L’apologie du totalitarisme qu’a décliné Klaus Schwab dans son dernier ouvrage de propagande nazifiante outrancière (« COVID-19 : The Great Reset ») m’a conduit à espérer que ce nouvel ordre mondial, ce grand reset, cette remise à zéro justifiée par la situation critique des pays occidentaux qui ont géré n’importe comment la pandémie de coronavirus, aboutissement d’une gestion calamiteuse de l’ensemble de l’Union européenne qui date déjà de plusieurs années, n’aurait pas lieu parce cette grande remise à zéro n’a pas lieu d’être. Comme la majorité des épidémies d’origine virale, celle du SARS-CoV-2 va également disparaître sans qu’un quelconque spécialiste n’en découvre les raisons. Encore que cette dernière affirmation de mon fait puisse être infirmée par les gigantesques progrès des investigations biochimiques et moléculaires de ces dernières années. On pourra peut-être découvrir un jour prochain les causes de la fin imprévisible des épidémies. Le Professeur Didier Raoult, le plus grand spécialiste mondial du SARS-CoV-2, l’a affirmé à de nombreuses reprises : on ne sait pas comment ni pourquoi une épidémie disparaît en quelques semaines.
Instrumentaliser cette pandémie comme le fait Schwab pour mettre en place un régime politique global totalitaire est écoeurant et malveillant. Que le parti communiste chinois ait instauré un régime autoritaire n’est pas surprenant car le peuple chinois a toujours été soumis à une autorité politique qu’il s’agisse dans le passé du régime imposé par les empereurs ou du PCC aujourd’hui. Le carnet de civisme que chaque citoyen chinois possède ressemble au système de sélection des élites villageoises, régionales ou provinciales qui existait à l’époque des empereurs. Ces empereurs et leur cour, le système de gouvernance mis en place, étaient respectés par les citoyens qui devaient respecter les règlements pour espérer une vie meilleure.
Si Schwab s’est inspiré du régime chinois contemporain pour imaginer ce « great reset » il a commis une grave erreur car son projet est irréalisable en Europe. L’Europe est en effet un patch-work de pays qui diffèrent par leur passé, leur culture, leur religion et leur terroir. L’Europe est également le lieu où se trouve la France, la mère des révolutions depuis 1789. Jamais les Français accepteront de se plier à une autorité supranationale amenuisant leurs droits fondamentaux. Je n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi les Français ne se sont pas déjà révolté, pourquoi ils n’ont toujours pas séquestré les politiciens tous corrompus par les « BigPharma ».
Un fait significatif donne une image assez précise de l’état d’esprit des Français : l’accroissement du nombre de suicides dans les rangs de la police. Les policiers, payés pour faire respecter par le peuple les exactions gouvernementales en termes de privation des libertés individuelles, auraient-ils compris que leur mission était vouée à l’échec ? Avec les atteintes répétées du gouvernement Macron-Casteix aux libertés individuelles, quand la police va-t-elle prendre conscience de la dérive totalitaire dans laquelle s’est engagée la France ? Car ces policiers et gendarmes vont également pâtir de ces privations et si ce n’est pas eux-mêmes personnellement qui en souffriront lorsqu’ils seront en mission, une illusion passagère, ce seront leurs conjoints, leurs enfants et leurs familles qui en seront les victimes.
Si les services d’ordre républicains français (police, gendarmerie et armée) ne réagissent pas et acceptent d’ouvrir toute grande la porte à la dictature totalitaire française, alors qu’ils pourraient tout simplement déposer les armes devant les manifestants, alors la France, la mère européenne des révolutions aura perdu son âme. C’est peut-être déjà trop tard … Il est urgent que tous les Français prennent conscience de la dictature à laquelle ils vont être prochainement soumis et ils ont le devoir de sauver aussi l’Europe toute entière des projets dangereux de ce fou de Schwab et de ses sbires dont fait partie leur président Macron en faisant la révolution comme ils l’ont si bien fait en 1789, en 1830, 1848, 1871 et 1968 … Qu’ils n’aient aucune crainte, les « vieux », très majoritairement les premières victimes du SARS-CoV-2, n’ont plus la force d’aller courir dans les rues et d’ériger des barricades …
Une nouvelle étude suggère que les patients atteints d'un COVID asymptomatique ne sont pas des «facteurs de transmission»
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 25 DÉC 2020-11: 30
Grâce en partie à un investissement massif dans la recherche par le gouvernement britannique, de nombreuses données intéressantes sont sorties du Royaume-Uni, y compris une étude qui aurait trouvé des preuves que l'immunité au COVID 'se dégrade' dans les mois suivant l'infection. Maintenant, d'autres études sont arrivées à des conclusions apparemment contradictoires. C'est juste un autre rappel à quel point le processus d'étude et de recherche peut être lourd et compliqué pendant une pandémie sans précédent.
Cela devrait également être un rappel, d'autant plus que tous les principaux fabricants mondiaux de vaccins COVID rassurent le public sur le fait que leurs vaccins fonctionneront contre les souches mutées plus infectieuses qui auraient été découvertes au Royaume-Uni et en Afrique du Sud, entre autres, que les principaux scientifiques et publics les autorités sanitaires ne sont pas toujours sûres à 100 % en ce qui concerne - comme elles aiment l'appeler - «la science».
Et dans un autre rappel de ce principe, le journal JAMA Network Open de l'American Medical Association a publié une nouvelle recherche d'une étude soutenue par le gouvernement qui semble offrir de nouvelles preuves que la propagation asymptomatique du COVID-19 peut être considérablement inférieure à ce que l'on pensait auparavant.
Certains membres du public se souviendront peut-être de février et janvier, lorsque les fonctionnaires ont pour la première fois émis l'hypothèse que le port de masque en masse pourrait ne pas être très utile à moins que les individus ne soient réellement malades. Ils sont réputés avoir fait marche arrière à ce sujet et - pour cela, et d'autres raisons - ont décidé que nous devrions tous porter des masques, et que les verrouillages étaient plus ou moins la meilleure solution au problème, alors même que des millions d'Américains continuaient à bafouer la nouvelle " règles "quotidiennement.
Mais pour ceux qui ne le font pas, cet article précise une chose: pour tous les discours dans la presse sur les personnes asymptomatiques infectieuses, qui comprenaient une réprimande sévère d'un scientifique de l'OMS qui a déclaré nonchalamment il y a quelques mois que les personnes asymptomatiques ne 'pas propager le virus aussi efficacement, il n'y a pas eu beaucoup d'études à long terme à grande échelle qui étudient comment les patients «asymptomatiques» propagent réellement le virus par rapport à la façon dont les patients «symptomatiques» le font, puisque la plupart des agences de santé publique ne le font pas. t même collecter des données pour savoir si les personnes dont le test est positif sont asymptomatiques, pré-symptomatiques ou symptomatiques (une spécification qui, comme la plupart des gens le savent probablement maintenant, peut varier considérablement).
Puisque la pandémie ne dure que depuis moins d'un an maintenant, les chercheurs ont plutôt tenté de mener des «méta-études», c'est-à-dire de comparer les données recueillies dans des dizaines d'études examinant certains aspects de la fonctionnalité du virus. Dans l'article susmentionné qui examinait 54 études distinctes avec près de 78 000 participants au total, les auteurs affirment que «le manque de transmission substantielle des cas index asymptomatiques observés est notable ... Ces résultats sont cohérents avec d'autres études sur les ménages rapportant que les cas index asymptomatiques rôle limité dans la transmission domestique. "
Ce n'est bien sûr pas la première fois que nous entendons cela. Mis à part l'exemple scientifique de l'OMS cité ci-dessus, deux scientifiques britanniques ont récemment publié un éditorial dans le BMJ implorant les scientifiques de repenser la façon dont le virus se propage "asymptomatiquement".
Ils ont souligné «l'absence de preuves solides que les personnes asymptomatiques sont un moteur de transmission» comme raison de remettre en question des pratiques telles que «les tests de masse dans les écoles, les universités et les communautés».
Cela ne veut pas dire que les personnes asymptomatiques ne peuvent pas propager le virus, c'est juste pour dire qu'il y a peut-être une différence significative dans les niveaux de risque en termes d'exposition. Bien sûr, à ce stade, les responsables de la santé publique semblent avoir peur de reconnaître tout ce qui remet en question l'idée que tout le monde est potentiellement une menace. Pour être clair, les directives actuelles de l'OMS sur la question sont que "si quelqu'un qui ne développe jamais de symptômes peut également transmettre le virus à d'autres, on ne sait toujours pas dans quelle mesure cela se produit, et des recherches supplémentaires sont nécessaires dans ce domaine" - mais à ce stade, ils ont changé d'orientation et ont fait volte-face tant de fois, qui sait, comprend ou se soucie de ce qu'ils disent ?
Quoi qu'il en soit, c'est juste un peu plus de matière à réflexion la prochaine fois que quelqu'un essaiera de vous faire la leçon sur "la science".
Au cas où vous pensez que le test PCR détecte un virus réel… Faux
Par Jon Rappoport Le blog de Jon Rappoport 26 décembre 2020
Dans un document du CDC intitulé «Coronavirus Disease 2019 (COVID-19) 2020 Interim Case Definition, Approved April 5, 2020», sous la section «Critères de laboratoire», nous avons ceci: [1]
«Détection de l'acide ribonucléique du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (ARN du SRAS-CoV-2) dans un échantillon clinique à l'aide d'un test de détection par amplification moléculaire.»
Le test auquel il est fait référence est le PCR. Et comme vous pouvez le voir clairement, il détecte non pas le virus lui-même, mais un morceau d'ARN.
Un morceau d'ARN supposé provenir du virus, SRAS-CoV-2.
Je dis supposé parce que, où est le virus réel ? Où le virus est-il isolé de tout le matériel environnant ?
Si vous n’avez pas le virus, vous ne pouvez pas dire, avec un quelconque degré de certitude, que vous en avez un morceau (l’ARN).
Comme je l’ai décrit à maintes reprises, «isolé» est un terme qui est torturé par les chercheurs et les responsables de la santé publique, de sorte qu’il signifie exactement le contraire de ce qu’il est censé signifier. [2]
De nombreuses études qui prétendent que le virus a été isolé se révèlent en fait signifier: «Nous avons le virus dans une soupe dans un plat du laboratoire. La soupe contient divers types de cellules animales et humaines, des produits chimiques et des médicaments toxiques et d'autres éléments génétiques. Le virus est complètement entouré, mais il est là. Nous le savons, car certaines cellules sont en train de mourir, et cette mort doit être le résultat d’une infection par le virus… »
Cet argument ne fait pas que renverser la définition de l '«isolement», il révèle, après un instant de réflexion, que la mort des cellules pourrait provenir de l’action des produits chimiques et des médicaments toxiques; et en plus de cela, les cellules sont privées de nutriments, donc elles pourraient mourir à cause de cette privation.
Par conséquent, dire "le virus doit être dans la soupe dans le plat du laboratoire" parce que c'est en train de tuer des cellules… eh bien, ce n'est absolument pas prouvé, et donc…
Il n'y a aucune raison sous le soleil de prétendre que le virus est présent dans la soupe.
Par conséquent, l'affirmation selon laquelle le test PCR détecte un morceau d'ARN du virus est injustifiée. Parce que, encore une fois… où est le virus? Où est le virus vraiment isolé ?
Et sur cette seule base, le test PCR est hors de propos, inutile et trompeur.
Il est mis en place pour rechercher et détecter un morceau de matériel ARN dont il n'a jamais été prouvé qu'il provenait de cette ASSOMPTION fantôme non isolée, appelée «SARS-CoV-2».
Encore quelques instants de réflexion claire, et vous réalisez que toute la chaîne de «science» qui conduit aux verrouillages et à la dévastation économique n'est pas du tout une science.
C'est ce qu'on appelle, dans la communauté du renseignement, une couverture. Une histoire lancée pour justifier des crimes.
Dans ce cas, des crimes capitaux contre l'humanité.
Une «grave réaction allergique» au vaccin Moderna signalée pour la première fois aux États-Unis
12:13 26.12.2020
Le premier cas de réaction allergique au vaccin Moderna a été recensé chez un médecin aux États-Unis, rapporte Le New York Times. Le patient, qui «souffre d’une grave allergie aux fruits de mer», s'est rétabli «rapidement» grâce à un traitement. La société s'est déclarée prête à étudier cet incident, se refusant cependant à commenter ce cas isolé.
L’oncologue gériatrique au Boston Medical Center, Hossein Sadrzadeh, affirme avoir développé une «grave réaction allergique» quelques minutes après avoir reçu une injection du vaccin Moderna le 24 décembre, relate le New York Times.
«Après avoir reçu le vaccin, j’étais en tachycardie, mais j'avais l'impression que c'était de l'anxiété parce que j'avais peur après avoir appris les réactions au [vaccin] Pfizer aux États-Unis, en particulier pour les personnes allergiques aux crustacés, comme moi», raconte M.Sadrzadeh à CNN.
Il ajoute que sa fréquence cardiaque «était de 150» alors qu’elle est normalement «de 75». Selon lui, «six-sept minutes après l'injection du vaccin», il a eu sur sa langue et dans sa gorge «une étrange sensation de picotement et d’engourdissement».
«Il va bien aujourd’hui»
Dans un communiqué, un porte-parole du Boston Medical Center confirme que le Dr Sadrzadeh a reçu le vaccin de Moderna jeudi. Selon le document, le médecin «avait l'impression de développer une réaction allergique». Il a été autorisé à s'auto-administrer son EpiPen personnel.
«Il a été transporté aux urgences, évalué, traité, observé et renvoyé. Il va bien aujourd’hui.» Réaction de Moderna La société Moderna s'est déclarée prête à étudier attentivement cet incident, soulignant toutefois qu'elle n’allait pas commenter un cas isolé de réaction allergique. D’après le New York Times, il s’agit du premier cas de réaction allergique provoquée par le vaccin de Moderna.
De tels effets secondaires ont déjà été signalés aux États-Unis pour le vaccin développé conjointement par Pfizer et BioNTech.
De moins en moins de Français prêts à se faire vacciner contre le Covid
13:31 26.12.2020
Seuls 40 % des Français interrogés entre le 14 et le 16 décembre ont répondu vouloir «certainement ou probablement» se faire vacciner contre le Covid, alors qu’en novembre ce taux était de 53 %.
La part de Français comptant se faire vacciner contre le Covid-19 a fortement chuté depuis début novembre, met en lumière la dernière vague de l’enquête CoviPrev réalisée par Santé publique France auprès d’un échantillon de 2.000 personnes.
Selon ses chiffres, seuls 40 % des personnes interrogées entre le 14 et le 16 décembre ont répondu vouloir «certainement ou probablement» se faire vacciner. À titre de comparaison, entre le 4 et le 6 novembre, ce taux était de 53 %, et en juillet, de 64 %
Les femmes se montrent bien plus hésitantes que les hommes. Ainsi, seuls 29% de celles qui ont participé à l’enquête envisagent de recevoir une dose de vaccin, contre 53% des hommes.
Manque de confiance dans les vaccins
Dans le même temps, les plus de 65 ans restent les plus allants (61 % contre 72 % début novembre). En revanche, les 25-34 ans (27 %) et les jeunes majeurs âgés de moins de 25 ans (28 %) sont les plus réticents, indique l’étude.
Pour 82 % des sondés ne souhaitant pas se faire vacciner, «les nouveaux vaccins ne sont pas sûrs», tandis que 26 % d’entre eux indiquent «préférer d’autres moyens de prévention comme les gestes barrières» et 16% disent être «contre la vaccination en général».
Dans ce contexte, Santé publique France juge «primordial de renforcer l’accès à l’information sur la vaccination (stratégie, sécurité et tolérance des vaccins, notamment)».
La France forcée de reporter la législation sur les vaccins pour la "dictature de la santé"
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 26 DÉC.2020-9: 20 Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Un projet de loi radical proposé par le gouvernement français qui verrait des personnes non vaccinées refuser des services de base tels que les transports publics a été mis sur la glace après une réaction massive.
La proposition de loi exige que les citoyens aient la preuve d'un test COVID négatif ou d'un «traitement préventif, y compris l'administration d'un vaccin» afin «d'accéder au transport ou à certains endroits, ainsi qu'à certaines activités».
Cependant, le gouvernement a été contraint de retarder l'adoption de la législation après des manifestations de colère.
Le ministre français de la Santé, Olivier Véran, a publiquement reporté le projet de loi dans une annonce mardi soir.
«Parce qu'il faut avoir confiance pour que les Français aillent se faire vacciner de leur plein gré, parce que nous sommes toujours en état de crise sanitaire… le gouvernement ne présentera pas le texte [à l'Assemblée nationale] avant plusieurs des mois, avant de sortir de la crise », a déclaré Véran.
Le projet de loi a été critiqué par des personnalités politiques de tous horizons, le député conservateur Fabien Di Filippo le qualifiant de «chantage à la vaccination».
Marine Le Pen, dirigeante des IA, a qualifié la mesure de vaccination de «essentiellement totalitaire».
«D'une manière détournée, ce projet de loi ne vise pas à rendre les vaccinations obligatoires, mais empêchera quiconque ne se conforme pas d'avoir une vie sociale», a-t-elle déclaré.
Le porte-parole du parti RN, Sébastien Chenu, a qualifié le plan de «dictature de la santé», tandis que la sénatrice centriste Nathalie Goulet a déclaré que le projet était «une attaque contre les libertés publiques».
Guillaume Peltier, chef adjoint du parti de centre-droit LR, a averti que la loi permettrait au gouvernement «d'obtenir tout le pouvoir de suspendre nos libertés sans contrôle parlementaire».
Le programme de vaccination de la France, qui doit démarrer dimanche, ne sera pas obligatoire, mais une majorité de 55 % des citoyens déclarent qu’ils ne se feront pas vacciner.
Comme nous l'avons souligné précédemment, la France a imposé certaines des mesures de verrouillage les plus strictes d'Europe, les citoyens devant remplir un formulaire à chaque fois qu'ils quittent leur domicile.
Le refus des masques faciaux en dit tellement, parce que le courage est la condition préalable à tout comportement vertueux
Par Allan Stevo 26 décembre 2020
Je m'en fiche si je suis d'accord avec une personne ou non. Je n'ai pas besoin de m'entourer de ceux qui me répéteront mes propres opinions. Mais je me soucie beaucoup si cette personne a du cran.
Le courage est la condition préalable à la vertu.
Si une personne n’a pas de courage, on ne peut pas lui faire confiance. Le reste de leurs qualités est sans valeur car le fondement de leur caractère est faible et promet de céder sous la pression.
Je choisirai toujours un homme courageux avec lequel je suis d'accord avec 25 % plutôt qu'un lâche avec lequel je suis d'accord avec 95 %. Premièrement, je sais où il en est. L'autre, je sais où il en est jusqu'à ce qu'il retire sa tête du livre et entre dans le monde réel, à quel point l'homme lâche est une syncope.
Cela a été le plus grand avantage d'avoir cette leçon douloureusement jetée à mon visage en 2020.
Si cela avait été planifié, je n'aurais pas pu trouver une meilleure façon de me préparer à des moments difficiles que cela: pour que mon réseau de soutien soit mis à part avec des fragments de personnes courageuses cousus sans serrer et le sol recouvert du reste.
Les décennies de travail soigneusement tissées que j’ai consacrées au tissu social de ma vie sont maintenant en ruine. La seule chose qui reste étant les courageux, les autres s'étant auto-sélectionnés hors de ma vie, car je n'ai laissé aucune place à leurs mensonges en ma présence, car 2020 est soudainement devenue une année où les mensonges ont eu des conséquences si soudaines.
Tatters est une manière généreuse de décrire le tissu de ma vie qui reste. "Vous le comprenez," dit le tailleur en riant. "Vous savez quoi faire avec ces pattes à tête de mule que vous avez laissées rester dans votre vie."
Je vais.
Cela s'appelle la liberté. Chacun fait ce qu'il veut. Personne ne fait ce qu’il ne veut pas. La moralité, l'éthique et la justice et toutes sortes de méthodes de cohésion sociale y jouent un rôle, mais les hommes avec des insignes et des fusils ne jouent aucun rôle parmi les hommes libres. Ils sont au mieux un inconvénient.
Quiconque a besoin d'obéissance pour diriger ne sait pas comment diriger des gens libres.
À un moment comme celui-là, à un moment charnière qui sépare les hommes des garçons, j'entends les garçons gémir quelque chose sans conséquence du coin: «Ceux qui pensent que les masques signifient quelque chose sont totalement trompés. Ils ne sont un symbole pour rien. Ils ne sont qu'un moyen de protéger les autres. »
Non, le fondement de ce que préconisent les masques est un mensonge, car les masques ne fonctionnent pas contre Covid-19. Les masques peuvent, en fait, faire plus de mal que de bien. Vous ne me tromperez pas en appelant la vérité «anti-science». Vous ne me tromperez pas en qualifiant vos mensonges de «consensus» à haute voix dans les médias. La vérité n'a pas besoin de mégaphone. Vous me rendez les mensonges que vous professez tout à fait évidents, plus vous refusez à la société un débat honnête entre penseurs critiques.
Il n’ya rien d’autre à considérer que les masques qu’un symbole. La seule chose que les masques sont, c'est un symbole. Il n'y a pratiquement rien d'autre pour lequel un masque est bon sur les visages des personnes en bonne santé dans la population générale, mais comme un symbole.
Et de quoi sont-ils un symbole ?
Ils sont un symbole de manque de courage et d'obéissance aveugle.
Bien sûr, les sans-tripes veulent que le monde croie que les masques faciaux ne symbolisent rien. Bien sûr, les sans-tripes veulent que le monde croie qu'ils fonctionnent, même si cela signifie que des millions de personnes meurent dans l'ignorance superstitieuse de croire qu'un masque facial fonctionne pour eux, plutôt que de vivre plus longtemps et en meilleure santé, armés de moyens qui peuvent vraiment empêcher les décès prématurés. maladies respiratoires.
Des dizaines de milliers d'Américains sont morts inutilement cette année à cause de l'ignorance superstitieuse vantée dans le courant dominant sur la façon de préserver votre vie en 2020. Des centaines de milliers, peut-être des millions sont morts dans le monde en croyant à la même ignorance superstitieuse.
Laissez-les mourir «et réduisez le surplus de population», dit Ebenezer Scrooge et ses semblables ce Noël, semblables dans les manoirs du gouverneur, aux bureaux d'ancrage et en blouse blanche à travers le monde, un genre qui ne mérite pas la confiance de l'homme ordinaire .
Si vous écoutez les conseils de quiconque dit que les meilleurs moyens de prévenir la transmission d'un virus respiratoire sont
1.) les masques faciaux, 2.) les verrouillages, 3.) la distance sociale, 4.) les vaccins, 5.) les tests PCR, 6.) passeports Covid, 7.) lavage des mains, ou 8.) désinfection vous écoutez quelqu'un qui est soit ignorant, soit n'opère pas dans votre meilleur intérêt.
Oui. Même si votre masque dit «Vis Fauci» dessus ou «Molon Labe», ou s'il a un drapeau américain ou dit «à bas les nourris» ou a un logo Bitcoin cypherpunk. Oui. Même à ce moment là. Même ce genre de masque en dit long sur vous qu'un gribouillage intelligent ne peut pas compenser.
Si vous portez un masque, vous prendrez le vaccin - le vaccin à peine testé, inefficace et dangereux. Il vous donne tout ce que vous ne voulez pas dans un vaccin et rien de ce que vous voulez.
Si vous portez un masque, vous passerez un test Covid. Le mensonge inefficace d'un test, avec un taux de faux positifs de 97 % à 35 cycles qui est utilisé pour verrouiller notre civilisation.
Si vous portez un masque, vous resterez les bras croisés pendant qu’ils expulseront le prochain groupe de boucs émissaires, comme cela a été fait aux Arméniens lors de la première guerre, aux Juifs lors de la seconde guerre et aux Allemands après cette même guerre. L'humanité n'a pas appris sa leçon dans toute l'horreur.
Nous répétons le chemin horrible en laissant nos dirigeants nous montrer si clairement que c'est leur goulag dans lequel nous vivons et qu'aucun niveau de préjudice à la population n'est trop grave pour garantir que ce goulag reste son goulag. Ils transformeront cette belle terre en un gouffre de désespoir si nous les laissons faire, juste pour qu'ils puissent en garder le contrôle. Ils ne peuvent pas être plus clairs à ce sujet, et lorsque vous portez un masque, vous ne pouvez pas être plus clair sur votre intention de les soutenir à chaque étape du processus.
Si vous portez un masque, vous les laisserez fermer votre église, l'église étant un rempart de premier plan pour nos droits aux États-Unis et dans le monde entier, un rempart d'une société décente et des droits individuels qui jouissaient autrefois d'une certaine importance dans les États-Unis inconnus dans aucun autre pays industrialisé. Ces institutions font partie des institutions qui protègent toute la société, toute l'humanité. Aujourd'hui, leurs bâtiments sont devenus des musées construits par des générations plus dures et qui pèsent comme un passif sur l'ère actuelle, une époque qui peut ne pas comprendre pourquoi l'église est importante et pourquoi un service religieux à zoom diffusé dans votre salon n'est pas suffisant.
Et si je dois expliquer pourquoi ce n’est pas de vos foutues entreprises que j’adore mon créateur et comment, vous faites partie du problème. Cette génération ne peut pas supporter la volonté de construire les églises et les cathédrales que le passé a tant sacrifiées pour faire une réalité, et encore moins supporter l'idée de laisser un autre culte librement.
Vous les avez peut-être déjà laissés fermer votre église. Vous l'avez peut-être même rationalisé, démontrant pour tout le peu de combat que vous avez en vous et normalisant l'idée qu'il n'y a rien dans la maison du Seigneur qui vaille la peine d'être défendu.
Si vous portez un masque, vous retournerez vos armes. Peu importe à quel point les slogans politiques écrits sur votre masque sont audacieux, cette arme n'aura pas besoin d'être arrachée de vos mains mortes et froides. Le fait de porter un masque indique tout ce que tout le monde doit savoir sur la facilité avec laquelle vous retournerez vos armes.
Si vous portez un masque, il n'y a pas de limite à vos valeurs, vous annoncez au monde qu'il fera n'importe quoi de manière fiable tant que vous entendez la bonne raison pour laquelle vous devez vous engager dans ce comportement. Cela s'appelle être une ventouse. Et ce n’est pas la faute de votre oppresseur si vous êtes si facilement opprimé, si facilement dupé.
Porter le masque dit tout, dit tout ce qui doit être dit sur qui que ce soit.
J'apprends lentement, il m'a donc fallu quelques centaines de conversations pour donner aux masques le bénéfice du doute pendant des mois, jusqu'à ce que je sois capable de comprendre ce que beaucoup de gens beaucoup plus intuitifs ont réalisé avant moi: éloignez-vous d'eux, don ne parlez pas à un masque, gardez vos distances avec quiconque voudrait se faire vacciner.
Ils propagent la maladie avec les masques sales autour de leurs visages.
Ils se promènent dans des boîtes de Pétri, se reproduisent et répandent on ne sait quoi dans et depuis leur corps après avoir pris le vaccin expérimental ARNM. Ne faites pas semblant de savoir ce qui se passe dans leur corps, ou que c'est en aucune façon sûr, parce que nous n'en avons aucune idée. C’est un pari total. Comment un être humain responsable peut faire à la légère ce pari me laisse perplexe.
Vous ne devriez pas vouloir être avec eux, vous ne devriez pas vouloir les contourner, vous devriez vouloir les inviter sur votre propriété, vous ne devriez pas vouloir que vos enfants y soient exposés, et vous ne devriez certainement pas vouloir vos gènes à mélanger avec les leurs.
Pire que cela, bien pire que cela, ils propagent la pire maladie connue de l'homme, la maladie qui corrompt toute vertu humaine: la lâcheté.
Arrêtez d'humour des lâches. Arrêtez de porter votre masque. Ces articles du LRC sur les masques faciaux vous expliquent comment. Le nouveau best-seller «» d'Allan Stevo le fait également.
Allan Stevo a très justement trouvé le mot: les masques ne sont que des boites de Pétri ambulantes ! C'est exactement ce qu'ils représentent car, ce sont des pièges, des milliards de milliards de pièges où sont accrochés des milliards de milliards de microbes ou virus et qui se décrochent tous d'un coup par un coup de vent fort extérieur ou un toussotement ou élévation de la voix dans le masque.
J'imagine très bien un enfant rentrant à la maison et disant à sa mère "Maman ! Maman ! Regarde tout ce que j'ai ramassé !"
Les putains d'ordure de politichiens ou les merdias le savent, il doit y avoir une dépopulation gigantesque de plus de 6 milliards de personnes avant Juin 2021. C'est pour çà que seront imaginées après la '3ème vague' il y aura la '4 ème', la '5 ème' et la '150 ème' vague ! HAHAHAHA
Nous sommes bien dans un cas grave de pandémie panique, alimentée par la peur, entretenue par l'arrivée de la grippe saisonnière et amplifiée par un biais de confirmation.
