- ENTREE de SECOURS -



mercredi 23 décembre 2020

Brève. Quand on dispose de la puissance de l’argent on ose tout

 le 23 décembre 2020


La deuxième plus importante usine de production d’hydroxychloroquine dans le monde a été détruite dimanche par une très forte explosion suivie d’un incendie massif. L’usine, située près de l’aéroport Taoyuan de Taïpeh, à Taïwan est totalement hors d’état de produire ce produit. Les conditions de sécurité dans une usine chimique sont extrêmement strictes et tout les personnels sont formés et au moins deux fois par an doivent assister à des sessions d’exercices de lutte contre le feu, le confinement des produits dangereux en cas d’incident et à des rappels des gestes élémentaires de sécurité. J’ai subi ce genre de formation pendant plus de 13 ans lorsque je travaillais au sein d’un centre de recherche de Rhône-Poulenc. Taïwan n’est pas un pays sous-développé et il est inconcevable que cet accident soit la conséquence d’un manque de rigueur industrielle.

La synthèse de cette molécule ne fait jamais appel à des conditions extrêmes de température ou de pression. C’est un process très bien maîtrisé effectué en continu qui, pour un chimiste, ne présente pas de problèmes particuliers. La seule hypothèse est une origine criminelle de cette explosion. L’hydroxychloroquine dérange au plus haut point le lobby international de la pharmacie pour deux raisons. Administré massivement à titre préventif et prophylactique pour maîtriser la pandémie de SARS-CoV-2 celle-ci ne serait plus qu’un souvenir. Le nombre de morts aurait été diminué de plus de la moitié. Certes les personnes de plus de 80 ans ayant une espérance de vie de moins d’une année seraient mortes mais n’auraient pas été comptabilisées abusivement dans les décès estampillés Covid. N’ayant pas d’alternative crédible pour traiter ce virus les laboratoires pharmaceutiques n’auraient pas systématiquement corrompu les gouvernements pour imposer des produits alternatifs inefficaces et dangereux en exigeant qu’ils interdisent l’hydroxychloroquine et plus important encore les gouvernements ne seraient pas obligés aujourd’hui de dépenser (l’argent des contribuables) des sommes astronomiques, des centaines de milliards de dollars, pour vacciner leurs populations avec un vaccin inconnu potentiellement dangereux.

Cet accident ne peut être que criminel …

Source : https://whatnownews24.com/2020/12/20/massive-explosion-at-a-pharmaceutical-company-in-north-taiwan/

https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/12/23/breve-quand-on-dispose-de-la-puissance-de-largent-on-ose-tout/ 

40 commentaires:


  1. Des milliards de vies qui partent en fumée !

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  2. La loi française interdirait aux personnes qui ne reçoivent pas le vaccin COVID d'utiliser les transports en commun


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 23 DÉC.2020-14: 00
    Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Les personnes en France qui refusent de prendre le vaccin COVID-19 seront interdites d'utiliser les transports en commun et de se livrer à d'autres activités en vertu d'une nouvelle loi.

    La loi, qui devrait être soumise au parlement, exige que les citoyens aient la preuve d'un test COVID négatif ou d'un «traitement préventif, y compris l'administration d'un vaccin» afin «d'accéder au transport ou à certains endroits, ainsi qu'à certaines activités. . »

    La loi a déclenché «des manifestations de colère de la part des politiciens de l'opposition», selon l'AFP.

    Le programme de vaccination de la France, qui devrait commencer dimanche, ne sera pas obligatoire, mais 55 % des citoyens déclarent qu’ils ne se feront pas vacciner.

    Marine Le Pen, dirigeante des IA, a qualifié la mesure de vaccination de «essentiellement totalitaire».

    «D'une manière détournée, ce projet de loi ne vise pas à rendre les vaccinations obligatoires, mais empêchera quiconque ne se conforme pas d'avoir une vie sociale», a-t-elle déclaré.

    Le porte-parole du parti RN, Sébastien Chenu, a qualifié le plan de «dictature de la santé», tandis que la sénatrice centriste Nathalie Goulet a déclaré que le projet était «une attaque contre les libertés publiques».

    Guillaume Peltier, chef adjoint du parti LR de centre droit, a averti que la loi permettrait au gouvernement «d'obtenir tout le pouvoir de suspendre nos libertés sans contrôle parlementaire».

    Comme nous l'avons souligné précédemment, la France a imposé certaines des mesures de verrouillage les plus strictes d'Europe, les citoyens devant remplir un formulaire à chaque fois qu'ils quittent leur domicile.

    https://www.zerohedge.com/political/french-law-would-ban-people-who-dont-get-covid-vaccine-using-public-transport

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  3. Le Syndicat national des Médecins hospitaliers se dit « très inquiet » et demande la levée de la sanction contre le Pr Perronne

    Sott.net
    mar., 22 déc. 2020 10:31 UTC


    Le SNMH-FO est très inquiet de ce qui se passe, en ce moment, au regard de questions aussi fondamentales que la liberté de pensée, la liberté d'expression. Et, particulièrement pour ce qui nous concerne, dans le domaine de la médecine, la liberté de prescrire et la liberté de la pensée médicale.

    L'AP-HP a annoncé ce jeudi 17 décembre avoir mis fin aux fonctions de chef de service du Professeur Christian Perronne, chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l'hôpital Raymond Poincaré à Garches. Cette décision lui a été signifiée sans préambules par M. Martin Hirsch le directeur général de l'AP-HP, lui reprochant d'avoir notamment affirmé que les malades du Covid représentaient une aubaine financière pour des médecins, « des propos considérés comme indignes de la fonction qu'il exerce ».

    Le SNMH-FO est très inquiet de ce qui se passe, en ce moment, au regard de questions aussi fondamentales que la liberté de pensée, la liberté d'expression. Et, particulièrement pour ce qui nous concerne, dans le domaine de la médecine, la liberté de prescrire et la liberté de la pensée médicale.

    Il ne s'agit pas des discussions entre médecins sur les thérapeutiques possibles, les moyens à utiliser en matière de diagnostic, d'interprétation des données cliniques et biologiques pour soigner au mieux les malades. Elles ont toujours eu lieu. La médecine n'est pas une science exacte, mais un art. C'est surtout une pratique où les échanges et les confrontations des expériences individuelles des médecins sont essentiels. Dès lors, les médecins discutent, ne sont pas toujours d'accord entre eux, surtout quand il s'agit de maladies nouvelles et ne se sont jamais privés d'en parler.

    Il peut arriver que ces discussions, normales, salutaires, prennent une tournure moins courtoise. Il peut même arriver qu'il y ait des outrances. Les différends concernant la confraternité peuvent toujours se régler par la conciliation. En outre, il y a toujours la possibilité, pour un médecin s'estimant diffamé d'en demander réparation à la justice.

    Le SNMH-FO n'a nullement l'intention d'entrer dans le débat sur les positions médicales des uns ou des autres.

    Le SNMH-FO comme syndicat, totalement impliqué dans les fondements de sa Confédération, se situe sur le terrain de la défense des intérêts matériels et moraux de ses mandants, les médecins hospitaliers de tous statuts, PH et hospitalo-universitaires.

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  4. Sur le terrain des intérêts matériels des médecins hospitaliers :

    Le SNMH-FO qui le premier a alerté sur la question de la grille « pseudo revalorisée » appelle à la grève du 11 janvier avec le SNPHARE pour défendre ce statut de médecins hospitaliers dans toutes ses données dont l'excellence et l'indépendance font partie, ce qui justifie de ne pas accepter la nouvelle grille du Ségur. C'est ce qui motive l'ensemble du corps médical dans la mobilisation qui se prépare.

    Sur le terrain des intérêts moraux des médecins hospitaliers :

    Les opinions et expressions sur les traitements médicaux relèvent de la liberté de penser et de s'exprimer. Aucune « autorité » ne peut demander aux médecins de se plier à une « vérité officielle ».

    Le SNMH constate que la motion adoptée par la CME de l'AP-HP contre le Professeur Christian Perronne ne fait d'ailleurs aucune allusion à ses positions médicales. Parfaitement consciente du tollé que soulèverait une accusation portée contre un médecin parce qu'il penserait différemment, la Commission Médicale de l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris, dans sa volonté de faire taire toute opposition, se voit contrainte de chercher autre chose.

    La CME de l'AP-HP déclare donc que « De telles déclarations- attribuées au Pr Christian Perronne sans les produire dans un document écrit- « sont le terreau dont se nourrissent les internautes pour mener des campagnes d'insultes haineuses sur les cyber réseaux pouvant aller jusqu'à des menaces de mort mettant gravement en danger les personnes visées. »

    Le président de la CME, Rémi Salomon a, d'ailleurs, indiqué que « Les propos de Perronne n'étaient pas en eux-mêmes injurieux à l'égard de notre collègue » mais « ce sont des propos qui ont suscité sur les réseaux sociaux, des injures et des menaces de mort ».

    Si on comprend bien, le professeur Perronne n'est pas sanctionné pour ce qu'il a dit mais pour l'usage qui peut en être fait ?

    Si on comprend bien, peu importe ce qu'a dit le professeur Perronne. Ce qui compte, c'est ce que disent les réseaux sociaux ? Et l'accusation faite par la CME de l'AP-HP lors de sa séance du 1er décembre serait fondée sur cette nouvelle incrimination.

    Le SNMH-FO n'accepte pas cette perversion du droit.

    Force Ouvrière a été constituée pour la défense des droits démocratiques, la défense des droits acquis et la défense de la liberté d'expression. Notre ancien secrétaire, secrétaire confédéral Marc Blondel, qui avait refusé de se prononcer lors des élections présidentielles en 2002, conformément aux traditions de Force Ouvrière héritées de la Charte d'Amiens, fut caricaturé en nazi.

    Le SNMH-FO défendra quiconque est ou sera victime de la discipline des consciences.

    Le SNMH-FO demande l'abandon des sanctions contre le Professeur Perronne ou tout autre médecin pour avoir défendu son point de vue médical.

    Il appelle les médecins à visiter le site du SNMH FO et à rejoindre le syndicat.

