci » à la « version plus libre de la démocratie dont jouissent les Occidentaux » — laquelle est en réalité plus dictatoriale.

    Rappelons que le Dr John Ioaniddis, de Stanford, a rédigé le 26 mai dernier un excellent article pour le Boston Review, expliquant l'impact catastrophique des confinements et du blocus sur les soins de santé :
    « Dans le même temps, nous ne devons pas détourner notre regard des préjudices réels de nos interventions les plus radicales, qui touchent également de manière disproportionnée les personnes défavorisées. Nous savons que le confinement prolongé de l'ensemble de la population a retardé les traitements contre le cancer et a incité les personnes souffrant de maladies graves comme les crises cardiaques à ne pas se rendre à l'hôpital. Il conduit les systèmes hospitaliers à licencier et à mettre du personnel en congé, il dévaste la santé mentale, il augmente la violence domestique et la maltraitance des enfants, et il a ajouté au moins 36,5 millions de nouvelles personnes aux rangs des chômeurs rien qu'aux États-Unis.

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  15. Beaucoup de ces personnes perdront leur assurance maladie, ce qui les exposera davantage au risque d'une détérioration de leur santé et à la détresse économique. On estime que le chômage prolongé entraînera 75 000 décès supplémentaires dus au désespoir rien qu'aux États-Unis au cours de la prochaine décennie. Au niveau mondial, les perturbations ont porté à plus d'un milliard le nombre de personnes menacées de famine, la suspension des campagnes de vaccination massives fait peser la menace d'une résurgence des maladies infectieuses qui tuent les enfants, les modélisations suggèrent un excès de 1,4 million de décès dus à la tuberculose d'ici 2025, et l'on s'attend à ce que le nombre de décès dus au paludisme double en 2020 par rapport à 2018.

    J'espère que ces prévisions modélisées se révéleront aussi fausses que celles de plusieurs effectuées pour le Covid-19, mais ce n'est peut-être pas le cas. Tous ces impacts sont également importants. Les décideurs politiques doivent prendre en compte les inconvénients des politiques restrictives, et pas seulement leurs avantages. »
    Voir aussi nos Focus :

    Critique en 16 points majeurs de la raison « impure » du confinement — Comment en sommes-nous arrivés là ?
    Dr John Lee : « Il n'existe aucune preuve que le confinement fonctionne »
    Tous aux abris et brûlez les hérétiques — La secte moderne du Corona
    Covid-19 - Mises à jour médicales et développements politiques - Les faits, rien que les faits !
    Covid 19 — Une pandémie plus médiatique et politique que meurtrière ? Bilan mondial chiffré pour 2020
    À propos de l'auteur

    Rachel Allen est une écrivaine et militante indépendante vivant au Royaume-Uni. Son travail peut être consulté sur son site web Cassandra's Box.
    Source de l'article initialement publié en anglais le 19 décembre 2020 : Off-Guardian
    Traduction : Sott.net

    https://fr.sott.net/article/36419-Covid-19-en-Bielorussie-La-strategie-la-moins-dictatoriale-d-Europe-revele-le-mensonge-des-partisans-du-confinement

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  16. Vaccin Pfizer: une réaction allergique «significative» signalée à New York après d’autres cas similaires aux États-Unis


    10:28 24.12.2020


    Un employé dans le secteur santé à New York a fait une sérieuse réaction allergique au vaccin Pfizer, selon des responsables. À ce jour, plus de 30.000 injections du vaccin Pfizer ont été administrées dans la ville. D’autres États américains ont déjà signalé des cas similaires.

    Le docteur Dave Chokshi, commissaire à la santé de la ville de New York, a informé le 23 décembre lors d’une conférence de presse qu’un travailleur dans le domaine de la santé a subi une «réaction allergique significative» au vaccin Pfizer. Il s’agit du seul cas sur les plus de 30.000 injections du vaccin Pfizer effectuées à ce jour à New York.