Un groupe - les journalistes et les politiciens - ont autre chose à craindre que le virus. C’est la réaction du public lorsque les gens réalisent enfin à quel point ces gens les ont plongés dans une pauvreté abjecte, 270 millions de personnes confrontées à la famine et même à la mort.
Parce que ce n’est pas le virus qui en est la cause, c’est la pandémie narrative pseudo-scientifique avec ses verrouillages, etc., imposée par la classe politique et amplifiée par un corps conforme de presstituts MSM (Main Stream Media).
Comme l'a dit le Dr Roger Hodkinson aux multiples titres, "c'est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance." Il a également quelques autres choses intéressantes à dire dans ce clip.
En fait, les émeutes anti-masque et verrouillage dans des pays aussi raffinés que l'Allemagne, la France, l'Espagne, l'Italie, la Grande-Bretagne et le Chili, pour n'en nommer que quelques-uns, suggèrent que ces deux classes de ne'er-do-well ont de bonnes raisons être nerveux.
Et, au cas où vous pensez que les dissidents ne sont qu'une foule non informée - et je suis une fausse nouvelle non fiable - au 23 décembre 2020, il y a plus de 760 000 personnes, dont 39 384 médecins, 13 035 scientifiques médicaux et de santé publique et 709 443 concernés. les citoyens - jusqu'à présent - qui ont signé la déclaration de Great Barrington, dénonçant la gestion alarmiste, trompeuse et destructrice du COVID-19 par l'établissement. Il dit en partie,
«Les politiques de verrouillage actuelles produisent des effets dévastateurs sur la santé publique à court et à long terme… avec la classe ouvrière et les jeunes membres de la société qui portent le fardeau le plus lourd. et «avec les défavorisés de manière disproportionnée.» … »En effet, pour les enfants, le COVID-19 est moins dangereux que de nombreux autres méfaits, y compris la grippe. «…» Ceux qui ne sont pas vulnérables devraient être immédiatement autorisés à reprendre une vie normale. "
Et il y a la dévastation économique, mentionnée précédemment, aussi - - -
L’envoyé britannique [Dr. David Nabarro] à l'Organisation mondiale de la santé (W.H.O.) a condamné les verrouillages massifs de coronavirus, critiquant la «terrible catastrophe mondiale» causée par l'effondrement de l'économie mondiale. -QUI. Condamne les verrouillages de coronavirus, «doublant» la pauvreté mondiale
Alors maintenant, plus que jamais, les journalistes et les prévaricateurs élus ont désespérément besoin de défendre leurs politiques destructrices et de trouver des confirmations soutenant leurs légendes, mythes et mensonges chauves sur COVID-19, en particulier leurs 10 fois plus dévastateurs que le virus et les verrouillages inefficaces.
Ou ils ont besoin d'imaginer plus de confirmations dans l'existence. Ils semblent avoir une préférence pour la voie de l’imagination, probablement parce que c’est plus facile et que les preuves légitimes à l’appui du récit officiel sont difficiles à trouver.
Donc, la chose à retenir lorsque vous voyez un politicien ou un journaliste MSM avec des lèvres bouger à propos de «THE PANDEMIC», tout ce qui sort est probablement alimenté par la nécessité de confirmer leurs légendes, mythes et mensonges COVID-19 précédents et sera probablement faux, déformée et généralement sans preuves légitimes.
Dans cet esprit, jouons à un jeu - - -
POUVEZ-VOUS TROUVER LES ERREURS ?
Vous vous souvenez de ces vieilles énigmes quand vous étiez enfant ? Il y aurait une image avec des erreurs à trouver. OK, dans cette version moderne, combien d'erreurs pouvez-vous trouver dans ce fabricant de Lemming de deux minutes et 49 secondes, diffusé par l'affilié de NBC WPXI, Pittsburgh, le 15 décembre 2020 avec l'en-tête «La capacité des hôpitaux est une préoccupation majeure dans l'ouest de la Pennsylvanie» - - -
- voir clip sur site -
Le segment commence par une plaque montrant 509 320 «TOTAL CASES» en Pennsylvanie. Ce nombre est cumulatif depuis février dernier et donc trompeur car il ne s’agit pas du total actuel des cas actifs, qui est beaucoup plus petit car la plupart des gens se rétablissent rapidement. Et la plupart de ces cas étaient / ne sont que des infections qui ont été mal étiquetées de toute façon, pas des cas réels. C’est parce que par plus de 100 ans de pratique et de tradition scientifiques, les infections nécessitent des symptômes et / ou une hospitalisation - pas seulement un test positif - avant de pouvoir légitimement être qualifiées de cas.
Et puis il y a le fait qu'au moins 40 % de ce qu'ils insistent pour appeler incorrectement les cas ne présentent aucun symptôme perceptible. Ce sont les gens qu'ils appellent «asymptomatiques».
Et bien sûr, les tests RT-PCR qu’ils utilisent montrent beaucoup de faux positifs, donc beaucoup de ces cas ne sont même pas de vraies infections, encore moins des cas. Mais c’est un niveau de désinformation bien plus profond. N'hésitez pas à l'ignorer complètement et nous prendrons le non-sens officiel pour argent comptant.
Alors maintenant, en prenant le non-sens officiel au pied de la lettre - et FWIW - voici les erreurs que je vois dans la vidéo ci-dessus :
Le gros titre ment sur la situation du COVID dans l'ouest de l'AP. et vous le savez parce que le contenu contredit directement le titre. Comme vous pouvez le voir à partir de ce contenu, si la "capacité des hôpitaux" peut être "une préoccupation majeure dans l'ouest de la Pennsylvanie", elle ne concerne certainement pas les hôpitaux. Par exemple, ceci du médecin en chef de l'UPMC, le Dr Don Yealy: «Je ne pense pas que nous aurons des difficultés à fournir les soins nécessaires. Les chiffres qu’ils nourrissent «un public sans méfiance» ne sont pas des chiffres réels. Ils sont généralement générés par des simulations informatiques, dans ce cas, comme l’avoue le clip, une du Minnesota. Certains nerds appellent à juste titre une telle sortie «fiction technique». Les médias d'information dénaturent la situation par l'horreur sélective. Par exemple, le premier graphique du clip montre la capacité globale de l'hôpital dans le comté d'Allegheny - qui comprend Pittsburgh - à 81%. La newsie, Lisa Sylvester, suggère "c'est assez mauvais." Non ce n'est pas. Les hôpitaux doivent avoir une capacité d'environ 80% pour gagner de l'argent afin que les hôpitaux ne considèrent même pas 81% comme des «affaires dynamiques». Puis elle ajoute: «Le vrai problème, c'est qu'ici, les hôpitaux manquent de place.» Non, ils ne le sont pas parce que - - -
- - - L’histoire de WPXI choisit à tort de montrer les deux hôpitaux du comté d’Allegheny dont la capacité est égale ou supérieure à 100 % - si c’est un décompte réel - en ignorant le reste qui ramène la moyenne à 81%. Ces hôpitaux sont-ils en mesure d'augmenter leur capacité et / ou de transférer des patients ou l'hôpital St. Clair - affiché à 115 % de sa capacité - laisse-t-il mourir ces 15 % supplémentaires dans les couloirs ou dans la rue ?
Non, l’hôpital St. Clair ne laisse pas les patients mourir dans les couloirs ou dans la rue, car les hôpitaux peuvent transférer des patients - et augmenter leur capacité si nécessaire. En effet, via le journaliste de suivi Aaaron Martin, selon le médecin-chef de l'UPMC Yealy, «les hôpitaux sont bien placés pour gérer la surtension et sont capables d'intervenir et de s'entraider en cas de besoin. … L'UPMC dispose de 300 lits de soins intensifs et peut doubler ce nombre si nécessaire. » De plus, selon Aaaron Martin, faisant référence à une porte-parole d'un autre hôpital, «à compter de ce matin, ils ont 300 lits de soins intensifs disponibles dans tout le système et, comme leurs voisins de l'UPMC, ils ne risquent pas de manquer de lits de soins intensifs de sitôt. " Donc, si «la capacité des hôpitaux [est] une préoccupation majeure dans l'ouest de la Pennsylvanie» mais pas pour les hôpitaux, à qui EST-elle «une préoccupation majeure»?
Il y a donc un autre exemple de la pandémie narrative pseudo-scientifique et puis, d’un autre côté, il y a les faits.
À ce stade, il convient de paraphraser le monstre de l’URSS, Joseph Staline. Comme ça - - - Ce ne sont pas les infections, les cas et les décès qui définissent la pandémie, ce sont ceux qui les comptent et les signalent qui la définissent. Staline faisait référence aux électeurs par opposition à ceux qui comptent les votes.
Et bien sûr, les récits très trompeurs ne sont pas propres à l'ouest de la Pennsylvanie. Il y a cet article par exemple - - -
Manque catastrophique de lits d’hôpital dans le Haut-Midwest alors que les cas de coronavirus augmentent - The Washington Post
Il y a plusieurs astuces que «ceux qui comptent et rapportent» aiment utiliser COVID-19. Premièrement, ils signalent de nouveaux «cas» dont la plupart ne sont presque toujours que des «infections». Même ceux-ci dépendent du nombre de tests RT-PCR douteux. Plus il y a de tests, plus ils découvrent d'infections - à moins que les chiffres ne soient entièrement une fiction technique générée par ordinateur. Mais de toute façon, ils les appellent des «cas».
Une autre consiste à rechercher une fluctuation à court terme. Seule la fluctuation est importante. Ils choisissent les nombres de base pour montrer la plus grande fluctuation. En utilisant ces derniers, ils rapportent une augmentation en pourcentage. Par exemple, disons qu'il y a eu 10 nouvelles infections hier et aujourd'hui il y en a eu 12. Le rapport serait: «Les CAS ont juste augmenté de 20%.»
Demain, il n'y aura peut-être que 8 nouvelles infections, ce qui signifie une réduction de 33% par rapport aux 12 nouvelles infections d'hier, mais vous ne voyez presque jamais ces chiffres. Pour certaines raisons.
Une autre astuce consiste à compter quelque chose, puis à rapporter les chiffres en une seule fois. Ainsi, par exemple, ils aiment déclarer les chiffres chaque semaine et / ou chaque mois, car les totaux auront l'air plus gros.
Et ils ne rapportent que les mauvaises nouvelles, généralement les pires qu'ils peuvent trouver.
Et bien sûr, ils sont enclins à utiliser de la «fiction technique» informatisée plutôt que des décomptes réels, que les bureaucraties en chair et en os comme les coroners, etc. ne peuvent pas attendre de suivre.
De plus, le fait que les symptômes du COVID-19 soient presque exactement identiques à ceux de la grippe aide beaucoup - et c'est la saison de la grippe. Et cela ne nuit pas au fait que les hôpitaux peuvent recevoir 13 000 $ pour un patient hospitalisé par COVID-19 et 39 000 $ s'ils le mettent sous ventilation.
Les journalistes aiment aussi rapporter des choses qu'ils prétendent que les «experts» - et d'autres - pourraient craindre. Heck, moi aussi! Je pourrais être frappé par la foudre, tué dans un accident de voiture ou tomber dans la baignoire ou dans les escaliers. Tous, sauf peut-être la foudre, sont beaucoup plus probables que le fait que je sois exclu d'un hôpital, surtout quand ils peuvent obtenir une prime de 13 000 $ pour m'avoir admis.
Avec ces astuces à l'esprit, vous pouvez lire l'histoire «Manque catastrophique de lits» ci-dessus, tout en gardant à l'esprit la recherche désespérée avec Confirmation Bias pleinement engagée et la tentative de faire la une des journaux.
Si vous le faites, vous allez enfin y arriver:
[Le gouverneur du Dakota du Sud, Kristi L.] Le porte-parole de Noem, Ian Fury, a déclaré que Noem n’avait pas l’intention de changer son approche, notant que bien que le taux d’hospitalisation ait augmenté, 34% des lits des hôpitaux et des unités de soins intensifs de l’État restent ouverts.
Et juste pour compléter la vue d'ensemble, vous pouvez trouver l'ennemi de la ruée vers la confirmation du biais de confirmation COVID-19 «hôpital submergé» à l'échelle nationale dans cette pièce de Tom Woods:
Le système hospitalier est-il «débordé» ?
ALERTE SPOILER: Non, ce n'est pas le cas.
Il s'ensuit directement - avec des preuves déjà fournies - que ces soi-disant «verrouillages» - et masques faciaux - dévastateurs et inefficaces - ne sont rien de plus qu'inutiles et dommageables - et dans la plupart des juridictions, techniquement illégales - la signalisation de la vertu mandatée par des personnes mal informées , des menteurs élus désespérés et / ou malhonnêtes et amplifiés par un corps docile de presstituts MSM.
Le virus est recombinant (et non mutant comme il est idiotement cité) dès lors qu'il s'approche d'un autre virus. Exemple (enfantin:) un virus 'mâle' rencontre un virus 'femelle' et ont un enfant. Mais, cet enfant ne sera pas l'addition d'un mâle et d'une femelle mais un autre virus qui n'a rien à voir avec ses parents ! C'est-à-dire un virus 3 et non un 1+2. Car ne l'oublions pas: un virus n'est PAS vivant puisqu'il n'est qu'une poussière (à ne pas confondre avec la bactérie/microbe qui est VIVANT.
Je m'adresse à vous tous journalistes des médias de masse de France et d'ailleurs, mais surtout à celles et ceux d'entre vous qui se sentent très mal à l'aise dans leur métier depuis quelques mois. Je sais que vous êtes nombreux à vous reconnaître ainsi.
Vous êtes aujourd'hui en dissonance, comme le sont de nombreux agents de ce que l'on appelle aujourd'hui les « forces de l'ordre » et qu'on appelait il n'y a pas si longtemps les « gardiens de la paix ». Tout comme eux vous avez doucement glissé ces dernières années vers des valeurs contraires à ce qui vous animait et vit encore en vous. Vous avez lentement dérivé du statut de journaliste à celui de propagandiste, de l'information à la désinformation, par dissimulation, mais aussi par le mensonge brut.
Cette année 2020, la pente s'est accrue et tout s'est précipité. Le plan annoncé par les lanceurs d'alerte depuis des années, ceux-là-même que vous appeliez complotistes, est lancé et vous entraîne à une vitesse vertigineuse, bousculant rudement vos ultimes inhibitions s'il en reste. Vous voilà aujourd'hui acteurs d'un sinistre canular, pris dans une spirale folle parce que ces dernières années vous avez progressivement accepté l'inacceptable au regard de votre déontologie professionnelle piétinée.
Vous ne dites rien sur la réalité de cette fausse pandémie, dont les chiffres officiels (voyez ceux de l'INSEE) montrent qu'il n'y a eu aucune surmortalité en 2020 par rapport aux décennies précédentes. Elle est pourtant le mensonge que vous nourrissez avec grand zèle chaque jour et sur lequel repose la mise en place accélérée de la dictature du nouvel ordre mondial.
Vous ne dites rien de ce qui se passe aux États-Unis depuis l'élection présidentielle, laissant croire que Biden a gagné en tout honneur et que Trump n'est qu'un mauvais perdant. C'est le contraire de la vérité, vous le savez, Biden ne sera sûrement pas président. Et ce qui se passe là-bas alors que j'écris ces mots va impitoyablement déferler sur le monde et faire imploser bien des « démocraties » occidentales. Comment pensez-vous vous en sortir ?
Vous ne dites rien de la pédocriminalité sataniste institutionnalisée dans nos pays occidentaux, suggérant au mieux que ce sont des phénomènes isolés alors que c'est la base religieuse de l'organisation et du fonctionnement des psychopathes qui manipulent le monde avec votre complicité.
La liste est interminable de ce que vous ne dites pas d'essentiel parce que vous n'avez jamais pris la peine de vous y pencher ou que vous avez fait le choix de l'occulter sciemment. Au mieux, vous obéissez à l'inique et ce n'est pas davantage excusable.
Derrière le paravent de cette mascarade politico-sanitaire, vous avez choisi de servir la soupe que tendent au bas peuple les 1 % des 1 % les plus riches de ce monde organisé par et pour la corruption. Une guerre mondiale contre tous les peuples est en cours pendant que vous les divertissez en agitant les ombres de la caverne de Platon, dans l'intérêt d'une poignée malveillante et despotique que par lâcheté vous continuez à servir à travers vos médias. Je suis désolé si les mots sont durs, mais l'heure n'est plus aux litotes. Pour celles et ceux d'entre vous qui ont abordé ce métier par vocation, votre position est intenable. Vous ne pouvez plus fermer les yeux sous prétexte de factures à payer en fin de mois. Vos enfants, s'ils ne sont pas eux aussi sous hypnose, s'en foutent de vos factures, mais pas de leur avenir.
La situation demande du courage à toutes et tous. Chaque jour, de plus en plus n'ont pas de quoi répondre à leurs besoins essentiels. Ils sont conduits là pour devenir pleinement dépendants de ceux-là même qui ont allumé l'incendie. Ils seront alors précipités à épouser une société dont personne en conscience ne voudrait, en-dehors des psychopathes qui en sont les instigateurs, mais qu'ils risquent en inconscience d'accepter pour retrouver l'illusion d'un bol d'air. Une société mondialiste, liberticide et génocidaire, que vous-mêmes ne voulez pas pour vos enfants et leurs descendants. Qu'allez-vous faire pour eux et pour vous ?
Cette dictature sans précédent par son ampleur, calquée sur le modèle du parti communiste chinois, est en marche forcée, vous l'avez vu, vous le voyez parce que s'il vous reste la curiosité, le flair et la quête de la vérité qui sont l'essence du journalisme, vous en avez l'information, comme tous ceux qui vous ont remplacé au pied-levé, l'ont. Je parle des lanceurs d'alerte et de tous ceux qui les relaient, ceux que l'on nomme les soldats numériques. Car oui ce sont des soldats puisque nous sommes en guerre. Beaucoup de ceux-là sont tombés au fil des années, mis à l'écart, internés, assassinés, « suicidés ». Certains même étaient journalistes, comme Julian Assange pour ne nommer que lui dont l'actualité est encore brûlante. Il est une honte pour vous tous qui l'avez abandonné et parfois renié.
Lorsque la maison brûle et qu'on est à l'intérieur, on ne se demande plus s'il est risqué ou non d'essayer d'éteindre les flammes, pas plus qu'on fait la moue sur qui vient nous aider à les maîtriser.
Encore faut-il accepter de voir l'incendie. Je concède qu'à ce jour, bien des aveugles sont aussi devenus sourds, c'est ainsi que leur psyché se protège de regarder en face les illusions qui les ont jusque-là bercés. Je ne m'adresse pas à eux, je sais qu'ils s'effondreront lorsque trop de révélations auront brisé leurs dénis.
Aujourd'hui, avec cette fausse pandémie sans mortalité supérieure à une grippe, l'un des plus grands mensonges de l'humanité, car il y en a d'autres encore plus grands qui seront mis en lumière, orchestre le déroulement d'un plan préparé depuis très longtemps pour la mise en place d'un pouvoir sans partage, qui ne se cache plus et dont les aspects occultes sont plus terribles encore que la plupart ne l'imaginent. L'arme absolue qui garantira la réussite de cette offensive est l'information. Vous êtes cette arme, que vous le vouliez ou non. Vous servez directement la cause des agresseurs, c'est ce pour quoi vous êtes aujourd'hui payés. Pensez-vous vous supporter longtemps dans ce rôle ? Il n'y a pourtant rien de mauvais en vous, au contraire, écoutez ce qui crie tout au fond de vous et libérez-vous de ce poids que votre conscience ne pourra jamais digérer.
Les peuples du monde entier ont besoin de vous, ils ont besoin que vous leur donniez la juste information, celle qui leur permettra de ne pas succomber, de se libérer de l'illusion qui les conduira sinon vers un esclavage absolu. Leur conditionnement fait qu'ils n'ont pas la capacité pour la plupart d'aller eux-mêmes chercher cette information à la source, ni même auprès des journalistes citoyens qui présentent la seule alternative, ils sont trop formatés, tétanisés par les techniques de manipulation des masses pratiquées au quotidien, ils sont sous hypnose.
Seule une minorité n'est pas captive de cette camisole mentale. Si cette minorité grandit chaque jour, elle ne suffit pas encore. Les lanceurs d'alerte n'ont pas cessé d'informer, d'apporter les preuves de ce qu'ils avançaient, mais ils ne peuvent atteindre ceux qui restent rivés devant leurs téléviseurs et croient encore en vos mensonges.
Alors que faire dans votre mal-être ? Avoir le courage, comme le fera bientôt j'espère le peuple de France, de renverser les pouvoirs iniques. C'est un devoir, qui même s'il n'a jamais été appliqué reste inscrit dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1793.
Reprenez vos salles de rédaction et vos studios TV, ne vous préoccupez pas de ceux qui les possèdent et vous ont achetés, écartez les corrompus et commencez à diffuser la vérité. Si vous le faites, il y aura des risques bien sûr mais mesurés, et vous ne serez pas seuls, appelez le peuple à venir protéger vos bâtiments des tentatives du pouvoir de les reprendre. Appelez les policiers et les militaires courageux à faire de même. Il y en a autant chez eux à vivre le même malaise que vous.
N'attendez pas de n'avoir plus rien à perdre, ça sera trop tard. Les choses peuvent encore se faire sans violence, mais quand vous n'aurez plus rien, quand les peuples n'auront plus rien, la violence sera très difficile à endiguer. C'est ce qu'il nous faut tous conjurer, tant qu'on le peut encore, en agissant dans le bon timing.
Une partie de la jeunesse n'a plus d'espoir, sa colère grandit, parfois sa révolte. Une autre partie est amorphe. Elle se sent acculée contre un mur devant un gouffre sans avenir. Les artisans et les PME qui sont le tissu social et l'économie réelle de nos pays sont aux abois, les classes les plus pauvres s'appauvrissent encore, la classe moyenne est en voie de destruction. Tout cela va très vite désormais car c'est planifié en ce sens par ceux qui se désignent comme « l'élite » avec votre complicité et parfois vos collusions, vos conflits d'intérêts, votre corruption.
D'ici cinq ans, soit le monde sera en paix et se réorganisera sur les bases de nouveaux systèmes de gouvernance, soit il sera l'enfer mondialiste et ultra-matérialiste que promeuvent les classes dominantes pédosataniques.
Cela dépend de tous, mais de vous particulièrement, parce que vous détenez l'arme de l'information qu'ils utilisent pour maintenir les peuples dans la peur et la soumission, par le mensonge et la répression. Si la répression concerne les militaires et les policiers, qui se retrouvent aujourd'hui devant les mêmes choix, le mensonge est votre affaire, vous avez le pouvoir de le faire cesser.
L'Histoire se fera et pour qui sait voir entre les lignes, malgré les sombres apparences du moment, elle s'écrira le moment venu dans le sens d'une grande libération et pas d'un enfermement. Je vous le dis, ceux que vous servez perdront et devront faire face à leurs crimes et leurs responsabilités, du plus petit au plus grand. Vous avez le pouvoir de vous inscrire dans le bon sens de l'Histoire ou dans le mauvais. L'important n'est pas ce que vous avez fait jusqu'à maintenant, mais ce que vous allez faire à présent. C'est cela qui sera retenu. Respectez-vous, respectez-nous.
Source de l'article publié le 24 décembre 2020 : FranceSoir
"La théorie du complot n'existe pas mais sa mise en pratique oui !" Louis Caccomo, brillant professeur d'économie à l'Université de Perpignan, interné en hôpital psychiatrique durant 3 ans. 14 séances d'électrochoc (sous anesthésie générale) pour provoquer une crise d'épilepsie.
Nouvelles limites de la liberté d’expression : le progrès à reculons
Ceux qui souhaitent aujourd’hui limiter la liberté d’expression en interdisant l’offense, se revendiquent eux-mêmes du camp progressiste. Qu’en est-il ?
26 DÉCEMBRE 2020 Par Jérémie Bongiovanni. Un article du Podcast Liber-thé
La liberté d’expression est une composante indispensable du progrès, car elle permet une constante remise en question du statu quo. Ses pourfendeurs, qui souhaitent aujourd’hui la limiter en interdisant l’offense, se revendiquent eux-mêmes du camp progressiste. Qu’en est-il en réalité ? Comment définir les limites de la liberté d’expression ?
LA LIBERTÉ D’EXPRESSION COMME CONQUÊTE HISTORIQUE
Au cours des deux derniers siècles, la liberté d’expression a permis le progrès dans de nombreux domaines. En politique, les régimes monarchiques et autoritaires ont tout d’abord été critiqués puis évincés. En sciences, l’hégémonie du clergé a été remise en question et rationalisée, permettant des révolutions coperniciennes, l’expression n’est pas galvaudée.
Dans la société, la domination de communautés ethniques a été thématisée et la dignité de chaque être humain a été reconnue. C’est ainsi que l’esclavage fut notamment aboli.
C’est un truisme que de décrire ces progrès comme résultats de la liberté d’expression. Les remises en question qu’elle a permis ont rendu notre monde plus compréhensible et meilleur. C’est bien en raison de cette perspective du progrès, lui-même dépendant de la libre expression, que nous chérissons cette dernière.
LA CENSURE A-T-ELLE ÉTÉ ABOLIE ?
Nous nous voyons bien souvent comme supérieurs aux sociétés antérieures. Nous nous convainquons que notre liberté d’expression est aussi libre qu’elle puisse l’être et que la censure appartient au passé. Nous pensons qu’elle a uniquement été le fait des rois et du clergé et qu’elle a disparu avec eux, pour laisser place à la modernité et au progrès. Nous croyons que la censure est exclusivement liée à des institutions qui centralisent le pouvoir et qui procèdent de manière autoritaire, car la censure y est explicite, organisée et légitimée. Notre observation est pourtant incomplète.
Dans nos sociétés démocratiques la censure ne s’annonce pas comme telle. Elle se déguise sous le poids du nombre et de la conscience collective – comme l’avaient annoncé Alexis de Tocqueville puis John Stuart Mill. Ainsi le nombre, comme jadis nos gouvernements et l’Église, nous empêche de nous exprimer sans contrainte. La mobilisation d’exemples récents nous permet d’illustrer cette censure moderne.
En 2019, le New York Times décide de ne plus publier de caricatures dans son édition internationale après un dessin jugé antisémite. C’est ainsi que sous la pression d’un emportement du public, la publication de dessins qui incarne la liberté d’expression a été interrompue.
L’été dernier, l’éditeur des romans d’Agatha Christie a annoncé rebaptiser le roman policier Dix petits nègres en Ils étaient dix. Dans ce cas, nous préférons modifier la réalité, l’adapter, plutôt que de l’accepter et de la comprendre. Le mot négritude a en effet été à la base du combat d’Aimé Césaire contre le colonialisme ; bannir ces termes c’est faire table rase du passé.
Cette peur d’offenser régit désormais l’expression publique et conduit à l’intériorisation de la censure, c’est en cela que celle-ci est loin d’être abolie. Nous le voyons dans les deux exemples précédents, la liberté d’expression n’est pas limitée par une institution autoritaire, mais par les masses d’individus qui forment la société. Cette nouvelle censure, qui ne dit pas son nom, menace alors par sa conquête de nos consciences.
LES CONSÉQUENCES DE CES LIMITES À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION
Nos deux exemples démontrent l’existence de limites à la liberté d’expression dans notre société. Les groupes qui imposent ces limites souhaitent ainsi lutter contre l’antisémitisme ou le racisme. Mais cet objectif peut-il être ainsi atteint ?
Cette pratique qui veut effacer les mots et les avis choquants souhaite rendre la société plus vertueuse. Seulement, on ne fait jamais complètement taire une opinion. Si on la comprime, elle s’échappe du côté et siffle de manière stridente. Ainsi, en interdisant à un complotiste d’exprimer ses théories, on ne fait qu’accroître sa passion pour sa vision du monde et le rejet organisé qu’il est persuadé de discerner.
Lorsque nous interdisons une blague sur les Juifs, sur les homosexuels, sur une minorité ethnique ou sur tout autre groupe, nous faisons deux erreurs. Premièrement, notre société qui se veut l’héritière des Lumières devrait contrer ces avis avec la raison. Deuxièmement, nous ne pouvons pas définir l’offense comme limite de la liberté d’expression, nous y reviendrons plus loin.
Interdire les discours contemporains parfois choquants, modifier les titres de livres écrits il y a plusieurs décennies, détruire les statues, c’est vouloir créer une société non pas plus vertueuse mais aseptisée et amnésique.
Dans la dystopie Le meilleur des mondes, le personnage principal découvre soudain la Bible et un livre de Shakespeare, dissimulés par le gouvernement. Ce dernier souhaite ainsi préserver les citoyens des valeurs véhiculées par ces deux ouvrages, car elles sont contraires à celles de la civilisation établie. Le protagoniste se passionne alors pour leur lecture et reproche à sa civilisation de se débarrasser de tout ce qui est désagréable au lieu d’apprendre à s’en accommoder. C’est bien le mal de nos sociétés contemporaines.