    Contact : Dr Cyrille Venet,
    Secrétaire général

    06 68 02 80 73
    snmh.fo@fosps.com

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  5. Téléchargez le PDF

    Source : SNMH - Levée de la sanction contre le Pr Christian Perronne

    Voir nos articles :

    Pr Perronne : « La France est en train de dérailler. En Allemagne les médecins sont libres. Ici tout est fliqué, j'ai l'impression de vivre sous une dictature. »
    Pr Perronne : « À l'hôpital de Garches, nous avons de bons résultats avec l'hydroxychloroquine »
    Dans la foulée du film « Hold-up », le Pr Perronne persiste et signe en dépit de l'acharnement dont il est victime
    Christian Perronne - « Si Macron avait montré les courbes officielles hier, il aurait été ridicule ! »
    Gestion de la crise du COVID-19, corruption, mensonges d'État : le Pr Christian Perronne balance tout
    Performance du Pr Christian Perronne démolit qui la politique de santé du gouvernement
    Pr. Perronne : « C'est criminel de dire que la chloroquine ne marche pas »
    Des médecins parlent : mensonges Covid, assassinats de vieux, masques inutiles...
    « Vaccin » contre le Covid : la mise en garde du Pr Perronne

    https://fr.sott.net/article/36416-Le-Syndicat-national-des-Medecins-hospitaliers-se-dit-tres-inquiet-et-demande-la-levee-de-la-sanction-contre-le-Pr-Perronne

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  6. Visé par une plainte de l’Ordre des médecins, Didier Raoult contre-attaque


    11:04 23.12.2020
    Par Anna Borissova


    Après l'annonce du lancement d'une procédure judiciaire contre lui, Didier Raoult a déposé plainte contre le président du Conseil national de l'Ordre des médecins pour «harcèlement». Cité par BFMTV, l'avocat du chercheur marseillais a dénoncé «une entrave à la liberté d'expression».

    Visé par une plainte du Conseil national de l'Ordre des médecins (Cnom), après des propos jugés controversés sur l'épidémie de Covid-19, le professeur Didier Raoult contre-attaque. Le directeur de l’IHU Méditerranée Infection a à son tour déposé une plainte auprès du parquet de Paris pour harcèlement contre Patrick Bouet, le président du Conseil concerné, rapporte le 22 décembre BFM TV se référant à son avocat Fabrice Di Vizio.

    La plainte du Cnom contre l’infectiologue de l’IHU de Marseille est jugée «incompréhensible» par le représentant de M.Raoult, cité par le média, car «le Conseil national de l’Ordre des médecins (Cnom) a délégué lui-même ces poursuites à l’Ordre départemental, quelques semaines auparavant». Il s’agit donc d’un doublon de la plainte déjà initiée le 12 novembre, selon la défense du professeur marseillais.

    En outre, l’avocat a dénoncé auprès de BFM TV «une attaque ad hominem» et a affirmé que cette nouvelle procédure n’apportait «absolument rien, à moins que le Conseil national ne fasse pas confiance à l’Ordre départemental et souhaite garder un œil sur la procédure».

    «Deux poids, deux mesures»

    Ainsi, selon le média, Fabrice Di Vizio soupçonne une procédure d’«intimidation pour entraver la liberté d’expression d’un universitaire».

    L’avocat de l’infectiologue a souligné un système de «deux poids, deux mesures» qui selon lui, «marquera la gestion de cette crise par l’Ordre national des médecins».

    Didier Raoult est au cœur d'une polémique pour avoir étrillé la gestion de la crise par les autorités et les conflits d'intérêts dans la recherche internationale sur le traitement du coronavirus. Ses propos avaient poussé le conseil départemental de l'Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône à saisir la juridiction disciplinaire, et le Cnom a choisi de s'y associer.

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    1. 7 milliards de personnes dans le monde soutiennent le Pr Didier Raoult, car, grâce à l'hydroxycholoquine il y aurait eu ZÉRO mort du corona en 2020 !

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  7. Noël est-il annulé ?


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 23 DÉC.2020-9: 35
    Par Stefan Koopman, économiste de marché principal chez Rabobank


    Pendant des mois, les législateurs américains ont du mal à trouver un terrain d’entente et à parvenir à un compromis sur un nouveau plan de secours Covid-19. Finalement, ils se sont retrouvés à environ 900 milliards USD, ce qui est plus proche de ce que les républicains du Sénat ont préféré. Voir également cet article de Philip Marey pour ses aperçus de cet accord.

    L'accord avait été conclu quelques minutes avant minuit et est attaché au projet de loi de dépenses régulier qui devrait financer les opérations du gouvernement jusqu'en septembre prochain. Même si tout semblait aller bien et qu'un autre arrêt partiel a été évité, le président Trump a décidé, dans l'un de ses `` mouvements de signature '', de bouleverser le chariot au tout dernier moment et, entre autres, d'appeler soudainement à des paiements de relance plus élevés. (2 000 USD au lieu des 600 USD convenus) pour les particuliers. Bien qu'il n'ait pas déclaré catégoriquement qu'il opposerait son veto au projet de loi de relance actuel, que la Chambre et le Sénat pourraient à leur tour annuler par des votes à la majorité majoritaire, il existe un risque d'un soi-disant veto de poche. Si ce projet de loi n’est pas sur le bureau du Président d’ici la fin de la journée, il pourrait effectivement y mettre son veto en le gardant dans sa «poche» pendant les dix prochains jours. Le président a cette fenêtre exacte de dix jours, dimanches exclus, pour signer ou opposer son veto à un projet de loi, mais la session actuelle du Congrès se terminera le 3 janvier. Après cette date, le président ne peut tout simplement pas renvoyer le projet de loi au Congrès. Le résultat est qu'une décision de ne pas signer le projet de loi serait alors un veto de poche et le Congrès n'a pas la possibilité de passer outre. Cela signifierait que les chèques de relance indispensables ne seront pas envoyés dans les jours suivant Noël. Désolé pas désolé?

    Depuis le début dimanche de la fermeture de la frontière entre le Royaume-Uni et la France, près de 3000 camions ont été bloqués dans le sud de l'Angleterre et il faudra probablement des jours pour que cette situation soit résolue. Cependant, hier après-midi, la Commission européenne a recommandé que les liaisons commerciales et de transport de passagers critiques entre le Royaume-Uni et l'Europe continentale soient rouvertes dès que possible. Seulement quelques heures plus tard, la France a suivi ces recommandations et a accepté de mettre fin à la suspension, mais n'autorisant le passage que si les citoyens de l'UE coincés au Royaume-Uni sont en mesure de montrer un test Covid-19 négatif. (Notez ici que les Britanniques pourraient se voir interdire l'entrée dans l'UE le 1er janvier 2021, lorsque le Royaume-Uni deviendra un «pays tiers» dans l'UE, à moins que leur voyage ne soit jugé essentiel).

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  8. Il est en effet tentant de faire le lien avec le Brexit. Pouvons-nous considérer l'intervention de la Commission comme un rameau d'olivier envers le Royaume-Uni, qui est encore légalement traité comme un État membre de l'UE, ou s'agit-il d'un coup de poing envers la France, qui continue de faire pression pour des positions de négociation plus strictes de l'UE sur tout ce qui concerne le Brexit (et peut trouver cette situation un peu trop pratique… désolé pas désolé?). La dynamique est la même: la France et le Royaume-Uni sont en désaccord sur Covid et le Brexit, et la Commission européenne intervient. Cela montre une fois de plus que la «souveraineté» est plus que la capacité d’écrire vos propres lois. Il s'agit également de pouvoir gérer les interdépendances de manière à bien fonctionner. D'un point de vue géographique, le Royaume-Uni restera toujours fortement dépendant des États côtiers européens en termes de liaisons de transport et d'accès aux marchés internationaux. Les événements de cette semaine nous ont rappelé à quel point cet équilibre est délicat.

    Alors, y aura-t-il un accord sur le Brexit ? Nous pensons toujours qu'il y en a une à faire ici, car c'est dans le meilleur intérêt des deux parties dans ces négociations. En fait, si vous oubliez tous les délais auto-assignés, vous seriez même enclin à penser que l'ensemble du processus s'est déroulé conformément au script. Déjà en février de cette année, quelques semaines à peine après la «journée du Brexit», les deux mandats de négociation ont montré qu'il y avait des lacunes assez importantes en ce qui concerne l'égalité des chances, la gouvernance des accords et la pêche. On s'attendait à ce qu'une ou plusieurs interventions politiques soient nécessaires pour combler ces lacunes. Il était également clair que, au moins en termes relatifs, la pêche serait la carte la plus forte du jeu britannique. Nous voici donc dans la phase finale des négociations, et le Premier ministre Johnson appelle directement le président Von der Leyen à faire la médiation entre le Royaume-Uni et les États côtiers de l'UE et à parler de poisson.

    L’espoir est que ce long processus se termine le plus tôt possible et qu’il y aura un accord avant la veille de Noël. Dans ce cas, il devrait rester juste assez de temps pour obtenir les travaux juridiques et procéduraux afin de permettre l'application provisoire du nouveau traité à partir du 1er janvier. Sinon, l'UE et le Royaume-Uni entreraient vraiment dans des territoires inexplorés. Mais si aucun accord est le résultat final, ce ne sera pas à cause du processus. Ce sera à cause de politiques louches.

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  9. Revenons aux États-Unis, où l'estimation du PIB du troisième trimestre a été légèrement révisée à 33,4 % contre 33,1 % annualisé, ce qui est une révision relativement mineure à ces taux de croissance. Il n’y avait pas non plus de changements significatifs «sous le capot». Les chiffres de la confiance des consommateurs étaient plus intéressants. L'axiome largement répandu est qu'il ne peut y avoir de reprise économique solide que si la pandémie est maîtrisée; et les chiffres de confiance d’hier étaient tout à fait conformes à cette thèse. La mesure du Conference Board a fortement baissé à 88,6 en décembre, après une révision à la baisse de 92,9 en novembre. C'était bien en deçà des attentes du consensus et offrait un sombre aperçu de la saison des achats de Noël. C'est également un autre signal clair que l'augmentation des cas de virus, des hospitalisations et des décès dans l'hémisphère nord, qui ne s'atténueront probablement pas de sitôt, pèseront sur le sentiment des consommateurs jusqu'à ce qu'un déploiement généralisé des vaccins permette aux gouvernements de planifier la réouverture de l'économie. en mouvement.

    https://www.zerohedge.com/markets/christmas-canceled

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  10. Un généticien allemand dit que les personnes qui refusent le vaccin COVID devraient se voir refuser un traitement médical


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 23 DÉC.2020 - 17h00
    Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Un généticien allemand dit que les personnes qui refusent de prendre le vaccin COVID-19 devraient se voir refuser un traitement médical d'urgence.

    Wolfram Henn, membre du Conseil d’éthique allemand, a déclaré au journal Bild que les refusniks de vaccins ne devraient pas pouvoir accéder aux ventilateurs et à d’autres mesures d’urgence.

    «Quiconque veut refuser catégoriquement la vaccination, il devrait, s'il vous plaît également toujours porter un document avec l'inscription:« Je ne veux pas être vacciné ! », A déclaré Henn.

    «Je veux laisser la protection contre la maladie aux autres ! Je veux, si je tombe malade, laisser mon lit de soins intensifs et mon ventilateur à d'autres », a-t-il ajouté.

    Henn a déclaré que l'efficacité des vaccins a été prouvée «un milliard de fois» et que les gens devraient «laisser le soin aux experts» plutôt que d'écouter ceux qui s'opposent aux vaccinations.

    «Je recommande de toute urgence à ces alarmistes de se rendre à l'hôpital le plus proche et de présenter leurs théories du complot aux médecins et aux infirmières qui viennent de sortir de l'unité de soins intensifs surpeuplée complètement épuisée», a déclaré Henn.