    Le responsable a ajouté que la patiente a reçu un traitement. Elle se trouve dans un état stable et en convalescence.

    Par ailleurs, il a souligné que les personnes ayant développé antérieurement des réactions allergiques doivent consulter leur médecin avant de recevoir le vaccin Pfizer.

    D’autres cas similaires

    Selon les données des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies publiées le 19 décembre, six personnes, sur à 272.001, ont subi une anaphylaxie après l’injection du vaccin Pfizer aux États-Unis. En Alaska, une agent de santé, sans antécédent allergique connu, a été hospitalisée suite à une grave réaction.

    Mardi, les responsables de la santé publique de l’État de l’Alabama ont également signalé une anaphylaxie chez un patient.

    Le 9 décembre, les autorités sanitaires britanniques avaient déconseillé d’administrer le vaccin de Pfizer-BioNTech aux personnes ayant eu par le passé d’«importantes réactions allergiques», après deux cas de mauvaise réponse aux premières injections au Royaume-Uni.

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  17. Crise sanitaire à New York: «même après les attentats du 11 septembre 2001, je n’ai jamais vu ça»


    10:27 24.12.2020


    À quoi ressemble la vie actuelle en pleine crise sanitaire à Manhattan, au sein de la plus grande ville américaine ? Témoignage d’Olivier Piton, avocat et spécialiste des États-Unis, pour le Désordre mondial.

    Quelle est l’ambiance aux États-Unis face à la deuxième vague du Covid-19? Olivier Piton, avocat en droit public, président de la Commission des lois à l’Assemblée des Français de l’étranger et auteur des livres La Nouvelle Révolution américaine et Les Transgressifs au Pouvoir –Emmanuel Macron et Donald Trump (édités chez Plon), dresse depuis Manhattan un tableau à donner la chair de poule au micro de Rachel Marsden:

    «C’est terrible. New York est vide. Il y a beaucoup de commerces, de restaurants qui sont définitivement fermés. Très peu de gens dans les rues, puisque 'tout le monde' est en télétravail. Très peu de gens en voiture. Très honnêtement, même en 2001 après [les attentats terroristes du, ndlr] 11 septembre, moi je n’ai jamais vu ça.»

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  18. Faites-leur confiance ! . . . Parce que vous ne pouvez pas les poursuivre


    By Eric Peters
    23 décembre 2020301293


    Vous ne pouvez pas entrer dans un magasin sans porter le Holy Rag (chiffon sacré/masque) - car quelqu'un pourrait tomber malade. Mais si vous tombez vraiment malade après avoir été forcé de prendre le Holy Jab, vous ne pouvez pas poursuivre en justice la société qui a fabriqué le vaccin de Dieu sait ce qu’il contient.

    Ce qui est assez malade quand on y pense.

    La mafia pharmaceutique peut vous forcer - via son exécuteur, le gouvernement - à prendre ses produits; les vaccins sont déjà nécessaires pour les enfants dans de nombreux États et si vous ne vous y soumettez pas, l’État peut emmener vos enfants. . . puis éloignez-vous de tout dommage causé parce que le gouvernement protège la mafia pharmaceutique de vous.

    Ainsi, une hausse de la mafia de l'assurance maladie. . . ce qui ne vous oblige qu'à acheter son produit.

    Les revendeurs de vaccins sont uniquement dotés d'une immunité gouvernementale contre les poursuites. Ils peuvent ruiner votre vie - et vous en avez la facture.

    C'est presque au-delà de toute croyance - surtout compte tenu du fait qu'il s'agit d'entreprises à but lucratif, ce qui signifie qu'elles peuvent littéralement s'enrichir de la souffrance qu'elles imposent aux personnes qui ne peuvent pas dire non au Jab.

    Jabs, en fait - car ce n’est pas un seul - et pas seulement celui-ci. Il y aura au moins deux jabs sacrés et ensuite - après avoir établi le précédent qu'ils peuvent vous faire prendre ces coups, pourquoi pas d'autres coups?