À celui qui remet en question le fait que la Terre soit ronde il faut opposer la raison pour expliquer et le convaincre du contraire. Aussi triste que cela puisse être, rien d’autre, même pas la censure, ne le fera changer d’avis. Si celui que l’on tente de convaincre est foncièrement obstiné et refuse de donner du crédit à nos arguments, alors nous ne pouvons rien faire, si ce n’est lui laisser du temps et convaincre les autres. Mais une société qui se définit comme éclairée ne peut se priver d’un processus de discussion contradictoire !
Si elle le fait, alors elle est, elle-même, qui se veut inclusive et diverse, la cause des effets qu’elle souhaite combattre. Elle génère l’exclusion, l’injustice, la haine et la violence. L’exclusion, car elle marginalise des avis qui selon son propre arbitraire ne méritent pas d’être entendus et débattus. L’injustice, car ce muselage de citoyens par leurs semblables ne résulte que de la domination du nombre et pas de la raison. Et enfin la violence comme résultante de l’injustice. Ces limites à la liberté d’expression et leurs conséquences font in fine régresser nos sociétés.
Ceux qui limitent la liberté d’expression se définissent pourtant comme progressistes. Mais il n’en est rien. Nous l’avons vu, le progrès humain a jusqu’ici été permis par l’offense, que ce soit de l’État, de l’Église ou des normes morales. Le progrès dont se revendiquent les censeurs modernes est en réalité celui de l’obscurantisme.
DU DROIT D’OFFENSER
Ce que notre civilisation définit comme vérité n’est finalement qu’un consensus. Pour l’atteindre il faut échanger, discuter, sans arrêt se remettre en question et parfois choquer ou être choqué. Nous ne pouvons pas accepter d’avoir des tabous et de ne pas pouvoir en parler. Accepter qu’on ne peut pas tout dire c’est entrer dans la relativité arbitraire choisie par les ennemis de la démocratie et de la pluralité des idées.
En Chine, il est interdit de critiquer le gouvernement ce qui nous paraît être la caractéristique d’une civilisation primitive. Qu’en est-il de nos propres tabous ? La négation de l’Holocauste est bien interdite sous nos latitudes. Où doit-on définir une juste limite à la liberté d’expression ? Ambitieux projet.
Selon la Cour européenne des droits de l’Homme la liberté d’expression « vaut non seulement pour les informations ou idées accueillies avec faveur ou considérées comme inoffensives ou indifférentes, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent l’État ou une fraction quelconque de la population. Ainsi le veulent le pluralisme, la tolérance et l’esprit d’ouverture sans lesquels il n’est pas de société démocratique. »
Cette compréhension de la liberté d’expression que nos sociétés ont jadis choisie, disparaît progressivement sous les griffes d’une législation qui tente de juguler cette liberté et qui interdit le blasphème – comme c’est le cas en Suisse – ou des avis selon elle choquants, souvent dits « de haine ».
QUELLES LIMITES À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION ?
Peut-on tout dire de tout ? Question difficile. Chaque personne doit avoir un honneur et un nom protégés. Au-delà, les limites ne peuvent qu’être propres à chacun. Elles doivent cependant aller de pair avec la civilité et l’empathie.
Tout ceci s’acquiert avec l’éducation en amont, qui requiert l’implication de chaque individu, plutôt que la condamnation en aval, qui se contente d’imposer des lois et de se réfugier derrière le pouvoir de répression de l’État, son aveu de faiblesse.
La liberté de parler (dire quoi que ce soit peut être interprété comme étant une offense !) est la manière la plus pacifiste de se défendre et ne peut être enlever qu'en dictature.
Pour le désherbage des voies ferrées et des abords, le glyphosate sera remplacé par de l’acide pélargonique et du flazasulfuron. Une stratégie perdante à tous points de vue.
26 DÉCEMBRE 2020 Par André Heitz.
On peut la faire laïque : « Tadam ! ». Ou de saison : « Jouez hautbois, résonnez musettes ! »
La SNCF a trouvé la « solution » pour se passer de glyphosate pour le désherbage des voies et de leurs abords, lequel désherbage répond à d’importants impératifs d’intérêt général : assurer la sécurité des personnels et des voyageurs, préserver les infrastructures ainsi qu’éviter les départs d’incendies.
AU DÉBUT, UN DIKTAT MACRONIEN
La « solution » pour répondre à une ambition délirante du Président Emmanuel Macron proclamée le 27 novembre 2017 par dépit ou calcul politicien.
Par dépit car, contre toute attente, les États membres de l’Union européenne avaient trouvé une majorité introuvable pour renouveler l’autorisation du glyphosate pour cinq ans (en cas d’échec, il serait revenu à la Commission européenne de prendre cette décision) ; par calcul pour, notamment, donner des gages à son ombrageux ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, Nicolas Hulot.
Notez bien : cela ne l’a pas empêché de faire le fier…
LA SNCF N’ÉTAIT PAS OBLIGÉE !
Si nous avons bien compris le travail d’évaluation de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES), la SNCF pouvait bénéficier de la position de repli jupitérienne – qui prenait acte des situations d’impasse.
L’ANSES écrivait en effet, le 9 octobre 2020, dans « Glyphosate : l’Anses publie les résultats de son évaluation comparative avec les alternatives non chimiques disponibles » :
« Usages non agricoles
Les différents usages du glyphosate en zones non agricoles (sites industriels, militaires, voies ferrées, autoroutes, aéroports, réseau électrique, conservation des monuments historiques…) ne peuvent être totalement substitués par des alternatives non chimiques sans avoir des conséquences importantes, notamment pour la sécurité des opérateurs et des utilisateurs de ces services. La réduction de l’usage du glyphosate dans ces différentes situations ne peut donc relever d’une restriction fixée dans les autorisations de mise sur le marché, mais doit s’envisager dans le cadre d’une évolution des pratiques de désherbage. »
LE GLYPHOSATE REMPLACÉ PAR… DEUX MATIÈRES ACTIVES
Quelle mouche a donc piqué les dirigeants de la SNCF ?
L’information nous a été livrée en premier lieu, semble-t-il, par Le Parisien dans « La SNCF sur la voie pour bannir le glyphosate ». Il écrit benoîtement en chapô :
« SNCF Réseau qui s’est engagé à ne plus utiliser le glyphosate en 2021 doit désherber près de 30 000 km sur ses lignes. Un nouveau produit va être utilisé même si sa toxicité n’est pas nulle. »
En fait, il s’agit de deux produits : l’acide pélargonique et une sulfonylurée, le flazasulfuron dont une formulation s’appelle fort opportunément Railtrax.
On estime notre surcoût de maintenance lié à la sortie du glyphosate et à la loi Egalim à environ 110 millions par an, ajoute Jean-Pierre Pujols [responsable de la maîtrise de la végétation chez SNCF Réseau]. Bien moins que les 300 à 500 millions d’euros un temps avancés en l’absence de ce nouveau produit.
Le demi-milliard d’euros, c’était l’estimation de la Fondation Concorde dans un rapport de juillet 2017 qui avait fait quelque bruit.
Notre petit doigt nous dit que l’estimation de la SNCF est bien optimiste, tout comme est curieuse l’estimation de 150 millions actuellement dépensés pour la maîtrise de la végétation (pour la Fondation Concorde, c’était 30 millions)… Enfumage ?
LE CONTRIBUABLE PAIERA, PAS LA SNCF !
Mais ce n’est pas un problème pour la SNCF, au moins temporairement (on sait toutefois que le temporaire a la vie dure…).
Pour les investissements en matériel nouveau et les frais courants elle pourra ponctionner dans les 4,7 milliards d’euros du plan de relance du gouvernement et/ou les 1,5 milliard d’euros débloqués ou à débloquer « pour sécuriser et rendre plus durables les activités du groupe SNCF », ce qui comprend la sortie du glyphosate, mais aussi l’entretien de ponts.
Nous devons concéder qu’avec toutes ces annonces, nous ne savons plus très bien où nous en sommes. Mais une chose est sûre : le contribuable paiera pour un caprice présidentiel et ce qui semble être une manifestation de cynisme entrepreneurial et d’à plat-ventrisme devant le gouvernement et l’opinion dite publique.
L’ACIDE PÉLARGONIQUE… PRODUIT DIT DE BIOCONTRÔLE LOIN D’ÊTRE ANODIN
Les 35 à 38 tonnes de glyphosate utilisées annuellement pour désherber 30 000 km de voies d’abords et 95 000 hectares seront donc remplacés par un produit que l’on qualifie de biocontrôle.
C’est que l’acide pélargonique (ou nonanoïque) se trouve naturellement sous forme d’esters dans l’huile de Pelargonium. Mais sa production se fait principalement par des procédés chimiques à partir d’acide oléique – la nature et le génie humain résistent au binarisme cher aux idéologues antipesticides (de synthèse)…
Sur le plan toxicologique et écotoxicologique, l’acide pélargonique est loin d’être anodin.
Le Parisien a d’ailleurs largement repris dans ses colonnes un avertissement – « Les nouveaux désherbants « Bio » un miroir aux alouettes » – lancé en juin 2015 par… le groupe EELV des Deux-Sèvres. En bref – et comme le montrent aussi les fiches du site e-phy de l’ANSES – il est bien pire.
Mais il est prétendument « bio » et « naturel » ; il n’a pas été marqué du sceau de l’infamie, « cancérogène probable » par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) par une décision qui relève de l’escroquerie et qui a été invalidée par le monde de l’évaluation et de la réglementation ; il n’a pas été frappé d’une interdiction de séjour par le président de la République ; et comme il n’a pas été voué aux gémonies par la vox publica militante, les recherches sur ses véritables effets sur la santé – autres que les irritations et corrosions cutanées et les atteintes oculaires graves – sont très lacunaires.
À ce profil – qui serait sans doute qualifié au minimum d’inquiétant si le produit sortait d’une compagnie dont le nom commençait par un M et maintenant par un B – s’ajoutent :
une efficacité faible (il assèche les feuilles par corrosion de la cuticule, sans atteindre les racines) ; un effet de durée limitée (les racines n’ayant pas été détruites, certaines plantes repoussent illico), et par conséquent la nécessité de passages multiples ; un prix élevé et la nécessité de très fortes doses à l’hectare (pour une comparaison appliquée aux produits pour le grand public, voir ici)… et l’effet corrosif d’un acide ! Or, dans les zones à traiter, il y a des rails, des éclisses, des boulons, des câbles… Sans entrer dans des calculs sophistiqués, un produit bien connu à base d’acide pélargonique à 680 g/litre est autorisé pour deux applications maximum à la dose maximum d’emploi de 16 litres/ha en cultures fruitières. Pour certains usages résiduels du glyphosate, il y a lieu de ne pas dépasser une dose annuelle de 2160 g/ha.
LE FLAZASULFURON… UN PESTICIDE DE SYNTHÈSE
On complétera donc avec du flazasulfuron qui pose aussi une série de problèmes.
Premièrement, il est autorisé pour le désherbage des voies ferrées à la dose de 0,2 kg/ha (50 grammes de matière active/hectare), mais uniquement pour une application par an en pré-émergence à début de post-émergence et au plus tard lorsque les feuilles mesurent 10 cm de hauteur. La fenêtre d’application est donc limitée.
Deuxièmement, les sulfonylurées sont connues pour être sujettes à l’apparition de résistances. Les agriculteurs peuvent y remédier en alternant les matières actives… la SNCF sera en principe coincée.
Troisièmement, la molécule est classée « très toxique pour les organismes aquatiques ».
Quatrièmement, une source comme Pestweb Canada le donne comme cancérogène de catégorie 1A, mais elle semble isolée. La dose journalière admissible du flazasulfuron est de 0,013 mg/kg poids corporel/jour – contre 0,5 mg/kg %./jour pour le glyphosate. Il ne s’agit nullement de peindre ici le diable sur la muraille – il ne faut pas confondre le danger et le risque et tenir compte notamment de l’exposition. Mais si l’on s’en tient aux gesticulations des antipesticides, c’est tomber de Charybde (fille de Gaïa…) en Scylla.
C’est vraiment par hasard que nous avons trouvé que la SNCF élaborait une charte de bonnes pratiques – ou d’engagements en application de l’article 83 de la loi Égalim (les fameuses « zones non traitées »)… et consultait le public d’une manière qui semble bien confidentielle.
Elle vient notamment d’écrire :
« Les alternatives au glyphosate et aux produits phytosanitaires conventionnels
SNCF a engagé un programme de recherche d’alternatives à l’usage des produits phytosanitaires de synthèse qui a permis d’aboutir à une sélection de projets faisant l’objet d’études de faisabilité ou de tests opérationnels (selon le niveau d’avancement des recherches). De telles solutions ne présentent pas, toutefois, le niveau de maturité attendu et nécessitent plusieurs années pour conduire les phases de confirmation de leur efficacité, de prototypage, de test, d’homologation et d’industrialisation. »
Moyennant quoi SNCF Réseau ambitionne de ne plus utiliser de glyphosate dès fin 2021 – c’est même un engagement –, de pérenniser les solutions sans glyphosate à partir de 2022 et « de se rapprocher du Zéro Phyto conventionnel (incluant possiblement une solution phytosanitaire à 100 % en biocontrôle) ». Rêves et délires…
Et ailleurs il est dit :
« À partir de 2022, le désherbage des voies et pistes emploiera une proportion d’au moins 95 % de produits de biocontrôle, ces derniers étant sans rémanence dans l’environnement. »
Compte tenu des volumes d’acide pélargonique nécessaires, le compte de 95 % est probablement bon. Mais « sans rémanence… » ne signifie pas sans effets…
LA SNCF SE PAYE UNE BONNE CONDUITE ?
En définitive, on peut s’interroger sur les finalités réelles des démarches.
Certainement faire plaisir à un gouvernement, l’actionnaire majoritaire qui tient les cordons de la bourse, et répondre à ses lubies sans égards pour les réalités techniques et économiques ; sans doute aussi faire (et se faire) plaisir en surfant sur la vague du rejet des pesticides… « de synthèse » ou « conventionnels ».
À quel prix en termes de sécurité des personnes et des biens ? On peut ne pas être optimiste.
Renoncer au glyphosate et gesticuler sur les pesticides « de synthèse ou « conventionnels » vaut bien quelques sacrifices… Il n’y a pas que chez les particuliers et les collectivités locales que pour désherber il faut être fou pour dépenser moins… à la SNCF aussi.
On ne rembourse pas à une planche-à-billets (ou clavier d'ordinateur) ! Rembourser une planche-à-billets ! HAHAHAHA Et pourquoi pas avec des haricots ? HAHAHA !
Votre nouveau téléviseur HD TCL (fabriqué en Chine) représente-t-il un risque pour la sécurité ?
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 25 DÉC 2020-21: 20 Rédigé par Stephen Silver via 19fortyfive.com,
Cette année, les implications pour la sécurité de la technologie originaire de Chine ou détenue par des entreprises chinoises ont suscité une vive inquiétude. C'était, après tout, au cœur de la lutte de l'administration Trump pour interdire la populaire application de réseau social TikTok, ou du moins pour en forcer la vente. Le gouvernement américain a également sévi contre les fabricants Huawei et ZTE, et le plan de sauvetage omnibus / coronavirus récemment adopté par le Congrès comprenait même 1,9 milliard de dollars pour aider les entreprises à retirer l'équipement de ces deux entreprises.
Récemment, deux chercheurs en sécurité ont sonné l'alarme concernant une autre société de technologie chinoise, le fabricant de téléviseurs TCL, qui fabrique certaines des télévisions les plus populaires disponibles aux États-Unis.
Le site Web du chercheur et hacker connu sous le nom de Sick Codes, dans un article de blog en novembre, a mis en évidence des «vulnérabilités extraordinaires» dans les téléviseurs Android de TCL.
«Vers la fin du mois de septembre, en menant des recherches sur les boîtiers Android bas de gamme, je suis tombé sur un certain nombre de failles graves dans la façon dont ces appareils étaient conçus», indique le message.
«Sans entrer dans les nuances de chaque appareil, tous les produits Smart TV sont basés sur Android.»
Le chercheur a découvert qu'ils pouvaient facilement accéder à l'ensemble du système de fichiers des appareils.
"Pourquoi un appareil Android aurait-il besoin d'un serveur Web fonctionnant sur un port non standard ?" Il a demandé.
"Quel type de fabricant publie l'intégralité du système de fichiers d'un périphérique ?"
Sick Codes a ensuite été rejoint dans son travail par un autre chercheur nommé John Jackson, et en octobre, les deux ont tous deux notifié TCL qui, après un retard de réponse, a déclaré qu'ils corrigeraient le problème.
Dans une interview avec Tom’s Guide, Sick Codes a envoyé une URL offrant «un accès complet au système de fichiers d’un téléviseur intelligent TCL en Zambie», et l’écrivain a pu parcourir les répertoires de la télévision de cette personne.
Et dans une autre interview avec Security Ledger, Sick Codes a déclaré que "n'importe qui sur un réseau adjacent peut parcourir le système de fichiers du téléviseur et télécharger le fichier de son choix."
TCL a publié une déclaration aux médias, comme l’a rapporté Tom’s Guide:
«TCL a récemment été informé par un chercheur indépendant en sécurité de deux vulnérabilités dans les modèles Android TV», indique le communiqué.
«Une fois que TCL a reçu la notification, la société a rapidement pris des mesures pour enquêter, tester en profondeur, développer des correctifs et mettre en œuvre un plan pour envoyer des mises à jour pour résoudre le problème. La mise à jour des appareils et des applications pour améliorer la sécurité est un phénomène courant dans le secteur de la technologie, et ces mises à jour devraient être distribuées à tous les modèles Android TV concernés dans les prochains jours. "
«À l'avenir, nous mettons en place des processus pour mieux réagir aux découvertes de tiers [et] dispensons une formation supplémentaire à nos agents du service client sur les procédures d'escalade sur ces problèmes ainsi que la mise en place d'un système de reporting direct en ligne», a ajouté TCL. dans une déclaration à PC Mag.
Il convient de souligner, comme l’a déclaré Sick Codes dans les commentaires de l’article original, que le problème qu’ils ont identifié ne s’applique qu’aux téléviseurs Android de TCL, et non à ses téléviseurs Roku, qui représentent la majorité de ce que TCL vend en Amérique du Nord. En fait, TCL n'a introduit les téléviseurs Android sur le marché nord-américain que pour la première fois en juillet.
Mardi, le Département de la sécurité intérieure a publié un nouveau rapport intitulé «Information sur la sécurité des données: risques et considérations pour les entreprises utilisant des services de données et des équipements d’entreprises liées à la République populaire de Chine».
TCL n'est pas mentionné dans le rapport, ni les télévisions.
«Les actions de collecte de données de la RPC entraînent de nombreux risques pour les entreprises et les clients américains, notamment: le vol de secrets commerciaux, de propriété intellectuelle et d’autres informations commerciales confidentielles; violations des lois américaines sur le contrôle des exportations; violations des lois américaines sur la confidentialité; violations des dispositions contractuelles et des conditions de service; les risques de sécurité et de confidentialité pour les clients et les employés; risque de surveillance de la RPC et suivi des critiques du régime; et atteinte à la réputation des entreprises américaines », indique le rapport
"Percée" - IBM et Fujifilm développent une nouvelle bande magnétique d'une capacité de 580 To
PAR TYLER DURDEN VENDREDI 25 DÉC 2020-19: 20
Le monde produit actuellement 2,5 quintillions d'octets de données par jour en raison de l'Internet des objets, de l'émergence de vidéos 4K / 8K et de la prolifération de l'intelligence artificielle et de l'automatisation. D'ici 2025, les données mondiales pourraient atteindre 175 zettaoctets, soit une croissance annuelle de 61 %.
Grâce à la pandémie de virus, la numérisation rapide de l'économie, qui a déclenché une poussée massive du travail à distance entre les entreprises, a également entraîné une augmentation massive du stockage de données.
Alors, où sont stockées toutes ces données ?
Plus de 500 centres de données hyperscale sont disséminés à travers le monde, stockant environ 547 exaoctets avec environ 151 installations actuellement en développement.
Selon IBM, il n'y a qu'une seule technologie capable de gérer la croissance massive des données numériques, de les protéger contre les attaques de cybercriminalité et d'archiver les données pour certains des plus grands centres de données hyperscale du monde est une technologie vieille de plus de 60 ans - Bande magnetique."
Structure des couches de la bande magnétique
Il y a plus de dix ans, IBM s'est associé à Fujifilm pour faire progresser la technologie des bandes magnétiques. Ils ont développé une nouvelle bande qui peut stocker d'énormes quantités de données critiques.
La nouvelle bande peut atteindre une capacité de stockage de 317 gigaoctets par pouce carré, ce qui signifie qu'une seule bande est capable de stocker 580 téraoctets de données.
En mettant 580 téraoctets en perspective pour les lecteurs, cela équivaut à 786 977 CD empilés à 944 mètres de haut, ce qui est plus haut que Burj Kalifa, le plus haut bâtiment du monde. C'est une quantité colossale de données ! », a déclaré IBM.
La «percée», visant à faire progresser une technologie vieille de plusieurs décennies, est survenue lorsque les chercheurs des deux sociétés ont développé un tout nouveau ruban avec du ferrite de strontium au lieu d'utiliser du ferrite de baryum, qui a été utilisé pour créer le ruban pendant des années. Le ferrite de strontium offre la possibilité d'un stockage à densité plus élevée dans la même quantité de ruban.
L'évolution de la bande magnétique
IBM conclut que cette nouvelle étape permettra aux lecteurs de bande de gérer la croissance massive des données numériques qui est juste à temps pour la quatrième révolution industrielle.
La Floride émet un avertissement "Falling Iguana" alors que le temps plonge
Photo de Tyler Durden PAR TYLER DURDEN VENDREDI 25 DÉC 2020-10: 30
La Floride se prépare à un temps inhabituellement froid le jour de Noël, ce qui a incité le National Weather Service (NWS) Miami à émettre un avertissement de "chute d'iguane".
NWS Miami s'attend à ce que les températures descendent dans la fourchette de 30 ° F à 40 ° F (-1,1°C à +4,4°C) le jour de Noël et tout au long du week-end, créant des conditions dangereuses pour les iguanes.
- voir carte sur site -
"Brrr ! Des températures beaucoup plus froides sont attendues pour Noël. Les basses températures dans les 30/40 et la chute des iguanes sont possibles. Tenez-vous au courant des changements prévus et restez au chaud ! #Flwx", a tweeté le NWS Miami.
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À environ 50°F, (+10°C) les iguanes peuvent devenir léthargiques. Lorsque la température descend en dessous de 40°F (+4,4°C), leur sang ne se déplace pas aussi rapidement. En conséquence, les iguanes peuvent être temporairement paralysés et tomber des arbres, frappant potentiellement un passant.
"Le seuil de température pour lequel les iguanes commencent à entrer dans un état de dormance dépend grandement de la taille de l'iguane", a récemment déclaré à CNN Ron Magill, directeur des communications du Zoo Miami. "D'une manière générale, plus l'iguane est gros, plus il peut tolérer le froid pendant de longues périodes."
Selon le NWS, à Jacksonville, les températures ont chuté d'environ 80 ° F (+26,6°C) jeudi à environ 30 ° F (-1,1°C) vendredi, ce qui en fait l'un des cinq jours de Noël les plus froids jamais enregistrés.
Les écarts de température pour l'État pourraient être de 10 à 15 degrés au-dessous de la normale, la ligne 32F plongeant jusqu'au nord de la Floride tout au long du week-end.
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Les degrés-jours de chauffage du sud-est seront supérieurs à la moyenne, ce qui indique que de nombreux Floridiens devront peut-être augmenter leurs thermomètres au cours des deux prochains jours.
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Outre la chute des iguanes, gardez un œil sur la mesure dans laquelle la ligne 32F plonge dans l'État, car elle pourrait provoquer des gels qui frapperaient les plantations d'agrumes, un développement de cultures stupéfiant qui entraînerait une baisse de la production et une hausse des prix.
Ce n'est pas le soleil ou son absence qui influence le climat mais le magma. Il y a des éruptions magmatiques sous océaniques qui réchauffent 24/24 h et 365 j/an les courants. L'été s'additionnent donc les températures magmatiques aux températures solaires. Mais, le magma a ses caprices ! Ses sources brûlantes sont constament déplacées et donc, certaines nouvelles s'ouvrent tandis que d'autres se ferment. Ce qui fait que les courants océaniques (ou maritimes) emportent de l'eau chaude ou de l'eau froide en ses lames de fond qui remontent à la surface en butée des côtes.
Le soleil artificiel coréen établit le nouveau record du monde d'une opération de 20 secondes à 100 millions de degrés
24 DÉCEMBRE 2020 par National Research Council of Science & Technology
Le Korea Superconducting Tokamak Advanced Research (KSTAR), un dispositif de fusion supraconducteur également connu sous le nom de soleil artificiel coréen, a établi le nouveau record du monde en réussissant à maintenir le plasma à haute température pendant 20 secondes avec une température ionique supérieure à 100 millions de degrés (Celsius).
Le 24 novembre (mardi), le centre de recherche KSTAR de l'Institut coréen de l'énergie de fusion (KFE) a annoncé que, dans le cadre d'une recherche conjointe avec l'Université nationale de Séoul (SNU) et l'Université Columbia des États-Unis, il avait réussi à faire fonctionner le plasma en continu. pendant 20 secondes avec une température ionique supérieure à 100 millions de degrés, qui est l'une des conditions essentielles de la fusion nucléaire dans la campagne plasma KSTAR 2020.
C'est une réussite de prolonger de plus de 2 fois le temps de fonctionnement du plasma de 8 secondes pendant la campagne plasma KSTAR 2019. Dans son expérience de 2018, le KSTAR a atteint pour la première fois la température des ions plasma de 100 millions de degrés (temps de rétention: environ 1,5 seconde).
Pour recréer les réactions de fusion qui se produisent dans le soleil sur Terre, les isotopes d'hydrogène doivent être placés à l'intérieur d'un dispositif de fusion comme KSTAR pour créer un état de plasma où les ions et les électrons sont séparés, et les ions doivent être chauffés et maintenus à des températures élevées.
Jusqu'à présent, il y a eu d'autres dispositifs de fusion qui ont brièvement géré le plasma à des températures de 100 millions de degrés ou plus. Aucun d'entre eux n'a franchi la barrière du maintien de l'opération pendant 10 secondes ou plus. C'est la limite opérationnelle du dispositif à conduction normale et il était difficile de maintenir un état de plasma stable dans le dispositif de fusion à des températures aussi élevées pendant une longue période.
Dans son expérience de 2020, le KSTAR a amélioré les performances du mode de barrière de transport interne (ITB), l'un des modes de fonctionnement plasma de nouvelle génération développé l'année dernière et a réussi à maintenir l'état du plasma pendant une longue période, dépassant les limites existantes de le fonctionnement plasma à ultra haute température.
Le directeur Si-Woo Yoon du centre de recherche KSTAR du KFE a expliqué: «Les technologies nécessaires pour de longues opérations de 100 millions de plasma sont la clé de la réalisation de l'énergie de fusion, et le succès du KSTAR à maintenir le plasma à haute température pendant 20 secondes seront un tournant important dans la course à la sécurisation des technologies pour la longue opération plasma haute performance, un composant critique d'un réacteur de fusion nucléaire commercial à l'avenir. "
"Le succès de l'expérience KSTAR dans le fonctionnement long et à haute température en surmontant certains inconvénients des modes ITB nous rapproche du développement de technologies pour la réalisation de l'énergie de fusion nucléaire", a ajouté Yong-Su Na, professeur à la Département de génie nucléaire, SNU, qui a mené conjointement la recherche sur l'opération plasma KSTAR.
Le Dr Young-Seok Park de l'Université de Columbia, qui a contribué à la création du plasma à haute température, a déclaré: «Nous sommes honorés d'être impliqués dans une réalisation aussi importante réalisée dans KSTAR. La température ionique de 100 millions de degrés obtenue en permettant un plasma central efficace le chauffage pendant une si longue durée a démontré la capacité unique du dispositif supraconducteur KSTAR, et sera reconnu comme une base incontournable pour des plasmas de fusion à haute performance en régime permanent. "
Le KSTAR a commencé à faire fonctionner l'appareil en août dernier et prévoit de poursuivre son expérience de génération de plasma jusqu'au 10 décembre, en menant un total de 110 expériences sur le plasma comprenant un fonctionnement au plasma haute performance et des expériences d'atténuation de la perturbation du plasma, qui sont des expériences de recherche conjointes avec la recherche nationale et étrangère. organisations.
Outre le succès du fonctionnement au plasma à haute température, le centre de recherche KSTAR mène des expériences sur une variété de sujets, y compris les recherches ITER, conçues pour résoudre des problèmes complexes dans la recherche sur la fusion pendant le reste de la période de l'expérience.
Le KSTAR partagera ses principaux résultats d'expérimentation en 2020, y compris ce succès avec des chercheurs sur la fusion du monde entier lors de la conférence de l'AIEA sur l'énergie de fusion qui se tiendra en mai.
L'objectif final du KSTAR est de réussir un fonctionnement continu de 300 secondes avec une température ionique supérieure à 100 millions de degrés d'ici 2025.