    L'Allemagne, qui a connu de nombreuses manifestations de grande ampleur contre les mesures de verrouillage, restera bloquée jusqu'au 10 janvier au moins.

    Comme nous l'avons souligné précédemment, la consommation d'alcool en public a également été interdite, ce qui a entraîné la fermeture des stands de vin chaud de Noël par les autorités.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/german-geneticist-says-people-who-refuse-covid-vaccine-should-be-denied-medical-treatment

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  11. 30 experts de la santé désormais interdits sur YouTube et Facebook nous informent sur le vaccin anti-Covid-19


    Mondialisation.ca
    mar., 22 déc. 2020 14:11 UTC


    Voir la vidéo ci-dessous pour prendre connaissance d'importants témoignages de médecins censurés par Youtube et Facebook. Les opinions d'éminents scientifiques qui remettent en question le confinement, le masque facial ou la distanciation sociale sont « prises en compte » par Google :

    « YouTube n'autorise pas les contenus qui diffusent des informations médicales erronées contredisant les informations médicales de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ou des autorités sanitaires locales sur le COVID-19, notamment sur les méthodes de prévention, de traitement ou de diagnostic du COVID-19, et les moyens de transmission du COVID-19. »

    Ils appellent cela la « vérification des faits ». De même, Twitter a confirmé qu'il « supprimera tous les messages qui semblent indiquer qu'il y a des « effets négatifs ou des effets suite à la vaccination... » Twitter « supprimera tous les messages » qui « évoquent une conspiration délibérée » ou « avancent des récits nuisibles, faux ou trompeurs » sur les vaccins.

    https://fr.sott.net/article/36417-30-experts-de-la-sante-desormais-interdits-sur-YouTube-et-Facebook-nous-informent-sur-le-vaccin-anti-Covid-19

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  12. Les villes du comté d'Orange se joignent au shérif pour s'opposer à la libération des détenus


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 22 DÉC 2020-22: 05
    Rédigé par Alex Murashko via The Epoch Times,


    Des villes du comté d'Orange, en Californie, se tiennent aux côtés du shérif Don Barnes alors qu'il se bat contre une décision de justice exigeant la libération de 1 800 prisonniers des prisons du comté.

    Dans une ordonnance du tribunal du 11 décembre, Barnes a été invité à réduire la population carcérale du comté d'Orange alors que les centres sont aux prises avec une augmentation des infections au COVID-19. Mais le plus haut flic de la région conteste l’ordre et refuse de libérer les détenus.

    Le 21 décembre, davantage de villes ont rejoint un mouvement pour soutenir la décision de Barnes. Lors de réunions spéciales du conseil municipal, les villes d’Irvine, Mission Viejo et Westminster ont voté à l’unanimité pour déposer des mémoires juridiques soutenant la contestation de Barnes. Les villes ont rejoint Newport Beach et Yorba Linda, qui ont déposé des mémoires le 18 décembre.

    «La sécurité publique a toujours été notre priorité absolue», a déclaré le maire de Mission Viejo, Brian Goodell, dans un communiqué de presse annonçant la décision de la ville.

    «Notre conseil municipal soutient sans réserve l’appel du shérif Barnes pour empêcher ces criminels de sortir de nos rues et son plan pour répondre de manière appropriée aux problèmes de coronavirus dans le système carcéral.»

    Dana Point, Los Alamitos et San Clemente sont d'autres villes qui organiseront des réunions spéciales le 21 décembre pour discuter de la question.

    «La pandémie du COVID-19 est grave et présente un risque, mais ce risque ne l'emporte pas sur la nécessité de garder les délinquants dangereux en détention», a récemment déclaré Barnes. «Nous ne pouvons pas commencer 2021 avec une frénésie criminelle ordonnée par le tribunal.»

    La décision de 32 pages du juge Peter Wilson du 11 décembre a déclaré que «l'indifférence délibérée de Barnes au risque substantiel de préjudice grave lié à l'infection au COVID-19 pour… les personnes médicalement vulnérables sous sa garde viole leurs droits en vertu de la Constitution californienne».

    Wilson a également déclaré dans la décision que l’action et l’inaction de Barnes montraient «une conduite susceptible d’exposer inutilement les détenus sous sa garde à des risques importants pour leur santé et leur sécurité».

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  13. Les opposants à l’ordonnance de Wilson ont déclaré que le plus grand risque pour la sécurité serait de libérer des criminels en prison pour des crimes tels que le meurtre et la pédophilie dans le grand public.

    «C’est extrêmement alarmant pour nous tous dans la ville où nous vivons», a déclaré le chef de la police de Westminster, Mark Lauderback, qui a pris la parole avant le vote du conseil.

    «Quand on vous dit de libérer un grand nombre de détenus qui devraient purger leur peine, et qu’ils vont être libérés tôt, c’est très alarmant.»

    Il a appelé à une alternative efficace qui aiderait à réduire le nombre de COVID-19 en prison tout en assurant la sécurité du public.

    «Oui, nous avons une pandémie en cours; oui, il est très effrayant pour tout le monde dans le domaine médical et une société de vivre avec un tel cauchemar médical; mais en faisant cela sans vraiment examiner les conséquences des actions du juge, je pense que nous devons trouver une meilleure solution », a déclaré Lauderback.

    Le conseil municipal de Garden Grove s'est également déplacé pour soutenir Barnes.

    «Si vous êtes obligé de vous conformer à l'ordonnance du tribunal, nous savons que vous devrez libérer environ 1 800 détenus, ce qui, vous et le procureur du comté d'Orange, avez déclaré sans équivoque un risque important pour la sécurité publique», a déclaré le maire de Garden Grove Steve Jones dans une lettre du 18 décembre.

    «Plus précisément, vous avez identifié que sur les 700 détenus considérés comme médicalement vulnérables selon les directives du Centre de contrôle et de prévention des maladies, 59 détenus sont incarcérés pour meurtre, 39 détenus pour tentative de meurtre et 90 pour pédophilie.»

    La lettre du maire a déclaré qu'il y avait déjà eu des impacts importants sur la sécurité publique liés à la libération de prisonniers par le comté d'Orange et l'État lié au COVID-19. Plus de 22 000 détenus ont été libérés par le Département californien des services correctionnels et de réadaptation depuis le début de la pandémie.

    «La libération d'un si grand nombre de prisonniers dans un laps de temps aussi court met à rude épreuve les forces de l'ordre nationales et locales qui ne se contentent pas de résoudre les problèmes d'application de la loi traditionnels, mais qui répondent aux problèmes d'application de la loi associés à la pandémie», a écrit Jones.

    Le 18 décembre, le comté d'Orange a enregistré son premier décès de détenu lié au COVID-19 lorsque Eddie Lee Anderson, 68 ans, est décédé environ une semaine après avoir été testé positif au COVID-19. Le détenu de l'établissement Theo Lacy a été transféré dans un hôpital le 13 décembre pour y être soigné.

    Selon le département du shérif du comté d'Orange, 1 512 détenus ont été testés positifs pour le virus depuis le début de la pandémie. Le site Web du shérif indique qu’au 21 décembre, il y avait actuellement 835 détenus atteints de la maladie.

    https://www.zerohedge.com/political/orange-county-cities-join-sheriff-opposing-order-release-inmates

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  14. Électricité : attention à ne pas ajouter des œufs pourris dans le panier

    Au motif de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier, remplacer des productions pilotables d’électricité par des sources d’énergies aux productions fatales, aléatoires et/ou intermittentes (EnRI), est une idiotie.


    23 DÉCEMBRE 2020
    Par Michel Gay.


    Au motif de ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier, remplacer des productions pilotables d’électricité, comme le nucléaire, par des sources d’énergies aux productions fatales, aléatoires et/ou intermittentes (EnRI), dépendant du vent et du soleil, est une idiotie.

    DES ŒUFS POURRIS…

    Cela revient à enlever du panier des œufs sains (le nucléaire décarboné pilotable) pour les remplacer par des œufs pourris achetés chers (des productions intermittentes et non pilotables), ou pire encore, à les ajouter en doublons inutiles dans d’autres paniers !

    Ainsi, à côté d’un panier suffisant d’œufs sains (centrales nucléaire, gaz et charbon pilotables), l’Allemagne a aussi ajouté en doublon un autre panier d’œufs pourris (éolien et photovoltaïque fatals) sur lesquels elle ne peut pas compter en permanence.

    Pour assurer sa sécurité électrique, sa puissance installée a donc aussi doublé, de même que le prix de vente de l’électricité aux particuliers.

    DÉPENDANCE AU NUCLÉAIRE

    Le Président Macron a déclaré au Creusot le 8 décembre 2020 « je n’ai jamais été partisan du tout nucléaire parce qu’il est nécessaire de ne pas dépendre d’une seule source. »

    « Il est nécessaire ? » Mais c’est une affirmation fausse, monsieur le Président ! Le nucléaire adossé à l’hydraulique avec un peu de gaz pour s’adapter aux variations rapides de la demande est le système le plus performant et le plus sûr !

    Mieux vaut dépendre d’une source principale sûre et fiable que de plusieurs autres sources fatales, voire intermittentes, sur lesquelles les Français ne pourront pas compter !

    De plus, le Président commet une autre erreur de raisonnement car son affirmation découle de l’adage populaire plein de bon sens paysan « il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier. »

    Or, ce dicton ne s’applique pas à l’électricité dont la production doit toujours être égale à la consommation ! Maintenir en permanence l’équilibre du réseau d’électricité français et européen nécessite des moyens de productions pilotables, et non des productions erratiques et fatales comme l’éolien et le solaire.

    Par exemple, en supposant que les sources de production d’électricité soient réparties dans quatre paniers, alors dans tous les cas, même avec le nucléaire réduit à 50 % ou 25 %, si un seul panier tombe, il entrainera automatiquement dans sa chute les trois autres paniers, car ils sont liés par la nécessité d’équilibrer instantanément le réseau d’électricité !

    Diversifier les sources d’approvisionnement avec des sources « pourries » d’énergies renouvelables intermittentes (EnRI) n’apporte aucune sécurité. Et c’est même le contraire. Ces dernières ne pourront certainement pas assurer le complément de production, surtout un soir sans vent…

    En cas de défaillance du nucléaire, ce sera dans tous les cas la panne totale, le black-out !

    Il semble que nos gouvernants et nos élus ne prendront la mesure du danger que le jour où, malheureusement, ce scénario se produira.

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  15. ÉLECTRICITÉ ET ÉMISSIONS DE GAZ CARBONIQUE

    En France, les EnRI contribuent pour une faible part à faire baisser les émissions de gaz carbonique.

    En effet, il faudrait qu’elles produisent intensément pendant les pointes de consommation d’électricité pour éviter la mise en route des quelques centrales à gaz ou à charbon encore existantes émettant du gaz carbonique.

    Or, ce n’est jamais le cas du solaire les soirs froids d’hiver.