    Tous les risques - auxquels vous n’aurez pas le droit de dire non - vous pèsent sur vous.

    Tous les bénéfices pour eux.

    Où sont les citoyens publics et les «défenseurs des consommateurs» ? Où sont les journalistes d'investigation de l'i-Team ?

    Ils sont là-bas. Le problème est qu'ils ont été achetés - littéralement. Et parfois, vous en avez pour votre argent. Demandez à votre médecin à propos de Nemenda.

    Ne dites rien au public sur ce que Nemenda pourrait vous faire (indiquez le mec qui parle ultra-rapide qui est payé pour lire les petits caractères à la vitesse de la chaîne).

    Sinon, nous - les vendeurs de drogue - pourrions retirer nos publicités.

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  19. Lorsque je travaillais pour des journaux, il était entendu que les concessionnaires automobiles qui achetaient des espaces publicitaires ne seraient pas heureux - pourraient tirer leurs annonces - si le journal publiait des critiques de voitures qui ne venaient pas ici / venaient acheter des hagiographies.

    Ce même principe s’applique à la "couverture" à bout de souffle favorable du c’est enfin là! Holy Jab - et le silence sur ses possibles conséquences pas si grandes.

    La différence étant que l'on pourrait poursuivre le constructeur d'une voiture malhonnêtement annoncée, mal construite et dangereuse. Et il y avait une autre différence: le gouvernement n'a encore forcé personne à acheter une voiture en particulier.

    Vous vous souvenez peut-être du fiasco des pneus Ford Explorer / Firestone de la fin des années 90.

    L'Explorer a été l'un des premiers «SUV» vraiment réussis - un terme inconnu avant que quelqu'un du service marketing l'ait invoqué comme un moyen de vendre ce qui avait été des 4x4 de spécialité / de niche vendus principalement à des hommes (et à quelques femmes) qui aimaient utiliser eux pour des aventures hors route accidentées et, plus important encore, ils ont compris à quoi ils servaient et quelles étaient leurs limites. . . aux mamans du football et à d’autres personnes qui les conduisaient comme les voitures qu’elles n’étaient pas, souvent à des vitesses élevées sur des pneus non conçus pour 80 mi / h sur autoroute.

    Avec des résultats parfois catastrophiques.

    Un pneu éclaterait - et l'Explorateur ferait l'équivalent du lancer de la mort d'un alligator.

    Les avocats des familles des victimes ont reproché à Ford de concevoir et de vendre un véhicule apparemment pas très sûr à la vitesse au départ, que Ford aurait rendu encore moins sûr à vitesse en recommandant une pression des pneus trop basse. . . afin de faire en sorte que l'Explorateur roule moins comme le camion modifié qu'il était et plus comme la voiture qu'il n'était pas. Cela a exacerbé les problèmes de stabilité à haute vitesse de ce qui était plus ou moins un camion avec son lit fermé et recouvert de moquette et ses sièges boulonnés au sol.

    De plus, les pneus Firestone eux-mêmes étaient apparemment assez fragiles, même s'ils étaient correctement gonflés.

    Mélangez le tout et vous avez eu. . . responsabilité.

    Ford et Firestone ont été poursuivis - parce que les victimes le pouvaient. Et l'industrie a été réprimée, cela étant le but de ces poursuites, plus encore que l'indemnisation des victimes. L’idée étant de décourager la victimisation future en tenant les agresseurs d’aujourd’hui responsables.

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  20. Ce n'est pas pour rien que les SUV post-Explorer - pas seulement les Ford, mais toute la classe des SUV - se comportent plus comme les voitures que la plupart des gens qui les achètent supposent qu'ils le sont - et que les pneus sont choisis et la pression de gonflage recommandée pour favoriser la stabilité.