Le président du KFE, Suk Jae Yoo, a déclaré: << Je suis très heureux d'annoncer le nouveau lancement du KFE en tant qu'organisme de recherche indépendant de Corée. Le KFE poursuivra sa tradition d'entreprendre des recherches ambitieuses pour atteindre l'objectif de l'humanité: la réalisation de l'énergie de fusion nucléaire », a-t-il poursuivi.
Le 20 novembre 2020, le KFE, anciennement le National Fusion Research Institute, une organisation affiliée au Korea Basic Science Institute, a été relancé en tant qu'organisme de recherche indépendant.
Les «rentiers» de l’énergie solaire: Bercy fait marche arrière sur les énergies renouvelables
14:11 26.12.2020
Le gouvernement va renégocier près de mille contrats passés avec la filière photovoltaïque. L’enrichissement des industriels du secteur rend abusives les garanties offertes par l’État il y a dix ans. Pour Rémy Prud’homme, interrogé par Sputnik, l’exécutif serait revenu de la «mythologie» des énergies renouvelables.
Bien qu’attendue, la nouvelle a secoué le secteur ! Depuis plusieurs semaines, Bercy martelait sa volonté de renégocier les contrats passés il y a dix ans par l’État avec les professionnels de l’énergie solaire. C’est chose faite. La décision a été adoptée à l’Assemblée nationale dans le budget 2021. De leur côté, les deux syndicats des énergies renouvelables (SER et Enerplan) déplorent dans un communiqué commun une «remise en cause des engagements de l’État» et un «passage en force» du gouvernement sans «réelle concertation».
Le bras de fer entre la filière solaire et le pouvoir remonte à un amendement inséré dans le projet de budget au mois de novembre. Le texte visait à revoir les dispositifs de soutien engagés depuis 2011. Les autorités veulent abaisser le prix d’achat de l’électricité solaire fixé il y a dix ans. Une tarification prévue initialement jusqu’à l’horizon 2030. Au total, 800 contrats sur 235.000 sont concernés.
«L’inscription de cet amendement dans la loi crée une situation d’insécurité et d’incertitude très forte pour les professionnels impactés», déclarent les deux syndicats dans leur communiqué. Selon eux: «Tout le raisonnement des pouvoirs publics s’appuie sur une notion de "rentabilité excessive" qui n’a jamais été ni démontrée ni même quantifiée.»
Dès les premières discussions à l’Assemblée, Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, avait annoncé que «les plus gros contrats» avec une «rentabilité excessive» étaient dans le collimateur. Au total, l’État espère récupérer 300 millions d’euros par an jusqu’en 2021.
L’État arnaqué par les rentiers du solaire ?
Déjà amorcé en 2010 par la décision d’un moratoire sur le photovoltaïque, ce projet de renégociation de la facture électrique est motivé en grande partie par le rapport à charge de la Cour des comptes de 2018. Dans leurs travaux sur la politique en faveur des énergies renouvelables, les sages de la rue Cambon pointaient du doigt les aides et garanties offertes au solaire: «Les garanties accordées avant 2011 représenteront 2 milliards d’euros par an jusqu’en 2030 (soit 38,4 milliards d’euros en cumulé) pour un volume de production équivalant à 0,7 % du mix électrique.» En d’autres termes, un gouffre financier pour moins de 1 % de la production électrique française –la part totale du solaire étant aujourd’hui de l’ordre de 2,2 %.
«Ils auront mis dix ans pour s’en rendre compte», ironise au micro de Sputnik Rémy Prud’homme, professeur émérite des universités. Selon l’auteur du Mythe des énergies renouvelables: quand on aime on ne compte pas (éd. L’Artilleur), pour faciliter l’émergence de technologies vertes, notamment le photovoltaïque, l’État avait fait adopter «un dispositif extrêmement favorable». Ce qui explique la décision de revenir sur ces engagements.
«Le gouvernement a fait la promesse d’acheter toute l’électricité solaire produite par les contractants, y compris si EDF n’en avait pas besoin. Et le tout à un prix très au-dessus du marché, fixé à l’avance pour une durée de vingt ans», s’amuse Rémy Prud’homme. L’ancien directeur adjoint de l’environnement à l’OCDE ajoute: «Pour un industriel, c’est le pied ! Certains se sont enrichis et des rentes extraordinaires ont vu le jour.» En 2013, dans un précédent rapport, la Cour des comptes relevait déjà le coût et l’inefficacité de la transition énergétique amorcée en France à la fin des années 2000. À travers la loi de transition énergétique pour la croissance verte portée par Ségolène Royal en 2015, la France s’engageait vers un objectif de 32 % d'énergies renouvelables dans la production d'électricité pour 2030. La loi prévoyait également de faire passer la part du nucléaire dans l’électricité de 75 % à 50 % en dix ans ! Seul moyen envisagé de compenser cette baisse, un recours redoublé aux énergies renouvelables. Face au péril climatique et atomique, nécessité fait-elle loi ?
L’hydrogène pour un futur toujours lointain
Pour Rémy Prud’homme, l’erreur des politiques énergétiques menées jusqu’ici en France en faveur des énergies renouvelables a été de «considérer à égalité les kilowattheures». Un kilowattheure de solaire ou d’éolien n’aurait «pas la même qualité» qu’un kilowattheure hydraulique ou nucléaire. «Le plus important dans le choix énergétique, c’est la disponibilité. Or, dans le solaire et l’éolien, elle n’est jamais garantie, à cause de l’intermittence de ces énergies», précise-t-il. De même que l’éolien nécessite du vent pour tourner, le solaire a besoin qu’il fasse jour.
«En plus du peu d’heures où l’ensoleillement est maximal, il faut mentionner une autre limite à l’énergie solaire, à savoir qu’elle est disponible aux heures où elle est le moins sollicitée. Vous ne disposerez jamais d’électricité solaire pour vous éclairer à 20 heures en hiver, pour vous chauffer, regarder la télé ou faire cuire votre repas. La bonne évaluation d’un kilowattheure doit intégrer ce paramètre», argumente-t-il.
Associée à des moyens de stockage qui la rendraient pilotable et disponible aux heures sans soleil, l’énergie solaire (comme l’éolien) pourrait s’avérer bien plus performante à l’avenir. C’est dans cette perspective que le gouvernement a voté dans son récent plan de relance un investissement de plus de 7 milliards d’euros pour mettre sur pied une filière de l’hydrogène en France. Pour Rémy Prud’homme, plus pessimiste, cette technique de stockage de l’énergie au moyen de la pile à combustible à hydrogène, «reste encore à trouver». Selon lui, «cela fait plus de deux cents ans, depuis Volta [le physicien italien qui a créé la première pile à la fin du XVIIIe siècle, ndlr] qu’on s’y emploie» et «l’hydrogène ne stockera pas grand-chose d’ici à vingt ans au moins». Des propos qui rejoignent ceux de Nicolas Meilhan dans l’émission Russeurope Express au cours de laquelle l’ingénieur a rappelé la formule anglaise à succès : «Hydrogen: It's the fuel of the future and it always will be.» («L'hydrogène: c'est le carburant de l'avenir et il le restera.»)
L’énergie solaire souffre également d’une double limite, stratégique et écologique. La filière française a échoué à faire émerger un vrai leader français sur ce marché. La quasi-totalité des panneaux photovoltaïques sont fabriqués en Chine. Une chaîne de production dont l’impact carbone, en fin de circuit, est loin d’être neutre. C’est ce que rappelle l’enquête de Guillaume Pitron (La Guerre des métaux rares, éd. Les Liens qui libèrent) consacrée à l’extraction polluante des métaux qui assurent le fonctionnement des énergies alternatives. Un essai mis en images dans un documentaire d’Arte (La Face cachée des énergies vertes).
Pour Rémy Prud’homme, cette «mythologie des énergies renouvelables» propagée au plus haut niveau de l’État il y a dix ans s’explique par «une emprise idéologique des écologistes» qui ont favorisé le développement des énergies renouvelables, en faisant passer des lois en catimini, «au détriment de la protection de l’environnement», terme qui a «d’ailleurs disparu de l’intitulé du ministère».
«D’ailleurs, en cas de conflit entre le renouvelable et l’environnement, les écologistes choisissent le premier. Même lorsque l’éolien nuit à la biodiversité et tue par dizaine de milliers des chauves-souris, par exemple», ajoute Rémy Prud’homme.
Aussi notre interlocuteur soulève-t-il un paradoxe qui serait savoureux s’il n’était dramatique:
«Les écolos, anticapitalistes pour la plupart, ont ouvert la voie à un secteur des plus capitalistiques du globe, qui, de surcroît, se trouve être majoritairement étranger.»
Suite à l’annonce du gouvernement de renégocier ces contrats solaires, le risque désormais est un retrait des banques de ce marché et, plus encore, la perte de crédibilité dans la capacité de l’État à tenir ses engagements. La question juridique de la révision des contrats devrait animer les prochains débats avec les industriels du secteur, comme l’annonçaient ceux-ci dans leur communiqué. Ils semblent bien déterminés à remporter cette seconde bataille, «au cours de laquelle il est essentiel que puissent s’ouvrir de véritables négociations avec les pouvoirs publics».
Du côté du gouvernement, dès le mois d’octobre, la ministre de la Transition écologique avait voulu calmer les ardeurs des agents du secteur. Notamment en promettant une hausse du soutien aux énergies renouvelables de 1,3 milliard d’euros dans le prochain budget. Soit une augmentation «de près de 25%, pour dépasser pour la première fois les 6 milliards d’euros».
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 26 DÉC.2020-12: 30 Rédigé par Charles Hugh Smith via le blog OfTwoMind,
Que se passe-t-il lorsque l'Amérique admet enfin que sa classe moyenne est un fantôme de fantaisie de bien-être ? Nous pourrions bien le découvrir dans les quatre prochaines années.
Parmi les nombreuses choses que nous ne pouvons nous résoudre à admettre, l'une des plus importantes est que notre classe moyenne vantée est illusoire, un fantôme de notre imagination plutôt qu'une réalité. La réalité est que la grande majorité de la richesse et des revenus du pays a été détournée de la classe moyenne vers ceux qui sont au sommet de la pyramide richesse-pouvoir et la classe d'initiés technocrates / financiers (les 10 % les plus riches) qui sert les intérêts de ceux qui le summum.
Ce transfert s'est accéléré rapidement au XXIe siècle, la quasi-totalité des gains de revenu réel des 20 dernières années ayant atteint les 0,1 % les plus riches. Cette étude RAND a révélé que les élites américaines ont siphonné 50 billions de dollars dans leurs propres poches au cours des deux dernières générations: tendances des revenus de 1975 à 2018. (Veuillez consulter le graphique «Fruits de la financiarisation» ci-dessous.)
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Les revenus des 0,1 % les plus riches ont augmenté 15 fois plus vite que les revenus des 90 % les plus pauvres (voir le graphique ci-dessous) ...
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... alors que la part des salaires dans l'économie poursuit sa baisse de 50 ans ...
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En ce qui concerne la richesse: les 0,1 % les plus riches possèdent plus que les 80 % les plus pauvres (voir graphique ci-dessous) et les 1 % les plus riches possèdent 40 % de toute la richesse privée et les 10% les plus riches en possèdent 90 %.
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Si les 10 % les plus riches possèdent 90 % de la richesse et ont capturé pratiquement tous les gains de revenus des 20 dernières années, alors n'est-il pas évident que l'Amérique n'a pas de classe moyenne ? Ce que la classe moyenne traditionnelle - généralement définie comme les 50 % entre les 40 % les plus pauvres et les 10 % les plus riches - possède, c'est la dette et une faible emprise sur des roseaux très minces de capital.
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Veuillez réfléchir au tableau ci-dessous des 1,7 billion de dollars de dettes étudiantes pesant sur ceux qui ont acheté le récit selon lequel un diplôme d'études collégiales était un passeport pour la sécurité de la classe moyenne. Le fardeau de la dette de ceux qui s'accrochent aux aspirations de sécurité de la classe moyenne est stupéfiant. Comme je l'ai déjà noté ici, accabler des étudiants impuissants avec un avenir incertain avec des milliards de dettes à intérêt élevé aurait été considéré comme criminel il y a deux générations, mais maintenant il est célébré par ceux qui récoltent l'intérêt des serfs de la dette du précariat.
De manière générale, les principaux actifs de la classe moyenne sont le capital et l'agence, le capital étant défini comme le capital financier, intellectuel et social qui génère des revenus, gagnés et non gagnés, et l'agence définie comme le contrôle de sa vie et de ses options et d'avoir son mot à dire en public. la prise de décision.
Compris de cette manière, les 50 % entre les 40 % les plus pauvres et les 10 % les plus riches possèdent un précieux petit capital productif de revenus et possèdent très peu d'agence. La classe politique sert les 0,1% les plus riches et ne donne que du bout des lèvres à la convention digne de relations publiques d'une classe moyenne sous la forme de platitudes. En termes de contrôle sur ses options, ceux qui revendiquent le statut de classe moyenne s'accrochent à un emploi parce qu'ils ont besoin de la couverture d'assurance maladie fournie par l'employeur, pas parce que le travail est gratifiant.
En ce qui concerne la possession de compétences, une grande partie de la main-d'œuvre a peu de compétences de producteur, car l'économie de consommation consacre une attention démesurée non pas à la production mais à la commercialisation, à la spéculation et au respect des réglementations contre-productives et du brassage bureaucratique des dossiers.
Une fois que l’inconvénient d’imprimer des trillions de dollars à partir de rien se dissoudra et que la nation devra équilibrer ses comptes dans le monde réel, ces compétences de brassage de fichiers et de spéculation ne généreront plus de revenus significatifs.
Les derniers vestiges de sécurité financière pour les 50 % du milieu sont les retraites et la propriété d'un logement, qui est moins un véritable atout et plus une option d'achat sur la bulle immobilière actuelle. Cette «richesse» fantôme est une rencontre avec la réalité loin de disparaître dans les brumes des extrêmes spéculatifs qui implosent.
En ce qui concerne les retraites, ces promesses sur les futurs gains énergétiques et de revenus ne sont destinées qu'à une économie d'énergie, de productivité et de production de biens et de services en constante expansion. Alors que l'Amérique a substitué la spéculation à ces gains du monde réel, les pensions sont aussi une rencontre avec la réalité loin de disparaître dans les brumes.
Le rêve américain était basé sur un large accès à l'acquisition de capitaux et d'agences, accès qui s'est réduit à la tranche supérieure de l'ordre économique. Même les 10 % les plus riches sont trompeurs, car la grande majorité des capitaux et des agences est détenue par les 1 % les plus riches et, dans une moindre mesure, par les 5 % les plus riches. Le capital réel et l'agence de ceux qui se situent sous la barre des 5 % chutent rapidement, atteignant effectivement près de zéro autour de la barre des 15 %.
Comme le montre le graphique «les salaires ne suivent pas», le pouvoir d'achat des salaires de la «classe moyenne» a chuté, ce qui signifie que moins de revenus sont disponibles après avoir payé toutes les dépenses essentielles les plus importantes. La Réserve fédérale a joué un jeu de baisse des taux d'intérêt pour que les ménages puissent réduire leurs frais d'intérêts en refinançant leurs prêts hypothécaires, mais ce jeu est terminé; les taux d'intérêt ne peuvent plus baisser sans entrer dans les taux négatifs, une zone d'insolvabilité pour le secteur bancaire.
En d'autres termes, le jeu consistant à créer l'illusion de gains salariaux réels est terminé.
Que se passe-t-il lorsque l'Amérique admet enfin que sa classe moyenne est un fantôme de fantaisie de bien-être ? Nous pourrions bien le découvrir dans les quatre prochaines années.
Pourquoi quelqu'un qui travaille dehors quand il gèle gagne moins qu'une personne assise au chaud dans un bureau ? Parce qu'il n'existe pas la Démocratie qui laisse parler le Peuple (regardez tous les jours le nombre impressionnant de vidéos supprimées sur YT et blogs de scientifiques !). Ne comptez donc pas sur les putains de partis politique de merde pour vous en sortir !
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 26 DÉC.2020-21: 30 Rédigé par Charles Hugh Smith via le blog OfTwoMinds,
Nous pensons que nous sommes impuissants parce que nous n'avons ni richesse ni pouvoir sur les autres, mais rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.
Avoir du libre arbitre, c'est avoir le pouvoir sur votre propre vie et le contrôle de vos actifs, options et ressources. Il y a beaucoup de choses qui influencent nos vies que nous ne contrôlons pas, mais il y a aussi beaucoup de choses que nous pourrions influencer dans nos vies mais pas.
La vision conventionnelle accorde une grande importance à l'agence créée par l'argent, car une abondance d'argent permet aux gens de faire un certain nombre de choses que les gens avec peu d'argent ne peuvent pas faire: vivre confortablement dans des endroits coûteux, acheter une maison plus grande, acheter une résidence secondaire, acheter un bateau, payer ses études universitaires en espèces, payer des médicaments coûteux non couverts par l'assurance, prendre des vacances prolongées et démarrer des entreprises sans céder le pouvoir à des investisseurs extérieurs, pour n'en nommer que quelques-uns.
Notre culture n'a d'yeux que pour le libre arbitre de l'argent, car cette bande étroite de libre arbitre est sans cesse glorifiée. Pourtant, ce qui est frappant, c'est le peu d'importance que l'argent peut acheter. Non seulement il ne peut pas acheter l'amour, mais il ne peut pas acheter la véritable amitié, la confiance, l'affection, la communauté, l'intelligence émotionnelle, la sagesse, les compétences, le but, le sens, la santé, la confiance, la créativité, la conviction, l'autodiscipline, la résilience, l'expression de soi, l'intégrité , authenticité, foi ou sécurité intérieure.
Quel cadeau voudriez-vous pour vous-même en 2021 ? Quoi que vous identifiiez comme le cadeau que vous voudriez vous offrir, les chances de l'obtenir s'améliorent si vous vous offrez d'abord le don d'agence. Bien que l'argent soit une ressource qui peut tirer parti de certains types d'agence, ce n'est pas le fondement de l'agence; les fondements de la prise de contrôle de sa vie sont internes.
J'ai écrit un livre entier sur ce processus de prise de contrôle de sa vie: Résistance, Révolution, Libération: un modèle de changement positif.
Mon credo de base de la libération:
«Je me fiche de savoir si les centres de pouvoir de notre société - les châteaux forts et éloignés de notre système financier féodal - sont modifiés par mes actions, car je suis libéré par l'acte de résistance. Je ne suis plus complice de perpétuer des actes frauduleux. le féodalisme et la pathologie du pouvoir concentré. Je ne convoite plus les signifiants de l'appartenance à la Haute Caste qui sert la ploutocratie. Je suis libéré de la financiarisation autodestructrice de l'État consumériste et de l'illusion que la servitude de la dette et l'obéissance aux élites sociopathologiques me servent. intérêts."
Nous pensons que nous sommes impuissants parce que nous n'avons ni richesse ni pouvoir sur les autres, mais rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité. Ce que nous recherchons tous, c'est l'autonomie, la maîtrise et le but, et la source de tout cela est en nous.
L'argent ne peut pas acheter l'intégrité ou l'authenticité personnelle et, en ce sens, il ne peut pas acheter ce qui compte le plus. Pour reprendre la phrase de Kierkegaard, nous ne pouvons pas utiliser l'argent pour nous acquérir. Ce processus ne peut être acheté à aucun prix, car il est interne, intangible et caché à tous sauf à nous-mêmes.
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Là, je pense que le Charles Hugh Smith aurait dû terminer son papier par, "Ne m'envoyez pas d'argent ! J'en ai rien à foutre ! J'en ai, Je vous en envoie tant que vous voulez !" Hahahaha !
Passé cet effet relatif aux fêtes bien arrosées; malgré que ce soit tous les habitants qui soient décuvés en 21, il faut rester bien droit sur ses deux pattes ! Les plus riches sont les banquiers car ils se créaient eux-mêmes leurs fortunes sans limite sur le clavier d'ordinateur. Alors, à la question du "Que ferez-vous de tout ce putain de fric en trop ?", là, je pense que chacun a sa petite idée et qu'elle résout même tous les problèmes ! Mais là attention ! y a quelque chose qui change ou est prêt à changer dans très peu de temps !
Comme les Bourses n'existent pas (depuis leur création) et qu'elles ne sont que des carnavals d''acheteurs' et de 'vendeurs' qui font croire qu'ils font des transactions. Aujourd'hui, le Palais Brongniart (à Paris) est fermé et a été transféré en Angleterre avec x autres Bourses. Là, les traders (aux bourses sans limite) peuvent acheter ou vendre des milliards d'actions en 1 seconde et ruiner n'importe qui comme enrichir n'importe qui ! Donc, la fortune des riches tient à peu de choses ! La fortune demeure dans l'investissement. Mais, comment investir dans quelque chose qui rapporte ? Primo: faut pas être un con et toujours avoir plusieurs cordes à son arc. Donc: être allé à l'école (la bonne !) et su séparer les conneries débitées par les profs à longueurs de journées de celles qui lui ont échappé ! Secundo: D'où la nécessaire réflexion de soi-même. Mais qu'apporte le savoir ? L'intelligence sert à se diriger, à écouter, regarder et penser dans sa tête loin des foules tonitruantes des merdias. Elle sert à beaucoup de choses et vaut plus que de l'argent ! Celui qui sait faire du feu sans allumette ou briquet n'est pas un con ! Celui qui a compris que malgré qu'il y ait des millions de km3 d'eau (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se soient déversés dans les mers & océans, le niveau n'a pas monté, il a donc compris que les ministres et chefs d'Etats le prenaient pour un con depuis x temps ! Donc: bien faire la distinction entre les grandes écoles de l'escroquerie et les bonnes écoles de la Démocratie.
Le comté de L.A. a une faible teneur en oxygène "dangereusement" pour traiter le COVID-19
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 26 DÉC.2020-20: 00
Les hôpitaux du pays de Los Angeles commencent à fonctionner "dangereusement bas sur l'oxygène" et d'autres fournitures utilisées pour traiter les personnes atteintes de Covid, malgré une tendance de sept jours de nouveaux cas qui semblent avoir finalement atteint un sommet.
En plus de manquer de fournitures, les patients attendent jusqu'à 8 heures dans les ambulances avant d'être placés dans les urgences en raison de leur capacité limitée, écrit le LA Times. La situation est devenue si désastreuse qu '"un responsable de la santé du comté de LA a demandé aux prestataires de contacter les patients souffrant de maladies graves ou médicalement fragiles pour revoir leurs directives en matière de soins avancés et s'assurer que des formulaires sont au dossier détaillant leurs soins de fin de vie. . "
On craint également que les rassemblements pendant les vacances aggravent les conditions dans la région, car les rassemblements de Thanksgiving sont déjà en partie responsables de la capacité actuelle des hôpitaux.
Mais alors que le L.A. Times note que le comté a connu ses plus hauts décès de Covid-19 par jour la semaine dernière, jeudi avec 140, le total mobile du comté sur sept jours (illustré ci-dessous) indique potentiellement un certain sursis.
Des personnes familières avec le système hospitalier du comté ont révélé qu'il était "dangereusement bas" en oxygène, qui est utilisé pour traiter les personnes atteintes de poumons enflammés par le virus. L'oxygène est désormais utilisé au profit des ventilateurs, qui étaient utilisés au début de la pandémie.
Au lieu de cela, les patients reçoivent désormais "un traitement à l'oxygène à haut débit, où l'oxygène est envoyé à travers des tubes en plastique placés dans le nez". Les patients Covid-19 ont souvent besoin de plus de 10 fois plus d'oxygène que les patients réguliers, nécessitant jusqu'à 60 à 80 litres d'oxygène par minute. Cela signifie que les hôpitaux ont besoin d'environ 10 fois plus d'oxygène qu'auparavant.
Les hôpitaux manquent également de tubes utilisés pour transporter l'oxygène, indique le rapport.
Le comté a demandé cette semaine aux prestataires de soins de santé de prendre des mesures supplémentaires pour tenter de compenser le flot de patients nécessitant un traitement au niveau de l'hôpital. Il y a environ 6700 patients atteints de coronavirus hospitalisés dans tout le comté mercredi la semaine dernière - dont 1329 dans une unité de soins intensifs. Ces chiffres sont en hausse de 85% et 62% au cours des 2 dernières semaines.
Le comté a écrit dans une note de service: «Les hôpitaux ont mis en œuvre leurs plans de relève et ajustent le personnel et l'espace pour essayer de répondre aux besoins de leur communauté. Il est essentiel qu'en tant que communauté de soins de santé, nous examinions toutes les opportunités disponibles pour aider à réduire la montée en flèche des hôpitaux et de notre système 911, dans la mesure du possible.
Le Dr Sharon Balter, chef du contrôle et de la prévention des maladies transmissibles du comté, a dit aux fournisseurs de soins de santé d’informer les patients uniquement d’appeler le 911 ou de se rendre aux urgences «en cas d’urgence». Elle a également poussé à des décharges plus rapides.
«Les lits d'hôpitaux et de soins intensifs sont très limités et les services d'urgence sont surchargés», a-t-elle déclaré.
Le neurochirurgien de Santa Monica, le Dr Brian Gantwerker, dit qu'il «redoute» ce que les prochaines semaines vont réserver. Il dit que l'augmentation du nombre de patients Covid peut retarder les patients en neurochirurgie qui ont besoin de soins immédiats.
Il a dit: «Ensuite, il devient une question de:« Où est le point de rupture? Quand devons-nous commencer à envoyer des patients ailleurs? »Et le scénario cauchemardesque est:« Que se passe-t-il s’il n’ya pas de lits disponibles dans le comté? Tout ce dont nous nous sommes inquiétés, dont nous avons parlé et dont nous avons averti les gens depuis février se concrétise - nous en sommes maintenant à ce stade. "
Enfin, le Dr Christina Ghaly, directrice des services de santé du comté de L.A., dit que près de 7 000 personnes supplémentaires pourraient mourir de Covid d'ici la fin janvier si les tendances actuelles se maintiennent.
Le maire de L.A. Eric Garcetti a conclu: «Nous savons que cette urgence est notre jour le plus sombre, peut-être le jour le plus sombre de l’histoire de notre ville. Mais nous devons trouver le courage, nous devons rassembler la force pour nous assurer de sauver des vies.
File d'attente pour entrer en hôpital, file d'attente pour entrer aux frigos, file d'attente pour être enterrer et, file d'attente pour sortir du cimetière !
Il ne reste plus qu’un espoir … la France ?
RépondreSupprimerle 25 décembre 2020
L’apologie du totalitarisme qu’a décliné Klaus Schwab dans son dernier ouvrage de propagande nazifiante outrancière (« COVID-19 : The Great Reset ») m’a conduit à espérer que ce nouvel ordre mondial, ce grand reset, cette remise à zéro justifiée par la situation critique des pays occidentaux qui ont géré n’importe comment la pandémie de coronavirus, aboutissement d’une gestion calamiteuse de l’ensemble de l’Union européenne qui date déjà de plusieurs années, n’aurait pas lieu parce cette grande remise à zéro n’a pas lieu d’être. Comme la majorité des épidémies d’origine virale, celle du SARS-CoV-2 va également disparaître sans qu’un quelconque spécialiste n’en découvre les raisons. Encore que cette dernière affirmation de mon fait puisse être infirmée par les gigantesques progrès des investigations biochimiques et moléculaires de ces dernières années. On pourra peut-être découvrir un jour prochain les causes de la fin imprévisible des épidémies. Le Professeur Didier Raoult, le plus grand spécialiste mondial du SARS-CoV-2, l’a affirmé à de nombreuses reprises : on ne sait pas comment ni pourquoi une épidémie disparaît en quelques semaines.
Instrumentaliser cette pandémie comme le fait Schwab pour mettre en place un régime politique global totalitaire est écoeurant et malveillant. Que le parti communiste chinois ait instauré un régime autoritaire n’est pas surprenant car le peuple chinois a toujours été soumis à une autorité politique qu’il s’agisse dans le passé du régime imposé par les empereurs ou du PCC aujourd’hui. Le carnet de civisme que chaque citoyen chinois possède ressemble au système de sélection des élites villageoises, régionales ou provinciales qui existait à l’époque des empereurs. Ces empereurs et leur cour, le système de gouvernance mis en place, étaient respectés par les citoyens qui devaient respecter les règlements pour espérer une vie meilleure.
Si Schwab s’est inspiré du régime chinois contemporain pour imaginer ce « great reset » il a commis une grave erreur car son projet est irréalisable en Europe. L’Europe est en effet un patch-work de pays qui diffèrent par leur passé, leur culture, leur religion et leur terroir. L’Europe est également le lieu où se trouve la France, la mère des révolutions depuis 1789. Jamais les Français accepteront de se plier à une autorité supranationale amenuisant leurs droits fondamentaux. Je n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi les Français ne se sont pas déjà révolté, pourquoi ils n’ont toujours pas séquestré les politiciens tous corrompus par les « BigPharma ».