    Quant aux productions éoliennes, rares sont les heureux hasards de productions à des moments opportuns.

    Comment, et au nom de quoi ou de qui, justifier le besoin de produire encore plus d’électricité de manière aléatoire et de ruiner la France avec des EnRI ?

    Ce n’est certainement pas au nom du climat ni de la sécurité d’approvisionnement !

    Les émissions de gaz carbonique. de la production d’électricité en France sont là pour en témoigner : 42 ggaz carbonique/kWh en 2019, grâce principalement au nucléaire (6 ggaz carbonique/kWh en France). L’ADEME précise même que l’éolien et le solaire PV émettent davantage de gaz carbonique. que le nucléaire avec respectivement 9 ggaz carbonique/kWh et… 32 ggaz carbonique/kWh.

    Pour mémoire, ces émissions sont 8 fois plus élevées en Allemagne qu’en France avec 362 gCO2/kWh en 2019 !

    En réalité, depuis le début, les EnRI sont des machines de guerre anti-nucléaires dont l’objectif n’est pas la baisse des émissions de gaz à effet de serre.

    COMPLÉMENTARITÉ

    Ce concept de complémentarité n’a jamais été défini avec précision : c’est un attrape-nigaud.

    Pourquoi parler de complémentarité puisque, au mieux, les EnRI sont superfétatoires et donc inutiles et, au pire, elles sont nuisibles ?

    Même le solaire en milieu de journée en été dans le sud du pays ne sert à rien. Certes, il pourrait alimenter la climatisation, mais à cette période de l’année la demande en électricité est plus faible (arrêt des industries et du chauffage), et le nucléaire (encore plus décarboné que le solaire) est sous-utilisé. Il est en capacité de fournir presque « gratuitement » cette électricité sans émissions de gaz carbonique.

    Les productions d’électricité du nucléaire et des renouvelables ne sont donc pas complémentaires. C’est une bonne blague !

    Pourquoi ne pas réagir pour arrêter cette gabegie due aux EnRI inutiles et ruineuses dont nous n’avons pas besoin ?

    Si l’objectif du gouvernement vise à diminuer la consommation d’énergies fossiles et les émissions de gaz à effet de serre (GES) au moindre coût, il doit cesser de les subventionner en faisant croire qu’elles sont complémentaires… sans plus de précision.

    Le schéma allemand de remplacement du nucléaire décarboné par des EnRI est trop souvent porté aux nues en France malgré son inefficacité aussi bien pour le climat que pour diminuer la consommation d’énergies fossiles nationale.

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  16. À contre-courant de l’Allemagne, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) a signé un accord le 30 novembre 2020 avec l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) afin de dynamiser le nucléaire dans la transition énergétique vers des énergies propres. Le Directeur général de l’IAEA avait déjà déclaré en 2019 qu’un plus grand recours au nucléaire était nécessaire pour assurer une transition vers les énergies propres, c’est-à-dire non fossiles.

    Vouloir ancrer dans la tête des citoyens que les EnRI sont incontournables n’est que du bourrage de crâne politiquement correct qui n’a aucune justification technique, écologique et financière.

    Cette « complémentarité » des énergies intermittentes avec le nucléaire, parfois cautionnée par le milieu nucléaire, pourrait bien être celle qui existe entre le bourreau et sa victime.

    Il est ainsi étrange qu’EDF entre dans ce jeu de la complémentarité au point de s’en faire complice.

    Est-ce la théorie du judoka qui utilise la force de l’adversaire pour mieux le mettre à terre ? Attention, cette théorie est valable dans les deux sens… Et dans ce jeu de dupes, qui va l’emporter ?

    La Société française d’énergie nucléaire (SFEN) indique sur son site que : « Les énergies bas carbone, nucléaire et renouvelables, sont complémentaires ».

    Non. Cette phrase cautionne les EnRI qui, exceptée l’hydroélectricité, sont nuisibles au nucléaire et inutiles pour les Français.

    En quoi sont-elles complémentaires puisque le nucléaire n’a pas besoin des EnRI (au contraire) et qu’elles perturbent le réseau ?

    Au nom de quoi le nucléaire devrait-il encourager leur développement ?

    La SFEN indique aussi que « Le parc nucléaire français est un socle qui permettra aux énergies renouvelables intermittentes de se développer dans toute l’Europe de l’Ouest ».

    Non. Le parc nucléaire français n’a pas à contribuer à ce développement contraire aux intérêts de la France, et même de l’Europe, en imitant le fiasco de l’EnergieWende en Allemagne qui a ajouté les œufs pourris des EnRI dans son panier.

    https://www.contrepoints.org/2020/12/23/387145-electricite-attention-a-ne-pas-ajouter-des-oeufs-pourris-dans-le-panier

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    1. (...) Le Président Macron a déclaré au Creusot le 8 décembre 2020 « je n’ai jamais été partisan du tout nucléaire parce qu’il est nécessaire de ne pas dépendre d’une seule source. » (...)

      La dictature des sources labélise la dictature comme étant nécessaire. Notez qu'en Suisse ils auraient demandé l'avis du Peuple (par référendum) et non celui de celle ou celui qui siège comme chef(fe) d'Etat.

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  17. La France connaîtra-t-elle bientôt une vague de migrants afghans ?


    13:38 23.12.2020
    Par Nikita Martynov


    Avec des millions d’Afghans de plus ayant besoin d’aide humanitaire, les migrations de leur population risquent de se tourner vers l’Europe, et la France ne sera donc pas épargnée, indique Le Figaro. Selon le chercheur Karim Pakzad, c’est «une bombe à retardement», car leur séjour illégal «favorise les idées complotistes et haineuses».

    La France pourrait faire face à une nouvelle vague de migrations issues de l’Afghanistan, rapporte Le Figaro.

    Ainsi, dans son récent rapport cité par le quotidien, l’Onu note une hausse de cinq millions du nombre d’Afghans nécessitant de l’aide humanitaire en 2021, pour un total de 16 millions, ce qui risque de provoquer des déplacements et donc des migrations depuis ce pays qui connaît une multiplication des attaques des talibans* contre les forces gouvernementales.

    Comme les pays voisins refusent d’accueillir ces migrants qui sont déjà nombreux, ceux-ci se trouvent d’autres destinations. Ils privilégiaient autrefois trois pays: la Suède, le Royaume-Uni et l'Allemagne. Mais à cause de restrictions considérables des politiques migratoires de ces pays, les migrants afghans se retrouvent souvent coincés en Grèce, en Italie ou en France.

    C’est ce que prouvent les données de l'Office de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) qui note que le nombre de primo demandeurs d'asile a quasiment été multiplié par cinq depuis 2015. Ainsi, au camp des 3.500 migrants de Saint-Denis au nord de Paris, démantelé il y a quelques semaines, plus de 90% étaient des Afghans, indique le journal.

    Séjour en France
    Des groupes de jeunes afghans rôdent souvent dans ces camps.

    «Dans l’attente de l'examen de leur demande d'asile, ou bien après un refus, beaucoup versent dans le trafic de cigarettes ou de drogue pour tenter de subvenir à leurs besoins», relate au journal une source policière.
    Interrogé par Le Figaro, Karim Pakzad, chercheur associé à l'Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS), note que certains migrants ne sont même pas des réfugiés politiques et qu’ils viennent «à la recherche d'une vie meilleure, donc leurs demandes d'asile sont souvent refusées». Mais malgré les refus, ils restent illégalement sur le territoire.

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  18. Un «choc civilisationnel, culturel»

    «Ils sont radicalisés. Ils sont imprégnés d'un islam très conservateur, très rétrograde, où les violences faites aux femmes sont considérées comme normales», ajoute-t-il, estimant que les Afghans connaissent un «choc civilisationnel, culturel» à leur arrivée en France.

    Alors qu’un autre chercheur associé à l'IRIS, Georges Lefeuvre, doute des liens entre migrants et terrorisme, car eux-mêmes en ont souvent été victimes, le chercheur Karim Pakzad appelle à ne pas mettre à l'écart «le risque sécuritaire» vu le caractère clandestin des migrants, ce qui ne contribue pas à leur intégration, mais au contraire «favorise même les idées complotistes et haineuses», indique au journal une source policière.

    «Des milliers de réfugiés afghans vont d'un pays à l'autre, vivent dans la clandestinité, sans espoir d'amélioration. Cette façon de vivre constitue une bombe à retardement pour la France et l'Europe», explique au journal Karim Pakzad.

    *Organisation terroriste interdite en Russie

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  19. Les produits « bio » 44 % plus chers, le Parisien et le Président Emmanuel Macron


    23 Décembre 2020
    par Seppi


    (Source)

    Merveilleux télescopage !

    Le 14 décembre 2020, le Parisien publie : « Les fruits et légumes bio 44 % plus chers en moyenne : pourquoi un tel écart ? » (réservé aux abonnés), avec en chapô :

    « Selon une étude de la CLCV que nous dévoilons en exclusivité, les fruits et légumes bio restent plus chers que ceux issus de l’agriculture classique, y compris dans les grandes surfaces. »

    Le même jour, le Président Emmanuel Macron annonce sur un ton martial et conquérant qu'« on » va introduire un chèque alimentaire « pour aider les plus précaires à se nourrir avec des produits biologiques et locaux ». C'est bien sûr, une fuite en avant devant la débâcle de la Convention Citoyenne pour le Climat qu'il a lui-même orchestrée.

    Pour un bénéfice nul, voire négatif...

    La notion de « précaires » n'étant pas définie, ni le volume de produits alimentaires en jeu, on en est réduit aux supputations. Avec quelque 8 millions de personnes comptant aujourd'hui, à un moment ou un autre, sur l'aide alimentaire, il faut compter sur 800 millions d'euros par tranche de 100 euros de tickets distribués... une paille... Si l'on prend les pauvres avec un seuil de 60 % du revenu médian, la facture monte à 930 millions.

    Une paille... pour un bénéfice nutritionnel nul, un impact environnemental souvent négatif – ne serait-ce que par la nécessité d'occuper davantage de surface agricole pour une production identique – et un effet économique probablement négatif, une grande partie des produits « bio » devant être importés et l'étant de pays plus compétitifs.

    44 % à un instant t selon une enquête particulière

    Revenons donc à l'article du Parisien et l'enquête de CLCV (Consommation, Logement et Cadre de Vie). Le résultat est tout simplement une image à l'instant t pour une gamme de sept produits (carotte, courgette, tomate ronde, banane, orange, pomme Golden et raisin blanc avec pépins) et des prix collectés dans deux ensembles de points de vente (370 au total). Le résultat semble être plutôt dans la zone basse des écarts de prix entre « bio » et « conventionnel ».

    (Source)

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  20. L'écart avec le « conventionnel » baisse-t-il ?