    Et c'est à cause de la débâcle des pneus Explorer / Firestone que tous les nouveaux véhicules doivent être équipés de contrôleurs de pression des pneus qui avertissent le conducteur d'un pneu sous-gonflé - afin de faire valoir que le conducteur a été averti du risque de pneus sous-gonflés - et avoir la possibilité d'éviter les conséquences.

    Mais il n'y a pas d'enclume de châtiment qui pèse sur la tête des sociétés pharmaceutiques, qui sont libres de faire de la publicité - et d'utiliser le pouvoir éditorial que cela leur donne pour supprimer la couverture négative (c'est-à-dire factuelle) d'elles-mêmes et de leurs marchandises et de leurs peut s'en tirer en victimisant les gens.

    Que pensez-vous que cela encourage ?

    Imaginez un constructeur automobile concluant un accord pour lui-même avec Oncle qui lui permette de vous vendre un véhicule dangereux, avec un défaut de conception intégré ou un risque anormalement élevé de défaillance critique - et a ensuite accordé au constructeur automobile l'immunité contre les poursuites civiles.

    Dans quelle mesure pensez-vous que le constructeur automobile ferait attention au design ? Combien de tests seraient effectués pour vérifier si ses véhicules résistaient, n'avaient pas de bizarreries étranges qui feraient mourir des gens ?

    Imaginez ensuite qu'ils obtiennent un mandat du gouvernement selon lequel vous deviez leur acheter un véhicule.

    Vous n’avez pas besoin d’imaginer cela - Tesla a bâti une entreprise sur ce modèle.

    Mais au moins, vous pouvez toujours poursuivre Tesla - pour le moment - si vous êtes rôti à mort dans l'un de leurs crématoriums mobiles.

    Ce n'est pas le cas des Needlers, eux du Holy Jab.

    Vous pensez que cela rendrait les gens fous.

    Espérons que ce sera le cas.

    https://www.ericpetersautos.com/2020/12/23/just-trust-em-because-you-cant-sue-em/

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    1. Alors qu'une tour (de type 'WTC' à NY) ne peut être détruite par un avion, aucune poursuite n'a été portée envers cet architecte de merde qui les a dessiné ! Ce qui prédestinait déjà les criminels en blouse blanche qui proposaient de la mort-aux-rats comme remède anti-virus !
      Donc, faut pas s'étonner que votre fille rentre chez vous enceinte de la maternelle vu qu'en moins de 6 mois ils mettent au point un vaccin !

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  21. Trump le maître persuader
    Déclaration de Donald Trump pour la nation


    December 24th, 2020


    Son discours d'aujourd'hui était en partie une description des finalistes pour les Oscars de la tricherie électorale. C’est la pire des pires listes. Il élabore un récit pour le peuple américain, lui ouvrant la voie pour qu'il accepte qu'il n'a pas seulement un chemin légal vers la victoire, mais qu'il était le gagnant légitime - par un glissement de terrain.

    De nombreux Américains seront aveugles si trois États décertifient les électeurs et que toute l'élection est soudainement à gagner. Comme Scott Adams le dirait, «il est un maître persuadeur» - et dans ce discours, il ne décrit pas seulement une véritable fraude, mais trace la voie pour que les électeurs de Biden s'éloignent de leur choix. Une sortie qui sauve la face.

    En psychologie, les cerveaux humains aiment s'en tenir à leurs choix. Robert Cialdini, l'homme qui a écrit «Influence: The Psychology of Persuasion» l'a appelé le principe «d'engagement et de cohérence». Une fois que nous aurons pris une décision - nous ferons beaucoup de rationalisation pour continuer à justifier ce choix - même si cela n'a aucun sens. Pour obtenir la paix ou la guérison, Trump doit convaincre les électeurs de Biden que non seulement Trump était le vainqueur légitime, mais que Biden n'était pas quelqu'un qui méritait leur vote - ou leurs protestations, si Biden devenait le président non élu.