Un fait significatif donne une image assez précise de l’état d’esprit des Français : l’accroissement du nombre de suicides dans les rangs de la police. Les policiers, payés pour faire respecter par le peuple les exactions gouvernementales en termes de privation des libertés individuelles, auraient-ils compris que leur mission était vouée à l’échec ? Avec les atteintes répétées du gouvernement Macron-Casteix aux libertés individuelles, quand la police va-t-elle prendre conscience de la dérive totalitaire dans laquelle s’est engagée la France ? Car ces policiers et gendarmes vont également pâtir de ces privations et si ce n’est pas eux-mêmes personnellement qui en souffriront lorsqu’ils seront en mission, une illusion passagère, ce seront leurs conjoints, leurs enfants et leurs familles qui en seront les victimes.
RépondreSupprimerSi les services d’ordre républicains français (police, gendarmerie et armée) ne réagissent pas et acceptent d’ouvrir toute grande la porte à la dictature totalitaire française, alors qu’ils pourraient tout simplement déposer les armes devant les manifestants, alors la France, la mère européenne des révolutions aura perdu son âme. C’est peut-être déjà trop tard … Il est urgent que tous les Français prennent conscience de la dictature à laquelle ils vont être prochainement soumis et ils ont le devoir de sauver aussi l’Europe toute entière des projets dangereux de ce fou de Schwab et de ses sbires dont fait partie leur président Macron en faisant la révolution comme ils l’ont si bien fait en 1789, en 1830, 1848, 1871 et 1968 … Qu’ils n’aient aucune crainte, les « vieux », très majoritairement les premières victimes du SARS-CoV-2, n’ont plus la force d’aller courir dans les rues et d’ériger des barricades …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/12/25/il-ne-reste-plus-quun-espoir-la-france/
Une nouvelle étude suggère que les patients atteints d'un COVID asymptomatique ne sont pas des «facteurs de transmission»
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 25 DÉC 2020-11: 30
Grâce en partie à un investissement massif dans la recherche par le gouvernement britannique, de nombreuses données intéressantes sont sorties du Royaume-Uni, y compris une étude qui aurait trouvé des preuves que l'immunité au COVID 'se dégrade' dans les mois suivant l'infection. Maintenant, d'autres études sont arrivées à des conclusions apparemment contradictoires. C'est juste un autre rappel à quel point le processus d'étude et de recherche peut être lourd et compliqué pendant une pandémie sans précédent.
Cela devrait également être un rappel, d'autant plus que tous les principaux fabricants mondiaux de vaccins COVID rassurent le public sur le fait que leurs vaccins fonctionneront contre les souches mutées plus infectieuses qui auraient été découvertes au Royaume-Uni et en Afrique du Sud, entre autres, que les principaux scientifiques et publics les autorités sanitaires ne sont pas toujours sûres à 100 % en ce qui concerne - comme elles aiment l'appeler - «la science».
Et dans un autre rappel de ce principe, le journal JAMA Network Open de l'American Medical Association a publié une nouvelle recherche d'une étude soutenue par le gouvernement qui semble offrir de nouvelles preuves que la propagation asymptomatique du COVID-19 peut être considérablement inférieure à ce que l'on pensait auparavant.
Certains membres du public se souviendront peut-être de février et janvier, lorsque les fonctionnaires ont pour la première fois émis l'hypothèse que le port de masque en masse pourrait ne pas être très utile à moins que les individus ne soient réellement malades. Ils sont réputés avoir fait marche arrière à ce sujet et - pour cela, et d'autres raisons - ont décidé que nous devrions tous porter des masques, et que les verrouillages étaient plus ou moins la meilleure solution au problème, alors même que des millions d'Américains continuaient à bafouer la nouvelle " règles "quotidiennement.
Mais pour ceux qui ne le font pas, cet article précise une chose: pour tous les discours dans la presse sur les personnes asymptomatiques infectieuses, qui comprenaient une réprimande sévère d'un scientifique de l'OMS qui a déclaré nonchalamment il y a quelques mois que les personnes asymptomatiques ne 'pas propager le virus aussi efficacement, il n'y a pas eu beaucoup d'études à long terme à grande échelle qui étudient comment les patients «asymptomatiques» propagent réellement le virus par rapport à la façon dont les patients «symptomatiques» le font, puisque la plupart des agences de santé publique ne le font pas. t même collecter des données pour savoir si les personnes dont le test est positif sont asymptomatiques, pré-symptomatiques ou symptomatiques (une spécification qui, comme la plupart des gens le savent probablement maintenant, peut varier considérablement).
RépondreSupprimerPuisque la pandémie ne dure que depuis moins d'un an maintenant, les chercheurs ont plutôt tenté de mener des «méta-études», c'est-à-dire de comparer les données recueillies dans des dizaines d'études examinant certains aspects de la fonctionnalité du virus. Dans l'article susmentionné qui examinait 54 études distinctes avec près de 78 000 participants au total, les auteurs affirment que «le manque de transmission substantielle des cas index asymptomatiques observés est notable ... Ces résultats sont cohérents avec d'autres études sur les ménages rapportant que les cas index asymptomatiques rôle limité dans la transmission domestique. "
Ce n'est bien sûr pas la première fois que nous entendons cela. Mis à part l'exemple scientifique de l'OMS cité ci-dessus, deux scientifiques britanniques ont récemment publié un éditorial dans le BMJ implorant les scientifiques de repenser la façon dont le virus se propage "asymptomatiquement".
Ils ont souligné «l'absence de preuves solides que les personnes asymptomatiques sont un moteur de transmission» comme raison de remettre en question des pratiques telles que «les tests de masse dans les écoles, les universités et les communautés».
Cela ne veut pas dire que les personnes asymptomatiques ne peuvent pas propager le virus, c'est juste pour dire qu'il y a peut-être une différence significative dans les niveaux de risque en termes d'exposition. Bien sûr, à ce stade, les responsables de la santé publique semblent avoir peur de reconnaître tout ce qui remet en question l'idée que tout le monde est potentiellement une menace. Pour être clair, les directives actuelles de l'OMS sur la question sont que "si quelqu'un qui ne développe jamais de symptômes peut également transmettre le virus à d'autres, on ne sait toujours pas dans quelle mesure cela se produit, et des recherches supplémentaires sont nécessaires dans ce domaine" - mais à ce stade, ils ont changé d'orientation et ont fait volte-face tant de fois, qui sait, comprend ou se soucie de ce qu'ils disent ?
RépondreSupprimerQuoi qu'il en soit, c'est juste un peu plus de matière à réflexion la prochaine fois que quelqu'un essaiera de vous faire la leçon sur "la science".
https://www.zerohedge.com/geopolitical/new-study-suggests-asymptomatic-covid-patients-arent-driver-transmission
Au cas où vous pensez que le test PCR détecte un virus réel… Faux
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
26 décembre 2020
Dans un document du CDC intitulé «Coronavirus Disease 2019 (COVID-19) 2020 Interim Case Definition, Approved April 5, 2020», sous la section «Critères de laboratoire», nous avons ceci: [1]
«Détection de l'acide ribonucléique du coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (ARN du SRAS-CoV-2) dans un échantillon clinique à l'aide d'un test de détection par amplification moléculaire.»
Le test auquel il est fait référence est le PCR. Et comme vous pouvez le voir clairement, il détecte non pas le virus lui-même, mais un morceau d'ARN.
Un morceau d'ARN supposé provenir du virus, SRAS-CoV-2.
Je dis supposé parce que, où est le virus réel ? Où le virus est-il isolé de tout le matériel environnant ?
Si vous n’avez pas le virus, vous ne pouvez pas dire, avec un quelconque degré de certitude, que vous en avez un morceau (l’ARN).
Comme je l’ai décrit à maintes reprises, «isolé» est un terme qui est torturé par les chercheurs et les responsables de la santé publique, de sorte qu’il signifie exactement le contraire de ce qu’il est censé signifier. [2]
De nombreuses études qui prétendent que le virus a été isolé se révèlent en fait signifier: «Nous avons le virus dans une soupe dans un plat du laboratoire. La soupe contient divers types de cellules animales et humaines, des produits chimiques et des médicaments toxiques et d'autres éléments génétiques. Le virus est complètement entouré, mais il est là. Nous le savons, car certaines cellules sont en train de mourir, et cette mort doit être le résultat d’une infection par le virus… »
Cet argument ne fait pas que renverser la définition de l '«isolement», il révèle, après un instant de réflexion, que la mort des cellules pourrait provenir de l’action des produits chimiques et des médicaments toxiques; et en plus de cela, les cellules sont privées de nutriments, donc elles pourraient mourir à cause de cette privation.
Par conséquent, dire "le virus doit être dans la soupe dans le plat du laboratoire" parce que c'est en train de tuer des cellules… eh bien, ce n'est absolument pas prouvé, et donc…
Il n'y a aucune raison sous le soleil de prétendre que le virus est présent dans la soupe.
Par conséquent, l'affirmation selon laquelle le test PCR détecte un morceau d'ARN du virus est injustifiée. Parce que, encore une fois… où est le virus? Où est le virus vraiment isolé ?
Nulle part.
Et sur cette seule base, le test PCR est hors de propos, inutile et trompeur.
RépondreSupprimerIl est mis en place pour rechercher et détecter un morceau de matériel ARN dont il n'a jamais été prouvé qu'il provenait de cette ASSOMPTION fantôme non isolée, appelée «SARS-CoV-2».
Encore quelques instants de réflexion claire, et vous réalisez que toute la chaîne de «science» qui conduit aux verrouillages et à la dévastation économique n'est pas du tout une science.
C'est ce qu'on appelle, dans la communauté du renseignement, une couverture. Une histoire lancée pour justifier des crimes.
Dans ce cas, des crimes capitaux contre l'humanité.
SOURCES:
[1] https://wwwn.cdc.gov/nndss/conditions/coronavirus-disease-2019-covid-19/case-definition/2020/
[2] https://www.youtube.com/watch?v=R6-8VRGvNtQ «Conversations avec le Dr Cowan et ses amis, épisode 12: Jon Rappoport» (17 décembre 2020)
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
https://www.lewrockwell.com/2020/12/jon-rappoport/in-case-you-thought-the-pcr-test-detects-an-actual-viruswrong/
Une «grave réaction allergique» au vaccin Moderna signalée pour la première fois aux États-Unis
RépondreSupprimer12:13 26.12.2020
Le premier cas de réaction allergique au vaccin Moderna a été recensé chez un médecin aux États-Unis, rapporte Le New York Times. Le patient, qui «souffre d’une grave allergie aux fruits de mer», s'est rétabli «rapidement» grâce à un traitement. La société s'est déclarée prête à étudier cet incident, se refusant cependant à commenter ce cas isolé.
L’oncologue gériatrique au Boston Medical Center, Hossein Sadrzadeh, affirme avoir développé une «grave réaction allergique» quelques minutes après avoir reçu une injection du vaccin Moderna le 24 décembre, relate le New York Times.
«Après avoir reçu le vaccin, j’étais en tachycardie, mais j'avais l'impression que c'était de l'anxiété parce que j'avais peur après avoir appris les réactions au [vaccin] Pfizer aux États-Unis, en particulier pour les personnes allergiques aux crustacés, comme moi», raconte M.Sadrzadeh à CNN.
Il ajoute que sa fréquence cardiaque «était de 150» alors qu’elle est normalement «de 75». Selon lui, «six-sept minutes après l'injection du vaccin», il a eu sur sa langue et dans sa gorge «une étrange sensation de picotement et d’engourdissement».
«Il va bien aujourd’hui»
Dans un communiqué, un porte-parole du Boston Medical Center confirme que le Dr Sadrzadeh a reçu le vaccin de Moderna jeudi. Selon le document, le médecin «avait l'impression de développer une réaction allergique». Il a été autorisé à s'auto-administrer son EpiPen personnel.
«Il a été transporté aux urgences, évalué, traité, observé et renvoyé. Il va bien aujourd’hui.»
Réaction de Moderna
La société Moderna s'est déclarée prête à étudier attentivement cet incident, soulignant toutefois qu'elle n’allait pas commenter un cas isolé de réaction allergique. D’après le New York Times, il s’agit du premier cas de réaction allergique provoquée par le vaccin de Moderna.
De tels effets secondaires ont déjà été signalés aux États-Unis pour le vaccin développé conjointement par Pfizer et BioNTech.
De moins en moins de Français prêts à se faire vacciner contre le Covid
RépondreSupprimer13:31 26.12.2020
Seuls 40 % des Français interrogés entre le 14 et le 16 décembre ont répondu vouloir «certainement ou probablement» se faire vacciner contre le Covid, alors qu’en novembre ce taux était de 53 %.
La part de Français comptant se faire vacciner contre le Covid-19 a fortement chuté depuis début novembre, met en lumière la dernière vague de l’enquête CoviPrev réalisée par Santé publique France auprès d’un échantillon de 2.000 personnes.
Selon ses chiffres, seuls 40 % des personnes interrogées entre le 14 et le 16 décembre ont répondu vouloir «certainement ou probablement» se faire vacciner. À titre de comparaison, entre le 4 et le 6 novembre, ce taux était de 53 %, et en juillet, de 64 %
Les femmes se montrent bien plus hésitantes que les hommes. Ainsi, seuls 29% de celles qui ont participé à l’enquête envisagent de recevoir une dose de vaccin, contre 53% des hommes.
Manque de confiance dans les vaccins
Dans le même temps, les plus de 65 ans restent les plus allants (61 % contre 72 % début novembre). En revanche, les 25-34 ans (27 %) et les jeunes majeurs âgés de moins de 25 ans (28 %) sont les plus réticents, indique l’étude.
Pour 82 % des sondés ne souhaitant pas se faire vacciner, «les nouveaux vaccins ne sont pas sûrs», tandis que 26 % d’entre eux indiquent «préférer d’autres moyens de prévention comme les gestes barrières» et 16% disent être «contre la vaccination en général».
Dans ce contexte, Santé publique France juge «primordial de renforcer l’accès à l’information sur la vaccination (stratégie, sécurité et tolérance des vaccins, notamment)».
La France forcée de reporter la législation sur les vaccins pour la "dictature de la santé"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 26 DÉC.2020-9: 20
Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Un projet de loi radical proposé par le gouvernement français qui verrait des personnes non vaccinées refuser des services de base tels que les transports publics a été mis sur la glace après une réaction massive.
La proposition de loi exige que les citoyens aient la preuve d'un test COVID négatif ou d'un «traitement préventif, y compris l'administration d'un vaccin» afin «d'accéder au transport ou à certains endroits, ainsi qu'à certaines activités».
Cependant, le gouvernement a été contraint de retarder l'adoption de la législation après des manifestations de colère.
Le ministre français de la Santé, Olivier Véran, a publiquement reporté le projet de loi dans une annonce mardi soir.
«Parce qu'il faut avoir confiance pour que les Français aillent se faire vacciner de leur plein gré, parce que nous sommes toujours en état de crise sanitaire… le gouvernement ne présentera pas le texte [à l'Assemblée nationale] avant plusieurs des mois, avant de sortir de la crise », a déclaré Véran.
Le projet de loi a été critiqué par des personnalités politiques de tous horizons, le député conservateur Fabien Di Filippo le qualifiant de «chantage à la vaccination».
Marine Le Pen, dirigeante des IA, a qualifié la mesure de vaccination de «essentiellement totalitaire».
«D'une manière détournée, ce projet de loi ne vise pas à rendre les vaccinations obligatoires, mais empêchera quiconque ne se conforme pas d'avoir une vie sociale», a-t-elle déclaré.
Le porte-parole du parti RN, Sébastien Chenu, a qualifié le plan de «dictature de la santé», tandis que la sénatrice centriste Nathalie Goulet a déclaré que le projet était «une attaque contre les libertés publiques».
Guillaume Peltier, chef adjoint du parti de centre-droit LR, a averti que la loi permettrait au gouvernement «d'obtenir tout le pouvoir de suspendre nos libertés sans contrôle parlementaire».
Le programme de vaccination de la France, qui doit démarrer dimanche, ne sera pas obligatoire, mais une majorité de 55 % des citoyens déclarent qu’ils ne se feront pas vacciner.
Comme nous l'avons souligné précédemment, la France a imposé certaines des mesures de verrouillage les plus strictes d'Europe, les citoyens devant remplir un formulaire à chaque fois qu'ils quittent leur domicile.
https://www.zerohedge.com/political/france-forced-postpone-health-dictatorship-vaccine-legislation
Le refus des masques faciaux en dit tellement, parce que le courage est la condition préalable à tout comportement vertueux
RépondreSupprimerPar Allan Stevo
26 décembre 2020
Je m'en fiche si je suis d'accord avec une personne ou non. Je n'ai pas besoin de m'entourer de ceux qui me répéteront mes propres opinions. Mais je me soucie beaucoup si cette personne a du cran.
Le courage est la condition préalable à la vertu.
Si une personne n’a pas de courage, on ne peut pas lui faire confiance. Le reste de leurs qualités est sans valeur car le fondement de leur caractère est faible et promet de céder sous la pression.
Je choisirai toujours un homme courageux avec lequel je suis d'accord avec 25 % plutôt qu'un lâche avec lequel je suis d'accord avec 95 %. Premièrement, je sais où il en est. L'autre, je sais où il en est jusqu'à ce qu'il retire sa tête du livre et entre dans le monde réel, à quel point l'homme lâche est une syncope.
Cela a été le plus grand avantage d'avoir cette leçon douloureusement jetée à mon visage en 2020.
Si cela avait été planifié, je n'aurais pas pu trouver une meilleure façon de me préparer à des moments difficiles que cela: pour que mon réseau de soutien soit mis à part avec des fragments de personnes courageuses cousus sans serrer et le sol recouvert du reste.
Les décennies de travail soigneusement tissées que j’ai consacrées au tissu social de ma vie sont maintenant en ruine. La seule chose qui reste étant les courageux, les autres s'étant auto-sélectionnés hors de ma vie, car je n'ai laissé aucune place à leurs mensonges en ma présence, car 2020 est soudainement devenue une année où les mensonges ont eu des conséquences si soudaines.
Tatters est une manière généreuse de décrire le tissu de ma vie qui reste. "Vous le comprenez," dit le tailleur en riant. "Vous savez quoi faire avec ces pattes à tête de mule que vous avez laissées rester dans votre vie."
Je vais.
Cela s'appelle la liberté. Chacun fait ce qu'il veut. Personne ne fait ce qu’il ne veut pas. La moralité, l'éthique et la justice et toutes sortes de méthodes de cohésion sociale y jouent un rôle, mais les hommes avec des insignes et des fusils ne jouent aucun rôle parmi les hommes libres. Ils sont au mieux un inconvénient.
Quiconque a besoin d'obéissance pour diriger ne sait pas comment diriger des gens libres.
RépondreSupprimerÀ un moment comme celui-là, à un moment charnière qui sépare les hommes des garçons, j'entends les garçons gémir quelque chose sans conséquence du coin: «Ceux qui pensent que les masques signifient quelque chose sont totalement trompés. Ils ne sont un symbole pour rien. Ils ne sont qu'un moyen de protéger les autres. »
Non, le fondement de ce que préconisent les masques est un mensonge, car les masques ne fonctionnent pas contre Covid-19. Les masques peuvent, en fait, faire plus de mal que de bien. Vous ne me tromperez pas en appelant la vérité «anti-science». Vous ne me tromperez pas en qualifiant vos mensonges de «consensus» à haute voix dans les médias. La vérité n'a pas besoin de mégaphone. Vous me rendez les mensonges que vous professez tout à fait évidents, plus vous refusez à la société un débat honnête entre penseurs critiques.
Il n’ya rien d’autre à considérer que les masques qu’un symbole. La seule chose que les masques sont, c'est un symbole. Il n'y a pratiquement rien d'autre pour lequel un masque est bon sur les visages des personnes en bonne santé dans la population générale, mais comme un symbole.
Et de quoi sont-ils un symbole ?
Ils sont un symbole de manque de courage et d'obéissance aveugle.
Bien sûr, les sans-tripes veulent que le monde croie que les masques faciaux ne symbolisent rien. Bien sûr, les sans-tripes veulent que le monde croie qu'ils fonctionnent, même si cela signifie que des millions de personnes meurent dans l'ignorance superstitieuse de croire qu'un masque facial fonctionne pour eux, plutôt que de vivre plus longtemps et en meilleure santé, armés de moyens qui peuvent vraiment empêcher les décès prématurés. maladies respiratoires.
Des dizaines de milliers d'Américains sont morts inutilement cette année à cause de l'ignorance superstitieuse vantée dans le courant dominant sur la façon de préserver votre vie en 2020. Des centaines de milliers, peut-être des millions sont morts dans le monde en croyant à la même ignorance superstitieuse.
Laissez-les mourir «et réduisez le surplus de population», dit Ebenezer Scrooge et ses semblables ce Noël, semblables dans les manoirs du gouverneur, aux bureaux d'ancrage et en blouse blanche à travers le monde, un genre qui ne mérite pas la confiance de l'homme ordinaire .
Si vous écoutez les conseils de quiconque dit que les meilleurs moyens de prévenir la transmission d'un virus respiratoire sont
RépondreSupprimer1.) les masques faciaux,
2.) les verrouillages,
3.) la distance sociale,
4.) les vaccins,
5.) les tests PCR,
6.) passeports Covid,
7.) lavage des mains, ou
8.) désinfection vous écoutez quelqu'un qui est soit ignorant, soit n'opère pas dans votre meilleur intérêt.
Oui. Même si votre masque dit «Vis Fauci» dessus ou «Molon Labe», ou s'il a un drapeau américain ou dit «à bas les nourris» ou a un logo Bitcoin cypherpunk. Oui. Même à ce moment là. Même ce genre de masque en dit long sur vous qu'un gribouillage intelligent ne peut pas compenser.
Si vous portez un masque, vous prendrez le vaccin - le vaccin à peine testé, inefficace et dangereux. Il vous donne tout ce que vous ne voulez pas dans un vaccin et rien de ce que vous voulez.
Si vous portez un masque, vous passerez un test Covid. Le mensonge inefficace d'un test, avec un taux de faux positifs de 97 % à 35 cycles qui est utilisé pour verrouiller notre civilisation.
Si vous portez un masque, vous resterez les bras croisés pendant qu’ils expulseront le prochain groupe de boucs émissaires, comme cela a été fait aux Arméniens lors de la première guerre, aux Juifs lors de la seconde guerre et aux Allemands après cette même guerre. L'humanité n'a pas appris sa leçon dans toute l'horreur.
Nous répétons le chemin horrible en laissant nos dirigeants nous montrer si clairement que c'est leur goulag dans lequel nous vivons et qu'aucun niveau de préjudice à la population n'est trop grave pour garantir que ce goulag reste son goulag. Ils transformeront cette belle terre en un gouffre de désespoir si nous les laissons faire, juste pour qu'ils puissent en garder le contrôle. Ils ne peuvent pas être plus clairs à ce sujet, et lorsque vous portez un masque, vous ne pouvez pas être plus clair sur votre intention de les soutenir à chaque étape du processus.
Si vous portez un masque, vous les laisserez fermer votre église, l'église étant un rempart de premier plan pour nos droits aux États-Unis et dans le monde entier, un rempart d'une société décente et des droits individuels qui jouissaient autrefois d'une certaine importance dans les États-Unis inconnus dans aucun autre pays industrialisé. Ces institutions font partie des institutions qui protègent toute la société, toute l'humanité. Aujourd'hui, leurs bâtiments sont devenus des musées construits par des générations plus dures et qui pèsent comme un passif sur l'ère actuelle, une époque qui peut ne pas comprendre pourquoi l'église est importante et pourquoi un service religieux à zoom diffusé dans votre salon n'est pas suffisant.
RépondreSupprimerEt si je dois expliquer pourquoi ce n’est pas de vos foutues entreprises que j’adore mon créateur et comment, vous faites partie du problème. Cette génération ne peut pas supporter la volonté de construire les églises et les cathédrales que le passé a tant sacrifiées pour faire une réalité, et encore moins supporter l'idée de laisser un autre culte librement.
Vous les avez peut-être déjà laissés fermer votre église. Vous l'avez peut-être même rationalisé, démontrant pour tout le peu de combat que vous avez en vous et normalisant l'idée qu'il n'y a rien dans la maison du Seigneur qui vaille la peine d'être défendu.
Si vous portez un masque, vous retournerez vos armes. Peu importe à quel point les slogans politiques écrits sur votre masque sont audacieux, cette arme n'aura pas besoin d'être arrachée de vos mains mortes et froides. Le fait de porter un masque indique tout ce que tout le monde doit savoir sur la facilité avec laquelle vous retournerez vos armes.
Si vous portez un masque, il n'y a pas de limite à vos valeurs, vous annoncez au monde qu'il fera n'importe quoi de manière fiable tant que vous entendez la bonne raison pour laquelle vous devez vous engager dans ce comportement. Cela s'appelle être une ventouse. Et ce n’est pas la faute de votre oppresseur si vous êtes si facilement opprimé, si facilement dupé.
Porter le masque dit tout, dit tout ce qui doit être dit sur qui que ce soit.
J'apprends lentement, il m'a donc fallu quelques centaines de conversations pour donner aux masques le bénéfice du doute pendant des mois, jusqu'à ce que je sois capable de comprendre ce que beaucoup de gens beaucoup plus intuitifs ont réalisé avant moi: éloignez-vous d'eux, don ne parlez pas à un masque, gardez vos distances avec quiconque voudrait se faire vacciner.
Ils propagent la maladie avec les masques sales autour de leurs visages.
RépondreSupprimerIls se promènent dans des boîtes de Pétri, se reproduisent et répandent on ne sait quoi dans et depuis leur corps après avoir pris le vaccin expérimental ARNM. Ne faites pas semblant de savoir ce qui se passe dans leur corps, ou que c'est en aucune façon sûr, parce que nous n'en avons aucune idée. C’est un pari total. Comment un être humain responsable peut faire à la légère ce pari me laisse perplexe.
Vous ne devriez pas vouloir être avec eux, vous ne devriez pas vouloir les contourner, vous devriez vouloir les inviter sur votre propriété, vous ne devriez pas vouloir que vos enfants y soient exposés, et vous ne devriez certainement pas vouloir vos gènes à mélanger avec les leurs.
Pire que cela, bien pire que cela, ils propagent la pire maladie connue de l'homme, la maladie qui corrompt toute vertu humaine: la lâcheté.
Arrêtez d'humour des lâches. Arrêtez de porter votre masque. Ces articles du LRC sur les masques faciaux vous expliquent comment. Le nouveau best-seller «» d'Allan Stevo le fait également.
https://www.lewrockwell.com/2020/12/allan-stevo/face-masks-refusal-says-so-much-because-courage-is-the-prerequisite-to-all-virtuous-behavior/
Allan Stevo a très justement trouvé le mot: les masques ne sont que des boites de Pétri ambulantes !
SupprimerC'est exactement ce qu'ils représentent car, ce sont des pièges, des milliards de milliards de pièges où sont accrochés des milliards de milliards de microbes ou virus et qui se décrochent tous d'un coup par un coup de vent fort extérieur ou un toussotement ou élévation de la voix dans le masque.
J'imagine très bien un enfant rentrant à la maison et disant à sa mère "Maman ! Maman ! Regarde tout ce que j'ai ramassé !"
Les putains d'ordure de politichiens ou les merdias le savent, il doit y avoir une dépopulation gigantesque de plus de 6 milliards de personnes avant Juin 2021. C'est pour çà que seront imaginées après la '3ème vague' il y aura la '4 ème', la '5 ème' et la '150 ème' vague ! HAHAHAHA
Jouons à un jeu de désinformation
RépondreSupprimerPar L. Reichard White
26 décembre 2020
Nous sommes bien dans un cas grave de pandémie panique, alimentée par la peur, entretenue par l'arrivée de la grippe saisonnière et amplifiée par un biais de confirmation.
Un groupe - les journalistes et les politiciens - ont autre chose à craindre que le virus. C’est la réaction du public lorsque les gens réalisent enfin à quel point ces gens les ont plongés dans une pauvreté abjecte, 270 millions de personnes confrontées à la famine et même à la mort.
Parce que ce n’est pas le virus qui en est la cause, c’est la pandémie narrative pseudo-scientifique avec ses verrouillages, etc., imposée par la classe politique et amplifiée par un corps conforme de presstituts MSM (Main Stream Media).
Comme l'a dit le Dr Roger Hodkinson aux multiples titres, "c'est le plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance." Il a également quelques autres choses intéressantes à dire dans ce clip.
En fait, les émeutes anti-masque et verrouillage dans des pays aussi raffinés que l'Allemagne, la France, l'Espagne, l'Italie, la Grande-Bretagne et le Chili, pour n'en nommer que quelques-uns, suggèrent que ces deux classes de ne'er-do-well ont de bonnes raisons être nerveux.