    Ça tombe bien ! Le Parisien écrit, en produisant un formidable non sequitur :

    « Avec le développement de la filière, l'écart semble toutefois se resserrer. "Il y a quelques années, on parlait d'une différence de 70 %", rappelle Patrick de Ronne, président de Biocoop (680 magasins en France). Aujourd'hui, les achats en fruits et légumes frais biologiques représentent 8 % des quantités achetées, selon des données de France Agrimer. Un chiffre en progression de 6 % par rapport à 2018 alors que la surface agricole dévolue au bio a doublé en cinq ans dans l'Hexagone, selon l'Agence Bio. »

    L'écart s'est-il (se serait-il) resserré parce que les prix du « conventionnel » ont augmenté ou que ceux du « bio » ont baissé et, dans ce dernier cas, qui supporte la baisse ?

    Nous sommes cependant prévenus :

    « Mais attention, même s'il se développe, "le bio n'a pas vocation à être au même prix que le conventionnel", rappelle Patrick de Ronne. La CLCV le reconnaît aussi : "C'est normal que le bio soit plus cher. Il y a un surcoût qui est évidemment lié au mode de production", pointe Lisa Faulet [chargée de mission alimentation à CLCV]. »

    En d'autres circonstances, on vous expliquerait que le « bio » est aussi productif que le « conventionnel », que si... on peut mettre Paris en bouteille… enfin on peut arriver au même prix.

    - voir graphique sur site -

    (Source : rapport CLCV)

    La faute aux emballages ?

    Ce qui est intéressant dans l'article du Parision, ce sont les explications, en partie fokloriques.

    Selon Carrefour, le « bio » n’est pas moins cher dans les grandes surfaces à cause des emballages, obligatoires pour éviter les mélanges. Est-ce par rapport au « conventionnel » ou au « bio » vendu par des enseignes spécialisées ? S'agissant de la deuxième hypothèse, on peut émettre quelques doutes quand on a dans cette enquête des carottes et des courgettes plus chères dans les magasins spécialisés et que la CLCV conclut que la différence de prix qu'elle a constatée n'est pas significative...

    (Source : le Parisien)

    - voir graphique sur site -

    Pourquoi les enseignes spécialisées ne sont-elles (seraient-elles) pas moins chères ?

    Selon le rapport de CLCV, en tenant compte des incertitudes de son enquête, il n'y aurait pas de différence entre enseignes généralistes et spécialisées. C'est exprimé de manière orientée, quoique justifiée quand on connaît la publicité faite notamment par une certaine enseigne :

    « Dans tous les cas, ces résultats montrent que les GMS ne semblent pas forcément être les plus intéressantes pour acheter des fruits et légumes bio, malgré leurs nombreuses promesses de proposer aux consommateurs des produits biologiques à petits prix et accessibles à tous. »

    La critique est certes pertinente, s'agissant des « promesses ». Mais on peut retourner l'argument : pourquoi les magazins spécialisés – dont bon nombre ne sont pas des petites surfaces – ne sont-ils pas moins chers ?

    Moins de promos sur le « bio » ?

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  21. On ferait aussi moins de promos en « bio ». Ah bon...

    L'article ramène même la crise de la Covid-19 qui aurait incité les distributeurs à multiplier les opérations promotionnelles sur des fruits et légumes (sous-entendu : conventionnels) à prix coûtant pour « soutenir le pouvoir d'achat des consommateurs et des producteurs ». Cet argument relève en partie de la tromperie. D'une part, les ventes à prix coûtant ne sont pas si nombreuses et, d'autre part, CLCV n'évoque pas ces opérations dans son document.

    Et en admettant qu'il fût exact, que des opérations de promotion plus nombreuses aient été menées et que cela se soit reflété sur les prix du « conventionnel », l'argument plaide en défaveur du resserrement de la différence de prix.

    L'éternelle question des marges

    Et, croix de bois, croix de fer, on ne ferait pas de marges plus importantes sur le bio qu'en conventionnel. Deux exemples de taux de marge quasiment identiques sont donnés dans l'article. Admettons... mais un taux de marge identique sur des bases différentes produit des marges différentes (dont une partie peut très bien s'expliquer)...

    Si vous comprenez la logique de l'assertion suivante, vous êtes très fort :

    « Carrefour abonde : "On ne fait pas de distinction entre le bio et le conventionnel. Les marges sont appliquées selon d'autres critères. Nous partons du prix qui convient le mieux aux clients et notamment en observant ce que fait la concurrence." »

    Production locale vs. importations

    On nous apprend aussi que le « bio » made in France ne serait pas plus cher que le « bio » importé (sauf exceptions comme le raisin). On nous cite à cet effet la tomate ronde et la courgette. Mais...

    « "Pour l'exemple de la tomate et de la courgette, cette année a été exceptionnelle", précise Marie Estangoy » [acheteuse fruits et légumes chez Naturalia].

    Y aurait-il une tendance générale. Selon Mme Marie Estanguoy,

    « Mais en général, il y a de plus en plus de producteurs bio en France. C'est une très bonne nouvelle, car plus il y a de producteurs, plus les filières se structurent et permettent des économies d'échelle. Les prix sont donc plus compétitifs et se rapprochent des prix de l'import historiquement plus bas. »

    On peut aussi le traduire de la manière suivante : plus il y a de producteurs, plus on peut faire jouer la concurrence...

    Le Président de la République VRP du « bio »

    Le Parisien écrit dans son texte :

    « Mais alors que les pouvoirs publics encouragent les Français à acheter des produits bio, elle [l'enquête] met en exergue le surcoût important que cela représente pour leur portefeuille. »

    CLCV écrit pour sa part :

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  22. « La consommation de produits bio est pourtant encouragée par les pouvoirs publics et fait partie des dernières recommandations publiées par Santé Publique France en 2019. Nous interpellons les pouvoirs publics sur la nécessité de rendre accessibles au plus grand nombre les produits issus de l’agriculture biologique.

    Hélas oui ! Comme nous l'avons décrit dans « Programme National Nutrition Santé (PNNS) et bio : on nous prend pour des buses », le « bio » s'est infiltré sournoisement dans les recommandations alimentaires.

    Le pompier-pyromane Président de la République n'a manifestement pas répondu à l'interpellation de CLCV – cela aurait été chronologiquement difficile – mais à la nécessité d'éteindre les incendies qu'il a allumés avec la Convention Citoyenne pour le Climat.

    Il a une solution : ponctionner les finances publiques – dont l'impôt payé par les contribuables imposables – pour financer encore davantage une filière dont une partie se sucre déjà confortablement.

    https://seppi.over-blog.com/2020/12/les-produits-bio-44-plus-chers-le-parisien-et-le-president-emmanuel-macron.html

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    1. Ils y a 150 ans comme y a 10 000 ans, existaient les 'produits bio'. Zéro médicaments contre les plantes malades, zéro engrais (fumier pauvre et insuffisant) et LA FAMINE !

      Aujourd'hui, grâce aux remèdes l'on ne vend plus de fruits et légumes malades qui risquent de porter atteinte à la santé des gens (avant, les gens mouraient à 40 ans !). Aujourd'hui, grâce aux engrais appropriés pour fournir aux plantes leur juste alimentation, ce sont des milliards d'hectares qui nourrissent 7 milliards de personnes.

      Vous en mangeriez de la viande de vaches folles ? Du lapin myxomatose, du poulet grippe aviaire, des tomates mildiou, des raisins phylloxéra ? Non ? Alors, pourquoi mangez vous 'bio' ?

      Le bio est une escroquerie ! Demain, ils vous dirons de manger de la merde ! Pourquoi pas ,! C'est BIO ! Hahaha !

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  23. La liste des vilains garnements du Père Noël 2020


    23 Décembre 2020
    par Seppi
    Amanda Zaluckyj, la Fille du Fermier*



    Le Père Noël ne distribue pas que des cadeaux : aux enfants qui n'ont pas été sages (qui ont été « naughty »), il apporte un morceau de charbon.

    Ce texte est évidemment centré sur les États-Unis d'Amérique. Mais rien ne vous empêche de faire des rapprochements avec des personnages, entités et situations français.

    C'est la plus belle période de l'année ! Et cela signifie que c'est aussi le moment pour le Père Noël de faire la liste des vilains garnements. Bien sûr, il me fait toujours l'honneur de l'assister dans cette tâche et je suis heureuse de l'aider.

    Certes, cette année a été difficile. Mais pas parce qu'il n'y avait pas 10 très bons candidats : parce que toute l'année a légitimement mérité de figurer sur la liste des vilains garnements. Mais j'ai réussi à réduire le nombre de candidats.

    Alors sans plus attendre, je vous présente la liste des vilains garnements du Père Noël 2020.

    10. Cameron Diaz

    Elle a été tellement stupide que je n'ai pu que l'inclure dans la liste. Cameron Diaz et son ami ont lancé cette année leur marque de vin biologique et propre. Diaz a fièrement déclaré : « Si vous ne buvez pas du vin produit à partir de raisins issus de l'agriculture biologique, vous buvez des pesticides – ce ne sont pas des choses que vous voudriez avoir en vous. » Non seulement c'est faux, mais il manque vraiment l'éléphant dans la pièce. L'alcool est un agent cancérigène. Et vous avez mille fois plus de chances de développer un cancer à cause de l'alcool, que de voir un effet négatif des résidus de pesticides.

    9. British Petroleum

    On dirait que c'était il y a une éternité, mais en janvier, BP a fait la promotion de son calculateur d'empreinte carbone. Et, vous l'avez deviné, la compagnie pétrolière a suggéré aux gens de renoncer à la viande rouge afin de lutter contre le changement climatique. Il faut en avoir des couilles pour gagner des sommes considérables en vendant de l'essence et suggérer ensuite que Joe de la Rue Principale doit arrêter de manger du steak. Le Père Noël n'est pas impressionné.

    8. Organic Valley

    Je suis d'accord avec ma collègue contributrice d'AGDAILY, la Food Science Babe : Organic Valley est l'un des pires délinquants. OV adore utiliser le marketing de la peur sur ses emballages. Et ce n'est même pas honnête et sincère vis-àvis des consommateurs. Cette année, ils ont lancé des publicités télévisées qui font de fausses déclarations. Pensez-vous qu'ils pourraient simplement promouvoir leurs produits sans utiliser de tactiques contraires à l'éthique ? Mais le charbon est assez organique... [Ma note : l'original joue sur le lien avec l'agriculture biologique, en anglais organic agriculture.]

    7. Cargill

    La présence de Cargill n'est pas insolite dans la liste des vilains. Il y a quelques années, elle a vendu les agriculteurs en s'associant au Non-GMO Project. Cette année, Cargill s'est peut-être surpassé en devenant partenaire industriel du GOOP de l'actrice Gwenyth Paltrow. Il n'est littéralement pas possible de trouver quelqu'un de plus imprégné de crédulité et de dispensateur de dangereux conseils de « bien-être » que Paltrow. Mais Cargill a vu les bénéfices du commerce des compléments alimentaires non réglementés et s'est lancé dans l'aventure. Cargill pourrait tout aussi bien faire la grasse matinée le matin de Noë

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  24. 6. L'Ultra Pure Gold de Michelob

    Pourquoi le Super Bowl est-il devenu la plate-forme des publicités insultantes pour les agriculteurs ? Michelob [ma note : une marque de bière d'Anheuser-Busch] a récidivé cette année avec sa campagne « 6 pour pour un pack de 6 ». Michelob a dit aux consommateurs d'acheter un pack de six bières et qu'ils paieraient pour faire passer six pieds carrés de terres agricoles [un peu plus d'un demi-mètre carré] à la production biologique. Mais cela s'est traduit par 7.260 packs de six bières pour convertir une superficie d'un acre [quelque 4.000 mètres carrés] à la production biologique. La signalisation de la vertu est évidente et tout simplement moche.