    - voir clip sur site -

    Trump trouve donc des cibles que les électeurs de Biden peuvent blâmer pour avoir fait un mauvais choix - comme les médias, pour cacher la corruption de Biden et les liens avec la Chine. »La famille Joe Bidens a reçu des millions de dollars du Parti communiste chinois. Pourtant, les médias et les entreprises technologiques travaillent ensemble pour censurer ces informations. C'était le scandale le plus grand et le plus choquant impliquant un candidat à la présidence de notre histoire politique.

    Un sondage Rasmussen a montré que seulement 47 % des électeurs américains pensent que Joe Biden a gagné. Seuls 10 % des républicains pensent que Biden a gagné équitablement.

    La question clé est de savoir combien d'Américains verront ce discours. La veille de Noël est le jour de la publication d’actualités que le public n’aura pas le temps de remarquer. Mais même si les électeurs de Biden ne regardent pas, Trump atteint les apparatchiks politiques, les médias et, espérons-le, des millions d'électeurs de Trump, qui peuvent apprendre et copier le message, l'envoyer par e-mail et le tweeter. Mettez-le sur Parler. Ce genre de chose. Peut-être que cela signifie simplement que les électeurs de Trump sont mieux armés pour les conversations du dîner de Noël si quelqu'un à la table ose soulever la politique ...

    https://joannenova.com.au/2020/12/trump-the-master-persuader/

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  22. Des scientifiques pionniers d'une nouvelle méthode de mesure de l'électricité dans les cellules


    24 DÉCEMBRE 2020
    par Sheila Evans, Université de Chicago


    L'électricité est un ingrédient clé des corps vivants. Nous savons que les différences de tension sont importantes dans les systèmes biologiques; ils entraînent les battements du cœur et permettent aux neurones de communiquer entre eux. Mais pendant des décennies, il n'a pas été possible de mesurer les différences de tension entre les organites - les structures enveloppées de membrane à l'intérieur de la cellule - et le reste de la cellule.

    Une technologie pionnière créée par les scientifiques d'UChicago permet cependant aux chercheurs de scruter les cellules pour voir combien d'organites différents utilisent des tensions pour exécuter des fonctions.

    «Les scientifiques avaient remarqué pendant longtemps que les colorants chargés utilisés pour la coloration des cellules se coinçaient dans les mitochondries», a expliqué l'étudiant diplômé Anand Saminathan, premier auteur de l'article, publié dans Nature Nanotechnology. "Mais peu de travaux ont été effectués pour étudier le potentiel membranaire d'autres organites dans les cellules vivantes."

    Le laboratoire Krishnan à UChicago se spécialise dans la construction de minuscules capteurs pour voyager à l'intérieur des cellules et rendre compte de ce qui se passe, afin que les chercheurs puissent comprendre comment les cellules fonctionnent et comment elles se décomposent en cas de maladie ou de troubles. Auparavant, ils ont construit de telles machines pour étudier les neurones et les lysosomes, entre autres.

    Dans ce cas, ils ont décidé d'utiliser la technique pour étudier les activités électriques des organites à l'intérieur des cellules vivantes.

    Dans les membranes des neurones, il existe des protéines appelées canaux ioniques qui agissent comme des passerelles pour que les ions chargés entrent et sortent de la cellule. Ces canaux sont essentiels pour la communication des neurones. Des recherches antérieures avaient montré que les organites avaient des canaux ioniques similaires, mais nous ne savions pas quels rôles ils jouaient.

    Le nouvel outil des chercheurs, appelé Voltair, permet d'approfondir cette question. Il fonctionne comme un voltmètre mesurant la différence de tension de deux zones différentes à l'intérieur d'une cellule. Voltair est construit à partir d'ADN, ce qui signifie qu'il peut aller directement dans la cellule et accéder à des structures plus profondes.

    Dans leurs études initiales, les chercheurs ont recherché des potentiels de membrane - une différence de tension à l'intérieur d'un organite par rapport à l'extérieur. Ils ont trouvé des preuves de tels potentiels dans plusieurs organites, tels que les réseaux trans-Golgi et les endosomes de recyclage, qui étaient auparavant considérés comme n'ayant aucun potentiel membranaire.