Et, au cas où vous pensez que les dissidents ne sont qu'une foule non informée - et je suis une fausse nouvelle non fiable - au 23 décembre 2020, il y a plus de 760 000 personnes, dont 39 384 médecins, 13 035 scientifiques médicaux et de santé publique et 709 443 concernés. les citoyens - jusqu'à présent - qui ont signé la déclaration de Great Barrington, dénonçant la gestion alarmiste, trompeuse et destructrice du COVID-19 par l'établissement. Il dit en partie,
«Les politiques de verrouillage actuelles produisent des effets dévastateurs sur la santé publique à court et à long terme… avec la classe ouvrière et les jeunes membres de la société qui portent le fardeau le plus lourd. et «avec les défavorisés de manière disproportionnée.» … »En effet, pour les enfants, le COVID-19 est moins dangereux que de nombreux autres méfaits, y compris la grippe. «…» Ceux qui ne sont pas vulnérables devraient être immédiatement autorisés à reprendre une vie normale. "
Et il y a la dévastation économique, mentionnée précédemment, aussi - - -
RépondreSupprimerL’envoyé britannique [Dr. David Nabarro] à l'Organisation mondiale de la santé (W.H.O.) a condamné les verrouillages massifs de coronavirus, critiquant la «terrible catastrophe mondiale» causée par l'effondrement de l'économie mondiale. -QUI. Condamne les verrouillages de coronavirus, «doublant» la pauvreté mondiale
Alors maintenant, plus que jamais, les journalistes et les prévaricateurs élus ont désespérément besoin de défendre leurs politiques destructrices et de trouver des confirmations soutenant leurs légendes, mythes et mensonges chauves sur COVID-19, en particulier leurs 10 fois plus dévastateurs que le virus et les verrouillages inefficaces.
Ou ils ont besoin d'imaginer plus de confirmations dans l'existence. Ils semblent avoir une préférence pour la voie de l’imagination, probablement parce que c’est plus facile et que les preuves légitimes à l’appui du récit officiel sont difficiles à trouver.
Donc, la chose à retenir lorsque vous voyez un politicien ou un journaliste MSM avec des lèvres bouger à propos de «THE PANDEMIC», tout ce qui sort est probablement alimenté par la nécessité de confirmer leurs légendes, mythes et mensonges COVID-19 précédents et sera probablement faux, déformée et généralement sans preuves légitimes.
Dans cet esprit, jouons à un jeu - - -
POUVEZ-VOUS TROUVER LES ERREURS ?
Vous vous souvenez de ces vieilles énigmes quand vous étiez enfant ? Il y aurait une image avec des erreurs à trouver. OK, dans cette version moderne, combien d'erreurs pouvez-vous trouver dans ce fabricant de Lemming de deux minutes et 49 secondes, diffusé par l'affilié de NBC WPXI, Pittsburgh, le 15 décembre 2020 avec l'en-tête «La capacité des hôpitaux est une préoccupation majeure dans l'ouest de la Pennsylvanie» - - -
- voir clip sur site -
Le segment commence par une plaque montrant 509 320 «TOTAL CASES» en Pennsylvanie. Ce nombre est cumulatif depuis février dernier et donc trompeur car il ne s’agit pas du total actuel des cas actifs, qui est beaucoup plus petit car la plupart des gens se rétablissent rapidement. Et la plupart de ces cas étaient / ne sont que des infections qui ont été mal étiquetées de toute façon, pas des cas réels. C’est parce que par plus de 100 ans de pratique et de tradition scientifiques, les infections nécessitent des symptômes et / ou une hospitalisation - pas seulement un test positif - avant de pouvoir légitimement être qualifiées de cas.
Et puis il y a le fait qu'au moins 40 % de ce qu'ils insistent pour appeler incorrectement les cas ne présentent aucun symptôme perceptible. Ce sont les gens qu'ils appellent «asymptomatiques».
RépondreSupprimerEt bien sûr, les tests RT-PCR qu’ils utilisent montrent beaucoup de faux positifs, donc beaucoup de ces cas ne sont même pas de vraies infections, encore moins des cas. Mais c’est un niveau de désinformation bien plus profond. N'hésitez pas à l'ignorer complètement et nous prendrons le non-sens officiel pour argent comptant.
Alors maintenant, en prenant le non-sens officiel au pied de la lettre - et FWIW - voici les erreurs que je vois dans la vidéo ci-dessus :
Le gros titre ment sur la situation du COVID dans l'ouest de l'AP. et vous le savez parce que le contenu contredit directement le titre. Comme vous pouvez le voir à partir de ce contenu, si la "capacité des hôpitaux" peut être "une préoccupation majeure dans l'ouest de la Pennsylvanie", elle ne concerne certainement pas les hôpitaux. Par exemple, ceci du médecin en chef de l'UPMC, le Dr Don Yealy: «Je ne pense pas que nous aurons des difficultés à fournir les soins nécessaires.
Les chiffres qu’ils nourrissent «un public sans méfiance» ne sont pas des chiffres réels. Ils sont généralement générés par des simulations informatiques, dans ce cas, comme l’avoue le clip, une du Minnesota. Certains nerds appellent à juste titre une telle sortie «fiction technique».
Les médias d'information dénaturent la situation par l'horreur sélective. Par exemple, le premier graphique du clip montre la capacité globale de l'hôpital dans le comté d'Allegheny - qui comprend Pittsburgh - à 81%. La newsie, Lisa Sylvester, suggère "c'est assez mauvais."
Non ce n'est pas. Les hôpitaux doivent avoir une capacité d'environ 80% pour gagner de l'argent afin que les hôpitaux ne considèrent même pas 81% comme des «affaires dynamiques». Puis elle ajoute: «Le vrai problème, c'est qu'ici, les hôpitaux manquent de place.» Non, ils ne le sont pas parce que - - -
- - - L’histoire de WPXI choisit à tort de montrer les deux hôpitaux du comté d’Allegheny dont la capacité est égale ou supérieure à 100 % - si c’est un décompte réel - en ignorant le reste qui ramène la moyenne à 81%. Ces hôpitaux sont-ils en mesure d'augmenter leur capacité et / ou de transférer des patients ou l'hôpital St. Clair - affiché à 115 % de sa capacité - laisse-t-il mourir ces 15 % supplémentaires dans les couloirs ou dans la rue ?
Non, l’hôpital St. Clair ne laisse pas les patients mourir dans les couloirs ou dans la rue, car les hôpitaux peuvent transférer des patients - et augmenter leur capacité si nécessaire. En effet, via le journaliste de suivi Aaaron Martin, selon le médecin-chef de l'UPMC Yealy, «les hôpitaux sont bien placés pour gérer la surtension et sont capables d'intervenir et de s'entraider en cas de besoin. … L'UPMC dispose de 300 lits de soins intensifs et peut doubler ce nombre si nécessaire. » De plus, selon Aaaron Martin, faisant référence à une porte-parole d'un autre hôpital, «à compter de ce matin, ils ont 300 lits de soins intensifs disponibles dans tout le système et, comme leurs voisins de l'UPMC, ils ne risquent pas de manquer de lits de soins intensifs de sitôt. "
RépondreSupprimerDonc, si «la capacité des hôpitaux [est] une préoccupation majeure dans l'ouest de la Pennsylvanie» mais pas pour les hôpitaux, à qui EST-elle «une préoccupation majeure»?
Il y a donc un autre exemple de la pandémie narrative pseudo-scientifique et puis, d’un autre côté, il y a les faits.
À ce stade, il convient de paraphraser le monstre de l’URSS, Joseph Staline. Comme ça - - - Ce ne sont pas les infections, les cas et les décès qui définissent la pandémie, ce sont ceux qui les comptent et les signalent qui la définissent. Staline faisait référence aux électeurs par opposition à ceux qui comptent les votes.
Et bien sûr, les récits très trompeurs ne sont pas propres à l'ouest de la Pennsylvanie. Il y a cet article par exemple - - -
Manque catastrophique de lits d’hôpital dans le Haut-Midwest alors que les cas de coronavirus augmentent - The Washington Post
Il y a plusieurs astuces que «ceux qui comptent et rapportent» aiment utiliser COVID-19. Premièrement, ils signalent de nouveaux «cas» dont la plupart ne sont presque toujours que des «infections». Même ceux-ci dépendent du nombre de tests RT-PCR douteux. Plus il y a de tests, plus ils découvrent d'infections - à moins que les chiffres ne soient entièrement une fiction technique générée par ordinateur. Mais de toute façon, ils les appellent des «cas».
Une autre consiste à rechercher une fluctuation à court terme. Seule la fluctuation est importante. Ils choisissent les nombres de base pour montrer la plus grande fluctuation. En utilisant ces derniers, ils rapportent une augmentation en pourcentage. Par exemple, disons qu'il y a eu 10 nouvelles infections hier et aujourd'hui il y en a eu 12. Le rapport serait: «Les CAS ont juste augmenté de 20%.»
Demain, il n'y aura peut-être que 8 nouvelles infections, ce qui signifie une réduction de 33% par rapport aux 12 nouvelles infections d'hier, mais vous ne voyez presque jamais ces chiffres. Pour certaines raisons.
Une autre astuce consiste à compter quelque chose, puis à rapporter les chiffres en une seule fois. Ainsi, par exemple, ils aiment déclarer les chiffres chaque semaine et / ou chaque mois, car les totaux auront l'air plus gros.
Et ils ne rapportent que les mauvaises nouvelles, généralement les pires qu'ils peuvent trouver.
RépondreSupprimerEt bien sûr, ils sont enclins à utiliser de la «fiction technique» informatisée plutôt que des décomptes réels, que les bureaucraties en chair et en os comme les coroners, etc. ne peuvent pas attendre de suivre.
De plus, le fait que les symptômes du COVID-19 soient presque exactement identiques à ceux de la grippe aide beaucoup - et c'est la saison de la grippe. Et cela ne nuit pas au fait que les hôpitaux peuvent recevoir 13 000 $ pour un patient hospitalisé par COVID-19 et 39 000 $ s'ils le mettent sous ventilation.
Les journalistes aiment aussi rapporter des choses qu'ils prétendent que les «experts» - et d'autres - pourraient craindre. Heck, moi aussi! Je pourrais être frappé par la foudre, tué dans un accident de voiture ou tomber dans la baignoire ou dans les escaliers. Tous, sauf peut-être la foudre, sont beaucoup plus probables que le fait que je sois exclu d'un hôpital, surtout quand ils peuvent obtenir une prime de 13 000 $ pour m'avoir admis.
Avec ces astuces à l'esprit, vous pouvez lire l'histoire «Manque catastrophique de lits» ci-dessus, tout en gardant à l'esprit la recherche désespérée avec Confirmation Bias pleinement engagée et la tentative de faire la une des journaux.
Si vous le faites, vous allez enfin y arriver:
[Le gouverneur du Dakota du Sud, Kristi L.] Le porte-parole de Noem, Ian Fury, a déclaré que Noem n’avait pas l’intention de changer son approche, notant que bien que le taux d’hospitalisation ait augmenté, 34% des lits des hôpitaux et des unités de soins intensifs de l’État restent ouverts.
Et juste pour compléter la vue d'ensemble, vous pouvez trouver l'ennemi de la ruée vers la confirmation du biais de confirmation COVID-19 «hôpital submergé» à l'échelle nationale dans cette pièce de Tom Woods:
Le système hospitalier est-il «débordé» ?
ALERTE SPOILER: Non, ce n'est pas le cas.
Il s'ensuit directement - avec des preuves déjà fournies - que ces soi-disant «verrouillages» - et masques faciaux - dévastateurs et inefficaces - ne sont rien de plus qu'inutiles et dommageables - et dans la plupart des juridictions, techniquement illégales - la signalisation de la vertu mandatée par des personnes mal informées , des menteurs élus désespérés et / ou malhonnêtes et amplifiés par un corps docile de presstituts MSM.
Et, la question habituelle, "Qu'allez-vous faire à ce sujet ?"
RépondreSupprimerICI pour les mises à jour, les ajouts, les commentaires et les corrections.
ET, «J'aime», «Tweet», et sinon, transmettez-le !
https://www.lewrockwell.com/2020/12/l-reichard-white/lets-play-a-disinformation-game/
Les « vaccins » nouvelle génération et le Covid-19 — Interview intégrale du Docteur Christian Vélot
RépondreSupprimerenregistrement audio :
https://fr.sott.net/article/36423-Les-vaccins-nouvelle-generation-et-le-Covid-19-Interview-integrale-du-Docteur-Christian-Velot
Le virus est recombinant (et non mutant comme il est idiotement cité) dès lors qu'il s'approche d'un autre virus.
SupprimerExemple (enfantin:) un virus 'mâle' rencontre un virus 'femelle' et ont un enfant. Mais, cet enfant ne sera pas l'addition d'un mâle et d'une femelle mais un autre virus qui n'a rien à voir avec ses parents ! C'est-à-dire un virus 3 et non un 1+2. Car ne l'oublions pas: un virus n'est PAS vivant puisqu'il n'est qu'une poussière (à ne pas confondre avec la bactérie/microbe qui est VIVANT.
Lettre ouverte à tous les journalistes de France et d'ailleurs : « N'attendez pas de n'avoir plus rien à perdre, ça sera trop tard »
RépondreSupprimerFrédéric Vidal — FranceSoir
Sott.net
sam., 26 déc. 2020 13:13 UTC
Je m'adresse à vous tous journalistes des médias de masse de France et d'ailleurs, mais surtout à celles et ceux d'entre vous qui se sentent très mal à l'aise dans leur métier depuis quelques mois. Je sais que vous êtes nombreux à vous reconnaître ainsi.
Vous êtes aujourd'hui en dissonance, comme le sont de nombreux agents de ce que l'on appelle aujourd'hui les « forces de l'ordre » et qu'on appelait il n'y a pas si longtemps les « gardiens de la paix ». Tout comme eux vous avez doucement glissé ces dernières années vers des valeurs contraires à ce qui vous animait et vit encore en vous. Vous avez lentement dérivé du statut de journaliste à celui de propagandiste, de l'information à la désinformation, par dissimulation, mais aussi par le mensonge brut.
Cette année 2020, la pente s'est accrue et tout s'est précipité. Le plan annoncé par les lanceurs d'alerte depuis des années, ceux-là-même que vous appeliez complotistes, est lancé et vous entraîne à une vitesse vertigineuse, bousculant rudement vos ultimes inhibitions s'il en reste. Vous voilà aujourd'hui acteurs d'un sinistre canular, pris dans une spirale folle parce que ces dernières années vous avez progressivement accepté l'inacceptable au regard de votre déontologie professionnelle piétinée.
Vous ne dites rien sur la réalité de cette fausse pandémie, dont les chiffres officiels (voyez ceux de l'INSEE) montrent qu'il n'y a eu aucune surmortalité en 2020 par rapport aux décennies précédentes. Elle est pourtant le mensonge que vous nourrissez avec grand zèle chaque jour et sur lequel repose la mise en place accélérée de la dictature du nouvel ordre mondial.
Vous ne dites rien de ce qui se passe aux États-Unis depuis l'élection présidentielle, laissant croire que Biden a gagné en tout honneur et que Trump n'est qu'un mauvais perdant. C'est le contraire de la vérité, vous le savez, Biden ne sera sûrement pas président. Et ce qui se passe là-bas alors que j'écris ces mots va impitoyablement déferler sur le monde et faire imploser bien des « démocraties » occidentales. Comment pensez-vous vous en sortir ?
RépondreSupprimerVous ne dites rien de la pédocriminalité sataniste institutionnalisée dans nos pays occidentaux, suggérant au mieux que ce sont des phénomènes isolés alors que c'est la base religieuse de l'organisation et du fonctionnement des psychopathes qui manipulent le monde avec votre complicité.
La liste est interminable de ce que vous ne dites pas d'essentiel parce que vous n'avez jamais pris la peine de vous y pencher ou que vous avez fait le choix de l'occulter sciemment. Au mieux, vous obéissez à l'inique et ce n'est pas davantage excusable.
Derrière le paravent de cette mascarade politico-sanitaire, vous avez choisi de servir la soupe que tendent au bas peuple les 1 % des 1 % les plus riches de ce monde organisé par et pour la corruption. Une guerre mondiale contre tous les peuples est en cours pendant que vous les divertissez en agitant les ombres de la caverne de Platon, dans l'intérêt d'une poignée malveillante et despotique que par lâcheté vous continuez à servir à travers vos médias.
Je suis désolé si les mots sont durs, mais l'heure n'est plus aux litotes.
Pour celles et ceux d'entre vous qui ont abordé ce métier par vocation, votre position est intenable. Vous ne pouvez plus fermer les yeux sous prétexte de factures à payer en fin de mois. Vos enfants, s'ils ne sont pas eux aussi sous hypnose, s'en foutent de vos factures, mais pas de leur avenir.
La situation demande du courage à toutes et tous. Chaque jour, de plus en plus n'ont pas de quoi répondre à leurs besoins essentiels. Ils sont conduits là pour devenir pleinement dépendants de ceux-là même qui ont allumé l'incendie. Ils seront alors précipités à épouser une société dont personne en conscience ne voudrait, en-dehors des psychopathes qui en sont les instigateurs, mais qu'ils risquent en inconscience d'accepter pour retrouver l'illusion d'un bol d'air. Une société mondialiste, liberticide et génocidaire, que vous-mêmes ne voulez pas pour vos enfants et leurs descendants. Qu'allez-vous faire pour eux et pour vous ?
Cette dictature sans précédent par son ampleur, calquée sur le modèle du parti communiste chinois, est en marche forcée, vous l'avez vu, vous le voyez parce que s'il vous reste la curiosité, le flair et la quête de la vérité qui sont l'essence du journalisme, vous en avez l'information, comme tous ceux qui vous ont remplacé au pied-levé, l'ont. Je parle des lanceurs d'alerte et de tous ceux qui les relaient, ceux que l'on nomme les soldats numériques. Car oui ce sont des soldats puisque nous sommes en guerre. Beaucoup de ceux-là sont tombés au fil des années, mis à l'écart, internés, assassinés, « suicidés ». Certains même étaient journalistes, comme Julian Assange pour ne nommer que lui dont l'actualité est encore brûlante. Il est une honte pour vous tous qui l'avez abandonné et parfois renié.
RépondreSupprimerLorsque la maison brûle et qu'on est à l'intérieur, on ne se demande plus s'il est risqué ou non d'essayer d'éteindre les flammes, pas plus qu'on fait la moue sur qui vient nous aider à les maîtriser.
Encore faut-il accepter de voir l'incendie. Je concède qu'à ce jour, bien des aveugles sont aussi devenus sourds, c'est ainsi que leur psyché se protège de regarder en face les illusions qui les ont jusque-là bercés. Je ne m'adresse pas à eux, je sais qu'ils s'effondreront lorsque trop de révélations auront brisé leurs dénis.
Aujourd'hui, avec cette fausse pandémie sans mortalité supérieure à une grippe, l'un des plus grands mensonges de l'humanité, car il y en a d'autres encore plus grands qui seront mis en lumière, orchestre le déroulement d'un plan préparé depuis très longtemps pour la mise en place d'un pouvoir sans partage, qui ne se cache plus et dont les aspects occultes sont plus terribles encore que la plupart ne l'imaginent.
L'arme absolue qui garantira la réussite de cette offensive est l'information.
Vous êtes cette arme, que vous le vouliez ou non. Vous servez directement la cause des agresseurs, c'est ce pour quoi vous êtes aujourd'hui payés. Pensez-vous vous supporter longtemps dans ce rôle ? Il n'y a pourtant rien de mauvais en vous, au contraire, écoutez ce qui crie tout au fond de vous et libérez-vous de ce poids que votre conscience ne pourra jamais digérer.
Les peuples du monde entier ont besoin de vous, ils ont besoin que vous leur donniez la juste information, celle qui leur permettra de ne pas succomber, de se libérer de l'illusion qui les conduira sinon vers un esclavage absolu. Leur conditionnement fait qu'ils n'ont pas la capacité pour la plupart d'aller eux-mêmes chercher cette information à la source, ni même auprès des journalistes citoyens qui présentent la seule alternative, ils sont trop formatés, tétanisés par les techniques de manipulation des masses pratiquées au quotidien, ils sont sous hypnose.
RépondreSupprimerSeule une minorité n'est pas captive de cette camisole mentale. Si cette minorité grandit chaque jour, elle ne suffit pas encore. Les lanceurs d'alerte n'ont pas cessé d'informer, d'apporter les preuves de ce qu'ils avançaient, mais ils ne peuvent atteindre ceux qui restent rivés devant leurs téléviseurs et croient encore en vos mensonges.
Alors que faire dans votre mal-être ? Avoir le courage, comme le fera bientôt j'espère le peuple de France, de renverser les pouvoirs iniques. C'est un devoir, qui même s'il n'a jamais été appliqué reste inscrit dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1793.
Reprenez vos salles de rédaction et vos studios TV, ne vous préoccupez pas de ceux qui les possèdent et vous ont achetés, écartez les corrompus et commencez à diffuser la vérité. Si vous le faites, il y aura des risques bien sûr mais mesurés, et vous ne serez pas seuls, appelez le peuple à venir protéger vos bâtiments des tentatives du pouvoir de les reprendre. Appelez les policiers et les militaires courageux à faire de même. Il y en a autant chez eux à vivre le même malaise que vous.
N'attendez pas de n'avoir plus rien à perdre, ça sera trop tard. Les choses peuvent encore se faire sans violence, mais quand vous n'aurez plus rien, quand les peuples n'auront plus rien, la violence sera très difficile à endiguer. C'est ce qu'il nous faut tous conjurer, tant qu'on le peut encore, en agissant dans le bon timing.
Une partie de la jeunesse n'a plus d'espoir, sa colère grandit, parfois sa révolte. Une autre partie est amorphe. Elle se sent acculée contre un mur devant un gouffre sans avenir. Les artisans et les PME qui sont le tissu social et l'économie réelle de nos pays sont aux abois, les classes les plus pauvres s'appauvrissent encore, la classe moyenne est en voie de destruction. Tout cela va très vite désormais car c'est planifié en ce sens par ceux qui se désignent comme « l'élite » avec votre complicité et parfois vos collusions, vos conflits d'intérêts, votre corruption.
D'ici cinq ans, soit le monde sera en paix et se réorganisera sur les bases de nouveaux systèmes de gouvernance, soit il sera l'enfer mondialiste et ultra-matérialiste que promeuvent les classes dominantes pédosataniques.
RépondreSupprimerCela dépend de tous, mais de vous particulièrement, parce que vous détenez l'arme de l'information qu'ils utilisent pour maintenir les peuples dans la peur et la soumission, par le mensonge et la répression. Si la répression concerne les militaires et les policiers, qui se retrouvent aujourd'hui devant les mêmes choix, le mensonge est votre affaire, vous avez le pouvoir de le faire cesser.
L'Histoire se fera et pour qui sait voir entre les lignes, malgré les sombres apparences du moment, elle s'écrira le moment venu dans le sens d'une grande libération et pas d'un enfermement. Je vous le dis, ceux que vous servez perdront et devront faire face à leurs crimes et leurs responsabilités, du plus petit au plus grand. Vous avez le pouvoir de vous inscrire dans le bon sens de l'Histoire ou dans le mauvais.
L'important n'est pas ce que vous avez fait jusqu'à maintenant, mais ce que vous allez faire à présent. C'est cela qui sera retenu. Respectez-vous, respectez-nous.
Source de l'article publié le 24 décembre 2020 : FranceSoir
https://fr.sott.net/article/36428-Lettre-ouverte-a-tous-les-journalistes-de-France-et-d-ailleurs-N-attendez-pas-de-n-avoir-plus-rien-a-perdre-ca-sera-trop-tard
"La théorie du complot n'existe pas mais sa mise en pratique oui !" Louis Caccomo, brillant professeur d'économie à l'Université de Perpignan, interné en hôpital psychiatrique durant 3 ans. 14 séances d'électrochoc (sous anesthésie générale) pour provoquer une crise d'épilepsie.
SupprimerNouvelles limites de la liberté d’expression : le progrès à reculons
RépondreSupprimerCeux qui souhaitent aujourd’hui limiter la liberté d’expression en interdisant l’offense, se revendiquent eux-mêmes du camp progressiste. Qu’en est-il ?
26 DÉCEMBRE 2020
Par Jérémie Bongiovanni.
Un article du Podcast Liber-thé
La liberté d’expression est une composante indispensable du progrès, car elle permet une constante remise en question du statu quo. Ses pourfendeurs, qui souhaitent aujourd’hui la limiter en interdisant l’offense, se revendiquent eux-mêmes du camp progressiste. Qu’en est-il en réalité ? Comment définir les limites de la liberté d’expression ?
LA LIBERTÉ D’EXPRESSION COMME CONQUÊTE HISTORIQUE
Au cours des deux derniers siècles, la liberté d’expression a permis le progrès dans de nombreux domaines. En politique, les régimes monarchiques et autoritaires ont tout d’abord été critiqués puis évincés. En sciences, l’hégémonie du clergé a été remise en question et rationalisée, permettant des révolutions coperniciennes, l’expression n’est pas galvaudée.
Dans la société, la domination de communautés ethniques a été thématisée et la dignité de chaque être humain a été reconnue. C’est ainsi que l’esclavage fut notamment aboli.
C’est un truisme que de décrire ces progrès comme résultats de la liberté d’expression. Les remises en question qu’elle a permis ont rendu notre monde plus compréhensible et meilleur. C’est bien en raison de cette perspective du progrès, lui-même dépendant de la libre expression, que nous chérissons cette dernière.
LA CENSURE A-T-ELLE ÉTÉ ABOLIE ?
Nous nous voyons bien souvent comme supérieurs aux sociétés antérieures. Nous nous convainquons que notre liberté d’expression est aussi libre qu’elle puisse l’être et que la censure appartient au passé. Nous pensons qu’elle a uniquement été le fait des rois et du clergé et qu’elle a disparu avec eux, pour laisser place à la modernité et au progrès. Nous croyons que la censure est exclusivement liée à des institutions qui centralisent le pouvoir et qui procèdent de manière autoritaire, car la censure y est explicite, organisée et légitimée. Notre observation est pourtant incomplète.
Dans nos sociétés démocratiques la censure ne s’annonce pas comme telle. Elle se déguise sous le poids du nombre et de la conscience collective – comme l’avaient annoncé Alexis de Tocqueville puis John Stuart Mill. Ainsi le nombre, comme jadis nos gouvernements et l’Église, nous empêche de nous exprimer sans contrainte. La mobilisation d’exemples récents nous permet d’illustrer cette censure moderne.
RépondreSupprimerEn 2019, le New York Times décide de ne plus publier de caricatures dans son édition internationale après un dessin jugé antisémite. C’est ainsi que sous la pression d’un emportement du public, la publication de dessins qui incarne la liberté d’expression a été interrompue.
L’été dernier, l’éditeur des romans d’Agatha Christie a annoncé rebaptiser le roman policier Dix petits nègres en Ils étaient dix. Dans ce cas, nous préférons modifier la réalité, l’adapter, plutôt que de l’accepter et de la comprendre. Le mot négritude a en effet été à la base du combat d’Aimé Césaire contre le colonialisme ; bannir ces termes c’est faire table rase du passé.
Cette peur d’offenser régit désormais l’expression publique et conduit à l’intériorisation de la censure, c’est en cela que celle-ci est loin d’être abolie. Nous le voyons dans les deux exemples précédents, la liberté d’expression n’est pas limitée par une institution autoritaire, mais par les masses d’individus qui forment la société. Cette nouvelle censure, qui ne dit pas son nom, menace alors par sa conquête de nos consciences.
LES CONSÉQUENCES DE CES LIMITES À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION
Nos deux exemples démontrent l’existence de limites à la liberté d’expression dans notre société. Les groupes qui imposent ces limites souhaitent ainsi lutter contre l’antisémitisme ou le racisme. Mais cet objectif peut-il être ainsi atteint ?
Cette pratique qui veut effacer les mots et les avis choquants souhaite rendre la société plus vertueuse. Seulement, on ne fait jamais complètement taire une opinion. Si on la comprime, elle s’échappe du côté et siffle de manière stridente. Ainsi, en interdisant à un complotiste d’exprimer ses théories, on ne fait qu’accroître sa passion pour sa vision du monde et le rejet organisé qu’il est persuadé de discerner.
Lorsque nous interdisons une blague sur les Juifs, sur les homosexuels, sur une minorité ethnique ou sur tout autre groupe, nous faisons deux erreurs. Premièrement, notre société qui se veut l’héritière des Lumières devrait contrer ces avis avec la raison. Deuxièmement, nous ne pouvons pas définir l’offense comme limite de la liberté d’expression, nous y reviendrons plus loin.
RépondreSupprimerInterdire les discours contemporains parfois choquants, modifier les titres de livres écrits il y a plusieurs décennies, détruire les statues, c’est vouloir créer une société non pas plus vertueuse mais aseptisée et amnésique.
Dans la dystopie Le meilleur des mondes, le personnage principal découvre soudain la Bible et un livre de Shakespeare, dissimulés par le gouvernement. Ce dernier souhaite ainsi préserver les citoyens des valeurs véhiculées par ces deux ouvrages, car elles sont contraires à celles de la civilisation établie. Le protagoniste se passionne alors pour leur lecture et reproche à sa civilisation de se débarrasser de tout ce qui est désagréable au lieu d’apprendre à s’en accommoder. C’est bien le mal de nos sociétés contemporaines.