    5. Pat Brown, PDG d'Impossible Foods

    Les « viandes » végétales sont de plus en plus populaires comme moyen de lutter contre le changement climatique (sauf que la viande n'est pas le coupable que tout le monde croit). Impossible Foods est devenu un leader du secteur en s'associant avec certaines chaînes de restauration rapide. Et bien que je ne rejette pas l'idée automatiquement, le PDG de la société l'a gâchée pour ce qui me concerne. Il a ridiculement déclaré que l'élevage « est la technologie la plus destructrice qui soit ». Le Père Noël laissera sans doute du charbon sous son sapin, et ce sera peut-être le cadeau le plus ironique de tous les temps.

    4. Le cancer

    Si vous avez suivi mon blog de près cette année, vous savez que j'ai été diagnostiquée avec un cancer et que j'ai subi une chimiothérapie. C'était dur et effrayant, surtout pendant une pandémie. Mais j'ai aussi trouvé un amour et un soutien incroyables de la part de tant de personnes. Alors, va te faire voir, cancer.

    3. Environmental Working Group

    L'EWG est un habitué de la liste des vilains garnements du Père Noël. Pourquoi ? Parce qu'ils font toujours quelque chose de mal, y compris la liste des douze salopards [une liste de douze fruits et légumes censés contenir le plus de résidus de pesticides] et l'alerte annuelle aux antibiotiques dans la viande. On aurait pu espérer que, confronté à une pandémie qui perturbe l'approvisionnement en nourriture et provoque des pénuries, l'EWG aurait été suffisamment décent pour mettre fin à ces tactiques de peur. C'est incroyable, mais cela n'a pas été le cas. L'EWG a donc publié une liste des aliments prétendument les plus sales en plein confinement, dans un contexte d'anxiété et d'incertitudes. Incroyable !

    2. Consumer Reports

    Sans la pandémie, CR serait en tête de liste cette année. L'organisation a (presque littéralement) copié la liste des douze salopards d'EWG avec une autre liste ridicule effrayant à tort les gens sur les résidus de pesticides. Et puis elle s'est énervée quand je l'ai dénoncée pour ses mensonges. Voilà le truc : si vous voulez calomnier les agriculteurs familiaux et le produit de leur travail, je vais vous dénoncer. Surtout quand tout cela n'est qu'une farce. Profitez de votre charbon !

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  25. 1. La Covid-19

    Je pense que nous sommes tous d'accord pour dire que la pandémie de coronavirus a rendu cette année extrêmement difficile et éprouvante. Nous essayons tous de trouver un équilibre entre la sécurité, la famille, les amis, l'apprentissage en ligne et le travail. Elle a provoqué des perturbations dans notre approvisionnement alimentaire (et dans l'approvisionnement d'autres produits de première nécessité). Et elle a bouleversé le monde entier. Je ne sais pas si le Père Noël apporte normalement des cadeaux aux virus, mais la Covid-19 ne mérite même pas de charbon.

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    * Amanda Zaluckyj blogue sous le nom The Farmer's Daughter USA. Son objectif est de promouvoir les agriculteurs et de lutter contre la désinformation qui tourbillonne autour de l'industrie agroalimentaire américaine.

    Sa famille exploite une ferme et produit du maïs et du soja dans le sud-ouest du Michigan. Elle est avocate et est passionnée par l'agriculture.

    Source : Santa's Naughty List 2020 - The Farmer's Daughter USA

    https://seppi.over-blog.com/2020/12/la-liste-des-vilains-garnements-du-pere-noel-2020.html

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  26. Plainte contre Didier Raoult: «C’est une obsession», s’indigne son avocat


    19:30 23.12.2020


    Le professeur Raoult riposte à la plainte déposée contre lui par l’Ordre des médecins. Pour son avocat, cette procédure disciplinaire est le chant du cygne d’une instance qui s’est illustrée par son absence durant la crise. Refusant de s’attaquer aux puissants, elle espérerait, selon maître Fabrice Di Vizio, intimider tous les praticiens.

    Bras de fer, à la veille de Noël, entre le professeur Raoult et le Conseil national de l’ordre des médecins (CNOM) ou plutôt… entre le professeur Didier Raoult et le docteur Patrick Bouet, président de l’instance ordinale. Le 22 décembre, au lendemain des révélations de l’agence de presse médicale APMNews sur le dépôt de plainte du CNOM à l’encontre du directeur de l'Institut hospitalo-universitaire de Marseille et de cinq autres médecins, son avocat annonçait déposer plainte à son tour.

    «C’est devenu une obsession. La prochaine étape, c’est d’accuser [Didier Raoult] d’avoir tué Kennedy. C’est du délire!» s’emporte Fabrice Di Vizio, avocat du professeur Raoult, au micro de Sputnik.

    Le CNOM s'est associé à la plainte déposée en juillet par la Société de pathologie infectieuse de langue française auprès du conseil de l'ordre des Bouches-du-Rhône, dont le président, le professeur Pierre Tattevin, reprochait au professeur Raoult d'avoir «fait une grosse promotion» de l'hydroxychloroquine. Pour riposter à ce procès en charlatanisme, Didier Raoult a donc déposé plainte pour harcèlement, directement à l’encontre du docteur Bouet.

    La démarche judiciaire et son annonce dans la presse tranchent à n’en pas douter avec le silence dont le Conseil de l’ordre a fait preuve tout au long de la crise sanitaire. «On a une atteinte claire à l’intégrité du corps humain!» s’indigne l’homme de loi, qui souligne de surcroît une «coïncidence des dates», au moment même où le gouvernement dépose un projet de loi visant à pérenniser l’État d’urgence sanitaire.

    Indignation sélective du Conseil de l’ordre

    «Ils n’ont pas dit pourquoi, même à moi», précise l’avocat, concernant les griefs du Conseil de l’ordre à l’encontre de son client, «pour les "propos tenus"; je ne sais pas de quoi ça parle». Une chose est cependant sûre à ses yeux: la liberté d’expression fonctionne à «deux vitesses» au CNOM. Ainsi notre interlocuteur souligne-t-il qu’Olivier Véran, Jérôme Salomon ou encore Agnès Buzyn, tous médecins, n’ont toujours pas été inquiétés pour leurs manquements. Comme le rappelle Fabrice Di Vizio, l’ex-ministre de la Santé a publiquement avoué avoir vu venir le danger du Covid-19 avant de démissionner pour briguer la mairie de Paris.

    «Est-ce plus grave de dire “j’ai averti tout le monde, ils n’ont rien fait” ou de dire "Covid: fin de partie"?» tacle le juriste, en référence à une vidéo du professeur Raoult, postée fin février, où il annonçait une efficacité in vitro de la chloroquine sur le SRAS-CoV-2. «Est-il plus grave de venir faire pression pour falsifier un rapport ou de dire "la chloroquine, ça marche"?» poursuit-il. Une référence, cette fois, aux pressions qu’aurait exercées Jérôme Salomon afin de modifier un rapport de 2018 préconisant le rachat de masques de protection respiratoire en prévision d’une pandémie. Un stock d’État que le numéro deux du ministère de la Santé jugeait à l’époque trop coûteux à entretenir.

    «L’Ordre aurait pu s’intéresser à Jérôme Salomon. Mais, pour cela, il faut du courage. Et si l’État se fâchait? Vous imaginez s’ils recevaient un coup de téléphone du ministre, ce serait terrible», raille l’avocat.

    Enquête judiciaire contre Philippe, Buzyn et Véran: «on est parti pour le procès du système !»

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  27. Ce dernier ne s’arrête pas en si bon chemin, rappelant l’inaction du Conseil de l’ordre face aux menace de mort reçues par Didier Raoult de la part d’un chef de service du CHU de Nantes. «Est-il plus grave de prendre son téléphone pour, de manière anonyme, menacer de mort un confrère ou de dire qu’à Marseille on a de bon résultats là où –chiffres à l’appui– à Paris ils sont plus mauvais?» poursuit-il ainsi. Même comparaison concernant tous ceux qui ont promu le Remdesivir comme «un traitement miraculeux, efficace, prometteur» au moment où «on sait déjà qu’il ne marche pas. Est-ce-plus grave de venir dire qu’on a un important nombre d’études qui montrent que la chloroquine marche ?»

    Sans concession vis-à-vis de l’instance ordinale, Fabrice Di Vizio souligne également les révélations, début 2019, du Canard enchaîné. L’hebdomadaire satirique avait alors déniché un rapport provisoire de la Cour des comptes pointant l’absence de sanctions du CNOM à l’encontre de médecins présentant d’importants conflits d’intérêts en raison de liens avec des laboratoires pharmaceutiques. La même mansuétude avait épargné des praticiens condamnés pour des abus sexuels dans le cadre de leur profession!

    «Nous avons affaire à un Ordre qui n’existe plus et qui entame aujourd’hui un baroud d’honneur. Mais personne n’est dupe, le Conseil national de l’ordre des médecins est mort avec cette crise», assène Fabrice Di Vizio. «Si j’étais l’Ordre, avec les casseroles qu’il a aux fesses, je resterais bien confiné, à faire mon petit travail administratif, à toucher mon généreux salaire à la fin du mois et surtout je n’essaierais pas d’exister. Car il y avait encore un doute. Mais là tout monde va voir qu’ils sont ridicules. Ils vont devenir la risée de la profession.»
    «C’est une volonté d’intimidation, rien d’autre», accuse-t-il, revenant sur le profil des différents médecins ciblés par le CNOM. «Ce n’est pas Raoult la cible, ce sont les médecins de base; c’est une volonté de s’immiscer dans la liberté des médecins», tonne l’avocat du professeur Raoult avant d’insister : «Le but de ces pointures, c’est de dire aux généralistes "attention, on vous a à l’œil".»

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  28. Une mesure «d’intimidation» des médecins

    Sur le banc des accusés, hormis les médiatiques professeurs Didier Raoult et Christian Perronne, on retrouve le professeur Henri Joyeux, cancérologue à la retraite, le docteur Nicole Delépine, ancienne oncologue pédiatrique à Garches, ainsi que deux généralistes: les docteurs Nicolas Zeller et Hélène Rezeau-Frantz.

    «Il y a une volonté clairement assumée de l’Ordre national des médecins d’intimider le corps médical en contestant les libertés thérapeutiques, en venant entraver ni plus ni moins qu’une libre expression!» martèle maître Di Vizio.