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  23. «Je pense donc que le potentiel membranaire des organites pourrait jouer un rôle plus important - peut-être qu'il aide les organites à communiquer», a déclaré le professeur Yamuna Krishnan, un expert en dispositifs moléculaires à base d'acide nucléique.

    Leurs études ne sont que le début, ont déclaré les auteurs; Voltair offre aux chercheurs dans de nombreux domaines un moyen de répondre à des questions qu'ils n'ont même jamais été en mesure de poser. Il peut même être utilisé dans les plantes.

    "Ce nouveau développement déclenchera au moins des conversations et pourrait même inspirer un nouveau domaine de recherche", a déclaré Saminathan.

    https://phys.org/news/2020-12-scientists-method-electricity-cells.html

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  24. La planche à billets impacte l’immobilier: «Les prix montent et les salaires ne suivent pas»


    18:51 24.12.2020


    Les politiques monétaires des Banques centrales mènent à une inflation des actifs et creusent davantage les inégalités de patrimoine. C’est le constat fait par Philippe Herlin, docteur en économie du Cnam. Le marché de l’immobilier est particulièrement touché.

    «Les Banques centrales font tourner la planche à billets à des niveaux jamais atteints, essentiellement pour financer les déficits publics qui sont en train d’exploser avec la crise du Covid.»
    Le constat de Philippe Herlin est celui de bien de ses collègues. Se référant à un billet de blog de l’économiste Patrick Artus, chargé de la recherche de la banque Natixis, Philippe Herlin, chroniqueur pour Or.fr, a analysé l’impact des politiques des Banques centrales sur certaines classes d’actifs. Et il est colossal.

    ​La crise du Covid-19 a poussé les Banques centrales à injecter des sommes gigantesques dans l’économie. C’est notamment le cas de la Banque centrale européenne (BCE) qui s’est chargée que la liquidité pleuve en mettant en place, au printemps dernier, un programme de rachats d’actifs baptisé «Pandemic emergency purchase programme» (PEPP). Devant l’ampleur de la crise, son montant total a déjà évolué deux fois pour désormais atteindre 1.850 milliards d’euros.

    L’inflation des actifs

    D’après l’expert, une telle situation devrait normalement se traduire par de l’inflation. Ce qui n’est actuellement pas le cas, comme se chargent souvent de le rappeler les keynésiens, favorables à la dépense publique. Effectivement, il n’y a pas de dérapage des prix des biens de consommation en Europe et aux États-Unis, «même si la manière dont les organismes calculent est biaisée», d’après Philippe Herlin. Nous sommes très loin de la situation vénézuélienne.

    Comment l’expliquer ?

    «Tout cet argent va se localiser sur les biens d’investissement comme les marchés actions qui ont effacé le krach de mars dernier. Ils évoluent à de très hauts niveaux alors que la situation économique est toujours mauvaise et les perspectives de retour à la normale incertaines. Plusieurs pays ont récemment repris des mesures drastiques et en France certains appellent déjà à un troisième confinement.»

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  25. Le mois de novembre a vu la Bourse de Paris progresser de 20,12 % et enregistrer sa meilleure performance en valeur absolue, avec plus de 924 points gagnés par rapport au mois précédent. En cette veille de Noël à 14h59 UTC+1, le CAC40 évolue à plus de 5.520 points. Nous sommes loin du mois de mars quand l’indice parisien était passé sous les 4.000 points.

    ​Un autre actif est impacté par les politiques monétaires et la situation de son marché concerne un plus grand nombre d’individus que celui des actions. Il s’agit de l’immobilier. «On ne constate pas de baisse des prix de l’immobilier alors que les revenus des ménages chutent et le chômage explose», note Philippe Herlin.