À celui qui remet en question le fait que la Terre soit ronde il faut opposer la raison pour expliquer et le convaincre du contraire. Aussi triste que cela puisse être, rien d’autre, même pas la censure, ne le fera changer d’avis. Si celui que l’on tente de convaincre est foncièrement obstiné et refuse de donner du crédit à nos arguments, alors nous ne pouvons rien faire, si ce n’est lui laisser du temps et convaincre les autres. Mais une société qui se définit comme éclairée ne peut se priver d’un processus de discussion contradictoire !
Si elle le fait, alors elle est, elle-même, qui se veut inclusive et diverse, la cause des effets qu’elle souhaite combattre. Elle génère l’exclusion, l’injustice, la haine et la violence. L’exclusion, car elle marginalise des avis qui selon son propre arbitraire ne méritent pas d’être entendus et débattus. L’injustice, car ce muselage de citoyens par leurs semblables ne résulte que de la domination du nombre et pas de la raison. Et enfin la violence comme résultante de l’injustice. Ces limites à la liberté d’expression et leurs conséquences font in fine régresser nos sociétés.
Ceux qui limitent la liberté d’expression se définissent pourtant comme progressistes. Mais il n’en est rien. Nous l’avons vu, le progrès humain a jusqu’ici été permis par l’offense, que ce soit de l’État, de l’Église ou des normes morales. Le progrès dont se revendiquent les censeurs modernes est en réalité celui de l’obscurantisme.
RépondreSupprimerDU DROIT D’OFFENSER
Ce que notre civilisation définit comme vérité n’est finalement qu’un consensus. Pour l’atteindre il faut échanger, discuter, sans arrêt se remettre en question et parfois choquer ou être choqué. Nous ne pouvons pas accepter d’avoir des tabous et de ne pas pouvoir en parler. Accepter qu’on ne peut pas tout dire c’est entrer dans la relativité arbitraire choisie par les ennemis de la démocratie et de la pluralité des idées.
En Chine, il est interdit de critiquer le gouvernement ce qui nous paraît être la caractéristique d’une civilisation primitive. Qu’en est-il de nos propres tabous ? La négation de l’Holocauste est bien interdite sous nos latitudes. Où doit-on définir une juste limite à la liberté d’expression ? Ambitieux projet.
Selon la Cour européenne des droits de l’Homme la liberté d’expression « vaut non seulement pour les informations ou idées accueillies avec faveur ou considérées comme inoffensives ou indifférentes, mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent l’État ou une fraction quelconque de la population. Ainsi le veulent le pluralisme, la tolérance et l’esprit d’ouverture sans lesquels il n’est pas de société démocratique. »
Cette compréhension de la liberté d’expression que nos sociétés ont jadis choisie, disparaît progressivement sous les griffes d’une législation qui tente de juguler cette liberté et qui interdit le blasphème – comme c’est le cas en Suisse – ou des avis selon elle choquants, souvent dits « de haine ».
QUELLES LIMITES À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION ?
Peut-on tout dire de tout ? Question difficile. Chaque personne doit avoir un honneur et un nom protégés. Au-delà, les limites ne peuvent qu’être propres à chacun. Elles doivent cependant aller de pair avec la civilité et l’empathie.
Tout ceci s’acquiert avec l’éducation en amont, qui requiert l’implication de chaque individu, plutôt que la condamnation en aval, qui se contente d’imposer des lois et de se réfugier derrière le pouvoir de répression de l’État, son aveu de faiblesse.
https://www.contrepoints.org/2020/12/26/387284-nouvelles-limites-de-la-liberte-dexpression-le-progres-a-reculons
La liberté de parler (dire quoi que ce soit peut être interprété comme étant une offense !) est la manière la plus pacifiste de se défendre et ne peut être enlever qu'en dictature.
SupprimerLa SNCF « sort du glyphosate » pour le pire
RépondreSupprimerPour le désherbage des voies ferrées et des abords, le glyphosate sera remplacé par de l’acide pélargonique et du flazasulfuron. Une stratégie perdante à tous points de vue.
26 DÉCEMBRE 2020
Par André Heitz.
On peut la faire laïque : « Tadam ! ». Ou de saison : « Jouez hautbois, résonnez musettes ! »
La SNCF a trouvé la « solution » pour se passer de glyphosate pour le désherbage des voies et de leurs abords, lequel désherbage répond à d’importants impératifs d’intérêt général : assurer la sécurité des personnels et des voyageurs, préserver les infrastructures ainsi qu’éviter les départs d’incendies.
AU DÉBUT, UN DIKTAT MACRONIEN
La « solution » pour répondre à une ambition délirante du Président Emmanuel Macron proclamée le 27 novembre 2017 par dépit ou calcul politicien.
Par dépit car, contre toute attente, les États membres de l’Union européenne avaient trouvé une majorité introuvable pour renouveler l’autorisation du glyphosate pour cinq ans (en cas d’échec, il serait revenu à la Commission européenne de prendre cette décision) ; par calcul pour, notamment, donner des gages à son ombrageux ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, Nicolas Hulot.
Notez bien : cela ne l’a pas empêché de faire le fier…
LA SNCF N’ÉTAIT PAS OBLIGÉE !
Si nous avons bien compris le travail d’évaluation de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES), la SNCF pouvait bénéficier de la position de repli jupitérienne – qui prenait acte des situations d’impasse.
L’ANSES écrivait en effet, le 9 octobre 2020, dans « Glyphosate : l’Anses publie les résultats de son évaluation comparative avec les alternatives non chimiques disponibles » :
« Usages non agricoles
Les différents usages du glyphosate en zones non agricoles (sites industriels, militaires, voies ferrées, autoroutes, aéroports, réseau électrique, conservation des monuments historiques…) ne peuvent être totalement substitués par des alternatives non chimiques sans avoir des conséquences importantes, notamment pour la sécurité des opérateurs et des utilisateurs de ces services. La réduction de l’usage du glyphosate dans ces différentes situations ne peut donc relever d’une restriction fixée dans les autorisations de mise sur le marché, mais doit s’envisager dans le cadre d’une évolution des pratiques de désherbage. »
LE GLYPHOSATE REMPLACÉ PAR… DEUX MATIÈRES ACTIVES
Quelle mouche a donc piqué les dirigeants de la SNCF ?
L’information nous a été livrée en premier lieu, semble-t-il, par Le Parisien dans « La SNCF sur la voie pour bannir le glyphosate ». Il écrit benoîtement en chapô :
« SNCF Réseau qui s’est engagé à ne plus utiliser le glyphosate en 2021 doit désherber près de 30 000 km sur ses lignes. Un nouveau produit va être utilisé même si sa toxicité n’est pas nulle. »
En fait, il s’agit de deux produits : l’acide pélargonique et une sulfonylurée, le flazasulfuron dont une formulation s’appelle fort opportunément Railtrax.
PARLONS ARGENT…
RépondreSupprimerLe Parisien écrit :
On estime notre surcoût de maintenance lié à la sortie du glyphosate et à la loi Egalim à environ 110 millions par an, ajoute Jean-Pierre Pujols [responsable de la maîtrise de la végétation chez SNCF Réseau]. Bien moins que les 300 à 500 millions d’euros un temps avancés en l’absence de ce nouveau produit.
Le demi-milliard d’euros, c’était l’estimation de la Fondation Concorde dans un rapport de juillet 2017 qui avait fait quelque bruit.
Notre petit doigt nous dit que l’estimation de la SNCF est bien optimiste, tout comme est curieuse l’estimation de 150 millions actuellement dépensés pour la maîtrise de la végétation (pour la Fondation Concorde, c’était 30 millions)… Enfumage ?
LE CONTRIBUABLE PAIERA, PAS LA SNCF !
Mais ce n’est pas un problème pour la SNCF, au moins temporairement (on sait toutefois que le temporaire a la vie dure…).
Pour les investissements en matériel nouveau et les frais courants elle pourra ponctionner dans les 4,7 milliards d’euros du plan de relance du gouvernement et/ou les 1,5 milliard d’euros débloqués ou à débloquer « pour sécuriser et rendre plus durables les activités du groupe SNCF », ce qui comprend la sortie du glyphosate, mais aussi l’entretien de ponts.
Nous devons concéder qu’avec toutes ces annonces, nous ne savons plus très bien où nous en sommes. Mais une chose est sûre : le contribuable paiera pour un caprice présidentiel et ce qui semble être une manifestation de cynisme entrepreneurial et d’à plat-ventrisme devant le gouvernement et l’opinion dite publique.
L’ACIDE PÉLARGONIQUE… PRODUIT DIT DE BIOCONTRÔLE LOIN D’ÊTRE ANODIN
Les 35 à 38 tonnes de glyphosate utilisées annuellement pour désherber 30 000 km de voies d’abords et 95 000 hectares seront donc remplacés par un produit que l’on qualifie de biocontrôle.
C’est que l’acide pélargonique (ou nonanoïque) se trouve naturellement sous forme d’esters dans l’huile de Pelargonium. Mais sa production se fait principalement par des procédés chimiques à partir d’acide oléique – la nature et le génie humain résistent au binarisme cher aux idéologues antipesticides (de synthèse)…
Sur le plan toxicologique et écotoxicologique, l’acide pélargonique est loin d’être anodin.
Le Parisien a d’ailleurs largement repris dans ses colonnes un avertissement – « Les nouveaux désherbants « Bio » un miroir aux alouettes » – lancé en juin 2015 par… le groupe EELV des Deux-Sèvres. En bref – et comme le montrent aussi les fiches du site e-phy de l’ANSES – il est bien pire.
Mais il est prétendument « bio » et « naturel » ; il n’a pas été marqué du sceau de l’infamie, « cancérogène probable » par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) par une décision qui relève de l’escroquerie et qui a été invalidée par le monde de l’évaluation et de la réglementation ; il n’a pas été frappé d’une interdiction de séjour par le président de la République ; et comme il n’a pas été voué aux gémonies par la vox publica militante, les recherches sur ses véritables effets sur la santé – autres que les irritations et corrosions cutanées et les atteintes oculaires graves – sont très lacunaires.
À ce profil – qui serait sans doute qualifié au minimum d’inquiétant si le produit sortait d’une compagnie dont le nom commençait par un M et maintenant par un B – s’ajoutent :
RépondreSupprimerune efficacité faible (il assèche les feuilles par corrosion de la cuticule, sans atteindre les racines) ;
un effet de durée limitée (les racines n’ayant pas été détruites, certaines plantes repoussent illico), et par conséquent la nécessité de passages multiples ;
un prix élevé et la nécessité de très fortes doses à l’hectare (pour une comparaison appliquée aux produits pour le grand public, voir ici)…
et l’effet corrosif d’un acide ! Or, dans les zones à traiter, il y a des rails, des éclisses, des boulons, des câbles…
Sans entrer dans des calculs sophistiqués, un produit bien connu à base d’acide pélargonique à 680 g/litre est autorisé pour deux applications maximum à la dose maximum d’emploi de 16 litres/ha en cultures fruitières. Pour certains usages résiduels du glyphosate, il y a lieu de ne pas dépasser une dose annuelle de 2160 g/ha.
LE FLAZASULFURON… UN PESTICIDE DE SYNTHÈSE
On complétera donc avec du flazasulfuron qui pose aussi une série de problèmes.
Premièrement, il est autorisé pour le désherbage des voies ferrées à la dose de 0,2 kg/ha (50 grammes de matière active/hectare), mais uniquement pour une application par an en pré-émergence à début de post-émergence et au plus tard lorsque les feuilles mesurent 10 cm de hauteur. La fenêtre d’application est donc limitée.
Deuxièmement, les sulfonylurées sont connues pour être sujettes à l’apparition de résistances. Les agriculteurs peuvent y remédier en alternant les matières actives… la SNCF sera en principe coincée.
Troisièmement, la molécule est classée « très toxique pour les organismes aquatiques ».
Quatrièmement, une source comme Pestweb Canada le donne comme cancérogène de catégorie 1A, mais elle semble isolée. La dose journalière admissible du flazasulfuron est de 0,013 mg/kg poids corporel/jour – contre 0,5 mg/kg %./jour pour le glyphosate. Il ne s’agit nullement de peindre ici le diable sur la muraille – il ne faut pas confondre le danger et le risque et tenir compte notamment de l’exposition. Mais si l’on s’en tient aux gesticulations des antipesticides, c’est tomber de Charybde (fille de Gaïa…) en Scylla.
RÊVES ET DÉLIRES
RépondreSupprimerC’est vraiment par hasard que nous avons trouvé que la SNCF élaborait une charte de bonnes pratiques – ou d’engagements en application de l’article 83 de la loi Égalim (les fameuses « zones non traitées »)… et consultait le public d’une manière qui semble bien confidentielle.
Elle vient notamment d’écrire :
« Les alternatives au glyphosate et aux produits phytosanitaires conventionnels
SNCF a engagé un programme de recherche d’alternatives à l’usage des produits phytosanitaires de synthèse qui a permis d’aboutir à une sélection de projets faisant l’objet d’études de faisabilité ou de tests opérationnels (selon le niveau d’avancement des recherches).
De telles solutions ne présentent pas, toutefois, le niveau de maturité attendu et nécessitent plusieurs années pour conduire les phases de confirmation de leur efficacité, de prototypage, de test, d’homologation et d’industrialisation. »
Moyennant quoi SNCF Réseau ambitionne de ne plus utiliser de glyphosate dès fin 2021 – c’est même un engagement –, de pérenniser les solutions sans glyphosate à partir de 2022 et « de se rapprocher du Zéro Phyto conventionnel (incluant possiblement une solution phytosanitaire à 100 % en biocontrôle) ». Rêves et délires…
Et ailleurs il est dit :
« À partir de 2022, le désherbage des voies et pistes emploiera une proportion d’au moins 95 % de produits de biocontrôle, ces derniers étant sans rémanence dans l’environnement. »
Compte tenu des volumes d’acide pélargonique nécessaires, le compte de 95 % est probablement bon. Mais « sans rémanence… » ne signifie pas sans effets…
LA SNCF SE PAYE UNE BONNE CONDUITE ?
En définitive, on peut s’interroger sur les finalités réelles des démarches.
Certainement faire plaisir à un gouvernement, l’actionnaire majoritaire qui tient les cordons de la bourse, et répondre à ses lubies sans égards pour les réalités techniques et économiques ; sans doute aussi faire (et se faire) plaisir en surfant sur la vague du rejet des pesticides… « de synthèse » ou « conventionnels ».
À quel prix en termes de sécurité des personnes et des biens ? On peut ne pas être optimiste.
Renoncer au glyphosate et gesticuler sur les pesticides « de synthèse ou « conventionnels » vaut bien quelques sacrifices… Il n’y a pas que chez les particuliers et les collectivités locales que pour désherber il faut être fou pour dépenser moins… à la SNCF aussi.
https://www.contrepoints.org/2020/12/26/387250-la-sncf-sort-du-glyphosate-pour-le-pire
(...) LE CONTRIBUABLE PAIERA, PAS LA SNCF ! (...)
SupprimerOn ne rembourse pas à une planche-à-billets (ou clavier d'ordinateur) !
Rembourser une planche-à-billets ! HAHAHAHA Et pourquoi pas avec des haricots ? HAHAHA !
Votre nouveau téléviseur HD TCL (fabriqué en Chine) représente-t-il un risque pour la sécurité ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 25 DÉC 2020-21: 20
Rédigé par Stephen Silver via 19fortyfive.com,
Cette année, les implications pour la sécurité de la technologie originaire de Chine ou détenue par des entreprises chinoises ont suscité une vive inquiétude. C'était, après tout, au cœur de la lutte de l'administration Trump pour interdire la populaire application de réseau social TikTok, ou du moins pour en forcer la vente. Le gouvernement américain a également sévi contre les fabricants Huawei et ZTE, et le plan de sauvetage omnibus / coronavirus récemment adopté par le Congrès comprenait même 1,9 milliard de dollars pour aider les entreprises à retirer l'équipement de ces deux entreprises.
Récemment, deux chercheurs en sécurité ont sonné l'alarme concernant une autre société de technologie chinoise, le fabricant de téléviseurs TCL, qui fabrique certaines des télévisions les plus populaires disponibles aux États-Unis.
Le site Web du chercheur et hacker connu sous le nom de Sick Codes, dans un article de blog en novembre, a mis en évidence des «vulnérabilités extraordinaires» dans les téléviseurs Android de TCL.
«Vers la fin du mois de septembre, en menant des recherches sur les boîtiers Android bas de gamme, je suis tombé sur un certain nombre de failles graves dans la façon dont ces appareils étaient conçus», indique le message.
«Sans entrer dans les nuances de chaque appareil, tous les produits Smart TV sont basés sur Android.»
Le chercheur a découvert qu'ils pouvaient facilement accéder à l'ensemble du système de fichiers des appareils.
"Pourquoi un appareil Android aurait-il besoin d'un serveur Web fonctionnant sur un port non standard ?" Il a demandé.
"Quel type de fabricant publie l'intégralité du système de fichiers d'un périphérique ?"
Sick Codes a ensuite été rejoint dans son travail par un autre chercheur nommé John Jackson, et en octobre, les deux ont tous deux notifié TCL qui, après un retard de réponse, a déclaré qu'ils corrigeraient le problème.
Dans une interview avec Tom’s Guide, Sick Codes a envoyé une URL offrant «un accès complet au système de fichiers d’un téléviseur intelligent TCL en Zambie», et l’écrivain a pu parcourir les répertoires de la télévision de cette personne.
Et dans une autre interview avec Security Ledger, Sick Codes a déclaré que "n'importe qui sur un réseau adjacent peut parcourir le système de fichiers du téléviseur et télécharger le fichier de son choix."
TCL a publié une déclaration aux médias, comme l’a rapporté Tom’s Guide:
«TCL a récemment été informé par un chercheur indépendant en sécurité de deux vulnérabilités dans les modèles Android TV», indique le communiqué.
«Une fois que TCL a reçu la notification, la société a rapidement pris des mesures pour enquêter, tester en profondeur, développer des correctifs et mettre en œuvre un plan pour envoyer des mises à jour pour résoudre le problème. La mise à jour des appareils et des applications pour améliorer la sécurité est un phénomène courant dans le secteur de la technologie, et ces mises à jour devraient être distribuées à tous les modèles Android TV concernés dans les prochains jours. "
«À l'avenir, nous mettons en place des processus pour mieux réagir aux découvertes de tiers [et] dispensons une formation supplémentaire à nos agents du service client sur les procédures d'escalade sur ces problèmes ainsi que la mise en place d'un système de reporting direct en ligne», a ajouté TCL. dans une déclaration à PC Mag.
RépondreSupprimerIl convient de souligner, comme l’a déclaré Sick Codes dans les commentaires de l’article original, que le problème qu’ils ont identifié ne s’applique qu’aux téléviseurs Android de TCL, et non à ses téléviseurs Roku, qui représentent la majorité de ce que TCL vend en Amérique du Nord. En fait, TCL n'a introduit les téléviseurs Android sur le marché nord-américain que pour la première fois en juillet.
Mardi, le Département de la sécurité intérieure a publié un nouveau rapport intitulé «Information sur la sécurité des données: risques et considérations pour les entreprises utilisant des services de données et des équipements d’entreprises liées à la République populaire de Chine».
TCL n'est pas mentionné dans le rapport, ni les télévisions.
«Les actions de collecte de données de la RPC entraînent de nombreux risques pour les entreprises et les clients américains, notamment: le vol de secrets commerciaux, de propriété intellectuelle et d’autres informations commerciales confidentielles; violations des lois américaines sur le contrôle des exportations; violations des lois américaines sur la confidentialité; violations des dispositions contractuelles et des conditions de service; les risques de sécurité et de confidentialité pour les clients et les employés; risque de surveillance de la RPC et suivi des critiques du régime; et atteinte à la réputation des entreprises américaines », indique le rapport
https://www.zerohedge.com/technology/your-new-tcl-hdtv-made-china-security-risk
"Percée" - IBM et Fujifilm développent une nouvelle bande magnétique d'une capacité de 580 To
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 25 DÉC 2020-19: 20
Le monde produit actuellement 2,5 quintillions d'octets de données par jour en raison de l'Internet des objets, de l'émergence de vidéos 4K / 8K et de la prolifération de l'intelligence artificielle et de l'automatisation. D'ici 2025, les données mondiales pourraient atteindre 175 zettaoctets, soit une croissance annuelle de 61 %.
Grâce à la pandémie de virus, la numérisation rapide de l'économie, qui a déclenché une poussée massive du travail à distance entre les entreprises, a également entraîné une augmentation massive du stockage de données.
Alors, où sont stockées toutes ces données ?
Plus de 500 centres de données hyperscale sont disséminés à travers le monde, stockant environ 547 exaoctets avec environ 151 installations actuellement en développement.
Selon IBM, il n'y a qu'une seule technologie capable de gérer la croissance massive des données numériques, de les protéger contre les attaques de cybercriminalité et d'archiver les données pour certains des plus grands centres de données hyperscale du monde est une technologie vieille de plus de 60 ans - Bande magnetique."
Structure des couches de la bande magnétique
Il y a plus de dix ans, IBM s'est associé à Fujifilm pour faire progresser la technologie des bandes magnétiques. Ils ont développé une nouvelle bande qui peut stocker d'énormes quantités de données critiques.
La nouvelle bande peut atteindre une capacité de stockage de 317 gigaoctets par pouce carré, ce qui signifie qu'une seule bande est capable de stocker 580 téraoctets de données.
En mettant 580 téraoctets en perspective pour les lecteurs, cela équivaut à 786 977 CD empilés à 944 mètres de haut, ce qui est plus haut que Burj Kalifa, le plus haut bâtiment du monde. C'est une quantité colossale de données ! », a déclaré IBM.
La «percée», visant à faire progresser une technologie vieille de plusieurs décennies, est survenue lorsque les chercheurs des deux sociétés ont développé un tout nouveau ruban avec du ferrite de strontium au lieu d'utiliser du ferrite de baryum, qui a été utilisé pour créer le ruban pendant des années. Le ferrite de strontium offre la possibilité d'un stockage à densité plus élevée dans la même quantité de ruban.
L'évolution de la bande magnétique
IBM conclut que cette nouvelle étape permettra aux lecteurs de bande de gérer la croissance massive des données numériques qui est juste à temps pour la quatrième révolution industrielle.
https://www.zerohedge.com/technology/breakthrough-ibm-and-fujifilm-develop-new-magnetic-tape-580tb-capacity
La Floride émet un avertissement "Falling Iguana" alors que le temps plonge
RépondreSupprimerPhoto de Tyler Durden
PAR TYLER DURDEN
VENDREDI 25 DÉC 2020-10: 30
La Floride se prépare à un temps inhabituellement froid le jour de Noël, ce qui a incité le National Weather Service (NWS) Miami à émettre un avertissement de "chute d'iguane".
NWS Miami s'attend à ce que les températures descendent dans la fourchette de 30 ° F à 40 ° F (-1,1°C à +4,4°C) le jour de Noël et tout au long du week-end, créant des conditions dangereuses pour les iguanes.
- voir carte sur site -
"Brrr ! Des températures beaucoup plus froides sont attendues pour Noël. Les basses températures dans les 30/40 et la chute des iguanes sont possibles. Tenez-vous au courant des changements prévus et restez au chaud ! #Flwx", a tweeté le NWS Miami.
- voir carte sur site -
À environ 50°F, (+10°C) les iguanes peuvent devenir léthargiques. Lorsque la température descend en dessous de 40°F (+4,4°C), leur sang ne se déplace pas aussi rapidement. En conséquence, les iguanes peuvent être temporairement paralysés et tomber des arbres, frappant potentiellement un passant.
"Le seuil de température pour lequel les iguanes commencent à entrer dans un état de dormance dépend grandement de la taille de l'iguane", a récemment déclaré à CNN Ron Magill, directeur des communications du Zoo Miami. "D'une manière générale, plus l'iguane est gros, plus il peut tolérer le froid pendant de longues périodes."
Selon le NWS, à Jacksonville, les températures ont chuté d'environ 80 ° F (+26,6°C) jeudi à environ 30 ° F (-1,1°C) vendredi, ce qui en fait l'un des cinq jours de Noël les plus froids jamais enregistrés.
Les écarts de température pour l'État pourraient être de 10 à 15 degrés au-dessous de la normale, la ligne 32F plongeant jusqu'au nord de la Floride tout au long du week-end.
- voir carte sur site -
Les degrés-jours de chauffage du sud-est seront supérieurs à la moyenne, ce qui indique que de nombreux Floridiens devront peut-être augmenter leurs thermomètres au cours des deux prochains jours.
- voir graphique sur site -
Outre la chute des iguanes, gardez un œil sur la mesure dans laquelle la ligne 32F plonge dans l'État, car elle pourrait provoquer des gels qui frapperaient les plantations d'agrumes, un développement de cultures stupéfiant qui entraînerait une baisse de la production et une hausse des prix.
- voir graphique sur site -
https://www.zerohedge.com/markets/florida-issues-falling-iguana-warning-temps-plunge
Ce n'est pas le soleil ou son absence qui influence le climat mais le magma. Il y a des éruptions magmatiques sous océaniques qui réchauffent 24/24 h et 365 j/an les courants. L'été s'additionnent donc les températures magmatiques aux températures solaires. Mais, le magma a ses caprices ! Ses sources brûlantes sont constament déplacées et donc, certaines nouvelles s'ouvrent tandis que d'autres se ferment. Ce qui fait que les courants océaniques (ou maritimes) emportent de l'eau chaude ou de l'eau froide en ses lames de fond qui remontent à la surface en butée des côtes.
SupprimerLe soleil artificiel coréen établit le nouveau record du monde d'une opération de 20 secondes à 100 millions de degrés
RépondreSupprimer24 DÉCEMBRE 2020
par National Research Council of Science & Technology
Le Korea Superconducting Tokamak Advanced Research (KSTAR), un dispositif de fusion supraconducteur également connu sous le nom de soleil artificiel coréen, a établi le nouveau record du monde en réussissant à maintenir le plasma à haute température pendant 20 secondes avec une température ionique supérieure à 100 millions de degrés (Celsius).
Le 24 novembre (mardi), le centre de recherche KSTAR de l'Institut coréen de l'énergie de fusion (KFE) a annoncé que, dans le cadre d'une recherche conjointe avec l'Université nationale de Séoul (SNU) et l'Université Columbia des États-Unis, il avait réussi à faire fonctionner le plasma en continu. pendant 20 secondes avec une température ionique supérieure à 100 millions de degrés, qui est l'une des conditions essentielles de la fusion nucléaire dans la campagne plasma KSTAR 2020.
C'est une réussite de prolonger de plus de 2 fois le temps de fonctionnement du plasma de 8 secondes pendant la campagne plasma KSTAR 2019. Dans son expérience de 2018, le KSTAR a atteint pour la première fois la température des ions plasma de 100 millions de degrés (temps de rétention: environ 1,5 seconde).
Pour recréer les réactions de fusion qui se produisent dans le soleil sur Terre, les isotopes d'hydrogène doivent être placés à l'intérieur d'un dispositif de fusion comme KSTAR pour créer un état de plasma où les ions et les électrons sont séparés, et les ions doivent être chauffés et maintenus à des températures élevées.
Jusqu'à présent, il y a eu d'autres dispositifs de fusion qui ont brièvement géré le plasma à des températures de 100 millions de degrés ou plus. Aucun d'entre eux n'a franchi la barrière du maintien de l'opération pendant 10 secondes ou plus. C'est la limite opérationnelle du dispositif à conduction normale et il était difficile de maintenir un état de plasma stable dans le dispositif de fusion à des températures aussi élevées pendant une longue période.
Dans son expérience de 2020, le KSTAR a amélioré les performances du mode de barrière de transport interne (ITB), l'un des modes de fonctionnement plasma de nouvelle génération développé l'année dernière et a réussi à maintenir l'état du plasma pendant une longue période, dépassant les limites existantes de le fonctionnement plasma à ultra haute température.
Le directeur Si-Woo Yoon du centre de recherche KSTAR du KFE a expliqué: «Les technologies nécessaires pour de longues opérations de 100 millions de plasma sont la clé de la réalisation de l'énergie de fusion, et le succès du KSTAR à maintenir le plasma à haute température pendant 20 secondes seront un tournant important dans la course à la sécurisation des technologies pour la longue opération plasma haute performance, un composant critique d'un réacteur de fusion nucléaire commercial à l'avenir. "
"Le succès de l'expérience KSTAR dans le fonctionnement long et à haute température en surmontant certains inconvénients des modes ITB nous rapproche du développement de technologies pour la réalisation de l'énergie de fusion nucléaire", a ajouté Yong-Su Na, professeur à la Département de génie nucléaire, SNU, qui a mené conjointement la recherche sur l'opération plasma KSTAR.
RépondreSupprimerLe Dr Young-Seok Park de l'Université de Columbia, qui a contribué à la création du plasma à haute température, a déclaré: «Nous sommes honorés d'être impliqués dans une réalisation aussi importante réalisée dans KSTAR. La température ionique de 100 millions de degrés obtenue en permettant un plasma central efficace le chauffage pendant une si longue durée a démontré la capacité unique du dispositif supraconducteur KSTAR, et sera reconnu comme une base incontournable pour des plasmas de fusion à haute performance en régime permanent. "
Le KSTAR a commencé à faire fonctionner l'appareil en août dernier et prévoit de poursuivre son expérience de génération de plasma jusqu'au 10 décembre, en menant un total de 110 expériences sur le plasma comprenant un fonctionnement au plasma haute performance et des expériences d'atténuation de la perturbation du plasma, qui sont des expériences de recherche conjointes avec la recherche nationale et étrangère. organisations.