    Hold-Up: «la critique au bazooka à laquelle on assiste est tout à fait hors de propos»

    Dénonçant cette «pression» mise aujourd’hui sur les universitaires dans le cadre de la crise du Covid, l’avocat dresse un parallèle avec la situation rencontrée de longue date par les journalistes. «Par peur des poursuites, ils s’autocensurent. C’est la même chose avec les universitaires», insiste Fabrice Di Vizio. La Cour européenne des droits de l’homme a en effet «mis en garde contre le fait que les poursuites à l’encontre de journalistes peuvent être de nature à entraver leur liberté d’expression»

    La violation de la liberté d’expression des enseignants-chercheurs, un angle d’attaque adopté par l’avocat du professeur Perronne, cette fois à l’encontre de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP). L’établissement public francilien avait annoncé le 17 décembre démettre de ses fonctions le chef de service des maladies infectieuses et tropicales à l'hôpital Raymond-Poincaré de Garches, à l’issue d’un entretien avec son directeur Martin Hirsch.

    Le professeur Perronne aurait ainsi «tenu publiquement des propos non confraternels» à l’encontre de l’un de ses confrères dans le film documentaire Hold-Up, selon l’AP-HP qui a assorti ce licenciement d’une plainte auprès du conseil départemental de l'ordre des médecins. Une plainte là aussi reprise par l’instance nationale de l’Ordre des médecins.

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  29. Plus d'un tiers des examens du barreau de Californie signalés pour une possible fraude


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 23 DÉC.2020-20: 40


    Plus d'un tiers des examens du barreau de Californie passés en ligne en octobre ont été signalés pour une possible triche, a rapporté la barre d'État après que le logiciel de test eut alerté les autorités.

    Le comité des examinateurs du barreau du barreau de Californie "examine actuellement 3 190 candidats" sur 9 301 qui ont passé l'examen, selon une déclaration du 4 décembre du responsable du barreau de l'État, Tammy Campbell. Selon la loi Bloomberg, les candidats au test ont été signalés en raison de plusieurs infractions aux règles, notamment le fait d'avoir des téléphones portables ou d'autres équipements électroniques pendant le test, ainsi que de regarder hors de l'écran ou d'avoir de la nourriture.

    L'enquête, rapportée pour la première fois par le journal ABA, expose les candidats signalés par le système au risque d'être obligés de repasser l'examen, qui est généralement requis avant qu'un diplômé de la faculté de droit ne soit autorisé à travailler comme avocat dans l'État. Tout examen qui corrobore la tricherie généralisée pourrait également donner aux critiques des examens du barreau en Californie et dans d'autres États des munitions supplémentaires pour promouvoir des alternatives comme le privilège du diplôme, qui permet aux diplômés des facultés de droit d'obtenir une licence sans passer d'examen. -Loi Bloomberg

    «Nous pensons que plusieurs facteurs ont contribué au nombre de vidéos signalées, notamment la nature sans précédent de ce tout premier examen du barreau à distance en ligne et la population nombreuse et diversifiée qui l'a passé en Californie», a déclaré la porte-parole du barreau d'État Teresa Ruano, ajoutant "Nous continuerons d'affiner et d'améliorer ce processus sur la base des enseignements tirés de ce premier examen en ligne."

    Les avocats de plusieurs candidats signalés disent que les allégations sont absurdes et exagérées. L'avocate basée en Géorgie, Megan Zavieh, qui a des bureaux en Californie, représente plus de deux douzaines des candidats qui ont été contactés par le barreau de la Californie, et a déclaré que certains de ses clients avaient reçu des lettres accusant des gens d'avoir déplacé leurs yeux hors de la portée de la caméra. moment.

    «Ce n’est pas seulement,« non, je n’ai pas fait ça. »C’est,« Je n'ai aucune idée de ce dont vous parlez », a-t-elle dit.

    La Californie est passée à un examen du barreau en ligne en octobre en raison de la pandémie. La plupart des États qui l'ont fait utilisent ExamSoft, basé à Dallas, pour fournir des logiciels. La société utilise des surveillants d'IA connectés aux ordinateurs des candidats, y compris des webcams, pour surveiller le comportement.

    Selon ABA Journal, les soi-disant «avis du chapitre 6» de violations potentielles ont été envoyés à de nombreux candidats après que le logiciel de fichiers vidéo ExamSoft ait signalé la conduite au barreau.

    Cela a incité les étudiants à embaucher des avocats comme Zavieh et Pasadena, l'avocat en éthique basé en Californie, Erin Joyce.

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  30. Joyce a déclaré que ses clients étaient préoccupés par l'impact que les avis qu'ils avaient reçus pourraient avoir sur leur capacité à obtenir des licences légales permanentes ou même provisoires, même s'ils sont finalement disculpés. «Ils ont peur et ils sont en colère», dit-elle. «Ils ont mis beaucoup d'efforts et de dépenses dans le test.»

    Les avis du chapitre 6 contiennent des allégations qui sont soit «contestables» soit «incontestables», selon une liste de questions fréquemment posées que le Barreau a publiées sur son site Web. Une douzaine de types d'infractions présumées sont contestables et donc éligibles à une audience, selon un chapitre 6 de la barre d'État, «Decisional Matrix».

    Les allégations incontestables incluent celles dans lesquelles le candidat possédait des notes ou d'autres aides à l'étude, ou des appareils électroniques comme des téléphones portables ou des montres numériques. Les allégations contestables, qui peuvent être contestées par une audience, incluent la présence de radios ou de chaînes stéréo, ou «de la nourriture ou des boissons, y compris, mais sans s'y limiter, du café et de l'eau» dans les salles d'examen lors d'un examen surveillé à distance.-Loi Bloomberg

    Les allégations de tricherie viennent à la suite d'un scandale de tricherie en ligne similaire à West Point, où plus de 70 cadets ont été accusés d'avoir triché lors d'un examen de calcul au printemps dernier.

    Cinquante-neuf des cadets ont admis avoir triché au test, qui a été effectué à distance plutôt que sur le terrain de l'académie en raison de la pandémie, selon des responsables de West Point. Deux des cas ont été abandonnés faute de preuves, quatre cadets ont démissionné et huit cadets font face à des audiences sur le code d'honneur qui pourraient entraîner leur expulsion, selon le directeur des affaires publiques, le lieutenant-colonel Christopher Ophardt.

    "Le processus des honneurs fonctionne comme prévu, et il n'y a eu aucune exception à la politique pour aucun de ces cas", a déclaré Ophardt, ajoutant que "les cadets sont tenus responsables d'avoir enfreint le code."

    https://www.zerohedge.com/political/over-third-california-bar-exams-flagged-possible-cheating

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  31. Des milléniaux riches complotent la fin de la civilisation


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 23 DÉC.2020-19: 35
    Rédigé par Doug French via The Mises Institute,


    Le New York Times a réussi à trouver des jeunes dont les cuillères en argent donnent un goût amer dans la bouche. Pour les entendre parler, leur chance les rend malades.

    «Je veux construire un monde où quelqu'un comme moi, un jeune qui contrôle des dizaines de millions de dollars, est impossible», a déclaré Sam Jacobs, 25 ans, au Times.

    Jacobs est parti à l'université un jeune homme normal et est revenu socialiste. Soudain, la «richesse extrême et ploutocratique» de sa famille est devenue un fardeau trop lourd pour lui.

    «Il veut mettre son héritage pour mettre fin au capitalisme», a écrit Zoë Beery pour le NYT, «et par là il entend utiliser son argent pour défaire des systèmes qui accumulent de l'argent pour ceux qui sont au sommet, et qui ont joué un rôle important dans l'élargissement de l'économie. et l'inégalité raciale. »

    Wow, c'est un peu de dégoût de soi. Si seulement Ludwig von Mises avait pu conseiller le jeune Jacobs, dont le grand-père a fondé Qualcomm et qui devrait hériter de 100 millions de dollars. Dans son livre Epistemological Problems of Economics, Mises a écrit: «À travers tous les changements dans le système de stratification sociale en vigueur, les philosophes moraux ont continué à s'accrocher à l'idée fondamentale de la doctrine de Cicéron selon laquelle gagner de l'argent est dégradant.»

    Beery écrit que la richesse est concentrée dans les parenthèses supérieures et que «les milléniaux seront les bénéficiaires du plus grand changement de génération d'actifs de l'histoire américaine.»

    Cela ne semble pas être une pensée inquiétante; cependant, c'est pour Rachel Gelman, une trentenaire d'Oakland, en Californie, qui a décrit sa politique à Beery comme «anticapitaliste, anti-impérialiste et abolitionniste».

    «Mon argent est principalement constitué d'actions, ce qui signifie qu'il vient de sous-payer et de sous-évaluer les gens de la classe ouvrière, et c'est impossible de se déconnecter de l'héritage économique du génocide et de l'esclavage autochtones», a déclaré le coupable Gelman.

    "Une fois que j'ai réalisé cela, je ne pouvais pas imaginer faire quoi que ce soit avec ma richesse en plus de la redistribuer à ces communautés."

    Mises a vu les choses différemment.

    «Les richesses des riches ne sont la cause de la pauvreté de personne; le processus qui rend certaines personnes riches est, au contraire, le corollaire du processus qui améliore la satisfaction des désirs de nombreux peuples. Les entrepreneurs, les capitalistes et les technologues prospèrent dans la mesure où ils réussissent à mieux approvisionner les consommateurs », écrit-il dans The Anti-Capitalistic Mentality.

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  32. Elizabeth Baldwin est une socialiste démocrate de trente-quatre ans de Cambridge, Massachusetts, qui a été adoptée d'Inde par une famille blanche lorsqu'elle était bébé. Maintenant, grâce à ses parents adoptifs, elle est riche, avec un portefeuille d'actions contenant des actions de Coca-Cola et Exxon-Mobil.

    Mais, elle déteste l'idée d'avoir sa richesse immobilisée dans des actions de sociétés multinationales et «préfère plutôt mettre mon argent dans une communauté qui s'est vu refuser des ressources économiques et perturbe le système».

    Elle dirige ses fonds vers ce qu’elle et d’autres riches millénaires décrivent comme «l’économie solidaire». La camarade voyageuse et socialiste démocratique, Emma Thomas, âgée de 29 ans, a décrit ce dans quoi elle investit maintenant comme «une économie axée sur l'échange et la prise en charge des besoins, coopérative et durable, et qui n'exige pas une croissance sans entraves. »

    «À un moment donné, ces chiffres sur un écran sont imaginaires», a déclaré Thomas au Times.

    «Mais ce qui n’est pas imaginaire, c’est de savoir si vous avez un abri, de la nourriture et une communauté. Ce sont de vrais retours. »

    D'où viennent ces idées ? Faculté universitaire, bien sûr. Richard D. Wolff, marxiste et professeur émérite d'économie à l'Université du Massachusetts à Amherst, a déclaré qu'il défendait professionnellement les arguments de vente du capitalisme depuis le début de sa carrière d'enseignant, en 1967, mais que ses étudiants de la génération Y «sont plus ouverts à entendre ce message. que leurs parents ne l’ont jamais été.