    La Banque de France anticipe un pic du taux de chômage à environ 11 % au premier trimestre 2021, avant une décrue à 9 % fin 2022. D’après l’Insee, il devrait atteindre 9,7 % en 2020. L'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) table quant à lui sur 10,6 % à la fin 2021. Dans une récente étude, l’UFC-Que Choisir rappelait que «900.000 consommateurs s’apprêtent à perdre leur emploi».

    «La politique des Banques centrales mène à un phénomène d’inflation des actifs. Comme ces derniers ne font pas partie des indices des prix des organismes statiques, on peut dire qu’il n’y a pas d’inflation», analyse Philippe Herlin.

    Un autre phénomène résultant de l’action massive des planches à billets des Banques centrales préoccupe l’expert. Et il n’est pas seul. D’après lui, de plus en plus d’interrogations existent sur la valeur réelle de la monnaie.

    «Les investisseurs qui en ont les moyens se débarrassent de la monnaie dans le but d’acquérir des actifs ayant une valeur intrinsèque et capables de supporter une vague d’inflation», note-t-il.

    Selon lui, un bien immobilier dans une métropole bénéficiera toujours d’une certaine demande, même en cas de baisse de l’activité. «On est à peu près certain qu’un tel actif garde sa valeur sur la longue durée», juge-t-il avant d’ajouter: «C’est un peu la même chose concernant les œuvres d’art. Au contraire d’un placement dans l’assurance-vie qui, sans même parler de faillite bancaire, peut-être rongé par l’inflation».

    Ce type de placement continue de souffrir de la crise. En novembre, plus d’argent a été retiré des assurances-vie qu’il n’en a été placé et ce pour le neuvième mois d’affilée. «Ce faisant, la collecte nette cumulée sur 11 mois se révèle négative et s'établit à -7,3 milliards d'euros, à comparer à une collecte nette positive de 23,3 milliards d'euros sur la même période en 2019», note BFM Patrimoine.

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  26. L’or et le Bitcoin à privilégier ?

    Pour Philippe Herlin, le trop d’argent qui se dirige vers l’investissement immobilier ou les actions crée des inégalités entre ceux qui possèdent déjà ses actifs et qui font partie des ménages les plus riches, et ceux qui doivent les acquérir comme les jeunes qui rentrent sur le marché du travail:

    «Cela devient de plus en plus difficile pour eux, car les prix montent et les salaires ne suivent pas.»
    «Cette situation augmente les inégalités de patrimoine et c’est important. En dehors d’être injuste, ce n’est pas forcément tenable sur le long terme», poursuit-il.

    ​Philippe Herlin conseille aux investisseurs de se diriger vers l’or ou le Bitcoin, des actifs moins soumis au risque de bulle et donc de krach. «L’or et le Bitcoin voient aussi leur prix augmenter», note l’expert. Après un pic à plus de 2.000 dollars l’once en août dernier, le cours du métal jaune a repris son souffle. Il évolue aujourd’hui autour des 1.900 dollars et reste sur une dynamique haussière sur le long terme.

    Quant au Bitcoin, plusieurs institutionnels commencent à investir dans la plus célèbre des cryptomonnaies, comme le souligne Philippe Herlin, auteur de J’achète du Bitcoin (éd. Eyrolles). En 2021, sa valeur a progressé de 229 % pour dépasser les 23.000 dollars en cette fin d’année. Une période record.

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    1. Comme 'l'explique' Philippe Herlin, docteur en économie du Cnam, la planche-à-billets aux commandes des traders, (qui n'en ont RIEN A FOUTRE) peuvent acheter ou vendre des milliards d'actions pour faire croire que la Bourse (exilée au R-U) qui sert aux pigeons, peut encore (l'a t-elle déjà modifié ?) jouer un rôle dans l'Economie mondiale ? HAHAHAHA !
      Dès lors que quelqu'un a devant lui un clavier d'ordinateur, il peut aisément faire croire qu'il peut acheter ou vendre pour 10000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000 de dollars, yens ou euros et ruiner ou enrichir telle ou telle société 'en Bourse' HAHAHAHA !

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