Outre le succès du fonctionnement au plasma à haute température, le centre de recherche KSTAR mène des expériences sur une variété de sujets, y compris les recherches ITER, conçues pour résoudre des problèmes complexes dans la recherche sur la fusion pendant le reste de la période de l'expérience.
Le KSTAR partagera ses principaux résultats d'expérimentation en 2020, y compris ce succès avec des chercheurs sur la fusion du monde entier lors de la conférence de l'AIEA sur l'énergie de fusion qui se tiendra en mai.
L'objectif final du KSTAR est de réussir un fonctionnement continu de 300 secondes avec une température ionique supérieure à 100 millions de degrés d'ici 2025.
Le président du KFE, Suk Jae Yoo, a déclaré: << Je suis très heureux d'annoncer le nouveau lancement du KFE en tant qu'organisme de recherche indépendant de Corée. Le KFE poursuivra sa tradition d'entreprendre des recherches ambitieuses pour atteindre l'objectif de l'humanité: la réalisation de l'énergie de fusion nucléaire », a-t-il poursuivi.
Le 20 novembre 2020, le KFE, anciennement le National Fusion Research Institute, une organisation affiliée au Korea Basic Science Institute, a été relancé en tant qu'organisme de recherche indépendant.
https://phys.org/news/2020-12-korean-artificial-sun-world-sec-long.html
Les «rentiers» de l’énergie solaire: Bercy fait marche arrière sur les énergies renouvelables
RépondreSupprimer14:11 26.12.2020
Le gouvernement va renégocier près de mille contrats passés avec la filière photovoltaïque. L’enrichissement des industriels du secteur rend abusives les garanties offertes par l’État il y a dix ans. Pour Rémy Prud’homme, interrogé par Sputnik, l’exécutif serait revenu de la «mythologie» des énergies renouvelables.
Bien qu’attendue, la nouvelle a secoué le secteur ! Depuis plusieurs semaines, Bercy martelait sa volonté de renégocier les contrats passés il y a dix ans par l’État avec les professionnels de l’énergie solaire. C’est chose faite. La décision a été adoptée à l’Assemblée nationale dans le budget 2021. De leur côté, les deux syndicats des énergies renouvelables (SER et Enerplan) déplorent dans un communiqué commun une «remise en cause des engagements de l’État» et un «passage en force» du gouvernement sans «réelle concertation».
Le bras de fer entre la filière solaire et le pouvoir remonte à un amendement inséré dans le projet de budget au mois de novembre. Le texte visait à revoir les dispositifs de soutien engagés depuis 2011. Les autorités veulent abaisser le prix d’achat de l’électricité solaire fixé il y a dix ans. Une tarification prévue initialement jusqu’à l’horizon 2030. Au total, 800 contrats sur 235.000 sont concernés.
«L’inscription de cet amendement dans la loi crée une situation d’insécurité et d’incertitude très forte pour les professionnels impactés», déclarent les deux syndicats dans leur communiqué. Selon eux: «Tout le raisonnement des pouvoirs publics s’appuie sur une notion de "rentabilité excessive" qui n’a jamais été ni démontrée ni même quantifiée.»
Dès les premières discussions à l’Assemblée, Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, avait annoncé que «les plus gros contrats» avec une «rentabilité excessive» étaient dans le collimateur. Au total, l’État espère récupérer 300 millions d’euros par an jusqu’en 2021.
L’État arnaqué par les rentiers du solaire ?
Déjà amorcé en 2010 par la décision d’un moratoire sur le photovoltaïque, ce projet de renégociation de la facture électrique est motivé en grande partie par le rapport à charge de la Cour des comptes de 2018. Dans leurs travaux sur la politique en faveur des énergies renouvelables, les sages de la rue Cambon pointaient du doigt les aides et garanties offertes au solaire: «Les garanties accordées avant 2011 représenteront 2 milliards d’euros par an jusqu’en 2030 (soit 38,4 milliards d’euros en cumulé) pour un volume de production équivalant à 0,7 % du mix électrique.» En d’autres termes, un gouffre financier pour moins de 1 % de la production électrique française –la part totale du solaire étant aujourd’hui de l’ordre de 2,2 %.
«Ils auront mis dix ans pour s’en rendre compte», ironise au micro de Sputnik Rémy Prud’homme, professeur émérite des universités. Selon l’auteur du Mythe des énergies renouvelables: quand on aime on ne compte pas (éd. L’Artilleur), pour faciliter l’émergence de technologies vertes, notamment le photovoltaïque, l’État avait fait adopter «un dispositif extrêmement favorable». Ce qui explique la décision de revenir sur ces engagements.
RépondreSupprimer«Le gouvernement a fait la promesse d’acheter toute l’électricité solaire produite par les contractants, y compris si EDF n’en avait pas besoin. Et le tout à un prix très au-dessus du marché, fixé à l’avance pour une durée de vingt ans», s’amuse Rémy Prud’homme. L’ancien directeur adjoint de l’environnement à l’OCDE ajoute: «Pour un industriel, c’est le pied ! Certains se sont enrichis et des rentes extraordinaires ont vu le jour.»
En 2013, dans un précédent rapport, la Cour des comptes relevait déjà le coût et l’inefficacité de la transition énergétique amorcée en France à la fin des années 2000. À travers la loi de transition énergétique pour la croissance verte portée par Ségolène Royal en 2015, la France s’engageait vers un objectif de 32 % d'énergies renouvelables dans la production d'électricité pour 2030. La loi prévoyait également de faire passer la part du nucléaire dans l’électricité de 75 % à 50 % en dix ans ! Seul moyen envisagé de compenser cette baisse, un recours redoublé aux énergies renouvelables. Face au péril climatique et atomique, nécessité fait-elle loi ?
L’hydrogène pour un futur toujours lointain
Pour Rémy Prud’homme, l’erreur des politiques énergétiques menées jusqu’ici en France en faveur des énergies renouvelables a été de «considérer à égalité les kilowattheures». Un kilowattheure de solaire ou d’éolien n’aurait «pas la même qualité» qu’un kilowattheure hydraulique ou nucléaire. «Le plus important dans le choix énergétique, c’est la disponibilité. Or, dans le solaire et l’éolien, elle n’est jamais garantie, à cause de l’intermittence de ces énergies», précise-t-il. De même que l’éolien nécessite du vent pour tourner, le solaire a besoin qu’il fasse jour.
«En plus du peu d’heures où l’ensoleillement est maximal, il faut mentionner une autre limite à l’énergie solaire, à savoir qu’elle est disponible aux heures où elle est le moins sollicitée. Vous ne disposerez jamais d’électricité solaire pour vous éclairer à 20 heures en hiver, pour vous chauffer, regarder la télé ou faire cuire votre repas. La bonne évaluation d’un kilowattheure doit intégrer ce paramètre», argumente-t-il.
Associée à des moyens de stockage qui la rendraient pilotable et disponible aux heures sans soleil, l’énergie solaire (comme l’éolien) pourrait s’avérer bien plus performante à l’avenir. C’est dans cette perspective que le gouvernement a voté dans son récent plan de relance un investissement de plus de 7 milliards d’euros pour mettre sur pied une filière de l’hydrogène en France. Pour Rémy Prud’homme, plus pessimiste, cette technique de stockage de l’énergie au moyen de la pile à combustible à hydrogène, «reste encore à trouver». Selon lui, «cela fait plus de deux cents ans, depuis Volta [le physicien italien qui a créé la première pile à la fin du XVIIIe siècle, ndlr] qu’on s’y emploie» et «l’hydrogène ne stockera pas grand-chose d’ici à vingt ans au moins». Des propos qui rejoignent ceux de Nicolas Meilhan dans l’émission Russeurope Express au cours de laquelle l’ingénieur a rappelé la formule anglaise à succès : «Hydrogen: It's the fuel of the future and it always will be.» («L'hydrogène: c'est le carburant de l'avenir et il le restera.»)
«Les écolos ne défendent pas l’environnement»
RépondreSupprimerL’énergie solaire souffre également d’une double limite, stratégique et écologique. La filière française a échoué à faire émerger un vrai leader français sur ce marché. La quasi-totalité des panneaux photovoltaïques sont fabriqués en Chine. Une chaîne de production dont l’impact carbone, en fin de circuit, est loin d’être neutre. C’est ce que rappelle l’enquête de Guillaume Pitron (La Guerre des métaux rares, éd. Les Liens qui libèrent) consacrée à l’extraction polluante des métaux qui assurent le fonctionnement des énergies alternatives. Un essai mis en images dans un documentaire d’Arte (La Face cachée des énergies vertes).
Pour Rémy Prud’homme, cette «mythologie des énergies renouvelables» propagée au plus haut niveau de l’État il y a dix ans s’explique par «une emprise idéologique des écologistes» qui ont favorisé le développement des énergies renouvelables, en faisant passer des lois en catimini, «au détriment de la protection de l’environnement», terme qui a «d’ailleurs disparu de l’intitulé du ministère».
«D’ailleurs, en cas de conflit entre le renouvelable et l’environnement, les écologistes choisissent le premier. Même lorsque l’éolien nuit à la biodiversité et tue par dizaine de milliers des chauves-souris, par exemple», ajoute Rémy Prud’homme.
Aussi notre interlocuteur soulève-t-il un paradoxe qui serait savoureux s’il n’était dramatique:
«Les écolos, anticapitalistes pour la plupart, ont ouvert la voie à un secteur des plus capitalistiques du globe, qui, de surcroît, se trouve être majoritairement étranger.»
Suite à l’annonce du gouvernement de renégocier ces contrats solaires, le risque désormais est un retrait des banques de ce marché et, plus encore, la perte de crédibilité dans la capacité de l’État à tenir ses engagements. La question juridique de la révision des contrats devrait animer les prochains débats avec les industriels du secteur, comme l’annonçaient ceux-ci dans leur communiqué. Ils semblent bien déterminés à remporter cette seconde bataille, «au cours de laquelle il est essentiel que puissent s’ouvrir de véritables négociations avec les pouvoirs publics».
Du côté du gouvernement, dès le mois d’octobre, la ministre de la Transition écologique avait voulu calmer les ardeurs des agents du secteur. Notamment en promettant une hausse du soutien aux énergies renouvelables de 1,3 milliard d’euros dans le prochain budget. Soit une augmentation «de près de 25%, pour dépasser pour la première fois les 6 milliards d’euros».
Notre classe moyenne fantôme
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 26 DÉC.2020-12: 30
Rédigé par Charles Hugh Smith via le blog OfTwoMind,
Que se passe-t-il lorsque l'Amérique admet enfin que sa classe moyenne est un fantôme de fantaisie de bien-être ? Nous pourrions bien le découvrir dans les quatre prochaines années.
Parmi les nombreuses choses que nous ne pouvons nous résoudre à admettre, l'une des plus importantes est que notre classe moyenne vantée est illusoire, un fantôme de notre imagination plutôt qu'une réalité. La réalité est que la grande majorité de la richesse et des revenus du pays a été détournée de la classe moyenne vers ceux qui sont au sommet de la pyramide richesse-pouvoir et la classe d'initiés technocrates / financiers (les 10 % les plus riches) qui sert les intérêts de ceux qui le summum.
Ce transfert s'est accéléré rapidement au XXIe siècle, la quasi-totalité des gains de revenu réel des 20 dernières années ayant atteint les 0,1 % les plus riches. Cette étude RAND a révélé que les élites américaines ont siphonné 50 billions de dollars dans leurs propres poches au cours des deux dernières générations: tendances des revenus de 1975 à 2018. (Veuillez consulter le graphique «Fruits de la financiarisation» ci-dessous.)
- voir graphique sur site -
Les revenus des 0,1 % les plus riches ont augmenté 15 fois plus vite que les revenus des 90 % les plus pauvres (voir le graphique ci-dessous) ...
- voir graphique sur site -
... alors que la part des salaires dans l'économie poursuit sa baisse de 50 ans ...
- voir graphique sur site -
En ce qui concerne la richesse: les 0,1 % les plus riches possèdent plus que les 80 % les plus pauvres (voir graphique ci-dessous) et les 1 % les plus riches possèdent 40 % de toute la richesse privée et les 10% les plus riches en possèdent 90 %.
- voir graphique sur site -
Si les 10 % les plus riches possèdent 90 % de la richesse et ont capturé pratiquement tous les gains de revenus des 20 dernières années, alors n'est-il pas évident que l'Amérique n'a pas de classe moyenne ? Ce que la classe moyenne traditionnelle - généralement définie comme les 50 % entre les 40 % les plus pauvres et les 10 % les plus riches - possède, c'est la dette et une faible emprise sur des roseaux très minces de capital.
- voir graphique sur site -
Veuillez réfléchir au tableau ci-dessous des 1,7 billion de dollars de dettes étudiantes pesant sur ceux qui ont acheté le récit selon lequel un diplôme d'études collégiales était un passeport pour la sécurité de la classe moyenne. Le fardeau de la dette de ceux qui s'accrochent aux aspirations de sécurité de la classe moyenne est stupéfiant. Comme je l'ai déjà noté ici, accabler des étudiants impuissants avec un avenir incertain avec des milliards de dettes à intérêt élevé aurait été considéré comme criminel il y a deux générations, mais maintenant il est célébré par ceux qui récoltent l'intérêt des serfs de la dette du précariat.
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerDe manière générale, les principaux actifs de la classe moyenne sont le capital et l'agence, le capital étant défini comme le capital financier, intellectuel et social qui génère des revenus, gagnés et non gagnés, et l'agence définie comme le contrôle de sa vie et de ses options et d'avoir son mot à dire en public. la prise de décision.
Compris de cette manière, les 50 % entre les 40 % les plus pauvres et les 10 % les plus riches possèdent un précieux petit capital productif de revenus et possèdent très peu d'agence. La classe politique sert les 0,1% les plus riches et ne donne que du bout des lèvres à la convention digne de relations publiques d'une classe moyenne sous la forme de platitudes. En termes de contrôle sur ses options, ceux qui revendiquent le statut de classe moyenne s'accrochent à un emploi parce qu'ils ont besoin de la couverture d'assurance maladie fournie par l'employeur, pas parce que le travail est gratifiant.
En ce qui concerne la possession de compétences, une grande partie de la main-d'œuvre a peu de compétences de producteur, car l'économie de consommation consacre une attention démesurée non pas à la production mais à la commercialisation, à la spéculation et au respect des réglementations contre-productives et du brassage bureaucratique des dossiers.
Une fois que l’inconvénient d’imprimer des trillions de dollars à partir de rien se dissoudra et que la nation devra équilibrer ses comptes dans le monde réel, ces compétences de brassage de fichiers et de spéculation ne généreront plus de revenus significatifs.
Les derniers vestiges de sécurité financière pour les 50 % du milieu sont les retraites et la propriété d'un logement, qui est moins un véritable atout et plus une option d'achat sur la bulle immobilière actuelle. Cette «richesse» fantôme est une rencontre avec la réalité loin de disparaître dans les brumes des extrêmes spéculatifs qui implosent.
En ce qui concerne les retraites, ces promesses sur les futurs gains énergétiques et de revenus ne sont destinées qu'à une économie d'énergie, de productivité et de production de biens et de services en constante expansion. Alors que l'Amérique a substitué la spéculation à ces gains du monde réel, les pensions sont aussi une rencontre avec la réalité loin de disparaître dans les brumes.
Le rêve américain était basé sur un large accès à l'acquisition de capitaux et d'agences, accès qui s'est réduit à la tranche supérieure de l'ordre économique. Même les 10 % les plus riches sont trompeurs, car la grande majorité des capitaux et des agences est détenue par les 1 % les plus riches et, dans une moindre mesure, par les 5 % les plus riches. Le capital réel et l'agence de ceux qui se situent sous la barre des 5 % chutent rapidement, atteignant effectivement près de zéro autour de la barre des 15 %.
Comme le montre le graphique «les salaires ne suivent pas», le pouvoir d'achat des salaires de la «classe moyenne» a chuté, ce qui signifie que moins de revenus sont disponibles après avoir payé toutes les dépenses essentielles les plus importantes. La Réserve fédérale a joué un jeu de baisse des taux d'intérêt pour que les ménages puissent réduire leurs frais d'intérêts en refinançant leurs prêts hypothécaires, mais ce jeu est terminé; les taux d'intérêt ne peuvent plus baisser sans entrer dans les taux négatifs, une zone d'insolvabilité pour le secteur bancaire.
RépondreSupprimerEn d'autres termes, le jeu consistant à créer l'illusion de gains salariaux réels est terminé.
Que se passe-t-il lorsque l'Amérique admet enfin que sa classe moyenne est un fantôme de fantaisie de bien-être ? Nous pourrions bien le découvrir dans les quatre prochaines années.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/our-phantom-middle-class
Pourquoi quelqu'un qui travaille dehors quand il gèle gagne moins qu'une personne assise au chaud dans un bureau ?
SupprimerParce qu'il n'existe pas la Démocratie qui laisse parler le Peuple (regardez tous les jours le nombre impressionnant de vidéos supprimées sur YT et blogs de scientifiques !). Ne comptez donc pas sur les putains de partis politique de merde pour vous en sortir !
Offrez-vous un cadeau l'année prochaine: Agence
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 26 DÉC.2020-21: 30
Rédigé par Charles Hugh Smith via le blog OfTwoMinds,
Nous pensons que nous sommes impuissants parce que nous n'avons ni richesse ni pouvoir sur les autres, mais rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.
Avoir du libre arbitre, c'est avoir le pouvoir sur votre propre vie et le contrôle de vos actifs, options et ressources. Il y a beaucoup de choses qui influencent nos vies que nous ne contrôlons pas, mais il y a aussi beaucoup de choses que nous pourrions influencer dans nos vies mais pas.
La vision conventionnelle accorde une grande importance à l'agence créée par l'argent, car une abondance d'argent permet aux gens de faire un certain nombre de choses que les gens avec peu d'argent ne peuvent pas faire: vivre confortablement dans des endroits coûteux, acheter une maison plus grande, acheter une résidence secondaire, acheter un bateau, payer ses études universitaires en espèces, payer des médicaments coûteux non couverts par l'assurance, prendre des vacances prolongées et démarrer des entreprises sans céder le pouvoir à des investisseurs extérieurs, pour n'en nommer que quelques-uns.
Notre culture n'a d'yeux que pour le libre arbitre de l'argent, car cette bande étroite de libre arbitre est sans cesse glorifiée. Pourtant, ce qui est frappant, c'est le peu d'importance que l'argent peut acheter. Non seulement il ne peut pas acheter l'amour, mais il ne peut pas acheter la véritable amitié, la confiance, l'affection, la communauté, l'intelligence émotionnelle, la sagesse, les compétences, le but, le sens, la santé, la confiance, la créativité, la conviction, l'autodiscipline, la résilience, l'expression de soi, l'intégrité , authenticité, foi ou sécurité intérieure.
Quel cadeau voudriez-vous pour vous-même en 2021 ? Quoi que vous identifiiez comme le cadeau que vous voudriez vous offrir, les chances de l'obtenir s'améliorent si vous vous offrez d'abord le don d'agence. Bien que l'argent soit une ressource qui peut tirer parti de certains types d'agence, ce n'est pas le fondement de l'agence; les fondements de la prise de contrôle de sa vie sont internes.
J'ai écrit un livre entier sur ce processus de prise de contrôle de sa vie: Résistance, Révolution, Libération: un modèle de changement positif.
Mon credo de base de la libération:
«Je me fiche de savoir si les centres de pouvoir de notre société - les châteaux forts et éloignés de notre système financier féodal - sont modifiés par mes actions, car je suis libéré par l'acte de résistance. Je ne suis plus complice de perpétuer des actes frauduleux. le féodalisme et la pathologie du pouvoir concentré. Je ne convoite plus les signifiants de l'appartenance à la Haute Caste qui sert la ploutocratie. Je suis libéré de la financiarisation autodestructrice de l'État consumériste et de l'illusion que la servitude de la dette et l'obéissance aux élites sociopathologiques me servent. intérêts."
Nous pensons que nous sommes impuissants parce que nous n'avons ni richesse ni pouvoir sur les autres, mais rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité. Ce que nous recherchons tous, c'est l'autonomie, la maîtrise et le but, et la source de tout cela est en nous.
RépondreSupprimerL'argent ne peut pas acheter l'intégrité ou l'authenticité personnelle et, en ce sens, il ne peut pas acheter ce qui compte le plus. Pour reprendre la phrase de Kierkegaard, nous ne pouvons pas utiliser l'argent pour nous acquérir. Ce processus ne peut être acheté à aucun prix, car il est interne, intangible et caché à tous sauf à nous-mêmes.
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Mes livres récents:
A Hacker's Teleology: Sharing the Wealth of Our Shrinking Planet (Kindle 8,95 $, papier 20 $, livre audio 17,46 $) Lire la première section gratuitement (PDF).
Serez-vous plus riche ou plus pauvre?: Profit, puissance et IA dans un monde traumatisé (Kindle 5 $, imprimé 10 $, livre audio) Lisez la première section gratuitement (PDF).
Pathfinding our Destiny: Preventing the Final Fall of Our Democratic Republic (5 $ (Kindle), 10 $ (imprimé), (livre audio): Lisez la première section gratuitement (PDF).
Les aventures du philosophe consultant: la disparition de Drake 1,29 $ (Kindle), 8,95 $ (imprimé); lire les premiers chapitres gratuitement (PDF)
Money and Work Unchained 6,95 $ (Kindle), 15 $ (imprimé) Lire la première section gratuitement (PDF).
https://www.zerohedge.com/personal-finance/give-yourself-gift-next-year-agency
Là, je pense que le Charles Hugh Smith aurait dû terminer son papier par, "Ne m'envoyez pas d'argent ! J'en ai rien à foutre ! J'en ai, Je vous en envoie tant que vous voulez !" Hahahaha !
SupprimerPassé cet effet relatif aux fêtes bien arrosées; malgré que ce soit tous les habitants qui soient décuvés en 21, il faut rester bien droit sur ses deux pattes !
Les plus riches sont les banquiers car ils se créaient eux-mêmes leurs fortunes sans limite sur le clavier d'ordinateur. Alors, à la question du "Que ferez-vous de tout ce putain de fric en trop ?", là, je pense que chacun a sa petite idée et qu'elle résout même tous les problèmes !
Mais là attention ! y a quelque chose qui change ou est prêt à changer dans très peu de temps !
Comme les Bourses n'existent pas (depuis leur création) et qu'elles ne sont que des carnavals d''acheteurs' et de 'vendeurs' qui font croire qu'ils font des transactions. Aujourd'hui, le Palais Brongniart (à Paris) est fermé et a été transféré en Angleterre avec x autres Bourses. Là, les traders (aux bourses sans limite) peuvent acheter ou vendre des milliards d'actions en 1 seconde et ruiner n'importe qui comme enrichir n'importe qui !
Donc, la fortune des riches tient à peu de choses !
La fortune demeure dans l'investissement. Mais, comment investir dans quelque chose qui rapporte ? Primo: faut pas être un con et toujours avoir plusieurs cordes à son arc. Donc: être allé à l'école (la bonne !) et su séparer les conneries débitées par les profs à longueurs de journées de celles qui lui ont échappé ! Secundo: D'où la nécessaire réflexion de soi-même.
Mais qu'apporte le savoir ? L'intelligence sert à se diriger, à écouter, regarder et penser dans sa tête loin des foules tonitruantes des merdias. Elle sert à beaucoup de choses et vaut plus que de l'argent ! Celui qui sait faire du feu sans allumette ou briquet n'est pas un con ! Celui qui a compris que malgré qu'il y ait des millions de km3 d'eau (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se soient déversés dans les mers & océans, le niveau n'a pas monté, il a donc compris que les ministres et chefs d'Etats le prenaient pour un con depuis x temps !
Donc: bien faire la distinction entre les grandes écoles de l'escroquerie et les bonnes écoles de la Démocratie.
Le comté de L.A. a une faible teneur en oxygène "dangereusement" pour traiter le COVID-19
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 26 DÉC.2020-20: 00
Les hôpitaux du pays de Los Angeles commencent à fonctionner "dangereusement bas sur l'oxygène" et d'autres fournitures utilisées pour traiter les personnes atteintes de Covid, malgré une tendance de sept jours de nouveaux cas qui semblent avoir finalement atteint un sommet.
En plus de manquer de fournitures, les patients attendent jusqu'à 8 heures dans les ambulances avant d'être placés dans les urgences en raison de leur capacité limitée, écrit le LA Times. La situation est devenue si désastreuse qu '"un responsable de la santé du comté de LA a demandé aux prestataires de contacter les patients souffrant de maladies graves ou médicalement fragiles pour revoir leurs directives en matière de soins avancés et s'assurer que des formulaires sont au dossier détaillant leurs soins de fin de vie. . "
On craint également que les rassemblements pendant les vacances aggravent les conditions dans la région, car les rassemblements de Thanksgiving sont déjà en partie responsables de la capacité actuelle des hôpitaux.
Mais alors que le L.A. Times note que le comté a connu ses plus hauts décès de Covid-19 par jour la semaine dernière, jeudi avec 140, le total mobile du comté sur sept jours (illustré ci-dessous) indique potentiellement un certain sursis.
Des personnes familières avec le système hospitalier du comté ont révélé qu'il était "dangereusement bas" en oxygène, qui est utilisé pour traiter les personnes atteintes de poumons enflammés par le virus. L'oxygène est désormais utilisé au profit des ventilateurs, qui étaient utilisés au début de la pandémie.
Au lieu de cela, les patients reçoivent désormais "un traitement à l'oxygène à haut débit, où l'oxygène est envoyé à travers des tubes en plastique placés dans le nez". Les patients Covid-19 ont souvent besoin de plus de 10 fois plus d'oxygène que les patients réguliers, nécessitant jusqu'à 60 à 80 litres d'oxygène par minute. Cela signifie que les hôpitaux ont besoin d'environ 10 fois plus d'oxygène qu'auparavant.
Les hôpitaux manquent également de tubes utilisés pour transporter l'oxygène, indique le rapport.
Le comté a demandé cette semaine aux prestataires de soins de santé de prendre des mesures supplémentaires pour tenter de compenser le flot de patients nécessitant un traitement au niveau de l'hôpital. Il y a environ 6700 patients atteints de coronavirus hospitalisés dans tout le comté mercredi la semaine dernière - dont 1329 dans une unité de soins intensifs. Ces chiffres sont en hausse de 85% et 62% au cours des 2 dernières semaines.
Le comté a écrit dans une note de service: «Les hôpitaux ont mis en œuvre leurs plans de relève et ajustent le personnel et l'espace pour essayer de répondre aux besoins de leur communauté. Il est essentiel qu'en tant que communauté de soins de santé, nous examinions toutes les opportunités disponibles pour aider à réduire la montée en flèche des hôpitaux et de notre système 911, dans la mesure du possible.
Le Dr Sharon Balter, chef du contrôle et de la prévention des maladies transmissibles du comté, a dit aux fournisseurs de soins de santé d’informer les patients uniquement d’appeler le 911 ou de se rendre aux urgences «en cas d’urgence». Elle a également poussé à des décharges plus rapides.
RépondreSupprimer«Les lits d'hôpitaux et de soins intensifs sont très limités et les services d'urgence sont surchargés», a-t-elle déclaré.
Le neurochirurgien de Santa Monica, le Dr Brian Gantwerker, dit qu'il «redoute» ce que les prochaines semaines vont réserver. Il dit que l'augmentation du nombre de patients Covid peut retarder les patients en neurochirurgie qui ont besoin de soins immédiats.
Il a dit: «Ensuite, il devient une question de:« Où est le point de rupture? Quand devons-nous commencer à envoyer des patients ailleurs? »Et le scénario cauchemardesque est:« Que se passe-t-il s’il n’ya pas de lits disponibles dans le comté? Tout ce dont nous nous sommes inquiétés, dont nous avons parlé et dont nous avons averti les gens depuis février se concrétise - nous en sommes maintenant à ce stade. "
Enfin, le Dr Christina Ghaly, directrice des services de santé du comté de L.A., dit que près de 7 000 personnes supplémentaires pourraient mourir de Covid d'ici la fin janvier si les tendances actuelles se maintiennent.
Le maire de L.A. Eric Garcetti a conclu: «Nous savons que cette urgence est notre jour le plus sombre, peut-être le jour le plus sombre de l’histoire de notre ville. Mais nous devons trouver le courage, nous devons rassembler la force pour nous assurer de sauver des vies.
https://www.zerohedge.com/markets/la-county-running-dangerously-low-oxygen-treat-covid-19
File d'attente pour entrer en hôpital, file d'attente pour entrer aux frigos, file d'attente pour être enterrer et, file d'attente pour sortir du cimetière !
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