    Nous ne pouvons que remercier Dieu que les parents de ces jeunes croyaient au service des clients et à la sauvegarde de leur fortune. Cette richesse n'a pas été créée de manière néfaste. Comme l'explique Murray Rothbard, «sur le marché libre, c'est un fait heureux que la maximisation de la richesse d'une personne ou d'un groupe profite à tous».

    Ce que font ces milléniaux ne doit pas être ignoré. Comme Mises l'a écrit dans son livre Liberalism, «La civilisation moderne ne périra pas si elle ne le fait pas par son propre acte d'autodestruction.

    https://www.zerohedge.com/economics/rich-millennials-plot-end-civilization

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    1. La fortune des riches ne vient pas et n'appartient pas aux pauvres, car il ne s'agit pas d'argent volé mais de l'argent créé.
      La masse d'argent (valeur) a suivi puis dépassé l'être humain car, son intelligence lui a fait concevoir des machines, des ordinateurs, des robots qui travaillent gratuitement 24/24 h !
      Mais, ce qui tue les marchés, les transactions et les pouvoirs de chacun est l'escroc psychopathe asymptomatique qui joue le rôle de banquier ou de chef d'Etat. Lui il fabrique l'argent avec son clavier d'ordinateur. Il peut créer des sommes à n'en plus finir ! 1000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000000 et y coller à la fin le logo $, £ ou € qu'il veut !! C'est là une valeur qui n'existe pas mais qui permet de ruiner, de tuer ou d'enrichir n'importe qui !!
      Depuis toujours il en a été ainsi !! L'or n'a JAMAIS était l'étalon de quoi que ce soit ! L'or est un masque de la supercherie. C'est pourquoi, dans toutes ces écoles des finances où sont budgétisés des merdes (çà change des haricots), l'on y instruit l'escroquerie qui va permettre de voler tout le monde puisque c'est l'argent qui est roi et non l'intelligence !

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  33. LA FERMETURE DES CINÉMAS ET THÉÂTRES VALIDÉE PAR LE CONSEIL D'ÉTAT


    par PAOLO GAROSCIO
    23/12/2020


    Le secteur de la culture pesait 47 milliards d'euros en France en
    2018.

    Mauvaise nouvelle pour le secteur de la culture qui jouait ici une de ses dernières cartes, si ce n’est la dernière : après avoir vu la date de sa réouverture être repoussée du 15 décembre 2020 au 7 janvier 2021 au minimum, le Conseil d’État a validé la décision du gouvernement.

    Le risque pandémique l’emporte sur la réouverture des théâtres et cinémas

    Le Conseil d’État avait été saisi par plusieurs représentants des activités théâtrales et cinématographiques en France après la décision, annoncée par Jean Castex, de repousser la réouverture des salles. Cette décision, selon le gouvernement, se justifiait par une pandémie qui n’avait pas baissé suffisamment : le gouvernement avait fixé à 5.000 cas par jour le seuil en-dessous duquel les théâtres et cinémas auraient pu rouvrir le 15 décembre 2020, mais un tel niveau n’avait pas été atteint à temps, et ne l’a toujours pas été depuis.

    Mercredi 23 décembre 2020, c’est la douche froide pour les professionnels qui espéraient que le Conseil d’État invalide la décision gouvernementale. Il l’a, au contraire, validé, arguant que le « contexte sanitaire » justifiait la fermeture. En particulier, le Conseil d’État a estimé que la réouverture pourrait entraîner un « risque d'augmentation de l'épidémie à court terme ».

    La réouverture le 7 janvier 2021 est-elle déjà compromise ?

    Cette décision du Conseil d’État tombe très mal pour les professionnels de la culture : l’épidémie, en France, a atteint un plateau avec plus de 10.000 cas de Covid-19 identifiés chaque jour, et ce depuis le 15 décembre 2020. Or, selon les experts, les fêtes de fin d’année, en particulier Noël, pourraient entraîner une augmentation du nombre de cas, voire une « troisième vague ».

    La question de la réouverture au 7 janvier 2021 des théâtres et cinémas reste donc très incertaine : il est difficile de croire que le seuil des 5.000 cas sera franchi à la baisse d’ici-là. Sans compter l’appel de nombreux élus à un reconfinement avant la fin de l’année 2020, après Noël.

    http://www.economiematin.fr/news-conseil-etat-fermeture-cinemas-thatres-covid-decision-validation

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  34. LA POSTE : EN 2021, LA LETTRE VERTE COÛTERA 1,08 EURO


    par ANTON KUNIN
    24/12/2020


    En 2019, le courrier a représenté seulement 26 % de l'activité de La Poste, contre 41 % en 2010 et 71 % en 1991.

    C’est un rituel immuable de chaque début d’année : La Poste procède tous les 1er janvier à une augmentation (toujours très sensible) de ses tarifs. Et 2021 ne fera pas exception à la règle.
    Prix des timbres : des hausses sensibles en 2021

    Validés par l’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse (Arcep) chaque été, les tarifs postaux pour la nouvelle année entrent en vigueur le 1er janvier. En 2021, le prix d’une lettre prioritaire de 20g (timbre rouge, distribution le lendemain) passera à 1,28 euro (contre 1,16 euro aujourd’hui). Le prix d’une lettre verte de 20 g (distribution le surlendemain) passera quant à lui de 0,97 à 1,08 euro. Enfin, l’affranchissement d’un Ecopli (une lettre de 20 g distribuée dans les quatre jours) coûtera 1,06 euro, contre 0,95 euro aujourd’hui.

    Tous les ans, les volumes du courrier diminuent. En 2019, le courrier a représenté seulement 26% de l’activité de La Poste, contre 41% en 2010 et 71% en 1991. Neuf milliards de plis ont été distribués sur l’année, soit une baisse de 7,8 % à jours ouvrés équivalents par rapport à 2018.

    Les activités de La Poste sont incroyablement diversifiées

    Les hausses annuelles des prix des timbres sont loin d’être les seuls moyens pour La Poste d’augmenter son chiffre d’affaires. Il faut savoir que la société a considérablement diversifié ses activités, et ce chantier ne cesse de se développer chaque année. Aujourd’hui, La Poste assure pour les personnes âgées un service de portage de repas (120.000 en 2019) et de médicaments ; les visites à domicile et la téléassistance avec « Veiller sur mes parents » et vend des tablettes pour seniors sous la marque Ardoiz.

    La Poste a une participation dans la société Docaposte, spécialiste de l’archivage de données numériques à valeur probatoire et dans la société Icanopée, qui édite un logiciel d’accès au dossier médical partagé. Enfin, la Banque Postale, véritable « poids lourd » du groupe, a réalisé 5,7 milliards d’euros de produit net bancaire en 2019.

    http://www.economiematin.fr/news-hausse-prix-timbre-2021-la-poste-tarifs-postaux

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    1. 1 Franc = 15 centimes d'euro
      1 euro = 6,50 francs

      Rappelez-vous des timbres-poste à 15 centimes ou à 20 centimes de franc (soit 3 centimes d'euro !).

      L'escroquerie sur la vitesse de déplacement ! Une lettre Rouge, Verte, Noire ou Bleue ira toujours du point A au point B. Mais, la lettre la moins chère (distribuée pareillement que la plus chère) sera mise au panier 'A distribuer le mois prochain' !!
      Pourquoi ces classes et retard volontaire ? Pour emmerder les français !

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  35. Percée ? Le comité sénatorial de Géorgie recommande la décertification des électeurs de Biden


    December 24th, 2020


    C’est juste un sous-comité, mais c’est le premier document officiel d’un organe élu qui a examiné les preuves de fraude électorale et les six sénateurs trouvent que l’élection en Géorgie n’était pas digne de confiance.

    Le pouvoir judiciaire recommande à la Chambre de Géorgie de décertifier les électeurs du collège électoral de Biden en raison de la fraude électorale et du non-respect des règles électorales par les représentants de l'État. Comme le décrivent Steve Bannon et Rudy Guiliani, si la Chambre basse de Géorgie fait cela, l'Arizona est à deux voix de la décertification, le Wisconsin est sur le point de le faire. Ces trois États contrôlent suffisamment de votes du collège électoral pour refuser à Biden les 270 votes du collège électoral dont il a besoin le 6 janvier. L'élection va à une «élection conditionnelle» que Trump est presque certain de gagner. Bannon prévoit: si «on va, ils partent tous». Si un État brave assez pour se retirer de la certification, d'autres franchiront également la ligne. «Le courage est contagieux», dit-il.

    II. RÉSUMÉ

    L'élection générale du 3 novembre 2020 (l '«élection») a été chaotique et tout résultat rapporté doit être considéré comme indigne de confiance. Le Sous-comité a recueilli des témoignages et reçu des affidavits sous serment. Le sous-comité a entendu des témoignages selon lesquels les protocoles appropriés n'ont pas été utilisés pour assurer la chaîne de garde des bulletins de vote tout au long de l'élection, après l'ouverture des bulletins de vote avant l'élection et pendant les recomptages. Le sous-comité a entendu des témoignages selon lesquels il était possible ou même probable qu'un grand nombre de bulletins de vote frauduleux aient été introduits dans la réserve de bulletins de vote qui ont été comptés comme votés; il n'y a aucun moyen de retracer les bulletins de vote après qu'ils ont été séparés du point d'origine. Le sous-comité a entendu des témoignages sur des bulletins de vote impeccables dont l'origine semblait suspecte ou qui ne pouvaient être vérifiés et sur l'incapacité des agents électoraux à faire la distinction entre les bulletins de vote et les bulletins de vote par correspondance. Les signatures n'étaient pas systématiquement vérifiées conformément à la loi dans le processus de vote des absents. Les observateurs du scrutin le soir du scrutin ont déclaré avoir noté que les bulletins de vote n'étaient pas sécurisés, que les scellés et les étiquettes de sécurité n'étaient pas utilisés et que la chaîne de possession était souvent laxiste ou inexistante.

    Rapport du Sénat de l’État de Géorgie: Les résultats des élections ne sont pas dignes de confiance; la certification devrait être annulée
    Debrea Heine, American Greatness: Le président du sous-comité judiciaire en Géorgie qui a examiné les preuves de fraude lors des élections de 2020, a publié un rapport cinglant de 15 pages qualifiant les résultats de l'élection de 2020 de «non fiables» et recommandant que la certification de la les résultats soient annulés.

    - voir clip sur site -

    Et la décision de la Géorgie n'était pas fondée sur les problèmes de la machine Dominion.

    Le gouverneur Kemp fonctionne à 11% d'approbation dans les sondages.

    https://joannenova.com.au/2020/12/breakthrough-georgia-senate-committee-recommends-decertification-of-biden-electors/

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